Tiens, j'ai fait le RyûxSaati de Katoryu Diethel O.O J'en reviens toujours pas. C'était pas très dur en fait ; faut dire aussi que c'est pas du fluff à proprement parler, même si j'ai essayé... Bon, me demandez pas pourquoi c'est vu par Tokagerô, par contre n.nUu
Warnings : Spoilers, mais si vous connaissez Saati z'avez rien à craindre ; ceux qui regardent l'anime, vous vous en foutez parce que y a pas ce passage dans l'anime. Et probablement OOC, parce que je ne maîtrise pas très bien le personnage de Tokagerô, et je connais pas DU TOUT Saati.
(Au fait, moi j'écris "Saati" avec deux "a", je trouve que ça sonne mieux, mais dans le manga français ils ne mettent qu'un "a" — et ça me fait penser à "ouistiti", chais pas pk O.o)
oxoxoxoxoxoxoxoxoxoxoxoxoxo
Chocolove pesait lourd, mais Ryû était fort, et la perspective de revoir sa jolie princesse le motivait tellement qu'il aurait probablement pu porter Faust et sa chaise roulante en plus sans protester. Sauf que c'était débile de porter une chaise roulante.
Tokagerô regarda son 'maître' en haussant les sourcils d'un air dubitatif. Ryû avait relâché son oversoul une petite heure plus tôt pour pouvoir porter Chocolove sans devoir se concentrer sur son oversoul, au lieu de mettre le New-yorkais sur le dos de Yamata no Orochi. Crétin.
Tokagerô soupira, accablé, en suivant son stupide maître. Si ça rendait comme ça, l'amour, il était bien content de ne pas le connaître.
Ryû avait quand même l'air heureux. Euphorique, même. Ils arrivèrent aux groupes de tentes richement décorées du groupe des Gandara (il se demanda comment Ryû connaissait l'endroit où ils avaient monté dit campement), et une petite fille aux yeux inexpressifs vint à leur rencontre ; elle évoquait étrangement à Tokagerô un mélange des deux gamines roses sous la protection de Madame Anna, la petite timide et la muette encore plus petite. Elle ne dit pas un mot et se contenta, après avoir jeté un coup d'oeil à Chocolove, de les mener vers la plus grande tente, au centre du campement. Elle souleva le coin du rideau qui la fermait (ce qui fit pouffer Tokagerô, vu qu'elle ne savait pas lever le rideau très haut et que Ryû était tellement grand qu'il dut se baisser pour entrer, après avoir relevé le rideau lui-même), et s'éloigna tranquillement tandis que Ryû tombait à genoux.
— Princesse... , murmura-t-il, les yeux en coeur.
Tokagerô eut un rictus moqueur. Ce pauvre Ryû était ridicule.
Puis la princesse Saati se retourna, et il se rappela brutalement à quel point elle était effectivement belle.
— Ryûnosuke ! s'exclama-t-elle en souriant.
Elle avait l'air surprise, mais pas tant que ça, et surtout elle avait l'air sincèrement ravie. Tokagerô fit la moue. N'ayant pas franchement envie de voir Ryû baver sur le magnifique tapis oriental, il informa son 'maître' qu'il allait faire un tour et traversa la paroi de tissu de la tente, avec la vague intention de visiter le camp.
Lorsqu'il revint, une petite heure plus tard, Chocolove était allongé sur une table, propre, les yeux fermés, et il respirait. Tokagerô cligna des yeux et se rapprocha un peu.
Saati était assise dans quelque chose qui ressemblait plus à un trône qu'à un fauteuil, réussissant étrangement à s'avachir contre le dossier tout en restant majestueuse et gracieuse. Sa couronne était déposée sur la table et ses longs cheveux s'étalaient librement sur ses épaules et sa poitrine ; elle avait une main posée sur son front d'un air las et épuisé, mais elle souriait.
Assis sur un petit fauteuil pliant, à côté d'elle, Ryû lui disait quelque chose à voix basse ; probablement des remerciements pour Chocolove. La princesse éclata d'un petit rire cristallin et agita sa main comme pour chasser une mouche, et Tokagerô vit que ses yeux brillaient. Elle posa presque naturellement sa main délicate et effilée sur la grosse patte de Ryû et se pencha un peu en avant, probablement sans s'en rendre compte ; de longues mèches brunes glissèrent de son épaule et effleurèrent le bras de Ryû.
Tokagerô grogna et croisa les bras d'un air dédaigneux.
Ridicule.
Ils étaient tous les deux ridicules.
Absolument ridicules.
Dingue comme même lui ne se croyait pas, des fois.
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J'ai honte T.T Y a quela fin que j'aime, un tout petit peu. C'est le pire drabble que j'aie jamais écrit, après le HaoxAnnaxYoh du premier chap T.T Enfin, j'ai pas la force de recommencer cette expérience éprouvante, lol, donc tant pis, faudra vous contenter de ce torchon.
/se met à rigoler tellement elle trouve ça pathétique/
Bon, sinon. Planning plus ou moins des prochains chap's : un HoroxYoh pour Dragonna, un MatildaxMarie pour salima-chan, éventuellement un AnnaxJeanne sur le thème "je suis soumise" (pour combiner les deux et pas me casser la tête XD) pour Sen Chizu mais je doute y arriver, un HoroxRen pour beaucoup de monde un de ces jours, et quand j'aurai tout fait et si j'y arrive, un NichromexRen parce que j'en rêve aussi. Voyà n———n
PS: Et au fait, ça fait déjà un moment, mais... VIVI3N, si tu lis toujours cette fic : quand tu as posté ta review, c'était mon anniversaire trois jours plus tard, pas lundi mais mardi. Mais comment tu le savais? O.O /espère que c'est pas quelqu'un de son école qui l'a démasquée et crève de trouille/