Voilà le chapitre finale de cette aventure. celui qui éclaire tout. Et qui est... --" Plus court.
Acte IV
Il criait. Des plus en plus fort. De plus en plus aigus. En proie à une véritable crise de démence.
L'interne se précipita dans la pièce et maîtrisa le jeune homme. On fit sortir l'autre patient et le docteur pénétra la pièce. Klaha se débattait furieusement avec l'envie de tuer sur place cette homme aux cheveux argenté.
« - Encore une crise. Tenez le bien je vais lui faire une injection. » Dit le vieil homme en s'adressant à l'aide soignant qui maintenant les bras de Klaha dans son dos. Le jeune homme roula des yeux et ses prunelles se posèrent sur le visage suintant du propriétaire du « Malheureux Monde ». Il voulu s'extraire de ses pattes. Mais déjà il sentait une longue aiguille plonger dans sa jugulaire. Le liquide froid fusa dans ses veines. Il sentit ses membres s'engourdirent. Un bruit sourd se répercutait dans son crâne. Il faillit tomber. Mais l'interne le retenait toujours. Il le reposa sur la chaise qu'il venait de quitter. Klaha ne voyait qu'à travers des brumes sinueuse. Il n'entendait plus. Les lèvres des deux autres s'agitaient. Mais ses oreilles cotonneuses ne captait aucun son.
"Docteur Kitani ?"
"Hum."
"Ce patient est souvent sujet à se genre de crise."
"En effet."
"Hum… Mais… Qu'a-t-il exactement ? Il est toujours extrait du présent. Ses yeux sont absent et brusquement, sans prévenir il hurle et tente de tuer l'un des autres patient."
"Le cas de Haruna-Kun est complex. Je pense qu'il évolu dans un monde imaginaire. Une utopie personnelle si vous voulez. Mais son expérience passez doit parfois perturber se paradis fictif. Ce qui lui fait reprendre conscience d'une partie de la réalité. A savoir qu'il souffre. Et qu'il connaît la sensation du meurtre."
"Vous voulez dire que l'un des patients de votre institut est un meurtrier."
"Non. Pas lui. Sa mère. A Quatre ans Haruna-Kun à été témoin du meurtre sauvage de son père. Sa mère la complètement démembré à l'aide d'une scie à métaux sous les yeux innocents de son fils."
"Mais c'est horrible !"
"Comme vous dites. Mais cette femme relevait elle même de psychiatrie. On peut supposer que la folie de Haruna-Kun à une part d'hérédité. Après cette événement plus que traumatisant. Il à été placé dans des foyer à droite et à gauche. Cela créa une grande instabilité chez lui. Il était profondément dégoutter des femmes, elles le répugnaient mais paradoxalement il était en demande constante d'affection maternelle. A l'adolescence l'orphelinat dans lequel il était lui a fait consulter un psychiatre. Il voyait sa mère partout."
"Une schizophrénie?"
"Des hallucinations du moins. Auditive et visuelle . Il assurai que sa mère s'insinuait dans le corps d'autre personne. Qu'elle empruntait leur voix et changeait leur apparence pour endormir sa méfiance. Ainsi il était persuadé que tout le monde cherchait à l'éliminer. Il finit même par se balader avec une poupée prétextant que c'était ça mère. Et que c'était elle qui le suivait toute seule."
"C'est à cette époque qu'il a été interné ?"
"Non c'est plus récent. A la suite d'une rupture amoureuse il a fait une tentative de suicide…"
"Ah."
"Au beau milieu d'un bar, perdu le long d'une autoroute. Le « Malheureux Monde » je crois. Enfin la police est venue et il à été amener chez nous, lorsqu'il est devenu manifeste pour les forces de l'ordre que ce jeune homme était en plein délire."
"Qu'elle histoire tragique !"
"Oui… Peut être serait-il temps de le ramener dans sa chambre. Il à besoin de repos."
Le corps de Haruna était agité de soubresaut. Sa tête roulait lamentablement dans le vide. L'interne passa le bras du jeune homme sur ses épaules et le soutint par les aiselles pour le relever et le maintenir debout.
« - Allez garçon ! Courage le lit n'est pas loin ! »
Il l'entrainna dans les couloirs sous l'œil bienveillant du docteur.
Il passèrent devant une pancarte qui indiquait :
« Institut Kitani : Asile Psychiatrique »
Enfin ils atteignirent la chambre d'Haruna. Se dernier sous l'effet des calmants s'était casiment endormit dans les bras de l'assistant du maître des lieux. L'homme transpirant furieusement traina le garçon jusqu'à son lit en fer aux draps blanc et l'allongea. Juste à côté d'une poupée en tissu. De longs cheveux d'orée tombaient en large boucle sur ses épaules nouer en couettes par des rubans de satin blancs. Une mèche droite d'enfant sage balayait son front. Et elle était vêtue d'une robe blanche à volant, agrémentée d'un tablier plissé évoquant, le personnage d'Alice au pays des Merveilles…
Fin