Note de la traductrice : Mes plus plates excuses pour le délai. Parfois je suis devant mon fichier et ma seule pensée c'est « What The Fuck ?! » et puis je le ferme et je l'ignore… Cette histoire est une épreuve pour moi, mais je la terminerai pour vous. C'est une promesse. Il reste deux chapitres.

West Pointe possède une Académie militaire de l'armée de terre américaine, l'une des écoles les plus prestigieuse aux Etats-Unis.


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Chapitre 10

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Stiles prit en charge une partie de la planification des funérailles de la famille Hale à la place de son père. Le shérif essayait de prendre toutes les décisions pour son gendre afin qu'il n'ait pas à y penser, mais Stiles voulait s'en occuper. Malgré le fait que Derek ne le tienne manifestement pas responsable de quelque façon que ce soit, Stiles se sentait toujours un peu coupable et il estimait que c'était une façon d'améliorer la situation.

Beaucoup de gens de la réserve étaient plus que disposés à aider. L'assurance prit soin de l'argent avec tout ce qu'il restait, pour que Derek n'ait pas à s'inquiéter de son avenir financier. En plus de cela, l'un des leprechauns avait trouvé comment investir, alors le shérif lui avait donné une partie de l'argent de Derek et lui avait dit de le faire fructifier. Les leprechauns aimaient l'argent sous quelque forme que ce soit et comme ils n'étaient pas très nombreux pour combattre, le clan qui vivait à Beacon Hills avait l'impression de pouvoir participer à l'effort de guerre de cette façon.

Stiles passa beaucoup de temps à étudier les tactiques de guerre, à les regarder sur Internet et à consulter Rupert. Tokala le mit en contact avec des gens de West Pointe qui étaient très intéressés de discuter avec Stiles. Il devait s'empêcher de dévoiler trop de secrets sur son espèce, mais il était plus que disposé à partager tout ce qu'ils demandaient au sujet de la cour Unseelie.

L'école avait bien sûr été annulée alors que les humains quittaient la réserve et se dispersaient à travers le reste de la civilisation à l'annonce de Tokala, qui était à peu près sûr que Beacon Hills serait attaquée. Il y avait des camps ennemis près de l'ancienne maison Hale, un fait qui mettait Derek en colère et le faisait redoubler d'efforts sur l'entraînement de sa meute. Ils étaient tous concentrés, la situation de ce côté-là se présentait bien et le Marrok avait envoyé d'autres loups-garous pour les aider. Apparemment, beaucoup de loups-garous avaient été mordus pendant la guerre du Vietnam, ce qui était une bonne chose parce que Stiles croyait que beaucoup des nouvelles guerres n'avaient pas été menées avec les mêmes tactiques et qu'ils auraient besoin de certaines choses que d'autres pourraient considérer comme sales. Il ne pensait pas que la cour Unseelie comprendrait les « tactiques de guerre civilisées » et que de nombreux humains et loups-garous récents hésiteraient s'ils devaient faire quelque chose qui serait considéré comme barbare. Il savait que l'ennemi n'aurait pas les mêmes opinions morales.

Tous ces événements ne conduisirent à des moments joyeux pour Derek et Stiles, ce qui se trouvait être la chose la plus frustrante au monde pour Stiles. Maintenant qu'il était autorisé à toucher, goûter et sentir, ils n'avaient plus de temps. Ils dormaient toujours ensemble ou plutôt passaient leur temps inconscient ensemble, parce qu'ils tombaient tous les soirs d'épuisement et n'avaient pas assez d'énergie pour faire plus que s'embrasser rapidement et se tenir fermement avant de s'évanouir. Il se sentait coupable de vouloir cela de Derek quand Derek s'occupait de tant d'autres choses et il se sentait coupable de vouloir cela pour lui-même alors qu'il savait que son énergie devait être dépensée ailleurs, mais bon sang il ne voulait que ça.

Cela n'a pas aidé les choses que Derek soit si glorieusement sexy, tout en sueur et musclé pendant qu'il entraînait les loups dehors ou lorsqu'il rentrait à l'intérieur, sentant le pin, la sueur propre et son odeur naturelle, pour prendre de l'eau. Il donnait à Stiles ces regards « Je suis si triste, mais je suis heureux de te voir dans ma cuisine en train de planifier une guerre » qui conduisaient Stiles à vouloir s'affaler contre un mur, puis il retournait dehors ; dans son long pantalon de survêtement qui n'aurait pas dû être sexy mais qui l'était totalement ; et allait soulager davantage sa douleur. Stiles était d'accord avec ça, bien sûr, mais il aurait préféré qu'une partie de sa douleur soit soulagée avec lui.

Alors Stiles continua à planifier une guerre dans un état de frustration sexuelle dont Rupert lui assurait que chaque général était obligé de subir et peut-être que si l'autre camp s'était davantage envoyé en l'air, ils n'auraient pas fait en sorte que leur partie renonce à se faire baiser en faveur de la planification de contre-mesures à leur encontre en premier lieu.

Stiles concéda que Rupert avait présenté un excellent argument, mais il ne s'était toujours pas envoyé en l'air, alors au lieu de répondre, il ne fit que grogner.

Les enfants, cependant, les enfants étaient une grande distraction pour Stiles. Isaac et Boyd avaient tous les deux tendance à s'accrocher à chacune de ses jambes, ce qui lui rendait la marche difficile. Ils exigeaient des histoires et des biscuits, en bons enfants exigeants qu'ils étaient, mais ils se contentaient généralement de l'un ou l'autre. Stiles essayait de prendre quelques heures de sa journée pour mettre en place une sorte d'école pour eux, s'assurant qu'ils lisaient à leur niveau et faisaient des problèmes d'arithmétiques qu'il inventait. Boyd faisait des fiches de multiplication, Isaac des fiches d'addition et il leur faisait pratiquer leur écriture jusqu'à ce qu'elle soit belle. Il les faisait lire et illustrer leurs propres histoires pour les accrocher sur le réfrigérateur avec des aimants et Derek venait à l'intérieur après l'entraînement tous les soirs et déclarait que ses fils étaient des génies.

Ils les appelaient papa Stiles et papa Derek à la fin de leur première semaine ensemble et Stiles marmonna à Rupert que lui et la Vierge Marie avaient quelque chose en commun. Derek l'entendit et il fronça un peu les sourcils, mais rien ne fut fait parce qu'il y avait encore cette énorme guerre qui approchait.

Stiles aimait avoir les enfants près de lui et son père insista pour qu'il emménage avec Derek afin qu'il puisse mieux surveiller ses enfants. Rupert n'était pas fan de ce plan, mais il l'aida à tout emballer et déménager vers ce que tout le monde appelait la Nouvelle Maison Hale.

Un mois après les funérailles des Hale, Stiles était au milieu de la lecture du Livre des Invasions, qui faisait partie du Livre de Leinster, l'une des sources les plus précises qu'il avait pu trouver sur la dernière guerre des Faes, quand Derek le lui retira de la table. Stiles remarqua que tout le monde était sorti de la maison, ce qui était la première fois que cela arrivait depuis toujours et il regarda Derek un peu confus.

Derek s'était douché et avait enfilé un jean, et il tirait légèrement sur la main de Stiles. « Je ne sais pas comment tu veux faire ça, » dit-il. « Mais je ne peux plus attendre. J'ai essayé de garder mes mains loin de toi, mais il y a juste des choses que tu vas devoir faire en tant que compagnon. »

Stiles se sentait confus, mais les choses devinrent plus évidentes pour lui lorsque Derek l'entraîna vers leur chambre.

Stiles aurait bien corrigé l'hypothèse de Derek selon laquelle il ne voulait pas faire ça, mais ça lui aurait pris du temps sur la permission qu'on lui donnait de faire toutes les choses qu'il voulait faire à Derek, alors au lieu de protester, il l'embrassa juste en plein au milieu du couloir dès qu'il comprit ce qui se passait.

Derek ne sembla pas se soucier tant que ça de sa réaction et s'il était surpris, il décida apparemment qu'y réagir pouvait attendre plus tard. Ses mains étaient trop occupées à tirer sur le t-shirt de Stiles qui fit un très joli désordre sur le sol du couloir et son propre haut qui créa une sorte de symétrie soignée quelques pas plus loin. Stiles était sûr qu'ils pourraient admirer l'œuvre d'art que leurs vêtements avaient créés plus tard, parce que juste alors, la main de Derek glissa vers l'arrière de son pantalon et se posa sur son cul comme si Stiles pouvait vouloir s'éloigner de lui.

Stiles ne pouvait pas s'empêcher de le toucher, de glisser sa main sur la peau veloutée couvrant les muscles durs, façonnant sa chair en petits monticules auxquels s'accrocher, léchant sa bouche et sa gorge dans une tentative désespérée de connaître son goût.

Derek donna un coup de pied à la porte de leur chambre, le poussant à l'intérieur puis le pressant contre la porte pour que Stiles puisse avoir une sorte de soutien. Il en était reconnaissant, car Derek l'embrassait et lui léchait la poitrine. « Laisse tomber ton glamour, » insista-t-il et Stiles se conforma. Il n'avait aucune idée de pourquoi Derek aimait tant ça, mais il n'allait pas discuter quand un homme qui ressemblait à ça ouvrait la fermeture éclair de son pantalon et le faisait glisser jusqu'à ses chevilles.

Derek lécha un peu ses cuisses et ses hanches, et Stiles gémit à la taquinerie. Il n'avait jamais été aussi dur avant et il était un peu inquiet qu'au moment où Derek arriverait finalement là où il le voulait, il n'aurait plus aucun contrôle.

Derek glissa un des pieds de Stiles hors de son pantalon et écarta ses jambes, lui donnant plus d'accès. Stiles passa ses doigts dans les cheveux de Derek et gémit, craignant d'y mettre un peu trop de pression. Derek semblait cependant aimer ça et il sortit sa langue en rencontrant ses yeux alors qu'il le léchait longuement des couilles jusqu'au bout de sa queue.

« Putain, » jura Stiles, le regardant prendre le bout dans sa bouche puis glisser vers le bas, ses lèvres s'étendant sur la largeur de sa bite. Une des mains de Derek berça ses testicules, étalant sa salive sur son périnée et le frottant avec des doigts durs et calleux. Les hanches de Stiles se ruèrent en avant, repoussant sa bite dans la gorge de Derek, qui avala autour de lui comme si c'était la seule chose au monde qu'il voulait faire. Il fit un grondement venant du fond de sa gorge et si Stiles pensait qu'il était sensible à Derek parlant simplement alors il sous-estimait grossièrement l'impact d'avoir ce son directement sur sa bite.

Derek le laissa lui baiser la bouche pendant un moment, ce qui était bien parce que Stiles ne pensait vraiment pas qu'il aurait pu s'arrêter. Il fit cette chose incroyable avec sa langue, mais il se retira ensuite avec un bruit humide et poussa Stiles vers le lit.

Stiles trébucha un peu, mais Derek était sur lui, mordant l'arrière de son cou et léchant le long de sa colonne vertébrale, sa langue traçant des motifs chauds et humides qui refroidirent trop rapidement. Stiles s'enfonçait dans les draps parce qu'il ne pouvait pas s'arrêter et Derek lécha jusqu'entre ses fesses pour trouver son trou.

Stiles n'avait jamais touché ici avant et c'était génial. Il léchait autour et poussait ensuite sa langue à l'intérieur, l'ouvrant avec ce muscle tout en enroulant occasionnellement sa main autour de la bite de Stiles et pour serrer légèrement et puis il poussa aussi un doigt pour pouvoir rentrer plus de sa langue.

Stiles était reconnaissant que tout le monde soit parti bien qu'il était à peu près sûr qu'ils pouvaient encore entendre ses gémissements à des kilomètres. La bouche de Derek était mouillée, ses doigts traçaient des motifs à l'intérieur de lui et sa main était serrée autour de la base de sa bite pour qu'il ne puisse pas venir. Stiles se retrouva à promettre toutes sortes de représailles à Derek s'il ne le laissait pas jouir, ne le laissait pas trouver de soulagement, et Derek continua juste à le lécher, le doigter et le baiser avec sa langue comme si rien d'autre n'avait d'importance.

Stiles sanglota presque de soulagement quand il s'enfonça à l'intérieur de lui, tenant toujours fermement la base de sa bite. Son corps s'étirait autour de Derek, mais il était si détendu par ses soins précédents que c'était juste bon, comme s'il avait parfaitement sa place à l'intérieur de lui.

« Bon sang, si serré, » chuchota Derek en suçant des louanges sur sa nuque. Il poussa plus loin et Stiles se sentit trembler avec le besoin de venir. Puis tout empira alors que Derek frappait sa prostate.

Stiles jura qu'il voyait des étoiles, il se sentait si plein, ses jambes étaient tellement écartées et Derek commença à le caresser avec sa main. Être comblé était presque aussi intense que quand il ne l'était pas et quand Stiles s'ajusta, Derek alla plus vite.

Stiles pleurait quand Derek le laissa jouir. Il était vraiment en désordre, son corps ne voulait pas gérer tout ce que Derek lui donnait et Derek lui mordit l'épaule en jouissant à l'intérieur de lui, lui faisant juste un peu mal.

« Désolé, » murmura Derek dans son dos. « C'était censé durer un peu plus longtemps. Tu es tellement sexy... »

Stiles s'essuya le visage en se tournant vers lui. « Je n'aurais pas pu tenir plus longtemps. C'était parfait. »

Derek lui sourit, embrassant son front avant de se lever du lit pour se laver un peu. Stiles le suivit et ils décidèrent de prendre une douche presque immédiatement. Derek sembla se contenter de laver Stiles et de laisser Stiles le laver. Ils se caressèrent, s'embrassèrent et ce n'était pas aussi intense que la première fois, mais il y avait tellement de touches qu'ils avaient besoin d'expérimenter, et pour rien au monde Stiles n'aurait renoncé à regarder dans les yeux de Derek quand il le regardait comme ça.

Stiles n'était pas sûr de combien de temps ils restèrent dans la douche ensemble, mais il n'aurait pas échangé ce temps pour quoi que ce soit quand ce fut fini. Derek fut un peu surpris quand Stiles attendit d'être enveloppé dans une serviette avant de prendre son visage dans ses mains et de lui déposer un doux baiser sur les lèvres. « Merci, » dit-il, « pour avoir fait de ceci ma première fois. »

Derek sembla choqué. « Je n'étais pas sûr que tu voulais ça… que tu me voulais… »

Stiles sentit ses yeux s'écarquiller et il se força à cligner des yeux quelques fois. « Quoi ? »

« Je sais que tu t'es retrouvé coincé avec moi comme compagnon… »

« Oh oui, pauvre moi, je me suis retrouvé coincé avec l'Alpha le plus chaud du monde en tant que compagnon, qui se trouve être mon meilleur ami dont je suis éperdument amoureux. Comment se fait-il que je ne pleure pas avec l'agonie et l'injustice que ma vie est devenue ? » le taquina Stiles.

Derek eut l'air choqué. « Tu m'aimes ? »

« Je pensais que c'était évident… » dit Stiles. « Tout comme tu m'aimes. »

« Oui, » dit rapidement Derek.

Stiles lui sourit. « Qu'est-ce qui t'as fait penser... »

« Je ne pouvais tout simplement pas imaginer que c'est ce que tu ressentais, que quelque chose comme toi pouvait m'arriver, » dit Derek.

« Derek, » dit Stiles, puis il décida qu'il y avait eu trop de mots entre eux et il se contenta de l'embrasser.

Ils enfilèrent leurs vêtements après cela, ce qui ne fut pas fait très rapidement parce qu'ils faisaient une pause tous les quelques instants pour un autre baiser. Stiles ne cessa pas de lui chuchoter qu'il l'aimait et Derek continuait de devenir rouge, essaya de lui grogner dessus quand il devint trop odieux à ce sujet et le plaqua même au sol afin de le chatouiller jusqu'à ce que mort s'en suive.

Ça ne marcha pas, d'après Stiles, mais il était content qu'ils soient habillés et à moitié présentables quand Lydia revint du parc avec les enfants et de leur sortie dans une pizzeria pour enfants avec des bruits forts et des lumières fluorescentes.

Isaac et Boyd accoururent vers Derek et Stiles, jetant leurs prix sur le sol de l'entrée et essayant de les faire tomber en enroulant leurs bras autour de leurs jambes. Isaac portait un énorme œil au beurre noir et Boyd avait l'air vaguement coupable.

« Que s'est-il passé ? » demanda Stiles à Lydia.

« Un des louveteaux a dit qu'il pourrait construire un meilleur château de sable que Boyd et Isaac a insisté sur le fait qu'il était un… Je suis désolé, comment l'as-tu appelé ? » demanda Lydia.

« Un lutin… » marmonna Isaac dans la jambe du pantalon de Stiles.

Stiles essaya de ne pas rire, mais il avait seize ans et des choses comme la maîtrise de soi étaient encore à apprendre. « Tu ne devrais pas insulter les autres enfants, » tenta-t-il de le réprimander.

Derek grogna vers Isaac. « Tu ne devrais pas laisser les autres enfants te frapper, » dit-il. « Tu es plus rapide qu'un loup-garou. »

Isaac avait l'air d'être sur le point de pleurer. « Je suis désolé papa, » gémit-il et Derek le ramassa rapidement pour le serrer contre sa poitrine, regardant Stiles complètement et totalement paniqué. Boyd se mit à gémir aussi, ne sachant pas pourquoi Isaac était si contrarié et Stiles eut du mal à le soulever.

Lydia se moqua juste d'eux alors qu'elle les quittait, la traîtresse, et Derek et Stiles se retrouvèrent à soudoyer leurs enfants avec de la crème glacée pour les mettre au lit avec eux, où ils tombèrent dans un sommeil épuisé.

« Je pense que cela aurait pu être mieux géré, » déclara Derek en regardant Stiles.

« Peut-être, » convient Stiles. « Si tu as des conseils, n'hésite pas à les partager. »

« Peut-être que nous pourrions trouver des réponses sur Internet ? » suggéra Derek, se blottissant autour de Boyd, mais toujours face à Isaac et Stiles.

« Peut-être devrions-nous embaucher une nounou pour nous quatre, » suggéra Stiles en regardant Derek sans son glamour, parce que c'est comme ça que Derek aimait le voir.

« C'est probablement la meilleure idée que j'ai entendue de toute la nuit, » dit Derek, somnolent, ses paupières se refermant.

« Certainement pas la meilleure, » marmonna Stiles, un bâillement coupant ses mots.

Derek le comprit de toute façon et Stiles put dire qu'il ricana malgré le fait qu'il s'endormait. Stiles tira Isaac plus près de lui quand le garçon gémit un peu et après avoir chuchoté quelques mots doux à l'oreille de l'enfant, Isaac se détendit dans les bras de son papa avec la confiance que seul un enfant pouvait avoir. Stiles regarda sa nouvelle famille et malgré la guerre imminente, il apprécia ce moment pour ce qu'il était.