Cinderella stories
Chapitre 2 : La marraine la fée
Le moment de partir à la fête arriva très vite. La belle-mère d'Heero ne lui avait pas interdit d'allé à la fête, elle avait rigolé et haussé les épaules. Seulement Heero n'avait rien a se mettre et ses sœurs avait refusé de lui prêtés quoique ce soit.
A l'instant tant attendu, Heero avait finalement passer quelque chose de correcte mais on voyait qu'il était issu de milieu pauvre, ce qui n'était pas le cas normalement mais sa belle-mère avait pris tout l'argent. Seulement alors qu'il allait partir la marâtre lui dit :
Belle Mère : Avant d'aller au bal je veut que tu nettoie la cheminée.
H : Mais …
Belle Mère : Il n'y a pas de mais, tu nettoie la cheminée et comme je n'ai pas de temps a perdre tu te débrouilleras si tu veux aller au bal.
Sur ce elles partirent laissant Heero seul à sa tache. Une fois qu'il eu fini, il regarda ses habits qui était tout sales. Les larmes lui montèrent aux yeux, il ne pourrait jamais allé à la fête surtout dans cet état.
Il sortis dehors et s'assit sur une pierre à coté de la mare du jardin. C'était l'endroit préféré de sa mère quand elle était encore en vie. Là, il laissa s'exprimé sa peine et pleura. Lentement une lumière bleue, douce s'éleva de l'étang et une femme d'age avancé apparue. Les cheveux grisonnants, quelques rides sur le visage, tout habillé de bleue avec un chapeau assez ridicule il faut dire et présentant quelques symptôme de l'embonpoint.
Elle considéra le jeune garçon devant elle un moment, les cheveux fous en bataille de couleur foncé, des yeux bleus colbats, un visage innocents on aurait pu croire à un visage de jeune fille si il n'y avait pas le reste du corps, musclé et aux reflets cuivré.
Mais le jeune garçon prostré sur lui-même donné une image de lui vulnérable et fragile. La vielle dame s'approcha doucement de lui et lui posa délicatement une main sur l'épaule. Le jeune homme sursauta et la regarda déconcerté.
H : Qui êtes vous ?
La femme : Je suis ta marraine la bonne fée.
H : Une fée ?
La marraine : Oui, je suis là parce que tu m'as appelé inconsciemment. Alors que puis je faire pour toi ? Pourquoi pleure tu ?
Heero rougit : Je voulais allé au bal pour voir le prince. Mais je n'ai aucun moyen d'y allé et de toute façon je n'ai rien à me mettre.
La marraine parut embarrassé : Je peux te donné un moyen de transport mais pour les habits j'ai un problème.
H : Lequel ?
La marraine : C'est-à-dire que… Disons que je ne connais aucune formule pour habillé un garçon par contre je peut t'habillé en fille.
Heero qui faisait maintenant concurrence aux tomates les plus mures du royaume ne sut que répondre. Il bafouilla quelque chose d'incompréhensible avant de se taire et de baisser la tête.
Finalement il demanda : C'est la seule solution ?
La marraine : Je crains que oui où alors tu devras te trouver d'autres habits, alors qu'en pense tu ?
Heero releva la tête : Je veux le voir ! Même si pour ça je dois me travestir.
La marraine : Il y a une condition, tu doit être revenu avant minuit car quand sonnera les derniers des 12 coups de minuit l'enchantement disparaîtra. A tu compris ?
H : Oui !
D'un coup de baguette magique la bonne fée transforma une citrouille en une magnifique calèche. Elle se tourna enfin vers Heero et récita une formule. Les vieux vêtements sale de Heero se transformèrent en une magnifique robe blanche où était cousue quelques perles.
Des gants blancs et un diadème vinrent se rajouté, mais à la tiare était accroché une fausse chevelure brune ondulé. A l'oreille droite se trouvait une longue boucle d'oreille en argent où une lune était accroché au bout, à la gauche brillait une perle en argent. A la main droite sur le gant se trouvait une chaîne faisant plusieurs fois le tour du poignet. Et son cou, était suspendu un collier avec un pendentif assorti aux boucles.
H : Heu … je n'ai pas de chaussure.
La marraine : Attend un peu !
A ses pieds apparurent de charmantes chaussures en verre aux reflets argentés. Heero monta dans la calèche et partit en direction du château.
A suivre…
Yunalesca
