Sword-inu :
Merci beaucoup cher public lol ! La suite prendra un peu de temps car j'écris au fur et à mesure, sans plans ni idées fixes alors patience !
Tanis :
On dit s'il te plait ! lol, merci du compliment !
Audrey Evans :
Géniale? Tant mieux mais c'est que le début …
LyceiaArtemis :
Elle arrive, doucement mais sûrement la suite débarque ! J'abandonnerai pas avec toutes ces reviews !
Snowhite :
Ça te plait au point que tu laisse une review ? Ravie que tu fasses un effort pour moi !
Ishimaru Chiaki :
J'avoue que j'en avais moi-même marre du coup des préfets en chef, alors comme on dit, "on est toujours mieux servi par soi-même". Et pour la même famille, c'est une idée tordue de mon cerveau pour qu'ils aient à se cacher quand même pour s'embrasser !
sam malefoy :
Tout juste Auguste ! Tu es très perspicace car j'essaye de laisse des indices petit à petit … Il faut bien un peu de suspense ! Laisse toujours une reviews si t'as d'autres questions…
Pottera :
Yeah ! Je suis dans tes favoris ! Mais c'est géniale ça ! Merci ça me touche petite larme pour la route Je continue promis !
Camille :
La curiosité est un excellent défaut ! alors la voici la voilà !
nynousette :
Je me dépêche, intéressant ? En tout cas c'est sûr que mon Hermione et mon Draco (ahaaaaa ça fait rêvé de dire ça mdr) vont pas se la coulé douce, ils vont de voir ramer pour mon plus grand plaisir… Niark Niark (rire diabolique)!
ewilan59 :
Pour la suite, en fait, c'est tout au "feeling" alors normal ça prend du temps et en plus je suis perfectionniste ! Et je suis très contente de savoir présent(e) à l'appel de mon public !
Le Saut de l'An(g)e :
T'inquiètes, pour le pseudo j'ai déjà lu plusieurs de tes fics même si mes reviews se font rares lol, et pour l'idée, ba j'essaye d'innover !
loommyloon :
On dit "siouplai m'dame l'auteuse" parce que je ne suis pas un esclave alors on reste poli lol ! Mais comme je si une âme charitable (et que j'ai eu 23 reviews) la voilà ta suite !
aniahhel :
Que de compliments ! merci, c'est trop gentil !
Me :
Merci !
Arwenajane :
Merci !
Bloody the Slytherin :
WoW ! c'est la première fois que j'ai un fan ! Mais en attendant tu peux aller voir mes autres fics pour patienter sur ma bio!
ombre et lumière :
C'est vrai que j'attends ce moment avec impatience moi aussi, va-t-il se faire bouffer par les lions ou dominer tout le monde comme d'habitude? on verra !
mo :
Leur entrée va être spectaculaire ! (je rêve de faire la même sans me casser la gueule lol) et c'est un mec qu'elle connaissait qui l'appelait Mia…
nanon :
Youpi ma fic est prometteuse ! dans tous les cas elle aura une suite !
lolita :
C'est sûr que les deux ça va faire des étincelles…mdr Et pour le prénom hayden j'avoue que je l'adore !
elodange :
Merci de ta review !
Lily :
J'imagine une Hermione intimidée et mélancolique ou curieuse et fascinée, ou encore un mélange des deux devant les "fameux" maraudeurs ! Quant à Hayden, c'est un mystère qu'on élucidera petit à petit car j'ai une intrigue à tenir! lol… Merci pour tes compliments!
Ashkana:
Merci beaucoup mais je ne pense pas que ce soit vraiment une sentence ! lolDarky Angel:
Merci, et vu que c'est demandé si gentiment j'accepte avec plaisir lol ! Alors maintenant le nouveau chapitre ! ( et le premier qui dit "enfin" je le supprime !lol) …Biz quand même, Naca Malefoy
PDV HermioneSans que je ne puisse résister, les mots dépassent mes lèvres :
On verra…
Sans plus de cérémonie, je le plante là et vais m'asseoir sur le canapé avec mon bouquin du moment qui était sur la bibliothèque – Animagus, comment le devenir et en découvrir, par Yolande de Lafourur. Mais comment j'ai pu m'empêtrer dans un défi aussi débile ! "On verra" mais quoi ? Bon on respire, on se détend, c'est pas parce qu'il me fait de l'effet que je dois me démonter. Hein? De l'effet? Pff n'importe quoi ! Alors les animagus, mais soudain une main diaphane passa devant mon visage. Je sursaute et me tourne brusquement vers Dr... Hayden, grrr je m'y ferai jamais.
Quoi ? Mon regard se heurta pour la deuxième fois à l'océan.
Je ne savais pas que tu voulais désobéir à Dumbledore…
Comment ça ?
Et bien il nous a envoyé ici pour trouver nos affaires, mais aussi discuter…
Depuis quand tu veux me parler ?
Depuis que je sais que tu es la seule personne ici en qui je peux avoir …
Il hésita à continuer, rira-t-elle de lui? Mais j' avais décelé une lueur dans ses yeux habituellement de glace, alors je l'incite à continuer…
La seule en qui quoi?
Je peux avoir confiance.
Il a baissé les yeux à la fin de sa phrase comme s'il avait honte de s'être dévoilé. Je fis un sourire discret, alors c'était ça la Terreur de Poudlard? Juste un garçon avec un masque de glace pour cacher sa fragilité, Je ressentis quelque chose que je ne pensais jamais ressentir pour le serpentard : de la compassion. Il souffrait et personne avant moi ne l'avait vu ainsi. Pour ne pas le brusquer je me met devant lui et relève son visage en poussant son menton vers le haut avec mon index. En croisant son regard j'y vis beaucoup de chose mais par-dessus tout de l'espoir. Alors je lui souris et dis:
Hey, ça ne fait pas de toi quelqu'un de faible, mais me l'avoir dit est une preuve de courage…
Si tu le dis, il se redressa d'un coup et s'exclama, tu veux faire un jeu de la vérité ?
J'arqua un sourcil, apparemment, Draco n'aimait pas parler de lui mais bon, pourquoi pas tuer le temps en jouant.
D'accord si tu m'explique ce que c'est, je n'y ai jamais joué…
Bien, alors on doit se poser des questions dont les réponses sont oui ou non, si c'est oui tu bois si c'est l'autre qui boit…
Mmmh… Je vois, mais on va boire quoi ?
En guise de réponse, il se lève, ferme les yeux et soudain apparut devant le canapé de cuir une table en bois foncé avec dessus plusieurs bouteilles de Bièraubeurre. Draco me regarde avec défi, genre t'es-pas-cap-de-boire-avec-moi, et contre toute attente, j' attrape une bouteille et la décapsule.
Je t'attends, mais si tu as trop peur…
C'est ça !
Il s'installe en face de moi et fit de même. En me regardant droit dans les yeux avec amusement, il lança :
Honneur aux dames, Hermione, es-tu vierge ?
En lui lançant un regard narquois je le vois regarder sa main avec effarement qui le força à boire.
Je crois que tu as ta réponse. À moi, as-tu eut seulement des histoires d'un soir ?
Sans magie, il but goulûment à la bouteille pour me narguer, une fois qu'il s'arrêta, il dit :
Je sens qu'on va apprendre beaucoup de choses en très peu de temps… Es-tu sortie avec un sorcier ?
Oui... avec un sourire en coin je bu, es-tu déjà tomber amoureux ?
Non ! bois ! et toi ?
J'avalai doucement la boisson pour la troisième fois.
Est-ce que tu trouves que Rogue était injuste avec moi ?
Je fus surprise de le voir porter le goulot à ses lèvres. Comme ça même les serpentards avait un sens de la justice, mais à leur façon. Je me mets à le détaillé sans m'en rendre compte. Il avait les cheveux bruns presque noirs (N'oubliez pas qu'il y a l'enchantement de Dumby!) tombant devant ses yeux, ses yeux qui ressemblaient à de la glace en fusion habituellement mais la c'était la tempête. Un nez droit accompagné de joues d'un blanc marmoréen. Et des fines lèvres pâles lui donnant un visage avec l'air d'un ange… Un ange déchu.
Il reprend un air grave et me ramène sur Terre avec cette nouvelle question:
As-tu déjà subi un Impardonnable ?
Oui, un Endoloris pendant une bataille…Et toi ?
Sans le remarquer, j'avais arrêté de boire car la note de nos confidences étaient trop graves pour en rire et je gardais l'objet de verre juste pour avoir quelque chose entre les mains, premier signe de nervosité…
Aussi, j'ai reçu les deux qui me permettent d'être encore en face de toi … En, il déglutit, en as-tu lancer ?
Non, et j'espère ne jamais avoir à le faire… As-tu perdu un être cher ?
Non, hum, je n'en ai pas…Toi ?
Comment en étais-je arrivé à parler de "ça" avec lui je l'ignore, mais ma gorge était trop serrée pour que je puisse parler. Alors je hochai faiblement la tête et senti une goutte partir de mon œil et mourir sur mes lèvres. Pendant que je l'essuyais rageusement du revers de la main- comment pouvais-je être aussi faible devant lui ?- un bras puissant s'enroula autour de mes épaules. D'abord réticente, je me laisse aller. Je me retrouvai le nez nicher dans le cou de Draco entrain de pleurer comme une idiote. Mais Seigneur, qu'il sentait bon, son odeur personnelle, celle du linge propre et une touche d'eau de toilette, mmmh…
Il m'avait entouré de ses bras d'abord maladroitement comme s'il avait peur de me faire mal ou que je le rejette, puis il avait resserré son étreinte devenue rassurante.
Pour la première fois de ma vie, je me sentais bien près de lui, je ne voulais pas me retirer. Petit à petit mes sanglots se transformèrent en reniflements discrets. J'avais la sensation d'être en sécurité et que Draco ne m'abandonnerait pas … Doucement je relève la tête et croise son regard, comme moi quelques instants auparavant, il ressent quelque chose de nouveau. La compassion. Je ne devais pas être belle à voir, les yeux rouges et enflés, les joues creusées par les larmes et le nez qui coule. Draco esquisse un sourire forcé. Il s'éloigne et dit simplement:
C'est la première fois…
Que quoi ?
Que je …Console quelqu'un.
Moi pareil.
Hein?
Que je me fais consoler…
Oh.
Merci, pour l'avoir fait, mais aussi pour ne pas m'interroger.
C'est normal.
Je sentis son regard posé sur moi, mais pas comme une menace, comme un soutien. Je lui souris et pour reprendre le sourire, je me lève vivement et m'exclame :
Bon et cette entrée, on la travaille ?
Okay, on se change ?
Oui mais je…
Draco fit un sourire malefoyen (oui, oui, celui qui nous fait toutes craquer avec la 'tite fossette!):
Pudique Granger ?
Avec toi plus qu'avec tous Malefoy !
Je me concentre et dans un coin de la salle un paravent apparaît, je tire la langue à mon frangin et file derrière avec les vêtements qu'on a choisis.
Après avoir troquer ma jupe d'uniforme et mes chaussures vernies pour le jean clair et les bottes noires à bout rond et talons aiguilles, j'étais entrain de changer de chemise quand le paravent pris soudain la taille d'un livre de poche.
Je me redressai brusquement de tout mon mètre soixante-huit augmenter de huit centimètre de talon (total 1m76), ma chemise fermée uniquement par el premier bouton du bas laissant voir largement mon soutien-gorge noir avec une rose verte dessus. Draco est bouche bée, apparemment il ne s'attendait pas à une telle vision. Il se reprend vite et sa bouche devient moqueuse. Pure provocation.Les mains sur les hanches et le regard plein d'éclairs, je me plante devant lui et explose:
Ça t'amuse, j'espère ?
Certes, j'ai vu pire, mais j'ai aussi vu mieux.
C'est à mon tour d'être effarée, comment ose-t-il? Grrr, j'allais lui faire ravaler son petit rictus un de ces quatre… Et en me drapant dans le peu de fierté qui me reste je boutonne le reste de ma camisole en laissant un décolleté plongeant.
Allez, à ton tour!
Bien miss-je-sais-tout, quoi que je retire car tu aurai pu faire ça : Camio Tessuis !
Et avant que je puisse protester, ses vêtements se changèrent sans que je puisse me moquer de lui. Draco porte alors un jean clair et une chemise blanche avec les premiers boutons ouverts le tout avec, Oho il connaît la mode moldue, des converses noires mal lassées.
Grrr, je sentais que s'il n'enlevait pas tout de suite cet air supérieur de sa face j'allais dire quelque chose que j'allais regretter…
Saleté de fouine peroxydée ! Je marmonne, oups, trop tard!
QUOI ?
Rien, je disais: " saleté de fermoir explosé !".
Eh oui, en grande prêtresse de la prévoyance (oulà, Trelawney a du souci à se faire!lol), j'avais attrapé ma cape et le fermoir pendouillait lamentablement.
Je jette un simple Reparo et le tour est joué. L'ex-serpentard qui me sert de frère à l'occasion me fixe comme si j'allais faire une bêtise.
Je m'assieds à côté de lui avec une distance de sécurité tout de même et je reprends mon livre abandonner un peu plutôt. Alors que je commence une nouvelle page, une phrase atteint mes oreilles:
Je ne te savais pas serpentard cachée !
Je me tourne rapidement vers Draco qui me sourit, un soupir s'échappe de mes lèvres, apparemment il voulait encore parler.
Comment ça ?
Tu porte mes couleurs, sous tes vêtements certes, mais tu les portes !
Je vois…Et? Aux dernières nouvelles ce n'est pas interdit qu'une gryffondor porte du vert!
Non, mais ça ne dérange pas Saint-Potter ou la Belette ?
Ne les insultes pas ! Et je ne sais pas comment ça pourrait les déranger vu qu'ils ne voient pas mes sous-vêtements… Tu n'as aucune chose rouge ou or ?
Non !
Même pas des chaussettes ?
Jamais ! Que du noir, du vert et du gris… À la limite du bleu, c'est possible !
De toute façon demain tu porteras le blason des Gryffondor, la cravate, l'écharpe car il fait froid…
Au fur et à mesure que j'énonçais ces mots, Draco pâlissait comme s'il venait de le réaliser et que je disais des blasphèmes. Je fis un petit sourire satisfait et Draco répliqua :
Après tout je peux faire un effort pour supporter ces horreurs, le courage c'est bien ce dont les petits lions se vantent ?
En moins de temps qu'il n'en faut pour le dire, j'attrape un coussin bleu foncé et lui assène un coup sur sa gueule d'ange. La riposte ne se fait pas attendre, il me lance un autre coussin sur la tête, je réplique aussi sec ! Les coups pleuvent au même temps que les rires s'échappent et bientôt les munitions sont hors d'atteinte, alors on en vient aux mains.
Toujours sur le canapé, je me tortille et hurle de rire, c'est que je suis extrêmement chatouilleuse! Brusquement je tombe en arrière, faute d'équilibre, et emporte Draco dans ma chute.
Soudain j'arrête de rire, il est au-dessus de moi, ses mains sont sur mes hanches, les miennes agrippées à son col. Son visage est très près, trop près. Je peux sentir son souffle chaud sur mes lèvres, son parfum et ses yeux qui scrutent mon regard. Ses cheveux chatouillent mon front et soudain j'oublie tout, il vient de poser sa bouche sur la mienne. C'est doux et agréable, comme un fruit interdit. Interdit. Ce mot clignote dans mais tête, alors je repousse Draco de toutes mes forces à contrecœur. Je me redresse et l'interroge encore surprise :
Je peux savoir ce qui te prend ?
Il a les joues rosées et bafouille :
Je sais pas, une pulsion tu étais trop proche et j'ai pas résisté.Désolé…
Oui, on oublie, il ne s'est rien passé.
Draco semble déçu de ma décision, mais son visage est redevenu impassible. Il attrape sa baguette et lance un sortilège. Des paillettes d'or forment 18h46.
Il nous reste un peu plus de dix minutes avant notre entrée fracassante, j'éteindrai les bougies et tu créeras l'orage, on continue d'avancer et une fois au milieu de la salle, on rétabli l'ordre. Pour finir on se met à côté de Dumbledore qui nous présente.
Parfait.
Un silence pesant s'installe pendant que je réduis nos malles. Je lui tends la sienne et glisse la mienne dans une poche de ma cape. Draco attache sa cape et passe sa main dans ses cheveux, il est aussi nerveux que moi, mais pas pour les mêmes raisons. Il s'avance vers la porte et s'arrête devant, il se retourne et me dit :
Allez viens miss-parfaite, on va prouver à cette bande de futurs parents que le talent a sauté leur génération !
D'accord frérot, c'est parti, attention la nouvelle génération arrive ! dis-je en rigolant.
Je m'accroche au bras qu'il me tend et l'on coure comme des dératés jusqu'aux portes de la Grande Salle qui sont closes. Dumbledore a pensé à tout, les élèves sont tous à l'intérieur.
Je colle mon oreille à l'une des portes et entends le Directeur commencer son discours:
Chers élèves, j'ai une annonce à vous faire, deux élèves viennent d'arriver à Poudlard…
C'est le signal, on pousse les portes qui s'ouvrent au maximum.
Avant qu'ils puissent nous voir, Draco éteint les bougies et je pointe baguette vers le plafond qui passe du coucher de soleil à un puissant orage avec des éclairs.
On s'avance d'un pas assuré et au milieu, on rétabli la lumière. On ne s'arrête pas pour autant. Une fois aux côtés de Dumbledore qui nous fait un clin d'œil, Draco et moi nous tournons vers l'assemblée. D'abord bouche bées, les élèves commencent à applaudirent entraînés par le directeur.
J'ai un sourire qui me barre le visage d'un oreille alors que Draco se penche pour saluer.
Il m'attrape la main et me fait faire une pirouette puis soulève mon bras en signe de victoire.
Je ris. Il se donne en spectacle. Dumbledore nous fais un sourire et continue son discours après que le silence est revenu.
J'ai le plaisir de vous présenter Hermione et Hayden Granger, habituellement ils étudient chez eux, mais ils ont voulu découvrir pendant un mois la vie à Poudlard. Ils ont un niveau élevé en magie et Poudlard ne leur est pas inconnu. Cependant, j'espère mes chers élèves, que vous les accueillerez comme il se doit. Ils rejoindront les septième années de Gryffondor.
Une salve de cris et d'applaudissements s'éleva de la table concernée. Puis le directeur continua :
J'en profite pour vous rappeler que le Bal de l'hiver aura lieu vendredi à partir de 19h30. Merci.
Dumbledore se rassied en me glissant à l'oreille:
Le mot de passe est "cœur de lion".
Je tire Draco par la manche pour qu'on s'asseye en bout de table.
Une fois posés, nous commençons à nous servir quand quatre garçons s'approchent de nous. Les Maraudeurs. Celui qui est le plus proche de moi commence :
Bonjour, belle demoiselle, permettez-moi de me présenter ainsi que mes compagnons d'aventure.
Je me retourne alors que Draco me lance un regard mi-sceptique mi-surpris. Je reconnais mon interlocuteur au premier coup d'œil, des cheveux noirs, une prestance imposante et un air charmeur, je retrouve le Sirius de chez moi avec Azkaban et le temps en moins. Derrière lui James chuchote quelque chose comme "mise en mode séduction" à Remus qui rigole, c'est une des rares fois.
Je t'écoute. Dis-je avec un sourire amusé.
Bien, je me nomme Sirius Black, batteur dans l'équipe de Quidditch, et voici James Potter, notre attrapeur-vedette.
Au nom de James, Draco s'étrangle et marmonne "c'est génétique, décidemment ". Je pouffe et reporte mon attention sur Sirius qui me tend la main. Je la serre vite fait ainsi que celle de James.
Ensuite viens Remus Lupin notre préfet…
Sur le coup je lui serre la main en lui adressant un sourire éclatant, je l'ai toujours apprécié.
- Et pour finir Peter Pettigrow.
Enchantée, j'essayerai de m'en souvenir.
Petit et gros sont en effet les meilleurs qualificatifs pour cet être répugnant. Un nez retroussé, un air apeuré et un ventre rondouillet, c'est à se demander ce qu'il fait avec les autres. Je lui brise les phalanges avec un sourire crispé.
Tout d'un coup une tornade rousse suivie d'une blonde se plantèrent à la gauche des Maraudeurs. Je fais un discret sourire, la rousse est Lily Evans, mère d'Harry. Comment je l'ai reconnue? Elle a les mêmes yeux, flamboyants et d'un vert indescriptible.
Ça ne fait pas dix minutes que les nouveaux sont là que déjà tu les agresses Potter ?
Sache Lily-jolie, que c'est Sirius qui a tenu à venir les voir …
Rien à faire de tes excuses, au fait, je m'appelle Lily Evans, préfète en chef. Dit-elle en se tournant vers moi et Draco. Celui-ci se lève et lui serre la main :
Dra…Hayden Granger et ma chère sœur Hermione.
Il ajoute ça en me regardant dans les yeux pour que je me lève à mon tour, ce que fais.
Exact, mais je n'ai pas saisi le nom de ton amie.
Oh, pardon, c'est …
Malicia Fergusson! coupe la concernée.
C'est une jolie blonde, les cheveux coupés dans en un carré désordonné, avec des yeux bleu clair. Elle me secoue énergiquement la main avec un sourire franc. Malgré cela, la tension est montée d'un cran. James dévore des yeux Lily qui le toise avec indifférence.
Remus et Malicia échangent des sourires discrets et des regards enflammés. Peter tente de trouver une échappatoire et Sirius me fixe sans ciller. Draco me donne envie de lui sauter au cou car il casse le silence:
Désolé, mais je suis très fatigué et Mia aussi alors on va aller dans les dortoirs…
Oui, et ne vous inquiétez pas, on connaît le chemin et le mot de passe !
Sans plus de cérémonie, on file à l'anglaise.
Une fois hors de la fosse aux lions, j'entraîne Draco dans le dédale de couloirs. On cours jusqu'à la Grosse Dame à laquelle je m'exclame essoufflée :
Cœur…De…Lion !
Bienvenue chez les Gryffondor.
Le tableau laisse apparaître le passage de pierre. J'invite mon frère à l'intérieur qui s'émerveille devant la chaleur de la pièce. Moi, c'est différent, je retrouve ma maison rajeunie de vingt ans.
J'avoue que c'est plus agréable que chez Serpentard…
Heureuse que ça te plaise!
Tu me montre les dortoirs…
Bien sûre ! Viens, c'est par là.
Je monte l'escalier de droite en comptant les portes. À la septième, je l'ouvre et lève les yeux au ciel devant le bazar qui règne dans ce dortoir, c'est pire que moi chez mon père !
Au fond, je vois un lit inoccupé, alors j'attrape la manche de Draco et marche jusqu'à celui-ci.
Je te présente ton lit pour le mois prochain.
Il acquiesce et alors que je repars, il dit :
Mia?
Je me tourne et Draco est juste derrière moi.
Oui ?
Bonne nuit…
Mon visage s'illumine, et prise d'une soudaine envie, je pose un baiser sur sa joue diaphane qui rosit.
À toi aussi Draco… À demain!
Et je disparais derrière la porte du dortoir…
Une fois dans celui des filles, je pose ma cape sur un fauteuil rouge, en sort ma malle dont je redonne la taille habituelle. Je l'ouvre, prends un pyjama que j'échange avec ma tenue.
Ensuite, je me glisse sous les draps et alors que mon esprit va rejoindre Morphée, j'ai une dernière pensée pour Draco : un futur ami peut-être ?
-o0O0o-
voilà un deuxième chapitre,
j'en suis assez satisfaite.
J'ai décidé de publier un chapitre par semaine,
Mais je tiens rarement parole alors "advienne que pourra" !
Encore merci pour vos reviews…
Biz, Naca.
