Salut saluuuuut ! Comme je n'ai pas le temps de poster un autre long chapitre, je publie une 'tite (?) partie qui est en fait un défouloir XD : je me fous complètement de la gueule des dirigeants des grands pays de l'époque : c-à-d qu'il y aura Staline (URSS), Hitler (All), Churchill (RU), Roosevelt (US), Mussolini (Italie), Hirohito (Ze Nihon no Shogun) et Daladier (France).

Ed et Al (Hoenheim aussi) apparaîtront peut-être (si j'en ai envie).

Chacun avait ses défauts, et j'ai décidé de les pousser à leur paroxysme, juste comme ça, pour se marrer et les faire retourner dans leur tombe comme on retourne une côtelette sur un grill... mouarf.

Faut m'excuser, mais cette partie sera totalement débile et pas crédible pour un mark. Elle ne fait en rien évoluer l'histoire qui, je le rappelle, s'intitule belle et bien 'Bevor ich dich Auf Wiedersehen sage'... à recycler si possible. Mais des faits réels se cacheront sous la fiction dérisoire, ouvrez l'œil et le bon ! Pas comme Royounet qui est borgne...

L'intéressé : Hé !

Enfin bref, ENJOY !


Bevor ich dich Auf Wiedersehen sage

Partie III (bis): Intermezzo


Moscou (enfin, je suppose que Staline se trouvait là...), année 1936, période de Noël.

Tandis que la neige tombe sur Moscou et qu'un gros bonhomme habillé de rouge avec une barbe blanche devrait pas tarder à tomber non plus (non non, c'est pas Dumbledore qui choit de la tour d'Astronomie parce qu'il vient de se faire liquider par son plus fidèle (?) professeur de... ah zut, rien à voir.), le bon Léon Trotski, accompagné d'une brute (parce que les truands, on a vite fait de les envoyer dans les Goulags en Sibérie pendant 20 ans), cherchent désespérément le dirigeant de la Russie Communiste, qui, depuis 1922, se fait couramment appelée U.R.S.S :

« Parce que ça veut dire 'Union des Républiques Socialistes et Soviétiques.

-Moi j'aurais plutôt dit : 'Ulcère Rapide sur Sol Surgelé'.

-Kishû, tu n'y connais rien en politique soviet. », La coupe Trotski.

-Kleb za Kleb, Krov' za Krov'(1)

-T'est pas plus russe que moi je suis tahitien, et tu viens de piquer cette phrase dans Hellsing !

-Chui choquée ! T'es pas obligé de révéler mes sources ! Et d'abord c'est mon prof d'histoire de 4ème qui me l'a dit, cette phrase ! Lui il était vraiment russe ! Et d'abord Trotski commence pas à me chercher, parce que je te signale que t'es censé être crevé depuis longtemps déjà ! Sois heureux d'avoir été ressuscité pour cette partie !

-Quoi ! Je suis mort ?

-Da, tu t'es barré de l'U.R.S.S parce que t'aime pas le 'petit père des peuples', le camarade Staline, et en plus t'étais son plus grand rival. Malheureusement pour toi il a envoyé un espion à ta poursuite qui t'a liquidé une fois passé la frontière mexicaine. Des questions ?

-Pourquoi le Mexique ?

-J'en sais rien moi ! C'est à toi de me le dire ! T'aimes les tacos au moins ? »

Alors que Kishû et Trotski –Celui qui a été assassiné mais qui est là– polémique sur la composition chimique d'une galette mexicaine, la Brute –On ne se souviendra que de ça– s'interpose :

« Sauf' vot' respect, il faut trouver ! On a reçu un communiqué du Reich. Mr. Hitler voudrait toucher deux mots à notre chef suprême...

-Aah ! Da ! Il faut le retrouver !

-Hein, quoi ?... Non mais ! Attends Kishû, pourquoi je devrais vous aider à le chercher ? Tu dis qu'il a envoyé un espion me tuer, je n'ai pas l'inten... »

Soudain, un terrible uppercut vient lui broyer la mâchoire :

« Tu disais ? C'est moi l'auteur, alors t'obéis ! Tu préfères que je t'envoie dans un camp de la mort cette fois ? Ça sera plus et long et douloureux, contrairement à une balle dans la tête...

-... O... Ok, je viens... »

Et c'est ainsi qu'ils partent tous les trois à la recherche de Staline dans son grand manoir-gouvernement-siège principal du parti communiste...

(Affaire à suivre)


Berlin, réveillon de Noël, 1936.

En ce soir du réveillon, Hitler se sent pas d'humeur très joyeuse. Pourtant il a tout ce qu'il veut. Il est devenu le chef absolu d'Allemagne, son parti est en tête des élections... normal il est tout seul... et pourtant... Ça y est. Il sait ce qui cloche.

Il sait très bien qu'avec toute cette propagande et les menaces qu'il profère à ses voisins, qui, patriotiquement, joue la politique de l'autruche, il ne recevra pas de cadeaux pour la Saint Valentin.

Pourquoi penser à la Saint Valentin alors que Noël c'est demain ?

Hitler est un homme très prévoyant et tourné vers l'avenir, voyez-vous. Et le 15 Mars, c'est le Jour Blanc... ça rappelle un peu Noël, vous croyez pas ? Si si, je vous le dit que ça rappelle Noël Blanc. –Même si les mois coïncident pas avec la période–

En plus, il sera tout seul ce soir. Non mais oh, c'est les vacances de Noël, ses gardes et son peuple ont un peu droit de se reposer, non ! Sa femme –Je peux pas dire sa 'maîtresse', il tient quand même à sa réputation, le bougre– est barrée refaire son bronzage en Nouvelle Calédonie –C'est un peu dur de bronzer en hiver, et en décembre c'est l'été à Nouméa–, mais pas trop, hein, sinon son mari pourrait la prendre pour une congolaise envahissant la patrie, sa patrie chérie, celle qu'il aime tant, qu'il a obtenu par la force... Bon dieu, qu'elle est belle la Grande Allemagne –Une larme coule sur sa joue ; il sort un mouchoir avec un motif Milou, un hommage à Tintin, pour s'essuyer le visage– (oui, en plus de sa passion pour la peinture, Hitler est également un grand fan de Bds).

Pire, sa musicienne préférée, celle qui le vénère et qui n'aime que les puissants et exècre les faibles –Lui en fille quoi– a attrapé un rhume (2). Son disque de Wagner est rayé. Non mais quelle guigne !

En plus un morceau de salade est resté coincé entre ses dents quand il a fait son discours, aujourd'hui. Pour se venger, il a fermé la petite épicerie juive du coin, oui, même si elle faisait de bonnes salades césar, et de goûteux menus végétariens... ça lui fait mal au cœur : pourquoi qu'il aurait pas pu être aryen, l'épicier ! Si encore c'était un hawaiien, il l'aurait accepté, mais Hitler a une réputation à tenir, il a été OBLIGÉ –Oui, OBLIGÉ– d'oblitérer totalement la boutique.

Bien fait, sa salade, l'avait pas qu'à être si fine.

Pour oublier son gros coup de cafard, pour la première fois de sa vie, Hitler prend dans le frigo une bouteille de Schnapps et la vide d'une traite –Que fait cette bouteille dans le frigo ? Mystère... sa maît... concubine est p'tet alcoolo–. Une fois qu'il s'est bien saoulé, il tombe raide mort sur le tapis du salon, le beau, le grand tapis de velours. Il faut qu'il se rappelle de le brûler, tiens, c'est une fabrication artisanale juive...

Il sent le froid l'envahir, ses membres s'engourdir, mais il ne veut pas bouger –Ou du moins il peut pas, l'est trop ivre–. Il attend son heure... Que la Dame Blônche (3) vienne le chercher –Hitler est un grand fan de légendes caldoches–, l'emporter... justement, d'un coup il se sent porté.

Avant de partir, il aurait bien aimé manger une dernière fois une petite carotte... –Hitler est encore plus végétarien que le Lapin de Pâques–

Aaah, on aurait tous aimé qu'Adolf Hitler meurt de la sorte, le réveillon de Noël.

Ça aurait été plus marrant et moins lâche que le suicide !

(Affaire à suivre...)


URSS, Moscou, toujours à la même période.

Les trois aventuriers, toujours perdus dans le manoir-gouvernement-siège principal (barrer la mention inutile) du parti communiste :

« J'ai fouillé toutes les pièces de fond en comble. Même dans les salles de réunion...

-J'ai regardé à la cave, au grenier...

-J'ai fait toutes les chambres. Les 328 précisément...

-Attend, t'as fait les chambres, mais t'a regardé sous les lits pour vérifier ? Et dans les tiroirs ?

-Heeeu... non.

-Bon, on y retourne.

-NIEEEEEEEEET ! »

(Affaire toujours à suivre)


Rome, Italie, 1936.

Aujourd'hui, c'est le jour du défilé des petits Balilla (4). On entend de toutes parts des parents couinant : « Hiii, c'est mon fils, c'est mon fils ! », et le bruit des tambours.

Mussolini, le chef du peuple Italien s'avance sur scène. Seul le silence lui répond –attention la prosopopéééée–

Après un discours plus ou moins pompeux –Je vous épargne les détails–, il appelle un par un les enfants pour leur remettre une petite médaille et les féliciter de leur beau défilé.

Un petit garçon, tout timide et choupimimi – Genre Pépinot –, arrive le premier. Après du blabla pompeux –J'vous épargne toujours le calvaire, le pauvre Balilla il a pas eu cette chance, lui–, il accroche la médaille autour du coup du garçonnet, et se penche pour lui faire la bise –Faut qu'il se fasse bien voir des mamans–. Avec un rictus de dégoût, le petit bonhomme s'écrie –Micro branché, volume à fond, c'est partiiiii– : « Mr. Le tyran, ta barbe elle piiiiiiiiiique ! »


Paris, France, 1936, veille de Noël.

« M. Daladier ! Où êtes-vous Monsieur ?

-Phi... Philippe ? C'est vous ?

-Monsieur, je vous entends mais je ne vous vois pas...

-Je... je suis là ! »

Il passe derrière le bureau. Rien.

« Monsieur Daladiiiiiiiiiiiiiieeeeeeeer vous êtes devenu invisiiiiiiiiiiible !

-Non ! Je suis caché sous mon bureau ! »

Le secrétaire se penche et... ah oui, il est là le président.

« Mais que faites-vous caché sous le bureau, Monsieur ?

-Chuuuuuuuuut ! Baissez-vous, ils risquent de vous voir !

-Mais qui ça Monsieur ? », S'enquit-il en se mettant à quatre pattes pour se tenir à la hauteur du Président français.

« Ben les naziiiiiiis !

-Quoi ?

-On va se faire attaquer j'le seeeeens ! J'veux pas mouriiiir !

-Mais non voyons, les Allemands et Hitler...

-AAARGL ! Ne prononcez pas son nooooom !

-Celui-dont-on-ne-doit-pas-prononcer-le-nom est en Allemagne, à des kilomètres de Paris... ne vous inquiétez pas ! Et puis nous arriverons à éviter la guerre, j'en suis persuadé ! »

Kishû, débarquant dont ne sait où –Bah d'URSS ! –, qui sait pas fermer sa bouche une fois de temps en temps : « Mais quel naïf ! Quel naaaaïïïïf ! ». Elle repart aussi vite qu'elle est venue.

« J'ai entendu un drôle de bruit Philippe... des Shrapnel allemands !

-Monsieur Daladier, vous divaguez... vous... »

PANG !

« HIIIIIIIIIIIII ! ON EST ATTAQUÉ ! LE REICH NOUS ATTAQUE ON VA TOUS MOURIIIIIIIIIIR ! TUEZ-LE, PAS MOOOOAAA ! », Hurle-t-il en désignant du doigt son employé.

« Heheem... c'était un feu d'artifice Monsieur... une belle verte en plus. »

Daladier se lève délicatement et voit ce qui reste de la fusée :

« Ahaahaha ! Je vous ai bien eu, hein, Philippe ? C'était pour voir votre réaction face à une bande de SS, et vous avez très bien réagi ! Avec beaucoup de sang-froid... ahahaha, vous n'avez pas cru que j'étais sérieux ? Et puis pour le coup de 'tuez-le lui !' c'était une mauvaise blague ! Ahaha... heu, vous me croyez ?... »


Toujours dans le même coin paumé du monde, même date.

« Han... chui trop fatiguée pour continuer de chercher... j'ai fait un détour par Paris c'est crevaaaaant...

-Non ! Il faut retrouver le 'petit père des peuples' ! Allez, on va faire le tour de tous les kolkhozes et sovkhozes du coin !

-NOOOON ! Je suis pas une Stakhanov, moi ! Je veux rentrer ! Sniff, sniff, j'écrirai plus jamais rien sur l'URSS !

(affaire re-toujours à suivre)


Londres, Noël 1936.

Churchill jubile à l'idée que le Père Noël soit passé la veille pour lui remettre ses cadeaux : tandis que Hohenheim apporte le reste, le président est déjà en train de déchirer violemment les paquets.

Gains : trois bouteilles de whisky, un set de verre à Martini, une boîte de cigares du Pharaon (si, si, vous aimerez Tintin vous aussi), un stylo de réclame, encore du whisky, un cendrier, un cure-dent et un T-shirt avec écrit dessus : ' I swear to drunk I'm not God'

Résultat des courses : Noël ne sera pas triste, ce soir... et un peu plus d'ivresse sur la voie publique. (Mais n'oubliez pas : 'c'est celui qui ne boit pas qui conduit'... Ceci était un message du gouvernement de la Nouvelle Calédonie)

Verdict : L'est content Churchill, l'est content.

« Dites-moi Monsieur, il y a une question que je me pose depuis longtemps... », Interroge Hohenheim, interrompant ainsi l'ouverture de la bouteille de vin.

« Faites, faites, dear... que voulez-vous me demander ? », Lui répond le gros président –Avec l'accent british, pliz'–, tout en s'allumant un pétard.

« Comment faites-vous pour garder une forme d'athlète, à votre âge ? Enfin, sans vouloir vous manquer de respect...

-Ahahahaha ! Very simple, dear Hohenheim ! Je drink comme un trou, je smoke comme un pompier, and no sport. », Il lève le pouce en signe de triomphe.

Crash. Le monde qui vient de s'écrouler autour de Hoho papa qui ne s'est pas attendu à une telle réponse : « Y'a un Yankee sur le trône, pas étonnant que le monde actuel aille si mal. »


Quelque part, dans une autre dimension...

Hitler émerge enfin. Ah, il a bien dormi... mais non, quel imbécile ; il se rappelle qu'il est mort...

Il se trouve dans une pièce sombre, avec des murs gris... zut, l'est claustro... il remarque qu'il est attaché à sa chaise, les mains dans le dos.

« Est-ce que je suis entre le Ciel et l'Enfer, j'attends le jugement divin ? »

Tout un coup, un gros projecteur s'allume et manque de lui brûler les yeux. Pieux comme pas deux, il se dit que Dieu vient à sa rencontre. Ce à quoi il ne s'attend pas, c'est qu'en réalité c'est l'inspecteur Colombo qui débarque, un pack de bières fraîches à la main, son cigare dans la bouche. Il sourit avec machiavélisme à la vue du chef nazi complètement baba, ouvre une bière et sans crier gare, fait boire de force le dictateur, à la manière dont on gave les oies pour le foie gras :

« Et maintenant, tu vas tout nous avouer, Hitty – Téléphone maison – !

-Jamais ! »

Avouer quoi au fait ?

Et cinq bières plus tard...

« Ah, maintenant tu vas parler, rascal !

-Heu... hic, chui pas un japonais !

-Vous avez raison, ce n'est plus la même série là... bref, dis-moi tout !

-Hic... vous voulez que... hic ! Je vous avoue quoi... hic ! En fait ?

-Oh, bien sûr, suis-je bête ?

-Hic, ja ! Hic ! Et pas qu'un peu !

-Silence, prisonnier ! Où sont cachés les bijoux de la Castafiore ? »


Somewhere, someday, somehow, somebody...

Les trois courageux aventuriers, de retour à la base :

#Pleure comme Mayuko dans Fruits Basket# « Pourquoi mwaaaa !

-Parce que vous êtes l'auteur de cette fic.

-Pitié M. Trotski, je veux plus aller dehors il fait trop frooooid ! »

Sur ce, elle se précipite devant la cheminée. Si Trotski ne se retenait pas, il lui donnerait bien un coup de pied. La Brute (ça fait longtemps qu'on ne l'a pas vu, tiens...) remarque que malgré avoir fouillé toute l'URSS de fond en comble, même jusqu'au goulag, toujours pas de Staline. Mais la Brute, qui a quand même un peu de cervelle – Faut vraiment que l'auteur de cette fic soit désespérée pour avoir fournie un cervelet à ce perso –, leur demande :

« Oh, on a pas regardé dans la remise, derrière le bâtiment...

-Ne soyez pas stupide mon cher, notre bon camarade Staline ne peut... »

Il se ravise soudain : bien sûr que si il peut. Ils se précipitent tous dans la réserve, et entrent.

On a emménagé ici l'équivalent d'un petit salon, avec un sapin de Noël dans un coin du placard à balai, et un vieux poêle en guise de cheminée... Et l'homme assis sur le tapis juste devant, qui s'est vivement retourné à la vue des trois compères, qui ont du mal à se tenir debout dans ce cagibi :

« Mais... vous n'êtes pas le Père Noël ?

-M. Staline ! Vous étiez là tout ce temps !

-Évidemment, j'attendais le Père Noël ! Mais qui sait qui peut m'assassiner pendant mon attente ? Alors je me suis caché ici !

-... On vous a cherché partout !

-Et bien ne cherchez plus ! Me voilàààà !

-Attendez, c'est complètement incohérent cette histoire, les Russes fêtent Noël en janvier ! Mais les communistes ont tout fait pour détruire cette tradition ! », Mais la Brute est interrompue par Staline qui pointe Trotski du doigt.

« Et vous là ? Je vous ai pas fait abattre normalement ? Mais tu es ce bon vieux Trotski ! Si, t'es censé être mort !

-... Mais cette fille m'a ressuscité...

-Qui sont ces deux autres là ? Des espions !

-Meeeuh nooon, je suis auteur de fanfics et lui c'est la Brute.

-Ah bah c'est pas malin Trotski de les avoir emmené là ! Je vais devoir repérer une autre cachette pour la prochaine fois, maintenant que vous savez que c'était ici ma base secrète !

-... Argl, noooon ! »

Epilogue : A la mort de Staline, y'en a encore plus d'un qui a aussi pété un câble...


Washington, 1936

« Président Roosevelt ! Attention ! »

Mais il n'écoute pas. Mr. Roosevelt, actuel président des Etats-Unis d'Amérique, est près à prouver aux yeux de tous que malgré son handicap, il reste encore le courageux Président de l'Amérique.

« Non, vous ne m'empêcherez pas de le faire ! Ma liberté de mouvement m'a peut être été prise, mais vous n'aurez pas ma liberté de pensée ! Il n'y a pas eu la révolution de 1775 pour rien ! Laissons la liberté s'exprimer, celle qui est en chacun de nous !

-Je le conçois très bien Monsieur, mais je vous prie de croire...

-Taisez-vous ! Vous ne pouvez pas m'arrêtez ! »

Sur ce, le Président Roosevelt fait vrombir les roues de son fauteuil et roule, roule, roule jusqu'à arriver aux escaliers de la maison Blanche... pour se prendre une formidable gamelle après avoir raté son saut sur la rambarde du dit escalier.

« Mon... Monsieur ? Vous allez bien ?

-Gaaah...

-... Les jeunes ont trop mauvaise influence de nos jours...

-C'est pas pour tout casser, mais ce que vient de faire Roosevelt, c'est-à-dire triple-salto avant flip flap gauche grand écart, c'est digne d'entrer dans le livre des records ! Une chose est sûr : le fauteuil roulant de Roosevelt est l'ancêtre du skate-board !

-Kézako ?

-Mer... credi, voilà un anachronisme !

-Le simple fait que vous soyez dans cette fic Damoiselle est à lui tout seul le plus grand anachronisme de tous les temps.

-Shut up. »


Japon, 1936.

Une marée humaine –jaune, est-ce utile de le rajouter ? – est rassemblée devant le Palais de l'Empereur Hirohito. Dissimulé derrière une porte de bois, pour pas qu'on le voit – Aujourd'hui il a un bouton sur son nez de porcelaine, et ça serait grave la honte s'il sort dehors –, il dit à son garde d'ordonner au peuple de se prosterner. Ce dernier crie l'ordre à un autre japonais, qui transmet encore etc... pour enfin arriver à un type tout proche du public – Bah oui, autour du Palais, c'est une zone tellement sécurisée que Tchernobyl c'est le Pôle Nord à côté... Je dis Pôle Nord pour garder le thème de Noël –

« L'Empereur a dit 'Prosopopée' !

-Mais nooooon, il a dit de se 'prosterner' !

-Sôdesuneeeee, gomenasai ! Prosternez-vous ! »

Hirohito demande ensuite 'qui est le plus grand' :

« Qui a un gland ?

-Mais non, baka ! Il a dit qui est le plus grand ?

-Heu bref, alors ? »

Un type dans le public se lève : « Moi je fais 1m98 !

-COUPEZ-LUI LES JAMBES ! IL EST PLUS GRAND QUE L'EMPEREUR ! »

Et le pauvre type qui n'avait rien demandé, se fait entraîner de force derrière le bâtiment... –Ceci était une démonstration de la politique japonaise de 36–; l'Empereur continue sur sa lancée. 'Qui est le plus beau' ?

« Récitez le code du Bushido !

-... Tanaka-san, vous êtes aho !

-Mais y'a d'la friture sur la ligne impériale...

-Tiens, l'Empereur dit que t'es bête.

-Il veut d'la crevette ?

-EEEH ! QUI EST-CE QUE TU TRAÎTES DE SUPER-NAIN-DE-JARDIN-DE-JARDIN-MINIATURE-PAS-PLUS-GROS-QU'UN-GRAIN-DE-SABLE-INVISIBLE-A-L'ŒIL-NU-TEL-UN-PROTOZOAIRE-CAPABLE-DE-SE-NOYER-DANS-UN-DE-A-COUDRE !

-Nii-san...

-Attrapez ce petit bonhomme blond ! L'Empereur le veut comme tue-mouche !

-Il a dit comme 'clown', Tanaka-san...

-JE SUIS PAS PETIT !

-Emmenez le robot-Gundam avec lui !

-Maaaaaaaaais ! Chui pas un robot ! »

Il a fallu attendre la fin de la guerre pour que l'on supprime le téléphone-arabe-japonais... Ed et Al vous me demandez ? C'est une autre histoire... demandez à Mustang, il a toujours le chic pour les envoyer au bout du monde.


Suisse, un manoir classe, 31 Décembre, plus que quelques heures avant le nouvel an.

« Hmm, si je puis me permettre avant de commencer, pourquoi la Suisse, Mademoiselle Kishû ?

-Élémentaire mon cher Roosevelt ! Parce qu'on n'a pas le droit de violer la neutralité suisse, donc, on est en sécurité pour un moment... enfin... j'dis ça, mais c'est fou ce qu'on respecte la neutralité d'un pays...

-En... en p-plu, on est t-tr-trop près de l'All-Allemagne ! On va tous mourir !

-Saladier, la ferme.

-C'est Daladier !

-Rien à battre. »

En cette soirée de réveillon, les représentants des Grands pays se sont réunis pour une petite fête en Suisse, une 'party' privée... il y a Roosevelt, avec son fauteuil roulant sur lequel on a accroché des guirlandes et des boules dorés, Daladier, tremblant, qui évite de rester près des fenêtres, Churchill, scotché au buffet, son éternel cigare à la bouche, Staline, qui a été invité par Roosevelt – Daladier et Churchill n'en avaient pas très envie, ils n'ont pas confiance en l'URSS –, Hirohito, invité par Staline – Pas gêné le vieux camarade d'acier – mais qui se dissimule derrière un grand paravent avec des motifs de sakura, et enfin, Mussolini, en grande discussion avec un Daladier pas très rassuré :

« Non mais attendez, Kishû ! Qu'est ce qu'il fait là, le fasciste ? », Coupe le Français

« ... Heu, je vous ai pas dit ? Ce soir, vous avez TOUS signé une trêve pour fêter le réveillon...

-Je pas remember avoir signé one trêve », Avoue Churchill.

« ... Auriez-vous oublié que je suis l'auteur de cette fic ? Je peux vous faire signer de force et vous effacer la mémoire ensuite !

-Mama mia !

-Musso, tais-toi.

-Moins de bruit, en tant qu'Empereur, je réclame le silence !

-Uruseeeee ! #Timbre de voix à la yakuza#

-Hiii, gomen !

-Il ne manque plus que Hitler, et tout est complet ! », Plaisante Staline.

Toc toc toc. Quelqu'un vient de frapper à la grande porte en chêne qui conduit à la grande salle :

« Vous nous faites combien de cross-overs là ? », Questionne Mussolini.

-Y'a pas quelqu'un pour aller ouvrir ?

-Vas-y Hiro !

-Mais... je suis si fatigué...

-Sors de derrière ton éventail, bouge toi le c...

-Let me go, je go ouvrir la porte for you...

-Ah Churchill, ça c'est un homme ! », S'exclame Kishû, des étoiles dans les yeux.

« Un gros alcoolo, ouais.

-Staline, sale jaloux.

-Moi je n'ai rien à envier de personne, je porte le nom d'un perso de manga connu !

-Qui ? », Demande Kishû, curieuse.

« Bah le Full Metal ! »

Silence :

« Ah oui, c'est vrai que Staline veut dire 'l'homme d'acier', mais au point de t'appeler Full metal...

-Bon, Churchill, tu l'ouvres cette porte ? Mama mia ! Vous êtes tous plus incompétents les uns que les autres !

-Et toi tu crois que tu vaux mieux que le reste ?

-Ouvrez cette porte, bon dieu ! », S'énerve Roosevelt

Et qui est ce qu'ils découvrent devant la porte ? Un Hitler congelé et effarouché. Tous se précipitent vers la porte, écrasant la pauvre Kishû. Quant à Daladier, il pousse un cri suraigu et court se cacher sous la table du buffet.

« Heu, bonsoir Messieurs...

-Qu'est ce que tu veux, le nazi ?

-J'ai reçu une lettre ce matin avec cette trêve signée –Y'a mon nom dessus aussi–, avec un carton d'invitation, et pis aussi... un texte que je dois réciter devant tout le monde. »

Les Grands se tournent vivement vers Kishû, K.O. :

« C'est quoi cette histoire ?

-... Je suis responsable de rien...

-Menteuse !

-Attendez, je dois vous réciter mon texte...

-Mais entre mon ami Hitler ! Entre ! », Lui dit Mussolini.

« No ! Pas de lui here ! », S'interpose Churchill.

« Je vous signale que vous venez d'inviter notre ennemi juré ! », Hurle Daladier de dessous sa table.

« Maaaaaaais... laissez-moi agoniser en paix... »

« Heu... et mon petit texte ?

-Trois secondes, je pas fini with her !

-Pourquoi tant de haine ? », Gémit Staline.

« Oh, toi t'es qu'un sale traître, alors tais-toi », Et Kishû retombe à terre.

« Mon texte...

-Mais récitez le votre texte, qu'on en finisse !

-"Je, soussigné Adolf Hitler, Reich Führer de l'Allemagne, tiens à se faire pardonner de sa conduite envers les pays d'Europe... "

-Hey, et les US, tu oublies ?

-Mais je ne fais que lire ce qui est écrit... "Je me rends compte à quel point j'ai manqué de respect à certains –Prendre une pose théâtrale exagérée, en levant un bras en l'air– , comme traiter la France d'État Africain... " mais ça je le pense vraiment !

-Hitler, si tu veux faire la fête avec les autres, récite ton p¤¤¤¤¤ de texte magnanime à deux balles... », Grogne Kishû.

« Mais il fait trois kilomètres ce truc !

-Bon, autant pour moi, abrège...

-L'Empereur en a marre, lui aussi...

-" Et patati patata, je m'excuse sincèrement de toutes les crasses que j'ai pu vous faire... " Mais pourquoi c'est souligné 'sincèrement' ? Je n'y ai jamais pensé à cette lettre d'absolution, alors comment je peux être sincère... ?

-... Sniff, t'es incurable...

-Mais il n'a jamais rien fait aux US...

-C'est normal, vous en avez rien à foutre de la Guerre, c'est juste pour votre propre intérêt économique que vous y avez participé...

-... Hein ? Mais restez couchée, vous ! », Dit Roosevelt en l'aplatissant davantage, ce qui a pour effet de produire des craquements sonores et inquiétants.

« Bref, et tu veux quoi, le Germain ?

-Bah... faire la fête pardi ! J'ai emmené des bouteilles des Schnapps et de Scotch pour l'occasion.

-Gimme, gimme ! », S'empresse de répondre Churchill.

« Churchill, n'y touchez pas bon sang ! Vous vous rendez compte que le dictateur du Reich est en train de vous acheter, là ? », Coupe Roosevelt.

« J'ai apporté du Whisky aussi...

-Oh, bah ça change tout alors ! Entrez !

-NOOOOOOON ! JE VEUX PAS LE VOIR ICIIIIIIIIIIIII !

-Saladier, sortez de votre cachette !

-J'ai emmené du Pinard si vous voulez...

-AAAAAH ! IL DOIT ÊTRE EMPOISONNE, ON VA MOURIR !

-Mais non, c'est bientôt le nouvel an, et on a signé une trêve...

-Ce n'est pas joyeux de passer tout seul le nouvel an, même si on est méchant...

-Faut le laisser dehors ! C'est bien fait pour lui, pour le punir de tout ce qu'il va faire à l'avenir !

-Kishû, soyez compréhensive pour une fois...

-Mais moi je connais la tragédie à venir et pas vous, bande d'ignares !

-Entrez M. Hitler, même si demain nous redevenons tous les pires ennemis de l'univers, on peut bien tous passer la Nouvelle année ensemble sans se disputer... qu'en pensez-vous Messieurs ? », Interroge Roosevelt en se tournant vers ses condisciples, qui approuvent en hochant la tête. Même Daladier ! Wouah, purée, va pleuvoir des Ford Mustang d'un moment à l'autre, c'est la nuit des miracles, c'est jour de fête ou quoi ?

« Ils sont tous bourrés, c'est pour ça... », Intervient Kishû, transformée en pâte à pizza sur le sol...

Et c'est ainsi que grâce à une super trêve improvisée à la dernière minute, il y a eu la paix dans le monde juste le temps d'une soirée plutôt arrosée...

Le lendemain matin, arrivant d'on ne sait où, Edward, Alphonse et Hohenheim, constatent l'ampleur des dégâts :

La pièce est sans dessus dessous, aucun doute. Un amas de bouteilles de Schnapps, champagne, Scotch, Chianti, Whisky, Saké, gît au milieu de la pièce.

Les Présidents, endormis, sont éparpillés un peu partout dans la salle : La figure de Mussolini est rouge tomate. Nos trois Alchimistes comprennent rapidement en voyant une assiette de spaghettis à moitié entamées dans ses mains. L'Empereur Hirohito, enfin sorti de derrière son rideau, tient contre lui une bouteille de saké vide, un filet de bave coulant sur son menton. Le fauteuil de Roosevelt est renversé, et celui-ci est en train de dormir face contre terre, la tête dans la bûche au chocolat du réveillon. Ils aperçoivent un pied de Daladier sortir de sous la nappe. Churchill est introuvable, mais un grognement qui provient de dessous la pile de bouteilles répond à la question de nos trois bonshommes. Staline s'est assoupi près de la cheminée éteinte, son visage est gribouillé de pleins de kanji, hiragana et katakana (5). Ils ne cherchent pas à comprendre leur signification. Et enfin, Hitler pionce sur le dos, et semble avoir été celui qui a été le plus défoncé par les effets de l'alcool. - Essayez de la prononcer très vite cette phrase pour voir -

Edward regarde son frère qui regarde son père qui regarde ses fils, l'air de dire : « Merde, on a raté un épisode là ! »

« Elle est où, la Kishû ? J'ai deux mots à lui dire...

-Grand frère, je crois que c'est le tas informe près du cocotier en pot arraché... »

Ils se précipitent sur elle, Ed la secouant comme un pommier pour qu'elle se réveille :

« Nnnhhh, Professeur Rogue ? Dumby, il faut le liquider...

-Elle est totalement pétée », Constate Alphonse avec stupéfaction.

« Dites-moi les enfants, qui est cette jeune fille ?

-Une salope qui nous fait endurer les pires horreurs juste pour le plaisir !

-Edward, je t'en prie !

-Comment ça se fait qu'on n'était pas les héros cette fois, hein ? Répond ! QUAND EST-CE QUE TU VAS PONDRE UNE FANFIC DANS LAQUELLE ON SE LA COULERA DOUCE, SANS QUE DES GENS QU'ON AIME MEURENT ?

-Moi aussi, je veux faire partie d'un fanfic de ce genre, avec mes deux fistons !

-Papa, ta gueule.

-Rôôôôh, grossier personnage, on ne parle pas de la sorte à son père !

-Edward... je crois que Kishû essaye de te dire quelque chose.

-Articule, grognasse !

-... Fin...

-Quoi ? Qu'est ce qu'elle bave cette incapable ?

-Elle a dit que c'est fini, je crois.

OWARI, mais juste de cette partie-ci, pas de la fic ! (Commencée le 30/12/05 et terminée le 03/01/06)

« TU T'EN TIRERAS PAS COMME ÇA, IMBÉCILE DE FILLE !

-... Moi aussi je vous adore, Professeur Rogue... »


LEXIQUE

(1)'Du pain pour du pain, du sang pour du sang'. Un peu comme 'œil pour œil, dent pour dent'...

(2) Waa, j'ai réussi à coller Kendappa-Ô de RG Veda dans ma fic ! Ouaaaaaaais.

(3) Dans mon pays (Nouvelle Calédonie, dans le Pacifique), on a aussi nos histoires de fantôme.

(4) 'Balilla' vient du nom d'un petit héros de la Rome Antique. On les appelle aussi les 'Petites Italiennes'. Des enfants de 8 ans défilent en uniforme et avec des armes factices. Ce sont les 'jeunesses fascistes' (équivalent des jeunesses hitlériennes)

(5) Systèmes d'écriture japonais.


... Alors comment dire ? Cette partie était heu... heu...

EDWARD : Totalement sans intérêt scénaristique !

... Ouais, c'était stupide, mais c'était pour faire passer le temps à mes lectrices (je suppose qu'il n'y a que des filles qui lisent ma fic depuis sa publication), parce que je publierai pas de suite avant mon retour de vacances... ou alors avec un peu de chance...

EDWARD : MAIS T'AURAIS PU POSTER QUELQUE CHOSE DE MIEUX !

Mais un 'Intermezzo' c'est censé être une pause comique ! Enfin bref, désolée pour cette partie défouloir ! Maintenant les explications et détails cross-overiques. Dissimulé dans le texte, il y avait donc du 'Tintin', du 'FMA', du 'Harry Potter', un peu des 'Choristes', du 'Buck Danny', 'Inspecteur Colombo' heu... c'est tout je crois ?

-Bon, pourquoi j'ai mis en scène un Staline qui se cache ? Un jour, mon professeur d'histoire en classe de 3ème m'a dit que c'était un homme très méfiant, et qui évitait de s'accaparer de types douteux. J'ai alors rajouté 'C'est quelqu'un qui n'a confiance en personne, alors ?'. Il a répondu 'Oui, c'est exactement ça ! On dit même qu'à sa mort, il se serait caché pour pas que l'on puisse retrouver son corps'... voyez pourquoi j'ai poussé ce défaut au paroxysme ! Staline avait constamment peur qu'on vienne l'assassiner dans son lit, c'est pour cela (dixit mon prof), que tous les soirs, il ne dormait pas dans la même chambre...

-Pourquoi un Hitler saoul, et une drôle d'intervention ? Il paraît que Hitler, lorsqu'il était ivre, était capable de tout avouer (dixit un commentaire d'une ancienne connaissance du dictateur, à la télé)... je me demande comment les gens n'ont pas pu exploiter son point faible pour savoir ce qu'il tramait ! Ils sont trop bêtes !

-Daladier avait, à ce qu'il paraît, une trouille bleue d'Hitler... Note :Vous préférez un Saladier... heu, Daladier compétemment apeuré par Celui-dont-on-ne-doit-pas-prononcer-le-nom ou bien un Pétain qui se joint aux nazis ?...

-Roosevelt avait beau être handicapé, il voulait toujours paraître au top de sa forme... mais d'après moi, pas tous les jours !

-C'est connu que Churchill était alcoolo et fumait comme un pompier... et c'est lui-même, lors d'une conférence, qui a répondu 'no sport' à un journaliste qui lui posait la même question qu'Hohenheim... juste hilarant !

-Pour Hirohito, c'est tout simplement dû au fait que l'Empereur ne devait pas sortir dehors. Le peuple nippon n'avait pas le droit de voir son visage... mais après le coup d'Hiroshima et Nagasaki, ce 'tabou' va être bravé par l'Empereur en personne.

Bon, en tout les cas, pour rendre un dernier hommage... aux Clamp, tiens, si cette fic était comme ça, que feriez-vous ?

A) J'arrête de lire cette histoire sur le champ.

B) J'opte pour cette version.

C) Je préfère l'ancienne version, avec deux frères Elric dans la merde jusqu'aux coudes.