Partie 4 3 : Les vacances d'été de Jenny l'histoire de Nolwenn et sa fin et les secrets tragiques de sa disparition :

Le temps passa beaucoup moins vite et beaucoup moins longtemps que d'ordinaire, que comme d'habitude, Jenny s'ennuyait longuement et énormément mais essayait de s'occuper le maximum du mieux qu'elle put, en passant du temps à l'extérieur à réaliser du jardinage et en passant du temps avec ses amies, et sa famille qu'elle appris à visiter et prend l'habitude régulière, et des rituels de chaque Week end en s'occupant de ses nièces - les filles de Damien - en prenant le train où la voiture qui étaient des moyens de transports rapides dès le vendredi après-midi pour revenir le lundi matin, pour y rester le plus longtemps possible ; en faisant des courses et les vitrines avec Savannah et Sally et jouant avec Marina et Shirley...

Ce que Jenny fit aussi, durant cette période sombre qui devient grise à certains instants, c'est que durant cette occasion de misère et de solitude, la jeune femme s'était liée d'amitié avec Heidrun et lié une certaine connaissance et amicalité avec son époux, Samuel Rosenberg ; ce qui entraina avec un enchainement, des visites très régulièrement avec un lien profond et plus ou moins inattendu qui avait débuté de façon, de manière incertaine, délicate et fragile, mais sur lesquels Jenny pu apprendre à mieux connaitre la famille Rosenberg ainsi que leurs enfants, et plus particulièrement les sœurs Rosenberg, sous un nombre de trois ; Willow, Dawn et Gaëlle... De façon, de manière intime, particulière et individuelle, à part, personnelle, elles s'occupaient de chacune comme une sœur où encore mère affectueuse et maternelle de substitution, gardienne, enseignante, âme sœur et bienveillante…

Dès la naissance de chacune d'elles, Willow, Dawn et Gaëlle ont manifesté des personnalités si distinctes, Sheila a parfois plaisanté à Ira en disant qu'elles n'étaient pas les parents de trois sœurs, ainsi qu'également, qu'éventuellement leurs grands-parents qui plaisantaient avec les parents et inversement, mais plutôt de trois enfants seulement. Le fait que les filles aient deux parents en commun ne semblait parfois qu'une coïncidence. Leur mère a dit cela non pas parce que Willow, Dawn et Gaëlle étaient toutes gâtées, mais parce que chacune nécessitait une approche différente en matière de parentalité.

Willow était pratiquement une adulte complètement formée dès la naissance et refusait de toute façon d'être choyée, choyée ou condescendante. Willow avait été une enfant timide et moins encline à parler pour elle-même, même en évidence Dawn était plus timide, plus rebelle et précoce à certain moment, mais mal dans sa peau et beaucoup plus enclin à être dépendante d'affection, que sa sœur aînée plus précoce, il a donc fallu plus de contacts pratiques pour la sortir de sa coquille. Gaëlle était en quelque sorte un mélange des deux. Elle était indépendante comme Willow, mais là où Dawn, où Willow se targuait de respecter scrupuleusement les règles - en fait, se plaçant en gardienne parmi les sœurs - Gaëlle les questionnait à chaque instant. Comme Dawn, Gaëlle n'était pas disposée à être le centre de l'attention, mais sa nature indulgente et déférente ne provenait pas d'un manque d'estime de soi comme elle le faisait avec Dawn, mais plutôt d'une volonté ouverte d'esprit de croire le meilleur de tout le monde. Elle. Heidrun aurait pu craindre cela comme de la naïveté chez sa plus vieille petite-fille si elle ne l'avait pas fait, au fil des ans, elle s'est avérée être quelque chose d'une vieille âme.

Et tout comme chaque sœur avait un tempérament distinct, chaque couple - Willow et Dawn, Willow et Gaëlle, Dawn et Gaëlle et Gaëlle et Willow où chacune des sœurs toutes seules - partageait une dynamique unique. Il n'y avait, en fait, qu'une seule tradition qui les réunissait dans un lien fraternel affectueux dont tous jouissaient à parts égales. Cela arrivait trois fois par an, à chacun de leurs anniversaires.

Dans le commencement du développement du caractère de la personnalité de chacune des trois filles, elles avaient des personnalités tout aussi unique et distinctes des unes des autres, en étant à part et chantant leurs histoires personnelle et unique en leur genre en étant à l'écart de leur fratrie ; en commençant par la jeune Dawn... Dawn était une petite fille pas comme les autres mais à l'apparence normale, quelconque et comme toute autre enfant de son âge, personne ne connaissait véritablement la vrai Dawn et avait une image, l'image préconçue d'elle dans leur tête... Elle était une enfant solitaire, rebelle, colérique qui d'après un point de vue extérieur aimait se plaindre, avoir de l'affection et l'attention sans cesse et très jalouse et envieuse ; ce qui était en aucun cas et véritablement faux, et injustement déclarée et mit en avant ;

C'était une enfant incomprise mal considérée et jugée, identifiée, et analyse de sa véritable personnalité, qui en réalité n'était pas celle que tout le monde croyait qui était beaucoup plus complexe plus belle, adorable et touchante histoire d'une enfant ressemblant à un conte de fée plus pour les grands enfants âgés ; Âgée à présent de neuf ans, est la petite sœur de Willow et grande sœur de Gaëlle et souffre de vivre dans leur ombre à toute les deux, à toutes deux. Voulant s'en cesse être traitée comme tel une personne adulte où plus âgée qu'elle ne l'est, mature, elle voulait être vue avec sa véritable personnalité et son être normal comme une personne extraordinaire, hors du commun et exceptionnel, mais Dawn ne pouvait l'être que si elle choisissait de l'être... Mais était très vite encombrante, énervante et une douleur vive dans le dos, avec son tempérament qui se déchainait rapidement en des expressions boudeuses et pleurnichardes... Mais derrière ces façades, se cachait sous ces couches une personne vulnérable, fragile et exceptionnellement en inattendue, forte, serviable, elle se montre toujours fidèle et aimante envers ses sœurs, sa famille au complet et Alex, l'ami de Willow... Elle était dotée d'une incroyable finesse, possédait un cerveau remarquablement rapide en faisant preuve d'initiative et d'ouverture d'esprit en de rares occasions -comme sa sœur ainée- en analysant avec une profondeur extrême, finesse et touchante sensibilité à comprendre le cerveau humain, la psyché psychologique pour comprendre le comportement d'autrui et le caractère de chacun, étant très altruiste et critique dans ses commentaires et ce qu'elle pense de l'autre...

Dawn s'avérait être très jalouse et pouvant devenir facilement possessive envers les personnes qui lui étaient proches et n'aimait pas vraiment surtout en notant son jeune âge qu'elle n'aimait pas le changement et que de ce fait tout en même temps le changement et le bouleversement de son univers ; l'enfant malgré que selon tout l'entourage de la famille Rosenberg, Dawn était considérée comme la plus jolie et la plus belle, la mieux habillée et soignée dans la façon et la manière de se coiffer et matière de mode que Willow, mais de ce fait et ayant un modèle fraternel plus âgé, elle était en admiration et en constant conflit, réflexion de pensées, en aimant imiter, prendre exemple en totale admiration sur Willow ; comment elle était sage, semblant très mature, quasiment une adulte, et indépendante pour son âge, excellente et brillante élève, en comparaison à Dawn qui n'était qu'une élève moyenne et s'intéressait peu aux cours et à l'école d'une façon, d'une manière globale...

Elle était également très proche d'Alex Harris depuis sa naissance et son jeune âge, des lors qu'elle sut marcher, le considérant comme son grand frère et un tendre et très proche ami, bien plus profond si elle était tout à fait en totale honnêteté avec elle-même ; elle l'aimait profondément et avait une sorte de Béguin, amourachèrent d'enfant, enfantin particulièrement attachant et adorable, minions d'innocence...

Dawn adorait Buffy et la détestait, jusqu'à la haire en même temps tout à la fois, pour être dans l'ombre et entraine Willow avec elle la faisant devenir plus confiante, la petite Dawn s'effaçait de plus en plus ; mais en secret et dans l'ombre de sa sœur et sa meilleure amie, elle enviait Buffy, sa beauté, sa déesse dorée comme Dawn avait trouvé ce pseudonyme et ce surnom secret dans son journal intime, sa confiance en elle et son gout pour la mode, les vêtements l'esthétisme, le bien-être la beauté, la bijouterie, et les cosmétiques et beaucoup de sujets d'adultes qui paraissaient jeune adolescente ; c'était un modèle positif de féminité sortant du cadre familial... Mais elle avait tout de même un instinct, ignorant les activités de la jeune tueuse et de sa sœur, elle savait tout particulièrement et sincèrement d'une manière et façon soupçonneuse qu'on lui cachait beaucoup d'énormément de secrets...

Dawn n'aimait pas l'amour caché de Buffy, Angel, elle possédait en étant doté d'une immense intuition et d'un esprit évaluateur des gens, et savait qu'elle n'aimait ce qu'elle voyait en regardant Angel, dès que ses yeux se posent sur lui à chaque fois, mais ce n'était rien face l'immense choc et au profond mal-être, malaise s'abattant sur elle dès la première fois qu'elle l'avait vu... Son âme d'enfant, son cœur tendre et généreux romantique pour son jeune âge et qui n'avait pas atteint sa maturité pour du haut de ses neuf ans, ne pouvait pas s'empêcher de flancher et de tomber dans le sentimentalisme et le romantisme tombant dans un monde de rêve pour le grand et mystérieux ténébreux à la carrure d'hormonal d'homme qu'était Angel, mais son esprit plus mature et critique qui apporta des onces de reculs pour observer Angel autrement, autre qu'un homme ténébreux, mystérieux à la carrure imposante et forte d'un vrai homme... Dawn avait observé et remarquer chez lui, que ses manières mystérieuses, Angel était considéré comme un homme d'expérience, à l'allure un peu mystérieuse. Leur différence d'âge était plutôt un attrait pour Buffy, qui considérait cela beaucoup qu'un garçon ou un homme de son âge, elle avait découvert en lui un jeune homme intéressant, visiblement admiratif de la beauté éclatante de la jeune fille, et d'un calme qu'elle trouvait agréable, en comparaison du babillage incessant et parfois ennuyeux des jeunes gens de son âge. Buffy fut toujours attirée par les personnes plus, beaucoup plus âgées qu'elle... Mais le reproche que pouvait lui faire Buffy, insouciante et heureuse comme peuvent l'être les jeunes filles à cet âge, consistait en son caractère parfois sombre, pensif. Parfois même, il était trop ténébreux à son goût. Mais leur idylle s'était peu à peu consolidée au fil des mois, et elle n'était pas sans en être secrètement enchantée. Bien entendu, quand ils avaient eu une conversation à propos du futur, elle avait annoncé qu'elle serait certainement à la rentrée prochaine à l'université de Sunnydale, et qu'elle comptait partager une chambre avec Willow.

Et la fillette trouve cette attitude, sa personnalité assez inquiétante qui l'inquiétait et l'effrayait tout à la fois, pour Dawn Angel n'était pas un homme sur lequel elle pouvait se fier ni faire confiance aveuglément, et elle avait ce sentiment et intuition inconfortable qu'il avait un sombre et lourd passé caché qu'il ne voulait pas révéler... Ce sentiment, cette intuition ne quittera pas Dawn jusqu'au moment des vérités...

Mais savait, avait le sentiment qu'un jour Angel deviendrait une personne importante et qu'inévitablement chacun des deux êtres, Buffy et Angel, allaient suivre leurs chemins, leurs destinés à traverser de chaque route diverse…

Dawn avait les cheveux châtains foncés dont la lumière du soleil ses rayons et la luminosité viraient en passant, tombant, réalisant de la clarté en allant vers des mèches de châtain plus claire qu'ils ne le sont accompagnés de d'autant de reflets roux foncés, sa longue chevelure, sa masse de cheveux étaient très longues beaucoup, plus long que ceux de Willow ; elle était, également en assortiment avec ses cheveux, très grande pour son âge elle était la plus grande de sa classe pour les enfants, des petites filles de son âge, son père avait la très nette impression et le sentiment que Dawn serait la plus grande de ses filles à arriver à l'âge adulte et la belle...

Gaëlle Rosenberg était une petite fille, jeune enfant et qui était âgée d'un jeune âge ; âgée d'à peine quatre ans, c'était une enfant de petite taille pour son âge et sa taille, elle possédait une peau couleur ivoire et matte de peau de porcelaine couleur miel, on lui donnait un âge approximatif entre deux ans et-demi et trois ans, ses yeux étaient marron noisette et vert prune Ils était beaucoup plus tournés vers le vert que le marron ; Ses cheveux était long et ondulés de couleur rousse extrêmement foncés presque auburn brun, avec tout à la fois une couleur châtain foncée mais ce qui était d'extraordinaire et peu commun c'est que tout en même temps, tout à la fois avec un mélange des reflets clairs de mèches avec à la fois en même temps des notes d'once de clarté de claire blond ivoire qui allait parfaitement bien avec son teint et la couleur de peau...

Elle était une enfant très timide, discrète et effacée malgré lorsqu'elle était en totale confiance, Gaëlle dévoilait sa véritable personnalité et son enfance lumineuse, pétillante pleine de vie et complétement en contradiction avec la petite fille effacée que tout le monde connaissait ; Depuis le commencement de sa vie à sa venue au monde de sa naissance, Gaëlle était une personne patiente et qui allait doucement avec lenteur dans son développement bien vite les adultes autour d'elle avaient tous remarqué qu'il y avait un certain retard dans son langage, en effet, elle n'a su parler qu'à l'âge avancé de deux ans, mais dans d'autres niveaux elle avançait toujours à son propre rythme... Mais tout ceci n'exista plus et ne fut plus qu'un souvenir balayé comme de la poudre d'un revers de la main, par les lourds et grands progrès de la forte impression de surprise que la petite fille donna à ses proches, car le fait est que Gaëlle se révéla être une enfant précoce, prodige et très en avance bien qu'un début de vie difficile, tout comme sa sœur ainée elle fut une enfant et élève brillante et surdouée... Et assez mature et ouverte d'esprit avec un cerveau et esprit précoce aventureux, comprenant ce qu'on lui disait comme n'importe quel enfant de son âge, elle paraissait et l'était tout le monde en était sûr, en avance sur tout, pour une dernière chose sur la petite Gaëlle était une enfant très curieuse qui aimait s'intéresser au monde qui l'entoure et regardait les images de ses livres préférés ainsi que le coloriage.

Gaëlle était une personne si calme si paisible et semblait paraitre et l'était sereine une personnalité saine, intacte et surtout équilibrée qui ne possédait aucune déviation, faisait équilibrer les relations et apportait un équilibre, une compréhension et un retour de calme avec son caractère et sa personnalité innocente d'enfant... Elle aimait chacune de ses sœurs d'une matière totalement différente avec un amour profond farouche et féroce, merveilleusement bien, d'un amour égal avec accoutumance accompagné d'un esprit tranquille et paisible qui arrivait toujours à apporter la tranquillité d'esprit une certaine paix intérieure ajoutée à tout cela un semblant, un amour et son esprit accompagnée toutes ses sœurs, Willow et Dawn, que c'était son calme et son tempérament enfantin qui tirait son spiritisme et ses tons de pensées rêveurs que tout le monde tirait la force de son innocence, Gaëlle calmait toujours ses sœurs et chacune se tournait vers la petite fille...

Gaëlle aimait tellement ses sœurs ainées, qu'elle allait toujours vers l'une ou l'autre quand elle avait besoin, pour jouer, à lire et regarder des images d'un livre, ou simplement rester là ici sur le lit d'une de ses grandes sœurs, à faire des câlins ; tandis que Willow et Dawn ne pouvaient se supporter par instant, elles avaient à l'exception et au contraire d'elles-deux une union fraternelle puissante, forte, et indestructiblement attirante attachante sans fissure sans lien qui pouvait se rompre, Gaëlle s'entendait si bien avec Dawn et jouait ensemble ou se promenait au parc, ou encore l'aire de jeu locale du quartier - de la rue -, et la fille aimait sa jeune sœur, qui avait cinq ans de moins, sa cadette en comparaison avec Willow ; elles s'entendaient très bien, pouvaient jouer sans dispute, Dawn parlait, se confiait, et discutait aussi bien que des enfants de leur âge pouvaient l'être et communiquer... Gaëlle fait déjà preuve d'une grande intuition et a déjà manifesté certains dons psychiques, malgré son jeune âge.

Les deux enfants ne se disputent presque jamais, non que très rarement des divergences d'avis d'opinions, et on une bonne entente harmonieuse, partageant beaucoup de secrets, de confidences, riant, gloussant pour des petits riant d'enfants ; elles partageaient parfois les matins de week-end, le même lit se rejoignant dans la chambre de l'autre où encore dans le lit de leurs grands-parents, construisant des cachettes - des tentes- avec les draps au milieu de leurs peluches et nombreux jouets... C'était comme tel des enfants normaux, des enfants heureux, doux, gentils, des unes relations fraternelles aimant affectueux, spirituel attachants tendres, lier, lien fusionnel et connecter…

Avec son autre sœur, avec Willow à son exception d'une autre relation fraternelle de féminité, bien que cela était une relation des particulièrement différentes, les même êtres humains, des personnalités bien distinctes ainsi que leurs caractères leur point de vue, émotions, train de pensées, divergences d'opinion et différences, la relation entre la plus âgée des Rosenberg et Gaëlle n'en demeurait pas moins aussi belle mieux émouvante et plus développée plus durant ; la jeune fille s'occupait de la plus jeune des enfants depuis son plus jeune âge, de sa venue au monde, étant très maternante, présente, affectueuse et rempli d'amour, tout en même temps une grande figure d'adulte, parentale et sœur ainée, un modèle plus âgée de maturité et féminin en parallèle à leur parents et leur mère, Sheila... Willow lui avait changé ses toutes premières couches, lui a préparé ses tous premiers biberons, l'a aidé, lorsqu'elle avait faim lui a préparé ses premières bouillies, étant une seconde maman de substitution ainsi que la sœur idéale ; Willow respectait ses heures de sommeil avec une grande précision et assiduité au fils des débuts de mois et des quatre premières années de vie Gaëlle, Willow avait eu une grande curiosité d'apprentissage sur le développement de l'enfant, sa santé, et soin d'hygiène et de confort... La jeune fille, lit beaucoup d'histoires à sa sœur, la consolait et toujours là pour la petite fille, l'emmenait se promener, passait des journées de repos avec sa sœur, du levée du lit le matin jusqu'au couché, les repas ainsi que sa préparation...

Donner le bain à la petite dernière, le faire manger ou le garder le temps d'aller faire une course… que peut-on demander aux plus grands de la fratrie ?

Entre les couches de bébé à changer, les repas à préparer et les devoirs à gérer, pas facile d'être maman de plusieurs enfants… Aussi, quand les enfants grandissent et gagnent en autonomie, il est tentant de leur demander un petit coup de main. Mais est-ce vraiment aux plus grands de s'occuper des plus petits ? Quels genres de tâches peut-on leur demander de réaliser et à partir de quel âge ? En effet, si cela peut le faire se sentir utile et compétent, cela risque également de l'enfermer dans un rôle qu'il n'a pas à tenir. Il faut donc être vigilant et ne pas céder à la facilité.

A partir de ses sept ans Willow avait commencé à s'occuper de Dawn mais ce fut surtout dès ses douze ans qu'elle s'occupa réellement de sa plus jeune, Gaëlle, on peut demander à un enfant quelques petites tâches qui sont en cohérence avec l'autonomie qu'il est en train d'acquérir : débarrasser le couvert de son petit frère ou sœur, lui verser un verre d'eau, l'aider à manger, lui raconter une histoire avant de dormir…

A partir de sept ans, on parle de l'âge de raison, âge auquel il devrait en principe connaître les règles de sécurité. On peut donc imaginer qu'il est en mesure de garder un moment son cadet. Cependant il est important de procéder par étape, afin de voir comment l'enfant réagit à l'absence de l'adulte, pendant d'abord quelques minutes, puis un peu plus. Il n'y a pas de règles en la matière, chaque parent connaît son enfant et doit pouvoir savoir, sentir, quel est le bon moment, la bonne durée... Lorsque les enfants sont plusieurs, cela devient encore plus compliqué d'établir des règles. En effet, l'aîné seul n'aura pas le même comportement avec un ou des enfants plus jeunes. Il peut alors adopter le comportement d'un enfant plus jeune, le temps d'un instant, entraîné par l'envie de jouer ou d'explorer (pas toujours à bon escient). Le cadet peut se rebeller contre cette "nouvelle autorité" et devenir ingérable pour l'enfant plus âgé.

C'est aux parents de savoir comment se comportent leurs enfants, séparés mais surtout ensemble, comment ils gèrent leur impulsivité... en n'oubliant pas que ce sont eux qui restent les responsables de ce qui peut se passer à la maison.

Dans ce cas, je pense qu'il est même important de ne pas faire peser la responsabilité sur l'aîné, mais de le considérer comme un enfant à qui on fait confiance, comme à son frère/sa sœur à qui l'on fait également confiance... le déchargeant de ce fait d'une responsabilité qui ne peut pas être sienne.

A partir de dix ans, on garde la même approche que pour les plus jeunes... tout en tenant compte du fait qu'ils sont plus grands, en principe sécures, plus autonomes. Les tâches qu'on peut leur confier sont de plus en plus "responsabilisantes" et peut-être de plus en plus nombreuses. Donc cela va de soi qu'il peut y avoir de plus en plus de responsabilités vis-à-vis des plus jeunes.

Tout en n'oubliant pas que le pré-ado reste un enfant, et qu'il peut avoir des comportements différents (redevenir plus "jouette", être plus vite agacé, ou plus vite perdre pieds) face à son cadet.

Un autre détail qui a son importance est la différence d'âge entre frères et sœurs. Il est moins facile d'envisager ce type de responsabilité entre des frères/sœurs qui sont proches en âge (la rivalité est plus importante) que s'ils ont une grande différence (cinq ans, dix ans...) où cela sera également perçu comme moins "violent" par le plus jeune d'être sous la responsabilité de l'aîné.

Encore une fois, c'est à chaque parent de savoir comment sont leurs enfants, ce qu'ils aiment, comment ils se sentent, comment ils vivent les choses. Et pour cela il n'y a pas de recette toute faite, juste la sensibilité de chacun, l'écoute, la communication... Ce qui est probablement le plus important dans le rôle de parent.

En quoi est-ce bénéfique ?

Pour les petits (entre trois et sept ans), cela leur permet de s'autonomiser et de se sentir utiles.

Pour les plus grands (à partir de huit ans), c'est une bonne manière de créer un lien de confiance entre parents et enfants, mais aussi de leur apprendre à se responsabiliser et de tisser des liens privilégiés entre la fratrie. Donner le biberon, accompagner à l'école... peut, selon les enfants, être vécu comme créateur de lien. Une belle complicité peut en découler, sans que les tâches soient vécues comme des fardeaux.

Les relations fraternelles sont un lien extrêmement fort, teinté d'une ambivalence entre amour et haine.

L'aîné, qui aura été un moment enfant unique, se voit ensuite obligé de partager (ses parents, l'amour, l'espace...), il y a une perte narcissique plus ou moins forte selon les enfants. Le cadet n'aura jamais eu cette place d'unique et peut parfois également jalouser cet aîné qui pourra vivre toutes les "premières" avant lui... Ils sont donc chacun dans cette balance entre jalousie de la place de l'autre et amour fraternel.

Donner ces responsabilités, trop souvent, ou uniquement à l'aîné vis-à-vis du cadet pourrait les figer tous deux dans cette place donnée.

En outre, donner trop de responsabilités, c'est prendre le risque d'oublier qu'il est avant tout un enfant. Et faire de lui un être responsable, mais qui aura tendance à se conformer à ce que les parents attendent de lui. Ce qui est confortable, bien sûr, mais pas toujours le plus épanouissant pour l'adulte en devenir.

L'odeur du lait pour bébé, de la poudre, du parfum enivrent d'un nourrisson, c'était quelque chose que l'on oublier pas, sur les vêtements, ainsi que les odeurs des fruits et légumes de spéciale de plats pour les bouillit de Gaële ainsi que ses gouters… L'odeur des vêtements de la lessive et de sa peau qui emporter son gel douche et le savon….

Au tout début du commencement alors que tandis que tout débuta, dans la vie quelques mois après sa naissance par des babillement, des gargouillis, des mots en monosyllabe, mais jamais de véritable expression du mot venant dans langage claire, avec des sons, mes mimétismes de la vie quotidienne ainsi que les bruits d'animaux, de la nature et de la ville campagnarde, et tout autres, apprenait à s'exprimer Gaëlle...

Willow Rosenberg était une jeune âgée d'à présent d'un peu plus de seize ans, qui avait bien grandit depuis la toute première fois que Jenny l'avait rencontrée, changée et évoluer ; ses cheveux était toujours aussi roux foncés mais dans des teintes plus claires, mais moins long que l'année précédente, en effet Willow s'était fait faire une nouvelle coiffure en les coupant de plusieurs centimètres, ses cheveux autrefois long jusqu'au milieu du dos lui arrivaient à présent à hauteur de ses omoplates, ses yeux étaient d'un vert profond d'amende.

Depuis toujours Willow portait ou mettait à disposition en possédant des vêtements peu ordinaires, très ordinaires et neutre dans, maintenant, un certain gout pour être dans un style particulièrement et avant tout unique. Elle portait des pulls de couleur, dits de couleur bébé, tel le rose, le bleu, le vert, et jaune de couleurs spéciales enfants avec des motifs prouvant et apportant de l'innocence, des licornes, chevaux et autres animaux de compagnie, des t-shirt assez amples cachant son début de féminité adolescente, des pantalons qui ressemblaient à une enfant mal dans sa peau, des salopettes et des jupes à carreaux, fabriquées avec de la laines ; mais depuis le début de l'été, Willow s'était beaucoup affirmée d'autant plus dans sa dernière année grâce à sa nouvelle amitié avec Buffy Summers, elle commençait un peu à changer sa façon de s'habiller et ses tenues vestimentaires, s'intéressant à d'autres manières de porter des vêtements, et s'achetant quelques chemisiers qui avaient une touche de son côté enfant et peu sure d'elle, qui allait de prime avec sa personnalité discrète.

Mais étant toujours pas aussi féminine, sophistiquée et d'une apparence plus mature et sensuelle que Buffy, Cordélia ou d'autres jeunes filles de son âge, en cela Willow était encore et toujours, à jamais, complexée et mal en point.

Willow a vu sa naissance, en voyant le monde venant au monde alors que ses parents étant des jeunes mariés en plein milieu de leurs études scientifiques Quand tout avait commencé comme tel une belle rencontre, et un conte d'une vie pour raconter le début de l'histoire non-dit de Willow Rosenberg, lorsque tout commença lors de la rencontre d'Ira Rosenberg avec Sheila O'connell, durant leur première année d'université, la romance, l'amour était vite arrivé ainsi que le flirte à la fin des cours et entre amis, les rendez-vous officiels arrivèrent tout aussi rapidement, chacun n'avait pas ressenti le besoin de se cacher, de garder une relation secrète, et voulant à tout prix avoir la bénédiction et le consentement réciproque de leurs parents respectifs, les mêmes croyances, la même religion et valeurs faisaient partie des deux clans qui étaient dans chaque famille extrêmement importantes, dans la communauté juifs ; le mariage s'en était suivis rapidement ainsi que la venue au monde d'un bébé, en plein milieu de leur études, venant bouleverser leur univers, leur quotidien, leur foyer qui étaient très modeste à leur venue d'argent qui était affreusement mince, pour ne pas dire maigre en l'absence d'emploi, c'était le père de Sheila qui offrait l'argent, leur maison actuelle, et leur nourriture ; malgré leur situation, l'enfant fut une immense bénédiction aux jeunes parents...

Ira ainsi que Sheila continuaient leurs études, ce fut Heidrun qui s'occupa du bébé, et ce ne fut qu'achever que quatre ans plus tard, lorsque Willow eut âgée d'à peine quatre ans...

La petite fille avait connu et prit connaissance de ce monde d'adulte de scientifique, de science et autre domaine de prédilection de cette matière qu'était les sciences dès sa venue au monde, bien que c'était très top et que les personnes pouvaient même aller jusqu'à dire que c'était trop en avancer et que cela pourrait paraitre et être hors du commun, mais le fait est que, quoi qu'ils en soient, Willow avait pu entendre et écouter ses parents discuter et débattre sur des domaines de science humaine, et plus précisément que leur discipline était accès sur la biologie humaine-bactériologique pharmaceutique ; elle fut plongée dans des domaines comme ceci très top, ses parents pouvaient être considérés comme de bons parents en tant que tels dans l'éducation de l'apprentissage dans l'instruction de leur fille, car pour cela c'était très pointilleux, stricte et dans un ensemble attentif mêlé à de l'éducatif ; très top Ira offrit à Willow des livres pour enfants sur la biologie, des dessins sur le corps humain, des livres faciles à lire sur les sciences de la terre et de la vie, l'astronomie, la physique, la chimie et bien d'autres sujets... Willow s'était révélée extrêmement éveillée et curieuse d'apprendre sage, aimant travailler et patiente, réfléchit et bien sûr très érudite, Intelligente, Sagesse, Érudition, Réflexion, Curiosité, Originalité et enfin Créativité... Toutes ces qualités et caractérisations montraient l'image lisse et mature sans tache de Willow Rosenberg.

Avec le commencement d'avec le temps et au fils des années, Willow agrandissait toujours sa force de connaissance son pouvoir de culture et agrandissait ses horizons, en ayant toujours cette soif de connaissance qui l'assaillit et se développait croissant dans son esprit timide qu'était le sien, en voulant lire et apprendre sens cesse assouvir sa curiosité inlassablement ; elle aimait chacune des matières qu'on lui a transmise et apprit à l'école depuis l'âge du commencement de son apprentissage éducatif instructif, et n'avait aucune discipline qu'elle n'aimait pas - à l'exception du sport et autre art de combat, d'apprentissage physique - et avait développé des gouts non seulement pour chaque spécialité des science scientifique, mais également en littérature, et l'économie-sociale... A sa connaissance profonde aucune discipline existentielle ne l'intéressait pas, et étant d'une immense ouverture d'esprit à chaque sujet de conversation, que ce soit religieuse, de nature neutre, ordinaire ou surnaturel, et encore sans oublier science magique...

Willow avait donc passé la majorité de son temps étant enfant à lire et à étudié au grand dam de son meilleur ami, Alex ; qui était un être, qu'on ne pouvait nier et qui était complexe, pas beaucoup et peu de nombres de personnes ignorait cela et dans une version officielle toutes les personnes le voyant, l'observant, pensait que c'était un être de bonté d'innocence une victime de la classe sociale du lycée qui était au plus bas et un jeune homme qui riait toujours avait depuis longtemps crus prendre tout avec une bonne humeur écrasante et à une certaine légère tout et n'importe quoi, le clown d'un groupe entre autre pour faire un point final une parenthèse, pour en réalité être tout autre et beaucoup plus sombre, problématique que cela, une lueur sombre, un regard étrange, et surtout quelqu'un qui pouvait être manipulateur, le tout de la totalité tracer dans une lumière en aucun cas positive ; mais de ce côté de l'histoire, et où en est l'évolution et la période, Alex était clément, peut-être parce que Willow Buffy et d'autres étaient aveuglés encore un temps, enfants, Alex aimait joué, plaisanté en aidant son amie à sortir de sa coquille, sa solitude qui la conduisait et pour cause sa timidité et qui avait pour raison, pour but, son intelligence son côté surdouée et intellectuelle qui la conduisait vers un chemin et très certainement avec certitude une zone qui la menait à voir que Alex Harris une personne bien superficielle avec un tempérament ennuyeux, accompagnée d'un ajoutage au fait qu'il n'était pas intéressant ainsi que ses conversations qui avaient peu de saveur... Grace à lui toutefois, Willow s'amusait, s'ouvrait quelque peu mais surement aux autres et il l'encourageait mais en lui demandant toujours subtilement dans l'ombre sans rien lui rendre en retour et lui demandant des comptes et des faveurs qui parfois et sans cesse irréalisable...

Depuis le début Willow avait été une victime victimisée de la vie et d'un cercle social, en école intimidée, harcelée et dans des moqueries très dures et abjectes, en étant embêtée continuellement pour chaque cours, rédaction -composition écrite de chaque cours de matière-, il semblerait que tout le monde s'intéressait à elle car, elle était meilleure et première dans chaque classe en profitant de sa naïveté, sa gentillesse continue en se mêlant son refus de refusée ce qu'on lui faisait, et l'obligeait à ne pas dire un simple mot non, les abus continuels et beaucoup de choses ; et les cours privés de rattrapage qu'elle offre et donnait de bon cœur à certains de ses camarades... Dans le futur, Willow se souviendrait des multiples et hautes trahisons d'Alex, les points ça faisait mal de se souvenir de leur déni, de leur, son manque de souci pour ce qui écartait de plus important dans la vie qui était précieux...

Ce n'était plus compliqué, complexe à comprendre à expliquer que cela, de pourquoi tout le monde la rejetait, la trouvant étrange, en l'observant et la voyant quelque chose dans sa personnalité sa simplicité et son être unique effrayait, faisait peur aux personnes qui n'étaient incapables d'être eux-mêmes, qu'elle ne suivait pas, elle était une Rosenberg, et cette famille étaient des gens simples, une classe sociale assez confortable et aisée, dans un milieu de quartier banlieue ; mais Willow possédait des choses, des secrets et une personnalité qui poussaient les autres à la rejeter, une personnalité timide mais à la fois une fille de feu et d'esprit... Ce n'était pas que les autres enfants la détestaient où n'importe quelle autre excuse, la vérité est qu'ils avaient peur d'elle et que cette enfant soit meilleure qu'eux et représente tout le contraire de ce en quoi ils croient.

Sous ses regards timides, innocents, doux et timides incertains, se cachait tant bien que mal une petite fille fougueuse et espiègle au allure qui souhaite avec un rêve de faire ce qui lui fait plaisir, de s'amuser sans le moindre soucis et stress avec son meilleur ami, Alex ; enfant, elle avait eu une multitude de jouet de diverses diversités, de multiples univers, se changeant en princesse, en poupée, allait en haute direction de l'ouest Américain avec des cow-boy des filles de cowgirls, ses chevaux en plastique, ses peluches qu'elle conduisait dehors dans le parc la petite fille n'étant en aucun cas un être sociable se dirigeait toujours en courant vers un arbre isolé avec sur une branche suspendue à une corde un unique pneu usager et vieux ; Willow montait dessus en se balançant, réalisant faisant des tours de multiple le ventre posé dessus, écartant les bras en riant et criant de joie avec sa poupée qu'elle tenait en s'accrochant aux mains.

Son cartable, elle le jetait ou le déposait dans un coin de sa chambre avant de partir jouer. Parfois le soir, elle se créait une tante avec son drap après que sa mère lui ait dit bonsoir en l'embrassant tendrement sur le front, avec sa lampe torche dans le noir, elle inventait des histoires avec ses poupées et ses animaux, d'espaces, westerns, les suites de ses aventures préférées d'un dessins animés, existant depuis les années cinquante, qui fut intemporels, et dont Willow adorait et regardait le samedi et dimanche matin avec Alex et Dawn.

Ses jouets avaient une constante frayeur en observant le temps passé à mesure que les saisons et les années s'écoulaient, voyant et constatant que Willow grandissait et changeait, certains de ses biens ne l'intéressaient plus, où changeaient, disparaissant, étant vendus ou donnés, certains restaient quand même dans la mémoire de la jeune fille, et restaient jusqu'à même dans sa chambre où son lit, en sachant que rien n'était éternel et pouvait être remplacé dans son cœur et qu'un beau jour elle se désintéressera totalement et définitivement de son univers d'enfant... Beaucoup de choses changeaient et bougeaient dans la pièce, des posters, des cadres et d'autres jouets, des meubles n'étaient plus ici. Willow garda toujours sa poupée girly de cowgirls, en oubliant qu'elle fut sous son lit.

L'activité de jeux favorite, préférée d'Alex et Willow était de courir ensemble dans la nature, se poursuivant, se cachant dans des buissons, dans les grands parcs qui avaient cette atmosphère cet air de campagne qui avait cette ressemblance de prairies, de nature, vertes et florales... Se courant après, qui était en général et à beaucoup d'occasions fut Alex devant la fillette.

Mais dans tout cela dans tout ce carnage et la vie d'aventure qui pouvait paraitre pour le moins difficile à Willow, dans son entourage sauf avec ses meilleurs amis et ses grands-parents, elle était à l'abris de la dureté du monde, mais les personnes qu'elle a toujours aimées dans sa chaleur de son sanctuaire foyer familiale, n'était qu'autre que ses petites jeune sœurs, Dawn et Gaëlle. Qu'elle les aimait toujours et à jamais tendrement, en étant protectrice avec eux quand les enfants avaient des ennuis, lorsqu'elles étaient tristes et au plus bas, après des disputes ou des bêtises, Willow les défendait, veillait sur elles, effaçait leurs larmes et prenait leurs peines ; Willow essayait toujours d'être proche avec Dawn, et malgré leur relation tendue par instant, par moment, leur froideur et dispute, Willow était proche de Dawn et la fillette était proche de sa sœur ainée...

Très régulièrement aussi souvent, presque chaque jour, des après-midi, la famille Rosenberg organisait des gouters ainsi que des instants de détente, relaxation, de moments qui laissaient penser que l'on pouvait être hors du temps, dans un milieu de tendresse de douceur et sans soucis pour les problèmes quotidiens de la vie, dans le jardin ensoleillé pour recevoir des invités, des amis de leurs petites-filles et qui étaient amis avec la famille liées d'une manière ou d'une autre, par le sang ou encore liées par les liens de l'amitié et par connaissance ; ce serait comme cela, que Jenny arriva en début d'après-midi ensoleillé et chaude dans le jardin, chez Heidrun et Samuel Rosenberg.

En arrivant sous le soleil du midi qui se trouvait haut dans le ciel, les rayons frappant dans Sunnydale avec un voile de lumière voilà jaune et lumineux chaud orangé et jaunie, frappant la silhouette de Jenny, qui montait les marches du porche jusqu'à la porte d'entrée de la maison des grands-parents Rosenberg. Les pas alertant l'audition des filles, étant heureuse de la visite de Jenny. Grinçant, et le talon des chaussures réalisant un son de claquette, contre le bois des marches de l'avancé des pieds…

Avant de pouvoir avoir une quelconque once de chance de mouvement que sa main a pu se lever pour se tendre contre le panneau de bois de la porte, frottant ses doigts contre le bois polis et lisse, ses empreintes digitales, le bout de sa peau de ses doigts frottant contre le bois, ne le fit pas faire en n'ayant l'occasion de faire réaliser le geste, en entendant le déclic du signal, du fait qui permettait en entant que c'était un signe que la porte se déverrouilla, qui après avoir grincée, le son de la poignée se fit entendre dans le silence de l'attente...

Pour entendre des rires, des éclats de voix purement féminins, enfantins et positifs criant pour aller ouvrir la porte et des pas couvrir et qui coururent, des pas précipités et vifs, de différentes sortes, se disputent pour connaitre, savoir qui serait la première à accueillir, finalement au final les filles se mirent d'accord pour y être toutes en même temps ensemble ; ce fut Dawn qui était en première, un sourire éclatant, Gaëlle derrière sa sœur, Willow sur leurs talons...

Le sourire illumina le jeune visage de Dawn, en ouvrant à la jeune femme devant elle, lui disant bonjour avec éclat et éblouissement, sans rajouter de mot et de parole, elle partit se blottir doucement et tendrement dans les bras de Jenny ; voulant caller sa tête contre son épaule mais étant trop petite, elle la posa et se pressa contre sa poitrine alors que Jenny, posa son menton puis sa tête contre ses cheveux.

Elle la prénomma comme elle le faisait si souvent, sa petite Juniore, tout en lui demandant comment elle allait, l'embrasse sur le sommet de sa chevelure, son attention fut poussée et tirée vers une nouvelle voix, un éclat, une tornade de tourbillon, à ces gestes, Jenny déplaça donne de son étreinte et ses bras la décalant, puis en s'agenouillant.

Ensuite la jeune Gaëlle tandis ses jeune et petit bras autour du cou de Jenny, en s'écriant le prénom de la jeune femme, se blottissant contre elle, enfouissant son nez et son visage inhalent son parfum et profitant de sa chaleur, sa peau et son étreinte, ses câlins... La petite fille lui demandait comment elle allait et demandait ensuite d'être portée.

Jenny constata dès l'apparition de l'enfant, que Gaëlle avait bien grandit depuis le début de l'été et avait changé, sa peau était moins pale grâce au soleil, et la chaleur. Elle vit aussi, Willow, qui avait également beaucoup changée en apparence et physiquement, elle passa son bras autour des épaules de la jeune fille, pressant son épaule très légèrement et l'étreignit ; lui murmurant de très légères paroles.

En ce jour d'été, de visite pour les vacances dans un commun accord dans le but de passer dans de bons instants de compagnie de l'autre, lors du moment pour passer un après-midi en apportant des cadeaux aux enfants, dans l'espoir de l'idée de passer un agréable après-midi chaud et ensoleillé ; les surprises apportées à Dawn et Gaëlle furent deux et trois boites remplies d'anciennes poupées Barbie, elle les avaient sortie du grenier familial, désemballant et transportant pour les ramener dans sa maison, ne voulant plus que ses anciens jouets soient dans la poussière, soit dans l'oubli et tout cela... Voulant les offrir en les léguant aux sœurs de sa meilleure élève et amie particulière.

Ouvrant le couvercle des coffres de boites, elles découvrirent des dizaines peut-être des vingtaines de minuscules miniatures de tissus en formes d'habits de taille de poupées, en diverses et différentes couleurs, des pantalons, des jupes, des robes, des hauts et des minuscules chausses, avec les véritables très célèbres poupées Barbie avec leur petit-ami, Ken, des bébés, des sœurs des babies et plus encore, commuer en donnant à n'importe quelle multitude de palettes de couleurs, des vêtements tout simplement simples et fait main maison, qui n'étaient non achetés. Les poupées étaient classiques et traditionnelles, un corps mince et svelte, avec accompagné d'yeux bleu et cheveux blonds... Les filles en avaient déjà quelques-unes ; Dawn jouait généralement dans un univers de princesse, d'héroïne de cœur de bonté dans un monde où une femme à l'esprit l'âme aimante doux tendre traditionnaliste dont que la femme reste à la maison, la femme à une place à part mais importante dans la maison et élèves des enfants, parle prend soin des animaux... L'amour pour toujours dont le premier amour est sacré, important, le meilleur et unique, fidèle au dessin animé de ses nombreuses héroïnes, et lui appris la danse les musiques classiques.

Quant à Gaëlle, aimait être orignal, novatrice et surtout également innovatrice, se sentant spéciale dans la découverte, l'exploration de nouveaux sujets d'aventure et univers créatif, dans un monde de magie, monde surnaturel, aventurière, monde soldat-infirmière, chanteuse... Chaque jeu où situation et imitation d'adulte féministe et femme forte qui lui donnait l'impression d'être plus que cela. Il y avait une grande différence entre les caractères entre Dawn et Gaëlle, accompagné communément d'un grand fossé, les unissent, de personnalité dans un monde du contraire inconsciemment conservatisme et féministe...

Les rôles dans lesquels elle entrainait ses poupées, les mettant dans de nombreux jeux préférés intenses dans sa vive prestigieuse imagination remplie de rêves, Gaëlle avait ses rôles qui lui tenait beaucoup ainsi que le mimétisme qu'elle aimait reproduire sans cesse, et cela était, Barbie l'aventurière, l'exploratrice, et la détective engageant donc à mettre en lumière des femmes qui transmettent des valeurs d'émancipation pour inspirer de plus en plus de petites filles... Bien que puisse regretter un certain manque de ressemblance physique entre certaines poupées et la réalité, la marque entend malgré tout faire la lumière et rendre hommage à ces héroïnes et véhiculer un message d'espoir aux petites filles, les appelant à devenir celles qu'elles souhaitent devenir, peu importe le parcours qu'elles choisissent d'emprunter.

"Les filles ont toujours su jouer différents rôles et différentes carrières avec Barbie et nous sommes très heureux de pouvoir mettre en lumière de vraies héroïnes féminines afin de rappeler aux jeunes filles qu'elles peuvent devenir ce qu'elles veulent"

Gaëlle aime raconter tous ses univers créer et son imagination infime, innovatrice multitude, de jeu symbolique, pour parfaire ses jeu et aventure épisodique de ses personnages ; l'enfant, faisait sauter ses poupées de l'étage au rez-de-chaussée comme telle une falaise dans une île mystérieuse de la jungle de l'équateur déserte de toute vie humaine ; elle faisait dévaler ses nombreuses poupées sur la rampe d'escaliers, fuyant les animaux particulièrement sauvages féroces et dangereux... Gaëlle demandait, aimait savoir quand quelqu'un avait les mêmes gouts qu'elle, que l'on jouait aux mêmes jeux et possédait la même imagination qu'elle, c'était donc pour cela qu'elle demanda si Jenny connaissait les aventures de Barbie l'aventurière...

C'était donc dans ce contexte d'état d'esprit, et dans ses circonstances, que Jenny lui avait répondu dans un regard incertain, qui plongèrent ses traits dans une concentration se plissant s'étirant dans cet expression, puis en perplexité confuse et perplexe, ses yeux dans le lointain et littéralement, certainement hypnotique, dans le doute et tentant de se souvenir de façon, vainement, inutilement et infructueusement des jeux auxquels elle avait joués et inventé durant ses nombreuses années...

Pour finalement au finale, lui répondant avec regret dans ses yeux baignés et nagés d'un remord, de faire de la peine à la petite fille, gravait dans ses yeux ; Gaëlle baissa son regard, une profond compréhension de concentration, ses sourcils se froncèrent tout le temps comme à son habitude quand elle réfléchit concrètement, ses yeux s'illuminèrent alors, dans son regard de lutin enfantin, n'étant pas le moins frustrait, en colère et énervée qu'une adulte ne lui réponde pas comme cela lui convenait, bien au contraire c'était une belle opportunité, occasion de pouvoir racontais ses histoires, fière d'elle-même, pouvoir expliquer avec des mots d'enfants ce que personne connaissait à part elle-même. Mais en n'ayant jamais inventé des histoires, de nouvel univers n'appartenant pas au monde des célèbres poupées Barbie, Jenny découvrit un nouveau monde et appris, compris tout ce que Gaëlle lui révéla.

Alors qu'au même moment, pendant ce temps, alors que le temps s'écoulait, après le long cheminement du fils et de la fin du récits de Gaëlle, sous le soleil encore des plus lumineux et chaud qui apportait un bien être infinie amenant en étant conduit dans la relaxation, détente, décontraction, de la chaleur L'été est généralement perçu comme la saison où les températures sont les plus élevées, ainsi que la période de l'année où l'apport d'énergie solaire est à son maximum, c'est-à-dire où le Soleil envoie le plus de lumière et le plus de chaleur. En été, la nature atteint sa pleine maturité, les arbres produisent des fruits et les températures sont souvent les plus élevées de l'année, Et qui dit vacances, dit détente. Les beaux jours sont revenus, le soleil est à son comble et le temps n'est pas compté. Un combo parfait pour lorgner au soleil, bronzer et profiter au maximum. Amenant faisant front, entrainant les frontières d'un monde universelle familiale d'aisance béatitude, bonheur, confort, contentement, détente., euphorie, félicité avec tous ces mots, définitions explicatives dans l'admiration et surtout les adjectifs de bien-être sortant amenant de la douceur... Tout le monde était dehors, profitants du soleil et ce halo de jaune lumineux et chaleur chaude.

Des chaises de jardin blanches, en bois, étaient mises parsemées autour d'une table ronde en cercle, le sol était sec, et non immaculé de rosée, les minuscules gouttelettes par milliers émanant de la végétation s'accrochent aux fleurs, au plantes et feuilles d'arbres et l'herbes étaient demeurant inexistants, des particules d'eau qui faisaient reposer, embellir la terre, la nature ainsi que tout avec la faune et la flore... Possédant des petites jambes avec accompagné du cadeau de possession de ses muscles la jeune Gaëlle courrait beaucoup dans le jardin, en riant, Avec ses cheveux roux foncée au reflet blond, ses deux fossettes, sa maladresse et sa joie de vivre, Gaëlle était incontestablement la fille de sa sœur. Un peu trop, même, pour les deux adultes qui partageaient sa vie et qui ne voyaient en elle que le fantôme de celui qu'elle avait aimé et qui n'était plus là.

Ses yeux brillent alors de mille feux et ses lèvres s'étirent en un tout petit sourire. Jenny sait qu'elle veut attendrir en faisant cette tête et elle réussit à merveille. Quand elle la regarde de la sorte, elle se dis qu'elle est plus que jamais la fille de Willow et ressemblait et c'était vrai à tous les moyens à sa grand-mère Heidrun. Qu'elle lui ressemble bien plus qu'elle ne la ressemble, qu'elle a son courage, sa joie de vivre, tout ce que jenny n'ait jamais eu et n'aurait probablement jamais.

Quand elle étire ses lèvres en un sourire, elle a toujours un peu mal, comme s'il s'agissait de quelque chose qui n'était pas naturel. Mais elle aime cette petite fille et même si Jenny ne doit, ne pourra jamais se remettre de ce qu'il se passera il y a maintenant un peu plus de six ans, jenny refuse que ce soit elle qui paye ses mauvais choix, sa tristesse, son manque de courage. Alors elle la suit dans le jardin en la surveillant attentivement, parce que comme Willow elle est assez maladroite et ne cesse de tomber.

Et tu ris, Gaëlle et Anastasia. Tu ris parce que tu ne sais pas que cette jeune femme que tu aimes tant s'appelle Willow Rosenberg et que sa sœur et lui ne se retrouvent que parce que Willow, Rupert Giles, la future fille de Jenny, son bébé miracle lui, n'est plus là. Et tu ris, Anastasia et Gaëlle Tu ris parce que si parfois tu poses des questions sur ton père, ta sœur, tu ne sais pas encore à quel point sa mort était injuste et à quel point ta mère a manqué de courage ce soir-là.

Et tu ris, Anastasia et Gaëlle. Tu ris parce que le bonheur est en toi et que pour cela, la vie te paraît chaque jour être plus belle.

Les éclats de joie de cristal en verre continuaient d'envahir les sens de tout le monde, les sens de la nature de l'herbe et le vent ; Dawn en ressentit les effet de plénitudes de douceur de calme et silence, en écoutant ses pensées se perdant dans son esprits et le lointain mélancolique de nostalgie, elle s'était simplement assise sur les marche du porche, ses coudes se pressant contre ses cuisses proches de ses genou, les paumes de ses mains chaudes contre son mentons dans un regard contemplatifs sérieux lointain de concentration, elle s'était assise en soufflant doucement soupirant perdues dans ses pensées, reniflant, ses bras pendants sur les cotées. Jenny la vit perdue et seule sachant et comprenant ce que cela faisait et comment l'on se sentait d'être l'enfant la sœur éventuellement, surtout, oublier et mise de côtés, se sentant proche de la petite fille, sa chère Dawn et c'était ainsi que dans son fort intérieur elle soupira aussi, venant s'assoir à ses côtés, lui demandant pour commencer après que son regard fut perdu dans ses traits et sa chevelure châtain foncée, son regard son visage se pencha sur un léger côtés l'examinent en souriant doucement et secrètement avec tendresse et affection, avant de parler, tendant avant sa main ses doigts caressant affectueusement les longues mèches de cheveux dans ce geste si habituels les trouvant soyeux pour l'apaiser...

Et en lui demandant si tout allait bien, si il y avait quelque chose de particulièrement dure la tracassait, mais après avoir prononcé ses mots, si simple en apparence, son regard se ferma dans le vide ainsi que ses traits, avant de s'apercevoir en réfléchissant, en demandant pardon pour cette question si simple et stupide.

Jenny finit après un instant de silence, en essayant de ne pas la blesser davantage en maintenant un souffle d'atmosphère légère de silence, son torse se tournant vers Dawn se penchant un peu pour la prendre dans ses bras l'étreignant tendrement avec confort et réconfort, murmurant des non-sens d'absurdité pour calmer les émois de sa chère Dawnie, pour l'apaiser et lui apporter de la lumière de bonheur... Avant que Dawn réussisse à se confier, elle se dégagea sortant des bras de la jeune femme l'observant la regardant sous ses cils sans lever ses yeux, sans osant croiser son regard, sous ses paupières, ses mains de paumes pressées l'une contre l'autre et fermées, se concentrant sur quoi dire et trouver les mots pour déverser ce qui la préoccupait toujours tout le temps, et le sentiment de nostalgie qui se répand en elle et qui l'assaille.

"J'ai toujours aimé jouer avec mes propres poupées simples et classiques, même les Barbie." Commença Dawn. Jenny n'osa pas l'interrompre ne comprenant pas que c'était simplement cela qui l'inquiète et la perturbe, comprenant qu'il y avait plus, attendant en silence qu'elle continue sa déclaration, son poids qu'elle était en train de retirer sur de son cœur, il y avait toujours plus que de simples mal-être d'enfants, enfantins chez Dawn Rosenberg c'était toujours énorme et rempli d'un grande affaire, et beaucoup plus profond, fâcheux, sachant qu'il y avait plus de ses tentatives de discours et paroles ; Dawn balançant son torse, une fibre doucement si doucement que son corps restait immobile et que personne ne s'en rendait compte... "... J'ai aimé que tu nous en offre, tante Jenny, vraiment je les aime, je t'aime, on dirait ça ressemble à une journée normale de bonheur familiale entre des sœurs." Dawn avala sa salive, les larmes aux yeux devant l'intimité de ses paroles, de sa famille, de ses sentiments pour sa famille la plus jeune et la plus veille des filles Rosenberg, ainsi que des non-dits, des faits que l'on ne connaissaient pas, que personne ne connaissait de Dawn, et la juger tellement rapidement, "... Gaëlle est si heureuse, j'ai toujours l'impression, que c'est elle la plus heureuses de nous toutes, papa et maman ainsi que Grand-père et mamie l'aime plus que moi ; on joue toujours bien ensemble on s'entend toujours, on est complice et ne se dispute jamais, je suis toujours heureuse avec mes deux sœurs, jamais je ne les laisserai ou les abandonnerai, je voudrais que ce soit tout le temps comme ça, un univers voilé de brumes et secrets invisibles aux autres, je ne veux pas qu'on me les arrache et que tout devienne différent. Jamais. Ça reste toujours comme ça si on reste dans notre grotte reperd secret, et on sera en sécurité… Rien ne doit nous séparer..."

Après une courte hésitation, elle continua, préférant tout dire tant qu'il en avait le courage, ce que Jenny avait apparemment compris puisqu'elle ne l'interrompit pas, et refusait de le faire, en comprenant son besoin d'aveu, de confession et de faire fondre son cœur, se libérer... "Buffy a gâché tout cela depuis qu'elle est arrivait, Willow n'a de mots, ne s'exprime plus qu'avec son nom, et ne s'occupe plus de moi comme avant, autrefois, il se passe quelque chose, et je n'aime pas cette fille, où je crois que je l'admirait en secret mais ça je ne l'avouerai jamais ; j'ai toujours aimé quand on était tous en famille, quand mes parents étaient à la maison et pas en voyage pour le travail -ce qui arrive rarement- on est si heureux, et tout à l'air tellement normal et ces bons et calmes soyeux, avant que tout soit gâché et devienne si compliqué la même année juste avant ton arrivée l'été dernier, avant l'arrivée de Buffy Summers et ça devienne si dur, Grand-père et papa avaient réservé un manège de carrousel pour nous trois pour nous faire plaisir et pour nous apporter du bonheur et de la gâter pour savourer qu'on étaient tous ensemble, on a réalisé je ne sais combien de tours de manège, papa montait avec nous ainsi que maman et mamie, grand-père nous prenait en photo, et je n'ai pas lâché mon cheval de bois marron, jamais. Il y avait des rires, des tours inoubliables, on faisait la course avec Willow et Gaëlle..."

Jenny resta silencieuse un long instant, ses yeux brillants d'émotions, d'affections, tendresse, d'amour purement maternelle pour Dawn, ses yeux, ses pupilles, se remplissant de larmes non versées, sa lumières de sa couleur d'yeux brillait, se plongeant dans la contemplation d'un genre compréhensif, indulgence et de clarté, bienveillance, ne sachant ce que Dawn ressentait, était à l'écoute de ses besoins, ne la jugeait pas, c'est à dire de manière malveillante où un jugement dur, mais plutôt une compréhension analyse de requête avis ; Jenny savait que Dawn n'était pas dure, ne pouvait pas l'être ou ne jugeait mal, malgré qu'elle n'avait pas compris et ne voyait pas la véritable personnalité de Buffy, elle comprenait que Dawn possédait de l'amertume et la triste face à l'abandon de sa sœur ainée ; elle pouvait se montrer jalouse de ne pas savoir partager que d'autre ne faisait pas d'effort pour qu'elle se sente désirée, aimée, indispensable en passant par le fait qu'elle ne ressente pas d'invisibilité et de la transparence...

Jenny essayait de discuter avec Dawn, lui parlant calmement, voulant l'apaiser et la rationnaliser sans pour autant lui dire qu'elle avait peut-être tord et sans la blesser en lui montrant un peu de raison dans ce qu'elle disait et également ce que la jeune femme lui montrât, en faisant ainsi elle se montrèrent qu'elles se trouver sur un pied d'égalité et dans tout, il y avait du vrai...

Son seul et unique but, son but était de réparer les cassures qui ont pu être causés dans l'être même et son âme de Dawn, de l'apaiser et la consoler en essayant tentant de la faire gagner en confiance en elle et sure d'elle-même, ne voulant pas la fragiliser d'avantage et plus qu'elle ne l'est. Cela avait marché, du moins durant un temps, le moment et l'instant de ses paroles et l'acte, mais après une dispute qui était une broutille, avec le seule, et d'un point de vue extérieur, dans un moment de recule était nul et pas terrible indigne des deux sœurs, et le lien entre Gaëlle et Dawn.

A son jeune âge, la petite fille qu'était Gaëlle, n'avait pas connaissance des sons, du bruits qu'elle pouvait réaliser en ayant pas conscience en ne sachant pas comment faire face en gérant les sonorité de sa voix, lorsqu'elle ne devait pas déranger les autres occupent de la maison, elle n'avait pas conscience du temps écoulé, des moments des jeux, des moments de repos et de sommeil, Apprendre le respect à un enfant, c'est lui montrer à traiter avec soin les gens et les objets qui l'entourent. Cela veut dire l'aider à comprendre qu'il n'y a pas que lui qui compte, mais qu'il doit aussi tenir compte des autres.

L'enfant commence à mieux comprendre les notions "avant" et "après". Ce sont souvent les premières notions de temps qu'il apprend... Vers cet âge, l'enfant comprend mieux les mots désignant les moments de la journée, matin, midi, soir, jour, nuit.

Comment leur faire comprendre ces notions ? Sur un tableau ou un cahier, créer avec lui un calendrier en trois temps pour commencer : le passé, le présent et le futur. Imaginez des petites étiquettes d'activités ou d'événements -sortie au parc, repas chez mamie...-, et aidez-le à les placer au bon endroit.

Partir du vécu de l'enfant, d'un moment présent qui va devenir un temps passé, gardé en mémoire grâce aux photos ou prévoir un temps à venir pour travailler l'attente dans le présent... Faire vivre, comprendre, utiliser les outils créés avec les élèves pour qu'ils se les approprient.

Les enfants utilisent des calendriers, des horloges, des sabliers pour se repérer dans la chronologie et mesurer des durées. Ces acquisitions encore limitées seront à poursuivre au cours préparatoire.

C'était pour cette raison, que Gaëlle ne savait pas qu'elle avait bouleversée sa sœur, Dawn, en n'ayant pas conscience et était inconsciente de son mal être et sa fatigue inhabituelle, en ce milieu d'après-midi, la petite fille était pale, fatiguée de toute cette pression, et ce malgré les supplications de repos, de silence de l'ainée, sans prendre en compte que Dawn voulait le silence et qu'elle arrête son jeu...

Ce qui arriva devait l'être, arrivait ; la colère, la patience coula dans les veines de Dawn comme un poison, bouillonnant dans son cops, sentant ses nerfs trembler et montait en pleine puissances, ne la contrôlant plus, ni ne voulant blesser sa sœur, mais tout ceci fut plus forte qu'elle et finit par monter sa voix dans la gravité, et employa des mots irréparable, cinglants...

Elle ne pouvait que regarder impuissante avec des yeux froids, qui tremblaient en laissant des traces de remords, de vulnérabilité, ses traits frémirent se sentant à présent mais trop tard incertaine se blessant, et portant un regard triste et tout ceci, avant que Gaëlle écrit à quel point elle était injuste, à quel point elle était parfois, par moment, par instant, méchante, dure, cruelle et le cœur froid, et qu'elle ne pouvait et ne voulait plus être sa sœur ; le coup de grâce fut un dernier mot, ce nom affectueux et intime, Dawnie.

Avant de courir dans la maison, sous le regard qui avait assisté à toute la scène sans comprendre sans intervenir, les bras tendus, voulant arrêter la fillette mais n'a pas pu...

Une dernière fois, Jenny soupira dans son for intérieur, intérieurement, ne laissa rien paraitre, regardant intensément Dawn, ses épaules s'affaissant…


Lors des discussions tumultueuses, des crises terribles familiales qui dans la tourmente donnaient sans cesse des impressions qu'il n'y aurait jamais de fin aux moments tragiques de disputes entre chacune des sœurs, même si parfois par moment, instant, il n'y avait pas de sortie, de terme, à la crise, il y avait toujours une fenêtre d'ouverte où entraient la lumière et le soleil, puis peu-à-peu tout s'arrangeait, d'ordinaire, derrière ces moments, entre tout cela et ceci ; dans le passé moelleux, sensible, sortant de la comédie, du miel, doux et innocent de la famille se souvenant des instants de bien-être sans nom que portait l'innocence et rien de soucis, Willow se rappelait des premiers moments où elle était devenue une sœur, quand elle ne fut plus seule, la seule enfant de ses parents, de l'arrivée de Dawn, puis toutes deux se rappelèrent de la naissance de Gaëlle, dès l'instant du moment, où elles sont devenues trois, où d'avec et avec Gaëlle cela fait trois...

Le jour où tout à basculé lors de la naissance de leur sœur, la petite dernière de la famille, lorsque les premiers instants qui arrivèrent se démêlant, filant au fil du temps et des jours bousculant le quotidien pour faire place au nouveau, en apprenant aux filles avant la naissance les apprivoisant pour apprendre, à leur murmurer des chansons, leur faire voir et montrer des images, des scènes en préparent l'arrivée de la nouvelle petite sœur ; décorant la chambre, installant, mettant en place en arrangeant les différents jouets et peluches, en confectionnant un berceau à barreau, mettant en place le matelas et tout ce qui pouvait être mit dans un lit pour bébé...

Apprendre à connaitre, comprendre qu'il y aura très bientôt un jour une nouvelle personne membre familial dans la famille, à apprivoiser ces nouveaux sentiments et vivre apprendre à vivre avant la plus grande aventure d'avoir quelqu'un d'autre dans la vie et auprès de soi, ayant une nouvelle vie qui commençait à naitre dans le ventre de sa mère, à être apprivoisée, nourrit dans de petites attentions de début d'amour d'attention, avant la naissance et la véritable rencontre.

Le jour où tout arriva fut une douce bienvenue, et parfaite bénédiction pour une journée l'attente de quelques heures de plus pour la naissance de Gaëlle, encore quelques moments et plusieurs instants de patience avant le grand jour, le moment de véritable bonheur parfait ; l'accouchement et plus précisément les contractions au commencement ce fut la veille au soir vers le couché de soleil, avant que la venue au monde se fit vers la lueur de l'aube, dès ses premiers minutes, instants, les premières heures du matin à la fin de la nuit, alors que le soleil frappait ses premiers rayons de la journée, du soleil chaud de sa boule d'énergie de feu jaune et brillant, frappant la lumière, les maisons, la végétation, les fleurs et les arbres avant les fenêtres de la chambre de Willow et celle de Dawn, également la chaleur agréable bien que chaude pour tout début de printemps qui avait semblé plusieurs jours auparavant encore en hiver malgré les températures particulièrement très clémentes en Californie en côte ouest, la lumière lumineuse jaune éblouissait les rideaux à leur travers. Ainsi, au lever comme au coucher du soleil, la lumière solaire parcourt un important trajet dans l'atmosphère : toutes les couleurs à faible longueur d'ondes disparaissent et la couleur du ciel et du soleil vire alors au rose, orange ou rouge. Voir les rayons du soleil inondés le jardin, dès l'arrivée du soleil le matin, constatant un effet fantastique dans sa pièce à vivre. Le salon était baigné de lumière comme si le soleil entrait directement. Les réflecteurs jardin restituent les rayons de soleil de manière naturelle avec un rendu impressionnant. Mais plusieurs paramètres limitaient l'effet obtenu. La lumière du soleil réalisée emporta de l'énergie de chaleur et la vie qui apporta en donnant naissance à la vie pour faire grandir la terre, le vert de la verdure des arbres en des couleurs incroyables extrêmement très irréalistes ; les bois colorés, les arbres du comté des rues et avenues, les arbres et les buissons épais seulement partiellement familiers dans leurs nuances de vert, de brun et de bleu pour ce qui était des fleurs, plantes. Et alors qu'ils partageaient quelques instants de silence, la réalité de ce qui se passait a commencé à s'enfoncer.

L'endroit semblait tout droit sorti d'un livre de contes de fées pour cette incroyable belle magnifique formidable journée, avec une herbe douce de couleur sarcelle et de petites fleurs jaune-vert, toutes entourées d'arbres sombres, leurs feuilles chuchotant doucement dans le vent doux. Ce monde était beau, a-t-on dû l'admettre dans les souvenirs, avec sa végétation verte et bleue et ses fleurs et fruits violets et violets, dont certains étaient comestibles et savoureux.

C'était dans cet fantastique incroyable monde d'univers universel qui fut en quelques mots enveloppé étonnamment dans les souvenirs du passé alors que cela faisait à présent quelques années depuis les évènements et toutes les images du passé et les secrets étaient toujours aussi vifs, vivants et vivifiés étant toujours présents, respirant un début de saison printanier, l'odeur de la nature remplissant les sens, les odeurs et la vue ; la senteur, le parfum de l'herbe rempli de rosée, les fleurs sauvages ainsi que ceux des floraux délicates riches, esthétiques des jardins et ceux qui appartiennent au fleuriste qui se révélaient ne pas être loin de résidence de banlieue, l'odeur des feuilles d'arbres de la verdure qui étaient si verte si brillant si pur et nourris par le vent, la pluie le temps clément et ensoleillé accompagné par l'arôme de la sève de l'écorce marron des troncs d'arbres...

Dans les petites aurores de l'aube du matin avec le son des chants des moineaux, rossignoles ainsi que les rouges-gorges tous en parfaite harmonie, en entendant les mélodies d'accord en synchronisation parfaitement et remarquablement accordées ensemble ne faisant qu'un qui se mélangeait parfaitement de différents sons qui apportait une euphonie, ajustement dans la musique musicale du matin naturel, comme tel bien commencé une journée sans nuage ensoleillait le matin...

Les fenêtres étaient ouvertes pour laisser entrer en passant l'air frais du matin, l'humidité et le temps les différentes lueurs accompagnant tout, les gouttelettes de rosée scintillaient, brillaient à la lumière aidant en emmenant de la coexistence avec la maison aidant les petites sœurs Rosenberg à se réveiller doucement en lenteur prenant le temps de nettoyer, retirer le sommeil de leurs yeux et lentement se préparant pour une journée du retour de Sheila et le bébé de la maternité au domicile familial... Dawn était habillée ce jour-là d'une robe d'enfant bleue marine fleurie de jolies roses, dans le souvenir elle était âgée d'à peine cinq ans, ses cheveux châtain foncé qui seraient toujours et comme autrefois longs, toujours aussi longs, soyeux en étant tout aussi souvent en ayant mis en arrière soigneusement et parfaitement peignés... La jeune Willow sa grande sœur, et l'ainée des deux jeunes enfants, la plus grande et âgée, était de douze ans, Etant vêtue d'une simple salopette bleu clair marine délavée et accompagnée d'un t-shirt rose, ce qui était un bel ensemble pour une adolescente enfantine qui correspondait à son visage de petite fille, complémenté sa tenue, ajouter un supplément pour sa coiffure des deux grosses tresses identiques descendants sur sa poitrine plate en allant par la même occasion de se fait au milieu du dos, ses mèches de cheveux retirées de son visage maculé, son teint était comme une pêche au matin de printemps, et pour une fois mais qui arrivait de temps à autre son visage ne faisait pas apparaitre, n'avait pas de taches de rousseurs.

Quittant sa chambre en courant Dawn, appela frénétiquement Willow, s'extasiait de joie et de bonheur, un sourire ornant son petit joli visage ainsi que ses lèvres, en arrivant aux côtés de sa grande sœur, elle reprit son souffle et en haletant tout en lui parlant, Dawn se confie à Willow.

S'écriant dans l'exaltation pour une nouvelle belle journée, n'ayant peut dormi dans sa hâte d'être au lendemain en étant si pressée ne pouvant plus attendre son excitation ne pouvant plus attende croyant qu'en gardant ses yeux ouverts le temps passera plus vite et son cerveau en mouvement, durant la nuit mais avait tout de même fermé ses yeux, précisant fièrement et tellement certaine d'elle-même dans sa manière de penser d'enfant et de son esprit d'enfantin espérant qu'en étant sûre d'avoir dormi simplement fermant les yeux et non seulement se reposer ; mais ce n'était sans l'interruption de Willow, rit des expressions de sa plus petite sœur et ses croyances s'imaginant des pensées si innocentes et plus heureuses que des adultes que l'on est, sans se moquer d'elle...

Le visage de Dawn, ses traits se froissèrent lentement se plissant de frustration une moue qui était par instant à chaque fois qu'elle la réalisait étant attachante mais était en colère que Willow puisse rire d'elle en lui disant que c'était vrai et était trop impatiente d'être maintenant comme elle osait le dire, enfin de son point de vue lors de son afflux de pensées était qu'elle était impatiente d'être au lendemain...

Dawn s'inquiétait, était dans de sombres pensées pour une enfant de son âge d'un âge si tendre pour une petite fille, elle pensait si fort à sa maman et avait peur qu'elle ne rentre jamais à la maison, car pour Dawn, elle s'imaginait et pouvait très facilement se rendre compte qu'il y avait certains cas, certaines choses qui étaient plutôt évidentes, certaines, certainement dangereuses, incertaines, quand il y avait certaines pathologies qui pouvaient être graves et mal tourner quand bien même dans un environnement qui respirait et incombait la vie, la naissance qui venait l'espoir de ne rien à craindre... Dawn avait peur que sa mère fusse en danger et le petit bébé qui devait rentrer à la maison avec leur mère, malade...

Mais surtout ce qu'elle avait dit et en réaction à la secousse de l'électrochoc, au point de ce qui avait semblé être sérieuse de sa petite sœur, le jeune corps de Willow se tendit pour se raidir par la suite émue par les jeunes paroles si innocentes mais pourtant si claires, si perspicaces clairvoyantes pour son jeune âge, mais n'y croyant pas se disant tellement que Dawn n'était pas dans un état normal quand lorsqu'elle disait cela, le pensait, ou lors de cet état d'esprit qui était suspicieux de Dawn ; mais la jeune fille s'empressa de rassurer sa petite sœur, d'une voix douce, lui montrant lui expliquant comment leur maman était en sécurité en lui racontant une histoire combien et pourquoi c'était naturel que leur mère ait un bébé et que toute femme pouvait avoir d'autres enfants…

Une nouvelle sœur dans leur famille, dans leur monde, dans leur univers allait remarquablement inévitablement dans tous les sens assurément synonyme qui signifie un grand changement, radicalement, totalement merveilleux bienfaisant d'une nouvelle vie qui arrivait, une nouvelle tellement si bienvenue heureuse pour ayant un monde de nouveauté naissant, monde nouveau, un monde différent pour de nouvelles personnes qui entraient dans tous les sens du terme, ayant un monde de déjà vue, qui était certain qu'il y aurait de nouvelles relations, de nouvelles rencontres et plus encore...

Willow rassura en chuchotant, murmurant des tendresses et assurances profondément certaines à Dawn, lui souriant avec un amour profond, sincère ardemment, farouchement, véritablement et sincérité, le tout accompagné avec douceur timidité et lentement intimement ; la jeune fille tendit sa main pour prendre celle de sa sœur les liens pour un peu, faisant comprendre à Dawn de se rapprocher pour prendre la petite fille dans une étreinte fraternelle intense d'ourse...

Dawn se laissa entrainer dans les bras protecteurs, frêles mais dans tous les cas tout de même indestructibles de Willow, se laissant enlacer enfonçant en profitant de l'occasion du prétexte de presser son petit visage contre la poitrine le cou de sa sœur, reniflant discrètement un peu. Ressentant un doux fredonnement...

Un silence confortablement bienvenu vient envahir les deux filles, leur sens et leur environnement ainsi que leur atmosphère, bienveillant, heureux. Soupirant de béatitude et de bonheur, respirant en tandem et à l'unisson comme si elles savaient l'une et l'autre quand l'autre prenait leur souffle. Leurs paupières étaient closes.

Après quelques instants de silence bénéfiques à l'esprit conduisant à ce qui était l'inévitable moment faisant à lieu qui fait du bien à prendre fin, fut brisé, lorsque au bout d'un instant Willow se détacha tendrement en douceur lente de Dawn pour continuer à parler de manière de façon rassurante à sa sœur, la plus petite des Rosenberg, lui expliquant doucement calmement, comme ce nouveau bébé allait changer leur vie ; au commencement les deux petite filles, Willow et Dawn devaient par-dessus tout absolument et dans n'importe quelle circonstance être là pour le bébé, l'accueillir avec un grand sourire, chaleur, amour, se sentir bien bienheureux bienvenu, pour tout ceci accueillir digne de soi et pour les autres entouraient dans l'ensemble d'une famille aimante, d'amour, d'affection, de bras chaleureux en cercle entourage...

Pour en arriver au moment, au magnifique inoubliable passage, événement, de morceau de point à l'arrivée de Sheila portant ce petit paquet enveloppé dans une couverture blanche, un poids si léger pour son poids de naissance, âgé à peine de quelques jours ; baissa les yeux sur le bébé qu'elle tenait, fixa le petit paquet tranquille que le docteur avait placé dans ses bras, et elle fit glisser un sourire sur ses lèvres. Cet enfant - cette fille - dormait tranquillement maintenant que tout était fini, comme si la naissance avait épuisé la petite chose autant qu'elle avait épuisé sa mère. Tandis que leur père, Ira, ouvrait la porte d'entrée en étant accueillie chaleureusement, respect et amour joyeux par ses deux filles, laissant sa femme et Gaëlle rentrer dans leur foyer... En soulevant Dawn dans ses bras, les deux sœurs ainées, le laissèrent les présenter à leur nouvelle petite sœur, la petite fille ; Dawn déclara posant une question innocente mais tellement remplie de doutes, si ses parents allèrent cesser de s'occuper d'elle, de prendre soin d'elle, la laissant pour compte, se sentant aller dans le coin, l'abandonnant et n'existant plus pour Ira e Sheila... Comment dans ce doute pourrait-elle aimer ce bébé ? Comment, comment, comment se demandait Dawn, dans sa tête, son esprit tout changeait, se chavirait, se bousculant, créant du noir en elle, de l'ombre, des doutes, dans son petit cadre et corps fragile, frêle qu'était son cerveau d'enfant, ses incertitudes et ses craintes... Et ce que sa mère, quand est-ce que le moment viendra sa mère, ramènera Gaëlle à l'hôpital, pour que tout redevienne comme autrefois, quand est-ce que ce sera ? Mais il en va sans dire, naturellement personne ne lui répondit la réponse qu'elle souhaitait entendre, de leur bouche, on lui dit que Gaëlle resterait, qu'elle ne partirait pas en faisant partie intégrante de la famille, mais était surtout étonné des paroles de leur fille du milieu leur cadette, ne sachant jamais en cette situation ne savait pas comment répondre, pourquoi elle voulait que le bébé parte, disparaisse. C'était si insignifiant, incompréhensible, mais pourtant c'était des paroles, des mots si vrais qui avaient un réel véritable sens, et pas complètement emberlificotés, pour une enfant habituée à être la plus jeune de la famille pendant de nombreuses années...

Dawn aurait été encouragée en étant amenée à prendre délicatement Gaëlle dans ses bras, la positionnent avec délicatesse sécurité à l'intérieur de son étreinte, la tête de l'enfant posé contre la pliure de son coude, ses pieds touchant son autre bras, et puis dans un cercle doux protecteur aimant ses mains encadrèrent le petit corps du bébé ; Willow et Dawn étaient heureuses, souriantes, la petite fille demanda si des jours ou par moment, elles pourront s'occuper de Gaëlle ? Leur mère pourrait avoir peut-être besoin d'aide. Sheila sourit au bébé. Pourrait-elle veiller sur leur sœur. Partager tout avec le bébé et plus tard la petite fille...

Sheila sourit à ses petites filles, en caressant les cheveux de Dawn ; "Oui Dawnie, tu pourras veiller, t'occuper et tout partager avec elle."

Pour finir leur idée imaginaire, leur rêve, qui était devenu un pays imaginé d'imagination inventé d'abstraction, qui pouvait paraitre irréel pour des enfants pas encore rentrés dans l'adolescence puis l'âge adulte dans la légende, quand on ne connaissait pas l'avenir, les sentiments ou les réactions de l'autre, lorsque dans l'incertitude, et les personnes perdues, fragiles, qui ne sauraient pas comment s'y prendre dans des circonstances et bienvenue comme cela... Willow et Dawn quittèrent en mettant fin à leur conversation et leur parole d'espoir, en entendant leurs parents rentrer, à la fin mettant un terme à leur instant de fraternité entre sœurs.

Tout sourire, dans un monde de sourires heureux, en témoignage de l'amitié à quelqu'un par une expression amicale de réjouissance en étant agréable, en parlant de choses ; étant favorable de tous ces rires, de cette joies, au moment affectueux de l'instant comblé de bonheur réel, en souvenir, avant de parler... Willow et Dawn se présentant, comme une famille aimante, présentant leur maison, leur foyer comme étant le sien aussi, lui montrant le moindre recoin, son couffin, les objets lui appartenant tout spécialement personnellement, comme étant ceux de Gaëlle, Willow qui tenait le bébé dans ses bras lui sourit avec sincérité, affection et véritablement bonheur véritable et brillance, lui disant qu'elle était sa grande sœur et que Dawn aussi était la sienne ; et qu'elle serait heureuse avec elles, avec leurs parents et sa grand-mère et son grand-père...

Des mois plus tard, Gaële appris à marcher, sur des petites jambes de bébé, nourrisson, tremblante, soutenues par le poids des mains douces de Willow, faisant quelque pas dans le chemin de l'allée de devant leur maison familiale des Rosenberg, souriant, riant mais craignant de tomber de se faire mal au visage, pleurant par moment, mais partageant tout de la peur au moment -instant- heureux ; Dawn trottinant posant sa main contre le milieu du dos du petit cadre de bébé Gaëlle... Leur lien se renforçant un peu plus chaque jour, chaque seconde, chaque minute, un peu plus chaque instant partagé et volé, leur lien indéfectible fraternel de plus en plus fort ayant une grande connexion entre les trois filles, et un grand amour, compilé en ayant été comblé par une férocité d'une immensément grande complicité forte unique entre des sœurs, et chaque relation différente selon leur personnalité changeante et grandissante au fils du temps de manière, de façon, croissante positive et de beauté...

Tout au fils des ans, à mesure que le temps passe, Gaëlle passa beaucoup plus et d'avantage de temps avec ses deux ainées, ses deux sœurs ainées, comme autrefois comme cela avait toujours été depuis le premier instant où Willow l'avait pris dans ses bras et qu'elle était rentrée à la maison, depuis leur plus tendre enfance maintenant, tous les secrets des enfants Rosenberg se les partageaient, remplissant leur petit espace lui de rendez-vous cachettes secrètes en lieu de confidences et d'amour secret ; Gaëlle aimait toujours voir Willow quand il y avait un grand problème qui demandait conseil et devait amener le rôle de la jeune fille plus âgée, la regardant toujours comme une figure maternelle remplaçante à leur vrai mère, une figurine de substitution, tandis que, avec Dawn et Gaëlle étaient toutes deux plus complices plus vives dans leurs activités de jeux ; leur lien n'était en aucun cas les mêmes...

Le soir à la nuit tombée, au moment de l'heure du coucher, Willow se glissait sur les couvertures du lit de la petite Gaëlle pour pouvoir lui lire nombres d'histoires pour enfants, il y en va d'abord que c'était au début des classiques de la littérature enfantine, tel que les contes des frères Grimm et bien d'autres auteurs ; bien ce que Gaëlle préférait, était blanche-neige et les Sept nains, Cendrillon ainsi que le vilain petit Canard, mais au contraire de l'opposition Gaëlle pouvait aimer n'importe quels autres contes de fées destinés aux enfants, elle n'était et ne sera jamais difficile sur ce point...

En ce qui pouvait concerner d'autres lectures de livres pour enfants, il existait des histoires beaucoup plus récentes de sirènes, de fée, de lutins et sorcelleries ; remplis de pages de magnifiques et sublimes illustrations, qu'elle adorait toujours feuilleter et suivre l'histoire avec des images, parce que pour Gaëlle, quoi de mieux qu'un livre et bon et réussi s'il n'y avait pas d'images... L'enfant aimait tout aussi également quand Willow lui lisait en faisant les voix des personnages, les voix de l'histoire et qu'elle pouvait la faire participer cela était encore plus merveilleux d'une activité avec que les paupières se ferment puis qu'elle s'endorme...


Au milieu de la nuit, dans la douce quiétude de la tiédeur de la chaleur de la nuit, le ciel bleu marine accrochant des lumières brillantes en forme d'étoiles, qui était accompagné du silence calme paisible où il n'y eu aucun bruit sonore industriel urbain, ce qui fut qui était rare pour une maison en ville bien que dans une banlieue calme campagnarde de Sunnydale ; les sons naturels de la nature verte, des bruits de nature animalier, insectes, de criquets, des sauterelles, et des oiseaux de la nuit du soir... Comme à son habitude, lors des moments de rituel qui n'était pas agréable, ni était désagréable, fatiguant, pénible, malheureux au suite de cauchemars, entrainant de terreurs nocturnes après de nuits agitées et les suites d'orage, et beaucoup peut-être de très d'autres troubles et problématiques de sommeil, entrainant en de donnant suite aux d'innombrables moments et instants des visites de Gaëlle partant se glisser dans le lit de Willow.

En marchant doucement sans le moindre bruit, sans faire de pas précipités et vifs, sans déménager en perturbant la demeure chaotique, entourée de rien d'autre que des sons des autres qui dorment et de ses propres pensées, ses pas comme des plumes en étant effleuré les tapis doux et chauds, tapis sont la plupart du temps composés de laine et plus rarement de soie. Le coton et le chanvre sont aussi utilisés notamment pour réaliser la chaîne et la trame du tapis ; et le parquet poli, lisse et tout aussi frais-chaud, entrant effleuré, laissant des traces sur les traces de pas, sans faire le moindre mouvement vers la chambre de sa grande sœur... Elle serra ses petits points contre ses paumes, ses doigts s'étaient enroulés autour d'eux-mêmes contre ses points, Gaëlle s'était retrouvée à lever son bras posant ses mains contre le cadre et le bois rectangulaire de la porte en bois, pour y frapper doucement, et s'appuyant doucement dessus sur le matériel du mur pour s'y laisser ouvrir et en y rentrant, passant son visage, sa tête dans l'embrassure de la porte timidement ; observant légèrement timidement avec prudence autour de la chambre noire et sombre de Willow, avec prudence craignant de réveiller sa sœur ainée, en prenant son temps également à sa vision et à ses yeux de son regard de s'habituer à la pièce, en prenant un autre temps longtemps après pour savoir si Willow était réveillée ou si elle devait l'appeler doucement pour ne pas la brusquer ou encore la faire sursauter de peur et trouble...

Gaëlle murmurait, chuchotant à plusieurs reprises le prénom de sa sœur, plusieurs minutes à la fois, autant, qu'elle crut un instant que cet appel, ses supplications et mots ne serviraient à rien, ne seraient sans retour ni réponse et en appelant sa sœur dans le noir obscur, avant d'entendre un retournement et gémissement dans le sommeil, en marmonnant des incohérences, non-sens et absurdité d'une voix ensommeillée ; justement après s'être réveillée subitement prononçant le nom de Gaëlle.

"Willow... Willow... Willow... J'ai peur, j'ai fait un cauchemar et je n'arrive pas à m'endormir... Est-ce que je peux venir dans ton lit avec toi ? S'il te plait..." Chuchotant d'une petite voix, ne serait-ce ressemblant davantage à un murmure si minuscule, que Willow ne pouvait pas l'entendre mais y réussi par miracle, tendant l'oreille pour y accrocher les mots de la petite fille. Gaëlle était entrée dans la chambre avec attention et timidité prudente, y pénétrant peu à peu et pas à pas, en y faisant attention. Attendant la réponse de sa grande sœur.

Elle attendit et attendit, attendant avec patience et inquiétude fébrile si, Willow pouvait l'accepter en étant encline étant disposée et pourrait-elle la prendre contre elle, mais une partie de son cerveau, son esprit et sa mémoire savait qu'elle pouvait avoir en tirer de l'inquiétude non fondait et du stresse infondé, irréel alors que Gaëlle savait mieux que Willow était toujours là pour elle, la consoler, la réconforter, et la prenant ans ses bras lui apportant un réconfort, confort et soin que personne ni même sa maman lui apportait et donnait, et que Willow seule pouvait avoir ce lien seule avec elle, uniquement et que, elles pouvaient toutes deux partager, aux yeux de tous l'instinct maternel de Willow pour sa jeune sœur, était beaucoup plus puissant et fort que n'importe quel lien des relations de Gaëlle dans la famille, beaucoup plus intime, chaleureux, fortifiée en construction pour le jeune âge qui était encore un signe flagrant et important de la grande maturité et précocité de Willow surtout pour s'occuper de ses petites sœurs...

Gaëlle aimait plus que tout sa sœur ainée, sa sœur plus âgée de la fratrie du trio, qu'elle aimait affectionner plus que tout et plus que n'importe qu'elle chose dans son univers d'enfant, elle l'embrassait aussi fort et grand que la planète terre, ainsi que le monde voir peut-être au-delà de l'univers, aimant plus que tout son affection profonde et précoce et indescriptible, beaucoup plus fort en étant d'avantage dans la profondeur, de l'intérieur ; étant plus attachée ayant un lien d'avantage plus noble, sincère, vrai véritable, plus affectueux qu'avec d'autres, plus précoce qui voulait dire plus grand approfondit en ayant choisi de se dire et en sachant que ce serai sa plus grande relation dans sa vie connue, la plus importante et dans son jeune âge on pouvait s'avoir que devinant que ce serai fondamental marquante primordiale marquant le fait est que pour devenir une jeune femme...

Et elles s'aimaient toutes deux profondément, avec tendre amour incommensurable ; elles s'aimaient à deux, alors que Willow prenait le chemin d'aimer sincèrement et avec une infinie bonté et totale sincérité sa sœur, Gaëlle aimait tout autant avec le même amour, le même sentiment profond, de profondeur Willow en accomplissant tout en partageant un lien dotant pleinement très un lien qui grandissaient...

Et puis Willow entreprit de faire un léger signe de tête de la main, en encourageant sa petite sœur à venir la rejoindre dans on lit, lui murmurant avec affection et d'une voix très maternelle et aimante de l'avoir dans son lit, de montée dans son cocon, dans ses bras tendre, réconfortant arrêtant ainsi ses tremblements de peur, de terreurs nocturnes devenues incontournables incontrôlables, voulant dans le même temps faire cesser les pleurs de sa jeune sœur, voulant lui redonner lui rendre son sourire, sa joie, en l'enveloppant dans ses bras la pressant contre elle, puis la faire cesser arrêter ses tremblement en voyant Gaëlle s'illuminer reprendre ses douces couleurs sur ses joues pleines en courant dans l'étreinte de Willow se démêlant pour se précipiter vers sa sœur ainée...

Sa poitrine était un lien, un lieu de réconfort sentir sa petite Gaëlle contre elle, elle l'aimait tellement, si elle l'aimait si, se sentant d'autant plus protectrice étant donné beaucoup plus se sentant impliquée émotionnellement, intellectuellement, psychologiquement de manière sentimentale, maternelle, affectueusement impliquée de manière façon forte, pour sa sœur se disant qu'elle devait tant car elle était une sœur, l'ainée la plus âgée presque une femme et se disant qu'elle était dans un âge mure à l'ombre de l'adolescence à l'aube de l'Independence à sa naissance, Willow a du toujours été responsable de ses deux plus jeunes en particulier Gaëlle, et s'en occupent prenant soin, et se sentant redevable toujours et toujours mature et apportant des connaissances et son savoir vivre ainsi que toujours un amour pur et désintéressé...

Willow enroula ses bras minces et frêles aux côtés de bébé Gaëlle, âgée de quatre ans, murmurant et chuchotant, discutant avec sa sœur, qui aimait lui rappeler sans cesser et sans arrêt qu'elle aimait plus que tout se blottir et dormir à ses côtés quand Dawn n'était pas ici dans cette pièce, voulant être en sécurité et la protégeant de tout, s'endormant beaucoup plus simplement et ayant un lien qui se reflétait beaucoup plus hautement et sérieusement, avec force, certainement, incontestablement et bon... Gaëlle aimait se rassurer dans les bras de sa grande sœur, et riait, riait en aimant partager ses secrets et confidence bien plus avec confiance et incontestablement davantage avec Willow, et pour toujours Gaëlle considérera Willow beaucoup au figure d'autorité et parentale que ses ainées et au vrai adulte au contraire de ses parents et grands-parents...


Quand est-ce que leur relation était devenu si compliqué et complexe, en atteignant un point qui était à une limite d'un retour quelconque en arrière en faisant faire pour que la relation entre les deux sœurs revienne comme autrefois d'antan, si difficile à supporter dans une telle situation difficile qui était douloureuse, tendue, et étant ardue... Autrefois Dawn avait été si proche de Willow, il y a quelques années, bien avant l'arrivée de Buffy à Sunnydale et dans le même temps dans la vie et l'intimité de Willow et Alex ; c'était ces moments précis que tout avait changé, à devenir étrange, et l'éloignement ce faisait réaliser jour après jour et mois après mois, sans s'en rendre compte, quand de ces conditions sans se rendre compte ni penser à rien, alors que sa sœur ainée lui cachait beaucoup de choses et sujets, agissant étrangement, ne se confient plus comme avant, telle de deux sœurs...

Leur âge pouvait sembler être assez proche était distant, éloigné, en première approche dans un contexte qui n'était pas le sien, en extérieur apporter peut-être sans doute d'après des personnes qui ne connaissent pas la relation de deux personnes, selon la personnalité, le caractère, les gens de d'autres contextes de d'autres milieux dans le monde relationnel, familial, fraternel ; mais selon les mauvais potins, d'histoires de mise en garde selon la différence d'âge, les commérages dédaigneux, divisés, opposés, disjoindre, car de peur de ne pas partager de belles magnifiques complicités, d'un lien d'avantage étroits que si on pouvaient être plus proche et lien que rapprochées... Et ce ne fut pas le cas avec les histoires, l'histoire de Willow et Dawn...

Quand Dawn est venue au monde, l'année même de sa naissance voilà de cela neuf ans, lorsque les premiers instants de sa vie, alors qu'elle n'était qu'un simple nourrisson, un simple petit bébé et minuscule crevette, d'une taille beaucoup plus petite qu'une taille moyenne pour un nouveau-né d'un graphique et statistique moyen qu'un bébé normal, léger comme un plume et un petit paquet de linge, de lange Un nourrisson si plein de vie, tellement si rigoureux entrainant cela pouvait être vu, dans son minuscule corps frétillant, faisant preuve de rigueur, de sévérité. Etant toujours vive dans dès les premiers instants de vie, riant et pleurant ; Dawn avait son petit corps rose et encore frêle fripé de sa venue au monde, sa peau pleine de fraicheur encore toujours si tendre, le sommeil de sa tête possédait un léger duvet de mèche lisse châtain foncée brun.

C'était dans un calme extrêmement surprenant extraordinairement dans l'inattendu étonnant, que personne s'y attendit, que la petite Dawn était très silencieuse sachant en ayant conscience que quelque chose de bien allait arriver une chose très importante, une rencontre décisive cruciale des plus inoubliablement importante qui marquera la famille en acceptant un autre nouveau membre, jeune et bien vivant, et maquant un fait d'une cohabitation bien meilleure prometteuse ainsi qu'une belle complicité de relation entre une sœur et un nouveau bébé ; Willow aperçut ainsi le nouveau bébé, qu'on lui présenta ainsi comme Dawn, il y eut des sourires, de l'émotion, durant ces premiers regards...

Willow tenait dans ses bras, alors que sa mère lui avait permis, autorisé sa fille ainée de prendre sa jeune sœur dans ses bras, un cercle de berceau, blottissant Dawn contre elle alors qu'elle était assise sur le canapé du salon, la caractérisation de la facette du visage de bébé Dawn, niché, tourné, blottit contre l'aisselle et plus particulièrement sur la poitrine de Willow ; âgée de sept ans, son poignet, ses doigts se posèrent fermement contre le bras de sa sœur, un instant d'un long parcours nait subitement entre les deux êtres, entre les deux personnes et sœurs... Même étant effectivement née en Mars 1988 est en réalité revenue à la maison le 24 Juin de cette même année…

Au fils des ans, Dawn s'attacha énormément et infiniment dans sa relation avec Willow, en aimant passer du temps avec elle, lui ressembler, en prenant exemple sur elle, la côtoyant sans cesse tous les jours du matin au soir, voulant tout apprendre de sa sœur ainée, de tout connaitre d'être modèle autre que leurs parents, a toujours admiré Willow, étant à ses yeux et son regard, la personne la plus géniale. Elle est la seule à aimer l'école autant qu'elle ; les deux, se sont toujours rapprochées, Dawn déclarait toujours sans arrêt continuellement, qu'elle considère Willow comme une mère, comme telle "sa maman" ; voulant lui ressembler, mentalement, psychologique et intellectuellement.

Bien que de tout évidence, leurs personnalités et caractères étaient bien différents à l'opposé même d'étoiles polaires, au soleil, Dawn était vite et vive à fortes personnalités et dure de caractères ne se laissant jamais faire, disant sans arrêt ce qu'elle pensait, et non aucun cas la langue dans sa poche, vive d'esprit, intelligence est extravertie en qui exprime ses émotions. Elle se moque bien de ce que les autres pensent de lui. Il fait la fête et c'est tout. L'adjectif extraverti désigne toute personne caractérisée par l'extraversion, attitude d'une personne qui établit facilement des contacts avec les autres et exprime volontiers des émotions. Alors que dans le contraire de Willow, était beaucoup plus timide moins sûre d'elle que sa jeune sœur, ce qu'était presque incompréhensible, et moins réaliste, totalement à l'opposé l'une de l'autre, comment une personne, une petite fille plus jeune possédait autant de confiance en elle que son ainée une jeune fille plus âgée ?

C'était ce que Willow pensait bien tristement, mais était très fière de la façon -manière- d'être de la personnalité de Dawn, et voulait à tout prix éviter que sa jeune sœur doivent faire face et subir le harcèlement scolaire qu'elle a elle-même subit, les plaisanteries douteuses, les moqueries et ricanements qui entraina réellement, vraiment de façon irrévocable, incontournable de mauvaises critiques et bons nombres de mauvais jugements d'un style vestimentaire, apparence commune, mais en réalité unique...

Dawn ne voyait rien de tout cela, mais malgré la défense des mauvaises commentaires critiquables porter contre sa sœur, n'hésitant jamais à faire des haussements de voix, à remettre des personnes beaucoup plus grandes de taille et âgée en âge qu'elle, refusent de se laisser faire, manipuler et monter, Dawn Rosenberg était une impressionnante personne et petite fille, donnait une bonne impression et on lui offrit une immense admiration à distance secrète... Elle aimait certains styles de vêtements, aimant comme n'importe quelle sœur en admiration devant d'autres, ou devant son ainée, Dawn fouillait souvent dans son armoire, ou son meuble, à la recherche d'une chemise, des chaussures ou jupes et robes à admirer et essayer, rêvant en secret d'être aussi grande que Willow et aussi belle... Fronçant par moment les sourcils avec accompagné de pliures lisses sur le milieu bases du front., en signe de désapprobation, de dégouts du mauvais choix vestimentaires, et mal être..

Dawn passait beaucoup de temps dans la chambre de Willow les matins de week-end, à échanger, discuter purement féminin, boutiques, stylisme, en touchant voulant avoir un lien d'avantage pouvoir avoir l'opportunité de prendre des affaires de sa sœur, s'admirait dans le miroir, se faire belle, et partager en ayant l'avantage la chance de passer un temps, un moment privilégié dans l'intimité d'une chambre, blanche illuminée encore de la lumière artificielle, encore en pyjama...

En secret, alors que Dawn voyait, observait souvent sa sœur Willow en compagnie constante régularité depuis l'année précédente écoulée, aux côtés de sa meilleure amie, Buffy Summers, admirant secrètement cette belle jeune fille blonde, âgée de seize ans, tout comme sa sœur, à la forme et courbe mince, était sa taille relativement petite et son cadre mince, une déclaration quelque peu ironique compte tenu de sa force physique et de son agilité supérieure de tueuse. Ses cheveux, bien que changeant de ton, de coupe de cheveux et de coiffure au fil des ans en accord avec la mode et l'humeur, étaient naturellement et constamment blonds. Son corps était mince, avec accompagnement un corps à la fois svelte et minuscule dû à sa petite fine taille, elle était à des endroits presque squelettique, Buffy pouvait sembler si fragile avec son courage, mais était beaucoup plus féminine et il lui faut de ce fait des vêtements fonctionnels et confortables, Buffy portant des vêtements près du corps et même, parfois, des talons... Personne ne pouvait connaitre des styles -look- vestimentaires qui n'étaient pas difficiles à suivre, à connaitre, car dans une époque actuel moderne, dans un monde d'univers de l'on pouvait choisir n'importe quelle tenue vestimentaire dans laquelle les gens se sentaient en connexion et se retrouvaient à l'intérieur.

S'agissant de ces camisoles à bretelles spaghetti associées à d'étranges pantalons baggy et à des chaussures maladroites, à des coiffures étranges et à des casquettes, shokers. Regarder tout dos à dos dans une sorte de frénésie folle était assez incroyable quand il s'agit d'observer l'évolution du style de chacun. Pour Dawn, Buffy Summers était une icône de style, années de mode dans la vie pour tout le monde lors de leurs années d'adolescence pour elle a été si grand, que Dawn ne pouvait pas l'ignorer. De plus, personne ne peut vraiment ignorer Buffy car tout le monde, toute personne la connaissant, et parmi les lecteurs, savons tous qu'elle est la plus grande, ne pense pas que même besoin d'entrer dans la longue tirade féministe sur les raisons pour lesquelles Buffy est un si grand modèle.

Buffy portant une petite veste, en laine, en tissus textile, ou encore les préférées de Dawn, le cuire ; mais elle optait pour donc choisi une chemise à carreaux qu'elle peut nouer autour de sa taille quand elle a chaud, et le revêtir à nouveau quand elle a froid. C'était une double chance d'avoir ce style de vêtements sur soi, et doublement utilisé, à double usage.

Un top rouge, comme la couleur du sang, une couleur sensuellement érotique et passionnelle pour un gouts de romance fantastique dans le monde de la nuit des vampires Fluide pour suivre les mouvements vénères et gracieux à la fois. Un legging noir en similicuir, bien élastique pour ne pas être gênée dans les mouvements fluide, mais avec une touche rock ; Une chemise à carreaux, que l'on peut donc nouer au niveau de la taille ou non... Un collier de mauvaises filles pour dire "Va-t'en vilain fripon" aux mauvaises personnes. Et enfin, Des boots avec un talon, mais pas un trop grand talon, pour pouvoir crapahuter autant que possible.

Dawn avait de l'admiration flagrante énormément grandiose pour envers Buffy, l'admirant en l'enviant de loin, s'avouant secrètement de façon, manière, inattendue qu'elle pensait avoir honte de croire de pouvoir croire par inadvertance par le moyen de le cacher, qu'elle possédait le don dans l'aptitude d'un cadeau de pouvoir voir véritablement les gens, étant capable d'accepter les personnalités des personnes autour d'elle et de les analyser avec précision, méthodisme, et clairvoyance, en regardant avec des yeux émerveillés, magnificence, rêve d'enfant étant capable et avec avoue dans son esprit, regard cœur d'enfant, romantisme féerique de petite fille, Dawn pouvait voir Buffy, comme une déesse dorée, une fille magnifique et très clairement beaucoup plus belle et qui se préoccupait plus d'elle-même que de sa sœur, étant parfaite physiquement, voulant toujours montrer son courage, sa détermination de caractère. Quand il s'agissait aussi de ses devoirs ou de ce qu'elle jugeait important, Buffy concentrait toujours toute son énergie dessus, craignant de laisser tomber qui que ce soit. Pour cette raison, elle pourrait être considérée comme une personne très sérieuse et résolue, m'étant constamment le bien-être des autres avant son propre bonheur et sa vie heureuse ; courageuse, déterminée, gentille et généreuse mais aussi sensible et fragile. Les tendances individualistes et rebelles de Buffy ont culminé dans le développement d'un dégoût extrême d'être manipulée et de perte du contrôle, en particulier lorsque l'on contrôle sa vie et la manipule à la guise de chacun et selon le bon vouloir des autres, des personnes d'autorité selon leur arrangement... Buffy avait tendance à être complètement confiante quant à ses capacités lorsqu'elle affrontait ses ennemis. Buffy était également très têtue, dure et un leader naturel, ce qui la rendait parfois trop exigeante et autoritaire. Elle était aussi de nature un peu colérique, car il n'en fallait jamais beaucoup pour l'irriter. Buffy acceptait lentement, sa vraie nature et véritable personnalité ce qu'elle était vraiment réellement ce qui faisait d'elle Buffy. Buffy a été dépeinte comme ayant un sens incroyablement fort de la responsabilité envers les gens qu'elle a sauvés et le monde aussi bien. Cela a été démontré dans ses désaccords sur l'attitude impulsive et négligente de beaucoup de monde, des personnes qu'elle croyait être ses amis et sa position bien-pensante sur beaucoup d'autres choses.

En raison de cela, et de ce fait, de ses puissants sentiments de responsabilité envers ceux qui l'entouraient, il était facile pour Buffy de se blâmer durement pour les échecs ou les malheurs de ceux dont elle s'occupait. Buffy Summers restait et restera pour alors, de Dawn, une vision, être quelque peu surréaliste, unique en son être for intérieur, en son genre, même si elle était innascible elle demeurait totalement une fille comme tant d'autre...

Avec l'arrivait de Buffy Summers dans la vie des sœurs et du foyer Rosenberg, signifiait un tout autre tournant dans leur vie qui changea considérablement et leur destin se mit en route, un destin qui peu à peu chacun dut faire face ne savait pas encore qu'il existait, mais des circonstances magnétiques qui demandait donner une allégation pour cette révélation à ses amies conduit à se consacrer à l'aide de la lutte, de la guerre de la bataille contre le mal. Au début, les choses changèrent peu à peu et inévitablement, ou pas si éventuel, incertainement, Dawn admirant Buffy, croyait que tout serait toujours comme avant, avec tout simplement, Buffy Summers dans leur vie, mais en réalité rien n'était si simple, jamais.

Mais, bien vite, malgré le fait que la petite fille, rester toujours avec Willow essayant dans toute attente créer en développant un lien relationnel en une affection avec Buffy, tout devient très rapidement tendue, comme tel une relation fraternelle entre sœur, Dawn se sentit vite exclue ; Buffy aimait et avait de profondes raisons en étant réticente d'inclure et de partager des choses, sujets avec la petite sœur de Willow, elle ne l'aimait pas, et était d'une jalousie déraisonnable, Dawn a remarqué l'attitude distante de Buffy et a supposé avec colère qu'elle ne voulait plus rien avoir à faire avec elle. La voyant comme traitant le type de relation, l'amour, les relations comme une corvée... Avec une tension supplémentaire.

Très rapide au fils des semaines qui suivirent l'arrivée de Buffy à Sunnydale, dans le lycée principal de la ville, elles entretenaient constamment une relation presque hostile, car Dawn se sentait éclipsée par la jeune fille aînée et comment tout le monde semblait mieux la traiter. Buffy a ressenti une jalousie déraisonnable aussi de la façon dont Joyce s'est tellement concentrée sur Dawn et ne lui a jamais vraiment donné la même affection, elle aimait beaucoup la petite Dawn, s'incrustant, se mettant à profit dans leur maison et se faisant apprivoiser dans la maison de Buffy en étant apprenant à être aimée par une autre mère, comme autre que Sheila Rosenberg, bien que rationnellement reconnu qu'elle était, le bébé, donc c'est comme ça que c'était, dont tout son entourage était est se soucient comme la considérer. Malgré leurs chamailleries constantes, Buffy protégeait toujours sa petite protégée, la petite sœur de sa meilleure amie... Alors qu'elle se précipitait immédiatement pour la sauver ; toujours, et toujours comme à chaque fois, et Dawn se sentait comme imperturbable, sans remord, avec un accompagnement d'un rajout sans scrupule... Mais bien après, en réalisant, après une véritable catastrophe tragique, qui a failli détruire des vies, en réalisant que Dawn était une enfant spéciale, précieuse de protection en tant qu'humaine Dawn et Buffy développent un lien indéfectible, étrange, mélangé à de la haine, de l'amour rempli de vitalité vitale remord contrecœur, en raison des efforts continus de Buffy pour la protéger et la défendre ; elle s'est considérée comme pas réelle et a d'abord refusé de croire que Buffy ou Joyce l'aimaient comme si elle était leur famille réelle, causait par un abondant claire, constant évident par ses parents biologiques. Buffy, cependant, l'a réconfortée et a avoué honnêtement qu'elle l'aimait comme une sœur, même si elle venait d'arriver dans son existence qu'il n'a pas même un an de cela...

Mais sous se ciel bleu, il y eut des nuages sombres, très sombres de gris presque noir, Dawn a remarqué l'attitude distante de Buffy et a supposé avec colère qu'elle ne voulait plus rien avoir à faire avec elle. Sous cette jalousie, cette hostilité et méchanceté, presque comme indifférence, ressentant aucune émotion pour la plus jeune du duo des sœurs Rosenberg.

Elle aimait par-dessus tout se faufiler, en ouvrant sa fenêtre passant, enjambant, le bois de l'embrassure l'angle de la fenêtre, pour sortir de sa chambre, à la nuit tombée pour se rendre à la maison résidence des Summers, n'hésitant jamais à rendre visite plus particulièrement à Joyce Summers, aimant sa compagnie, sa douceur, son côté d'amour aimant maternelle entrainant toujours chez cette femme, cette femme d'une grande affection, d'une grande bonté humanité, gentillesse accueillante ouvrant sa porte aux amis, à la famille et l'entourage de la banlieue ; Dawn discutait, passant énormément infiniment de temps, beaucoup de temps dans la cuisine et salon de la résidence, à rire, à raconter des blagues dans tous les sens du terme et dans toutes les mesures, et beaucoup de tous les sens ; se confiant à elle, lui préparant toujours un chocolat chaud, avec de temps en temps parfois de petites guimauves ; Dawn et Joyce étaient très proches, tout comme Buffy. Cependant, Dawn considérait Buffy comme la préférée de Joyce à juste titre, et de façon dramatique de manière jalouse et possessive. Alex n'était pas d'accord avec elle et lui a dit que Joyce les aimait tous les deux de la même manière, et surtout qu'elle était aussi aimée par Joyce, qu'avec sa mère, tout autant, Sheila. Dawn exclu parfois, Joyce et Buffy, sa mère et sa sœur, convaincues qu'elles ne l'aimaient pas vraiment, qu'elle était en réalité un substitut ou la prenait en pitié.

Cependant, cela s'est finalement dissipé lorsque sa famille lui a dit le contraire. Dawn aimait beaucoup Joyce et était absolument affligée de ne pas l'avoir et d'être jetée dehors, d'être interdite de rentrée par Buffy, quand lorsqu'elle l'a rejetée.

Mais Buffy furieuse de voir et revoir, Dawn Rosenberg, dans sa maison sans lui demander en personne, personnelle d'être invitée à la maison et même pire que cette fillette, ose s'initier elle-même, sans même demander la permission à personne, sans même prendre en compte en y pensant au bien-être de maman, en en prenant pas en compte si elle désire une visite, si Dawn demandait l'autorisation une permission pour s'y invitée...

En l'observant, le sang de Buffy bouillonnait en devenant de plus en plus impatiente et mise sous tension, la guerre était de devenu inévitable, et insoutenable ; la jeune fille n'avait plus aucun scrupule et n'hésita pas à criait après l'enfant, à lui dire tout ce qu'elle pensa de Dawn ; la blessant avec de manière inévitable et de façon cru, que Dawn n'était pas sa sœur, et ne le serait jamais, ne serait jamais un membre à part entière dans la famille. Jamais.

Buffy avait déjà sa sœur, une sœur beaucoup plus polie, beaucoup plus de manière de personnalité plus profonde, plus mature, et facilement avec une personnalité d'esprit profonde qui fut beaucoup plus constructive, en essayait de toujours analysée... Dans tous les sens du terme, en ces mots, et d'après sa parole, Buffy, pour elle, sa sœur était un ange et une bénédiction tandis que Dawn était le contraire de tout ce qu'elle incarnait, et était tout ce qui n'allait pas...

Buffy n'aimait pas que Dawn, soit une curiosité si impulsive envers elle, se mêlant de tout et allant à l'encontre de toutes les décisions de l'autorité, mettant en cause toute raison d'être, se portant en victime, refusant à être d'accord avec les autres qui l'entouraient... Et ce qui l'a poussé au bord du gouffre se fut, quand lors elles deviennent de plus en plus provoquantes en contestant son autorité, en étant devant impossible à gérer et devant en passant par le point culminant à une douleur au cul.

Elle aimait prendre des vêtements de Buffy, faisant disparaitre, une vie simple en soi, une vie ordinaire et destin qui pouvait paraitre être en réalité semblait une vie familiale, des conflits hostiles presque à un niveau montant néfaste à l'intérieur... Dawn aimait emprunter tout après remettre en place les articles de toilettes, de filles, et intimes à leur place de manière subtiles, sans que personne ne s'en rende compte où prenne connaissance en ces disparitions, sauf que Buffy s'en apercevait à chaque fois, et n'était pas si étrange, si personnelle, à la disparition de son blouson en cuir, sa veste préférée que Dawn adorait aussi, tout autant que Buffy, étrangement et de manière belle les deux avaient les mêmes gouts ; certains pulls... Ce qui irritait scrupuleusement Buffy, en omettant jamais de le dire à Dawn, mais ne manquant jamais d'occasion de se plaindre à sa mère et Willow...

Dans tout cela et pour faire tomber chaque patience, Buffy était constamment ennuyée par Dawn qui parlait avec elle et Willow, de manière, de façon subtile, et ouvertement sans chercher qu'elles les ennuyaient en faisant perdre leur temps lors de leurs travaux scolaires...

Tout ce poison, tous ces troublait mêlé à de la haine, ne souhaitant plus rentrer en conflit essayant de se protéger elle-même et sa petite sœur, Willow s'était créée un cocon en tentant de ne plus créer de tensions qu'il n'y en ait plus, et réussi, malgré la vie surnaturelle et troublante qui était apparue dans sa vie, Willow avait réussi à maintenir un semblant de normalité avec sa sœur, Dawn ; continuant à vivre une vie normale, du mieux qu'elles purent, en lui apprenant sans cesse de nouvelle choses, continuant et continuant à lui apprendre en lui enseignant tout ce qu'elle sait ; Willow n'hésitait jamais à réaliser ses nombreux devoirs, apprendre ses leçons, ses dissertations, rédactions en littérature, ses travaux scientifiques, avec sa sœur, lui faisant réciter ses cours d'école primaire.

Willow passait du temps devant son ordinateur à montrer et expliquer à Dawn, les bases méthodiques du fonctionnement de l'électricité, des fils ; les distances des différentes planètes, les symétries, La thermodynamique est la branche de la physique qui traite de la dépendance des propriétés physiques des corps à la température, des phénomènes où interviennent des échanges thermiques, et des transformations de l'énergie entre différentes formes.

La thermodynamique peut être abordée selon deux approches différentes et complémentaires : phénoménologique et statistique.

L'étude des gaz parfaits et celle des machines thermiques, qui échangent de l'énergie avec l'extérieur sous forme de travail et de chaleur, occupent une place centrale dans la thermodynamique : elles ont permis le développement de très nombreuses machines et méthodes industrielles, et servi de base à d'importantes découvertes en chimie, en astrophysique et dans de nombreux autres domaines scientifiques.

La physique est la science qui essaie de comprendre, de modéliser et d'expliquer les phénomènes naturels de l'univers. Elle correspond à l'étude du monde qui nous entoure sous toutes ses formes, des lois de ses variations et de leur évolution.

La physique est la science qui essaie de comprendre, de modéliser et d'expliquer les phénomènes naturels de l'univers. Elle correspond à l'étude du monde qui nous entoure sous toutes ses formes, des lois de ses variations et de leur évolution.

Jusque dans l'évolution marquante de la physique ; montrant ses projets, étant tellement si passionnée rendant d véritable brillant exposée à ses enseignants, les énumérant à Dawn, qui tentait tant bien que mal de comprendre les explications de sa sœur, mais au final n'y arrivait pas et réussissait à retenir que les choses qui relevaient de son niveau, les sujets simples ; les calculs, les équations, problématiques de réponses en mathématiques...

Le métabolisme des êtres vivants ; dans ses explications Willow fut toujours attentive à donner le plus de maximum possible de détails, de conseils, et parler à sa sœur l'écouter en s'assurant sans cesse qu'elle comprenne et veiller à son confort, et en étant présente comme une véritable institutrice enseignante proche de son élève...

Dawn était fière de l'accumulation de l'apprentissage de connaissance de Willow, fière de pouvoir tirer des leçons d'elle, de l'avoir pour exemple comme modèle d'élève modèle… Aimant depuis toujours avec un point commun fulgurant leur amour partagé de l'étude et qui les lia Dawn apprécié réellement que sa sœur, veuille partager des sujets aussi difficiles alors qu'elle était plus jeune qu'elle, et préférées avec Dawn qu'avec quelque d'autre de son âge, prenant le temps et ayant la patience de tout ceci…

Dawn avait chaque fois un pincement et resserrement au cœur lorsque Willow quittait son côté pour s'éloigner d'elle, à chaque fois que sa sœur revenait à son propre univers et mettant fin à leur complicité et moment sœur-sœur…

Son cœur s'arrêtant de battre, prenant fin et s'arrêtant, alors que son sourire faiblissant la regardant voyant partir.


Leur relation était encore bien différente des autres personnes de leur entourage familial entretenant leur milieu amical ainsi qu'au beau milieu féminin des filles et amies de leur sœur ainée et de leur autre sœur, elles n'avaient pas le même âge, pas la même différence et, de ce fait, beaucoup plus proche les unes des autres, plus jeune, plus petite dans un milieu qui était fait pour les enfants, dans leur monde encore petit, Dawn n'avait que cinq ans quand sa petite sœur, Gaëlle est née ; à pas beaucoup d'âge d'écart, de différence.

Elles étaient différentes dans le sens, dans le moment que, dès lors, elles étaient encore des enfants de leur temps proche et les instants flexibles, inséparables, avec seulement pas beaucoup d'années de différence ; étant très jeune toutes les deux, ce qui était très clairement un avantage et des dispositions positives, des non inconvénients, car étant des petites filles très complice, appartenant des moments de complicité, des instants de joie, bonheur et heureux, qui n'était, qu'appartenait qu'à elles, et seules elles deux, s'entraider, étant proche, très proche, beaucoup plus intimes et liées qu'avec Willow ; bien qu'avec leur ainée, elles étaient toutes deux très intimes, mais cela était différent, tout était toujours tout différent, à chaque fois...

Le cœur rempli d'émotion, d'angoisse qui lui serra incommensurablement, très fort dans sa poitrine, d'être sans arrêt, sans cesse seule au monde, et de voir les personnes lui tenir au plus profond de son esprit et l'intérieur de son corps, les personnes les êtres et les gens qu'elle aime se détournaient d'elle de les voir partir faire de nouvelles rencontres ou encore être si proche mais pourtant si loin en étant ce lien d'affection entre eux, et trahissant ainsi les sentiments de Dawn lui étaient insupportables, et sentit une infime grande jalousie s'emparer d'elle, et de la colère et mise mésentente, ce qui rendit la trahison d'autant plus forte était que ces personnes étaient ses propres sœurs, et détestait voir sa chère et tendre, bien-aimée petite sœur, Gaëlle avoir un amour plus grand pour Willow, que pour elle.

Dawn détestait quand Willow monopolisait la plus jeune, en se concentrant uniquement sur son propre bien-être de Gaëlle plus tôt que de celui de Dawn ; dans ces circonstances, conditions familiales de climat d'hostilité, qui imprégnait, se mêlant à l'air autour d'elles, la polluent de venin, la jalousie de Dawn prenant le dessus sur son âme, en méprisant ouvertement intérieurement de manière, de façon complètement fantomatique, de Willow et son esprit de gentillesse maternelle affectueuse et présentielle pour le bébé du foyer ; elle ne supportait de moins en moins, une fille modèle qui a accepté plus ou moins sa fidélité aux règles de leur mère, à ses dons pour l'étude, Willow, se dispute souvent avec ses deux plus jeunes sœurs, surtout Dawn... Ayant un esprit maternel et qui voulait être protecteur en étant la plus vieille et âgée de la fratrie.

Mais Dawn ne s'en souciait guère et aimant se moquer ouvertement de Willow, en devenant de plus en plus jalousement insolente irrespectueuse en créant un conflit interne autour intérieurement de Gaëlle, pour la faire se sentir en retournement de Willow... Les relations entre frère et sœur peuvent parfois être compliquées. Jalousies, rivalités du passé ou incompréhension, une relation fraternelle peut vite devenir toxique.

Les conséquences peuvent être très graves pour une personne victime de tels agissements : perte de confiance en soi, troubles anxieux, dépression… Une relation toxique fraternelle se définit par des rapports très conflictuels qui aboutissent à la destruction de l'autre. La relation est basée sur la manipulation psychologique et une jalousie exacerbée. Les conséquences peuvent être très graves pour une personne victime de tels agissements : perte de confiance en soi, troubles anxieux, dépression…

Deux éléments exacerbent une relation malsaine : "Il y a d'abord l'idéalisation de la famille qui devient nocive en cas de relation toxique : quand on est frères et sœurs, on est censé s'aimer, explique-t-elle. Mais non, pas forcément".

"Les relations de dépendance qui s'installent entre frères et sœurs", représentent la deuxième spécificité. Dans ce cas, il y a souvent un sauveur et une victime. Pour bien comprendre cette forme de relation, il faut alors comprendre la limite entre entraide et dépendance.

Depuis toujours un frère ou une sœur a le don de le mettre mal à l'aise. Il vous rabaisse et vous accuse d'être la raison de votre mésentente. A ses côtés, vous êtes vidé, se sentir comme une moins que rien. Alors que vous essayez à chaque fois d'arranger les choses, rien n'y fait. Remettre sans cesse en question et commencez à croire que tout est vraiment de notre faute.

A son jeune âge, elle ressentit toutes ces émotions contradictoires, en conflits internes qui la mettait extrêmement mal à l'aise, dans son petit corps et mentale du haut de ses quatre ans, Gaëlle, avait cette possibilité de don de comme toute jeune enfant, de cumuler tous les stress, les colères et mauvaises vibrations d'ondes négatifs, de méchanceté ; ce qui fit pleurer cette adorable et pauvre Gaëlle ; mais rester toujours avec Dawn, l'écouter accumuler tout laissant sortir...

Gaëlle partageait avec Dawn, un lien fort, malgré la tension malgré cette fragilité apparente et pourtant fantomatique, qui n'était pas, ne semblait pas discret et presque comme l'air invisible avec discrétion ; avec ce jeune âge les filles aimaient rire de rien, glousser les nuits agiter et non paisible, quand lors du sommeil avec respiration difficile, Dawn ronflait doucement lentement faisant rire fort Gaëlle...

Elles s'adorent, se chamaillent, s'admirent, s'ignorent, s'imitent, se jalousent… Les relations entre sœurs sont une excellente occasion de se frotter aux autres et de faire sa place dans un groupe. Un véritable laboratoire pour apprendre la vie en société ! Une complicité fréquente ; Il est vrai qu'il existe souvent une complicité naturelle et spontanée dans une fratrie. Alors que les parents sont persuadés que la fraternité implique de la solidarité et de l'amour, alors que Willow et Dawn s'émerveillent du lien déjà fort qui unit ses enfants. Il est vrai que les plus petits sont souvent en admiration devant leurs aînés.

Comment les bébés battent des pieds et des mains et sourient à l'approche de leurs frères et sœurs, pressentant que ces "êtres humains de petite taille" qui leur ressemblent et qui ont l'air de faire des choses hyper intéressantes, vont leur apporter des occasions de s'amuser.

Dans une fratrie, chaque enfant a le droit de choisir le frère ou la sœur avec qui il va faire alliance. Mais un enfant a aussi le droit de choisir de ne pas faire alliance du tout. C'est très culpabilisant, car il ne répond pas à l'injonction des parents : "Vous êtes frères et sœurs, vous avez l'obligation de bien vous entendre et de vous aimer !" Eh oui, les parents rêvent d'une fratrie qui ne serait qu'amour, mais cette volonté ne suffit pas à créer une réelle entente. Les sentiments et la complicité ne se commandent pas, en revanche, le respect de l'autre, si ! A eux d'instaurer les usages et les règles nécessaires pour que chaque enfant puisse se positionner par rapport aux autres et apprendre à se défendre quand c'est nécessaire.

Mais ce n'était pas le cas avec Dawn et Gaëlle, elles s'aimaient toute les deux et se disputer presque quasiment jamais, il n'y avait pas beaucoup de tensions, de disputes et querelles, et n'ayant aucun conflit interne dans leur relation fraternelle dans leur famille, à l'instar de Willow... Chacune de leur relation étaient différentes, chacune belle et émouvante, touchante jeune ; chacune des personnalités bien différentes, des trois, de leur caractère unique, personnalité si distinctement mature, vifs pétillantes, leurs parents gâtés, Willow, Dawn et Gaëlle, toutes les trois, mais parce que chacune nécessitait une approche différente en matière de parentalité...

Elles étaient douces très petites et innocentes, des petits cœurs comme dans un monde de nuage blancs, Dawn espérait vraiment que tout resterait à jamais comme avant pour toujours et à jamais...


Le temps s'était écoulé toujours tout aussi naturellement, dans la mesure du réel, chaque seconde, chaque minute ainsi que s'en vont les heures, dans un temps imparti naturel passant bien que pour se rendre à l'évidence Jenny se posait telle la question, si le temps s'écoulait-il toujours aussi lentement... En observant le jardin des Rosenberg, en passant son après-midi à garder tout en toujours en surveillant Dawn et Gaëlle ; le soleil avait alors commencé à baisser dans le ciel vers l'ouest, la température de la chaleur qui se faisait ressentir moins dense, moins vif et légèrement plus frais il y avait un écart qui se faisant de plus en plus partiellement à la senteur ressentir les rayons moins denses et chauds, lâchant, faisant ressentir débordant de tiédeur quelques couleurs d'ombre de jaune et orange ; mais cela n'arrêtait pas de laisser la journée continuer, la fin d'après-midi filer comme de la braise, continuer à se finir de la suite de journée, à observer à en profiter du mieux qu'elle put autant que possible jusqu'au bout, de la nuit...

Jenny prit en mettant tout en œuvre pour apporter du bonheur ainsi que de la bonne entente autour des enfants et sœurs Rosenberg, en faisant les premiers pas, passant du temps avec chacune d'elles... Avec Willow, elle avait passé communément à discuter avec passion, initiative enthousiasme, adaptant leur débat conversation entreprenante, qui ne manquant pas en aucun cas de stimulante, qui était toujours de plus en plus intéressant de passionnant, prenant, Qui captive en émouvant, en intéressant profondément ; est capable de passionner, de susciter un intérêt très vif... Dont la vivifiant, l'euphorie, dynamisant énergie, sentiment de grande joie, de satisfaction, de contentement ; Quand l'on on s'embarque dans une conversation profonde avec quelqu'un qui nous comprend ; faisant ressentir à Willow du bonheur, se sentant ayant cette impression de bien-être pour être enfin dans son monde, dans son univers étant capable de parler de sujets dans laquelle elle est compris, ayant véritable réel intérêt pouvant recevoir des réponses pouvant débattre, répondant à des problématiques, faisant la matière ; étudiant parlant de technologie, scientifique, et les nombreux ordinateurs de logiciel avec Jenny...

Qu'est-ce que c'était que cette sensation d'accomplissement de soi, cette sensation où l'on pouvait s'imaginer que tout était possible accessible rien qu'en touchant du bout de l'infime partie de nos doigts des montagnes et ainsi les faire bouger ? Pouvoir dans ce cas, ces conditions, avoir la preuve un quelconque sentiment de bien-être, fierté de soi et de l'autre, devant ce tableau d'une infime beauté, douceur pédagogique universitaire, de l'on, l'ont pensé par nous-même capable d'une profonde analytique, et critique, de l'auto-critique, pouvoir un maximum de sujets éducatifs intellectuels... Elle lui enseignait beaucoup plus ce qui était nécessaire au programme de classe de lycée du secondaire, un programme ardent ardu très difficile complexe pointue pour approfondir sa connaissance générale, ses sujets de réflexions en cela apportait, incombait des exercices de réflexions un niveau élevé ; de nombreux élèves intellectuellement précoces poursuivent une scolarité sans heurt, voire brillante. Ils ne sont pas toujours détectés. Aucune mesure n'est nécessaire car ces élèves réussissent : Éducation d'enfants exceptionnels participent à des programmes particuliers dans des écoles spéciales à plein temps ou des activités extra-scolaires, extraordinaires, surprenant avec un cerveau précoce et extrêmement impressionnant, rapide.

Willow pouvait avoir des conversations complexes d'une grande maturité, d'un grand cerveau qui la liait aux personnes plus âgées qu'elle, elle a toujours eu une grande maturité, un sens moral et une conscience de groupe beaucoup plus grande que Alex, et était beaucoup plus adulte, beaucoup plus proche d'esprit de Giles et Jenny que les autres, ses autres amis... Avec Jenny, Willow apprenait à réaliser en création à analyser plus profondément ses dissertations, savoir faire des exposés à l'oral, pouvoir mieux s'exprimer...

C'était pour le mieux toutes ces conversations, les moments partagés entre la jeune femme et la jeune fille, étant un type de relation classique enseignante/étudiante, Willow tenant Jenny avec respect et l'aimer, soutenant dans le processus sa relation de Giles avec elle... Tout était parfait, en se passant bien, en allant au mieux, étant devenue une grande influence pour Willow, grâce en étant donné par Jenny, développant toujours profondément et de manière beaucoup d'autant plus forte profondément sincèrement et efficace, une amitié... Qui se ferait renforcer au fils des ans, se nouant à jamais, de plus en plus, il y aura des crises mauvaises et bonnes influences, qui pouvait renforcer leur amitié -maternelle- familiale et amicale, où la brise, les éloigner, quoi qu'il en soit cela les rapprocha toujours d'une manière ou d'une autre, où d'une certaine manière, les lia, les faisant s'aimer à chaque fois bien que toute tragédie, et un but, les rapprochant...

Jenny protégeait toujours sans cesse et sans arrêt, sa petite Dawn, la rassurant et la réconfortant, réagissant continuant comme toujours depuis que la jeune femme la connaissant avait fait sa connaissance, continuer de se comporter comme une mère, où une sœur ainée, la plus âgée que Dawn n'avait jamais eu droit ; Jenny avait toujours compris cette enfant, comprenant sa douleur son mal-être, et sa fragilité pas si complexe que cela, si évidente lorsque l'on était attentif à la personne, et cachée dans le fond dans l'âme de Dawn... Jenny réussissait, incroyablement, de manière toujours inattendue en se disant à chaque fois que cette femme prenait les coup de manière verbale, qui résulte d'une figure de style, d'un transfert sémantique, en étant si patiente de manière inattendue à chaque fois ne croyant pas regrettant que Jenny lui pardonne... Dawn était une petite fille, enfant, dans l'extrémité de l'hypersensibilité, et ce trait de personnalité, faisait peur à beaucoup, ayant pour forfait de fuyant les autres, et se retrouvant seule, abandonner par des personnes qui se disait être ses amies, ses supposées amies...

La jeune femme pouvait constater toute cette douleur, cette pain et blessure, en tentant en tant qu'humaine de ce fait apportant du mieux qu'elle put du confort, réconfort, pour apaiser et venir au secours de la jeune Dawn, de sa petite protégée, de sa Junior, elle entreprit de faire jouer toujours ensemble, Dawn avec Gaëlle, lueur apportant de la joie du bonheur et étant heureuse ensemble, investissant dans leur monde et dans leur univers, voulant qu'elle soient épanouies et pouvoir leur apporter à défaut de leur véritable mère, leur apportant une véritable personne à aimer, leur apportant un équilibre, et les emmenant toujours à des sorties, leur achetant de la glace ou des gâteaux... Leur apportant un tout autre niveaux de bonheur et de visage aimant...

L'après-midi, Jenny joua avec les filles tout la fin de journée alors que le soleil disparaissait à l'horizon ; Gaëlle courait et riait telle une mélodie de chanson, faufilant sous les jambes de Jenny, sa bienfaitrice, la semant, jouant à cache-cache, s'accrochant à sa jupe, à ses jambes pressant son petit visage contre son ventre à la recherche d'un câlin ; en courant Dawn sauta sur le dos de Jenny, riant toutes trois, la jeune femme se laissa tombée sur le sol d'herbes, leurs jambes cédèrent ; le ciel entendit leur rirent et joie entre filles, remplissant l'air en donnant une sorte de pommades, de baume à un cœur tendre et doux, le réconfortant devant un tel tableau d'aquarelle... S'élevant de voyage, partant dans l'air du souffle de début de soirée…


Mars 1991

Dans la chambre d'hôpital au sein du service de maternité, pendant le soleil du matin matinal frappait ses premiers rayons traversant la fenêtre, les rideaux, c'est ainsi dans le processus ressortir la blancheur douceur de la chambre du foyer cocon qui enveloppait la douce jeune maman, et le nourrisson, quelques jours après son accouchement de Nolwenn ; prenant toute chaleur extérieure naturelle... Nolwenn avait trouvé un endroit pour élever son enfant dans une communauté fondée sur l'amour, le pouvoir d'une communauté qui se rassemble autour d'une femme dans le besoin... L'emmaillotage consiste à limiter les mouvements de bébé en l'enveloppant dans un lange afin de lui rappeler sa vie in utero. Ses mains dépassant du linge, respirant la lessive une bonne et douce douceur, pressant tout son corps dans des vêtements linges de lange, l'emprisonnant, le protégeant du froid, la recouvrant de draps la serrant, ses membres au chaud ; les bras minces, frêles de Nolwenn berçaient sa fille, l'entourant de tant d'amour, elle lui murmura à l'oreille des paroles tendres, aimantes, promesse d'amour, "Tu seras mon amour et ma vie".

La vie de Nolwenn n'est pas fanée parce qu'elle a sa fille. Au lieu de cela, elle trouve de la force dans la maternité, et elle découvre un amour dont elle ne savait jamais qu'elle était capable. C'est en aimant quelqu'un avec le genre d'amour complet, héroïque et inconditionnel d'une mère que Donna découvre le sens de la liberté qu'elle cherchait en fuyant sa vie, et elle la trouve non pas dans l'isolement, mais en aimant suffisamment son enfant pour lui donner toute sa vie. Ce n'est pas un fardeau qu'on demande de donner de cette manière entièrement sacrificielle : c'est un cadeau.

Le regard de Nolwenn était absent, pensif, cette scène tellement si trouble touchante terrible qui fit naitre en donnant faisant réaliser, faisant face à la plus belle chose au monde ; réunissant sa famille, partageant et ses proches pour célébrer le baptême de la naissance de sa fille, partageant un moment intime une discussion émotionnellement profonde avec sa grand-mère, Maria, lui disant comment elle se confiait, se sentait de l'absence combien sa mère lui manquait ressentant un terrible vide à son côté qui n'était plus là, de ce monde, ressentant constamment un vide d'autant plus et le comprenant toujours aussi fort qu'elle était maintenant à présent mère, à son tour, et aurait tant voulu et souhaité qu'elle partage avec elle sa joie et son bonheur...

Maria lui avait alors sourit d'un sourire si ému et aimant, brillant, elle eut seulement pour réponse une voix brisée des yeux lumineux brillant de larmes non versées et perdues, cachant son émotion et son sourire qu'elle se voulait plein d'heureux pour rendre le bonheur de sa petite-fille ; posant sa main sur l'épaule de Nolwenn et se penchant pour l'embrasser légèrement tel un baiser de plumes légères sur son front... Et chuchotant murmurant d'une voix tendre maternelle d'aïeule, lui assurât que Lily serait là, elle est là, et serait toujours là ici à ses côtés...

Dès lors, elle se sentit mieux, pris une profonde respiration de sérénitude mêlée à de l'acceptation de soi, de la paix, plénitude se sentant pour la première fois depuis si longtemps heureuse et pouvant faire un deuil complet de sa mère disparue, véritablement heureuse ; respirant profondément, observant le plafond, Nolwenn se sentit mieux, un poids dégringola, fondit de ses épaules de son dos ainsi que de tout son corps mince perdu de sa grossesse...

C'était quelque chose de vraiment totalement puissant et fort en sentant une présence, la présence autrefois familiale aimant d'une mère, fantomatique spirituel de l'essence existence naturel de Lily ; émue aux larmes devant voir son enfant, la chaire de sa chaire, du sang à son sang donné la vie à un petit-enfant qu'elle ne connaitra jamais ; sachant que tout s'arrangerai en laissant le temps faire son n'œuvre laissant le passait et filer, malgré le fait que rien ne pouvait être comme avant comme autrefois, les anciens membres du passées, les ancêtres étaient la pour les protéger et Lily et Riggie était là pour les protégée, serai parmi eux pour veiller sur leurs filles...

Lily N'ayant jamais était capable d'être aussi forte qu'elle pouvait semblée pouvoir parait invincible alors qu'elle croyait pensée véritablement ne pas l'être, comment cela a-t-il pu mal tourner ? Non, ici, voici où nous, ils appartiennent, voient un chemin à parcourir, n'auraient jamais pensé qu'elle oserait faire face à tous les obstacles, découvre le sens de la liberté qu'elle cherchait en combattant menant de front sa vie...

Comme une image passant par son amour, sa vie Dans le miroir des yeux de sa fille, son amour, sa vie, pouvant tout voir si clairement Tout ce qu'elle aime si chèrement images passant par comme des reflets de leur esprit sont les mots que Lily essaie de trouver son amour, sa vie mais elle sait que nous ne possédons pas de tout son cœur, que Dieu la bénisse, elle serait son amour et sa vie, sa Nolwenn, son enfant, étant son être son seul lien de confort et sûr de tenir, et seul l'ayant étant tenu près de soi ; senti son cœur battre et elle a pensé : elle est libre Oh oui, et comme on est nous dans le présent et au-delà Rien et au-delà rien et personne ne peut briser ce lien.

Comme une image passant par son amour, sa vie, l'amour de sa vie son amour bien-aimée de sa fille, dans le miroir de ses yeux son amour, sa vie, voir dans les yeux d'une mère maternelle, elle peut tout voir si clairement tout ce qu'elle aime si chèrement images passant par comme des reflets de son esprit, de l'esprit de Nolwenn et Jenny ; son amour, sa vie sont les mots que j'essaie de trouver dans ses deux filles, Mais elle sait que vous ne possédez pas de tout son cœur, que Dieu les bénisse qu'elles, que vous, êtes toujours ses amours et sa vie, Oui elle sait que ne les possède pas...

De tout son cœur, que Dieu te bénisse, vous bénisse, elles sont toujours son amour et sa vie, vous, tu es ma seule et unique, leur seule et unique...

Lily chantant une douce mélodie, un chant d'anglais ancien, dans l'allée d'une église après la naissance de Nolwenn, et l'image du passage de vie est parallèle à Jenny dans une allée avec son propre enfant, l'enfant de Nolwenn dans ses bras après le décès de sa sœur, dans les bras. Lily, Jenny et Nolwenn chantant ensemble cette même berceuse mélodie, à l'avant, une scène tellement profondément déchirante.


Fin Juillet début Aout 1997

Jenny prévoyait son voyage pour Los Angeles, son cours séjour dans sa famille d'adoption, sa famille parallèle et surtout par alliance qui était qu'autre en se détachant de sa véritable affiliation et son attache au clan Kalderash, ayant trouvé un équilibre positif dans vie privée un semblant de normalité dans sa vie familiale apportant un vrai bonheur et plus encore, en dehors de sa grand-mère, Maria, puis de ses autres nièces ; depuis plusieurs mois elle avait prévu ce voyage chez sa belle-famille, l'ancien foyer de Nolwenn, contactant Quentin, lui faisant savoir lui apprenant en faisant la demande de pouvoir passer un peu plus de deux semaines chez lui ainsi que sa fille ; ces instants, Jenny les attendait avec une telle impatience, une telle hâte et un si grand bonheur, que ce serait les meilleurs moments de tout son été, en parallèle avec les moments passés avec Rupert, bien entendu...

Elle n'avait pas revu Quentin et sa petite nièce, depuis plus d'un an, à présent, ce qui avait eu pour effet de laisser des dégâts assez considérablement importants dans le cœur et dans sa vie, la laissant avec un profond vide, solitude et grand manque ; elle n'avait pas pu leur rendre visite durant cette longue année, longue absence bien que pourtant cela semble être vite passé et pourtant tout en même temps tout à la fois non, il y avait eu tellement de choses à faire, tant de responsabilités familiales et personnelles que la jeune femme regrettait de n'être pas allée à Los Angeles à plusieurs reprises pour se faire pardonner et tout oublier de sa vie pendant quelque jours, un instant et faire en sorte qu'on lui accorde le pardon pour ne pas être autant présente, autant là, ici, et se faire ainsi oublier en étant pas aussi vigilante qu'avant, qu'autrefois...

Elle recontactait par téléphone son beau-frère pour lui communiquer que dans deux jours elle serait chez lui, dans sa maison, Jenny comptait donc partir très tôt le matin, à l'aube de l'aurore de beau matin pour se rendre à Los Angeles le plus tôt possible, dans la matinée, car en effet le trajet en passant par l'autoroute entre ces deux villes étaient un voyage court, deux heures où plus au grand maximum ; ce qui faisait arriver la jeune femme en début de matinée, pour ainsi dans ces conditions dans ce cas, elle pourra se reposer dans de bonne condition en journée, pouvoir partager et profiter de cette première journée de congés avec Quentin et sa fille, se pouvoir gagner un jour avec eux en leur compagnie...

La préparation de son voyage, de son trajet ainsi que tous ses bagages les préparatifs du départ ne faisaient pas tout et demandaient beaucoup de temps, et remplir son sac de vêtements, en organisant tout en même temps ses projets de séjour, l'organisationnel qui consistait à préparer, emballer en faisant des surprises de cadeaux à sa petite nièce, voulant bien s'occuper d'elle le temps de la voir, de la visite, de profiter de la compagnie l'une de l'autre en rattrapant chaque instant perdu, et en même temps pour l'occasion inventer des activités, des visites et nombreux jeux adaptés pour son âge ; sur chaque jeu, dessin, peinture, jeu de sociétés, et plus d'autres…

Jenny avait le cœur lourd à l'idée même de laisser seule encore une fois son chat, en une seconde fois dans un seul et unique été depuis si longtemps Bouboule avait perdu l'habitude et dans un esprit pour un si petit animal, ce félin, cette chatte ne se rappelait pas très bien ces moments de solitude emportant l'emportée dans les moments heureux, complices et de tendresse avec venant de sa jeune maîtresse ; Bouboule ne souffrira pas de l'absence qui causera la perte temporairement de Jenny et sera soigneusement pris en charge et occuper d'un grand soin attentivement occupée, par Susan.

Susan étant toujours si attentive comme toujours, comme jamais, détectant avec toujours une perspicacité troublante de clairvoyance de profondeur ouvert, pouvoir voir la triste, la peine, de Jenny en essayant très vite aussitôt de la réconforter, la rassurer en la mettant à l'aise, qu'elle s'occuperait de tout durant son absence, surtout de la vie de Bouboule, prendre en charge son courrier à sa boite au lettre ; puis faire l'entretien de son frigo en prenant, mettant de côté et jetant l'alimentation moisie ou périmée... Elle l'aida à réaliser son ménage pour le dernier jour avant longtemps en rentant de ses vacances...

L'entretien du logement d'un ménage était un très bon moyen, une occasion de faire passer du temps, de se tenir compagnie mutuellement entre deux femmes vivant dans des foyers mutuels ou séparément malgré que l'on vivait séparément souvent, Susan ou Jenny d'aider mutuellement, épauler, pour se tenir compagnie, et s'avancer dans les tâches ; époussetant les poussières, passant le balais puis l'aspirateur et enfin la toile ; nettoyer les carreaux ; pour bien dire la vérité, sans se l'avouer de manière subtile, il s'agissait en réalité d'une ménage de printemps que s'était organisé les deux amies, en se donnant mutuellement de l'aider et de la compagnie...

On en entend souvent parler quand la belle saison revient, mais quelle est la définition du grand nettoyage de printemps ? La définition du grand nettoyage de printemps est plutôt simple : il s'agit de faire un ménage de fond en comble de sa maison. Tout doit y passer, du sol au plafond, du salon à la buanderie, en passant par les rideaux, tapis, vitres et dessus des placards. L'arrivée des beaux jours donnant envie de fraîcheur et de propreté, on se réfère donc à cette saison pour qualifier un tel nettoyage. Cette tradition présente dans plusieurs cultures revêt une véritable symbolique de renouveau et de purification. On ouvre toutes les fenêtres afin de faire sortir la poussière accumulée en hiver.

Nettoyage de printemps : par quoi commencer ? Tout est à faire, et il est souvent difficile de savoir par quoi commencer. En premier lieu, il est donc indispensable de s'organiser. Il est préférable d'effectuer le nettoyage de printemps pendant un week-end, et de mettre toute la famille au travail. Le ménage doit s'organiser pièce après pièce, en débutant par la cuisine puis la salle de bain, qui demandent souvent plus de temps et d'huile de coude. Certains produits naturels font des merveilles dans ces pièces, comme le vinaigre blanc contre le tartre et l'oignon contre les taches grasses. Les principes du grand nettoyage de printemps requièrent d'être méthodique et complet...

Les principes du nettoyage de printemps : suivre les principes du nettoyage de printemps permet de ne rien laisser de côté lors de ce ménage approfondi et complet. Il faut donc notamment :

brosser les plafonds, en commençant par les dépoussiérer avec une brosse à poils doux avant de les savonner puis de les rincer à l'eau claire ; lessiver les murs, à l'eau et au savon pour ôter taches et traces noires, après les avoir dépoussiérés ; laver le sol, après avoir retiré tous les meubles pour rendre les moindres recoins accessibles, en fonction du revêtement qui le couvre (parquet, lino, carrelage ou moquette) ; laver les rideaux et nettoyer les tapis ; astiquer les meubles, selon une méthode adaptée au type de bois (papier de verre et savon noir dilué à l'eau chaude pour le brut ; eau et papier absorbant pour le ciré ; eau savonneuse pour le bois peint voire cristaux de soude pour les taches) ; laver les vitres, avec de l'eau et une éponge ou une peau de chamois, en passant toujours dans le même sens soit de bas en haut soit de gauche à droite ; dégivrer le congélateur, laver l'intérieur du réfrigérateur, détartrer les appareils électroménagers, nettoyer four et micro-onde, dépoussiérer les grilles de ventilation ; trier toutes les affaires : vider meubles et placards, jeter ce qui n'est plus utilisé ou usé ou cassé et ranger le reste ; organiser ses papiers administratifs. Si le grand nettoyage de printemps vous fait peur et si vous ne savez pas par quoi commencer, n'hésitez pas à faire appel à un professionnel de l'entretien de son logement ; en somme une femme de ménage professionnel...

Le ménage de printemps, aussi appelé nettoyage de printemps, grand ménage de printemps ou grand nettoyage de printemps, est la pratique de réaliser un nettoyage complet du logement d'un ménage, par opposition aux tâches ménagères quotidiennes.

Après toute cette frénésie cacophonique acharnement d'ardeur commuer en mélangeant à de la motivations, les deux femmes se reposèrent toute deux dans le salon de Jenny, autour de boisson froide, un thé et un café accompagner de gâteaux de toutes sortes, de tous genres saveurs et goutes, ainsi que des petits gâteaux secs ; discutant comme dans toutes leurs habitudes, posant, parlant du prochain voyage de la jeune femme chez son beau-frère ; Susan fut curieuse de connaitre un peu plus les autres membres de la famille...

Se confiant, s'ouvrant, d'avantage toujours plus aidant se laissant aller à un cocon de bien-être, se laissant apaiser, parlant de sa nièce et son caractère, sa personnalité ressemblant à sa Nolwenn, sa sœur, de plus en plus mais c'était assez fort, évidence éclatante quand elle était plus petite, plus jeune, avec sa timidité son sérieux et son calme avant de prendre exemple sur Jenny, reproduisant en imitation en influence prenant du courage et de l'assurance transformant totalement en totale de sa personnalité, changeant un peu plus chaque jour ; Jenny gardait en secret, cachait dans des affaires purement personnelles et intimes différents clichés et photographies de son adorable petite nièce, en cette occasion de discussion, elle montra à Susan une photo particulièrement récente, la fille de Nolwenn, qui lui ressemblait tant, trait pour trait, une copie conforme ; les mêmes cheveux bruns noirs ondulés ainsi que des yeux aussi doux et lumineux...

Ecoutant avec attention affectueuse profonde, les nombreuses qualités, des anecdotes inoubliables amusantes et déroutantes, bons nombres de sujets intéressants nécessaires dans l'éducation d'enfants idéale pour remplir la conversation, discussion de gouters d'après-midi, soutenant Jenny partageant toujours autant et sans cesse une complicité de soutien avec elle Susan ; apportant toujours un plus, une force extérieure d'un bras de fer, une forte prise dans chaque moment quotidien, dans chaque appel de moment demandait qui demandait plus, toujours plus, Susan apportait toujours un soutien dans la vie de Jenny tel comme un pilier, une raison d'être une force dans la solitude comme si sa personnalité seule si jamais elle disparaissait, tombait dans l'oubli ou créer un vide face à un décès, un départ creusant un trou, un vide, un oubli qui manquait, se ferait plus grand car une amie comme elle ne se trouvait pas tous les jours, faisant d'elle une personne inoubliable et importante pour Jenny un soutien moral pour elle...

La conversation s'était poursuivi encore longtemps, encore un moment, Susan et Jenny avait passé la journée ensemble, pour l'aider à organiser les derniers préparatifs de départ et l'entretien de la maison pour ensuite être récompensé par un doux moment autour de tasses fumantes, des vers fruités frais et une collation ; passant toujours de long moment ensemble, elles décidèrent de naturellement se séparer, d'un accord, commun accord, mutuel et donné par le regard, les yeux, silencieuse pour la soirée en passant séparément seule dans leur domicile respectif pour la nuit et se retrouver le lendemain...

Le jour venu du départ, du premier jour de vacances à Los Angeles. En ce dernier jour de la semaine, le Samedi tout dernier jour avant de partir, Jenny avec un sentiment de mal être qui s'était fait sentir dès qu'elle était sortie du sommeil. La nuit avait pourtant été calme, reposante, après une soirée riche en émotion, de solitude baigné par la lumière de la lune et des étoiles tandis qu'avant de se coucher profitant du début de soirée, et d'être tranquille, sachant qu'il fallait commencer à penser, à réfléchir dans l'organisation de plans, de sujets, programmations informatiques pour le lycée, les cours des jeunes lycéens de partie du secondaire ; donc c'était dans la soirée de la veille des vacances, qu'elle avait commencé ses recherches de cours, et la préparation de tout le programme complet scolaire de l'année entière...

Le lendemain matin, à l'aube tandis que le soleil n'était pas tout à fait à peine levée, le soleil se formait à l'horizon planant collant au ciel au fond, ciel orangé aux milles couleurs arc en ciel, bleu, violet, rouge orangé-jaune ; le soleil ne frappait pas encore avec rayons alors que Jenny transportait ses derniers sacs dans le coffre de sa voiture ; regardant au travers de son rideau plissant le recoin, observant à l'extérieur, Susan souhaitait guetter le départ d'un signe de mouvement extérieur pour aller dire un dernier au revoir à son amie, pour lui souhaiter un bon séjour chez sa belle-famille par alliance ainsi qu'un bon trajet...

En sortant de chez elle, ouvrant la porte puis la refermant derrière elle, Susan se dirigea vers Jenny ; lui faisant combien elle s'était levée tôt pour être prête si vite et de si bonne heure, son ton et sa voix se voulait être taquine, mais à l'intérieur Susan voulait la réprimander pour ne pas prendre soin d'elle-même et de sa santé... A cela, Jenny sourit et la rassura, doucement et timidement, qu'elle prenait soin d'elle et de ne pas s'inquiéter, en répondant accompagner d'un sourire ornant ses lèvres. Elle prit la plus jeune femme dans ses bras, lui murmurant de passer d'autres bonnes vacances, et d'être prudente ; elle s'assura, interrogea ensuite si Jenny avait tout ce qu'il lui fallait, et tout ce dont elle avait besoin, dans ses sacs en ayant rien oublié, se permettant à l'occasion de s'en assurer ; Jenny assai et échouant lamentablement, en rentrant dans le jeux de Susan d'être outrée par son comportement, mais aimait son côté affection maternelle, protecteur, de prendre ainsi avec autant d'ardeur commodité audacieuse initiative, pour prendre soin de manière réconfortante, soin, compatissante… Que selon Jenny elle ne pouvait s'empêcher de chérir, d'aimer, d'apprécier, de garder dans son cœur, dans un commun moment appréciant Susan rit une nouvelle fois, à nouveau, la jeune femme contre elle pour la soutenir avant, de l'embrasser sur le front, l'encourageant à partir, à ce moment, elle souhaita à Susan de bien s'occuper d'elle-même et de sa chère Bouboule…

Prenant la voiture, roulant sur la route au travers de la campagne Californienne de l'état qui est plus à l'est des Etats-Unis, le chemin était simple calme et apaisant, chaud, perdue dans ses pensées le regard perdu au loin dans l'horizon, dans le vaste lointain, du ciel au plus profond ; les choses avaient beaucoup changé depuis quelques années, dans la famille de Quentin Caledif, ayant eu un enfant avec la sœur ainée de Jenny, Nolwenn, dans un temps il prit la décision d'élever sa petite fille, dans un environnement plus espacé et vaste, pour qu'elle changeait, évolue dans de meilleures conditions et dans un autre contexte, alors l'appartement que la jeune femme avait connue dans l'époque des années de jeunes mariés de Nolwenn et Quentin, n'existait plus et pour à présent déménager ; changer de maison d'habitation, d'une petit appartement conçu, fabriqué pour deux, à une maison simple, douillette sentimentale de cocon...

Quentin était devenu propriétaire de sa propre maison il y a un peu plus d'un an au tout début de l'aube du commencement de l'été, il avait emménagé grâce à l'aide de l'obtention de l'accompagnement de l'aide de Jenny, Siobhan et Marjorie ; la jeune femme transportait toujours les cartons, différents bibelots et bons nombreux de paquets utiles pour la maison, ce qui était le plus dur à la transportation des meubles lourds, Jenny n'y arrivait pas donc, se fut la sœur et la mère de Quentin qui l'aidèrent. Jenny avait à cette époque pas beaucoup donné, apporté son aide dans tout ce qui était aménagement, rangement, apportassions de tout article quotidien surtout en ce qui concernait la vie, l'éducation du confort, et de la communication comment s'occuper de l'enfant ; de veiller sur sa nièce, prendre soin de cette petite fille qui n'était autre que la chaire de sa chaire son sang de son sang, tous deux avaient convenu réussissant à se dire qu'elle serait mieux en dehors de tout cet aménagement et déménagement, sortant et étant épargné par la poussière le chantier, la préservant devant tout ce tumulte l'éloignant ; s'occupant d'elle, la prenant dans sa propre maison comme sa propre petite fille pendant plusieurs comme des vacances improvise un long week-end - fin de semaine- chez sa tante préférée... Jenny ne manquait jamais de raconter à la petite fille l'avancement du chemin de sa chambre d'enfant, de lui montrer et rendre visite à Quentin...

La maison qui venait d'être achetée si récemment, se situait dans un quartier résidentielle des plus calmes, paisibles, des plus charmants qui était dès le plus regard un coup de cœur, pavillonné par des mini-murets de pierre, anciennes ou des longues plantes de thuyas, dans un quartier qui s'emblait si paisible, si calme, harmonieux avec la nature, dans un semblant de campagne malgré que l'on se trouvait si grande, si peuplé, et l'une des villes immenses de la Californie ; l'habitation, la maisonnée est d'une grande simplicité, petite, accueillante douce, et grande beauté bien que la maison était, paraissait grande comme un foyer comme tant d'autre dans une résidence qui était considéré comme un assez grand foyer de bourgeois, riches de résidentiels, de banlieue, la maisonnée était comme une forme de cottage, maison de campagne ancienne de plusieurs décennies ; les pierre était d'une couleur jaune foncée en sable, les volets verts, possédant un étage, il devrait y avoir du chèvrefeuille au-dessus de la fenêtre du salon, et des lilas dans la cours en avant, et du muguet dès que l'on franchissait la barrière. Ainsi et des rideaux de mousseline à chacune des fenêtres. Les rideaux de mousseline, quelle allure distinguée cela donne à une maison ! Chacune pièce était d'une grande minuscule simplicité ancienne d'antan, dont n'importe qui pouvait tomber amoureux de cette petite maison champêtre au charme unique ; le salon vaste, le sol, le plancher en bois, ornant des tapis ronds, moelleux chauds, à poils courts, donnant un décor incroyablement douillet, cocon d'intimité familiale ; Contre un mur, Quentin possédait une assez grande bibliothèque ou reposait une multitude de livres, un meuble en bois simple...

En arrivant à la l'adresse dans laquelle Jenny se souvenait avoir noté dans son carnet d'adresse, elle n'avait vue l'habitation que quelques fois ne le revoyant passant ayant pas eu accès qu'il y a un an, mais s'en souvenant, elle s'y dirigea ; à l'horizon pouvant voir de loin à l'angle des toits des résidences, à quelques mètres de la maison, Jenny ralentit avant de se garer devant la maison de son beau-frère...

A l'entente du moteur au loin bien qu'à l'intérieur au travers des fenêtres vitres ouvertes, et de l'arrêt du bruit de la voiture, à cela fut alerté, Quentin sortit de la maison, en souriant, un large sourire formant sur ses lèvres à l'approche, venue de Jenny, la première fois depuis des mois ils ne s'étaient pas vus, n'avaient pas regardé son beau regard ; ils avaient toujours gardé contact, toujours et tout le temps au fils des années et surtout, au moment de l'année écoulée, l'année des derniers mois précédents... Devenant toujours chaque fois, plus complice, dans une bonne entente, bonne relation affective, d'affection et amour chaste entre Quentin et Jenny...

Souriant heureuse de voir combien la réaction de Quentin était si comblé de la voir, prêt de lui, si juste à côté de chez lui ; Jenny le laissa la prendre dans ses bras, la soulevant légèrement tournée dans ses bras, son visage contre son coup, lui murmurant combien il lui avait manqué... Si comblé dans le bonheur de l'avoir en sa compagnie pendant quelques semaines de vacances.

Enroulant son bras, sur les épaules de la jeune femme, lui montra avec une telle jovialité, un tel bonheur, enjouement, gaité dans sa voix, sa posture ses gestes et dévouement envers Jenny, lui demanda si elle avait fait bon voyage et affirmant, d'être si heureux de la revoir, en lui disant que cela faisait si longtemps ; elle lui répondit tout cela de ses réponses d'un même ton, d'un ton positif, qu'elle était heureuse de le revoir...

Sur sa route, il y avait bon nombre de vacanciers rentrant et partant, sur les différentes routes, mais elle avait réussi à éviter les bouchons...

L'aidant à sortir ses sacs, l'accompagna jusqu'à son entré, lui confiât que tout avait bien changeant, de tout point de vue dans sa vie, dans un point de vue quotidien, financier, professionnel, familial et bien sûr concernant le logement, lui révélant qu'il avait beaucoup changer nombreuses décoration ; mais Quentin s'était empressé de rassurer sa belle-sœur, pouvant que constater son regard alarmé, alerte, confus et bouleversé, s'attendant au pire révélation de sa part, mais en lui souriant, il lui dit qu'il lui expliquerait tout et qu'il n'y avait absolument rien de grave ; sa fille, Beverly avait bien changé surtout qu'elle avait une réelle redoutable impatience de pouvoir revoir sa tante...

Mais il restait à discuter de beaucoup de choses, de sujets, confessions, confidence durant cette année perdue et manquée, mais qu'il n'y avait que de bonnes nouvelles...

Et lui demandait si tout allait bien pour elle, à Sunnydale, en lui confiant à voix basse combien de comment Quentin était inquiète pour elle, son visage révélant, jouant dans ses yeux un grand trouble, une grande vulnérabilité et profond chagrin face au danger que courrait sa chère bien-aimée sœur de substitution…


Il fut un temps, jadis de cela quelques années auparavant dans il était une fois, lorsque Quentin et Nolwenn rêvaient encore tous deux à une maison commune où ils étaient propriétaires, étaient encore au tout début de leur mariage ; la jeune femme qui était de nature simple possédant un caractère aux allures petites, qui se voulait vivre dans un quartier simple et pas très riche, avait voulu vivre dans un modeste appartement dans un immeuble situé au quartier appelé pudiquement dans un quartier difficile, quartier sensible, c'est là qu'ils avaient tout naturellement emménagé après leur mariage. Ils promettaient qu'ils chercheraient quelque chose de plus spacieux, mais Nolwenn, bien entendu avec entêtement et fougue, était tombée immédiatement amoureuse de ce petit appartement au charme unique, et n'avait pas voulu entendre parler de le quitter. Du moins tant qu'ils seraient tous les deux... Elle avait nourri le projet et un rêve réciproque avec son mari, d'économiser financièrement, petit à petit, au fils du temps ensemble, pour un jour élever leurs enfants, dans une bourrasque à l'orée de la ville, en campagne... Et c'était de cette façon que Quentin réalisait le rêve de son épouse, au-delà de la mort, des années après, en mémoire à Nolwenn ; bien qu'elle n'était pas pressée de déménager dans un autre lieux, après avoir posé ses bagages, dans leur petit appartement ; Quentin continuait çà vivre dans son souvenir et dans son ombre, refusant de faire totalement son deuil, de tourner une page de sa vie et de son mariage, de la laisser s'en aller, et de chasser toute trace d'elle et oublier son chagrin de la perte de son grand-amour...

A l'intérieur de son salon, Quentin avait laissé les traces, les preuves, de l'existence de Nolwenn qu'un jour elle avait belle et bien vécu en ces lieux, qu'elle avait bien bouleversé la vie de Quentin et de Jenny, sans changer ni effacer les traces, grâce aux cadres photographies, du mariage, le sourire lumineux vêtu d'un blanc éclatant de tissus en forme de robe, au bras de Quentin ; Nolwenn posant sur une photographie prise à l'occasion d'une visite spécialement faite chez un photographe professionnel ; Jenny se souvenait parfaitement avec clarté d'une manière façon comme si c'était arrivé récemment, d'une précision remarquable, admirable, de cette journée passée avec sa sœur, Nolwenn dans l'organisation qui avait été faite dans la prise en charge de chaque cliché, avec les deux sœurs, et avec plus tard les belles-sœurs et la belle-mère de Nolwenn...

La journée avait été merveilleuse, fantastique, en ce début de matinée ensoleillée, la lumière rougeoyante s'infiltrant dans le studio de photos illuminant ainsi la pièce et la remplissant de chaleur, promettant une si belle journée pour commencer les photos intérieur et extérieur dans un parc verdoyant rempli d'arbres, d'étangs et de fleurs... En souvenir, il y eu des sourires, lumineux, les dents avaient la couleur du lait, c´était vraiment pur, lumineux, elles étaient toutes deux, Jenny et Nolwenn, très contentes. Et contrairement à ce qu'elle craignait, la couleur n'a pas bougé ; posant toutes les deux, ensemble devant un font que le photographe avait mis en place pour la journée à thème choisit par la jeune femme. Beaucoup de photographies ont été réalisées en clichée à elles deux, ou avec la belle-famille de Nolwenn ; l'après-midi fut consacré au parc, aux promenades, aux poses faites en famille... Certaines photos de cette journée, étaient soigneusement avec tendresse, et joliment, encadrés en argent sur un meuble, buffet du salon, ont orné fièrement des portraits... Parmi plusieurs clichés, se situait, se trouvait disposée, une photographie, seule, de Nolwenn, plus belle que jamais, le sourire doux, lent, avec des yeux brillants si pleins de vie ; ses joues, son corps mince, avec des faucettes, les joues creusées, ses cheveux encadrés son visage de mèches ondulées bouclées... C'était un portait que Quentin chérissait toujours, et aimait par-dessus tout, montrant sa femme, telle qu'elle était vraiment, mise à nue, intimement, et avec sa beauté sa vérité, et son âme dans les yeux...

Plusieurs clichés furent soigneusement gardés dans un immense spécial album...

Les choses, beaucoup de détails avaient changés dans le foyer des Caledif ; c'était tout particulièrement dans le sens où tout avait changé dans le sens que la famille s'était agrandit, avec l'arrivée d'un membre en plus dans la famille, la naissance de la fille le premier enfant de Quentin et Nolwenn, Beverly Caledif...

Beverly Caledif est venue au monde, à trouver naissance un soir de Mars 1991, un soir noir de la nuit dans une température particulièrement lourde de chaleur orageuse, le grondement dans le noir et à l'intérieur du ciel, la pluie fracassante malgré le trouble au loin dans le fin fond du sombre, la Pluit tombant avec force, fracas et grosses, énormes gouttes en abondance, le vent fort et parfois par moment violent et les éclairs ; malgré le temps fort violent, et le bruit des arbres, à travers les murs de l'appartement familial, maison, puis à travers la chambre de la maternité se faisant entendre faiblement malgré tout comme si tout était si silencieux en entendant le tic-tac d'une horloge, Beverly vient au monde lentement, silencieux avec silence paisible harmonieux, à travers ses cris au signal de la première vie, couvrit les sons de l'eau tombant du ciel... L'enfant a toujours vécu vivant paisiblement avec son père, toute seule, lui seul l'élevant prenant soin d'elle, il n'y avait que les deux avec une profonde complicité, une profonde affection entente, faiblesse, surtout depuis quelques jours après la naissance de Beverly à la mort de Nolwenn, ce ne fut que Quentin avec son bébé... l'élevant seul, de manière façon protectrice angoissait à l'idée qu'on puisse lui reprendre ce précieux cadeau., le seul être le seul lien qu'on lui avait laissé et qu'il avait créé avec sa défunte femme, Il lui arrivait de passer des heures à l'observer, et dans son for intérieur, il savait qu'elle était à lui, qu'ils s'étaient adoptés l'un et l'autre, mais avec un soutien, laissant son enfant au seules personnes en qui il eut confiance et pouvait Beverly en toute tranquillité et sécurité, à sa mère aimante et qui se connaissait remarquablement en bébé, à Marjorie et sa sœur, Siobhan, qui lui avait prouvé plus d'une fois qu'elle était débrouillarde et plutôt futée, autonome. Apportant à Beverly, ainsi de nouveau visage, un nouveau monde et connaissance apprenant à connaitre, lui apportant des connaissances, un développement physique psychologique physiologique plus rapide, plus vif, une telle soif de vivre, de découverte, en étant en avance, précoce sur beaucoup de choses ; cela faisant murir Beverly plus vite et mieux... Ainsi Beverly ne serait jamais laissée seule si un jour il arrivait quelque chose de dramatique à Quentin, elle ne serait pas seule si ça devait arriver...

Beverly était un bébé tellement si paisible facile à vivre, ne pleurait que très rarement, dormait beaucoup et s'adaptant à chaque horaire des adultes, des moments changeant de la vie quotidienne ; elle avait rapidement fait réaliser des nuits complète, elle s'endormait facilement calmement et très vite, pleurant la nuit après de rares cauchemars, mauvais rêves... Au commencement de la diversification alimentaire, lorsqu'elle commença la consommation de l'ingurgitation de légumes et de fruits petit à petit, Beverly fut à peine difficile, ne manifestant aucune hostilité à de nouveau aliment de nouveauté, pas crut, ni de difficulté, peine, obstacle, elle avait commencé lentement sa nouvelle alimentation comme n'importe quel bébé ; en se révélant une grande gourmande...

Elle avait hérité en ayant sauvegarder des traits de personnalités du caractère de sa mère, Nolwenn, les enregistrements, souvenirs d'hommage en son honneur, lui ayant passé d'elle à sa fille, son tempérament doux, timide et discret, ainsi que son physique, sa peau mate, beurre couleur caramel avec des yeux noirs, et ses cheveux aussi soyeux, doux et long brun -noir-, le sérieux, sa gentille, son éclat de vie, sa joie de vivre, si joyeuse, tout se pouvait voir dans son regard, l'étincelle dans ses prunelle brune, l'éclat, lueur, brillance, dans son regard et yeux, était identique le même que celui de Nolwenn ; Beverly était un bébé, jeune enfant et puis petite fille timide, réservée et effacée, soucieuse des autres, mais peu-à-peu à mesure de sa croissance, longueur de vie, à mesure qu'elle grandissait, en trouvant un substitut maternel à la grâce de l'image de la personne de Jenny, sa tante, ayant la compagnie de l'influence d'elle, connaissance une autre femme, d'un caractère bien différent du sien, et aimant, d'adoption, affection imitation ; souhaitant ressembler, posséder les mêmes traits de caractère vif, puissant, passionné, espiègle et aimant que Jenny...

Ce fut de fils en aiguilles, peu-à-peu au travers du temps, Beverly s'était transformée chaque jour grâce au contact et à l'influence de Jenny, elle s'en était aperçue bien vite, ce fut très subtile au tout début en devenant par la suite une évidence très nette ; Beverly était une petite fille très vive, dynamique si pleine de vie, si heureuse, elle aimait courir, elle était pleine de fougue, d'ardeur. Un enfant avide de découverte et d'apprentissage, personne ne pouvait s'ennuyer, jamais, avec une enfant pleine de vie, utilise tout son temps pour une activité, apprenant vite, avoir un enfant plein de vie c'est avoir un enfant qui apprend très vite les choses en général. C'est lui montrer une activité et celui-ci la gère parfaitement en un rien de temps. N'étant, pas en même temps persévérante, l'instant, pour le moment ; Mais bon, à quoi se faire tant de soucis, Quentin et Jenny pensaient qu'elle se met bien trop de pression cette petite fille, ce petit enfant, pour des choses qui ne sont pas de son âge. Faire comme les grands c'est tellement mieux.

Avide de connaissance ; il faut qu'elle touche à tout, qu'elle découvre tout, même si cela n'est pas de son âge. Elle aime apprendre de nouvelles choses et est tellement fière de nous montrer ses nouvelles acquisitions. Trouver des nouvelles activités, avoir un enfant plein de vie, cela implique de trouver toujours plus d'activités. Et, le zoo, la ferme, les livres, les jeux, tout y passe pour qu'elle ne s'ennuyait jamais.

C'est une enfant qui s'adapte assez rapidement -à condition qu'une personne qu'il connaisse soit dans son entourage- elle va rapidement vers les autres enfants, n'a pas peur de dire ses choix et de se faire comprendre, Ici, nous n'avons aucun problème là-dessus, parler avec les mains c'est tellement plus divertissant et amusant...

Nous pouvions avoir l'impression qu'elle n'a pas assez de sa journée pour réaliser tout ce qu'elle voulait car si elle pouvait rester éveiller jusqu'à pas d'heure elle le ferait uniquement pour finir ses occupations. Tout le monde l'avait compris, Beverly était plein de vie et Jenny doit avouer que certains jours c'est un peu plus compliqué mais elle donne tellement en retour. Elle apprend rapidement et sait se faire comprendre, partageant pleins de choses et c'est le plus important.

Beverly était toujours d'autant plus joyeuse, vive, si pleine de vie, riant aux éclats, le sourire ornant sa bouche dès le matin au lever du soleil jusqu'au soir ou elle devait se changeait en pyjama pour se mettre au lit ; souriante, toujours le sourire sur son visage, c'est ce qu'était en définition orner la personnalité mettant en avant avec à profits brillante et pétillante de Beverly. réactive et passionnée, elle était une enfants extrêmement sociale, attentive à ses petits camarades, voulant toujours être entourée d'autre enfants à la crèche puis au jardin d'enfants, elle avait un très bon esprit d'équipe, elle aimait apporter une pomme à ses nounous, où des gâteaux et cookies, les institutrices la qualifiée, la prénommant l'appelant, adorable, une enfant douce, gentille et un bon cœur... Elle détester quand d'autre enfants pleurais est était une petite fille, à l'écoute, se retournant se demandant posant des questions, en étant attentive, pourquoi un autre enfant pleuré, où avait peur. Bienveillante et humble.

Toujours souriant, de bonne humeur aimant rester positive, gardant son éternelle authenticité, son éternelle joie de vivre, elle aimait toujours autant rire, apporter de belles journées à ses proches, en étant restant là, ici présente avec tout simplement sa personnalité unique, pétillante qui aimant rendre heureux son papa, sa grand-mère et ses nombreuses tantes, son ton doux d'esprits d'enfants son innocence de petite enfant, l'aube de sa vie ; en faisant toujours tout, en tout point, sa force de personnalité, son amour de l'autre, et ses traits caractère charisme, fort, ses yeux brun brillant ne faiblissaient jamais devant autrui, ne voulant jamais montrant en marquant Quentin ou Jenny, avec qui en réalité pouvait devenir fragile et quelque peu timide, peu sûre d'elle, isolée par rapport aux autres enfants de son âge, mais Beverly face aux difficultés de la vie rester toujours autant courage ne pleurait face à cet difficulté ce problème de la vie, du moins pas devant quiconque ; peu-à-peu son regard, sa forme faciale de ses lèvres tremblait, baissait, quand elle était seule, son manque de confiance elle, le peu qu'elle possédait, allait lui manquer, lui échappèrent, se sentant petite, perdue, et une inconnue... Les enfants pouvaient être parfois quotidiennement cruels entre eux, et Beverly était une enfant parmi tant d'autres qui était isolée, mise à l'écart, une survivante parmi ses camarades plutôt méchants et mesquins ; parce qu'elle n'avait pas de maman, plus sa mère pour prendre et soin d'elle et donc différente...

Et après tous les coups, de moquerie enfantine, mais pas si sournoise que cela et ni subtile, ni ne paraissent de jeunes enfants, et ignoré des adultes, Beverly s'est avérée être une petite fille, moins sûre d'elle et fragile, à l'intérieur psychologiquement...

Jenny avait vu Beverly venir au monde, l'avait vu naitre, assistant à sa naissance, elle l'avait ainsi connu depuis toujours, et s'était souvent occupée de sa nièce, de ce petit bébé, si précieux qui était le dernier cadeau, le dernier lien la chose créée avant que Nolwenn ne meure, la petite fille c'était très vite attachée à sa tante ; lui rendant visite souvent, à lui apportant à chaque visite des cadeaux, Jenny gâtait à chaque fois n'hésitant jamais à faire plaisir à Beverly... la petite fille avait un lien tout aussi fort, tout aussi indéfectible avec sa tante, comme une enfant avec sa mère naturelle ; le lien familial était très important, peut-être même jusqu'à aller voir primordiale, même si l'on est éloigné, même si l'on ne s'entend pas très bien, la relation parent-enfant est tel, le lien est si fort, qu'il permet de comprendre et de capter ce que l'autre ressent ; son chagrin, son inquiétude, sa maladie le danger qu'il court parfois, comme Jenny qui s'avait qui seul est contre tout, perdue et abandonné ne voulant pas être cru, parfois, était bien décidé à puiser de tout le courage, toute la force qu'elle eut pour donner à sa nièce, le fait du départ qui eut devait avoir quand Jenny, est du partir, emménagée à Sunnydale, un an auparavant ; est une magnifique scène entre une jeune femme et une enfant, expliquant, rassurant Beverly à accepter de la voir moins souvent, accepter le départ le changement de vie...

Chaque jour de presque au grand maximum d'heures et de minutes, du temps passé à la maternité pour donner son cœur, un sourire et regard aimant contre se penchant sur le berceau du nouveau-né, en apportant un premier contact et réconfort humain, de relation humaine, en étant là alors un regard d'une mère une relation maternel n'était pas présente ; lui apportant le biberon et les premiers bains ; mais ensuite tout bascula après l'absence d'une mère, du départ, et de la tragédie, Jenny ne fut plus présente aux cotés de Beverly, durant trois mois, ne donnant plus de signe de vie, de contact et paroles, sachant qu'auprès de Quentin comment se portait l'enfant...

Puis, en reprenant un contact régulier peu à peu avec son beau-frère, après avoir fermé des blessures vives encore douloureuses qui suintaient alors que le passé était encore totalement récent mal de réconfort, suite au appel fréquent de Quentin pour revoir Jenny, pour la ramener, la réconforter, et demandait en la suppliant de revenir à la maison pour s'occuper du bébé, l'enfant de sa sœur, la jeune femme revient dans leur vie, en étant quotidiennement avec eux, voulant tout faire pour que Beverly ne manque de rien, et ne soit pas dans plongée dans la solitude, pour s'habituer à une personne qu'elle ne connait pas... Au fils du temps, Jenny avait mis en place ses visites qui se déroulèrent, eurent lieu, tous les week-ends pour ensuite être décalées toutes les quinzaines, pour commencer à rendre la séparation et la question de ne pas être toujours, tout le temps ensemble plus supportable, et moins difficile...

Tard dans la nuit de début de fin de semaine les vendredis soir, alors que l'écran solaire avait disparu depuis plusieurs heures pour faire place à la lune, Jenny ne se pressant pas en arrivant en train ou en voiture depuis San Francisco ; Quentin venait l'attendre ou partait la chercher à la gare principale sur les quais... Beverly était toujours couchée dans son lit, les instants où elle rentrait, il est vrai que par moment, parfois, la fillette était réveillée ou par moment, en forte chance qu'elle dormait, et Jenny ne venait jamais la réveiller, apportant toujours un peu de paix et de sérénitude toujours plus forte et dévouée, en sachant que sa tante serait là, ici, apportait une protection d'un semblant de bonheur, et de sécurité, en un cocon qui comprenait que l'on était là où on appartenait rester où elle appartenait, là où il y avait une évidence dans la famille... Pouvant dormir paisiblement, en étant serein, sachant que tout le monde toute la famille était réunie...

Encore, toujours endormie, son esprit nageant toujours encore un peu du matin dans le sommeil, ses yeux flottants étant lourd de nuits ensommeillé et fatigue en pleins fin de rêves ; une main douce, le lendemain matin, celle de Jenny, contre son cuire chevelu chaud au travers de ses boucles brunes, suivit accompagnée de caresses apaisante pour signaler une présence familière maternel, Beverly s'aperçue, se réveilla lentement en ce rendant compte de la familiarité du rituel de Jenny, et reconnaissance sa marque ; une vive émotion douce et rapide se rependant dans ses veines sachant et pouvant voir dans le noir de sa chambre les traits, la formes de l'ombre du corps de la jeune femme, émue la gorge nouée d'émotion heureuse et bouleversée toute à la fois, pour elle cela faisait si longtemps dans son esprit de jeune âge d'enfant qu'elle avait vue Jenny, en entrainant étant donné du bonheur et de la joie, mais bouleversée car croyant à un rêve de peur qu'elle ne disparaisse et la laisse, ne la voyant que pour un temps ne faisant que passer pour la bouleversée la torturée, alors poussait d'un élan de courage de peur en adrénaline, Beverly sortie rapidement de son lit et ses draps et courut dans les bras de Jenny, en se laissant enveloppée de son étreinte de sa chaleur féminine, étant soulevée et portée, elle murmura, son nom, et lui disant pour confirmation qu'elle était bien là, ici...

L'étreinte de tendresse de câlineries, moment de pur bonheur caché dans du cocon enfermé dans une cage dorée qui ne ressortait pas laissant être l'insouciance sans que le monde extérieure viennent déranger qui conque ; alors que le moment menaçait de les submerger par la force des émotions des sentiments qui renait au retour par le simple fait d'être réuni, c'était si forts ces sensations et émotions bouleversantes mais rempli de quelque chose une substance de magnificence de tendresse accrue de débordante d'amour contradictoires et salvatrices et pourtant pas si compliqué ; Jenny et Beverly avaient eu du mal à se défèrent l'une de l'autre, de leur bras l'une de l'autre, en particulier la petite fille qui trouvait toujours extrêmement dure et difficile les retrouvailles chaque rencontre, nouvelles et neuves, mais à la fois belles et accueillantes, réconfortantes pouvant embaumer et effacer les blessures voulu créer une sensation de cocon : chaud et doux, lui permettant d'oublier le monde extérieur et la présence imminente de demain, de l'inconnue... Et à chaque retrouvaille qui était un feu ardent et de passions fou d'amour et de tendresse, affections et pleins de promesses d'une vraie famille pour lesquelles personne ne s'abandonnerait jamais, et réunie pour toujours à chaque fois ; Beverly ne supportait pas les séparations et les départs de toutes fins de semaines de Jenny, le dimanche soir ou peut-être selon elle, le lundi matin.

Beverly partait s'isoler dans sa chambre, ou un endroit du jardin, pour dans l'espoir d'expectative que personne et surtout son père, sa grand-mère ne puissent voir, surprendre ses larmes de tristesse et de détresse ; en allant à la chambre, le lieu d'intimité de Jenny, Beverly partie la rejoindre en murmurant combien qu'elle ne voulait pas qu'elle parte, qu'elle s'en aille ; en la prenant dans ses bras, Jenny, elle enroulait ses petits bras autour du cou de sa tante, en chuchotant les larmes aux yeux, de l'eau salée coulants sur ses joues rondes, de l'emmener avec elle... Mais bien sur cela était impossible et Jenny lui avait expliqué les choses, et lui dit qu'elle ne pouvait pas la prendre en voyage... A chaque fois, chaque situation, occasion, Jenny prenait garde en faisant attention prenant ses propres précautions -sécurité- pour apaiser et rassurer Beverly.

Pendant les nombreux et divers séjours important, considérable, abandon dans leur régularité à permettre à la jeune femme et sa petite nièce de passer énormément de temps ensemble, plaisant de complicité entre chacune des membres de famille, de membres manière de façon en étant allier pour construire des projets de fin de semaines ; avec des cadeaux de retours lorsque Jenny venait rendre visite à Quentin et sa fille, puis des promenades au parc le plus proches et dans le jardin de l'immeuble... Et pour dans le processus, le même temps rattrapé chaque instant perdu durant les jours de semaines, jours de séparation, où Jenny et Beverly étaient séparée.

Le temps passé, s'écoulait toujours aussi lentement, alors que la famille des protagonismes de cette histoire continuer de vivre ainsi que cette routine installer durant les années qui suivirent dans leur relation, il fut dès instant, le temps de revenir au moment sérieux de la vie réel et difficilement dur, est parfois fondamentalement nécessaire pour le développement de Beverly était arrivait souvent….

Il fallait à tout prix dans tous les sens des termes employés réussir à aller peu-à-peu de pas à pas d'aider Beverly à vaincre sa crainte d'être abandonnée, en l'aider et la préparer aux différentes séparations et notamment celle qui aura lui avec Jenny ; de toute évidence, étant toujours hypersensible très, ne supportant pas être seule ou quand d'autres personnes se rapprochaient d'elle et passer des instants merveilleux ensemble pour partir lorsque le moment du départ était arrivé, et quand des fins de semaines étaient changées, se modifiaient et bouleversaient des instants que Jenny ne pouvait pas venir à la maison à Los Angeles au dernier moment...

Le temps s'écoulait et grâce aux jours passant jouer en la faveur des moments d'apprentissage pour pouvoir apprivoiser et laisser l'esprit travailler, enregistrer les informations et laisser le temps pour se faire une raison, pour le jeune père et la jeune tante pour comprendre à Beverly, le choix de vie les obligations et le destin qui fait que Jenny devait partir pour devoir familial ; En attendant les heures venues des années à venir, lorsque l'innocence du temps paisibles des années de petite enfance furent brisées, Beverly continua de vivre au jour le jour sa propre vie de petite fille, son confort et innocence de n'importe quel enfant au début de sa vie, Beverly grandit en changeant peu à peu physiquement, ses cheveux brun étaient ce qui avait de plus beau chez elle, surtout chez les opinions et témoignage de Quentin et de Jenny ; brun corbeau noir, et ondulés lisses, petite elle possédait une coiffure de coupe au carré très court, puis lors de sa dernière année passée - de ses cinq ans à ses six ans passées-, l'enfant avait décidée avec insistance résolution motivée de laisser pousser ses cheveux le plus naturellement possible...

Ils étaient très soyeux au toucher, doux, tendre, sous les doigts les passant en travers de nos mains, qui un acte de geste très apaisant, dans des moments calmes reposant de silence solitude des soirs d'hivers ou d'autres, après des jours difficiles, quand Jenny prenait dans ses bras sa nièce où lorsque son père la tenait la pressant dans ses bras...

Le jour venu, i peine plus d'un an, tandis qu'anxieusement les mains moites et tendues, les pressant l'une contre l'autre alors que pendant ce temps son estomac flottait, nageait en tombant d'appréhension alors que peu-à-peu toute son angoisse acide qui emplissait son ventre remontait peu-à-peu à sa gorge la secouant, la pressant, et l'assailli pour la faire suffoquer en emprisonnant sa gorge, son tuyau de respiration, de peur et d'appréhension qui menant à tout cette entreprise, ce chemin préparation pour organiser l'explication, qui faisait qu'elle se sentait désolée montant les larmes aux yeux et de la culpabilité de la peine et le chagrin donné, amené à Beverly pour son futur, imminent départ et son angoisse qui montait en elle dans son corps ; elle voulut que tout eut été parfait durant ce bel après-midi de gouter festifs comme considéré un jour ordinaire en étant dans un esprit de faire plaisir d'apporter de la joie et du bonheur et un moment familial à la petite Beverly ; avec le barbecue, aux saucisses, côtes de porcs, hamburger et viandes hachées, hots dog, des agneaux et bœuf... Avec accompagnement des boissons fraiches de saison, des limonades, citronnades et jus d'oranges ainsi que des glaces... Et pour le dessert ; il y eu de bons nombres discours de soutiens, d'accompagnements et paroles apaisantes destinées à Jenny à l'encourager et guidant son chemin la félicitant et en étant honorée et une belle noble cause que d'être au service de sa famille et leur rendre hommage honneur et fierté, suivit d'un gâteaux au chocolats pour la petite nièce…. Quentin ainsi que sa belle-sœur voulurent que tout soi réussi avec la complicité et le soutien de toute les femmes et le savoir être de la famille Caledif ; pour remontait le morale, rassurée et apporter de la festivité animation pour toute la réunion familiale et l'après-midi pour que toute attention soi portée au bien-être de l'enfant petite dernière des Caledif ; dans la maison familiale nul autre que celle de la matriarche Marjorie, qui était l'idéale et tout lieu ou n'importe quel membre pouvait s'y retrouvait et une porte toujours ouverte...

Quentin et Jenny avait tout fait pour que ce jours soi un jours de réussite, et de bonheur et non pas de désastre et d'inconfort tragique, il fallait que des larmes soient éviter, la colère et l'incertitude de la crainte et de l'impossibilité d'être réconforter d'abandon, avec ses pensées en tête, il y eu comme une étincelle lueur d'espoir, un sourire se dessinant se formant sur ses lèvres, elle avec grâce à elle du soutien de Quentin, son service, et la complicité de disponibilité qu'il préparée le jardin ainsi que les plats, les décoration de jardin ; Jenny avait voulu préparée gâteau préfère de Beverly….

En nettoyant la table de la cuisine et en sortant des divers endroits des placards et le frigo ensuite les ingrédient et différents ustensiles, avec ses mains, les ouvrants pour fouiller, le bois de la table étaient lises en apportant du confort et de l'espace pour cuisiner, réalisée une recette de cuisines du début à la fin ; car en effet, Jenny avait souhaitais réaliser une pates de pâtisseries fait maison avec tous les ingrédients ; En pâtisserie, il existe de nombreux types de pâtes qui vous serviront à réaliser diverses gourmandises : tartes, millefeuilles, sablés, etc. Avant de parvenir à pâtisser toutes ces bonnes choses, il faut connaître les bases et donc tous les types de pâtes qui existent : pâte feuilletée, sablée, brisée, etc... La pâte sucrée, Délicieuse et facile à réaliser, la pâte sucrée sera parfaite pour réaliser des tartes au chocolat ou au citron. Pourrait également sans servir, nous en servir, de ce type de pâte pour préparer de petits biscuits gourmands.

La recette de la pâte sablée par Cyril Lignac : farine, beurre pommade, sucre glace, fécule de pomme de terre, poudre d'amande, œuf, pincée de sel ; Dans un cul de poule Jenny plaça le beurre coupé en dés, le sucre glace, la fécule, la poudre d'amande et la pincée de sel, puis mélangeant le tout. Incorporez l'œuf à votre pâte sablée. Passez votre farine au tamis et malaxez, la douce texture sous ses doigts en faisant attention avec perplexité et concentration de ne pas la rendre élastique, il fut un moment il fallait l'apprivoiser non pas avec des rouleaux à pâtisserie et un fouet main ses propres mains et son corps, laissant faire la magie de la cuisine et des manuelles, en laissant s'apprivoiser jusqu'à former une boule homogène, après qu'elle se soit reposées l'espace d'une heure, avec douceur, délicatesse et minutie, la pates de farine de blé d'œufs et de laits se transformants en rondeur parfaitement sculpter, intacte pétrie avec le rouleau à pâtisserie. Placez votre pâte entre 2 feuilles de papier cuisson et étalez-la légèrement avant de la placer au réfrigérateur pour une heure ou deux. Abaissez votre pâte sablée à votre convenance, puis coupez-la avec des découpoirs, ou avec un cercle à pâtisserie si vous désirez faire un entremets. Faites cuire votre pâte sablée au niveau du milieu de votre four Le temps de cuisson dépendra de la taille de votre pâte sablée et de son épaisseur.

Le gâteau de pâtisserie à la tarte était au caramel mélangé à du chocolat noir fondu et mélanger ensemble, avec après la cuisson plusieurs morceau de saveur chocolatée et caramélisée aux céréales au-dessus ; ensuite avec une touche finale de crème fouettée en inscription en glaçage, avec écrit Surprise spéciale venue.

Bien avant que tout commence, plusieurs mois auparavant pour préparer à un éventuel inévitable, commencer à planter l'idée d'une graine pour comprendre et pouvoir voir dans le futur en se projetant dans l'idée du schéma pour peu-à-peu que Beverly comprenne, sache que Jenny sera éventuellement sur le point de partir ; Au début, ils s'étaient tous les deux assis autour de la petite fille, pour lui parler, discuter avec elle, en lui expliquant la situation...

Le corps petit de Beverly attentif rempli tout en même temps à la fois de timidité, tendu, raidi, attentive et à l'écoute de son père et de sa tante, se demandant toujours ce qui s'était passé observant leur regard, à chaque mot et parole, réalisation dans son cerveau et son esprit comprenant peu-à-peu dans un point de vue d'enfant, Beverly comprit le sens de la séparation, et du champ d'espace de longue distance ; et de certaines choses liées à ce qu'avait donné l'impression de dire Jenny, aux obligations familiales, devoir occupation qu'il y avait en existence chez Jenny leur famille du cotée de sa mère, Nolwenn...

Les descendants (enfants, petits-enfants) ont l'obligation d'assurer la subsistance de leurs ascendants (parents, grands-parents...), c'est-à-dire la satisfaction de leurs besoins élémentaires (nourriture, entretien). Cette obligation est à la charge également des gendres et des belles-filles.

Au fils du temps entre la première fois que Quentin et Jenny avaient commencé à parler avec Beverly et le repas de l'après-midi du gouter de l'annonce de la jeune femme pour son prochain imminent départ pour Sunnydale, qui séparait les deux situation événement, ils avaient continué régulièrement au quotidien expliquer ne cessant jamais de parler en évoquant le possible départ à n'importe quel années le départ de Jenny, pour la préparer, malgré la tristesse accablante inévitable et difficile d'impossibilité à ignorer à contourner pour ne pas qu'elle oublie et sache les jours qui défilaient disparaissant dans le néant.

Dans l'esprit au fils du temps dans le vent des nuages défilant dans les mois alors que tout se mêlant tout se remuait dans son cerveau pour faire un tris dans ses pensées dans un tourbillon de conséquences en mouvements d'évènements bouleversant qui allaient loin tumultueux et trop vite, Beverly se posait beaucoup de questions sur sa tante et la soi-disant mission qui lui était incombée, se demandait en appréhension d'appréhender qu'elle l'a verrait beaucoup moins de façon beaucoup plus régulière et que ce serait très long avant de réentendre sa voix si maternelle ; elle possédait des doutes tout au fond de son subconscient, ayant peur de ne plus la revoir, de ne plus entendre ni lui parler et plus jamais lui dire qu'elle combien elle l'aimait, elle avait peur de la perdre de faire de nouveau cauchemar et que ce soit dangereux, car tout ceci était à présent en réalité réelle et plus de fiction d'irréel mais la vraie vie avec des monstres véridiques qui existaient vraiment pour de vrai...

Alors c'est ainsi que de fils en fils, de moments en moments à situation d'événement en même temps, pour que de fils en éguilles au fils blancs se cousent jusqu'au moment du jour du gouter en ce juillet Aout précédent à Los Angeles, arrivèrent comme cela sans attente d'un jour à l'autre, dans un de ces moments qui n'était plus opportun dans un point de vue pour Beverly qui ne savait pas, sans se douter ; ce jour-là alors, que la petite fille s'était assise sur une chaise devant la table de jardin entourait de sa famille, sa grand-mère paternelle et ses nombreuses tantes ainsi que son père, Quentin et sa tante la petite sœur de sa mère, Jenny...

Tous deux placèrent au centre de la table, devant Beverly, un sourire de surprise se formait sur ses lèvres, d'innocence avec les yeux brillant noir, rempli tout en même temps complémenter avec incombe de véritable plaisir et hâte de pouvoir gouter au gâteau préparé confectionné par Jenny…. Totalement inconsciente que c'était la véritable signification de ce gâteau qui était en quelque sorte un véritable d'ombre simulation de départ.

Il a fallu que quelques instants l'espace d'un millième infini seconde à l'œil, au regard, pour voir enregistrer et se faire à l'idée de se rendre compte de l'inscription la marque du gâteau et ce que cela signifiait et représentait, à Beverly dans sa vie et ce que cela bouleversait en impliquant Jenny, et c'est là à ce moment que Beverly cria, se renferma à la consternation de tous, stupéfaction immobile se raidissant du bas de sa colonne vertébrale qui se propagea dans toutes les fibres, les veines et os cellules du corps... Elle pleura, ses larmes chaudes et d'eau salée coulèrent sur ses joues, comprennent ce qui était en train de se dérouler sous ses yeux ; de désespoir et colère souhaitant contre tout attente expriment tout ce qui avait était enfouis en elle et quand bien même rien ne pouvait y changer à l'avenir et à la décision de pensée de sa tante qui allait dans le sens tragique de la méchanceté et de l'égoïsme de sa famille et en particulier son oncle, Enyos...

Mais rien n'y avait fait, après de l'épuisement émotionnelle salée, Beverly fut peu-à-peu apaiser pour passer au calme, se sentant vaincu et acceptant, après avoir accepté d'être prise dans les bras de son père et l'étreinte de Jenny...

Il n'y avait pas d'autres choix que d'accepter la situation au fils du temps qui se démarrait se déroulait à travers les semaines tandis que les évènements des actions des mois à venir eurent lieux, durant la tranquillité d'esprits mouvementés, fiévreux, dramatiques, qui étaient complètement bousculés entrainent et firent face au chao débutant de l'année écoulée précédente de première vie à Sunnydale... Beverly dut apprendre et totalement complètement bouleversée de faire face confrontée à la réalité de ne plus pouvoir avoir la possibilité de rendre visite à sa tante, ni la voir aussi régulièrement ; Au fils du temps, la fillette se posait d'avantage beaucoup plus de questions dans le sens, qu'elle était en réalité très curieuse de nature, souhaitant savoir quelle distance -longueur dans son vocabulaire- qui séparait sa ville natale avec San Francisco puis entre Sunnydale, et de la consternation en colère puis furieuse en étant triste, elle se rendit compte en s'apercevant que Los Angeles était beaucoup moins loin avec Sunnydale qu'avec l'ancienne ville de la grande cité ancienne de San Francisco, en se confortant et pouvant se douter comprenant et la réalisation la frappait que c'était la distance qui empêchait en étant un obstacle de pouvoir se voir mais autres choses...

Et que cela était beaucoup plus compliqué, beaucoup plus profond et complexe, il y avait des choses non dite, ambiguës, informulées, implicites et inexprimées, qu'on lui cachait et qui étaient loin d'être pour son âge et éloignée de ses préoccupation d'enfant...

Le temps avait était long durant ses semaines bouleversantes, durent et impossible à ignorer en étant mouvementée, au changement de la vie Beverly, entendait de nombreuses fois les conversations du soir et jours de repos tranquilles fin de semaines de Quentin et Jenny et puis une routines s'installa au fur et à mesure tout recommença tout ce déroula à chaque fois, les :même mots étaient prononcée ; c'était toujours de cette façon, Jenny viendrai un autre jours, u autre mois où un autre fin de semaines, quand elle réussirai à avoir obtenir du temps pour elle et sa vie privée. Et puis, Beverly avait toujours un brin d'espoir de pouvoir comme jadis d'un week-end pas comme les autres, rempli... Beverly se souvient des paroles de la jeune femme d'être à la maison pour Noël, puis comme tel une machine en évidence, pour son anniversaire, et l'enfant était si tellement déçue car elle n'apparut pas... puis comme un épreuve de deuil dans les étapes du dénis jusqu'à la colère, elle était frustrer, furieuse et bouleversée, elle est si triste, en larmes cela faisait des mois qu'elle n'as plus vue aucun signe de Jenny, et l'avoir au moment les plus important de l'année et ainsi de sa vie ; elle lui avait dit, comment avec une voix aigüe, criardes en larmes comment elle lui avait promis de venir.

Jenny lui avait promis durant cet appel-téléphonique qu'elle lui offrit plusieurs cadeaux en l'honneur de son sixième anniversaire, il y aurait eu une fête en compagnie de ses copines et avec ses camarades de classes, ses nouveaux camarades avec qui elle avait sympathisée en entrant à l'école du jardin d'enfants si seulement elle avait était là, elle aurait pu être présente et rencontrais out son univers et sa vie sociale, il y avait tellement eu d'argument pour lesquels elle était si en colère et en ayant de l'amertume...

Au fils de l'année, Beverly se sentie dans l'obligation incontestable de poursuivre sa vie de petite fille, normale comme si tout aller bien et que sa vie ; aimant l'école comme personne jusqu'à maintenant à sa plus grande connaissance, son enseignante, maîtresse d'école lui souriait en la regardant partir, et elle ne pouvait pas imaginer faire, réaliser, autre chose, elle aimait les enfants en espérant avoir les siens un jour, mais jusqu'à ce que cela se produise, elle était heureuse d'être avec des enfants ; elle leur confie, au enfants et à Beverly de leur confié la tâche de dessiner une image, une photo, de leur famille en entier, ce qui entrainer incomber les animaux, leur maison et cambre ainsi que les papas et les mamans les frères et sœurs, cousins, cousines ainsi que leur oncles et tantes...

Beverly dessina avec des crayons au multiples multitudes couleurs colorées, sa famille en graphiques fièrement son papa adoré et sa bien-aimée tante, qu'elle n'hésitait pas à expliquer les couleurs avec bonheur et joie…

C'était l'activité préférée qui était conviée et préparée à l'école qui était l'art, le dessin, la peinture et les pastelle ainsi que la pâte à modeler, Beverly aimait plus que tout l'heure du dessin, réaliser des œuvres à libre pensée avec commuer à des consignes légères ; dessiner des animaux, des lapins, des chats, des chiens, des animaux de fermes ainsi que les rongeurs, et poissons rouges ; des plantes et nombreuses ainsi que fruits et légumes étant douté pour les coups de crayons pour une enfants de six ans, juste avant les contes et berceuses chants comptines avec sa maîtresse.

Chaque instants de véritable bonheur qui apparaissait ce déroulants chaque jours d'apprentissage et de découverte de développement, voulant tout apprendre en obtenant des connaissances dans chaque gestes quotidien à l'école, la maisons et en compagnie entre ses copines et le racontait à sa tante à chaque conversation téléphonique, durant ses conversations possible Beverly donner à chaque fois un repère pour s'assurer qu'elle comprenait tout et qu'elle ait l'opportunité de poser des questions si elle le souhaiter ; et c'était ce qui fonctionna ce qu'elle fit et compris, en posant des questions par réel véritable curiosité et soucis pour Beverly, partageant malgré tout de la complicité et des partages intimes entre elles deux virtuellement...

C'est ainsi que tout se poursuivit filas pendant les semaines et les mois écouler, passées, quand bien même le fait est que Beverly n'est pas pu obtenir le plus beau des cadeaux en ce qui concernait voyant, obtenant vie en réussissant à pouvoir avoir Jenny rien que pour elle en sa présence le jour même de son anniversaire et plus encore ; et il eut plus, bien plus car un mauvais jours par de meilleure c'était ce que chaque adultes lui avait appris et enseignant et ce qu'elle retenais de ces mauvais moments et des épreuves retenues vécu durant l'année ; la promesse ultimes, que sa tante bien-aimée, serai présente serai à ses côtés pendant les vacances d'été, une dernières promesses qu'elle fut tenue ; un moment donné, Beverly attendait impatience le temps qui les séparer des retrouvailles jusqu'à présent ; voyant les jours défiler changer et passer...

Jusque-là, la fillette ne vit plus les jours passées, que se passera-t-il dans son esprit alors qu'autrefois elle pensait toujours à Jenny, elle qui aimait tant et ne pouvait pas faire le deuil et se fa calmer, mais elle n'y pensées plus d'une certaine manière sachant qu'elle verrait bien-assez tôt à présent, Jenny, d'une certaine manière tout cela la réconfortât l'apaisante et pu y garder un calme, puis le jour arrivait des vacances qui était depuis longtemps de grandes séjour, vacances prolongées...

Le matin arriva, avec le léger lever du soleil pale lorsque les rayons du soleil commençaient à devenir apparaitre, en avancer à l'horizon et se déferlants, propageant prenant tout l'espace en avançant dans l'herbe le paysage et ainsi que nombreuses bâtisses de Los Angeles, à mesure que le temps se déroulait et les rayons du matin de l'aurore commençant à s'infiltrer dans les rideaux de la chambre d'enfant de Beverly, il étaient frais mais doux et à peine chauds, tièdes et puis devinrent chauds comme l'été ; à travers ce voile de soleil de lumière naturelle, jaune, Beverly se réveilla accompagnée, en ayant à l'esprit sachant portant dans ses souvenirs l'arrivait imminente de sa tante, Jenny.

Quentin lui avait fait porter une robe, de jupe bleu marine et son buste rouge et blanc, ses bras et ses épaules en rouge ainsi que des petits pois blancs tout autour de sa poitrine, accompagnée de sandales bleues, ils avaient pris, tous les deux, soin et le temps la veille au soir de trier les vêtements de la petite fille pour les choisir seule avec un peut le consentement de son père en lui donnant toujours son avis, de façon positive avec gentillesse ... Ses cheveux noirs étaient soigneusement coiffés à l'arrière ondulant soigneusement contre son dos... Elle était très belle comme enfant, et jolie avec un style magnifique qui lui convenait merveilleusement bien. Attendant, ensuite, dans sa chambre bien sagement avec patience mais très vite impatience trouvant le temps long, dans l'attente de l'arrivée de Jenny, elle regarder au travers du miroir de sa vanité, avec son visage de ses traits pensifs, les sourcils joints, réfléchissants rien en particulier bien que seulement ses soucis problèmes d'enfant, malgré ces retrouvailles qui était plus que jamais si proche, Beverly savait que c'était encore beaucoup trop long, d'une lenteur incroyable et tortueuse, n'ayant pas encore exactement encore bien beaucoup la notion du temps ; se détournant, de son miroir, elle passa ses petite mains contre le tissus de la jupe de sa robe... Longtemps après être rentrée dans les profondeur de ses pensées, les bruits d'ouverture de porte au lointain, les bruits de pas ainsi les paroles de voix féminine et masculin mit du temps à s'enregistrer en elle, dans son esprit...

Quelques instants plus tard, en tournant son regard sa tête et son visage vers sa porte, elle prit conscience de l'arrivait à peine de Jenny, et en pris conscience avant de déménager en dehors de sa chambre, son sanctuaire et son lieux, elle dévala les escaliers...

En entrant dans la nouvelle maison de Quentin, accompagné de son beau-père qui l'aida avec ses bagages, ses sacs et sa valises, marchant dans l'observation au travers de ses yeux le hall d'entrée qui était le vestibule puis tout aussi naturellement fait des pas dans le salon, les meubles et autre décoration d'intérieur de ce qu'elle à pu voir, son visage était d'un masque neutre et impassible, d'émotion émue et sérieux, regardant autour ses yeux fixe malgré que ses pupilles la couleur de ses yeux, de ses iris, étaient en mouvement alors qu'elle mâché pour visiter peut-à-peut son environnement. Tandis qu'elle faisait cela, Jenny entendit des pas précipitées en étant rapides la prévenue en la faisant alertant par son regard qui passa en pivotent son visage son attention de son esprit vers la cause du silence qui n'émaner pas de Quentin mais vers la forme d'une petite fille ; à sa vue, la jeune femme sourit, ses lèvres se transformant se courbant en un pal sourire sincère et authentique à la vue de son bonheur et la raison de la joie de vie de la maisonnée, depuis la tragique disparition de Nolwenn la raison pour laquelle Jenny n'avait pas sombré ni étant plongée et transformé en traumatisme d'avoir perdue sa sœur ; sa vue s'était illuminée à son incroyable apparition de sa jeune nièce.

l'absence de la solitude du manque de relation maternelle famille, Cela avait été si dur douloureux d'un grand vide et oppressant en s'apercevant combien elle lui avait manqué ; Jenny s'en était rendue compte dès l'instant où elle avait vue Beverly, avec émotion, voyant combien sa nièce, constatent avec émotion émue combien elle avait grandi, changée en un an ; des émotions différentes et inébranlables changeantes qui se bousculer immense dans sa tête, donnant cette impression qu'elle avait manqué, raté et attendu tant de choses depuis sa séparation avec sa nièce mais comptait bien contre tout attente rattraper chaque instant perdue...

Beverly était si belle à ses yeux, si minions douces pour sa famille. Jenny était sans compter fière d'elle, elle lui avait manquée et l'aime tellement regrettant son manque d'effet de présence et de soutien pour l'éducation de Beverly, n'être plus là t son rejet à revenir et ne plus être ici, l'abandonner... Et elle devait le changer les choses, la situation, et leur relation à tous ses appels et les conversations régulière devait être plus présente, et plus viable et sur pour ne plus rien manquer et rater.

Elle était si heureuse d'émotion son cœur battant fort dans sa poitrine, vacillent de tristesse mêlant de joie de tristesse, soulagée de pouvoir tout changée à nouveau et recommencer une fois et plus comme faire tout disparaitre...

En une poussée d'adrénaline d'optimisme, Tout n'était qu'un flou de sensation, parfois accablant, mais surtout heureusement composé d'un million d'heures de sommeil, de fils en aiguille peu-à-peu comme au tel un ralentie, pour y aller lentement, courant avec douceur et vitesse svelte pour se dépêcher de se diriger et enlacer, enrouler ses bras autour des épaules et du cadre de Jenny, se laissant soulever du sol dans l'action du moment Beverly profita pour enfouir son visage et son nez contre le cou de la jeune femme ; elle chuchota combien elle était heureuse de la revoir, se reculant de son étreinte, elle plaça tout plein de baiser contre le visage de Jenny, elles rirent toute deux de ses moments tendre, complice affectueux d'affection rempli dans un milieux en un endroit petit restreint de moments intimes et privées c'était un état tellement profond que l'on pouvait s'apercevoir s'entend en constatation du moment particulier la scène qui demandais de ne plus être présent c'est à ce moment-là que Quentin compris qu'il devait laisser seule sa petite fille avec Jenny pour leur retrouvailles et des instants privées pour se revoir et ressentir à nouveau une connexion familiale, il s'avait qu'il était en quelque sorte de trop et devait quitter la pièces pour les laisser en paix...

Beverly observa dans les yeux même de Jenny dans leur profondeur dans son petit sourire au coin appréciant le moment de l'instant de tranquillité d'esprit dans un moment de bulle, dans une sphère de havre de bonheur, resserrant ses bras autour du cou de la jeune femme, elle murmura en s'écriant élevant la voix, les yeux brillant de bonheur ne croyant toujours pas à la chance à la véracité du moment, croyance que c'était réel et non un rêve que sa chère Jenny était bien ici avec elle dans la maison de son papa et d'elle...

'Tantine Jenny ! c'est vraiment toi, tu es enfin revenue ; tu es là." elle se laissa aller dans à nouveau les bras de Jenny, une nouvelle étreinte chaleureuse, et tendre, tendrement féroce serrant leur bras l'une dans l'autre désespérément avant de lâchée prise Beverly recula la tête, son visage de l'épaule de Jenny, l'observant sous ses paupières, elle inclina sa tête sur le côté en la penchant étudiant sa tante d'un regard critique, formant peut-à-peut une mou interrogative se demandant, ce qui aller se passait dans un avenir proche si ce sera comme avant qu'elle réapparaisse et Jenny reparte mais voulant formée un visage autoritaire qui elle échoua en riant pour voir qu'elle échouée, sous les yeux qui essayait d'aller dans le sens de la petite fille...

Beverly continua de parler à sa tante, lui faisant remarquée que cela faisait si longtemps qu'elle n'était pas revenue à la maison et que n'y revenue quand à chaque fois elle donner des informations créant l'illusions de venir à chaque occasions de célébrations familiale et n'apparaissant jamais ; bien sur Jenny s'excusera, essayant de se justifier en expliquant tant bien que mal avec des bons mots, des choix de phrases et de vocabulaires pour tenter d'expliquer en faisant comprendre à une jeune enfant de l'âge qui a presque le temps de comprendre des mots plus âgées d'adulte le fait qu'elle ne pouvait pas rester, qu'elle a dû s'éloigner et faire ce qu'elle a dû faire loin d'eux et des siens, du devoir familiale, et avait beaucoup de devoir et d'obligation, et n'avait pas pu avoir de temps privée pour Beverly et Quentin ; Jenny lui demanda de lui pardonner si elle le pouvait et pouvait guérir les blessures, à travers le temps bien qu'elle ne soit pas on pouvait en espérant avec espoir peut profonde...

L'enfant lui appris combien elle avait manqué, rater de choses en événements cette année écouler, les choses et autres événements des faits dérouler et autres aventures, action, épreuve qui était heureux ou malheureux bien que souvent moins tragique moins trouble qu'il y aurait pu paraitre selon de se que l'on croit et beaucoup plus joviale joyeux de bonheur ; elle lui confia combien sa dernière fête d'anniversaire de l'hiver dernier, passé avait était un grand événement dans l'année de vie d'un enfants et de ses amies, alors que ce fut l'année de sa vie de première fois où Beverly rentrerez à l'école, pour célébrer le fait de grandir, de ses nouvelles amies de son enfance, un nouvel anniversaire de sa naissance avant l'école de sa petite enfance avant la vraie aventure de sa vie quand lorsque l'école du cours préparatoire commence ; pour réussir à faire une fête party parfaite, d'une anniversaire idéale idyllique, Les goûts de la star du jour, le thème, les invités, la décoration, les animations, le gâteau ... Les gouts de la star, de la reine princesse, du jours.

En premier lieu, il est très important de connaître les goûts de la personne qui sera au centre de toutes les attentions. Quels sont ses passe-temps, occupations ? Quel est son parfum de gâteau préféré ? Est-elle plutôt petite fête avec ses meilleures amies ou plutôt grande fête avec tous ses camarades d'école ? Il faut imaginer la fête parfaite pour lui faire plaisir ! Le thème ; LE Thème S'appuyer sur une valeur sûre, le thème de la fête d'anniversaire. Et oui, cela peut être très amusant et plus facile à mettre en place car le thème est une grande source d'inspiration, il raconte une histoire. Thème Princesse ? Jungle ? Ou encore Super Héros ? Il faudra tout personnaliser, du carton d'invitation au gâteau, jusqu'aux animations ! Les invités Une fois statué sur les critères précédents, c'est l'heure de préparer les invitations personnalises ! Le thème de la soirée doit être annoncé et tout doit être précisé : prénom, lieu, téléphone, heure de la fête, surprise, déguisement... ! Vahiné propose un atelier « pas-à-pas » sur les thèmes Licorne, Jungle et Super-héros pour apprendre à confectionner soi-même ses invitations !

La décoration ; Réaliser une décoration à thème n'est pas si simple. Il faut penser à tous les objets utiles et ensuite les assembler habilement pour avoir un super résultat ! Il suffit de varier les hauteurs des objets, les matières, les motifs, réaliser soi-même le centre de table, habiller les murs et le tour est joué ! la journée de fête... Les animations, Les animations d'un anniversaire sont primordiales car elles vont rythmer la fête ! L'univers du thème sera le fil conducteur qui plongera tous les invités dans l'histoire que l'on souhaite raconter ! Blind test musical sur le thème des Princesses ? Jeux de mimes sur les animaux de la jungle ? Et pourquoi pas mettre en place une piñata bateau de pirate au milieu de votre salon ? LE must have d'une fête réussie.

Le gâteau ; L'arrivée du gâteau d'anniversaire est le moment tant attendu pour chanter, faire un vœu ou encore souffler les bougies. Objectif : Réaliser une recette qui plaira à tous et dans le thème de l'anniversaire. Il sera forcément adoré si vous le réalisez vous-même ! Et que serait un gâteau d'anniversaire sans décorations ? Pour le sublimer, Vahiné propose des décos aux tendances : licorne, super héros et jungle !

Le nombres d'enfants, invitées ainsi que les événements de la fin d'après-midi et soirée de la fête d'anniversaire à organisée et puis l'animation à faire, à manier dans le même temps par la même occasion dans le processus dans un temps d'organisation pour déposer des surprise, en ranger des cadeaux qui était prévues simples et en rien d'extraordinaire, simplement ce que Beverly avait demandée des jouets et jeux de sociétés puis ensuite ceux qui n'était pas prévues, ceux qui créa engendra une grande immense surprise et demandait de l'organisation et voulait apporter tout son temps pour le découvrir et organiser l'ébahissement, éblouissement de chaque cadeaux surprise...

face au souvenirs de ce jours heureux, après le retours en flamme au présent de la fin du flash en mémoire au temps passé un souvenirs un fragment de vie ou lorsque Jenny ne fut pas présente, alors dans ces conditions de ce cas pour préparer ce qui viendrai et souhaitais, voulu, montrais et déclarée le cadeau surprise qui fut l'un de ses préférées merveilleux unique, Beverly s'était replongée à l'intérieur pour se rappeler. En dans ce faisant de ce fait faire amener son idée pour faire connaitre son renouveau dans sa chambre d'enfant à sa tante.

En se détachant doucement de l'étreinte de Jenny une nouvelle fois se détachant de séparation de leur corps à peine, Beverly la regarda souriant en lui racontant toujours sa journée dernière anniversaire ; pour ainsi être certaine dans ce fait de ces cas alimenter la curiosité luminosité de Jenny pour l'invitée à venir visitée sa nouvelle chambre, lieux pour la nuit pour dormir.

Beverly sortie des bras de la jeune femme ne lâchant jamais ses main, entrelaçant leurs paumes et leur doigts, elle lui sourit toujours ne brisant jamais leur regard, elle lui demanda de venir avec elle tout bas ; en employant toute sa force de ses bras de là de son jeune âge de petite fille, en riant sa gaité son entrain et sa bonne humeur était un attrait de sa personnalité pétillante, qui était dans le même temps communicatif, une véritable contagions comme une bouffer d'air frai, dans une démonstration comme un cristal.

Jenny était hypnotisée comme envoutée par le spectacle de la petite fille, pouvoir apercevoir voir en constatant la joie de vivre de Beverly voyant dans sa posture ces geste et vivacité que tout cela ne se tromper pas, en constatant à peinte reprise du premier regard combien cette enfant aimée la vie ne se soucier guère du regard des autres, des adultes et leurs jugement.

Englober dans l'innocence la plus totale, riant, babillant, en racontant bon nombres d'anecdote tandis que Jenny garder le silence écoutant attentivement chacune de ses paroles ; puis Beverly la fit rentrée dans une charmante petites pièces au allures d'atmosphère d'enfant, après avoir poussé doucement la porte sans attendre le bruit d'un léger grincement, elle laissa invitée sa tante dans sa chambre, pour y pénétrer, une douce chaleur s'y répandit venant la pièce petite mais chaleureuse comme tel une chaumière... Elles y rentrèrent toute les deux, tandis que Beverly lui communiqua, radotant en expliquant d'une voix autoritaire et des plus importante ses légères règles de vie dans sa chambre, en précisant ainsi qu'elle devait être toute respectée bien sûr, bien entendue. Beverly, les laissa s'abandonner, se laissant aller entrainer pour pouvoir rester de se pouvoir émouvoir attendris ; pour se laisser aller et attendre qu'il y a un autre message, moment de convivialité, amitié, chaleur, sympathie de moment assouvie de moment sentiments, affection, privilégiée ; en rentrée, après avoir franchi le seuil de la porte, dos à elle, Jenny ferma le cadre avec la pomme de sa main.

Le soleil entrait timidement à flot dans la chambre au travers de la moyenne fenêtre qui passer malgré le verre de la vitre, la lumière rentrait avec douceur et chaleur transformant d'un halos sanctuaire dans un englober d'un havre de paix d'intimité couper du monde pour ainsi dire de façon de manière chaste modestie pudique, pénétrant traversant les rideaux blanc transparent ; transformant ainsi de cette lumière et chaleur inonda la chambre à coucher de toute la température de l'été et ainsi de la beauté de la luminosité, mettant en valeur les mure rose poudrer et simple discret en pastelle d'enfant d'innocence ainsi de petite fille.

Beverly fit un tour en réalisant ses jambes les tournant faisant pivoter sur elle-même, de la plus grande élégance soigneusement, en souriant pour regarder Jenny, lui avouant avec plaisir pouvant observée, voir, que sa tante avait pu constater les changements de transformation décoration décorative qui embellissait manifestement extraordinaire de façon forte ; la petite fille expliqua à la jeune femme l'origine du cadeaux surprise spéciale qui venait en réalité de Quentin, pour faire de son lieu en franchissant un cap pour que sa chambre devienne beaucoup plus qu'une chambre d'avantage celle d'une petite fille et moins celle d'un bébé ; il avait eu l'attention, de la faire sienne pour que Beverly choisisse au mieux la décoration, et puisse avoir son opinion sur son choix du thèmes et des objets à posséder comme tout cela comme une grande fille.

La décoration avec motifs empruntés aux jeux et aux dessins animés de princesses est désormais classique pour les chambres de petites filles. Les fabricants de meubles et d'accessoires proposent de plus en plus de produits avec ce genre de motifs. La décoration de la chambre de princesse commence souvent par le choix des couleurs. On mise habituellement sur les nuances du rose, du lilas et du blanc qui sont aussi celles d'un grand nombre de meubles et d'accessoires de princesse. De plus, ce sont les couleurs des jouets de la collection Barbie, tout comme les maisons et les voitures de la poupée, dont on trouve plusieurs modèles en style princesse. Les parents qui ne souhaitent pas décorer la chambre de leur fille dans ces couleurs, pourraient opter aussi pour des nuances du beige et de l'or.

Lit avec baldaquin pour les petites princesses ; ces deux types de lits sont des meubles originaux et sympathiques que les petites princesses peuvent utiliser comme terrain de jeu durant la journée. Pour une chambre de princesse parfaite, n'oubliez pas la literie douillette en nuance de rose ou de blanc ou celle décorée avec des personnages des dessins animés. On trouve aussi des images de ces personnages qui peuvent être utilisés pour la décoration des murs de la chambre.

Stickers muraux pour la décoration des murs d'une chambre de princesse ; Tels sont les éléments les plus populaires de la décoration de chambre de princesse. L'on pouvait les compléter par une série de petits meubles et accessoires.

La tête du lit placée, installée contre le mur, le fixant le plaçant de façon à ce que le lit soit correctement placée ; en étant Digne d'un conte de fées, ce beau lit à baldaquin inspirera bien des histoires à une enfants ! Accrocher des rideaux à nouettes pour ajouter de la magie ou pour inventer une cabane où un lieu de cachette féerique... Les poteaux, piliers en bois noir ébène fixés en attaché pour mettre un tissu de soie blanche de dentelles de boucles en tissus transparents, mis en place dans une forme comme une toile formant quatre voilages sur chaque côté des piliers en étant attaché ; la literie étant, quant à elle, tout aussi blanc crème.

Beverly possédait bons nombres de peluches créer appartenant à l'univers de célèbres dessin-animé Disney, peluches d'ours en peluches, d'animaux de fermes, chats et chiens mais encore des poissons, rangers sur des étagères, au coin des murs sur le sol où son coffre à jouets et à l'intérieur ; les dessins collants au mures étaient des princesses favorites de la petites fille, sur chaque mure étaient garnies d'un univers bien spécifique ; Ariel, l'héroïne du Grand Classique La Petite Sirène. Jeune sirène aux cheveux roux, elle est la plus jeune fille du Roi Triton, qui règne sur Atlantica, ville sous l'océan ; jeune fille rêveuse qui brûle d'envie de découvrir le monde des humains, dont elle collecte les objets trouvés dans des épaves avec son meilleur ami.

Sur un autre, Cendrillon est une princesse forte et une jeune femme indépendante qui est vraiment belle parce qu'elle ne laisse pas sa colère et la peine prendre le dessus d'elle. Elle est gentille avec les gens qui la respecte et n'est nullement dépeinte comme naïf ou enfantin.

Blanche-Neige est sans doute la plus douce et celle ayant le cœur le plus pur de toutes les princesses Disney. ... Malgré le fait qu'elle ait également peur des inconnus, Blanche-Neige est naïve car elle se laisse embobiner par la Sorcière. La princesse est également rêveuse et romantique.

Et ainsi que Aurore l'héroïne princesse de La Belle au Bois Dormant, Fille unique du roi Stéphane et de la reine Oriane, Aurore devient l'héritière du trône par son statut de princesse. En outre, elle est pressentie à épouser prince Philippe, du royaume voisin. Malheureusement, son avenir bascule lorsque Maléfique punit la famille en maudissant la princesse. Afin de d'échapper à ce sort, elle est recueillie par ses trois marraines et est élevée dans les bois, où elles sont sûres que Maléfique ne la trouverait point. Elle a également renommée « Rose » pour masquer sa véritable identité. Dotée de la grâce par la fée Flora, Aurore est une jeune femme mince dont les cheveux dorés longent sa taille. Sa peau est claire.

Et en tout dernier, Belle, jeune héroïne féministe du conte de fée de La Belle et la Bête...

L'enfant avait un gout très profond pour l'amour des contes de fée qui était très secret, intime possédait depuis sa plus tendre petite enfance, sur Des histoires de prince charmants sauvant de belles et pures princesses souvent passives ou victimes, On nous apprend à aimer. On désire aimer avant même de trouver un objet à aimer ; étant d'une incroyable merveilleuse romantique à fleur bleue sensible, la décoration de sa chambre, Jenny trouva que c'était tout à fait les couleurs et nuance que la fillette s'ajuster en s'accordant tout à fait avec ses gouts et couleurs de prédilection de personnalité.

Leurs retrouvailles s'étaient donc faites peu-à-peu, en douceur comme il était censé se produire, étant que les larmes de joie des retrouvailles sont de même nature et aussi éphémères que celles versées lors de la séparation, Les retrouvailles nous font toujours repasser de vieux scénarios du passé, nous feront revivre de bons vieux souvenirs et rehaussent le moral... En faisant une nouvelles fois une fois de plus, les choses lentement, en douceur voulant réapprendre à se connaitre prendre un temps de longue période dans la chambre de Beverly, se connaitre à nouveau, sans interruption pendant un moment l'espace de quelques heures ou moins... Tout se passait au mieux, en douceur, lentement avec sécurité et attention discutant toujours de tout et de rien. Juste parler ou de soi... Jenny avait pris au bout d'un moment sa nièce dans ses bras pour la faire assoir sur ses genoux en étant elle-même assise sur le rebord du lit de la petite fille... Rien, souriant parlant avec douceur et tout autre adjectif de gaité, d'amour, bonne humeur...

Quentin a su de ne pas interférer dans ce moment de complicité qui n'avait pas éclos ni en prenant vie depuis fort longtemps, d'interrompre ce moment ; alors dans ses pensées qui tourbillonnaient, tournaient en boucle spirale dans sa tête, découvrir ce qu'il fallait faire et penser, le jeune homme resta dans ses occupations au rez-de-chaussée et dans sa cuisine puis au salon à attendre le retour de sa petite fille et sa belle-sœur.

Il tenait à rester occupé et ne tenait pas à écouter son impatience à cette simple idée, sensation, se sentiments en d'attente et hâte de ne plus être seul et pouvoir profiter du retour de Jenny ; c'était quand, lorsque on est impatient de se revoir, quand les personnes aimées de la même famille d'un lien, qu'on sait à quel point on a aimé se voir... Il souriait intérieurement dans le plus profond de soi, en sachant ayant conscience, et pensant à la complicité qui était née, avait toujours pris si facilement, était venue dans la vie de Beverly prendre racine dans le cœur dans la relation profondément intime, une tante est très importante pour l'épanouissement de son neveu ou de sa nièce. Passer du temps avec eux ne permet pas seulement de renforcer les liens familiaux : cela permet aussi et surtout de créer un lien unique entre vous et les enfants, un lien pour la vie.

Perdue dans ses pensées, fondamentalement profondément positive et heureuse pendant qu'il était assis tout au ont profondément sur son sofa, le dos appuyer sur le siège, il entendis jamais, pas vraiment les sons à l'étage de bruissements de pas, de froissements sur le sol du parquets, des bruits dans les escaliers, de pas joyeux, heureux précipitation d'attente, et de voix étouffait de bonheur, étant dans une conversation particulièrement stimulante, entrainante stimulante, encourageante fortifiante d'insouciance... Entrain qui les conduisit amenant aux côtés de Quentin.

Le silence qui avait régné en majoritaire, généralement dans toute la maison au complet totale, avait été brisé furent cessé au bris de pas précipitée qui se faisaient ressentir et brisements, froissements de raclèrent sur le parquet, sols de bois et pierres, accompagnée de rires, de paroles et murmures de gaité de rires et joies de vivres dans les escaliers ainsi qu'avant à l'étage ; au même moment, où Quentin leva les yeux de sa lecture pour se rendre compte, constater du bruits en sachant qui s'était avant de voir Beverly arrivait vers son papa, il eut à peine le temps de se redresser et de se lever pour la prendre dans ses bras...

Le temps de la conversation était calme, tandis qu'elle parlait calmement menant des confidences sur confidences pour conduire de diverses sujets à d'autres, Beverly aimait parler avec Jenny ; de ce fait que dans ses conditions, dans le même temps au même moment simultanément parallèle, à l'opposition, lorsque dans le processus qu'il y est eu dans la chambre à coucher, en attente de descendre les escaliers, Jenny avait eu bien envie de continuer à bavarder avec sa petite nièce, lui demandant toujours comme elle aller et bien d'autre choses encore ; et plus que tout lui dire combien elle était grande maintenant et qu'elle devait très bientôt se préparée à devenir une grande fille. En entendant ses paroles et chacune des nombreuses phrases, réponses, propos d'opinion d'enchainassions, la petite fille en profita pour répondre et lui montait bon nombres de chacun de choses faites et dites et objets posséder pour lui prouver ses dires ainsi que poursuivre dans les voix dans lesquelles qu'elles s'étaient lancers, pour aussi arrivait au moment où Beverly lui montras l'un de ses grands secrets qui pour elle était une grande fierté et qui ne pouvait pas restée secrète de Jenny en dehors de inconscience, qui pour elle devait être su...

Beverly sortie de son placard -penderies- montrant avec fierté, la tête haute dans lesquelles ses yeux brillant d'extase qui s'en suis un sourire heureux et joyeux ; elle le montre à Jenny qui en baissant les yeux pour regarder l'objets de toutes les convoitises de n'importe quelle petite fille qui préparée sa première rentrée de classe su, qu'elle poserait les yeux sur un cartable à roulette, de couleur crème avec des bande rose à paillette. Elle l'avait choisi elle-même par ses propres moyens et choix, le jour où Beverly avait accompagné son père pour commencer à acheter ses fournitures scolaires et le plus important son premier cartable pour rentrer à l'école élémentaire ; les cartables ne sont plus autant genrés qu'autrefois, et l'on peut s'éloigner des modèles classiques, roses pour une fille et bleu pour un garçon... on peut facilement trouver un cartable pratique pour l'enfant, et y ranger son goûter dans un compartiment séparé, sans que cela ne tache ses vêtements de rechange. Bien sûr, pour sa première rentrée scolaire, il lui faudra un sac plus grand encore, et votre bambin aura son mot à dire pour choisir son premier cartable de grand ; cela le motivera et le rassurera encore plus pour l'accompagner dans la grande découverte de l'école... Un cartable avec des accessoires sécurisants ; Pour les petites filles branchées et très girly, on a beaucoup aimé ce petit cartable enfant rose à paillettes à paillettes, tout léger, et tout souple, Certains cartables ont des bandes réfléchissantes, ce qui peut être plus sécurisant lorsque l'enfant est à l'extérieur, et cet accessoire de sécurité idéal devient de plus en plus plébiscité par les parents ! Il peut faire nuit tôt en hiver, et encore sombre jusqu'à huit heures les matins, lorsque l'on rentre de l'école sur une bonne partie de l'année.

Beverly avait voulu faire choix des plus importants pour elle qui n'appartenait qu'à une grande partie à faire évoluer en croissance grandir son indépendance d'autonomie, en choix qui perdurera toute une année ; un choix qui ne demandait qu'elle et apporta ses gouts et l'écoute des conseils de Quentin pour ne pas être impulsive... Et choisir prendre un article sans réfléchir Quentin lui avait posé subtilement ses conditions sans même qu'elle ne s'en rende compte, un look rétro, lui rappelant ses gouts de petite princesse très fille…

Devant cette figurine de poupée de porcelaine, cette une jolie mise en avant de sa beauté et innocence gaité, Jenny n'en fut que retournée et émue, en lui répétant toujours inlassablement et continuellement combien elle était belle, importante, jolie et grande intelligence ; et lui demanda par la suite si Beverly devait avoir une grande hâte d'être à la rentrée vers la fin Aout... Et après cela lui fit d'innombrable et un incalculable bons nombres de recommandations pour débuter au mieux et dans de bonnes conditions cette nouvelle page tournure de sa vie...

Lorsque Quentin sentit les bras de sa petite fille s'enrouler autour de son cadre plus grand en venant frôler son cou pour si accrocher sur toute les fibres de son corps, il vient l'encercler dans des bras protecteur soyeux doux et fort qui le permit de la soulever en la faisant ainsi, ensuite, soulever ses pieds du sol et dans les aires, tourner en cercle de ronde, gloussant riant et criant pendant longtemps ; Beverly le suppliât d'arrêter, lorsque ses rires attenir des esclaffassions dans des fous rires interminables incontrôlables alors que son père la chatouiller au ventre tout en se débattant dans ses bras ; à un moment entre de deux instants, moments de jovialité Quentin réussi à se contenir en disant en demandant si Beverly à était sage et fut heureuse de montrée sa chambre et le reste de la maison à Jenny ?

La jeune ne pouvait que répondre avec douceur et réconfort en totalement parfaitement honnêteté qui était étonnant, soulagement, que Beverly fut parfaitement sage, adorable et émouvante dans sa superbe chambre et elle confia à son beau-frère qu'elle avait visitée un bout de maison... Face à ces questions Beverly se sentit coupable en décomposition et timide sous l'aveu de Jenny qui disait qu'elle n'avait pas encore vue sa propre chambre.

Mais comment pouvait-elle avoir omis de faire visiter la nouvelle pièce pour sa tante, lorsque quand Quentin lui fit le reproche en le remarquant, Beverly se sentit encore d'autant plus coupable gênée dans la frontière de la honte quand elle sentit le regard inquisiteur rempli de reproche gentille paternel. Elle se blottit d'autant plus, d'avantage contre l'épaule de son père, quand elle le sentit, ressent son regard chaud inconfortable sur sa silhouette et son visage qu'elle tentât pour tous les moyens de cacher.

Devant cette scène Jenny se devait d'intervenir pour mettre fin à cela, à cet honte fantôme qui n'avait pas lieux d'être pensée dans l'esprit de la petite fille, et qui était inconfortable pour tout le monde en brisant le silence et apaisant les crainte de Quentin qui avait presque pensée qu'elle se sentir gênée et en colère, elle lui dit que ce n'avait pas d'importance, et que Beverly s'était montrée extrêmement polie, serviable cachant en redoublant quel que soit l'intention qui peu importe n'eut pas d'importance répercutions...

Si innocente dans ses conversations d'enfants alors qu'elle avait apporté et mis tout son cœur dans ses paroles de babillages pour lui contée ses souvenirs passés de l'année écouler, donc cela aurait était un crève-cœur en s'arrachant la poitrine blessée n'ayant a foi et la force pour l'arrêter, et cela n'aurait pas était possible donc la chambre et son envie de posée ses affaires, sacs et bagages passèrent en infériorité.

La chambre de la jeune femme était de taille moyenne, en apparence dans un cadre formant d'aspect qui était entreposé mis en forme petit mais en même temps grand mais accueillant, douiller et coquet, le mur qui soutenait le plafond était bas en étant bâtie de façon à ce que le bêton soit en avant, cela signifier que la pièce était proche du toit, chambre pièce mansardée ; celui d'une chambre très cozy au charme fou, surtout si elle entourée de lambris de bois. Elle séduit au premier regard car en raison de la faible hauteur sous-pente, l'espace est davantage ramassé ce qui lui octroie un look cocooning très prononcé (nous allons le vérifier dans les images suivante). Dès lors, comment aménager une chambre mansardée, comment la décorer, et quelle couleur convient le mieux à une chambre mansardée ? le papier peint était jaune très pale proche du blanc apportant encore plus de douceur dans se havre de paix de calme tranquille. Un lit était confortablement tranquillement posé contre un mur et une table qui était en fait réalité un bureau au centre.

Jenny pu poser son sac sur le meuble, tout en se reposant et restant active elle rangea ses affaires pour son séjours de vacances, recevant à sa grande joie la compagnie de sa nièce Beverly, seule étant laissée à une atmosphère d'environnement influence d'aura pure féminin sans Quentin ; la fillette bavarder avec sa tante, jouant en restant sagement dans la chambre et se cachant sous la table, telle les enfants ressemblant dans le film de douceur atmosphérique de Mary Poppins pour surveiller le font du sac de Jenny.

Dans la rigueur de ses mots, sa tendresse touche, aussi bien pour les enfants qui cachent leur tristesse, que pour les parents qui se sont perdus en chemin. Dans une grande joie de bonne mise entente, tout le travail était beaucoup plus organisé en synchronisation et entente coordination beaucoup plus parfaite qui régner en étant de mise installation dans une atmosphère paisible et bonne enfant que silencieuse et faite de seule main, en solitaire.

Dans le salon, en observant dans l'intimité de la scène familiale, prenant dans la vive émotion montant dans la gorge et aux yeux par l'intensité, Beverly déambula dans la pièce pour retrouver une contenance, en toute innocence, simplicité d'acte sans arrière-pensée, réserve. Elle aperçut aussitôt la photographie de mariage, sur le buffet, et la saisit, en observant et touchant du Bou des dois une photo unique de sa mère. Jenny l'observa à cet instant, et se demanda ce qu'elle pensait, mais les traits harmonieux de son visage ne trahissaient aucune émotion. Elle reposa la photo de mariage de ses parents, et fit quelques pas devant les étagères remplis de livres.

Dans le silence de la scène, en le brisant, elle demanda d'une voix douce presque en murmure chuchotée, s'ils visitée un jours le cimetière pour rendre visite à maman... A ces paroles représentées dites en toute innocence de manière si anodine et sans mal, Quentin déglutit la gorge nouée en l'observant du bord de ses yeux, Jenny en eu mal aux yeux et les larmes débordant ses paupières, à la pensée de sa défunte sœur. Nolwenn...

Et ils iraient, tous les trois, c'est sur ; c'était devenue la tradition sans en parler à personne, sans rien dire tout naturellement depuis la naissance de Beverly.

En attendant, en détournant les pensées de sa petite fille dans l'esprit et souvenir inexistant de Nolwenn dans la tête de Beverly, Quentin l'a divertie en discutant avec Jenny de leur début de programme des commencements du séjours de la jeune femme chez eux.

Autour d'un café, des petits secs et au fours et ainsi de glaces de jus de fruits et chocolats chaud pour les plus jeune ; riant, passant un bon moment dans cette atmosphère détendue à l'air respirable décontractée, heureux de s'être retournée après une si longue séparation de plus d'un an ayant beaucoup de choses à rattraper des activités à faire et réalisée et le passé qui hante et qui devait être prononcé…

Pour l'instant Jenny savait qu'il y aurait des personnes qu'elle devra revoir rencontrer à nouveau, elle le présentait et se faisait ressentir dans sa peau… Mais pour l'instant Jenny Calendar profitait de sa vie privée et du moment présent, préservé.