Titre : « On est tous humains »

Auteur : LaMartienneElfique

Disclamer : Les personnages de Harry Potter ne sont pas à moi, ils sont à J.K.R. Mon but n'est pas de faire de l'argent, je fais ça pour mon propre plaisir car j'adore écrire des histoires. Merci. Bonne Lecture !

Résumé : Un après-midi à Poudlard, Draco s'ennuie avec Pansy. N'ayant rien à faire, ils feront un marché complètement idiot qui changera la vie d'une Gryffondor qui est nulle autre que Hermione Granger. Draco/Hermione.

Note : Cette histoire est un délire pur de mon imagination, mais je m'ennuyais profondément aujourd'hui et je n'avais pas trop envie d'être sérieuse donc j'ai commencé à écrire cette prétendue histoire… Ça n'a aucun caractère littéraire digne de ce nom et je le répète, rien de sérieux, c'est que du délire et je me demande en fait pourquoi je publie ça lol ! Un chapitre dans la tête de Draco, un autre dans celle de Hermione et ainsi de suite.

CHAPITRE 1 : « C'est n'importe quoi »

Je m'ennuie. Ça va faire des heures que je fixe les rideaux verts de la salle commune, étendu sur le fauteuil, la tête en bas. En y repensant, c'est vraiment un drôle de vert. On dirait un mélange de vert olive et de vert moisi, c'est assez bizarre. J'ai presque, et je dis bien presque, une préférence pour le rouge et le jaune. Enfin bon je n'en suis pas encore à idolâtrer les couleurs des saletés de Gyffondor. J'ai quand même de la dignité. Bon, je crois que le sang me monte trop à la tête, je devrais songer à me redresser. Seulement, je me suis mis la tête en bas justement pour éviter de devoir entendre les idioties que Pansy me raconte depuis deux heures. Quoi que ça ne fonctionne pas. Je l'entends toujours parler de son cher Blaise Zambini. Ils sortent ensemble depuis trois semaines. Ma vie est donc un enfer depuis car elle n'arrête pas de me raconter ce qui se passe entre eux. Le pire c'est qu'ils s'engueulent tout le temps. Ils sont tous les deux possessifs, jaloux et dépendants affectifs alors vous imaginez le portrait. D'ailleurs, je me demande pourquoi Zambini n'est pas encore venu me voir pour me dire de ne pas m'approcher de sa copine sous peine de me faire casser la poire. Ça doit être ma réputation. Personne n'ose jamais s'en prendre au grand Draco Malfoy, c'est bien connu.

« Drayyyyy ! Tu m'écoutes ! » Me crie une voix stridente.

Ça me prend quelques secondes pour me redresser et voir Pansy agiter les bras devant moi. On dirait un gros oiseau qui n'arrive pas à voler. Vraiment, je ne sais pas ce que j'ai fais pour avoir cette fille collée à mes baskets vingt-quatre heures sur vingt-quatre. Elle ne pourrait pas prendre quelqu'un d'autre pour meilleur ami comme elle se plait à dire. Franchement, c'est enfantin. Je m'efforce quand même de lui répondre.

« Je t'écoute Pansy. Tu étais en train de parler de Zambini. »

Elle semble satisfaite de ma réponse car elle recommence à jacasser quelque chose au sujet de son bien-aimé en gloussant toutes les deux minutes. Désespérant. J'ai soudainement une idée pour la faire taire.

« Dis Pansy, combien de temps tu peux résister sans parler de ton petit chéri ? »

Ça marche à tous les coups ça. Dès qu'on provoque quelqu'un, il mord. Ça va toucher son orgueil, elle va se la fermer et moi je vais avoir la paix.

« Je pourrais si je voudrais, mais j'adore tellement parler de lui. » Me répond Pansy en rougissant.

Rougir, c'est pathétique. On dirait qu'elle en est à son premier flirt. Même à mon premier rendez-vous je n'ai pas rougit moi. Enfin bon, mon truc n'a pas l'air de fonctionner sur elle, mais attendez, je ne m'avoue pas vaincu si facilement.

« J'suis sûr que t'es pas capable. » Je la défie.

« Oui je suis capable ! »

J'ai l'impression de causer à mon petit cousin de dix ans qui me contredit tout le temps. Tiens, je crois avoir trouvé l'idée du siècle. En tout cas, ça marche avec mon cousin. Je n'entendrai plus parler de Zambini pour un bon moment j'ai l'impression.

« Ah ouais ? On pari ? »

« D'accord. » Elle me répond, sur d'elle.

« Tu dois arriver à ne pas me parler de Zambini pendant un mois entier. »

Bon, c'est peut-être beaucoup, mais j'en ai vraiment marre de l'entendre me raconter sa vie. De toute manière, elle ne tiendra jamais le coup. D'ici une semaine elle va craquer, c'est certain.

« Si je gagne, tu fais mes devoirs de Métamorphose jusqu'à Noël. »

Je ne suis pas paresseux, c'est juste que je déteste ce cours. McGo est tellement coincée. Elle nous fait faire des exercices vraiment bidon et ses devoirs sont trop nuls. Je m'endors presque en les faisant à chaque soirs. Puis je ne suis pas inquiet pour mes notes, Pansy est surdouée en Métamorphose.

« Ça marche, mais si c'est moi qui gagne, tu vas devoir… » Dit-elle sur un ton menaçant.

Elle pense me faire peur là ou quoi ? Rien de ce qu'elle dira ne pourra me faire peur, mais bon, si ça peut lui faire plaisir, je vais la laisser avoir ce petit bonheur et attendre patiemment la suite.

« Tu vas devoir rendre Hermione Granger amoureuse de toi. »

« QUOI ! » Je m'exclame, pétrifié d'horreur.

Rectification, elle peut réussir à me faire peur, mais il y a des limites à traumatiser les pauvres gens quand même. En plus, je viens de manger moi !

« T'es folle ou quoi ! » Je lui lance à la figure.

« Si t'as la trouille je comprendrai. » Me dit-elle innocemment.

Moi ? Avoir la trouille ? Draco Malfoy avoir peur ? Non mais c'est qu'elle sait pas à qui elle parle celle-là. Je n'ai pas la trouille, c'est juste que… Bah c'est Granger quoi ! Autant aller draguer l'espèce d'épouvantail dans le jardin de Hagrid, ils ont la même coiffure.

« Non, ça marche. » Je lui dis en lui serrant la main, question de rendre la chose officielle.

Maintenant, je n'ai plus qu'à attendre qu'elle ouvre une nouvelle fois la bouche pour avoir congé de dissertations de Métamorphose jusqu'aux fêtes. Par contre, au lieu de ça, elle se lève et s'en va.

« Où est-ce que tu vas ? »

« Prévenir Hermione Granger que tu comptes la séduire dans un mois. »

Elle disparaît de l'autre côté du tableau avec un sourire idiot sur le visage. Ce qu'elle peut être agaçante quand elle s'y met. Je crois que je vais passer le reste de la journée à attendre ici. Pansy va probablement revenir et elle va parler de Zambini. Elle est tout le temps en train de parler de lui, c'est impossible qu'elle arrête comme ça du jour au lendemain. À ce moment, je me demande si je ne suis pas en train d'essayer de me convaincre. Pour être certain de gagner, je crois que je vais aller voir Crabbe et Goyle, question d'avoir toutes les cartes en main.

O-o-O

J'ai perdu l'appétit depuis quelques jours. Ça fait trois semaines et six jours que Pansy n'a pas dit un seul mot sur son petit chéri. Je commence vraiment à angoisser. J'avais pourtant bien dis à Crabbe et Goyle de la faire parler. Il faut croire que c'était trop demandé à ces deux imbéciles. Je ne sais pas pourquoi ça me surprend car ils n'ont jamais dit ou fait quoi que ce soit qu'un veracrasse ne saurait faire. À cet instant je vois passer Granger devant moi et je me sens tout nauséeux. Pansy aurait pu choisir quelqu'un d'autre qu'elle franchement. Note à moi-même, ne plus jamais parier quoi que ce soit avec Pansy Parkinson.

J'ai même essayé de proposer de l'argent à Zambini pour qu'il largue Pansy pour un temps. Ce crétin n'a rien voulu entendre. Ma proposition était pourtant honnête. Elle n'était pas juste j'en conviens, mais tous les coups sont permis pour gagner. Puis Pansy n'a fait aucune règle dans ce pari. Je dois trouver quelque chose pour la faire parler sinon je me tire une balle.

« Hey, Pansy ! Ça fait un mois ! » Je lui ai crié le jour suivant.

« Il reste encore quatre jours Dray, tu ne m'auras pas et tu vas perdre. »

Pourquoi elle se montre tout à coup intelligente celle-là ? Quelqu'un voudrait-il bien me le dire ? D'ordinaire elle agit comme une groupie avec le Q.I. de Crabbe et Goyle et soudainement, elle devient aussi brillante que Miss Je Sais Tout. Oh non, pas elle ! Je ne veux même pas y repenser, mon dernier repas va me remonter dans la gorge si je refais allusion à Granger. Et en plus, c'est une salle petite sang de bourbe. Je me vois mal fraterniser avec l'ennemi de la sorte. Ce pari empoisonne mon existence.

O-o-O

« DRAYYYYYYYYYYY ! »

Je suis dans mon lit. Il fait encore noir. Quelle est cette voix dans ma tête ? Voyons, qui pourrait venir me réveiller dès l'aube un premier octobre ? Un instant ! On retourne en arrière… PREMIER OCTOBRE ! Oh, je sens que je vais être malade. J'enfouie ma tête sous mon oreiller alors que Pansy entre en furie dans ma chambre et commence à sauter sur mon lit comme une harpie qui a un urgent besoin de ritalin.

« Dégage Pansy ! » Je grogne.

« Tu sais quel jour on est ? » Me dit-elle, trop enthousiasme à mon goût.

J'évite de répondre. Je dois sûrement faire un rêve. Allez, réveille-toi Draco ! Réveille toi, ce n'est qu'un cauchemar ! Pourquoi je ne me réveille pas ? Ça y est, la voilà qui tire sur mes couvertures maintenant. Je la hais, je la hais, je la hais !

« Allons paresseux ! Il faut te lever, c'est un grand jour aujourd'hui. Tu ne voudrais quand même pas faire attendre ta chérie Gryffondor. »

Je lui balance mon oreiller en pleine figure. Normalement, c'est moi qui utilise des sarcasmes quand je parle, pas elle. Je déteste cette inversion des rôles. Je me résigne toutefois à me lever, n'ayant plus de couvertures et d'oreiller. Elle quitte ma chambre en gambadant comme le petit Gryffondor photographe crétin qui aveugle toujours tout le monde avec le flash de ses photos. Il m'est souvent arrivé de croire que Pansy n'était pas dans la bonne maison à Poudlard. D'ailleurs, pendant que j'y pense, ça fait un moment que je ne lui aie pas mis la tête dans le lac à ce gamin photographe. Il va falloir y remédier rapidement, question d'extérioriser mes pulsions meurtrières du moment.

Dans le premier cours de la journée, je vois Granger avec le balafré et la belette, deux rangées en avant de moi. Pansy est assise avec Zambini à l'autre bout de la classe. Je n'aime pas la manière dont elle me regarde. C'est très mal de rire du malheur des autres. Elle ne semble pas y faire attention et n'arrête pas de murmurer des trucs à son amoureux en me jetant des drôles de regards. Je vais tuer cette fille un jour. Elle va finir en pâté et on va la refiler à dîner aux Gryffondor. Le cours est vraiment long, j'ai hâte qu'il se termine. J'en ai marre de me faire dévisager par Pansy et Zambini.

Enfin, le cours se termine. J'entends Potter raconter à son ami qu'ils ont une pratique de Quidditch. Pansy me fait un clin d'œil. Elle les a entendu aussi. J'ai déjà mentionné que je la détestais aujourd'hui ? Potter et Weasley se dépêchent de quitter la salle de cours. Pansy passe prêt d'eux et pousse accidentellement Granger avant de s'en aller en riant. Les livres de Granger tombent par terre. Là je me sens tiraillé entre ma fierté d'être Draco Malfoy et la tête que ferait Pansy et Zambini si j'abandonne ce pari ô combien stupide. Tant pis, je crois que ma pauvre fierté va prendre un sale coup.

« Attends, je vais t'aider. » J'articule difficilement à Granger en ramassant un de ses livres.

Bon, ça va hein, c'est pas la peine de me regarder comme si j'étais Voldemort en personne. Je lui donne un coup de main là, je ne suis pas en train de la menacer de mort, elle pourrait réagir autrement. J'avoue que ça de quoi surprendre étant donné que c'est la première fois que je suis gentil avec elle. En y repensant bien, je crois que c'est la première fois que je suis gentil tout court. Hum, ma conscience va se prendre un coup elle aussi si je continu à penser moi.

« Tu les as tous ? » Je lui demande alors qu'elle enlève de la poussière de sur son cahier de Sortilèges.

« Heu, oui. » Dit-elle brièvement, prête à s'en aller à toutes jambes devant moi.

« Au fait Granger… » Je commence à dire sans trop savoir où je m'en vais comme ça.

Elle se retourne vers moi et au moment où je suis sur le point de finir ma phrase, je remarque un drôle de fil noir dans son cou.

« Qu'est-ce que c'est, ça ? » Je demande en pointant le fil du doigt.

Elle semble soudainement mal à l'aise. Cachant le fil sous sa cape, elle se prépare à s'en aller, mais je la retiens par le poignet. Avec l'air qu'elle me fait, je sens que je n'aurai pas droit à un compliment. C'est mal parti pour mon pari.

« Écoute Malfoy, je ne sais pas ce que t'essaies de faire, mais va le faire avec quelqu'un d'autre. » Dit-elle sèchement.

Elle n'a même pas idée à quel point j'en aurais envie. La laisser partir et passer mon temps avec une fille qui n'a pas que les livres comme raison de vivre, ça ne serait pas de refus. Seulement, j'ai un parti ridicule à honorer.

« Je veux juste savoir ce que tu portes dans le cou. »

« Ça ne te regarde pas ! »

Je songe à ce moment que ça va être du sport tenter de la séduire. D'ailleurs, j'arrive toujours pas à m'y faire. Séduire Granger, puis quoi encore ? C'est vraiment répugnant. En plus, si jamais elle en parle à ses deux amis, ça va me compliquer la tâche et la vie par la même occasion.

« Allez, c'est quoi ? » J'insiste.

Elle ne me répond pas et se dirige vers la sortie de la classe. Pas question qu'elle s'en sorte si facilement. Je la rattrape et je lui enlève subitement le fil du cou. Elle se retourne en colère vers moi. Granger tente, il faut l'avouer, de récupérer son objet bizarre d'une manière navrante. C'est-à-dire en m'ordonnant de le lui rendre. Chose que je ne fais pas. J'observe le drôle d'objet. Un genre de petit rectangle gris avec des boutons argentés d'où sort un long fils qui se sépare en deux. Au bout il y a deux petits ronds noirs cousinés.

« Qu'est-ce que c'est que ça ! »

« Un lecteur mp3. » Me répond-elle.

« Un quoi ? »

« C'est un objet Moldu. Ça sert à écouter de la musique, espèce d'idiot ! » Explique-t-elle en m'insultant au passage.

Bien que je ne comprenne pas comment de la musique puisse sortir de ce drôle de machin grisâtre, je vais le garder. Et puis je ne suis pas idiot comme elle dit. Je suis sorcier, c'est tout. Non mais comme si j'avais du temps à perdre à choisir le cours d'Étude des Moldus comme option. Lorsque Granger se rend compte que je n'ai nullement l'intention de lui rendre son précieux objet, elle s'énerve.

« C'est bon, redonne-le moi maintenant. » Dit-elle en tendant la main.

Une idée gerbe soudainement dans mon esprit.

« Je te le redonne à une condition. » Dis-je mystérieusement.

Elle reste plantée debout devant moi en croisant les bras, poussant un long soupir.

« Accepte de m'accompagner au bal d'Halloween à la fin du mois. »

Ça y est, elle va s'étouffer. Je ne vois pas pourquoi quand même, j'ai beaucoup plus de charme que le balafré, la belette ou l'autre torchon avec qui elle a été au bal pendant le Tournoi des trois sorciers. Je m'étonne au passage de me souvenir de ce détail. Enfin, j'attend qu'elle se remettre du choc. Elle semble vouloir parler, mais aucun son ne sort de sa bouche. Elle finit par secouer la tête et sortir du cours. Je ne cherche pas à la rattraper. J'ai toujours son lecteur machin truc donc rien n'est perdu. Je retourne dans la salle commune des Serpentard.

En entrant, Pansy se jette sur moi. C'est ça, oui, t'as gagnée, viens pas m'emmerder. La situation est déjà assez difficile comme ça sans que j'endure son caractère d'enfant gâtée. Je monte immédiatement dans ma chambre et me laisse tomber sur mon lit. Pas de chance, Pansy me suit et s'assit à côté de moi. Note à moi-même, installer un verrou sur la porte.

« Alors, comment ça s'est passé ? » Me demande Pansy, sur le point d'éclater de rire en entendant ma réponse.

« Pas mal. Elle va m'accompagner au bal d'Halloween. »

« Elle t'a dit oui ? » S'écrie Pansy, les yeux aussi ronds que mon grand duc quand je lui donne des cacahuètes.

« Elle va le faire. »

« Ouais, c'est ça. » Me répond-elle, l'air visiblement sceptique en quittant ma chambre.

Je n'y porte pas attention car sans vouloir me vanter, j'ai un charisme naturel et Granger ne pourra pas refuser de m'accompagner au bal. D'accord, je fais du chantage pour y arriver, mais je vous jure que mon charisme de Malfoy y est pour quelque chose. En attendant, je tente de trouver comment son lecteur de musique fonctionne. J'essaie un bouton et il ne se passe rien. J'appuie sur un deuxième et de la musique s'échappe des deux ronds cousinés.

J'en prend un et le colle à mon oreille afin d'écoute la chanson en regardant le rectangle gris qui vient de faire de la lumière. En regardant de plus près, je peux lire « Avril Lavigne – Under My Skin ». Waw, tu parles d'un nom bizarre ! Le premier qui dit quoi que ce soit sur le mien, je lui fais sa fête ! Je ne savais même pas que ça existait comme prénom « Avril », c'est tout. À entendre la musique, j'en déduis que c'est une fille. Je ne croyais pas que le rock aurait été le genre de Granger. Loin de moi l'idée d'être méchant, mais je m'attendais à entendre un truc plus quétaine.

Bon, c'est bien beau tout ça, mais je dois préparer la prochaine rencontre avec Granger si je veux que ça se passe mieux que la première. Oh par Merlin, je me désespère moi-même. Je vais finir par y prendre plaisir à cette histoire, c'est désolant. Mais attendez, dans un sens, c'est une façon de me venger de Potter et Weasley par la même occasion en leur volant leur si précieuse Granger.