Taku

Titre : Amour Impossible – Chapitre 10

Auteur : Taku

Genre : romance, shonen-ai, suspense

Base : Yugioh !

Note : Salut tout le monde ! Voici un nouveau chapitre qui doit être attendu par certaines personnes ! lol ! Je remercie Syt the Evil Angel, Onarluca, Chise, Sogna, LunaDream, Thealie, Sarya13, Obscura, Golden Sun 17, Zick, Mickaelle et Magical Girl Kiki.

Syt the Evil Angel : lol ! Patience, car, dorénavant, la suite sera toutes les deux semaines ! Tu sauras pourquoi à la fin du chap ! J'espère que ta patiente sera récompensée par ce chap ! Bonne lecture ! smile

Onarluca : Je suis toujours aussi contente que tu apprécies mes chaps ! J'espère que la suite sera à ton goût jusqu'au bout de l'histoire !

Chise : Hum ! Une fin heureuse ? Huuummmmm, je ne sais pas ! lol ! Ca dépendra de mon humeur ! smile.

Sogna : Désolée mais ta réponse ne se trouvera pas dans ce chap, et elle ne sera pas non plus dans le chap suivant ! Faudra attendre encore un peu, désolée !

LunaDream : Hé bé ! On dirait que certaines apprécient mon Atemu malgré qu'il soit psychopathe ! lol ! C'est ce qui fait son charme ! Eh oui, Yugi rêve toujours, toujours, mais toute route a une fin ! smile.

Thealie : Ben, ne boude pas ! lol ! C'est l'effet de surprise, et pis, je pense que tu dois savoir les sentiments de Jôno avec tous les indices que je sème ! smile ! Et puis, c'est vrai qu'avec un amoureux made in Atemu, faudra être sur ses gardes, on ne sait jamais ce qu'il peut lui traverser l'esprit ! lol ! Pour les noms des parents de Yugi, je les ai inventé, parce que je n'ai aucune idée comment se nomment réellement les parents de Yugi, car on n'en parle jamais dans l'anime.

Sarya13 : Ah bah, tu seras pas gâtée car, moi, j'adore mettre le suspense ! lol ! J'vais me faire tuer là…

Obscura : Je suis contente que ma fic te plaise tant ! La suite sera pour tout de suite, après que j'ai répondu au reviews ! lol !

Golden 17 : Lol ! Oui, c'est vrai que les autres vont le rencontrer, c'est sûr (bravo, ma fille ! Tu es bien une auteure ! smile.) mais où… Dans le monde de Yugi ou dans une autre chambre… ? Mystère…

Zick : Bah, c'est pas grave que tu ais loupé un chap, ça m'arrive aussi ! lol ! Ben dis donc, je n'aurai jamais imaginé qu'on pouvais bien aimé mon Atemu, mais, après mûres réflexions, c'est vrai qu'il nous touche malgré ses câbles ont pété ! lol

Mickaelle : Désolée, tu n'auras pas encore la fin de cette histoire, car il y a, en tout, 4 parties !

Magical Girl Kiki : lol ! T'es très futée ! C'est vrai que si je dois faire une fin heureuse, je pourrais très bien laisser Anzu dans son antre de torture mais Yugi sera très attristé et donc, ce ne sera pas une fin heureuse… si j'en fait une ! lol !

Et je voudrais mettre un petit mot pour Ambre : Malgré que tu ne sois plus là à cause de l'ordi, je veux te dire que j'attendrais le moment qu'il faudra pour se retrouver. Bisous ma fille ! smile

Amour Impossible

3e PARTIE

Chapitre 10 : Le diamant du Prince

Quartier Sud Ouest.

Nos cinq amis étaient, dorénavant, chez Akiiti. C'était une maison à deux étages, décorée de poteries et de fleurs cristallines. Ces derniers étaient éclairés par les doux rayons d'un soleil printanier qui entraient par les fenêtres mi-closes. Il y avait quelques bustes sculptés en pierre blanche polie, représentant des têtes inconnues. Les meubles étaient faits d'un bois clair, et le 1er étage devrait avoir ces mêmes meubles. Mais comme les voyageurs n'ont pas encore monté les escaliers, peut-être que la décoration était différente.

Tout le monde était assis autour de la table, avec un verre d'eau à la main, servi par Akiiti. Mais Jôno préférait être debout, à regarder par la fenêtre. Il était très penseur, ainsi que les quatre autres : donc Yugi était un prince dans ce monde féerique. Jôno fronça les sourcils, pour masquer sa tristesse : Yugi avait donc tout oublier ? Il l'avait oublié ? Le blond ne pouvait pas le croire. Un pointe d'espoir résistait, malgré tout, dans son cœur : Yugi n'avait pas oublié ses parents, donc, peut-être, qu'il n'avait pas oublié ses amis… Peut-être… Jôno espérait en tout cas.

Jôno, trop plongé dans ses pensées, ne remarqua pas que Seto le fixe du coin de l'œil. Après quelque moment d'observation, il ferma les paupières, hochant, tout doucement, la tête en signe de négation.

Après avoir bu une gorgée, Akiiti brisa le silence :

« Pardonnez-moi, mais avez-vous une inquiétude ? Je perçois une certaine mélancolie dans vos yeux. »

Seto ouvrit les yeux, et Jôno tourna la tête.

« Non, » répondit simplement Seto. « Nous réfléchissons à notre livre. »

« Ah… Mais ça me fait plaisir de vous rencontrer. Je suis si heureuse de rencontrer des voyageurs. »

« Pourquoi êtes-vous si enthousiaste ? » demanda Isis.

« C'est bien la première fois que des voyageurs entrent dans notre Aka, » répondit-elle, avec un petit sourire.

Tous furent surpris par cette réponse.

« Mais… Vous n'avez pas de contact avec le monde extérieur ? » demanda Malik.

« Non… Et nous n'en avons pas besoin. Nous, les habitants d'Aka, nous sommes tellement heureux que nous ne voulons rien d'autres. Nous n'avons pas besoin du monde extérieur. En dehors de nos murs, il y a la guerre, la tristesse, la famine, la cupidité due à l'argent… Nous préférons s'enfermer et vivre auprès de notre Famille Royale. »

« Comme Yugi… » murmura Jôno, pas assez bas pour que les autres ne puissent l'entendre.

« Le Prince Yugi ? » fit Akiiti, surprise. « Qu'a-t-il à voir avec tout cela ? Etes-vous au courant d'une chose que nous ignorons ? »

Jôno ne répondit pas, il regarda par la fenêtre. Face à ce silence, Isis parla à sa place :

« Nous sommes des amis de longue date de votre Prince, et nous voulons le rencontrer pour parler d'une certaine affaire. »

« Vous êtes ses amis ? J'ignorais que notre Prince avait des contacts avec le monde extérieur ? Mais cela ne fait rien. Notre Prince est très pur et j'observe qu'il n'est pas tombé sur de mauvaises personnes. J'en suis soulagée. Mais pour le rencontrer, il y aura un problème… »

« Lequel ? » insista Seto.

« Notre Prince ne sort presque plus de sa demeure depuis qu'il a hébergé un Esprit de la Nature. »

« Un quoi ? » lâcha Jôno, en se retournant.

« Un Esprit de la Nature, » répéta Akiiti. « Ce sont des êtres pacifiques et aux étranges dons qui demeurent avec la Nature. Notre Prince l'avait trouvé, à sa fenêtre de chambre, blessé par une flèche. Ce doit être un chasseur d'extérieur, car il y a une prime pour chaque Esprit tué. Mais, heureusement, l'Esprit en question l'avait semé et était atterrit chez notre Prince. La Famille Royale ont réussi à le sauver et, je ne sais pour quelques raisons, ils l'ont adopté. »

Isis fronça, légèrement, les sourcils, au grand étonnement de son petit frère.

« Est-ce que chacun des Esprits de la Nature symbolise un élément ? » demanda Isis, d'un ton grave.

« Oui… »

« Et quel élément incarne cet Esprit en question ? »

« Il symbolise les Ténèbres. »

Le cœur des cinq se serra par une soudaine appréhension. Est-ce que…

« Il s'appelle comment ? » s'écria Jôno, les poings serrés.

Akiiti fut encore surprise par son attitude si soudaine : on pouvait dire que le blond avait des sauts d'humeur.

« Il se nomme Yami… »

Y.YY.Y.YY.Y

Quartier Nord Ouest.

« C'est si étrange de vous observer, » ria la vielle femme. « Au moment que j'avais posé les yeux sur vous, je croyais que… Mais c'était une erreur de ma part. Vous lui ressemblez mais vous n'avez pas le même regard, ni la même voix. Je vous demande pardon pour mon idiotie. Vous devez être une personne de l'extérieur. C'est étrange ! Le bruit court que dans le Quartier Sud Ouest réside cinq voyageurs. C'est si étonnant de rencontrer des étrangers ! Oh, excusez-moi ! Vous devrez avoir faim après cette longue route. Je vais vous préparer de bonnes petites choses dont j'ai le secret ! »

La vieille femme descendit, lentement, les escaliers. Le voyageur aux yeux de braise était entrain de se laver le visage avec une longue serviette blanche en soie et une petite bassine, posée sur un meuble. Atemu arrêta, lentement, ses gestes puis se mit à regarder le plafond blanc.

« Blanc… Blanc… Toujours blanc… Sa couleur… L'opposée de la mienne… »

Il plissa son regard en faisant un étrange sourire.

« Les autres étaient donc ici ? Ils ne perdent pas leur temps. »

Il baissa la tête et vit son reflet sur l'eau. Il fronça les sourcils, en perdant son sourire. Ce n'était pas lui qu'il voyait ! Ce n'était pas sa véritable apparence ! C'était celle de l'autre ! Mais Atemu finit par sourire à nouveau. Il était dans un monde de rêve, et, malgré que ce rêve fût d'une grande puissance, il pouvait très bien mettre sa petite touche personnelle.

Il toucha, du bout des doigts, la surface de l'eau. Cette substance transparente brouilla le reflet d'Atemu. Peu de temps après, l'image se rétablit et… elle était différente. Atemu n'avait plus la même apparence : il avait une peau de couleur caramel, portait des habits égyptiens et des bijoux en or. Le Pharaon Maudit était bien là, que ce soit de corps ou d'esprit ! Il était totalement là ! Ce dernier fit un sourire énigmatique.

La vieille femme entra dans la pièce, avec un plateau en bois. En apercevant le dos du Pharaon, elle fit tomber son plateau, ainsi que la nourriture. Par ce bruit de fracas, Atemu se retourna violement. Sa cape rouge sombre dansait avec le vent qui pénétrait dans la salle par les fenêtres présentes. La vieille femme plaqua ses mains sur la bouche, les yeux écarquillés. Elle recula de quelques pas, tremblante.

« Cette… cette aura…, » souffla-t-elle. « Cet habit… cette allure princière… Non… »

Elle se retourna et était prête à descendre les escaliers, mais Atemu enroula la serviette autour de son cou à temps. Le Pharaon serra bien fort pour qu'aucun son ne puisse sortir de sa gorge, mais pas trop, pour qu'elle puisse mourir lentement. La vielle femme essaya de se débattre mais rien à faire : il avait plus de force qu'elle…

« Alors, vieille femme, » souffla Atemu à son oreille. « On est dans une position troublante et inconnue, n'est-ce pas ? Il ne faut pas avoir confiance au premier inconnu, car il peut être le Diable. Mais ne vous en faites pas, vous pensez que vous allez mourir mais vous ne partirez pas dans l'Autre Monde, car vous n'avez jamais existé… Vous êtes sortie, comme tout ce qui vous entoure, tout droit de l'imaginaire de mon amour… Mais il sera bientôt, de nouveau, à moi, même si je… Que vous arrive-t-il ? Vous êtes toute pâle et vos yeux sont si exorbités ? Manquez-vous d'air ? Arrivez-vous à entendre les sons ? Vous… »

« … Y… Yami… sortira… »

Atemu écarquilla les yeux pendant un bref instant, puis, mené par une immense colère et haine, il lâcha la serviette, prit la tête de la femme entre les deux mains puis lui brisa la nuque. Un bruit sec se fit entendre. Le Pharaon laissa le corps tombé, lourdement, sur le sol. Les yeux du jeune ado exprimaient une haine profonde. En regardant le corps inerte, il hurla :

« Qu'est ce que tu racontes, vieille folle ? Il n'a jamais existé ! Jamais, tu entends ! Ce n'était qu'une illusion ! Ce nom n'est qu'une pure imagination ! Je suis moi, pas lui ! »

Atemu respira bruyamment. Il mit ses mains sur ses paupières, tremblant légèrement. Après un bon moment, il laissa tomber ses bras le long de son corps, puis il regarda le corps, les yeux brumeux. Des minutes passèrent. Il poussa, avec son pied, le corps dans les escaliers… Le corps déballait les marches, avec un grand bruit, jusqu'à atterrir en bas.

Après cela, Atemu fixa le plafond, toujours avec les yeux brumeux et perdus.

« Amour… amour… J'ai besoin de toi… »

Y.YY.Y.YY.Y

Un jeune ado se réveilla en sursaut de son lit. Assis, il essuya, du revers de la main, la sueur qui perlait sur son front. Il avait fait un cauchemar… Cela faisait longtemps qu'il n'en avait pas fait… C'était étrange… Il n'arrivait plus à s'en souvenir… Tant pis ! Il se leva et ajusta son chiton blanc, brodé avec du fil d'argent, et mit ses scandales blancs et ses bijoux en argent : un bracelet sur chaque poignet, un collier et des anneaux autour des jambes. Et il mit un bijou, à l'annulaire, qu'il tenait énormément : une bague noire, gravée de deux ailes de démons dorés. L'ado embrassa le rubis qui était incrusté entre la paire d'ailes. Avec un sourire aux lèvres, il quitta sa grande chambre de couleur blanche.

Après avoir pris de nombreux couloirs et saluer les domestiques, il s'arrêta devant une immense porte en bois de chêne. Il tapa doucement puis entra.

Il se trouvait dans une immense chambre, identique à la sienne, sauf que la couleur dominante était le noir et le doré. Les fenêtres étaient grandes ouverts, laissant passer la douceur du vent. Au centre de la pièce se trouvait un très grand lit aux draps noirs et aux taies d'oreillers dorés. Une personne, lisant un livre, était assise, au milieu de lit, adossé contre plusieurs taies d'oreillers. Elle était habillée de la même façon que l'ado, sauf que son chiton était noir et que ses bijoux étaient en or. L'ado était heureux de le voir. Cette personne leva le nez de son livre puis posa son regard sur l'intrus. Il lui fit un grand sourire chaleureux.

« Yugi…, » souffla-t-il, posant le livre près de lui.

Yugi ferma la porte derrière lui puis se précipita vers le lit. Il sauta, littéralement, sur cette personne. Mais cette dernière n'était pas du tout surprise par cette attitude : elle le connaissait trop bien. Elle lui serra même dans ses bras, donnant, au passage, un baiser sur le front de Yugi. Ce dernier était au bonheur.

« Yami… Comment vas-tu ? » demanda Yugi, un immense sourire au lèvres.

« Très bien, après m'avoir écrasé, » répondit Yami, avec une touche d'humour.

Yugi se desserra de son étreinte, et, avec un petit sourire innocent, déposa un baiser sur la joue du ténébreux.

« C'est parce que j'étais content de te revoir… » déclara le Prince, les joues rosies.

Yami fit un sourire affectueux.

« Yami… J'ai fait un cauchemar… » murmura Yugi, sombrement.

Yami perdit, soudainement, son sourire et fronça les sourcils.

« Quel genre ? » demanda-t-il.

« Je ne sais plus… Il y a juste une chose que j'arrive à me souvenir : c'était une cape rouge sombre qui dansait avec le vent… C'est tout. »

Le visage de Yami était devenu sombre. Ses yeux rubis étaient cachés par ses mèches blondes. Le jeune garçon aux yeux d'améthyste était inquiet et surpris :

« Yami… ? »

Pour changer complètement de conversation, le ténébreux prit la main de Yugi et embrassa la bague noire.

« On dirait que notre Prince a gardé le cadeau de l'Esprit des Ténèbres, n'est-ce pas ? »

Yugi rougit, puis, voulant aussi changer de sujet, il prit aussi la main de son Yami : à l'annulaire se trouvait une bague blanche. Une aigue-marine se dressait entre une paire d'ailes d'ange en argent. Le Prince embrassa, à son tour, la bague blanche.

« On dirait que notre Esprit des Ténèbres a gardé le cadeau du Prince, n'est-ce pas ? »

Ils éclatèrent de rire. Après un moment de pure joie, ils arrivèrent à se calmer. Yami embrassa le bout du nez de Yugi. Ce dernier est rouge pivoine, et Yami en ria de ce portrait.

« C'est pas drôle ! » bouda Yugi. « Regarde ma tête, maintenant ! Tu le fais exprès, hein ? »

Yami hocha affirmativement la tête, avec un sourire coquin. Agissant comme un gamin, Yugi gonfla ses joues toutes rouges : un signe comme quoi il était pas content. Le ténébreux ria puis prit le boudeur dans ses bras. Ca avait stoppé, tout de suite, sa grimace.

« Je t'aime, Yugi, » dit Yami, devenu sérieux.

« Moi aussi, je t'aime, » répondit l'amoureux, en resserrant l'étreinte. « Yami, tu resteras avec moi ? »

Après cette question, Yami tourna la tête vers la fenêtre et regarda un morceau de la ville qu'il pouvait voir depuis son emplacement. Il fronça, légèrement, les sourcils.

« Yami ? Tout va bien ? »

Yami sortit de ses rêveries puis sourit tendrement à son petit ange.

« Oui… Je resterai avec toi… »

« Pour toujours ? »

« Pour toujours… »

« Promis ? »

« C'est promis, Yugi… »

Yugi fit un grand sourire innocent puis, en rougissant, déposa ses lèvres sur les siennes. Un long baiser suivit jusqu'à ce que les amoureux se séparent, pour regagner de l'oxygène. Ils restèrent là, à apprécier la chaleur de l'autre pendant un long moment.

« Désolé de casser l'ambiance mais je dois voir papa et maman, » dit Yugi, timidement. « Je leur ai promis de les voir avant le coucher du soleil. »

Yami ria doucement puis souffla tendrement à son oreille :

« Ce n'est pas grave… Va rejoindre tes parents… Je t'attendrai… »

Le souffle chaud chatouilla l'oreille de Yugi, le faisait ainsi frissonner. Yami décida d'arrêta son petit jeu coquin et fit un léger baiser sur les lèvres du Prince.

« A plus tard… »

« A plus tard, Yami ! » s'exclama Yugi souriant. Il se leva du lit et partit de la pièce, en prenant bien soin de faire un clin d'œil à son amoureux avant de fermer la porte derrière lui.

Après quelques secondes de silence, Yami sortit, à son tour, de son lit et se dirigea, à pas lent, vers une fenêtre. D'ici, il regarda la ville d'Aka. Des maisons s'étendaient à plusieurs kilomètres. La petite ville était délimitée par un immense mur blanc au loin. Après, c'était qu'une épaisse forêt à perte de vue. Mais ça, Yami s'en fichait. Il regarda, plus précisément un des quartiers d'Aka, le Quartier Nord Ouest. Il fronça tellement les sourcils qu'il avait un air dangereux, prêt à attaquer à toute offense. Les rayons du soleil faisaient briller ses yeux rubis d'une étrange façon. Sa chambre, derrière lui, était devenue très sombre, à cause de l'aura qu'émit l'Esprit des Ténèbres.

« Je sais que tu es là…, » souffla Yami, en regardant le Quartier Nord Ouest.

a suivre…

Et voilà, le chap est fini ! J'espère que vous l'avez apprécié ! La suite est dans deux semaines !

Eh vi ! Maintenant, toutes les deux semaines, un nouveau chap apparaîtra sur votre écran ! C'est assez long c'est vrai, mais je vous prépare une surprise et c'est… comment dire… assez long à préparer ! lol ! Je vous signale que je ne dirai rien à propos de ça parce que si je le dis, ce sera plus une surprise, non ?smile

Est-ce qu'Atemu retrouvera Yugi ? Jôno et ses amis retrouveront leur ami avant le Pharaon (le psychopathe pour certaine !lol !) Yugi a-t-il vraiment perdu ses souvenirs ? Toutes les réponses dans le prochain chap qui se nommera « Parmi les fleurs de Nuit ».