L'Ambre Noire

Rating : K+ pour le moment, je me réserve le changer par la suite.

Disclaimer : Poudlard et Compagnie sont à la Warner Bros et à Rowling. Seule l'intrigue de cette fanfiction, les lieux, et les personnages n'apparaissant pas à la base dans les livres m'appartiennent. Je me réserve le droit de reprendre cette fic pour en faire mon propre roman (en changeant bien sûr tout ce qui à un rapport avec Poudlard) donc je considère cette fic comme entièrement mienne (que ce soit la tournures des phrases ou encore le caractère des persos que je donne!), j'ai juste "piqué" la base de Rowling Merci à Andromaque et Habby. Je ne me fais pas de fric dessus, juste des reviews :D

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Starting from here, let's make a promise
You and me, let's just be honest
We're gonna run, nothing can stop us
Even the night that falls all around us

Not gonna get us,

t.A.T.u, album 200km/h in the Wrong Lane

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- Chapitre 14 : Le feu et la glace -

Tom la reposa doucement sur le lit et l'observa.

Et inévitablement, il la trouva très belle. Alors, avec l'impression de ne plus savoir où il en était, il reprit son crayon et se remit à l'ouvrage sur un nouveau papier.

Mais il s'avérait que la tâche était beaucoup plus dure que ce qu'il avait imaginé. Elle ne cessait de bouger dans son sommeil qui semblait si agité, remontant ou descendant le pan de sa robe alors qu'elle se retournait encore et encore. Tom se décida à la réveiller lorsqu'elle ouvrit elle-même ses paupières blanches qui papillonnèrent quelques instants, comme sortant d'un rêve particulièrement beau.

Elle se redressa afin de s'asseoir sur le rebord du lit, se frotta les yeux, et le regarda en fronçant les sourcils, fatiguée.

- Qu'est-ce que je fais làààà? bailla-t-elle.

Puis enfin, quand elle analysa la situation, elle ouvrit de grands yeux.

- C'est étrange, je ne me souviens de rien... Je ne voulais pas revenir, pourtant, dit-elle finalement au bout d'un certain temps où elle n'obtint aucune réponse. Je vais y aller, si cela ne te dérange pas. Nous n'avons rien à nous dire, pas vrai?

Il fut si surpris qu'il releva son regard immédiatement vers elle qui se levait déjà vers la statuette. Il n'arrivait pas à croire qu'elle ait autant... changé! Avant, elle se serait battue pour rester mais là elle le fuyait comme la peste, acceptant à peine trois minutes en sa compagnie.

- Ne pars pas, ordonna-t-il simplement en gardant un visage impassible. C'est moi qui t'ai fait venir.

Il espéra fortement qu'elle ne lui demande pas d'explications, et preuve que leurs esprits étaient d'une certaine sorte liés, elle sembla entendre et se tut. Elle se laissa retomber sur la couverture d'émeraude avant de lâcher, presque d'ânonner d'un air aussi normal que si elle parlait du dernier cours de métamorphoses:

- J'aimerais bien qu'à l'avenir, tu ne me contrôles plus. Tu ne crois pas que tu l'as déjà assez fait? Explique-moi pourquoi je suis là, que je puisse partir.

Tom grinça des dents. Voilà ce que c'était les Gryffondor. Il se surprit une demi-seconde à regretter son choix.

Et maintenant, que pouvait-il lui dire? Bien sûr, la réponse parfaite était déjà toute écrite dans sa tête. Une réponse très fausse, mais logique.

- Il fallait que je te dessine.

Il ne put s'empêcher de remarquer son air un peu déçu, avant qu'elle pousse un soupir à fendre un roc.

- Donc, je ne suis qu'un modèle... J'arrive, tu m'ordonnes plus ou moins gentiment de partir, puis tu me fais revenir...

C'était vrai que quand il y réfléchissait, elle marquait un point.

- Bon, tu ne crois pas que ce petit manège commence à être un peu ridicule? Tu peux partir, si tu veux, rien ne t'en empêche! siffla-t-il. Tu aurais pu être mon modèle, mais je crois que finalement je vais demander à Jenna...

La réaction de Ginny fut rapide et elle le coupa avant même qu'il puisse finir:

- Je reste. Mais, à une condition.

Il remarqua sans problème qu'une rougeur affreuse s'était mise sur ses joues, comme si elle s'apprêtait à dire une chose honteuse.

- J'aimerais que tu me fasses un dessin particulier... Enfin, tu vois, je ne connais personne qui aime dessiner et qui le fasse aussi bien que toi, et hm... Je veux dire, tu es aussi la seule personne qui pourrait avoir envie une seconde de moi comme modèle, avoua-t-elle à contrecoeur.

- Et? s'enquit-t-il en essayant difficilement de camoufler un sourire jubilatoire.

- J'aimerai que tu me dessines, enfin… disons... peu habillée...

Sans le moindre étonnement, il la vit regarder subitement au sol comme si elle voulait s'y fondre. Il n'arrivait même plus à cacher son plaisir malsain.

- Vraiment folle, Ginny Weasley. Mais si tu insistes tant, il serait malpoli de ne pas accepter ta requête... La salle de bain est à toi.

Les joues toujours cramoisies, elle se tourna vers la pièce d'eau et s'y engouffra à toutes allures, comme si elle avait le diable aux trousses.

Ce qui n'était pas totalement faux.

SsSsSsSsSsS

" MAIS QU'EST-CE QUI T'AS PRIS? s'époumona la voix dans sa tête, aigue. TU VAS VRAIMENT TROP LOIN!"

"Ce n'est pas ma faute, je... C'est venu tout seul, je n'y peux rien! avoua Ginny, plus qu'honteuse, qui aurait donné n'importe quoi pour revenir en arrière. Je ne sais pas ce que m'est passé en tête, je me suis dit que..."

"C'était VRAIMENT une MERVEILLEUSE IDÉE! Tu sais pour quoi il va te prendre maintenant, hein? Tu le sais? Et puis, tu m'avais promis hier que tu ne l'aimais pas! Tu ne tiens aucune de tes promesses"

" Mais je ne l'aime plus! se défendit-il assez pitoyablement. "

"A d'autres!"

Comme il était assez désagréable de débattre avec la petite voix sur ce sujet et que Tom allait commencer à s'impatienter, elle fit tomber rapidement ses vêtements au sol.

"OH non! se plaignit-elle. Je ne peux pas sortir comme ÇA! Il va me trouver moche, grosse, et..."

"Il fallait y penser avant, ma fille! Maintenant, tu y vas et puis c'est tout! ordonna-t-elle sur le même ton qu'une mère utilisait pour obliger son enfant à ranger sa chambre."

Ginny prit sa baguette et transforma une des serviettes de l'école en voile de soie légère -un peu trop à son goût- dans lequel elle se drapa.

Et avec l'impression que la réincarnation de Godric Gryffondor était en elle, tant elle se sentait soudainement pleine d'un courage nouveau, elle sortit après un dernier soupir pour tout le monde qu'elle abandonnait, loin, très loin, derrière elle...

SsSsSsSsSsS

Il la regarda sortir la tête haute. Elle était toujours très, très belle. Encore plus qu'avant, car elle avait l'air tellement moins artificielle.

Sa natte rousse était à moitié défaite et la moitié des roses miniatures étaient parties au cours de la soirée. C'était la première fois qu'il la voyait si peu...habillée, et il remarqua qu'elle avait un corps harmonieux, tout en courbes douces et encore légèrement enfantines. Ses jambes, et tout son corps étaient d'un joli teint de lys blanc. Il lui semblait que jamais ses yeux ambrés n'avaient brillés si fort.

Il se sentit étrange, et son coeur battit plus fort que d'habitude dans sa poitrine, ce qui ne lui plaisait pas vraiment.

- Où veux-tu poser? demanda-t-il d'une voix très calculée.

Elle ne répondit pas, ne voulant pas que sa voix la lâche dans ce moment crucial, et préféra agir: elle s'assit sur le rebord d'une fenêtre, celle où reposait la statuette de l'ange. Elle ne savait que trop bien ce que voulait dire le creux dans son ventre d'appréhension, il devait en ce moment même la juger intérieurement, et puis... Elle entendit comme Hermione lui dire sa tête: "Ginny, fais toujours les choses comme tu les sens, et tu n'auras pas le temps de regretter quoi que ce soit". Sans même être complètement consciente de ce qu'elle faisait, avec ce courage qui ne semblait pas lui appartenir, elle laissa tomber à ses pieds le voile de soie qui l'entourait, et à peine le tissu eut-il frôler le sol dans un doux bruissement qu'elle regretta son geste encore une fois.

Tom la regarda d'un drôle d'air. Il était à peine deux mètres d'elle, et son regard noir sur son corps brûlant la mettait mal à l'aise.

- Comme ça, ça va? demanda-t-elle d'une voix rauque qui ne ressemblait pas vraiment à sa naturelle à sa grande horreur.

- C'est parfait, annonça-t-il.

Il fut parfaitement soulagé d'être aussi fort en camouflage de sentiments. Il en avait rudement besoin à ce moment même. Son regard se promena sur elle, pour visualiser à peu près où il allait poser ses traits. Mais il avait du mal à arrêter de l'admirer. Il savait que la plupart des garçons se seraient contentés de fixer son regard sur sa poitrine - et même lui devait avouer qu'elle était particulièrement désirable - mais il ne lui semblait pas que c'était la plus belle partie d'elle; parce qu'elle formait un tout et pas des pièces détachées disgracieuses ou jolies. Et ce tout lui plaisait, c'était certain, il le sentait, et son corps aussi.

Il posa les premiers traits, puis traça rapidement une esquisse de sa natte lâche, avant de faire pétiller ses yeux.

Tom avait fait environ un peu plus de la moitié du travail quand il la regarda encore une fois pour bien rendre l'expression du mouvement. Mais elle n'était plus assise... Elle se trouvait debout, devant lui, les bras croisés autour de son ventre nu dans un signe de pudeur infantile. Il damna Lucifer lui-même quand il se sentit rougir, très, très, très légèrement.

Ginny ne lui avait jamais semblé aussi délicieuse et si attirante. Il ne comprenait même pas pourquoi... Sa conscience lui rappela combien elle était gamine, chiante, fleur-bleue, puérile, mais il n'y avait rien à faire. Elle était là, devant elle, telle une offrande du ciel, et même lui ne pouvait détacher son regard de son corps fragile et de ses yeux brillants.

- Pourquoi t'es-tu levée? demanda-t-il, et il fut bien heureux que la jeune fille n'avait pas l'oreille musicale car son ton sonnait horriblement faux.

- J'ai réfléchi, murmura-t-elle.

Elle sembla s'apercevoir de sa nudité, comme réveillée d'un long sommeil, et prit rapidement un drap sur le lit avant de s'envelopper dedans. Jamais ses joues n'avaient été aussi rouges.

- Réfléchi à quoi?

- A ta proposition... Tu m'avais dit que je pouvais te suivre, et puis finalement je suis d'ac -

- Non.

La réponse franchit ses lèvres avant même qu'il s'en soit rendu compte.

Et elle le regarda tristement, avant de froncer les sourcils.

- Pourquoi non?

- Tu ne peux pas, dit-il simplement. Tu n'es pas faite pour ça, c'est tout.

Ginny sentit ses yeux devenir peu à peu plus humides que d'ordinaire. C'était toujours à elle que cela arrivait.

Une larme de cristal coula sur sa joue, puis deux, puis trois, puis des douzaines. La seule chose qu'elle avait envie de faire maintenant, c'était de s'en aller. Et il la toisait avec froideur comme si cela lui était complètement égal qu'elle meure de chagrin.

Elle ne sut pas ce qui passa dans la tête de Tom à ce moment là. Et à vrai dire, elle ne le saurait probablement jamais. Le Serpentard la prit juste dans les bras, fermement, pas pour la consoler, il la serrait si fort qu'on aurait dit qu'il voulait fusionner avec elle. Puis, ses lèvres appuyèrent contre les siennes d'une manière sourde et exigeante. Il lui faisait mal, encore et encore. S'en rendait-il compte? Probablement.

Pourtant, jamais elle ne riposta. Elle se laissa juste faire, comme si elle n'était pas elle même, qu'elle vivait la vie de quelqu'un d'autre.

Puis, au fur et à mesure des baisers de soie de Tom, la tristesse disparut, un peu comme si elle s'était baignée dans les larmes d'un Phoenix. Un autre sentiment prit par d'elle, un sentiment si fort qu'il lui fit mal au ventre à en mourir. Elle voulait que le supplice s'arrête, mais en même temps, il devait continuer, absolument... Ses mains d'hommes sur sa peau brûlante, son regard posé sur elle sans jugement, leurs mains entremêlées, schéma de leur âme. Qu'était cette impression de vide intérieur? Celle d'insatisfaction, de vouloir toujours en avoir plus?

Elle savait, enfin. Elle voulait faire l'amour avec lui. Rien qu'à cette pensée, elle sentit ses joues prendre feu. Seigneur. Elle aimait Tom, le voulait en elle, en mourrait presque... Est-ce qu'ils ne faisaient pas une erreur? Faisait-il cela pour lui faire plaisir? C'était loin d'être ses priorités. Elle savait que cette chance ne se reproduirait pas plusieurs fois. Elle se fichait de ce qu'il ressentait, tout ce qui était important, c'est qu'ils soient pour une ultime fois réunis dans un souffle, un soupir, un même mot...

Et leurs regards se croisèrent une seconde à peine. La même étincelle dans les yeux. Énigme impossible à résoudre. Juste un homme et une femme, et leur histoire… construite sur quatre ans, avec leurs admirations et leurs répulsions, avec les combats équitables, l'espoir invisible, toutes ces décisions imposées, les vérités qui s'affrontent, les rêves et les cauchemars, les découvertes innocentes, les nombreuses esquisses d'amour, toutes ces choses sur lesquelles on a toujours tort...

Elle lui enfonçait fort les ongles dans la peau, sans s'en rendre compte.

- Doucement, ma tigresse... murmura-t-il avec un sourire moqueur.

- Pitié que je me réveille... souffla-t-elle.

- Quoi?

- Pitié que je me réveille.

- Mais tu ne rêves pas, mon coeur.

Immédiatement, la foudre s'abattit sur eux encore une fois, mais bien plus fort, comme mécontente.

Puis, il n'y eut plus rien d'autre. Plus d'autres pierres précieuses que celles de leurs yeux, plus d'habits que leurs peaux en sueurs, pas d'autres papillons de nuit que leurs cils si proches qu'ils étaient emmêlés, pas d'autres sang que sur leurs lèvres scellées.

Le seuil de tolérance de Ginny envers la douleur dans son ventre s'affaiblissait de secondes en secondes... Elle aurait tout donné pour que ce monstre qui la rongeait s'arrête. Elle avait toujours pensé que quand elle le ferait, ce serait après un magnifique repas aux chandelles, tout en douceur... Mais leur échange était bestial, animal, ils écrasaient leurs lèvres contre celle de l'autre, dans une étreinte sourde.

J'ai envie que tu me fasses l'amour.

Tom s'arrêta net, la regardant bizarrement.

- Qu'est-ce qu'il y a? s'inquiéta-t-elle.

- Qu'est-ce que tu viens de penser?

Elle rougit autant que c'était possible. Elle avait oublié qu'il était legilimens. Quelle honte. Il allait la laisser là en la traitant de folle, et...

Mais il n'en fut rien, et il continua de répondre à son étreinte.

Et ses mains d'hommes continuaient de caresser doucement comme une plume son corps offert... cela la rendait folle.

Ils se touchaient sans jamais s'en lasser, tout était permis, dans les bras de l'autre, chacun perdait sa pudeur.

Puis ils finirent par se compléter.

Et ils finirent par tout oublier... Qui ils étaient, qu'est-ce qu'ils faisaient... Ils savaient juste qu'ils en voulaient plus encore et toujours plus, que leurs deux corps se complétaient et s'emboîtaient parfaitement, qu'un feu vif brûlait dans leur corps... Ils savaient juste qu'ils ne voulaient plus se quitter parce qu'ils étaient bien dans cette étreinte exigeante. Marcher ensemble, regarder le monde ensemble, sourire ensemble, mourir ensemble... Les baisers de Ginny l'apaisait et cette tendresse qui émanait d'elle, et cette fougue qui n'était qu'un feu sous la glace... Le doux bruissement du drap en dessous d'eux, les jambes qui s'emmêlent, félines, l'alcool de l'âme de l'autre dont on devient rapidement ivre... Les regards qui font toute la différence; entre la tombe et le lit, l'amour et la haine, la mort et la vie, le feu et la glace...

Puis enfin, la foudre cessa.

Enfin, le monstre dans leur poitrine s'endormit en reflet à ses propriétaires...Apaisé, grâce a un remède éphémère contre un poison dont on ne guérit jamais.

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Si vous saviez les difficultées que j'ai eu à écrire ce chapitre... J'ai réécri le tout environ... à tout casser, quatre fois.

J'espère que ça en vallait la peine et que vous avez bien aimé. Moi, je l'aime assez... désolé si c'est un peu maladroit, mais bon, je n'ai encore jamais vécu une expérience comme celle-ci xD.

Enfin! Passons.

Prochain chapitre: Cruel lendemain. Ca annonce assez bien la couleur, n'est-ce pas! XD. Pour résumer: des doutes terribles, des fugues, une Jenna qui n'a peur de rien pour se venger, des révélations assez étonnantes, un changement brutal de point de vue pour Ginny, une cheminée, une salle commune, un survivant... une fin qui se met en place, doucement, mais assez sûrement...

Preview:

Elle était là, assise à coté de la fenêtre de la salle commune, douce, fragile. Ses yeux se perdaient dans le vide au loin, dans le lac peut-être, ou dans nuit noire. Ses cheveux marron avaient de très minces reflets roux à cause de la cheminée à quelque mètres et du feu brûlant qui s'y consumait. Et lui, impuissant, l'homme, la regarda, sans pouvoir rien faire contre cette douleur terrible qui se dégageait d'elle. Lui, celui qui est censé avoir tous les pouvoirs du monde, n'avait même plus celui de la faire sourire un peu.

Intrigant, pas vrai? ;)

Sinon, merci beaucoup à tous les revieweurs! Je vois que vous êtes revenus, ça me fait très plaisir! J'avais peur que mon histoire devenait nulle... Donc merciiiii!

GRANDE NOUVELLE: n'ayant plus trop d'inspiration pour l'écriture des fics (je préfère me donner plus dans mon roman), je me lance dans la traduction... alors, je lance un grand-appel: avez-vous des fics en anglais qui vous plaisent et que vous aimeriez que je traduise?Ca me ferait très plaisir! Pour l'instant, j'en ai trouvé une pas mal, c'est une Drago/hermione MAIS assez bonne ce qui change de d'habitude, sans offenser les écrivains de ce couple... Elle s'appelle I Hate Everything about You, de Ceres Vesta. Donc je pense la traduire MAIS vous pouvez toujours en proposer car ce n'est pas encore certain! Si possible, pas de fics slash!

Gros bizous,

NalaH.