Taku
Titre : Amour Impossible – Chapitre 11
Auteur : Taku
Genre : romance, shonen-ai, suspense
Base : Yugioh !
Note : Salut à tous ! Deux semaines ont passé et donc, je tiens ma promesse : UN NOUVEAU CHAPITRE ! Un grand merci à Onarluca, Chise, Sogna, Magical Girl Kiki, Syt the Evil Angel, Thealie, Golden Sun 17, Sarya13, Darkiliane, Obscura, Zick et LunaDream.
Grâce à vous (et à d'autres aussi, faut pas les oublier ! lol. Comme Fushicho, Alexia, Mickealle, Chaya, Regenerative Fire, Juliette, ma p'tite Thémis/Ambre, MisticElfe, Tera, Bulma44, Sour Schuyler, Cat, Angelic Melody, Julie.Percevent, Syt, Morgane, Sousou, Melle Airas, Rhea-Silvia-chan et Yami Aku.), j'ai pu dépasser les 100 reviews et je tiens à faire une surprise à vous toute ! Allez à la fin de la page, vous verrez ! smile.
Je veux mettre aussi un petit mot pour ma p'tite Ambre/Thémis : t'en fait pas ma fille, malgré que tu n'as plus l'ordi, t'es pas seule ! Je te réserve pleins de surprises pour ton arrivé! smile.
D'après Darkiliane (merci encore à toi d'avoir mis autant de reviews ! smile.), cette fic est trop dure pour un T, donc je voudrais savoir, s'il vous plait, votre avis et savoir si ce n'est pas mieux de mettre le M !
Amour Impossible
3e PARTIE
Chapitre 11 : Parmi les fleurs de Nuit
Le soleil s'était enfin décidé à quitter le ciel, pour laisser place à une magnifique lune argentée. Des millions d'étoiles scintillaient le ciel, qui était orné de belles tâches bleuâtres et verdâtres. La plupart du temps, des étoiles filantes firent leur apparition, au plus grand bonheur des observateurs des cieux sombres. Tous étaient d'une si grande beauté, qu'on pouvait se perdre dans la contemplation… et c'est ce qui arrivait à Malik.
Penché près d'une fenêtre, au deuxième étage de la maison d'Akiiti, il était hypnotisé par ce spectacle au-dessus de lui. Comment un paysage aussi magique pouvait-il exister ? Le jeune égyptien ne le savait pas.
« C'est magnifique, n'est-ce pas ? »
En sursautant, Malik se retourna : c'était Akiiti. Cette dernière lui sourit et se pencha à son tour près de la fenêtre, à côté du jeune ado. La jeune femme regarda le ciel, d'un air rêveur. Malik se sentait étrangement mal.
« Beaucoup de personne aiment contempler ce ciel si étrange mais si beau… Il nous envoûte jusqu'à nous oublier nous-même… Et même la notion de la réalité… »
Elle avait prononcé cette dernière phrase en tournant la tête vers l'égyptien. Ses yeux bleus s'étaient assombris à cause du ciel, mais on pouvait apercevoir quelques lueurs dues aux lumières des étoiles. Malik rougit de plus belle… Son cœur battait si vite et tellement fort… Qu'avait-il ?
« Avez-vous perdu votre langue ? » demanda Akiiti, avec un ton moqueur.
« N…Non…, » murmura Malik, les yeux fuyant.
Akiiti sourit et se remit à la contemplation du ciel. Un doux silence régna entre ces deux jeunes personnes.
« Vous avez une couleur dorée sur votre peau, » dit Akiiti, en brisant le silence. « Je déduis, en comparant vos amis, que votre sœur et vous, vous ne venez pas du même pays. »
Malik fronça légèrement les sourcils, un peu vexé par cette remarque.
« C'est vrai, je viens pas du même pays, » dit Malik, d'un ton un peu plus dur. « Grande sœur et moi venons d'un pays où le soleil est très puissant, dont notre couleur de peau. Mais je ne vois pas pourquoi cela vous gêne ? »
Akiiti se retourna, doucement, vers Malik. Elle savait qu'elle avait froissé le jeune homme…
« Je vous prie de bien vouloir m'excuser, » souffla la jeune brune, un doux sourire aux lèvres. « Ce n'était pas dans mes intentions de vous blesser. J'avais dit cela parce que… j'aime beaucoup votre couleur… »
Elle avait dit cela en rougissant légèrement. En entendant cela, toute colère disparut du cœur de Malik, laissant place à une énorme gêne… et un bonheur. Il rougit à son tour, mais il dépassa, de loin, Akiiti question rougeur. Tout penaud, il avait du mal à trouver quelque chose à dire à cela :
« Ben… euh… merci… »
Il se trouvait tout couyon à cause de sa réponse lamentable. Il fallait absolument trouver une répartie digne d'un homme face à une femme.
« Je… Je trouve que vous êtes très belle… »
Ca y est ! Il l'avait dit ! C'était dur mais il l'avait dit ! Maintenant, il redoutait tellement la réponse face à cela.
Akiiti sourit de plus belle, en rougissant un peu plus.
« Vous êtes très beau, vous aussi… Pourrais-je vous tutoyer ? »
Le cœur battant comme un tambour, Malik fit un petit sourire un peu timide.
« Bien sûr, mais à condition que je vous tutoie à mon tour. »
Akiiti sourit chaleureusement, en guise de réponse. Malik vivait un pur bonheur… bonheur qu'il n'avait pas ressenti depuis si longtemps…
Derrière une porte entre baillet, Isis avait tout entendu. La pâle lumière de la lune révélait ses sourcils froncés.
« Ne tombe pas dans le piège, Malik…, » murmura-t-elle, d'une voix très basse.
Y.YY.Y.YY.Y
Jôno avait quitté la maison d'Akiiti depuis un petit moment, et il se promenait dans Aka, sans vraiment savoir où il voulait aller. Mais il avait besoin de calme… Il avait besoin d'être seul… Même avant de partir, Kaïba voulait le retenir, mais Jôno l'avait envoyé promener puis a foutu le camp. Mais de quoi il se mêlait ce mec ? Il avait parfaitement le droit de sortit ! Il fallait toujours qu'il se croie être le boss, le patron qu'on devait obéir au doigt et à l'œil ! Il n'avait qu'à se faire…
L'ado remarqua enfin qu'il était dans un petit parc. Haussant les épaules, il pensa qu'un parc devait se tenir à l'arrière des Quartiers. Ne se posant plus de questions, il s'écroula par terre, dos sur la fraîche verdure. Ses yeux marron se posèrent sur ce tapis pas si sombre, à son goût, qui devait incarner la nuit noire. Lassé de voir 'ça', il ferma ses yeux et profita de la brise fraîche de la nuit. Soupirant, il pensait encore à Yugi. Il n'arrêtait pas de penser à son meilleur ami… Enfin, pour le blond, c'était plus qu'un ami… Et dire que le 'Yami qu'on connaissait tous' était auprès de lui… Peut-être ce n'était pas juste une illusion ? Peut-être que Yami a sa propre existence ? Même s'il était heureux que son ami ténébreux fût 'en vie', le blond était quand même un peu triste, voir beaucoup. La place, que Yugi réserve dans son cœur, était à nouveau occupée par une chaleur bien présente… Quand cette place sera-t-elle à nouveau vide, pour qu'il puisse tenter sa chance ? Jôno fronça les sourcils : il fallait arrêter de pense à ça… il commençait à être égoïste…
« Ah, enfin, je les ai trouvé ! »
Jôno sourit à lui-même : il devait être totalement désespéré pour pouvoir entendre la voix imaginaire de Yugi.
« Ses fleurs préférées… Yami sera si content ! »
Là, Jôno ouvrit soudainement les yeux : il n'était pas aussi désespéré d'entendre la voix de Yugi prononcer ce nom ! Le blond se leva comme un diable. Le cœur battant d'espoir, il regarda autour de lui et vit, au loin, une forme agenouillée, cueillir des fleurs. Jôno écarquilla ses yeux… Cette image avait du mal à faire raison dans sa conscience…
C'était Yugi…
Il était là, devant lui… Jôno voulait s'approcher de lui, mais une peur indescriptible s'empara de ses membres : il avait peur qu'il l'avait oublié. Tout en essayant de rassembler son courage, Jôno observa cette être si aimé. Il était si beau… Il cueillait des fleurs, qui brillaient d'une belle couleur dorée malgré la nuit, accentuant la pâleur de sa peau… Ses habits blancs, ses bijoux blancs, sa peau blanche… Ses longs cils voilaient légèrement l'améthyste de ses yeux, qui était accentué par la pâleur de la lune… Était-ce un ange ? Il était si différent du garçon qui agonisait à l'hôpital.
Inconsciemment, Jôno s'approcha de lui. Remarquant enfin sa présence, Yugi releva la tête, le regardant. Jôno s'arrêta devant lui, souriant. Les larmes lui couleraient sur les joues s'il ne s'était pas retenu. Avec un sourire et le cœur battant jusqu'au point de s'exploser, le blond était sur le point de prononcer des mots, mais ce fût Yugi qui parla en premier :
« Qui êtes-vous ? »
C'était comme si tout le désespoir du monde retombait sur les épaules de Jôno. Le cœur de ce dernier avait manqué un battement dut à ces mots… Il écarquilla les yeux, stupéfait : Non, c'était pas possible.
« Qui êtes-vous ? » répéta Yugi, en se relevant, un panier, à moitié remplis de fleurs dorées, à la main. Le petit ado n'était guère rassuré, cela se voyait sur son visage.
« Qui je suis ? » fit Jôno, sans rien comprendre à la situation. « C'est moi ! C'est Jôno ! Tu me reconnais ? »
« Non, désolé, » répondit Yugi, en hochant négativement la tête. « C'est la première fois que je vous voie. »
Là, c'était de trop ! Jôno le prit par les épaules et le secoua violement. Ce dernier poussa des petits cris apeurés. Yugi ne pouvait pas l'oublier ! Non, pas lui ! Tout mais pas ça !
« C'est moi ! C'est moi ! » hurla Jôno, désespéré. « Jôno-Uchi, ton meilleur pote ! Tu te souviens ? »
« Lâchez-moi ! Vous me faites mal ! » s'écria Yugi, les larmes aux yeux. « Arrêtez ! »
« Pas temps que tu t'en souviennes, Yugi ! »
Jôno était vraiment gagné par un désespoir sans fin, et Yugi avait tellement peur de cet homme qui le brutalisait. Ses mais sur ses épaules lui faisaient tellement mal. Il le serrait tellement fort que le petit ado crût un instant que ses os allaient se briser. Des larmes coulèrent sur ses joues.
« Au secours ! Je vous en supplie, aidez-moi ! » implora Yugi.
Soudain, Jôno sentit une vive douleur à sa côte droite. Hurlant, il lâcha Yugi et regarda son lieu de douleur : il y avait du sang. Quelqu'un, ou quelque chose, l'avait gravement coupé, sans qu'il s'en aperçoive. La douleur était vraiment atroce. Le blond posa ses mains sur sa blessure et s'écroula sur les fleurs dorées, qui, pour quelques unes, avaient quelques tâches rouges. Profitant de ce changement de situation, Yugi fuie à toute allure, laissant tomber son panier. Jôno le vit partit vers la forme floue, impuissant.
Jôno avait beau appuyé comme un dingue sur la blessure, il y avait toujours autant de sang qui coulait. Il fallait absolument qu'il rentre, mais le manque de sang se fit sentir. Il n'arrivait plus à se relever, et il pensait qu'il allait mourir ici, répandant tout son sang sur les fleurs que Yugi avait cueillit. Jôno sourit à lui-même : au moins, il mourait dans l'esprit de Yugi… ce serait le plus bel endroit pour se reposer pour l'éternité.
Jôno s'apprêta à fermer les yeux quand il vit une ombre venir vers lui… Qui était-ce ? Il avait du mal à voir… Il était si fatigué… Si fatigué… Jôno s'endormit…
Y.YY.Y.YY.Y
Dans sa cachette, près des arbres et des buissons, il pouvait observer Kaïba prendre dans ses bras Jôno, endormi. Le Pharaon sourit, narquoisement : la prochaine fois, ce blond ne devrait pas faire pleurer son amour sinon, la blessure serait encore pire, et il laisserait son 'ami' crever dans un coin, sans 'prévenir' quelqu'un. Il lui laissa une chance. Après tout, ils étaient amis autrefois, et le blondinet l'avait sauvé plus d'une fois. Il lui devait au moins ça. Mais, dorénavant, il ne fallait plus faire d'illusion : ils étaient quittes.
Atemu attendait patiemment que Kaïba et Jôno fussent assez loin pour sortir de sa cachette. Une fois sorti, il s'arrêta à l'endroit où Yugi avait cueillit et où Jôno agonisait. Les fleurs dorées n'avaient plus cette couleur : elles brillaient d'une belle couleur rouge, dû au sang. Atemu fit un sourire étrange.
« Ce n'est plus ta couleur… C'est la mienne… »
Pendant un instant, Atemu crut voir deux éclairs rouges derrière un buisson, mais il faisait tellement sombre dans ces coins-là qu'Atemu préféra ignorer ce contretemps.
« Il n'existe pas, il n'existe pas, il n'existe pas, il n'existe pas… Juste de l'imaginaire… Rien de plus qu'une poussière dans un amas de sable qu'on peut travailler comme bon nous semble… Tout comme les rêves… »
Tu sais, tu contrôles tes rêves dans ton existence…
Atemu boucha ses oreilles entre ses mains, et ses yeux étaient comme un fou apeuré.
« La ferme ! »
Chaque composant d'un rêve est comme une poussière dans un amas de sable…
Atemu serra encore plus sa tête entre ses deux mains. S'il pouvait, il se ferait explosé la cervelle… pour ne plus entendre cette voix qui résonnait dans sa tête… une voix appartenant au passé…
« La ferme ! La ferme ! T'es mort ! Je t'ai tué ! Tu n'existes plus ! Laisse mon esprit tranquille ! »
La voix avait disparu… comme si elle n'avait jamais existé… Atemu était parcouru de tremblements nerveux. Parcourant des yeux par terre pour se calmer, il rencontra le panier de Yugi. Avec un petit sourire chaleureux, il prit le panier et parcourut ses doigts fins la texture. A l'intérieur, en dessous des fleurs dorées, il y avait un mouchoir en satin blanc. Le Pharaon le prit et laissa tomber le panier. Il porta ce tissu jusqu'aux narines et respira profondément.
« Il y a ton odeur, amour… Cela m'avait tellement manqué… Et tes bras chauds me manquent… »
Il leva ses yeux rubis vers la forme floue. Avec un sourire, il accrocha, délicatement, le mouchoir à sa ceinture en or. Sa cape rouge sombre dansait, à nouveau, avec le vent.
« S'il te plait, attends-moi… Laisses-moi te prendre dans mes bras… Laisses-moi répandre ta chaleur dans mon être pour guérir ce poison qui ronge mon âme… »
Puis il se dirigea, à pas lent, vers le palais de la Famille Royale.
Y.YY.Y.YY.Y
Il le voyait partir vers le palais. Fronçant les sourcils, il reste, néanmoins, dans sa cachette. Même s'il l'avait vu, il ne s'était pas fait prendre. Tant mieux ! L'heure n'était pas encore venue.
En disparaissant dans l'obscurité, faite par l'épaisse coiffure des arbres,… cette obscurité, ces ténèbres qui étaient son élément…, l'Esprit des Ténèbres, le Yami du Prince, prononça une phrase avant de fusionner avec les ombres :
« Rendez-vous derrière la Porte du Jugement… »
a suivre…
Et voilà, voilou ! Encore un autre chap fini ! J'espère qu'il vous a plu ! Le prochain, dans deux semaines, se nommera « Le plan d'Akiiti ».
Pour la surprise, je vous propose un extrait d'une de mes futurs fics, nommée Yamis et Hikaris (fic en M ! niark !) ! Un extrait d'une conversation entre Yami et Jôno au début de l'histoire…
Yami était assis sur un canapé en face d'un Jôno qui ne comprenait rien à la situation : son ami tricolore n'avait rien dit depuis qu'il est venu ici et tirait, depuis tout à l'heure, une de ces tronches. Le blond, accomplissant ainsi son devoir d'ami, décida enfin d'engager la conversation :
« Yami, qu'est-ce qui t'arrive ? Tu tires une de ces gueules ! T'es malade ? »
Yami hoche négativement la tête.
« C'est à cause de Kaïba ? »
Yami fait le même signe de tête. Jôno commença à être agacé.
« C'est ton grand-père qui te lâche pas ? »
Encore le même signe de tête.
« C'est à cause de Yugi ? » lâcha Jôno qui commençait en avoir marre.
Là, Yami cacha son visage entre ses mains. Jôno en devint stupéfait.
« Hein ? A cause de Yugi ? Vous vous êtes disputés ? »
« Pire. »
« KOA ? »
Yami délivra son visage de ses mains et regarda droit dans les yeux Jôno. Une certaine rougeur apparut sur les joues du ténébreux. En respirant un bon coup, ce dernier murmura :
« Voilà, hier soir, on a décidé de faire le grand pas, Yugi et moi ! Tout s'est bien passé : je l'ai embrassé, peloté, caressé, mordillé,… »
« Ouais, ouais ! » fit Jôno, rouge coquelicot. « Pas besoin de m'expliquer à la lettre ! Dis-moi le problème ! »
Yami devint rouge à son tour… rouge de honte…
« Quand j'ai enlevé mon boxer, il m'a dit… il m'a dit… »
Yami cacha à nouveau son visage derrière ses mains.
« Il m'a dit qu'elle était petite… »
…
Jôno éclata de rire. Il riait tellement qu'il avait mal aux côtes. Un peu plus tard, il arriva, avec difficulté, à se calmer à cause des regards noirs de son ami. Essuyant les larmes qui lui débordaient aux coins des yeux, le blond essaya de dire :
« Hé bé ! Je ne m'attendais pas à ça moi ! Mais… c'est vrai ? »
« Je ne pense pas ! » dit Yami avec un ton dur. « N'oublies pas que j'étais un égyptien. »
« Oui, et alors ? » demanda le blond sans comprendre.
« Les Egyptiens sont populaires pour leur énorme taille ! T'as compris ou tu veux que je te fasses un dessin ? »
« Ok, ok ! Pas la peine d'être aussi glacial ! »
« Excuses-moi mais à cause de ce que m'a dit Yugi, je suis super complexé… »
« Et… question de curiosité, tu fais du combien quand… quand t'es bien chaud ? » demanda Jôno, rouge de gêne.
Yami haussa les épaules.
« Un petit 25 ou plus. »
« UN PETIT ? » s'écria Jôno, la bouche ouverte. « T'appelle ça un petit, toi ? »
Yami haussa à nouveau les épaules, l'air triste.
« C'est pas l'avis de tout le monde. »
« Attend, attend ! Y'a un truc que je ne comprends pas ! Comment Yugi peut se permettre de juger ta… ta bête alors qu'il est vierge et que tu es la première personne avec qui il sort ? »
Les yeux de Yami étaient aussi ronds que des assiettes.
« Qu… qu… Quoi ? Tu… Tu veux… dire que… »
« Je sais pas, moi ! » dit Jôno, en essayant de se rattraper. « Je n'accuse personne et je suis sûr que Yugi n'est pas ce genre de personne ! Mais, ça m'intrigue ! »
« TU VEUX DIRE QU'IL A VU UN AUTRE QUE MOI ? » hurla Yami, rouge de colère.
« Chais pas ! » articula Jôno. « Qui pourrait avoir une plus grosse que toi ? Un autre Egyptien ? Malik n'est pas au Japon ! Bakura est dans le corps de Ryou, et ils sont à Tokyo avec la famille de Ryou ! Je ne vois pas qui, excepté… »
Jôno et Yami se regardèrent longuement. Le blond avait un regard terrifié par ce qui va se passer et le tricolore avait un regard de haine.
« Kaïba…, » soufflèrent-t-ils.
Yami serra les poings, tremblant d'une rage noire.
« Il… Il a osé touché à mon p'tit ange ! »
« Ben, c'est vrai que Kaïba a un grand faible pour Yugi mais…, » dit Jôno, essayant de calmer le jeu mais c'est le contraire qui se produisit.
Yami se dirigea à grande vitesse vers la porte d'entrée.
« J'VAIS LE TUER, CET ENFOIRÉ ! »
« Att… »
La porte claqua, laissant un Jôno ébahi et peu fier de sa boulette.
Voili ! Je vous souhaite à tous et à toutes de bonnes vacances ! (J'espère que vous vous ennuyez pas ! lol).
