Titre : Harry Potter et L'héritier d'Epiméthée.

Spoilers : I/II/III/IV/V.

Synopsis : Harry entre en sixième année à Poudlard et doit faire face à sa peine d'avoir perdu Sirius. Il doit réapprendre à avancer et surtout se concentrer plus que jamais car le mal avance à grand pas !

Rating : général

Disclaimer : tous les personnages cités sont la propriété de JK Rowling, sauf ceux que j'ai inventé.


allez ! je suis sympa je vous met le chapitre 6 (lol) review please!


Chapitre 6

La soirée avait été riche en émotion et en surprise. Tout d'abord un anniversaire digne de ce nom et enfin sa prise d'initiative envers Ginny. Allongé sur son lit, à coté de celui de Ron, qui n'était toujours pas monté, Harry réfléchissait. Il pensait à Ginny. Il ne savait pas quelle conduite suivre maintenant. C'était bien beau de l'embrasser… il se leva et vit les deux lettres qu'il avait reçu. Une de Prudence et l'autre de …

Sirius !

Il saisit l'enveloppe et l'ouvrit. Il y avait un long parchemin ainsi qu'une petite clé. Il se mit alors à lire.

Harry,

Si tu as ce parchemin dans les mains, cela voudra dire qu'il m'est arrivé malheur. Je l'écris du quartier général, c'est noël et dans quelques jours tu retourneras… à Poudlard. Je voulais simplement te dire que tu es la plus belle chose qui me soit arrivé dans ce monde. A ton age, j'étais insouciant, plein de joie e vivre mais surtout je n'avais pas tous tes problèmes. Je sais que ce que tu vis est très dur mais tu dois être fort. C'est facile à dire je le sais bien… Tu aurais du vivre comme n'importe quel sorcier de ton age. Voldemort t'a enlevé tes parents, mes amis, il a fait énormément de mal autour de lui, dans ce monde. Mais je sais que son règne s'achèvera… Dans combien de temps ? Il m'est impossible de répondre à cette question, tout ce que je peux dire c'est qu'il a peur de Dumbledore…. Mais il ne sait pas quelque chose…. Quelque chose qui m'est apparu clairement… IL ne sait pas que l'homme qu'il a toujours craint n'est rien comparé à toi. Je le sais, Harry. Je sais que 'est toi et toi seul qui le réduira à néant. Alors ne me pleur pas Harry. Soit fort… Tu n'es pas seul. J'ai énormément parlé avec Albus Dumbledore. Il ne veut pas que je sorte de… de cette demeure. Mais si tu as cette lettre cela voudra dire que je lui ai désobéit ou bien que Voldemort a refait surface publiquement. Je lui ai parlé de toi… Et je lui ai demandé de te prendre en charge. Donc en quelques mots, c'est lui qui jouera le rôle de ton parrain. Il a accepté bien entendu… alors ne te fais pas de soucis. De plus, les Weasley seront là ainsi que Lupin et tous les autres. Tu n'es pas seul. Moi, je ne peux plus rien pour toi. Mais je ne te laisse pas démuni… tes parents t'ont donné tout ce qu'ils possédaient, j'en fais autant.

Ma maison que j'ai tant détesté et à toi maintenant. Je sais que ce n'est pas l'endroit rêvé mais quand elle sera débarrassée de tous ses vestiges, elle sera très bien. Tout t'appartient. Tu trouveras aussi une clef dans l'enveloppe, elle te servira pour ouvrir mon coffre… enfin ton coffre chez Gringotts. Il y a quelques milliers de Galions, prends en soin. Tous ce que j'ai est à toi maintenant… je suis vraiment désolé, Harry. Désolé de te laisser, maintenant. J'espère que tu t'en remettras. Je ferai toujours parti de ta vie… ne t'inquiète pas…

Pense à ton miroir…

Sirius.

Harry était effondré, il lisait et relisait ce bout de parchemin tout en faisant les cent pas dans la chambre… il se mit à pleurer… son cœur battait très vite, il se senti défaillir et tomba à genou au pied du bureau de Ron. Il n'avait plus ressenti cette douleur depuis le jour de la mort de son parrain. Il avait mal… comme s'il allait exploser. Il se leva alors relu encore une fois la lettre de Sirius et se mit à fouiller sa valise. Ou était il donc passé ? Il vida son contenu et la au fond de son sac, il le vit… en mille morceaux. Il prit sa baguette…

Réparo !

Les morceaux se mirent à voler et s'installèrent sur le socle… le miroir était comme neuf.

Pense à ton miroir… dit il. Sirius ! SIRIUS !

Mais rien ne se produit, le miroir ne reflétait que son image. Il le reposa sur sa table de chevet et se coucha tenant le parchemin de Sirius dans la main…

Harry courait dans un long couloir éclairé par quelques torches. C'était un couloir sans fenêtre. Il s'approcha de la porte au fond, saisit la poignée et entra… Il était à présent dans une pièce circulaire. On pouvait voir plusieurs portes tout autour. La pièce était noire ainsi que les portes, le sol, le haut plafond et les murs. On arrivait à distinguer les portes grâce aux quelques chandelles dispersées ici ou la. Il essaya différentes portes mais elles étaient scellées. Il ne restait plus qu'une porte. Il s'avança… et elle s'ouvrit. Il connaissait cet endroit. Une sorte de salle de tribunal… avec des gradins formés de bancs. Il se trouvait au sommet. En bas, à environs six mètres… il y avait une arcade. Il descendit les marches… Il entendait des voix…. Il n'était plus qu'à un mètre de l'arcade, il voyait le voile noir ondulé légèrement.

touche-le ! Touche-le !

Il avança sa main… elle n'était plus qu'à quelques centimètres…

NON !

Qui est la ? Demanda Harry.

n'y touche pas ! Tu ne peux pas le toucher…

Qui est la ? Répéta-t-il.

Seul le Prince a le droit de le toucher…

Quoi ? demanda Harry. Qui êtes-vous ?

Harry ! Harry !

C'était Ron qui le secouait fortement pour qu'il se lève. Il était déjà 10h, Harry s'était endormi habillé.

ca va ? demanda Ron.

ouais… j'ai… j'ai… non rien. Ça n'a pas d'importance.

bon… si tu le dis. Tu viens maman a préparé le petit déjeuner. Je t'attendais pour aller manger.

Il se leva difficilement, se changea et descendit à la cuisine. A son grand soulagement Ginny n'était pas la ni Hermione. Il s'assit à coté de Ron et commença à manger ses tartines. Le petit déjeuner terminé, il monta faire un brin de toilette et se rallongea sur son lit. Ron était là et s'occupait de nourrir Coq et Edwige.

tu as bien dormis Harry ?

oui pourquoi ?

tu as parlé dans ton sommeil et tu n'arrêtais pas de te tourner dans tous les sens.

j'ai du faire un mauvais rêve… je ne m'en souviens plus… et les filles ?

et bien, elles se sont levés tôt et je pense qu'elles sont dans la chambre de Ginny.

Et les jumeaux ? Ton père ? Bill et Charly ?

Tous partis de bonne heure. Au fait… tu as ouvert la lettre de Prudence ?

heu non… Attend….

Il saisit la lettre et commença à lire. Il souri à la fin de la lecture puis la tendit à Ron.

Cher Harry Potter,

Bon anniversaire ! J'espère que tes 16 printemps t'apporteront tout ce que tu désires. Je suis désolée de ne pas être présente pour fêter ça, mais bon ce n'est que parti remise ! J'espère te lire bientôt et surtout te voir.

Dis bonjour à tout le monde, à mes chères Hermione et Ginny ! A Ron ! Mais surtout à mes chouchous ! Fred et Georges !

Bises ! Prudence.

Dis bonjour à mes chouchous ! dit Ron. Et bien, ils ont du succès !

On frappa à la porte.

Oui ?

salut ! Dit Hermione en rentrant.

bonjour Hermione, répondit Harry.

ou est Ginny ? demanda Ron.

heu… et bien…

Elle regarda Harry qui su tout de suite que Ginny s'était confiée.

je vais voir, répliqua Harry en se levant.

Il descendit les escaliers, longea le couloir et s'arrêta devant la chambre de Ginny. Il frappa trois coups. La porte s'ouvrit. Elle était là, elle portait un blue jeans et un tee-shirt moulant rose… ses cheveux étaient relevées légèrement pour dégager sa nuque. Cela la rendait particulièrement joli. Harry succombait à son charme.

bon…bonjour Ginny.

Salut, répondit elle gênée. Entre.

Elle referma la porte et se tourna vers Harry.

tu sais pour…pour… hier ne t'inquiète pas… s'est oublié. Te sens pas obligé de… de... faire quelque chose.

Ginny… je… c'est… enfin … tu … tu es magnifique.

Elle rougit de plus belle.

merci.

je… je voulais aussi savoir si… si tu … tu voulais qu'on essaie… enfin si tu le veux bien… te sent pas obligé surtout de dire oui… je comprendrais si tu refusais…

oh ! Oui c'est d'accord.

Heu… ok ….

Harry rougi et senti son cœur battre de plus en plus fort. Il ne savait pas trop quoi faire maintenant. Il était là, devant Ginny, les bras ballant, ne sachant pas quoi faire. Il ouvrit plusieurs fois la bouche mais aucun son ne voulu en sortir.

On va voir les autres ? dit enfin Ginny en souriant. Ils vont se demander ce que l'on fait.

Lorsqu'ils retournèrent rejoindre les autres, Ron et Hermione étaient en pleine discussion. Harry et Ginny tendirent l'oreille pour mieux écouter. La porte était entre ouverte.

Ron… il n'y a rien entre Victor et moi ! Comment faut-il que je te le dise !

Dis moi la vérité !

Ron ! Toi dis moi la vérité. J'en ai plus qu'assez de t'entendre me poser toutes tes questions. Victor et moi nous sommes amis. Et je ne vois pas pourquoi ça te pose problèmes.

je veux savoir c'est tout…

Pourquoi ? Qu'est-ce que ça t'apporteras de savoir si j'embrasse ou non Victor.

je… je…

Alors ?

Je…

Parle enfin ! Ne reste pas les bras ballants ! Dis quelques choses.

Harry et Ginny retenaient leurs souffles…

pourquoi tu veux tellement savoir ce qui se passe ? Hein ! Harry ne me pose jamais la question ! Tu es le seul que cela inquiète…

Ron faisait les cents pas en bougonnant de temps en temps.

Ca ne m'inquiète pas Hermione !

tiens donc !

Je m'en fiche complètement ! Vicky et toi ce n'est pas mon problème !

Ron ! Je te préviens ! Si jamais je t'entends encore me poser cette question… Je…

TU QUOI ? VAS Y ! DIS MOI…

rien… dit Hermione.

TU ME FATIGUES HERMIONE … CA FAIT QUOI DE ME DIRE ….

JE TE FATIGUES ! ET BIEN ! JE N'AI PLUS RIEN À FAIRE ICI ! JE VAIS RENTRER CHEZ MOI PUISQUE JE TE FATIGUE !

Elle se dirigea vers la porte mais Ron la retint par le bras.

Non, je … je suis désolé Hermione.

Elle pleurait…

je ne sais pas ce qu'il m'arrive, Hermione. Je … je ne voulais pas te faire de peine.

Ron je n'en peux plus, dit elle en sanglotant. J'en ai assez de ses disputes.. dis moi ce qui se passe ?

Je ne sais pas quoi te dire ?

Ce que tu ressens…

Ce que je ressens ? Mais pourquoi ?

Ron dis moi ce que tu ressens pour moi ou je quitte le Terrier et je ne t'adresserai plus jamais la parole ! Hurla-t-elle.

je … je…

tu … tu quoi ? Imita-t-elle. Parle !

Hermione… je …

JE M'EN VAIS ! POUSSE TOI !

Qu'est ce qu'il est nul… murmura Ginny à l'oreille de Harry. Il lui attrapa encore le bras, la tira vers lui et la serra dans ses bras.

Hermione ne t'en vas pas… j'ai besoin de toi…

Enfin ! Murmura Ginny.

quoi ? dit Hermione en se dégageant des bras de Ron.

J'ai besoin de toi… je T'aime… beaucoup, voila.

tu m'aimes beaucoup ? Qu'est ce que ça veut dire ?

Quoi ? C'est ce que je ressens !

Ron ! Harry aussi même beaucoup et il me laisse tranquille.

Qu'est ce que je dois faire ?

au revoir, Ron…

Attends !

Il avança vers elle et lui fit une bise sur la joue. Il avait du prendre son courage à deux mains car il était à présent rouge tomate et tremblait légèrement. Hermione le regarda longuement tenant sa joue les yeux ébahie. Ginny était morte de rire, elle faisait un effort considérable pour éviter de faire trop de bruit. Harry lui prit la main et l'entraîna dans l'escalier.

Chut ! Viens on va les laisser on remontera plutard.

Non je veux voir…

Allez viens…

Ils retournèrent dans la chambre de Ginny et commencèrent à plaisanter sur ce qu'il venait de voir et d'entendre. Après dix minutes, ils remontèrent chez Ron. La porte était toujours entre ouverte et Harry préféra vérifier avant de pénétrer dans la petite chambre. Le chemin semblait libre.

on ne vous dérange pas ? demanda Ginny en entrant.

Non… dit aussitôt Hermione.

Ils prirent place sur le lit de Harry. Un silence régnait dans la pièce. Ils se regardaient sans trouver quoi se dire… puis enfin…

Bon j'ai acheté plein de magazine hier sur le chemin de Traverse, dit Harry. Je pense qu'on devrait jeter un œil sur les correspondances… qu'en pensez vous ?

Après un oui unanime, Harry sorti une pile de magazine, « Ados sorcier », « le jeune sorcier », « le templier », « whizard hebdo », « la gazette du sorcier », « le chicaneur » etc. ils feuilletèrent et à chaque fois qu'ils trouvaient une annonce intéressante, ils la coupaient et la mettaient de coté. Au bout d'une heure, ils vinrent à bout de la pile de magasine.

alors ça vous en fait combien ? demanda Harry.

Moi ça m'en fait dix, dit hermione. Ils viennent des Etats-unis, du Canada, d'Afrique et du Japon.

j'en ai 15, dit Ginny.

Moi 12, dit Ron. Et toi Harry ?

J'en ai 20. Bon on va les lire à haute voix et on décidera si on les gardes ou pas.

ok ! Je commence, dit Ginny.

Elle se mit à lire…

Salut !

Je m'appelle Zhao, j'ai 16 ans et je suis japonaise. Je cherche une correspondante ou un correspondant parlant anglais pour me permettre de m'améliorer dans cette langue. Je suis en 6e année à l'institut de Todoï au Japon. J'espère avoir une réponse positive.

Bye.

qu'en pensez vous ?

oui très bien, on la gade, dit Harry.

Ils se mirent à lire un par un leurs petites annonces et après avoir délibéré, ils décidèrent d'en garder une bonne cinquantaine. Ils se répartirent les correspondants et commencèrent à rédiger une lettre. Elle était tout à fait banale, ils ne parleraient pas de l'AD immédiatement. Il faudrait attendre les réponses avant. Ils mirent un certain temps avant de pouvoir finirent toutes les lettres. Ils signèrent tous sauf Harry qui ne préféra pas.

Bon on les enverra plutard, dit Harry. Où est ta mère Ron ?

elle est dans le jardin je crois. Pourquoi ?

J'ai quelque chose à lui demander, je reviens.

Il sortit de la chambre, prit les escaliers, traversa la cuisine et atterri dans le jardin où il vit Mrs Weasley.

Excusez moi de vous déranger…

Mais tu ne me déranges pas Harry ! Que veux tu ?

J'ai plusieurs lettres à envoyer… et je voulais savoir si on pourrait aller sur le chemin de traverse ?

tu en as combien ?

Heu… une bonne cinquantaine…

Tant que ça ! s'exclama-t-elle. Je ne sais pas quand mais j'en parlerai à Arthur.

et je voudrais aussi voir… le professeur Dumbledore.

Mais pourquoi Harry ?

J'aimerai lui parler… lui parler de Sirius…

Elle resta silencieuse un moment et accepta enfin.

D'accord je lui transmettrai le message Harry. Je ne te promets rien mais je te tiendrais au courant.

Harry remonta les escaliers et alla rejoindre les autres. Une semaine passa avant que Mrs Weasley ne lui dise la date pour leur excursion au chemin de Traverse.

on ira le 15 août, dit elle.

merci beaucoup…. Répondit Harry.

on ira sur le chemin de traverse et tu iras ensuite au quartier général tout seul.

tout seul ?

nous ne t'accompagnerons pas, mais un auror sera la pour te conduire.

Le 15 août arriva très rapidement. Harry était très excité. Il allait enfin pouvoir voir le professeur Dumbledore et lui poser tous les questions qu'il voudrait. Cependant sa journée allait être pleine de surprise. Il se leva donc à 8 h précise et descendit les escaliers suivit de Ron, toujours en pyjama et l'air endormi.

B'jour man, dit Ron.

Bonjour mes chéris, dit Mrs Weasley.

'joouuuuuurrrrrr…… dit Harry dans un bâillement.

Il attrapa une tasse de thé et se mit à tartiner du beurre sur un toast. Ils mangèrent en silence, en laissant échapper quelques fois des bâillements sourd quand ils entendirent des exclamations provenant d'une des chambres du dessus. Il y eut des pas précipités dans les escaliers et ils virent Hermione débarquer tenant un journal à la main.

Qu'est ce qui se passe ? Demanda Mrs Weasley.

C'est… c'est… dans le journal ! Première page ! Tenez !

Elle tendit la gazette du sorcier à Mrs Weasley qui à son tour poussa une exclamation…. Sa lecture était parsemée de « non », « pas possible », « enfin »….

Mais maman qu'y a-t-il ? demanda Ron.

Tiens !

Mrs Weasley lui tendit le la Gazette. Ron se mit alors à lire à haute voix. Harry était penché derrière lui. Il y avait une photo en noir et blanc de Fudge qui boudait et lançait des regards noirs. En titre, écrit en gros caractère gras, on pouvait lire…

« FUDGE DEMIS DE SES FONCTIONS »

« La nouvelle est tombée très tard dans la soirée du 14 août. Le ministre de la magie, Cornélius Fudge, est démis de ses fonctions. Le Magenmagot, présidé par Albus Dumbledore s'est réuni pour parler du cas Fudge, nous dit Armelle Foster bras droit du président : « Nous pensions que sa conduite devait être sanctionné… En ce moment, nous avons besoin de quelqu'un qui pourra prendre de grandes décisions et mené notre communauté d'un bras ferme. »

Nous vous rappelons que Cornélius Fudge avait renvoyé l'actuelle président, en le traitant de dément, et qu'il avait tout fait pour étouffer le retour de VOUS-SAVEZ-QUI. Une telle conduite était impardonnable et le Magenmagot n'a pas hésité. Dans 15 jours, l'identité de son successeur provisoire sera connue. Mais pour le moment c'est le grand Albus Dumbledore qui est chargé d'assumer ses responsabilités. Nous avons eu le plaisir de l'interviewer et voici ce qu'il nous a confié : « je suis prêt à assumer l'entière responsabilité de ce poste mais seulement pour une durée de 15 jours. Le successeur de Fudge est connu du Magenmagot, mais pour un souci d'organisation et de sécurité aussi, il n'occupera ses fonctions qu'à partir du 1er septembre, date à laquelle je retournerai à Poudlard. »

Tout laisse à penser que le successeur de Fudge serait un auror qui aurait travaillé sous les ordres de Bartemius Croupton… »

Pas possible, s'exclama Ron ébahi… Fudge !

Renvoyé… dit Harry.

Il relut l'article… il se poursuivait sur plusieurs pages, on pouvait voir entre autre une biographie de Fudge, un article sur ses liens avec différents Mangemorts et différentes photos. Harry n'arrivait pas à le croire… Fudge renvoyé ! Il pensait maintenant à son successeur. Qui pouvait prendre sa place… un ancien auror…