Blabla de l'auteure : Au mon Dieu deux chapitres en une soirée ! Mais je suis en forme ! Bon promis après celui ci je réponds aux rewiew mais je me suis dit que vous souhaiteriez avoir ce chapitre le plutôt possible donc… Enfin bref la rencontre avec le fana incontestable des bonbons aux citrons c'est ici !

Oh et chut : mais il y a un indice capital pour les prochains chapitres qui est glissé ans ces lignes quelque part….. je vous en dit pas plus ;)

Bonne lecture et laissez des rewiew !

Chapitre 4 : Ouvrez les yeux !

Sirius s'était réveillé aux alentours de 7 heures 30 du matin, heure trop matinale pour une période de repos pour lui alors encore plus inacceptable pour son filleul. Et d'après ce qu'il avait compris par le regard de Rémus quand il lui avait annoncé qu'Harry tait déjà levé, son protégé n'avait pas dû dormir beaucoup. L'animagus savait parfaitement qu'il allait devoir remettre les pieds dans le plat avec Harry puisqu'il qu'il devait tout savoir avant d'aller rencontrer les Dursley, cependant il voulait aussi régler ses comptes avec Dumbledore et avec ou sans témoignage d'Harry affirmant ou infirmant ses suppositions, il allait voir Dumbledore. Après tout c'était ce vieux fou qui avait collé Harry dans les pattes de ces bêtes infâmes qu'on nommait Dursley, il l'avait laissé là bas pendant 10 ans sans même prendre soin de vérifier si SON Harry était bien traité ou non, et depuis que l'enfant était entré à Poudlard il n'avait pas été foutu d'aller s'occuper du cas Dursley une bonne fois pour toutes.

Sirius était en colère et il était inquiet, et sa colère renforçait son inquiétude qui renforçait sa colère. Il savait pertinemment qu'il aller exploser bientôt et il préférait que ce soit contre ce vieux fou timbré shouté aux bonbons aux citrons plutôt que contre Harry qui était la victime.

Depuis qu'il avait vu ces marques son le corps du garçon, Sirius se rongeait les sangs et des brides de la conversation d'hier lui tournaient dans la tête en boucle.

Combien de temps quoi ? Que j'ai ces marques ou qu'ils me frappent ? … 2 semaines… et d'aussi longtemps que je me souvienne ! C'était déjà comme ça avant que je te connaisse alors… Et puis on s'habitude……….chez les Dursley c'est plutôt l'optique du cafard !

Oh non, il n'aimait pas ça, il n'aimait pas ça du tout. Harry était malheureux, Harry était maltraité et pourtant il n'avait rien dit, il n'avait jamais rien dit et même aujourd'hui que Sirius savait ce fait il continuait de taire les détails. L'animagus sentait son sang se glacé à l'idée de se qu'il pourrait découvrir encore comme atrocités, des atrocités que son protégé trouvait pas si grave.

Sous la forme de Patmol, Sirius franchit les grilles de Poudlard et se dirigea vers le bureau de Dumbledore. Arrivé devant la gargouille qui en gardait l'entrée, il reprit forme humaine juste le temps de produire un patronus pour avertir le directeur qu'il souhaitait lui parler, puis il avait reprit sa forme animagus en attendant derrière la statue de pierre.

Il attendit 10 bonnes minutes avant que la gargouille s'ouvre pour laisser passer un Fudge échevelé et un Dumbledore mécontent.

Il n'y a pas trente six solution Cornélius, soit vous accepter la vérité, soit vous vous fourrez le doigts dans l'œil mais vous ne pourrez pas sans cesse museler la presse. Les gens constatent de plus en plus de disparitions mystérieuses. Les gens ne sont pas stupides Cornélius.

Eh bien, eh bien… je ferais mon enquête !

Faites dont ça !

Le ministre de la magie s'en fut et Dumbledore se tourna vers Sirius avec un air aimable.

Désolé pour l'attente très cher, mais certaines personnes ne comprennent jamais rien, suivez moi.

Sirius emboîta le pas au Directeur toujours sous sa forme canine et ne reprit forme humaine qu'une fois la porte du bureau fermée.

Que me vaux le plaisir de votre visite Sirius ? demanda le vieil homme d'un ton badin

Harry.

Harry ?

Je souhaite vous parler d'Harry.

Sirius je sais que vous vous en faîtes beaucoup à cause de ce qui s'est passé en juin mais je vous l'ai dit, il lui faudra du temps.

Ça n'a rien à voir en faîtes je voulez vous parler de ce qui se passe chez les Dursley.

Ce qui se passe chez les Dursley ?

Oui

Et que si passe t il ?

Ça, professeur, c'est ce que j'aimerai que vous m'expliquiez.

J'ai bien peur de ne pas vous suivre Sirius.

Il se trouve que Rémus est passé récupérer Harry chez les Dursley hier et depuis qu'il est arrivé, nous avons constaté à quel point il était devenu renfermé.

C'est l'adolescence Sirius.

Et qu'il était couvert de coups !

Pardon ?

Vous m'avez bien entendu Dumbledore, Harry, MON Harry est maltraité chez ces monstres et certainement depuis qu'il y est. Or VOUS l'avez placé là bas, n'avez donc jamais rien vu ou fait ?

Je l'ignorait Sirius, soit en certain, répondit Dumbledore l'étincelle de joie habituelle dans ses yeux ayant disparue.

Mais c'était VOTRE BOULOT de veiller à ce qu'Harry aille bien, c'était votre tâche. VOUS SAVIEZ PARFAITEMENT QUE PETUNIA DETESTAIT TOUT CE QUI EST EN RAPPORT AVEC LA MAGIE, VOUS L'AVEZ TOUJOURS SU ET VOUS L'AVEZ PLACE LA BAS MALGRE TOUT !

Mais Sirius, comme je vous l'ai déjà expliqué au début des vacances, Harry n'est en sécurité QUE LA OU RESIDE SON SANG, le sang de sa mère. Or Pétunia aussi antisorcier soit elle, est sa tante ; et malgré tout ce que vous pouvez dire elle l'a recueillit et élevé après la mort de ses parents.

ET MALTRAITE ! Ils ont maltraité MON Harry et je peux vous dire que cela a dû aller bien plus loin qu'une simple baigne de temps en temps pour qu'un enfant couvert de bleus vous dise avec toute l'honnêteté du monde ce n'est pas si grave, cela a dû aller bien plus loin qu'une simple baigne de temps en temps pour qu'il refuse de me donner les détails de ce qui s'est passé pendant son enfance de peur que j'aille les massacrer et que je me fasse attraper par les détraqueurs. Harry est la bonté incarnée Dumbledore mais il pense aux autres avant lui même et cela c'est à cause des Dursley. Il n'est même pas considéré à la même hauteur qu'un cafard chez eux, son oncle l'a battu sans motif, il a tellement maigri et pâli qu'il ferait concurrence à VOS FANTÔMES ! POURQUOI N'AVEZ VOUS JAMAIS RIEN FAIT ?

J'en suis désolé Sirius, je ne savais pas. En le voyant arriver à Poudlard j'ai bien vu qu'il n'était pas un enfant plein de vie et très loquace mais je le pensait juste timide, je n'ai jamais imaginé ça je te le jure.

Je vous crois mais je ne vous pardonne pas pour autant.

Je comprends

Et que fait on maintenant ?

Par rapport à quoi Sirius ?

Aux Dursley, vous ne comptez comme même pas le renvoyer là bas l'année prochaine ? Vous ne comptez comme même pas laisser ça passé ?

Je ne compte pas laisser passer non, mais en revanche Harry devra y retourner dans un an.

QUOI ?

C'est le seul endroit sur terre où il a une protection par son sang Sirius, il doit y retourner une fois par an minimum !

Mais Voldemort à son sang en lui maintenant ! Etes vous sur que cette protection soit toujours effective.

Je l'espère.

Alors écoutez moi bien Dumbledore, a moins que vous en soyez absolument certain et que je puisse aller sous ma forme canine avec lui l'an prochain, il est HORS DE QUESTION qu'Harry ne pose ne serait ce qu'UN ORTEIL là bas ! C'est Clair ?

Bon je dois vous laisser maintenant, j'ai d'autres choses à régler comme tirer au clair toutes cette histoire avec l'enfant que vous n'avez pas su protéger. Au revoir Dumbledore.

Au revoir Sirius, finit le directeur d'une voix morne.

Sirius regagna les grilles de Poudlard sous sa forme canine et transplana jusqu'à son domicile ou il trouva Rémus qui surveillait du coin de l'œil les jumeaux alors qu'Hermione, Ginny et Ron regardait un parchemin puis Harry avec des airs stupéfaits.

Qu'est ce qui se passe ici ? demanda Sirius en entrant dans la pièce

Harry a fait plus de lignes qu'Hermione sur son devoir de potions ! s'exclama Ginny Et en plus ce qu'il y a mis est juste !

Bah merci ! s'exclama Harry. Dis aussi que d'habitude mon travail est bon à jeter !

Oh c'est pas ce que j'ai voulu dire, répondit Ginny d'une toute petite voix en virant à la couleur tomate.

Mais c'est pas possible, je suis entouré de deux Hermione maintenant, se lamenta Ron. Puis il attrapa son meilleur ami par les épaules et le secoua gentiment en disant ; Mais qu'est ce que ta famille t'a fais pour que tu deviennes comme ça ?

Les jumeaux explosèrent de rire, tout comme Hermione et Ginny, alors qu'Harry levait les yeux au ciel et que les adultes échangeaient des regards entendus.

Ça c'est ce qu'on aimerai bien savoir.

J'avais juste du temps a tuer Ron, répondit Harry avec patience. A défaut d'autres choses autant faire mes devoirs.

A bah ça je veux bien croire que tu avais du temps à tuer pour te métamorphosé en Hermione bis ! i en plus tu deviens préfet je me suicide tout de suite !

Tous éclatèrent de rire devant le jeu du roux.

Les deux jours passèrent à une vitesse folle et bientôt les Weasley et hermione furent sur le point de repartirent.

On se revoit la semaine prochaine, hein Harry ! s'exclama fred.

A la semaine prochaine ! s'exclamèrent tous les autres. Et bientôt la maison des Hirondelles se retrouva avec ses seuls occupants habituels.