Un peu de pub ne fait de mal à personne: j'ai commencé une nouvelle fiction qui s'intitule Mummy Daddy Forgive me. Si vous allez le temps, je serais très contente que vous la lisiez pour me dire ce que vous en pensez!
L'Ambre Noire
Rating : K+ pour le moment, je me réserve le changer par la suite.
Disclaimer : Poudlard et Compagnie sont à la Warner Bros et à Rowling. Seule l'intrigue de cette fanfiction, les lieux, et les personnages n'apparaissant pas à la base dans les livres m'appartiennent. Je me réserve le droit de reprendre cette fic pour en faire mon propre roman (en changeant bien sûr tout ce qui à un rapport avec Poudlard) donc je considère cette fic comme entièrement mienne (que ce soit la tournures des phrases ou encore le caractère des persos que je donne!), j'ai juste "piqué" la base de Rowling Merci à Andromaque et Habby. Je ne me fais pas de fric dessus, juste des reviews :D
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And I'm all mixed up, feeling cornered and rushed
They say it's my fault but I want her so much
Wanna fly her away where the sun and rain
Come in over my face, wash away all the shame
All the things she said,
t.A.T.u, album 200km/h in the Wrong Lane
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- Epilogue : L'Ambre Noire-
Ginny se frotta les yeux. Puis les ouvrit très grands. Mais où avait-elle encore atterri?
Elle était dans un couloir de Poudlard visiblement... mais du Poudlard actuel! Et elle reconnaissait le reconnaissait plus ou moins: c'était celui où elle avait un jour croisé Malefoy en train de trier ses objets! Celui où elle avait vu pour la première fois vu l'ange! D'ailleurs, où était-il? Et où était Tom? Oh non... il n'était quand même pas mort...
Non, non non non, c'était impossible...
Elle se retourna brusquement, et se retint de pousser un cri de soulagement. Il était allongé au sol juste derrière elle, et venait de se relever en clignant des yeux.
- Tom! Tu es vivant!
Elle se jeta sur lui et le serra le plus fort possible, à l'asphyxier.
- Tu sais que quand tu te mets à serrer les gens dans tes bras, tu es plus redoutable que tous les poisons réunis !
- Je n'arrive pas à y croire! s'exclama-t-elle. Nous avons survécu!
- Oui, et en plus...
Il s'apprêta à continuer sa phrase, quand il remarqua où il était. Il ouvrit de grands yeux et demanda:
- Mais bon sang, où sommes-nous?
Elle se mit la main devant la bouche dans un signe de stupeur. Elle avait complètement oublié! Mais dans quels ennuis ils étaient encore! Voilà maintenant que Tom Jedusor se retrouvait à son époque!
- Oh non, murmura-t-elle en se laissant tomber contre un mur et en prenant la tête dans les mains. C'est pas vrai... Tom, nous sommes en 1996! A Poudlard! Mon époque!
- Mais qu'est-ce que tu...
Ginny ouvrit d'énormes yeux et lui ordonna de se taire. Ils venaient d'entendre deux voix discutant entre elles dans un couloir à côté.
- Je suis désolé. Désolé de t'aimer.
Bon dieu, c'était la voix d'Harry!
- Tais-toi donc, dit l'autre personne, tranchante. Embrasse-moi.
Mais qui était cette autre... fille? Elle ne se souvenait absolument pas..
- Non, Pansy. On ne peut pas. Tu vas te marier à Drago, et moi... Je vais me marier à Ginny.
SEIGNEUR! PARKINSON!
- Oh, mais arrête! Tu ne l'aimes même pas, ta rouquine! Moi, je t'aime. N'est-ce pas suffisant?
- Ca l'est.
Un silence inquiétant. Ginny n'arrivait pas a y croire... Harry sortait en cachette avec Parkinson?
- Je dois y aller, reprit-il. Je dois rejoindre Ron et Hermione, ils sont en train de chercher Ginny, elle a disparut...
- Je vois, répondit-elle d'une voix indiquante clairement le contraire. Et bien, adieu, Potter.
Des pas et des voix qui s'éloignentn. Ils changaient de chemin. Quand elle fut sûre qu'ils n'étaient plus là, Ginny poussa un énorme soupir de soulagement.
- Mais je ne comprends pas, affirma Tom, la sortant de son choc. Je ne comprends rien. Je suis VRAIMENT en 1996? Mais... pourquoi!
Elle se reprit. Après tout, le couple Harry/Parkinson n'était pas son souci le plus important!
- Je ne sais pas... on a faillit mourir, et peut-être que Fumseck nous a ramené ici...
- Fumseck!
- C'est un phœnix.
Il y eut un lourd silence, pesant. Ils avaient l'impression de penser la même chose, c'était comme si la réponse à toute leur histoire se trouvait déjà marquée en eux et qu'elle ne se révélait que maintenant:
- On va devoir se quitter, maintenant... pas vrai? demanda Ginny avec un semblant de sourire crispé, forcé.
- Oui, je crois. Je ne peux pas rester ici... Inutile de te dire pourquoi. Et après ce qu'il s'est passé... il ne faut plus que tu reviennes dans le passé me revoir. Ça serait trop dangereux, bien trop dangereux. Au fait, mes félicitations pour l'antidote. Quel était le dernier ingrédient?
- Notre statuette. D'ailleurs elle est là, juste à côté de nous.
En effet, l'ange reposait allongé sur le sol. Tom et Ginny se regardèrent longtemps.
Elle savait au fond d'elle, comme si tout était prévu depuis des siècles et des millénaires, que c'était maintenant qu'ils se quittaient. Maintenant que leurs chemins finissaient de se croiser pour repartir dans une direction différente. Maintenant que leur histoire finissait, maintenant qu'une nouvelle vie pour eux commençait. Et elle n'était pas sûre de vouloir de cette nouvelle vie.
Ces dernières semaines avaient été les plus belles de sa vie.
- C'est bizarre... j'ai l'impression d'être déjà venu dans cet endroit, dit Tom qui s'était déplacé et observait maintenant en effleurant du bout des doigts le mur de pierre.
- Possible.
- Non, je veux dire, d'y être venu à ton époque... j'ai l'impression qu'il y a quelque chose de magique dans ce couloir, qu'il s'est passé quelque chose de très important ici... comme une rencontre...
Elle ne répondit rien, et d'ailleurs elle ne voyait pas trop quoi répondre vu qu'elle ne voyait pas ce qu'il voulait dire. Mais elle sentait que l'énergie de Tom baissait, car un voyage dans le futur alors qu'on frôle la mort n'est pas sans conséquences. Ils ne se quittaient même pas de leur plein gré: ils devaient le faire.
Elle se leva et mit une main sur son épaule, avant d'étouffer un sanglot et de se loger dans ses bras. Il la fixa avec dureté, comme s'il lui en voulait de se laisser aller de la sorte, puis la serra elle aussi, maladroitement. Comme s'il lui donnait le peu d'humanité qu'il lui restait. Comme si elle prenait la dernière parcelle de Tom Jedusor qu'il avait, pour ne laisser que Voldemort.
- Je ne veux pas que tu partes...
- Tu sais bien que je le dois. On doit le faire, c'est tout.
- Je t'aime.
Il recula doucement sa tête pour la voir dans les yeux. Jamais elle ne lui avait semblée aussi belle, aussi fragile, aussi rare. Il prit une de ses mèches de cheveux auburn entre ses longs doigts blancs et répondit, toujours sans sourire, plutôt avec détachement:
- Merci de m'avoir sauvé la vie.
C'était tout. Ginny n'avait jamais imaginé le quitter un jour... Avec juste merci. D'ailleurs, elle n'avait jamais imaginé le quitter tout court ! Mais à quoi s'attendait-elle? Des baisers amoureux? Des mots doux enflammés? Evidemment, cela n'avait jamais eu aucun risque d'arriver. Pourtant, une partie d'elle y croyait encore, désespérément.
Et lui... il avait envie de lui dire qu'il l'aimait, qu'il était désolé, et que malgré tout, oui, il l'aimait d'un amour pur et sans manipulation derrière, pour une fois. Ce n'était pas un amour fou et passionné, aveugle comme celui qu'elle éprouvait pour lui. C'était différent, sage et réfléchi, doux comme la lueur d'une bougie alors que ce qu'elle ressentait était plutôt aussi brûlant que le soleil. Mais les deux produisaient la même lumière, ensemble. Chacun perdait toute notion du reste dans les bras de l'autre. Il lui en voulait presque de l'avoir fait tomber à ses pieds, de l'avoir soumit sans même s'en rendre compte. Peut-être était-ce cela, l'amour. C'était désagréable, il n'aimait définitivement pas ça. L'idée de quitter Ginny lui faisait un sentiment qu'il ne connaissait pas qui était plus que douloureux.
Il la serra encore plus fort contre lui et l'embrassa doucement, paisiblement contre le front. Elle lui attrapa vivement les lèvres et l'embrassa rapidement, mais non sans sa douceur qui la caractérisait. Il allait lui manquer. Elle allait lui manquer.
C'était comme ça, et c'était tout.
- Ah! Je sais pourquoi tu trouvais cet endroit familier... murmura-t-elle, prise d'une idée. C'est ici la première fois qu'on s'est rencontré, quand j'étais en première année. Enfin, je veux dire, c'est la première fois que j'ai découvert le journal et c'est là que tu as commencé à me posséder et me manipuler. Je me rappelle... mon sac avait craqué, et je m'étais mise dans ce couloir. J'ai découvert ton journal, ensuite... C'est étrange que tu t'en soi "souvenu" avant de l'avoir vécu.
- Le temps n'est qu'une grande roue. Tout recommence toujours... C'est ici que notre histoire a commencé et s'achève.
- C'est vrai.
Un autre silence. Puis, ils sentirent tous les deux que Tom n'allait pas tarder à s'évaporer, et les larmes que Ginny retenait coulèrent librement sur ses joues. Elle l'aimait.
Il avait envie de lui dire toutes ces choses qu'on se chuchote de peur que nos mots se brisent dans le vent, car ils sont trop fragiles. Envie de lui dire qu'il l'aimait, même si c'était maladroit et d'une manière bien différente de la sienne. Il savait instinctivement que jamais son amour à lui ne serait supérieur à celui de sa Ginny, et cela ne lui plaisait pas, car il aimait être supérieur, même dans ce cas-ci...
Il laissa parler son coeur, pour une fois, lui aussi. Juste son coeur. Et il lui murmura ces phrases, ces simples mots qui ne se disent qu'une fois...
- L' Ambre noire...
- Qu'est-ce-que...
- C'est le titre de notre histoire, murmura-t-il à toute vitesse à son oreille. Le titre de notre amour. Je promets que quand je rentrerais à mon époque, j'écrirais toute notre aventure dans mon journal... Comme ça, même des années plus tard, ça ne se perdra jamais, même après les millénaires... Les pages de notre amour seront toujours là pour rappeler au monde ce que nous avons vécu.
La statuette s'évapora et Tom disparut avec elle. Comme ça. Sans étincelles superficielles ou extraordinaires.
Honnêtement, elle n'était pas sûre que dans des années, les pages de leur amour existeraient toujours. Et la douleur qu'elle ressentait à ce moment là était plus forte que tout ce qu'elle avait connu... pire que de savoir que Tom était mort. C'était pire : elle ne le verrait jamais, mais il était bien vivant. Dans la peau du plus grand mage noir de tous les temps.
La seule chose qu'elle savait, c'est que son amour, le sien, serait toujours présent, jusqu'à la fin ...
... et peut-être même après.
Ginny sentit quelque chose d'étrange quand elle avança d'un pas. Comme quelque chose de lourd. Elle mit une main légèrement tremblante dans sa poche, et regarda ce qui s'y trouvait: c'était un espèce de petit paquet qui avait été emballé dans un papier d'émeraude. Tom l'avait probablement mis dans sa poche pendant qu'il la serrait dans ses bras. Curieuse, elle l'ouvrit et vit un grand parchemin roulé qui avait été rétrécit magiquement. Elle le déroula, et un sourire se peignit sur ses lèvres: c'était un dessin d'elle, le premier pour être précis. Il y avait aussi une autre boite toute petite, avec un petit mot qui disait "A n'ouvrir qu'à l'extérieur".
Elle n'allait tout de même pas attendre le cours de botanique pour sortir et voir ce que c'était!
Alors, malgré ses larmes qui continuaient de couler et cascader sur ses joues, elle courut dans les couloirs pour arriver finalement dans le hall, et elle descendit à toute vitesse l'escalier principal sans écouter les protestations de Ron, Harry et Hermione qui "la cherchaient partout depuis des siècles".
Elle ouvrit rapidement la porte et enfin dehors, juste devant le château, elle entrouvrit la petite boite, ne sachant pas trop à quoi s'attendre...
Un papillon noir et un couleur d'or sortirent de l'écrin en même temps, puis tourbillonnèrent sans fin vers le ciel, loin, très loin, jusqu'à ce qu'ils se confondent avec les nuages blancs.
Ginny continua à regarder le ciel quelques secondes (sans écouter un traître mot de ce que disait le trio qui venait d'arriver à côté d'elle, à bout de souffle d'avoir couru pour la rattraper), avec l'intime conviction que Tom écrirait leur histoire, qu'il l'écrirait vraiment.
Et si vous pouvez lire cette histoire...
... c'est qu'il l'a réellement fait.
Si un jour , vous voyez un papillon, doré ou anthracite sombre, ou peut-être un mélange des deux, observez-le un instant, et rappelez-vous cette histoire. Pendant juste une seconde, souvenez-vous de ce que vous avez lu, souvenez vous de Ginny, souvenez-vous de Tom. Remémorez-vous toute leur vie, tout ce qu'ils ont vécu.
En le faisant, vous empêcherez leur amour de sombrer définitivement. Leur amour est comme une flamme, un rien peut l'éteindre, mais un rien a le pouvoir de le faire brûler plus fort. Chaque silence qui s'écoule peut le briser à tout jamais.
Mais à chaque fois que vous voyez un papillon, quel que soit sa couleur, n'oubliez pas de penser à eux. En le faisant, vous empêchez leur histoire de sombrer dans l'oubli. En le faisant, vous l'empêchez de s'éteindre à tout jamais, vous entretenez la flamme pour qu'elle ne s'arrête jamais de nous produire cette lumière qui nous réchauffe le cœur quand on pleure, cette chaleur qui nous console quand on est seul, abandonné.
Ne les oubliez-pas.
Depuis ce jour où Ginevra Weasley et Tom Jedusor se sont séparés, on raconte que les papillons sont attirés par la lumière. La légende dit que comme Ginny l'a fait vers Tom, le papillon va se rejoindre à la moindre clarté pour se brûler les ailes.
La lumière est le salut de tous les êtres humains. Qu'ils aient l'âme noire ou blanche. Qu'ils soient plutôt Tom, ou plutôt Ginny.
Alors, à chaque fois que vous croisez un papillon, pensez juste une seconde à eux. Ainsi, leur unique vœu sera pour toujours respecté.
Ainsi, leur histoire, l'Ambre Noire, continuera à jamais d'exister.
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OMG... j'arrive pas à y croire... c'est le DERNIER CHAPITRE. L'EPILOGUE. C'EST FINI. OMG OMG.
Et oui, l'histoire est belle et bien finie. Ca me sidère. Qu'est-ce que je suis triste, merde!
Vous savez, dans la vie, il y a des choses qui nous font grandir, d'un coup. Après X expérience on se sent plus mûr.
La première fois que j'ai ressenti ça, c'est quand j'ai écris mon premier poème... j'avais sept ans je crois. En fait à la base c'était censé être une chanson, mais mon père m'a fait remarqué que c'était plutôt un poème.
La deuxième fois, c'était la première fois que je suis réellement tombée amoureuse. Amoureuse à en mourir. C'est mignon, pas vrai? Et bien à cette époque ça ne l'était pas du tout. Je n'arrêtais pas de pleurer pour ce type. Sauf que je me dis que s'il apprécie Emma Watson, c'est que c'est vraiment un connard de première classe. (désolé pour les fans, je vous reproche rien, hein! mes amis sont fans eux aussi!)
La troisième fois, ce fut quand j'ai commencé pour premier Roman, ma petite poupée. Quel sentiment de fierté!
La quatrième fois, c'est à un voyage en colo que j'ai fais en Irlande. C'est con à dire, mais si dans toute ma vie il y avait une seule chose que je devrais refaire, c'est bien ça. Ca m'a tellement fait mûrir que je n'en reviens pas moi-même. J'avoue qu'on a fait énormément de conneries, mais les erreurs de jeunesse...
Et la cinquième fois, c'est ça. C'est Ambre noire.
Merci mille fois à tous les lecteurs qui sont là, anonymes, et aussi à tous les revieweurs tout de même. Sans eux, peut-être que ma motivation serait un peu partie et par la même occasion la qualité du texte en aurait surement subit les conséquences.
Alors, là, je me trouve très stupide parce que je ne sais pas quoi dire d'autre... Que dire d'une histoire qui touche à sa fin? Qu'on l'a aimé? Je n'ai pas aimé cette histoire. Je l'ai adoré. Même si elle n'a rien d'un succès (ça me sidère toujours les auteurs qui disent "ouai je me rendais pas compte que ça allait prendre un tel SUCCES" parce que pour moi je me dis que le succès c'est incompatible à ma personne! enfin, je me comprends). Je vous vois déjà soupirer en vous disant "ouf! maintenant on aura plus à supporter qu'elle raconte sa vie sans arrêt" mais je ne vous en veux même pas.
Quant à la fin, je sais qu'elle va sans doute laisser perplexe certains. Ceci n'est ni un happy end, ni une fin tragédique. Je ne voulais pas de chute magnifiquement heureuse parce que bonjour le réalisme, mais je voulais que Tom et Ginny soient "heureux" malgré tout.
Dans une review, on m'avait demandé pourquoi j'écrivais. Je dirais qu'écrire c'est un moyen de rétablir une réalité qui ne nous plait pas. Ecrire, c'ets une insatisfaction qui nous poursuit toujours, une quête d'une perfection qui n'existe pas. Contrairement au foot ou autres, dans l'écriture, la perfection est invisible. On ne peut pas dire qu'elle est là, vu qu'on n'en a aucun exemple par rapport auquel se reférer! Dans la réalité, deux personnes comme Tom et Ginny seraient encore plus malheureux. Alors, j'ai décidé de changer un peu dans mon texte. Voilà tout.
Tout ça pour dire que moi je suis très émue d'avoir fini une fic (c'est la première que je finis) et bien voilà...
Toutefois, tout n'est pas complètement finit. Dans une poignée de minutes, je vais poster un dernier "chapitre" de bonus donc qui même s'ils sont complètement facultatifs me donnent l'impression que tout n'est pas complètement fini... Pas encore.
Bizous énormes,
NalaH.
