Note de l'auteur :
Salut tout le monde!
Et bien voilà la suite. Désolée, si j'ai pris un peu de temps. Mais j'ai été occupée cette semaine et j'ai pas pris une minute jusqu'à aujourd'hui pour travailler à mes fics. Alors!
Sinon, encore une fois, je vous remercie énormément de me suivre. Et j'espère que l'histoire continuera de vous plaire!
Merci beaucoup à vous toutes (tous?) lol
Grosses Bises!
Chapitre 6
Il n'est pire eau que l'eau qui dort
- Séto…Séto… répéta tout bas Mokuba, une dernière fois.
Cela devait faire près de dix minutes qu'il essayait de réveiller son frère, espérant de tout son cœur que sa voix parviendrait au plus profond de son âme. N'était-il pas en droit de croire qu'il y réussirait, proche comme il l'était?
Mais seulement voilà, la vérité était que Kaiba dormait dur comme fer.
Ce qui ne restait pas sans alarmer Mokuba qui se sentait de plus en plus attiré lui-même par un profond sommeil.
Ça faisait déjà plus d'une trois heures qu'il était sorti du coma. Alors, qu'attendait-il pour ouvrir les yeux?
- …alors, notre patient? Toujours pas réveillé? demanda Ivy en faisant irruption une nouvelle fois dans la chambre.
Mokuba était littéralement écrasé sur son fauteuil, la regardant s'approcher de son frère pour vérifier ses pansements, apparemment.
- Vous avez vraiment fort mauvaise mine, lui dit-elle encore, espérant par là l'obliger à quitter pour aller dormir un peu.
Ce à quoi elle n'eut pas de réponse.
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« Yami! Mais pourquoi tu ne veux toujours pas me dire ce qui se passe? »
« Je n'ai rien à dire pour le moment Yugi. »
« Alors dis-moi au moins pourquoi il faut surveiller cette infirmière? Elle fait son travail tout à fait normalement. Tu es vraiment très étrange depuis cet accident, pharaon »
Atem ne répondit pas tout de suite aux angoisses de Yugi.
Mais il demeurait convaincu que rien ne collait dans tout ce tableau.
« Alors? » demanda encore Yugi qui s'était éloigné temporairement des autres.
« Rien. J'observe et je réfléchis Yugi. C'est tout. » répondit Atem.
« Grr…mais tu réfléchis à quoi? »
Le petit homme maugréait doucement, désireux de soutirer quelques informations supplémentaires. Mais elles ne venaient toujours pas.
« Yugi. L'important pour le moment c'est de ne pas quitter Kaiba des yeux. Ce que je crois…c'est qu'il est en danger. »
« Quoi? Tu en es certain? C'est grave, tu le sais? »
« Dis-moi que tu n'y as pas pensé toi-même, Yugi. Tu le sens toi aussi, j'en suis sûr.»
À nouveau, il s'interrompit quelques secondes.
« Oui. Y'a quelque chose de malsain dans l'atmosphère »
« Et tu crois que ça a un rapport avec cette infirmière? »
« Je sais pas. Peut-être. Quelque chose me dit qu'elle n'est pas entièrement étrangère à tout ça. »
Son intuition se vit à nouveau renforcée par une nouvelle entrée d'Ivy dans la chambre de Kaiba; assurément, elle portait une attention assidue au patient le plus populaire de l'hôpital. Toutes ces allées et venues ne pouvaient pas ne pas être remarquées, surtout pas par Atem qui s'en méfiait maintenant comme de la peste.
Mais il savait cependant que Mokuba y était aussi.
Sauf qu'il fut d'avis, d'un jugement éclairé, qu'il valait mieux également ne pas laisser le jeune cadet trop longtemps seul lui non plus.
« Hum… »
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Il lui semblait courir depuis des heures; il avait bien la Kaiba Corp devant les yeux mais plus il s'en approchait et plus l'édifice semblait s'éloigner. C'était complètement ahurissant.
Si bien qu'il en eut assez et décida de s'arrêter pour reprendre son souffle, assis sur un banc de la ville. Il lui fallait réfléchir à tout ça; tenter de trouver une solution.
C'Était irritant de n'en trouver aucune et que le parfait contrôle de la situation lui échappe des mains. Comme il en avait horreur.
Oui. C'était un cauchemar. Et pourtant, où qu'il fût, il lui fallait pouvoir se défendre contre toute éventualité. En commençant par se raisonner.
Tout ça n'avait aucun sens. Ou si c'était uniquement un rêve, alors il souhaitait se réveiller instamment.
Perdu. Kaiba était vraisemblablement perdu.
Ses bras s'étaient accoudés sur ses genoux, la tête cachée entre les mains.
Il était épuisé, totalement décontenancé.
- Monsieur?
Une petite voix, provenant vraisemblablement d'une fillette, se fit entendre.
Cette fois, il n'osa pas regarder, peut-être dans la peur inconsciente d'y retrouver quelque chose de désagréable.
Mais la créature insista avec une voix des plus douces et mélodieuses.
- Monsieur?
« Grr…quoi? Elle veut que je lui dessine un mouton, peut-être? »
Ne manquerait plus que ça.
Et pourtant, il se décida finalement à regarder l'objet de ce dérangement.
Et il ne le regrettait pas, bien qu'il demeurait parfaitement conscient que ce fut peut-être là encore un tour de son imagination.
Elle était réellement très mignonne et fait curieux, il ne voyait pas son visage même s'il savait qu'il était d'une beauté surnaturelle. Rien ne pourrait émaner de mauvais d'une si belle personne. Et Kaiba en restait fasciné autant que troublé.
Soudainement, elle tendit une main vers lui, désireuse qu'il la prenne et la suive.
Allait-elle se transformer comme les autres, elle aussi?
Qu'allait-il arriver s'il prenait cette main?
« Tu deviens névrotique, Kaiba »
La petite insistait, ne retirant pas sa main et au contraire, saisissant la sienne avec beaucoup de douceur.
Et puis Kaiba se leva du banc, prêt à la suivre.
De toute façon, que pouvait-il arriver de pire?
- Ne va pas par là…j'ai essayé déjà… dit-il en essayant de la retenir alors qu'elle avait pris la direction de la Kaiba Corp à son tour.
Kaiba recula d'un pas.
Comment se faisait-il que l'immeuble se rapprochait maintenant au fur et à mesure que leurs pas avançaient?
Était-ce cette jolie créature qui en était la cause?
Il ne voyait toujours pas son visage resplendissant de lumière, mais il sut qu'elle lui souriait aimablement.
Toujours, il ne ressentait aucune animosité; au contraire, un vent de quiétude et bien-être soufflait sur sa personne.
C'était tout de même étrange qu'il ne puisse entrevoir son visage. Et ce qui l'était encore plus c'était cette impression bizarre de déjà-vu ou qu'il la connaissait déjà.
Lorsqu'ils arrivèrent à l'entrée de l'édifice, elle lâcha sa main comme pour lui signifier qu'ils étaient déjà rendus et qu'elle avait fait son devoir.
Mais si elle était la clé susceptible d'ouvrir une porte, n'était-elle pas un passe-partout capable de les ouvrir toutes?
Kaiba se récusa, reprenant vivement la main de la petite en l'entraînant à l'intérieur; il n'était pas question qu'il la lâche.
Curieusement, dès qu'ils furent entrés, la petite avait déjà grandi et s'était transformée en jeune adolescente d'à peu près 13 ou 14 ans. Et c'était fou tout le charme et la beauté qui se dégageaient d'elle.
Kaiba en était presque envoûté.
« Oh…je vais pas devenir pédophile en plus dans ce rêve de dingue! Ça non! Grrr… »
« Mais qu'est-ce qui me prend? »
« Bon, d'accord…on va juste chercher mon deck et ensuite, je la laisserai repartir. C'est ça. »
La jeune fille souriait encore comme si elle avait parfaitement suivi le fil de son raisonnement.
- C'est par ici, je crois…dit-elle en se dirigeant vers l'ascenseur.
Kaiba freina brusquement.
- Pourquoi es-tu là? Tu ne fais pas partie de ce rêve, n'est-ce pas?
- Non, c'est exact.
- Alors, pourquoi es-tu là? répéta-t-il.
La jeune fille sourit encore alors qu'une dernière transformation s'opéra sur tout son corps; elle était maintenant devenue jeune femme, dans la même tranche d'âge que Kaiba qui sursauta, devant cette image, le souffle coupé.
Elle était encore plus belle.
Si bien que s'il n'avait pas été lui-même, Kaiba, et au contraire le plus commun des hommes, il aurait succombé follement.
- Pour toi…souffla-t-elle tendrement en posant une main sur la joue de Kaiba.
« Quoi? »
Troublé. Ému.
Et cette lumière qui cachait toujours son visage. Mais pourquoi cette impression de la connaître?
Jamais il n'avait encore croisé une seule femme qui pût l'égaler en grâce et en douceur. Alors, pourquoi?
Son geste de la main fut suivi par un autre encore plus surprenant lorsqu'elle avança ses lèvres contre les siennes. Une chaleur intense parcourut tout son être, de la pointe des pieds jusqu'aux tréfonds de son âme. Jamais il n'avait embrassé une femme.
Le baiser fut court. Trop court lui sembla-t-il. Et un étrange désir s'était emparé de sa personne.
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Mokuba avait partiellement fermé les yeux un instant, ce qui permit à Ivy de porter un regard plus détaillé sur la silhouette endormie.
Elle fut le seul témoin d'un détail curieux et fort intéressant. Qui la fit sourire d'une certaine satisfaction d'ailleurs.
Kaiba paraissait avoir gardé la faculté d'éprouver des pulsions physiques assez révélatrices, malgré son profond sommeil.
« Quoi? Comment est-ce possible? »
De manière à couvrir cette vision à son propre frère au cas où il ouvrirait les yeux, elle se plaça entre lui et Mokuba, aux côtés du lit. Mais sa fascination n'avait d'égale que sa perversion.
«De mieux en mieux… »
Mais qu'avait-elle donc aperçu d'aussi intéressant?
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Et puis le tintement de l'ascenseur indiqua l'arrivée de leur destination à l'ultime palier inférieur de la Kaiba Corp.
Ils se tenaient toujours la main, n'osant ni l'un ni l'autre briser le moment.
- Va…il revient…souffla-t-elle en poussant doucement Kaiba dès que la porte s'ouvrit.
C'est curieusement à regret qu'il lâcha sa main pour se diriger vers le précieux coffre-fort où était gardé son deck de jeu. Mais il regretta encore plus amèrement lorsqu'en se retournant, elle avait disparu.
Il aurait aimé qu'elle reste, ne serait-ce que pour découvrir qui elle était.
« Mais qu'est-ce ça veut dire…? »
- AH! Kaiba! Te revoilà! Mais…s'écria cette voix, c'est que je commençais à m'impatienter !
« Grrr… »
Oui, il sortait d'un rêve pour retomber dans son cauchemar.
Ça ne devait être qu'un intermède entre les deux.
Qui plus est, des plus appréciés. Ne l'avait-elle pas conduit jusqu'ici?
Kaiba se dépêcha d'ouvrir le coffre et d'y saisir son disque de duel tout en saisissant sa mallette argentée qu'il ouvrit dans un éclair.
- Pas la peine de courir, Kaiba… on a tout notre temps…regarde! »
Un nuage se déploya dans la pièce, découvrant un large écran vitré.
Puis sur cet écran, il vit enfin apparaître l'image d'un homme alité, visiblement à l'hôpital, et en fort mauvais état.
Lui-même.
Kaiba chancela avec peine.
- Et oui, recommença la voix. C'est bien toi. Et c'est bien la réalité. Tu es entre la vie et la mort Kaiba… Et c'est à moi d'en décider!
- Sale vermine.
Mais pouvait-il se fier à ce qu'il voyait?
La voix continua de se faire entendre.
- Maintenant, le jeu peut vraiment commencer…voilà ce que je te propose…
« Ai-je le choix? »
- Ton corps se trouve à l'hôpital de Domino…alors tu devras te battre pour le récupérer.
- Quoi?
- Te battre, Kaiba! Mais si j'arrive avant toi jusqu'à lui, c'est que j'aurai gagné. Et si je gagne, mon cher ami, c'est que tu seras mort.
- En somme, je dois arriver à l'hôpital avant toi, c'est ça?
Un éclat de rire presque brutal retentit dans les oreilles de Kaiba
- Tu ne crois quand même pas que ça sera sans livrer bataille, j'espère?
« Grrr…et je parie qu'il n'y a aucune règle? »
- Je te préviens déjà que je contrôle la partie…souviens-t'en lui signifia encore la voix.
Vrai. Et ça serait la partie la plus difficile de toute sa vie.
Comment se battre logiquement contre l'illusion?
Mais il allait au moins essayer.
Il devait retrouver son corps au plus vite.
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Cette fois, Yami ne résista pas davantage. Il lui fallait se rapprocher coûte que coûte de cette chambre, quitte à fâcher Mokuba. Il devait savoir ce qui s'y passait réellement et s'assurer que le jeune Kaiba était également en sécurité.
Peu importe; il prétexterait une babiole pour s'en approcher. Mais il fallait voir Kaiba.
Quand il poussa la porte, il vit Mokuba légèrement endormi dans le coin de la pièce et Ivy qui paraissait un peu penchée au-dessus du corps de Kaiba.
Il aurait juré l'avoir entendu marmonner quelque chose de totalement inaudible tant sa voix était basse.
Il toussa vivement et provoqua volontairement un sursaut d'Ivy qui se retourna rapidement vers la porte en se dégageant du lit.
- Oh! Monsieur…je ne suis pas certaine que vous soyez…
- Non! S'écria Mokuba, réveillé par le toussotement de Yugi. Ça va, c'est un ami, il peut entrer.
Ivy devait à nouveau changer de stratégie et faire avec l'arrivant.
Il lui parut quasi certain maintenant qu'elle aurait affaire à plus d'une personne pour se rendre jusqu'à Kaiba.
Et pourquoi ce jeune homme au regard d'améthyste ne cessait-il donc jamais de l'épier de la sorte? Et puis, avait-il entendu le moindre mot sortir de sa bouche?
Avec plus d'audace, Yami confirma son impression en lui réservant un sourire quasi angélique. Celui d'une personne qui lui fait clairement comprendre qu'il sait ce qu'elle est capable de faire et qui la surveille de près.
Elle rageait, bien qu'elle lutta pour ne pas perdre son sourire et lui donner raison.
Mais elle préféra sortir finalement.
Y avait-il, raisonnablement, quelque chose à ajouter?
Dès qu'elle fut sortie, Yugi, qui se tenait encore un pas au dehors et un autre en dedans de pièce, hésita un moment devant l'image de Kaiba alité sur son lit. Il était réellement mal amoché, ce qui ébranla Yugi autant que le pharaon. C'était d'une tristesse sans nom.
Yugi fut soudainement apostrophé par derrière; Joey s'était pointé à son tour en passant la tête dans la chambre tandis que le reste de son corps était lui aussi à l'extérieur.
- C'est bon, vous pouvez entrer… balbutia Mokuba qui ne prit pas la peine de se relever de son fauteuil.
Joey fut le premier à y mettre les pieds.
Un pincement douloureux enlaçait son cœur soudainement. Lui non plus n'appréciât pas de voir Kaiba dans cet état. Pas du tout.
« C'est rien…c'est rien…il va se réveiller et… »
- Ça va Yug? s'écria-t-il en rattrapant la silhouette de Yugi qui semblait prêt à défaillir en approchant du lit de Kaiba.
Même Mokuba s'était levé dans un coup de vent.
« Mais…qu'est-ce … »
Yugi était étourdi et pire que tout, une irrésistible envie de dormir s'emparait de son être comme si, épuisé, il n'avait pas dormi depuis des jours.
Il faut dire que c'était un peu le cas, fermant un œil de temps à autres par intermittence. Comme pour tous ceux qui étaient présents et qui s'inquiétaient trop pour la santé de Kaiba.
« Je crois qu'il faut vraiment que j'aille dormir un peu… »
« Hummm… » souffla Atem, un peu indifférent à ce trouble passager.
« Quoi? »
Joey l'aida à retourner vers la porte; il semblait vraiment sur le point de tomber par terre.
- Yugi… va dans l'autre pièce et essaie de te reposer, d'accord? offrit Mokuba fort concerné par ses amis.
- Mais non…ça ira très bien, je t'assure. Je vais aller manger un petit peu et je reviendrai. Ça ira.
- T'es sûr Yug? s'inquiéta aussitôt Joey qui n'osait pas le lâcher.
Puis il était sorti de la chambre, laissant Joey et Mokuba ensemble.
Le blondinet s'approcha solennellement de son rival de toujours.
- Hé! Kaiba! Je suis certain que tu m'entends… allez, réveille-toi mec… et arrête de nous foutre la trouille, d'accord?
Mokuba souriait devant tant de sollicitude.
Quand il y repensait, peut-être était-ce vrai que ces deux têtes de mules s'appréciaient sans oser se le dire autrement qu'en joutes verbales et en agacements prolongés.
Mais jamais il n'appréciât autant Joey.
Même s'il était crevé et qu'il était de plus en plus difficile de rester éveillé, il ne pouvait pas demeurer insensible.
Joey se retourna vers Mokuba.
- Et toi, gamin, tu tiens le coup?
Mokuba inclina la tête en lui souriant gentiment.
- Super. Alors, je retourne dans le couloir et si t'as besoin de quoi que ce soit, te gêne pas, d'accord?
- Oui, merci Joey. C'est vraiment sympa.
Joey se redressa pour se diriger vers la porte. Il en avait assez vu.
Il n'allait pas avouer qu'il avait du mal à supporter cette vision.
- Joey! s'écria Mokuba avant qu'il n'aie rejoint la porte.
- Oui, quoi?
- J'aimerais…si jamais je m'endors… je sais pas…
Joey lui prêta plus d'attention encore.
Que voulait-il dire exactement?
- …enfin, si jamais je suis un peu dans les pommes… laisse pas mon frère tout seul, d'accord?
- Quoi? Qu'est-ce que tu veux dire Moki?
- Je veux pas qu'il reste tout seul et qu'il lui arrive quelque chose…et que je puisse pas le protéger. Tu comprends? Il est tout ce que j'ai Joey.
Joey Wheeler sentir son cœur fondre.
Mokuba n'était-il pas en train de lui démontrer sa confiance au point de lui demander de veiller sur Kaiba? Était-ce bien cela?
Et pourquoi lui? Mokuba ne restait sûrement pas sans savoir que Kaiba n'apprécierait probablement pas d'apercevoir sa bouille en se réveillant, non?
Alors quoi?
- Promets-moi Joey. Promets-moi de le protéger si je ne suis pas en mesure de le faire.
IL allait répliquer par une rigolade mais finalement, il n'en fit rien, peut-être lui-même trop consterné pour savoir quoi dire exactement.
- D'accord, gamin. C'est bon. Je promets.
Ce qui rendit le sourire à Mokuba. Mieux, il semblait allégé d'un poids.
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« Mais qu'est-ce qui m'arrive? Ah…je crois que le manque de sommeil commence à me narguer trop fort, je crois… »
« Yugi! » s'écria Atem.
« Ce n'est pas le manque de sommeil ou de nourriture. Ce n'est même pas de la fatigue. »
« Ah non? Alors, c'est quoi? Pharaon, tu vas arrêter de jouer aux devinettes? »
Atem se fit grave et sérieux.
« Kaiba…je crois que ce n'est pas un sommeil ordinaire. »
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Il n'est pire eau que l'eau qui dort : c'est souvent des personnes d'apparence inoffensive qu'il faut le plus se méfier.
Sur ce, bonne semaine!
Et n'oubliez pas de me poster une petite review! Très appréciée…comme toujours!
Merci à vous!
