Disclaimer : Rien ne m'appartient, tout est à JKR ou à Polaris, sauf la traduction
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Chapitre 7 : Doutes------
Harry se réveilla tardivement le jour suivant, parce que, grâce à son charme de silence, sa tante n'avait pas été capable de le réveiller, et il était heureux de ça. Lentement, il s'habilla dans ses habituels vêtements récupérés, remarquant qu'ils étaient trop petits pour lui, mais encore assez grands. Puis il se leva, et descendit les escaliers. La famille entière était assise dans la cuisine, et ils levèrent les yeux lorsqu'il entra. En silence, il ignora son oncle lorsqu'il se leva, avec un visage déjà pourpre, se tenant calmement devant lui, il lui tendit la lettre. « Lis ça avant de commencer à crier. » Il regarda son oncle lire la lettre, et devenir plus pâle. Alors, l'homme obèse déchira la lettre en deux, et tourna ses yeux effrayés vers lui. « Je ne permettrais pas ça ! »
Harry le regarda calmement. « Ce n'est pas comme s'il y avait quelque chose à faire. Et s'il y a des problèmes, je serai plus qu'heureux d'en faire part à mon parrain pour vous. »
A ce moment-là, il pensa que l'autre homme allait s'évanouir. Mais, à la fin, il s'en remit, et s'assit, commençant à parler avec sa femme et son fils à voix basse. Il prit un verre de jus et fut sur le point de sortir de la cuisine lorsqu'une douleur horrible parcourut son corps. Le son de verre brisé surprit les Dursley, les sortant de leur conversation juste à temps pour voir leur neveu tomber, ses yeux fermés sous la douleur. La seule chose dont Harry était conscient, était la douleur qui passait dans son corps, et le son de quelqu'un en train de crier. D'abord, il pensa qu'il faisait l'horrible bruit, mais il remarqua vite que sa bouche était bien fermée. Ouvrant ses yeux légèrement, il fut capable de voir les jambes de ses relatifs pressés contre le mur le plus éloigné. Lentement, tout commença à avoir du sens, et les cris venaient de son oncle, demandant à ce qu'il arrête ce qu'il était en train de faire. La douleur quitta finalement son corps, et il sortit sa baguette de sa poche et se leva lentement, posant tout son poids sur une chaise en bois. Cillant, il tourna son regard vers sa soi-disant famille, et ne put s'empêcher de ricaner lorsqu'il remarqua leurs yeux horrifiés et leurs visages pâles.
Se remettant d'aplomb, Vernon commença à marcher vers lui, la rage visible dans ses yeux. Agissant par pur réflexe, Harry leva sa baguette vers lui, et le fit s'arrêter ainsi d'un coup. Dudley cria à nouveau, et rassembla finalement assez de courage pour courir par la porte et quitter la cuisine. Pétunia, quant à elle, se tenait figée contre le mur. Reprenant son souffle, Harry s'assit sur la chaise sur laquelle il s'était appuyé. Avec un tremblement des mains, il se servit un autre verre de jus, et tourna son attention vers sa tante. « Je m'excuse pour ça, je ne voulais pas changer en face de vous, mais je n'avais pas vraiment le choix. »
Harry fut à moitié surpris par sa voix, elle était plus basse qu'elle ne l'avait été, et ressemblait à celle de son père. Essayant de sortir cette pensée de sa tête, il reporta son attention vers sa tante qui s'était placé à côté de Vernon, évanoui. « Ne t'inquiète pas, il va se réveiller dans quelques instants. » Se levant, l'adolescent soupira, et leur fit un signe de tête. « Je monte pour voir à quoi je ressemble maintenant. Ne m'ennuyez pas et je ne vous ennuierais pas. »
Sortant de la cuisine, il fut conscient qu'il aurait pu en faire plus aux Dursley, il aurait pu prendre sa revanche après toutes ces années, mais quelque chose en lui ne le voulait pas vraiment. Du moment où on le laissait tranquille, il ne voyait pas le besoin de faire quelque chose. Entrant dans sa chambre, il alla immédiatement vers le miroir qu'il avait placé la nuit dernière, voulant savoir à quoi il ressemblait. L'image que rencontrèrent ses yeux était stupéfiante. La première chose qu'il remarqua, c'était qu'il avait certainement grandit. Il était maintenant probablement aussi grand que Ron, et ses membres plus longs. Il était aussi fin qu'auparavant, mais maintenant, cela paraissait pire à cause de sa taille. Ses traits étaient devenu plus dur, miroitant ceux de son père, mais il avait gardé les yeux et le nez de sa mère. Ses cheveux étaient plus clairs qu'ils ne l'avaient été, il pouvait y voir une petite teinte rouge, et ils atteignaient maintenant ses épaules. En fait, Harry décida qu'il n'était pas si mal. Il ressemblait certainement au professeur Snape, mais il n'était pas sa copie conforme, beaucoup de ses traits étaient ceux de sa mère, et d'une certaine façon, cela semblait mieux.
Soupirant, il s'installa sur sa chaise, et tourna son esprit vers les Dursley, se demandant pourquoi il n'avait rien fait. Cela faisait mal d'admettre que, même s'il ne les aimait pas, il l'avait accepté lorsque son propre père ne l'avait pas fait. Avec résolution, il sortit un livre de sous son lit, il faudra qu'il se souvienne de prendre sa malle lorsqu'il sortira de sa chambre. Il ouvrit son livre, il ne voulait pas penser à l'homme, il ne devrait pas penser à l'homme. Il sera toujours son professeur, et rien d'autres.
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Quelques jours plus tard, Harry était allongé sur l'herbe, lisant son texte de Métamorphose, lorsqu'il fut surpris par l'ombre de quelqu'un au-dessus de lui. Levant les yeux, il fut confronté par le visage pâle d'une jeune fille. De ce qu'il pouvait voir, elle était belle, avec des yeux bleus, de longs cheveux blonds et des traits pâles. S'asseyant, il regarda de plus près le visage souriant, elle ressemblait beaucoup à une Malfoy. Son esprit s'arrêta à cette dernière pensée.
Prenant une profonde inspiration, il la regarda à nouveau, et dit doucement. « Chiara ? »
Le sourire de la jeune fille s'agrandit. « Tu es très beau, Zack. »
Le garçon se mit sur ses pieds, et l'étreignit fermement. « Tu es très belle aussi, Chi. »
La jeune fille poussa un petit rire. « Merci. Qu'est ce que tu lisais ? »
Harry haussa des épaules, et se rassit. « Juste de la Métamorphose, ce n'est pas comme si j'avais beaucoup à faire par ici. » Il s'interrompit un moment avant de demander. « Que fais-tu là Chiara ? »
La jeune fille resta silencieuse pendant un instant. « Mes parents cherchent une maison. »
Harry leva un sourcil. « Pourquoi? »
La jeune fille le regarda attentivement. « Nous avons vécu là pendant plusieurs d'années, Zack. Comment peut-on expliquer aux Muggles que sa fille semble soudainement complètement différente ? Pas seulement ça, mais nous attirerions trop d'attention. »
Harry acquiesça, comprenant. Bien sûr, une telle chose n'allait pas seulement attirer l'attraction du monde sorcier, mais aussi de Voldemort. « Donc, vous cherchez une maison par ici ? »
Hermione lui fit un sourire et acquiesça. « Oui, mes parents m'ont demandé si j'avais une préférence particulière, et puisque je pouvais choisir, j'ai demandé un endroit proche de toi ou de Ron. Il semblerait qu'il n'y ait aucun village muggle près de l'endroit où vit Ron, donc, nous sommes venus voir ici si nous pouvions trouver quelque chose. »
Ils restèrent silencieux pendant un moment avant que Hermione ne parle à nouveau. « Donc, tu n'as pas répondu à ma question dans la lettre que tu m'as renvoyé. Est-ce que tu as entendu quelque chose de ton père ? »
Harry se tendit à côté d'elle. « Non. »
Hermione le regarda et hocha de la tête, comprenant la profonde tristesse et la douleur qui se montraient dans ses yeux. « Je vois. »
Regardant de plus près, elle remarqua que les vêtements qu'il portait lui allaient encore moins qu'avant. Souriant à sa soudaine idée, elle prit sa main, et le força à se lever. Harry perdit un peu l'équilibre avant de le regagner. « Chiara ! Qu'est ce que tu fais ? »
La jeune fille rit, et commença à l'éloigner de la maison. « Nous allons t'acheter quelques vêtements décents. »
Harry rougit un peu mais commença à essayer de se libérer d'elle. « Mais Chi, je n'ai pas d'argent ici, et encore moins de l'argent muggle ! »
La jeune fille haussa ses épaules. « Peu importe, nous en demanderons un peu à mes parents, tu pourras nous le rendre lorsque nous irons à Diagon Alley. »
Harry essaya d'en dire plus, mais son amie ne voulait pas l'écouter et continuait simplement à marcher.
Aucun ne vit qu'ils dépassèrent une vieille dame alors qu'ils allaient rejoindre les parents de Hermione. La femme les regarda avec perplexité, se demandant qui ils étaient puisqu'elle ne les avait jamais vus auparavant, et ils lui semblaient familiers. Après qu'elle ait vu le duo disparaître au coin de la rue, elle jeta un coup d'œil à la maison d'où ils venaient de sortir. Son expression placide se transformant en un froncement, lorsqu'elle remarqua que c'était la maison des Dursley. Elle n'avait pas vu Harry depuis quelques jours, et la soudaine apparition des deux adolescents inconnus la rendaient nerveuse. Elle retourna rapidement à sa maison, elle devait avertir Dumbledore, spécialement depuis qu'elle avait trouvé pourquoi les deux adolescents semblaient si familiers. Elle pouvait jurer que la jeune fille était une Malfoy. Elle avait les mêmes yeux et les mêmes cheveux que Lucius, mais ses traits n'étaient pas les mêmes. D'un autre côté, le garçon lui rappelait fortement Severus Snape. Oui, elle devait parler à Dumbledore.
Utilisant le portoloin d'urgence qu'elle gardait toujours dans sa maison, elle arriva à Hogsmeade, et commença le court chemin vers le château. Une fois qu'elle fut entrée, elle remarqua l'heure, et elle se dirigea vers la Grande Salle, puisque tout le monde devait être en train de déjeuner. Elle ne fut pas surprise de voir plusieurs personnes assises dans la Salle, la plupart des professeurs avaient décidé d'interrompre leurs vacances et de rester au château pour aider Dumbledore, en dehors de plusieurs Aurors, et d'autres membres de l'Ordre du Phoenix qui étaient assis là, parlant à voix basse. Tous arrêtèrent leur activité pour la regarder lorsqu'elle rentra avec précipitation. Le vieux directeur se leva lentement de son siège, se demandant clairement pourquoi elle était là.
« Bienvenue, Arabella, nous ne vous attendions pas. »
La vieille femme s'arrêta devant lui, et hocha légèrement de la tête, puis jeta un coup d'œil au Maître de Potions, qui la regardait sans intérêt. Elle ne pu s'empêcher de se demander ce que ces yeux noirs cachaient.
« Arabella ? »
Elle reporta son attention sur Dumbledore. « Je m'excuse. Quelque chose de vraiment étrange est arrivé à Privet Drive aujourd'hui, Albus. »
Le vieil homme se renfrogna légèrement et lui indiqua de s'asseoir sur le siège vide de la table circulaire. « Est-ce que le jeune M. Potter est en danger ? »
La femme s'assit, et secoua légèrement sa tête. « Pas que je sache. C'est simplement, que j'ai vu deux adolescents étranges sortir de sa maison. »
Dumbledore leva un sourcil. « Le garçon est autorisé à avoir des amis, Arabella. »
La femme grogna. « Puis-je vous rappeler, Albus, que Harry n'a jamais eut d'ami muggle, jamais. Les Dursley se sont assurés de ça. »
Les yeux du directeur s'attristèrent un peu, et il se tint les mains. « Peut être qu'ils viennent pour le garçon des Dursley ? »
« Cela se pourrait, sauf que la jeune fille ressemble à une Malfoy. »
Elle venait d'attirer l'attention. Dumbledore avait maintenant le front plisser. « Une Malfoy ? Est-ce que vous en êtes sûr, Arabella ? »
La femme le vit regarder légèrement vers le Maître de Potions, mais le jeune homme ne sembla pas le remarquer, il devenait plus pâle de minute en minute, et il sembla se souvenir de quelque chose. Se tournant vers le vieil homme, elle acquiesça. « Oui, très sûr. Qui ne reconnaît pas ces cheveux ? »
Dumbledore se tourna vers son maître de potions. « Severus, est-ce que tu sais qui cela pourrait être ? Je n'étais pas au courant que les Malfoy avaient une fille dans leur famille de l'âge de Harry. »
Le jeune homme sortit de son humeur pensive, et le regarda avec ses yeux noirs. Dumbledore se renfrogna, suivant les pensées de l'homme, et d'une douce voix, il essaya de le réconforter. « Severus, Dalila est morte il y a très longtemps, vous vous en souvenez ? Cela ne peut pas être elle. »
Severus leva légèrement ses yeux au ciel, mais ignora ses mots, se tournant à la place vers la femme. « Et le garçon, Arabella ? »
La femme bougea, mal à l'aise « Le garçon te ressemblait, Severus. »
Le Maître de Potions acquiesça, mais il ne sembla pas surpris par les nouvelles. Dumbledore, de l'autre côté, semblait de plus en plus inquiet. Tous les autres le regardaient silencieusement. Beaucoup savaient ce que c'était, ils étaient tous au courant pour les enfants de Severus, et leur fin tragique.
La voix ferme de Dumbledore brisa le silence. « Severus, ces deux adolescents ne peuvent pas être Dalila et Darrick, ils sont morts. »
Le vieil homme sembla inquiet pour le maître de potions, qui s'était maintenant levé. Le jeune homme se tourna vers lui, une étincelle dans ses yeux noirs, et un petit sourire sur ses lèvres, ce qui rendit encore plus mal à l'aise Dumbledore.
« C'est rassurant de savoir que je peux encore vous cacher des choses Albus. »
Tous se renfrognèrent. « Que veux-tu dire, Severus ? »
Le jeune homme ne répondit pas, à la place, il prit sa cape, et la posa sur ses épaules, ayant clairement l'intention de partir. Dumbledore se leva aussi, se demandant comment il pouvait convaincre l'autre homme que son fils et sa fille ne pouvaient pas être en vie. Il était conscient de combien leurs morts avaient fait mal au jeune sorcier, mais il avait pensé que c'était fini. Avant qu'il ait la chance de dire quelque chose, les portes s'ouvrirent pour la seconde fois. Un étrange adolescent se trouvait là. Arabella remarqua qu'il ressemblait beaucoup à la jeune fille qu'elle avait vu il y a à peine une heure. Le jeune homme semblait être en état de choc, et ses yeux n'arrêtaient pas de bouger. Ses yeux se fixèrent finalement sur les yeux sombres du maître de potions, et il courut dans ses bras.
« Oncle Sev ! Papa a dit que je n'étais pas son fils, pourquoi est-ce qu'il a dit ça ? Pourquoi est-ce que j'ai changé ? Je lui ai demandé, mais il a dit que si je voulais savoir, je devais venir te parler. Il a dit qu'il me déshériterait si je venais, mais j'ai besoin de savoir la vérité, s'il te plait, oncle Sev, qu'est-ce qu'il se passe ? »
Tout le monde était figé, allant lentement vers la même conclusion. Severus était le seul qui ne montrait aucun surprise, à la place il sembla énervé, murmurant combien les Malfoy étaient idiots, alors qu'il étreignait le garçon contre lui.
Le vieux directeur se rassit lourdement, et regarda l'adolescent. « Severus ? »
Le jeune homme leva les yeux, mais sa grimace fut remplacé par un sourire. « Mmh, est-ce que vous saviez que Lucius Malfoy était incapable d'avoir des enfants ? »
Beaucoup de regards incrédules regardèrent ses yeux amusés. Dumbledore le regarda surprit. « Tu veux dire que c'était Lucius qui a tué… »
Les yeux de Severus devinrent tristes, et il baissa les yeux vers son filleul. « Oui. Lucius avait besoin d'un héritier, et puisqu'il ne pouvait pas en avoir un par lui-même, il a décidé de prendre le fils de sa sœur. D'abord, il lui a demandé de lui donner Darrick, mais elle a refusé, et cela a causé sa mort. »
Dumbledore secoua sa tête. « Tu le savais pendant tout ce temps… »
Snape le regarda, furieusement. « Et qu'aurai-je pu faire ? Voldemort a approuvé, et si j'avais été contre lui, vous n'auriez pas seulement perdu votre seul espion, mais je serai également mort. Et après Voldemort, est-ce que vous pensez honnêtement que quelqu'un me croirait face à Malfoy ? » Caressant les cheveux du garçon, il continua d'une voix douce. « Et même si je ne le voulais pas, je savais que Darrick aurait une bonne enfance avec Lucius, peut-être même meilleure que celle que j'aurai pu lui donner. »
Remus, qui était resté assis silencieusement jusqu'à maintenant, parla. « Alors, la fille que Arabella a vu était Dalila ? »
Snape acquiesça légèrement. « Probablement. » Assumant qu'ils voulaient une explication, il continua. « Lucius ne voulait et n'avait pas besoin de Dalila, donc Voldemort me l'a rendu avec l'ordre de la tuer, après tout, son apparence montrerait que les enfants n'étaient pas morts, et tout le monde commencerait à se poser des question sur le fils Malfoy. »
Remus grimaça. « C'est horrible. »
Snape leva les yeux au ciel. « Nous parlons de Voldemort, Lupin, il est fou. Je n'ai visiblement pas pu la tuer, donc je l'ai mis dans un orphelinat muggle, sachant qu'elle était encore jeune, et qu'elle avait une bonne chance d'être adoptée. D'abord, je suivais sa trace, mais j'ai vite décidé qu'elle serait plus en sécurité si je ne savais pas, de cette façon, personne ne pourrait me faire révéler où elle était. »
Dumbledore se renfrogna. « Comment as-tu dissimuler son apparence ? Il serait facile de la suivre si elle ressemblait à une Malfoy. En plus, le jeune Monsieur Malfoy semble avoir également bien changé. »
Le front de Severus se plissa, ils étaient en train d'entrer dans des parties de son passé qu'il ne voulait pas raconter, en tous cas, pas encore. « Lily m'a aidé. »
Quelques têtes se relevèrent, Lupin fut le premier à parler. « Lily était au courant de ça ? »
Severus acquiesça avec reluctance. « Vous savez qu'elle était la meilleure en Enchantements. Elle a charmé Dalila, et s'est assuré que les charmes de dissimulation ne tomberaient pas avant son quinzième anniversaire. C'était hier. Je suppose que Lucius a fait de même avec Darrick pour le faire ressembler un peu plus à lui. »
Soupirant, il leva une main avant que quelqu'un ne puisse lui en demander plus. « Ecoutez, je comprends que vous avez beaucoup de question, et je peux déjà vous dire qu'il y a bien plus derrière l'histoire que vous connaissez, mais si je commence maintenant, je ne serais pas là pour aller chercher Dalila et son ami. Je veux simplement dire les choses une fois, et ils doivent également l'entendre. » Il grimaça légèrement. « J'aurai dû aller les chercher il y a longtemps, surtout Zack. Il me déteste probablement maintenant, ce n'est pas que je le blâme. »
Dumbledore leva un sourcil. « Zack ? »
Severus acquiesça tristement. « Plus tard, Albus. » Se tournant vers l'autre garçon qui était encore accroché à lui, il parla doucement. « Est-ce que tu veux rester ici, ou est ce que tu veux venir avec moi ? »
L'adolescent se serra un peu plus contre lui. « Je veux venir. »
Severus acquiesça, et retira ses bras de sa taille, gardant une de mains du garçon dans la sienne. « Viens alors. » Se retournant, il bougea légèrement la tête. « Je serai bientôt de retour. »
Sans un autre mot, il quitta la salle, laissant derrière lui, un groupe confus et curieux.
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Conclusion… on est en train de se faire rattraper par la version anglaise… alors op… un p't click en bas de la page….
