L'Ambre Noire

Rating : K+ pour le moment, je me réserve le changer par la suite.

Disclaimer : Poudlard et Compagnie sont à la Warner Bros et à Rowling. Seule l'intrigue de cette fanfiction, les lieux, et les personnages n'apparaissant pas à la base dans les livres m'appartiennent. Encore heureux ! Merci à Habby-chan et Andromaque, mes chères Bêta-lectrices dont l'aide m'est précieuse pour l'écriture de cette fiction!

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And creativity, it haunts my soul
I asked not to be alone
You don't have to ask me for my hand
I already know where I stand

Craving (I only want what I can not have) ,

t.A.T.u, album Dangerous and Moving

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- Chapitre 9 : Esquisse d'amour -

Ses mains bronzées, aux doigts ornés par deux bagues d'argent, coupaient la pomme d'un vert aussi vif que celui de ses yeux. Elle posa le couteau, prit un morceau de cette chair fruitière, et le porta à sa bouche rosée. Il l'observait, elle en était consciente. Elle releva son regard aux cils si longs qu'ils faisaient perdre la tête à tous les hommes, et lentement, très lentement, un sourire moqueur et amusé se peignit sur son visage. Jenna retira le morceau de pomme de sa bouche et s'apprêta à lui lancer une gentille remarque, quand elle changea finalement d'avis et demanda sur un ton badin, comme si elle regrettait son choix:

-Quel cours on a, aujourd'hui?

-Étude de Runes, Potions, Métamorphoses, et Histoire. Nous ne sommes pas très chargés.

-Surtout moi, je n'ai pas Études de Runes! s'exclama Jenna en mettant ses deux pieds sur la table et les autres Serpentard mangeant leur petit-déjeuner lui lancèrent un regard noir, auquel elle répondit en rajoutant un clin d'oeil. Je me félicite de n'avoir pris aucune option... je me demande comment tu as fais pour toutes les caser dans ton emploi du temps.

-Je n'ai pas tout pris, corrigea immédiatement Tom. Je te signale que j'ai laissé l'Étude des Moldus aux Poufsouffle.

-Voyons, Tommy! Quel Serpentard sensé prendrait une option aussi ridicule!

Il aimait bien la compagnie de Jenna : contrairement à pas mal de gens de son année, elle était très drôle, et très... serpentard. Elle incarnait le blason de la maison en elle même. Froide, prétentieuse, sarcastique, rusée comme personne –à part lui bien sur –, et prête à tout pour obtenir ce qu'elle voulait. Même si ce qu'elle voulait portait comme doux nom de famille Jedusor. Elle avait envoyé bouler tous ses amis et laisser tomber tout le monde pour pouvoir avoir le luxe de traîner avec lui. Il l'aimait pour ça. Elle avait su choisir vite avec qui elle serait.

Elle n'avait pas toujours été cette magnifique jeune fille. Il se rappelait parfaitement de sa première année, où tout le monde la traitait d'hamster. Tom avait été le seul à ne pas la juger. Pas par gentillesse bien sur, mais par respect. Elle avait le sang très pur. Alors, même si elle n'était pas encore très loquace, il n'avait pas mis trois secondes à l'accepter avec lui. Maintenant, il se disait qu'il aurait pu choisir mieux niveau pouvoir, mais il était évident qu'il n'aurait jamais pu trouver compagnie plus distrayante. Il ne réfléchissait pas trop avec elle. Il prenait encore un autre masque. Le même qu'en réalité, mais en plus sucré.

Et il lui semblait qu'elle l'aimait bien. Même plus que bien. Évidemment, tout mâle normalement constitué pouvait le dire: Jenna était un canon. Et lui aussi après tout, non? Lui aussi avait toutes les filles à ses pieds... sauf qu'elles ne vénéraient qu'une image…qu'un masque.

Ils formaient un joli couple, si leur relation pouvait être qualifiée comme telle.

-Tu as l'air préoccupé, chéri, remarqua t-elle avec une voix de gorge. Raconte-moi ça. Quels sont les Gryffys qui gênent tes plans, que j'aille leur en toucher un mot?

Un mot n'était pas vraiment l'expression juste. Si, à son grand malheur, la Serpentard n'avait jamais été douée dans toutes les matières – elle avait passé avec une justesse presque phénoménale ses BUSES. Ou peut-être simplement que le jury avait été influencé par ses antécédents familiaux –, elle était la personne la plus douée en Potion de la génération – après lui toujours, bien sûr – Sa spécialité était sans nul doute les poisons auquel il était impossible de trouver un antidote en moins d'un mois, elle avait toujours eu le don d'associer les ingrédients les plus irréversibles ensembles, et les plus dangereux. Elle aurait fait une formidable Empoisonneuse, si elle ne se destinait pas à cette minable carrière de photographe. Selon lui, c'était complètement perdu d'avance, vu le talent artistique qu'elle avait.

-Ce n'est rien.

La sonnerie annonçant le début des cours tinta. Tous deux se noyèrent bientôt parmi la foule d'élèves – pour la plupart levés du pied gauche – et se rendirent à leur cours respectifs.

SsSsSsSsSsSsSsS

-N'oubliez pas que vous avez un exposé à me rendre pour demain! rapella Hitch, le professeur de Runes.

Le cours s'était passé à peu près correctement. Il connaissait tout le programme depuis ses douze ans. Comme d'habitude, Serpentard faisait le plein de points là où les autres échouaient lamentablement.

Vraiment un jeu d'enfant.

-Tu m'as manqué! s'exclama Jenna, qui l'attendait à la sortie pour qu'ils fassent le trajet vers les cachots ensemble.

-On s'est quitté il y a à peine quarante-cinq minutes!

-Je sais, mais tu m'as quand même manqué!

Elle l'embrassa rapidement sur les lèvres, comme ils le faisaient tout le temps. Ils s'embrassaient, couchaient ensembles, mais pourtant ils savaient qu'elle n'éprouvait pas réellement d'amour pour lui. En tout cas, c'était comme ça qu'il voyait les choses.

Le trajet vers les cachots fut relativement rapide car ils avaient beaucoup traîné et tout e monde était déjà entré en cours. Inévitablement, ils arrivèrent en retard.

-Voyons! tonna Slughorn, l'air faussement contrarié. Jedusor! Miss Greendespair!

-Nous sommes désolés, professeur, s'excusa Tom d'une voix douce et coupable. Nous étions à la bibliothèque, nous n'avons pas vu le temps passer.

-C'est bon, c'est bon. Asseyez vous.

Jenna ricana silencieusement, tandis qu'ils se laissaient tomber sur deux chaises du dernier rang – il n'en restait pas d'autre.

-Tu es quand même un sacré bon menteur. Ce bon vieux Slug n'y a vu que du feu.

-Comme tout le monde...

Il n'avait plus trop envie de parler. Alors, que fallait-il faire? Il regarda rapidement au tableau. Une potion d'invisibilité. Facile. Il avait fait ça à son arrivée à Poudlard. Il poussa un soupir d'ennui, se leva pour aller chercher les ingrédients, et constata sans surprise que Jenna l'Empoisonneuse était déjà en train de commencer sa mixture.

Une racine d'aspothèle... de la poudre de licorne, des fibres de cape d'invisibilité, du jus de graines d'Ermoth...

Il revint finalement à sa table, et sans même prendre la peine d'ouvrir son manuel pour suivre les instructions, commença. Il fallait faire cuire la racine saupoudrée de la poudre de licorne, couper les graines en cubes égaux pour faire sortir le jus, puis mettre un à un les fibres de la cape. Ensuite, il fallait tourner une fois dans le sens des aiguilles d'une montre, puis dans le sens inverse toutes les trente minutes. Encore une fois, c'était un jeu d'enfant. Il commença à tout préparer, sans même faire attention à ce qu'il faisait : c'était devenu un automatisme.

Tom savoura la sensation de bien-être extrême que procurait un tel silence. En effet, Jenna, trop concentrée, ne parlait pas. Elle ne parlait pas. Rien que pour cela, il était euphorique de venir dans ce cours. La Serpentard était certes très distrayante, mais elle n'avait tout de même pas la langue dans sa poche.

Sa mixture ne tarda pas à être prête. Il regarda sa montre rapidement : il restait encore une poignée de quart d'heure avant la fin du cours. Bâillement. Ennui mortel. Qu'allait-il pouvoir faire?

-Dis, Jedusor... murmura Derick, un garçon de son dortoir, à quelques places de lui. Qu'est-ce qu'il faut faire après avoir mis la poudre de licorne? Il faut mettre la racine d'asphodèle?

Il se demanda sérieusement s'il le faisait exprès ou s'il ne savait juste pas lire.

-C'est marqué dans ton livre, que tu es censé avoir ouvert! Lâcha-t-il d'un ton aussi mielleux qu'il le put.

-Ah bon! Ben, je recopiais tes gestes... et comme tu ne l'as pas pris... Bon, je m'y mets.

À son grand soulagement, Derick se remit à sa potion. Vivement, le Préfet-en-chef se tourna vers Jenna, qui ne remarqua pas son mouvement. Ses cheveux si lisses que c'en était presque surnaturel – il la soupçonnait fortement d'utiliser un sortilège vu dans sorcière hebdo – cachaient subtilement ses yeux d'un vert stupéfiant. Ceux-ci étaient plissés, dans une attitude purement concentrée. Sa bouche était légèrement entrouverte, comme si elle voulait aspirer les ondes positives qui lui permettraient de réussir ce devoir. Et ses mains...

Il avait toujours aimé observer les mains des belles femmes. Il ne savait pourquoi, c'était comme un fantasme. Plus qu'un visage ou un corps, de belles mains, c'était hypnotisant. On faisait tout avec des mains. On lançait les sorts les plus puissants, on écrivait des formules étranges, mais on mangeait aussi, on caressait...

Or, il se trouvait que la jeune fille à côté de lui en avait de très jolies. Contrairement à ce qu'on pourrait en attendre vu qu'elle était si grande et élancée, elle avait des mains d'enfant, plus bronzées que son teint réel à causes de toutes ces explosions dues aux expériences dans le cours de Slughorn.

Pour résumer, Jenna était actuellement dans une position si... fascinante qu'il fallait absolument l'immortaliser. Il sortit un parchemin de son sac, prit sa plume, et commença à esquisser ses traits féminins. Il avait toujours adoré le dessin et le dessin le lui avait bien toujours bien rendu. Mais il n'en parlait à personne... Il avait presque honte d'aimer tant faire ça. Après tout, c'était tout de même un activité assez... banale. Mais c'était incontestablement trop tard pour regretter. Soudainement, sa voisine lui demanda ce qu'il faisait et s'il avait déjà finit, et il lui répondit que oui, et il lui confia qu'il ne restait plus que dix minutes et qu'il valait mieux qu'elle se dépêche. Elle retourna à son ouvrage avec un grognement, et il sourit en traçant de sa plume les mèches devant son front plissé de concentration. Certaines fois, il ne pouvait pas se contrôler, la vue de certaines choses le déstabilisait, et il se sentait dans le besoin de tout retranscrire sur un parchemin blanc. Il aimait la beauté. Raffinée ou simple, peu importait, tant qu'elle était là, tout semblait différent.

-Tu dessines bien.

Ce n'était pas une question, ou une exclamation. C'était juste une affirmation. Il n'eut pas besoin de se retourner pour savoir à qui appartenait cette voix.

-Cela devient agaçant. Je ne sais pas ce qui te pousse à constamment être dans mes pattes, mais...

Ginny s'avança, et s'assit sur sa table. Il lui fit remarquer sèchement qu'il ne fallait pas qu'elle se gêne, mais elle haussa juste les épaules en lui rappelant qu'il n'y avait plus d'autres places libres.

-Tu m'espionnes depuis longtemps? grinça Tom.

-Depuis le cours de Runes. Ça m'étonne que tu ne m'ais pas remarqué.

-Je t'ai vu, mentit-il avec une totale mauvaise foi. C'est juste que... je ne voulais pas te parler, je pensais que peut-être que tu finirais par t'en aller. Mais franchement, tu n'aurais pas un problème par hasard? Ça ne t'as pas suffit la dernière fois? Il faut encore que tu reviennes et que tu me…

-Mais Tom! s'exclama Jenna visiblement très agacée. À qui tu parles, bon sang!

Il la regarda rapidement. Etrangement, sa potion n'avait pas la bonne couleur turquoise, elle était plutôt mauve aux reflets changeants, avec une drôle d'odeur, mais agréable… Comme un parfum de fleur, ce qui n'était pas vraiment le but. Elle avait du se tromper d'ingrédient…

Il lui fit signe que ce n'était rien, et s'écarta un peu plus loin, pour que le moins de monde possible les entendre.

-Si tu savais comme tu me manques... murmura Ginny d'une voix effacée. J'aurais presque envie que tu me possèdes à nouveau.

Cette fois-ci, il ne dit rien. Il se demanda juste comment c'était possible qu'on puisse aimer quelqu'un au point de vouloir que cette dite-personne nous fasse du mal, simplement pour être avec elle.

-Je ne te comprends pas... avoua-t-il. Pourquoi est-ce que tu braves tous les dangers, malgré toutes les interdictions – et vu ce que tu m'as dit du futur, je ne crois pas que ton entourage apprécie tes petites visites...

- Ils n'en savent rien. Pourquoi je fais ça? Je n'en sais franchement rien non plus. Je m'accroche à un rêve, c'est tout.

Dans le fond, même s'il préférait se marier à Derick que de l'avouer, il trouvait ça singulièrement flatteur. Il se demandait souvent pourquoi il n'arrivait pas à montrer à cette garce ce qu'elle méritait... Il n'y arrivait pas, il n'en avait même pas envie en vérité.

-Et puis, peut-être qu'un jour, tu m'aimeras, annonça-t-elle d'un ton qui se voulait probablement joyeux mais qui finalement était plutôt détaché et amer.

Il se retient de lui lancer un "Les délires ça peut être bien mais là tu rêves en couleur", et se contenta de lever vers elle son pire regard noir. Elle n'était définitivement pas une fille du serpent: immédiatement, ses yeux s'allumèrent d'un lueur soumise, comme fascinée. Et il la trouva différente. Il n'avait jamais pris la peine de la regarder réellement. Mais instantanément, ce fut à son tour d'être soumis, même si ce ne fut qu'une seconde. Il n'y avait en elle aucune beauté extraordinaire, elle n'avait rien d'une Jenna-version-rousse. Mais son visage était si expressif, si perdu, si hypnotisé et hypnotisant... Automatiquement, le regard de Tom se dirigea vers ses mains. Et quelles mains. Elles étaient blanches, peut-être un peu plus petites que la normale, mais ses doigts étaient plutôt longs et semblaient fins, fragiles. Heureusement, elle n'avait même pas remarqué qu'il lui portait une certaine attention, tellement elle était perdue, les yeux dans le vide loin devant elle.

La sonnerie retentit, grinçante, aigue et pour une fois, elle le dérangea car elle venait perturber l'harmonie rare qui s'était installée pendant un instant.

Ginny détourna son regard du mur, et le regarda enfin dans les yeux. Une lueur triste les hantait, douloureuse, comme si elle était condamnée à mort avant de savoir pourquoi.

Et il la ressentit encore une fois. Il la ressentit encore une fois, cette envie irrésistible de faire vivre cet instant pour toujours. Une boule se forma dans sa gorge, une boule qui lui fit si mal qu'il se dit qu'il devait le faire. Il devait la dessiner. L'immobilité du moment, cette grâce et cette amertume si vraie se peignant sur le visage enfantin, et ces mains qui agrippaient les recoins de la table en tremblant, cela n'allait pas durer infiniment. Il était trop dur de décrire précisément cette sensation qui le tiraillait, douloureuse mais euphorique.

Tom sortit en même temps que tous les autres, Ginny juste derrière lui, et il essaya de garder son masque de marbre. Puis, il ralentit la marche, annonça à Jenna de continuer le chemin sans lui. Ils furent seuls dans le couloir. Le Serpentard prit durement la Gryffondor par le poignet sans écouter ses protestations. Elle lui demanda de nombreuses fois ou il l'emmenait, mais il ne répondit pas.

Jamais il ne s'était senti aussi mal et aussi bien. Jamais il n'avait ressenti ça avec une telle force. Et même s'il venait de la maison des ambitieux, jamais il n'aurait cru, la veille, qu'il voudrait dessiner coûte que coûte cette fille à l'exaspérante candeur, quitte à y laisser sa légendaire froideur.

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Mea culpa X.X je suis en retard de deux semaines dans ma publication ° se cache la tête dans les mains, rougit affreusement°. Désolée. Je n'aime pas DU TOUT être en retard, parce que bon après c'est dur à rattraper, etc… Bref j'espère que vous ne m'en voudrez pas trop. Sinon, bien, j'aime bien ce chapitre pour ma part, je pense que c'est mon préféré parmi les publiés.

Chapitre suivant: A tort et à mort. N'est-ce pas que c'est très poétique? XD. Non, sans blague, ça m'éclate de trouver des titres de chapitres mignons ° je vois déjà certains hausser les sourcils d'un air sceptique en disant que je ferai mieux de m'occuper de la qualité du contenu°. Bref. Dans ce chapitre, bien que du Ginny/Tom… Un chapitre sur deux, il n'y a presque qu'eux de toute façons, et j'y peux rien sinon ça avance pas X.X. Perso je l'aime pas mal, et euh… Beaucoup de changements de décisions…. Quelques petits indices sont dans le titre du dit-chap.

Petit extrait:

Elle voulait être avec lui, alors? Lord Voldemort ne refuse jamais personne dans ses rangs...

Tom serra fort la main de Ginny dans la sienne. Leurs doigts s'emboîtaient et s'entrelaçaient parfaitement, comme faits afin de coller ensemble pour l'éternité.

- Puisque tu le veux...Es-tu prête à me suivre?

Voilà!

Comme d'habitude, gros bisous aux revieweurs, vos mots me font beaucoup rire pour certains mais me touchent énormément pour tous. Trois-cents reviews quand même O.O. Je poste assez tard, je dois quitter l'ordi (c'est déjà un exploit que je puisse poster aujourd'hui) et donc je ne vais pas mettre tous les noms, mais normalement, je réponds à tous vos gentils mots demain dès que j'ai un peu de temps à moi… Sachez que je suis vraiment désolée, ces temps-ci, je suis très débordée, et j'ai pleins de devoir… les profs se déchaînent, et je dois remonter ma chimie (je n'ai même pas eu la moyenne ce trimestre en électricité, quelle honte, moi qui avait dix-sept au premier trimestre).

Je dédie ce chapitre et tous les suivants à Pierre, qui ne lira jamais ces mots mais reste désespérément présent dans mon cœur, même si je n'ai jamais été dans le sien.

Et même si eux-non plus ne liront jamais: un petit coucou à Mme Rosset, professeur de Français, qui m'a ENFIN mit une bonne note en rédaction °air sarcastique° enfin, elle commence à voir mon talent…Mais non je rigole voyons! Bonjour itoo à Mme Foxonet, Dear english teacher… C'est dingue, parce que je me sens anglaise de toute mon âme et partager avec elle ces petites heures british que sont ses cours (même s'ils me semblent singulièrement faciles, y'a pas une classe européenne plus difficile?) c'est des petites bulles de joie!

La morale du jour: malgré tout ce qu'ils nous font subir, les profs nous veulent du bien.

Ah oui et dernière chose: espèces de qz»h-àyq»z-àyhyq»çyo- de voleurs de roues de vélos, je vous préviens que lundi, vous allez souffrir. Je crois que personne n'a jamais vu une NalaH VRAIMENT en colère.

Bonne semaine et à dimanche si tout se passe bien,

NalaH.