Escorte Boy
Rating : R ! (M ?connaît pas.)
Attention : Ceci est un SLASH, donc comporte des relations sexuelles HOMOSEXUEL qui seront imagés pas la suite ! De plus il s'agit d'un Univers Alternatif !
Couples : Secret défense. Facile à découvrire :D
Résumer : Vous avez besoin de compagnie? Vous avez besoin d'un beau cavalier charmant et cultivé? Le club Evil's Boy's, la meilleure boîte gay de Londres, vous propose ses magnifiques escortes boy.
Disclaimer : Rien à nous si ce n'est que l'histoire et la rédaction!
Note :
Zoo : Voilà notre troisième bébé, encore un UA. Non nous n'abandonnons pas Noirceur. Nous espérons poster le prochain chapitre avant le 7, jour de mon départ. Cette histoire compte déjà six chapitres, nous avançons vite et nous en sommes très fières ! °Bombe le torse !°
Sucubei : Bonne lecture à vous tous !
Chapitre 1: Une journée éprouvante
Dans une des rues malfamées de Londres, il y avait une série d'immeubles délabrés en briques rouge à l'aspect sinistre et sordide.
Ce quartier était connu pour ses prostitués et leurs proxénètes, les camés et leurs dealers, les voyous traînant en bande et leurs parents alcooliques ou en train de racoler, parfois les deux en même temps.
Il y avait bien sûr de quelques pauvres gens simples qui n'avaient simplement pas de chance.
C'était le cas d'un jeune homme qui vivait dans un appartement d'un de ces horribles immeubles.
L'appartement ne possédait que deux pièces.
La cuisine n'était séparée par aucun mur du salon qui faisait aussi bien office de chambre. Le papier peint partait en morceaux, les murs étaient fissurés et ne donnaient aucune intimité. En effet on entendait très bien les disputes, la télévision la chasse d'eau des voisins. Il y avait dans l'air une odeur de moisi, de nourritures avariées, d'alcool rance et parfois de choses qu'il fallait mieux s'abstenir de nommer. Le sol était une sorte de moquette pourrie gris-foncé qui avait dû être d'une couleur beige-clair un jour.
Cependant on pouvait voir qu'il y avait une volonté malgré les piètres moyens de garder l'appartement propre. La vaisselle à côtés du lavabo de la cuisine était faite, le balais passé.
Une seul fenêtre aux vitres jaunis et aux volets cassés, donnait sur la rue ne gardait en aucun cas du froid extérieur et les lumières colorés des enseignes des bars de strip-tease passaient aux travers éclairant toute la nuit l'appartement.
Sur le côté, il y avait un bureau à côté du quel, plusieurs boîtes où on trouvait du matériel de dessin rangé de façon ordonnée. Quelques feuilles étaient scotchées aux murs avec des dessins d'illustration de lieux magique et merveilleux qui faisaient rêver.
En face du bureau, un petit lit de camp où dormait le jeune homme.
Il était à peine recouvert d'une fine couverture au tissu usé et râpeux. Ses traits étaient tirés. De lourdes cernes violacés marquait le contour de ses yeux. Sa peau était anormalement pâle. Son visage était creux. Il avait l'air d'une personne n'ayant pas mangé à sa faim depuis longtemps. Ses longs cheveux d'ébènes s'étalaient comme une tache d'encre sur le matelas miteux.
Il aurait dû être beau.
Mais la faim et la fatigue le bouffait.
Il devait avoir dans les dix-huit ans mais on lui aurait donné facilement plus. Alors que l'horloge de l'hôtel de ville marquait les six heures un bruit de mécanique rouillé résonna de façon stridente.
Un vieux réveil tressautait à terre, à côté du lit du jeune homme. Celui-ci ouvrit difficilement un œil.
Il faisait si froid.
On était à peine en octobre et le gèle s'était déjà fais sentir.
Le monde ne tournait pas rond.
Il se résigna sachant que traîner au lit ne lui donnerait pas plus chaud et ainsi il se leva tant bien que mal.
Il était anormalement maigre, son tee-shirt blanc laissait voir ses côtes et ses genoux étaient noueux.
Il se dirigea rapidement vers ce qui lui servait de salle de bain.
C'était en fait une pièce de deux mètres sur un muni d'une cabine minuscule de d'un lavabo retenu au mur par deux vise et un bon vieux miracle. Le carrelage était brisé à maints endroits et le lavabo était ébréché. Quelques blattes couraient au sol ou sur les murs, se cachant dans les interstices du lieu.
Il se déshabilla rapidement, pliant ses affaires. Il se glissa ensuite dans la cabine et ouvrit le robinet d'eau chaude.
Ce qui en coula fut de l'eau sale noire.
Il poussa un soupire, donna un coup dans le robinet et ouvrit un peu plus la valve.
L'eau s'éclaircit peu à peu mais elle était froide.
Dans un soupire de résignation il commença à se laver.
Il en sortit dix minutes plus tard, propre comme un sou neuf.
Il passa un vieux caleçon élimé suivit par un jean troué à divers endroits. Il s'aperçut qu'il ne lui restait plus que qu'un vieux haut trop grand, déchiré et possédant une magnifique tache de gras.
Il ferma les yeux, remercia mentalement son cousin puis l'enfila aussi.
Il se dirigea vers l'endroit cuisine. Sorti un pack de lait, s'en versa un fond puis se saisit d'un petit pain. Celui-ci était à moitié moisi. Le brun grata les champignons et n'en fit qu'une bouché.
Il fit après rapidement la vaisselle.
Enfin il mit sur son dos un sac datant de l'avant guerre dans lequel i avait placé, peinture, feuilles, crayons... Il prit aussi son carton à dessin, ses clés puis quitta l'appartement prenant soin de le fermer derrière lui.
Cela faisait un an que ça durait.
En fait, depuis qu'il avait un an, rien n'allait dans sa vie.
Il avait perdu ses parents et son parrain dans un accident de voiture dont il lui restait une fine cicatrice en forme d'éclair sur le front. C'était grâce à sa mère qui l'avait protégé de son corps qu'il avait survécut à l'accident.
Depuis, pensait-il avec un sourire amer, il continuait de survivre.
Sa tante, la demi sœur de sa mère qui se détestaient ardemment, avait dû l'accueillir dans sa famille uniquement parce que l'assistance sociale, une certaine Dolores Ombrage l'avait forcé. La femme après n'avait jamais pris la peine de prendre de ses nouvelles.
Pétunia et son mari Vernon ainsi que leur fils du même âge n'avaient jamais rien caché de la profonde apathie voir du dédain qu'ils ressentaient pour lui.
Pendant 11 ans sa chambre avait été le placard sous l'escalier, après trop grand il l'installèrent de mauvaise grâce dans la deuxième chambre, la plus petite pièce de la maison, de son cousin.
Ils ne lui donnaient pour s'habiller que les vieux vêtements de Dudley, son cousin qui était énorme.
Pour la nourriture, il en recevait qu'en petite quantité ce qui lui fit plus tard apprécier la cantine où il volait des bouts pains pour les grignoter le soir dans son placard.
Enfant Harry avait tout fait pour que "sa famille" fasse attention à lui, leur plaire. Il apprit ainsi dès le plus jeune âge à s'occuper des tâches ingrates. Mais loin d'être reconnaissant, il avait servi d'esclave aux Dursley.
Si ce n'était pas pour lui donner des ordres ou lui crier dessus, son oncle et sa tante l'ignoraient et Dudley avait fait de lui son souffre douleur. Il avait fait en sorte qu'Harry n'est pas d'ami et soit mis à l'écart durant toute sa scolarité.
L'antipathie augmenta du fait qu'Harry était beau et brillant.
Le jeune homme dans un désir de s'en sortir avait toujours eu de bonnes notes et en ne comptant que sur lui-même. Plus tard sous les conseils de son professeur d'Art plastique, il posa sa candidature dans une école d'art prestigieuse de Londres où il fut admis.
Mais loin de s'en réjouir, dès qu'il eut 18 ans les Dursley le mirent à la porte en déclarant qu'il avait assez parasité leur vie et qu'il ne voulait même plus entendre parler de lui.
Heureusement que parce qu'il était majeur Harry put utiliser la somme d'argent que lui avaient laissé ses parents, à l'abri dans un compte à son nom.
Ainsi il partit seul à Londres et se trouva un appartement.
Cependant l'école d'art où il allait coûter très cher ainsi que les fournitures dont il avait besoin.
Il fut obliger d'utiliser son argent que pour payer ses études et trouver un travail pour payer son loyer et sa nourriture.
Il n'avait aucun budget pour autre chose et il était encore obliger de porter les vieux vêtements de Dudley.
Harry soupira, un an était passé et il regrettait presque sa chambre chez les Dursley.
Il sortit dans la rue et frissonna au souffle du vent du Nord qui gelait les os.
S'encourageant mentalement il piqua à sprint jusqu'à l'arrêt de bus. Il slaloma entre les poubelles renversées, les restes de bouteilles vides. Il arriva juste temps pour monter dans le bus qui le conduirait au centre ville, là où se situait l'école.
Il s'installa sur un siège du fond après avoir passé son ticket dans la machine et profita du voyage pour se reposer un peu.
Il était quatre heures et la Castafior électronique de l'école avait encore fait des siennes annonçant la fin des cours.
C'était la cohue dans les couloirs.
Harry sorti en dernier ne voulant pas se faire écraser. Il fallait pourtant qu'il se dépêche pour aller à son petit boulot qui était à plus de trois quarts d'heures en bus.
Il souffla. L'horloge du hall indiquait déjà quatre heures dix.
Et dire que Dubois l'avait encore retenu pour lui dire d'affiné ses dessins à l'ordinateur.
Harry avait beau adorer l'atelier d'animation, il avait beaucoup de mal à travailler sur le programme. Ses personnages étaient lourds et pâteux. Ce qu'il préférait c'était le fusain. Il adorait cela. Cela lui permettait de faire de beaux portraits.
Alors qu'il allait attraper son bus une mains se posa sur son épaule tandis qu'une autre saisissait son carton à dessin. Il se retrouva face à Blaise Zabini, son seul ami dans l'école.
Il était plutôt beau gosse. Ritale du côté de son père, Blaise en faisait tomber plus d'un et plus d'une à l'école. Il avait des cheveux noir corbeau et la peau mate. Ses yeux noirs étaient toujours pétillants et il adorait taquiner son monde.
« Alors, beau brun, on se promène. »
Harry Grogna.
« Rends-moi ça Blaise. »
Il arracha son carton des mains de son ami et monta dans le moyen de transport. Après avoir payé sa place il se fraya un chemin au fond du véhicule. Blaise le suivit.
« Je voulais juste admirer tes dessins. Ça fait longtemps que tu ne m'en à pas montré. »
Il reprit l'objet et l'ouvrit, se moquant des protestations de son ami. Il en sortit deux feuilles d'un format A3.
L'une d'elle représentait un homme abandonné sur son lit, le torse nu, un drap s'arrêtant au niveau de ses aines. Les tissus étaient froissés. L'homme avait les yeux à demi ouvert et se mordait sensuellement la lèvre inférieure. Le dessin était criant de luxure.
Le jeune homme sourit. « Je vois que tu n'as toujours pas retourné ta veste. »
Harry se contenta de pester contre l'Italien. Il était en effet homosexuel.
La date montrait Le 8/06/05. Le deuxième représentait une femme perdue, tenant un enfant terrorisé dans ses bras. Les traits étaient moins appliqués, plus grossiers. Le dessin manquait de précision.
Le jeune homme fronça les sourcils. Il datait d'une semaine. Il reconnaissait bien là les effets de la faim et de la fatigue. Même avec la meilleur des volontés on ne pouvait lutter contre. Il suffisait de regarder Harry pour savoir dans quel état financier il se trouvait. Il remit sans un mot les dessins à leur place et les rendit à leur propriétaire
« N'en fait pas trop Harry. Si tu as besoin d'aide je suis là, n'oublies pas. »
Le bus s'arrêta et le brun descendit laissant Harry perplexe.
Au terminus du bus, Harry descendit et traversa la rue pour aller à une station service en face.
Il contourna le bâtiment et entra par la porte réservée au personnel.
Il pensait toujours à la proposition d'aide implicite de son ami Blaise.
Il était vrai que le brun avait eu une vie semblable à Harry sur bien des points.
À l'âge de 6 ans il avait perdu sa mère malade d'un cancer et avait dû vivre chez son père un alcoolique notoire vivant dans une province anglaise. Dès qu'il avait fini le lycée, Blaise avait fuit son père violent qui s'était défoulé longtemps sur lui. Il était arrivé à 17 ans et demi à Londres sans un sous en poche.
Cela n'avait pas été facile, mais aujourd'hui à 21 ans, il étudiait dans la même école d'Art d'Harry mais lui pour des études de designer et vivait dans un appartement chic au centre ville.
Harry se demandait comme il faisait.
Il fallait croire que Blaise Zabini est plus débrouillard qu'Harry Potter.
Il y avait bien des zones d'ombres dans la vie de son ami, mais aujourd'hui il était un beau jeune homme intelligent, bien dans sa peau et d'une grande force de caractère. Harry l'aimait et l'admirait beaucoup
Il rangea dans son casier ses affaires et sortie la veste et casquettes rouges à l'effigie de la station d'essence.
Il alla saluer après son patron, avant de se diriger vers les caisses où l'attendait Hermione Granger qui travaillait avec lui.
Ils se firent la bise et Harry pris un siège à côté de son amie qui le dévisageait une lueur d'inquiétude dans ses yeux chocolats.
Hermione et Harry se connaissaient depuis un an et s'étaient rencontré dans leur lieu de travail.
La jeune femme était étudiante en médecine et même si ses parents (des dentistes) avaient de quoi payer ses études elle avait voulu travailler pour se faire de l'argent de poche.
« Oh Harry, tu as vraiment mauvaise mine. Si tu veux viens manger et dormir à la maison ce soir. »
Le brun sourit et secoua la tête.
« Je ne peux pas Mione. J'ai du travail et mes affaires sont chez moi. Et je ne vais te faire faire le tour de la ville pour quelques pinceaux. » Voyant que son amie allait protester, il changea de sujet. « Et bien, ça à l'air vide aujourd'hui. »
La jeune fille soupira et remonta la casquette sur son front.
« M'en parle pas. Les seuls clients que j'ai eux c'était des gosses qui voulaient acheter des chewing gum et oh... un magazine cochon. »
Harry éclata de rire.
Ils discutèrent de tout et de rien quand ils entendirent le ronronnement d'un moteur.
Ils se tournèrent et virent un très belle voiture de luxe gris métallisé qu'ils regardèrent bouche-bée.
Hermione bavait largement.
Elle saisit la manche d'Harry et la secoua frénétiquement.
« Harry, Harry! C'est une Porsche 911 Carrera Cabriolet. Ça vient de sortir! Tu as vu sa ligne distinguée, ses hanches musclé et sa taille si svelte? C'est une pur-sang sportive! »
S'écria la jeune fille excitée comme une puce. À croire qu'elle avait apprit l'article du site par cœur.
« De plus c'est une cylindrée de 3,61. Elle développe 325 ch (239 kW) tr/min (ndZ : si quelqu'un comprend Oo) L'accélération de 0km à 100 km/h se fait en 5,2 secondes, tu te rends compte, la vitesse maximale de se petit bijoux est de 285km/h. Son mode de freinage est formidable. De la perfection à l'état pure. Et ses airbags! Ils se déclenchent progressivement suivant l'impact. C'est magnifique. » Elle essuya une petite larme d'émotion qui coulait le long de sa joue.
Harry lui se foutait pas mal de la bagnole. (ndZ : Clair! Tant que ça roule!)
Ce qui l'intéressait s'était l'homme qui venait dans sortir.
Grand et musclé, beau et svelte. Une beauté nordiste avec sa peau pâle et ses longs cheveux blanc d'or. Il portait un pantalon de cuir blanc (il est fou) et une chemise de soie noire légèrement ouverte au col permettant aux gens, et à Harry en particulier, d'admirer ses délicates clavicules.
Le brun en tant qu'artiste et homme avait toujours adoré les clavicules. Surtout celles bien dessiné. Et celles-là étaient parfaites. Si blanches.
L'homme, qui portait une paire de lunettes de soleil classe, tapa impatiemment sur la borne d'essence.
Harry accouru, Hermione étant encore sous le choc de cette vision de rêve (la voiture pour elle).
« Vous voulez de l'aide Monsieur? » Demanda timidement le brun.
« Un plein, déclara sèchement le blond. »
«Quel essence vous faut-il? » Questionna encore plus timidement harry.
L'autre se figea, retira lentement ses lunettes de soleil et fixa l'adolescent de ses yeux bleu-gris perçant.
«Du diesel bien sûr. » Répliqua t-il méprisant comme si cela ne pouvait être autrement.
Harry rentra sa tête entre ses épaules et parti vite faire son travaille.
Une fois finie l'homme paya. Mais il paya trop, Harry le lui fit remarquer.
« Je n'ai pas de monnaies et puis j'ai assez d'argent pour me permettre ça. »
Il lui fit un clin d'œil qui donna à Harry envie de vomir. Il remonta dans sa voiture et partit en démarrant en trombe.
Harry donna le plus à Hermione, refusant de prendre l'argent d'un si détestable personnage.
Pourquoi les hommes si beaux étaient-ils si bouffi d'orgueil, de mépris et d'argent?
Leurs heures de travail terminées, leurs remplaçants arrivés Harry et Hermione allèrent chercher leurs affaires dans leur casier. Ils déposèrent leurs vêtements de travail et après avoir dire au revoir au patron (qui lisait un magazine porno devant une tasse de café) ils quittèrent la station service.
Harry entendit gentiment que les parents d'Hermione viennent la chercher, ne voulant pas laisser à presque 22 heures une jeune fille seule et alla prendre son bus.
Il était épuisé.
Il savait qu'un changement de moyen de transport l'attendait au centre et qu'une fois chez lui, des heures de travail l'attendaient.
Il ne serait pas coucher avant 2 voir 3 heures. Et demain, une autre longue journée l'attendait.
Il se sentait vraiment à bout et décourager.
Harry avait mal au ventre et ça tête tournait.
Cela faisait trop longtemps qu'il n'avait pas mangé un repas équilibré et avec le rythme qu'il imposait à son corps il était étonnant qu'il tienne toujours debout.
Arrivée au centre ville, il regarda avec envie des groupes de jeunes dans des tenus à la mode, qui étaient sorti s'amuser.
Harry avait vraiment l'impression d'être le seul à ne pouvoir s'amuser.
Il descendit et soupira.
Dire qu'à 19 ans, il n'était jamais sorti avec quelqu'un! Il n'avait même jamais embrassé, qui que se soit, et c'est à seulement 18 ans qu'il avait pu se faire des amis. Hermione Granger et Blaise Zabini.
En parlant du loup...
Harry aperçut son ami sortir d'un bar chic.
Il écarquilla les yeux quand il vit sa tenue.
Il portait un costume de chez Goshi bleu marine, ouvert sur son torse musculeux où il ne portait aucune chemise.
Ses cheveux étaient coiffés en arrière lui donnant un air chic et un peu mafioso.
Quand Blaise le vit, il sembla surpris, mais un grand sourire calqué aux lèvres il se dirigea vers lui.
Cependant son sourire disparut à la vue de la tête d'Harry.
Il accéléra le pas et arriva juste à temps pour rattraper le garçon plus petit qui s'était évanouit.
« Eh merde! ».
Il passa un bras sous les genoux de son ami et le souleva, étonné par sa légèreté.
Heureusement qu'il vivait à deux pas d'ici.
Il porta Harry jusqu'à son appartement, en le serrant contre son torse.
Il s'insultait de tous les noms.
Il aurait dut voir que son ami était à bout.
Arrivé chez lui, ils installa Harry sur le lit de la chambre d'ami. Il lui retira ses chaussures et le coucha sous la couette. Il savait que le brun avait juste besoin de repos et un bon repas.
Demain, tant pis pour les cours, ils les rateraient.
à suivre...
Voilà le premier chapitre ! En espérant que cela vous est plût :D Humm, il ne faut voir aucune moquerie vis à vis de Porsche, ou plus précisément de son site Internet ! (Zoo ayant fait des recherches pour la tuture !) 0;p
Un petit commentaire ? S'il vous plais ! Votre avis ! T.T
Bisous doux !
Zoo† (Je rappelle qu'on est deux à travailler sur cette histoire !)
