Fan numéro 1: Chloé et Ladybug
Une jolie blondasse possédant un égoïsme féroce et un morale de gagnante contrastant avec la finesse de ses traits était allongée sur le matelas de son énorme lit dans la suite de l'hôtel de luxe où elle résidait en permanence.
À côté d'elle, sur les draps les plus doux, reposait un plateau contenant une variété de gels, crèmes, lubrifiants ainsi qu'une sélection de vibromasseurs longs, larges ou en reliefs.
C'était le moment de la journée où Sabrina faisait les devoirs de Chloé pour elle en revenant de l'école.
Le moment pour Chloé de se détendre et de relâcher les tensions qu'elle avait accumulé au cour de la journée.
Dès qu'elle avait mit les pieds en dehors du Monde Merveilleux de Chloé, la jeune femme avait été frappée de malheurs et de contrariétés. En arrivant au Collège, elle avait tout de suite aperçu Adrien, le grand amour de sa vie, le garçon auquel elle était liée, destinée depuis toujours et pour toujours, rigoler une fois de plus avec une autre.
Et pas n'importe laquelle! Cette envoûteuse de Marinette qui, à coup de sourires timides et de bafouillages délicatement mièvres et ingénus, tentait de charmer le prince qui appartenait déjà à une véritable princesse.
Sous l'excuse de parler entre amis, cette vipère noire s'était rapprochée de lui et avait complètement endormie les perceptions d'Adrien face au danger.
Depuis qu'elle avait fait en sorte qu'Alya, sa meilleure amie sortie de nulle part, soit en couple avec le faire-valoir qui suivait Adrien partout, Marinette pouvait approcher Adrien sans qu'il ne se méfie d'elle.
Plus que cela, Adrien n'acceptait jamais d'accorder de baiser à Chloé, il la repoussait même très clairement depuis que cette fille de boulanger lui avait reproché d'être ami avec son adversaire naturelle.
Donc, aujourd'hui encore, Chloé était déçue qu'Adrien et elle n'ait pas terminé la journée ensemble parce qu'Adrien l'avait repoussé.
Et les frustrations ressenties par Mlle Bourgeois ne s'étaient pas arrêtées là.
Le livreur apportant son déjeuner l'avait grandement fait attendre et lorsqu'elle lui en avait personnellement fait le reproche, il n'avait qu'haussé les épaules avant de remonter sur son vélo et de lui tourner le dos comme si elle n'avait aucune importance.
Naturellement, elle avait appelé au restaurant de sushi pour se plaindre du manque de respect de ce nouveau livreur et pour exiger qu'il soit renvoyé.
Résultat de l'affaire : un akumatisé se déplaçant plus vite que le vent avait poussé chaque paroles dites par les gens autour d'elle à prendre la forme de cris de colère et de plaintes exaspérées.
Mais son but premier avait été de contraindre Chloé à s'excuser à genoux devant lui.
Au moins, Chloé avait-elle eu la chance de se trouver tout près de sa belle héroïne.
Chaque fois que ça se produisait en plein combat ou non, le sexe de Chloé s'inondait.
Logiquement, romantiquement et émotivement, Adrien était le grand amour de la vie de Chloé. Mais en rencontrant Ladybug, la riche héritière de la ville de Paris avait découvert que littéralement personne n'était parfait, même pas elle-même. Dans le magnifique tableau qu'était sa vie et son destin tout tracé, il y avait un accrochage.
Chloé était homosexuelle.
Chaque fois qu'elle revoyait l'héroïne depuis que celle-ci l'avait sauvé d'une mort certaine à leur première rencontre, le corps de Chloé répondait : "Oui, je la veux!"
Avec férocité et appétit, la jolie blonde fondait rien qu'à l'idée d'être la partenaire sexuelle de la splendide créature qui défendait la ville, sa ville, à coup de pirouettes suaves et plans d'une intelligence supérieure.
Insérant finalement l'un des grands dildos après avoir débuté avec les plus petits, Chloé arqua son long corps soyeux sous les assauts du plaisir.
Laissant sa fantaisie du moment peindre devant elle une scène érotique propre à la faire voyager au paradis pour un moment.
Parfois, elle imaginait être la petite chose soumise de cette déesse rouge et à d'autre occasions, elle imaginait qu'elles avaient d'abord une relation chaste et complètement saine avant de se marier de plein droit et de s'unir durant une lune de miel féerique. Elle voulait tout vivre avec Ladybug.
Aujourd'hui, elle imaginait l'avoir sous son contrôle, nue et ligotée sur son lit, complètement offerte à l'exception de ce masque qui cachait quelque chose que Chloé ignorait au sujet de l'objet de ses désirs.
Et Ladybug appréciait. Le plaisir coulait en quantité d'entre les pétales du sexe rougissant et imberbe de la captive de cette force de la nature qu'était la sublime Chloé.
La coccinelle frissonnait, gémissait et soupirait de plaisir entre les mains expertes à plaire à une femme que possédait Chloé. C'était un talent inné pour elle.
Pourtant si son corps disait oui, ses lèvres refusaient. Elle disait non. La suppliait d'arrêter. Mais pas de n'importe quelle façon. Elle disait non de ce pathétique refus qui signifiait surtout oui.
Celui que les délicates ingénues utilisaient pour dire qu'elles ressentaient trop de plaisir et qu'elles craignaient de ne pas supporter.
Pourtant, exploser de plaisir, Ladybug l'avait déjà fait deux fois sous le toucher des doigts experts à la superbe manucure de Chloé.
L'héroïne était maintenant une vision spectaculaire, une véritable œuvre d'art réalisée par la bourgeoise.
Nue, vulnérable, prisonnière et en larme, bouleversée par les sensations et les émotions qu'elle vivait, Ladybug ne pouvait qu'implorer la pitié de Chloé afin qu'elle cesse la torture.
Mais la riche et gâtée héritière n'en avait pas encore finit. Elle avait finalement entre les mains le jouet qu'elle avait tant convoité et ne songeait pas du tout à s'en départir avant d'en avoir découvert toutes les fonctions.
Elle attrapa un dildo bien spécial et la ceinture de strap-on qui le complétait.
« Non, non! » s'affola l'héroïne lorsqu'elle vit la blonde l'assembler lentement et le couvrir de lubrifiant. « Je ne veux pas Chloé. Arrête ce que tu me fais. Je t'en prie. » pleura-t-elle. « Libère-moi. Je t'en supplie. »
« Tu dis ça depuis qu'on a commencé mais, ton corps dis le contraire. » pointa Chloé.
« Je sais. » admit Ladybug. « Tu me fais beaucoup d'effet. Physiquement et tout mais, il y a une vraie raison pourquoi je ne veux pas. Je- Je suis juste- Je ne l'ai jamais fait avant. Si tu plantes ce truc énorme en moi, tu vas me blesser. Comment ça peut être si énorme en vrai? »
« Tu as raison. » fit Chloé avec une moue boudeuse charmante (de son point de vue) « C'est plutôt rare qu'on ait la chance de trouver des hommes qui sont assez bien membrés pour se comparer à ça. Néanmoins... Il n'est pas pour toi. Ou pour être précise, ce n'est pas moi qui vais le porter. »
Chloé compléta l'assemblage sous le regard perplexe de l'autre fille qui sursauta lorsque le vibromasseur en forme de "C" qu'elle y avait ajouté vint travailler à la fois l'entrée de son vagin et son clitoris pendant que la blonde lui nouait la ceinture.
« Je veux que tu sois à moi pour longtemps ma jolie coccinelle. Je ne vais pas te blesser ou te briser. Pas tout de suite. » lui assura-t-elle tendrement et venimeusement.
Une fois que Chloé eu retiré ses mains de la ceinture, la pression fut moins forte sur le sexe de Ladybug. Mais aussitôt ensuite, lorsque Chloé s'empala sur l'énorme engin, la pression et la force exercées par la vibration reprirent avec intensité.
Puis, Chloé se stabilisa sur le vibro et son sexe s'adapta. « Tout est entre tes mains. C'est ton tour de me donner du plaisir. » lui apprit Chloé. « Si tu veux que la vibration soit meilleure, tu dois me donner du plaisir. Lentement. » l'héroïne souleva le bassin en faisant quelques tentatives. Le gros sexe en plastique large, long et veineux remplissait Chloé. Ladybug trouva ses marques et son rythme en ondulant des reins avec toute sa grâce et sa force magique.
Chloé soupirait, dégoulinait et envoyait sa tête en arrière, offrant une magnifique vue sur sa superbe poitrine à sa nouvelle amante.
Sous les assauts répétés et puissants, le plaisir emporta Chloé et son cerveau explosa dans un troublant paradis.
Allongée sur ses oreillers, pantelante et courbatue, Chloé revint à la réalité après son orgasme. Oui, c'était exactement ce qu'elle ferait avec Ladybug lorsqu'elle seraient ensembles.
Sabrina frappa doucement à la porte et Chloé rabattit un drap sur le plateau et noua sa robe de chambre en satin. « Oui? » appela-t-elle faisant semblant de retirer un masque pour le sommeil.
« J'ai terminé les devoirs, Chloé. Tu veux jouer à être Ladybug et ChatNoir? »
« Si tu veux, Sabrina. Allons nous déguiser. » fit Chloé très détendue maintenant.
« Tu me laisseras être Ladybug un jour? » questionna la rouquine.
« Au risque de t'attrister, Sabrina. Je t'avouerais que je vous trouve beaucoup trop différentes pour te confondre avec l'image que je me fais d'elle. »
