Je viens de réaliser que ce couple-ci n'est pas plus justifié que HoroxTamao et RenxPirika contre lesquels je proteste tout le temps parce qu'ils ne se parlent pas une fois... argh -.- nafout', la différence c'est que j'aime ce coupling-là n.n

oxoxoxoxoxoxoxoxoxoxox

Je sentis le rouge me monter aux joues et me détournai pour le cacher, mais personne ne sembla y faire attention de toutes façons.

Elle passa devant moi sans sembler me voir, ses chaussettes amortissant le bruit de ses pas sur le carrelage tandis qu'elle courait vers son frère, son joli visage déformé en une moue boudeuse et réprobatrice.

— Onii-chan, je te l'ai dit cent fois...

— "Mets au moins une veste avant d'aller te rouler dans la neige", je sais, soeurette, grogna-t-il.

La fin de sa phrase fut presque étouffée par un éternuement assez spectaculaire, mais je pus tout de même comprendre les derniers mots. Le Chinois qui soutenait le "malade" eut un reniflement amusé et dédaigneux et le laissa tomber dans le canapé. L'autre cligna des yeux en voyant ceux de sa soeur s'étrécir.

— Rennnnnneuh, me laisse pas tombeeeer... supplia-t-il.

— Assume, marmonna Ren en se versant un verre de lait.

NOOOOON!

Je plaquai une main sur ma bouche pour retenir un rire; Ren me jeta un coup d'oeil, mais dût croire que je rougissais (encore), car il se retourna ensuite pour regarder son équipier se faire pousser à l'étage à coup de pieds, et ricana. Moi, je la regardai.

Même en train de martyriser son frère, je ne pouvais pas m'empêcher de la trouver jolie. Sa mimique frustrée - les joues rouges et les sourcils froncés - lui allait bizarrement bien, ce qui n'était pas exactement bon signe.

Ses longs cheveux volaient derrière elle en semblant dégager une aura de fureur, avec un air presque théâtral que j'admirais également. J'admirais tout en elle, la façon dont elle n'avait pas peur d'exprimer ses opinions, la détermination qu'elle mettait à obtenir tout ce qu'elle voulait, le peu d'importance que les gens autour avaient pour elle lorsqu'elle devait faire quelque chose. Si elle n'était pas d'accord, elle le disait, et fort. Si elle voulait une jupe azur, elle en aurait une azur, pas une turquoise parce que ça il en restait et pour en avoir une azur il faudrait la commander et ce serait long. Si son frère s'était encore mal conduit, elle le remettait en place, peu importe le nombre de gens qui regardaient avec amusement et se moquaient plus ou moins gentiment de la "scène de ménage". Si elle décidait que trop de gens m'ignoraient, elle se levait de table au beau milieu du petit déjeuner pour venir me serrer dans ses bras, parce que j'en avais besoin, et rien à faire du reste du groupe qui riait en montrant mon visage rouge du doigt. Rien à faire non plus de son frère furieux, elle l'enverrait s'entraîner à coups de pieds s'il devenait trop ennuyeux.

En fait, ce que j'aimais le plus chez elle, c'était surtout qu'elle se rendait compte de ma présence, elle réalisait que personne ne faisait vraiment attention à moi. Alors elle essayait de compenser.

Et rien à faire non plus du fait qu'on était toutes les deux des filles.

Encore une chose que j'admirais chez elle: l'opinion des autres n'avait pas la moindre importance pour elle si elle considérait que c'était bien.

Je l'entendis descendre l'escalier; son frère devait être resté dans sa chambre, comme elle le lui avait probablement ordonné en lui fourrant un thermomètre dans la gorge.

J'entendis la porte s'ouvrir et se refermer et ses pas étouffés s'approcher de moi par-derrière. Je déposai ma cuillère en bois et fermai les yeux, un léger sourire sur les lèvres.

Je sentis les deux bras familiers passer autour de moi et son menton se poser sur mon épaule, et je me laissai légèrement aller contre elle en souriant.

— Kess tu fais?

— A manger.

— Mais quoi?

Je soulevai le couvercle d'une des casseroles; elle ne regarda même pas, elle plissa juste le nez en faisant quelques commentaires sur l'odeur. Elle avait l'air de bien aimer ma cuisine, mais elle faisait toujours la grimace et des commentaires désobligeants quand je préparais des plats qui n'étaient pas typiquement japonais. Au contraire de son frère, elle tenait absolument à ce que ce qu'elle mangeait ait bon goût. Et ce qu'elle voulait, elle finissait toujours par l'avoir, comme je l'ai dit.

— Tu peux pas faire des boulettes de riz à la place?

Je ris.

oxoxoxoxoxoxoxoxoxoxoxoxo

Voulais du shôjo-ai en français /hausse les épaules/

Tsunami: Tu veux ma mort, toi?

n.n si tu veux n.n

C'était donc PirikaxTamao, même si je ne pense pas que c'était trop clair... Je fais vraiment des trucs courts et pas clairs -.-U et j'arrive jamais à ce que je veux -.-U en plus j'invente totalement le caractère de Piri-chan... Enfin, enfin...

Mares: pffff...

Azalée: huh?

Mares: PirikaxTamao... tu peux contracter en PITA! XD

Pita (mon ordi souligne en rouge, donc pas du tout sûre de l'orthographe, je crois qu'il y a un H quelque part, puis toutes façons c'est un mot arabe je crois) : sorte de pain rond qu'on fourre de viande, salade, etc... on rajoute aussi de la sauce, souvent; on peut acheter ça dans n'importe quelle snack/baraque à frites ici, mais la Belgique est un pays particulier... n.nU

Ma': XD

Aza-.-U