Hello ! désolée pour ce temps affreusement long ! Mais j'ai vraiment eu du mal à l'écrire... D'ailleurs je vous demande un peu de tolérance du coté de tout ce qui est faute d'orthographe et meme niveau de l'histoire, je n'ai pas le temps de relire, car je part demain pour une semaine, et je voulais absolument vous le mettre avant !
J'ai écris un grand partie de l'histoire (casi tout le début jusqu'a meme une tite partie du lime) pendant le temps supplémentaire au bac (vous savez ce temps où on a fini et où on s'ennui à crever?)! et oui, remerciez le bac, ça a surement aidé à venir plus vite...
En tout cas je remercie du fond du coeur tous ceux qui ont reviewé cette fic de façon quotidienne ou occasionelle : Mara, Lunny, Fanderq, WaterGirl89, Morphine, Mademoiselle Seiran, Linky35Nanoda, Sahad ! Merci vraiment, c'est grace et pour vous que j'ai écrite cette fic, et j'espere vraiment que vous l'avez aimé ! grace à vous à la fin de la fic j'ai 28 reviews ! ce que je trouve vraiment énorme ! Merci, merci et encore merci ! et désolée aussi pour tous ces retards... euh...
Comme d'habitude, j'ai répondu aux reviews signées par reply, et les RARs aux anonymes sont dans mon profil ! si je vous ai oubliez, n'hésiter pas à raler !
Bien, le bazar de tout ce qui est obligatoire : Digimon ne m'appartient et je ne me fais pas d'argent sur cette fic, cette histoire est un Yaoi, soit relation entre 2 hommes, ce que ça dérangent vous etes prévenus, et surtout, ce chapitre contient un LIME ! Ne lisez pas si ça vous choque...
Et maintenant, le tant attendu :
EPILOGUE :
Nous somme le samedi d'après, une semaine apres la fin très frustrante qui a créé en vous la haine du foot ! (javoue c'était fait pour, je compte monter un groupe pour aller voler la coupe du monde et la detruire ! héhéhé), donc, une semaine qu'ils filent le parfait amour sans avoir dépasser le stade des baisers et du leger tripotage... nous somme dans la soirée, aux alentours de... allez, disons 20h30 ? (j'arrivais pas a choisir entre 21h et 20h et finalement c'est peut-etre pire comme ça, non? comment ça aucune importance ?). Donc, nous sommes chez Taichi, mais la maison est désertée, parents en voyage en amoureux et frangine envoyée chez une copine pour la nuit ! mais que vas-t-il se passer?
- C'est qui déjà cette copine chez qui tu vas ?
- Je te l'ai déjà dit au moins un bon million de fois, c'est Myako ! Tu la connais en plus, comment tu peux tout oublier aussi vite?
- ...
- En plus, ça t'arranges que je parte, non ? ça vous laisse la maison, alors tu peux peux-etre arreter de ...
- C'est bon, c'est bon, j'ai compris. Tu as raison on arretes. Mais c'est quand même normal que je te pose la question après tout, je suis ton grand frere et en l'absence des parents c'est moi qui suis reponsable de toi et ...
"J'étais en train de lui sortir mon discours du grand frere reponsable quand on sonna a la porte. Avant que je puisse réagir pour aller ouvrir, elle dit : "
- C'est bon, j'y vais. Surveille ce truc là sinon ça va bruler.
"Parce qu'il faut preciser que j'étais en train de faire la cuisine, ce qui est tres rare (comme me l'a gentiment fait remarquer ma soeur quand elle a compris ce que je faisais). Mais je ne pouvais decemment pas laisser Matt penser que je n'arriverais jamais a faire un repas correct, ce qu'il avait dit quand j'avais répondu par la négative a sa proposition d'apporter a manger pour notre soirée. Je veux lui prouver que je suis tout a fait capable de faire cuire un riz curry tout a fait mangeable sans l'aide de personne. Et je suis pas peu fier de voir que pour le moment c'est plutot pas mal parti. "
"J'entends ma soeur ouvrir la porte et saluer l'arrivant:"
- Oh, salut Yamato ! Comment tu vas?
- Bien et toi ?
"Cette voix... tellement chaude, presque sensuelle, je l'ai entendu me dire tellement de choses dans mes reves, et aujourd'hui, mes reves vont devenir réalité... "
- ça va bien.
- Ton frere est là ?
- Bien sur, il c'est mis en tete de faire la cuisine, va savoir d'où lui vient cette nouvelle lubie.
"Sans le voir, je devine le sourire de Matt, il sait exactement d'où ça me vient, je le soupsonne meme de s'amuser beaucoup a me faire marcher comme ça.Il ne répond rien et Hikari continue :"
- Tu sais, des fois je me dis que c'est vraiment dommage que tu sois gay... Taichi ne te mérite pas.
"Mais qu'est-ce qu'elle dit cette petite peste? Je reve où elle lui fait des avances?
Sale traitresse, je me rue dans le salon pour lui faire la peau."
- Dis donc petite teigne, ça se fait pas du tout de marcher sur les plates blandes de son grand frere !
"Mais au lieu de retrouver la chipie en pleine phase de drague comme je m'y attendais, je les vois tout les deux, tres normal et a une distance tout a fait repectable. Bon, la peste est a moitié morte de rire, mais peut-etre qu'elle ne se moque pas de moi et que Yamato lui a juste raconté une blague?
- Dis donc, tu marches pas tu cours toi !
Me dit-elle avec son plus beau sourire... Donc, elle se moque bien de moi. Saleté.
Je lui fait mon regard le plus terrifiant, celui qui veut dire "dégage de là ou je te démembre", mais elle n'a pas l'air très impressionée, et je vois même Matt esquissé un sourire. Il va pas commencer a se foutre de ma gueule quand même?
- Et bien je vais vous laisser, pour que vous puissiez manger le super repas que Taichi a préparé. Tu as de la chance Matt, il y a passé toute la soirée ! Mais le troisieme essai a l'air mangeable...
Je vais la tuer, il n'était pas sensé savoir qu'il m'avais fallu des plombes pour un malheureux riz-curry !
Mais avant que je ne puisse me venger, cette peste est sorti en courant et en criant :
- Ne faites pas trop de bétises !
Apres son départ, il y a un moment de silence, et je vois bien que Yamato se retient de faire une remarque. Je lui tourne le dos pour retourner dans la cuisine, et je lui lance, un peu vexé :
- Vas-y tu peux y aller, moques toi si tu veux.
Il doit sentir que je suis vexé car il pose ses mains sur mes épaules pour me déposer un baiser dans mon cou en me disant :
- Mais non voyons, chacun son truc. Et puis comme ça j'ai gagné mon pari.
Je me retourne direct (peut-etre une peu trop sechement d'ailleurs, je le vois sursauter, supris par ma réaction violente) :
- Pas du tout ! On n'a jamais dit qu'il fallait que je réussisse du premier coup. Juste que je réussisse. Et tu vas voir que le riz au curry que j'ai préparé est très réussi.
- 3 éssais pour un riz au curry?
Son air stupéfait est tres vexant.
- Si tu n'es pas content tu peux aussi bien aller manger chez mes voisins, le mari est chef cuisiner.
- Tu ne trouves pas que ça sent le brulé?
- Ne détourne pas la conversation !
Mais c'est vrais que ça sent le cramé. Je me rue dans la cuisine, pour voir ce qu'il reste de mes efforts de toute la soirée : une espece de bouillie carbonisée.
Yamato me rejoint et regarde par dessus mon épaule :
- C'est ça ta grande réussite?
- Mais c'est de ta faute ! Tu m'as déconcentré et attiré dans le salon !
- N'empeche que ça n'a pas l'air mangeable, et si le pari ne parlait pas du nombre d'éssais, il précisait bien que ça devait être mangeable.
Il m'énerve quand il a raison, et j'ai envie de lui faire remarquer que c'est entierement de sa faute (et de celle de la petite peste) si j'ai quitté la cuisine et oublié de surveiller le repas, mais je décide d'etre beau joueur :
- Bravo, tu as gagné le pari.
- Comme ça tu sauras que j'ai toujours raison.
- Bien sur, bon, c'était quoi le mise déjà?
- On n'avait pas décider il me semble
- Alors, qu'est-ce que tu veux?
Il prend l'air de quelqu'un en train de reflechir, mais je suis sure qu'il sait déjà tres bien ce qu'il veut. Apres un court instant de fausse reflexion il répond, toujours avec son air inspiré :
- le cuisinier m'iras très bien.
- ça tombe bien, il me semble qu'il n'attend que ça.
"Je pose mes mains sur ses hanches et mes levres sur les siennes, je le sens poser ses bras autour de mes épaules et sa langue quémander l'éntrée de ma bouche (qui lui est accordée aussitot). Ses mains vont dans mes cheveux, les décoiffant un peu plus si c'est possible, et la legere carresse de Yamato sur mon crane m'électrise et m'exite par son coté hésitant, innocent. Sans tout a fait m'en rendre compte (et sans interrompre le baiser),je l'entraine vers ma chambre ,dont la porte était resté ouverte, et le pousse doucement sur le lit. Yamato est appuyé sur les coudes et je suis assis a califourchon sur son bas ventre. Je le regarde, il est legerement halletant apres notre profond baiser, magnifique avec ses longs cheveux blonds qui lui retombent sur le visage.
J'aurais pu rester des heures a le contempler, a rever que je l'effeuille (1) lentement, pour pouvoir ensuite le faire réellement, mais Yamato interrompt son désabillage virtuel pour me demander d'un air inquiet : "
- Qu'est-ce qu'il y a ?
" Son air anxieux et si peu sur de lui aurait fini de me faire craquer si ç'avait été necessaire, et je ressent aussitôt le besoin de le rassurer, entre deux baisers déposés dans son cou: "
- Rien. Tu es beau.
" Je le devine rougissant sous le compliment, tandis que je devore la peau de son cou, si pale, si douce, si parfaite... Je le sens frissoner sous mes baisers tandis que ses mains passent sous mon tee-shirt, pour les douces carresses typiques a Yamato, qui me réchauffent plus vite que ne l'avaient jamais reussi les etreintes de mes autres amants.
Tout en continuant à l'embrasser, je commence à déboutonner sa chemise en me retenant d'arracher ces stupides boutons pour aller plus vite. Une fois retirée cette fichue chemise, je m'arrete de nouveau pour le regarder. Allongé sur le lit, la tête rejettée en arriere, cherchant son souffle et torse nu, il semble offert, completement soumis.
C'est vraiment étonnant de voir à quel point Matt est receptif aux touchers, lui qui semble si froid, si insensible, il se revele vraiment tres sensible, recevant chaque baiser, chaque carresse par un frisson et un gémissement réprimé ou étouffé...
Pendant qu'il reprenait un peu son souffle, j'en profite pour retirer mon tee-shit (tellement pratique, en 2 secondes c'est enlevé ! nda : mais tellement moins sensuel...)
Une fois mon tee-shirt lancé plus loin, je vois Matt qui me regarde, redréssé sur les coudes. Et j'aurais pu me perdre dans ces yeux azur si le regard scrutateur et sérieux qu'il me lance ne me troublait pas autant. Cette fois c'est mon tour de me sentir mal à l'aise et de sentir la chaleur inonder mon visage, me prevenant que je devais rougir.
- Que... Qu'est-ce qu'il y a?
- je t'aime.
Et il se redresse un peu plus pour m'embrasser tendrement. Ces mots qu'il ne m'avait pas encore dit, et que j'attendais patiemment, bien qu'un peu peiné de ne pas avoir de réponses aux nombreuses déclarations que je lui faisaient. Et ces mots, à cet instants, sonnaient comme une permission d'aller plus loin, la permission de "tomber le pantalon", ce que nous n'avions pas encore fait.
J'allais lui demander s'il était sur de lui, mais son regard me dit bien sa determination, et son désir.
Je m'allonge donc à ses cotés, et dépose un léger sur ses levres, puis sur sa joue, traçant un sillon humide jusqu'a son oreille, dont je leche le lobe, avant de le mordiller legerement, entrainant un nouveau frisson de mon amour.
Je vais pour lui poser un nouveau baiser dans le coup de Yamato, dont je sensles mains me carresser le dos. Tout en continuant de déposer des baisers dans son coup, mes mains se posent sur ses hanches et commencent leurs carresses. Le souffle de Matt se sacade. Je descends encore pour déposer des baisers sur son torse, mais mains descendant elle vers le pantalon, où je peux sentir la bosse qui me montre l'exitation de Matt. J'entends sa respiration s'arreter et réprendre encore plus désordonnée quand je le caresse sur toute sa longueur à travers la pantalon.
J'arrete mes baisers pour me concentrer sur ce pantalon. Je commence à défaire les boutons quand je sent Matt se tendre imperceptiblement. Je regarde son visage et je voit qu'il a fermé les yeux, il respire plus lentement, on dirait tout à fait qu'il lutte contre la panique. Je suis tres exité à ce moment là, mais je ne peux decemment pas continuer alors qu'il est clair que Matt n'en a plus envie, et même que ça lui fait peur. Même si ça me demande beaucoup, il vaut mieux attendre qu'il soit tout à fait pret. Alors je prend sur moi, je me décolle de lui et m'allonge à ses cotés.
En me sentant me retirer de sur lui, Yamato rouvre les yeux, se redresse, et me regarde avec son air inquiet qui me fait immediatement fondre :
- Qu'est-ce qu'il se passe, j'ai fait quelque chose qui...
Je l'interromps :
- Matt... Si tu ne te sens pas pres tu peux me le dire, ce n'est pas honteux.
Il détourne le regard et me répond :
- Mais non , je... j'en ai envie mais...
Je le voit rougir.
-C'est juste que... je ne l'ai jamais fait avec un homme. ça m'angoisse un peu c'est tout. j'ai vraiment envie de le faire avec toi.
Pour la derniere phrase il c'est retourné et m'a regardé droit dans les yeux. Je peux y lire sa determination mais aussi sa peur.
Je me redresse et l'embrasse avant de lui dire :
- Yamato, on à tout le temps pour le faire. Ne te force pas si ça t'inquiete. Je peux t'attendre. Et si tu n'es pas assez détendu tu vas avoir mal, et je ne veux surtout pas te blesser.
- Mais...
Je l'embrasse de nouveau pour faire taire ses protestations, il est inutil de continuer pour ce soir :
- Allez, on va juste dormir.
Il me repousse legerement et me dit :
- Je ne vois pas comment je pourrais dormir dans cet état. Et pareil pour toi non?
Je vois tout à fait de quoi il parle, la douloureuse exitation qui me donne l'impression que mes reins sont en feu. Mais je pensais tout simplement aller me soulager dans la salle de bain une fois qu'il se serait endormi, je n'ai pas pensé que je n'étais pas le seul dans ce cas.
- Ok... Pas de problemes, j'ai une idée !
Je l'embrasse de nouveau, et fais descendre mes mains vers son pantalon, bien décidé à l'enlever cette fois. Matt panique legerement de nouveau :
-Hey, je croyais que tu voulais bien...
Je le fais taire par un autre baiser :
- Ne t'inquiete pas, fais moi confiance.
J'enleve completement le pantalon que j'envoie plus loin, vite suivi par le boxer. Je m'arretes une seconde de nouveau pour comptempler Yamato qui rougit de nouveau sous mon regard, je le trouve vraiment adorable, les yeux rempli d'une lueur de désir qui me fait frémir, les joues rouges d'exitation et la respiration de nouveau haletante...
Je frole de nouveau de mes doigts son erection, desordonnant encore plus son souffle, puis je fais courir mes doigts sur son membre, le faisant se cambrer de plaisir, puis me penche pour l'embrasser de nouveau tandis que ma main commence un mouvement de vas et viens sur son membre, lent puis de plus en plus rapide. Yamato frissone et se cambre encore plus, quand je le sens au bord de la jouissance, j'arrete le mouvement de ma main, aussitot suivi par une protestation de Yamato, puis je souffle doucement sur son membre, le faisant gémir de plaisir.
Puis sans autre préambule je le prend entierement en bouche, coupant entierement le souffle de Yamato, qui essaye difficilement de reprendre son souffle, mais elle restait irreguliere sous la deferlante de plaisir. Je le vois essayer de s'agripper aux draps, surement pour s'empecher de venir, mais ne le voyant pas comme ça je decide de le froler de ma langue par endroit au début, puis de lecher son membre de maniere plus insistante, jusqu'a ce qu'il se libere dans ma bouche et que j'avale sa semence.
- Dé...Désolé je ne voulais pas...
Je ris legerement devant son air géné :
- Ce n'est pas comme si tu étais le reponsable.
Je le regarde, tres rouge et encore un peu hors d'haleine. Je l'embrasse d'un léger baiser papillon sur les levres et lui dit :
- Je t'aime...
Il m'embrasse à son tour, un baiser long et profond. Je me recouche à ses cotés, il se blottit contre mon torse et on s'endort comme ça...
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(1) j'ai pensé à ce terme en déchiquetant mon pain au chocolat d'ennui pendant le bac...
ET VOILA ! c'est la fin de cette fic ! (et elle porte toujours le nom bidon que j'avais mis au début en desespoir de cause... snif ! ). J'espere que vous avez aimé !
J'ai déjà une autre idée de fic (plusieurs en fait, mais j'essaye de n'en faire qu'une à la fois), mais comme je ne suis casi plus là des vacs, ne l'attendez pas avec un moment, et normalement (je vais essayer) ce sera une fic plus sombre, plus longue aussi, mais surement dans un genre totalement different... Mais toujours Taito bien sur !
Bref, bonnes vacances à tous et encore merci à ceux qui m'ont soutenu tout au long de cette histoire ! (ps : priez pour moi, j'ai mes resultats des epreuves du bac anticipé demain)
et surtout : reviewez ! mdr
