Wouah, 71 reviews ? O.o Merciiiii ! Remarquez, j'ai vu des fics encore mieux avec moins de chapitres et plus de reviews XD mdr. Néanmoins je me sens fière... #Ok je sors#. Aidez-moi à battre la barre des 100 ! XD
Bon, pas pour dire, mais je vais devoir pousser mon niveau de violence d'un cran. Lol
En relisant des textes écrits de la main de citoyens allemands de l'époque, je réalise que le bourrage de crâne commençait bien tôt, et c'était si intense, j'ai parfois l'impression que je n'ai pas assez fait ressortir ce côté « lavage de cerveau »... faut comprendre que les gens étaient VRAIMENT endoctrinés, sous l'emprise du plus grand salaud de l'histoire de l'humanité O.o Mais bon, on fait ce qu'on peut hein -.- mdr !
Une 'ballade' est un poème narratif, en vogue à la fin du XVIIe s. en Allemagne (tiens tiens) et en Angleterre. Une 'ballade' relate une tradition historique légendaire avec beaucoup de pathétique. En gros, ça évoque les guerres perpétuelles que se livrent depuis longtemps déjà la France et l'Allemagne... sur qui ce chapitre sera particulièrement concentré... (oubliez pas que la France se rend)
Bah voilà, ENJOY !
Bevor ich dich Auf Wiedersehen sage
Partie XI : Ballade
Fin mai 1940
« Bah, de toutes façons la police aurait fermée les yeux sur cette nuit...
-Oh, as-tu le dernier Völkischer Beobachter?
-Les Untermensch (1) seront placés ailleurs ? C'est pas nouveau. Depuis le temps que le Führer le dit...
-La France et l'Angleterre capituleront !
-L'Allemagne asserviera le monde !
-Tu as entendu parler des prochains Jeux qui auront lieu à Tokyo cette année ?
-Ja, bien sûr ! Mon cousin va y participer, tu sais ?
-Les Jaunes n'ont aucune chance de gagner ! C'est les sportifs du Reich les meilleurs !
-Mein Führer vaincra !
-Heil !
-Heil Hitler ! »
Alphonse se réveille soudain.
Sa vue est encore trouble. Il se frotte les yeux.
Il réalise alors qu'il s'est endormi sur son bureau... enfin, plus précisemment sur ses factures.
Il entend ses employés rirent à côté : la porte de son bureau est si mince de toutes manières que n'importe qui qui passe par ici entendrait Alphonse murmurer.
Veiller sur le sommeil son frère en sacrifiant le sien a quelque chose d'éprouvant.
Edward ne cauchemarde plus, mais Alphonse se sent tellement inquiet à son sujet. Voilà plusieurs jours qu'il ne dort plus. Se tenir en alerte pour se lever et consoler son aîné à tout moment.
L'ennui c'est que c'est au détriment de ses heures de travail.
Goering semble l'avoir plus ou moins remarqué, puisque lors de sa dernière visite...
« Eh bien Herr Elric ! Et les devis ?
-Ké deuvi ? », Répondit celui-ci, l'air endormi.
« Ceux de la semaine ! Et où en est le stockage des fusils !
-... ... ... Zz...
-Herr Elric !
-Ah heu ! Pardonnez-moi ? Les fusils ? Oui oui, ils sont déjà partis pour Flosenburg.
-Was ! Vous avez inversé les documents ! Vous deviez envoyer cela à l'armée pour l'attaque sur l'ouest de la France !
-Qu... quoi !.?
-Annulez immédiatement l'ordre de transfert. Schnell !
-Ou... oui Monsieur ! Désolé ! Pardon ! »
Et Goering sort en lui faisant le salut nazi.
Bon, ok, il a pas assuré sur le coup, mais il a autre chose à penser que ces fichus bons de commande... A l'état de santé d'Edward par exemple, fiévreux depuis quelques temps.
Et il ne veut pas que ses armes tuent des Français.
Il voudrait mieux disparaître...
Et Goering qui a l'air de préparer un sale coup...
¤§¤
"Mes chers citoyennes et citoyens du Reich. Ici votre chef suprême, Adolf Hitler, Führer du IIIème Reich, qui vous parle. J'ai une bien terrible nouvelle à vous faire entendre... l'ennemi Français et Anglais a refusé le modeste traîté de Paix que j'ai moi-même eu l'obligeance de leur proposer. Comme si cette infamnie ne suffisait, indépedemment vient s'ajouter à cela le fait que ces sous-états jasant ont proclamé des Accords les liant contre Notre Peuple lors de cette Kriegblitz. C'est une offense à la plus Grande Nation du Monde, chers Allemandes et Allemands, et je le jure sur mon honneur, mon seul, que l'objectif que je vous ai à toutes et à tous promis d'atteindre sera d'ici peu à portée de main, et nous exécuterons la mission à laquelle nous avons prêté serment. Enfin, sachez que ce n'est pas l'Allemagne qui a voulu la guerre ; ce sont les infames Juifs, perfides, qui cherchent à profiter de la faiblesse actuelle du pays : mais s'il est faible, alors il est condamné à disparaître, car telle est la Nature. Mais loin de là, la Grande Allemagne vaincra, personne ne surpasse sa puissance armée... En défendant la cause des Juifs, la France et l'Angleterre se rendent coupable d'un crime effroyable. Si personne d'autre ne le fait, alors l'Allemagne se doit de rendre justice, vis-à-vis de sa Nation...Je ne veux aucune pitié de la part de quelques citoyens de la race Aryenne envers cette peste, sous peine de damnation éternelle. L'Italie qui mène un combat acharné à nos côtés, de par sa simple volonté, et non par demande du Reich qui n'a besoin de pareille aide externe pour accomplir son but, n'est à la hauteur de la situation. A cela, les opposants trouveront sûrement un moyen d'y remédier... (2) Citoyennes et Citoyens d'Allemagne, la Nation compte sur votre soutien, celle qui n'est là que pour la race élue des Dieux. Heil. "
(Discours 100 pour 100 inventé by me XD Mais un truc similaire a sûrment dû être pondu quelque part -.- Bon, je vais faire avancer l'histoire, je le jure !)
¤§¤
Juin 1940
« Grand-frère, prend tes médicaments je te dis !
-Non, veux pas, pas bon...
-Arrête de faire le gosse, t'as plus 10 ans !
-I' me donnent envie de gerber...
-Tu ne guériras pas si tu ne te soignes pas Ed...
-Al... tu veux faire quelque chose pour moi ?
-Quoi Grand-frère ?
-... Laisse-moi agoniser en paix. »
Le plus jeune pousse un soupir d'exaspération. C'est à croire que son frère se plaît à être souffrant.
Edward n'a jamais été très médicament, il espère toujours que la maladie se dissipera, à force de repos... pourtant, c'est bien la 1ère fois qu'Alphonse le voit refuser de se soigner avec autant de vigueur.
« Ed ! C'est pas en restant avachi toute la journée que ça ira mieux !
-Si, si... », Murmure Ed en se tournant sur le côté, s'enroulant un peu plus dans la couverture.
« Ed... tu ne ferais pas exprès de ne pas te soigner pour manquer le travail ? »
L'aîné tire encore un peu plus les draps pour dissimuler sa surprise : son frère est trop perspicace, c'est effrayant !
« Grand-frère ! Tu te rends compte de ce que tu fais !.? Tu es prêt à laisser ta santé se détériorer pour ça !
-J'ai de bonnes raisons de me laisser aller.
-Redemande encore à Mr. Hitler de te laisser partir. La situation devient trop grave pour qu'on puisse continuer de jouer la comédie, tu dois quitter ton travail !
-Je t'ai dit que je ne pouvais pas. Il me l'a interdit.
-Mais pourquoi Grand-frère ?
-J'en sais rien, merde ! Arrête de me poser trop de questions, j'ai mal au crâne ! », S'écrit Ed en se tournant soudain vers son petit-frère.
Alphonse a un mouvement de recul, surpris par l'agressivité de son frère. Il le regarde, l'air à la fois déçu et en colère. Il lui déclare d'un ton froid :
« Je crois que quelques vacances te ferais le plus grand bien. A force de fréquenter des SS, tu deviens aussi agressif qu'eux. »
Il se lève de la chaise et s'apprête à sortir, lorsqu'Edward le rappelle : « Al ! Attend ! Je suis désolé ! »
L'interpellé fait volte-face, observant son aîné ; il a l'air sincère, se dit Alphonse.
« Tu sais Grand-frère, moi je ne veux pas travailler à l'entreprise de Göring. Dès demain je vais déposer mon dossier de démission à son bureau. »
Il sourit, et s'approche du lit dans lequel repose Edward. Il prend le tissu imbibé d'eau dans la bassine et le pose sur le front encore chaud de son frère : « Repose-toi bien. »
Avant qu'il ne puisse faire un pas, Edward lui attrape le bas de la chemise pour le forcer à rester. Il sourit à Al, comme pour le remercier, les yeux brillants...
« Au fait Al, est-ce que la Wehrmacht progresse en France ? », demande t-il. Son frère hoche la tête pour approuver.
« Et Fleur ? », Enquit-il, inquiet.
« Je ne sais pas Ed. Plus de nouvelles depuis le début de la 'drôle de guerre'.
« Et... et Hohenheim ?
-Ah, justement, on a reçu aujourd'hui une lettre de Papa, mais elle date d'il y a maintenant 4 mois.
-C'est tout ?
-Peut-être que les examinateurs ont gardé le reste. »
A cette époque, la censure est aussi forte que celle du XVIIIe siècle...
« On essayera de les appeler, hein, Grand-frère ?
-Al, j'y pensais... nous ne devrions plus chercher à prendre contact avec eux. Leur survie et la notre en dépendent.
-Qu'est-ce que tu veux dire ?
-Eh bien... Hohenheim en Angleterre, Fleur en France, nous en Allemagne, on est ennemis. »
Si Alphonse ne connaissait pas son frère et ses logiques tortueuses pour protéger ceux qu'il aime, il aurait très bien pu penser que son frère était devenu un vrai Nazi.
¤§¤
Juin
« Bombarder Londres de nuit, c'est du jamais vu !
-A la guerre comme à la guerre, tous les coups sont permis.
-C'est... c'est quand même lâche, non ?
-Was ! Tu n'as pas honte de dire ça ? Tu insultes ton sang !
-Non ! Mais... tous ces gens...
-Bien fait pour l'Angleterre !
-Nos Stuka (3) sont les meilleurs !
-La France y passera bientôt !
-Ouais !
-Eh bien eh bien, ça papote beaucoup mais le travail n'avance pas on dirait... »
Les hommes sursautent et se tournent vers leur supérieur : « Sturmbannführer Edward Elric !
-Oui, c'est moi. Je peux savoir ce que vous faites, tous cachés dans les locaux de la cantine ? Encore en train de fumer ?
-Heu... nein, nein ! Heil mein herr ! », Bégaye un SS, en faisant un salut maladroit. Les autres écrasèrent tant bien que mal leur mégot.
« Ce... ce n'est pas ce que vous croyez, Herr Sturmbannführer, nous étions juste heu...
-Déguérpissez avant que je vous dénonce à Mr. Himmler.
-J... ja ! »
Et ils s'enfuirent au galop.
Edward éprouve de plus en plus d'antipathie pour tous ces hommes. Ce travail ne lui réussit vraiment pas. Alphonse a raison : à force de rester là, il va finir par devenir comme tous ces assassins...
Il rabat sa casquette noire et boutonne son pardessus : allez, il faut qu'il aille voir Hitler et lui redemander la liberté.
¤§¤
« J'ai toujours rêvé de traverser l'Arc de Triomphe, pas vous, Herr Edward ? »
L'aîné des Elric détourne son regard de l'énorme globe terrestre qui trône fièrement dans le bureau du Führer, et observe son supérieur.
« J'y suis déjà allé, Mein Führer.
-Magnifique, n'est-ce pas ?
-... Oui. », Répond-il en baissant la tête. « Mais ce n'est pas si extraordinaire qu'on veut bien le faire entendre. Il vaut mieux que ce genre de rêve n'en reste qu'un. Sinon on est trop déçu. »
Hitler s'approche d'Edward et pose une main compatissante sur l'épaule du blond. Le dictateur lui sourit amicalement : « J'aime beaucoup votre façon de voir les choses. Si, si, voyez-vous, lorsque j'avais votre âge... oui, ou moins peut-être... j'avais exactement la même vision du monde. Ahahaa, une âme de futur visionnaire, Herr Edward ? »
Le dictateur se dirige ensuite vers le globe et s'amuse à le faire tourner. Edward reste un instant coi devant une telle anecdote.
« Cela vous intrigue-t'il donc, Herr Edward ?
-Pardon ?
-Ce globe. Je l'ai commandé exprès pour l'occasion...
-Quelle occasion, Monsieur ?
-... N'est-ce pas évident ? Une fois la France conquise, c'est beaucoup plus pratique de voir quelles seront mes prochaines conquêtes.
-Mais, Monsieur... la France n'est pas encore tombée ! », Emet Elric. Hitler fait volte-face et lui lance un regard noir.
« Herr Elric, ne soyez pas aussi négatif ! Notre armée est invincible ! Ne ressentez-vous pas cette fureur ? Cette ardeur ? La volonté de tous ces militaires ? Tant d'efforts poussés à fond, avec fanatisme... comment pensez-vous perdre ?
-Il y a... certaines choses qui surviennent sans qu'on s'y attendent. Des choses... auxquelles on ne s'attend pas. » Edward passe sa main sur son bras droit. « On croit pouvoir toucher au but, pouvoir l'effleurer du bout des doigts, et malgré nos ailes, on atteint jamais le Ciel. Le seul risque qu'on courre, c'est qu'elles brûlent et qu'on s'écrase sur la terre ferme. »
Le Reich Führer se passe la main dans les cheveux, pensif.
« Eh bien, si l'on vous a coupé les ailes, faites-les repousser... on construisez-les vous-même, pour vous renvoler immédiatement. »
#Quel type borné... #, pense Edward. « Mein Führer ? Concernant... ma demande de démission...
-Si j'acepte, que comptez-vous faire ? Vivre au crochet de votre frère ? Mendier ? Faire un métier déshonorable pour un homme tel que vous ?
-Je trouverai. Soyez-en sûr. »
Le brun l'observe longuement et lui tapote la joue, un sourire paternel, se qui surprend grandement Edward :
« Herr Edward, vous êtes un bon garçon ; le Reich a besoin d'hommes tels que vous. J'insiste, restez parmi nous. L'Allemagne est sur le point de gagner la guerre, cela ne vous plaît pas d'être dans le camp des gagnants ? »
Sentant la colère lui monter aux joues, Edward lui tourne le dos et se dirige vers la porte du bureau. Avant de la claquer, il souhaite à Hitler une « bonne journée » à peine poli.
¤§¤
Alphonse assis dans le confortable fauteuil du salon attend avec impatience le retour de son frère, lisant les petites annonces dans le journal. Il entend soudain la porte s'ouvrir, et, affichant un visage réjoui, il annonce : « Bonsoir Grand-frère ! T... »
Devant la mine mussade de son aîné, Alphonse se lève et vient à sa rencontre :
« Qu'est-ce que tu as ?
-... ...
-Tu... tu as pu quitter ton travail alors ?
-Non. J'y suis enchaîné de force plus que jamais. Hitler veut me garder sous sa croupe. Je sais pas pourquoi... m'énerve. »
D'un geste, il pousse gentimment son frère et s'affale sur le siège où s'est trouvé précedemment son cadet. Il attrape les nouvelles et pousse un juron en voyant le gros titre du jour.
« Je savais que ça ne te ferai pas plaisir Ed... »
"Pétain veut abandonner le combat ! La France réclame l'armistice ! "
« Eh merde, les français ne feront-ils jamais rien correctement lors des guerres ?.! », Murmure Ed, d'un air las.
« Ne t'en fais pas Grand-frère, je suis certain que les Français se battront encore ! Ils sont attachés à leur patrie pour abandonner ainsi !
-Mais face à la violence et la cruauté de l'armée du IIIème Reich, je ne suis pas certain que nos chers pacifistes voisins tiendront bien longtemps. », Ed croise les jambes et les doigts d'une air à la fois digne et nonchalant. « Ils vont sûrement céder. C'est même inévitable. »
Alphonse ne sait pas bien pourquoi, mais il a l'impression que son frère s'éloigne de plus en plus... il est même déjà trop loin.
¤§¤
26 Juin 1940
Il fait chaud... si chaud... le soleil brille si fort pour cette occasion si spéciale.
C'est déjà un grand pas de franchi.
Le bruit des klaxons, la foule de gens, les enseignes en bois qui claquent contre les murs... tout donne si mal à la tête.
Dieu est injuste. Après tout, il est bien Humain : on se range toujours du côté des plus puissants.
Dans cette masse vivante, on peut apercevoir une jeune femme aux cheveux blonds comme les blés, ses yeux d'un vert émeraude noyés par les larmes.
Et le drapeau tricolore sauvagement remplacé par un carré rouge et une croix noire sur un fond blanc...
Et les arbres, et le vent... les bruits de pas sur les briques du pavé de Paris...
Il lui faut une aspirine, vite. Il n'en peut plus.
Une ombre se dessine soudain au-dessus de lui. Une immense porte ouverte.
Si seulement... si seulement... mais l'alchimie n'opère pas. Il est toujours là.
Une musique violente retentit. Des chants allemands. Des cris de joie, mêlés aux huées...
Un bras levé vers la stratosphère. Des milliers... plus... des millions... non, impossible, il délire, il est si fatigué... la nausée...
Le même salut habituel.
« Je...
-Quoi, qu'il y a-t-il ? »
Le frère s'approche de l'autre Elric, tout deux assis sur la banquette arrière du véhicule.
Ils ont cédé. Maintenant il n'y a plus qu'à remodeler la ville des Lumières.
« Qu'est-ce qu'il y a ? Tu es blanc comme un linge !
-J'ai... j'ai le tourni... j'ai mal au cœur. »
L'autre ne répond pas, et observe le somptueux paysage parisien à ses côtés. La resplendissance se meurt, pense t'il. Paris a été mise en bouteille.
Une journée comme les autres à Paris, simplement marquée par la dominationnazie sur les 3/5 du territoire...
A SUIVRE (fini le 27 mai 2006)
LEXIQUE :
(1) 'Völkischer Beobachter' est le titre du journal nazi publié depuis 1920... et 'Untermensch' désigne un 'sous-homme' (bah c'est un mot transparent à l'anglais -.-)
(2) Euphémisme pour expliquer le fait que l'Italie se fait éclater la face par la France XD
(3) Stuka : abréviation de 'sturzkampfflugzeug'. Bombardier de combat en piqué pendant toute la 2nd GM.
Aaah... j'adore ce principe de 'on sait pas qui parle' XD Je sais que c'est chiant, qu'on va me haïr, mais... faisons comme dans le chapitre 0 ! XD mdr Bah voilà, c'est tout ! C'est les vacaaaaaaaaances ! J'espère que la suite vous a plu ! Mata minna-san !
