Auteur : Mi, explorons le coté serpentard de la force.

Serie : Harry Potter

Genre : sérieux, voire drama.

Couple : Narcissa/Lucius.

Disclameir : JKR a tout inventé, c'est a elle les millions….j'me fais pas de thunes sur son histoire, et en plus, je prends soin des persos que j'ai emprunté (qui a eu une toux sceptique au fond de la salle ?).

Note/avertissement : ça trainait sur mon disque dur, et je me suis dis, « tiens pourquoi pas ? »On peut considerer ça comme la premiére vignette d'une histoire qui s'étoffera au fur et a mesure que le petit Draco devient grand...


La Petite Enfance : Le chant des oiseaux.

Il était une fois, dans un monde où régnait la Magie , caché aux yeux de ceux qui ne la possédaient pas, un petit garçon.

C'était l'un des plus adorables petit garçon qu'on ait pu voir, avec des cheveux blonds comme les blés, des yeux bleus pâles comme un ciel d'aurore et au teint de neige.

Il avait en lui beaucoups de qualités ; la gentillesse, le gout du savoir et un immense respect pour les choses, qu'elles quelles soient.

Son pére s'appelait Lucius, et sa soif de pouvoir et de puissance l'avait conduit à devenir le bras droit d'un des plus terribles mage noir de l'histoire des sorciers.

Alors, lorsque son fils fut né, il décida de le nommer Draco, le dragon, celui qui serait au-dessus des Serpents, au-dessus des gens comme son maitre.

Lucius voulait que le petit Draco soit le plus fort, qu'il restaure l'honneur perdu des Malfoy ; il allait faire en sorte que la vie de son fils ne tourne qu'autour de cette idée, ignorant ainsi la véritable nature de son fils.

Lucius était fier de son fils, et le montrait à chaque instant.

Sa mére, Narcissa, ne cessait de s'émerveiller sur la beauté de l'être qu'elle avait mis au monde.

Chaque soir elle venait lui raconter des histoires, de sa voix chantante et mélodieuse, et le petit Draco s'endormait bercé par cette voix d'ange.

Lorsqu'il eut un an, il commencea à parler et à marcher, comme n'importe quel petit humain de son éspèce.

Même mieux.

Mais contrairement aux autres enfants, Draco n'eut pas de félicitations, il ne vit pas la fierté et la joie sur le visage de ses parents.

Parce lorsque lui apprit à marcher, un autre bébé, non loin de là, avait vaincu un mage noir.

Le mage noir que servait son pére.

Draco avait beau regarder son pére en souriant, en disant « papa », ce dernier ne le regardait plus, ne lui montrait plus d'intérêts.

N'importe quel homme aurait été heureux et fier de voir leur fils l'appeler ainsi.

Mais Lucius n'était pas heureux, Lucius avait perdu toute sa fierté ; et même son fils ne pouvait le sortir des sombres pensées dans lesquelles il avait plongée.

Ce soir-là, Draco s'endormit avec le cœur brisé, piétiné.

Sans savoir pourquoi, pourquoi cet homme qui était son pére, ne le reconnaissait plus.


Les jours passérent, et chacun d'entre eux voyaient Draco apprendre de nouveaux mots, et les repeter tout content à ses parents.

Mais son pére ne lui parlait plus, ne le regardait plus, et sa mére, Narcissa, lui faisait un sourire qui ne montait pas dans ses beaux yeux bleus.

Ni Lucius ni Narcissa ne se préoccupait vraiment de lui, laissant le soin à des nourrices magiques de s'occuper de lui.

Draco avait envie de pleurer, mais au fond de lui, il savait que ça ne serait pas une bonne idée.

Il avait beaucoup de nourrices pour s'occuper de lui, toute s'emerveillait de sa beauté, son intelligence….mais Draco ne voulait pas de leurs félicitations à elle, il voulait ravoir l'amour de ses parents.

Alors, lorsqu'il comprit qu'il avait beau parlé à ses parents, ces derniers ne lui répondaitn qu'à peine, il cessa de parler, se contentant des mots minimum.

S'il ses parents ne voulaient pas l'entendre, alors à quoi parler à qui que ce soit.


Le temps s'écoula, et Draco eut trois ans.

Son pére lui parlait à nouveau, il lui parlait de leur famille, les Malfoy, et il lui disait à quel point il, était important qu'il soit un petit garçon exemplaire, qu'un jour, il devrait devenir puissant , au nom de sa famille.

Draco aimait les moments où son pére lui montrait comment faire naitre la magie avec sa baguette ; il avait de nouveau l'impression d'être important à ses yeux.

Mais un jour, pendant un de ces moments où il était seul avec son pére, ce dernier lui tint un étrange discours.

Il lui parlait comme toujours d'honneur, de fierté, et il se mit à parler de pouvoir, de force, et à un moment, il laissa entendre un nom.

Harry Potter.

Et à ce moment, Draco vit, sentit une magie malfaisante sortir de la baguette de son pére.

Et il prit peur.

Sa mére rentra brusquement dans le salon, attrapa le bras de son mari, et le supplia de ne pas continuer.

A son grand soulagement, son pére cessa de lui montrer sa magie, sa mére l'en empéchait.

Mais Lucius continuait de dire à Draco qu'il fallait qu'il devienne fort ; mais il ne reparla pas de Harry Potter.

Draco ne savait pas qui c'était, et au fond de lui, il se disait qu'il aimerait bien savoir ; mais il se disait aussi qu'il ne pouvait demander à personne, si jamais cela provoquait la même réaction que chez son pére.

Harry Potter devait être quelqu'un de mauvais, voilà tout.

Et Draco se contenta de cette explication, même si tout au fond de lui, il savait que ce n'était certainement pas ça; mais cette partie de lui était occultée par la pertie de lui qui aimaitn être avec son pére, et qui voulait le rendre fier.

A partir du moment où Narcissa avait dit à Lucius de ne plus faire de magie devant Draco, parce qu'il était trop jeune, ce dernier se retrouva à nouveau seul.

Alors il allait s'isoler dans le grand jardin du Manoir Malfoy ; il s'esseyait sur l'herbe, et la Nature devenait son terrain de jeux.

Ses yeux pâles s'émerveillait des couleurs, des formes, tout ce qu'il voyait était si beau et lumineux.

Tout ses soucis, toutes ses peines s'évanouissaient dés qu'ils posait ses yeux sur le jardin.

Et puis un jour, alors qu'il s'était assis, le cœur gonflé d'avoir retrouvé l'indifférence de son pére, il entendit quelque chose.

Une voix.

Non, des voix.

Une multitude de voix, des voix encore plus belles et mélodieuse que celle de sa mére.

Intrigué, il regarda autour de lui.

Des oiseaux.

Il était entouré de dizaines d'oiseaux de toutes sortes, qui lui chantait des chnats de réconforts.

Et assis, là, dans le grand jardin du Manoir Malfoy, Draco se sentit apaisé, détendu, comme jamais auparavant.

Il venait d'entendre pour la premiére fois le chant des oiseaux.

Et il comprenait ce qu'ils chantaient.


Le temps continuait de s'écouler.

Draco allait chaque jour dans le grand parc, et il écoutait longuement les oiseaux lui raconter toute sortes d'histoires merveilleuses, qui lui remontaient toujours le moral.

Et puis un jour que Draco marchait au hasard, il entendit une drôle de voix murmurer à son oreille ; il ne savait pas d'où venait la voix, mais comme pour les oiseaux, il comprenait ce qu'elle disait cette voix :

-Tu aimes le chant des oiseaux ?

Draco ne répondit pas ; c'était un petit garçon très poli, il parlait toujours à ses interlocuteurs en les regardant, c'était la bienséance (le dernier mot que lui avait appris sa mére, il était tellement heureux qu'il le répétait dés qu'il pouvait!).

Et là , il ne savait pas où se trouvait la personne qui lui parlait, alors, il décida de continuer son chemin, gambadant sur l'herbe au gré de ses petites jambes.

-Tu aimes le chant des oiseaux ?

Cette fois, Draco s'arrêta, apeuré ; qui lui parlait ainsi ?

Il avait depuis longtemps compris qu'il était le seulà entendre parler les oiseaux, à comprendre leur chant.

Draco était un petit garçon très intelligent ; qui plus est, écouter le chant des oiseaux lui apprenaient beaucoup de choses, des choses que le commun des mortels, et même que les plus puisants des sorciers ignoraient.

Alors oui, il aimait le chant des oiseaux, beaucoup.

Mais il n'aimait pas cette voix qui lui posait cette question.

Cette vois était différente, plus rauque.

Plus grave.

-Petit garçon, tu ne dois jamais cesser d'aimer et d'écouter le chant des oiseaux.

Draco se retourna, surpris ; il eut tout juste le temps d'apercevoir deux yeux étrangement blancs, fendue par une pupille verticale.

Il ne comprenait pas.

Le lendemain, lorsqu'il revint dans le parc, il ne réentendit pas la voix.

Il se demandait ce que c'était.

Devant lui, quelques petis oiseaux se regroupaient et commenceaient à lui raconter des choses.

Mais il était préoccupé.

-Qui c'était ?

Les oiseaux cessérent de chanter ; jamais Draco n'avait ouvert la bouche en leur présence, il s'était contenté d'écouter.

Il pencha la tête sur le coté, les regardant chacun à tour de rôles.

Les oiseaux étaient toujours silencieux ; ils semblaient attendre quelque chose.

Et puis…

Et puis soudain, ce fut clair dans sa tête.

C'était comme si quelque chose s'était libéré en lui.

Il entrouvrit doucement les lévres, et laissa échapper un son étrange pour un être humain.

C'était une trille, toute joyeuse, toute gentille, et les oiseaux en face de lui battirent des ailes et chantérent avec lui.

Aujourd'hui, Draco avait découvert sa propre magie.


Il allait avoir quatre ans.

Quatre ans c'est grand ; et c'était bientôt.

Il se sentait perpétuellement heureux depuis qu'il chantait avec les oiseaux.

Il se sentait fort.

Il avait envie de le dire à son pére, de lui montrer, mais il n'en avait pas eu l'occasion.

Il avait hâte de lui montrer.

En ce moment, il était avec une étrange dame.

La dame tournait autour de lui avec des tissus, les faisant changer de couleur avec sa baguette magique.

Sa mére lui avait dit que c'était une couturiére.

Il s'amusait beaucoup de la voir faire des ronds autour de lui, sa baguette faisant voler et se transformer le tissu.

Et puis, il y eut un petit 'pouf' qui n'échappa pas à son ouïe.

Un…un journal (était-ce le bon mot ?) était tombé de la poche de la sorciére.

Draco avait commncé à appredre à lire l'an dernier, et il se débrouillait plutot bien.

Il fronça les yeux, désormais indifférent aux tissus tournoyant autour de lui ; il essayait de lire le gros titre…

En fait, il ne réussit qu'à en lire deux mots.

-Harry Potter ?

La sorciére s'rrêta, rammassa son journal.

Elle le regardait d'un air un peu coupable, se mordant les lévres, jetant des coups d'oeuil de tous les cotés:

-Chut, mon garçon, tu ne dois rien dire, s'il te plait….

Il hocha la tête.

Il ne comprenait pas pourquoi elle ne voulait rien dire ; mais sa curiosité était emportée par autre chose.

-Dites Madame, lui dit-il avec son plus beau sourire ; c'est qui Harry Potter ?

La sorciére le regarda les yeux ronds pendant un moment, puis, elle se rapprocha de lui, et entreprit de lui chuchoter à l'oreille la légende du Survivant.


Il avait supprimé un méchant.

Il était pas si affreux Harry Potter, alors, pourquoi son pére ne pouvait en entendre parler sans entrer dans une rage folle ?

Pourquoi sa mére ne parlait presque plus, n'ayant l'air d'avoir sa propre volonté que lorsque son mari utilisait une magie trop négative et qu'il se trouvait dans la même piéce ?

Pourquoi est-ce qu'il avait l'impression que tout était noir devant ses yeux ?

Dehors, les oiseaux avaient interrompus leur chants.

Sur une branche proche de la fenêtre de la chambre de Draco, un chat noir aux yeux de nacres se secoua, l'air mécontent.


Ça y était.

Il avait quatre ans.

Aujourd'hui oublié Harry Potter, sa mére était venue dans sa chambre pour lui souhaiter son anniversaire.

Elle n'avait pas fait ça depuis si longtemps.

Il était heureux ; sa fenêtre ouverte laissait passer le vent et les rayons du soleil, et un petit moineau vint se poser sur le rebord.

Narcissa rentra dans à nouveau dans la chambre de son fils, elle était si heureuse de pouvoir le revoir normalement à nouveau.

Mais elle perdit vite son sourire lorsqu'elle l'aperçut.

Chantant avec un oiseau ; et derrière elle, les pas de Lucius se rapprochaient, de plus en plus.

Son cœur de mére nota le sourire extatique de son petit garçon, mais très vite, le noir revint devant ses yeux.

Et elle hurla.

Elle n'avait pas voulu ça ; si elle avait pu se douter de ce dont il était capable, elle n'aurait pas perdu pied comme ça, elle aurait tout fait pour lutter.

Pétrifié, Draco regardait la scéne, les larmes aux yeux.

Il ne comprenait pas.

Sa mére était la, ses mains agrippant ses cheveux de chaques cotés de son crâne, se balancant d'avant en arriére.

Et son pére se tenant sur le pas de la porte, une rage contenue dans ses yeux.

Les larmes du petit garçon couérent sur ses joues sans qu'il ne s'en apercoive.

Son pére le reagdait, du mépris visible sur son visage.

-Alors c'est ça, hein…

Narcissa se balanceait toujours, gémissant pitoyablement.

-Mon fils…un Malfoy..parle aux oiseaux….tu devrais avoir honte…tu devrais…toi, on pourrait te lancer un Avada, ça tu tuerait, hein !

Il vait fini sa phrase en hurlant, brandissant sa baguette.

Draco était térrorisé, il tremblait de tous ses membres.

Narcissa hurla à nouveau et se jeta sur le bras tendu de son mari.

Lucius la repoussa d'un geste méprisant, mais rangea sa baguette.

Il s'avancea vers Draco, l'attrapa par le col,de sa chemise, et le traina sans sommation dérriére lui.

Ce dernier se laissait faire, il ne comprenait pas ce qu'il se passait.

Pourquoi son pére était-il si en colére contre lui ?

Ils étaient désormais dans une partie du château que le garçon ne connaissait pas, ils descendait un même escalier depuis ce qu'il semblait être une éternité.

Son pére s'arreta devant une immense piéce grise, fermée par des grilles.

Son cœur battait fort dans sa poitrine.

Il commenceait à comprendre.

-Tu sais Draco…tu es un Malfoy…

Il saisit le bras de son fils sans douceur.

-Et un Malfoy, ça ne parle pas aux oiseaux…

Il referma brutalement la grille de fer, et sagenouilla pour être à sa hauteur.

-Draco…un Malfoy, c'est mauvais.

Il osait à peine relever les yeux, son cœur battait tellement fort qu'il avait l'impression de ne plus entendre que ça.

Ça et la voix de son pére.

-C'est pas comme ça que tu battras Harry Potter, Draco.


Alors c'était ça.

Alors c'était lui qui avait enlevé la fierté de son pére.

C'était lui qui, malgré les apprences, était un être si abject qu'il lui avait enlevé la voix de sa mére.

C'était à cause de lui qu'il était là, à cause de lui que ses parents ne l'aimaient plus, à cause de lui qu'il était malheureux, à cause de lui….

Tout ça c'était à cause de lui, se disait-il en fixant le sol.

Il avait entendu certains adultes dire qu'il était trop jeune pour comprendre.

Comprendre quoi ?

A quatre ans, on est pas censé haîr quelqu'un, à quatre ans, on veut juste rendre fier ses parents, être aimé d'eux.

Lui, non.

A cause de lui.

Harry Potter.

Lorsqu'il releva les yeux, ceux-ci étaient devenus gris.


Un corbeau d'une taille peu commune plana un instant avant de se poser a coté du chat noir qui croquait goulument ce qui avit été un moineau.

-Etait-ce nécéssaire, Anysse ? Le mal était fait.

Le chat tourna vers lui ses pupilles de félin d'une couleur si peu commune.

-Ca soulage.

-Il était jeune.

-Le garçon aussi est jeune…il a déjà perdu ses yeux., tu sais.

-Je vois.

Dans le grand jardin du Manoir Malfoy, les oiseaux avaient cesser de chanter.



Prochaine vignette, on retrouve Draco à huit ans !

D'ici là, dites moi ce que vous en pensez, et laissez moi une ptite review ! ¤-¤

(note a ma femme d'amour: moui, je sais, j'ai un sérieux probléme avec les accents).