Auteur : kaneda26.
Origine : Yuyu Hakusho
Genre : yaoi
Couple : classique, Kurama et Hieï.
Disclamer : ben non, y sont pas à moi.
Résumé : Hiei et Kurama sont ensemble. Mais tout n'est pas aussi parfait que ça semble l'être.
Note : En postant le premier chapitre de cette séquelle, je me suis rendu compte que ça n'avait rien de bien original, tant dans l'histoire que dans le style d'écriture. Aussi, j'ai été presque surpris de recevoir autant de reviews si rapidement.
Merci à tous, je suis vraiment heureux et chanceux d'avoir des lecteurs aussi fidèles, je … (tout ému, ne peut pas continuer, essuie une larme… j'en fais trop ? ok, j'arrête)
Don't forget me !
Chapitre deux
Je crois que quelque chose ne va pas. Mais je ne sais pas ce que c'est. Il manque quelque chose.
En fait, il manque plein de choses. Je ne sais pas qui je suis. Ni où je suis. Je suis seul dans un lit, dans une chambre.
Et j'ai cette sensation de manque. J'aperçois des vêtements posés sur une chaise. Je ne sais pas pourquoi mais je suis sûr qu'ils ne sont pas à moi. Pas plus que cette épée posée contre le mur.
Tout ça, c'est à…
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Kurama resta un moment assis dans le lit. Encore une fois, cette absence.
Et cette fois-ci, Hiei n'était pas avec lui. A chaque fois que c'était arrivé, rien que la présence de Hiei avait ramené tous ces souvenirs immédiatement.
Là, il avait fallu qu'il regarde ces vêtements et cette épée surtout pour que sa mémoire revienne.
Et avec elle, le souvenir de la dispute de la veille.
Il n'avait pas voulu repousser Hiei ainsi. Mais aussi, le caractère ombrageux du jaganshi n'avait pas aidé. Et puis, ce flou total la veille, alors que Hiei le laissait seul.
Ces maudites absences ! Passagères selon le docteur. Qui devaient s'atténuer, toujours selon le docteur Sôma. Alors pourquoi c'était de pire en pire ?
Kurama eut un soupir. Hiei n'était pas le seul à être frustré.
Ca faisait quoi ? Cinq, six jours maintenant qu'ils n'avaient pas fait l'amour.
Entre le travail de Hiei qui l'obligeait à se lever avant l'aube et celui de Kurama où les réunions se succédaient en ce moment jusque tard dans la soirée, ils n'avaient fait que se croiser.
Hier, ça devait être leur moment privilégié pour tous les deux.
Mais l'arrivée de son frère avait complètement changé le programme.
Kurama finit par se lever.
En jetant un coup d'œil au réveil, le yohko soupira à nouveau. Hiei était déjà parti travailler.
Le dimanche matin, la boutique restait ouverte. Finalement, leurs emplois du temps ne s'accordaient vraiment pas.
Kurama prit une douche et s'habilla. En arrivant dans la cuisine, il fut accueilli par son frère qui avait déjà préparé le café.
« Bonjour, Shû-chan.
-Bonjour. Café ?
-Oui, merci. T'es debout depuis longtemps ?
-Ouais. J'ai croisé ton coloc d'ailleurs. Il est pas super sympa. »
Vu que Hiei n'appréciait pas la présence de Sûichi-chan, il n'avait pas du faire preuve d'une sociabilité exemplaire.
« C'est juste qu'il est pas à l'aise avec les gens qu'il ne connaît pas, dit Kurama.
-Hum. Il fait quoi, lui ?
-Il est fleuriste.
-Sérieux ?
-Oui, pourquoi ?
-J'sais pas, fit Shûichi. J'le verrais plutôt dans une boutique de musique déjantée avec son genre gothique, un truc comme ça. »
Kurama sourit. Même si Hiei avait abandonné ses vêtements du makai, il n'en gardait pas moins une préférence pour les habits sombres.
Kurama s'en voulait de ne pas l'avoir vu avant qu'il parte. Ils étaient restés sur une dispute et c'était la première fois qu'ils se quittaient ainsi.
Le cœur de Kurama lui fit mal. Il avait l'étrange pressentiment que s'il ne voyait pas Hiei, alors sa mémoire pourrait bien disparaître et ne jamais revenir.
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« Hiei, qu'est-ce qu'elles t'ont fait ces jonquilles pour que tu les martyrises de la sorte ?
-Hein ? »
Son patron, Yamada-san, lui montra les fleurs.
Hiei avait fait n'importe quoi, coupant certaines des tiges bien trop court pour pouvoir les placer dans un bouquet.
Le vieil homme eut un petit soupir.
« Tu es d'une humeur massacrante depuis que tu es arrivé. Un problème ?
-Non, rien. Je vais faire attention maintenant. »
Pas vraiment convaincu, Yamada le laissa continuer son travail dans la serre et rejoignit la partie magasin.
Le vieil homme se posait des questions. Depuis deux mois qu'il avait embauché Hiei, il n'avait pas eu à s'en plaindre. Le gamin était tout simplement adorable. Pas très bavard, pas très à l'aise encore avec les clients. Mais sérieux et efficace. Et toujours avide de découvrir d'autres fleurs, d'apprendre d'autres choses.
Mais là, il avait un air fermé et dur qu'il ne lui connaissait pas.
« Yamada-san, bonjour ! »
Le vieil homme tourna la tête et reconnut un des amis de Hiei qui entrait dans la boutique.
« Yusuke, bonjour.
-Hiei est là ? J'ai besoin d'un énorme bouquet de fleurs. »
Yamada sourit et appela le garçon.
Hiei lui avait amené pas mal de clients, surtout des jeunes femmes. Mais il préférait largement le genre d'Urameshi, franc et de bonne humeur, à ces lycéennes qui essayaient sans succès de s'approcher de Hiei.
« Yusuke, salut ! Tu veux quoi ?
-Un bouquet d'enfer ! C'est pour Keiko.
-T'as encore fait une connerie, c'est ça ? »
Yusuke regarda ses pieds.
« Tu vas te ruiner si tu continue comme ça.
-Bah, ça marche encore le coup des fleurs et tu me fais une p'tite réduc, non ? dit le détective avec un clin d'œil. »
Yamada regarda Hiei confectionner un bouquet de roses mêlés à de minuscules fougères à fleurs blanches qui rehaussaient le rouge sombre.
« Et Kurama, il a aimé le festival ? demanda Yusuke. »
Hiei se figea une seconde.
« Pourquoi tu vas pas lui demander toi-même ?
-Quoi ?
-Tiens, tes fleurs.
-Ah, merci. »
Yusuke régla la facture et sortit en agitant la main en signe d'au revoir.
Mais Yamada avait maintenant une des données du problème.
« Hiei, ça ne va pas avec ton ami, c'est ça ? »
Le jeune homme ne répondit pas tout de suite. Puis il souffla.
« On s'est disputé. »
Yamada sourit.
« A quel propos ? »
Hiei préféra ne pas répondre clairement.
« Pour des bêtises.
-Ce n'est pas bien grave alors. Tout va s'arranger, tu vas voir. Surtout avec de belles fleurs. »
Hiei eut un demi sourire. Yamada émit un rire léger.
« Les iris viennent juste d'éclore, dit-il. Ils sont magnifiques. Si avec ça, ça s'arrange pas… »
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Kurama porta la tasse à ses lèvres et but une gorgée de thé. Ca ne s'arrangeait vraiment pas, mais alors vraiment pas du tout. Il n'y avait eu aucun effort, ni d'un côté, ni de l'autre.
Sa mère et lui avaient essayé de calmer le jeu et le résultat était le silence de mort qui régnait dans la pièce.
Shû-chan reniflait, à deux doigts d'éclater en sanglots.
Son beau-père avait encore le visage rougi sous l'effet de la colère qu'il avait déployé.
Kurama ne comprenait pas. Hatanaka était pourtant un homme bien, compréhensif d'habitude.
Mais il exigeait de son fils des choses que l'adolescent refusait en bloc. Ils étaient aussi butés l'un que l'autre.
Finalement, Shiori et Kurama proposèrent un compromis. Shû-chan passerait le concours d'entrée de l'école de musique. Mais s'il n'était pas reçu, il abandonnerait. C'était un énorme défi pour le jeune garçon. Mais ce fut la seule chose qu'Hatanaka accepta avec un sourire.
Sourire qui disait bien combien il doutait des capacités de son fils à réussir ce concours qui se déroulerait dans à peine une semaine. Il se leva et quitta la pièce, persuadé que son fils échouerait et qu'il n'aurait alors plus le choix.
« Ni-san ? Je peux rester chez toi jusqu'au concours ? demanda le jeune garçon.
-Chez moi ? s'écria Kurama.
-C'est en effet une bonne idée, dit sa mère. Ca évitera qu'ils se disputent tous les deux et Shû-chan sera au calme pour travailler.
-Mais…
-S'il te plait, Ni-san ! fit l'adolescent qui allait se mettre à pleurer d'une seconde à l'autre.
-D'accord, soupira Kurama. »
Hiei n'allait pas apprécier du tout.
Mais Kurama ne pouvait pas refuser. Même s'ils n'avaient pas de lien de sang, le yohko avait fini par s'attacher à Shû-chan.
Hiei avait Yukina, il pouvait comprendre.
Sauf que Kurama en doutait énormément tout d'un coup.
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Kurama devait avoir ramené le sale gosse chez ses parents maintenant. Et ils avaient tous le dimanche après-midi pour eux seuls.
Bon d'accord, ils s'étaient engueulés la veille. Mais Hiei avait en main une arme imparable, un bouquet d'iris bleutés magnifiques.
Et il avait en tête une petite sieste pas très reposante. La frustration ressentie la veille au soir ne fit qu'augmenter son désir.
Il poussa la porte, entra et trouva Kurama dans la cuisine.
« Mon cœur ? »
Le yohko l'avait senti arriver et se retourna en souriant avec appréhension.
« Bonjour trésor. » Son sourire s'accentua quand il vit les fleurs.
« Elles sont pour moi ?
-Toujours…, murmura Hiei sous le charme du sourire de son amant. »
Kurama attrapa les fleurs et les porta à son visage, fermant les yeux pour en respirer le parfum.
« Merci, trésor. »
Hiei s'approcha. Il ne voulait pas se contenter d'un simple merci.
« Ni-san ? J'ai rangé mes affaires ! Tu veux un coup de main pour le repas ? fit une voix.»
Hiei se retourna brusquement. Le gamin entra dans le salon-cuisine. Le jaganshi ne le regarda qu'un quart de seconde avant de fixer Kurama avec colère.
« Hiei… Je vais t'expliquer, fit le yohko. »
Mais comment expliquer ? Alors que son frère se trouvait dans la même pièce.
« Pas la peine ! »
Hiei fit demi-tour et sortit de l'appartement.
Le bouquet toujours dans les bras, Kurama le suivit et l'arrêta sur le palier.
« Hiei ! Attends ! »
Le petit démon s'arrêta. Ce n'était pas ce qui était prévu. Il voulait se réconcilier avec Kurama, pas aggraver les choses.
Il se retourna lentement et fixa son amant.
Ce fut à ce moment là que ça se reproduisit. Le regard de Kurama se fit soudainement vague. Et la façon dont il posa les yeux sur Hiei fit trembler ce dernier.
Il n'y avait que de la peur dans les yeux émeraudes.
Kurama avait peur de Hiei.
Le cœur du jaganshi ralentit brusquement comme s'il allait s'arrêtait.
Kurama secoua la tête, sa mémoire se remettant à jour. Mais tout ce qu'il vit fut une petite silhouette rebondir sur les immeubles et disparaître rapidement.
Et il n'avait aucune chance de le rattraper.
Il retourna à l'intérieur de l'appartement, trouvant un Shû-chan assez embarrassé.
« J'avais pas pensé à lui, dit le garçon. Ca doit l'ennuyer de me laisser sa chambre… Mais je peux dormir sur le canapé si c'est mieux ou…
-Ne t'occupes pas de Hiei, Shû-chan. Viens m'aider à préparer le repas.
-D'accord. Tiens, il a oublié ses fleurs… »
Kurama avisa le bouquet qu'il tenait toujours entre ses mains. Hiei ne les avait pas oubliés, elles étaient pour lui, elles étaient toujours pour lui.
« C'est sa copine qui va être déçue, commenta Shûichi.
-En effet, dit Kurama. »
Ce n'était pas de la déception que Kurama ressentait. Il était triste.
Parce que lui aussi avait fait des efforts et que Hiei n'en avait rien su. Un point douloureux au cœur, il continua de préparer le plat préféré du jaganshi qui n'y goûterait même pas.
Tout en cuisinant, le yohko décida de retourner voir le docteur Sôma. Ces crises d'amnésies devenaient de plus en plus fréquentes.
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Depuis combien de temps ça ne lui était pas arrivé ? Longtemps. Même avant d'être l'amant de Kurama, il avait pris l'habitude d'aller dormir chez lui. Et depuis qu'ils étaient ensemble, Hiei avait passé toutes les nuits où il n'avait pas de mission dans les bras de Kurama.
Dans cet arbre tout à coup, il frissonnait, il avait froid.
Sans doute que la vie avec Kurama l'avait un peu attendri et qu'il n'était plus aussi résistant qu'avant.
Il resserra son manteau autour de lui. Mais il avait toujours froid.
Les bras de Kurama, la chaleur de son corps, la douceur de ses cheveux qu'il sentait sur son épaule quand le yohko plaçait sa tête dans le creux de son cou.
Chaleur… Leurs étreintes passionnées, enflammées…
Hiei voulait tout ça, maintenant.
Mais il avait peur. Et il savait exactement pourquoi il avait fui.
Ca remontait à un mois.
Depuis ce matin où Kurama l'avait repoussé su violemment, la peur était revenue s'ancrer dans un coin de son esprit.
Il avait eu cette angoisse pendant longtemps, ayant toujours peur de perdre Kurama. Cette inquiétude irraisonnée à chaque fois qu'il partait en mission en solo. Cette horrible certitude que s'il s'absentait, il arriverait encore quelque chose à son amour.
Au fil du temps, cette peur s'était estompée.
Et elle était revenue de plus belle ce matin-là.
Le regard de Kurama, complètement apeuré, tel une bête traquée, et les coups qu'il lui avait donnés, se débattant dans ses bras.
Les coups n'étaient pas assez puissants pour blesser Hiei. Et il avait serré Kurama contre lui en murmurant que ce n'était qu'un cauchemar.
En quelques minutes, son amant s'était calmé et lui avait retourné son étreinte.
Mais l'ancienne peur de Hiei s'était réveillée. Des souvenirs étaient revenus.
Comme cette fois où Kurama l'avait rejeté, se recroquevillant sur lui-même. Quand sa mémoire était revenue et qu'il s'était rappelé que Gendô avait pris l'apparence de Hiei.
Est-ce que maintenant encore, Kurama voyait-il ce faux Hiei, cette copie le battre à mort ?
Est-ce pour cela qu'il avait parfois ce regard qui le repoussait plus facilement que n'importe quel mot ?
Mais pourquoi ? Alors que jusque là tout allait bien. Ils avaient surmonté tous les deux ce traumatisme. Kurama avait affronté Gendô, et il l'avait tué, effaçant par la même occasion toute l'imposture de ce type. Depuis ce combat, Kurama voyait Hiei et rien que Hiei.
Pourquoi ça recommençait ?
Si c'était ça, ça expliquait la froideur de Kurama et le fait qu'il n'ait pas voulu faire l'amour avec lui.
Hiei s'allongea contre la branche d'arbre. Il ne ressentait plus le froid. Parce que le froid n'était rien en comparaison des tourments qui venaient hanter son esprit.
Tout son monde tournait autour de Kurama. S'il le perdait, il n'aurait plus rien.
Si Kurama ne l'aimait plus, s'il l'oubliait, il n'était rien.
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L'inquiétude ne le quitta pas de la soirée. Teintée de musique, colorée par la sonate triste que son frère égrenait sur son violon.
La nuit était tombée depuis plusieurs heures et Hiei n'était pas rentré.
Kurama avait pensé qu'il ne s'agissait que d'une petite dispute et que son trésor rentrerait dès qu'il se serait calmé. Mais il avait apparemment minimisé l'ampleur de la crise.
Il ne voulait pas perdre Hiei. Il ne voulait pas perdre l'unique amour de sa vie.
« Shû-chan ? dit-il en entrant dans la chambre d'amis. »
La note flotta quelques instants dans l'air avant de s'éteindre.
« Oui ?
-Je sors faire un tour. Ne m'attends pas.
-Ok. »
Et l'archet recommença à frotter contre les cordes en tirant des notes mélancoliques.
Kurama fit quelques pas dehors. Il se concentra et essaya de localiser Hiei.
Il ressentit clairement la puissance du jaganshi mais ne put savoir de manière précise où il se trouvait.
« Hiei ? Où es-tu ? murmura t-il. »
Il se sentait seul. Et perdu. Quand il était amnésique, il avait ressenti ce même sentiment de perdition. Sentiment qui s'était effacé dès qu'il avait vu Hiei.
Il ne savait alors pas pourquoi, ni comment mais la présence de Hiei lui était vital.
Et aujourd'hui encore, il ressentait ce besoin d'avoir Hiei près de lui.
Kurama ne lui avait sans doute pas assez dit, pas assez montré. Parce qu'il pensait que Hiei le savait déjà.
Mais finalement, à posteriori, Hiei était celui qui avait fait le plus d'efforts pour que leur relation marche.
C'était Hiei qui avait quitté sa terre natale. C'était Hiei qui avait dû s'habituer à la vie des ningens. C'était Hiei qui s'était adapté.
Et il ne demandait en retour que d'être aimé par Kurama. Et ce dernier n'avait pas été en mesure de lui prouver cet amour.
Et si Hiei décidait de repartir pour le makai ? Si Hiei décidait qu'il avait trop donné sans recevoir assez ?
La pensée eut une influence brutale sur le corps de Kurama, lui bloquant le souffle.
Le makai était vaste. Comment le retrouver si Hiei décidait d'y retourner ?
Kurama expira lentement. Non, Hiei était encore là, dans le ningenkai. Rien n'était encore définitif. Rien n'était perdu.
Le yohko rentra dans l'appartement. Toujours le même air triste qui s'élevait.
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Je ne veux pas que tu ais peur de moi. Je ne veux plus voir dans tes yeux cette peur.
Je suis moi et rien que moi, et je t'aime trop pour te faire le moindre mal.
Je ne veux pas être oublié. Je ne veux plus être oublié.
Tu peux oublier tout le reste, ça m'est égal. Oublier tous ces gens qui t'éloignent de moi.
Mais ne m'oublies pas.
A suivre…
Encore un chapitre qui ne fait vraiment mais alors vraiment pas avancer l'histoire.
Merci pour vos reviews pour le chapitre un. Je ne pensais pas que je vous avais tant manqué ! J'étais super heureux, je souriais comme un crétin en lisant vos reviews, ça m'a tellement fait plaisir de vous retrouver !
Sinon, une info capitale : je vais partir dans quelques jours et quitter mon merveilleux Adsl pour rejoindre la campagne et son 56k pourri... La dernière fois que j'ai essayé de poster mes chapitres en 56k, ça ne marchait pas. Donc, je pense terminer cette fic avant mon départ mais pour les suivantes... il faudra compter sur la chance. Croisons les doigts pour que ça fonctionne !
Voilà, merci à tous et oui, je vais le dire... Laissez des reviews, svp!
