Voici le chapitre 9.
Lil'Ashura : Ne t'inquiète pas, ça va bien s'arranger entre eux, vraiment très bien…
Lisou52 : Voilà la suite.
Tite Mione : Je ne peux pas ire qui fais apparaître l marque et, oui Matthew va réussir à surprendre Amélie.
Titis : C'est vrai que c'est génial de lire dans les pensées des autres, c'est un don super.
Octo : Un couple sans dispute, ce n'est pas un couple.
Evans Mary : Merci pour la review. C'est normal que Rose s'inquiète pour son mari, elle a faillit le perdre…
Lolly Fizz LRDM : Ce n'est pas grave si tu n'as pas fait longue review, ce n'est pas ce qui importe.
Lavande : Merci.
CrazyBeBee : Merci beaucoup pour ta review.
Chapitre9 : Réconciliation en un baiser volé.
Cette journée fut merveilleuse pour Amélie parce que c'était son anniversaire. Elle avait seize ans. Elle disait que rien ne pouvait la gâcher. Au petit déjeuner elle reçu deux dessins de la part de Lucas et Kate. N'ayant pas d'argent c'est tout ce qu'ils pouvaient lui offrir. Ses parents lui avaient données de l'argent de poche, il fallait voir la somme. Drago avait tendance à trop gâter ses enfants. Puis elle reçu un autre cadeau de la part de Matthew.
-Qu'est ce que c'est ? Demandât-elle.
-Ouvre et tu verras.
Elle le fit et y trouva Poudlard sous la neige dans une merveilleuse boule de cristal. Amélie trouvait ça fabuleux mais elle voulait encore le faire souffrir. Elle savait qu'il n'allait pas tarder à craquer.
-Alors, tu me pardonnes ?
-…Non…
Tout à coup, Matthew se mit à genoux devant Amélie qui s'était mise debout en sursaut. Matthew avait l'air dépressif.
-Pourquoi tu me fais ça Amélie. Pourquoi ? Ça fait trois semaines ! Maintenant je n'ai plus d'idée ! Je sais que ce que j'ai fais est stupide ! Je leur ai même rendu leur argent du pari, alors je t'en supplie, pardonne-moi !
Tout Poudlard regardait Math. Kate Lucas et Emilia étaient morts de rire. Elle avait gagné.
-D'accord, dit Amélie tout simplement.
-D'accord, répéta Math comme s'il avait mal entendu.
-Oui, tu es pardonné. Ne t'inquiète pas tu es soulagé d'un poids.
-Oh merci Amélie.
Et dans une pulsion, Math embrassa Amélie d'un baiser volé auquel tout le monde assista. Sous le choc, Amélie se rassit à sa place aussi rouge qu'une tomate, la tête baissée. Matthew lui aussi était tout rouge et il alla à la table des Gryffondor.
-Tu as eu de la chance que Amélie ne t'ait pas giflé, lui dit Lucas.
-J'aurais préféré.
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-Amélie remets-toi, ce n'était qu'un baiser de rien du tout.
-Hein…heu oui, tu as raison Léa. Ce n'était qu'un baiser…de rien du tout.
A Ste Mangouste, Hermione était au téléphone avec Rose qui lui parlait de la mésaventure de la veille avec Harry.
-Mais c'est une dispute de rien du tout ça.
-Je sais, mais ça ne nous arrive pas souvent. Je n'ai pas l'habitude.
-Vous vous aimez et je sais que dès ce soir vous allez vous réconcilier.
-Comment peux-tu en être sûr ?
-Parce que je vous connais et que cette dispute a eu lieux parce que vous vous aimez, voilà pourquoi. Je suis désolée mais là je dois raccrocher. Bye.
-Bye.
Hermione raccroche le téléphone et une personne arriva sur un lit d'hôpital qui n'était autre que Harry avec une jambe ensanglanté. Heureusement pour lui ça n'avait pas l'air d'être très grave mais s'il avait été plus étourdit qu'il ne l'était déjà c'est la jambe amputée qu'il aurait eu. Harry demanda à Hermione de ne pas appeler Rosalie et c'est ce qu'elle fit. Elle soigna son ami en deux temps trois mouvement et il put rentrer chez lui après avoir signé une décharge. Une fois qu'il fut partit, Hermione appela Rose pour la prévenir.
-Allô ?
-Rose, c'est encore Hermione, c'est Harry, il a eu un accident…
-Quoi ! J'arrive…
-Non, il est partit. Maintenant il est rentré chez-vous et…allô ?...allô ?
Elle avait déjà raccroché. Elle était sans doute rentrer chez-elle à tout allure. Ils s'aimaient vraiment à la folie.
La journée d'Hermione était vraiment horrible. Un fou furieux possédé lançait des sorts à tout le monde. Une diseuse de bonne aventure avait prédit que le mode serait dominé par des sombrals ou encore il y avait un gamin s'amusait à terrorisé tout les patients dans chaque chambre. Vraiment, elle ne voulait plus revivre un jour pareil. Vivement qu'elle rentre chez-elle et qu'elle retrouve sa fille et son mari.
Rosalie rentra chez-elle. Elle demanda à Dobby, l'elfe de maison de la famille d'aller chercher John à l'école et elle chercha son mari qui était dans la chambre assit sur le lit entrain de regarder des photos de famille. Rose alla à côté de lui et l'embrassa.
-Oh Harry tu m'as fais peur. Pardonne-moi pour hier. Je t'en supplie, je suis désolée mais je m'inquiète tellement pour toi.
-Moi aussi je suis dans le tort. J'aurai dû te prévenir. Je suis désolé.
-Je t'aime Harry, tu le sais ?
-Je t'aime aussi.
Ils s'embrassèrent sans pouvoir décoller leurs lèvres l'un de l'autre. Et dans un mouvement ils s'allongèrent sur le lit et ils firent l'amour dans un élan passionné.
Le lendemain matin, Rose se réveilla seule dans son lit. Elle sortit de la chambre pour aller dans la cuisine. Là elle y trouva Harry entrain de faire l'avion avec John qui n'arrêtait pas de rire. Le petit sauta dans les bras de sa mère et lui fit un gros bisou.
-Tu as pris ton petit déjeuner ? demanda la mère à son fils.
-Non maman.
-Non. Et pourquoi ça ?
-Parce que papa à envoyer Dobby à Poudlard et qu'il a voulu faire le petit-déjeuner tout seul et il a dit aussi qu'on t'attendait.
Quand Rose regarda la table elle y vit un petit déjeuner digne de ceux de Mrs Weasley. Elle donna un petit bisou à son fils et embrassa vite fait son mari.
-C'est tout ce que tu me donne ?
-Devant John, oui.
-Vous vous reparlez ? Chouette !
Dans le Manoir Malefoy, Hermione et Drago parlait de la famille Potter.
-Il n'a pas arrêtez de nous parler d'elle en disant qu'il avait tort, qu'elle s'inquiétait pour lui et qu'il n'arrangeait pas les choses. Ça en devenait infernal.
-Mais ils font partit des couples rares qui ne vont jamais se séparer. C'est vraiment beau un amour comme ça.
-Nous aussi on fait partit de ces couples rares.
-Si on m'avait dit un jour que je me serais marié avec toi, Drago Malefoy le tombeur de ses dames et que j'aurais eu trois beaux enfants, j'aurais mit cette personne dans un hôpital psychiatrique et aurais fait en sorte qu'elle n'en sorte pas.
-Et moi je crois que je l'aurais tuer sur place.
Quelqu'un entra dans la chambre des parents et c'était Alicia.
-Maman papa vous savez quoi ? Eh bien il parait que Amélie a fait souffrir Matthew psy…psylo…psylocho…
-Psychologiquement.
-…oui…psylochogiquement pendant trois semaines et qu'il s'est mit à genoux devant elle.
Drago se mit à rire. Elle avait beau avoir été adopté par eux, Amélie avait le caractère des Malefoy et Drago en était fier.
-Qui t'as dit ça ? demanda Hermione qui ne riait pas du tout.
-C'est Lucas, dans une beuglante il n'arrêtait pas de rire et il m'a dit un secret que j'ai pas le droit de dire à papa mais que à maman.
-Pourquoi pas à moi ?
-Tu ne seras pas content. Viens maman je vais te le dire.
Hermione se pencha et Alicia lui dit le secret qui était le baiser volé d'Amélie et Math. Face à cette nouvelle Hermione se mit à rire et repensa à onze ans plus tôt quand Amélie avait dit qu'il était son amoureux.
Flash Back.
Amélie se tourna vers Drago et Hermione qui était arrivé avec un large sourire.
-Pourquoi tu souris comme ça ma chérie ?
-Maman, papa, j'ai un amoureux !
-Quoi ! Hurla Drago.
-Chut, les bébés dorment.
-Oui, il s'appelle Matthew.
Ils étaient sortit de la chambre des bébés. Hermione était morte de rire et Drago plutôt en colère.
-Où tu l'a vu, demanda t-il.
-Chez Tante Ginny.
-Un Weasley !
-C'est le fils de Charly, un des grand frère de Ginny, lui expliqua Hermione entre deux rire.
-Je m'en fiche, c'est un Weasley !
-Oh arrête. Elle n'a que quatre ans. Imagine un peu quand elle en aura quinze. Tu feras quoi ?
-Je lui mettrai un de ses émetteurs moldu pour la suivre partout et je tuerai son copain à coup de dague avant même qu'il ose la demander en mariage!
Fin du Flash back.
-Alors c'est quoi le secret ? demanda Drago.
-Il ne vaut mieux pas que je te le dise, répondit Hermione. Et si on prenait le petit déjeuner ?
-C'est vraiment pas juste, on ne me dit jamais rien à moi.
-Pauvre papa.
Fin du chapitre.
