Chapitre 1 :Regret du passer
Disclaimer : tous les personnages appartiennent a JK Rowling
Avertissement : il pourra y avoir dans les chapitres a venir certains rapports homo entre un certain harry et un certain Draco alors euh si ça vous dégoûte juste lisez pas et euh il peut y avoir du sang aussi fais que les cœurs sensibles …..
Spoiler : oki la fic est une certaine suite au 6eme livre alors ceux qui l'on pas lu risquent de en pas comprendre puisque mon histoire tourne autour de l'intrigue ( si on veut principale) du 6 eme tome et donc les horcrux (sans commentaire pour ceux qui ont pas lus ) donc arrêtez vous la si vous voulez pas en savoir plus
Oki sinon j'espère que vous aimerez ce chapitre , lol ça m'encouragera a écrire le prochain et ça serais extrêmement gentil de laisser des reveuw même si c'est juste pour dire que vous avez lus :D . a pars ça vous risquez de rencontrer beaucoup d'erreurs je ne suis pas très bonne question orthographe grammaire etc. alors je suis desolee d'avance
Pov Draco
Qui s'embrasse a regretter le passer perd le présent et risque l'avenir…
Pourquoi et comment? …. Ma vie est un enfer … j'aimerais par moments retourner dans le passer et dire non. J'aurais au moins pu en parler à quelqu'un n'importe qui. Je ne me retrouverai peut être pas ici aujourd'hui. Je regrette tant.
Me voilà maintenant majeur depuis le début de juillet et c'est maintenant seulement dans cette fin d'août qu'il décide enfin que j'ai le droit à sa marque. Au début, je ne le nie pas ça m'attirait. Je me disais que j'aurais enfin pu être fort et respecté que j'aurais pu hanter le monde. Quelle immaturité que de penser cela.
Je ne me suis rendu compte que maintenant que jamais, oh jamais, qui conque ne pourrait satisfaire le maître des ténèbres. J'aurais du le tuer et Severus aurait du me laisser faire, tel étaient ses ordres, puis même si ses souhaits ont étés exaucés, même ça n'était pas assez. Pourquoi seigneur n'ai-je pu commettre ce meurtre? Pourquoi mes muscles m'ont lâchés et j'ai été paralysé quand j'aurais justement dû agir? Tuer c'est facile n'est ce pas?
Je n'ai jamais vraiment eu de problème avec la mort avant. Mes grands-parents sont morts et je m'en suis bien moqué, tout autant que je me suis moqué de la mort de Dumbledore, alors pourquoi ne pas pouvoir la lui donner? Pourquoi?
Je sens des larmes brûlantes rouler sur mes joues. Je les essuie avec hâte avant de me lever de mon lit et de me poser devant un miroir au fond de la pièce. Deux de mes doigts s'attardent sur ma joue, là ou avaient coulés mes larmes, les traces y sont encore. Je dévisage le moi que je suis rendu. Plus maigre, plus grand, les yeux cernés, le visage encore plus blême qu'avant et les cheveux d'un blond terne tombant jusqu'aux épaules. Mon regard manque d'assurance et mes lèvres se sont positionnés en position neutre, même mes sourires moqueurs d'autrefois ne sont plus capables de les animer.
Dans moins d'une heur je sortirais enfin de cette chambre que j'habite depuis deux mois pour devenir un objet. À cette pensée un nœud bloque ma gorge que j'essaye aussi bien que mal de ravaler, puis mes yeux s'humidifient de nouveau. Je le déteste plus que tout, JE LE HAIS!
Je me rappelle de ce moment depuis lequel je suis enfermé ici dans cette cave loin des rayons du soleil. Il traverse ma pensée à longueur de temps; Potter nous avait poursuivi, Rogue et moi, jusqu'à ce qu'on soit rendu hors de l'enceinte de Poudlard et là, enfin on avait transplané grâce à la marque de ce dernier, car moi bien entendu j'était trop jeune pour l'avoir.
Puis on avaient réapparus dans un vaste cimetière ou une odeur de corps brûlés régnait encore dans l'air. Une immense demeure, j'irais même jusqu'à dire un château s'élevait devant nous. Nous, nous sommes dirigés vers celle-ci à grandes enjambés. Rendus au portail, je me rappelle avoir entendu un des Mangemorts susurrer quelque chose avec ça baguette en main, avant que celui-ci ne s'ouvre.
Introduits dans la demeure, Severus et moi avons parcouru plusieurs pièces plus bizarres les unes que les autres avant de nous rendre a une immense salle dont les murs étaient recouverts de tableaux. Un foyer se trouvait tout au fond de celle-ci. Il y avait comme seul mobilier une table basse et un fauteuil de style victorien, tous les deux posés devant un feu grisâtre presque noir.
Un homme tenant un verre a la main admirait celui-ci et semblait nous attendre. C'était le seigneur et Maître de ténèbres bien entendu…. J'entendis sa voix s'adresser à nous. Elle était grave et résonnait dans mon estomac me donnant un certain malaise.
- Severus, dit-il, comment avez vous oser vous en mêler alors que vous n'étiez supposé rien savoir? Oh , bien sur il était déjà au courant de la situation.
- Maître, Répondit ce dernier s'agenouillant et se traînant jusqu'aux pieds de celui-ci , laissez-moi m'…
- T'expliquer? J'avais donné un ordre Severus. Sa voix était si calme pourtant remplie de reproches, ça faisait peur.
Rogue se permit alors de lever ses yeux vers son Maître et répondit d'une vois mal assuré
- J'avais fait un serment inviolable, Maître je ne pouvais…
- Je vois, répondit le Lord noir se redressant de sont fauteuil tout en ignorant le maître des potions, puis posa son regard sur moi. Malefoy, continua-t-il, que dois-je comprendre, tu étais entre la vie et la mort avec un Dumbledore te menacent de sa baguette, alors ton professeur a du intervenir?
Qu'aurais-je du répondre à cela ? Dumbledore était mort. Ne devait-t-il pas nous féliciter, nous honorer? Non, à la place il nous crachait à la figure son mécontentement alors que lui-même n'avait jamais réussi à pénétrer dans le château accompagné de ses partisans. Puis avait encore moins réussi à toucher Dumbledore. Pour tout dire il avait eu de la difficulté à toucher un gamin inconscient, alors comment pouvait t'il nous prendre avec ce genre de sarcasme.
Il me dévisagea ensuite quelques instants puis me dit avec un sourire moqueur. :
- Tu est tout le contraire de ton père à ce que je vois, celui-ci aurait profité pour se prosterner à mes pieds pour se faire pardonner alors que toi tu ne cesse de me rabaisser et surtout de me sous-estimer. Tu sais peut être bloquer ton esprit Draco mais pas à moi . Jamais à moi.
Puis, sans même que j'eusse le temps de frémir il leva sa baguette sur moi. Je sentis mes os grincer sous la douleur du sort impardonnable, mais pourtant aucun son ne s'échappait de ma gorge. La souffrance était insupportable certes et ce n'était pas l'envie de crier qui me manquais, pourtant je n'arrivais pas. Je m'effondrai très vites sous mon poids puis, au bout de quelque temps la souffrance cessa.
Deux mangemorts venaient de rentrer dans la pièce. Ils me soulevèrent avec dégoût pour me traîner en dehors de la pièce. En tant normal je me serais débattu j'aurais envoyé des sorts dans toutes les directions possible, mais à ce moment la je me sentais si impuissant. Mon orgueil habituellement au plus haut m'avait abandonné.
Il me jetèrent comme un déchet, dans la chambre dans laquelle je me trouve aujourd'hui, me prirent ma baguette puis m'abandonnèrent. Je crois que mes pouvoirs m'ont quittées a cet instant, et même avec baguette je n'aurais pu m'en sortir. J'ignore pour quelle raison, j'avais peut être tout simplement perdu espoir.
Encore une fois j'étais traitée en conséquence du statut de mon père, lui aussi je le détestait. Pour sa faiblesse, pour sa façon de faire pitié, mais en même temps c'était mon père …
Depuis ce jour, Bella passe parfois pour m'amener a boire et a manger, mais ça fait longtemps que j'ai perdu l'appétit. Pour tout dire je me laisse mourir, mais la mort elle refuse de venir a moi aussi facilement, suposément je dois souffrir avant qu'elle ne vienne.
J'entends cogner à la porte et je me retourne en sursautant. C'est encore ma tante mais cette fois-ci elle n'a plus ce regard de dégoût qui m'est réservé à chaque fois comme salut. Non cette fois c'est un rictus amusé qu'elle me lance.
Elle dépose une robe de cérémonie sur mon lit et ma baguette par-dessus, puis s'approche de moi et passe un de ses ongles sur ma joue suivant la trace qu'avaient suivis mes larmes quelques instants plutôt.
« Pauvre Draco, quel abominable sort pèse sure tes épaules, me dit-elle d'un ton sarcastique. »
Je recule d'un pas la dévisageant puis baisse les yeux et ose enfin lui demander :
« Mère sera la? »
Elle éclate d'un rire froid. Elle est si belle même après ses années à Azkaban. Pourtant son âme est celle d'un démon. Puis me répond d'une vois froide
« aucune mère ne veut voir son fils se ridiculiser Draco. »
« Elle est toujours en vie, n'est ce pas ? Je lui lance désespérément. »
Elle me sourit, sans toutefois répondre, puis d'un geste me rappelle que je dois me changer.
Je n'insiste pas, mais un nœud se forme à une vitesse affolante dans ma gorge. J'ai envie de hurler, de pleurer, j'ai envie que ça cesse. Je prend les vêtements qu'elle m'a apporté je les enfile puis, prend ma baguette et me dirige vers elle.
Elle me sourit, puis sans crier garde lève sa baguette et murmure une formule. Je sens un choc dans ma poitrine et me retrouve écrasé contre le mur. Je me relève avec difficulté, mais je ne dis rien. Je continue à avancer comme si de rien n'était.
- Mais voyons Draco, il est ou ton orgueil? Depuis quand as-tu pris cette habitude de te soumettre?
- On y va Bellatrix, le Maître doit nous attendre.
- Quelle impatience de mourir petit serpent…
- C'est une marque pas la mort … a moins qu'il ai changé d'avis
- T'est pas une vache Draco, tu ne va pas tout simplement de faire marquer au fer rouge pour en suite de jeter avec le reste du troupeau, loin de la. Il faudra l'affronter, montrer ta force, ta volonté. Il faudra être a l'agonie pour te montrer digne, il faudra l'implorer de t'épargner.
A ces paroles je baisse la tête avec honte. Qu'est ce que je croyais? L'affronter… alors que je risque de m'évanouir en montant l'escalier…
au bout de quelques minutes nous sortons de la demeure. Il fait nuit. Bella me prend par la main et nous transplantons sur une colline parsemée de pierres tombales. Apparemment j'ai droit au même sort que Diggory.
Un léger brouillard règne dans l'air et même si on est au mois d'août je me sent grelotter . je l'aperçois plus loin entouré de ses serviteurs.
Il s'approche de moi et ses chiens resserrent le cercle autour de nous. Je tremble et j'ai peur. Je sais que quoi qu'il arrive je ne réussirais pas. Je sais que j'en souffrirai . je sais que …… qu… qu'un de ces abominables chiens viennent de poser mon père aux pieds du Maître des ténèbres . Je sens ma bouche s'entrouvrir et mon cœur accélérer sa cadence. Il a l'air perdu tout comme moi et regarde son Maître avec crainte.
« Tue le !» Me dit il tout bas, sans rien rajouter d'autre. Je fais mine de ne pas comprendre. Il roule les yeux puis rajoute toujours en une murmure :
« Tue le Draco sinon c'est toi qui va mourir. »
Apparemment ce soir le Lord noir a une dent contre les Malefoy. Je ne comprend pas vraiment ce qui m'arrive ou ce que j'ai fait de mal. Pourquoi ne se contente t'il pas de simplement me jeter quelques sorts comme pour tous les autres? Pourquoi c'est juste moi qui dois tuer mon père? Qu'il crève, que Potter lui défonce sa gueule. Je me choque moi même en pensant cela, et ça semble le choquer lui aussi puisqu'il me jète un puisant doloris avec toute sa rage. Sur le coup je tombe a terre.
Après un long moment d'infernale souffrance il lève le sort pour s'approcher de moi, infiniment près pour me susurre quelque chose a l'oreille que je ne suis pas en état d'entendre. Puis, sans crier garde, d'un mouvement de baguette m'expulses quelques mètres plus loin.
Je sens mon dos, sur lequel j'ai atterris, me brûler atrocement et j'ai une horrible envie de déverser ce qui se trouve dans mon estomac. Le Maître des ténèbres se rapproche une nouvelle fois de moi et pose ses longs doigts sur mon cou. Puis de son autre main lève sa baguette, la pointe vers mon front et commence a…. a parler si tel est le mot, dans la langue des serpents. Une épaisse fumée noire sort alors de sa baguette. Il serre son étreinte autour de mon cou pour me forcer à ouvrir la bouche. La fumée s'y glisse alors. Je la sens envahir ma gorge mes poumons mon estomac puis tout le reste de mon corps. Je continue à entendre ses susurrements mais l'image se trouble peu a peu devant mes yeux jusqu'à tout ce qui m'entoure devienne le néant. Toutes les forces que j'avait quittent peu a peu mon corps. Puis, j'ai l'impression que mon être et mon âme se divisent. Cette dernière n'y est plus a sa place elle veut quitter mon corps et aller rejoindre celui qui l'appelle.
Tout a coup j'étends des hurlements plus loin et le maître des ténèbres cesse ses paroles et se détourne de moi. Par la même occasion mon âme arrête de se débattre mais ne reprend pas sa place. je ne vois toujours pas mais il y a de l'agitation autour de moi. J'entends le lord noir crier et jeter des sorts. Puis quelqu'un m'attrape et je me sens quitter le sol. Puis toutes les forces que j'avais jusque la, m'abandonnent et je tombe dans un sommeil profond
