My Cullen (Mon Cullen)
Résumé : La cinquième année scolaire est terminée. Albus offre à Harry et Draco une échappatoire et les garçons la prennent. Ils se dirigent vers la ville de Forks où Harry rencontre l'amour de sa vie.
Auteur : StormyFireDragon
Traductrice : yaoipowaa56
Disclaimers : Je ne possède rien d'Harry Potter ni de Twilight
Chapitre 2 : Harry s'échappe
La fin du mois de juin se transforma en juillet. Vernon et Pétunia se disputaient quotidiennement. Vernon ne voulait voir aucun des deux garçons dans la maison et Pétunia s'énervait de plus en plus. Dudley fit une remarque désobligeante à Draco et Pétunia le gifla. En état de choc, Dudley mit sa main contre sa joue.
«Si jamais je t'entends encore dire quelque chose comme ça à Harry ou à Draco...» dit-elle. «...je te botterais le cul plus vite que tu ne pourras dire «gâteau». Est-ce que je me suis bien fait comprendre, fils ?»
Dudley hocha la tête et regarda son père.
«Attends une foutue minute, Pétunia.» Grogna Vernon. «Tu ne feras rien à Dudley à cause de ces deux-là.»
«SI JE LE FERAIS.» Cria Pétunia en ramassant une poêle à frire et en avançant vers son mari et son fils. «J'EN AI ASSEZ DE VOUS DEUX. VOUS ÊTES TROP CRUELLES. JE REGRETTE DE T'AVOIR ÉPOUSÉ ET D'AVOIR DONNÉ NAISSANCE À CE GROS CUL QUE TU APPELLES UN FILS VERNON DURSLEY. JE VEUX DIVORCER.»
Le silence se fit lors de cette proclamation. Pétunia prit une profonde respiration et se tourna vers Harry et Draco.
«Je voudrais partir avec vous deux.» Déclara-t-elle. «Quelqu'un devra vous aider pour la cuisine et pour nettoyer.»
«Je vais en parler au professeur Dumbledore.» Promit Harry. «Je ne pense pas qu'il y aura de problème.»
«Il n'y aura pas de problème.» Déclara Draco. «Je connais un bon avocat spécialisé dans les divorces qui peut s'en occuper pour toi quand nous partirons. Si tu veux, je peux lui envoyer un hibou et commencer les formalités. Il travaille à la fois avec les moldus et les sorciers.»
«Je t'en prie, fais-le dès que possible.» Déclara Pétunia. «Toutes ces années, j'ai dû écouté cette grosse limace me dire que je n'avais pas d'autre choix que de haïr ma sœur et sa famille. Eh bien, le moment est venu pour moi de me débrouiller toute seule. Vernon, si tu t'approches à moins de 1 mètre de ces garçons, je te battrais à mort avec cette poêle.»
«Maintenant, regarde-moi.» Grogna Vernon. «Je ne te laisserai pas partir à cause de ces deux enfants bizarres. Tu ne peux pas tout simplement divorcer juste parce que tu penses qu'il est temps d'être gentil avec ta famille bizarre.»
«Oh, si je peux et je le ferai.» Dit Pétunia en faisant pivoter la poêle et en frappant la poitrine de Vernon avec. «Ces deux jeunes hommes auront un meilleur foyer que celui-ci. Je veux que toi et ton fils sortiez de cette maison.»
«Nous ne quitterons pas cette maison.» Déclara Vernon. «Je suis celui qui travaille et ramène de l'argent ici.»
«C'est ma famille qui a payé cette maison, connard.» Dit Pétunia en balançant à nouveau sa poêle et en le frappant au bras. «Je veux que tu quittes ma maison. Quand nous partirons, tu pourras l'avoir. DEHORS MAINTENANT.»
«On les sort de la maison ?» Demanda Harry à Draco alors qu'il sortait sa baguette. «Elle le tuera avec cette casserole si nous ne le faisons pas.»
«Ouais.» Dit Draco en sortant sa propre baguette. «J'aime bien son cran. Mais je ne veux pas qu'elle aille en prison pour meurtre.»
Ensemble, Harry et Draco firent un mouvement fluide avec leur baguette et Vernon et Dudley se retrouvèrent devant la porte d'entrée.
«Nous pouvons les maintenir à l'extérieur de la maison.» Assura Harry à Pétunia. «Ils ne reviendront pas avant notre départ.»
«Je reviens dans quelques minutes.» Dit Draco. «Je vais aller écrire à l'avocat. Harry je peux utiliser Hedwig ? Magus est déjà parti transmettre un message.»
Harry hocha la tête et Draco monta à l'étage. Ensuite, Harry se dirigea vers Pétunia et lui prit la casserole des mains pour la remettre sur le feu. Il la poussa sur une chaise et lui fit ensuite une tasse de thé. Alors qu'il posait le thé sur la table, Albus apparut dans la cour arrière.
«Harry ?» Dit Albus en entrant par la porte de derrière. «J'ai senti ta magie. Est-ce que tout va bien ?»
«Nous avons juste empêcher tante Pétunia de tuer oncle Vernon.» Répondit Harry. «Il s'est remis à nous insulter et elle l'a frappé plusieurs fois avec la poêle à frire. Draco et moi avons estimé qu'il valait mieux faire sortir Vernon et Dudley des lieux. Ce sont eux qui frappe à la porte d'entrée.»
«Mais, toi et Draco n'êtes pas blessés, n'est-ce pas ?» Demanda Albus.
«Nous allons parfaitement bien.» Dit Harry. «Tante Pétunia a demandé le divorce. Draco est en haut en train d'écrire une lettre à un avocat qu'il connaît. Peut-elle venir avec nous en Amérique ?»
«Si elle choisit de le faire, alors oui.» Dit Albus. «En fait, ce ne serait pas une mauvaise idée. J'ai besoin de te parler avec Draco.»
«Je vais aller le chercher.» dit Harry en se levant et en quittant la cuisine.
«Pétunia.» Dit Albus. «Tu es sûr de ce que tu fais ?»
«J'en ai marre que ce gros salaud rabaisse ma famille, Albus.» Dit-elle. «Je n'ai jamais détesté Lily et James. J'ai toujours voulu être une mère pour Harry. Vernon ne m'a pas laissé faire. J'ai fait de mon mieux pour lui donner de la nourriture et des choses quand Vernon ne regardait pas.»
«Tu te rends compte que les américains à qui j'ai demandé de surveiller les garçons sont des vampires, non ?» Demanda Albus.
«Oui, j'ai entendu tout cela la dernière fois.» Dit Pétunia. «Tant que Harry et Draco sont en sécurité, je m'en fiche.»
Albus ricanait lorsque Drago et Harry entrèrent dans la cuisine.
«Nous devrions avoir des nouvelles de l'avocat cet après-midi.» Dit Draco. «J'ai demandé qu'il se dépêche. Nous savons que le temps est compté. Je suis sûr qu'il aura réglé votre divorce avant notre départ pour l'Amérique.»
«Merci Draco.» Dit Pétunia.
«Vous vouliez nous parler, professeur ?» Demanda Harry.
«Oui.» Dit Albus. «Asseyez-vous, s'il vous plaît.»
Les deux garçons s'assirent et attendirent pendant qu'Albus rassemblait ses pensées.
«Le 30 juillet, nous irons au Chemin de Traverse.» Dit Albus. «Nous allons clarifier le testament de Sirius et mettre de l'ordre dans vos comptes.»
«Ok.» dit Harry en hochant de la tête avec Draco.
«Draco, tu connais déjà le contenu de ton coffre-fort.» Dit Albus. «Harry, tu ne sais pas encore tout ce que tu possèdes. Je vais donc vous demander à tous les deux si vous souhaitez que je sois votre mandataire pour vendre tout bien indésirable que vous possédez tous les deux. En tant que ministre de la magie, je peux m'assurer qu'ils soient vendus rapidement et à un bon prix. L'argent sera ajouté à vos comptes et vous n'aurez plus à faire des allers-retours en Europe à chaque fois qu'une maison sera vendue.»
«Pourquoi pas.» Déclara Harry. «Vous savez que vous avez toute ma confiance. Une fois que je serai parti, je ne veux pas revenir.»
«Je suis d'accord avec Harry.» Déclara Draco. «Je ne veux pas revenir. Alors je suis d'accord aussi.»
«Excellent.» Dit Albus en sortant quelques documents. «Si vous pouviez tous les deux signer ces documents, je m'en occuperais. Maintenant Draco, ta chambre forte contient actuellement 568 millions de galions. En transférant cela en argent américain, cela signifie que tu auras également cette somme. Avec toutes les maisons que tu possèdes, je peux dire sans risque que ton argent va doubler. Les entreprises, partenaire avec ta famille garderont un approvisionnement en argent avec ton compte.»
«Ça me semble juste.» Dit Draco. «Faites ce que vous devez faire.»
Albus acquiesça.
«Harry.» Dit Albus. «Dans ton coffre-fort, tu as environ 300 millions de gallions. Lorsque tu auras 16 ans, tu hériteras du reste de la fortune Potter ainsi que de la fortune Evans. De plus, Sirius t'a laissé la fortune de la famille Black.»
«Alors, de combien d'argent parlons-nous ?» Demanda Harry.
«Disons que...» Dit Draco en riant. «...J'aurai l'air d'un pauvre comparé à toi.»
«Impossible.» Dit Harry. «Il n'est pas sérieux, n'est-ce pas ?»
«Je crois qu'il l'a exprimé très clairement.» Déclara Albus. «Tu ferais passer Bill Gates pour un pauvre.»
«Vous parlez de ce gars dans l'informatique ?» Demanda Harry.
«Le seul et l'unique.» Dit Pétunia.
«Wow.» Dit Harry. «C'est beaucoup d'argent.»
«Nous ne devons pas oublier toutes les entreprises dont font partie la famille Potter, ainsi que la famille Black.» Dit Albus. «Ils continueront également à ajouter de l'argent sur ton compte.»
«Alors, y a-t-il une branche de Gringotts en Amérique ?» Demanda Harry.
«Oui.» Dit Albus. «Je demanderai à Carlisle de vous y emmenez lorsque vous arriverez. Carlisle était un moldu avant d'être un vampire. Il ne pourra donc pas voir la banque. Je ne peux que lui donner l'emplacement. Vous ne devriez pas avoir de problème pour trouver l'endroit une fois que vous y serez.»
«Cela semble raisonnable.» Déclara Harry.
Hedwig entra dans la pièce et tendit la jambe à Draco. Il l'a remercia en lui donnant une friandise et ouvrit la lettre.
Cher M. Malefoy,
Je vous remercie d'avoir à nouveau fait appel à mes services. Je peux faire divorcer Mme Petunia Dursley et M. Vernon Dursley en l'espace d'une semaine. Je vais faire en sorte que cela se fasse rapidement.
Sincèrement
Raymond Richards
Draco remit la lettre à Pétunia. Quand elle lut la lettre, elle sourit.
«Nous pouvons le faire venir ici.» Dit Draco. «Dis à Vernon qu'il peut tout avoir et je suis sûr qu'il signera les papiers. S'il ne les signes pas, alors nous trouverons comment l'y obliger.»
«Je vais pouvoir vous aidez.» Déclara Albus en souriant. «Aimeriez-vous tous les trois faire du shopping aujourd'hui pour de nouveaux vêtements ? Harry va devoir s'acheter des vêtements à sa taille. J'ai pris la liberté de parler à Griphook pour vous et il m'a demandé de vous transmettre ceci. Cela fonctionne comme une carte de crédit. Je vais acheter vos billets d'avion pour Forks. Vous devriez recevoir vos billets par hibou dans quelques jours. Il y a un Auror dehors avec un véhicule si vous voulez tous les trois faire du shopping.»
«Et Draco ?» Demanda Harry. «Est-ce qu'il a une carte de crédit ?»
«J'en ai déjà une.» Dit Draco en sortant la sienne et en la montrant à Harry. «Merci beaucoup de t'inquiéter pour moi.»
«Allez tante Pétunia.» dit Harry avec enthousiasme. «Allons faire du shopping. Je t'achèterai tous les vêtements que tu veux. Apporte ton grand sac à main. On peut rétrécir tous les sacs et les mettre dans ton sac à main.»
Pétunia regarda Albus qui se retenait de rire face à l'excitation de Harry.
«Je pense que c'est un bon événement pour créer des liens.» Dit Albus. «Va t'amuser pour une fois dans ta vie, ma chère. Cela te fera du bien.»
Elle hocha la tête pendant qu'Harry lui prenait la main et la conduisait vers l'armoire pour qu'elle puisse saisir son grand sac à main. Elle rit lorsqu'il l'a tira vers la porte d'entrée. Albus éclata de rire en verrouillant la porte avec un sort de protection que Harry ou Draco pouvait ouvrir.
«Ah la jeunesse.» Déclara Albus avec un petit rire en retournant au Ministère.
«Edward.» Demanda Alice. «Es-tu sûr que ça va ? Tu sais que je ne peux pas contrôler les visions quand elles arrivent.»
«Alice.» Répondit-il. «Si tu me demandes si ça va encore une fois, je t'arrache la tête et l'enterre dans la cour. Je vais bien. Je ne m'attendais pas à voir que je vais enfin rencontrer quelqu'un qui me convienne.»
«Fils.» Dit Esmée en s'approchant et en l'embrassant. «Ce n'est pas grave si c'est un jeune homme. Tant que vous êtes heureux tous les deux, c'est tout ce qui compte. Si c'est lui, alors je te suggère d'agir en conséquence. Vas-y doucement. D'après ce que ton père nous a dit, il a été blessé, battu, affamé, et a subi beaucoup d'autres choses dans sa vie.»
«J'irais doucement.» Dit Edward. «Et l'autre qui vient avec lui ?»
«C'étaient des ennemis.» Répondit Carlisle. «Albus a dit qu'ils étaient enfin devenus amis.»
Alice était assise là, tranquille, les yeux écarquillés.
«Qu'est-ce qu'il y a Alice ?» demanda Jasper. «Qu'as-tu vu ?»
«La vision a légèrement changé.» répondit-elle. «Il y a une femme qui vient avec eux. C'est arrivé comme ça.»
«Est-elle magique comme les garçons ?» Demanda Rosalie.
«Non.» Dit Alice. «Elle est apparentée à Harry. Elle est la sœur de sa mère décédée.»
«Ce pauvre petit gars a traversé l'enfer, n'est-ce pas ?» Demanda Emmett. «Pas étonnant qu'il soit comme il est. Nous devons juste l'aider du mieux que nous pouvons.»
«Je suis d'accord.» dit Edward.
Harry, Draco et Pétunia était en virée shopping. Les garçons avaient achetés cinquante nouvelles tenues chacun. Pétunia avait décidé de faire des folies et s'était également acheté beaucoup de nouveaux vêtements. Après avoir fait les magasins de vêtements, le trio s'était rendu au magasin de chaussures. Ils avaient acheté une douzaine de paires de chaussures chacun. De là, ils s'était assis et avaient déjeuné. Ils passaient un moment merveilleux. Ils étaient allés au magasin de bagage où chacun avaient achetés une grande valise.
«Nous pouvons leur mettre un sort pour qu'elles contiennent toutes nos affaires.» dit Harry. «Ensuite, nous pouvons rajouter un sort sur les valises pour qu'elles ne soient pas lourdes. Nous pouvons même les rétrécir et les mettre dans notre poche.»
«Ça serait étrange si nous arrivions dans un nouveau pays sans bagages, non ?» Demanda Pétunia.
«Oh oui.» Dit Harry. «Je n'avais pas pensé à ça. Nous irons en Amérique avec une valise chacun. Nous pourrons acheter une grande maison quand nous y serons. Peut-être qu'on peut demander à Esmée de nous en concevoir une. Albus a dit que c'est son métier.»
«Peut-être qu'elle peut nous en construire une pas très loin de la leur afin que nous n'ayons pas à cacher notre magie.» Déclara Draco.
«Tout ce que nous avons à faire, c'est lui demander.» Déclara Pétunia. «Le pire qui puisse arriver, c'est qu'elle refuse.»
«C'est vrai.» Déclara Harry. «Cependant, s'ils sont aussi gentils que le professeur Dumbledore le dit, je doute qu'elle dise non.»
Draco acquiesça. Lorsqu'ils eurent fini de manger, ils s'achetèrent quelques vestes et retournèrent à la voiture qui les attendaient. L'Auror les déposa à la maison, leur fit un signe de tête et partit. Harry enleva rapidement le sort de protection et ils entrèrent dans la maison.
«Je veux que tous ces vêtements soient lavés avant qu'on les mette dans les valises.» Déclara Pétunia. «Donc si on s'entraide, nous pouvons le faire rapidement.»
Les deux garçons acquiescèrent d'un signe de tête. Harry défit les sacs tandis que Draco agrandissait les valises et jetait les sorts dessus pour qu'elles puissent tout contenir une fois le linge propre.
«Dobby.» Appela Harry.
Avec un petit pop, l'elfe apparut.
«Harry Potter monsieur.» Dit Dobby. «Qu'est-ce que Dobby peut faire pour vous aujourd'hui ?»
«Es-tu capable d'apparaître n'importe où dans le monde ?» Demanda Harry.
«Tout ce que vous avez à faire, c'est d'appeler mon nom et je serai là.» dit Dobby.
«Nous déménageons en Amérique.» Déclara Harry. «J'aimerais que tu viennes avec nous.»
«Harry Potter veut que Dobby vienne avec lui ?» Demanda l'elfe.
«Oui.» Déclara Harry. «J'aimerais que tu viennes avec nous. Maintenant que tu n'es plus lié à personne, je peux te laisser porter quelque chose de joli pour que tu ne te fasses pas trop remarquer. Seulement si tu es intéressé.»
«Dobby ferait n'importe quoi pour son Harry Potter.» Dit l'elfe.
«Hé.» Dit soudainement Draco. «Et pourquoi pas, cet elfe de maison nommé Winky ? Peut-être qu'elle aimerait venir avec nous aussi.»
«C'est une bonne idée Draco.» Dit Harry. «Dobby, tu vas lui demander pour moi ?»
«Bien sûr, Harry Potter.» Dit Dobby.
L'elfe sourit et disparut.
«Je crois que je connais cet elfe.» Déclara Pétunia. «Il était dans mon champ de vision juste avant que le gâteau ne touche le sol.»
«Oui.» Dit Harry. «C'est lui.»
Quelques minutes plus tard, Dobby et Winky étaient de retour. Les deux elfes avaient accepté d'accompagner le trio en Amérique.
«Nous avons beaucoup de lessive à faire.» Dit Harry. «Pourriez-vous nous aider ?»
«Laissez-nous faire Harry Potter.» Dit Winky. «Nous allons nous en occuper pour vous.»
«Je pense que nous devrions acheter tous nos livres de sixième et septième année pendant que nous sommes au Chemin de Traverse.» Dit Harry. «Même si nous n'allons plus à l'école, il serait quand même bénéfique pour nous d'étudier.»
À ce moment-là, un paquet apparut sur la table de la salle à manger. Une lettre y était jointe.
Cher Harry et Draco
J'ai pris la liberté de vous envoyer les livres dont vous auriez eu besoin pour la sixième et la septième année si vous étiez allés à Poudlard. J'espère sincèrement que vous pourrez tous les deux travailler ensemble pour maîtriser les sorts et apprendre ce qu'i l'intérieur.
Avec tout mon cœur
Albus Dumbledore
«Je suppose que cela répond à ta question.» Dit Pétunia en riant. «Tu devrais les amener à l'étage et je commencerai à préparer le dîner.»
«Oh non, Maîtresse.» Dit Dobby. «Dobby va préparer le dîner. Vous avez besoin de vous reposer. Dobby vous appellera quand le dîner sera prêt.»
Pétunia regarda Harry et Draco qui haussèrent les épaules et sourirent.
Au cours des deux semaines suivantes, la maison connut un regain d'activité. Harry, Draco et Pétunia étaient occupés à tout préparer pour partir. Vernon avait été autorisé à entrer dans la maison juste assez longtemps pour signer les papiers du divorce avant que Harry et Draco ne l'expulsent à nouveau jusqu'à ce qu'ils soient prêts à partir. Lorsque le trio fut prêt, un Auror vint à la maison et les conduisit au Chaudron Baveur. Albus avait lancé un sort sur la vue de Pétunia assez longtemps pour qu'elle puisse entrer à l'intérieur. Tom les conduisit à leur chambre. Après avoir posé leurs sacs, le trio retourna en bas. Albus les attendait patiemment.
«Pouvons-nous y aller ?» Demanda Albus.
Harry et Draco hochèrent la tête. Avec Pétunia, le trio se dirigea vers la sortie où Albus ouvrit le mur menant au Chemin de Traverse. Pétunia était émerveillée par tout ce qu'elle voyait. Ils se dirigèrent vers Gringotts. Deux heures plus tard, tous les papiers étaient signés et ils étaient prêts à partir. Harry était en effet un homme très riche. Une fois leur travail à la banque terminé, Albus leur dit que leur voiture arriverait le matin pour les emmener à l'aéroport, puis il partit. Ils hochèrent la tête et décidèrent de faire des achats de dernière minute. Ils se rendirent chez l'apothicaire et firent des provisions d'ingrédients pour les potions. Ils allèrent à la librairie où ils prirent leur temps pour choisir les livres. Ils achetèrent de nombreux livres traitant de différents sujets. Draco préférait les livres de potions tandis que Harry préférait ceux sur les défenses contre les forces du mal. Ils achetèrent des livres sur les sorts avancés ainsi que beaucoup d'autres.
«Tout cela va me manquer.» Confia Harry à Draco ce soir-là lors du dîner.
«Moi aussi.» Dit Draco. «Mais il faut regarder le bon côté des choses. Nous n'avons plus besoin de participer à la guerre.»
«C'est une très bonne chose.» Dit Harry en riant.
Ils finirent de manger et se dirent bonne nuit. Ils avaient un long vol le lendemain et ils voulaient se reposer. Dobby rangeait les livres d'Harry dans sa valise tandis que Winky faisait de même avec ceux de Draco. Les deux jeunes hommes remercièrent les elfes puis ils allèrent se coucher.
Le lendemain matin, ils prirent leur petit déjeuner et sortirent de la maison. L'Auror les attendait à l'entrée. Ils montèrent dans la voiture et l'Auror les conduisit à l'aéroport. Ils jetèrent tous les trois un dernier coup d'œil autour d'eux, puis ils entrèrent dans l'aéroport pour prendre leur vol vers leur nouvelle vie.
A SUIVRE...
