Salut tout le monde! Je sais que ça fait très longtemps que je n'ai pas mis à jour ma fic et j'en suis vraiment désolée. Le travail scolaire prenait tout mon temps, et je n'avais même plus le temps d'utiliser mon ordinateur. Bref, voici le nouveau chapître tant attendu que j'ai fait plus long que d'habitude. J'espère qu'il va vous plaire et surtout, ne vous gênez pas pour me faire part de tous vos commentaires. Bonne lecture!

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Une dame, le visage ridé par les années, était tranquillement assise derrière le bureau. Lorsque Kagome entra, elle leva les yeux de son travail et lui demanda gentiment si elle était la nouvelle élève. Kagome lui répondit par l'affirmative. La vieille dame se leva dans un grincement et se dirigea vers un grand classeur gris. Pendant qu'elle feuilletait en fredonnant pour elle-même les divers dossiers des élèves, Kagome en profita pour regarder le décor qui l'entourait. Elle remarqua que les meubles anciens étaient très beaux avec leur fini lustré et que l'ambiance se dégageant de la pièce était très agréable et chaleureuse. Elle remarqua aussi que le nom de la secrétaire était indiqué sur une plaque de cuivre, mais elle n'eut que le temps de lire «Mrs. Kaede» avant d'être interrompue par la secrétaire qui lui donna son horaire. En profitant pour jeter un rapide coup d'oeil à celui-ci, elle remarqua qu'il y était inscrit des cours étranges comme celui de maniement d'armes, d'auto-défense et d'incantations et sorts qui accompagnaient les cours normaux comme mathématique et science. Hélas, la première cloche interrompit le cours de ses pensées et elle ne put demander à la vieille dame ce que ces noms de cours faisaient sur son horaire. Ayant peur d'arriver en retard à son premier cours, elle salua la dame qui lui souhaita une bonne journée et se dirigea vers le local de son cours de math.

Cela ne lui prit que quelques minutes pour trouver la soi-disant salle de cours. La porte était fermée ce qui permit à Kagome de regarder un peu de quoi elle avait l'air. C'était une grande porte foncée avec une simple poignée faite d'acier inoxydable et qui ne comportait qu'une simple serrure. Elle se rendit alors compte de ce qu'elle faisait et se sermonna intérieurement de porter attention à des détails aussi insignifiants qu'une simple porte. Se ressaisissant, elle s'en alla poser la main sur la poignée, mais ce fut un drôle de bruit qui l'arrêta: on aurait dit quelque chose de dur et de plein tombant sur le sol tout près de la porte. Intriguée, Kagome ouvrit la porte et fit un pas dans la classe. À son grand étonnement, le plancher était mou et dur à la fois. Quelle ne fut pas sa surprise lorsque, regardant à ses pieds, elle vit que c'était sur la tête de quelqu'un qu'elle avait marchée! Poussant un cri de surprise, elle se dépêcha d'enlever son pied du visage du pauvre garçon.

«Est-ce que tout va bien?» demanda-t-elle, un peu inquiète.

Malheureusement, le garçon était inconscient et ne put lui répondre. Par chance, une fille de la classe, qui était assise un peu plus loin, vint la rassurer sur l'état du jeune homme. Cette fille avait de longs cheveux foncés attachés en queue de cheval et l'on pouvait voir dans ses yeux qu'elle était très forte psychologiquement, mais Kagome ne saura que plus tard que celui-ci n'était pas inébranlable. La jeune femme se présenta sous le nom de Sango et spécifia que le garçon sur qui elle avait marché se nommait Miroku. Ce fut à ce moment-là que Kagome décida de lui demander ce qui était arrivé au garçon en question.

-C'est moi qui l'ait assommé avec mon sac d'école, répondit tout bonnement Sango. Si tu te tiens près de lui, tu vas vite voir pourquoi. Je le connais depuis des années et, franchement, on peut vraiment le qualifier de tenace.

-Ah bon, comment cela? demanda Kagome.

-Eh bien, pour tout dire, c'est un pervers. Il drague toutes les jolies filles qu'il croise, ce qui le met souvent dans le trouble. Mais il peut être sérieux quand il le faut, hélas, ce n'est pas souvent que ça arrive.

-Dis moi si je me trompe, mais on dirait que tu en pinces pour lui, la taquina Kagome.

-Bien sûr que non! Qui pourrait bien tomber en amour avec un pervers pareil!

Pourtant, la rougeur de ses joues le démentait et Kagome se dit que ce serait amusant de voir si ces deux-là finiraient par sortir ensemble. Riant intérieurement, elle se demanda si Miroku s'était réveillé car le cours allait bientôt commencer. À sa grande surprise, celui-ci était justement en train de se rasseoir à son pupître.

-Hé Sango! Tu n'y a pas été de main morte cette fois. Je sens que je vais avoir une bosse énorme sur la tête, dit-il.

-Tu l'as bien mérité, répondit une Sango un peu fâchée. Tu n'apprendras jamais!

-Eh non, ma chère Sango, je suis ainsi fait. Oh! s'exclama-t-il en voyant Kagome assise à côté de Sango. Dites-moi, chère demoiselle, je ne crois pas vous avoir déjà vue dans les environs. J'aurais une question très importante à vous demander.

Lui prenant les mains dans les siennes, il n'eut que le temps de dire «Est-ce que vous voudriez être la ...» avant qu'il ne retourne voir le sol de plus près. Rien d'étonnant à cela: un coup de poing l'avait fait taire. Plus précisément, un coup de poing appartenant à nulle autre qu'à Sango.

-Tu ne veux pas savoir ce qu'il était sur le point de dire, dit Sango. Mais avec tout cela, j'ai carrément oublié de te demander ton nom.

-Je m'appelle Kagome Higurashi.

-Ravie de faire ta connaissance même si ce n'était pas dans les meilleures conditions. Je ne sais pas pour toi, mais moi, j'ai l'impression qu'on va bien s'entendre toutes les deux, lui dit Sango avec un grand sourire avant d'aller réveiller Miroku pour le début du cours.

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C'est tout pour ce chapître! J'attends avec impatiente vos commentaires. À la prochaine!