Escorte Boy

Rating : R ! (M ?connaît pas.)

Attention : Ceci est un SLASH, donc comporte des relations sexuelles HOMOSEXUEL qui seront imagés pas la suite ! De plus il s'agit d'un Univers Alternatif !

Couples : Secret défense. Facile à découvrire :D

Résumer : Vous avez besoin de compagnie? Vous avez besoin d'un beau cavalier charmant et cultivé? Le club Evil's Boy's, la meilleure boîte gay de Londres, vous propose ses magnifiques escortes boy.

RARs :

Un jeune garçon tout mignon s'approche de mauvaise humeur suivit par un grand blond super sexy portant une marque de main bien appuyée sur l'une de ses joues.

Harry (grognant et surveillant de près Draco) : Les RARs seront rapide parce que Zoo doit vite poster. En effet Sucubei à un problème de connexion et Zoo des problèmes familiaux. Mais elles sont toutes deux ravies de voir que leur histoire plaît.

Draco (regarde Harry avec envi mais résiste) : On remercie donc de leur part : Onarluca, Violette ou ceresse (Faut pas croire ! je suis pas un salaud de première nan plus ! èé tssss Harry : (hausse un sourcil) Vraiment ?) Eni (Bien sûr que non ! Harry ne va pas me faire d'infidélité ! je vais déjà avoir du mal à l'avoir, faut pas poussé ! et puis elles sont TOUJOURS ainsi avec lui (sourire dangereux !) Harry : Grrrr) Lyly, crystal d'avalon, Umbre77 (Tu connais toute la suite alors je vais pas m'attarder ! (clin d'œil coquin) Pour Blaise, Zoo me fait dire : « Tu peux parler ! » Sinon un grand merci de leur part !) drake miako (Tu sais, elles ont fini l'écriture de Terre Sauvage il y a déjà pas mal de temps et pour cette histoire elles ont déjà six chapitres d'avance, je ne pense pas qu'il y est du souci à ce faire !)

Harry (s'écarte de Draco, celui-ci ayant mis sa main sur son joli fessier) : ange de un cisme (Tu auras tes réponses sur Blaise dans ce chapitre si ! Non non, il n'y aura pas de prostitution (outré) encore heureux ! déjà que je dois me coltiner l'autre blond ! (air outré de Draco)) Milii ( Si Draco est si méprisant c'est parce que c'est dans sa nature ! Sal fils à papa ! grr Draco : Pas du tout (regard noir à Harry) l'explication sera donné dans un chapitre encore lointain ! Harry : Grrr) serpentis-Draco, Vif d'or (C' est bien ce sal blondinet qui a la porshe ! Grrr Draco : Tu es si mignon quand tu grogne) lily, Alicya Potter-Black (MDR ta copine ! Hermione est vraiment folle de voiture, mais aussi de moto. Je comprends pas pourquoi mais bon…) laika la louve (Zoo était morte de rire à la lecture de ta review, elle est ravie que ça te plaise et Sucub aussi !) severafan, gigiblue (Merci ;D) Anize B (Merci mais je rappelle qu'elles sont deux à la rédaction ! ;D) JohannaPotterMalfoy, BadAngel666, Thealie (La suite est là :D) Blue cinnamon (Zoo m'a fait dire qu'elle adore tes histoires et qu'elle a très très honte de n'avoir jamais reviewé ! Merci :D) Sefadora Firewood (Tu sais, Terre Sauvage est fini de rédigé et elles en sont au 9° chapitre de cette histoire là, je pense que ça ira.) Sélène.

Draco ( a réussi à kidnapper Ryry dans sa prise implacable et couvre sa tête de baiser.) Crackos (en espérant que celui-là te plaise toujours :D) Le Grand Mchant Mage Noir, Vert emeraude, Titia (merci pour la voiture :D), tama (elles sont deux à la rédaction :D) Black Sharne (Pas parler Orth avec elles ! mais promis elles vont prendre une bêta !) Quelqu'un (Vi :D) inouko (Je peux te dire qu'elles adorent Blaise aussi ! Moi je l'aime pas ! il est trop près de mon Ryry ! (resserre sa poigne autour d'Harry qui se débat comme un beau diable.) Ouias Granger est spéciale. C' est la faute de Zoo ! Goshi, je pense que c'est pour transformer la marque. Il doit y avoir une célèbre marque de jean transformé ici aussi. Pour le club c' est le prochain chapitre ! Tu verrais zoo, rouge tomate, très fière que le nom soit apprécié. Bonne vacances à toi aussi) surimi (Détrompe toi, Weasley sera présent et tu le haïra de toutes tes forces ! sale ordure va ! èé) eliwan (Zoo (bombe le torse, fière) : Ouais chuis une héroïne ! Ptdr) Alucard, Plume, alinemcb54, Shiny-misS (Vi, la réponse au titre est là :D) Tete de nœud (Hermione folle de voiture n'était pas prévu, c'est venu tout seul :D Et je ne suis pas impuissant ! èé non mais ! Je vais le prouvé maintes et maintes fois avec Harry (caresse les cheveux du brun) n'est-ce pas chéri ? (Ronronnement de Draco, air paniqué du brun.)

Harry ( essaye de se défaire de Draco alors que celui-ci lui retire sa chemise) Merci à toutes donc (il y a des mecs ? ) Et Bonne lecture. (Se tourne vers Draco) Tu va me lâcher oui !

Draco : naaannn !

Harry : Mammmaaaaannnnnn !


Chapitre 2: de l'escorte?

Il faisait bon.

Une chaleur douce et ouaté.

Il était bien. Il ne voulait pas se réveiller.

Le réveil signifierait le retour à la réalité et il ne voulait pas. Il se blottit un peu plus contre la couette et poussa un gémissement de satisfaction.

Que c'était bon cette chaleur.

Et puis le tissu était doux sur sa peau.

Non il ne fallait définitivement pas qu'il se réveille.

Ce n'était à priori pas dans l'emploi du temps de blaise. Non, il n'y avait marqué nul par "Potter à ne pas réveiller".

Celui-ci glissa sensuellement sur le lit à deux places et se plaça au-dessus de son ami et lui susurra à l'oreille d'une voix chaude : «Harrryyyy, c'est Pansssyyyyyy. Je suis nue pour toi mon chou. Totalement offerte. Allez mon lapin, viens pendre ton dû.»

La Pansy en question était une guenon croisée avec un pit-bull et un bouledogue. Elle était petite, blonde, insignifiante et était le cauchemar ambulant d'Harry. Elle avait déjà essayé de lui sauter dessus alors qu'il sortait des toilettes. Elle était alors vêtue d'un corsage de soie rouge très transparent et d'un porte jarretelle noir très affriolent.

Tous deux ne cachant rien de sa peau d'orange et de sa cellulite.

Autant dire que ça n'avait rien d'un réveil en douceur.

Cela expliquait aussi le bond de trois mètres cinquante-cinq que venait d'exécuter Harry, un air horrifié collé à la figure.

Il fusilla Blaise du regard quand il découvrit la supercherie.

«Blaise.ne.me .refait.jamais.ça! » Siffla t'il dangereusement entre ses dents.

Son ami éclata de rire.

Il sortit ensuite de la pièce, n'oubliant pas de préciser à Harry que la porte de gauche était la salle de bains et que des habits propres l'attendaient sur le guéridon en bois de rose.

Le brun étant à présent seul, se permit une inspection de la pièce où il se trouvait.

Il était déjà venu dans l'appartement de Blaise mais n'avait vu que le salon et le hall, étant pressé.

Il devait se trouver dans la chambre d'ami.

Le blanc dominait.

La pièce était lumineuse. De grandes fenêtres décorées de rideaux écrus tamisaient la chambre.

On si sentait bien.

À ses pieds une moquette en raphia s'étendait. C'était agréable sous les pieds. Cela faisait comme un massage à la voûte plantaire.

Il s'approcha du guéridon et pris doucement les vêtements que son ami lui avait désignés.

Le tissu coula sous ses mains. C'était de la soie. Une soie douce et fine, chaude et blanche. Il y avait aussi un jean Levers et un caleçon de soie noir. Il caressa le doux textile n'osant vraiment y croire.

Il mit deux minutes à sortir de sa rêverie.

Il se dirigea alors vers la salle de bain.

Ce qu'il vit le stupéfia.

Du carrelage de marbre blanc veiné de vert s'étendait sur le sol et les trois quarts des murs. Une baignoire à jet de la taille d'un jacouzi trônait un peu plus loin. Une psyché surplombait deux lavabos de verres et des serviettes épaisses et moelleuses l'attendaient sur un présentoir de métal argenté. Et c'était la salle de bains secondaire.

Harry déposa ses affaires sur un des rebords des lavabos. Il regarda ensuite son reflet dans le miroir. Il grimaça.

C'était pitoyable.

Ses cernes étaient trop grande pour son visage et le bouffait allègrement. Son corps était d'une maigreur à faire pâlir d'envie tous les mannequins anorexiques de la planète.

Il n'avait rien à faire dans un tel décor.

Avec un soupire il se déshabilla et fit couler de l'eau chaude dans la gigantesque baignoire. Il jaugea quelque produit de beauté qui était rangés sur une étagère.

Autant en profiter.

Ce n'était pas tous les jours qu'il pouvait se prélasser dans un bain.

Il sortit une heure plus tard, lavé et habillé.

Blaise sourit en le voyant arrivé.

Il préparait des crêpes dans sa cuisine américaine.

«Ça te va bien tout ça même si mes affaires sont un peu grande pour toi.»

Harry se contenta de grogner.

Il alla s'installer au bar.

Il remarqua que son ami avait déjà préparé une montagne de crêpes chaudes et odorantes qu'il gardait bien au chaud grâce à une tactique de grand-mère. Il haussa un sourcil.

«Blaise, je doute qu'on ai le temps de manger tout ça.»

«Tu peux parler avec ton bain d'une heure! Et puis il est déjà midi et j'ai faim. Toi aussi je suppose.»

Harry joua la carpe un bon moment avant de se jeter sur ses affaires en murmurant quelque chose comme: "en retard, en retard, je suis en retard (ne voir aucun remake du lapin blanc d'alice au pays des merveilles.)"

Blaise l'arrêta.

«J'ai appelé la directrice et je lui ai dit que tu étais mal, ce qui n'est pas faux d'ailleurs. Harry que t'arrive t'il ? hier soir tu t'es évanouit en pleine rue.»

Alors Harry éclata et lui raconta tout : Ses parents, son oncle et sa tante, son appartement etc... Et Blaise l'écouta. Il ne posa aucunes questions, ne lui demanda pas pourquoi il ne lui avait pas réclamé de l'aide.

Il le savait, il était lui-même déjà passé par-là. L'orgueil.

Quand Harry commença à pleurer il lui tendit gentiment un mouchoir.

Celui-ci se moucha bruyamment avant de demander perdu:

«Comment tu fais Blaise! Tu as pu t'en sortir, tu arrives même à te payer des chose hors de prix alors que moi je n'arrive même pas à joindre les deux bouts.»

Blaise le regarda désolé.

«J'ai un boulot qui paye bien.»

Harry releva la tête et le fixa les yeux pleins d'espoirs à travers ses larmes.

«Quel boulot? Je t'en supplie Blaise dis moi ce que c'est. Si je continu comme ça je vais crever. Je t'en pris.»

Son ami le fixa un moment. Il soupira ensuite, se leva et passa une main dans ses cheveux, gêné.

«Je suis gigolo pour hommes riches, Harry.»

Cette nouvelle eut l'effet du bombe.

Harry regarda son ami hébété. Avait-il bien entendu?

Et dire qu'il se doutait de rien.

«Blaise...» Chuchota le brun en posant ses mains sur son visages. « Au mon dieu dire que je me plaignais alors que tu es obligé de vendre ton corps à de vieux dégoûtant! C'est terrible!» Pleurnicha t'il.

Mais à sa grande surprise son ami éclata de rire.

Harry releva la tête pour voir Blaise plié en deux. Il riait tellement que des larmes coulaient le long de ses joues.

Le garçons plus jeune se demanda ce qu'il y avait de drôle et se sentit un peu blessé et énervé que Blaise prenne tout ça à la légère.

« Pourquoi ris-tu? Tu te prostitues! C'est grave tu sais.»

Blaise sentant que son ami allait se mettre en colère, tenta tant bien que mal de se calmer.

Une fois cela fait, il inspira un bon coup.

«Je ne suis pas une pute Harry. Je crois que je me suis mal exprimé. Il est vrai que le terme de gigolo ne convient pas tout à fait.»

Harry qui avait cessé de pleurer regarda son ami en fronçant les sourcils.

«Je suis ce qu'on appelle un "escorte boy". Je travail dans une boîte gay de grande renommée en Grande Bretagne ainsi que dans le reste de l'Europe et même aux États-Unis et Japon. Ce n'est pas un endroit qui vend des corps, mais plutôt de la compagnie. Des grand hommes d'affaires, des médecins, des chef d'entreprises viennent louer une jeune homme beau, bien sûr, pour se tenir à leur côté. Mon travail consiste à jouer "les petits amis" lors d'un après midi, soirée... tout dépend du contrat. Mais je n'ai pas à coucher avec le client si j'en ai pas un envie. Se serait plutôt un "et plus si affinité ".»

Harry fut rassuré de savoir que son ami n'était pas une prostitué. Mais ce travail le rendait perplexe.

«Bien sûr, si jamais cela s'apprenait je me ferait renvoyer de notre école c'est pour cela que j'utilise un pseudonyme.» Continua le grand brun en souriant.

«Je pourrais te présenter à mon patron. Mignon comme tu es je suis sûr qu'il te prendra...»

«NON!» S'écria Harry paniqué.

Lui qui n'avait jamais de petit ami il se voyait mal faire de "l'escorte".

«Harry.» Soupira Blaise. « Non seulement pour quelques contrats tu toucheras un bon salaire et en plus des bonus donnés par les clients. Ce qui signifie assez d'argent pour vivre aisément et avoir du temps libre, tout en te concentrant sur tes études.»

« Je sais pas... Je... je suis complètement inexpérimenté dans ce domaine! Je me ferais virer dès le premier jour!.»

«Au contraire Harry. Ton inexpérience, ta fraîcheur, ton innocence feront de toi une des escortes les plus demander.» Sourit-il.

«Mais regarde moi Blaise! Franchement j'ai l'air d'un gigolo?»

Le jeune homme sourit en regardant Harry dans les vêtements qu'il lui avait prêté. Il pouvait voir le potentiel d'une grande beauté. Il admira les long cheveux noirs encre, brillant et épais tombant sur les épaules de son ami. Il avait un visage des plus charmants, aux traits fin et doux, les pommettes hautes, un nez droit et les yeux les plus vert qu'il n'ait jamais vu. Le cou était long et fin, et les épaules légèrement carrés mais frêles. Le corps était svelte et élancée, sans doute un peu maigre, mais quelques semaines de repas appropriés et cela s'arrangerait. Sa peau blanche lui donnait l'air d'une poupée de porcelaine qu'on avait envie de protéger. Il y avait aussi à la fois quelque chose de noble et exotique en lui. Non, Harry avait pas l'air d'un gigolo mais d'un ange.

«Tu as besoin de nouveaux vêtements, d'une coupe et peut être d'un peu d'entraînement. Il te faudra aussi un nom de scène.» Déclara théâtralement Blaise.

Harry écarquilla les yeux.

«Hey! Attend! Je n'ai pas dit que j'acceptais! Puis avec quoi je paierais tout ça?»

Comme s'il n'avait pas entendu la première partie de sa phrase, Blaise répondit:

« Je te paierai tout ça. Quand tu toucheras ton salaire, tu me rembourseras. Ensuite pas question que tu te retournes dans ton appart' sordide. Tout à l'heure nous irons chercher tes affaires. Après tout je m'ennuyais tout seul, et se sera cool d'avoir de la compagnie...»

«Blaise! ça suffit! Je ne pense pas être capable de faire ton boulot et je...»

« Écoute Harry, pour l'argent je te fais confiance tu rembourseras quand tu pourras. Ensuite je te propose pas de venir habiter chez moi au frais de la princesse, mais en tant que colocataire. Pour le travail, c'est un contrat libre, c'est à dire que si vraiment ça ne te plais pas tu arrêtes quand tu veux. »

Il regarda Harry intensément. Celui-ci réfléchit. Après tout il ne risquait rien d'essayer.

«Quel est le genre de client que nous avons?»

« Généralement se sont des hommes entre la trentaine et quarantaine. Parfois la cinquantaine, mais rarement plus vieux. Par contre nous avons souvent de jeune homme fils de riche qui veulent quelqu'un pour les accompagner le temps d'une fête. Alors, tu tentes le coup?»

Harry inspira puis hocha la tête. «Je tente le coup.»


Après s'être goinfré de bonne crêpes au beurre sucre, nutella ou une montagne de sirop d'érable. Harry c'était pourléché les babines. Cela faisait si longtemps qu'il n'avait pas mangé un repas correcte.

Pas que celui-là était un exemple dans le guide de la nutrition mais il calait bien l'estomac mine de rien.

Ensuite Blaise le traîna dehors.

Il lui avait passé un de ses vieux manteaux. Il était un peu grand mais tenait chaud. Harry avait l'air minuscule là dedans.

Blaise en avait eu un fou rire alors le brun avait boudé.

Il était tellement adorable que Blaise avait déposé un rapide bisou sur son nez.

C'est là qu'avait commencé la course poursuite. Elle les avait menée dans le quartier commerciale de la ville.

Ils avait commencé par Harod's qui, par chance on était mardi, était pratiquement désert. Un homme chic prit Harry sous sa coupe et se chargea de sa nouvelle garde robe.

Blaise avait dit "Chic, classe, mode et magnifique."

Et il avait trouvé exactement ce qu'il fallait.

Bon nombre de chemises chemise en soie dans des colories plutôt sombres pour faire ressortir la couleur des yeux vert ainsi que sa peau si blanche. Il en prit aussi quelques unes en satins rouges, verts et noirs. Les pantalons étaient pour la plus part en lins mais le vendeur l'avait obligé à pendre trois pantalons en cuirs ainsi que cinq jeans moulants. Il lui avait même donné des caleçons en soie. (Il avait aussi tenté de lui faire prendre des sous-vêtements en cachemire ainsi que des strings mais il avait entendu dire que c'était mauvais pour son service trois pièces et ça ne le tentaient pas des masses.)

Ils étaient ensuite allés chez l'opticien.

Harry avait totalement refusé de prendre des lentilles de contacts. Il avait alors troqué ses vielles binocles contre une monture ovale d'un beau gris métallique.

À présent était arrivé le moment qu'il appréhendait le plus.

Le coiffeur.

S'il avait laissé poussé ses cheveux faute de moyen, il s'était habitué à ses mèches lui caressant le cou, les joues, les épaules et le dos.

Il aimait ses cheveux longs.

C'est pourquoi il arriva, traîné par Blaise, terrorisé devant la devanture de la boutique nommé : « Au bonheur des hommes. » peinte en rose barbie.

"C'est quoi cette horreur" pensa Harry alors que le tenant ferment par le bras Blaise le fit entrer.

Il fut alors accueillit par une sorte de femme avec des hublots en guise des lunettes, des cheveux coiffés hirsutes et un air mystérieux collé au visage. Elle portait une longue robe mauve, avec une tonne de foulard enroulé autour de son cou et sa taille. Elle avait sur ses long bras maigres une centaine de bracelet cliquetant à chacun de ses mouvements et des bagues à chaque doigts.

Elle sourit en les voyant arriver.

«Bonjour Blaise.» Dit elle d'un ton mystique. «Je savais que vous viendrez aujourd'hui avec...» Elle se tourna vers Harry et le regarda avec presque avidité. «... un jeune homme aux cheveux foncé.»

Le jeune homme aux cheveux foncé en question n'avait qu'une envie: S'enfuir en courant!

Deux couinements attirèrent son attention sur deux jeunes filles plutôt mignonne.

Une était brune avec des mèches rouges et portait un jean taille baisse ainsi qu'un débardeur et son amie, blonde habillée d'un pantalon blanc et t-shirt rose.

«C'est exactement comme vous l'avez prédit Madame Trelawney!» Déclara la brune.

Les deux filles regardaient leur patronne avec admiration et dévotion. Harry se demanda dans quel asile de fou il était tombé.

«Je sais qu'elles sont un peu étranges, mais se sont de très bonne coiffeuse.» Chuchota Blaise à son oreille d'un ton rassurant.

Mais Harry lui jeta un regard lourd d'éloquence.

«Bonjour Sibylle.» Salua avec un grand sourire le brun. « Si tu as le temps, tu pourrais t'occuper de mon...»

«Je savais que tu viendrais pour ton ami alors je lui ai réservé l'heure.» Coupa t'elle.

Elle porta une main sur son front.

«Le troisième oeil est utile, mais il peut être parfois un tel fardeau.» Soupira t'elle tragiquement.

Ensuite elle prit la main d'Harry et le fit venir dans l'arrière sale aussi rose que la maison de barbie. Elle le débarrassa de son manteau. Et elle tourna autour de lui.

«Oui, je vois... je vois... que Miss Lavande Brown sera celle qui s'occupera de vous.» Elle se tourna vers la blonde. « Ma chérie, vous ferez un shampooing et après shampooing super démêlant à ce jeune homme. Ensuite une coupe dégradé tout en gardant sa longueur. Se serait dommage de lui enlever.»

La blonde hocha la tête.

« On lui fait des mèches? Une couleur?»

«Avec de si beau cheveux noir? Se serait un sacrilège ma chérie. Non, il a juste besoin d'un rafraîchissement.»

La femme se tourna vers Harry.

«Comme je vous l'avait prédit, Lavande sera votre coiffeuse.» Déclara t'elle d'un air illuminé.

Le brun se retint de signaler qu'elle venait de lui en donner l'ordre. Il pouvait voir du coin de l'oeil Blaise rire silencieusement.

Quand son ami s'aperçut qu'il le regardait d'un air accusateur, il cessa de rire.

«Je vais ramener nos achat chez nous, et je reviens te chercher.» Dit-il.

«Comment? Tu me laisses ici tout seul!» Paniqua Harry tandis que Lavande lui mettait une cape mauve sur ses épaules et une serviette blanche autour de cou.

«Mais oui Harry, ne t'inquiètes pas tu es entre de bonne de main.»

Il préféra tout de même détourner les yeux en voyant le regard accusateur et furieux du petit brun.

«Oh, tu t'en vas déjà Blaise.» Fit déçu la brunette.

Blaise lui fit un sourire séducteur.

«Je reviens tout à l'heure chercher mon ami, Pavarti. Vous pensez qu'il sera prêt dans une heure Sibylle?»

La femme hocha la tête.

«Oui, je le vois prêt dans une heure. Mais vous serez en retard.»

Habitué, Blaise se contenta d'hocher la tête et partit avec leurs affaires.

Harry se sentit très seul.

Mais il ronronna presque quand Lavande après avoir posé délicatement sa tête et ses cheveux dans l'évier, lui lava les cheveux. Elle faisait cela très bien et une odeur agréable d'amande douce vint à ses narines.

Ses mains fines massaient avec application son cuir chevelu. C'était bon.

Harry se senti d'un coup très détendu. Il poussa un petit soupire de contentement alors qu'elle rinçait doucement ses cheveux à jet un peu chaud, passant sa main dessus pour aider la mousse à glisser. Après avoir recommencé trois fois le même manège elle sortit un petit pot de crème l'ouvrit dans un petit bruit de plastique et s'en badigeonna les mains. Elle les passa lentement dans la tignasse trempée du jeune homme, faisant attention de bien masser pour imprégner les cheveux de la lotion. Ça sentait bon le chèvrefeuille et la mirabelle.

Elle rinça ensuite doucement.

Après avoir légèrement séché ses cheveux avec une serviette, pour éviter qu'ils inondent le salon elle le conduisit à un siège, en face d'un miroir.

C'était la parodie parfaite d'une loge avec ses petites lumières rose et ses paillettes.

La blonde le fixa un instant, le nez pincé, l'air concentré.

« Il te faut donc un léger dégradé devant, les cheveux s'arrêtant à la mâchoire. Comme ça, cela fera des mèches quand tu les attacheras en catogan. Il faudra aussi aérer un peu la coiffure, effiler par si par-là sur la longueur pour conserver l'effet « je viens de sortir du lit ». Et bien sûr couper les pointes. Hum… Je te verrais bien avec un petit reflet bleu dessus pour accentuer la noirceur de tes cheveux. Ou même vert. Un vert très foncé. Quand dis-tu ? »

Harry était bouche bée. Il ne s'attendait pas à ce que cette jeune fille si connaisse autant. Il s'imagina un instant avec un léger reflet sur les cheveux. C'était pas mal. Ça faisait même classe.

Il acquiesça alors, souriant.

Elle commença par le peigner. La brosse glissait facilement dans ses mèches grâce à la crème démêlante qu'elle lui avait appliqué. Puis elle en attacha une partie avec une grosse pince et commença son travaille. Elle tailla les pointe, effila les cheveux à l'aide d'un rasseoir et forma petit à petit son dégradé.

C'était une coupe classe.

Vraiment cool.

Et puis elle avait été vraiment rapide. Vite fait bien fait.

Elle le conduisit ensuite dans une autre salle. Elle le vêtit d'une nouvelle blouse, en plastique cette fois et ganta ses mains.

« Le colorant que je vais te mettre à une durée d'un mois. » Harry hocha la tête.

La jeune fille prépara la coloration de façon à ce que celle ci ne soit pas trop clair ou trop foncé. Au lieu de l'appliquer avec un pinceau elle y alla directement avec les mains. L'opération fut tout aussi rapide. Il fallait juste attendre les trente minutes réglementaires de repos.

Lorsque tout fut fini, que Parvati passait le balais et que Lavande avait rincée puis séché ses cheveux Harry pu s'admirer dans la glace.

Il portait des vêtement modes, sympa, une coupe superbe qui, cela dépendait de l'éclairage, paraissait noir ou légèrement vert bouteille.

Il remercia chaleureusement la jeune fille.

« Oh, ça doit être ma meilleure coupe, mais Madame Sibylle me l'avait prédit. »

Harry pensa que la femme avait aussi prédit qu'il serrait près dans une heure et que Blaise arriverait en retard.

Or, son ami était revenu en avance et lui avait un bon retard d'une demi-heure.

Mais il se tut, se contentant de sourire.

Lorsqu'il arriva dans l'entrée de la boutique il trouva une Sibylle boudante et un Blaise malicieux.

« Ne le prends pas mal, Sibylle. Avoue quand même, que pour ce coup là tu t'es mis le doigt dans le nez. »

La brune, Parvati, vint au secoure de sa patronne.

« Mais madame Sibylle avait prévue un retard. »

La femme se retourna si vite, dans un tumulte de cliquetis, qu'Harry cru qu'elle allait tomber. Elle pris les mains de la jeune fille, émue.

« Je savais que tu étais quelqu'un de bien ma chérie. Nous sommes reliées psychiquement. »

Lavande se mis à pillayer.

« Et moi madame, et moi ? »

« Mais toi aussi ma chérie. Le troisième œil nous lie pour le meilleur et pour le pire. »

Blaise les ignorait totalement, admirant la nouvelle coupe de son ami alors qu'Harry les regardait terrifié.

« Ta coupe est une vraie merveille. Tourne-toi un peu que je vois ça. »

Mais avant qu'il n'est le temps de s'exécuter Blaise lui tournait déjà autour pour admire dans toutes ses coutures sa nouvelle coiffure.

La libellule aux yeux globuleux prit un air satisfait.

« C'est merveilleux mon chéri. Parfait. »

Blaise paya la note. Puis ils sortirent enfin assailli par des « revenez nous voir. » « Nous nous reverrons bientôt je le vois dans les astres. » « Blaise tu nous quitte déjà ? »

Les deux garçons soupirèrent d'aise quand les voix sur aiguës ne parvinrent plus à leurs pauvres oreilles.

« Elles sont toujours comme ça ?» demanda un peu horrifié le brun.

« Oui mais là elles était un peu fatiguées. »

Les yeux d'Harry s'écarquillèrent.

« Je ne veux même pas savoir comment elles sont quand elles pètent la forme. »

Blaise éclata de rire. Harry sourit.

Ils flânèrent un moment dans les rues puis se rendirent à l'ancien appartement d'Harry pour y chercher ses affaires.

Le jeune homme refusa de laisser entrer le brun.

Celui-ci n'insista pas, comprenant ce que son ami ressentait.

Harry empaqueta toutes ses maigres possessions sans un regret quelconque. Il tournait une page de sa vie, prenant un nouveaux tournant.

Quand il sortit de son ancien taudis il sourit à Blaise. Un sourire sincère et frais.

« Merci pour cette journée. Ce fut la meilleure depuis… depuis toujours en faite. Merci. »

Blaise le regarda tendrement. Il le prit dans ses bras et déposa un petit baisé sur sa tempe.

« De rien Harry. Et arrête de prendre cet air innocent sinon je te saute dessus. »

Le brun eu un sourire sadique.

« Tu n'oserais pas? »

« Je me gênerais. »

Et la course poursuite recommença.

Mais tout avait changé.

à suivre…


Harry (essaye de récupérer sa chemise) : Merci d'avoir lu ! J'espère que ça vous à plus !

Draco (Qui veux récupéré Harry) : Pour le faire savoir C'est simple ! Le petit bouton go est à votre disposition ! C' est rapide et gratuit ! Et en plus au prochain chapitre vous pourrez vous défouler sur un nouvel arrivant ! (se ne serra par le seul !) Et vous verrez connaissance avec le club !

Harry (Luttant pour que le blond ne réussis pas à l'embrasser) : Alors un petit commentaire ! Pour me soutenir ! PITIEEE

Merci ! ;D