Partie 4 : Les vacances d'été de Jenny ; L'enterrement des os du maître, Visite familiale, Fête Nationale du 4 Juillet, une danse d'anniversaire, Visite à Los Angeles et la tragédie de Nolwenn, festival à Black Rock :
Lorsque les vacances d'été arrivèrent enfin, Jenny les commença avec une grande fatigue, et accueillit les deux mois et-demi de vacances et de repos avec soulagement, car les deux semaines restantes de cours et d'examens, furent marquées de grandes émotions, de dures épreuves, de chaos, de larmes et souffrances et de choix ainsi que d'erreurs et confusion, malentendus et de rumeurs et de commérages et croyances, malversations colportées et croyant véritablement ce que pensaient les amies de Jenny ; durant ces deux semaines, Jenny et Rupert furent face au principal Snyder et Craig, mais aussi de manière totalement inattendue et étonnement à la conseillère principale d'éducation, Béatrice Rousseau et aux deux amies de Jenny, Mathilda et Natasha... Et Giles aida du mieux qu'il put, Jenny, durant cette terrible épreuve et à y faire face avec courage.
Lundi, après le Week-end qui suivit, le bal au Bronze et également la victoire sur le Maître et sa défaite ; Giles arriva au lycée de très bonne heure, bien avant que les premières étudiantes franchissent les portes ; sachant que Snyder serait arrivé dès l'ouverture de l'établissement ; Giles voulait profiter de cette opportunité pour pouvoir parler avec le directeur et expliquer et révéler tout ce qui s'était passé, la violence et l'agression de Craig sur Jenny ; Giles avait donc demandé à Jenny, d'accepter et de saisir l'occasion, de venir de bonne heure pour pouvoir avouer et confesser ce qu'elle a vécu au directeur, enfin si elle le désirait, et bien, Giles serait là pour la soutenir et lui donner de la force et donner son témoignage , il avait passé beaucoup de temps au téléphone et essayait de la convaincre, mais en même temps ne pas trop la pousser ; finalement Jenny avait accepté. Et également l'opportunité de se libérer de son fardeau, qui la hantait surement.
Giles ne pouvait supporter cette situation, non plus, il était furieux et désespéré, et hanté par ce que Craig avait failli faire à Jenny ; sa colère et la furieuse, le faisait trembler, et trembler les bras et les mains, d'innombrables fois, et toutes les heures, Giles avait souhaité appeler Jenny, pour savoir comment elle allait ; il n'arrêtait pas de serrer les points, et de se pétrir les doigts, pour s'empêcher d'attraper le téléphone, appeler Jenny ou bien la police pour dénoncer le crime ; et également tenter de se calmer.
Il attend avec anxiété le Lundi matin pour enfin la retrouver et se diriger vers le bureau du directeur.
Jenny était perplexe et nerveuse, et au début doutait, des intentions, et aussi de l'efficacité à comment Rupert pourrait aller rendre visite à Snyder et tout lui dire, elle doutait que cela arrangerait les choses, et pressentait même que cela pouvait les empirer, ou au mieux les garder telle qu'elles étaient maintenant, Jenny avait passé de nombreuses fois à douter et se poser des questions, tandis que Rupert tentait de la convaincre et de la soutenir, et que c'était la bonne chose à faire ; Jenny avait réalisé l'importance et la signification ainsi que cela avait pour Rupert, et son envie et désir de l'aider et qu'elle se sente mieux et en sécurité, et avait réalisé son affection pour elle.
Une partie égoïste et un désir secret et profond d'elle, avait hâte de le retrouver et d'être enfin à ses côtés, et près de lui, en ce début de semaine, elle n'avait cessé de penser à leur flirt et toucher et caresse durant cette soirée au bronze, bien que c'était en grande partie et à cause d'elle que tout avait commencé, et l'avait incité et encourager ses caresses contre son ventre, son doigt contre son nombril, sa main passant sous son haut de sa robe et sous son cardigan, caressant sa peau brulante sous ses doigts ; Jenny se demandait tout ce que ceci avait signifié, ses gestes, son retour et ses réponses à son flirt, est-ce que cela avait une signification et un quelconque censé être et avait-il des sentiments ou un désir pour elle, cela représentait-il quelque chose pour Rupert ?
Jenny avait envie que Rupert, la protège, elle avait besoin de sa protection, de sa chaleur et son soutien moral, et elle avait besoin de lui pour la maintenir stable et forte, et elle également besoin de lui pour se rappeler qu'elle était indépendante et sûre d'elle et avait une particularité, une force en elle.
Elle avait tremblé et pas beaucoup dormi durant le week-end, mais avait tout de même réussi à se reposer ; Jenny avait beaucoup, après l'appel téléphonique de Rupert, et aussi verser quelques larmes ; elle n'avait hâte que cette histoire se terminait, mais espérait également espérer qu'elle n'aurait pas à faire face au autorité, elle refuserait de témoigner, elle vouait tout oublier, et passer à autre chose, et surtout, surtout, éviter que sa famille et son clan apprenne ce qui avait failli lui arriver et sache ce qui se passe, et refusait également de se voir comme une victime.
Quand Jenny n'avait pas corrigé de copies, ni préparer de cours pour l'année suivante, elle se roulait en boule sur son lit, et essayait de se reposer, et fermer les yeux pour apaiser la tension sur ses paupières, et calmer les tremblements nerveux de son corps ; et essayer de penser à des choses agréables, comme la voix de Rupert, ses baisers sur ses joues, elle essayait de l'imaginer la prendre dans ses bras, ou et l'imaginer l'enrouler contre lui, sentir sa chaleur sur son torse et se recroqueviller contre lui, et l'encerclant dans son étreinte. Elle l'avait imaginé, malgré elle et involontairement, que Rupert l'embrasserait sur les lèvres, ses lèvres contre les siennes, le feu et la paisson les enivrant, des étincelles volantes entre eux, leurs lèvres se réclament et se poursuivant contre les siennes, leurs lèvres commençaient à répondre à chaque caresse et pinceau de lèvres, et plumes, et baisers, et leurs langues bougeant l'une contre l'autre et effleurant doucement leurs lèvres inférieures...
Non, elle devait arrêter de pensées à ce genre de passion et de désir fantôme, qui n'arriverait jamais dans la vraie vie, sauf dans son esprit.
Lundi, Jenny arriva quelques minutes après Rupert, il lui avait demandé de venir le rejoindre à la bibliothèque, comme ceci, elle n'aurait pas à passer, et lui non plus, par la salle des professeurs. Quand ils se virent, alors qu'elle pénétra les portes battantes, Rupert leva son visage du livre qu'il était en train d'examiner, alors que Jenny lui souriait doucement et d'une manière timide et incertaine ; quand Giles la vit, tout son corps entier se détendit, et la forme d'un sourire illuminât son visage à la simple vue d'elle, il s'avança prudemment à ses côtés, et ils se dirent bonjour timidement, et affection :
Giles lui demanda avec prudence, crainte et incertain, et une certaine impatience qu'il t'entait de ne pas montrer, si elle était prête à venir avec lui, voir et parler avec Snyder. Elle hocha la tête en signe d'affirmation déclarant, que plutôt et plus vite se sera fait et plus vite, elle sera débarrassée et pourrait oublie ce qui s'est passé.
Giles acquiesça avec prudence, doutant quelque peu que ce soit si simple ; ils partirent ensemble, jusqu'au bureau, en longeant et arpentant les couloirs déserts pour l'instant, il effleura et serpenta légèrement le bras de Jenny, en lui donnant un semblant d'affection et de sympathie et d'encouragement, il profita, que durant ceux touchés et cette caresse, contact léger, Jenny et lier son bras au sien pour ainsi posé sa main, le creux de sa paume contre le coude la jeune femme, pour lui donner de la chaleur, de la force et du courage.
Jenny tourna la tête et le regarda avec reconnaissance et bienveillance, en lui chuchotant un "Je vous remercie."
En arrivant devant le bureau du directeur, Jenny resta immobile et droite, en inhalant et exhalant un peu d'air ferait, et essaya de se composer, et le regard indéchiffrable et illisible, et sur d'elle ; Rupert à ses côtés, vit qu'elle était ébranlée et avait besoin d'aide, lui prit doucement la main, en signe de soutien, de réconfort, lui faisant savoir qu'elle n'était pas seule voyant qu'elle avait besoin d'aide, il lia ses doigts et les entrelaça à ceux de Jenny, et lui murmura contre son oreille :
« Ça va aller, Jenny, je suis là, vous n'avez rien à craindre."
Giles, exigeant à la secrétaire, de voir Snyder le plus vite possible, et déclarant que c'était une urgence et grave, et que cela ne pouvait pas attendre, et que cela était dû et avait un rapport et un fait et trouble par un collègue et un trouble et un problème majeur au sein de l'équipe d'enseignement, et aussi personnelle, et des troubles de comportement.
Le principal finit par recevoir Giles et Jenny, face à l'insistance de Giles, et devant son regard grave, sérieux et urgent, et aussi après avoir insisté auprès de la secrétaire, et l'avoir en quelque sorte pourrait et aidait à ce qu'elle accepte de les faire entrer, qui également insistait auprès du directeur pour qu'ils puissent les recevoir le plus vite possible.
Snyder les fit donc rentrer dans son bureau, en leur demandant ce que tout ceci signifiait, et pourquoi il y avait-il tant d'importance pour le voir aussi rapidement sans prendre la peine de le prévenir, et de prendre un rendez-vous ? Et également ce que signifiait tous ces cris et cette agitation, et énervement ?
Giles, alors, se mit à s'exprimer avec force et courage, en expliquant qu'il parlait au nom, de Jenny ; lui expliquant qu'il avait été témoin de tout ce qui s'était passé, le soir de l'incident, et qu'il pourrait témoigner si nécessaire ; et parlait au nom de Jenny, et pour elle et témoignait en sa faveur, et contre Craig.
Jenny eut l'opportunité de s'exprimer et d'offrir et déclarer son propre témoignage, après celui de Rupert, et d'évoquer ce qu'il s'était passé le soir au Bronze, durant la fête, les gestes, les tentatives de séduction, tout ce qu'il a mentionné ou fait, son envie et son désir pour elle, l'envie de Craig de pouvoir enfin coucher avec elle, le fait qu'elle ne pouvait pas être heureuse ou avoir l'envie et l'opportunité d'être avec Rupert Giles - cette partie d'une voix gênée, le cœur à la gorge et la gorge et la poitrine serrée devant cet avent se demandant ce que Rupert pensait et aussi s'il se demandait comment qu'il pourrait être avec elle et s'il avait déjà songé à une relation- et Jenny évoqua ce que Craig avait fait, comment il l'avait forcée contre un mur, ses tentatives de la coincer et lui faire avoir des relations sexuelles, et elle a évoqué chaque parole et acte tandis qu'il l'avait pressée contre le mur...
Il eut un lourd moment de silence, la pièce était pesante et l'atmosphère lourd, le principal Snyder était stupéfait et choqué par ses révélations et ces deux témoignages, qui coïncidaient parfaitement l'un à l'autre ; malheureusement la réaction et l'attente et les réponses qu'attendent Jenny et Giles, n'était pas ce qu'ils attendaient ou espéraient, Snyder sortit de sa stupeur et fixa Jenny en secouant la tête pour lui-même, et déclarant d'une voix froide :
"Mlle Calendar, vous rendez-vous compte, vous et M. Giles de la gravité de ce que vous dites et l'ampleur de votre témoignage, et des accusations que vous portez sur un excellent enseignant, qu'est Craig ? Et vous risquez, et que vous pouvez être sûrs de ruiner sa réputation et peut-être même sa carrière ; et ainsi devrais-je dire, également la vôtre... deux excellentes carrières."
Jenny releva la tête avec défit en regardant Snyder droit dans les yeux, en défient et essayant de refouler les larmes qui menaçaient de tomber et de couler ; en déclarant et répliquant en détachant soigneusement chaque mot et chaque syllabe : Qu'effectivement, elle s'en rend compte.
Snyder répliqua et continua sa tirade en expliquant, et menaçante d'une voix dure qu'il espérait qu'aucun deux n'avaient menti, ou jouer à une quelconque fantaisie ou farce ; ou une espèce d'immaturité les avaient surpris et causé, et qu'ils n'auraient pas à faire de rapport sur Jenny et Giles.
Giles l'interrompit en rugissant et tempêtant ; comment pouvait-il imaginer, et proclamer qu'ils mentent, ou bien inventer une ignominie et un acte pareil ? Comment pouvaient-ils déclarer un tel mensonge ? Et venir ennuyer le directeur, et le déranger dans un moment aussi grave ? Et également faire endurer de telles souffrances à Jenny ? Qu'ils ne plaisanteraient jamais sur un acte ou un fait aussi grave qu'une agression sexuelle sur une femme, qui en touchait bien plus qu'on en croyait.
Giles bouillonnait et tremblait de fureur, d'indignation, et essayant en vain de se contrôler, pour le bien de Jenny ; il sentit alors sa main douce sur son bras remontant doucement et frôlant et parcourant son épaule, pour le calmer, il finit par rencontrer les yeux bruns de Jenny, qui put lire et elle essaya de lui dire silencieusement ; que ça irait, et qu'il devait se calmer, pour ne pas aggraver les choses.
Snyder proposa alors pendant après ce qu'il semblait être un long moment ; une confrontation entre Jenny, Giles et Craig ; si elle était d'accord bien sûr, et c'était une question de procédure et de coutume si jamais la police était impliquée, si Jenny bien sûr portait plainte, et il voulait s'assurer de sa réaction, et la mette à l'épreuve. Et il espérait une nouvelle fois en déclarant, qu'il espérait qu'elle ne mentait pas.
Craig était dans cet établissement depuis longtemps, et il n'avait jamais eu aucune plainte de la sorte, aucun agression ou touché et acte inapproprié ; alors pourquoi, Jenny Calendar se plaindrait-elle de cela, aujourd'hui, maintenant ?
Et Snyder lui demanda, si elle était sûre de ne pas être consentante, ou bien, Jenny ne se souvenait de rien, et a cru qu'elle ne l'était pas ? A ses paroles, Jenny écarquilla les yeux, et devient rouge, d'embarrassement et de gène, et honte pour elle-même et son honneur ; Giles fut indigné devant cette question, qui arrivait tout bonnement comme un cheveu sur la soupe, et qui n'avait aucun sens et aucun lieu d'être posée. N'avait-il pas entendu chaque mot des paroles de Jenny ? Ou faisait-il semblant d'écouter ? Et Giles s'apprêtait à répliquer, quand Snyder, il les coupa, en lui sifflant que ce n'était pas à lui qu'il s'adressait.
Jenny accepta la confrontation, avec prudence et également crainte, de savoir comment son corps et ses nerfs réagiraient à la vue de cet homme.
Snyder accepta, en déclarant "A la bonne heure, je vais aller le chercher, vous, vous restez là." Etant, étrangement, satisfait de cette réponse.
Quelques minutes, plus tard, après ce qu'il s'emblait être des heures pour Jenny et pour Giles, en se regardant nerveusement, et étant tendu et crispé, et inquiet, de ce qui allait se passer, et se dérouler et de propre explication du comportement de Craig, et si elle allait dire la vérité, admettre ce qu'il a fait ou bien mentir.
Jenny était également, nerveuse, tremblante, et l'estomac noué, et jouant nerveusement avec ses doigts, et le bout de ses ongles. Et en étant impatiente d'attendre l'arrivée de Craig, et expirant doucement sa frustration, Jenny finit par s'assoir, fatiguée et lasse de cette tension.
Snyder fit rentrer, Craig, enfin après de longues minutes d'attente ; Jenny se redressa et se leva lentement de sa chaise.
Craig s'approcha prudemment de Jenny, et lui dit qu'il s'excusait que durant cette nuit-là, et la soirée, il avait trop bu, et s'était emporté, et n'avait pas réalisé ce qu'il faisait, ni quoi dire, et il avait mis ses mains malgré lui sur son corps ne voulant pas lui faire du mal, ni faire quoi que ce soit de gênant, et lui dit qu'il s'excusait pour... des baisers volés.
Jenny ouvrit de grands yeux, se redressa, sa colonne vertébrale bien droite ne croyant pas un mot de ce qu'elle entendait, il avait tout inventé et même modifié totalement son histoire et témoignage remettant en considérablement en question ce qu'elle avait dit, quel ordure ! il la ferait passer pour hystérique, menteuse et calculatrice et mythomane racontant à tout le monde qu'elle avait tout inventé , et quant à Rupert, il ouvrit la bouche comme pour protester, sa mâchoire tombant, n'en croyant ni ses yeux, ni ses oreilles de ce qu'il entendait ; Snyder, qui était revenu, à son bureau, avait écouté les excuses qui lui paraissez sincères de son point de vue, de Craig à Jenny ; et les regarda tous les trois très satisfait de cette rencontre.
"Eh bien, voilà qui me semble parfait, Craig, vous avez présenté vos excuses à Mlle Calendar, et je crois qu'elle pourrait les accepter avec facilité étant donné votre sincérité et votre remord."
Mais, Jenny ne voulait pas se laisser faire et s'exclama que ce n'était pas du tout ainsi que cela s'était passé, et qu'il devait refuser tout témoignage venant de Craig et qu'il avait inventé et minimiser certains faits ; "Comme je vous l'ai déjà dit, monsieur le directeur, Craig voulait me forcer à avoir des relations sexuelles avec lui et je n'étais nullement consentante."
Craig avait en effet dit à Snyder que Jenny totalement consentante avec lui ; et si elle racontait tout cela, c'est qu'elle devait avoir des remords ou regretter sa conduite avec lui, et avait sans doute trop bu, ou qu'importe ce qu'elle avait fait ce soir-là.
Giles était également indigné, expliquant avec fureur, la mâchoire serrée et crispée par le stress et l'énervement et la folie pure et dure des événements et de la situation qui dégénérait, en expliquant qu'il avait dû défendre, Jenny conte Craig qui s'était forcé contre elle et avait dû user malgré lui de la force.
Snyder le coupa en déclarant qu'il avait entendu cette version-ci, également de l'histoire ; en répétant mot à mot ce que lui avait dit Craig ; que Rupert Giles l'avait agressé et s'était emporté sur lui, sans aucune raison. Et il finit par demander, en posant une questions très gênantes à Jenny, mais dont il devait la poser, car c'était la procédure ; il y avait-il eu dans la relation et les gestes de Craig envers elle, selon elle, une tentative de viol, et pénétration durant l'acte ?
Jenny avait alors baissé son regard totalement mortifiée et honteuse et impuissante, en secouant la tête de négation ; Snyder la regardant avec profondeur, en déclarant alors que si elle devait porter plainte - ce qu'il lui déconseillait fortement dans cette situation ,n'ayant aucune preuve, même deux témoignages ne suffiraient pas, et n'ayant aucune preuve de viol, ni échantillon vaginale, la plainte n'irait pas loin ; et que ce serait sa parole contre celle de Craig et Snyder, et n'aurait aucune chance de le blâmer, et d'aucune accusation telle qu'elle soit, et surtout tout ce que Jenny réussirait à faire c'est de ruiner sa réputation et son honneur ainsi que perdre des amies et tout perdre, qui le protégerait et protégerait sa réputation.
Giles, cria alors que non ce n'était pas possible, et que s'il avait frappé son collègue c'était pour défendre Jenny, et la protéger d'une agression, qu'il était dans un cas de légitime défense, et que Craig ne pouvait pas s'en sortir impunément. Snyder le fit taire, et lui suggéra calmement de partir, et que de plus, il avait vu au cours de l'entretien Giles, prendre Jenny, et lui toucher l'épaule et le bras, et si elle avait été agressée comme elle le prétendait, elle refuserait son toucher, n'avait en aucun cas l'air traumatisé.
Et Snyder rajouta avec mépris, colère et rage, qu'ils devaient, tous les deux sortir de son bureau immédiatement, s'ils ne voulaient pas être renvoyé, pour lui avoir fait perdre leur temps, et calomnier un collègue.
Giles était furieux et tremblait de rage, mais tenta de se calmer, pour l'amour de Jenny, et la prit par la main, et l'entraina hors du bureau directorial.
Pendant ce temps dans le bureau du directeur, Craig s'était assis, sur un des fauteuils devant le bureau de Snyder, tandis que celui-ci le réprimandait, sans hausser le ton, et d'une voix froide qui montrait très certainement et avec conviction sa déception pour son employé et qu'il pensait qu'il réfléchirait mieux et à deux fois avant d'oser contredire et faire face à Giles et Jenny Calendar.
Snyder contourna son bureau, et vérifia que la porte était bien fermée et que personne ne pouvait les entendre, et il déclara après s'être assis ; "Vous m'avez raconté n'importe quoi et des histoires complètement alternatives à ce que Mlle Calendar a déclaré, Craig, comment puis-je vous faire confiance maintenant ? ; espérons qu'elle n'ira rien raconter, sinon, la réputation de mon établissement sera détruit."
Craig regarda Snyder avec culpabilité, non pas pour ce qu'il avait fait à Jenny, non cela il n'avait clairement et irrévocablement et incontestablement, nullement rien à faire et ne se sentait nullement coupable du point de vue morale, et de la moralité, il déclara ; qu'il ne savait pas que Jenny irait se plaindre à lui, ou alors il avait pensé après avoir commis ce qu'il avait fait et tenté en vain de la séduire, Craig avait pensé qu'elle serait frustré ou en colère après ce qu'il avait tenté, et serait furieuse pendant un temps, mais ne lui en voudrait pas, et qu'elle passerait à autre chose, et que Jenny reviendrait le voir, et continuerait à être ; jamais il ne se serait douté que ça irait aussi loin. Et de plus, se venta-t-il auprès du proviseur, Jenny selon lui, était très clairement et aucunement n'avait montré des signes de lutte ou d'agressivité, et était sans aucun doute consentante, et ne l'avait pas tenté de la violer et déclara "Je respecte n'importe qu'elle femme, jamais j'en forcerais aucune" ; et il dit, qu'elle avait besoin d'un homme fort, et viril, pour veiller sur elle ; mais qu'elle était clairement amoureuse, ou du moins attiré sexuellement et romantiquement par Rupert Giles.
Et qu'il aurait voulu éloigner Jenny de lui, car Giles pourrait être dangereux pour elle, ou avoir une mauvaise influence.
Snyder déclara, qu'il fera tout pour tasser et enterrer cette histoire, affaire, et protéger Craig et la réputation du lycée ; mais qu'il devait quant à lui, garder ses mains baladeuses, et son égo de mâle blessé, pour lui et faire attention à ce qu'il ferait à l'avenir avec Jenny, s'il devait encore la fréquenter, et avoir des rapports professionnels entre eux.
Alors que Jenny et Giles était sortis ; Giles avait entrainé rapidement Jenny jusqu'à sa classe d'informatique, une fois arrivé dans la salle, il ferma la porte avec précaution et soin faisant attention de bien la laisser fermer. Ensuite il se tourna vers Jenny.
Elle était en train de se masser doucement et avec précaution la main, en l'entrainant avec lui, hors du bureau et à travers les couloirs du lycée, Rupert lui avait fait mal, involontairement, et avait pressé trop fort sa main dans la sienne ; elle avait les yeux baissés sur ce qu'elle faisait et ne voyait pas, qu'il était en train de s'approcher avec précaution d'elle, lentement.
Giles avait entendu ce que Jenny, lui disait et ses plaintes et gémissements, qu'il était en train de la blesser à la main ; mais la fureur, la rage et son désir et son urgence à éloigner et protéger, Jenny, d'eux, l'avait emporté et submergé et qui était passé au-dessus de tout et ce qui l'entourait oublier de pensées à s'occuper des plaintes et des halètements de Jenny, lui disant qu'il marchait trop vite et lui faisait mal.
Giles voulut s'excuser, et lui demander pardon, il lui chuchotât ses excuses attirant ainsi son attention, et leva ses yeux buns vers lui, il la regarda profondément en lui disant, craignant qu'elle n'ait pas compris et voulu lui montrer qu'il se souciait d'elle : "Excusez-moi Jenny. Pardonnez-moi."
Giles lui prit doucement sa main dans les siennes, et massa doucement son poignet meurtri par sa force, et ses doigts, voyant la trace grise et les marques qui lui laissera à son plus grand désespoir et regret de l'avoir blessé physique. Elle lui murmura, que cela ne lui faisait pas mal, et que ce n'était pas de sa faute. Tandis qu'il passait ses doigts, et formait des petits cercles apaisant en les frottant doucement, avec ses pouces.
Il la regarda avec attention, tendresse et adoration durant quelques instants, Jenny ne le quittant pas des yeux, le cœur dans sa gorge, et n'osant pas respirer, car craignant que si elle le faisait, si elle osait faire du bruit où le moindre mouvement, qu'elle risquerait de briser le moment, intime et intense ; ils étaient si proches, le regard de chacun dans l'autre. Mais Jenny ne pouvait pas se permettre de rester ainsi éternellement.
Elle sortit prudemment sa main et son poignet, des celles de Giles et de sa chaleur, réconfortante et sécurisante. Elle osa, enfin respirer et détourner son regard, en clignant doucement des yeux plusieurs fois ; alors que du rose se formait, un peu sur ses joues.
Giles se détourna bientôt d'elle, et s'éclaircie la gorge ; en essayant de reprendre son professionnalisme, et prit sur lui, et eut le courage de la regarder, et de lui présenter ses excuses, et lui demander de lui pardonner et comprendre si elle ne voulait plus l'approcher, le fréquenter ou être son ami, et qu'il comprendrait son animosité et sa frustration, sa colère, et sa honte et sa haine, de l'avoir sous les yeux, et comprendre qu'elle ne voudrait plus croiser son regard ; et de l'avoir mis dans une telle situation, car c'est lui qui l'a encouragé à parler avec le principal, c'est lui qui la défendu, c'est lui qui la enfoncé et c'est à cause qu'elle a eu si honte et tellement de problèmes et que sa réputation et son honneur seraient froissés et ne pourrait pas regarder de nouveau son employeur ainsi que son collègue et qu'à cause de lui il avait ravivé et ouvert encore plus profondément ses blessures, et qu'elle ne pourrait pas avoir de possibilité de porter plainte et d'avoir une nouvelle menace au-dessus de sa tête...
Il continua à se blâmer, en réalisant les cent pas de long en large dans la classe de Jenny, qui le regardait simplement et l'écoutait ; il lui dit que s'il n'était pas là, elle n'aurait pas autant de problèmes.
C'est à cet instant, à cette phrase qu'elle l'arrêta, et lui dit de se taire et d'arrêter de se blâmer ; qu'il n'était pas en faute, qu'elle avait énormément, beaucoup de chance de le connaitre et de l'avoir pour ami, et l'avait sauvé ce soir-là, qu'il avait fait tout ce qu'il pouvait pour la soutenir et l'aider face à cette situation, sans lui, elle ne serait jamais allée voir Snyder pour lui parler de Craig, et elle ne serait pas allée non plus à la police, car en effet il n'y avait aucune preuve...
Giles commença à protester, qu'il devrait y avoir un moyen, pour elle, de faire connaitre la vérité, de porter plainte, et de se dégager de ce poids ; et elle le coupa à nouveau en disant :
"Je ne veux plus avoir à revivre tout cela, je veux tout oublier, et pour moi, le meilleur moyen d'y arriver c'est de ne pas porter plainte ; et que je ne me considérais nullement comme une victime, Craig et peut-être un monstre, mais cela ne fait pas de moi une victime, et je refuse de l'être car j'ai failli être agressée... S'il vous plait Rupert, laissez-moi, décider, je ne veux plus y penser, ni revivre ça ; laissez-moi au moins cela, s'il vous plait."
Giles baissa son regard, lui avouant qu'il ne la voie pas comme une victime, et lui dit une nouvelle fois combien elle était courageuse et admirer sa force, et lui dit que c'était rare qu'une femme victime de telle violence, et de viol, ne se blâme pas pour ce qui leur est arrivé, malgré le fait que bien sur elle n'y était pour rien ; il ne comprenait pas qu'une femme puisse se blâmer alors que c'était au violeur d'être à blâmer et de se blâmer, et il lui dit à quel point sa personnalité et elle était rare et précieuse.
Jenny rougit davantage en baissant son regard, en lui murmurant un faible merci. Alors qu'il s'avançait vers elle, et glissa son index sous son menton, et lui fit relever doucement son visage et son regard vers lui ; il passa son doigt contre les traits de ses pommettes, ils ne dirent rien pendant un moment, et ne voulant pas briser son contact, il passa prudemment ses mains contre les côtés de son visage, prenant son visage en coupe, et berçant son visage dans ses mains, avec tendresse et affection, et Jenny lui sourit doucement avant que son sourire ne se brise.
Giles, se rendit compte de ce qu'il faisait, et retira ses mains prudemment, Jenny voulu briser leur connexion et sa position en face de lui, pour se diriger vers son bureau, mais Giles l'arrêta, en plaçant une contre sa hanche, voulant lui parler encore un peu ; au contact Jenny sursautât et se figea, elle leva des yeux écarquillait et incrédule vers lui, Giles, se figea également, se glaçant, réalisant que sa main était contre sa hanche, il la retira rapidement, voulant s'expliquer, et lui dit qu'il s'excusait pour avoir autant insister sur le fait de dénoncer Craig, et qu'il n'aurait jamais dû insister et pousser, et la forcer, qu'il voulait simplement la protéger , pour qu'elle se défende, et voulait se pardonner d'avoir été aussi stupide et imprudent autour d'elle, et avait sans doute faillit gâcher de et réaliser des dommages face à son traumatisme.
Jenny lui sourit, en le remerciant pour ce qu'il avait fait ; mais n'avait rien à lui pardonner, et rester son ami, pour elle, pour toujours.
Quand Giles voulut, partir, alors qu'il n'était que dans l'embrassure de la porte, Jenny l'appela une nouvelle fois, le faisant si figeait ; il se retourna, alors qu'elle s'approchait prudemment de lui, essayant de se composer et d'essayer de se concentrer sur qu'elle s'apprêtait à lui demander, à lui dire, elle rougit doucement et parut si timide tout à coup, elle murmura :
"Depuis que Craig... Depuis qu'il m'a embrassé de force, je n'ai jamais ressenti un baiser, ou une véritable affection pour quelqu'un, et j'aimerais ressentir de la tendresse à nouveau, quelqu'un qui m'aime vraiment." Jenny fit une pause, se concentrant et déglutit doucement, le regardât dans les yeux alors qu'elle prononça les mots suivants, il attendit le souffle coupé, "S'il vous plait Rupert... J'aimerai, j'aimerai que vous m'embrassiez... Je sais que vous pensez que ce serait indécent de notre part, surtout si vous ne ressentez pas pour moi, mais j'aimerai un baiser d'affection et reconnaissance."
Giles se glaça face à ses paroles, il voulut lui crier qu'il accepterait tout ce qu'elle voudrait, qu'il lui donnerait tout au monde jusqu'à la lune, il voulait se pencher avec hâte et joie, plaisir, il dégluti à nouveau, réfléchissant à ce qu'elle avait dit avec anticipation et anxiété, craignant sans doute qu'il refuse catégoriquement, elle le regardait attendant sa réponse, il lui dit qu'il acceptait de lui donner ce qu'elle lui demandât, mais ne voulant pas l'effrayer, il prit son temps avec anticipation et peur, il voulait lui dire combien il l'aimait et surtout que ce baiser signifiait beaucoup plus qu'un simple baiser d'amitié, il baissa son visage vers elle, et Jenny inclina sa tête vers lui, il l'embrassa lentement, en pressant ses lèvres, dans un baiser simple et chaste, en pressant, quelques baisers sur ses lèvres.
Quand il se recula, les yeux de Jenny étaient fermés, et savourant et profitant le plus possible de ses baisers, finalement, elle rouvrit ses yeux, et lui murmura un "Merci."
Jenny avait été dans l'attente et l'anticipation de ce qui allait arriver, savourant le fait d'avoir et de sentir les lèvres de Rupert sur les siennes, se fut des baisers chastes, et comme toujours, comme d'habitude, il fut un parfait gentleman et d'une excellente courtoisie, il n'avait pas essayé d'écarter ses lèvres de profiter de l'instant, et n'avait pas essayé de profiter d'elle, ce qui la rassurait ; elle avait senti Rupert s'écarter légèrement et sentit son souffle sur ses lèvres avant de se pencher à nouveau et pressa des baisers de plumes et chauds, humides contre elle.
Son plaisir et son désir se répandant à travers son estomac et fit palpiter des papillons à l'intérieur.
Jenny ne savait pas que quelqu'un les avait regardés, et surveillé ; cette personne était Natasha, et avait regardé la scène les yeux écarquillées, et avec une véritable horreur sur son visage, et choc et incrédule, sa mâchoire se détacha lentement, les lèvres écartées, tandis qu'elle se cachait du mieux qu'elle put derrière le mur, tout en les regardant.
Malheureusement, les choses ne s'arrêteront pas là, pour Giles et Jenny, les ennuis ne s'arrêteront pas où elles en étaient finies au moment où ils quittèrent le bureau du principal, ni après que Snyder leur ait dit que ça ne servirait à rien de porter plainte ; et les ennuis continueront, après leur tête à tête, et cœur à cœur, et baisers de gratitude... Et les problèmes ainsi avec Craig et les amies de Jenny ne feront que s'intensifier, cette fois avec, des ragots rumeur, colporter par Craig, et des gestes et des interactions que Mathilda et Natasha avaient observé malencontreusement, accidentellement ou à des moments opportuns et à des moments où elles ne s'y attendaient pas ; et elles décidèrent d'agir en croyant faire ce qui était bien ; cette fois en faisant appel à Béatrice...
En sortant, du bureau de Snyder, Craig se dirigea directement vers la salle des professeurs, voulant parler avec Mathilda et Natasha et ayant une idée préconçue de ce qu'il voulait colportée comme idée et mensonge, et rumeurs ; autour de Jenny.
Quand il arriva, dans la pièce des enseignants, il était tout seul, mis à part, que les deux enseignantes de mathématique, étaient les seules présences dans la pièce ; cela allait rendre beaucoup plus facile sa tâche pour leur parler seule à seule, comme il l'avait prévue. Craig, alla vers son casier et y sortit des livres ainsi que certaines copies et cours des prochaines heures ; essayant de ne pas paraitre trop impatient à parler avec les filles, et pris son temps pour prendre ses affaires, et se dirigea vers un des coins de la salle où il put se servir un café.
Quant au moment où Craig était dans ses pensées, Mathilda l'appela, après s'être levée de sa chaise près d'une table où elle était assise près de son amie, et lui fit un signe de la main, pour attirer son attention sur elle, pour l'encourager à venir la rejoindre, elle et Natasha :
"Salut, Craig, tu as encore quelques instants ? Vient donc t'assoir avec nous."
Craig sourit doucement, à Mathilda, et essaya de cacher sa grimace, et sa victoire de pouvoir avoir l'occasion de leur parler, il s'avança, et leur donna un bref bonjour, tandis que Mathilda lui demanda, ce que lui voulait le principal Snyder ? Et si cela était grave, ou si c'était quelque chose de personnel, important ? Ou si cela avait avoir avec la réunion des enseignants en fin d'année, pour ce qui avait un lien avec les emplois du temps et les programmes scolaires de l'année suivante...
Craig répondit que ce n'était absolument rien de tout cela, et que le fait est que c'était grave, et que Snyder voulait son témoignage quant à ce qui s'était passé un soir, la semaine dernière, alors qu'il était avec Jenny - il ne dit pas le jour exact, ni la soirée - mais il déclara à Mathilda et Natasha, que Giles avait essayé de l'accuser d'avoir violenter et abuser de Jenny pour la soirée, et prétendu qu'elle ne voulait pas être avec lui... , et que Giles l'avait frappée pour soit disant, défendre et protéger Jenny.
Les deux jeunes femmes ouvrirent de grands yeux, leurs lèvres et bouches entrouvertes tandis qu'elles haletèrent de choc ; tandis qu'elles s'apprêtaient à s'indigner et à protester contre cette injustice, Craig les coupa, pour vouloir continuer son récit ; Natasha l'encouragea ainsi que Mathilda à continuer...
Craig raconta ainsi toute l'histoire et le récit de la soirée de l'agression qu'il avait en réalité portée sur Jenny ; mais il a volontairement déformer entièrement le récit, en modifiant certains passages, faisant ainsi passer les actes de Giles pour lui-même, et ainsi les actes que Craig avait en réalité - selon son témoignage et ses mensonges donnés aux amies de Jenny- commis comme une faute sur Giles ; Il déclara, qu'il avait voulu donner rendez-vous avec Jenny, en passant une soirée avec qu'elle, quand Jenny fut abordée et coincée par Giles, qui l'avait agressé et tenter d'abuser d'elle, et lui voler un baiser. Et il dit que c'était un homme très dangereux pour Jenny, et devait l'éloigner de lui, et qu'il avait une influence grandissante sur elle, et Jenny était tellement naïve, jeune et innocente qu'elle ne se rendait nullement compte, ni consciente du risque qu'elle prenait en étant en sa compagnie, constante. Et était très influençable, et têtue de vouloir être amie avec un homme comme lui, et surtout trop bonne et bon cœur pour son propre bien, prête à aider les autres et surtout quelqu'un comme étant solitaire et associable comme Rupert Giles, prête à l'aider, à lui tenir compagnie et l'aider à sortir de sa coquille.
Et Craig déclara, qu'il avait vu plusieurs fois Jenny seule avec Giles ; et les avaient vues, dans certaines conversations, qui n'avait pas lieu d'être, et murmurant à voix basse, et avait vue Jenny rougir à plusieurs reprises, et l'avait vue sortir de la bibliothèque, en riant avec Giles, sa tenue, sa robe, ou sa veste légèrement mal ajustée, ou remise mal, et débraillée.
Mathilda et Natasha l'écoutèrent bouche baie, alors qu'il leur chuchotait toutes les informations et calomnies qu'il pouvait, et ne voulant être entendue de personne sauf elles. Et à la fin de la conversation, ils les laissèrent pour se diriger vers son laboratoire de chimie, leur faisant avant de partir de ne rien dire, et surtout pas divulguer d'informations et ne le divulguait à personne d'autre de l'établissement ; Craig ne voudrait pas que tout le lycée le sache et que Jenny soit sous les feux de rumeurs. Elles hochèrent toute deux la tête, les marchoirs crispées et nerveuses.
Craig se détourna avec un sourire malicieux et malveillant sachant qu'il avait réussi avec ce qu'il souhaitait, prêt à faire tomber Jenny Calendar et Rupert Giles. Il ne voulait pas en rester là où était resté Snyder en déclarant qu'ils ne devaient pas porter plainte et surtout les menacer de les renvoyer, Craig voulait plus et qu'ils aient des ennuis, comme par exemple soupçonner d'avoir des relations entre collègues, ou des relations intimes, et autres calomnies inimaginables…
Mathilda resta silencieuse pendant un long moment, alors qu'elle était encore dans la salle des professeurs durant encore une heure avant de retrouver sa classe pour un cours d'arithmétique, ainsi qu'avec Natasha ; elle continua de penser et ressasser inlassablement et continuellement, les aveux et confidences de Craig à propos de Jenny ; elle ne pouvait pas y croire, mais si, si, c'était absolument la vérité et ce n'était certainement pas des erreurs, il n'aurait certainement pas ni imaginer tout ceci, Mathilda, avait toujours su au fond d'elle-même et avait même prévenue Jenny à ce sujet, que Giles était un homme étrange, complexe bizarre et, anormale, et qui suggérait la méfiance, et dangereux, et totalement associable, antisocial et individuel et donc totalement le contraire et l'opposé d'un homme seul, qui fréquentait et avait une amitié avec une jeune femme, aussi pétillante, sociale, pleine de vie, douce, gentille et agréable, un ange, elle était le symbole et la définition même du calme, de la sérénité et la paix intérieure, et était totalement charmante, Jenny Calendar, qui représentait absolument tout le contraire de Rupert Giles ; ils étaient l'opposés, et était le jour et la nuit.
Et Jenny ne l'avait pas écouté, depuis le moment, où les jours qu'elle l'avait rencontré, Mathilda avait eu le sentiment et le pressentiment que quelque chose d'étrange et peu orthodoxe était liée à Giles, et qu'il était sans doute lié à des choses étranges, pas normal, et terriblement dangereux, sombre et austère ; et Jenny ne s'en était pas préoccupé, nullement, elle voulait se lier d'amitié avec lui, l'aider, et était toujours prête à aider et protéger les plus démunis et ce qui avait toujours des problèmes, et qui était plongé dans la solitude, ou les personnes qui avaient besoin de réconfort et fragile, instable.
Jenny avait un trop grand cœur et généreux, et un cœur gros et était vaillant.
Et Mathilda s'avait avec certitude, assurance, conviction et une confirmation féroce, tous ces adjectifs que Giles avait dû profiter d'elle d'une manière ou d'une autre, avec des moments et situation préparée ou inattendue, il a dû la séduire, au point que Jenny ne sache plus faire appel à son meilleur - bien que selon Mathilda pensait que Jenny ne savait pas trop comment juger les gens avec une bonne manière impartialité, et qu'elle ne savait pas quel côté bon ou mauvais d'une personne - jugement, ou intuition, et qu'elle avait était aveuglé totalement ; Mathilda savait que Giles utilisait, pouvait faire appel aux arts sombres, et pouvait être diabolique et avait une face sombre, une face cachée ; et était douté. Et si par malheur Jenny, l'avait suivie et commencée une relation ou une amitié profonde et sérieuse avec Rupert Giles, de son plein gré en sachant les risque et ce qu'il était, et pouvait être et accomplir Mathilda décida et jugea que son amie, était encore plus stupide et une véritable imbécile, encore plus qu'elle ne l'aurait pensé.
Au fils de ses pensées, et tout au cours alors qu'elles étaient en train de parcourir et passée dans toutes les directions, chemins, et neurones, vaisseaux sanguins de sa tête et son cerveau, au sujet de ce qu'elle pensait de Jenny, et de sa relation avec Giles ; et de ce qu'elle avait elle-même vu, quand elle les avait observés ou alors surpris seule ensemble. Mathilda ne pouvait empêcher le flux de pensées, d'opinion et d'idée et de théories malsaines l'affluer ; tout au long de son voyage spirituel et cérébral.
Mathilda pendant qu'elle était en train d'écrire ses cours, et corriger certaines copies, regarder nerveusement, à certains instants autour d'elle, pour s'assurer qu'il n'y avait personne autour et surtout pas une personne indésirable comme Giles, elle bougeait nerveusement, inconfortablement sur sa chaise dans tous les sens, angle et l'étendue et la surface de toute sa chaise, en dansant sur sa chaise, et se tortillant. Mal-à-l'aise des pesées la traversant, et sombre, elle fut coupée et renvoyée à la réalité et au présent, par la voix de Natasha, et sa demande de se clamer :
"Mathilda ! Mathilda arrête de te tordre ou te tortiller comme ça ! ça commence à me rendre mal-à-l'aise, me stresser et m'énerver." Natasha lui chuchotât d'une voix sifflante, en fouillant ses yeux et cherchant son regard, elle continua dans un murmure "Qu'y-a-t-il ? Tu parais nerveuse et énervée."
Mathilda se tourna alors vers Natasha, pour lui faire face, et lui expliqua au combien elle était nerveuse, et anxieuse, énervée et surtout très perturbée et confuse par ce que Craig leur a dit, et ne serait pas étonnée si Giles avait tenté quelque chose sur Jenny, car il lui semblait tellement instable et étrange, et parfaitement douteux ; et lui avoua également, qu'elle avait surpris Jenny sortir de la bibliothèque tard, certains soirs entre 8 h et 9 h du soir, bien après la fin des cours et la fermeture de l'établissement.
Jenny avait ses livres d'informatiques, et certains de niveau de l'école primaire, et des livres de bases et de niveau d'apprentissage avec elle ; elle riait avec Giles et étaient très proche l'un de l'autre, avant de se quitter il lui avait fait une bise, sur une de ses joues, et Jenny lui avait rendue son baiser. Mathilda avait un jour trouvé, Giles, dans la salle de cours, le laboratoire d'informatique, entre deux cours de Jenny ; elle avait voulu rentrer dans la salle, au moment Giles partait, et Mathilda avait demandé à Jenny ce qu'il voulait et de quoi il avait discuté ; et bien sûr a répondu et avait s'en doute menti, selon Mathilda, et soit disant déclara que "Rupert" voulait juste lui poser une question et des informations, et si il pouvait déjeuner avec lui, dans son bureau à la bibliothèque le midi ; Et Jenny, avait répondu et sortie plusieurs fois ce type d'excuses pour explique Giles, et Giles aussi avait répondue ce genre d'excuses d'avoir une question à poser, ou bien une conversation entre collègues.
Natasha écouta, curieuse et avec sidération et hésitation, se demanda si elle devait ou non révéler ce qu'elle avait vu, et avait voulu se convaincre que Mathilda se tromper, mais ce qu'elle avait vu se dérouler plus tôt dans la matinée entre Jenny et Giles lui permit de se convaincre que non, elle ne se trompait pas, ni l'une ni l'autre ; Natasha prit une profonde inspiration, et dit également ce qu'elle avait vue se dérouler, elle aussi de son point de vue, certains événements était les mêmes que ce que Mathilda avait décrit, et aussi avait vue l'évolution de la relation entre Jenny et Rupert Giles évoluait au cours de l'année, à une grande vitesse et à une considérable avancée et avec une grande transformation inattendue qu'elle n'aurait jamais pu soupçonner étant donné comment leur relation avait débuté ; Natasha avait vue Jenny rire avec Giles, et également le bibliothécaire rire, ensemble, elle l'avait vu lui toucher l'épaule ; elle les avaient surpris un jour dans la salle de la cafétéria, elle était partie et puis était revenue quelques minutes plus tard car elle avait oublié son sac, et les deux ne l'avaient même pas vu rentrer, ni partir, mais elle avait, quelque chose sous la table qui l'avait fait écarquillé les yeux, Giles frottant son pied sur la cheville de Jenny, et vice-versa, Jenny plaisant avec lui et lui chuchotant des taquineries, ses taquineries habituelles, et avait frotté son pied le long de sa jambe, ainsi que poser sa main sur le genou de l'homme.
Natasha les avaient vue de nombreuses fois, se faire la bise, et Jenny rougir ; et surtout avait surpris Giles, bégayant plus fréquemment et intensément que d'habitude, il l'avait vue la regarder, son dos, le bas de son dos, et ses fesses, elle l'avait vue observer quand elle se penchait pour récupérer, des gâteaux et friandises dans le distributeur automatique réservé aux enseignants et se trouvant dans leurs salles des professeurs, Natasha l'avait vue plusieurs fois se pencher et récupérer ses friandises, et Giles l'avait observé un œil discret, et essayant de ne pas être vue, il détournait parfois le regard, observant le boue de peau nue du bas du dos de Jenny exposée. Natasha les avait plusieurs fois entendu chuchotés et se parler d'une voix basse, sur des choses, sujets plutôt étranges et qui n'avait pas lieu d'être sur leurs lieux de travail, et sur certains sujets paranormaux, leur tête se penchant l'une contre l'autre trop près, très près, se touchant à peine...
Mathilda la coupa et lui dit, d'une voix pressante, et grave et précipité et sérieuse ; A quel point, elle avait raison, et surtout que Natasha ne pouvait plus nier les faits et les reniées ou faire semblant que tout ceci n'existait pas, contredire ce qu'elles ont découverts et le réfuter, et le désavouer ; elles avaient toutes les deux vues la même chose à plusieurs reprises, et surtout Natasha qui en avait vue beaucoup plus voir pire. Et Mathilda déclara qu'elles devaient faire quelque chose, et intervenir, elles ne pouvaient pas laisser cette relation continuer, ne s'y aggraver, et continuait à ce qu'elles continuent et laissent évoluer, jusqu'au drame.
Ella avoua enfin, qu'elle les avait vues plus tôt en train de s'embrasser, plus tôt cette journée-là, alors que Giles sortait de la classe de Jenny. Mathilda ouvrit de grands yeux, écarquillés et choqués.
Alors elles pensèrent ce que Craig leurs avaient dit ; et Natasha dévoila qu'elle aussi avait vue Jenny, sortir du bureau de Giles les cheveux légèrement ébouriffer et quelque peu décoiffé, avec des joues rosies.
Mathilda déclara alors, que cela faisait un peu trop de contact humain pour une personne tel que Giles, qui était définitivement une personne insocial et nouvel connaitre personnes du corps enseignants ; elles devaient agir, avant que cela se termine en drame, et une agression qui avait presque eu lieu. Elles devaient sauvées leurs amies. Et si Giles décidait après Jenny, d'agresser une élève, après tout personne ne le connaissait.
Natasha était perplexe, nerveuses et confuse, ne sachant pas si c'était la bonne chose à faire, si elle devait, après tout, les laisser faire ; et déclara que Jenny était une adulte et savait ce qu'elle faisait, et si c'était sa décision, et bien, cela la regardait.
Mathilda lui dit que non, Jenny ne savait pas, elle ne pensait clairement pas d'elle-même. Et qu'elle était jeune... Pourtant Natasha était plus jeune que Jenny.
Jenny était innocente, jeune inoffensive, et c'était leur amie, leur Jenny de laquelle elles étaient en train d'évoquer, Jenny qui était en danger, et sans défense dans les griefs d'un homme, Jenny, douce Jenny, leurs Jenny et amie, et qui méritait bien mieux.
Mathilda et Natasha décidèrent d'aller voir Béatrice Rousseau, étant une femme, et plus proche du directeur, et de l'éducation, pour pouvoir intervenir, et surtout elle serait bien plus et bien plus impliquée et compréhensive qu'un homme, et serait davantage en mesure d'aider en toute discrétion Jenny et de la comprendre et lui parler ; elles rassemblèrent leurs affaires et partirent en direction du bureau de la CPE (Conseillère Principal d'Education).
Le lendemain matin Jenny arriva pour une nouvelle journée au lycée, heureuse et détendue, comme on pouvait si attendre, la nuit porte conseil et apporte la lumière, la sécurité et la paix intérieure ainsi que le renouveau d'une nouvelle journée peut-être heureuse ; Jenny avait entendu parler de cette maxime plusieurs fois au cours de sa vie et au cours des moments de solitude et de situation difficile, et elle a toujours su comment l'utiliser et quand c'était nécessaire de s'en souvenir, et l'avait toujours suivi et aimait s'aider de ce dicton au cours de ses nombreuses luttes et combats. Pour sa nouvelle, Jenny arrivait et avait commencé en souriant, heureuse, calme et posée sachant que ce qui s'était passé la veille serait loin derrière et voulait à tout prix oublier et était prête à le faire ; non seulement ceci, mais elle ne cessait de repenser à Rupert et à elle-même et ce qui s'était passé entre eux le matin dernier, alors qu'ils étaient seuls dans sa classe, leurs échanges, et la demande de baiser de Jenny à Rupert, elle rugit à sa demande audacieuse, sachant qu'elle a toujours voulu qu'il l'embrasse, et lui apporte un certain réconfort, d'affection, et un certain amour amical, et en même temps de la promesse, Jenny osait se l'espérer.
Jenny avait apprécié, aimât et adorait repenser au contact encore et encore, Rupert sur elle, et leur moment d'intimité, où il n'était que deux, ensemble, dans une bulle en dehors du monde extérieur et le monde réel où Jenny pouvait s'imaginer que peut-être, juste peut-être Rupert pourrait l'aimer, ou avoir un certain amour ou désir qu'il voudrait être plus pour elle, et être ensemble.
Jenny rougissait et était toujours dans son univers et nuage de velours blanc et pur face à tout ceci, lorsque qu'elle arriva à son casier, et vit une note de Béatrice, lui demandant de venir dès qu'elle serait au lycée, et immédiatement, dès qu'elle verrait son message, et que Jenny vienne à son bureau, pour des questions préoccupantes et inquiétantes à son sujet, et surtout des questions d'enquêtes sur son comportement, et que la CPE aurait reçu les témoignages de ses amies, et ses véritables implications émotionnelles et relationnelles avec Rupert Giles et son travail professionnel avec lui.
Après avoir lu la note, l'estomac de Jenny coula, et s'écroula, comme une grosse brique au creux et au fin fond, plus profond de son estomac, l'attaquent ainsi et lui fit ressentir un grand insurmontable stress et inquiétude et vent violent la traversait comme une tempête, et une catastrophe ravagent son corps, ses pensées, son esprit, et ses entrailles. C'est comme ceci que les pensées de Jenny, pouvaient être décrit en cette instant, craignant et étant terrorisée par ce qui lui attende dans le bureau de Béatrice Rousseau ; malgré qu'elle n'eût rien fait de mal, et n'ayant rien à se reprocher l'angoisse grandisse, et mille et une questions se posaient à elle, et ainsi que plusieurs scénarios se créaient et se mélangeaient dans sa tête.
Alors et tandis que Jenny se dirigeait lentement et résolument au bureau de Béatrice, d'un pas résolument et fermé, prête à faire face à son destin et ce qui l'attendait.
Quand Giles fut arrivé à la bibliothèque ce matin-là bien avant les autres, Béatrice Rousseau l'attende à l'intérieur de la bibliothèque, il fut intrigué et légèrement inquiet par sa visite soudain et inattendue, et c'est à ce moment-là que son cœur bascula et coula ; alors qu'il pensait qu'il passerait une agréable journée et avec des moments heureux et de bonheur emplissant sa tête, et que l'affaire Craig était loin derrière lui et fut remplacé par le souvenir des baisers échangés avec Jenny, et ses douces lèvres contre les siennes, Giles avait été dans un moment d'unique bonheur et de plénitude, lui expliquant qu'il vienne immédiatement dans son bureau ; pour qu'elle lui pose des questions et obtienne sa version des faits, à part, et hors d'entente de Jenny.
Et quand, Giles, le cœur battant d'anticipation de nervosités, et les mains moites d'inquiétude, il était légèrement exaspéré par le fait que Béatrice ne lui dise rien de ce à quoi il s'agissait quand il voulait obtenir des réponses se pourquoi il devait l'avoir et en quoi il était impliqué et sur quel sujet, il avait les poings et la mâchoire serrée, et surtout les dents et la mâchoire qui lui faisait de plus en plus mal, en rentrant dans le bureau de la conseillère, il fut stoppé net, par sa stupeur et ses yeux écarquillés et son incrédulité, et également par le fait qu'il se rendit compte peu à peu que c'était certainement plus grave que ce à quoi il pensé ; les deux amies de Jenny étaient également dans le bureau, et l'attende très certainement - elles avaient dû avoir eu vent de ce qui s'était passé avec Jenny et avaient s'en doute entendue des rumeurs colportées par soit Snyder soit certainement Craig, et ils avaient fait en sorte que ça arrivent directement devants les deux jeunes femmes - lui et Jenny ; elle arrivera quand il aura fini son témoignage et sa version des faits.
Giles voulut sortir un instant du bureau de Béatrice, pour se calmer, et essayer de cesser de trembler, et adoucir sa voix, qui avait pris et était à la ligne limite de la colère, et fureur, et des tremblements, ses mains, surtout ces doigts étaient incontrôlables ; la CPE l'avait interrogé sans aucun jugement, et une grande patiente et surtout pour essayer de démêler le vrai du faux, sans se préoccuper avec une once de doute s'il était coupable de quoi que ce soit. En revanche, au contraire de Béatrice, Mathilda et Natasha, surtout Mathilda, avait été beaucoup plus défensive et piquante, pointue sur et en intervenant après chaque réponse de Giles, et voulait à tout prix trouver le moindre indice ou faillit de la décadence et ainsi le faire chuter ; elle voulait à tout prix écraser le moustique. Elles étaient défensives et accusatrices, et fournisses des preuves ou plutôt des preuves verbales - qui donc n'avait aucun effet ou pouvoir, et serait déclaré nul devant un juge - pour soi-disant protéger leur amie de lui, alors qu'elles étaient tous deux en totale dénis et dans le faux.
Pendant qu'il s'était appuis sur un mur, la tête inclinée dessus pour permettre à ses yeux d'être au repos en les fermant, les mains dans les poches, et les sorti, pour en caler un son visage, la paume pressée contre son nez ; tout en inhale et expirant de l'air.
Il entendit au loin, dans les couloirs à plusieurs mètres de là, mais comme si le bruit arrivait dans le lointain, à plusieurs milliards d'ici, et crier dans ses oreilles, des pas et claquements de tallons arrivent peu à peu dans sa direction dans le couloir ; en rouvrant les yeux, il vit au loin que c'était qui arrivé. Il se recula du mur où il était à ce moment calé, et essaye de paraitre rassuré et sûr de lui, pour la rassurer, et lui montrer qu'il pouvait être confient, car oui c'était le cas il n'avait rien à se reprocher et il n'y avait aucune raison d'être accusé de quoi que ce soit, car il était pratiquement certain qu'elle devait être aussi effrayée que lui, si non plus ; et se demandait sans doute encore plus de questions ce pourquoi Jenny était demandé dans le bureau de la conseillère d'éducation.
Quand Jenny vit Rupert au loin, quand elle tourna dans un couloir, elle fit un large sourire, qui était plus ou moins serré par l'anxiété et nervosité, alors qu'elle avait longé les couloirs et s'était dirigé de la salle des professeurs au bureau de la conseillère, mais voulait sembler être forte, et si dirigea et pressa, dépêcha ses pas dans sa direction, quand elle fut à sa hauteur, elle lui demanda :
"Rupert ! Bonjour, que se passe-t-il ? pourquoi Béatrice veut nous voir ?" demandât-elle en chuchotant pour ne pas attirer l'attention en se pressant légèrement contre lui, en murmurant à son oreille et profita pour l'embrasser sur la joue. Rupert lui rendit son baiser, et lui dit qu'il avait déjà été interrogé. Et lui dit en murmurant :
"Vous ne vous inquiétez pas, Jenny, il n'y a rien à se reprocher, on n'a rien fait de mal, restez calme surtout, vous êtes innocente, tout va bien se passer. Je crois que cela à avoir avec cette affaire sur ce Craig. Répondez simplement aux questions et tout se passera bien, restez calme" Rupert la guida vers le bureau, en posant sa main contre le bas de son dos, Jenny pouvait sentir la chaleur de sa paume entrer à travers elle, et son épine dorsale, l'électrocutant et lui envoyant de la chaleur, même à travers son chemisier. Giles ressentit la même chose en la touchant, il voulait la réconforter devant ce moment et cette épreuve, voulait pouvoir la consoler et lui montrer son soutien à travers un simple toucher que celui de poser sa main contre son dos.
Rupert la suivant, jusqu'au bureau, où Jenny sentit, qu'il retirait sa main, alors qu'après avoir frappé, contre la porte entrouverte, elle rentra prudemment ; et essaya de sourire à Béatrice, mais quand elle vit en déplaçant ses yeux et son regard à travers la pièce, que dans son bureau se trouvait également, Mathilda et Natasha, son regard s'écarquilla d'inquiétude et de crainte, se demandant ce qu'elles faisaient là, et essaya de rester néanmoins calme, et paraitre innocente et inconsciente, se demandant dans le même instant pourquoi Rupert ne lui avait pas prévu que ses amies étaient ici et sans doute convoqué, peut-être n'avait-il pas eu le temps de le faire ? Oui cela devait être ça décida Jenny.
Jenny demanda avec curiosité, si elle devait revenir plus tard étant donné que Mathilda et Natasha se trouvaient ici et qu'elle devait sans doute déranger. Mais Béatrice en se levant, la rassura et lui dit que non, qu'elles l'attendaient ainsi que Rupert, pour discuter et lui poser des questions sur sa relation avec lui, et surtout vérifier certaine rumeur et propos ainsi que sa relation avec Craig.
Jenny respira doucement, en hochant prudemment la tête, c'était donc pour cela, qu'elle était ici en ce moment, Rupert avait raison, et ainsi que ses soupçons qui avaient pénétré doucement sa tête à partir de l'instant où elle a lu et reçu la note de Béatrice.
Giles s'adossa à une table, les mains dans les poches, crispait et la colère, et l'anxiété reprenant le dessus sur lui-même, ainsi que des yeux écarquillés et la colère bouillonnant en lui devant, ses filles et ses pies, stupides, et il paraissait particulièrement furieux.
Jenny vit que Rupert se crisper d'avantage, devant toutes ces insinuations, ses calomnies et ses horreurs, et ses rumeurs infondées d'avoir fait du mal à Jenny, une jeune femme si gentille si innocente et pur, qui ne méritait nullement aucune méchante, n'ayant jamais fait de mal à personne, ses mâchoires ainsi que ses points et tandis qu'elle écouta Béatrice lui expliquer sans détour, sa convocation ici, et sa présence.
Ses amies, ainsi que collègues, Mathilda et Natasha pensent qu'elle entretient une relation malsaine et tordue dans l'enceinte de l'établissement avec Rupert Giles, et qu'il avait peut-être abusé d'elle, et qu'il l'intimidait, et restait beaucoup trop de temps avec lui, et la privent ainsi de tout autre lien social et autre relation, avec ses collègues et aillent fait l'usage de magie noire et de démonologie. Et les avaient toutes deux surpris à plusieurs reprises ainsi que Craig dans des positions ou situations compromettantes. Et que Giles avait abuser d'elle, le soir de la fête de la promo au Bronze.
Tandis que Béatrice détaillait de plus en plus les explications et les faits racontés ou bien inventé, les yeux de Jenny s'agrandirent de plus en plus de choc et de dégout, et de honte devant ses amies, et s'arrondissant de plus en plus. Elle comprit immédiatement et rapidement, qu'elle devait à tout prix dire la vérité sur sa relation qu'elle entretenait avec Rupert, et fournir quelques explications face aux situations et déclarer qu'elles étaient celles qui étaient vraies de celles qui étaient inventées, à Béatrice , Mathilda et Natasha, et les différents malentendus ; et expliqua ce qui était réellement arrivé ; et ce qui s'était passé avec Craig cette soirée-là et que Rupert l'avait sauvée - en ne révélant pas qu'elle a failli être violée - qu'au début, ils n'étaient pas en très bons terme, et avait commencé leurs relations sur de mauvaises bases et dans de mauvaises conditions, mais que peu à peu leurs différents s'étaient apaisés et calmés, tranquillisés, pour devenir une amitié, et que Jenny avait commencé à donner des cours particuliers à Rupert pour qu'il comprenne les bases informatiques, qu'ils avaient passés du temps seule à la bibliothèque pour discuter comme de bons amis, boire un café et du thé, et avaient profité de certaines occasions pour manger ensemble, que parfois ils aimaient se taquiner et se chamailler, et ils étaient un ou deux soirs pour manger ensemble et fêter l'anniversaire de Rupert, et qu'en effet, Giles l'avait embrassé pour un baiser amical et de remerciement et d'affection. Mais que jamais, Rupert n'avait été violent avec elle, ou lui interdire quoi que ce soit, l'empêcher de voir ses amies, ou possessif et jaloux...
Leurs relations étaient tout ce qu'il y avait de plus normales, de platoniques, d'amicales et de saines. Et qu'ils se respectaient l'un et l'autre.
Béatrice semblait satisfaite, car le témoignage de Jenny ressemblait en tout point et cordonnait avec celui de Giles, et qu'il était rempli d'honnêteté. Et qu'ils n'avaient rien à se reprocher. Et que Mathilda et Natasha s'inquiète pour rien ; mais Mathilda ne semblait pas prête à abandonner et n'était pas satisfaite ni convaincue, et paraissait de très mauvaise humeur - tandis que Giles s'était détendu et paraissait rassuré grâce aux paroles de Béatrice et de Jenny - et son visage se crissât de douleur, et de mécontentement, et ses yeux se plissèrent en deux fentes, et s'exclama en fulminant, et était indignée, tandis que Jenny demandait ne comprenant pas ce qui leur étaient reprochés :
"Que tu couches avec lui, Jenny ! Ne joue pas l'innocente, je suis sûre qu'il a abusé de toi, et veut te mettre dans son lit."
Giles explosa, alors que Jenny s'était indignée en s'écriant "Quoi?!" que Mathilda était complètement folle, et paranoïaque, détraquée et que Jenny n'était pas du tout intéressée ni prête à faire ce qu'elles s'emblaient croire qu'elle faisait avec lui, elle était loin de se douter de ses choses-là, et à penser à de telles choses, qu'elle est totalement innocente, et trop jeune pour lui, et serait dégoutée de sortir avec un homme pareil, avait-elle même vu le visage que faisait Jenny ?
Que Béatrice ne pût tout simplement pas abandonner l'enquête, qu'elle ne pouvait pas croire ce que Giles disait, et que Jenny devait avoir peur de lui pour dire la vérité, que si ça se trouve, il abuse d'elle ou lui à jeter quelque chose de paranormal sur elle pour agir si étrangement. Mathilda devenait de plus en plus hystérique à mesure qu'elle parlait et perdait son sang-froid et s'énervait un peu plus à chaque minute qui passait et devenait agitée. Et finit par déclarer à Béatrice de leur demander à tout ce qui s'était passé durant la soirée, où Jenny était sortie avec Craig.
Giles avait crié à Béatrice quand il lui a demandait de se calmer, qu'elle ne voyait pas comment il était traité, et qu'il n'était pas un criminel !
Natasha qui était restée silencieuse, et la tête baissée profondément gênée et touchée par tout ce qui se passait, et remplie de culpabilité face au récit de Jenny, comprenant son amitié et affection sincère pour Giles, et sans doute son amour naissant pour lui, se doutant qu'il y avait quelque chose entre eux, et était resté silencieux depuis l'arrivée de Jenny. S'avança légèrement vers Giles, pour lui expliquer les soupçons de Mathilda sur lui, qu'il était généralement quelqu'un qui n'aimait vraiment pas la compagnie des autres et encore moins ceux des collègues et des femmes, et qu'il était généralement solitaire.
Jenny et Rupert avait tous deux relevé la tête et s'étaient tournés leurs regards vers Mathilda avec horreur devant ce mensonge ou cette idée qu'on lui avait mis inévitablement dans la tête sans aucun doute. Jenny ouvrit la bouche sous le choc, à un tel point que sa mâchoire se décrocha presque.
Et Béatrice hocha la tête d'approbation, et de remerciement, et secouant la tête se disant qu'elle y avait pensé mais que c'était tout de même reconnaissance de lui rappeler, et voulait sans doute poser des questions sur ce qui s'était passé et ce qu'on lui avait dit ; et expliqua que selon ce qui avait était dit et témoignage reçu, se serait Giles, qui aurait coincé Jenny pour tenter de l'agresser et lui voler des baisers.
A ces mots, les yeux de Jenny se remplir d'effroi et de larmes, en s'écriant "Ce n'est pas vrai ! ce n'est absolument pas comme ça que cela s'est passé !" Jenny tremblait essayant de retenir ses pleurs, larmes, sa colère et ses tremblements essayant de retenir le reste de dignité qui lui rester, elle tremblait de rage et d'indignation "Comment osez-vous calomnier Rupert comme cela ! comment osez-vous propager des mensonges et des actes pareilles ? Rupert ne ferait jamais, c'est le meilleur homme que j'ai jamais rencontré, le seul que j'ai jamais admiré, et vous l'accusez pour un crime qu'il n'a pas commis." Jenny se tourna vers Mathilda et Natasha et les pointe du doigt, sa voix se brisant d'émotions "C'est Craig qui... Qui a voulu me..."
Mais Rupert la coupa soudainement terrifié et réalisant ce qu'elle s'apprêtait à faire, à révéler et perde sa dignité pour lui, pour le sauver, tremblant s'avança avec précaution vers elle, ses mains se plaçant sur ses épaules, il la regarda dans ses yeux la suppliant ; "Jenny, Non, ne faites pas ça, ne vous sacrifiez pas c'est pas la peine. C'est inutile, ne faites pas ça, je vous en prie"
Jenny tremblait et lui répondit en chuchotant qu'elle le devait, qu'elle devait dire combien et d'innombrables fois, il l'avait protégée et l'avait sauvée de Craig durant cette nuit, et qu'elle leur dirait, que personne ne s'était autant soucié d'elle que Rupert, et elle ne veut pas qu'il ait de problèmes à cause d'elle pour sa gentillesse et sa générosité. A cela Giles baissa son regard peiné et tremblant d'émotions. Et ce serait totalement injuste selon Jenny. Elle expliqua tremblante d'émotions, ses yeux écarquillés et essayait de rendre l'honneur sauf à Rupert, disant combien il était bon et honnête, et que personne n'avait le droit de l'accuser de la sorte ; et que c'était Craig qui avait failli l'agresser. Et que Rupert, il l'avait soignée, épaulée, soutenue, retenue et protégée, et consolée.
Au cours de son récit Mathilda et Natasha écarquillèrent leurs yeux d'horreur, et d'effrois, se disant qu'elles s'étaient bien fait avoir et humiliées, et trompées par Craig ; comment il les avait tous trompés, et Natasha avait les yeux brillants de larmes et d'émotions, après le discours véhément devant le discours de son amie, qu'elle avait défendue si férocement et avec passion devant l'homme qui la protégeait.
Rupert avait retenu Jenny dans ses bras, la tenant fortement contre lui, la protégeant de tout mal qui pourrait lui venir, la prenant dans ses bras et la serra contre lui pour la réconforter. Jenny s'accrocha désespérément à lui, comme si c'était le seul à la garder hors de l'eau et comme bouée de sauvetage, l'empêchant de se noyer.
"Calmez-vous Jenny, je vous crois." Essaya d'apaiser Béatrice, et déclara d'une manière ferme et maternelle, "J'aimerais qu'on ne parle plus de tout ceci. Et je vous prie toutes les deux de laisser Jenny et M. Giles tranquilles" déclara alors autoritaire et fermement Béatrice en regardant Mathilda et Natasha d'un regard glaçant, et les pointant du doigt, ne les laissant aucunement riposter, les deux jeunes femmes baissèrent leurs regards, blessant et honteuses.
Natasha s'avança avec prudence vers Jenny, lui demandant pardon d'une voix basse et pleines de larmes, alors que Giles la regardait s'avancer, il la regarda d'un regard menaçant et noir, protègent Jenny et la serrant plus fort contre lui. Elle murmura "Pardon, Jenny, je te crois aussi, pardonne-moi, je ne veux pas te perdre, je ne veux pas perdre ton amitié."
Jenny se desserra et sortit doucement de l'étreinte de Rupert pour regarder Natasha ; et hocha la tête, et permis à la jeune femme de la prendre avec prudence dans ses bras l'encerclant dans une étreinte de manière incertaine.
Par-dessus l'épaule de Natasha, Jenny regarda avec prudence et perplexité Mathilda, lui demandant si elle aussi pouvait dire quelque chose ; Mathilda les regardait tous, se sentant idiote et plus stupide que jamais, regardant à peine le sol, le regard non expressif et sombre, et dure pas encore complètement convaincue encore et encore une partie d'elle dans le déni ; elle faisait une grimace, choquée par tout ceci, mais néanmoins convaincue par ce qu'elle venait d'entendre et de voir, Mathilda répondit :
"Oui... Je te crois." Tremblante d'émotions incertaines.
Béatrice les regarda, tous voyant l'émotion, la tristesse et l'amour de chacun tout autour de la pièce, partout, et s'aperçut également que les émotions et les tensions gênantes et pesantes ainsi que le brouillard, et la tension électrique et épaisse disparaisse et la dureté ainsi que la tension, et la colère, elle déclara alors :
"Bon, très bien maintenant que tout est réglé, Mathilda et Natasha, j'aimerais que vous sortiez de mon bureau, pour que je puisse parler à Jenny et Giles, seuls à seuls... S'il vous plait, mesdames."
Les deux jeunes femmes acquiescèrent silencieusement, toujours honteuses de leur comportement excessif, et Mathilda lia son bras à celui de Natasha et sortirent, tandis qu'elles fermèrent la porte derrière elle.
Béatrice soupira de soulagement, alors qu'elle était certaine que la porte fut fermée et quand elle entendait le déclic de la poignée, et attendait néanmoins quelques instants encore prêtant l'oreille et entendit au loin les deux claquements de paires de talons étant certaine qu'elles étaient bien parties et non adossées à la porte et essayer d'écouter, et qu'elle pouvait maintenant parler en toute tranquillité, sans être entendue, ni même espionnée.
Béatrice se redressa sur sa chaise, et regarda en souriant, Giles et Jenny qui se tenaient ensemble devant son bureau ; Giles avait effleuré du bout de ses doigts la main de la jeune femme, n'osant pas la prendre dans les siennes, mais lui faisant savoir par ce simple geste qu'il était juste à ses côtés, juste à côté d'elle. Béatrice se doutait et soupçonnée en les regardant tous les deux, qu'il y avait quelque chose entre eux, une sorte de puissance, une puissante alchimie qui les liait, une puissance romantique, ou un lien bien plus fort les destinent l'un à l'autre, que peut-être Giles sera toujours là pour Jenny, la protégeant de tout mal, et Jenny, elle aussi, serait là pour Giles. Il y avait quelque chose qui les poussait l'un vers l'autre, et Béatrice se doutait qu'il y avait bien plus qu'une simple amitié les reliait, peut-être, Jenny n'en avait-elle pas encore conscience ? ou même Giles, mais elle Giles était amoureux de la jeune enseignante, déjà. Et que peu à peu Jenny tombait également amoureuse de lui.
Béatrice, sortit peu à peu de ses pensées, en secouant la tête, ils attendaient sans aucun doute, à ce qu'elle leur parle de ce pourquoi elle les avait gardés seule dans son bureau ; et déclara finalement, que peut-être le principal Snyder avait raison, mais en même temps tord quand il disait que Jenny ne devait pas porter plainte contre Craig. Qu'elle devrait peut-être essayer quelque chose. Mais bien sûr, elle ne forcerait pas Jenny, à faire ou accompli une procédure qu'elle ne souhaiterait pas faire, ou en aurait trop à craindre. Et qu'elle devait faire selon sa volonté, et ne la forcerait pas.
Mais Jenny ne voulait pas porter plainte, tout ce qu'elle voulait c'était oublier, à présent.
Béatrice hocha la tête de compréhension et d'accord, et lui dit que si jamais cela devait se reproduire, et si jamais il arrivait à commettre un acte complet ; Jenny n'aurait pas d'autre choix de porter plainte. Jenny acquiesça, résignée, et savait que cela pourrait arriver, mais elle espérait ne jamais, jamais en arriver à ce point. Et Béatrice continua en disant, qu'elle devait être prudente avec sa relation Rupert Giles, et la même s'appliquer également à lui.
Bien sûr, Béatrice les soutiendrait, mais le principal Snyder ne serait pas aussi compréhensif qu'elle, il mettrait en avant sans le moindre doute, les règles éthiques, la bienséance et le fait de donner l'exemple à ses jeunes gens et adolescents, ne faisant rien qui puisse les choquer et leur mettre des hormones en ébullitions et chaufferie.
Finalement, Béatrice leur souhaitait bon courage, et une bonne amitié et relation, et les encourageait et ne les punissant pas ni les jugeant, pour ce qu'il se passait entre eux, ou bien dans leurs têtes, et qu'ils devaient se montrer discret, et prudent. Et elle espérait les revoir tout dans d'autre circonstance, et non pas dans une quelconque forme de confusion et malentendu, ou un autre drame bien pire ou quelconque.
Finalement au bout de quelques autres minutes Béatrice permit à Jenny et Giles de se retirer et qu'ils reviennent à leur travail respectif.
Quelques jours plus tard, et au fils des jours qui avait suivie cet instant, Giles avait beaucoup réfléchit au fils des minutes et des heures à sa relation qu'il entretenait avec Jenny, à tout ce qui a été dit à leurs sujets en particulier que les amies de Jenny et peut-être même certaines personnes pensées et croyait qu'ils avaient entretenu tous deux une liaison, et avait des sentiments beaucoup forts et puissants l'un envers l'autre, et sachant qu'ils avaient été détectés bien avant que même Giles ne réalisa ses sentiments et son amour Jenny, l'effrayait sachant que du monde pouvait le sentir et être vu, l'effrayait et voulait dire qu'ils étaient tous deux transparents et visibles au reste du monde, que des gens pouvaient voir leurs émotions et les sentiments et passions qu'ils entretenaient l'un pour l'autre ; enfin peut-être pas Jenny, elle ne savait pas ou ne partageait même pas ses sentiments.
Les amies de Jenny croyaient qu'il avait des sentiments impures et dégoutants pour la jeune femme. Et les avaient vu et repéraient des mois plus tôt.
Giles était effrayé par ses sentiments pour Jenny, craignait lui faire du tort, la blesser, ou qu'elle soit victime de ragots, rumeurs et d'hostilités envers leurs collègues, il ne voulait en aucun cas et aucune façon mettre Jenny mal à l'aise et dans l'embarras face à son travail, et l'empêcher de voir et l'expulser de son cercle d'amis, et qu'elle soit ennuyée ou anxieuse quand ils seraient tous les deux dans la salle des professeurs ; alors ses conclusions face à cette terrible analyse et courant de pensées, le rendrait vraiment triste, il expliqua à Jenny ; ils ne devaient plus se voir autant durant la journées, du moins jusqu'à temps que les vacances d'été arrivent et la rentrée prochaine survienne, et surtout, surtout jusqu'à temps que les rumeurs et regards réprobateurs qui circulent à travers eux et leurs étaient jetés, s'estompent et s'apaisent.
Ils devaient être distraits, et Giles proposa à Jenny, de se voir le soir après les cours, elle peut tout simplement passer à la bibliothèque pour discuter et se parler, le soir, parfois il la prenait dans ses bras, voyant et observant qu'elle était triste de cette situation, et de la décision qu'il avait prise pour eux deux, mais c'était pour leur propre bien et consolider ainsi leurs amitiés et la protéger, et surtout pour le bien de Jenny.
Jenny était tout en train de réfléchir après la discussion qu'elle avait eu avec Rupert, cette discussion douloureuse qui voulait qu'ils se voient moins souvent ; Jenny ne comprenait pas pourquoi tout le monde s'acharnait et insistait pour dire, qu'ils étaient amoureux l'un de l'autre, pour Jenny un amour d'amitié, de fraternité, un amour de taquinerie et jeunes collègues, qu'ils entretenaient, et une sorte de relation compliquée et conflictuelle, que parfois Jenny avait du mal à analyser et intense et intime qui allait bien au-delà d'une simplement amitié, elle pourrait presque qualifié tout ceci d'une attirance profonde et un attachement extrêmement puissant, et une affection profonde, où Jenny voulait se voir et profiter des bras et de l'étreinte forte de Rupert contre elle, et de leurs baisers chastes qu'ils échangeaient parfois en signe de reconnaissances et de petits cadeaux particuliers ; il est vrai que Jenny éprouvait de forts sentiments pour Rupert qu'elle avait du mal à définir et dans lequel elle refusait de croire que c'était de l'amour ou un penchant amoureux, c'était compliqué pour elle et très complexe qu'elle ne voulait rien s'avouer, pour Jenny, elle n'était pas amoureuse de Rupert, elle avait un sentiment profond et intime pour lui, une sorte d'attirance physique et chimique qui allait bien au-delà de tout ce qu'elle n'avait jamais vécu, et cela effrayait grandement Jenny ; un grand sentiment de respect d'attirance, d'affection et amour amical ; elle l'aimait de tout son cœur et ne voulait pas le perdre, sous aucun prétexte en tant qu'ami, grand frère, protecteur, confident, et presque platonique quand ils se voyaient entre deux cours pour discuter et Jenny se confiait à lui sur le problème quotidien, et Rupert faisait de même avec elle...
Giles était en train de travailler un son bureau, travaillant sur un compte-rendu d'une réunion qu'il avait eu le matin même avec le principal Snyder et l'équipe de ménage et administratif de l'école, et il faisait en quelque sorte partie, des deux corps de profession, soit l'équipe administratif et l'équipe enseignante ; il était à présent entre 2 h 30 et 3 h de l'après-midi, quand il fut sorti de ses pensées, qui se déroulait dans sa tête à la fois sur sa douce Jenny et en même temps sur la réunion du matin ; par une voix l'appelant, il s'arrêta d'écrire, pour vérifier l'heure :
"M. Giles ?" c'était et ça ressemblait à la voix de Natasha, incertaine à l'appeler et à venir le voir, elle continua, "Est-ce que vous êtes dans votre Bureau ? J'aimerais vous parler quelques instants si vous me le permettez."
Giles sortit de son bureau, et salua Natasha, tout en lui disant bonjour et qu'elle était la bienvenue, et si elle voulait, elle pouvait, elle pourrait lui parler ; à ses mots, Natasha tourna la tête vers lui, quand elle l'avait appelé timidement, alors qu'elle le cherchait manifestement vers les piles de livres, et fut surprise qu'il ait réagi et ait répondu au son de sa voix, et d'un côté, Natasha s'était même presque dit, que cependant, ce n'était pas comme s'il allait courir s'il entendait sa voix. Probablement le contraire, et il allait la fuir, ce qui était compréhensible, vue qu'elle était une amie de Jenny, et quand plus froide, distante et menaçante et incriminante à son sujet et l'avait presque accusé des pires choses qui soit.
Elle lui sourit timidement cependant, Natasha était venue ici pour s'excuser, et était certaine d'une chose, Giles aimait et se souciait profondément de Jenny, et elle se doutait et pouvait voir l'amour briller et bruler d'une étrange intensité et un bonheur pur et honnête dans les yeux du bibliothécaire ; c'était véridique ce qu'il ressentait pour elle, et avait eu tort de se mêler de leur affaire, et voulait que Jenny soit heureuse, et que Giles la protéger et puisse s'il en avait l'occasion vivre son amour pour Jenny et lui déclara, un jour peut-être.
"Giles, excusez-moi de vous déranger." Murmura Natasha d'une voix basse, timide et incertaine et tremblante, tout en jouant nerveusement avec le bout de ses doigts " Je suis venue pour m'excuser sincèrement et en tout honnêteté de mon comportement et celui de Mathilda, nous sommes allées trop loin, je le reconnais ; je ne voulais en aucun cas faire du tort volontairement à quelqu'un d'innocent, et je suis profondément désolée, vous avez le droit de rejeter ma demande de pardon, car je l'aurais sans doute méritée, et ce serait ma pénitence et mon châtiment, et de refuser de me croire et même de me parler ; je voulais juste que vous le sachiez je me suis conduite comme une idiote, merci de m'avoir écouté." Elle avait répété maintes et maintes fois, au moins une centaine de fois son discours à Giles pour lui demander pardon de l'avoir blessé sachant qu'elle s'était déjà faite pardonnée et remboursée par Jenny ; et Natasha lui dit également qu'elle avait parlé avec Jenny et lui avait accordé sa réconciliation.
Giles lui dit qu'il était encore en colère et furieux, blessé et bouleversé par Natasha mais surtout par Mathilda dont il était sûr que c'était l'investigatrice de tout ceci, et qui lui avait monté la tête, et il pensait que Natasha avait simplement suivie son amie, n'ayant pas beaucoup d'expérience et étant jeune, elle peut être influençable par mégarde, et Giles ne lui en veut pas ; et voyant la sincérité et le bouleversement et la blessure dans les yeux de Natasha, et sachant parfaitement que Jenny voudrait qu'il lui pardonne, à cause de son bon cœur et de son cœur généreux et tendre empreint de bonté ; il accepta ses excuses et lui donna une partie de son pardon, pas tout à fait car il souhaite lui pardonner au fils du temps.
Giles, ensuite, pris la main de Natasha dans l'une des siennes et la serra, en guise de pacte et de promesse, et cela leur accord, et lui sourit avec sympathie pour rassurer la jeune femme, Natasha lui sourit en retours. Mais quand, il partit pour prendre congés d'elle en signe que leur discussion était terminée, pour l'instant, Natasha l'interpella une nouvelle fois, il se tourna vers elle surpris, et un regard, interrogateur empli ses traits. Elle s'avança vers lui, et rentra dans son bureau, Giles fit de même et s'assit sur le rebord de sa table.
Natasha tremblait et demanda, en fuyant son regard tout en essayant de maintenir son visage vers celui de Giles, elle lui posa la question qui la taraudait et voulait s'assurer prendre conscience des véritables sentiments qu'il avait pour Jenny, et voulait s'assurer qu'il l'aimait réellement et voulait éliminer tout doute et crainte :
"Glies l'aimez-vous ?" Quand il la regarda avec incrédulité et scepticisme n'étant pas sûr, mais sachant également très bien de qui elle faisait référence mais voulait Natasha précise, celle-ci s'éclaircit la gorge et précisa en s'expliquant, "Je voulais dire, Jenny ? L'aimez-vous réellement ? d'amour ? L'aimez-vous sincèrement ? Êtes-vous prêt à tout pour elle ? A là protéger, et à vous sacrifiez et le lui montrer dans les pires des situations ?"
Giles eu l'impression qu'on lui coupait le souffle et l'empêchait de respirer, et lui couper la circulation sanguine au niveau des bras, toutes ces questions il se l'était posées maintes et maintes fois et cela à plusieurs reprises, et des questions, d'autres questions beaucoup plus profondes, mais qu'on les lui pose et demande à haute voix, cela semblait si réelle et plus véridique que jamais, son visage s'assombrit et il fut bouleversé ; Natasha, à l'expression de son regard, sut qu'elle avait visé juste, et toucher des nerfs et sont sensibles ; il murmura dans un souffle avec une vox qu'il ne reconnut pas lui-même :
"Oui, je l'aime, je l'aime plus que je ne saurais le dire et me permette ; je suis tombé amoureux voilà il y a plusieurs mois maintenant et en cela j'ai l'impression que ça fait des années, je ne saurais le dire quand exactement ; et je l'aime et je suis prêt à tout donner et offrir pour elle." Giles se coupa la voix pleine d'émotions et tristesse ne sachant pas pourquoi, et Natasha ne le sut encore moins.
Mais elle fut touchée par sa tristesse et s'approcha de l'homme, et lui murmura "C'est bon tout va bien, je ne vous juge pas et je vous crois." Natasha posa sa main sur l'épaule de Giles et lui donna un mouchoir, en tissu qu'elle avait tiré de sa poche de pantalon.
Et, bien sûr, Natasha promit à Giles de garder son secret pour, de ne rien révéler à personne, sur son amour qu'il éprouvait pour Jenny, encore moins le répéter à Snyder ou à Mathilda et encore moins à Jenny, qui serait sans doute dans le déni, l'incrédulité et le choc et effrayait...
Les vacances d'été était commencées, il y a trois jours désormais, et Jenny avait rassemblé ses affaires dans sa classe qui se trouvaient sur son bureau et autres affaires personnelles dont elle ait besoin qu'elle avait gardées dans son casier, une fois tout emballé et prête avec son sac en bandoulière sur son épaule et son sac à main, et un carton, elle regarda une dernière fois en passant devant les portes de la bibliothèque, bien qu'elle soit à quelques mètres de distance, Jenny pouvait apercevoir, à travers les fenêtres rondes des portes, des hublots, Rupert qui rangeait également ses affaires et le comptoir de la bibliothèque pour la fin de l'année et le reste des vacances. En poussant un soupire triste, Jenny se résignât à aller le voir et lui dire une dernière fois au revoir et partit en franchissant les portes du bâtiment sans regarder derrière elle.
Après tout, Jenny avait vu Rupert la veille lors de la réunion des professeurs pour planifier l'année suivante, ainsi que les emplois du temps des professeurs et qui seraient et voulaient se porter volontaires pour être professeur principal de différentes classes ; à la fin de la réunion Jenny avait eu l'occasion de parler avec Rupert durant de longues minutes se disant des adieux passagers pour l'été, se disant de longtemps au revoir et combien ils allaient se manquer l'un et l'autre, et il lui promit de l'appeler quelque jours après le début des vacances, en lui chuchotant à l'oreille, pour lui donner rendez-vous ainsi qu'aux enfants, pour enterrer les ossements qui restaient du maître. Jenny avait hoché la tête en accord, et avec acquiescement.
En effet, après la batail et la quasi apocalypse et la défaite incontestable du maître, Giles était revenu dans l'école après avoir ramenait Jenny chez-elle, et avait essayé de cacher et minimiser les dégâts causés durant l'attaque et la batail, en ranger un minimum et surtout s'était empressé de cacher le squelette du vampire, dans son bureau à l'aide du épaisse couverture, et le cacher et le garder secret à l'abris des regards des élèves, ou de quelconque ennemis et autres vampires fidèle aux chefs des vampires, et quelconque personne qui souhaiterait la fin du monde.
Après avoir tout ranger néanmoins il restait tout de même pas mal de dégâts, et le principal Snyder, quand il s'est aperçu des dégâts, a eu la révélations de l'étendue des dégâts provenant de la bibliothèque ; il n'a pas posé de questions à la grande surprise de Giles, Jenny, Buffy et le groupe, mais aussi à leur plus grand soulagement ; Snyder avait sans doute pensé et cru que c'était encore des dégâts causés un autre tremblement de terre ou autres effets et causes étranges qui survenaient ces derniers temps en ville. Et il fit venir des ouvriers pays par l'Etat et le conseiller scolaire pour reconstituer et arranger, et retirer les débris et autres dégâts, fissures et destructions sérieuses dans les murs, et endommagements des étagères... Plus tard tout fut revenue en état, bien que certains travaux prennent du temps et sera nécessaire et prendront une majeure partie de l'été.
Jenny était actuellement, après avoir préparé soigneusement chacune de ses affaires pour l'été, certains bagages prêts à aller dans son coffre de voiture pour son séjour chez sa famille, et avoir commencé à faire des plans de cours pour l'année suivante, Jenny avait pris une courte pause, préparant et profitant du calme de l'après-midi, pour confection certaines friandises et gâteaux cela faisant longtemps que Jenny n'avait pas préparé avec soin et finesses de plats sains et équilibrées ou bien se faire plaisir avec des pâtisseries et voulait profiter des longues vacances et du repos et du temps pour soi pour cuisiner et sortir son vieux livre de cuisine et les recettes que sa grand-mère avait écrite pour elle sur des feuilles conçues tout spécialement pour la cuisine, et Jenny profitait un maximum de sa cuisine, après tout cela et des heures passants avec ses mains pétrissant de la pates pâtissières dans les bols de préparation, et parfois les mélangeant avec une culière en bois où un fouet et après avoir préparé, ses cookies, tartes au chocolat ou encore chaussons à la framboises, fraises et chocolat ; et après avoir essuyé les nombreuses farines incrustées dans les recoins de son plan de travail, essuyer la pates collées à différents endroits, et réussie à nettoyer ses ustensiles, et retirer et nettoyer en époussetant et essuyant quelques touches de farines qui s'étaient retrouvées sur son tablier et ses joues.
Plus tard, Jenny sortit dans son jardin, pour ainsi profiter du soleil et de ses rayons, et voulut profiter de la floraisons des fleurs, de leurs beauté et d'une chaleur qu'elle sentait imminente et donc Jenny pouvait se douter d'une possible canicule ; et profiter que son jardin s'épanouisse de verdures ardentes et ce que le printemps avait apporté avec lui durant les quelques semaines auparavant, quelques mois plus tôt, et, son jardin avait besoin comme toujours, et régulièrement, ce qu'elle faisait chaque semaine minimum, Jenny arrosait minutieusement chaque plante, l'herbe, et bustier ; et profitant de se moments de jardinage, pour retourner la terre sèche et ainsi retirer chaque mauvaise herbe en prenant grand soin d'arracher chaque racine.
A la fin, Jenny avait de la terre sur le bout de ses doigts, et entre ses ongles, et avait le front légèrement en sueur, grâce au travail accomplit ; qu'elle mettait la touche finale à son jardin. En s'essuyant discrètement le front avec le dos de sa main ; et rentra à l'intérieur pour boire un verre de jus d'orange, juste à temps, pour entendre son téléphone sonné ; fronçant les sourcils se demandant qui cela pouvait-il être, elle s'approcha du combiné et décrocha à la troisième sonnerie :
"Oui ? Allo ? Qui est à l'appareil." Demanda Jenny doucement, en décrochant et s'assurant que l'autre personne était encore en ligne.
Giles, inspira, de nervosité et de bonheur pure au son de la voix Jenny qu'il n'avait pas pu et avoir la possibilité ni l'occasion de l'entre ni de lui parler, il sourit doucement et timide à sa voix, et dit doucement, "Allo, Jenny ? C'est moi, Rupert. Comment allez-vous ? j'espère que le début de vos vacances se passe bien."
Jenny sourit avec éclats, en heureuse et joie d'entre la voix de son ami, et haletât doucement, quand elle l'entendit prononcé son nom, et confirmé que c'était bien lui, car craignant qu'elle se soit trompée au son de la voix et que ce ne soit pas Giles, ou qu'elle ait rêvé ce moment et bien sûr quand une personne est au téléphone, on ne reconnait pas forcement la voix, et c'est souvent masqué par un bruit ou déguisé et camouflé, et on reconnait pas forcement ; Jenny ne put empêché la bonne humeur et son bonheur de l'entendre émaner d'elle et sortir de ses lèvres, cela elle le ressentit et Giles aussi le ressentit au son de sa voix :
"Oh Rupert ? Comment allez-vous ? Je vais très bien, j'espère également que pour l'instant vos vacances se passent bien." Ils discutèrent un peu de ce qu'ils ont fait depuis la fin des cours, et quand il eut répondu à sa question et après qu'il lui ait dit qu'il était heureux qu'elle se portât bien, Jenny rajoutât : "Alors que me vaut l'honneur d'entendre votre voix ? Vouliez-vous me dire quelque chose en particulier ? Ou simplement discuter avec moi ?"
Rupert balbutiât nerveusement, et se sentit rougir face à la question de Jenny et son ton taquin et bienveillant, et son souci de communication avec l'un et l'autre ; Giles lui dit que sa décision initiative et son intention de l'appeler était en réalité et le fait est en quelque sorte et un peu des deux, l'envie de discuter avec Jenny et son besoin d'entendre sa voix et d'avoir de ses nouvelles et ensuite il l'appelait car il lui demandait de venir le soir même vers minuit au cimetière, le cimetière Nord, pour enterrer le squelette du maître avec les enfants ; "...Willow, Cordélia et Alex seront avec nous, mais pas Buffy, elle nous charge et demande de le faire sens elle, parce que elle n'ait pas à Sunnydale maintenant, elle est partie pour Los Angeles voir son père pour tout l'été."
Rupert finit ce qu'il disait, en demandant ensuite, d'une voix subitement incertaine et maladroite, la confirmation si elle serait avec eux ce soir-là ou pas, et si Giles aurait la chance de l'avoir et de lui parler. Jenny lui répondit avec conviction et certitude qu'elle serait là, que bien sûr elle le serait, elle la aidé dans deux cas de démonologie et de paranormal et de catastrophe, Jenny n'allait pas le laisser tomber et l'abandonner maintenant, elle était allée trop loin avec lui ; c'était avec force et férocité qu'elle lui confirma, il la verrait ce soir-là.
Giles pu souffler, peu à peu l'air qu'il retenait dans ses poumons, le dioxyde de carbone qu'il avait bloqué dans sa poitrine, fut peu à peu remplacée par de l'air pure, et une profonde certitude, sérénité et joie. Il lui murmura alors :
"Bon, très bien, très bien, je vous dis à ce soir alors ?"
"Oui à ce soir, Rupert, je vous verrais au cimetière comme convenue" Répondit Jenny d'une voix douce, et rassurante, avant de lui dire doucement "A plus tard", avant de raccrocher le combiné.
Jenny décida de se reposée, et de prendre une douche bien méritée et ainsi changer de vêtements, pour retirer la crasse et la terre, ainsi que la farine et les dégâts restant de ses recettes et ses techniques culinaires ; Jenny ne s'en était pas rendu compte tout de suite, c'est qu'après l'appel et sa demande de venir le voir et pour une mission elle s'en était vraiment aperçu, elle avait chaud et transpirait, à cause de son travail en plein air, et dans son jardin, et elle voulait être propre et présentable si elle sortait en pleine nuit, et voulait en aucun cas sentir la poussière et la sueur surtout devant Rupert, Willow et les enfants ; enfin c'était surtout et rendit compte Jenny plus pour plaire et attirer l'attention sur lui et se faire bien voir que de faire attention à ce que les adolescents pourraient penser d'elle.
Elle fit couler l'eau tiède sur son corps et se savonna, avec du savon et un gel douche, et énergiquement, ainsi qu'au final elle prit soin de se laver les cheveux. Elle resta un moment dans sa baignoire appréciant l'eau coulant abondamment sur son corps, qui laissa des filets d'eau trainant sur elle, et des gouttelettes et des goutes, sur son corps, l'eau atteignit sa tête, et le gai massant doucement ses temps et l'eau coula en cassade dans ses cheveux, les faisant tomber presque à ses épaules et ondules en boucles, ses cheveux s'imprégnant de l'eau et furent trempés.
L'eau massant avec précaution tout son corps, et lui fit le plus grand bien, et la fit se reposer, comme une renaissance avec ses muscles engourdit par la tâche du jardinage, Jenny se rendit compte alors que l'eau couler et prenant cette douche, qu'elle ne s'était pas rendue compte à quel point toutes ces taches l'avait fatiguées, mais à présent grâce à ses soins et la douche, et son massage et le savon et le gel de shampoing, cela lui fit du bien, et la revigorera.
Après sa douche, Jenny, en enroulant une serviette autour de son corps, et après avoir essoré et pressé ses cheveux dans la baignoire, elle sortit des vêtements propres pour s'habiller et se rendre au cimetière. En sortant une jupe, et un chemiser à manche courte.
Jenny avait attendu pendant plusieurs heures, jusqu'à ce que le temps de se rendre au cimetière fut venu, inquiète de se rendre à un tel endroit en pleine nuit, et tremblait légèrement, et son ventre palpitait également d'impatience à l'idée de revoir Rupert, et ce malgré le fait qu'elle savait très bien et n'arrêtant pas de se dire et maudire pour sa stupidité et son insouciance qu'elle ne l'avait pas revenue que depuis même pas une semaine, cela ne servait donc à rien et inutile d'être aussi impatiente et anxieuse, et agissais tout simplement comme une adolescente étourdie en manque d'amour .
Quand il fut près de minuit, Jenny sortie de sa maison, prenant soin de fermer sa porte à double clé. Et prit dans un sac à main une croix et un pieu, en cas de défense et d'attaque, et au cas où elle devrait se défendre. Jenny avait décidé de marcher jusqu'au cimetière décidant, que ce ne serait pas si loin et surtout profiter de l'air de l'été qui approchait lentement et quittant peu à peu le printemps et l'éloignant.
Quand Jenny arriva, Rupert était arrivé il y a quelques minutes à peine, donc il n'avait à pas eu à attendre bien longtemps sa venue ; il lui sourit difficilement et avec affection, et lui dit combien il était heureux de la revoir, bien que cela faisait à peine qu'ils s'étaient vue ; ils marchèrent tranquillement côte à côte dans le cimetière à travers les nombreuses tombes et allées, et Rupert lui expliqua, qu'ils devaient aller à l'écart du cimetière et des tombes voisines, au fond, se trouvait une colline avec un arbre, un chêne magnifique avec des branches majestueuses et possédant de grand feuillage, qui surplombé les tombes et le mur entourant le cimetière.
Quand ils atteignirent la colline, Rupert réajusta son sac qu'il portait avant de le retirer de son épaule et l'installa sur le sol ; dans ce sac, Giles avait apporté des armes au cas où il y aurait besoin de se défendre, mais surtout il s'était procuré et avait apporter une pelle pour enterrer les ossements, et avait bien entendu, pris avec lui le squelette qu'il gardait toujours caché sous une épaisse couverture.
Jenny l'aida à sortir son matériel, et au même moment, Willow et Cordélia avaient pénétré l'intérieur du cimetière, la jeune femme les vies et leurs fit signes de les rejoindre ; ne sachant peut-être pas où il fallait se rendre. Willow, aperçue, Giles et Jenny sur la colline, derrière le cimetière et entraina avec elle Cordélia.
En arrivant à leur hauteur, Willow expliqua à Giles, quand il lui demanda où se trouvait Alex, et s'il était en chemin, que le jeune homme ne viendrait pas, qu'il a eu un contre temps et surtout que sa mère lui avait interdit de sortir à une heure aussi avancée de la nuit.
"Et bien ! comme d'habitude nous devrons faire le travail nous même ! C'est toujours aux femmes de faire tout ce que les hommes ne veulent pas faire." Railla et se plaignit Cordélia, d'une voix plaintive et gémissante. Trois paires d'yeux se tournèrent alors vers elle, et la regardèrent, Giles lui lança un regard d'avertissement et de reproche, qui signifiait, qu'elle était déjà en train de le fatiguer, quand à Jenny et Willow, elles la regardèrent avec des yeux fatigués et plaignant intérieurement qu'elle se taise et incrédulité, et que Cordélia devait surement exagérer et se plaindre pour rien et pour faire bonne mesure et continuait à faire semblant d'être une fille coquette et toujours en train de minauder et prétentieuse et essayant de maintenir le peu de réputation qui lui rester d'être une jeune fille et lycée populaire et riche, Malgré le fait que la jeune fille et deux façades et une face cachée de douceur et de générosité et un cœur en or, elle reste et restera une fille complexe, car Cordélia avait après tout accepté de venir au rendez-vous de minuit, et avait accepté et voulu garder le secrets de l'existence des vampires cachés, ainsi que la légende de la tueuse, et avait accepté d'enterrer les restes du maître, et c'était joint peu à peu, et Giles l'avait accepté dans leur groupe, sans que Cordélia, elle-même ne s'aperçoive qu'elle était la bienvenue et face partie de ce cercle d'amis, avec comme membres, le bibliothécaire et une enseignante, elle aimait tous les deux.
Quand Cordélia s'aperçut que tous les trois, à regarder elle déclara à ses nouveaux amis "Ben quoi ? Je dis ce que tout le monde pense, et croit, ce n'est pas la peine de me regarder comme ça."
Giles s'éclaircit la gorge, après que Cordélia ait brisé le silence entre eux, et c'était rappelé pourquoi ils étaient tous ici, et la voix de la jeune fille l'avait ramené à la réalité, et il expliqua aux filles, pourquoi ils devaient l'enterrer et surtout que personne ne devait découvrir les ossements et ce qu'elles devaient faire, et surtout creuser un trou assez profond, et bien décortiquer chaque os, et les séparer de chaque membre pour éviter sa reconstruction, et les éparpiller dans le trou, qu'ils creuseront. Et leurs demandant à toutes si elles avaient apporté des armes, ou un simple avec elles pour se protéger en cas de danger, sur cette question elles acquiesçaient toute et Jenny, murmura qu'elle avait toujours une arme sur elle quand elle devait sortir comme ça, en pleine nuit.
Willow se mit au travail, et commença à creuser avec l'aide de Cordélia, quand le trou commença à s'agrandir après quelques minutes de bèche et de coup de pelle, et de creuser la terre et retourner, Willow se mit à quatre pattes pour finir le trou, et essaya de retirer le maximum de ce qu'elle pouvait de terre, en l'envoya à côté, avec ses mains nues, les doigts recouverts de terres humides et ses ongles bientôt complètement noirs ; Cordélia qui était juste aux côtés de Willow, reçut quelques échantillons et éclaboussures de terre, et ne tarda pas à crier d'indignations et protesta "Oh, fait attention Willow ! Ma robe toute neuve !" Jenny essaya de lui dire de se taire et de faire attention à ce qu'elle disait et de parler moins fort, pour ne pas alerter ni attirer le voisinage où des gens non désirables et surtout pas des vampires, Cordélia s'excusa silencieusement auprès de Jenny et tourna de nouveau son visage vers Willow en parlant à voix basse : "Tu te rends compte, elle m'a couté très chère ? Et elle est toute neuve, je ne veux pas qu'elle soit abimée et que je ne puisse plus la nettoyer ! Tu te rends compte du prix ! Quarante dollars ?!
Giles, décida d'intervenir et demanda à Cordélia de se taire, et lui conseilla de s'essuyer et d'épousseter sa robe, ce qu'elle fit avec des mains en colère et énervée. Elle le fit : mon Dieu elle n'aurait jamais dû mettre une telle robe dans un moment comme celui-ci ni dans une expédition aussi aventureuse.
pendant ce temps, Jenny avait commencé à démembrer et à couper les os de chaque partie du squelettes, ce qui provoquait à chaque démembrement un bruit de déchirure et de craquement comme de la chaire se déchirant, Cordélia en eu un haut le cœur et une torsion à l'estomac, et une vague nausée ; quand tout fut accompli, chacun jeta les os dans la fausse creusée en prenant bien soin de ne pas les mettre ensemble et qu'il soit bien éparpillé partout, au cas où, si jamais quelqu'un venait à découvrir, le secret de l'enterrement du maître, le fait de sa reconstitution soit impossible, sauf si on souhaite creuser aussi profondément.
Ensuite, Giles et Jenny refermèrent le trou, et tous les quatre entassèrent la terre et prirent un grand soin à ce qu'il n'y ait pas de traces qu'elle et était retournée récemment, et surtout que personne ne sache où précisément ils avaient creusé ; ensuite en se redressant, ils restèrent un moment immobile devant leur travail, et Giles voulut dire quelques mots de prières et de reposer en paix, car la personne qui avait avant qu'un démon n'apparaisse dans le corps du maître avait été une personne ordinaire, bien que ce temps remontait à bien longtemps, et même ce démon qui avait failli détruire et assouvir une apocalypse et une fin des temps, et cette personne devait remonter à l'époque du début du moyen âge, et le maître ait été si ancien, le plus ancien vampire jamais enregistré et vivant, son corps, le corps de l'humain défunt fut à peine reconnaissable, si affreux, si inhumain, et si mauvais et presque comme un démon ou un mage noir, comme Lord Voldemort dans Harry Potter, un être à peine humain, son corps avait était finalement, détruit et ressemblait au démon qui avait habité son corps ne restant rien d'humain, était un démon, un monstre surtout les sens du terme et en tout point.
A la fin, chacun partit de son côté, Jenny était enfin seule avec Rupert, et ce dernier se permit de la regarder avec tendresse et respect et presque avec affection et un brin d'amour, et par la suite se permit de lier sa main à la sienne, en lui murmurant en demandant comment allait-elle ? Et lui dit combien il était heureux et la remerciait d'être venue soutenir ce moment.
Loin devant eux, Cordélia Willow et marchèrent côte à côte, en parlant ensemble, avec en train de leurs futures vacances ; Cordélia révéla à Willow qu'elle avait prévu de voyager en Toscane et était heureuse d'y aller, et était très excitée à l'idée de ce voyage qu'elle trouvait amusant et plein de promesse, se disant que chacun des étés étaient tout aussi merveilleux que le précédant ; malheureusement Willow n'avait pas grand-chose à révéler ni aucune excitation ni joie ou surexcitation de voyage, et dit qu'elle resterait à Sunnydale avec Alex et ses sœurs pendant tout l'été... Sur quoi Cordélia poussa un long soupire d'ennui et dit combien elle plaignait la pauvre Willow et combien ce serait ennuyeux.
Alors que Jenny et Rupert discutèrent silencieusement, ils furent coupés, ils levèrent les yeux et tournèrent leurs regards en directions des deux adolescentes, par l'appelle de Cordélia et Willow, qui leur demandèrent ce qu'ils faisaient et s'ils avaient l'intention de rentrer avec elles deux. Giles poussa un soupire d'exaspération, se maudissant et maudissant tout le monde, le monde entier de ne pas, ne pas pouvoir être seul à seul avec Jenny, et avec une voix qu'ls avaient du mal à contenir sa fureur leur dit de continuer toute seule, sans eux. Sur quoi, Willow haussa les épaules et leur dit bonne nuit avec entrain, entrainant Cordélia avec elle.
Une fois seul, Rupert se tourna à nouveau vers Jenny, et lui demanda pardon pour ça, il posa ses mains délicatement contre les mâchoires de Jenny en prenant doucement son visage en coupe, et se permit de presser le bout de ses doigts contre ses cheveux, admirant et pouvant profiter de la texture, ils étaient proches, très proches, Jenny avait autorisé cette proximité et son geste, et elle fit un pas en avant, pour être plus proche de lui, et posa son front contre le sien, et posa ses mains, contre les biceps de Rupert, il restèrent là, comme ceci un long moment à se regarder à travers leurs cils ; ce geste deviendra étrangement familier pour eux, dans un avenir très proche, à chaque fois, chaque fois, ils profitèrent de ce bref contact bref et superflu qui n'avait pas beaucoup d'importance en soi, mais qui était très intime pour eux, ce geste signifiait cas chaque fois, ils révélèrent et donnaient un sentiment à l'autre, et profiter de ces moments de paix, de bonheur avant que les choses tournent mal, avant que le danger ne les séparait et bascule le couple ; à chaque fois il y aurait un danger, un risque et une puissante alchimie entre eux, et un bref contact de photographie et d'instant.
Finalement, c'est Jenny qui rompit le sortilège, et rompit le contact, en murmurant à Rupert combien il comptait et le remercia pour cet instant ; celui-ci déglutit difficilement en la regardant profondément dans ses yeux bruns, et laissa échapper la main qu'il retenait en effleurant le bout de ses doigts s'attardant ne serait-ce qu'un instant, avant de se dire et se souhaitait à chacun une bonne nuit...
Jenny avait dû prévoir de retarder son voyage à San Francisco, pour rendre visite à sa famille, son oncle, sa grand-mère et ses frères et sœurs ainsi que ses nombreux neveux et nièces, de deux jours, elle avait initialement prévu de partir le 19 Juin mais a finalement décidé de partir le 21, car elle avait reçu deux semaines auparavant une lettre de sa propriétaire. Mme Wilkitoch, pour avoir de ses nouvelles, et avoir des nouvelles de sa santé, et aussi vérifier le bon état de la propriété, et si Jenny tenait ses engagements à prendre soin du jardin comme elles se l'étaient convenu, et comme Jenny l'avait promis et signet dans son contrat., comme il l'était écrit que sa propriétaire ne pouvait pas lui faire de visite surprise et qu'elle devait au préalable faire connaitre son désir de venir et visiter la propriété et ainsi fixer une date pour un jour convenu. Et aussi, voir comment Jenny entretenait la maison, et s'il y avait éventuellement des casses ou des travaux à effectuer...
Le jour venu, et convenu, Mme Wilkitoch se présenta un début d'après-midi à la porte de Jenny, c'était une femme assez grande imposante, mais à la fois petite, elle était grande mais plus courte de taille que Jenny, au cours de l'année écoulée remarqua Jenny, Mme Wilkitoch avait ben vieilli, comme si elle avait pris un peu plus d'âge, elle avait dans les cinquante ans, mais on aurait dit qu'elle était plus proche des soixante-dix ans ; bien que si Jenny réfléchissait bien, le fait est que la propriétaire, dès sa première rencontre, paraissait déjà âgée. Elle avait un regard dur, et non amical, des lèvres pincées avec de toutes fines lèvres qui se formaient en une ligne droite, et quand elle avait la bouche bien fermée on aurait dit qu'elle avait à peine de lèvres, ou pas de bouche du tout.
Après avoir entendu la sonnette de sa porte retentir, Jenny alla ouvrir pour se tenir face à Mme Wilkitoch, elle essaya de forcer un sourire de bienvenue et de clarté sur ses lèvres en y essayant vainement et échoua lamentablement ; en lui murmurant :
"Bonjour à vous, Mme Wilkitoch. Je suis contente de vous voir."
"Bonjour à vous aussi." Claqua d'un ton sec la femme plus âge ne souriant nullement, "Mlle Calendar. Puis-je rentrer." Jenny fit un pas de côté de la porte, en lui murmurant, bien sûr, qu'elle était la bienvenue, et s'excusant de ne pas l'avoir invité à rentrer plus tôt, la femme passant devant elle comme un courant d'air glacial et pressé sans même regarder Jenny "Je vous remercie, et s'il vous plait, pas de fausses modesties, ni de faux semblants ou de me faire croire que vous m'appréciez." Dit-elle dans ton froid en pénétrant dans le salon.
Jenny ferma la porte derrière Mme Wilkitoch, en essayant d'inspirer et expirer silencieusement, cette visite serait beaucoup plus difficile que ce qu'elle croyait, bien que Jenny n'espérait rien en réalité de la part de cette horrible femme ; et se dit que si elle lui envoyait des piques ou des remarques sanglantes ou la blessait d'une quelconque manière, Jenny n'allait nullement se laisser faire, et si cette femme voulait tourner ses cartes de méchancetés ou lancer son venin, et bien, elle ne saurait pas que Jenny était loin d'être une victime, et qu'elle n'allait pas se laisser faire, ni piétiner sous son propre toi ! si non elle ne s'appellerait Jenny Calendar.
Quand Jenny suivit Me Wilkitoch, celle-ci lui demanda, sans préambule si le tremblement de terre d'il y a quelques semaines n'avait pas endommagé la maison, ni la structure, Jenny lui répondit que non, d'après ce qu'elle savait et surtout du fait de l'employé du bâtiment que la propriétaire avant envoyé chez Jenny lui avait dit que tout allait bien. Jenny regardait Mme Wilkitoch inspecter et arpentant la pièce avec un regard critiquant sans bouger le moins du monde ses iris ni ses paupières, elle la regardait, sous le choc, que cette femme soit aussi grossière, mesquine et sans gêne au point de ne pas demander à Jenny et commencer la discussion par de simplement phrases de politesses et changer, et prendre le temps de s'assoir et discuter un minimum, Mme Wilkitoch était donc venue ici faire une visite de contrôle et d'inspection sans l'ombre d'une visite de courtoisie, et avait l'air totalement pressé d'en finir et de quitter les lieux.
Jenny bouillonnait intérieurement, alors qu'elle tendait de sourire à la femme et de la détourner de son objectif et de ses pensées ni lui proposant de boire un café, de l'eau ou un jus d'orange ; mais la propriétaire leva et agitât la main avec dédains en lui disant "Non, non je ne suis pas venue ici pour ça. Sans façon, merci."
Jenny, acquiesça silencieusement de défaite, mais nullement prête à se laisser faire, et essaya donc de prendre les devants et alla au-devant de la situation pour prendre clairement en main, la visite et pour éviter de perdre le contrôle de son bon droit et sa maison, et voulu éviter d'être humilier constamment par cette Mme Wilkitoch ; et invita, la femme à visiter, la maison en profondeur, celle-ci s'arrêta à des endroits avec minutie certaine pièce, en fronçant les sourcils ou plissant les yeux, et regardait avec précaution et minutie certains objets de la maison ou détails de la tapisserie ou chauffage, et parfois se tournant vers Jenny, la regardant droit dans les yeux et avec méticulosité et dans les moindre détails, et lui posait des questions, concernant la tuyauteries, l'eau courante, chaude et froide, la plomberie et comment Jenny avait réussi à s'installer voilà près presque un an déjà ; et posa des questions sur le plans technique et financiers de la maison... Enfin pleins de questions techniques en rapport avec la maison et son fonctionnement.
Et enfin, Mme Wilkitoch souhaita aller voir, le jardin, ce que Jenny consentit en l'aidant et la guidant vers l'arrière de la maison, en descendant les marches des escaliers, car la visite de la femme et allait jusqu'à inspecter l'étage et aussi bien le grenier, que la salle de bain et les toilettes ; avec beaucoup de méfiance et un grand jugement, et surtout crainte que la jeune femme n'ait pas respectée cette partie-ci du contrat, car la propriétaire tenant en grand estime son jardin, et croyait durement que les gens ne s'en occupaient pas assez, et s'attendant certainement et sans le moindre doute et avec conviction que le jardin était infesté de mauvaises herbes, totalement abandonnées et délabrées, infestées de ronces, et elle n'ose même pas s'imaginer quoi d'autre, le pire sans doute... Et croyait que Jenny avait dû massacrer et sacrifier dans un incroyable et impitoyablement ravager et tuer tout ce que la terre et la nature de sa bienveillance et miséricorde de ce monde vers qui avait bien pu lui donner, et de toute évidence si c'était le cas, Jenny serait bien punie, quand la nature reprendrait ses droits et lui ferait payer...
Mais en parvenant dans le jardin, Mme Wilkitoch, fut frappée de stupeur et de surprise ne s'attendant pas une telle vue, et un tel spectacle ; elle sourit doucement à ce qu'elle voyait, et son visage s'éclairât et s'illumina véridiquement, en tout honnêteté et authenticité, et Jenny pouvait se le dire avec surprise et ne croyant pas que c'était possible, réel, d'un véritable sourire, de lumière dans les yeux et de plaisir ainsi que de gaité et bonheur, comme si Mme Wilkitoch retrouvait un jardin secret, un jardin perdu, féerique, paradisiaque et enchanteresse depuis longtemps disparu, oublié et perdu, depuis fort longtemps.
Le jardin était bien entretenu, l'herbe d'un vert éclatant et finement tondu, des fleurs étaient éblouissantes et merveilleusement colorées avec de vives couleurs qui montraient qu'elles n'étaient nullement fanées et se portaient en bonne santé et grandissaient soigneusement avec précaution chaque année, il y avait des roses rouges, orange-jaune, et blanches, des fleurs violettes, et de la lavande, et également un petit arbuste au fond du jardin, et les dalles blanches qui étaient devant les portes de la maison à l'entrée de la cuisine étaient également bien entretenues. Selon certains critères de Mme Wilkitoch, il était bien entretenu et approuvait certains choix que Jenny avait fait et choisit pour embellir son jardin et avait également suivi quelques consignes qu'elle lui avait données, comme par exemple, Mme Wilkitoch avait demandé à Jenny, qu'elle lui creusait un petit bassin, comme une flaque d'eau, et le remplir d'eau pure, pour le jardin, et les fleurs et surtout pour abreuver les oiseaux qui viendrait séjourner et se poser dans les clôtures et l'herbe.
Mme Wilkitoch continuait de sourire tout en se promenant dans le jardin avec Jenny qui la suivait discrètement, sur ses talons, et approuver d'un signe de tête, ou d'un simple marmonnement approbateur "Bien, bien... C'est très bien. Très bien tout ça." Et elle se permit de jeter un coup dans le petit cabanon blanc, où étaient rangés tous les articles de jardinage et les outils ainsi que la tondeuse ; et vit dans un coin un panier en osier pour chat, où Bouboule dormait, quand parfois elle passait ses nuits dehors.
Quand Mme Wilkitoch, eu terminé d'inspecter tout l'extérieur ainsi que le cabanon, elle se tourna finalement vers Jenny. Qui la regardait nerveusement et celle-ci était incertaine de ce qu'elle craignant sans doute sa colère ou certaine mesure ou remontrance de garder en bonne était sa propriété :
"Eh bien, Mlle Calendar, il semble que tout soit en règle et que vous métrisez bien tout, et que vous vous occupez bien de cet endroit et le jardin et magnifique." Jenny soupira de soulagement, et lui sourit en la remerciant doucement de ses compliments ce qui était rare, donc Jenny a du faire une excellente impression à Mme Wilkitoch, alors, qu'elle continua " J'ai été surprise, que vous ayez respecté notre accord sur l'entretien du jardin, je m'attendais à voir un taudis ; mais je suis heureuse de voir que j'avais eu tort."
Le sourire de Jenny faiblit, et se dit, que tous les compliments de la femme ne pouvaient pas duret, et de répliqua et fulminait intérieurement, en pensant avec passion ; mais pour qui elle se prend cette femme ! ce n'est pas vrai, elle croit qu'elle s'adresse à qui ? Jenny n'est pas le genre de personne à ruiner et à casser des closes de contrat !
Jenny essaya de se calmer tandis qu'elle invitait, sa propriétaire à rentrer à l'intérieur et lui proposa des petits gâteaux secs, ainsi qu'un morceau de tarte au chocolat, et verre de jus d'orange. Avec surpris, Mme Wilkitoch accepta, avec contrainte.
Tandis que Jenny préparait leur collation, Mme Wilkitoch se permit de s'assoir à la table du salon, et faillit trébucher et sursauter, tout en réalisant une double prise, quand elle tira avec difficulté et dureté la chaise qu'elle avait choisie, se demandant pourquoi c'était si lourd et se dit qu'elle était peut-être fatiguée et que ses forces diminuaient, cependant elle finit et compris en baissant le regard vers le tabouret de la chaise, la forme poilue et velue et arrondie d'un chat, qui gémit et miaulait de mécontentement et s'accrochât au dossier de la chaise avec ses griffes, et sentit qu'on la dérangeait, et regarda la femme avec un regard interrogateur ; en sortant de sa stupeur et sa frayeur de voir un tel animal sur une chaise ou un quelconque endroit de cette maison, ou une maison à part, et effrayée et surprise ; elle sifflât d'une voix dure, et méchante et menaçante, et énervée "Qu'est-ce que tu fais là, sale bête? Allez, va-t'en de là, ce n'est pas ta place ici ! Ouste va-t'en !"
Malgré la voix basse et menaçante de Mme Wilkitoch, Jenny entendit tout, et Bouboule, miaula de peur et feula furieusement, en se déplaçant et s'enfuyant de sa chaise préférée, que Bouboule aimait depuis qu'elle avait emménagé ici, et aimait cette place, et cette zone et angle placé vers la fenêtre pour pouvoir sentir le soleil et ses rayons sur sa fourrure ; Bouboule était énervée et en se déplaçant le plus rapidement possible vers les escaliers, sa queue fièrement redressée et montant les marches ; Jenny, cette fois, ne supportait pas ce que la femme avait commis et s'en était pris ainsi à son chat, une petite créature inoffensive, et ne supportant pas les sarcasmes, les critiques sanglantes et cinglantes absolument négative et coupante comme un couteau en fer froid, et les répliques méchantes et gratuites vers Jenny, pendant toute la visite, ne la laissant pas, ne l'autorisant pas, ni ne lui apportât de chance de se défendre, mais cette fois Jenny ne se laisserait pas faire ; elle était à bout, et bouillonnait d'énervement, de stress et échauffé, et agité, son sang était en ébullition et ses muscles étaient tendus et rigides trahissant sa colère.
Jenny, déclarant en apportant son pichet de jus d'orange, ainsi que les pâtisseries à la table, que Mme Wilkitoch ne devait pas faire si peur à son chat, et lui envoya des répliques et des phrases ici et là, sarcastiques, à peine voilé de sarcasme, et piquantes, railleur et amer ; au point qu'au début Mme Wilkitoch les ignorât et pensait que c'était juste de l'humour noir, mais peu à peu au fils de la conversation, elle devait s'avouer que ce n'était plus le cas, ni le genre de Jenny d'être si froide et méprisante.
Alors bientôt, les deux femmes jouèrent et se lancèrent des piques mutuellement, ainsi qu'un jeu de mots et de bagarres verbales, ce qui provoqua la fureur de la plus veille et lui dit, "Qu'elle allait s'en aller", car elle ne supportait plus une telle insolence de quelqu'un d'aussi jeune qui pourrait être sa fille.
Jenny la regardait partir avec fierté, et heureuse de sa petite victoire de d'une bataille remportée contre Mme Wilkitoch, certes elle n'avait pas gagné la guerre elle était même très loin de gagner, heureuse qu'elle soit partie, et balayait le plancher, et disparue de sa vision et de sous son toit, elle était absolument fatiguée et nerveuse par la visite de cette femme, heureusement que ce fut terminé, aussi vite que c'était venu, et pouvait enfin commencer ses véritables vacances...
En préparant sa valise et ses dernières affaires à emporter pour son séjour dans sa famille, qui dura une semaine, Jenny était allée voir Susan pour lui demander si elle voudrait bien s'occuper de Bouboule durant son absence ; veiller à son bien-être, à lui donner suffisamment de nourriture, croquettes, veiller à ce qu'il ne lui arrive rien, surveiller à ne pas qu'elle se perde à la laisser dans le jardin ou bien que Susan, si elle le souhaite, accueillir la petite chatte dans son propre jardin, et qu'elle cohabite et socialise avec ses deux autres chats, et son petit chien, Touinette. Enfin à veiller sur elle et la surveiller en l'absence de Jenny.
Bien sûr Susan, accepta avec bon cœur et grand plaisir, de s'occuper du chat de Jenny et de ses affaires en son absence. Et cette dernière, lui montra, l'endroit où se trouvait les croquettes et différentes alimentations de son chat, et les habitudes de Bouboule ; Jenny dit que Bouboule craignait les gros chiens, comme les pitbulls ou bergers Allemands, Susan lui expliqua qu'elle n'aurait rien à craindre concernant, la relation sociale entre Bouboule et Touinette, car ayant aperçu la chatte dans le jardin à divers occasions et à plusieurs reprises, elle s'entendait très bien avec la petite chienne, donc ce n'était qu'une question de taille et de volume en race de chien, qui faisait peur à Bouboule, Jenny expliqua également qu'elle aimait les caresses et avoir de l'attention, et aimait se blottir et dormir au soleil, et que Susan pouvait laisser Bouboule monter à l'étage si la petite chatte le souhaite et l'autorisait à monter sur le lit de Jenny, et Jenny voulait profiter de l'occasion pour faire visiter la maison, même la vieille femme répondit qu'elle connaissait cette endroit, étant venu ici à plusieurs reprises.
Jenny donna, un lot – trousseau - de clés à Susan, pour lui permettre de rentrer chez elle, en cas de besoin et pour s'occuper da la maison, et pendant que Susan était chez Jenny, elles profitèrent tous les deux, de ce moment pour discuter d'avantage, des progrès de vacances de Jenny, comment se sentait-elle dans ce nouveau quartier depuis presque un an, qu'elle y habitait désormais ? Et surtout des évènements qui c'étaient déroulés au cours des semaines précédentes ; Jenny avoua qu'elle aimait par-dessus tout cette rue et ce quartier, qu'elle y avait l'impression d'y avoir toujours vécu, comme si c'était la maison qu'elle avait toujours espéré avoir, et que Jenny s'était enfin retrouvée et avait enfin revu son ancien chez soi et avait retrouvé dans les bois jusqu'à sa demeure, qu'elle croyait avoir longtemps et pour toujours manquer.
Et Jenny avoua à Susan, combien le quartier était charmant et amical, et très bien accueillant et chaleureux, et qu'elle s'entendait bien avec beaucoup de monde, et quelques voisins, qui lui avaient été présentés ; au fils de l'année écoulée, comme Blanche et Éric et leur toute jeune petite fille, ainsi que Barbara et ses enfants, et bien sûr cette pauvre veuve, Evanna, ainsi que certaines personnes de la paroisse et le prêtre qui animait et accompagnait la messe du dimanche. Et bien sûr, il y avait Susan, qui grâce à elle, Jenny avait été accueillie chaleureusement, et l'aidait à prendre ses marques et repérer et l'aider à bien s'intégrer au sein de la communauté et du quartier ; qui avait été une grande amie et voisine, et une aide précieuse, et un soutien remarquable, la meilleure amie de Jenny à Sunnydale ; si on exceptait les deux meilleures amies de Jenny, qu'elle s'était également nouée ; Willow Rosenberg et Rupert Giles.
Pendant la conversation, Susan profita de ce moment pour caresser et câliner, et connaitre d'avantage Bouboule, ses habitudes, son caractère, son côté sensible et social et son degré de douceur et de timidité et complexité , pour qu'elle s'habitue à elle, l'une et l'autre ; et Bouboule se laissa faire, mais il est vrai qu'au début, elle était timide et méfiante, voyant et observant peu à peu, que Susan ne lui ferait pas de mal et sentant dans son instinct le plus profond et le plus dur, en sortant la tête timidement de sa cachette, de derrière un membre, ou de sous le canapé, observant tout signe de danger, et qu'il n'y avait rien à craindre, sentant que cette femme était digne de confiance, douce et ne présentait aucun risque, ni danger, ni peur, mais représentait de l'amour, de la tendresse et douceur, et une véritable main et bras à câlin et étreinte ; Bouboule s'approcha prudemment et finit par monter sur les genoux de Susan, en ronronnant, et fermer doucement les yeux de contentement et de bonheur ainsi que de sécurité.
Jenny profita de dire à Susan que si elle le désirait, et avait le temps bien sûr ; Bouboule avait le droit, la possibilité et le désir gourmant de manger n'importe quel plat au quotidien, à condition bien sûr que les aliments soient bons pour elle, et fait directement à la main par les soins de la maîtresse, fait directement maison. Jenny, déclara et rassura Susan sur le fait que son chat n'était en aucun cas difficile concernant la nourriture, il était donc tout à fait facile et simple de la nourrir et de lui trouver des plats simples à préparer.
Bouboule n'aimait pas quand Jenny s'absentait comme cela de la maison durant plusieurs jours, au bien sûr cela ne la gênait pas d'être seule durant la journée, durant les jours de travail de sa maîtresse, en cela, la chatte pouvait totalement administrer ce fait, et admettre qu'il n'y aurait pas d'autre solution que de s'y habituer et de vive avec, et elle acceptait ce choix, ce mode de vie, et cette routine quotidienne. Mais quand Jenny partait comme cela en vacances, Bouboule se sentait en mal d'amour et de tendresse et caresses, elle aimait avoir Jenny près d'elle ; ce n'était pas courant ni dans les habitudes pour un chat d'avoir de l'affection pour son maître, ni même se soucier de savoir où il est, et d'avoir de l'amour, et de la tendresse comme cela, et que son compagnon, un être humain soit l'amour de la vie d'un chat. Parce que c'est ce qu'on pourrait penser de Bouboule, qu'elle serait d'avantage intéressée, et enclin à penser que c'est ce qui l'intéresserait, serait sa gamelle d'eau, son bol de croquette ou de pâtée, et son canapé douillet, ainsi que le chauffage doux et confortable de la chaleur de la maison en hiver, le lit, avec son matelas moelleux et confortable, et la chaleur du corps de sa maîtresse contre sa fourrure épaisse.
Bouboule aimait Jenny, avec adoration et une infinie tendresse et un grand amour, elle était vraiment un chat à part et unique ; elle se savait avoir la chance d'avoir une maîtresse et compagnon quotidien comme Jenny, et elle se savait donc très chanceuse, et était blotti et vivait dans du doux coton et emmaillotter dans du velours blanc et tissu, et vraiment totalement hors de danger et en sécurité, par rapport et en comparaison à d'autres chats, qui elle le savait, et pouvait le ressentir, n'était pas aussi chanceux et câliner et avait autant d'amour et de douceur autour d'elle, et vivait probablement dans une grande misère, et maltraité, et ne vivant pas avec autant de bonheur ou dans une maison aussi confortable avec plusieurs objets qui pouvaient lui appartenir, il n'y avait sûrement pas autant de mettre aussi affectueux que de chats qui avaient besoin d'amour et d'attention, peut-être qu'il y avait plus de ses chats.
Jenny câlinait, embrassait, étreignit et faisait des câlins, régulièrement et longtemps avant, et à chaque fois qu'elle partait en voyage, et lui murmurer des mots d'amour, de tendresse et réconfortant, et d'apaisement pour éviter tout stress et débordement d'anxiété et peur chez son chat, et la rassurait qu'elle reviendrait bien vite à la maison ; et que Bouboule reviendrait et retrouverait et verrait bientôt Jenny.
Jenny décida de partir, en début d'après-midi, qui était plus proche en effet du milieu de l'après-midi pour conduire en direction de San Francisco ; Susan l'attendait à l'extérieure de sa maison, et l'aidait à apporter les derniers articles de voyage dans son coffret de voiture ; la voiture de Jenny était de couleur vert foncé, de taille moyenne ; tandis que Susan aidait, Jenny, à apporter ses affaires, elle avait le regard et le visage légèrement inquiet et plissé d'inquiétude, et déclarant et en s'enquit :
"Tu vas vraiment partir maintenant ? Il est un peu tard à présent, et la journée et bien avançait." Jenny se tourna vers Susan et lui sourit de manière rassurante ayant détecter et entendu la note inquiète dans sa voix, elle lui dit, tout en l'enlaçant et la serrant dans ses bras, tandis que Susan marmonnait quelque chose contre son épaule au sujet que peut-être qu'elle aurait un accident ou qu'elle arrive au milieu de la nuit à sa destination :
"Ne t'inquiète pas Susan, je pars maintenant, je préférais le plus tôt j'arriverais, mieux ce sera. Je pense en effet arriver vers onze heures du soir."
Susan s'écarta de Jenny, pour mieux la regarder, et d'un regard dur, et sérieux, serra ses mains contre le haut de ses bras, serrant ses biceps, et lui murmura de faire attention, et de s'arrêta en cas de besoin, pour faire une pause, aller aux toilettes, ou boire un café et se reposer ou bien faire une sieste de quelques minutes.
Jenny acquiesça, et la rassura du mieux, qu'elle put, et déclara qu'elle fera autant de pauses que son corps le souhaite autant que c'est nécessaire, et promis également de la contacter une fois arrivée ; elle alla s'assoir à la place du conducteur, et ouvrit sa vitre, pour un dernier adieu à Susan, qui agitait sa main, pour la saluait.
Il faisait totalement nuit, quand elle arriva, il faisait totalement noir, la lune était en un simplement croissant, avec autour un milliard et milliard, une multitude d'étoiles qui brillaient à travers le firmament, et qui éclairaient partiellement la nuit et la nature, les horizons. Jenny arriva ainsi, en se garant doucement et manœuvrent sa voiture le plus calmement, le plus doucement et discrètement que possible, près de la maison familiale, où elle eut vécu autrefois, avec ses parents, qui y vivaient avant leur mort tragique, avec ses frères et sœurs, et sa grand-mère. Jenny coupa le moteur, qui avait été le seul bruit, qui rompait le silence et les bruits de la nature, insectes et criquets.
Jenny sortit de la voiture, et sentit l'air frai de l'été Californien sur sa peau et entra profondément dans ses poumons, elle inspira et expira profondément, heureuse d'être de retors à la campagne, proche de San Francisco, de son enfance, de son innocence et de sa chère-grand-mère ; le voyage avait été long, et relativement calme, croisant que quelques camions, et dépassant certaines voitures, mais n'ayant pas eu à faire face ou à supporter et endurer de longs et longtemps des embouteillages ; elle s'était arrêtée vers 7 h 00 du soir pour diner, dans une aire de repos et de service, et s'était arrêtée également deux ou trois fois, pour se dégourdir les jambes par la fatigue et l'énervement d'être trop longtemps assise, et aussi pour aller faire un tour aux toilettes.
Jenny sortit son sac et sa valise de son coffre, et sachant, que Maria aurait ouvert pour elle, la porte d'entrée sans la verrouiller, sachant qu'elle arriverait aujourd'hui, mais tardivement dans la soirée ou plus précisément dans la nuit, l'ayant prévenue qu'elle comptait partir tard et l'avait avertie de sa venue. Jenny, monta les marches du porche aussi silencieusement que possible, sachant que peut-être personne ne l'attendrait ou s'attendrait à ce qu'elle arrive à cette heure tardive, et Jenny voulais éviter tout grincement de bois et de planches de parquet ; Jenny ouvrit délicatement la porte d'entrée, avec la plus grande discrétion, mais avant qu'elle ne l'ouvre elle avait aperçu, un halo de lumière traversant partiellement le bas de la porte d'entrée ; signe qu'une personne étant encore réveillée, et la lumière du salon allumée.
Jenny se glissât à l'intérieur, et vit la faible lumière du salon, dans un fauteuil du dossier qui lui faisait face se trouvait, Maria, en plein travaux d'aiguilles et de tricot ; Jenny regarda sa grand-mère, en se cachant derrière un mur ému et émerveillé que rien et changer ici, durant l'année où elle est partie, observant sa grand-mère coudre, tard le soir, cela était l'une de ses anciennes habitudes de coudre, de tricoter et faire du crochet où autres travaux d'aiguilles, pour ses petits-enfants, et arrières petits-enfants, pour différents habits ou objets de décoration, napperont de tables, et autres, comme des tableaux de canevas, tapissant de paysages, ou de styles totalement bohémiens avec des couleurs et styles qui vont avec, des canevas Roumains, avec la vie des Gitans, des caravanes, des feux de champs, ainsi que la vie quotidienne et animées des bohémiens devant un feu, avec des habits traditionnels... ; finalement, Jenny sortie de ses pensées, et s'approcha en pénétrant doucement dans le salon, se raclant la gorge, et murmura :
"Bonsoir, Bunica ; c'est moi, Janna. Je suis enfin arrivée."
Maria, se retourna, au son de la voix de Jenny ; elle avait entendu le bruit du moteur de la voiture, proche de la maison, et elle avait aperçu les phares bouger et se reflétant se déplaçant contre les rideaux et les fenêtres, et se garer doucement, Maria s'était levée, lentement et avait regardé à travers les carreaux de la fenêtre, en écartant légèrement et presque invisible, le rideau, et reconnu la voiture étant celle de Jenny, et vit également la jeune femme sortir de son véhicule ; Maria s'était réassise dans son fauteuil, près de la cheminée, elle ne voulait pas paraitre trop impatiente ou excitée et agitée par l'arrivée de sa petite-fille, et voulait qu'elle rendre la maison en silence, et calmement, car sans doute fatiguée, et groggy de son voyage, voulant sans doute se reposer ; Et Maria voulait contenir ses émotions devant l'arrivée et le retour de Jenny, et son séjour. Elle s'avait, que Jenny saurait, qu'elle l'aurait entendue franchir la porte, mais fit semblant de rien, Maria entendit la porte grincer très légèrement, et les pas, et craquement de chaussures étrangement familière, et les reconnaitre partout ailleurs ; ceux de Jenny.
Maria attendit, quelques instants, que la jeune femme se manifeste, et attendit dans le silence, elle pensait et savait très bien que Jenny l'observer intensément, avec une boule et houle d'émotions devants des souvenirs et malheureux de cet endroit, et probablement en train de traiter son retour ; dans cet endroit, finalement, Maria l'entendit murmurer et l'appeler doucement, pleines d'émotions.
Maria se retourna alors, les yeux s'illuminent, et son visage s'éclaircissant de bonheur, et de quasi surprise, elle se leva lentement, en souriant de véritable joie et émotions, son sourire illuminant son visage et peut-être même la pièce toute entière par son intensité.
Maria s'avança à présent vers Jenny, en écartant ses bras pour lui permettre et l'invitait dans une étreinte, Maria était à présent au côté de Jenny, juste à quelques millimètres de distance qui les séparant, avant qu'elle attirât Jenny contre elle, dans une étreinte et l'écrasant contre son corps, en lui murmurant dans les cheveux :
"Oh, Janna, ma chérie tu m'as manqué, je commençais à me demander quand est-ce que tu allais arriver."
Jenny, en enroulant ses bras, autours du dos et des épaules de sa grand-mère, et lui murmura, combien elle lui avait manquée, et comme c'était bon d'être de retours, à la maison, et surtout si près d'elle. Après quelque instant, silencieux, et de bénédictions, de tranquillité et calme intérieure, et de silencieux à entre leurs respirations et le silence paisible de la nuit et de la maison montrant aucun signe de vie, qu'il y avait des occupants qui dormaient, à l'étage. Maria se détacha lentement de l'étreinte de Jenny, et la regarda profondément et attentivement, en murmurant qu'elles devaient être silencieuse, car l'oncle Enyos dormait à l'étage, et qu'à présent, depuis le décès des parents de Jenny ; Damien avait emménagé et avait hérité de la maison familiale, avec sa femme, Sarah, ils avaient rapidement eut leur premier enfant rapidement après leur mariage, un fils, Haney, dix-neuf ans à présent ; ils ont eu également quatre filles ensuite ; Savannah, dix-sept ans, Sally, quinze ans, Marina, onze ans, et Shirley la petite dernière, neuf ans.
Maria déclara qu'ils dormaient tous actuellement, mais que Jenny pourrait les voir dès le lendemain matin, et qu'Enyos voudrait lui parler en privé dès le plus rapidement possible, et lui dit également qu'elle devait s'installer, et devait sans aucun doute être très fatiguée, alors Maria lui dit qu'elle pouvait aller dormir dans son ancienne chambre, qui n'avait nullement changée depuis son départ, et depuis plusieurs années, et que personne ne l'avait jamais utilisée.
Maria dirigea lentement, Jenny, en lui disant quand effet ; elle était fatiguée et éreintée par son voyage et le trajet. Et voulu aller ranger quelques affaires et ses habits et faire un brin de toilette, avant de s'habiller en chemise de nuit. Maria donna, à Jenny, une légère collation, un simple sandwich avant que Jenny ne monte.
Quand Jenny fut enfin seule dans sa chambre ; elle alluma doucement la lampe qui se trouvait posée sur sa table de nuit, qui éclaira faiblement la pièce, mais assez éclaira et lumineux pour voir ce qui se trouvait autour de la chambre et les différents meubles, et ses membres qui bougeaient pour poser son sac et sa valise sur son lit, qui était méticuleusement fait avec des couvertures et draps propres et arrangés et pliés soigneusement et récemment par Maria, réalisée expressément pour l'arrivait de Jenny ; Jenny se tourna vers le lit qui se trouvait au cotée du sien, fait depuis longtemps, et soigneusement dépoussiérèrent très régulièrement et entretenue, des draps gardés depuis des années, depuis la dernière fois que Nolwenn avait dormi dans ce lit ; les draps étaient légèrement vieux, et moisis, et vieux jaunies et gris. Il sentait l'ancien, remarqua Jenny, elle qu'elle s'y allongeait pour essayer de détecter l'odeur de sa sœur bien aimée et éviter de pleurer ; en se redressant essayant de se ressaisir, et calmer ses nerfs et ses émotions, et ne voulant pas alerter le reste de la maison, elle toucha du bout des doigts, la peluche en lapin qui reposait sur le couvre lit, au sommet du lit, tout en murmurant et soupirant elle chuchotât :
"Oh Nolwenn, tu me manques tellement, où es-tu ? J'aimerais tellement être avec toi en ce moment loin, d'oncle Enyos."
Jenny se dirigea vers leur ancien bureau de travail, qui ressemblait à un ancien pupitre d'école primaire, où les deux jeunes filles étudiaient et réalisaient et copiaient leurs devoirs et rédactions, en levant son regard, ses yeux parcoururent le mur au-dessus, voyant la carte géographique, une vieille carte ancienne datant des fin des années 70 et début des années 80 ; qui datait tellement certains noms de pays n'étaient plus d'actualité, ni certaines frontières ; Jenny pouvait voir l'Europe divisait avec la guerre froide, entre l'Europe de l'Ouest, et l'Europe de l'Est ; et aussi l'actuel Russie, qui était autrefois appelait, l'URSS ; et il y avait aussi les différents décalages horaires entre certains pays, et date, et jour de la semaine qui séparaient les jours, de décalage.
Jenny soupira de mélancolie à la carte, en passant ses doigts contre le bureau et la carte et ses frontières. Finalement en secouant la tête après avoir ranger ses affaires ; Jenny, alla se coucher, et dormit durant plusieurs heures, sans le moins du monde se réveiller, en dormant profondément et paisiblement ; jusqu'à 7 h 00 du matin.
Le soleil apparut, éclot doucement, affluait et proliférait en luminosité et les rayons et la lumière jaunes mélangés à de l'orangé, glissât et se faufilât à travers les volets et perciennes placés au niveau des fenêtres ; la lumière et la chaleur qui passa lentement vers le visage endormit de Jenny, cela la réveilla lentement, et la fit légèrement gémir ; en papillonnant les paupières, et essaya d'ouvrir lentement et avec précaution les yeux, se réveillant doucement, et ne voulant pas forcer ; et être éblouit par le début du soleil levant.
Jenny se redressa sur son coude, et frottât doucement ses yeux, en se redressant et levant, en posant ses pieds nus sur le sol ; elle avait parfaitement bien dormi, et elle eut totalement ses heures maximums de sommeil, totalement reposée, et son corps était totalement et en totale harmonie avec son esprit entièrement revigoré de ses heures de sommeil. La veille au soir avant d'aller se coucher, elle contactât Susan, qui était quelque peu inquiète que Jenny ait oublié de la prévenir d'être arrivée à destination, ou bien qu'elle eût pris du retard sur la route ; la femme retraitée fut totalement rassurée et heureuse d'entendre la voix de Jenny à l'autre bout de la ligne téléphone, lui racontant son voyage, et qu'elle était arrivée à l'heure à laquelle elle s'était presque doutée, qu'elle arriverait. Après que les deux femmes parlèrent durant quelques minutes ; Susan lui dit de bien se reposer et profiter de ses vacances avec sa famille, et lui dit au revoir et elles raccrochèrent toutes les deux.
Jenny alla ouvrir, ses volets, et faire ainsi pénétrer la luminosité et la lumière naturelle du soleil, totalement et complètement et dans chaque angle dans toute la pièce ; en posant ses coudes sur le rebord en bois de la fenêtre, elle regardait durant un moment la campagne, le paysage qui lui avait manquée l'herbe, les collines et profiter de l'odeur campagnarde, ainsi que les bruits de coq et d'oiseaux ; et en inspirant et expirant profondément l'air frais du matin et de campagne, et l'air pur loin de la ville et la pollution de certain endroit surtout provenant des usines, et l'air campagnard était fort et donnait un certain besoin de se reposer et dormir d'un bon repos.
En étant dans ses réflexions et plongée dans ses pensées les plus intimes, spirituelles et magiques, elle aperçut, au loin son oncle, marchant dans la prairie, pour sa promenade habituelle du matin ; Jenny eu un moment de doute et de suspicion et instinctif que peut-être son oncle savait qu'elle était arrivée hier au soir, et il voulait la voir et l'attendait ; et Jenny savait que ce serait une bonne occasion de lui parler et de faire ses derniers rapports ainsi que le bilan de l'année écoulée sur ses observations, et elle se disait que ce serait le moment idéal, et surtout que plutôt Jenny aurait parlé avec son oncle, mieux ce serait, et plus vite elle se serait débarrassée de cette conversation qu'elle redoutait tant, et après cela, Jenny se tiendra éloignée d'Enyos et profitera de ses vacances aussi agréablement qu'elle osait se l'espérer en compagnie de sa grand-mère et neveux et nièces..
En s'éloignant de la fenêtre, Jenny se dirigea vers son armoire, et s'habillât rapidement d'une robe, après s'être lavée rapidement ; une robe d'été à bretelle blanche fleurit de fleurs vertes, et sortit un foulard, qu'elle pliât et fit office à ce moment-ci comme un châle et sortie de la maison en courant vers son oncle.
Jenny se dirigea lentement vers Enyos, qui se trouvait dos à elle, les mains sur les hanches avec possédant son dos parfaitement rigide, observant la nature et écoutant et profitant, réfléchissant du calme et silence du matin et de la campagne Californienne. Jenny, s'arrêta quelque seconde en tirant sur son foulard posé sur ses épaules qui flottait sur son dos au rythme de la brise matinale ; elle souffla doucement, et se rapprocha d'avantage, et murmura :
"Bonjour, mon oncle,"
A la voix et au son de la voix de sa nièce, Jenny, Enyos se retourna, en lui rendant ses salutations et son bonjour, lui demanda ensuite comment allait-elle, et si elle avait fait bon voyage. Et il lui demanda si son année ainsi, si elle a été prudente, et ainsi si Jenny s'était habituée de sa vie loin de sa famille et de son peuple, dans une ville comme Sunnydale.
Jenny lui répondit du mieux qu'elle put, son voyage et le remercia de se soucier de sa santé et de son bien-être, et se souciait comment elle allait ; Jenny lui répondit qu'elle allait plutôt bien, mais lui dit qu'elle était heureuse d'être revenue parmi les siens - bien que c'était vraiment un demi-mensonge qui mettait plutôt mal à l'aise Jenny, mais elle ne voulait rien dire sur le fait, qu'elle voulait tout faire pour s'enfuir de cette situation et de cette vie et lui dit avec une joie, un bonheur et un visage illuminé et éclatant avec des yeux, qu'elle ne pouvait nullement cacher et pouvait s'empêchée, et ce qu'Enyos ne manque pas de remarquer avec mécontentement et désapprobation et horreur la regardait avec clairement mécontentement, en fronçant les sourcils d'un regard noir, et pointu et énervé ; qu'elle s'était habituée à sa vie indépendante, et heureuse en se créant un cocon et une routine régulière, avec son travail - qui Jenny le sait, son oncle désapprouvé fortement - d'enseignante d'informatique, mais il est vrai que par moment elle se sentait seule, mais Jenny avait réussi à se créer des connaissances dans son quartier. Mais Jenny ne dit en aucun cas les noms des personnes avec qui elle a sympathisées.
Enyos était très mécontent de tout ceci, et lui dit qu'il espérait qu'elle n'avait pas oublié sa mission et sa responsabilité et ce pourquoi elle s'était installée dans une autre vile, et que surtout Jenny ne devait pas oublier que s'il n'y avait pas eu cette mission, ni Angel, jamais elle ne se serait installée là-bas, Enyos ne lui aurait jamais permis cette frivolité et cette liberté ; dans ce monde moderne, corrompu et dangereux, et totalement inutile.
Jenny, n'était pas évidemment pas d'accord sur ce fait et cette opinion, sur le point de vue de son oncle et opinion et critique du nouveau monde ; mais elle ne voulait nullement s'entrainer ni entrer dans une conversation et conférence qui ne mèneraient nulle part et donc stériles ; Jenny se tut.
Enyos s'arrêta soudainement de marcher pour faire face à Jenny, et la regarda dans ses yeux ; et lui demanda finalement et déclara en mettant en garde avec sa voix dangereusement basse avec son célèbre accent Roumain ; qu'il espérait que Jenny n'ait pas lié une quelconque amitié ou lien avec ses voisins, ou révéler par inadvertance ou volontairement sa véritable venue à Sunnydale, et Enyos lui rappela à nouveau ce pourquoi elle était dans cette ville, et que ces raisons n'étaient pas dans le but de se faire des amies ou lier des relations avec n'importe qui ; et lui dit finalement d'un ton dur " Ne t'attache pas à ces gens, Janna, ils sont dangereux avec leurs manières et leur mode de vie. "
Jenny le regarda sans détourner les yeux ne serait-ce qu'une seule fois de peur de montrer ses craintes à son oncle, et lui faire savoir qu'il l'impressionnait ; et lui répondit qu'elle était très prudente, et ne cessait de penser à sa mission, et rester loyale et fidèle à sa tâche et son dévouement vers le peuple ; Jenny déclara à Enyos qu'elle entretenait des relations courtoises et quelque peu distantes, et essayait de se faire aussi discrète et invisible que possible, Jenny n'avait nullement entretenu d'amitié ouverte ou de relation engageait avec quiconque et ne connaissait personne de manière personnelle et un peu aussi fort que platonique. Jenny avait délibérément menti sur cette partie, mais Jenny ne voulait tout simplement pas que son oncle découvre sa double vie, ni ses amitiés qu'elle avait créées et sa vie qu'elle voulait créée et avoir en dehors du clan, et voulait à tout prix protéger sa nouvelle vie ainsi que ses amies, car elle savait se douter, et savait trop bien ce que son peuple lui ferait subir s'ils découvraient la vérité et même à ses amies, et voulait les protéger.
Et Jenny répondit qu'elle garderait toujours ses distances.
Enyos respira profondément, et souffla de l'air chaud et son halène contre le visage de sa nièce, et semblait la regarder avec scepticisme et suspicion essayant de la tester du regard, l'observant pour regarder à travers son âme si elle ne lui mentait pas ; et l'étudia profondément, puis au bout d'un instant, il décida de rompre le silence, décidant à un instant que Jenny ne devait et n'oserait certainement pas lui mentir et lui avait montré à d'innombrable reprise sa loyauté envers leur famille ; Enyos lui demanda alors, si Jenny avait de nouveau rapport d'observation sur Angel, et surtout si elle avait enfin trouvé le lien et sa connaissance de la tueuse et de son observateur.
Jenny frissonna doucement et silencieusement, redoutant et craignant cette partie de la conversation avec son oncle, mais savait qu'elle devrait forcément passait par là, et ne pourrait jamais y échapper ; Elle lui avoua dans un souffle tremblant, qu'elle avait enfin découvert qui était la tueuse, et Enyos, lui dit, alors ? Et la pressa de lui qui elle était ; Et Jenny frissonnât une nouvelle fois en murmurant qu'il s'agissait de Buffy Summers, une de ses élèves ; Enyos se mit en colère, et était furieux, que jenny ait mit du temps à découvrir, qui elle était, alors qu'elle l'avait eu sous les yeux et pratiquement à portait de main durant tout ce temps sans rien voir, et Jenny qu'il devait penser, si elle avait bien fait son travail finalement, et si elle l'avait prise au sérieux, Jenny regretta et demanda pardon à son oncle, qui semblât se clamer à cause de ses supplications ; et il lui demanda enfin qui était son observateur ; Jenny eut alors comme un voile devant ses yeux, et eut envie de pleurer, en avouant, craignant qu'il s'énervent d'autant plus devant son aveuglement évident et manque d'observation, qu'il s'agissait de Rupert Giles, le bibliothécaire de l'école, Jenny sentit son cœur sauter dans sa gorge et lui faire mal et la serrait totalement, de tristesse et de désespoir et sentit alors totalement inattendu, Jenny son esprit et son cœur ainsi que son âme allait vers Rupert ; et voulu saisir cette occasion, cette chance, qu'elle avait de parler de Rupert à Enyos, de lui dire qu'elle s'est bien entendu avec lui en tant exclusivement en tant que collègue, bien avant qu'elle ne sache qu'il était l'observateur, et cette chance qu'elle pouvait obtenir, en sachant qu'elle avait déjà maintes et maintes fois, et avait médité et réfléchit une millionième de fois comment avouer si elle devait en parler et discuter avec son oncle, mais ne devait en aucun cas évoquer son véritable lien et émotions et sentiments qu'elle commençait à monter et nourrissait pour Rupert, et lui demanda finalement si Enyos pouvait lui donner l'autorisation exceptionnelle pour seulement uniquement une seule personne, avouait à Rupert son rôle et son lien avec Angel ? Elle ne voulait pas et se sentait mal et blessée de mentir ainsi à l'homme qui lui tenait tellement dans son estime et son âme.
A ses paroles ; Enyos, se hérissa, et n'en croyant pas ce qu'il entendait, ni ce que Jenny osait lui demander, pensant qu'elle avait sans doute perdu la tête, ni ne savait ce qu'elle disait, et pensait qu'elle avait sans doute été corrompue ou avait changé de camp ; il lui dit que c'était impossible, que ce serait une trahison envers sa promesse que Jenny avait faite envers Enyos, Ileana et son peuple, et lui dit qu'elle devait faire attention à ce qu'elle disait, que cet homme était loin mais très loin d'être comme eux ; et loin de leur objectif et qu'il était trop près et impliqué avec la tueuse et dans ce cas avec Buffy, ce serait dangereux, et si Jenny faisait cela, elle trahirait non seulement les Kalderash mais aussi la mission divine et la vengeance éternelle qui était condamnée sur Angélus. Et il lui dit enfin, si elle n'était pas devenue folle ? Et qu'il espérait qu'elle ne s'était pas impliquée émotionnellement avec son élève et ce bibliothécaire avant qu'elle ne découvre leur identité secrète.
Heureusement pour Jenny, il ne lui demanda pas comment et dans quelle circonstance elle l'avait découvert, tout ce qu'il demandait était de mener à bien sa mission et faire son travail, et jouer un rôle, qui l'étouffait, et rôle d'espionne.
Et enfin, Jenny lui dit, parla calmement que peut-être, ils avaient fait une erreur qu'Angel ne semblait pas si mauvais et diabolique, maléfique, qu'il en avait l'air, et qu'il l'avait sauvé, elle n'émit pas pourquoi et la véritable circonstance de son sauvetage, et du drame qui a failli la frapper et la presque agression, qu'elle avait été victime, elle ne lui dit rien ; donc Enyos pensa qu'il l'avait sauvé alors qu'elle essayait d'éviter l'apocalypse et la résurrection et la monté en puissance du Maître. Mais Enyos l'avait coupé pendant un moment, lui demandant ce qu'elle racontait et comment osait-elle raconter de telles sornettes et idioties, et que Jenny avait dû tomber dans un piège ou s'être laisser berner, et manipuler par l'esprit démonique et vampirique d'Angel les vampires avaient certaines facilitées et pouvoir de manipuler leurs victimes et les martyriser, et qu'Angel avait peut-être utiliser Jenny, pour la manipuler, et lui faire du mal.
Bien sûr Jenny, se défendit en s'exclamant en lui disant, qu'Angel avait été de leur côté, du moins du côté de la tueuse et de son observateur pour vaincre le mal et les démons, et qu'Angel avait été très amical, gentil voir presque mystérieux ; et elle sentait une complexité le traverser, peut-être n'était-il pas aussi mauvais qu'il semblerait, bien sûr Jenny resterait sur ses gardes, et resterait méfiante envers lui ; mais Jenny dut avouer à son oncle, qu'après la bataille, Angel lui avait dit et il semblait réfléchir à elle et à se méfier, et il avait l'impression de l'avoir déjà vue, et qu'elle lui semblait familière ; et Jenny se sentit mal à l'aise et extrêmement nerveuse à ses regards intenses.
Enyos semblât aussi inquiet qu'elle, mais ne lui donna nullement aucune information, et ne donna aucune explication à tout cela, il lui dit juste de rester encore plus prudente, et sur ses gardes, au cas où il réussirait à deviner et à découvrir qui est réellement Jenny, et la menace qu'elle représentait pour lui ; Enyos demanda à Jenny, si elle pense, qu'Angel n'ait rien soupçonné ou deviné ? Sa nièce lui répondit que non, et il avait semblé croire son hypothèse qu'ayant qu'aucune des innombrables et des centaines d'humains au cours de sa vie, elle était juste une erreur. Enyos semblait apprécier et être d'accord et fière par le mensonge et l'explication camouflée qu'elle avait réussi à dire, et acquiesça ; mais il eut autre chose, Jenny lui avoua qu'elle avait dansé avec lui lors du bal au club de danse, un endroit nommé le bronze, et il l'avait prise contre lui, avait senti son odeur et son parfum, et lui avait embrassé la main.
Enyos était stupéfait par cette information et révélation ; comment Jenny pouvait être aussi idiote et inconsciente, mais en même temps intelligente et perspicace ? Heureusement Jenny avait accepté de danser avec lui pour effacer ses doutes ou suspicions, mais s'inquiétait qu'il s'en serve plus tard pour la traquer et se souvenir de son odeur, mais il ne pouvait pas croire qu'elle l'avait laissé l'embrasser et autorisé une telle proximité se déroulait entre eux deux. Il était furieux.
Jenny essaya d'expliquer avec des explications et des excuses balbutiait qui n'avait réellement aucun sens. Finalement, il abandonna et ordonna à sa nièce de se taire et de cesser de babiller et de se comporter en idiote.
Jenny enroula et passa sa main en enlaçant doucement le bras de son oncle avec le sien, alors qu'il continuait à marcher, en silence, profitant de la compagnie de l'autre, et profitant des retrouvailles entre famille, et le lien oncle-nièce ; le silence pouvait être agréable, dans le cœur et l'esprit de Jenny, et aussi en apparence et extérieur, tout semblait bien. Mais en réalité, Jenny se sentait nerveuse, anxieuse et agitait à l'intérieur d'elle-même, et se sentait troublée, de ce qui allait suivre et la suite de la conversation, qu'elle craignait plus que tout.
Quelques moments plus tard, Enyos rompit une nouvelle fois le silence, en évoquant pour une raison ou une autre, le fait qu'il espérait que Jenny ne trahirait pas ses origines, ni la famille, ni le clan et ses origines gitanes et les ancêtres qui ont sacrifié leurs vies, ni déshonoré la mémoire de Serena, et il voulait s'assurer que Jenny avait rien à lui cacher ni de relation amoureuse où intime, dans ce cas-là plus que platonique, à Sunnydale avec un homme qui n'était pas un bohémien, et Enyos voulait s'assurer qu'elle ne lui mentait pas ou avait une vie secrète et amoureuse, ou trahirait les Kalderash de cette façon ; Enyos, lui dit alors qu'elle n'avait pas intérêt, à s'amuser de façon dévergondée, en libertinage ou en immoralité avec leur tradition, et encore de façon débauchée, comme il l'avait connu et se souvenait de Jenny quand elle était adolescente, et espérait qu'elle ne profiterait pas d'être sans surveillance loin de leur foyer et à Sunnydale, pour tomber amoureuse, et de s'enfuir et trahir et abandonner le peuple, qu'elle se comporterait comme une rebelle et devenir indépendante, qu'elle ferait et voulait toujours être comme sa traitresse de sœur, Nolwenn, et se marier avec un Gadjo. - non-Gitan, comme les bohémiens, prénommées, appelées les personnes qui ne faisaient pas parti au peuple de bohémien, et qui ne faisait pas partie de leur culture et étaient d'autre origine.
Ensuite, Enyos s'en ait pris à Nolwenn, l'accusa, la traita, l'insulta, attaqua, humiliée et blessée, ainsi que blâmer et offenser la jeune femme ; il la traita de sale traitre, de putain, de prostituée, de dévergondée, qu'elle trahit sa famille, trahit et défier les origines qui lui étaient données à sa naissance, et avait également trahis en défiant les traditions, les origines bohémiennes, leur mode de vie, et leur croyance ainsi que le pire et la trahison de trop et de plus est d'offenser les ancêtres ainsi que les esprits, et Dieu. Enyos déclara qu'elle s'était mariée avec un homme du monde moderne, et un catholique qui plus est ; sans accord sans la moindre bénédiction, est devenant ainsi de plus en plus arrogante et supérieure, et que de toute façon, après son mariage, le conseil et les conseillers du clan et proches de l'Ancienne, Ileana, déclara et condamna le mariage de Nolwenn et Quentin, et à la naissance de leur bébé, l'enfant fut déclaré par Ileana et les Kalderash de bâtard. Enyos appela la fille de Nolwenn, comme "sa bâtarde de fille" d'un ton méprisant, et cracha pratiquement les mots avec mépris et haine et d'un ton mauvais et menaçant.
Jenny écouta et savait où il voulait en venir, sur ce qu'il lui disait au sujet de Nolwenn, et se sentit nauséeuse et pleine de remord d'écouter ses mots pénétrant ses oreilles et son cerveau, elle savait qu'il la menaçait et la mettait en garde d'une quelconque façon que ce soit, et savait que si elle faisait de même Jenny aurait de grave ennuie, et voyait nettement les sous-entendu et les doubles faces et mots cachés qu'elle savait détecter et sentir ; " Mon oncle, Nolwenn est morte, comment peux-tu parler d'elle d'une façon si méprisable et avec tant de haine, elle est morte et tu parles d'elle comme si elle n'avait jamais vécu ! On ne devrait pas parler de Nolwenn de cette façon, surtout envers un mort ! Et Beverly ? Et la fille de ma sœur, ta nièce. Pour moi, elle n'est pas une bâtarde."
Enyos était stupéfaite par l'audace, de Jenny, à s'opposer à lui, et à lui parler de cette façon et sur un tel ton ; et lui déclara qu'il espérait, qu'elle n'avait aucun contact avec ce Quentin Caledif l'époux de Nolwenn, et sa fille, Beverly ; Jenny resta sans voix, les lèvres résolument et extrêmement serrées et plaquées l'une contre l'autre, mais elle finit par chuchoter que non, elle n'avait gardé aucun contact avec eux. Enyos acquiesça de contentement et d'accord s'attisait de sa réponse, en lui disant que si elle l'avait fait, elle avait réalisé le contraire, Jenny devait se rendre compte qu'elle aurait été reconnue coupable de trahison, de traitresse, de déshonneur et avoir une complicité et collaborait avec l'ennemie et le mauvais côté, et pour lui il se contentait et croyait ce que Jenny lui avait dit ; mais si elle avait fait de mauvais choix, pour Enyos, Jenny aurait déshonoré et déshérité, déposséder et renier par lui-même et la famille.
Enyos lui dit et Jenny le sut, si elle tombait amoureuse, avec une personne non gitane. Si elle tombait amoureuse, si elle appris à aimer Rupert, qui n'était pas de son milieu social, ni de sa culture, de sa patrie d'origine, et de son monde, si elle commençait une relation avec lui, et si ils s'aimaient suffisamment fort et leur amour assez puissant et fort, pour s'aimer jusqu'à la fin pour se marier, Jenny serait reniée et déshonorée, perdrait tout, et sa famille, ainsi que son honneur et perdrait la confiance de tous, et perdrait le but de sa mission ; mais surtout, son mariage ne serait jamais valide et juridiquement pour les bohémiens comme illégale, elle serait considérée comme une parias, une trainée, traitresse, putain, catin, elle serait considérée et on la verrait comme une trahison, une étrangère, déloyauté et un crime pour son peuple ainsi que déloyauté... Et les enfants de Jenny seraient traités de la même manière, et paieraient pour les erreurs, les choix de leur mère, et pire encore, seraient insultés comme des parias ou des lépreux, et surnommés comme des bâtards, des enfants illégitimes... Non, Jenny ne pourrait pas permettre que ça arrivait, si Nolwenn avait été ici, Jenny aurait été plus courage, Nolwenn a toujours cru que c'était Jenny la plus forte et la plus courageuse des deux, mais en réalité, aux yeux de Jenny, c'était Nolwenn la plus forte et la plus courageuse... Plus que Nolwenn n'était plus là, Jenny pouvait dire adieu à ses rêves et à son désir d'évasions...
Jenny, parla ensuite, voulant à tout prix changer de sujet, et voulant parler d'une information cruciale et capitale, qu'Enyos voudrait surement savoir, connaitre, et qu'il lui en voudrait très certainement si elle ne lui avouait pas, et il le découvrait par lui-même ; Jenny déclara, que Buffy et Giles ne travaillaient pas seul, avec Angel, Buffy avait deux amis, qui l'aidaient dans ses combats et à survivre ainsi qu'aux recherches, et ces deux personnes, se nommaient Alex et Willow.
Enyos se tourna vers sa nièce, les sourcils froncés, avec des plis d'inquiétudes, de réflexions et perplexité sur son front ridé ; inquiets et incrédules, réfléchissant, et étant en pleine méditation et réflexion et pensivement ; il se souvenait que Jenny avait sympathisé avec une de ses élèves, et que cette petite fille, s'appelait Willow.
Jenny essaya de se défendre, en déclarant que jamais elle ne se serait doutée, que la petite Willow serait impliquée dans des mouvements et expériences surnaturelles et occultisme, et démonique. Enyos là coupa, en lui répétant d'une voix dure :
"Ne t'attache pas à ces gens, Janna. Il faut que tu évites de t'impliquer émotionnellement avec cette petite fille, Willow, elle est du côté de la tueuse, elle est peut-être d'une mauvaise influence voire dangereuse. Et ne t'attache pas à cette fillette est-ce compris ; tiens-toi à l'écart aussi loin que possible sans éveiller les soupçons, et concentre-toi à être proche d'eux suffisamment pour les observer de manière objective : Compris ?"
Jenny acquiesça lentement, avec tristesse, et murmura entre ses dents ; "Je comprends mon oncle, et c'est compris."
Jenny pensa à Willow, elle n'aurait jamais dû parler d'elle à son oncle, et la tenir à l'écart, elle avait trop parlé, avait était trop bavarde, tout ça pour essayer d'être loyale envers sa famille ; mais elle voulait tellement être bien vue, et faire plaisir, à tout le monde, loyale des deux côtés, de sa famille à ses amies. Elle regrettait d'en avoir trop dit. Jenny, releva la tête, en pensant soudainement à quelque chose, qui pourrait lui faire rattraper son erreur, et ainsi défendre son amie.
Jenny déclara alors, que Willow ne pourrait jamais être dangereuse, elle était trop timide et réservée pour cela, et extravertie, et une bonne élève et cultivée, et surtout très intelligente et curieuse de nature, et Jenny était très proche d'elle, et donc en un an, Jenny avait appris à connaitre Willow, et elle était donc peut-être méfiante et observatrice ; Mais Enyos ne voulait rien entendre ; et Jenny s'écriât, alors qu'il s'éloignait d'elle. Willow est comme eux, elle a des mêmes origines persécutées à travers l'histoire, elle était juive, et eux bohémiens.
Enyos, qui s'était figé, détourna le regard de devant lui, en murmurant d'une voix basse et dure ; qu'il ne voyait pas du tout le rapport avec eux. Le lien avec leur clan, où n'importe quel autre peuple ou familles bohèmes. Qu'il ne voyait pas, le lien qu'ils pouvaient partager entre Willow et sa famille ; la famille, le peuple de Willow avaient-ils étaient victimes d'assassinat par un vampire meurtrier de plusieurs siècles, par un vampire surnommé le fléau de l'Europe ? Ont-ils été persécutés, ont-ils vécus des générations de vengeances et de liens et secrets et histoires de démons, et liens à un quelconque liens de magies ou spiritismes ? Willow a-t-elle un lien avec une prophétie ? Ou un destin hors du commun, ou destiné à venger ses ancêtres ?
Jenny balbutiât nerveusement, les yeux écarquillés et blessés, qu'il puisse poser de telles questions et puisse comparer le peuple juif d'une telle manière, et surtout avec une telle comparaison et avec leur histoire qui était horrible et paranormale. Elle réussit à dire ; non... mais. Et Enyos la coupa alors, en répliquant qu'ils n'avaient plus à en discuter dans ce cas.
Mais Jenny ne se laissa pas faire, prête à défendre Willow de toutes ses forces et avec passions et férocité ; Elle déclara, que les juifs avaient été exterminés, et persécutés, et assassinés et massacrée, et poursuivit et chassés dans toute l'Europe, les mêmes horreurs, les mêmes histoires et déportations ont été faites sur eux, qu'avec les tsiganes, qui avaient dû fuir et se cacher, les mêmes persécutions ; Willow est née aux Etats-Unis, mais d'après le peu que Jenny savait, était que sa grand-mère paternelle avait vécu durant la seconde guerre mondiale, en Hollande.
Enyos, de manière implacable et indifférente, déclara que ce n'était pas cela qui ferait le lien entre leurs peuples, et qu'ils ne pouvaient pas y avoir de différence en ce qu'ils avaient vécu avec Angélus.
Mais Jenny persista en disant, que même si les juifs avaient vécu de telles horreurs, jamais ils n'ont eu de vengeance envers leurs meurtriers et des personnes qui les avaient martyrisées, et les Nazies, n'ont pas eu de malédictions, n'ont pas payé comme Angélus devait le faire ; et sur cela Enyos explosa en lui disant que cela n'avait rien avoir. Ils n'allaient pas maudire, les chefs Nazies ou des humains, ce serait à la justice et au procès des accusations donner pour meurtres et procès pour crime contre l'humanité.
Jenny déclara tout de même, que leur famille ainsi que celle de Willow avaient des similitudes ; ils avaient été victimes de racisme, persécutions et génocides ; et massacres et traités comme des sous-hommes ; des " Untermensch " terme donné par les Nazies et Himmler, le chef des SS, décrire des « personnes inférieures » non-aryennes, souvent appelés « les masses de l'Est », c'est-à-dire des Juifs, des Roms et des Slaves - principalement des Polonais, des Serbes et plus tard aussi les Russes.
Enyos était particulièrement énervé, de l'emploi et la prononciation du mot "Untermensch" à travers la bouche et les lèvres de sa nièce, et lui interdit formellement de le répéter une nouvelle fois devant lui ; et il la renvoya en déclarant que la conversation était terminée, et lui répéta une nouvelle fois de ne pas oublier sa mission et de continuer à lui faire des rapports et à rester à distance ; et lui dit que ses neveux et nièces voudraient sûrement la voir, et lui dit enfin qu'il ne voudrait plus avoir de conversation pour l'instant, jusqu'à ce qu'elle parte.
Jenny se détourna de son oncle, en lui murmurant de passer une bonne journée, et revient lentement, vers la maison. Tandis qu'elle marchait, Jenny était furieuse contre elle-même, de ne pas avoir eu la conversation, qu'elle aurait souhaité avec son oncle, elle se détestait de n'avoir pas réussi à faire changer d'opinion Enyos sur le but de sa mission, avant d'arriver près de San Francisco, quand elle n'était encore qu'à Sunnydale, Jenny s'était répétée à plusieurs reprises, et inlassablement ce qu'elle aurait voulu dire à son oncle, et s'était imaginée un dialogue et scénario tout autre que ce qui venait de se dérouler, et qu'il soit moins suspicieux envers Angel et plus enclin à lui pardonner si c'était possible... mais cela n'avait pas fonctionnée, et pire encore, elle aurait voulu confesser et dire la vérité à Rupert sur qui elle était réellement, sans risquer de représailles envers son oncle si il lui accorder sa bénédiction pour avouer la vérité, et sans crainte de trahir son peuple... Mais tout ceci ne lui avait pas était accorder, et cela anéantissais Jenny, de pouvoir se confier à quiconque à Sunnydale...
Et le pire dans tout cela c'était qu'elle n'avait pas su protéger, ni su se taire concernant l'existence de son amitié avec son élève, Willow, et son secret et le fait qu'elle soit impliquée avec la tueuse et dans le monde démonique compliquait grandement sa mission, et le fait qu'elle ait avoué sans le vouloir, et à contrecœur, la vérité sur Willow... Jenny était furieuse contre son oncle, qu'il traite, insinue, et insulte, et la critique et gête des propos d'une manière si négative et traite de cette façon Willow, alors qu'il ne la connaissait même pas, et surtout avec tant de haine et inférence qu'elle soit juive ; cela Jenny ne pouvait l'accepter.
Jenny faisait tourbillonner et répéter en chaine ses pensées, ainsi que la conversation qu'elle venait d'avoir avec Enyos, tandis que Jenny regagnait, la maison, elle choisit de rentrer par la porte arrière qui donnait sur la cuisine, en ouvrant la porte, aussi silencieusement que possible, et s'attendant à ce que tout le monde dorme encore ; Jenny fut accueillie par la douce odeur parfumée de l'arôme du café, du chocolat, des toasts et de pain grillé, en pénétrant un peu plus dans la cuisine, Jenny vit des verres de jus d'orange posés minutieusement sur la table ainsi que plusieurs boites de céréales et craquelins, elle sentait également l'odeur de pancakes et cuisson de pâtisseries, c'était la douce et bonne odeur de la cuisine de la préparation du petit déjeuner de sa grand-mère du matin, qu'elle préparait chaque jour, et en cela, Jenny fut replongée dans des souvenirs, et des matins où elle fut réveillée par l'odeur s'infiltrant à travers la cuisine la réveillant ; Jenny se souvient qu'avec cette forte odeur, elle pouvait facilement descendre les escaliers en sortant de sa chambre les yeux fermés et trouvant facilement le chemin jusqu'à la cuisine.
Chaque jour, Maria se levait très tôt, et bien avant tout le monde pour préparer, autant de nourriture, mais bien sur ce n'était pas tous les jours ainsi, mais de temps en temps c'était comme ça, et encore plus dorénavant que c'était les vacances d'été où il y avait bien plus de temps pour savourer le repas du matin.
Jenny ferma la porte derrière elle, après être rentrée totalement, et ce fut le déclic de la porte se refermant et le claquement, qui fit retourner, Maria qui avait été tout ce temps dos à Jenny ; elle lui sourit avec éclat :
"Bonjours, ma chérie ? Tu es déjà levée ! Je suppose que tu es allée faire une promenade matinale."
Jenny s'avança, vers sa grand-mère, et lui fit la bise, celle-ci était encore en chemise de nuit, et porter par-dessus une robe de chambre, et lui murmura un simple bonjour, tandis que Maria la guida vers une chaise et l'invita à s'assoir, Jenny continua de parler :
"Oui, j'ai bien dormi, m'étant couchée tard, j'ai dormi toute une traite, m'étant bien reposée, j'ai décidé de partir me promener avant que tu te lèves. Et c'est là que j'ai aperçu oncle Enyos, et nous avons, avons... Nous avons profité pour parler." Jenny se tut, sa voix se brisant et se craquant, à la fin de sa phrase, et Maria remarqua que Jenny avait balbutié et bloqué sur ce qui concernait Enyos, et se douta que c'était un sujet sensible.
Maria soupira et savait que cette conversation devait forcement arriver d'un moment à l'autre, et que Jenny devait à un moment faire face à son oncle et lui révéler et rapporter ses rapports sur ses observations sur Angel ; Maria demanda néanmoins à Jenny si tout s'était bien passé, et qu'elle avait rapporté de bonnes nouvelles, et avait rapporté de nouveaux éléments ? Et Maria voulait savoir si Jenny avait évoqué son amitié avec certaines personnes de son quartier aussi celle avec la petite Willow ?
Jenny secoua la tête et déclara, que son oncle ne savait rien, et n'était au courant d'aucun fait ; mais, elle lui dit, que cela avait été tendue entre eux deux ; et très stressant d'une grande pénibilité et rigidité qui avait parcouru son corps le rendent dur et ses nerfs tendus : et, Enyos n'avait pas vraiment eut de réponses auxquelles, il s'attendait, mais avait enfin eut les révélations concernant la tueuse et son observateur ; mais ce qui attristait le plus Jenny, c'est qu'elle se posait des questions et était d'autant plus troublée par Angel, et se demandait si elle faisait la bonne chose, et Jenny avait également par de Willow qui était impliquée et meilleure amie de la tueuse...
Maria écouta attentivement chaque détaille de ce que Jenny lui disait, et ne fut en aucune façon et nullement fâchée ; et savait que tout ceci provoquait en grand stress et de la nervosité chez Jenny, devant tant de responsabilité, d'horreurs, de crimes de masses, et de vengeances froides et amères et donner gratuite, sans aucune pitié ; Maria savait et avait toujours, que sa petite fille se détournerait et avait un grand pouvoir et une sensibilité d'amour et de pitié ainsi que loyauté et une énormément et infinie tendresse pour le genre humain, les animaux, toute espèce ou être vivant ainsi que l'humanité toute entière ; et savait qu'elle se détournerait de cette mission ou douterait de sa fiabilité et de son processus ainsi que du fondement approprié et son bien, elle savait comme avait prédit la prophétie que Jenny était choisie par amour et donner se pouvoir à Angélus, qu'il ne le connaissait et que seule elle pourrait apporter cette paix dans l'humanité ; Maria décida qu'elle devra plus tard parler avec sa petite-fille, quand elle sera prête à discuter, et à un moment où elles seront véritablement seules et en communion ; et Maria voudra connaitre et savoir un peu plus sûr ce que Jenny voudrait faire et le but qu'elle souhaiterait atteindre pour sa surveillance, et surtout son affection profonde et peut-être amour naissance pur une personne en particulier, que Jenny avait longuement et à plusieurs reprises mentionnées dans ses lettres.
Maria s'assit en face de Jenny, et changea de sujet, en disant également qu'Enyos avait un caractère bien difficile et fort que Jenny ne pourrait pas changer, il ne fallait plus qu'elle pense à lui, en déclarant " Tu es la première à prendre ton petit déjeuner, les autres ne sont pas encore levés ; profite bien de manger tant qu'il y a de la nourriture sur la table, fait moi confiance, elle ne restera pas remplit bien longtemps... J'espère que tu te nourrissais bien et tu n'as pas perdu l'habitude de prendre un bon petit déjeuner."
Jenny se versa un bol de café, en prenant quelque morceau de pain grillé avec deux pancakes, et prit également vers de jus d'orange, en soupirant "Non Bunica, je n'ai pas perdu l'habitude de prendre un petit-déjeuner, bien que parfois j'avoue devoir le prendre sur le pouce, et à la va vite ou devoir le sauté ; mais le fait est que je fais des efforts pour me nourrir correctement."
Maria sourit affectueusement à Jenny, en grignotant elle-même, et prit une bouchée de son pain grillé, et tapota tandis sa propre main vers celle de Jenny, qui était posée sur la table, en murmurant : "J'espère bien... Tu me parais encore plus mince que la dernière fois que je t'ai vu. Et tu sembles pâle, mais ne t'en fait pas l'air de la campagne vas te revigorer."
Jenny et Maria parlèrent durant quelques minutes, pendant lesquelles Maria parlait du fait, qu'elle espérait que Jenny passerait un bon séjour avec eux, et surtout qu'elle profiterait de la compagnie de ses nièces, ainsi que de jouer avec les plus jeunes enfants de ses frères et sœurs. Et Maria espérait aussi que Jenny pourrait se reposer et se détendre ainsi oublier tous ses soucis et tracas quotidiens, ainsi que ses ennuis, et son travail...
Au même moment, alors que Jenny continuait de dérouler la conversation avec Maria ; celle-ci entendit des bruits de pas, le fait est et que c'était plusieurs bruits, deux pour être précis, et murmures de voix endormies, de deux jeunes filles, quand apparut au coin de la porte, la plus âgée des enfants, se fut Savannah qui murmura un simple bonjour, qui fut étouffé d'un bâillement ; Savannah apporta le dos de sa main à sa bouche, pour tenter de la cacher.
Quand elle regarda, plus attentivement et avec plus de précision la pièce, et vit que son arrière-grand-mère n'était pas seule ; elle ouvrit de grands yeux, qui s'illuminèrent et eut un grand sourire, en reconnaissant sa tante, et fut surprise de l'apercevoir et de la constater qu'elle était déjà arrivée à la maison, et qui plus est ce soit levée si tôt après le long voyage de la veille ; Savannah, passa sa tête dans l'embrassure de la porte et interpella sa jeune sœur.
"Sally, dépêche-toi, viens vite dans la cuisine, prendre ton petit déjeuner ! Tante Janna est là !"
Aux paroles de sa sœur, la fatigue et les traces de sommeil qui se trouvaient dans les yeux et paupières de Sally, disparues et furent oubliés, et cela réveilla totalement et complètement l'adolescente, qui était encore en quelque sorte dans son sommeil, et son esprit sortit du brouillard à la mention de sa tante, Jenny, et son visage s'illumina et s'éclaira encore plus et avec plus d'éclat et de lumière que jamais, Savannah pouvait avoir.
Sally rejoignit, en plusieurs pas, sa sœur dans la cuisine, et fut toutes deux, l'une à côté de l'autre, sur le palier ; Jenny les regarda avec un sourire, et une légère appréhension à l'idée de les revoir toutes deux, après presque un an d'absence, et elle avait hâte de les serrer chacune dans ses bras.
Finalement, ce fut Jenny qui rompit le silence ; en leur murmurant à chacune un bonjour, et leurs dit à quel point c'était bon de les revoir toutes les deux. Savannah s'avança en souriant et se pencha, en étreignant avec force et bonheur sa tante :
"Bonjour tante Janna, c'est si bon de te revoir, bienvenue à la maison."
Savannah était grande et élancée, et très mince, avec la peau couleur beurre d'arachide, couleur caramel, ce qui lui donnait une grande beauté, et possédait de magnifiques yeux noirs, sombres et intenses, ainsi que des cheveux bruns couleur corbeau, coupé très cours au niveau de ses épaules.
Sally s'avança vers Jenny avec plus d'empressement, de hâte et de joie ; Jenny était beaucoup plus timide et réservée que Savannah, qui était beaucoup plus sociable, elle a la même couleur de peau que sa sœur ainée, la peau légèrement ivoire comme Jenny, car Sally était beaucoup plus belle et ressemblait d'avantage à sa tante que toutes ses autres sœurs, mais avait la peau couleurs caramel, avec des yeux noirs comme ceux de Jenny, et des cheveux long descendants au niveaux de ses omoplates et de couleurs noirs.
Sally enlaçant de toutes ses forces, Jenny, en lui murmurant combien elle lui avait manqué, et l'embrassait plusieurs fois sur les joues, et Jenny avait le pressentiment que Sally s'apprêtait à pleurs d'un instant à l'autre, d'une main apaisante et maternelle, elle passa ses doigts dans les cheveux de la jeune fille et brossant tendrement, en lui chuchotant "Là, là, ça va aller, tout va bien."
Sally n'avait jamais vraiment supporté ou réalisé et acceptait que Jenny parte si loin de la maison, et avait été dans un grand moment d'émotion à son départ, et avait beaucoup pleuré.
Sally réussit à faire cesser ses larmes et put contrôler ses émotions, et embrassa Jenny sur les joues, tandis que Savannah commentait combien sa petite sœur était toujours aussi émotive, murmura-t-elle en secouant la tête. Après cela les deux jeunes filles, s'assirent, en face de Jenny, tandis que Maria, se leva de sa place, et prit son bol, son verre ainsi que ses ustensiles, et les mit dans l'évier, et attrapa ensuite une éponge pour nettoyer son emplacement de toute trace de miettes de pain. Et finit par déclarer à ses petites-filles :
"Bonjour les filles, comment allez-vous, avez-vous bien dormi ? Que voulez-vous manger ? Voulez-vous de la bouillie de chocolat avec des flocons d'avoine où préférez-vous des simples céréales ?" Parla joyeusement et avec bonheur Maria, heureuse d'avoir pu assister à cette douce scène de rencontre et retrouvaille et au doux tableau d'étreinte et de baiser. Maria embrassa chacune de ses petites filles sur les joues, avant de préparer leur petit déjeuner.
Les deux jeunes filles avaient répondu chacune ; Sally voulait un bol de bouillet au chocolat avec des flocons d'avoine, tandis que Savannah voulait un simple bol de céréales. Tandis que Maria prépare leur repas, Savannah répondit aux autres questions, encore non répondu de son arrière-grand-mère :
"J'ai bien dormi, mais j'ai mis du temps à m'endormir hier soir, Shirley n'arrête pas de ronfler ; il faut que tu lui dises de penser à se moucher avant d'aller se coucher, car moi, je n'en peux plus de ses ronflements, ou en pêche-la de dormir le visage de son oreiller..." Gémit et grommelât Savannah alors qu'elle plaçait ses coudes contre le bois de la table et plaquer ses paumes contre son front.
Tandis que Savannah se plaignit de leur sœur, Sally avait baissé le regard, sur ses genoux, ses cheveux formant un voile devant son visage ne pouvant ainsi que personne ne pouvait la voir, essayant de retenir un sourire tremblant sur ses lèvres, et voulut s'empêcher les tremblements de rires qui menaçaient de parcourir tout son corps ; mais Savannah l'avait remarqué et donné un coup de coude à sa sœur, en serrant les dents, lui disant de ne pas ricaner comme cela.
Maria mettant sur la table leurs bols devant Sally et Savannah, elle donna, une tape contre la nuque de sa plus âgée de ses petites filles, en lui disant de ne pas parler ainsi et de ne plus se compoter ainsi. Jenny avait regardé toute la scène se déroulant devant ses yeux, en souriant d'un regard relativement amusé. Maria lui chuchotât à l'oreille "Je te l'avais dit, tu ne vas pas t'ennuyer avec elles ; attend que Marina et Shirley arrivent."
Jenny acquiesça, en s'étant retournée relativement son visage vers sa grand-mère, quand elle l'entendit parler tout près d'elle, et lui sourit.
Pendant, tout le temps, du repas, la cuisine fut animée par les diverses conversations de Sally et Savannah, qui mangeaient avec entrain et joie, et heureuses de revoir Jenny, enfin après tout ce temps ; et se demandèrent ce qu'elles allaient pouvoir faire de cette journée avec leur tante ; par moment, Jenny participait à leur conversation, qui ne l'inclue par directement, ça veut dire dont elle n'était pas le sujet principal ; Savannah parla de certains garçons qui lui font la cour durant l'année, et dont certains lui parlaient encore récemment, mais la jeune fille n'était nullement intéressée.
Il est vrai que Savannah était arrivée à un âge où certains hommes commençaient à s'intéresser à elle, et où elle avait le désir de plaire et de flirt, et était devenue très belle et attentive à son apparence ; il lui arrivait de discuter avec Sally d'amour, de premier baiser et de sortir avec des garçons, mais Savannah n'avait pas laissé le moindre signe ou intérêt, ou indice et soutien qu'un garçon la laisserait, la raccompagnait jusqu'au pas de sa porte.
Mais bien sûr Savannah a eu, un ou deux petits amis, mais tout cela n'était pas allé bien loin, et ces deux histoires était très secrète, et intime, et il ne fallait pas que Savannah le dévoile à ses parents, et surtout son père, qui serait furieux devant une telle révélation, et Sally avait promis et fit le serment de ne rien dire, qui avait été entrainée dans la confidence.
Pendant, que Jenny et ses nièces étaient tout en train de bavarder, Marina et Shirley ainsi que leur mère pénétrèrent dans la cuisine ; le visage des deux fillettes s'illuminèrent et crièrent de joie et de bonheur à la vue de leur tante, elles coururent vers Jenny, pour l'étreindre chacune leur tour, et recevoir ses baisers ; cela dura quelques instants, et tout en étant remplis de bavardages, de babillages et gazouillis, de d'excitation des enfants en revoyant Jenny, qui animèrent la pièce ; tout ceci fut interrompus par Maria, qui écarta Marina et Shirley tout en tentant de les calmer :
"Allons, allons les filles calmez-vous, et allez-vous assoir, laissez Janna respirer."
Et ce fut au tour de Sarah d'accueillir sa belle-sœur à bras ouvert, en lui donnant un grand sourire ; et lui chuchotant qu'elle était la bienvenue, et qu'elle était heureuse de la revoir ; les deux femmes se fit une légère bise sur chacune de leurs joues, de manière courtoise.
Après le petit-déjeuner, Marina suivit de Shirley et Sally, entrainèrent Jenny vers leur chambre, pour jouer ; avant de lui demander si elle voulait bien montait avec elles ; Jenny accepta. En partant, Maria les voie, qui quittèrent la cuisine, les interpella en disant :
"Soyez sage les filles !"
Marina répondit par-dessus son épaule, en entendant la voix de Maria, et répondit à sa grand-mère "On sera sage, t'inquiètes pas."
Quand Marina est née, Damien et Sarah voulait lui donner un nom, qui ressemblait et avait un acronyme et la même signification et consonance que le prénom de son arrière-grand-mère, Maria ; dans ce cas-là, Damien avait recherché avec l'aide de Sarah, tout prénom ayant un lien avec celui de Maria, ils avaient trouvé ; Myriam, Marianne, Marie et Mary… Et bien d'autre, surtout avec Mary ou Marie en noms composés.
Ils ne trouvèrent pas ce qu'ils recherchaient, ni ce qui pouvait convenir, ce n'est qu'alors, qu'un jour ils découvrirent et Sarah eut un coup de cœur, pour le prénom, Marina. C'est un prénom parfait est adorable, et doux à la fois ; qui rendait parfaitement hommage à celui de Maria, et qui lui ressemblait en tout point ; Maria et Marina n'avait pas beaucoup de différence et c'était donc parfait.
Marina avait onze ans, et elle était très protectrice envers sa petite sœur, Shirley, car elle était l'avant dernière de sa fratrie, et n'étant donc pas la plus jeune, et Parce que Shirley est le seul membre de la famille qui est plus jeune qu'elle, Marina, dans un sens, pense que cela fait automatiquement d'elle la « tutrice », ou la "gardienne", "protectrice" ou "mère de substitution" de Shirley, dans un sens. Et donc Marina est heureuse de n'être pas la plus jeune, ou le bébé de la famille, de sa fratrie, comme on pourrait la prénommer, et d'avoir obtenue, en quelque sorte le titre de "grande sœur" et d'avoir, une petite sœur, avec qui jouer et pour lesquels elle dont elle peut s'occuper, se préoccuper et veiller.
Marina n'est pas aussi belle, que ses deux ainées, elle possède de longs cheveux, bruns, très raides, dans ses circonstances, qui se salissent et se graissent facilement, et possédaient donc toujours le bout de ses mèches, cornues et ébouriffées, mais comme toutes ses sœurs, Marina avait hérité des magnifiques yeux noirs de Jenny.
Et Marina était toujours jalouse de Savannah et Sally ; en réalité beaucoup plus concernant la plus âgée des filles de Damien, car elle lui disait toujours quoi faire, la disputait constamment, et lui répétait toujours à maintes reprises de se comporter comme il faut ; La fillette était aussi jalouse de Sally, car, étant très timide et réservée et avait une grande douceur auprès des autres, Sally apportait toujours le bien autour d'elle ce qui faisait qu'elle était appréciée des autres, ce qui rendait Marina jalouse, car elle était trop brusque et énervée autour d'elle, ce qui la frustrée énormément, et également un autre point, sur lequel Marina pouvait discuter et s'affronter, était qu'elle admirait les coiffures, et la façon stylisée de Sally et son don pour l'esthétisme et les différents coupes ou tresses, ou conseils de beauté, apporter tout aussi bien à leurs jeux, qu'au quotidien.
Car, en effet, le jeu et l'occupation préférés de Marina, était la coiffure et peignier les cheveux des autres, et surtout celles de ses sœurs, sa grand-mère et celles de ses amies ; et donc ne supportait pas et avait une certaine amertume quant au talent de sa grande sœur, et disait souvent avec un brin de tristesse que Sally ferait une parfaite coiffeuse, et elle "pouvait faire ça pour gagner sa vie un jour". Alors que Marina rêvait secrètement d'être coiffeuse.
Quant à Shirley, elle était âgée de neuf ans, si une définition existait pour définir Shirley se serait la définition et la traduction, de l'espièglerie de l'humour de la curiosité et de la répartie et avoir une réponse à tout, et s'il y avait une personne qui lui ressemblait et pouvait être décrite de la même manière que Shirley Kalderash - Calendar- selon et aux yeux de Jenny, selon son opinions et en regarda sa jeune nièce, elle ressemble à la jeune Dawn Rosenberg ; car Shirley était l'image parfait de Dawn, ainsi que Dawn ressemblait à Shirley ; d'après tout ce qu'elle a pu voir et observer au cours de leur bref rencontre entre Jenny et Dawn, c'est que c'était une enfant espiègle, têtue et qui n'avait pas la langue dans sa poche et détestait qu'on la traite comme une enfant, et voulait plus que tout faire ses preuves et avoir la chance de montrer sa véritable personnalité et d'avoir une chance d'être plus autonome et plus grande que ce qu'on lui donnait, elle voulait être comme Willow. Et Jenny pensait que si les deux enfants se rencontraient, elles s'entendraient merveilleusement bien, et deviendraient presque les meilleures amies du monde, et ce complèteraient d'une belle manière et avec un excellent attachement ; elles avaient toutes les deux le même âge.
Shirley ressemblait beaucoup à Marina, et étaient très proches l'une de l'autre, et se préoccupait énormément et profondément les unes des autre, et jouaient souvent ensemble, et Shirley était souvent corrigée et recevait souvent des conseils de sa grande sœur, de manière maternelle, fraternelle et protectrice, Shirley n'était pas la plus jeune membre de sa famille, elle avait plusieurs petits cousins et cousines, mais détestait l'idée d'être la petite dernière de sa famille, mais aimait être la protégée de ses sœurs ainées ainsi que son frère.
Shirley jouait avec grand plaisir à la coiffeuse avec Marina et était son "assistante" avec joie et bonheur.
Shirley était tout comme son frère et ses sœurs, des enfants et était venue au monde de manière rapprochée, chacun ayant deux ans de différence, sauf pour Sally et Marina qui avait chacune quatre ans de différence l'une de l'autre ; de ce fait et en cela Shirley se sentait beaucoup plus rapprochée de ses frères et sœurs mais en particulier Marina qui était plus proche de son âge ; ils étaient en quelque sorte comme la fratrie de Jenny, proches les uns des autres et rapprochés en âge ce qui donnait des facilités d'approche et une longue et grande connexion qu'on ne connaitrait pas entre d'autres frères et sœurs, nés de manières éloignées. Mais cela, bien sûr, dépend des familles et connexion fraternelle, qui change selon les familles et les caractères et personnalités...
Savannah était en train de grommeler et marmonnait des absurdités, qui possédait et avait une signification de non-sens pour quiconque n'était pas tout près d'elle ; et murmurait combien elle était fâchée d'avoir sa chambre, juste à côté de celles de ses sœurs. Savannah avait une pièce, qui lui servait de chambre, rien que pour elle, et le mur qui séparait celle de ses cadettes, n'était pas très épais, ni même insonorisé ; pour expliquer à Jenny son point de vue et lui montrer ce qu'elle voulait faire comprendre, Savannah frappa quelques petits coups, contre le mur, et on pouvait entende un léger écho et bruit. Et dont pouvait entendre les différents de la chambre des enfants, comme les ronflements aussi petits soient-ils de Shirley.
La chambre de Marina et Shirley, était assez petite, mais assez grande pour contenir, une armoire, une coiffeuse, un bureau, et deux lits ; ceux-là, étaient partagés par, le premier était un grand lit à deux places, où Marina le partageait avec sa petite sœur, et elles dormaient ensemble, et le second qui était contre un mur, près de la fenêtre, et était un lit d'enfant, qui servait à Sally ; qui dormait encore dans la chambre d'enfants.
Mais bientôt, selon ce que déclarait, et expliquait Sally à Jenny. Elle pourra bientôt quitter cette chambre et s'installer et emménager dans celle de Savannah, qui était beaucoup plus grande et dans laquelle, il y avait beaucoup plus de place ; et leurs lits seront collés contre un mur et seront à l'opposé les uns des autres de la pièce ; Savannah n'était pas très heureuse de devoir encore partager une chambre, car elle perdra à nouveau son intimité et son autonomie et aussi devra recréer des nouvelles habitudes, un code de conduite et règles de chambre.
Mais en réalité et en avouant en chuchotant à l'oreille de Sally, qu'entre elles et ses autres sœurs, elle préférait très honnêtement et largement et en grande majorité, être celle qui partagerait l'endroit plutôt que les autres. Car elle se sentait beaucoup mieux et plus elle-même et en confiance avec Sally.
Shirley se défendit, en s'exclamant et criant presque, et balbutiant, en appuyant sur ses arguments et s'assurant que Savannah comprenne ses mots ; elle refusait de croire qu'elle ronflait. Et ne le faisait en aucun cas. Savannah expliqua et était à la frontière du sarcasme et d'un ricanement sans joie, qu'elle ne pouvait évidemment pas entendre ne s'y souvenir de ses propres ronflements étant donné, qu'elle était en train de dormir, et si Savannah arrivait à apporter une quelconque preuve à Shirley qu'elle lui disait la vérité, alors à ce moment-là, elle lui clouerait la bouche sur place et tomberait des nues.
Mais Shirley ne voulait rien entendre, elle se mit à hausser la voix, en glapissant et babillant d'une petite voix grinçante et en petite souris ; Savannah se mit à parler plus fort, à son tour, ignorant les protestations de sa sœur, et également celles de ses autres sœurs qui tentèrent en vain de la calmer, au fils de la dispute, et peu à peu, la tensions les cris, l'augmentation de la crise et la distension fit, que les deux sœurs ne se rende même plus compte de rien, ne l'espace, de l'endroit où elles se trouvait ni des personnes qui les entouraient ; et leurs voix ainsi que la fréquences de leurs paroles ne firent qu'augmenter et accentuer en intensité, ainsi que porter, et elles hurlèrent, et se mirent à en venir aux mains et à vouloir se battre l'une contre l'autre ; bientôt, Savannah attrapa une épingle à aiguille pour attacher des mèches de cheveux, et voulu piquer Shirley avec ; la fillette se débâtie et pleura en criant :
"Aïe ! Arrête ! ça fait mal, tante Janna au secours ! dit lui d'arrêter."
Jenny qui avait regardé toute la scène, totalement impuissante et incapable à arrêter face à une telle situation, mais à sa plus grande crainte et horreur, tout s'était déroulé si vite, et les choses en entrainant d'autres, et de façon imprévue et hors contrôle, et beaucoup trop rapidement et tout ceci s'était passé si vite, qu'elle vit bientôt ses deux nièces se battre ; en prenant une profonde inspiration, elle attrapa, à chacune l'un de leurs poignets, et s'était mise entre les deux, pour éviter que d'autres coups partent ainsi que des gestes de violence :
"Bon, maintenant, ça suffit vous deux. Essayez de vous calmer. Arrêtez."
Jenny avait conservé tout son calme et énergie, pour s'empêcher de tremblait ou montrait une quelconque émotion de faiblesse et de larme en voyant ses nièces, se battre ainsi, elle leur dit à toutes deux et demanda, si elles n'avaient pas honte de ce qu'elles venaient de faire ? Et qu'elles devaient avoir de la chance que ce soit elle qui les arrête à la place de Damien ou d'Enyos, et qu'ils n'étaient pas alertés par leur bruit et dispute. Et Jenny, que ce n'était pas la peine de se quereller, ni de se disputer ou de se fâcher et de couper un lien à cause de quelque chose d'aussi à l'apparence futile. Et qu'elles devaient apprendre à mieux se supporter et à se contenir. Qu'elles vaillent toutes deux, mieux que ce que Jenny venait de voir et d'assister. Et qu'il fallait également apprendre à communiquer et à faire valoir et entendre et exprimer ses émotions, ses points de vue et opinions, et apprendre à discuter et dialoguer en adulte, ou adolescente capable et en droit à la parole, et ne pas agir si méchamment.
Ensuite, Savannah et Shirley à l'aide de Jenny se donnèrent toutes les deux, en même temps et dans le même instant et mouvement et au même geste, comme deux aimants, deux personnes allant et fonctionnant parfaitement bien ensemble et sachant ce qu'elles voulaient et ce que l'autre pouvait ressentir, des plus sincères excuses, et baisers sur la joue. Jenny respira de soulagement et sourit doucement.
Savannah était pour Jenny un véritable, et un mystère pour elle et également pour le reste de la famille et ses sœurs, sauf à l'exception de Sally. Savannah était pour sa tante, le portrait typique, et l'identité et le double et la ressemblance même, du point de vue du caractère, avec Buffy Summers. Savannah, était en effet, une véritable combattante, avec une véritable personnalité de fer et d'acier, et une forte personnalité et un fort caractère, ainsi qu'une combattante dans tous les sens du termes, imaginables et inimaginables, en étant un élément perturbateur et invasif, bagarreur, sportif, et peut-être un peu garçon manqué. Savannah était également très isolée ne possédant pas beaucoup d'amies et ne parlant pas beaucoup et ne participent pas vraiment aux cours alors qu'elle connaissait parfaitement les réponses et était très intelligente avec un esprit très vif et d'une grande curiosité et aussi une grande connaissance intellectuelle, imaginative et créative. Mais étant perturbatrice et donnant le sentiment qu'elle n'était nullement sociable et agressive, Savannah était d'une grande douceur, et aimante, très attentive à l'autre et inquiète et très impliquée émotionnelle et presque physiquement, et perturbée devant le problème des autres.
Savannah était une grande sportive, et possédée et avait un amour profond pour le sport et a fait ses preuves parmi les autres enfants, adolescents, de la cour de son établissement scolaire, devançant tous les autres, à la course et dépasser grandement et à grande vitesse et d'une distance avançait très raisonnable indépendamment de l'âge ou du sexe. Savannah adore jouer au football et aussi regardait bon nombre de match, et elle avait d'ailleurs eux quelques amis garçons, de l'école primaire, jouer au football avec eux. Mais la passion de Savannah était la boxe, car elle voulait plus que tout apprendre à se défendre et se protéger de tout agresseur dans la rue, c'était la passion de la jeune fille sur tous les autres sports, est en fait la boxe et le combat, ainsi que l'escrime. Petite fille, déjà, quand son grand-père, Riggie était encore dans le monde de la lumière, il lui avait donné ce gout du sport et de la défense, et lui avait appris comment positionné ses mains, ses points ainsi que ses bras, pour être comme tel en position de combat, et lui appris au début comment combattre, mais c'est son frère, Haney, qui boxait quand il était plus jeune, a pris note de l'intérêt de la petite Aileen pour le sport, et quel que soit son sexe, l'a enseigné et entraîné pendant son temps libre. Et donc grâce, à ses leçons, Savannah et devenue proche de son frère, qui la comprenait, légèrement, et voulait absolument qu'elle se protège du monde moderne.
À l'âge de sept ans, elle a participé à son premier combat physique dans la cour d'école (elle ne se souvient pas de la raison), et s'est retrouvé à s'attaquer au garçon qui l'avait commencé et à le prendre jusqu'à ce qu'il pleure. Jenny lui a donné une conversation très sévère plus tard, mais au lieu de la réprimander pour s'être battue, elle la réprimandait pour ses raisons de se battre. « Aucun combat n'en vaut la peine si vous n'avez pas de cause raisonnable ». Savannah a pris ces mots à cœur, depuis lors, a été prudente dans le choix de ses batailles, mais en aucun cas elle n'a jamais montré la peur de s'impliquer.
Savannah était brillante, mais malheureusement son esprit brillant, curieux et son cerveau remarquable ne reflétait en rien ses résultats scolaires, ni l'avis de ses professeurs. Donc fâcheusement, Savannah n'avait pas du tout le niveau pour poursuivre sa dernière année dans le secondaire, et encore moins pour aller à l'université ; donc son père avait décidé que ce serait, elle, et non sa sœur, Sally, qui irait travailler et aiderait au financement et au bien-être, et aux besoins de la famille, avec l'aide d'Haney. Mais Savannah avait une passion pour la science physique et la chimie. Et était vraiment intéressée et curieuse de tout ce qui concernait le monde scientifique et mathématiques.
Savannah était donc une jeune fille à plusieurs facettes, à facettes multiples et d'un grand courage et également, sans que personne la soupçonne, d'un grand cœur.
Jenny sortit de ses pensées, alors que Sally tirait une chaise, pour sa tante, et la lui remettant, lui demandant doucement de s'assoir, tandis que Marina et Shirley cherchait, des accessoires et des peignes pour jouer à la coiffeuse.
Savannah s'était assise le dos pressé contre le mur, sur le lit de sa sœur, et demanda à Sally, si elle avait pensé à prendre sa Ventoline ainsi que sa potion ; Sally était, on ne l'aurait jamais supposé, ni même penser ni encore moins soupçonné, et on pourra bientôt le découvrir, mais tout son entourage connaissait ses problèmes, Sally a un état de santé très fragile, et avait développé des allergies aquariennes et de poussières, et son mode de vie ainsi que sa vie quotidienne ainsi que la pauvreté au quotidien avec des fins de mois difficiles, l'avait grandement affecté, depuis toute petite et depuis toujours, Sally était asthmatique, quand elle était bébé et en bas âge jusqu'à l'âge de deux ans, on pourrait appeler cela de l'asthme infantile, mais au fils du temps, cela lui est resté, et ses crises devenaient de plus en plus graves et de plus en plus aigües, avec des crises de plus en plus fréquentes, et rapprochées et aussi qui de plus en plus longtemps, en grandissant du moins, et surtout au début de l'adolescence, son asthme s'était assagie, diminuée, mais restait tout de même dangereux, et pouvais être maligne et refaire surface, ainsi que ses allergies, mais Sally restait toujours sur ses gardes et prenait au quotidien son médicament, ainsi que des tisanes et des potions et son arrière-grand-mère, qui étaient appelées ses remèdes et tisanes de recettes grand-mère ; Maria lui donnait des potions ainsi que des tisanes à base de plantes et de fleurs de montagnes, qui convenait parfaitement pour les maux de problème de poumons ou de bronches, pour calmer sa respiration et lui faire du bien. Ainsi que lui donner des compresses chaudes pressées sur sa poitrine, ou de la crème, ou encore des cataplasmes à la moutarde. Jenny savait depuis des années, que Sally était fragile, et cela la rendait d'autant plus timide et réservée, Sally pour des raisons évidentes et ne pouvait pratiquer aucun sport, et de toute façon, elle détestait par-dessus tout en faire ou même participer en regardant un match, cela l'ennuyait.
Sally avait sans doute développé son asthme à cause de la forte pollution de l'air qui émanait de la grande ville de San Francisco, ses usines et les nombreux pots d'échappements des voitures ; mais pourtant, Sally se sentait relativement bien en campagne et cela la revigorait.
Sally était pour Jenny, au même titre, que Savannah et Shirley, ressemblait et lui faisait penser et ressentir respectivement à Buffy Summers et Dawn Rosenberg, qu'elle était un portrait et la caractérisation totale d'une personne que Jenny connaissait, et cette fois-ci, Sally était pour Jenny, ressemblait à la jeune Willow, mais elle avait un an de moins qu'elle. Par sa timidité, son renfermement, sa douce gentillesse et sa discrétion, Sally était une jeune fille tout simplement adorable et agréable, avec qui parler, discuter et profiter de différents moments.
Sally était curieuse de nature, très intelligente, et un esprit vif, et livresque, elle adorait tout ce qui concernait le monde de la littérature et aussi des livres, et avait lu bons nombres de livres de littératures anglaises et françaises, recommandés par les bons soins de Jenny, et par ses conseils et lui avait prêtée quelques livres comme Notre Dame de Paris de Victor Hugo et les misérables du même auteur. Malgré sa soif de connaissances de curiosité intellectuelle, Sally n'aimait gère l'école, voire pas du tout, et était même arrivée à un point où elle détestait et craignait de s'y rendre. Elle avait de bonnes notes, mais parfois à certains semestres, trimestres, il lui arrivait d'être dans la moyenne, mais était considérée par sa famille comme l'intellectuelle, la surdouée et la raison d'être de la famille, ainsi qu'un soutien et l'espoir de sa famille ; le fait est qu'elle a les meilleures notes de tous les enfants de Damien, des informations sur lesquelles Maria tient Jenny au courant. Ce serait le souhait le plus cher de Jenny de voir sa nièce faire quelque chose qu'aucune autre Kalderash -Calendar- n'a jamais fait auparavant, bien après Jenny et Nolwenn : aller à l'université.
Mais Sally ne voulait pas poursuivre d'études, son seul but, son seul souhait, et unique ambition est de poursuivre une formation, dans un centre spécialisé et comme une école après le lycée ; une école de coiffure, pour devenir, elle-même, plus tard coiffeuse. Et c'était à la plus grande horreur, et jalousie de Savannah, que c'était Sally qui devait étudier, alors qu'elle-même ne le souhaitait pas et voulaient toutes les deux pouvoir inverser leurs rôles.
Sally aimait, adorait apprendre, mais pas dans ses conditions où elle avait si peu d 'amies et, où les cours avançaient et le programme était beaucoup trop rapide et intense pour elle. Jenny voyait et pouvait observer, qu'en plus de ses problèmes de santé, Sally avait une timidité maladive et était fragile émotionnellement et mentalement, qu'il lui fallait beaucoup de douceur au quotidien et son environnement familial, ce qui n'était pas près de s'arranger et n'était en aucun cas une mince affaire, avec Damien et l'oncle Enyos qui étaient très durs avec elle, et n'arrêtaient pas de la pousser et la forcer.
Oui, Jenny se souciait énormément et avec détermination et avec beaucoup plus de férocité au bien-être de sa nièce, Sally, que de tous les autres ; elle avait fait d'elle sa petite protégée, tout comme Willow, et l'aimait comme sa petite sœur, ou sa fille, et avec une grande honte, Jenny pouvait dire que Sally était sa préférée.
Savannah expliqua à Jenny, qu'elle allait travailler dans une boutique, d'alimentation du coin, vendre des légumes, des fruits, des produits du quotidien ainsi que des boites de conserve et aussi également travailler à la caisse ; durant trois-quatre heures l'après-midi, parfois toute la journée, ou parfois juste des soirs, ou en remplacement. Elle avait signé un contrat depuis début Juin qui se terminerait fin Aout.
Pendant ce temps, Marina et Shirley discutaient entre elles, alors que Marina avait allumé leur poste de radio et écoutait de la musique, elles avaient vaguement entendu passer une chanson d'Elvis Presley avait que comme une chanson de Jean-Jacques Goldman, qui avait pour titre Au bout de mes rêves.
C'est sur ces notes, et les paroles, qui donnaient et faisaient passer un incroyable message d'espoir et de croyance en soit et de croire, continuer de croire en ses rêves, sa passion, son envie de réussir, se battre pour ce qu'on croit être juste, espérait encore et toujours en ses espoirs et son désir d'aimer et d'être aimé par n'importe qui, peu importe et qu'importe son âge, le sexe, les croyance, les coutumes et les origines de cette personne ; et les barrières qui les liaient et séparaient et qui peuvent creuser un fossé si énorme, mais au final peut rapprocher si on est tolérant et enclin à pardonner. Continuer d'y croire, étant une génération désenchantée mais qui ira tous au bout de ses rêves.
Marina commença à coiffer, les cheveux de Jenny avec un peigne, et une brosse à cheveux. Tandis que la mélodie et les paroles se faisaient entendre de la radio ; la fillette avait demandé à sa tante de s'installer devant le miroir de la coiffeuse, Marina, plaça ses doigts dans les mèches sombres et soyeuses de Jenny, et admirer sa douceur et la souplesse de ses cheveux, et déclara combien, ils étaient doux, tandis que Shirley aidait à coiffer, Jenny, elle commentait, la chanson :
"J'adore cette chanson, et le chanteur a tellement de talent." Déclara avec plaisir et mélancolie Shirley. Jenny lui confirma combien elle trouvait ce chanteur, elle-même, formidable, et l'un des plus grandes stars françaises, de ses années.
Marina raconta à Jenny, tout ce qui s'était passé pour elle durant l'année où sa tante n'était pas là ; que sa 5ème et dernière année de l'école primaire c'était bien déroulé, et qu'également qu'elle avait une des notes très correctes qui lui permettre de rentrer au collège, fin Aout. Marina, parla du fait que les cours, seront probablement plus chargés et intenses, que dans son ancienne école, et qu'elle se fera probablement de nouveaux amies, et qu'elle reverra une ou deux de ses camarades, et évoqua également le fait d'avoir de nouvelle matière à étudier, et surtout elle avait hâte d'étudier la science informatique, à la grande joie et au plus grand plaisir de Jenny, et lui dit, que si elle pourra lui prêter plus certains manuels scolaires ou d'apprentissage en informatique, niveau 6ème année, en collège, pour les débutants.
"Par contre, je ne sais pas comment j'arriverais à étudier, j'ai peur de rien comprendre avec "ces vieilles machines, toutes pourries" comme dirait papa." Marmonna, Marina en baissant le visage légèrement confuse et perplexe devant cet aveu, faisant froncer les sourcils de Jenny de mécontentement, devant cette insulte voilée, et se dit comment ses nièces pouvaient être contre la technologie, un outil pourtant moderne et efficace qui ouvrait les portes aux nouvelles générations comme celle de Marina et Shirley.
Shirley ne put s'empêcher de glousser devant la remarque de sa sœur, et au froncement de sourcils de sa tante, ce qui fit relever la tête de Marina, et la regarda d'un œil réprobateur et pour la faire taire, la pinça discrètement au bras. Ce qui provoqua un léger frémissement et une grimace et un "Aie" tout bas de la part de Shirley.
Quant à Marina, elle continua de peigner les cheveux de Jenny, sans rien dire et comme si de rien n'était ; elle les peigna et les brossa de telle sorte que les mèches de Jenny brillèrent, et ils furent brillant et soigneux, et très soyeux furent peignés d'une telle manière et avec tant de soin qu'ils furent épais.
"Waouh ! Marina tu es vraiment douée, j'aime beaucoup comme tu m'as coiffé, c'est vraiment très, très bien tu as du talent." Félicita Jenny, avec un sourire des plus sincères ornent son visage, avec les lèvres et le regard radieux, qu'elle posa sur sa nièce, à travers le miroir, qui la regardait gênée, et légèrement rougissante devant tant d'éloges et la toute première fois qu'on lui faisait autant de compliments, et baissant le regard sur ses chaussures soudainement confuse en murmurant un faible :
"Je te remercie tante Janna."
Tandis que Jenny, se levant de sa chaise, s'examina sur toutes les formes et coutures devant l'œuvre de Marina. Savannah intervient, en s'approchant de Jenny et observa la coiffure et admirant avec envie et désir les cheveux de sa tante, en disant que Jenny avait toujours de très beaux cheveux et était la plus belle, leur plus belle tante et toujours magnifiquement coiffée et habillée. Et Marina se tourna vers Sally lui demandant :
"Tu veux que je te coiffe, Sally ?"
Sally était à présent assise sur son lit, tout en train d'observer et de surveiller ce que faisait ses sœurs, tout en feuilletant discrètement un magazine ou deux, l'un sur la mode et l'autre sur différentes stars féminines américaines. Elle leva son regard, que Marina s'adressa à elle, et lui posa une question, et secoua la tête, en répondant tout bas, que non, elle ne préfèrera pas.
Jenny ayant entendu le bref échange, et surtout en surveillant ce que Sally avait dit, déclara en intervenant, et lui dit en souriant à travers le miroir et fit attention et prit un angle une précaution pour être certaine que Sally la voie et pour l'encourager.
"Tu as tort, tu serais la plus belle."
Sally avait en effet de magnifique cheveux bruns ondulés, les mêmes que Jenny, et avait hériter de sa beauté, ses cheveux étaient bruns ondulés et longs jusqu'au niveau de ses omoplates. Mais Sally était toujours discrète, réservée et intimidée quand l'attention et forcer et concentrait sur elle et d'autant plus quand on lui parle de ses qualités de son travail bien fait et également de sa beauté, dont elle n'était pas consciente de l'être, et modeste quand on parle d'elle, et surtout disait et faisant semblent de dire, qu'on devait sûrement exagérer ou voir trop de choses en elle, et qu'elle n'était pas si belle que ça.
Savannah s'approcha de Sally, remarquant et se doutant de ce que sa sœur devait penser, et remarquer son trouble, et s'assit à côté, d'elle en enroulant son bras sur ses épaules, et dit :
"C'est vrai, elle a raison, tu as de très beaux cheveux."
Savannah et Jenny, prirent chacune, une des mains de Sally, et l'encouragea à se lever, et lui dit, en lui parlant joyeusement, de venir s'assoir près de la coiffeuse, pour que Marina puisse là coiffer. En fin de compte, Sally accepta étant submergée d'émotions et devant le déroulement de la situation, et sachant que sa tante et Savannah avaient probablement raison, et étant toute aussi excitée intérieurement et avait hâte de se faire belle, sous les doigts de sa jeune sœur. Elle s'assit devant la coiffeuse, tandis que Marina se mit au travail.
Pendant ce temps, Shirley, qui voulait un peu d'attention, et voulut avoir l'éloge aussi bien de sa sœur que de sa tante, se tourna, et dit en déclarant tout en posant une question, se demandant elle-même, ce que c'était.
"Moi aussi, je suis jolie."
Savannah qui voulut en profiter et ayant une occasion en or pour taquiner sa petite sœur, lui répondit d'un ton moqueur.
"Ouai, c'est ça, t'as qu'à croire."
Jenny avait tout entendu, et s'était dit une nouvelle fois, comme des centaines de fois auparavant comme Savannah était très immature, en comparaison à Sally, qui était très mature pour son âge. Savannah a toujours été connue pour son immaturité, même si Jenny, n'aimait pas en aucun cas utiliser ce mot, cet adjectif pour qualifier quelqu'un et se dit que personne ne pouvait décider de qui l'était ou de qui ne l'était pas ; mais Jenny devait bien s'avouer et bien reconnaitre et s'avouer que Savannah l'était.
En fin de compte, Sally fut encore plus belle, que Jenny, et celle-ci et Savannah l'applaudit, et fit l'éloge et lui déclara au combien elle était belle. Jenny continua de discuter et de jouer avec ses nièces durant la majeure partie de la matinée, quand, à un moment, Savannah se pencha vers elle et Sally et leur demanda si elles voudraient, toutes deux, qu'elle leur rapporte une canette chacune de coca-cola tout à l'heure après ses heures de travail, expliquant à Jenny, son petit-ami, travaille au même magasin qu'elle, et il s'arrange pour lui en donner en cachette.
Sally accepta volontiers toujours heureuse d'avoir une boisson gratuite et que sa sœur pense parfois à elle pour lui en donner, mais Jenny fronça les sourcils à cela, et dit qu'elle ne savait pas, et fit semblant de réfléchir durant un moment, et finalement accepta, mais lui dit, qu'elle lui donnera de l'argent qu'elle sortit de la poche de sa jupe, pour payer sa canette.
Savannah acquiesça, en déclarant, que c'était très bien et dit "Donc, une canette que j'achète, et deux autres données."
En début d'après-midi, Jenny, Savannah et Sally sortirent de la chambre, et tout en partant, tandis que Marina et Shirley continuaient de jouer, elle déclara, en passant la tête à travers la porte entrouverte :
"On est sage les filles."
Savannah ne vit pas que Shirley lui tira la langue, toujours pas contente et mécontente et frustrée de ce qu'elle lui avait dit, plus tôt dans la matinée, et en avait marre que Savannah ne leur fasse pas confiance, quant à rester seule dans leur chambre et jouer tranquillement.
Jenny lia ses deux bras à ceux de ses nièces, et elles sortirent de la maison, Sarah appela Savannah, en lui criant :
"Soit prudente, et travaille bien... Et rappelle-toi que ton père et moi ne voulons pas que tu fréquentes le caissier."
Savannah répliqua, que ce n'était pas le caissier. Et en sortant, elle chuchotât à Jenny, que ses parents n'aimaient pas son petit ami et ne l'appréciait guerre, mais ne savait pas qu'elle voyait quelque et que c'était sa première vraie relation sérieuse avec un jeune homme, car il n'était pas bohémien, et qu'il n'avait pas de travail stable que c'était juste un travail d'étudier et que de plus il avait six ans de plus qu'elle ; savant que Savannah avait dix-sept ans, alors ce garçon devait avoir vingt-trois ans.
Savannah partit dans une direction opposée quand elles furent toutes hors du jardin, et savait que Jenny et Sally voudraient rattraper le temps perdu, et leur déclara et les saluant en leur disant "A tout à l'heure ! à plus tard."
Sally et Jenny regardèrent, Savannah qui partait pour son travail ; tandis que discrètement Jenny glissa sa main dans celle de sa nièce. Et la jeune fille leva les yeux vers sa tante, en réalisant une légère pression sur sa main, Sally soupira intérieurement, heureuse d'être enfin seule avec Jenny, cela faisait tellement longtemps, si longtemps qu'elle attendait ce moment, après avoir été séparée d'elle ; combien de temps, Sally attendait ? Combien de temps cela durait-il ? elle en avait aucune idée. Mais Sally avait vraiment hâte de pouvoir discuter, rattraper le temps perdu, raconter à sa tante tout ce qu'elle a vécu ou fait, et elle avait également hâte d'entendre ce que Jenny allait lui parler de son travail ainsi que sa nouvelle vie à Sunnydale.
Sally se souvient, elle se souvient du moment, de l'été de l'année précédente, elle n'avait que quatorze ans à l'époque, où elle avait appris que Jenny devait s'éloigner de la famille et également de la ville de San Francisco, et avait une mission à accomplir pour le clan et la famille sous les directions des ordres de son grand-oncle Enyos et de l'Ancienne, Ileana, pour surveiller et accomplir la vengeance qui les tenaient durant plusieurs générations et la douleur éternelle de la famille et du clan, et surveiller leur ennemi juré et éternel, Angel . Et Sally avait été bouleversée, car elle n'avait jamais su et avait toujours ignoré qu'un jour Jenny devrait éventuellement partir ; alors la nouvelle lui avait fait un grand choc, et avait beaucoup pleuré et était dans un total désespoir le jour où sa tante déménagea et quitta la maison, Sally n'avait pu retenir ses larmes, et avait été silencieuse et encore plus renfermée qu'à l'accoutumée durant tout l'été ; et c'était tenue à l'écart du reste de la famille, le jour où elle devait dire au revoir.
Sally avait essayé de garder la tête, haute, et le visage ainsi qu'un regard ferme et courageux, mais n'avait pas pu tenir, les bras enroulés contre sa poitrine ; Jenny avait toujours su que ce serait douloureux pour Sally, qu'elle s'éloigne ainsi d'elle, Sally a toujours été farouchement et désespérément accrochée à sa tante, et avait donc essayé durant le peu de temps qui lui avait resté avant d'emménager à Sunnydale, était de profiter de chaque minute et chaque instant à consoler et divertir Sally.
Après avoir dit adieu, au revoir, à chaque membre de la famille et avait écouté les dernières recommandations d'Enyos, elle s'était approchée de sa nièce, pour garder leurs derniers regards, leur dernier adieu, et dernier moment avant son départ discret et intime et loin des regards et des oreilles des autres. Jenny s'était rapprochée de Sally, et baissa son regard vers elle, en essayant de capturer son regard et le saisir et voulant fouiller ses yeux à la recherche de quelconque signe de réconfort et voulant la rassurer sur le fait qu'elle lui écrirait souvent.
Jenny prit les mains de Sally dans les siennes, et cette dernière leva son regard avec difficulté vers sa tante ; et déglutit difficilement en essayant de ravaler ses larmes ainsi que son chagrin et sa douleur, d'être séparée ainsi, si brutalement de Jenny, elle la regarda, et lui murmura à quel point elle allait lui manquer.
"ça va aller Sally, tu verras, je te le promets, je t'écrirais souvent."
Jenny lui avait murmurer ses paroles alors qu'elle s'était penchée vers Sally, et lui donna de tendre et doux baisers sur les joues. Et Sally l'enlaça, et lui murmura la voix remplit de larmes et cassée :
"Tu vas me manquer tante Janna, je ne veux pas que tu partes."
Jenny essaya de la rassurer en lui disant qu'elle sera de retour pour les prochaines vacances d'été, et qu'une année s'écoulait très vite, et lui dit en la rassurant et essayant de paraitre optimiste, qu'elles auront ainsi beaucoup de choses à se dire et à se raconter.
Sally pressa ses lèvres, contre le creux de l'oreille de Jenny, et lui murmura d'être prudente et de lui parler de tout ce qu'elle fait durant son travail, et Sally lui promis également de lui dire ses notes en classe et de la rassurer en ce qui concerne ses lectures.
Après s'être enlacée profondément durant de longues minutes, et de s'être dit à plusieurs reprises et fait d'innombrables adieux, mais Saly était encore retissant à laisser partir Jenny et s'éloigner de ses bras. Alors, ça avait été Enyos qui était intervenu jugeant que les adieux de Sally à Jenny duraient depuis finalement trop longtemps et que l'attente avait été longue ; alors il se chargea de les séparer.
Et Sally avait vu, le cœur littéralement brisé, sa tante monter dans sa voiture, totalement inconsciente des larmes qui coulaient librement sur ses joues et des reproches de son père et son grand-oncle qui lui ordonnaient de se calmer et lui disaient, que cela suffisait ses caprices et son chagrin, alors que Savannah tentait de la rassurer et la calmer et lui promit que Jenny reviendrait bientôt de retour d'ici quelques mois.
Mais Sally n'écoutait personne, alors que la voiture s'éloignait sur la route et sur le chemin, Sally la suivait quelques mètres, et marchait et en faisant des signes d'adieu et d'au revoir de la main.
Sally recevra des lettres de sa tante durant toute l'année scolaire, ainsi que Sally lui enverra de ses nouvelles par courrier et se tiendrait souvent au courant l'une de l'autre, et l'année passa, ainsi que sa douleur, qui restait forte et accrochée au cœur de Sally….
Sally revient peu à peu au présent, après ce souvenir douloureux venant dans sa mémoire et l'infiltrant dans une partie de son cerveau, elle décida finalement de ne plus y penser pour l'instant. En secouant la tête physiquement ; pendant ce temps Jenny avait décidé avec Sally, de partir se promener dans les environs ; en passant leurs bras, l'un autour de l'autre, en profitant du silence de la campagne et de son air silencieux, et profitant de la compagnie l'une de l'autre et la nature campagnarde, ainsi que la verte prairie.
Sally expliqua à Jenny, comment s'était passée son année scolaire, et faisant un rapide bilan ; elle était dans les bonnes élèves, et avait passé durant son année, dernière année de collège et classe, 9ème année, qu'elle a passé son brevet des collèges, et venait tout juste d'obtenir les résultats ; elle avait été admise, et obtenue à tout juste un point près, pile dans la moyenne, la mention assez bien. Et en était heureuse ; Jenny aussi bien sûr, et était très fière de sa nièce.
Malheureusement, Savannah quand elle avait été dans l'année du brevet, elle l'avait également obtenu, mais malheureusement sans moindre option, malgré qu'elle avait une bonne culture générale ; elle avait remarquée, qu'à deux notes près, elle aurait pu décrocher le minimum et la plus petite mention.
Sally profita du fait de parler de sa scolarité, pour déclarer et faire les louanges d'une de ses matières préférées, l'informatique, et aussi ses deux professeurs qu'elle a eu au cours de ses quatre années aux collègues qui enseignaient cette matière-ci et qui donnaient une grande envie d'étudier et d'en connaitre plus, et surtout qui transmettre leurs passions aux élèves ; Sally a dévoré, les livres et les nombreux conseils que Jenny lui avait donnés et enseigner concernant la technologie et les sciences informatiques. Et que les livres qu'elle lui avait prêtés lui avait été grandement utiles.
Au cours de la conversation, Jenny ne pouvait s'empêcher de remarquer à quel point Sally était passionnée par tout ce qu'elle disait, et que sa nièce avait de grandes connaissances dans ce domaine, et était très curieuse et avait hérité de son gout et de son intérêt pour la science. Mais Sally, ne lui cacha rien, elle lui dit et lui confia désespérément et presque avec culpabilité combien elle détestait l'école, et voudrait ne pas faire d'études que c'était profondément injuste que sa famille sacrifiât l'argent pour elle, alors qu'elle ne le souhaite pas, mais que ce serait à Savannah d'étudier.
Jenny, bien sûr, ne la jugea nullement, et lui dit qu'elle la soutiendrait toujours, si Sally ne souhaite pas continuer ; et Jenny connaissait la passion et l'amour de sa nièce pour le monde de la coiffure et de l'esthétisme, mais tout ceci ne serait pas convenable, ni en aucun cas et nullement appréciée et soutenue par Enyos et encore moins Damien.
Jenny avait remarqué et aperçu, les yeux soudain devenus larmoyant de Sally, quand la jeune fille s'était tournée vers elle, avec un regard suppliant de l'aider, de la soutenir et la consoler, et d'être de son côté et d'avoir également son approbation son soutien, et sa bénédiction ; Jenny était inquiète et sera toujours inquiète pour Sally, elle qui est si fragile émotionnellement à peur, au moindre et à la moindre personne qui lui parle durement ou et exigeant avec elle, et très timide et introvertie et renfermée sur elle-même, mais adore aider les autres et rendre service et aime discuter avec des personnes âgées et les rendre belle et élégante ; Sally était totalement l'opposée et son contraire.
Jenny demanda ensuite, à Sally, après quelques instants de silence, comment son état de santé, allait, et si son asthme était stable, et si elle était moins fragile. Sally lui répondit qu'elle allait, très bien en ce moment, mis à part que durant la période de l'hiver, la période hivernale, elle avait encore subi une crise d'asthme, mais la jeune fille remarquait, ainsi que Maria, qu'au fils du temps, surtout depuis quelques mois, que Sally allait mieux et était moins fragile, du point de vue santé. Sally racontât à Jenny, ce que Maria lui faisait faire depuis sa dernière crise d'asthme et aussi depuis toujours, quand elle avait une crise, comme cela au milieu de la nuit ; elle ne laissait jamais Sally rester allongée ou recroquevillée sous les couvertures à tousser et suffoquer, elle la positionnait dans son lit en position assise, semi couchée ; le dos appuyé sur la tête du lit, avec un oreiller placé derrière son dos et à l'arrière de sa tête, pour pouvoir respirer et de détendre confortablement et dans de meilleure et bonne condition. Néanmoins, Saly continuait de prendre et de boire, les potions et tisanes préparées de sa grand-mère ; il y avait différentes herbes et remèdes naturels pour combattre la toux, par exemple les orties ou, des herbes médicinales ; des fleurs, la lavande, la camomille, menthe ; Ricola, plantain, guimauve, pimprenelle, mauve, fleurs de sureau, et fleurs sauvages, et des arômes naturels.
Après quelque instant de silence, Sally, lâcha le bras de Jenny, et se dirigea vers une colline, surplombant la vallée, et encouragea sa tante à la suivre, elles s'installèrent ensuite, sur l'herbe, et admirèrent la vue devant elles : il y avait des bosquets d'arbres, même un mini-troupeau de bisons, une rivière, dont l'eau coulait et venant probablement de hauts rochers, vers les montagnes. Après quelques instants, Sally rompit le silence une nouvelle fois, en demandant à Jenny, comment était sa vie, à Sunnydale ? Et si c'était différent de San Francisco ? Et si oui, à quel point les villes étaient différents l'une de l'autre ?
Jenny réfléchit à la question posée de sa nièce, en observant le ciel, tout en s'accoudant sur ses coudes, la tête inclinée et les yeux plissés de contemplations et de réflexions, le soleil l'éblouit très légèrement et l'obligea à plisser les yeux, pour lui éviter de se faire mal. Et finalement répondit :
"Sunnydale et San Francisco sont très différentes de l'une de l'autre ; Sunnydale est une petite ville de taille humaine et très paisible, en comparaison à San Francisco." Jenny expliqua à Sally, que San Francisco était une ville beaucoup plus bruyante et avec une population et un nombre d'habitants plus importants qu'à Sunnydale, par exemple, à San Francisco il y avait beaucoup plus de sites touristiques, d'endroits à visiter, le centre-ville était beaucoup plus grand, et il y avait beaucoup plus de choses à faire et à voir pour des jeunes adolescents ou jeunes adultes, il y avait beaucoup plus de salles de concerts ainsi que d'opéras ; Sunnydale était beaucoup plus tranquille et calme et moins bruyant et un endroit idéal pour fonder une foyer et une famille aimante, et y élever ses enfants sans crainte que des criminels ou des voyous, kidnappes des enfants ; Jenny avait souvent entendu une remarque très vulgaire et négative sur Sunnydale de la part de jeunes adolescents qui avaient entre seize et dix ans, disant : Que cette ville était vraiment le trou du cul du monde ! Et qu'il n'y avait vraiment rien à faire, et que cette ville était vraiment très isolée par rapport à d'autre ville, et paumée dans vers le sud de la Californie.
Mais Jenny n'était pas vraiment d'accord, certes c'était une petite ville, calme et paisible, mais il y avait toujours, des cinémas fermés en salles et des cinémas en plein air, qu'on nomme drive-in ou ciné-parc. Il y avait même une salle d'opéra et également deux salles de concrets, ainsi que des transports en commun, le tramway et les bus ; bon bien sûr il n'y avait pas le métro comme à San Francisco, mais tout de même c'était déjà bien ; et il y avait également un grand centre-ville, avec des centaines de magasins et un centre commercial ; et de nombreux restaurants ; et des écoles, collègues, lycées, et il y avait une université...
Saly regardait avec confusion Jenny, et voyant combien elle la regardait avec perplexité et curiosité et voulait avoir plus de détails et des détails concrets ; Jenny prit une profonde inspiration et lui dit qu'en réalité, pour mieux que Saly comprenne ou voit où elle voulait en venir était que Sunnydale et San Francisco, était comme, Sally pourrait se l'imaginer et se projeter, en France comme Nantes et Le Mans, qui se trouvaient dans la région des Pays-de-la Loire ; Nantes était une très grande ville en comparaison avec la ville de Le Mans.
Jenny avait fait un voyage il y a quelques années de cela, en France en compagnie d'une amie, et elles étaient allée toutes les deux visiter, Nantes, en arrivant à la gare Nord, Jenny avait pu apercevoir en sortant, de l'autre côté de la rue et des lignes de tramway, le jardin des plantes, qu'elle avait visité et parcourut en admirant les belles plantes et fleurs, et à un ou deux arrêts de tramway de la Gare, se trouvait également le célèbre château des Ducs de Bretagnes ; que Jenny avait eu la chance de visiter et explorer, en apprenant sur Anne de Bretagne qui est devenue reine de France.
La reine est un enjeu central dans les luttes d'influence qui aboutissent après sa mort à l'union de la Bretagne à la France en 1532. La noblesse bretonne, voulant préserver ses privilèges comme ses prérogatives, s'évertue alors à prouver par l'intermédiaire de l'historiographie régionale que sa dernière duchesse a résisté à cette annexion. Anne de Bretagne reste depuis lors dans la mémoire bretonne un personnage soucieux de défendre le duché face à l'appétit de la France. Parallèlement, elle est élevée dans la mémoire nationale comme un symbole de paix et de concorde dans le royaume dont elle a été sacrée la mère.
Le destin posthume d'Anne de Bretagne est composé d'images déformées par son histoire façonnée par les calculs politiques et les jeux de propagande. D'où la nécessité de séparer l'historiographie objective d'Anne de Bretagne de l'imaginaire collectif breton qui fait régulièrement appel à cette référence culturelle dans des supports publicitaires, des spectacles et manifestations folkloriques, et de dépasser la vision antagoniste des historiens bretons qui poursuivent avec ce personnage une mythification de leur passé, et une historiographie nationale voulant forger le mythe d'une nation française une et indivisible.
Jenny, avait visitée le centre-ville, vers la place du commerce, et avait vu et constaté la pauvreté de nombreux roumain qui mendier dans la rue, et une femme enceinte de sept mois lui demandant la charité ; Jenny en avait eu les larmes aux yeux. Et elle avait également profité de voir, le cinéma qui se trouver pas très loin et de cette place, elle avait eu la chance d'apercevoir au loin, la célèbre tour de bretagne qui abritait des bureaux administratifs, du ministère du travail.
En visitant, le tour de Nantes, elle avait visité, les banlieues qui était construit au tour de la ville, comme Rezé et Bouguenais, et avait également aperçue et pu faire un tour en voiture sur le périphérique entourant Nantes. A Rezé, Jenny avait également pu se baigner et nager, dans la piscine de la banlieue, où elle avait également vue que le Dimanche matin, il y existait et y avait un club des bébés nageurs, six mois à trois ans. Où les parents pouvaient inscrire et initier les bébés et les petits en bas âge à l'eau.
Jenny avait également profité d'un après-midi ensoleillé et chaud pour se rendre à la plage de La baule, qui se trouve à une heure ou deux heures de Nantes ; et avait pu et eut l'occasion de se baigner dans l'Océan Atlantique, et près de la plage elle put savourer des crêpes dans une délicieuse et excellente crêperie.
Durant son voyage en France, Jenny avait eu la chance, d'aller dans la magnifique ville de Le Mans, en voiture, sur l'autoroute, de Nantes au Mans, il avait fallu presque quatre heures de route. Avec une voiture que Jenny et son amie de l'époque avaient loué. Et durant la période touristique de Jenny en France, la jeune femme avait eu la chance d'assister, au célèbre, 24H du Mans ; les voitures roulent à toute vitesse sur un circuit, le bruit assourdissant, jamais Jenny n'oublierait cette expérience, et bien sûr étant en ville, Jenny avait profité pour visiter le vieux Mans ainsi que la Cathédrale et était allée au parc d'attraction Papéa, celui-ci avait ouvert en 1971.
Après les explications et les nombreux souvenirs de Jenny, Sally compris mieux la comparaison de sa tante entre les deux villes.
Sally demanda ensuite, comment se passaient ses cours, et son métier d'enseignante, et lui demanda si elle s'était faite des amies à Sunnydale. Jenny sentait qu'elles arrivèrent dans une zone dangereuse, et risquait et qui pourrait lui causer du tort et aussi des ennuis, et avait peur de révéler certaines informations à sa nièce ; donc avant de commencer, Jenny pris Sally par les épaules et la regarda profondément dans ses yeux, bruns, le brun, fixant le brun, avec une grande intensité et un profond sérieux, et lui demanda de promettre de rien révéler à son oncle Enyos, ni à Damien peut-être à sa grand-mère Maria, mais personne d'autre.
Sally, devant le regard inquiet et sérieux de sa tante, et presque si elle osait se l'avouer effrayée, hocha la tête et en toute honnêteté et sincérité, lui dit qu'elle promettrait de ne rien dire. Jenny lui révéla, alors qu'elle s'était faite une amie, parmi ses élèves, qui se prénommait Willow et avait un an de plus que Sally - donc seize ans- et lui dit combien, Willow était gentille et discrète et très timide mais très brillante et possédait, elle aussi la passion des ordinateurs, et Jenny finit par dire que si un jour, les deux jeunes filles auraient la possibilité de se rencontrer, elle était sûre qu'elles s'entendraient probablement très bien, et deviendrait amies. Jenny parla à Sally de Willow, qu'elle lui avait prêtée certains livres, et vice-versa, et qu'elle s'entendait si facilement avec elle, Jenny en fit l'éloge durant de longues minutes.
Sally commençait à s'inquiéter, et son visage s'assombrit d'inquiétude et de douleur, et elle osa demander à sa tante, si Jenny ne préférait pas cette jeune fille, Willow, plutôt qu'elle. Jenny s'arrêta alors de parler, et tourna son regard incertain et terrifié d'avoir pu et sans le vouloir, par accident, blesser sa nièce, lors qu'elle voulait tout simplement lui parler de quelqu'un qu'elle appréciait et admirait ; et finalement avec incertitude pris Sally avec précaution dans ses bras, et la serrant fermement contre et lui dit en chuchotant :
"Bien sûr que non, je t'aimerais toujours, tu es ma nièce, et je te préfèrerais toujours, toujours. Mais j'aime beaucoup Willow aussi, je l'aime et je t'aime, pas de la même façon mais mon amour pour vous deux est égal."
Sally releva la tête et s'éloigna un peu pour pouvoir regarder sa tante dans les yeux, et lui chuchotât "Tu le promets ?" et Jenny lui dit qu'elle le promettait et qu'elle serait toujours là pour veiller sur elle ; Sally se sentit rassurait et honteuse d'avoir exprimé des sentiments de jalousie face et contre une personne qu'elle ne connaissait même pas, pour elle c'était un sentiment de faiblesse et Sally avait montré sa faiblesse et sa douleur à Jenny et elle se sentait légèrement meurtrie.
Sally pour réussir et tentait de fuir et de chasser ses sentiments et pensées de sa tête, voulu changeait de sujet, et demanda à Jenny, si elle avait réussi à localisée Angel et l'avait surveiller sans se faire attraper, n'y se mette en danger ; Jenny poussa un soupire et lui disait en répondant que tout était si compliqué à présent, si difficile et que Sally ne se doutait pas de la complexité et les sentiments contradictoires de cette mission, et que Jenny ne savait plus où elle en était, qu'elle avait découvert qu'Angel n'était pas le monstre auquel elle aurait imaginé, ni dangereux, ni agressif mais plutôt inoffensif et incroyablement bon et tendre, et lui avait sauvé la vie. Et qu'il n'était pas un monstre comme Enyos leur avait fait croire ainsi qu'Ileana durant leur enfance ; Sally en était sous le choc, et se demanda pendant un quelconque instant si Jenny se rendait compte de ce qu'elle disait.
Jenny en sentant que Sally était perplexe et nerveuse durant et ayant révélé ces informations et effrayé, se tourna pour faire face et observé la réaction de sa nièce, s'attendant presque à ce qu'elle s'enfuit en courant et aille la dénoncer à leur oncle Enyos. Mais rien de tout cela ne se produit.
Sally lui demandant, si elle était sûre de ce qu'elle disait, et si Angel ne cachait tout simplement pas son jeu ; Jenny voulut sangloter à ses mots et prit une inspiration tremblante en se disant à quel point Sally était sage et mature pour son âge et perspicace et ingénieuse. Jenny lui répondit qu'elle savait que tout ceci avait l'air fou et hors contrôle, mais elle pense qu'elle devrait laisser une chance à Angel de se racheter et qu'elle voulait en aucun cas lui faire du mal, et qu'il fallait voir et attendre, et lui donner de l'amour et le bénéfice du doute ainsi que miséricorde.
Sally comprenait très bien où Jenny voulait en venir, et ne fit qu'hocher la tête silencieusement en l'observant longuement et avec attention, Sally remarqua combien Jenny avait en réalité changé durant tout l'année écoulée, elle ne l'avait pas vraiment remarqué avant ce matin, ni même observé, mais sentait que quelque chose se passait, était en train de transformer et consumait tout l'être et l'intérieur de Jenny. Rien de négatif, pensa Sally, oh non pas ce genre de consumation, quelque chose de beaucoup plus beau, plus pure, puissant une énergie venant de l'intérieur, comme de la passion, de l'amour et quelque chose d'autre, comme une fumée rose, couleur de la passion, une magie très puissante et ancienne et aussi naturel pour chaque être humain et vivant, et la magie naturelle, sans pouvoir.
Comme si Jenny lisais dans ses pensées, Sally fut coupée dans son interrogation et ses informations et aussi sa composition, quand elles se redressèrent de leur position assise et continuèrent leur promenade ; quand Jenny lui révéla et lui fit promettre également de ne rien dire, qu'elle s'était liée d'amitié avec l'un de ses collègues et qui se trouvait être également l'observateur de la tueuse, et qu'elle sentait bien avec lui, Jenny lui parla de chaque conversation, de chaque parole qu'il a dite, de tout ce qu'il a fait pour la protéger et également de ce qui lui faisait ressentir quand il était à ses côtés quand il était proche d'elle ; Jenny, Sally remarqua que ses joues avaient pris une légère teinte roses, et rougissaient et avait arrêté de parler à présent pour que son visage soit tourné vers quelque chose de précis sur le sol, et commença à jouer avec un brindille d'herbe. Et était plongée dans les profondeurs de ses pensées, dans un endroit qui n'appartenait qu'à elle, et à personne d'autre, son jardin secret, des pensées aussi bien heureuses que malheureuses.
Sally lui demanda doucement, si elle avait eu une relation avec cet homme. Jenny releva brusquement la tête, à ses paroles, et à cet aveux, Jenny nia, bien sûr, il n'y a rien eu, excepté, des baisers qui ne voulaient peut-être rien dire pour Rupert, mais qui signifiait tant pour elle. Jenny ne révéla pas cette partie à Sally. Et la jeune fille lui demanda si elle pouvait être probablement d'un homme comme lui :
Tout à coup, Jenny la coupa et lui dit que bien sûr que non, elle ne pouvait pas l'être, et elle en était presque paniquée et effrayée de ce qu'elle allait dire ; mais prévient Sally que si cela arriverait elle serait reniée. Sally lui demanda d'une petite voix, car sachant qu'elle offensait sa tante et lui demanda silencieusement pardon, qu'elle pourrait être reniée et déshonorée comme Nolwenn l'avait été ?
Jenny ne put que hocher la tête, incapable de dire le moindre mot, effrayée, et honteuse. Et dit qu'elle pourrait arriver ; et Sally de son côté, dans le côté de son esprit savait et connait très bien sa tante pour se dire que Jenny ne tombera jamais amoureuse ou serait séduite par n'importe qui, et que cet homme devait être pour elle dans la plus grande estime et la plus grande valeur pour Jenny et au plus profond de son cœur et son regard, s'il arrivait à la mettre dans un état aussi vulnérable.
Jenny voulu oublier la conversation qu'elle venait d'avoir avec Sally, et choisit d'entrer avec elle, jusqu'à la maison, car il commençait à se faire tard... Sally lia son bras avec précaution et douceur à celui de Jenny ne voulant pas l'effrayer ni rompre ses pensées.
En revenant à la maison, Jenny et Sally réalisèrent qu'elles étaient restées longtemps et un long moment à l'extérieur à discuter et se promener ; car quand Jenny regarda l'horloge, elle s'aperçue et se rendit compte qu'il s'était écoulé une très bonne partie de l'après-midi et qu'elles étaient sorties et étaient à l'extérieur depuis le début de l'après-midi, il s'était écoulé presque 4 heures ; il était donc aux alentours de 4 heures de l'après-midi. Savannah venait, elle aussi, également de rentrer de son quart de travail, et déclara à sa mère, qu'elle avait obtenue des horaires en plus, pour travailler d'avantage et remplacer certains collègues, et qu'elle aurait également bientôt sa paie du mois de Juin.
En rentrant, toutes les deux, Savannah avait donné les canettes de soda, comme promis, et alla s'assoir dans un coin du salon, pour les siroter secrètement, en cachette de Sarah, et tranquillement ; elles discutèrent toutes les trois, Sally s'était assise sur une marche de l'escalier, son épaule se callant contre la rampe, tandis que Jenny avait son dos pressé contre les jambes de sa nièce, elle aussi également assise une marche, Savannah évoqua sa demi-journée de travail, et expliqua ce qu'elle réalisait, en approvisionnant certains produits alimentaires, en faisant passer différents clients à la caisse, et elle évoque, bien sûr, son petit-ami et également collègue, Bradley.
Savannah ne s'était pas du tout rendue compte, ni même était consciente, qu'elle avait beaucoup plus parlé de Bradley, que de son travail lui-même ; Jenny avait remarqué et avait su interpréter les signes de l'expression faciale, le visage de sa nièce, son regard doux et lumineux, ses yeux abaissés, avec une lumière et une brillance d'étoiles au plus profond de son regard et avec un sourire facile et secret, et dont il ne voulait échapper aucun secret ni révéler quoi que ce soit de sa relation avec Bradley. Savannah révéla, néanmoins, combien elle était amoureuse et que sa relation était sérieuse, que cela faisait près de six mois qu'elle sortait avec son petit-ami, en secret de ses parents, et combien Savannah tenait à lui. Et ils devaient se montrer très discrets... Savannah, réalisa que Jenny, en l'écoutant et au son de sa voix, pouvait se dire que sa nièce était amoureuse pour la première fois de sa vie.
Tandis que Savannah était plongée dans ses pensées les plus intimes, les plus secrètes et heureuses, la jeune fille avait détourné son regard, et avait les yeux toujours d'une intensité brillante, et émotionnellement était heureuse et triste... Alors qu'elle avait son regard, détournait, et plongeait au-delà à des années lumières et dans un autre pays une autre réalité, et Savannah avait le regard trop lointain pour faire attention ; Sally profita du détournement d'attention de sa sœur, pour se pencher légèrement et discrètement, vers Jenny, en posant sa main sur son épaule, et lui chuchotât à l'oreille ; Qu'elle avait déjà rencontré et vu à plusieurs reprises le petit-ami de Savannah, quand Sally venait à l'épicerie subrepticement pendant les heures de travail de sa sœur et lui parlait brièvement sans que son patron ne s'en doute, et elle avait vu comment Savannah regardait avec amour et désir, Bradley ; comment son regard était doux et tendre et Sally pouvait remarquer l'affection grandissante et réelle de sa sœur pour lui, et sa tendresse quand elle parlait de lui... Mais, Sally avait déjà aperçu, et vu et était témoin que la relation de Savannah et Bradley était beaucoup plus profonde et intime et sérieuse qu'elle ne le laisserait jamais entendre ; Sally, avait en effet vue, plusieurs fois Bradley embrassait avec passion, et tendresse, intime Savannah, en cachette, dans les différents rayons de l'épicerie, ou derrière le magasin, dans une ruelle sombre ; elle les avaient vue, le dos pressé de sa sœur contre un mur, alors que le corps de son petit-ami était pressé contre le sien. Leurs lèvres, leurs bouches, pressées et l'une contre l'autre dans un baiser passionné et dur, leurs langues se mêlant et se liant l'une contre l'autre, bougeant dans leur bouche, se goutant ; les mains de Savannah et ses bras autour du cou de son petit ami, alors qu'il avait déplacé ses mains contre le creux du dos de la jeune fille...
Quand Sally lui avoua et lui partagea ce qu'elle savait sur la relation exacte de sa nièce avec ce garçon, Jenny était quelque peu inquiète, et craignait que Savannah commette une bêtise ou l'irréparable ou pire que Damien et Sarah découvrent que Savannah continuait sa relation avec ce jeune homme. Alors Jenny, décida qu'elle devra discuter avec sa nièce, sur certains sujets délicats et intimes, que traverse une jeune fille-jeune femme à cette âge et lui fasse connaitre, qu'elle devra un jour penser à se protéger et faire attention et savoir si elle est prête à aller plus loin dans sa relation avec un homme, et Savannah doit savoir qu'elle n'est pas obligée de faire certains pas et certaines actions et faire ce qu'un homme voulait si elle n'est tout simplement pas prête pour cela ; il y a différentes étapes dans une relation...
Le lendemain matin, Jenny devait se débattre et lutter contre l'envie de s'effondrer et se noyer contre ses sombres pensées et ses fantômes, elle lutta contre l'envie de sauter par sa fenêtre et de fuir, fuir, fuir loin très loin d'ici et de tous ses problèmes et son oncle et de sa famille, et d'être enfin libre de ses responsabilités qui lui pesaient si seulement, elle n'avait pas d'aussi grosses responsabilités qui l'étouffent et la tuaient lentement et à petit feu ; lutter contre l'envie de se faufiler par la porte, passant ses paumes moites sur le devant de son pantalon. Tandis que Jenny, était sortie tôt, de très bonne heure, pour partir se promener, ses yeux heurtèrent le sol, et elle laissa échapper un long souffle tremblant, en suçant un autre à travers ses lèvres rouges pleines. Jenny avait pris sa voiture, pour se rendre près de la baie, et se promener et se balader, vers les rochers, et se dirigea vers la plage, et ses pieds plongèrent et se pressèrent contre le doux sable, alors qu'elle retirait ses sandales, épaisses et déjà chaudes malgré le début de la matière et le soleil qui commençait à se lever, et Jenny se permis de s'évader et de faire le tri dans ses pensées, alors qu'elle voulut s'évader ne serait-ce qu'un instant, et voulu réfléchir à la conversation qu'elle aura et souhaiterait avoir avec sa grand-mère, et qu'elle savait également que Maria voudrait avoir avec elle. Jenny passa, sa main contre ses mèches de cheveux bruns, qui volèrent au vent de l'air océanique du pacifique, et ses mains s'étirèrent pour lisser ses cheveux et les fit glisser pour les graisser un peu, ses cheveux tombèrent et étaient cours juste à quelques centimètres avant ses épaules. Et finit, par laisser tomber ses bras, sur ses côtés, son débardeur fluide bleu foncé marine, à bretelle épaisses recouvrant ses épaules des morceaux de tissus fluides, volèrent au vent ; tandis que Jenny continuait de marcher silencieusement, parfois elle passait au bord de l'océan et des vagues, qui touchèrent et faire de vagues mouvements près de la plage et du sable mouillé, certaines vagues allèrent contre ses pieds et Jenny se permit de marcher plus longuement et de longues minutes dans l'eau, elle laissa échapper une autre longue inspiration.
Au bout d'un moment, elle se mit à penser et réfléchir à nouveau, une nouvelle fois ; au fils et au cours de l'année, Jenny avait écrit très souvent à Maria, encore plus souvent et de façon beaucoup plus fréquente qu'avec Enyos, dont elle avait reçu l'ordre et dont elle devait rapporter des rapports fréquents, et aussi à certains membres de sa famille, ses lettres étaient beaucoup régulières et fréquentes, intimes et Maria demandait beaucoup plus de détails personnels, et s'enquérait de sa vie quotidienne et professionnelle ainsi que les relations qu'elle avaient créés et liées, des relations qui d'ailleurs Maria était la seule à connaitre et que dont Enyos ignorait totalement. Maria lui avait écrit à plusieurs reprises, dans ses lettres, que Jenny pourrait toujours tout lui dire et que jamais, aucune de ses informations elle n'irait le répéter à son oncle, ni même à l'Ancienne. Jenny s'était alors confiée sur son amitié avec Willow, l'une de ses élèves, sur son amitié avec différents voisins et son implication dans la vie du quartier, elle lui parla également d'Angel et en cela quand Jenny avait commencé à discuter avec Maria de ce sujet, elle craignait que si elle disait ou laisser échapper quelque chose que sa grand-mère jugeait que c'était très grave de le cacher à Enyos et que cela pourrait entrainer une trahison de sa part, et hésita à en parler et à se confier, la main de Jenny tremblait, et Maria lui avait téléphoné ; et lui avait assuré dans une lettre qu'elle ne dirait rien...
Jenny évoqua ses observations sur Angel, ses interrogations, et ses hésitations sur le fait qu'il ne semblerait pas aussi dangereux ou une menace immédiate pour leur peuple ou autres humains et innocents, d'après Jenny, pour elle, Angel essayait de rattraper, de faire amende honorable et essayait de trouver le pardon et la rédemption pour les crimes, les assassinats et les agressions commises et erreurs passées quand il n'avait pas d'âme, et selon Jenny, il devait avoir une chance d'être aidé, car elle pense qu'il avait besoin d'aide, et peut-être que son rôle était d'apporter l'amour, et de délivrer son peuple de ce fardeau de la vengeance, mais il faut qu'elle reste toujours loyale, et son rôle serait de vaincre les forces du mal et de combattre des vampires et cette aide, cet espoir, et l'aider, et représente sa seule chance de se débarrasser, d'oublier cette vengeance et la prophétie, et d'oublier le passé et vaincre chaque apocalyptique force du mal.
Jenny avait révélé à sa grand-mère qu'Angel l'avait sauvée de manière inattendue et pas directement, c'est à dire de manière indirecte, mais ne lui dit pas la véritable raison ni les circonstances de ce qui s'était passé... A la grande surprise de Jenny, qui avait cru que Maria, lui ferait des remontrances ou lui rappellerait son devoir sacré et se rappelait la mémoire de ses ancêtres et son lien avec le clan, qu'elle avait cru qu'elle serait en colère contre elle, serait déçue de sa manière de penser, serait déçue de son comportement indigne et la désapprouverait, et contre l'éducation qui lui avait inculqué depuis sa naissance, mais Maria ne lui fit rien et ne dit rien de tout cela, elle lui dit que c'était très important ce qu'elle lui disait et également l'encourageait à penser ainsi et lui dit qu'elle devrait être très prudente et courageuse, et assez grave dans un sens que c'était ce qu'elle avait compris et que son destin lui réserverait bien des surprises et d'incertitude et d'étonnement et devra faire face à des changements... Mais sa grand-mère ne put rien lui dire et ne fut pas autorisée par les esprits à lui dire d'autres choses.
Jenny avait également voulu se confier et partager ses sentiments et son amitié secrets avec Rupert Giles, son collègue et le bibliothécaire du lycée où elle enseignait ; Jenny avait écrit en hâte à Maria quelques jours avant les vacances que cet ami, la personne avec qui elle avait commencé à avoir d'une affection et une sécurité profonde, se révélait être impliqué dans le paranormal, le conseil des observateurs et impliqué grâce au biais de la tueuse, à Angel, et qu'il était donc l'observateur de Buffy... Mais pas qu'eux, elle lui avait parlé au cours de l'année écoulée très brièvement et avec pas beaucoup de détails, de leurs hostilités et leurs long mois de disputes, et lui avait parlé comment ils étaient devenus amis ; Jenny avait décrit à sa grand-mère, comment se déroulait leurs conversations, leurs interactions, les échanges réguliers et également ce qu'ils ressentaient l'un pour l'autre, et également comment Jenny osait taquiner Rupert, ; elle écrivait et rougissait et parlait de manière très précise et détaillée à Maria, comment Rupert là regarder, comment il la protégeait, comment il se comportait avec elle dans tous les sens du terme ; et Maria pouvait voir et avait deviné bien avant Jenny que cet homme avait des sentiments pour elle, et qu'il était tombé amoureux de Jenny, et Maria avait senti et ressenti à travers les lignes, le tremblement de la main de Jenny, qui tremblait contre son stylo et le papier, Maria avait senti que Jenny avait été rempli d'émotion, de tremblement et de rougissement en écrivant et décrivant et dévoilant sa relation.
Maria lui avait demandé, si par hasard ou une quelconque éventualité, événement et circonstance, Jenny aurait commencé une relation avec Rupert Giles ; et Maria ne la jugera en aucun cas, ni ne la punirait pour cela, cela aurait été tout à fait normal et compréhensible, naturel. Jenny en avait été rempli d'émotions, et avait haleté et sangloté en lisant les mots de sa grand-mère.
Jenny lui avait révélé, dans plusieurs courriers, certaines circonstances, où Jenny et Rupert avaient échangé des baisers amicaux, d'affections et reconnaissances... Comment elle s'était sentie, lors de ses brefs et rares moments de brossements et pinceau de plume, et caresser leurs lèvres l'une contre l'autre, de séries de baisers, Jenny rougissait et faisait passer n'importe quels sentiments et sensations de ce qu'elle avait ressenti quand, elle avait embrassé Rupert, et qu'il l'avait embrassé en retour.
Maria lui avait répondu qu'elle voudra en parler avec sa petite fille, quand Jenny viendrait lui rendre visite, si elle le souhaitait ; Maria savait et pensait presque et était certaine et avec certitude que Jenny pouvait, susceptible d'être en train de tomber amoureuse de cet homme, ou était en train de développer des sentiments sérieux, profonds, et était à long terme et possible que ses sentiments s'intensifieraient et deviendraient sérieux au fils des années, et ils développeraient une relation amoureuse...
Jenny revient vers le présent après avoir parcouru son flux de pensées et son brouillard blanc de légère note de positivité et d'espoir face aux réactions de Maria aux réponses qu'elle avait reçues dans ses lettres, et l'espoir et le soutien qu'elle recevra et la sympathie et la compréhension de sa grand-mère qui savait qu'elle avait utilisé ses pouvoirs d'occultisme et de sorcellerie de bohémienne, mais aussi peut-être également sa déception, mais savait très bien que sa chère Bunica, Maria, était l'une des rares membres du clan Kalderash à ne pas avoir de mauvaise volonté envers les habitants du monde moderne, des non-Gitans, et à n'en faire aucun secret, ce qui l'avait amené à devenir l'objet de suspicion et de ridicule. Mais elle savait aussi qu'il serait dangereux de révéler ses secrets, et de leur faire prendre conscience du célèbre clan Kalderash, un peuple bohémien qui n'était pas comme les autres, qui connaissent l'univers de la magie et des esprits, car cela avait le potentiel de provoquer un désastre sur eux tous. C'était un point qu'elle avait ramené chez elle à Jenny à plusieurs reprises.
C'est parce qu'elle savait que Bunica comprendrait ce qu'elle faisait que Jenny se rendit à elle maintenant, afin de rechercher les conseils et le réconfort que Jenny savait qu'elle ne pouvait pas se fournir.
Jenny sentit l'air frais sur son visage, et resta quelques instants immobile, au milieu de la plage, regardant l'horizon et le soleil se levant ainsi que le ciel rose, avec des lignes bleues et les rayons de soleil s'infiltrant et, la boule de feu qu'était le soleil commencent à apparaitre laissant le ciel jaune avec des nuances d'orange, et frappant le sable chaud et illuminant, ainsi la silhouette et réchauffant la peau de Jenny ; la jeune femme ferma les yeux appréciant la chaleur, le bruit des vagues, l'odeur du sel du sable et des algues, et le soleil de cette matinée d'été, et Jenny pouvait entendre le son des mouettes et leurs chants.
Jenny ouvrit après quelques instants de répit, de solitude et de méditation, ouvrit doucement les paupières, et détourna, ses yeux de l'océan et son corps de la plage et se dirigea vers sa voiture, pour rentrer. Les pensées de Jenny se tournèrent à nouveau vers Rupert, et se surpris à penser à nouveau à lui, en si peu de temps et à quel point il lui manquait et également aussi le fait qu'elle pensait constamment à lui et de façon très régulière et inattendue, et pensa combien et à quel point Rupert était beau. Ses cheveux brun-châtain et ses yeux verts, quand elle s'était blottit dans ses bras, Jenny avait était surprise et paisible de pouvoir constater et sentir que son corps pressé contre lui se mêlait si bien au sien, en deux synchronisations, si bien formé et a moulu coordinations et s'ajuster et aller parfaitement bien ensemble, comme si leurs deux corps n'en faisaient plus qu'un, comme s'ils avaient été conçus et formaient l'un pour l'autre, et s'adaptaient si bien entre eux. Le corps du Rupert était, comme Jenny le pensait, était plus ou moins attrayant, et très beau sans douter et masculin, et le respecter avec sa force et son entrainement d'observateur. Jenny secoua la tête physiquement une fois encore, cela effraya Jenny qu'elle se trouve attirée par Rupert, même à un niveau subconscient, et sans parfois être inconsciente ou alors consciente de ce qu'elle ressentait.
Elle devait être réconfortée. Et elle savait qu'il n'y avait qu'une seule personne qui pouvait calmer son esprit.
Jenny gara sa voiture, au même endroit où elle l'avait garée une fois arrivée ; elle continua légèrement de se promener autour de la maison, et savait très bien où elle devrait s'y diriger, et s'arrêter de temps en temps de marcher pour humer l'odeur de certaines fleurs sauvages, si elle voulait être certaine de pouvoir parler avec Maria, seule à seule, sans risquer d'être entendue ou interrompue ; et être en sécurité et dans un sanctuaire... Jenny se prit dans ses bras, en les enroulant autour de son corps ; elle se surprit à sentir que son corps tremblait légèrement d'anticipation et de crainte, frayeur.
Jenny savait où elle devait se rendre pour trouver Maria, elle s'était faite construire une sorte de tente ou de hutte ronde, qui se trouvait à l'écart des tentes, caravanes et des maisons qui formaient un petit village de bohémiens, transformé et avait l'air d'un modeste et minuscule temple africain du conteur de la tribu ; Maria était l'une des femmes les plus âgées de leur peuple, de la deuxième génération venant se réfugier en Amérique juste avant la guerre, enfin des personnes du clan Kalderash qui s'étaient exilés hors de la Roumanie et étaient actuellement au Etats-Unis ; elle était en quelque sorte l'une des nombreuses sages et anciennes de leur communauté, et racontait et s'occupait de bonnes nombreuses d'histoires et d'enfants du clan, et s'occupait des rituels et surtout en ce qui concernait le spirituel et l'âme des gens ; Jenny ayant toujours été abandonnée par ses nombreux frères et sœurs, et étant mise à l'écart, et parfois ses parents qui n'avaient pas le temps de prendre soin correctement, convenablement de leur petite fille bien aimée, et quant à Enyos qui considérait Jenny comme sa favorite qui dépend de ce plan, Jenny n'avait personne d'autre vers qui se tourner et avait reçu tout l'amour de sa grand-mère, Maria. Donc depuis ce temps, Bunica, la matriarche de la famille, était responsable de son éducation. Elle traitait Jenny de toutes les manières comme son propre enfant, veillant sur les meilleurs intérêts de Jenny, s'assurant qu'elle était nécessaire, la réconfortait en cas de malheur et lui offrait une épaule sur laquelle pleurer. De plus, elle lui a également enseigné les principes fondamentaux de la magie et comment chaque incident avait une conséquence sur la nature et le monde en général qui les entourait. Ou, comme Bunica l'avait dit, « chaque pierre jetée dans l'océan, même de la manière la plus insignifiante, affecte le monde qui l'entoure, chaque créature que tu vois obéi aux lois d'un équilibre délicat, et qu'en tant qu'être humain il faut respecter cet équilibre ; étant la créature la plus évoluée sur cette terre. "
L'une des leçons les plus importantes que Jenny ait appris de sa Bunica, était d'aimer tout ce qui l'entourait, et de ne pas utiliser la magie à mauvais escient et respecter les lois et règles de la nature, et ne jamais jouer avec la vie où l'esprit de quelqu'un ; Jenny avait appris l'amour, la bonté, et le bien de Maria. Et également que Maria, Jenny le savait, était l'une des rares membres du clan à ne pas avoir de mauvaise volonté, ni de superstition, envers les habitants du monde moderne et à n'en faire aucun secret et n'en avait nullement honte, ce qui l'avait amené à devenir l'objet de suspicion et de ridicule. Mais elle savait aussi qu'il serait dangereux de les approcher, et de se lier de quelque façon que ce soit, en amour, mariage intimité accouplement avec un gadjo -non-gitans- et de leur faire prendre conscience de l'existence de la magie, car cela avait le potentiel de provoquer un désastre sur eux tous. C'était un point qu'elle avait ramené chez elle à Jenny à plusieurs reprises.
C'est parce qu'elle savait que Bunica comprendrait ce qu'elle faisait que Jenny se rendit à elle maintenant et aussi elle se sentirait en sécurité, en confiance et libérerait un poids de ses épaules, afin de rechercher les conseils et le réconfort que Jenny savait qu'elle ne pouvait pas se fournir, et ne réussirait surtout pas à avoir de la part de son oncle, plus que tout elle recevrait le déshonneur, la honte ainsi que la haine et les représailles de Ileana. Et recevrait compassion, soutien, amour et aide ainsi qu'espoir...
Ainsi, alors qu'il était encore si tôt dans la matinée et presque personne n'était encore réveillé, Jenny savait que c'était à cet instant de la journée, qu'elle trouverait sa Bunica, à son autel, en train de méditer ou prier, et asseyant de contacter les esprits ; et commençait toujours ses journées en lisant des prières en langue de vieux Roumain ancien ou en latin, soit dans son lit, ou dans sa hutte, avec un livre de prières et de textes religieux gitans, que Maria possédait depuis des années, et elle se couvrait la tête d'un châle ou d'un foulard le nouait pour couvrir ses cheveux ; c'était l'idéal et le meilleur moment pour se recueillir et remercier les esprits, leurs ancêtres et Dieu pour les magnifiques journées qui leurs étaient offertes et accordées, ainsi que la vie qui leur était apporté, leur nourriture et qu'ils prennent pitié d'eux dans leur miséricorde. Les journées ensoleillée, la nuit qui leur apportait de meilleures récoltes ainsi que le fait que l'herbe, les fruits, la nature continue de pousser, les animaux qui grandissent, ainsi que les femmes qui réussissent à créer la vie, chaque fois qu'il y a une naissance, chaque fois qu'il y a une sorte de petit miracle dans cet espace, chaque femme âgée sont heureuses ou reconnaissante et soulagée que tout va pour le mieux ou dans le meilleur de tout sur cette terre, cette création, et le cycle, l'histoire, de la vie. La vie, la mort font partie des remercîments qu'on puisse prier et remercier et se réconforter auprès de Dieu. Et c'est ce que Maria, Bunica faisait tous les jours ; prier, trouver la force de tout son quotidien et tous les jours, et de prendre pitié de soi, et trouver du courage.
Jenny marcha jusqu'à la hutte de sa grand-mère, qui se situait en dehors du mini-village, c'était une hutte, qui était une petite cabane qui avait le fait est construite rapidement, construite à partir de branches, branchages, agglutinements de terre, paille, ossements et autres petits matériaux trouvés sur place. Et par-dessus les matériaux, le bois, et pour protéger l'habitacle et le chauffer et l'isolation, avec des peaux d'animaux, de la peau de bisons, recouvrait entièrement la hutte ronde. La porte, enfin ce qui protégeait l'entrée, était un tissu de lin, ou un tissu de poil d'animaux, et Jenny n'avait cas doucement l'écarter pour pénétrer dans le sanctuaire...
Jenny se pencha un peu pour pénétrer à l'intérieur, en se courbant légèrement le dos ; à l'intérieur, il y faisait chaud, beaucoup plus chaud qu'à l'extérieur, la chaleur, la température extérieure de l'après-midi et les causes de canicule, ont fait que l'atmosphère, de l'extérieur s'est mélangé avec la température intérieure, ce qui concentrait la chaleur à l'intérieur de la hutte et la rendait plus forte, plus intense.
A l'intérieur, il y faisait sombre et étrangement et aussi incroyable que cela puisse paraitre la pièce semblait plus grande une fois rentré, que vue de l'extérieur, car à première vue quand on voyait la hutte au loin, de simples gens la découvrant et l'observant, se diraient que c'était une simple hutte, une petite cabane, et donc l'intérieur et les objets s'y trouvant et la place se trouverait extrêmement limité, ainsi que le manque de mobilité et manœuvres de mouvements, ainsi que peut-être le nombre de personnes restreintes à pouvoir y pénétrer. Mais, l'intérieur était tout autre, et ne reflétait pas du tout ce qu'on pouvait voir de l'extérieur ; l'intérieur était sombre, mais le toit dégageait une minuscule parcelle de lumière du jour, à l'endroit que c'était percé, comme pour laisser passer la fumée du feu, que Maria allumait pour ses prières et contacter et se mettre en connexion avec les esprits, tout autour de la hutte, et pas de l'entrée, se trouvait de la terre battue et fraiche, mais le reste du sol et de l'espace intérieur était construit du parquet, les murs étaient tapissés et possédaient des motifs comme de la préhistoire, et il y avait également des tableaux, deux ou trois, peints et réalisés avec de la pastelle et au crayon à papier, et un autre aux crayons de couleur ; des tableaux d'origines bohémiennes, avec des tenues de personnes traditionnalistes et d'autres dessins avec leurs modes de vies, et des chariots bohèmes.
Au centre, se trouvait une table d'autel où prier, et Jenny repéra tout de suite sa grand-mère, assise sur le tapis central, finement brodées et tapissées, avec un atelier de tissage, avec des motifs gitans et exotiques et tout à fait dans un gout et esprit africain. Maria était assise près du feu, contre le tapis, en position tailleur, dos à Jenny, les yeux fermées, et les mains, paumes vers le ciel, en train de prier et de chanter de doux chants et des hymnes, en langue roumaine, et très ancienne, car Jenny ne comprenait pas les paroles, ainsi que certains psaumes latins. Ce qui était censé purifier l'esprit ; et aussi trouver une certaine paix de l'âme, et Maria souvent certains conseils aux esprits, et lui demandait de lui apporter son soutien et de l'aider à trouver des réponses ; Jenny pensait que probablement, Bunica était en train de prier pour elle, et leur demander conseil sur ce qu'il fallait que Jenny fasse, et essayer de trouver l'avenir ; et penser au passé des ancêtres du clan, et essayer de s'apporter du réconfort fasse aux nouvelles que lui apportaient Jenny, et son amour croissant pour Rupert Giles.
Les cheveux de Maria n'étaient pas enveloppés comme à son habitude dans un foulard, et les avaient laissés à l'air libre, enfin tout de même attachés, comme elle le faisait chaque jour avec différentes épingles en un modeste chignon ; les cheveux de sa grand-mère, remarqua Jenny, étaient devenus gris, et il y avait des onces de mèches blanches qui apparaissent sur certains côtés. Jenny attendait au pas de l'entrée, ne voulant pas interrompre la méditation de Bunica, et ni ses prières et attende, que son temps soit venu pour lui parler, sachant que ce que faisait Maria était sacré et très important pour elle.
Au bout d'un moment, Maria ouvrit les yeux, elle avait remarqué dès l'instant que Jenny avait pénétré le sanctuaire, sa présence, dès l'instant où le voile de l'entrée avait été levé, mais n'avait rien dit ou montré de signe qu'elle savait que sa petite-fille était là ; et Maria avait tellement de choses auxquelles elle voudrait parler avec Jenny, sur ce qu'elle avait découvert et également ce qu'elle pensait de toutes les lettres qu'elle lui avait envoyées, elle avait voulu attendre le bon moment et une opportunité pour lui parler, celle-ci était l'idéal, sans personne pour les déranger ou les interrompre ; Maria et Jenny pourront garder cette discussion secrète et confidentielle. En se retournant, les lèvres de Maria se formèrent et bougèrent en un sourire resplendissant à, et ses yeux lumineux de bonheur et soulagement à la voir ; Jenny soulagée lorsque le visage de la femme plus âgée éclata de surprise, signifiant que sans aucun doute, elle ne serait pas furieuse, ou en colère et ne porterait aucun jugement à son approche, ni de ce qu'elle lui avait avoué.
Maria s'était tournée vers Jenny, et la regarda avec surprise et bonheur, en déclarant d'une douce voix, et enjoué "Bonjour, Janna, ma chérie." Elle tendit sa main vers Jenny, l'encourageant à s'approcher "Approche, mon enfant, ma douce, je suis si heureuse de te voir, comment vas-tu ?" Tandis que Maria prononçait chaque mot, Jenny encourageait, elle retira ses chaussures, et marcha contre le parquet, puis sentit sur sa peau de ses pieds, la chaleur du tapis et sa douceur ainsi que certains picotements de textile, et Jenny pris la main de sa grand-mère, et lui fit la bise, tandis qu'elle lui rendit son baiser, Jenny murmura, de manière appropriée tout en s'inclinant très légèrement :
"Bonjour, à toi aussi, honorable sage, je vais très bien" répondit Jenny de la manière respectueuse pour s'adresser à quelqu'un de la réputation de Bunica. Bien qu'elle ne soit pas conventionnelle, elle conservait les traditions de base de son clan et ne voulait pas manquer de respect, à quelqu'un d'aussi important et surtout en ce lieu, ce sanctuaire.
Maria lui sourit, en faisant signe à Jenny de s'assoir en face d'elle "S'il te plaît, Jenny. Il n'y a pas besoin d'être aussi formel, je suis ta grand-mère. Je sais que c'est dans ta nature d'être loyale. Mais ici, nous sommes entre nous, de grand-mère à petite-fille, où il n'y a que nous deux, abandonnons la tradition, ne serait-ce que pour un petit moment."
Jenny soupira, tandis qu'elle s'asseyait contre ses genoux, les jambes replies sous elle, "Très bien, Bunica, pardonne-moi." Maria, la regarda en souriant, de manière rassurante, et prête à parler avec la jeune-femme, et qu'elle se confit, sachant que quelque chose troublait l'esprit de Jenny, troublait l'esprit de son enfant, elle lui demanda, ce qui l'amenait à la voir, et comment se passer le début de ses vacances et de son séjour et retour parmi les siens, en lui révélant, qu'elle avait su d'Enyos, ce qui avait été dit entre Jenny et lui, sa déception face à son manque de persévérance, de contrôle de soi et d'observation, et également qu'elle avait passé du temps avec ses nièces -les filles de Damien- et en particulier avec la jeune Sally ; qui, soit dit en passant, selon Maria, Sally ressemblait de plus en plus à Jenny, et avait remarqué le lien émotionnel et spirituel des deux, et remarquait combien son arrière-petite-fille était timide et renfermée, mais quand sa tante était avec elle, Sally se sentait beaucoup plus détendue et en confiance, et plus sûre d'elle. Et Maria était prête et savait que la conversation avec Jenny serait en train de se dérouler, et elle était prête à l'accueillir et la consoler et lui apporter conseil et réconfort ainsi qu'amour.
Jenny répondit en toute honnêteté et tranquillité d'esprit, qu'en effet, pour l'instant elle passait de bonnes vacances - Maria avait acquiescé à cela, car toutes deux savaient pertinemment, qu'il existait des hautes tensions et que Jenny était sous forte pression, et que des débordements de disputes et querelles, avec ses frères ainés ou avec Katja, sur ses responsabilités et éventuelles trahisons- et qu'elle avait parlé avec son oncle, lui avait fait bons nombres et un bilan définitif de l'année écoulée de ses observations, et qu'en effet, également Jenny avait passé la journée d'hier avec Sally et ses nièces, au bout de quelques instants, la voix de Jenny et son sont se bloqua et se tordis dans sa gorge, anxieuse et au bord des larmes... Jenny bougea inconfortablement, dans sa position, et Maria sentit, sa tension soudaine, et ses, ou son, trouble ; et lui demanda "Parle, mon enfant, Je sens que quelque chose te tracasse." Sourit Maria avec inquiétude, sympathie et compréhension, encouragement. Et ne voulant nullement pousser la jeune femme avec des questions pressantes, Maria opta plutôt pour la solution de l'encourageait à lui parler, et non commencer une conversation directe, passant subitement aux lettres envoyées, ses sentiments et sa confusion face à Angel et Rupert Giles.
Jenny inspira doucement et expira profondément, pour se donner le courage nécessaire, en levant ses yeux qui étaient jusqu'à présent baissés sur ses genoux, et les leva pour regarder le visage confient, encouragent et ses yeux plein d'amour, de tendresse et d'affection de Maria, Jenny fut plus confiante et encourageait et déterminait à avoir, et savait qu'elle ne devrait pas garder secret, ne pouvait pas essayer de garder secret ce qu'elle ressentait et ce qu'elle avait effectué, surtout pas à Bunica. "Très bien... Je suis venue ici, pour te parler, car je suppose..." Jenny leva de nouveau les yeux timidement, sa grand-mère la regardant patiemment, attendant que Jenny s'exprime."... Je suppose, que tu souhaiterais discuter et que je te parle, de ce que j'ai vécu, avec mes amitiés avec certaines personnes et aussi, mon amitié avec Willow et également mes sentiments contradictoires avec Rupert Giles et ma confusion et ma perplexité avec... Avec Angel." Murmura Jenny, en balbutiant, et butant sur certains mots en déglutissant, lentement.
Jenny raconta, alors son histoire, ses amitiés créées au sein du quartier et la paroisse ; sa rencontre avec Susan son amitié, les gens qu'elle a aidés, Barbara et ses enfants, Blanche et Éric ainsi que leur petite Anaïs, et également la veuve, Evanna, qui avait perdu sa petite fille, Bonie, tuée par un vampire. Et ce qu'elle avait fait, pour le aider, en utilisant certains sorts, et tuant certains vampires ; Maria l'avait alors coupée, son expression déçue, et profondément de déception, s'écoulant et apparaissant sur son visage, en lui disant, qu'elle l'avait pourtant prévenue Jenny, de ne pas user et abuser de sorcellerie, sauf en cas de nécessitée absolument, et surtout de ne pas en utiliser et interférer directement avec les affaires des humains, de l'univers moderne ; tandis que Jenny, bougeant plutôt mal à l'aise alors que sa grand-mère et professeur commençait le discours disciplinaire auquel elle s'attendait. Le fait qu'elle savait que cela allait arriver, rendait la chose encore plus difficile à supporter et bien sûr, Jenny s'empressa de s'excuser, et lui déclarant que c'était de la nécessité absolue, et qu'elle n'a rien fait contre nature, ni même perturber le cycle de la vie, mais qu'elle devait aider, et qu'il en valait du bien-être et de la sauvegarde du monde. Maria acquiesça, et fut en partie d'accord avec Jenny.
Alors, Bunica encourageât, Jenny à poursuivre son histoire, d'un très léger signe de tête ; Jenny racontât tout à son ainée, les plus intime détaille, ne lui cachant absolument rien, et chaque détail à son importance, comment elle avait rencontré Willow, sa croissance et son développement perpétuel, et de manière continuelle et évolutive de leur relation et de leur amitié mutuelle ; et Jenny lui parla et évoqua à Bunica, comment était Willow en général, sa personnalité et l'être et la personne moderne timide qu'elle était, et leur amitié, ce qu'elles avaient parcourues ensemble durant l'année, les observations de Jenny sur Willow, et ce qu'elle pensait de d'adolescente, ce qu'elles avaient fait ensemble et partager leurs intérêts et passions communes, et Jenny évoqua que Willow lui prêtaient des livres et réciproquement.
Ensuite, Jenny évoqua et racontât toutes ses observations sur Angel, et que ce dernier n'avait en aucune façon commis de crimes ou alors voulut tuer d'innocents ni faire du mal à un humain, le fait est que c'était en réalité tout le contraire, Jenny s'était rendue compte qu'il voulait les aider et expier ses actes et ses mauvaises actions et faire ainsi amende honorable pour ce qu'il avait commis du temps où il n'était encore qu'Angélus et sans âme, et puis, Jenny confessa, qu'elle avait découvert qu'Angel avait un lien avec la tueuse, qui s'avérait être aussi, son élève, Buffy ; d'ailleurs Jenny s'en voulait - comme elle l'avait justement admis dans une lettre d'avoir été si naïve et avoir pris tant de temps à le découvrir - d'avoir été aveuglée, d'avoir mis du temps, et également s'en voulait d'avoir mis ses occupations et son travail en priorité ainsi que sa vie personnelle en avant, et loin de ses obligations envers Angel et son peuple, mais en réalité Jenny ne regrettait pas, d'avoir priorisée ses amies, sa vie sociale dans son quartier, ainsi que son amitié avec Willow, sans cela elle aurait étouffé et suffoqué et serait devenue lentement mais certainement profondément dépressive, et en pleine folie, devant tant de haine, de destruction, et de priorité et obligation et devoir ancestral et royaume.
Jenny confit également, le fait qu'Angel semblait vraiment bon dans le fond et qu'il était réellement complexe et intriguant, et cela causait un énorme souci de moralité et de d'interrogation et de conscience de soi et envers son peuple ; Jenny l'avait observé, et put voir qu'il souffrait toujours, et que sa douleur et sa souffrance n'était pas près de s'atténuer, comme le voulait les siens, et en particulier son Enyos, et l'Ancienne, Ileana. Jenny avait aperçu de l'humanité dans son regard, et il était bien loin, et bien au-delà de ce qu'avait été Angélus, ce n'était pas du tout le même esprit, la même tête, le même cerveau, et la même personnalité, le fait qu'Angel ne réagisse pas, ne pense pas, ne réfléchisse pas, ni ne raisonne pas de la même façon ni de la même manière, ils étaient tous deux l'opposé, comme le jour et la nuit, ils étaient un même corps, mais souvent Jenny se demandait s'il ne devait pas plutôt mieux, les diviser, et qu'ils ne se ressemblent pas du tout, qu'Angel n'est pas subit le corps d'Angélus, et se sentir mauvais, et qu'il croit qu'il ne pourrait redevenir un monstre et démon sanglant, en mal de sang et de nourriture et émoi et recherchant toujours le meurtre et la vengeance. Jenny, était même, arrivée à un point où commencer à se poser des questions sur l'âme d'Angel, s'il n'était pas en réalité deux personnes distinctes, et les crimes et les faits d'Angélus ne sont tout simplement pas ceux d'Angel, Angel n'y est en réalité pour rien du tout, mais son âme lui permet d'avoir une conscience, de pouvoir et avoir la possibilité de choisir entre le bien et le mal, de pouvoir choisir le bien, et que son âme, il méritait tout simplement de l'avoir, son âme, et de vivre en paix.
Jenny évoqua également le fait qu'Angel l'avait sauvé de manière totalement inattendue, inopinément, et indirectement, ayant alerté Rupert Giles, pour que lui-même la sauve, à la place d'Angel pour ne pas inutilement effrayer Jenny sur le fait qu'un vampire la sauve.
Et Jenny évoqua son agression qu'un de ses collègues qu'elle croyait être son ami, mais qui en réalité était juste intéressé de manière perverse et sexuelle à elle, Craig. La violence mineure avec laquelle il l'avait attrapé, où il l'avait pressé contre un mur, où il voulait se frayer un chemin entre ses jambes. Mais heureusement rien de grave n'était arrivé, car elle a été sauvée in extrémis et a pu être sortie hors de danger de son agresseur et était revenue saine et sauve... Maria la coupa, soudainement, en haletant, les yeux écarquillés, la voix irrégulière ainsi que sa respiration, sous le choc, de ce qu'elle entendait, en s'exclamant que jamais, Jenny ne lui avait parlé ou s'était confiée de tout ceci dans l'une de ses dernières lettres, et lors de sa dernière correspondance, elle était stupéfaite.
Jenny s'était tue, et avait regretté instantanément, immédiatement, d'en avoir trop dit, au fil de la conversation, elle avait confessée et avouée d'innombrables secrets, en évoquant tout sans laisser place au moindre détail et à l'imagination, et Jenny laissait emporter et alla dans un torrent et afflux d'émotions, de sentiments, et de paroles ainsi que de laissé aller, Jenny ne s'était pas rendue compte, ni ne s'était aperçue qu'elle parlait à présent beaucoup plus pour elle-même que sa grand-mère, et que Jenny dévoilait beaucoup d'informations sans même s'en rendre compte, avant d'être surprise et interrompue, et revenue à la réalité par les halètements horrifiés de Bunica.
Maria avait interrompu Jenny, complètement mortifiée et le visage abasourdit, et défait de chagrin, de tristesse ainsi que de désespoir ; l'interrompant brusquement et tous ses sens mis en alerte, prête à entendre la moindre explication, le moindre soucis, une quelconque demande d'aide de la part de sa petite-fille, en levant une main pour arrêter les paroles, qui paraissaient sans fin de Jenny, et donc se redressant brusquement, maintenant la femme plus âgée était appuyée sur ses genoux, et déclara de s'arrêter, et de lui demander quelques instants pour réfléchir, et de ralentir un peu ; tout en fermant les yeux, et les baissant légèrement, comme si elle réfléchissait, et mettait en place et restituer, retrouvant, analysant, et séparant, rassemblant chacune information, indice et mots clés de ce que Jenny lui disant ; elle savait ce que sa petite-fille avait vécu et dû subir la peur, et Maria devait s'avouer que c'était un véritable choc, et tragédie d'entendre parler de cela, Maria était toujours tendue et effrayée qu'elle ne lui ait rien dit avant, ou au moins asseyait de la contacter d'urgence. Elle connait et comprenait, néanmoins fort bien que Jenny ne lui en ait pas parlé plutôt, et ne lui en voulait pas ni était fâchée contre la jeune femme.
Maria finit par lui demander si Jenny n'avait pas été blessée d'une quelconque manière que ce soit, ni était violente, blessée, meurtrie, si elle avait une quelconque preuve de ce qui lui était arrivé... Mais Jenny l'avait arrêté déclarant et murmurant d'une voix, qu'elle ne comptait pas et ne souhaitait pas porter plainte, et que tout ce que Jenny désirait à présent c'était d'oublier.
Maria lui dit doucement et d'une manière apaisante et asseyant de paraitre logique et convaincante, qu'il faudrait bien qu'un jour Jenny en parle à quelqu'un ; sur quoi, la jeune femme lui répondit qu'elle en parlait déjà avec elle, et également avec Rupert. Et lui dit, en toute honnêteté, et de manière sincérité qu'elle allait très bien, vraiment. Et qu'elle n'était plus vraiment affectée, et se sentait en sécurité avec Maria avec elle.
Maria essayât de se ressaisir, et se disait et avouant à Jenny combien elle se faisait du souci pour elle. Et tout en essayant de se rassurer, se convaincre absolument et avec férocité que Jenny savait ce qu'elle faisait, et se doutait et connaissait trop bien, sa petite-fille, pour comprendre qu'elle avait une personnalité très forte, et arrivait à comprendre et pouvait la croire en toute honnêteté et de tout son cœur qu'elle ne lui mentait pas, mais pouvait se douter que Jenny avait son cœur tendre et trop bon pour son propre bien et son état mental et son bien-être, et qu'elle pouvait à tout moment craquer, et que cette agression rattraperait sa mémoire un jour... Mais Jenny devait lui parler de Rupert Giles, et comprendre comment, il pourrait l'aider, comme elle lui disait si bien ; et de cette manière elle comprendrait et aurait plus de détails sur leur véritable relation et sentiment... Mais avant, Maria voulu étreindre, Jenny, de toutes ses forces et lui montrer son soutien et lui faire comprendre et ainsi lui faire ressentir qu'elle ne serait pas seule.
Et c'est ce qu'elle fit, en enroulant ses bras, autour de la silhouette mince et qui semblait si fragile de sa petite-fille, Maria l'attira contre elle, contre sa poitrine ferme et protectrice, et l'étreignit tout en la berçant contre soi, Jenny avait enfoui son visage dans son cou et inhalait son parfum et son odeur, heureuse de sentir la sécurité et le contact maternel et familial et habituel de Maria. Jenny murmura en relevant la tête et regardant plongeant son regard dans celui de Bunica, que vraiment elle se sentait bien et en sécurité, qu'il est vrai que par moment et instant, elle avait peur, et avait sans aucun avertissement ou de façon totalement inattendue de flashs qui survenaient à n'importe quel moment et disparaissait tout aussi soudainement ; mais ce dont avait peur Jenny c'était que cet incident, ce drame pouvait de nouveau se perpétrer, et que Craig pourrait d'une façon ou d'une autre arriver à ses fins ; mais, d'un autre côté, Jenny ne le pensait pas, et se sentait très en sécurité dans les bras de Maria, et savait qu'elle pourrait compter sur elle, dans n'importe quelle circonstance, et serait toujours en sécurité, en confiance absolue, et pourrait lui demander et faire n'importe quoi pour la sauver.
Jenny continua à évoquer son histoire, et à conter, à expliquer et ainsi explorer davantage en profondeur et de résonner au mieux. L'histoire et les secrets qui y découlaient dans sa relation, entre Jenny et Rupert. Leur première rencontre, leurs disputes et les différents qu'ils ont rencontrés. Jenny qui voulait plus que tout, réussir à gagner son amitié et à se rapprocher de lui et a fait qu'il arrive à sociabiliser avec lui, n'avait fait que provoquer son mutisme et son renfermement et engendrer, grandir ainsi que renforcer les murs qu'il avait construit autour de lui pour se protéger de tout sentiment et contact humain féminin. Jenny avait voulu parcourir et qu'ils découvrent ensemble leur passion commune ; Jenny racontât à Bunica, leurs violentes disputes, le fait aussi que Rupert, lui ait déclaré des vérités et la calomniant, et lui envoyant sa fureur et colère sur le visage, après cela, bien sûr Jenny fut bouleversée, et ils se sont parlaient et quelques jours plus tard, Rupert s'excusa pour avoir été si dure avec elle, et vice-versa, et Jenny parla, que tous deux étaient repartis sur de nouvelles bases ; elle évoqua la demande d'aide de Giles, et son besoin de faire appel à elle à contre cœur, pour l'aider avec un démon sur internet ; Jenny et Rupert découvrirent alors ensemble, qu'ils avaient plus beaucoup plus de points communs qu'ils ne l'auraient pensé en premier lieu. Jenny s'excusa et lui dit qu'elle se sentait gênée de l'avoir traité de snob, et ils deviennent amis et compagnons, partenaires de travail ; mais Jenny n'arrêta point, nullement ses taquineries sur son ami.
Les sentiments de Jenny pour Rupert commença à apparaitre et à s'intensifier à mesure que le temps s'écoulait. Jenny avait depuis le début et commencer à avoir une profonde affection et tendresse pour cet homme. Mais avait décidé de les ignorer, et de se dire que ce n'était rien de plus que de l'amitié. Au profit de continuer à enseigner à Rupert les bases informatiques, comme il lui avait demandé ; et un jour, ils décidèrent de passer une soirée ensemble, et à la fin Jenny lui avait un baiser sur les lèvres, un baiser d'affection, d'amitié, et d'anniversaire, comme elle l'avait alors expliqué et qualifié. Et un jour, Jenny avait donné des caresses avec son pieds à Rupert, en signe de taquinerie et ainsi le mette au supplice et le faire tortiller, et cela eu un grand effet sur lui et aussi sur elle, comme elle ne s'y attendait pas, Jenny était tombé elle-même dans son propre piège et s'était fait avoir. En plein milieu de la salle réservée aux professeurs à la cafétéria. Jenny et Rupert avaient échangé plusieurs baisers, au fils du temps, mais tout cela ne voulait rien dire, du moins Jenny essayait de s'en convaincre et de l'espérer. Mais alors, elle découvrit que Rupert, l'homme avec lequel, elle eut de l'affection, une profonde tendresse, respect et désir, et sympathisée était en réalité l'observateur de la tueuse de vampires. Et ensemble, ils combattirent le mal, les rapprochant ainsi tous les deux, encore plus.
Jenny expliqua et essaya de comprendre ses émotions et ce qu'elle ressentait pour Rupert au fil du temps, à Bunica, que Jenny en réalité, ressentait beaucoup plus qu'une simple amitié pour lui, une simple attirance ou envie de le taquiner, et une affection et tendresse beaucoup plus profonde, plus belle, plus pure, et également effrayante pour elle ; Jenny tombait peu à peu sous le charme de Rupert Giles, et avait eu un coup de cœur, un coup à la poitrine, une émotion instantanée dès la seconde même ses yeux se posèrent sur lui, et les siens sur elle, le jour avant la pré-rentrée des professeurs, l'amour, des sentiments de poésie, de sentimentalité était apparue en elle, qui était si fort et si puissant qui ne pourraient plus la quitter, et serait dans son corps et son âme à jamais... c'était quelque chose, que Jenny s'en était aperçue et ne savait pas quand est-ce que cela avait commencé, et qu'elle tombait accidentellement amoureuse de la mauvaise personne - selon les critères standards de son peuple et surtout de son oncle - et si cela n'était pas réciproque, Jenny en serait condamnée. Cette nouvelle déclaration, aveu et information que la reconnaissance de quelque chose de profond et de précieux, et de romantisme et d'amour… quelque chose qui avait toujours été là, aurait toujours été là, sera toujours là, quoi qu'il se passe et quoi qu'il en coute, qu'ils se soient déjà réunis ou non.
Une fois que Jenny eut terminé son histoire, elle regarda le regard et le visage de Bunica, et fut surprise de voir à quel point sa grand-mère était en train de méditer profondément ses paroles, et ne la jugeait nullement comme elle aurait voulu et s'attendait presque à ce qu'elle la réprimande, ou voie un visage et un regard de déception, ou la mette en garde contre sa folie et ses sentiments ; Jenny ne s'attendait nullement à ce que Maria, prenne un visage aussi réfléchit et de méditation, et prenne au sérieux ses paroles, et essaye de discuter avec elle, et réfléchisse, voulait l'aider, cependant, Bunica poussa un soupir et déclara lentement et doucement à Jenny "Janna, je te l'ai déjà dit... Et je t'ai mise en garde..."
« Je sais, je sais" Coupa précipitamment Jenny mal à l'aise en soupirant, et sachant ce que dirait sa grand-mère, en baissant les yeux, confuse et se sentant coupable, qu'elle ne devait pas aider les personnes du monde moderne, et surtout garder ses distances, ses préoccupations principales en premier, et gardant une distance de sécurité et de certaine crainte et méfiance à leurs égards, Jenny savait tout ça, elle le savait que trop bien, "Mais je ne pouvais pas m'en empêcher, tu le sais, Bunica... Tu sais comment je suis, douce, serviable, voulant aider les autres dans le besoin et les protéger et garder en sécurité. Et puis je suis si curieuse de nature... Je voulais simplement apprendre à connaitre d'avantage Rupert, mais tout est arrivé si vite, tous les engrenages, tout ce qui s'est passé, et les événements se sont enchainés... Et puis, et puis, je voulais tellement connaitre Willow, elle même beaucoup, et je l'aime bien aussi, nous avons du respect, l'une pour l'autre... Et ils m'ont tous deux fascinés, et intrigués. Et je devais faire qu'ils allaient bien, tous bien. Et je sais que ma vie n'est pas ici, elle est ailleurs quelque part, je suis si perdue."
Jenny s'interrompit et renifla, combattant et perdant la bataille pour ne pas pleurer. La manière émotionnelle dont elle a dit ces mots, était principalement due à son attirance pour Rupert, qu'elle ne pouvait plus ignorer et supporter, qui ne laisserait personne, pas même celui qu'elle respectait le plus, parlait de sa mauvaise volonté. Elle sentit une main sur son épaule et se tourna pour regarder Bunica, dont le visage s'était quelque peu adouci, ne la regardant nullement et en aucune façon avec des yeux désapprobateurs.
"Ce que je voulais déclarer et te dire, c'est que je sais ce que tu ressens, Janna," dit-elle, son ton de voix disant à Jenny qu'elle avait bien compris ce que traversait la jeune femme, et pas simplement en disant que ce serait mieux pour son propre confort. "Je sais ce que tu penses, et ce que tu peux ressentir, que notre peuple, le clan Kalderash, et anormalement et plutôt dur et cruel, plus que n'importe quelle autre tribu bohémienne, envers le peuple du monde moderne, et que je sais aussi que tu souhaites faire tes preuves, et je ne te juge nullement pas pour cela, crois-moi, bien au contraire, faire tes preuves mieux ce qu'ils peuvent penser autour de toi. Mais voilà c'est ainsi, Mais tu dois savoir que l'on ne peut pas se mélanger à ses gens, ni interférer pour eux, à cause de la magie, car ça peut-être nuisible et dangereux, ils pourraient croire qu'on peut tout effacer et s'aider, et régler nos problèmes avec des pouvoirs, mais ce n'est pas la solution, ils risqueraient de détruire l'équilibre de la vie ; et la magie n'est pas un jeux, c'est très dangereux, et qu'il faut prendre avec précaution et beaucoup de délicatesse, et que la magie à un lien avec la terre même, et l'essence de la vie, et le commencement de tout. Et également ne surtout pas interférer dans des relations, ni ne s'impliquer."
Jenny a tenu sa tête immobile et veiller à garder la tête droite et son regard fixé sur sa grand-mère. Elle ne savait pas à quel incident d'interférence, ou le type de relation, Bunica faisait référence, mais elle avait le sentiment que cela n'avait pas d'importance. "Oui."
Maria hocha la tête et lui demanda doucement, en inclinant la tête vers elle " Et sais-tu pourquoi ?"
Jenny secoua une nouvelle fois la tête de négation, se demandant ce que voulait dire Bunica, et ce qu'elle voulait lui expliquer, et quel genre de conférence elle allait lui donner, Maria lui expliqua alors qu'il s'agissait d'une ancienne histoire, une histoire véridique, une histoire vraie, qu'il remonte il y a bien longtemps, et qui c'était peu à peu transformé en légende et en mythe, et que certaines parties n'étaient pas vérifiées, et sans aucun doute fausses, et faisait partie de l'histoire et des multiples légendes de leur peuple ; Jenny regardait avec étonnement, incrédulité, et ses yeux grands ouverts de choc, et les lèvres légèrement entrouvertes, alors qu'elle murmurait qu'elle n'avait jamais entendue cette partie de l'histoire. Pourquoi cela ? Pourquoi Enyos ne leur avait jamais raconté lors des contes de légende, cette partie ? Maria répondit alors, qu'il s'agissait d'un tabou pour le peuple, d'un non-dit, et que personne de notre génération, personne ne connaissait cette légende, et qu'elle l'avait découvert, il n'y a que de nombreuses années, alors qu'un rêve lui était parvenu, et les esprits étaient venus à elle, pour lui conter cette histoire.
Maria se détourna ensuite très légèrement de Jenny. Bunica tendit sa main, sa paume vers le haut, alors qu'elle murmurait une incantation en langue Roumaine, alors qu'elle récitait sa prière et la formule, une lumière a commencé à briller du centre de la paume, grandissant lentement alors qu'elle commençait à bouger sa main, utilisant la lumière pour transformer le feu de la cheminée devant elle en une surface réfléchissante sur laquelle jouait l'une des nombreuses histoires qui lui avaient été enseignées, transmettre de cette manière.
L'histoire de la séparation des humains du monde moderne et des Gitans ; ou plus particulièrement une histoire d'amour pure, entre une bohémienne et un Gadjo, durant la période du début du XVIIIème siècle.
Maria commença à raconter l'histoire, qui leur était montrée devant elles "Il y a longtemps, mon enfant, bien avant la malédiction d'Angélus, au tout début du XVIIIème siècle, c'est l'histoire d'une jeune fille, de notre peuple, les Kalderash, mais elle n'est nullement de notre lignée ou issue une ancêtre de notre famille, elle est probablement liée à une autre ; quoi qu'il en soit cette jeune fille, se prénommait Lorelei, âgée à se prénommer-ci de la légende, de dix-sept ans, un jour, en allant à un marché d'un village voisin ou notre tribu s'était installé tout près de là, Lorelei avait été chargée d'aller au marché, achetée différents fruits et légumes, et se fut en cet instant, qu'elle rencontra cet homme, que son monde bascula, il s'appelait ; Axel, Karl..."
Tandis que Maria lui racontait son histoire et que les différentes images apparaissent à travers la boule, bulle et faisait défiler les souvenirs, et le flash, Jenny y aperçu la jeune Lorelei, elle avait une grande taille, et était très élancée et pourtant très maigre, mais cela ne lui enlevait ni sa grâce ni sa beauté, Lorelei avait une peau couleur de lune, d'olive et une peau de "beure", et un teint ivoire, la jeune fille possédait également de longs cheveux bruns arrivant au milieu du dos, soigneux, légèrement ébouriffés par moment mais toujours aussi beau. Lorelei les attachait pour sortir en ville en une légère que de cheval ; ses vêtements en revanche n'était pas toujours aussi beau, bien que par moment elle passait son temps à prendre soin d'elle-même et de son apparence - ce que Jenny vit en cet instant fut de vieux vêtements simples de paysans, une longue jupe arrimant aux chevilles, avec un haut assortit, gris et vert terne, sa silhouette était très élancée et avait une allure et apparence de guêpe.
Alors Lorelei était en train de faire une lessive dans un grand bac d'eau avec une simple barre de savon, lavant méthodiquement le linge de toute la famille, quand, sa grand-mère, arriva, en sortant de leur tente, et lui dit d'aller au marché et de rapporter pour le soir des légumes des fruits, du village. Lorelei obéi instantanément à sa grand-mère qui lui avait ordonné de laisser sa tâche et que l'une de ses sœurs l'exécuterait pour elle, et pris un panier en osier.
Lorelei était habituée à réaliser toutes les tâches quotidiennes qui incombent le rôle des femmes de l'époque et surtout traditionaliste, les tâches qui leur étaient liées depuis la nuit des temps, comme préparer à manger, se procurer des aliments, de l'eau au puit ou à des sources dans les hautes montagnes, aider à s'occuper des enfants de la famille, obéir aux hommes de la famille ou du clan, et faire la lessive, et d'autres taches comme la couture, ou autre... Elle aidait énormément sa famille et adorait ses nombreux frères et sœurs, surtout ses ainés auxquels elle était dévouée et se devait de garder une certaine obéissance, et garder ses plus jeunes, comme une mère de substitution et s'occupait beaucoup d'eux, et leurs apprenait tout de la vie, et n'hésitait pas à les faire rêver, et leur expliqua que dans la vie tout était possible, surtout ce qui concernait l'avenir et le destin de ses sœurs et leurs rêves. Mais tout, ceci pouvait également l'étouffait, et se dire que l'esclavage, la mutilation et l'handicape dû à son sexe, "faible" comme on pourrait le dire à cette époque-ci de notre histoire de l'humanité, et considérer comme inférieure à l'homme, Lorelei ne pouvait le supporter ni le tolérer et ne comprenait encore moins comment les gitans qui se considéraient et vivaient si proche de la nature, du spiritisme, de la vie et proche de l'humain ainsi que de la magie, pouvaient être à ce point aussi démodé et corrompu que le monde moderne, ces gens qui n'en valaient pas la peine, le monde étranger qui l'effrayait et la fascinait ; comme si elle voulait aussi partir et le visitait et y vivre... Partir là-bas.
Lorelei, les anses de son panier accrochés et agrippés près de son pris du bras, et choisit ses différents aliments à travers les étalages, des différents produits et marchants ; son panier se remplissait rapidement, malgré que la jeune fille ne trouvait pas tôt totalement ce qu'elle voulait, et surtout qu'il n'y avait pas autant de produits alimentaires qu'elle souhaitait, surtout à causes de récolter des paysans, cultivateur, et certains avaient beaucoup d'alimentations, mais certains produits étaient pourries, ou pas assez murs, ou encore remplis de vers.
Lorelei, malgré le fait qu'elle adorait et aimait se rendre au village et le visitait et rencontre bon nombre de villageois et de bons nombres de nouvelles personnes, de nouvelles personnalités et d'autres visages différents que ce qu'elle connaissait habituellement ; mais savait également qu'elle devait être prudente et se dépêcher de rentrer d'où là où elle appartenait et revenir près des siens malgré elle, contre son gré, et ce malgré son cœur se serrant et s'alourdit en s'entend et ressentant la haine des gens et du peuple, sachant parfaitement ce qu'elle représentait et dont elle était le symbole et les superstitions sur les bohémiens ; comme des voleurs, des jeteurs de sorts, des diseuses de bonnes aventures, des violeurs, des femmes faciles, des filles de joies, des danseuses, possédant comme animaux de compagnies des chèvres ou des boucs, possédant des remèdes miracles, réalisant des médicaments grâces à des herbes et connaissant les secrets du corps humains des organes et du système sanguin que personne ne voyaient des filles du diable et la définition du diable s'incarnant à des filles comme elle et qui s'était développé en Lorelei, et qu'elle portait sans doute en elle le péché originel.
Lorelei connaissait que trop bien les regards de haines, de mépris et de dégouts tout autour d'elle, qu'elle ne serait jamais la bienvenue parmi des gens ordinaires comme eux, ils verraient en elle, toujours, une migrante, une nomade, quelqu'un qui ne serait jamais chez elle, et toujours hors de son pays. Et était considérée, elle et son peuple, ou autres peuples gitans, comme sorciers, hérétiques, emportant le mal autour et avec soi. Et était mal considérée car ne s'habillant pas, comme il se devaient pour une jeune fille de l'époque, selon les convenances, et était considérée comme un souillon. Et devait donc éviter, de ne pas s'arrêter où flâner dans les rues, et surtout ne pas se mettre en danger, en cas de haine aggravée, de violence, ou de tentative d'agression ; sa mère et sa grand-mère, lui ont toujours dit de ne pas trainer, de rentrer, ni de s'attarder et de se dépêcher de revenir.
Son panier soigneusement bien remplit, Lorelei se dépêcha en accélérant le rythme de ses pas, dans les rues du village, jusqu'à sa sortie ; à cet instant, Lorelei put respirer plus calmement et se détendre ainsi que ralentir, alors qu'elle marchait dans la foret, à travers les herbes, les racines et les multitudes de tronc d'arbres, la jeune fille entendit un bruit, des bruits de pas et également des voix aux accents étrangers à la consonnance Suédoise, ce n'était ni des chasseurs ou des braconniers, mais des chercheurs, explorateurs et des scientifiques parcourant et voulant découvrir la faune et la flore et la nature, elle était étonnée d'entendre des accents étrangers, mais, en réalité, n'était nullement inquiète ni effrayée, et n'était nullement confuse et soupçonneuse comme pourrait l'être certaine personne, comme leurs guerriers et anciens de son peuple, quand ils apprendraient l'existence et la venue d'étrangers sur leur terre ou leur lieu de vie et de campement ; et elle avait également entendu murmurer et chuchotait des commentaires tout autour du village et dans l'ensemble, qu'il y aurait des explorateurs et des scientifiques, venant séjourner quelques temps à l'auberge du village durant leurs séjours en Roumanie, le temps d'explorer la campagne, les bois, et faire des mesures des périmètres alentours et Lorelei avait également entendu dans le marché, que ces explorateurs venaient tous d'étrangers, et plus précisément du nord de l'Europe.
Lorelei, était curieuse et fascinée de nature par ces étrangers, et souhaiterait et voudrait très sérieusement les observer de loin et apprendre de cet manière moins risquer et dangereuse de les connaitre ; et à se rendre compte, ainsi, par elle-même et de ses propres yeux, et également s'apercevoir et se faire ainsi sa propre opinion et jugement face aux hommes et le monde moderne ; Lorelei voulait aussi, de cette façon, profiter de ses derniers mois de liberté avant son mariage arrangé avec l'un des guerriers du clan, que son père avait choisi pour elle, Kocoum, souhaite qu'elle épouse, mais Lorelei ne veut pas de ce mariage, trouvant cet homme trop sévère et trop sérieux. Elle demande son avis aux esprits, et également à la guérisseuse et la chamane du village. Ceux-ci dit à Lorelei d'écouter son cœur.
La jeune fille observa pendant, un long moment, trois hommes, avec eux d'autres explorateurs ou des soldats armés enfin comme les amérindiens pourraient les surnommer des colons, qui partirent et expéditions et explorations, fascinées par eux, elle les suivit ; parmi eux se trouvait Axel Smith, un homme de grande taille, qui était plus âgé que Lorelei, il avait vingt-cinq ans, et d'une grande musculature, qui avait toute l'apparence et la silhouette d'un aventurier, il possédait de magnifiques yeux bleus très clairs, et dans ses conditions il était très sensible à la lumière ensoleillée, des yeux bleus clairs, glaçant mais agréable et à la fois mystérieux, et Axel, possédait également de beaux cheveux blonds raides mais soigneux et très épais, et un brin long ; normalement des hommes élégants portent une perruque, tissus somptueux et dentelles fines. Les portraits de Jean Talon, premier intendant de la Nouvelle-France, le montrent portant avec style la perruque, mais l'homme, qu'observait Lorelei était une veste de brocart, des bottes longues en cuire noire, une simple chemise épaisse blanche.
Axel s'éloigna de ses camarades pour partir lui-même, dans une autre direction ; Axel Smith explore le territoire, émerveillé des montagnes de la nature ; La jeune bohémienne avait décidé de le suivre, pour une raison qu'elle ignorait, elle était fascinée et avec un cœur gros et tendre pour cet homme et étrange qu'elle ne connaissait point, et avait développé un faible sourire et un regard d'intérêt et de curiosité, et d'envie de le connaitre d'avantage et de curiosité à son égard et avait envie de lui poser des questions, avait également cette adrénaline qui battait et palpitait dans ses veines et son cœur au plus profond d'elle-même, et la secouait, et la fascinait tout à la fois, la faisant bruler et vibrer.
Axel parcourait les forêts, ainsi que la montagne qui ne se situait pas très loin de là, heureux, et bénie, et avait cette impression de bénédiction, plénitude, et reconnaissance pour la vue qui s'offrait à lui ; Toute sa vie il avait cherché cette terre, une terre de Cocagne, aux mille visages, sauvage, aux nouveaux visages aux territoires inconnus, et des nouvelles personnes ainsi que de nouvelles cultures civilisations et croyances à côtoyer et à connaitre, et paysages campagnards. Au gré des paysages. Et ainsi que mille dangers à braver, comme on gravit les montagnes ! Une terre de mystères était à porter de mains, une terre que l'on gagne, Comme lorsque l'on prend le cœur d'une femme, il faut prendre de la patience, de l'envie, de la douceur, et avec calme et patience, réussir à conquéreur une terre et un cœur inconnue. C'était un merveilleux décor que tout ceci ! Son cœur bat plus fort, à chaque découverte et croquis de dessins, de paysages et animaux, qu'il trouvait et rencontrait sur son chemin.
Tandis que Axel explore le territoire, il fit alors la connaissance de Lorelei, qui le suivait, cette dernière était effrayée qui l'ait découvert, que le jeune homme était suivi ; le fait est qu'il a découvert sa préscience, car par mégarde, la jeune fille a marché sur une brindille, et sur sa surprise, elle avait déséquilibrée son panier de nourriture de son bras, et avait fait tomber quelques pommes sur le sol, qui roulèrent jusqu'en direction du jeune homme, et fut surpris par le bruit, et suspicieux, inquiet et méfiant, s'apprêtant à attaquer tout intrut ou danger nuisible de le mettre en péril ou de l'attaquer.
Lorelei s'était accroupie, derrière des feuillages et des bosquets, les yeux totalement écarquillés de peur, de préoccupation et d'attente de et qui allait arriver ; se demandant soudainement, et espérait que personne de son peuple, son père ou alors l'Ancienne n'ait vue en rêve et en prémonition, sa rencontre avec cet homme, et ne se doute de quoi que ce soit... Heureusement, elle l'apprendra plus tard, qu'il n'en fut rien, et qu'il n'ait eu aucun cas de présage de ce qui allait arriver...
Mis ce ne fut rien de tout cela, à la place, les deux jeunes gens se rencontrèrent, et ils eurent du mal à communiquer l'un avec l'autre ; Axel appris que la jeune femme était Roumaine mais également d'origine bohémienne et une gitane, Axel appris à Lorelei, qu'il était un jeune scientifique explorateur et naturaliste, et venait d'un pays nommé la Suède et ainsi il se présenta, mais il autorisa Lorelei à l'appeler par son deuxième prénom, Karl.
Axel - Karl- était très intrigué et curieux, des légendes des histoires et du mode de vie des bohémiens, leur culture, leur civilisation, leur spiritisme et les croyances ancestrales, et voulut connaitre d'avantage, Lorelei et l'interroger beaucoup plus, sur ce qui animait sa vie, et le but du clan, et il appris que son peuple, se nommait les Kalderash ; donc Lorelei se prénommait Lorelei Kalderash, mais il y avait beaucoup d'autres clans, qui n'avaient pas exactement les mêmes croyances, mais le fait est que cela se rapprochait tout de même des leurs malgré quelques petites différences et différents.
A partir de ce moment, Lorelei et Karl passèrent du temps ensemble, beaucoup de temps, mais la jeune bohémienne voulait aussi que Karl, découvre son monde et son peuple, pour que le clan sache et découvre que le monde moderne n'était pas aussi dangereux qu'ils semblaient le croire, donc Lorelei encouragea Karl à venir à son village ainsi que d'emmener avec lui s'il le souhaitait quelqu'un de ses compagnons... Au début, tout se passa bien, les échanges, dialogues, et peu à peu l'amitié et une entente cordiale et familiale se créa, Karl discutait avec le chef du village ainsi que le père de Lorelei, qui le regardait et observait avec méfiance les interactions de sa fille avec cet aventurier et Karl s'entendait avec tous les enfants en bas âge du peuple, et certaines femmes ; mais malheureusement certains personnes ne trouvaient pas cela bien vu, et ils trouvèrent cela inquiétant, et de mauvais présage ainsi que la venue et laisser le mal absolu et le serpent rentrer dans leur vie de façon malveillante, et donc La plupart du clan était indifférent à l'intrusion. Mais près à se battre et se défendre contre des violences quelconques, ou attaques.
Et bientôt, sans le savoir, Lorelei va voir sa vie, son destin et son avenir basculer et changer du tout au tout, et que tout sera remis en cause, et que son peuple va être totalement contre et hostile au monde moderne à jamais, et que rien ne pourra les faire changer d'avis.
Passant la majeure partie de leur temps ensemble, la jeune femme apprend à l'explorateur à regarder le monde d'une manière différente et ne pas considérer son peuple comme des « sauvages ». Pour lui sans doute, ou alors encore plus probable les gens de son peuple étaient pour elle une ignorante sauvage, il lui parle sans cesse de sa différence, au point qu'ils eurent tous deux une dispute, et que Lorelei dut lui apprendre certains points et mystères de la vie, et apprendre la bienveillance et le respect de l'autre, de l'homme, de l'humanité, et l'anti racisme, et anti massacre de l'autre. Elle croit sans malveillance, mais si dans son langage, il emploie le mot « sauvage », pour se sentir plus fort et supérieur et maître des autres, C'est que ses yeux sont remplis de nuages, et d'obscurité et de haine. S'il croit que la Terre lui appartient tout entière, et que Pour lui ce n'est qu'un tapis de poussière, alors c'est qu'il a tort et ne voit pas la vie, et les cycles magiques et spirituels et les murmures de la nature. Lorelei sait que la pierre, l'oiseau et les fleurs, ont une vie, ont un esprit et un cœur. Pour Karl, et beaucoup d'autres hommes et humains du monde moderne, l'étranger ne porte le nom d'homme, que s'il leur ressemble et pense à leur façon, Mais en marchant dans ses pas on se questionne ; est-on sûr au fond de soi d'avoir raison ? Comprend-on le chant d'espoir du loup qui meurt d'amour Les pleurs du chat sauvage au petit jour ? Entend-on chanter les esprits de la montagne ? Peut-on peindre en mille couleurs l'air du vent ? Alors ont c'est, on s'est, que la nature, les êtres vivants ont une âme et un esprit et que la terre n'est pas morte, on a alors tout compris de la vie, et de ses mystères et on est plus proche ainsi de la nature, et loin du luxe, et des propos d'hommes et loin et plus proches de nos ancêtres avant que l'époque de l'Antiquité ne commence à faire disparaitre la magie et les hommes de la nature.
Courrons dans les forêts d'or et de lumière, voir le lever du jour, le lever de la nuit, et profitons des hautes herbes, du blé, des récoltes et des animaux broutent avec avidité faims et plaisir dans les pâturages ; partagez les fruits mûrs de la vie, La Terre offre aux hommes et aux nomades et peuples sachant garder de la dignité et l'esprit terrien et terrestre et le savoir vivre en forêt et en pleine nature, ses trésors, ses mystères. Le bonheur ici-bas n'a pas de prix, Lorelei est une fille des torrents, sœur des rivières, La loutre et le héron sont ses amis, parlant et communiquant avec les animaux, et le silence de la terre et de la poussière sur le sol. Et nous tournons tous ensemble au fil des jours. Dans un cercle, une ronde à l'infini, du temps et à chaque fois, chaque génération la vie se poursuit.
Là-haut, le sycomore dort, les fleurs, les herbes, et les oiseaux se reposent dans les hautes montagnes et les abris, criques, Comme l'aigle royal, Il trône impérial. Les créatures de la nature ont besoin d'air pur, et non d'habitations en briques et être chasser de leurs milieux naturels par l'hommes ou exterminées. Et qu'importe la couleur de leur peau, les gens doivent être respecter, ils ont eu un cœur, de la peau, des organes et le sang et de la même couleur, ainsi que le même sens de circulation et la même régulation ; Chantons tous en cœur les chansons de la montagne. En rêvant de pouvoir peindre l'air du vent, et de pouvoir attraper l'air, aux touchers et du bout des doigts, et que l'air s'infiltre dans nos empreintes digitales. Mais la terre n'est que poussière tant que l'homme ignore comment il peut peindre en mille couleurs, ce sera pour toujours un mystère, et une énigme pragmatique et sans fin pour l'être humain.
L'air du vent.
Lorelei lui fit découvrir ses légendes Gitanes, la nature, les esprits, et les secrets de leurs ancêtres, ainsi que certains mots Roumains, tandis que Karl, lui appris tout ce qu'il connaissait de son propre monde, et lui appris quelques mots en Suédois. Ensemble, ils apprirent beaucoup l'un de l'autre, et de la différence et culture de chacun.
Lorelei avait également changé son apparence, au fils du temps et à mesure que sa relation et ses sentiments pour Karl évoluaient et grandissaient ; ses cheveux étaient moins rebelles et en aucun cas plus ébouriffés, ils étaient à présent ondulés et soigneux et épais, et complètement détachés, elle les laissait toujours, chaque jour, tomber en cascades au milieu de son dos. Et il en valait de même pour ses vêtements, ce n'étaient plus les mêmes, ils étaient nettement plus beaux et soignés, et pris plus soin d'elle-même ; une longue jupe, ou robe, en style et respectait les normes et la mode bohémienne, et par moment, en ajustant et prenant le temps d'accorder les couleurs avec ses longues jupes, Lorelei portait un simple chemiser, dont elle en possédait quatre ou cinq de couleurs différentes.
Ils marchèrent main dans la main, dans les prairies, et peu à peu, ils développèrent des sentiments très profonds et purs, intimes l'un pour l'autre. Lorelei regardait avec une profonde intensité, Karl, et celui-ci lui rendait bien, son regard, parfois, à certain moment, la jeune femme avait du mal à exprimer en sa présence, et balbutie par moment ou butter sur certains, mots en rougissant profondément et baissant son regard, gênée.
Karl avait alors placé un doigt contre son menton, et faisant lever doucement lever le visage et le regard de la jeune femme vers le sien, le brun rencontre le bleu, et Lorelei déglutit, et murmura des excuses, pour être si timide, idiote et maladroite avec elle-même ; Karl la fit taire en plaçant un doigt contre ses lèvres, et lui chuchotât, qu'elle n'était nullement pas une ignorante ou une imbécile.
Ensuite, les images que vit Jenny, changèrent, et elle put assister, à la première fois, que Lorelei accepta que Karl la prenne dans ses bras. Leurs étreintes, longues, lentes ou parfois courtes, mais toujours aussi intenses, et occasionnellement toujours intimes. Par instant, à des occasions, et presque chaque soir, la jeune femme se faufilait et partait en cachette hors du champ, sous l'œil vigilant ou bien alors critique de sa meilleure amie, du peuple Kalderash de l'époque, et sous sa surveillance et cachant et gardant secrète ses multiples escapades nocturnes et la couvrant et protégeant sans cesse et sans relâche, et ce malgré son inquiétude pour Lorelei, qui la voyait et l'observait qui changeait, se rebellait, et se transformait depuis qu'elle avait rencontré cet étranger, ce Suédois.
Un jour, alors, qu'ils se promenaient près d'un étang, Lorelei et Karl échangèrent leur tout premier baiser, il fut tendre court et chaste, ils s'effleurèrent très légèrement et en douceur leurs lèvres et les effleurèrent, leurs lèvres sellées, l'un contre l'autre, ne voulant pas écarter leurs lèvres, ni ouvrir la bouche, ou approfondir le baiser, ce ne serait pas du tout convenable, ni permis, autorisé et permis Karl pris cependant, doucement la lèvre inférieure de Lorelei et l'embrassa doucement ; et il pressa un baiser contre sa bouche.
Puis peu à peu, ils adoptèrent chaque jour, chaque fois, une tradition, routine, à chaque rencontre, dès qu'ils se voyaient ils échangèrent un baiser, et cela venait de même, et naturellement à chaque fois, qu'ils se séparèrent. leurs baisers devinrent peu à peu, moins chastes, moins formels, ni hésitant, et plus profond, plus long, tendre, et profond, leurs lèvres se goutant et se découvrant à chaque fois, chaque pinceau de lèvres, et glissants l'une contre l'autre, Karl, enrouler ses bras autour de la taille de Lorelei, et la jeune fille, s'accrocher au haut du dos et de la chemise de son amant, ou parfois, elle enroulait ses mains autour de sa nuque, et l'attirait contre elle, se pressant plus près l'un de l'autre, en plaçant ses doigts, et les emmêlant dans ses cheveux blonds ; Lorelei espéra avoir un avenir avec Karl, car il avait de nombreuses fois, prouver être amoureux d'elle et se soucieux de son bien-être, et voulait la faire vivre avec lui, et prendre soin de la jeune femme.
Ils parlèrent souvent de partir ensemble, dans une ville, où un village de Roumanie, et que Karl trouve du travail, là où ils s'installeraient, ou encore, Karl emmènera avec lui, Lorelei en Suède, et elle le suivrait. Lorelei parlait, elle-même, de quitter volontairement et avec grand plaisir et sans aucun remord son peuple, son passé et le monde, l'univers de son enfance, et voulait faire sa vie avec Karl ; elle avait un plan et de très bonnes idées très solides et projets concrets, qui valaient la peine d'essayer et ne pouvaient être niés et ignorait et qui pouvait très facilement être surmontés et réalisés en commun leur avenir.
A partir de là et d'ici, le couple avait pris des dispositions pour partir loin du peuple Kalderash, et que Lorelei soit enfin libre d'épouser qui elle souhaitait et désirait, et dont elle était amoureuse, de l'homme avec qui elle resterait pour toujours ; quant à Karl, lui, voulait continuer son travail de scientifique, naturaliste, et de graphisme, pour continuer à réaliser des croquis de la faune et la flore et des animaux qu'il rencontrait dans la nature, le jeune homme avait beaucoup parlé, expliqué et discutait de son travail et de sa passion pour la découverte l'expédition et l'esprit scientifique à Lorelei, et celle-ci en était réellement fascinée et curieuse d'en apprendre d'avantage.
Karl s'était penché vers Lorelei, pour déposer un baiser sur sa joue, mais alors qu'elle tournait sa tête pour lui faire face et le regarder, leurs lèvres se frôlèrent dans un fantôme de baiser. Mais, comme toujours, son cerveau a gagné l'argument. Il essaya de se repousser, prêt à commencer à s'excuser.
Son cerveau lui criait de s'éloigner, de s'éloigner de la tentation. Que ce ne serait pas correct, que leur pulsion, leur puissance, était beaucoup trop forte et dangereuse pour les arrêter, qu'il risquerait d'aller trop loin, de franchir la ligne du point de non-retour.
Karl n'était nullement préparé à cela, il ne s'attendait pas à embrasser de cette manière, son corps se figea, son corps tout entier piqué de ce bref contact. Mais, malgré cela, son corps s'efforçait d'abaisser sa tête d'une fraction de pouce et de prendre sa bouche dans ce qui était sûr d'être un baiser stupéfiant. Il se retrouva dans un royaume céleste et un royaume paradis, alors que Lorelei leva la tête de la même fraction de pouce pour presser ses lèvres contre les siennes. Elle frotta doucement ses lèvres contre celles de l'homme à ses côtés, sa tête contre elle, les touchant à peine contre les siennes. Sa langue s'élança pour mouiller ses lèvres, mouillant aussi les siennes, si petite était la distance entre elles. Sa langue était à peine revenue dans sa bouche lorsqu'elle pressa la sienne fermement contre celle de Karl.
Pendant, qu'il se débattait de l'opportunité de se retirer ou non, Lorelei avait eu un débat mental similaire. Elle avait voulu l'embrasser avec cette même passion, ce même désir, cette même faim et possession. Il l'avait mise, si souvent en sécurité, lui faisant oublier qui elle était réellement, sa vraie place, son destin face à son peuple, il l'avait sauvée d'un mariage arrangé, d'un mariage qui, elle le savait, serait sans amour. Et pour une raison quelconque, son subconscient avait choisi Karl, son tout premier amour, pour être son sauveur. Elle décida que son subconscient devait savoir ce qu'il faisait, alors elle pressa son avantage, pour ainsi dire.
Karl gémit dans sa bouche, cédant à son désir le plus profond. Il bougea ses lèvres contre les siennes ; rendre la pareille au plaisir qu'il recevait. Il attira sa lèvre inférieure entre les siennes, la suçant doucement, ce qui lui valut un gémissement en retour. Il sentit son corps vibrer de chaleur et de désir. À contrecœur, il relâcha sa lèvre, offrant un autre baiser solide avant de s'éloigner.
Ses yeux cherchaient ceux de la jeune femme cherchant nerveusement tout signe de regret, ou pire, de répulsion. Il ne trouva que du désir, du contentement et un soupçon de déception pour l'avoir fait finir. Il poussa un soupir de soulagement.
Ils mouillèrent chacun leurs lèvres, approfondissant toujours un peu plus le baiser, leur langue découvrant la bouche de l'autre ; Karl rompit légèrement le baiser, pour baiser sa tête et son visage vers le cou de Lorelei, en pressant de petit baiser sur sa peau nue, et arriva jusqu'à la chaire qui la faisait toujours tortiller dans ses bras, et chatouiller, son lobe d'oreille, en l'embrassant doucement et l'attrapant entre ses dents pour l'humidifier. Lorelei, gémit doucement de plaisir sous ses soins et caresses.
Lorelei pressa ses lèvres, une dernières fois dans une séries de baisers tendres et doux sur les lèvres de son amant avant trainer ses lèvres, contre la joue de Karl, en trainant des baisers humides, et des caresses de plumes le long de sa joue, respirant son parfum, et pressant son nez contre sa peau, elle atteignait, son oreille, et dans son creux, elle pressa un baiser chaud à l'intérieur, et respira de l'air, en inspirant et pressant sa bouche contre son creux, elle haletât tout en chuchotant "Ce soir..." respira Lorelei, en urgence, et sa voix douloureusement irrégulière, "... Vient, me voir cette nuit, dans ma tente, je serais seule."
Karl, se retira doucement de leur étreinte, et regarda profondément et intensément dans les yeux de son amante, et déglutit difficilement, en hochant la tête, signe qu'il avait compris, et avec accord, lui dit tout bas, qu'il sera là, entre onze heures du soir et minuit, il savait ce qui se passerait, se serait leur nuit tant attendue, le moment où ils se donneraient tous les deux l'un à l'autre, et consommeraient leur amour, et se déclareraient des promesses d'avenir ; cette nuit allait être l'heure de la vérité et cruciale, car après cela, Lorelei partira avec Karl pour toujours. Il voulait la sentir, sentir ses lèvres, contre lui, son gout de miel, ses yeux doux quand elle le regarde.
Une autre image apparut devant Jenny et Maria, d'autres scènes défilèrent sous leurs regards, et les heures s'écoulèrent, jusqu'à la nuit où Karl rejoignit secrètement, Lorelei jusqu'à sa tente, dans un des recoins où elle était entièrement seule ; Karl, avait réussi à pénétrer le campement, le village des bohémiens, sans être vue par miracle, et ce malgré, qu'il passait devant certaines tentes et chariots couverts d'une toile, pour voyager, et il se baissait pour ne point être vu, et certains feux de camps, avec certains hommes discutant près du feu et à la lumière des flammes, pouvait très certainement trahir sa présence sur les lieux. Mais il n'en fut rien.
Karl ouvrit, écarta légèrement le tissus de l'entrée, de la pièce de la tente de Lorelei, avec anticipation de la voir et de pouvoir de nouveau la prendre dans ses bras et l'étreindre, mais également avec crainte et nervosité, d'être pris avec la jeune femme par un des mêmes de sa famille, et qu'elle ne soit en réalité pas seule, comme elle lui avait fait la promesse et s'en était assuré ; quand Karl rentra, c'est à son plus grand soulagement, qu'il la vit seule, et l'attendait, en essayant de cacher, elle-même son anxiété et son anticipation.
Lorelei l'avait attendu en étant confortablement assise, sur un tapis confection par sa propre mère et grand-mère, les jambes repliées soigneusement sous elle ; en attendant Karl et depuis qu'elle l'avait vu, la jeune femme s'était changée pour la nuit à venir, et dans l'attente de ce qui allait se passer durant ce soir-là, Lorelei avait revêtu une simple chemise de nuit ; et en le voyant arrivait, elle s'était redressée et levée, une simple bougie éclairée faiblement la pièce, et la jeune fille l'avait mise à un endroit où personne ne pourrait remarquer la flamme encore allumée et voir à travers l'intérieur de l'attente, ce qui allait se passer.
Lorelei s'avança vers Karl, timidement, celui-ci prit ses mains dans les siennes, et les pressa doucement, avant de les portaient à ses lèvres, et de déposer un seul baiser sur ses jointures. Lorelei s'était rapprochée d'avantage, si bien que son corps était presque pressé contre celui du jeune homme, et murmura à son oreille, qu'ils devraient être très discrets ; Karl, se sentit frémir, d'excitation et d'attente et anticipation, à cause et grâce au souffle chaud et son chuchotement et sa voix, Karl sentit Lorelei se presser d'avantage contre lui, il pouvait sentir son corps, chaque courbe et forme sous le tissus soyeux et léger de sa chemise de nuit, il pouvait également sentir sa poitrine, ses seins contre son propre torse, dur et tendre devant ce qui allait arriver.
Karl passa, ses bras autour de la forme féminine de son amante, et la pressa contre lui, espérant ainsi modelée sa forme avec lui, son corps se moulant maintenant au sien, Lorelei se serra contre lui comme si, en le tenant suffisamment près, elle pouvait fondre leurs corps ensemble et ce pour toujours, ramper, ainsi sur sa peau pour ne plus jamais avoir à le quitter.
La jeune femme avait enroulé ses bras autour du cou, de Karl, et se laissa se perdre en lui, dans son étreinte et ses baisers chaud lui ravageant la bouche, pillant ses lèvres, sa bouche, et l'intérieure avec sa langue. Leurs souffles chauds se mêlant à chacun d'eux. Lorelei, sentit les mains fortes et puissantes de son amant, parcourir son dos, et descendirent avec précaution et douceur, méthodiquement, jusqu'au bas de son dos, et plaça ses paumes contre ses fesses, pour la soutenir, et ainsi la soulever dans ses bras, à ce geste, Lorelei, s'accrocha instinctivement à lui et se laissa porter, il la porta sans effort, Elle enroula instinctivement ses jambes autour de sa taille, alors qu'il déplaça légèrement son poids dans ses bras et ils gémirent tous les deux alors que le mouvement amena son centre chaud en contact plus intime avec son excitation. Ils restèrent immobiles comme cela, pendant un moment, leur respiration lourde et haletante, appréciant la sensation de ses membres resserrant leur prise sur son corps et son souffle venant en halètements chauds et tremblants contre sa peau. Avec ses bras s'enroulant autour de son cou et sa bouche cherchant avidement la sienne, Karl porta rapidement Lorelei sur son lit. La jeune femme avait placé ses doigts agiles parcouraient l'arrière de ses cuisses jusqu'à ce qu'elle enfonce ses ongles dans ses épaules dans un effort désespéré de maîtrise de soi. Les mains de Karl ont continué leur voyage vers le haut, s'arrêtant brièvement à la douce courbe de ses fesses avant de continuer jusqu'à sa taille. Tandis que, Lorelei fit glisser ses mains le long de ses épaules jusqu'à ce qu'elles rencontrent le premier bouton de sa chemise et pendant quelques secondes, elle le fouilla jusqu'à ce qu'elle soit capable de le défaire. Elle pouvait le sentir sourire contre la peau de sa joue et elle attrapa son menton dans une main, forçant sa tête vers la sienne pour qu'elle puisse à la fois l'embrasser et le regarder dans les yeux.
Elle avait réussi à défaire plusieurs boutons de sa chemise, et pressa ses paumes chaudes et se pressa davantage contre la peau de son torse et sa chaire.
Elle attrapa sa bouche dans la sienne, sa langue traçant le contour de ses lèvres avant qu'elles ne se séparent pour elle et elle gémit dans sa bouche alors que ses dents effleuraient doucement sa langue. Ses mains parcouraient son corps, chaque nerf se terminant en feu sous ses doigts. Tandis que Karl, avait trouvé l'ourlet de sa chemise de nuit, et remontait lentement le tissu sur ses jambes et elle poussa un soupir de plaisir alors que ses mains rencontraient la peau nue et soyeuse de ses cuisses, et à travers son col, elle lui permit de défaire le nœud et les ficèles qui maintenaient en place sa chemise de nuit sur son corps, il laissa trainer ses doigts contre sa peau crémeuse et couleur de beurre d'arachide, tandis que son vêtement de nuit descendait, jusqu'en dessous de ses seins, mais néanmoins les protégeant toujours de la nudité.
Lorelei s'était allongée sur son dos, et avait toujours ses mains qui se serraient ainsi que ses ongles sur les épaules de Karl, et relâchant sa prise sur ses épaules mais gardant toujours son regard verrouillé avec le sien, seulement pour lui permettre de lui enlever complètement son seul et unique vêtement. Il l'a poussé sur son corps, ses lèvres perdaient à peine contact avec la peau lisse de son cou et de son visage. Sa chemise de nuit tomba au sol et ses yeux parcoururent son corps, son regard un mélange de révérence et de désir. La bouche de Karl s'assécha quand il réalisa qu'elle ne portait aucun sous-vêtement ; elle lui sourire timidement et avec luxure de son ses cils ; leurs baisers devinrent brulants et remplis de luxure et de passion, non assouvit, soupira alors qu'il prenait possession de sa bouche, la passion croissante droguant son esprit contre toutes les autres pensées. Pour le moment, ses sens étaient enivrés par la sensation de ses bras la tenant, la chaleur de son corps la pénétrant ; leurs langues dansant ensemble, tandis que Karl caressait les fesses à présent nues de Lorelei.
Elle l'aida à se débarrasser de sa chemise et de ses bottes, et l'autorisa à s'allonger sur elle, et il lui fit l'amour lentement et de toute urgence, on ne pouvait entendre rien d'autre dans le silence de la tente, que leurs halètements précipités et leurs soupires de bonheur et de plaisir, alors que Karl rentrait doucement en elle, et son intérieur se serrant d'extase et de plaisir. Elle rencontra chaque poussée avec l'une des siens et toutes deux commencèrent à se perdre dans la sensation de l'autre. Elle était chaude et très serrée, et Karl savait qu'il ne durerait pas longtemps. Il tendit la main entre leurs corps transpirant pour caressait son ventre et rencontrait son nombril, la taquinant Lorelei haletât alors que vague après vague de plaisir la balayait. Karl la frappa de plus en plus fort, lançant sa graine en elle.
Ils s'allongèrent alors tous les deux l'un contre l'autre, Karl l'embrassa doucement sur le front, et se prenant se serrant dans les bras l'un de l'autre, tandis que Lorelei, pressa et enroula ses membres tremblants et les serra l'un contre l'autre, ne voulant pas être séparés, jamais…
Les images et différents souvenirs changèrent de nouveaux et ce à plusieurs reprises, en voyant les deux amants faire l'amour, au bout d'un instant, Maria rompit le silence, une nouvelle fois alors qu'elle continuait de raconter l'histoire, en sautant certains passages, qui n'avait pas du tout la moindre importance, ou simplement trop long "... Comme tu l'as constaté dans cette bulle, Lorelei et Axel se sont accouplés, se donnant, grâce à cette nuit-là, l'un à l'autre pour la toute première fois de leur vie, se promettant, mutuellement à chacun qu'ils s'appartiendraient l'un à l'autre pour l'éternité et ce jusqu'à la mort et se garderaient toujours fidélité. Malheureusement, après cette nuit, les choses ont changées, et ont été radicales pour que Lorelei fasse son choix définitif ; son peuple et notamment les anciens remarquèrent et sentir et eurent des témoignages - personnes ne sait comment d'où cela est venu- des indices, et un instinct, ainsi que des présages que Lorelei avait perdu son innocence et sa virginité, et le sang qui résidait des draps de son lit pouvait en témoigner, et bien sur tous les hommes et les anciens condamnèrent la folie de la jeune fille, et savaient très bien qui avait été son amant, et personne ne pouvait en douter, tout est allé beaucoup trop vite pour cette pauvre enfant.. Mais elle était prête et déjà préparée depuis bien longtemps et des semaines, et avait trouvé le courage, la force et l'énergie qu'elle tirait parti de ses ancêtres et ses origines gitanes, qui lui montrèrent qu'elle était courageuse et ambitieuse et rusée et ingénieuse, et répondit avec force devant témoins, et devant les esprits, leurs ancêtres, les anciens et l'Ancienne, et son père, qu'elle était déterminée à quitter le peuple des Kalderash, et s'il le fallait être reniée pour cela, et bien qu'il en soit ainsi elle le serait, et à quitter la tribu, pour vivre sa propre vie et trouvait le bonheur ailleurs car elle n'était nullement faite pour cette vie..."
Jenny retient son souffle, mais essaya tout de même, de respirer et inspirait calmement et silencieusement, alors que Bunica racontait la suite de l'histoire ; la mère et la grand-mère de Lorelei, avait toujours su et s'étaient doutées et soupçonnées qu'il se passait quelque chose entre la jeune fille et cet homme, et semblait très différente à l'accoutumer, mais ne lui en voulait pas, malgré leur colère contre elle, elles l'aimait pardessus tout, à s'en rendre malade, à en mourir, et à en perdre la raison et à se demander sans cesse si elles pourraient lui pardonner et également savoir si elle serait heureuse et ferait au mieux et au bien sa vie... Elles l'aidèrent à préparer ses maigres bagages et le peu de possession qu'elle possédait et avait...
Lorelei et Karl se marièrent peu de temps après ; mais Lorelei ne faisait plus partie du peuple gitan, elle était reniée, déshonorée, son mariage serait considéré par l'Ancienne et les générations futures comme nul et non avenu et ses enfants qu'elle portera de son mari seront déclarés bâtards.
Malheureusement, le bonheur de la jeune femme fut de courte durée, peu de temps après son mariage à l'âge de dix-huit ans, elle mit au monde son premier enfant, une fille, qui fut prénommée, Tatiana, et deux autres filles, personne ne connaissait les noms de ses autres enfants, et mourut peu de temps après la naissance de sa troisième fille, de manière étrange et soudaine, chacune de ses filles étaient en très bas-âge donc elles ne se rappelèrent pas de leur mère...
« … On a estimé que ses actes justifiaient son bannissement du clan. Et afin de s'assurer qu'elle ne pourrait plus jamais faire ce qu'elle avait fait, les aînés ont arrangé, des représailles, et des sévérités, châtiments, condamnations et corrections. Malheureusement, il y a eu… des complications."
"Complications ?" Murmura d'une petite voix Jenny, ne comprenant plus rien, "Mais comment cela ? ..."
Bunica désigna la surface de la bulle, qui montrait à présent le cadavre de la malheureuse Lorelei, et dont les images étaient à présent totalement et incohérents et donc l'avenir n'avait aucun but. "... Personne ne sait avec certitude, ce ne sont que des rumeurs, et quand bien même ce serait vérifié et véridique, les ancêtres voudront à tout prix cacher ce terrible secret et fermer les yeux, et tout fuir, et cacher... quoi qu'il en soit, personne ne sait, si Lorelei est morte de mort naturelle, de maladie ou d'épuisement comme c'était le cas à l'époque, ou bien que les anciens aient arrangé qu'elle soit tuée, assassinée, et que cela passe inaperçu. Les anciens ont décidé qu'ils ne pouvaient pas nuire à Lorelei par crainte de nuire aux enfants. Donc ils ont demandé à Axel, de leur rendre la plus âgée de ses filles, Tatiana, c'est elle, l'ancêtre et l'ascendance directe à une des familles de notre tribu, d'aujourd'hui des Kalderash, bien sur les enfants ne furent pas jugés pour le crime de leur mère et Tatiana eut restitué sa place dans le clan et n'avait plus de titre de bâtarde, car pour les anciens et l'Ancienne, la chef, l'enfant était innocent dans toute l'affaire. Et bien c'est pour cette raison à présent qu'aujourd'hui, les règles entre gitans de notre communauté et la séparation avec le monde moderne et si stricte ainsi que le fait de se marier et se mélanger avec eux…"
Jenny se plongea dans ses pensées, et réfléchissait intensément à ce que sa grand-mère venait de lui dire, elle lui avait tout dit aucun secret de cette légende, et se posait tout de même néanmoins des questions, non dite et non posées ; qu'était devenu Karl -Axel- et ses deux autres filles ? Comment a-t-il vécu la perte de sa bien-aimée, de son amour, son unique amour ? La femme qu'il aimait tant ? Et pourquoi donc, ces non-dits, pourquoi personne évitait et ne voulait rien dire sur ce tabou ? Pourquoi, tout le monde avait si peur ? Et Nolwenn avait-elle été au courant de cette histoire ? Jenny voudrait tellement que ce tabou, ces superstitions, et faire cesser tout cela, et être la personne qui réussirait à réunir ces deux mondes, différents.
D'après Maria, et ce qu'elle connaissait de la légende et de ce qui était connu et dit, personne ne savait ce qu'était devenue Karl et ses deux autres filles, après la mort de Lorelei et que les Kalderash est récupérée et voulu avoir la charge de Tatiana ; mais il est vrai, que Karl ne s'était jamais remis et relevé de la mort et de la disparition de Lorelei, sa bien-aimée Lorelei, et il avait été littéralement dans tous les sens du terme, et n'importe quel interprétation, fou de chagrin, et de mélancolie et ainsi de dépression ; Karl et Lorelei s'étaient installés dans l'est de la Roumanie, ne souhaitaient aucun des deux quitter le pays, mais après la mort de son épouse, Karl avait décidé de revenir en Suède, mais il ne s'était jamais remarié, ni ne souhaitait tomber à nouveau amoureux de quelqu'un d'autre, et était resté amoureux et avait continué à admirer Lorelei, et ce jusqu'à sa propre mort.
Jenny soupira de mélancolie et de tristesse devant le destin, ce destin tragique qu'avait connu ces deux amants, et elle admirait tout en même temps le courage d'Axel -Karl- pour avoir réussi à survivre à la perte de son âme sœur, mais aussi au chagrin à la dépression et comment il a dû faire face au désespoir et au deuil.
Ensuite après avoir expiré, profondément, tandis qu'elle avait les yeux baissés sur ses genoux, elle redressa sa tête, en levant son regard vers Bunica, qui la regardait avec précaution et intensément, ses yeux, Jenny avait cette étrange impression, d'être brulée par sa profondeur. Finalement Jenny osa s'exprimer et parler, en déclarant, que cette jeune femme, Lorelei, et peut-être bien d'autres, dans l'histoire de leur peuple, ont été bien courageuses d'oser à l'encontre de leur entourage et leur environnement familial, et poursuivre une autre vie en dehors du milieu culturel et religieux dans lequel elles ont grandi, sans pour autant renier ce qu'elles sont, ni leurs croyances ou origines, et accepter deux cultures différentes ; et ainsi que leurs enfants potentiels à venir et à naitre grandissent dans un foyer multiculturel et sans préjugés et animosité. Mais malheureusement, Nolwenn avait été fauchée et coupée en plein bonheur de sa nouvelle vie, et rendue incapable de poursuivre son rêve de mariage et de jeune mère, alors qu'elle avait toujours eu tout pour être heureuse et que jamais personne ne se serait rendu compte que cela pourrait s'arrêter, et maintenant Nolwenn était morte à cause d'une simple maladie, une simple infection et mère, liée à la grossesse.
Jenny ne pourrait jamais être aussi courageuse que sa sœur, cela avait toujours été Nolwenn qui la poussait et l'encourageait à aller de l'avant, à avoir développé une si grande personnalité et un fort caractère, et Jenny était sûre que les gens minimisaient le rôle de Nolwenn dans sa participation à ce qu'elle devienne la même personne qu'elle est aujourd'hui, cela ne c'était pas fait tout seule, comme Jenny détestait tant qu'on lui dise ou qu'on le pense, Jenny n'avait pas forgée son caractère ni sa personnalité toute seule, bien qu'elle avait été forte et courageuse depuis sa naissance et son jeune âge, et sa plus tendre enfance ; Jenny n'était pas aussi courageuse qu'elle en avait l'air, et si Nolwenn était encore vivante, alors peut-être que tout aurait été différent à présent à ce jour, et elle se serait installée comme il avait toujours été convenu et comme elles se l'étaient promis mutuellement, à Los Angeles, mais après sa mort brutale, son décès prématuré Jenny avait perdu le courage, l'envie, le désir et le soutien et la résolution, l'intrépidité, ainsi que l'énergie à quitter sa famille, à se déshonorer aux yeux des siens et peut-être du monde, et avait perdu sa férocité et son tempérament, caractère de guerrière et de combattante.
C'était pour ces raisons, qu'après l'obtention de son diplôme universitaire et l'obtention d'un poste d'enseignante, Jenny était restée, bon gré mal gré, auprès de sa famille, et n'était jamais allée à Los Angels comme elle se l'était toujours promis, pour être en fin libre, se débarrassait de ces chaines et de tous ces protocoles et fardeaux, et règles strictes connus et réglés depuis la nuit des temps, depuis que leur peuple a été fondé... Mais maintenant elle le regrettait avec un grand point et en toutes lettres bien écrit en évidence et en majuscules, elle se trouvait piégée dans un complot, un cercle de vengeance et une prophétie dont elle ne voulait plus faire partie, et dont elle voulait renier l'existence, oublier tout, et ce qu'elle repressentait, elle-même, pour son peuple Jenny ne se sentait pas aussi courageuse, ni héroïques pour avoir un tel courage d'abandonner ce qu'elle était, ni sa famille, ni sa loyauté envers sa bien-aimée Bunica, sa loyauté envers son oncle qu'elle admirait mais surtout craignait, et abandonner sa loyauté envers ses nièces. Elle n'était pas aussi courageuse comme tout le monde le prétendait, elle n'était pas vaillante ni aussi admirable que Nolwenn lui disait souvent, et combien sa sœur l'admirait et l'avait prise comme modèle pour cela.
Jenny ne se sentait plus aussi prête que dans le temps, quand il fut un temps où elle était jeune adulte, ou jeune adolescente, ou elle était dans l'innocence et le déni de cette prison, qu'elle voudrait épouser quelqu'un par amour, et pouvoir aimer une personne qui appartenait à se monde moderne qui la fascinait temps, depuis toujours. Elle voulait tout abandonner et se sentait plus aussi passionnée qu'avant, bien que sans le vouloir et surtout sans le savoir, Jenny gardait son côté passionné et son éternelle jeunesse à jamais et le garderait toujours, et le montrerait de nouveau, encore et encore, bien assez tôt...
Maria cligna des yeux à plusieurs reprises, le regard totalement étonnait et baignait d'incrédulité, de surprise et de choc, et presque de colère et d'indignation " Mon Dieu Janna, penses-tu réellement ce que tu dis ? Où est passé la petite fille, l'adolescente rebelle, et la jeune femme qui voulait changer le monde, qui avait la passion en elle comme un feu ? Qu'est-ce qui t'es arrivait ? Qu'est-t-il arrivait la jeune fille qui avait voulu franchir le seuil de la maison en claquant violement la porte derrière elle ? Tu avais des idées nouvelles, plein la tête, par toi-même et ce sont ces idées qui t'ont conduit là où tu es maintenant ; tu as donné du courage à Nolwenn, c'est toi qui en es la cause et l'œuvre. Tu es plus courageuse que tu en as l'air, et il faut te battre ! Bats-toi contre la mort s'il le faut, ma chérie, tu en est capable." Finit, Maria en souriant lentement à Jenny, et essayant de lui faire passer le minimum possible sans forcer sa déception, et ne voulant surtout pas croire et que Jenny pense que sa grand-mère était furieuse contre elle.
Oui, en effet, c'était Jenny qui avait mis le feu dans la braise, qui avait mis la révolution à l'intérieur du foyer, qui avait fait exploser et mis en action toute cette modernité, et créer et essais de faire changer les mentalités de la famille ; c'était Jenny, qui avait inspiré Maria et qui l'avait rendue plus forte, et digne, qui l'avait poussée à aller de l'avant et à accepter tout ce qui était moderne et en partie accessible aux femmes, alors qu'autrefois, il n'y avait pas toutes ces choses, surtout que Maria n'était au courant de rien et les ignorait. Jenny avait toujours été la rebelle, la courageuse, la travailleuse acharnée et la plus loyale de sa famille, et avait souvent provoqué la colère de son oncle et de certains membres de la famille, mais avait réussi malgré tout à faire évoluer les mentalités et à aider certaines personnes et à inspirer certains cœurs.
C'est Jenny, encore une fois qui a encouragé sa chère sœur, qui l'a fait se sentir forte et moderne, qui la aidé, soutenue et épaulée, sans Jenny, n'aurait jamais eu le courage de faire quoi que ce soit, ou faire n'importe quelle de ces choses, et l'avait poussée en avant, qui l'avait inspiré et prise comme modèle et centre d'intérêt et de l'admiration ; comme voudrait tant le croire Jenny, ce n'était pas Nolwenn la courageuse, la téméraire, la jeune femme qui se mettait à nue, ou avait le courage de faire n'importe quel et remporter des défis, c'était Jenny, et cela depuis le début ; Nolwenn était tombée amoureuse grâce au courage et la passion de sa nouvelle liberté, sans cela, jamais elle n'aurait rencontré Quentin.
Jenny acquiesça, et se sentait confuse, et n'avait pas réalisé de l'ampleur et de certaines influences et des personnes qu'elle avait changé sans même s'en rendre compte, elle avait changé la vie de sa sœur, tout le monde croyait, qu'elle était une jeune femme courageuse, forte et à un caractère hors du commun et possédait un feu en elle, capable de s'embraser et de bruler en essayant de balayer n'importe quelle peur ou doute qui pourrait lui causer du chagrin et des personnes capables de la blesser psychologiquement. Tout le monde pensait que Jenny était une jeune femme douce, tout le monde enfin quelques personnes en dehors du peuple gitan et de sa famille, qui la croyaient arrogante, rebelle, qui n'écoutait rien ni personne et semblait bien différente de leur tradition et presque inadapté à leur mode de vie et famille, à l'exception de Maria qui croyait de toutes ses forces et son âme ainsi que des années passées à vivre que Jenny était une enfant chérie et spéciale.
Jenny demanda à Bunica d'excuser pour ce qu'elle lui avait dit, mais elle ne savait plus que faire, ni quoi penser, car craignant de ne plus être à la hauteur de sa mission, et commençait à se sentir indigne du souvenir de Nolwenn et de son nom, qu'elle aurait aimé que tout soit différent et qu'elle puisse vivre, aujourd'hui dès à présent loin d'ici ; et pensait et sentait que son avenir demeurait et était incertain, et que peut-être n'était plus faite pour vivre aux côtés des Kalderash, car même si elle avait toujours eu un esprit rebelle et avait toujours voulu partir, cette année qui venait de s'écouler et être loin du village, et habitant dorénavant à Sunnydale, cette vie et cela l'avait radicalement changé de façon définitive et à jamais... Et aimerait avoir le pouvoir de revenir en arrière et de changer sa vie, mais cela en revanche n'était pas possible, et elle aimerait également connaitre son avenir du moins une infime partie de ce que Bunica avait le droit de lui dire et de ce que Jenny se doutait que sa grand-mère savait, à Sunnydale, ce qui l'attend avec sa relation d'avec Rupert, ce qu'elle devra faire face et endurer, et son possible futur et si sa relation évoluera avec lui à ses côtés :
"J'aimerais savoir, ce que t'ont dit les esprits sur moi, Bunica ? Ce qu'ils ont bien voulu te communiquer et ce qu'on attend autre de moi, et de mon avenir."
Maria avait regardé avec sympathie et quiétude, en se sentant plus sereine et avec calme tout ce que sa petite-fille avait à dire, bien sûr Jenny se sentait incertaine d'elle-même, et pouvait-on la blâmer ou la juger pour cela, alors qu'elle portait en cet instant et depuis sa naissance un lourd fardeau, le sien, celui de son peuple et peut-être même du monde - de l'humanité - toute entière sur ses épaules ; mais Jenny n'était en partie pas née pour cela, elle était née pour accomplir de grandes choses certes, mais il y avait d'autres signes, d'autres présages dans son avenir, et il y avait les enfants du groupe de Buffy qui étaient liés à elle, mais aussi cet homme, Rupert Giles qui aura une grande importance et une place primordiale et indéfectible et déjà liés ensemble, dans leurs vies à tous deux... Et Maria ne pouvait pas en vouloir à Jenny de se croire impuissante et, non courageuse, et se croyant faible et inférieure aux courages qu'avaient été Lorelei et Nolwenn, et peut-être même beaucoup d'autres. Mais la jeune femme faisait partie de cela, qu'elle en ait consciente ou non, et Jenny aurait dû choisir de fuir cette vie, ce monde, il y a bien longtemps, et ainsi de vivre une autre vie qui se serait révélée bien meilleure et se créer un nouveau bonheur. Au lieu de rester par loyauté et d'une trop grande gentillesse à l'égard de son oncle, Enyos, et du reste de sa fille qui ne la mérite pas ; mais, tout ceci, réalisa, Maria, avait été un mal pour un bien, car, ce que Jenny avait choisi de faire et ses choix passés, l'avait conduit à Sunnydale, et cela l'avait poussé sur son chemin du vrai bonheur, et de son destin et avenir possible, et d'une nouvelle vie - famille-.
Soupirant, Maria, marmonna quelques incantations, tout en prenant dans un sac de toile une poudre gris-blanche comme de la cendre, pour invoquer les esprits, où montrait quelques personnes présentes dans un avenir et éventuellement répondre à certaines interrogations. Et elle jeta ensuite la poudre dans le feu, ce qui l'enflamma un peu plus les flammes, et provoqua une sorte de lumière vive, qui ne dura que quelques secondes ; après ces incantations, Maria poursuivit, des prières et divers sorts, en levant sa paume vers le haut, et faisant à paraitre des lumières blanches comme un filet, un filon de lumière, de sortilège, une lumière commençait à briller, et à faire apparaitre, une bulle, ou une sorte de boule, comme du cristal qui se déplaça doucement vers le feu, au-dessus des flammes.
Il y eu alors, des images, se mélangeant alors à celles du passé de Jenny, certains faits de son enfance, comme lorsqu'elle avait rencontré Spike, et d'autres souvenirs ses jeux d'enfants, Nolwenn, les sourires et rires de Jenny, son amour pour sa chère Bunica et ses bien-aimés parents... Et il eut des images floues, que Jenny ne put distinguer de son avenir, à cause de son emplacement, et étant que certaines images étaient destinées à elle et c'était son propre avenir elle n'était autorisée à rien voir, mais du côté des flammes où se trouvait Maria, elle put voir et assister à certains faits et actes de l'avenir proches de Jenny et de l'année scolaire à venir : les images étaient floues et changeaient sans cesse, car des faits pouvaient être changés et actions être défaits selon les choix et les chemins que Jenny déciderait de suivre, mais d'autre en revanche étaient déjà tout tracés...
Maria commença à parler, en expliquant à Jenny qu'elle n'allait pas lui parler tout de suite de sa relation avec Rupert Giles, mais évoquait certaines personnes qui pourraient faire partie de son futurs, et d'autres personnes indésirables, et voir peut-être dangereuses, et elle devra faire très attention et surtout, Jenny devait se rappelait les mots et paroles de la prophétie et même qu'elle avait explicitement abordée dans une de ses lettres, des mots d'amour, d'une loyauté profondément sincère et réelle qui puisse vaincre n'importe quels ténèbres et forces de l'ombre, l'amour véritable et sincère appartenait à de la miséricorde, et possédant une telle force que tout semblerait possible et indestructible et faisant barrière à toute magie noire, et aucun monstre ou démon pouvant toucher sans se blesser ; et que Jenny réussisse à protéger tout ce qu'elle aime grâce à son amour pour autrui et sa bienveillance, pouvant vaincre tout mal et délivrer de toutes ténèbres et flagellations infligées. C'est cela, le pouvoir que Jenny possédait sans le savoir et vaincre Angélus à jamais : l'amour, aussi simple et un pouvoir divin complètement puissant et pure sans véritable magie à proprement parlé, mais de la magie venant du cœur, et pouvant abattre la malédiction et que la vengeance ne gouverne plus et n'assombrisse plus les générations et les familles du peuple Kalderash... Tout cela Maia l'avait compris au fils du temps, et des années qui filèrent et passèrent durant l'enfance de Jenny.
"Te souviens-tu que lorsque tu étais enfant, tu as fait la rencontre de ce vampire nommé Spike ?" Maria marqua une pause pour savoir et s'assurait qu'elle avait toute l'attention de sa petite fille, Jenny la regarda très sérieuse écoutant attentivement ce que Bunica avait à dire, et acquiesça qu'elle s'en souvenait très bien, malgré que cela s'était passé il y a des années maintenant, le souvenir semblait tellement loin mais pourtant si proche tout à la fois ; Jenny se souvient combien il avait été gentil avec elle mais au début menaçant et diabolique, et pouvait s'apercevoir à présent maintenant qu'elle était plus âgée et plus mature et adulte que cela semblait si étrange qu'un vampire sans âme soit si gentil et paraissait si complexe, et l'avait épargnée alors qu'elle était sans défense à l'époque, et elle avait vraiment été profondément touchée par cette rencontre, et quelque part au fond de son cœur, Jenny aimerait le revoir, pour avoir eu la chance, une seconde chance de se lier avec lui et développer une potentielle amitié, et ce malgré qu'elle était pleinement conscience de cette folie de pensée. "...Je te parle de lui et t'en évoque, et te rappelle ces souvenirs, car d'après les esprits, et les pouvoirs astrologiques et les prédilections, disent et semblent quelques peu flous à ce sujet d'ailleurs, - excuse-moi mais tout ce que je vais te dire sera flou et confus, car, soit on ne me donne pas de détails, soit je n'aurais le droit de ne rien de te dire de plus- tu auras la possibilité de le revoir, et de l'avoir sur ton chemin durant l'année à venir et peut-être dans le future plus lointain, on ne sait pas vraiment sur ce sujet, mais il semblerait que vous serez proches et une certaine affinité, car tu le comprend, grâce à tes qualités extrêmement humaines et ta compassion naturelle, et il n'est pas également un vampire comme les autres... Vous allez vous soutenir de différentes manières et parfois de façons imprévisibles, imprévues et ce parfois malgré vous. Mais il va te sauver à plusieurs reprises... C'est là je ne peux rien te dire de plus."
Jenny ne comprenait plus rien, qu'est-ce que cela allait avoir avec son avenir immédiat ? Sa mission de la surveillance d'Angel ? De sa vie à Sunnydale ? Et surtout son avenir et sa relation avec Rupert ? Maria lui répondit, qu'il lui fallait attendre un peu, pour l'instant elle n'était au début de ses explications et de l'histoire, mais que Spike aurait inévitablement un lien avec tout ceci et avec elle. Et donc d'être patiente et attendre qu'elle continue. Jenny prit une profonde inspiration et expira doucement et lentement, et déclara presque silencieusement « …. Mais comment peux-tu savoir qu'il ne me tuera pas s'il me voit ? Comment peut-on être sûr de ces certitudes, ou me mettre en danger ? Peut-être qu'il m'a épargnée autrefois car j'étais petite, comme tu l'as dit je n'étais qu'une enfant."
Maria la regarda, sans ciller, en gardant son dos bien droit et réfléchit abondamment, ardemment intérieurement et sérieusement en déclarant doucement et avec lenteur pour s'assurer et être sûre que Jenny comprenne "S'il avait voulu te tuer quand tu n'avais que sept ans il l'aurait fait, tu n'étais qu'une enfant, donc tu étais vulnérable et une proie facile, il aurait pu en profiter, mais ne l'a pas fait. Et s'il te voyait aujourd'hui, jamais il ne te ferait du mal, il ne pourrait pas et ne le souhaiterait jamais te blesser."
Spike n'était pas un vampire comme les autres, et il est complètement et profondément atypique dans le sens où, comme il est un vampire, et donc non dépourvu d'âme, il montre plus de sentiments humains qu'aucun autre vampire de la série. Il a d'ailleurs une personnalité assez semblable, en dehors bien entendu de sa nature démoniaque, qu'il ait ou non une âme. Et il montre sens cesse, deux facettes de personnalités différents, celle d'une personne démoniaque et tyrannique et celle d'une personne capable profondément humaine et gentille, et sensible doux et tendre, et capable de sentiments, comme colère de frustration ou angoisse, jalousie, de la haine et crainte pour ses ennemis, et de l'antipathie, et capable de se questionner entre le bien et le mal, malgré que son côté démon son côté maléfique ressort presque toujours vainqueur, l'amour maternel et romantique, et de l'empathie, et il est aussi le symbolisme de l'antihéros ; Spike est une anomalie chez les vampires. Il est plus humain que la plupart d'entre eux. Bien sûr, il a commis durant sa vie de vampire de nombreuses atrocités mais, à la différence d'Angelus par exemple, il ne commet pas ces actes dans le but de répandre le mal mais par attrait pour la violence. D'ailleurs, si Spike rejoint la lutte parfois contre le mal, c'est pour aider les personnes qu'il aime ou qui lui tiens à cœur qui sont dans le soin ou la détresse, et trouve cela inadmissible et parfois atroce, comme durant la seconde guerre mondiale, où il aida deux jeunes adolescentes d'origine juives et leur apporte de la nourriture dans un camp de concentration Nazi. C'est aussi d'abord pour avoir l'occasion de se battre, mais après son côté doux le rattrape et le fait de bonne grâce et avec un véritable intérêt ; cet attrait pour la violence est l'une de ses principales caractéristiques. Ne voulant pas se rappeler ou avoir des souvenirs qui le hante ou le rattrape de sa vie d'humain avant sa transformation, le personnage de Spike qu'il s'est créé, rebelle et violent, est « une surcompensation masculine en réaction aux rejets qu'il a subis étant enfant puis jeune adulte" et sa seule consolation était sa mère qu'il adorait et aimait profondément, même après qu'il eut été engendré par Drusilla, il a continué à l'aimer profondément comme s'il était fait d'une âme.
À l'inverse de cette violence marquée, Spike sait faire preuve de beaucoup d'amour, d'abord pour sa mère, Drusilla et peut-être d'autre, et également qu'il aimera dans le futur, sa dévotion envers les femmes qu'il aiment étant sans doute son principal trait de caractère, l'un des principaux, Cet amour, qui peut tourner jusqu'à l'obsession, est unique parmi les représentants de son espèce, et essaye d'être une lutte contre son côté démoniaque. Il pourrait démontrer également un sens aigu de la loyauté. Et il est également un fin psychologue qui sait parfaitement analyser les relations humaines. Ainsi il peut mieux les utiliser et en tirait parti, contre les autres parfois, ou essayait de les comprendre mieux.
Ailleurs selon les esprits, d'après ce que Maria pu voir et analyser, c'est que, la rédemption sera et est au cœur du parcours de Spike en tant que personnage. Son évolution suit celle de ses rapports avec d'autres humains, Jenny et un jour Buffy et la ligne de démarcation entre le monstre et l'être humain qu'il y a en lui devient de plus en plus difficile à décerner. Mais, il demeurera par moment et instant un être maléfique incapable de reconnaître la signification de l'amour.
Jenny réfléchit pleinement et profondément, à tout ce que venait de dire Bunica, et à cette analyse approfondit et méticuleuse de Spike, tout ce qu'elle lui avait dit sur cet personnalité, cet âme qui n'était pas vraiment là, et qui pouvait être sentit, et que le fait qu'il soit différent des autres vampires, Jenny le pensait, et cela lui donnait un côté lumineux et un brin d'espoir du côté sombre, que si elle le revoit comme le prédisait les esprits, Jenny ne perdrait pas cet amitié avec ce vampire ; du moins elle l'espérait et qu'il se souvienne d'elle, de la petite fille qu'il avait autrefois sauvée, et qui s'était peu à peu commencé à se lier.
Spike avait été connu, dans son temps, et dans sa profonde réputation maléfique et qu'il voulait désespérément entretenir, et devenir maître de lui-même, et ainsi prouver sa propre valeur et personnalité démoniaque, et se prouvait ainsi qu'aux autres membres de son espèce, qu'il était un véritable vampire, maître de lui-même, un maître-vampire. Il adopte alors un comportement de rebelle impulsif qui adore se battre et le frisson que procure le danger, ce qui lui vaut d'avoir des relations tendues avec Angelus, qui lui reproche de risquer de les faire tous tuer à cause de cela. Quand Angelus lui apprend l'existence de la Tueuse il devient obsédé par l'idée de la combattre ; et prouvait qu'il peut anéantir un humain, et ce le plus fort de tous, et cela était une véritable, drogue, voir presque une obsession cette envie de tuer ; et d'ailleurs, Spike assassinera sa première Tueuse en 1900, celle-ci se prénommait Xin Rong , en chine, après lors son obsession son désir malsain et possessif et maladif, et à partir de cette date, Spike se mit à traquer et à se battre sans relâche et dans le monde, chaque génération de Tueuse ; jusqu'à réussir à finalement tueuse une deuxième, prénommée Nikki Wood en 1974, cela veut dire deux années avant sa rencontre avec la petite Jenny, à New York dans une rame de métro, et pris, vola son manteau de cuir qu'il a pris comme trophée sur le corps de la jeune femme, elle avait vingt-deux ans, l'une des plus vieilles tueuses à ce jour à avoir survécu à de multiples épreuves et combats, et avoir vécu si longtemps.
William - Spike- de son vivant est né dans les années 1850, aux alentours de 1853, en Angleterre et plus précisément dans la belle ville de Londres, grande et majestueuse mais aussi vieille et ancienne, durant l'époque Victorienne. William était décrit par sa mère, Anne Pratt comme un petit garçon sensible, timide et rêveur, mais à une très bonne constitution physique, et il ne tombait jamais malade, et une constitution de fer, et un organisme solide et fort ; William était d'une grande intelligence, un esprit très vif et brillant, mais malheureuse à cause d'une très grande timidité maladive, il n'a jamais su s'imposer et faire valoir ses capacités intellectuelles ni faire face à de gentlemans de la société aristocratique. Il a été élevé par sa mère, et une nourrice puis une gouvernante, dans une grande demeure, du centre de la capitale, sous la vie et le mode d'aristocratie.
Son père étant mort, quand William était très jeune, le petit garçon est devenu très proche de sa mère, et également, elle-même proche de son fils bien-aimé, qu'elle chérissait tant, avec beaucoup d'amour, et lui chantait depuis qu'il était au berceau, une douce mélodie, une comptine, Early One Morning.
En grandissant, William, développât un gout extraordinaire et une passion dévorante pour l'art et la littérature, et également la poésie, et il avait d'ailleurs pris l'initiative durant ses études universitaires à écrire différents essais, pour lui-même, et certaines poésies, il était d'ailleurs, selon sa mère un grand écrivain, mais malheureusement nullement reconnu par ses paires, ou personne d'autre détestait son style si poétique, mélancolique, et majestueux, d'une qualité très rare pour un écrivain, d'ailleurs bons nombres de bourgeois et d'aristocrates le méprisaient pour son écriture. En 1880, alors qu'il est un jeune homme de faible caractère, il mène à Londres une vie d'aristocrate et est connu sous le sobriquet de William le sanguinaire, qui lui a été donné par ses pairs en raison de la médiocrité de sa poésie (censée faire saigner des oreilles), et était qualifié et surnommé de poète raté. Régulièrement humilié dans les salons mondains, il trouve son seul réconfort dans la compagnie de sa mère bien-aimée qui souffre de tuberculose et a l'habitude de lui chanter sa comptine préférée, cette douce mélodie qui le calmait et oubliait sa misère et le faisait se sentir aimé et chéri, et une bulle et un cocon de protection se formait alors autour d'eux. Même Cécile, la femme qu'il aime, enfin qu'il croyait aimer mais n'était qu'en réalité une courtoisie, il voulait simplement la courtisait et flirt avec elle, et pour qui il écrit ses poèmes, le méprise et rejette ses avances. Alors qu'il erre dans les rues à la suite de ce rejet, il est remarqué par Drusilla qui, désireuse d'avoir un compagnon, le transforme en vampire, et c'est à ce moment que sa vie humaine basculât, et il devient un vampire...
William devenu un vampire, et décidera dans un avenir proche de se rebaptiser Spike, avait toujours cette capacité d'aimer, et de ce fait, la seule personne qu'il ait véritablement aimée de son vivant, l'amour vrai d'un fils pour sa mère, un amour pur doux et en aucun cas malsain, continua à l'aimer malgré le fait qu'il est été engendré et avait perdu son âme ; voulut tout faire pour protéger sa mère, Anne, et qu'ils restent ensemble à jamais, et ce pour l'éternité, et voulant ainsi sauver sa mère, qui se mourrait, et était affaiblie et mourante de la tuberculose, et savant qu'il avait le pouvoir et la possibilité et sachant qu'il existait un moyen pour sauver Anne et que plus jamais elle ne souffre, évitant qu'elle ne meure de sa maladie et pour passer l'éternité avec elle, il prit une décision. Spike décida pour ce faire, de transformer sa mère, ne réalisant pas et étant inconscient de son geste et ce que cela allait provoquer et ne sachant pas non plus la porter de l'acte et que ça irait aussi loin et de sa gravité et du malheur entrainait, en l'apaisant et lui promettant qu'elle ne souffrirait pas, que le choc ou la morsure ne durerait que quelques secondes pas plus, et la mordre sans douleur... Une fois transformée, Anne était métamorphosée et plus belle que jamais, elle n'a ressenti aucune douleur, finit la souffrance, la peur de la mort, et la maladie l'affaiblissant, et les douleurs et peur humain ainsi que sentiment vivant, humains, William, Spike était incroyablement captivé et hypnotisé de bonheur et de joie de revoir sa mère, telle qu'il avait connu, durant sa petite enfance et le début de l'enfance, éblouissante, belle, pleine de vie et merveilleuse ; mais ce qu'il ne savait pas, ce qu'il n'avait pas prévu, ni su, ni préparé, c'est que la transformation d'Anne, sa mort humaine, elle n'était tout simplement plus et jamais sa véritable maman, car sa mère étant décédée et son âme au paradis, c'était tout simplement un démon habitant et gouvernant son corps, ce n'était plus sa mère qui lui parlait et lui disait ces choses atroces... La mère de William n'a plus aucun amour pour son fils, insinuant même qu'il désirerait des relations incestueuses entre eux. Voulant plonger ses crocs en elle, voulant la posséder, et revenir dans son ventre, et le démon déclara qu'elle avait toujours se débarrasser de cette chose dans son ventre, le jour où elle a finalement pu l'expulser hors d'elle, et se libérer de lui. Spike était horrifié, attristé par tout ceci, et choqué, et comprenait ce qu'il avait fait, quel démon était sa mère, du moins pas, car il savait qu'elle l'avait toujours aimé et que ce n'était pas elle qui parlait en cet instant, alors pour son bien, pour que son corps, son âme soit en paix, et détruire ce vampire qui tuerait et deviendrait probablement un fléau, et par amour pour sa regrettée sa défunte mère, atterré de voir sa mère dans cet état, il décida non sans difficulté et véritablement pleins de remords, de la tuer en lui plantant un pieu dans le cœur… Anne Pratt avait été la première personne qu'il avait véritablement aimée de son vivant en tant que vampire, choses rares pour un être de cette espèce, voire impossible.
La deuxième personne que Spike eu aimée véritablement, et qui ne fut pas un vampire, Maria ne parla nullement de l'amour de Spike pour Drusilla qui fut l'unique vampire qu'il eut aimé car cela n'avait pas vraiment d'importance dans ce contexte et cette partie de l'histoire, fut dix-huit ans après qu'il eut été engendré, au bout de dix-huit années, en 1898, en Roumanie, Spike tomba amoureux pour la première fois et aima, depuis qu'il fut vampire, depuis qu'il eut dû tuer sa mère, il s'agissait d'une jeune gitane, une bohémienne - par contre, Maria ne divulgua en aucun cas le prénom de cette jeune femme à Jenny ni le peuple dans lequel elle était issue, car elle n'en était pas autorisée par les grands esprits et oracles mais aussi car Jenny n'était pas prête à l'entendre et que surtout elle devra attendre et le découvrir par elle-même - ; la jeune fille était âgée de dix-huit ans quand elle rencontra Spike, et peu à peu dès leur première rencontre, et première conversation qui dura plus d'une heure, Spike ne voulait nullement lui faire du mal ou la blesser ou encore moins la tuer, et c'était la première fois depuis sa transformation et depuis qu'il ait mordu sa mère que Spike ne souhaitait se nourrir d'un être humain, qu'il ne voulait pas tuer ; son amour pour la jeune femme, il en fut étonné, abasourdi, et stupéfait, heureux et reconnaissance que quelqu'un d'aussi doux, gentil et généreux s'intéresse à lui et s'en souciait, car la jeune bohémienne tombait amoureuse de Spike et savait en toute conscience et sans crainte que c'était un vampire ; durant trois mois et-demie, presque quatre mois complet, ils vécurent leur amour, comme un amour de vacances, un court amour, un amour de seulement quelques semaines, qui durerait que quelque temps, car Spike savait qu'il devra reprendre son voyage avec Drusilla, Darla et Angélus un jour, alors ces moments passés entre eux furent inoubliable pour le jeune homme. Mais ce serait un amour inoubliable que Spike n'oublierait jamais et que de toute façon il ne pourrait pas l'oublier, il se le refuserait et ne se le permettrait pas, et promis à la jeune femme, qu'un jour, il la retrouverait et se reverrait un jour, et se donnait à elle complètement, et lui donna un objet pour ne pas qu'elle oublie sa promesse qui lui fait et qu'elle n'oublie pas le jeune homme... Mais hélas, un jour, Spike appris que la jeune fille qu'il aimait tant était morte, assassinée de la pire des manières, et morte brutalement, sans aucune pitié, ni même le temps de refaire ses adieux, et dans la plus grande crainte, et horreur...
La troisième et également quatrième personne que Spike eut aimé du moins appris à apprécier, et s'en souciait et eut une lueur de compassion et d'humanité, fut durant la seconde guerre mondiale, Spike était à la pourchasse et à la rechercher et traquer la tueuse qui avait été choisie durant les années de guerre, la jeune fille était d'origine Polonaise et Allemande ; et il profitait de ces moments de troubles et de guerre, malgré que Spike restait toujours fidèle à sa nation et également restait attaché à son pays d'origine, l'Angleterre, et fait preuve à l'occasion de patriotisme où entre 1940 et 1943 il brule des documents secrets des nazis, tenus confidentiels qu'il a réussi à extorquer à la Gestapo, pour rester dans sa loyauté envers les services secrets Britanniques, il les avaient volés en espérant trouver des documents sur l'arrestation des juifs, des tziganes, homosexuels, communistes, résistants et autres comme opposants politiques... Et d'autres documents sur les attaques de sous-marins alliés et des papiers, des informations sur la forteresses-Europe gardés et surveillés et chargés de la défense par Rommel, pour émécher le débarquements des alliés, Américains et Anglais, tout en brulant les papiers tout en chantant God Save the King ; et malheureusement, durant la même année, en 1943, il est capturé par les nazis, qui veulent faire des expériences sur les vampires, et amené à bord d'un sous-marin mais est délivré par Angel. Malgré tout, ce que les Nazis lui on fait subir, il pourchassa, les juifs également, en ayant cette même obsession qu'Angélus avait eu envers les gitans, les massacrants, les pourchassant et bons nombres de cadavres et de sang de ce peuple était sur ses mains, en se nourrissant de leur sang, et c'était également pour cette raison, que Spike rencontra la Tueuse, qui protégeait des juifs, qui étaient massacrés par certains vampires et des démons et menait sa guerre en dépendamment d'Hitler, des Nazies et toute personne civile qui était hors du conseil des observateurs. Et un jour, Spike devient surveillant d'un camp de concentration Allemand, durant l'année entre 1944-1945, à Bergen-Belsen ; et c'est de là, qu'il fit la rencontre de deux adolescentes, d'origine Juifs, qui avaient été déportés d'Amsterdam en Allemagne.
Malgré, qu'elles étaient de nationalité Néerlandaises, elle parler très bien Allemand, ayant cette deuxième langue maternelle, mas par moment, elles balbutiée et faisaient des fautes en parlant, heureuses pour lui, Spike parler Allemand, et non Néerlandais, et pu les comprendre ; ces deux filles âgées de deux ans de différences ce prénommées respectivement, Esther et Rachel ; leur famille avait été déporter avec elles, et leur père venait de mourir, ainsi que leur jeune sœur quatre mois auparavant ; durant l'hiver, de la fin de l'année 1944 et l'hiver 1945, le camp fut ravager par le typhus, les deux jeunes filles tombèrent malades, et étaient très peu nourries, et s'affaiblisses de jours en jours, les camps Nazies étaient connus pour leur massacre en masse, leur exterminations, la solution finale menée contre les juifs, les maladies, le travailles forces, que les soldats faisaient travailleurs leurs prisonniers jusqu'à l'épuisement et puis la mort, et aussi il ne faut pas oublier les chambre à Gaz ; mais dans ce camp s'il n'y avait pas de chambre de la mort...
Esther était mourante et Rachel très affaiblie, avant qu'elle ne tombe malade, Spike venait les voir, en secret, où Rachel était convoquée auprès de lui, à la nuit tombée, mais devait faire attention au projecteur qui surveillait et illuminait le camp, et passait parfois sur elle, et devait rapidement se cacher ou se recroqueviller, près d'un grillage de fils barbelés en sentant qu'il venait sur elle, dans un baraquement vides de prisonniers ou de SS, mais remplit des valises confisqués à l'arrivée des prisonniers dans le camp à leurs sorties des wagons à bestiaux ; Spike avait appris à connaitre Rachel, et ressent une étrange sympathie pour elle, qu'il n'avait ressenti pour personne depuis fort longtemps, et appris également à connaitre Esther, et le même sentiment d'affection apparait et ressentit pour elle, durant la journée, quand le ciel était très nuageux, et le soleil n'apparait pas, d'ailleurs le soleil n'apparaissait quasiment jamais, presque pas, dans ce camp et dans bien d'autres, alors que la mort était présente partout, la maladie était la et planait dangereuse, la boue, le froid, l'air glacial et mordant, presque paralysant, était intolérable et une véritable torture, les yeux vides des prisonniers, vides de toute vie, de disparition de toute espérance de survie et de survivre, et d'être secourue et sauvée...
Rachel parlait à Spike qu'elle voudrait garder espoir pour sa sœur, mais était inquiète et perdit peu à peu l'espoir qu'elle tentait de sauvegarder, car, Esther était très malade, et ne se levait presque plus de sa couchette, mais plus de tout, délirante, gémissante, se plaignant inlassablement du froid glaçant, qui s'infiltrait à travers la porte, et la regardait peu à peu mourir, et parfois murmurer marmonnant dans son sommeil appelant à l'aide et criant silencieusement, dans un état de délire et de détresse ; Rachel priait pour que sa sœur survive, car si elle mourrait, Rachel déclara avec un regard tristesse, vide de vie et d'espoir et de bonheur, et d'un ton presque résolut et ayant pris sa décision voilà pas-mal de temps maintenant, et on pouvait supposer et être presque certaine qu'elle avait réfléchit et ayant pris une décision et dont personne ne pourrait lui faire changer d'avis, et sellant son destin pour toujours. Ce qu'il vit, dans les yeux de l'adolescente brisa le cœur de Spike, et le plongeât dans une profonde détresse et de tristesse, voulant la sauvée et l'aider à fuir le camp, mais il pouvait sentir qu'il n'y aurait plus d'espoir de sauvetage ni de rétablissement, à présent pour Esther et Rachel, qui étaient toutes deux très malades. Et savait que Rachel se laisserait mourir, si Esther disparaitrait ; car elle savait et pouvait croire qu'elle était la seule survivante de sa famille, donc elle ne pourrait plus lutter, malgré que sa petite sœur, sa plus jeune sœur était cachée dans une famille de résistant en Hollande.
Rachel parla à Spike, on désire et l'espoir d'avoir à manger, et de cette façon elle oserait croire qu'elle reviendrait à la maison, et pouvait rêver de nourriture, d'un simple morceau de pain, un bol de soupe, un gâteau au chocolat fondu, du thé, et des friandises, et avoir la possibilité de manger un jour, une nouvelle et dernière fois dans un grand restaurant de qualité... Spike avait donc prit la décision, toucher par ses paroles et les aveux de Rachel et voulant lui faire plaisir et lui donner un semblant de bonheur et d'espoir, à ses paroles, d'apporter en cachette, des morceaux de pains, à Esther et Rachel, un jour, il leur apporta un véritable trésor et une denrée rare, une pomme rouge, particulièrement juteuse et apportant bons nombres de vitamines, chacune, les deux adolescentes, le remerciaient chaleureusement et une grande et sincère gratitude ; et un autre jour, il leur apportait une pâtisserie, une madeleine, elles savourèrent avec beaucoup de soin, en prenant le temps de prendre des petits morceau dans leurs bouches et les marchant lentement, le gout remplit leurs palais et leurs langues et papilles gustatives, remplissent leurs sens, et profitant du peu de nourriture qui leur était donné, et sachant à présent comment la nourriture, le simple morceau de pain, de viandes ou légumes étaient précieux et un cadeau bénis et inchangeable, et il fallait profiter de chaque repas et ne rien gaspiller, rien gâcher...
Quand Rachel, devait revenir dans son baraquement, Spike là reconduisit, l'escortant jusqu'à sa cabane, en l'attrapant par le bras, et faisant croire à l'autre soldats, qu'il raccompagnait cette jeune, ou qu'elle était avec lui, ou était chargé de la punir pour s'être faufilé au milieu de la nuit, c'était du moins ce qu'il raconterait s'ils étaient attrapés ensemble...
Un jour, malheureusement, fin Février et début Mars, Esther mourut de maladie, quelques jours plus tard ce fut autour de Rachel ; cette dernière a, au décès de sa sœur, qui s'était éteinte dans ses bras, la maladie de Rachel s'aggrava et empira, et était tombée d'un profond sommeil ou de somnolence, et de quasis mort, la jeune fille était entre la vie et la mort, une de ses camarades de baraquements qui s'était liée avec les deux jeunes filles, pouvait voir et observer impuissante la mort de son amie, et savait que c'était presque la fin et qu'il n'y avait plus d'espoir, et elle pouvait voir qu'elle ne voulait pas se battre, et délirer, et avait une forte fièvre ; Spike venait la voir en secret, et regardait, également, Rachel disparaitre, délirant et murmurant, désespérément sa famille, ses sœurs, et ses parents. Le corps d'Esther était toujours étendu aux côtés de la mourante, personne n'avait pris encore la peine, de le retirer, et de l'apporter dans une fausse.
Un jour, quelques temps après la mort d'Esther, se fut autour de Rachel de mourir, la camarade de leurs couchettes avait été témoins de sa mort, et d'ailleurs Spike lui avait ordonné de veiller sur elle, jusqu'à la fin ; quand Spike revient dans le baraquement, il apprit que Rachel était partie, et les corps des deux adolescentes furent jetés dans une fausse commune, par des soldats SS. Jamais Spike ne fut autant attrister par le décès, la mort et l'injustices de ce qui c'était passer, et de la haine et le drame de ces camps...
Et la cinquième personne dont Spike soit tombé amoureux profondément et véritablement, le fait est et qu'en réalité se fut la deuxième femme des années et presque un demi-siècle après la jeune Gitane et la première fois depuis sa mort ; qu'il tomba amoureux fut dans les années 1950 ; Spike fit un voyage avec Drusilla dans l'Europe d'après-guerre, alors que quelques années auparavant, depuis la fin de la guerre en 1945, jusqu'au début des années 50, Spike s'était réfugié en Amérique avec Drusilla, qu'il prénommait sa déesse Noire, et tous deux commirent d'innombrable meurtres et massacres et ils furent qualifiées de fléaux des Amériques au même titre que les meurtres des fléaux de l'Europe, la décision de Spike de revenir en Europe était purement personnelle et également pour revenir à ses racines et ses origines Européenne et Britannique de l'époque où il n'était encore qu'humain et également un jeune vampire nouvellement né, et il voulait surtout repartir dans une nouvelle vie et aventure avec Drusilla, en voyageant et découvrant et tournant une nouvelle page de leur amour et histoire ; mais il y avait une autre raison beaucoup plus personnelle pour Spike de revenir sur le vieux continent et obsessionnelle et malsaine, celle de la poursuite d'une nouvelle et toute jeune tueuse, dont il à appris qu'elle venait d'être élue et appelait, entre 1952 et 1953, alors qu'elle avait entre quinze et seize ans, enfin plus précisément presque plus proche de ses seize ans.
Et cette jeune tueuse se prénommée, Elizabeth, elle était d'origine Allemande, ses parents étaient Allemand, mais avait vécu sa plus grande partie de son enfance en Angleterre, ses parents avaient emménagés en Angleterre quelques mois avant le début de la guerre ; Elizabeth, savait donc parler deux langues, l'Anglais et Allemand, qu'elle considérait comme ses deux langues maternelles, depuis qu'elle avait six ans, Elizabeth savait qu'elle n'était pas comme les autres enfants et aurait sans doute et très probablement un destin hors du commun, et l'élue pour accomplir de grandes choses, car dès son plus jeune âge elle reçut un tuteur, qui lui appris à Elizabeth et ses parents, qu'elle serait sans doute appelés à devenir une tueuse de vampires, et donc dès cet instant, elle était devenue une tueuse potentielle ; donc dès ses six ans, elle fut préparée à ce potentiel jour, et l'homme qui était devenu un tuteur et conseil de sa famille, était devenu, bien sûr, l'observateur d'Elizabeth. Il s'occupa de son éducation du monde paranormal, surnaturel, et spirituel, ainsi que des différents univers des dimensions démoniaques, et l'histoire dans des livres écrits et publiés par des observateurs du conseil, et approuvés pour leur méthodes et point de vue du monde historique observé par des tueuses et des démons et vampires qui ont participé à l'histoire ; l'observateur d'Elizabeth lui appris également et lui fit découvrir le monde de la magie et de sorcellerie, et il lui faisait participer à des activités sportives, telle que l'escrime, l'art du combat, de la boxe, des arts martiaux, et quelques prises de judos... Et bien sûr, Elizabeth étudiait entre autres également les autres matières et études réserves aux enfants et jeunes de son âge telles que les mathématiques, les sciences, les langues, et la géographie...
Alors qu'Elizabeth, eu seize ans, elle devient alors, officiellement la nouvelle tueuse de vampires, choisit de sa génération, comme, elle le redoutait et s'y attendait, maintenant depuis de nombreuses années ; elle continuât entre autres à apprendre de son observateur, et ce dernier veillait à sa sécurité à ses entrainements et formations intensives, à la guider dans les différentes recherches de démons ou vampires qu'elle devait avoir à combattre et à anéantir... Mais un jour, l'ors d'un combat dans le Yorkshire, en Angleterre, et d'une attaque de vampires ; la jeune fille rencontra, quelques mois après son appel, Spike, le vampire le plus redoutable et sanguinaire, dangereux de tous les temps, après Angélus bien sûr... A partir de ce jour, Elizabeth et Spike, se retrouvèrent régulièrement sur le chemin de chacun et de l'autre, pour se battre et tenter de blesser ou tuer l'autre, par tous les moyens ; Spike avait décidé depuis le jour où il avait rencontré cette jeune tueuse, qu'il la traquerait sans relâche, jusqu'à son dernier souffle, comme il l'avait fait pour les autres...
Mais, un jour, un jour arriva au bout de quelques semaines de combats, de batailles, entre les deux ennemies, car pour Spike et Drusilla, comme elle le disait et analysée si ben la tueuse était une menace vivante et viscérale pour leur espèce et le monde des ténèbres, capable de mettre fin à leur vies, à leur civilisations et leurs mondes, que la tueuse était une menace, un danger, une ennemie mortelle et générationnelle, et naturelle du vampires, des monstres et démons, et qu'il fallait en finir et toute les tuées, les tuer en séries et en masses.
Mais, ce que Spike ne savait pas ce qu'il n'avait pas prévu, ni crut que cela se produirait, pourrait se produire, et se reproduire une seconde fois, alors que cela faisait presque un quart-de-siècle qu'il était un vampire, un vampire sans âme, incapable d'amour, il refusait et nier qu'il pouvait être capable de ces faiblesses, de ces sentiments humains, des émotions qui tordent le corps, qui retournent l'estomac, et palpitaient l'intérieur tout entier du corps, et torturer son subconscient et une souffrance aveuglante et dévastatrice, et être tourmenter à jamais et pour toujours, il ne savait pas que ces sentiments reviendraient et pourtant cela arrivera peu à peu au fils du temps, à chaque fois qu'ils rentraient en collision, à chaque contact et rencontre, cela n'était pas arrivé subitement... Mais bien avant que Spike, ne le sache et ne s'en aperçoive lui-même de ses sentiments, et bien avant sa rencontre avec Elizabeth et avant leur retour d'Amérique en Europe, Drusilla avait eu une prémonition, une vision, et des nombreuses intuitions qu'elle avait ressenti et vue dans de nombreux rêves et visions et dans son corps et esprits et face à ses interrelations et relations avec Spike, sachant que quelque chose se passerait, et qu'il ne serait plus comme avant, comme autrefois quand il avait été épris de cette Roumaine. Drusilla savait quels seraient les sentiments de Spike pour la jeune tueuse, et qu'il finirait par tomber amoureux d'elle.
Spike discutait parfois avec Elizabeth, durant leur combat, ou parfois, cela le surpris, ils refusaient de se battre et entreprenaient une trêve d'une nuit ou plusieurs nuits, ils se parlaient et discutaient tout simplement, et marchaient ensemble, entre les allées des pierres tombales, et apprenait à se connaitre, à discuter... Et puis un jour, il voulut l'aider dans ses patrouilles de nuits, et durant certaines batailles, l'aider et la protéger de certains démons ; Elizabeth aussi commençait à changer, et peu à peu également, elle n'arrivait plus à effacer le fait de plus avoir Spike dans sa vie, ni ne plus l'avoir en tant qu'ami, et puis un jour ne voulait plus et jamais imaginer qu'il ne serait pas dans sa vie. Et ne pouvait pas imaginer être sans lui, Elizabeth était amoureuse pour la première fois de sa vie, et aimait un vampire.
Spike était et le savait que ses sentiments pour Elizabeth, sa vie, sa double-vie qu'il créait avec elle, aurait un prix et il devrait prendre une décision et aurait également des conséquences, et il savait qu'il était, maintenant à la croisée des chemins ; Spike devait faire un choix douloureux, il devait choisir entre son être démoniaque, ou son amour pur pour Elizabeth, et dans ce cas-là il serait renié et renierait également lui-même ses origines et déshonorerait ce qu'il est et serait humilié par tous les vampires. Et il choisit, un jour, de défier sa famille, son espèce, ses origines vampiriques, et se retournant contre Drusilla, qui était furieuse et véritablement jalouse, mais savait parfaitement que cela arriverait, et c'est d'ailleurs ce qu'elle lui dit ; et Spike fit tout pour rester près d'Elizabeth, et choisir ainsi de se battre aux côtés de la jeune fille.
Pour Spike, Elizabeth était une jeune femme douce, loyale, compréhensive, faisant confiance aux autres trop facilement, et elle faisait confiance absolument dans toute sa vie et au plus profond de son âme et lui donnerai sa vie envers Spike, ce que personne n'aurait jamais fait pour lui, et il en fut émue. Et lui faisait confiance explicitement, et il ne voudrait jamais la blesser, ou qu'elle se blesse, et lui causait une grande douleur. Et Elizabeth avait une personnalité pétillante, et fougueuse, et remplie de vie, une grande générosité et un grand sens du genre humain, et une grande humanité et une grande miséricorde sociale, de l'indulgence et de la compassion ainsi que de la bonté et charité.
A partir du moment où Spike décida de suivre Elizabeth, et de veiller sur elle, il lui fit la promesse solennelle et de l'espérance, de l'engagement ainsi qu'une conviction, qu'il pourrait offrir et donner et faire en sorte qu'Elizabeth lui fasse entièrement confiance, il lui dit qu'il n'avait plus l'intention et ne voulait plus tuer aucun humain ou innocent tant qu'il serait avec elle, de son vivant, et jusqu'à ce qu'il la rejoigne et serait réuni au-delà la mort ; et elle lui fit confiance, en sachant que s'il tuait, il le regretterait amèrement et lui planterait un pieu dans le cœur, et que de toute façon jamais il ne voudrait tuer, jamais parce que cela blesserait Elizabeth, et c'était la dernière chose qu'il voulait. Et pourrait se tuer, Spike s'il faisait du mal à cette jeune femme.
Et c'était avec Spike, qu'Elizabeth perdit sa pureté et son innocence, sa virginité, ils avaient consumé leur amour, au bout de plus d'un an après leur rencontre et après ils soient tombés tout deux amoureux.
Un jour, Elizabeth fut envoyée en Allemagne avec Spike, heureusement tout deux savaient parler la langue ; et cette vie en Allemagne, dans la ville de Francfort-sur-le-Main, dura jusqu'à la mort d'Elizabeth en 1958, alors qu'elle allait avoir vingt et un ans.
Elizabeth fut la dernière personne que Spike eut aimé, et soit tombé amoureux, ou aimé de manière platonique, jusqu'à ce jour ; mais il était écrit, selon les oracles et les esprits, et de ce que Maria avait pu interpréter, était que Spike, allait être amenée à aimer à nouveau, à se soucier de certaines autres personnes, et lui fera accomplir, malgré ses instincts, des actes d'héroïsme désintéressés, mais il montrera et aura l'occasion à maintes reprises de montrer son côté de l'humanité. Et il réussira à obtenir une pleine confiance auprès d'autres humains. Et il aimera à nouveau, c'était une certitude pour Maria, et avait même eu un début d'affection et de tendresse pour Jenny, le jour où il l'avait rencontrée en 1976, quand elle avait eu sept ans, et ce n'était que le début de sa relation...
Maria finit de contée son histoire, l'histoire de William le Sanguinaire et de Spike le vampires, et ses amours passées, mais il y avait encore maintes secrets à propos de lui et Maria dit à Jenny qu'elle ne pouvait pas tout lui révélée, n'y tout de son passé t encore moins d'autre secrets, car cela faisait en partie pari de la vie, l'avenir de Jenny ; les yeux de Maria se rouvrir, alors qu'elle avait été en connexion complexe avec les oracles, et les avait ouvert de temps en temps pour observer les différents images qu'elle pouvait détecter du vampire, et racontait sa légende. Le feu s'était estompé, et la bulle formait ainsi que les lumières brillantes et blanches comme du brouillard qui remplissait et illuminait la pièce et offert un semblant de luminosité à la noirceur et la sombre pièce en forme de hutte préhistorique, c'était également estomper et la lumière ainsi que les formes avaient disparues, et les fléaux de lumières comme des formes d'aurore boréales avait quitter l'atmosphère.
Jenny leva son regard vers Maria en soupirant, ne l'ayant pas quitté des yeux, une seule fois alors qu'elle lui racontait et lui parlait de cette partie de l'histoire de Spike beaucoup plus positif, plus belle et plus secrète, qu'on ne lui avait jamais parlé, et elle en était étonné, et cela pouvait lui apporter, Jenny ne savait pas pourquoi, mais de l'espoir pour l'avenir ; car elle se rendait compte au fur et à mesure qu'il y avait un semblant d'espoir pour certains vampires ou démons, qu'ils n'étaient pas tous mauvaises, et que même s'ils n'avaient pas d'âmes certaines créatures étaient capables, elle ne savait pas pourquoi et peut-être sans doute personne n'avait de réponses, mais était capable d'amour, d'aimée et une quelconque gentillesse et de rareté ; et que peut-être Angel avait une chances de restait bons, et honnête, et qu'il aurait une totale rédemption un jours, et n'aurait plus de vengeances en lui et serait pardonnable.
Pendant ce temps, Maria continuait de réfléchir à tout ce que sa petite-fille lui avait raconté sur ce qui c'était passer pour elle durait l'année écouler, durait ses observations d'Angel, et surtout son histoire du début de sa relation avec Rupert Giles ; et marmonnait plus à elle-même qu'à Jenny, des incohérences et des non-sens, pour finalement dire ceci, alors qu'elle réfléchissait à la meilleure décision à prendre concernant le secret de Jenny et si c'était une bonne ou mauvaise idée qu'elle soit si près d'Angel, émotionnellement et s'impliquée dans une amitié au risque qu'il découvre ou ne sente qui elle est avec une quelconque intuition ou un sens inné : "Je crois que ton oncle a raison, Janna, et c'est pour le mieux il faut respecter ses règles, il ne faut pas que tu dises à quiconque qui tu es vraiment, ni tes origines, et surtout pas révéler ta vraie raison d'être installé à Sunnydale, ce serait très dangereux pour toi,..." Maria prit une inspiration, pour se stabiliser dans ce qu'elle allait dire ensuite, et réfléchir à ses propre mots et paroles et les mettre dans un bons ordres "... Et puis, il faut que tu respectes cela, tu ne vas pas trahir notre peuple, si tu fais cela tu le trahiras, et nous mettra tous en dangers, et tu seras déshonorée, tu ne peux rien dire, et surtout pas à Rupert Giles, il est trop impliqué dans ce monde et auprès de la tueuse et également près d'Angel, je sais que tu as l'impression de les trahir et je compatis de tout cœur, et je sens ta détresse, mais tu ne peux rien y changer, ce sont les règles, tu as donné ta parole de ne rien dire, et je sais que c'est douloureux pour toi, de ne rien dire."
Jenny déglutit et acquiesça silencieusement, en essayant vainement et difficilement de cacher ses larmes, et la montait de la pression et d'une boule, et la montait de stress et de chagrin qui s'intensifiait et lui faisait mal dans la gorge et la poitrine, en levant son regard, Jenny avait les yeux voilés essayant de cacher des larmes non versées, mais elle déclara dans un murmure, et la voix tremblante, baignant d'émotions et brisées, qu'elle aurait voulu, en parler à Rupert ne serai ce pour sa tranquillité d'esprit, et ne voulait pas le trahir ni le tromper non plus, également, et elle se sentait comme à la croisée des chemins à devoir faire un choix entre ses amis et sa fille, son peuple, et que si elle lui disait comme cela, il y aurait plus de chance, et ne serait plus seule pour devoir surveiller Angel, et n'aurait plus à travailler en secret ; et espérait lui dire car elle ne supportait pas le mensonge, ni lui mentir d'avantage, ni le tromper.
Maria toucha la joue de sa petite-fille en touchant ses pommettes, en signe de compréhension d'amour, et qu'elle ne risquait rien à lui dire ce qu'elle ressentait, et elle réalisât de petits cercles apaisant avec ses pouces, sur les joues de Jenny, et essayât de l'étreindre et la pressa contre elle dans un câlin réconfortant et maternelle, et lui dit, qu'elle pourrait lui dire, seulement si elle arrive à obtenir son entière confiance, et qu'ils soient devenue très proche ; et que surtout, surtout, ce soit en cas de nécessité absolue et rien d'autre, mais bien sur Jenny devrait lui dire, si jamais, elle serait amenée à le faire, de lui dire, bien avant qu'un désastre ne survienne, ou une catastrophe, car si non, si elle ne lui dit rien avant cela, Jenny risquerait de perdre Rupert et sa confiance en elle, et le reste du groupe ainsi que la compassion et la gratitude de Buffy et ses amis ; et également si elle lui dit, Jenny devra choisit un moment idéal, ou un endroit appropriée et un meilleure moment, et un endroit propice, et quand ils seraient seuls.
Jenny se sentit soulagée d'entendre de telle parole de Bunica, car elle se sentait soulagée qu'elle lui accorde, cette autorisation exceptionnelle et se secret, mais Maria lui dit de ne rien dire à Enyos, car personne n'est au courant de ce qu'elle venait de dire à Jenny, ce n'est que les esprits qui lui ont donné cette autorisation et ce conseils ; mais Jenny, ne se sentait pas totalement, rassurée, alors que Maria lui donna un ultime conseils, en lui disant et pour qu'elle ne se sente moins seule et moins isolée, c'est qu'elle devrait se confier, sur ses origines gitanes, et ne dévoilant surtout rien d'autre, qu'elle était simplement d'origine Roumaine, dans un simple peuple normal de bohémien ; et le dire à quelqu'un qui n'était nullement concerné ou impliqué dans le surnaturel ni ne connaissait ce monde. Et devrait également faire attention à elle et ce qu'elle dit ; d'après Maria il n'y aurait rien de mal à dire à une seule personne, qu'on puisse être d'origine bohémien, personne d'appartenance ordinaire, à l'esprit ouvert et large, ne mettre automatiquement, une personne gitane et avec le monde paranormal, ce ne serait qu'un grand préjugé et ne ferait pas une différence ou un si grand et gouffre de rapprochement.
Jenny acquiesça, soulagée, et heureuse, en la remerciant, et la gratifiant de gratitude, de son soutien inconditionnel, et la pris dans ses bras, ne pouvant contenir ses émotions plus longtemps, et se laissa aller à faire couler et inonder ses larmes, en remerciant encore et encore dans un murmure, s'enfouissant et cachant son visage dans le cou de Bunica.
Maria, se détacha enfin de l'étreinte de Jenny, en la repoussant doucement, pressant ses mains contre ses épaules, et la tenant à bout de bras, la regardant avec affection, se plongeant dans ses pensées alors qu'elle réfléchissait à comment aborder le reste de la conversation ; et lui dit doucement ce qu'elle pensée, avec la même douceur, le même ton, la même voix, et le calme et tranquillité d'esprit et son calme traditionnel et bien connu et ne voulant pas être inquiète ou torturé ; en déclarant à Jenny qu'elle comprenait son amitié avec Rupert, et qu'elle ne la jugerait jamais, et aucun cas point. Et lui dit que peut-être ses sentiments pour lui pourrait évoluer...
Mais Jenny la coupa, en lui disant que cela ne pouvait être vrai, qu'elle n'avait pas le droit, que c'était interdit, et nullement autorisé par son peuple, et condamné dès le départ par son oncle et l'Ancienne, et ne devait pas avoir de tels sentiments, et que surtout jamais elle ne pourrait s'autorisait ni commençait à éprouver de tels sentiments. Et qu'elle devrait faire attention et qu'elle était en mission délicate et ne devait s'autorisait aucun faux pas ni aucune erreur.
Maria soupira, et lui dit qu'elles venaient d'avoir cette conversation, et elle n'allait pas lui répéter, cette conversation, ni l'histoire de Lorelei et cette légende d'amour. Et après un instant de silence, Maria demanda finalement, et sérieusement, mais cette question ne viendrait pas par hasard, car en entendant parler Jenny sur ses sentiments et sur Rupert Giles, Maria avait pu observer les différents expression faciale, de sa petite fille, elle avait pu reconnaitre sa voix tremblante et incertaine, une voix hésitante et remplit d'affection comme de l'amour, les yeux de Jenny brillèrent d'admiration, et heureuse de parler de quelqu'un qu'elle appréciait, aimait inévitablement, et rempli d'affection et d'admiration, et de fierté. Et pouvait également sentir que Jenny rejetait, ou reniait, et refusait de réaliser ses sentiments et les contourner. Elle lui murmura, finalement :
"Es-tu amoureuse de lui ?"
Jenny regarda sous le choc, et d'incrédulité, ne s'attendant à en aucun cas cette question, elle avait eu l'impression d'avoir été jetée, d'avoir eu cette horrible impression d'avoir eu un choc, d'avoir était dénudée, et qu'elle était découverte et que sa grand-mère lui avait totalement mise à nue, lui faire dire une vérité, l'avoir mise à découverte, alors obligée à se révéler et à lui dire ses profonds secrets et profonds sentiments intimes, et à révéler son intimité et son amour, à révéler ce qui la faisait vibrer et son corps, reconnaissant les sensations et son désir, et l'effet des contacts, l'odeur et les toucher... Et elle était complètement vulnérable, et savait que c'était ce que sa Bunica espérait et qu'elle se révèle ainsi que fasse appel à ses émotions et sa vulnérabilité. Et Jenny devait se décider, finalement à dire quelque chose, à déclarer à faire une confession, et se confier à Maria.
" Oui ... " Murmura finalement dans un murmure, si doucement, si bas qu'on l'entendait à peine, Jenny hocha la tête des larmes coulent de ses yeux sur ses joues, et dans un murmure secret, mais Maria réussi à l'entendre, "... Oui, je l'aime, je ne sais même pas depuis quand, et je crois que je le suis, et je l'aime tellement, que je ne sais même pas si c'est possible, ou réel."
Jenny ne savait même pas quand cela avait commencé, ses sentiments naissant pour Rupert, peut-être que ça avait commencé, dès lors qu'elle l'avait rencontré, dès sa première rencontre, dès que son regard s'est posé sur lui, où dès que leurs yeux se sont croisés, elle ne sait pas... Ou peut-être qu'elle l'a aimé quand, ils se sont réunis et ont collaborés pour s'aider mutuellement à détruire ce démon sur internet... Et le plus important encore, comment savait-elle et depuis avait-elle réalisé ses sentiments ? Ou comment avait-elle réalisé qu'elle était amoureuse ? C'était arrivé peu à peu, et elle avait réussi à analyser, au fils du temps, ses sentiments, et son affection pour cet homme, et elle ne savait vraiment pas quand elle la véritablement réalisé...
Maria, lui disait qu'elle ne devrait pas renier ses sentiments, et devrait continuer à parler et à garder un contact, et continuer son amitié, sa relation, et conversations avec Rupert et un certain lien, envers lui, en revanche, elle ne savait pas si Rupert Giles éprouvait ou lui rendait ses sentiments mais ce qu'elle savait, c'était que la relation de Jenny et Rupert allait continuer à évoluer, dans le bon sens ou dans un mauvais sens ou tout autre, elle ne savait pas, et surtout l'ignorait et ne fallait sans occuper, mais prendre en considération et profiter de l'instant présent.
Jenny était également aussi à la croisée des chemins, en ce moment et plus tard, elle peut choisir de tout ignorait et éviter Rupert de tout son corps et de toute son âme de la plus fougue des manières, mais ce sera à des conséquences ; elle devrait choisir un bonheur, une vie probable avec cet homme et vivre heureuse, ou alors vivre seule et malheureuse et passer à côté d'un possible bonheur et vie heureuse ; elle devrait suivre son cœur, et faire comme Nolwenn avait fait, comme elle aurait voulu que Jenny fasse, comme son bonheur importait et qu'elle soit heureuse comme elle le méritait. Et il y avait des risques c'était sûr, mais Maria savait ce qu'elle pensait, et que tout ceci était écrit.
Maria avait lu différents signes de ce genre ; il ne fallait pas qu'elle est peur où craigne quoi que ce soit et des représailles...
Jenny remercia Bunica pour toute cette conversation et ses nombreux conseils, qu'elle lui avait donnés, et que grâce à elle, ses épaules étaient moins lourdes de douleurs, de culpabilité, d'incertitude, et se sentait grandement mieux ; Maria pris une dernière fois Jenny dans ses bras et lui chuchotât à l'oreille :
"Ce n'est rien mon enfant, n'oublie pas je serais toujours là pour toi ; maintenant vas, on se reverra plus tard, Katja, tes frères et tes sœurs voudrons certainement te voir, ainsi que les enfants, profite bien de ta journée et du reste de ton séjour."
Jenny s'en alla, tandis que Maria resta dans sa hutte ; le fait est que, Maria a eu un message et un signe des esprits concernant l'avenir de sa petite fille, elle avait eu deux photographies, du bonheur familial de Jenny ; une où Jenny serait heureuse avec Giles et des enfants et un avenir brillant rempli de joie et de bonheur, ou un autre où était rempli de douleur, de désespoir et de solitudes, les images étaient complètement différentes l'une de l'autre : la photographie représentant le bonheur était éclairait d'une lumière du jour, d'une luminosait et illuminait de sourire, et de bien-être ; alors que la suivante était sombre noir, gris et blanc, et remplit de désespoir et de dépression, d'angoisse d'horreur et d'incertitude, et de drame. Espérons, que Jenny suit et soit accompagnée et guidée vers la lumière, et le soleil et les fleurs...
Jenny était sortie de la hutte, du sanctuaire, de sa grand-mère, en réfléchissant, ayant reçu tout le soutien, le réconfort, l'amour, la bénédiction et les diverses approbations, la conversation d'un calme et d'un enlèvement de fardeau de poids sur ses épaules en lui faisant ainsi qu'elle n'était pas seule et cela lui enleva la lourdeur et la taille de ses troubles, et Maria n'hésitant pas à la défendre et la protégeant, de sa grand-mère qui l'avait surprise, et avait eu une grande conversation constructive l'aidant à avancer dans ses réflexions et ses sentiments ainsi que sa mission qu'elle devait accomplir pour son peuple et sa vie libre et libératrice à Sunnydale, et c'était aussi très calme et posé, et Maria avait également été très ouverte d'esprit et compréhensive ainsi qu'agréable, et avait fait en sorte de la mettre le plus à l'aise possible et qu'elle se sente en sécurité et la comprenait devant ses sentiments, son amour, et ses affections, et son avenir... Cela lui avait fait un si grand bien, un si grand soulagement, et un grand sentiment de sécurité et de tendresse qui l'avait enveloppé, et pourrait enfin se dire que Jenny aurait une chance de vivre la vie qu'elle souhaiterait avoir depuis des années et depuis toujours, la vie qu'elle mériterait, elle le savait. Et Maria l'avait sauvé en lui confiant tout ce qu'elle avait besoin de savoir et répondant à ses multiples questions, à ses doutes, et à ses craintes et aux peurs que son oncle se servait en se nourrissant de ses peurs et s'accrochant ainsi à elle ; et sa Bunica, lui parla de ses relations possibles futures, ainsi qu'un ancien ami, Spike.
Et Jenny savait qu'elle n'aurait rien à craindre de sa colère ni des jugements néfastes et éventuellement ses regards noirs, que Maria pourra lui donner, ainsi que sa déception, elle aurait pensé cela de sa grand-mère, mais le fait est que non, elle ne lui ferait jamais cela, ne lui y ferait endurer une telle douleur ou lui causer un tel chagrin, une telle peine, ou une telle douleur. Et savait qu'elle la soutiendrait, car tout ce qu'elle lui avait décrit était ce qu'elle était, après tout, l'a toujours été et le serait probablement pour toujours, enfin du moins c'est ce qu'elle espérait, et essaierait de le rester, de toute sa sensibilité son amour pour les autres ainsi que son altruiste et capable de voir l'esprit et pouvait voir l'âme, l'intérieur des gens, et était capable à présent de savoir ce que Jenny éprouvait pour Rupert, et Maria l'avait aidé à comprendre tout ce qui la troublait et la tourmentait et lui donner de tels sentiments et un tel amour. Et Jenny savait dorénavant qu'elle avait un plus grand avenir à découvrir et un futur agréable ou peut-être dévastateur ou rempli de chagrin et de solitude, mais il y avait beaucoup de mystère et bien sûr elle ne lui avait rien dit de particulièrement concret ni de précision et ni de compromettant, mais il y avait de l'espoir, et certaines choses, informations, qu'elle savait et pourrait l'aider avec Spike. Mais pouvait lutter pour avoir droit au bonheur, et faire face à sa famille le moment venu pour partir et s'enfuir, et devra lutter contre certains dangers, et lutter contre le malheur et la douleur, elle ne savait pas ce qui l'attendait.
Mais grâce à sa grand-mère, Jenny pourra espérer, souhaiter, et peut-être avoir droit à un semblant de bonheur, d'espoir et d'une relation peut-être possible avec Rupert, elle espérait qu'il l'accepterait, et lui donnerait des affections et tendresses pour elle, et avait peut-être des sentiments et de l'amour ne serait-ce que platoniques pour elle ; et Jenny avait de l'espoir, que peut-être il ne pourrait n'y avoir que cela, car même s'il n'y avait rien de plus et qu'il ne lui rendait pas son amour, cela lui suffirait, car elle pouvait se douter et voir dans son regard, ses yeux, qu'il ressentait quelque chose pour elle.
Jenny était toujours plongée dans ses pensées, profondément soulagée, alors que les muscles de tout son corps et surtout ses bras et ses épaules étaient noués, étaient maintenant beaucoup plus détendus, et moins serrés, ses os lui firent moins mal et c'étaient beaucoup moins douloureux, sa tension de son esprit avait diminué, ainsi que sa tension au cœur ; Jenny pouvait à présent étirer ses bras, sans douleur alors que toute l'inquiétude et le stress d'avoir dû affronter son oncle et lui avait fait se sentir coupable avant même sa discussion avec lui et l'avait rendu encore plus inquiète, perdu, et rongé de culpabilité après son entretien avec Enyos ; ce qui avait eu pour résultat de craindre de parler avec Bunica. Mais maintenant, il n'y avait presque plus de barrage, à ce qu'elle soit heureuse, et tranquille, et savait qu'elle pouvait parler en toute tranquillité et sincérité, sécurité à sa grand-mère.
Jenny pouvait enfin être soulagée, et respirer en toute tranquillité, et ne se sentir en aucune façon coupable de quoi que ce soit, sans culpabiliser, en essayant de mener une vie tout aussi normale que possible. Et dorénavant, Jenny pouvait facilement se lier et se confier avec confidence et toute franchise et assurance à Maria. Et vivre une vie, enfin comme elle la toujours désiré et comme elle aurait dû le faire, il y a bien longtemps, à Sunnydale, et avoir une chance de se libérer. De pouvoir aimait sans peur, sans reproche et sans jugement, de pouvoir veiller sur les enfants, et faire partie du groupe de Buffy, sans avoir peur, sans être effrayée, et également s'épanouir dans sa vie quotidienne dans son quartier.
Jenny avait remis ses chaussures à ses pieds, et marchait, en revenant vers le présent, en balayant tout son afflux de pensées, et ses émotions, en observant le ciel, et constant, en sentant la chaleur du soleil, ses rayons et sa lumière, ainsi que la couleur jaune et lumineuse, indiquait que le soleil était à présent bien haut dans le ciel, et qu'il avait changé de direction et gagnait de la hauteur depuis que Jenny s'était levée et était allée voir sa grand-mère ; le ciel était également plus bleu que le matin même, ce qui signifiait pour Jenny, qu'il devait être au milieu de la matinée. Le soleil réchauffait abondamment sa peau, et les rayons la frappaient, la lumière lui faisait du bien sur son corps, et à travers son débardeur et son pantalon frais. Elle marcha, en se dirigeant vers, le village, ses pieds, les semelles de ses chaussures heurtant, foulant le sol, la semelle et le poids des pieds et des chaussures à chaque pas qu'elle faisait, en effleurant la poussière et la terre sèches, en levant le pied et le frotter le talon de la semelle contre le sol ; tandis que Jenny marchait et se dirigeait vers la maison familiale, l'air d'été était également présent dans l'atmosphère et l'extérieur, Jenny pouvait le sentir et c'était toujours agréable de sentir et ressentir, encore, et avoir la sensation du vent contre soi, alors que c'était encore actuellement l'été, et que Jenny était toujours en Californie, le vent frappant et caressant doucement la peau, avec de l'air frais, saisonnier et quelque peu modéré.
Jenny était toujours, dans ses pensées, en réfléchissant à ce qu'il s'était passé et dit avec Maria, mais aussi sur le temps qui faisait et la météorologie, du temps qui passe, et le temps d'actualité et de diverses saisons, et surtout le temps qui y était en train de se dérouler, de s'écouler à travers la matinée ; Jenny sortit de son état de pensées, de réflexions, de sensations, de nostalgie, et contemplation et considération, par une voix féminine et familière qui l'interpella, et au son, Jenny se retourna à la vue devant elle.
"Janna ! Janna, oh mon Dieu Janna, Janna, petite peste ! C'est si bon de te revoir, bienvenue parmi nous."
C'était Katja, sa sœur ainée, qui lui fit cette déclaration, et l'appela, voulant attirer son attention sur elle, car il était évident pour Katja que Jenny ne l'avait pas aperçue, en courant vers elle, voulant lui souhaiter une bienvenue, et un bon et excellent retour aux sources et parmi eux, parmi la famille, et arrivant à sa hauteur, l'enveloppa dans ses bras affectueux et l'étreignit fortement dans une étreinte, et lui dit bonjour. Jenny s'était laissée faire, en voyant sa sœur, et s'était laissée aller dans ce câlin affectueux et fraternel, qui lui manquait depuis longtemps, et depuis l'enfance, et des années. Et étreignit Katja en retour, de toutes ses forces et ses convictions et son assurance, en fermant doucement ses paupières se laissant aller et emporté dans l'instant.
Katja était dans sa cuisine à préparer le repas du midi, en épluchant à l'aide de couteau, d'ustensile de cuisines et de planche à découper en bois, devant sa fenêtre, alors que le soleil éclairait la pièces, coupant des légumes, des carottes, de l'ail, des échalotes, et des pommes de terre, pour préparer et faire un mélange avec un poulet et du gigot d'agneaux. Katja plongeait ses doigts, après avoir lavé avec précaution ses mains avec du savon, les moussant avec soin, dans la graisse et les épices, ainsi que la viande pour mélanger le tout, et avec un couteau coupa et laissa des entailles dans la chaire pour y glisser des morceaux d'ailleurs et des épices de sel et poivre, avant de mettre le tout au four Elle préparait à manger, un repas spécial pour elle-même, Jacob et leurs enfants, ainsi que ses deux nièces qui allaient leur rendre visite pour le repas, Marina et Shirley.
Quand Katja eu mit la minuterie, et c'était de nouveau laver les mains et se les étaient essuyés pour retirer toute nourriture et morceaux de graisses, et attendit que ses plats cuisses, et soit près pour la cuisson ; Katja, se rapprocha de la fenêtre de la cuisine, et voulut admirer l'extérieur et faire rentrer et pénétrer la chaleur, le soleil et l'air d'été dans la pièce, elle leva un des rideaux, avec un doux sourire, et sourire tendre et innocence, sur le visage, observa des enfants, jouant à l'extérieur, le soleil illuminait son visage et frôla ses cheveux, et sa joue ainsi que son front, et c'est de là qu'elle vit, aperçut, sa jeune sœur. Jenny. Qu'elle espérât apercevoir, et avoir une visite durant son séjour et son retour bref parmi eux, et savait qu'elle arriverait durant ces jours-ci, cette période, où un ou deux jours plutôt. Et Katja, savait que Jenny séjournerait avec leur grand-mère, dans la maison familiale, et donc et de se fait avec Damien et son épouse, ainsi que leurs nièces. Elle sourit quand, elle aperçut, sa chère et bien-aimée petite sœur, qu'elle n'avait pas vu, ni entendue la voix depuis l'année précédente, et était dans l'attente, la joie, et l'hilarité de pouvoir enfin savoir ce qu'il en était advenu de Jenny ; et s'était donc précipitée sans la moindre retenue, se détournant de la fenêtre, et ouvrit la porte en courant, telle une enfant insouciante et joyeuse de revoir un visage familier perdue depuis de longue date. Sa longue, jupe l'empêchant pourtant de courir, elle l'agrippa néanmoins d'une main la retroussant et ce qui lui permit de courir plus librement, jusqu'à crier de joie pour atteindre sa sœur, qui n'avait pas prêté la moindre attention à elle, et ne l'avait pas entendu l'appeler depuis la fenêtre.
Et quand Katja fut à la hauteur de Jenny, elle s'arrêta quelque instant, les yeux et le visage bordés d'émotions, et on aurait dit presque baigné de larmes et les yeux brumeux, voilés d'un voile blanc et transparent ; et pris au bout d'un instant Jenny dans une étreinte serrée et étroite, chaleureuse, en pressant son visage contre le cou de Jenny, fermant ses yeux, profitant de ce doux et intense moment de retrouvailles, inhalant et respirant son odeur, se perdant ainsi dans l'étreinte de l'autre, Jenny serrant Katja aussi fort et intensément qu'elle le faisait, soupirant également, et elle avait également fermé ses yeux.
Au bout de quelque instants, Katja se détachant lentement des bras de Jenny, en ouvrant toute deux les yeux, elle s'écartât très légèrement de sa petite sœur, pour pouvoir consciencieusement la regardait de près et l'examinait ainsi que l'observait de haut en bas, et s'assurait que Jenny restait en bonne santé, en lui souriant lentement, elle garda en positionnent ses mains contre les épaules de Jenny, en la tenant à bout de bras, et l'écarta, elle déclara avec émotion :
"Mon Dieu, Janna, petite chipie, petite friponne, Je suis heureuse de te revoir Janna, bon retour à la maison, tu nous as manqués, oncle Enyos nous avait prévenu que tu serais arrivée avant-hier tard dans la nuit, tu aurais dû venir nous saluer, je commençais à m'inquiéter que tu ne le fasses pas." Jenny s'excusa auprès de sa sœur ainée, lui expliquant qu'elle comptait venir le plus tôt possible lui rendre visite, qui lui avait fallu un peu de temps pour se reposer et se remettre du voyage ainsi que l'espace nécessaire pour déballer ses affaires et bagages. Katja, la coupa en l'arrêtant dans ses excuses et murmures, en plaçant, enroulant son bras autour des épaules de Jenny, et la conduisit vers sa maison ainsi que celle de Jacob.
En marchant, toutes deux, vers la maison de Katja, avec un sourire aux lèvres et un véritable bonheur se propageant sur son visage, lumineux et resplendissant, éclatant, Katja commenta à Jenny combien ses enfants avaient grandi et lui fit la révélation que tout le monde dans la famille avait hâte de la retrouver et la revoir parmi eux, et lui expliquât également comment se portaient les autres. Tout en bavardant et à mesure qu'elles se rapprochèrent, le sourire de la sœur ainée de Jenny grandit d'excitation et d'extase, Katja, au bout d'un instant, s'écriât en appelant et voulu retenir l'attention d'un de ses frères, cria de joie, et voulu bien se faire entendre pour attirer l'attention sur elles :
"Yann ! Yann ! Viens vite voir qui est là, Janna est de retour, elle est revenue."
Yann, qui habitait tout près de sa sœur ainée, le fait est que c'était la maison juste à côté ; où il y habitait avec son épouse, Céleste, et leurs trois enfants, Simon et Nadia, des jumeaux, âgés tout deux d'à peine quatre ans, et le leur petit dernier, un autre garçon, Alexis, qui vent d'avoir tout juste deux ans ; ils avaient tous les trois le même âge que les enfants de Katja, qui allaient avoir respectivement et dont leur anniversaire était au mois d'août, quatre et deux ans. Yann, travaillait en tant que forgeron et aussi menuisier, il possédait un petit atelier, comme une sorte de hangar ou d'atelier-grange, juste à côté de sa maison, il sortit précipitamment en entendant, Katja l'interpellait. Mais n'ayant pas entendue, les dernières paroles de sa sœur, qui lui disait que Jenny était revenue ; demanda ce qu'il se passait ? Et pourquoi criait-elle comme cela ?
Mais se figea à la vue de Jenny, et sut tout de suite de quoi il s'agissait, et eut la réponse à ses questions. Yann était toujours pour Jenny, son petit frère, et elle était tellement heureuse de le revoir ; depuis qu'ils étaient enfants, il avait bien grandi, et c'était considérablement bien développé, il avait mûri et n'était plus le petit garçonnet que ses sœurs avaient connu et connaissait, il allait avoir vingt-six ans, tout comme l'anniversaire de Jenny était dans très bientôt, ils avaient, deux ans d'écart. Yann s'était arrêté, totalement, sa bouche s'ouvrant de stupeur et d'interrogation, et de stupéfaction ne s'attendant nullement à revoir Jenny, et de bonheur à la vue de sa sœur.
"Oh mon Dieu, Janna ! Tu es revenue, je... On ne t'attendait plus." S'exclama Yann en ouvrant ses bras à Jenny, qui courut en se précipitant vers son jeune frère, et le serra dans ses bras, ce dernier la souleva légèrement, et l'étreignit de toutes ses forces en marmonnant "C'est si bon de te revoir, sœurette, tu nous as manqués, tu vas voir, beaucoup de choses ont changées ici."
Jenny lui répondit avec émotion qu'elle était également heureuse de le revoir. Yann invita ses deux sœurs, à venir passer un moment à l'intérieur, mais avant d'accepter, Katja devait partir vérifier la cuisson de son déjeuner. D'après ce que lui dit Yann, Jenny appris, que Manolo venait de se marier il y a trois mois de cela, ainsi que Frieda ; et Eva qui était enceinte, la dernière fois, que Jenny la vit, et n'avait pas pu assister à la naissance de l'enfant, avait appris au cours des premiers temps et semaines de son installation à Sunnydale, que sa sœur avait accouché d'un bébé en excellente santé, et qu'il s'agissait d'une petite fille, qui fut nommée, Nikolaïevna, un nom, d'Origène Russe, qui était dérivé de la masculinisation du prénom, du nom, qu'on pouvait donné et féminisé à une fille, pour décrire, le nom de son père, un nom Russe. Et pour Eva et son mari, c'était idéal, étant tous deux d'origine Roumaine, et proche des frontières Nord-est et proche des terres Russes, cela convenait et irait très bien ; Nikolaïevna, était âgée de presque dix mois, étant née courant et début de la première quinzaine de Septembre de l'année précédente. Et allait bientôt avoir un an. Eva allait avoir vingt-trois ans.
Quant à Frieda, tout comme son frère, Manolo, elle s'était également mariée, il y a quelques mois de cela, et précisément au même moment, instant, que son frère, Contrairement à Katja, ce n'était nullement un mariage arrangé, tout comme celui d'Eva, elles s'étaient toutes deux mariées par amour. Jenny n'avait pas pu assister aux mariages de son frère et de sa sœur, car tout ceci s'était déroulé durant des semaines scolaires, et non durant des vacances, et elle ne pouvait pas s'absenter, et de toute façon, Enyos lui avait interdit et ne l'avait pas autorisée à venir, prétextant que sa mission était beaucoup et d'autant plus importante, et l'avait donc exhortée et excusée auprès de la famille. Frieda, allait avoir vingt et un ans.
Jenny se sentait perdue, frustrée et triste que ses frères, ses sœurs, et trouvaient des chemins, et des routes, et leurs voies ainsi leur bonheur, destinées, et leur vie de mariage et s'étaient installés du mieux qu'ils pouvaient chacun, trouvant leur bonheur le quotidien, parfois fort monotone, mais divertissant cependant, la routine de leur vie et jours heureux, ainsi les aidait à trouver un équilibre entre leurs devoirs envers la communauté, envers leurs familles respectives et leurs couples, et le peuple, et ils avaient eu chacun, enfin presque, eu rapidement des enfants à s'occuper, comme il était d'usage et leurs devoirs d'en concevoir ; ils avaient tout ce qu'il y avait pour les rendre heureux, et les combler d'attentions et d'affections, et ils n'avaient plus beaucoup de temps pour eux-mêmes en effet, tout ceci, toutes ces agitations et satisfactions de leur vie de famille, et l'envahissement, la réalisation et l'occupation, ne laissait nullement de place au divertissement ni de quoi se reposer ou réfléchir à quoi que ce soit.
Jenny se sentait tellement triste, solitaire et parfois en amertume, découragée, peinée, tourmentée, et désespérée, tout ceci à la fois et en même temps, et jalouse de ne pas avoir une vie telle que celle-ci, ni avoir la possibilité, ni eu le courage, la force et l'opportunité ou avoir eu la mélancolie d'avoir refusé d'épousé et de se marier de force elle aurait voulu être aimée et ce mariage arrangé l'avait mise dans une telle colère et amertume qu'on la veuille uniquement de cette façon, elle aurait voulu que quelqu'un l'aime et puisse trouver le bonheur quelque part, et se sentait triste d'avoir à subir et avoir une telle pression et destin, fardeau sur ses épaules de devoir assumer une tache, une telle mission pareille, alors qu'elle aurait eu une vie normale, et c'est tout. Et se demander souvent également par curiosité, et envie, désir, ce qu'un mari amoureux et attentif pouvait bien faire dans le lit de sa femme, la nuit. Elle était frustrée de ne pas avoir d'enfant, et complètement au bord du désespoir, et de la dérision. Donc, pour compenser out ceci, et ce manque, et cette partie de cette vie qui ne lui serait jamais donnée d'avoir et ne pouvait pas l'espérer, pour retirer sa tristesse et son chagrin, elle passait une grande partie et une majorité de temps, à s'occuper de ses neveux et nièces et à jouer avec eux.
Jenny, après la conversation, et diverses projets, et paroles, avec Yann et Katja, et avoir retrouvé Eva et fit la connaissance de sa plus jeune nièce ; Jenny partit retrouver les autres enfants de son frère et sa sœur ; Noé et Lydia, Simon, Nadia et Alexis ; et joua avec eux, à divers jeux, à l'extérieur et dans la nature, leur donna des cadeaux, et les faisaient courir dans l'herbe ; les enfants adoraient et aimaient tous Jenny, et cela en vaut de même pour les autres enfants du voisinage et de la tribu. Tous les enfants l'aimaient, et elle était très appréciée et adorait parmi les plus petits, et respecter ainsi qu'admirer, et était en quelques sortes l'une des meilleures et dévouée envers le temps avec des enfants, et son travail ainsi que sa profession montrait et prouvait très bien son dévouement et son sacrifice, et le fait qu'elle soit admirée et aime son travail ainsi que le fait que Jenny soit respectée parmi les enfants ou adolescents et la passion de l'enseignement.
Jenny s'était agenouillée dans l'herbe, sur le sol dans la terre, le visage rempli de bonheur et de sourire, et d'extase, en encourageant et appelant, avec prestances et grâce, les bras ouverts, invitant à la rejoindre les enfants qui venaient en courant vers elle.
"Allez, venez les enfants."
Noé, Simon et Nadia coururent vers Jenny, en criant, riant et haletant de joie, tandis qu'Alexis et Lydia tortionnaire vers elle ; les enfants sautèrent dans ses bras, tandis que Nadia évite de rentrer dans son étreinte en riant et gloussant de joie, et répétant sans cesse, que Jenny ne l'attraperait jamais, les enfants, parfois évitaient de se faire attraper ; Simon bondit en courant, sur le dos et les épaules de sa tante, en l'étreignant dans une étreinte par derrière enroulant ses petits bras dans son cou et se blottissant contre Jenny, et respirant son doux parfum familier et sécurisant.
Jenny répétait toujours, encore et encore, en insistant et encourageant ; "Allez, venez, les enfants, dépêchez-vous... Je vais vous attraper."
Au risque par instant, que Jenny et les enfants, pouvaient mécontenter et déranger, certains voisins avec leurs cris, la jeune femme essaya d'adoucir les situations dans lesquelles ils se mettaient par moment, en déclarant que ce n'était rien.
La jeune femme passait la majorité de son séjour, avec ses neveux et nièces ; parfois, Sally ainsi que Marina et Shirley les rejoignirent pour venir jouer et participer aux jeux. A jouer, et Jenny préférait de beaucoup, de loin, passer son temps avec les enfants, ainsi que Savannah et Sally, plutôt que de devoir faire face à son oncle, ses frères ainés, qui lui posèrent sans arrêt une multitude de questions incessantes, sur sa mission, ainsi qu'Angel. Son séjour, ne devait pas durer longtemps, pour Jenny, avec sa famille, car Enyos, lui répétât qu'elle devait continuer à mener à bien sa mission, et serait beaucoup plus et nettement plus utile à Sunnydale, plutôt qu'ici, ce qui la blessa profondément et sincèrement.
Les enfants pleurèrent, un peu, quand Jenny du partir à nouveau...
