Titre: Le roman d'une vie

Genre : Récit de Réléna sur sa vie aprés les mangas.

Couple : C'est Une fic hétéro,HxRxH

Les "#" c'est lorsqu'il y a un dialoge, c'est le seul signe qui marche sur Fanfiction!

Bonne lecture


Chapitre 1 :

Encore les mêmes réunions, encore les mêmes discours, sur les mêmes sujets. Cela ne finira-t-il jamais ? Eh oui, j'étais encore à une conférences pour savoir si oui ou non, nous devions arrêter la fabrication d'armes. Je commençais à en avoir marre de me répéter encore et toujours pour n'aboutir à rien ! Je regardais Heero, lui aussi en avait plus qu'assez de tout ça, de tout ce ramassis de bêtises, de mensonges. Il fallait les faire taire !

# S'armer ne protègera pas la population et encore moins la paix ! Mais plutôt à la détruire ! Si nous possédons des armes, nous serons plus tentées de les utiliser !

Un jeune homme d'un vingt cinq ans, prit la parole. Il était brun, avec des yeux vert profond, pas très grand même s'il me dépassait d'au moins une tête. Il était très beau mais avait le don pour m'irriter et m'agacer.

# Et si une organisation se formait pour faire un coup d'état, comment nous protègerons nous ? Avec de pelles et des pioches, ou des pierres peut-être ? Fit-il avec un sourire narquois.

Il ne pouvait pas se taire celui-là ?

# Avec des SI on peut refaire le monde, Monsieur !

# Oui, mais avec votre Politique on peut le Détruire !

Je me levais bruyamment et posais violemment mes mains sur la table.

# C'est faux ! Le peuple en a plus qu'assez de toutes ces guerres qui n'apportent rien sauf souffrance, mort et misère ! C'est pour cela que nous devons arrêter immédiatement de fabriquer des armes et de détruire les autres pour empêcher toutes tentatives ! De plus ces organisations, comme vous dîtes, seront comme nous ! Démunies d'armes ! Et si elles essayent par n'importe quel moyen qui soit de s'en procurer, nous le serons et nous les en empêcherons !

Je me rassis rageuse. Cet homme m'écoeurait au plus haut point ! Il ne voulait rien comprendre ! On dirait que ça l'amusait de m'enrager, qu'il voulait me mettre au défi ! Mais je ne m'avouerai jamais vaincu par un homme comme vous, monsieur Shimano Etoka !


Ah c'était enfin fini ! Cela avait encore servir à rien ! L'assemblée était partagée en deux camps : les partisans pour et les autres contre l'arrêt de la fabrication d'armes.

« Allez Réléna, tu ne vas pas te laisser abattre par ces hommes ! » Il fallait que je me reprenne. Sinon ces requins tel que Shimano ne me louperaient pas si je leur montrai que je m'affaiblissais de jour en jour.

Je regardais tous ces hommes sortir de la salle. Des fois je me sentais seule parmi toutes ces vieilles personnes qui étaient tous des hommes. Ils étaient tout le contraire moi ! C'est vrai qu'il y avait des jeunes hommes comme Shimano mais pas de fille, à part moi… J'étais donc la petite jeune qui voulait apprendre aux vieux croûtons de la politique comment faire pour que la paix soit durable. Cela n'aidait pas à ma tâche. Ils prenaient mal que je leur donnais des leçons, même s'ils en ont bien besoin. Ils se croyaient tous supérieur les uns des autres mais enfin de compte ils ne valaient tous pas mieux. Mais bon, je n'allais pas changer le monde et ses hommes en quelques années. Peut-être changera-t-il jamais ? À cette pensée, je me sentis triste et inutile. Il est vrai que les hommes ont toujours eu, depuis le début du monde, des envies de dominer le plus faible, de conquérir le pays voisin et toujours par la force. Personne n'avait su tirer des leçons de tout ça et c'était ce qui rendait ma mission difficile, car malgré tout ma confiance en l'Homme, je savais qu'il recommencerai à se battre en se moquant des conséquences. La guerre n'était que bénéfique à certain homme, qui la plupart du temps ne se batte même pas avec leur homme. Ces derniers étant seulement considéraient comme de la chaire à canon, et non comme des être humains. La nature de l'Homme m'effrayait de plus en plus. Cela me désolait énormément, parfois je me demandais comment je pouvais me battre pour tous ces meurtriers qui n'avaient aucune pitié, aucun sentiment pour faire la guerre.

Je fus tirée de mes pensées par Heero qui avait posé sa main sur mon épaule. Je tournai la tête pour rencontrer son regard. Il était toujours aussi intense et profond. Mais il y avait une pointe d'inquiétude dans ses yeux.

# Je vais bien. J'étais seulement dans mes pensées. Dis-je avec une voix remplit de tristesse. Rentrons, je suis épuisée.

# Hn

Je lui souris pour le rassurer et il répondit à mon sourire. En sortant de la salle, nous vîmes Shimano qui discutait avec un ministre. Il se retourna vers nous et me fis un de ses sourires qui me donnaient envie de vomir. Il termina sa discussion et se dirigea vers nous, toujours avec son sourire. Il devait savoir que cela m'énervé. Arrivait devant nous il dit :

# Votre altesse, votre rage contre la guerre me passionne. J'admire votre lutte pour que vos idéaux se réalisent ! Vous m'épatez énormément. Je crois que j'en apprends sur vous tous les jours.

# Je dois dire que cela n'est pas réciproque. Vous êtes quelqu'un qui ne change pas ! Vous êtes fidèle à votre image de personne antipathique et aux idéaux destructeurs.

Il perdit son sourire à ma réplique, en fin ce n'était pas trop tôt ! Son regard se fit glacial, au point que j'en eu des frissons dans le dos. Ce regard me terrifiait. Heero qui n'avait pas bougé jusque là se plaça devant moi et regarda Shimano avec une regard noir. Il avait du croire lui aussi qu'il allait se jeter à mon cou. Le geste de Heero fit réagir Shimano qui changea de regard. Il eu un rictus, souria légèrement avec un regard pervers et partit. Heero se tourna vers moi et dit :

# Ça va aller ?

# Oui, ça va.

# Allons-y.

Je le suivis jusqu'à la voiture qui nous ramena chez nous. Durant le trajet, j'avais posé ma tête sur l'épaule d'Heero et je m'étais assoupi. Une fois arrivé, Heero me prit dans ses bras et me conduisit dans notre chambre. Cela me réveilla. Il allait partir quand je lui pris le poignet pour qu'il reste avec moi. Il s'allongea à côté de moi et me prit dans ses bras. Puis quelques minutes plus tard, nous étions en train de dormir.


Le lendemain matin, je me réveillais dans les bras de Heero. A chaque fois cela me faisait un bien fou. Je me tournais vers lui et il se réveilla.

# Bonjour, me dit-il en me faisant un bisou sur le bout du nez.

# Bonjour ! Bien dormi ?

# Hn

Après un gros câlin, nous sortions du lit pour aller manger.

Nous avions décidé d'aller pique-niquer dans le parc aujourd'hui. Ils étaient rares les jours où je n'avais aucune obligation. Ces jours-là, nous en profitions pour partir en escapade amoureuse. Nous aimions énormément nous retrouver ensemble dans un coin retiré de tous. Cela nous permettait d'oublier tout le stress et les horreurs de la vie courante. Ces moments-là étaient très précieux pour nous. Mais pas au point d'être injoignable en cas de besoin donc nous avions toujours un téléphone portable avec nous.

Nous étions assis sur une nappe l'un à côté de l'autre, en nous tenant la main. Nous buvions un verre d'alcool et parlions de tout et de rien.

# Heero…

# Oui ?

# Crois-tu qu'un jour je puisse changer les hommes pour qu'une paix éternelle s'installe ?

# Je crois plus que tu arriveras à changer certaine personne qui le feront à leur tour. Et au fur à mesure, la paix perdurera. Je sais que ça tu en es capable. Regarde ce que tu as fait de moi ! Vouloir tout changer d'un seul coup est un objectif trop difficile et cela ne changera que sur quelque année. Alors que de changer petit à petit est beaucoup plus sur et efficace.

# Oui, tu as raison. Dis-je en me blottissant dans ses bras. Que ferais-je sans toi ? Je t'aime.

# Moi aussi.

Sur-ce, il m'embrassa passionnément. Le repas fini, nous nous sommes allongés l'un contre l'autre pour faire une petite sieste. Depuis quelque année, j'avais en magasiner de nombreuses heures de sommeil à rattraper.

Dans la soirée, je dus aller dans mon bureau pour régler quelque affaire. Heero me voyant pas revenir, vint me chercher. Je le vis s'approcher prés de moi. Arrivé à ma hauteur il me fis un bisou dans le cou. Je tournais la tête pour rencontrer son regard enflammé. Je l'embrassai passionnément. Il passa sa main sur mon cou puis sous ma chemise. De fil en aiguille, je me retrouvais les jambes en l'air sur mon bureau, avec Heero sur moi. A la fin de nos ébats sexuels, je transpirais le bonheur et Heero aussi.


Et voici le premier chapitre, de ma première fic. Merci d'avoir lu jusque là. S'il vous plait, laissez moi un petit commentaire même négatif. Merci d'avance

Linka