Auteur : kaneda26.
Origine : Yuyu Hakusho
Genre : yaoi, lemon.
Couple : classique, Kurama et Hieï.
Disclamer : ben non, y sont pas à moi.
Résumé : Hiei et Kurama sont ensemble. Mais tout n'est pas aussi parfait que ça semble l'être.
Note : Vous savez quoi ? Ce chapitre ne sert strictement à rien ! A part pour montrer qu'ils sont supers heureux ensemble et qu'ils en profitent bien !
Bon, rétrospectivement, cette fic n'est pas la meilleure que j'ai fait, j'en suis même loin. Mais ça m'a permis de retrouver mes marques. Ca ne pourra que s'améliorer pour la prochaine (enfin, j'espère…). D'ailleurs, je vous retrouve en fin de chapitre pour vous poser des questions sur ce que vous attendez comme fic après celle-ci.
Bonne lecture.
Don't forget me
Chapitre quatre
« Alors ? demanda l'adolescent en relevant la tête vers son public.
-Bien, fit Hiei avec impassibilité.
-Ni-san ?
-C'était très bien. »
Shû-chan descendit son violon de son épaule.
« Vous avez rien de plus constructif à dire ?
-Mais ça fait trois fois que tu joues le même morceau, Shû-chan, objecta Kurama. Et on n'est pas des spécialistes.
-Quatre fois, corrigea Hiei d'un ton morne. »
Le regard du jaganshi disait clairement qu'il brûlerait bien ce fichu violon. Et Kurama maudissait son emploi du temps où il n'avait pas de cours le jeudi après-midi.
« Bon, continua Shû-chan sans se laisser démonter par leur manque d'enthousiasme. Et ça vous a paru comment ? Triste ? Joyeux ? Niveau émotion, vous avez tout de même un avis.
-Ca m'a paru long, lâcha Hiei.
-Ni-san, ton mec, il est vraiment pas mélomane.
-Mon cœur, ton frère, il va passer par la fenêtre. »
Un sourire amusé naquit sur les lèvres du yohko. Ces petites disputes étaient devenues fréquentes depuis trois jours. Et ça signifiait que son amant et son frère s'entendaient bien finalement.
« Tu comptes me faire passer par la fenêtre ? Encore faudrait-il que tu sois assez grand pour pouvoir l'ouvrir ?
-Il a pris des cours chez Kuwabara ou quoi ? J'vais le buter ! Kura… Shuichi ? Mon cœur ?
-Tout va bien, Hiei. Ca n'a duré que quelques secondes.
-Hn. »
Shû-chan regarda les deux hommes.
Si un jour, il avait dû imaginer son frère avec un mec, il n'aurait jamais pensé à quelqu'un dans le genre de Hiei.
Il faisait tellement mauvais garçon. Et puis, au début, il fallait bien l'admettre, Shû-chan avait eu peur de Hiei. Mais en voyant la façon dont il agissait avec son grand frère, c'était évident que Hiei était fou amoureux.
Et ça expliquait aussi le nombre de plantes et de bouquets dans l'appartement. Et l'inquiétude de Hiei concernant les séquelles relatives à l'amnésie.
Et son frère l'aimait. Il suffisait de voir la façon dont Shuichi souriait à Hiei.
« Bien, une dernière fois, fit Shû-chan. »
Hiei eut un soupir des plus bruyants.
« Mon concours est dans deux heures, rappela le garçon. J'aimerais avoir un minimum de soutien.
-Et j'aimerais avoir un minimum de silence, rétorqua le petit yohkai. »
Kurama enlaça Hiei, ce qui eut pour effet de le faire taire immédiatement.
La tête sur l'épaule du jaganshi, le kitsuné écouta la musique d'une oreille distraite alors que la main de Hiei venait s'égarer dans ses cheveux.
Tous deux trop occupés à apprécier la présence de l'autre, ils ne se rendirent même pas compte que la dernière note était jouée et que Shû-chan attendait impatiemment leurs avis.
« Alors ? Alors ?
-Magnifique, dit Kurama.
-Une dernière…
-Non, coupa le yohko d'une voix qui ne permettait aucune discussion. Remets ton violon dans son étui. Compris ?
-Oui. »
Le jeune garçon remballa son instrument et sortit du salon à toute vitesse.
« Tu m'apprendras ? demanda Hiei.
-Quoi donc ?
-Ton truc pour te faire obéir par ce sale gosse.
-Ca demande des siècles d'entraînement. »
Hiei jeta un coup d'œil sur la pendule accrochée dans le coin cuisine.
« Ma pause est terminée, dit-il. »
Il se leva. Et se pencha pour embrasser Kurama légèrement.
« Dis à ce mioche qu'il a pas intérêt à se planter.
-Tu peux pas dire simplement « bonne chance » ?
-Et puis quoi encore ? Après trois jours de torture ? »
Kurama sourit et attrapa la nuque de Hiei pour un nouveau baiser, bien plus long cette fois.
« Je te vois ce soir, fit le yohko. Je serais seul.
-C'est bien ce que j'espérais. »
Hiei se pencha encore pour recevoir un dernier baiser quand Shû-chan débarqua en courant.
« Ni-san, j'avais oublié de te dire !
-Quoi encore ? fit Hiei.
-Au téléphone, Oka-san m'a parlé d'une jeune fille qu'elle aimerait te faire rencontrer. Elle était toute folle et imaginait déjà le mariage et ses futurs petits-enfants. »
Kurama fit la moue.
« Tu n'as rien dit pour Hiei, Shû-chan ?
-Non. Mais tu devras bien leur dire à un moment ou à un autre. Ou une autre solution serait d'habiller Hiei en robe et…
-On a le droit de liquider son beau-frère dans ce monde ? demanda le jaganshi.
-Y'a des mondes où on a le droit ? fit Shû-chan. »
Kurama fila un coup de pied dans le tibia de Hiei qui grimaça.
Le jaganshi attrapa la nuque de son amant, déposa un baiser rapide sur les lèvres du kitsuné et lui chuchota :
« Si tu avais une vie moins compliqué, ça simplifierait beaucoup la mienne.
-Mais imagines comme on s'ennuierait.
-Je pourrais toujours nous trouver des occupations…
-Je vous signale que je ne suis pas sourd, fit Shû-chan.
-Et c'est tellement dommage, répondit Hiei avant de partir travailler. »
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« Encore une fête ? s'exclama Hiei. »
Il regarda son amant, vêtu d'un magnifique yukata de couleur pourpre.
« Ca ne te dit pas ? demanda Kurama. »
Hiei hésita. Puis il haussa les épaules. Profiter des moments de bonheur, c'était ce que lui avait dit Yamada-san.
Et passer la soirée à déambuler dans un parc avec son amour n'était pas désagréable.
« Si ça te fait plaisir, dit Hiei. Le temps que je me douche et que je me change.
-Le bain est prêt.
-Merci. »
Le jaganshi se dirigea vers la chambre suivi par Kurama.
« Et ton frère ? Son concours ? demanda Hiei en ôtant son pull noir suivi par son tee-shirt tout aussi noir. »
-Il n'a pas été admis…
-Quoi ? Ce petit con s'est planté ?
-Seuls les trente premiers ont été pris. Il est trente-troisième.
-C'est pas vrai. Tout ça pour rien. »
Kurama s'assit sur le lit.
« Pas pour rien. Son père a cédé finalement. Shû-chan ira dans une école de musique, un peu moins cotée certes mais qui a une bonne réputation.
-C'est quoi ce soudain changement d'avis ?
-Je crois qu'il a été impressionné. Shû-chan est trente-troisième sur mille deux cent candidats. »
Hiei laissa échapper un sifflement.
« Alors il est vraiment doué ?
-On dirait bien. »
Le petit démon se débarrassa de ses derniers vêtements et entra dans la salle de bains.
Il eut un sourire qu'il cacha en détournant la tête. Il venait de saisir le regard de son amant, détaillant son corps nu. Un regard de désir difficilement contenu.
Une fois que Hiei avait été rassuré sur les sentiments de Kurama, ses trois jours n'avaient pas été trop longs à vivre.
Peut-être aussi qu'ils étaient devenus bien plus proches qu'ils ne l'étaient auparavant.
Et les absences de Kurama ne duraient maintenant que quelques secondes.
Hiei eut encore un sourire. Il se retourna dans l'encadrement de la porte.
Le regard de Kurama était on ne peut plus clair.
« On va voir s'il a vraiment envie d'aller à cette fichue fête, pensa Hiei. »
« Mon cœur ? Viens voir par là, dit-il. »
Kurama s'approcha.
L'attaque fut extrêmement bien menée. En des mouvements trop rapides pour le yohko, Hiei défit la ceinture du yukata, baissa largement le vêtement sur les épaules de Kurama et embrassa la peau nue.
Le kimono finit sa descente en glissant sensuellement sur les bras de Kurama pendant que Hiei remontait vers les lèvres de son amant.
« Tu n'es vraiment pas patient, reprocha Kurama entre deux baisers.
-Tu préfères quoi ? Une fête comme y'en a des milliers ou une nuit avec moi comme tu n'en as jamais rêvé.
-Toujours aussi peu modeste. »
Mais Kurama, pris au jeu, enleva de lui-même son sous-vêtement. Et se replaça entre les bras de Hiei qui le tira en arrière jusque sous la douche.
Sous l'eau chaude, ils s'embrassèrent tantôt avec passion, tantôt avec douceur, ils se caressèrent comme si c'était la première fois.
Puis, ils s'installèrent tous les deux dans la grande baignoire, le dos de Kurama collé contre le torse de Hiei.
Les mains du jaganshi caressèrent la poitrine de Kurama. Puis les caresses se firent nettement plus appuyées insistant consciencieusement sur les mamelons.
Le yohko tourna la tête pour attraper les lèvres de Hiei.
Hiei fit descendre sa main le long du corps de son amant. Et il enserra le membre de Kurama.
Ce dernier poussa un gémissement étouffé qui se perdit dans leur baiser.
Kurama opéra un quart de tour, enserra le cou de Hiei de son bras droit et fit reposer son flanc contre le torse de son amant.
De la main gauche, il entreprit de rendre la pareille à Hiei qui retint sa respiration quelques secondes sous la main douée du kitsuné.
Hiei écarta les cheveux mouillés plaqués sur les joues de Kurama et lui couvrit le visage de baisers.
« Je… Je t'aime, mon cœur. »
Ils accélérèrent tous deux le rythme sur le sexe de l'autre.
« Je t'aime aussi… Je… »
Ils s'embrassèrent, noyant leurs cris de libération dans ce baiser.
Hiei fut le premier à se remettre de ses émotions. Il passa un bras derrière le dos de Kurama, l'autre sous ses genoux et le souleva hors de l'eau.
« Si on continuait ça au sec ? proposa-t-il. »
Pour toute réponse, Kurama passa ses bras autour des épaules de Hiei et se laissa porter jusqu'au lit.
Le kitsuné frissonna un peu sous l'air plus froid qui régnait dans la chambre et Hiei s'empressa de les glisser tous les deux sous la couette.
Et instantanément, ils prirent leurs places respectives, le visage de Kurama dans le cou de Hiei.
Le jaganshi passa la main dans les cheveux de Kurama, utilisant légèrement son pouvoir pour les sécher.
Sous la douce chaleur, le yohko ferma les yeux, somnolant.
Puis il les rouvrit rapidement quand il sentit que le moment de tendresse était passé.
Et que Hiei n'avait pas l'intention de le laisser s'endormir.
Le jaganshi venait d'emprisonner Kurama sous son corps.
Le kitsuné ouvrit les jambes avec un sourire de plaisir, laissant Hiei se placer entre elles.
Une des mains de Hiei se plaça au niveau des reins de Kurama, le faisant se cambrer, tandis que l'autre descendait pour raviver le désir de son amant ce qui ne fut pas bien difficile.
Kurama eut un frisson d'anticipation.
Le corps de Hiei, ces gestes changeants, extrêmement doux puis un peu plus violents, tout ça lui avait manqué.
Jusqu'à la manière dont Hiei descendait le long de son corps en le couvrant de baisers sans oublier une seule parcelle de sa peau.
Et la main qui remontait maintenant le long de sa cuisse, le caressant du bout des doigts, effleurant à peine, créant des sensations délicieuses.
La main qui parcourait maintenant l'intérieur de ses cuisses et lui intimait l'ordre de relever les jambes.
C'était trop lent, beaucoup trop lent. Il attrapa la main de Hiei pour y matérialiser un lubrifiant végétal, lui indiquant par la même qu'il était temps de passer aux choses sérieuses.
Et puis, les doigts enfin qui se glissent en lui.
Kurama accentua la cambrure de son dos sous l'intrusion. Et cria.
Hiei eut un sourire et bougea ses doigts. Kurama cria encore.
« J'adore ta voix, mon cœur, murmura-t-il. J'adore t'entendre crier. »
Kurama répliqua du tac au tac :
« Si tu veux m'entendre crier, il va falloir faire mieux et… »
Hiei venait de toucher un point très sensible et la voix de Kurama résonna dans la chambre.
« Tu disais, mon cœur ?
-Je… te veux, souffla le yohko. »
Hiei sourit, retira ses doigts, plaça ses mains sous les cuisses de Kurama et le souleva légèrement.
Ils firent l'amour tendrement, lentement au début.
Puis, perdant toute maîtrise, ils devinrent nettement plus passionnés.
Et la voix de Kurama s'éleva clairement dans la nuit tombante pour le plus grand plaisir de Hiei.
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Kurama regarda par la fenêtre, le soleil n'allait pas se lever avant une bonne heure. Il effleura des doigts l'anthurium disposé sur la table basse.
La pétale avait la forme d'un cœur à l'envers. Et le rouge vif était tout simplement magnifique.
Ce n'était pas la seule plante que Hiei avait rapporté durant ses trois jours. Son amant le comblait littéralement de cadeaux.
Est-ce que ça pourrait durer toujours ? Est-ce qu'ils pourraient être toujours ainsi ?
La vie des yohkais est longue. Kurama avait déjà vécu des siècles. Et il se rendait compte maintenant comme ces temps avaient été longs, juste fait de combats, de vols.
Jusqu'à ce qu'il devienne humain et que Hiei arrive dans sa vie.
Et les siècles à venir se teintaient d'une aura de bonheur.
Mais Hiei était encore jeune. Qui sait s'il ne trouverait pas quelqu'un d'autre ?
Parfois, l'amour débordant, passionné de Hiei l'inquiétait. Parce qu'un amour comme ça, ce n'est pas fait pour durer.
« Il me dit que je n'ai pas le droit de l'oublier, pensa Kurama. Parce que lui ne peut pas m'oublier. »
Kurama regarda encore la fleur rouge se dressant toute seule dans le pot en terre.
« Mon cœur ? Tu es… »
Hiei s'arrêta. Il regarda la table de la cuisine où un somptueux petit déjeuner s'étalait.
« Que les choses que tu aimes, dit Kurama en se retournant.
-Tu n'étais pas obligé de te lever si tôt pour moi, fit Hiei. »
Mais le sourire du jaganshi montrait combien il appréciait le geste.
« Je voulais te faire une surprise, répondit Kurama.
-C'est réussi. »
Le petit démon s'approcha de son amant. Et enserra sa taille tout en levant le tête pour quémander un baiser. Baiser que Kurama lui accorda facilement.
« Bien, fit Hiei. Comme on en est à l'heure des surprises… »
Le jaganshi eut un sourire adorable.
« Ce week-end, commença-t-il. Toi, moi, une maison au bord d'un lac perdue dans la nature. Ca te dit ? »
Kurama écarquilla les yeux. Et bégaya :
« Tu… tu…
-Je ne travaille pas. Et la maison nous est prêtée par Yamada-san. On part ce soir, tu peux préparer tes bagages… bien que tu n'auras pas vraiment besoin de vêtements…
-Trésor ! Je t'aime ! »
Kurama embrassa Hiei avec passion.
Au bout de quelques minutes, le petit démon se dégagea.
« Je t'aime aussi. Mais j'ai la dalle. J'avais oublié ce que c'était que d'avoir un yohko insatiable dans mon lit.
-Il me semble que tu n'étais pas en reste.
-Non mais j'ai économisé mes forces en vue de ce week-end.
-Je peux te dire tout de suite que tu en auras besoin.
-Très bien. Alors, je fais faire honneur à ton petit-dèj. »
Kurama regarda son amour dévorer les plats. Hiei ne faisait toujours pas la cuisine. Il s'y était bien essayé à quelques reprises mais ça avait été une belle catastrophe.
Et Kurama prenait toujours autant de plaisir à cuisiner pour son amant.
Hiei regarda l'heure et se leva soudainement.
« Je vais être en retard ! s'écria-t-il. »
Kurama éclata de rire et l'accompagna jusqu'à la porte.
Hiei se retourna.
« Mon cœur, est-ce qu'il y a une fleur qui te ferait envie ? »
Le yohko sourit.
« Des œillets. »
Hiei sourit à son tour. Bien plus que les roses rouges qui signifiaient la passion, les œillets étaient pour eux une marque d'amour. La toute première. Le tout premier bouquet offert par Hiei à Kurama.
Des fleurs pour son amour. Toujours.
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Les étoiles se reflétaientsur l'eau du lac. La barque flottait lentement sur l'étendue calme.
Puis soudain, elle s'agita dangereusement.
« Hiei ! Tu vas nous faire chavirer !
-Mais non !
-Je te dis que si !
-Et après ? Tu sais nager, non ?
-C'est pas le problème.
-C'est quoi ?
-J'ai les angles du banc qui me rentre dans le dos.
-Pardon, mon cœur. »
Kurama eut un sourire espiègle. Et Hiei se prit au jeu.
« J'y peux rien aussi, c'est ces foutus yukatas ! Quand je te vois habillé comme ça, j'ai qu'une envie, c'est de te l'enlever.
-Tu veux me déshabiller, trésor ? Alors, rame. » Kurama tendit les deux rames à son amant.
« Très bien, fit Hiei en manoeuvrant la barque. »
Avec toute la puissance qu'il déploya, il ne fallut que quelques secondes à Hiei pour emmener la barque jusqu'au ponton. L'arrêt fut un peu brutal.
L'embarcation heurta le ponton de bois violemment.
Hiei et Kurama furent projetés dans les airs.
Le jaganshi se récupéra rapidement sur le sol, tendit les bras et réceptionna Kurama.
« Hum, un kistuné qui tombe du ciel… C'est pas courant, ça.
-Idiot ! Tu pouvais pas y aller en douceur pour une fois ?
-Douceur ? Connais pas.
-Je n'en suis pas si sûr, fit Kurama en tendant ses lèvres. »
Hiei l'embrassa effectivement très doucement et très tendrement.
Puis ils s'installèrent dans l'herbe, Kurama toujours blotti dans les bras de Hiei.
« Trésor, j'aimerais te demander quelque chose… »
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J'ai cru que j'allais mourir. Mourir sous ces étoiles. Mon cœur battait bien trop vite, bien trop fort.
Kurama ne m'oubliera pas. Il ne peut pas m'oublier. Mon sang coule dans ses veines comme le sien coule dans les miennes.
Un rite ancestral. Sans doute la seule chose un tant soit peu sacrée du makai.
Et tellement rare que je n'osais y penser.
Mais mon amour l'a fait. Nous sommes unis.
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J'ai entendu son cœur s'accélérer alors que le mien ralentissait.
Et puis sa voix quand il a accepté avec émotion. Et ses baisers sur mon visage, avec une joie qu'il n'arrivait pas à contenir.
Ce lien n'a pas de valeur au yeux des humains mais en tant que yohkais, nous savons tous les deux ce qu'il signifie.
Nous sommes unis, liés. Définitivement et pour des siècles.
FINQuand je disais que ce chapitre ne servait à rien… Mais voilà, ils sont heureux, ils en profitent, honnêtement, je vois pas pourquoi ils se priveraient et ils vont vivre longtemps et avoir beaucoup d'enfants, ah non, zut, je me trompe de fin !
Mais bon, j'avais prévenu que cette fic ne serait pas sensationnelle. Je me suis quand même fait plaisir à l'écrire et j'espère que vous avez eu plaisir à la lire.
Sinon, en ce qui concerne Shû-chan. Et oui, il s'est planté. Mais ça ne se termine pas si mal pour lui, donc ça va. J'aime aussi beaucoup la façon dont il se dispute avec Hiei, c'est vraiment un sale gosse!
Alors, maintenant, nous allons arriver au cœur du problème : à savoir, quelle fic vais-je bien pouvoir faire maintenant ?
La suite du « Rêve était presque parfait » ?
Une séquelle de « Que je ne puisse plus avoir peur ? »
Un one-shot débile ?
Pour ceux qui sont allés voir sur mon profil, il y a un petit listing des fics prévues (il faut que je le remette à jour) donc, je serais curieux de savoir celle que vous attendez avec impatience.
Autre question : Est-ce qu'il y a ici des fans de Fullmetal Achemist et de Saiyuki ? Parce que j'ai aussi des fics prévues sur ces séries.
Surtout une sur FMA qui était censée être un one-shot et puis évidemment, les idées se sont ajoutées au fur et à mesure et ça promet d'être une fic plus longue et assez noire (avec un rôle à faire frémir pour Alphonse… J'en frisonne d'avance…).
Voilà, j'attends vos avis.
Autre information : Don't forget me a été postée rapidement mais je ne pense pas que ça dure car j'ai aussi envie de me consacrer à mes écrits personnels pendant mes vacances, surtout en ce moment où mon cerveau fourmille mais comme d'habitude, j'essaierais de maintenant un rythme correct, c'est à dire un chapitre par semaine minimum. En priant le grand dieu des ordis pour que l'envoi des chapitres en 56k marche !
Comme toujours, je vous remercie tous pour vos reviews. C'est incroyable comme ça m'encourage et je l'ai déjà dit, je sais, mais ça me fait toujours autant plaisir d'avoir des lecteurs aussi fidèles.
Merci à tous et rendez-vous pour ma prochaine fic.
