Il fut un temps qu'il existait où dans de nombreuses familles aimantes, chaleureuses accueillantes qui étaient dans tout sens et ponts dans la modernité de l'éducation de chaque enfant ayant droit à tous au même traitement qu'une chose étant une personne à part entière et pouvant bénéficier du droit de pouvoir parler en possédant leurs propres jouets et objets ; depuis la nuit des temps au commencement de l'amour et la conscience fondamentale d'avoir l'obtention de connaissance de l'éducation base de besoins fondamentaux, où les enfants, chaque petit être développait dans chacun de leur foyer et maison des rituelles, des règles de vie qui occulta donnant un sens dans chaque acte accompagné d'étapes, aucun instant de journée, du levé au couché...

Certains enfants embrassaient leur doudou ou peluche en se levant juste au moment de quitter leur lit, enlaçaient la tête en bois du lit, donnaient des coups au mur ; parler à l'enfant au cours des routines afin de mettre des mots sur les rituels et sur leur utilité. Par exemple : "On se sent mieux quand on a bien mangé !" ou "C'est agréable d'avoir les mains propres, elles sentent bons !"... Avec les plus petits, en installer quelques-unes autour des gestes comme le lavage de dents, de mains, la toilette, démarre de façon ludique et plus le temps passe, moins le ludique sera nécessaire, une fois l'habitude installée. Déroger à la routine a aussi un côté très sympathique... Cela a pour rôle d'en résulter de rendre un enfant heureux, avec des histoires magiques de contes de fée et d'être à l'intérieur d'une phase importante dans l'esprit et la pensée d'un enfant en l'aidant à mieux dormir la nuit.

Au fil du temps, des années et des mois à mesure que les choses du quotidien de la vie domestique évoluaient ainsi que chaque moment fut mémorisé en mémoire encadrée pour y restée... Ce fut des années qui avaient eu pour but, qu'au fils du temps, d'apprentissage à forger des liens solides en créant à chaque instant, chaque visite des rituelles, rythmes ainsi que la routine, en particulier pour Beverly s'en confectionner en invention qui faisait de sa journée encore plus merveilleuse encore dans sa journée en commençant par la rassurer en ayant dans le processus des moments privilégiés et attentifs lors des routines, pour se blottir dans le lit de son père, ou au contraire celui de ses tantes et sa grand-mère ; cela lui permettait toujours de se rassurer, se réconforter, en s'assurant que la personne adulte la plus forte pour la protéger et veiller sur elle en journée tout au long de la vie, aller bien était dans le confins de son lit au chaud sous les draps, en sureté, encore endormis mais en même temps pas totalement réveillée un peu. Dans ce concept, notion de représentation, contexte de douceur matinale qui apparurent chaque jour mais dont c'était quelque chose d'une scène domestique familiale émouvante de peluche rose, en particulier surtout en fin de semaine ce qui était le plus raisonnable dans lesquels il y avait plus beaucoup de temps, en se permettant des privautés : Beverly se faufilait chaque jour dans le lit de Jenny, alors à peine réveillée et l'envie d'être blottit dans des bras frêles et forts, aimants familiaux d'adultes, en ne voulant et ne souhaitant pas être seule et avoir froid, encore endormie, les pieds au sol et nus, elle marchât sur le parquet son doudou dans les bras, pressé contre sa poitrine, sans bruit craignant de ne pas pouvoir rentrer dans la chambre d'adultes tel un jeu traditionnel de frisson et d'esprit ne voulant pas surprendre la jeune femme en faisant connaitre sa présence jusqu'au bruissement des draps et d'un poids appuyant contre le matelas ; elle ne fit aucun bruit.

Il n'y avait rien de mieux, rien de tel idéalement dans l'imaginaire du moment passer dans les matins prolongés par le sommeil avant de se préparer pour une journée de plus que de se faufiler dans le bruissement des draps en grimpant pour se laisser blottir dans l'étreinte maternelle, parentale en restant au chaud que pour quelques instants et minutes de plus ; Beverly ni Jenny ne parlaient ou brisaient le silence seulement excepté en laissant installer un baiser sur le front et un murmure chuchoté d'un bonjour en caressant le haut du cuir chevelu passant ses doigts dans des mèches brunes... A ce geste qui menait à de l'affection tendresse paisible en apaisement, la petite fille blottit son visage contre le cou de Jenny.

Dans la traditionalité de ces rituels de moments chaque jour de tous les matins, qui étaient construits peu à peu, de fils en aiguilles qui fut conduit à chaque évènement causé dans les éléments ; qui furent fondés au fur et à mesure menant dans l'esprit sans même le dire d'une façon naturelle et de compréhension mutuelle en se blottissant sous les couvertures se serrant contre le matelas, se pressant, s'imaginant sous la toile du draps un autre monde, un moment de paix rien qu'un instant de répit, avant de revenir, en se racontant des histoires comme deux sœurs, racontant leurs secrets...

La couverture et les draps qui recouvraient leur corps, étaient toujours d'une texture agréable et un assouplissement, assouvissement abouti de confort qui leur procurait un différent bien-être pas comme les autres produits apportant le matin. Ce qui était un grand bien profond, prix de consolation. Grande profondeur pour les fins de nuits.

A chaque réalisation de la même routine de l'horloge matinale lorsque la tradition repris l'exactitude même ronde, de chaque mouvement identique qui fallait reprendre entreprendre et veiller à répéter était un cadeau de réconfort sécurité de bonheur de savoir que c'était le bon moment, la période routinière de l'aube du matin avant le début de la journée. A l'arrivée des premières lueurs de lumière du matin très ensoleillé qu'était la Californie de revenir avant l'aurore dans le lit dans un état endormi ; souriante d'un sourire rêveur doux et tendre qui était à la boucle d'être rieur connaissant le schéma, un script de sachant savoir si elle devait aller dans la chambre de sa tante. A chaque matin des semaines dans un nombre d'années, qui étaient tous presque dans un sens pratiquement similaire, des matins de réveil ressemblent les uns aux autres sauf ou s'ils n'étaient pas identiques en devant être dérobés remis dérangés à la règle traditionnelle, quand elle n'avait point le temps ni l'envie de rester dans le lit et ne pouvait pas... Le bruissement de tissus des draps qui se soulevaient en un bruit ressemblant d'avantage à une caresse prenant ainsi forme en une tente ronde le draps en halos qui restait en forme sans se ramollir après avoir sortie son corps de dessous, Beverly y ajouta plusieurs oreillers et coussins pour que sa constriction reste et tienne, en y gardant sa chaleur comme une vrai maison accueillante et elle n'hésitait jamais à apporter son doudou avec elle ; et y aménager le reste avec des peluches ou divers jouets et pour finir avec quelques livres... c'était en général dû au week-end lorsque les grâces mâtinées étaient propices et le temps de s'amuser rire et pouvoir, le temps moins minuté propice au calme ; comme c'était agréable et heureux...

La fin de semaine était plus encline à recevoir en disposition prospère du calme apparent grâce au temps gagné qui n'était pas gâché par les jours de travail, réussissant à se reposer avec son enfant contre soit était merveilleux et parfois constituant un vrai défi ; mais qui avait permis de construire pour mieux former sans s'en apercevoir la routine d'être au lit étant rejoint par son enfant...

Dans la vie sur tout être vivant qui avait pour quelconque créature ou être humain la capacité de vivre sur la terre dans un monde fait que de couleur gris, inscrit dans les profondeur de l'inconscient d'aimée de ressentir une ligner de famille, un lien étroit profond de connexion qui apportait l'honnête, des sentiments comme l'amour, la compassion et un instinct de survie, de vivre la vie en sécurité connaissant n'importe quel moyen de s'en sortir sur la terre dans lesquels, pour lesquels on est né, et de grandir auprès de parents aimants...

Chaque enfant était né de façon différente en possédant des passés dans des milieux sociaux familiaux au parcourt distinct, non pareil, des vies qui n'étaient pas destinées ou aucun lien, au charactère de personnalités différentes, d'attribue caractéristique, des personnage aux identités qui peut être opposé de l'étoile polaire au extrémité de la terre du soleil à la lune, tout en ayant à la fois des personnalités de caractère qui était similaire se ressemblant en s'éloignant, étant liées et qui était à la surprise inattendue, sans similitude radicalement opposée. Des enfants mêler dans des liens de vie familiale qui furent entrecroiser dans le sang fraternel, qui aidait dans ces cas la construction de la personnalité de chacun grâce au lien des frères et sœurs. En revanche, certains nouveau-nés vivaient leur vie d'enfant unique en solitaire entouré de leurs parents et famille. Leurs personnalités en totale contradiction parfois avec d'autre enfants, d'enfants doux, tranquille posées jusqu'à la timidité discrétion d'enfants modèles, respectueux, obéissant, les personnalités très de caractères certains d'entre eux se distinguer se différencier plus ou moins flagrant, dans l'extrême, des enfants qui étaient avec une forte personnalité ou plus réservé ou au contraire plus dur et fort. Dans notre société tel qu'il était écrit comme dans la nôtre ou comme c'était le cas, beaucoup de personnes d'adultes personnifiés spécialité dans la personnalisation de l'éducation psychologique infantile de la petite enfance ou le cycle complet de la croissance objecter en accusant en dénonçant le fait est que, chaque être humain bon ou mauvais, qui voyait soit la vie tout en noir ou tout en blanc, aimait classer dans des cases les enfants leur trait de caractère, leurs difficultés, leur croissance évolutive en moyenne de catégorie de nombre du plus avance au médiocre en difficulté...

Malheureusement pour tout le monde c'était en principe quelque chose qui était tellement anodin qualificatif et nommé comme des plus normales, pour laquelle personne ne se posait de question ni n'était choqué par cela que dès si jeune dès l'enfance il y avait des sujets pour lesquels l'enfant l'innocence même était tiré dans le monde cruel et dur de l'adulte pour lesquels il n'y avait aucun droit à l'erreur ; des cases pour que personne n'avait rien demandé et qu'aucun enfant jamais ne se retrouverait ou se qualifierait jamais de cette manière dans des termes et conditions strictes bien qu'absurde pour que tout le monde sache les définitions c'était pour ces raisons et uniquement dans ces manières conditions qu'il fallait admettre que chaque personne avait sa place, sur des étiquettes des cases des préjugés, pour que peut-être ainsi des personnes en particulière se sente mieux plus en sécurité et qu'ils reconnaissaient les personnes qui n'entraient pas dans un système un monde de moulage que la sociétés des hommes puissants et politiquement élue étaient impliqué et avaient très méticuleusement fortement dicté et établie.

Personne n'avait encore eu jamais la possibilité d'encore une nouvelle fois croire que les choses du passé qui étaient revenues en resurgissement du lointain et pourtant pas si oubliées que cela dont les mœurs, les idées avaient disparues, parlant de mauvaises idées. Ni n'aurait pu imaginer de telles choses, de telles inepties en partant en rendant les choses encore plus gênantes qu'elles ne le sont ou ne le seraient habituellement pour des parents qui connaissent bien ou avaient une certaine maitrise ou connaissance de ce que la société nous apportait encore voilà de cela des années les filles étaient l'image même dépeinte toute l'inspiration le personnage même des petites filles en peinture rose de fées et de princesses ainsi que les garçons de couleur bleu avec des petites voitures rouges, des ballons avec un assortiment accompagné des petits soldats en plastique ; au cours des dernières décennies, les fabricants de jouets ont développé des gammes de jouets pour les filles aussi bien que pour les garçons et non plus des jouets unisexes. La plupart des parents et des enfants vont sélectionner des jouets typés selon le sexe. Ceci aura une grande influence sur la construction de leur identité de genre. Mais il y avait de l'évolution des personnes qui envisageaient d'évoluer à chaque instant, beaucoup de parents expérimentés qui avaient une parfaite connaissance de l'importance de partager de faire découvrir n'importe quel jeu qui n'avait pas d'importance entre jouet de petites filles et ceux de petits garçons, trouvait ainsi de ce fait du plaisir une joie à briser les conventions faisant l'éducation de leurs enfants comme jamais faite auparavant, comme personne, donner une instruction pas comme les autres comme on pouvait oser l'appeler révolutionnaire. Des jeunes parents qui voulaient tenter une éducation beaucoup moins stricte, souhaitant pouvoir apporter leur preuve en tant que parents commençant leur rôle parental prouvant aux autres d'une meilleure éducation, de quelque chose quelqu'un qui pouvait changer les mœurs et autres idées qui étaient mises dans des jeunes têtes influençables et dont on pouvait leur apporter d'autres instructions, conseils, en refusant d'écouter des vieilles recettes d'anciennes générations et en apporter des nouvelles... ou d'adultes qui n'avaient pas encore réfléchit et pensé encore à devenir parents, toutes ces personnes, ces gens étaient relier entre elles comme une ronde.

Il y avait ce tableau, ce souvenir d'image parfait ensemble que l'on pouvait en déduire conclure en constatation, d'enfants remplis de souvenirs, d'images, points de vue, d'aspect, d'optique, de perspective, panoramique perspicacité en pensées d'enfants qui semblait petits, délicats qui se révélèrent simples ; pendant de nombreuses années, un sentiment d'appartenance à un échappé à Beverly ou d'autres enfants de ce monde, un peu comme du sable qui lui glissait entre les doigts. En fin de compte, les mots l'aident. Une fois qu'elle les maîtrise, tout allait pour le mieux, tout devient plus solide, plus concret, moins extravagant, et les fils furent tissés, les mots devinrent un sens ainsi que la vie d'une fillette, l'imaginaire et son univers sa vie et l'image de Sunnydale de sa tante Jenny, et de ses origines gitanes, Kalderash. Un regard sur Sunnydale et Los Angles et la famille Calendar de quelqu'un qui occupe une position unique en tant que membre et étrangère.

Pendant des siècles peut-être même dans l'espace de millénaires sans le moindre doute en osant y croire, personne n'avait pensé ni même réfléchit en cherchant sans se poser de question de fils en fils générationnels en parfait naturel l'esprit des enfants fonctionnait, les enfants avaient leur propre façon de penser bien à eux d'une innocence d'une simplicité dans laquelle chercher, s'y noyer. C'est dans cet esprit qu'on allait plonger dans laquelle Beverly aller s'y promener s'y engouffrer s'emmenant dans les niveaux de son enfance. Dès qu'elle fut en âge de comprendre les choses de les mémoriser en partageant les souvenirs déplaisant qu'à été témoin sa jeune vie, le mémorial de drame et de secrets familiaux dont elle a entendu parler, elle put se rendre compte de certains côtés de la vie. En prenant conscience de l'acceptation de son passé, sa vie qui n'était qu'un univers de petites choses qui n'avait pas semble-t-il pour une personne d'âge adulte et équilibré qui n'avait que faire de toute cette psychologie grand intérêt, futile, être en accord avec sa conscience son essence, voilà que le narrateur rentra dans l'âme même de Beverly.

Difficile de décrire le monde avec les yeux d'un enfant. Pour réussir à écrire un texte en adoptant la vision d'un bambin, Difficile de décrire le monde avec les yeux d'un enfant, une fois qu'on est passé à l'âge adulte. En général, les enfants ont peu d'expérience de la vie. Il faut donc réussir à retrouver une certaine fraîcheur et une vraie naïveté. Un enfant est différent… d'un adulte ; un enfant est impressionnable, il en faut plus pour impressionner un adulte que pour impressionner un enfant. Certains événements positifs ou négatifs peuvent sembler insignifiants pour un adulte, mais marquer un enfant de façon durable. Une enfant, Beverly a de l'imagination.

Les enfants prennent souvent au pied de la lettre les expressions qu'ils entendent. Imaginez l'effet que cela peut faire à votre personnage s'il entend certaines expressions très imagées comme : « avoir les yeux plus gros que le ventre », « donner sa langue au chat », « avoir un chat dans la gorge », « quand les poules auront des dents »… Beverly parle différemment des adultes qui l'entourent. Il ne suffit pas de lui attribuer des pensées d'enfant, il faut également qu'il réussisse à s'exprimer comme un enfant. Le choix des mots que vous utilisez dans ses phrases est donc crucial.

Un enfant a plus souvent peur, comme ils sont plus petits et relativement sans défense, la peur occupe une grande place dans la vie des enfants. La peur du noir ou de certains animaux est quelque chose de très commun. De même que les cauchemars sont souvent interprétés comme des événements quasiment réels... Un enfant n'est pas parfait… Qui a dit que la vérité sort de la bouche des enfants ? En réalité, les enfants mentent très souvent. Ils ne prennent pas toujours sa défense quand un de leurs amis se fait malmener par d'autres enfants. Un enfant peut ainsi maltraiter un autre enfant ou un animal, surtout si on lui a fait du mal ou de la peine avant.

En apparence elle semblait être une petite fille comme les autres, mais elle était bien plus que cela bien plus qu'une enfant modèle ou une personne quelconque, Jenny la voyait faire ce soir, en l'observant en train de jouer à la poupée. Elle n'est pas spéciale. Elle est extraordinaire. Les enfants qui avec cette faculté-ci d'être en avance sont différents pouvant le supporter, pouvant penser comme des adultes même ce qui sont normaux, ils sont spéciaux, aucun doute. La chose la plus étonnante, ce n'est qu'aucun d'eux ne le saurait jamais, pas même Jenny, Beverly ou la tueuse. S'auront ce que c'est que, combien c'est pour les autres comme nous, d'être normal, quelconque aux yeux de la société invisible, passe-partout. A voir des gens que l'on aime devenir de plus en plus puissants. Une sorcière. Un démon et beaucoup plus encore des exemples passés dans l'oubli, faisant partie de la destinée du pouvoir. Ils le sont tous. Personne ne saurait jamais combien c'est dur, pour des personnes communes, d'être celui qui n'est pas élu, ou bien peut-être que si, combien de personnes voudraient échanger sa place combien voudrait être différent, être normal comme Jenny et Buffy. En étant celui d'être si près des projecteurs sans jamais entrer dans la lumière. Mais Beverly je sais. Je vois mieux que n'importe qui ce que cela fait parce que personne ne la regarde, ni regarde par moment Jenny car tout le monde croit qu'elle n'est pas spéciale, rien d'autre qu'une personne de seconde zone, une personne qui n'est là que de temps en temps. Et ses proches la voit faire dans le quotidien vu la nuit dernière.

Beverly semblait toujours en avance sur tout ce qui était en communion d'accompagnement l'évolution d'un enfant de son âge. Elle était une personne, quelqu'un de très éveillé et animé ces deux synonymes d'adjectif qui s'accordaient en compilation très bien avec ce qui apparaissait reflétaient chez Beverly, ces qualités prouvaient très bien qu'avec cela elle pouvait être dégourdie, ce qui amenait à chaque instant toujours les mêmes projets, objectifs, une finition parfaite grâce au regroupement de lien qui unissait les choses de la vie.

Lorsque l'on était une enfant d'une grande espièglerie qui faisait par les plus grand des moments dans les instants où on les attendait le moins pour le moins inhabituel, étrange, Beverly aimait automatiquement sans que personne ne sache réellement pourquoi, elle seule pouvait répondre à la question le savait, dans son esprit les enfants aimaient être timides, doux, tendres semblaient être facile à vivre comme tous parents et adultes voudraient voir les enfants, aux joues roses, adorables, modèles, alphabets récité en cœur -chorale- sagement dans l'ordre des choses sans faute, erreur, parfait, courants toujours joyeusement vers l'école ; dans ces conditions Beverly jouait toujours sa vision d'une enfant petite et docile. Mais il lui arrivait toujours sans s'arrêter d'être une enfant qui paraissait dans des moments fabuleux d'être enfantine accompagnée de sa joie, de joyeuse vie et sa gaité contagieuse, transmise à chacun.

Ce choix de couleur s'explique surtout par des raisons techniques car le rouge se fixe mieux sur les tissus. On trouve en 1810 une assimilation du rose à la femme dans le Traité des couleurs de Goethe : Le sexe féminin dans sa jeunesse est attaché au rose et au vert d'eau. Personne ne songerait à nier l'évidence : les hommes et les femmes sont différents, les meilleurs travaux scientifiques sur le sujet, qui scrutent les gènes ou les hormones, données importantes qui façonnent les individus. Mais elle évoque aussi ses propres travaux et ceux d'autres neurobiologistes, portant sur ce phénomène majeur, compris depuis seulement quelques années et que l'on appelle " neuroplasticité ". Ce terme signifie que notre cerveau reste adaptable et malléable ! Autrement dit sa base biologique peut être grandement influencée par toutes sortes de facteurs, notamment culturels !

Apprenez à jouer de la musique, au tennis ou aux échecs, et les zones neuronales qui y aident se développeront ! Forte de cette connaissance nouvelle, montre comment de minuscules différences observables entre garçons et filles à la naissance peuvent s'amplifier au fil du temps et tout particulièrement sous l'influence des parents, des enseignants, des pairs, et du système culturel au sens large. Ces derniers renforçant involontairement les stéréotypes sociaux sur l'identité sexuelle. Les enfants eux-mêmes peuvent d'ailleurs exacerber ces différences à leur manière : ils activent à répétition les circuits cérébraux du " jeter la balle " ou du " jouer à la poupée " !

Avec ces réflexions sur les influences réciproques entre biologie et culture. Ainsi chacun à s'interroger tout en livrant une foule de bonnes idées. Pour éduquer ses enfants, si on est parent ; pour aider ses élèves, si on est enseignant ; voire pour mieux se comprendre soi-même !

Dans cet état d'esprit qui demandait comme exemple en voulant obligeant dans l'esprit mentalité psychiatrique de la société, Même si des progrès ont été faits, force est de constater à l'approche de Noël que de nombreux étals de cadeaux destinés aux petites filles se colorent de rose. Comment cette couleur est-elle devenue genrée au point d'être presque taboue pour les garçons ? Aujourd'hui, rares sont les personnes qui offrent des vêtements roses à un petit garçon. Pourtant, cela n'a pas toujours été le cas. Il y a quelques siècles, le rose était plutôt une couleur... masculine. Pour comprendre comment sa perception a évolué dans notre société, voici un retour historique sur une couleur pas comme les autres.

En grandissant Beverly aimait mettre en avant ces propres gouts, son indépendance de détermination pour dans devenir une personne un être qui est un enfant capable de faire créer et vouloir ses propres choix, une histoire initiatique. Rouge, vert, bleu... Pas question ! Votre fille, elle, ne veut voir la vie qu'en rose. C'est lié à quoi, cette idée fixe ? Le pull qu'elle a voulu mettre hier ? Le rose ! La robe de ce matin ? Et Bien... la rose, pourquoi ? Vous n'avez rien contre, sauf que c'est aussi la couleur de sa poupée, de son manteau et des murs de sa chambre ! Un peu lassant, mais normal à son âge. En mettant du rose partout, elle est en train de s'affirmer... en tant que fille. C'est une fille, elle en est fière !

Masculin ou féminin ? Très tôt, votre tout-petit parvient à faire la différence. Même s'il ne l'exprime pas encore, il distingue les voix, les visages et intériorise les codes et les attitudes rattachés à chacun des sexes.

Beverly a voulu se faire une frange une fois arrivée chez le coiffeur, elle était extrêmement déterminée et fière dans son visage au trait mature ; ça révèle encore plus sa personnalité ; les enfants choisir de plus en plus leurs habits seuls, c'était quelque chose une façon facette qu'il fallait vraiment encourager.

La petite fille s'habille de plus en plus toute seule, en essayant essayé de lui apprendre les quelques règles de base, grâce à ses figures féminines principales et importantes pour elle au quotidien.

Pas plus de trois couleurs différentes, des imprimés, mais pas en haut et en bas à la fois, et finalement elle se débrouille plutôt bien. Elle est dans sa période extrêmement coquette en ce moment bijoux, parfum, maquillage (pour enfant) et robes à plus en compter. Elle a aussi ce côté́ casse-cou qui revient toute pourrie de l'école parce qu'elle préfère faire la course avec les garçons plutôt que de jouer à la poupée me dit-elle. Et cela lui rappelle beaucoup Jenny à son âge.

Quentin essaie en réussissant avec un franc succès de lui transmettre au maximum qu'elle peut être ce qu'elle veut, qu'elle peut jouer autant avec les garçons qu'avec les filles, qu'il n'y a d'ailleurs pas de jeux pour les uns ou les autres et cela, elle l'a... Sa tenue choisie par elle-même un assemblage pastel avec un savant mélange de motifs ; mais cela lui va bien elle est trop mignonne innocente et belle le matin à prendre soin de choisir sa tenue.

Petite fille deviendra grande à l'âge de quatre ans !

Des semaines qu'elle nous réclame de couper ses longs cheveux, qu'elle ne veut plus de cheveux de princesse.

Alors après plusieurs discutions, lui avoir montré des photos pour qu'elle soit sûre et ne regrette pas on a sauté le pas et la voilà heureuse de cette nouvelle coupe, fière de la montrer à sa grand-maman. Elle réclame aussi des "petits trous dans les oreilles" pour mettre des boucles bleues comme cendrillon, alors il faudra entrer dans une grande réflexion d'attendre pour voir et constater va voir si bientôt on saute le pas aussi.

Notre petite grandit et commence à affirmer ses goûts et c'est beau de la voir grandir, de l'accompagner...

Beverly était, semblait-il, une personne, une enfant, qui était souvent régulièrement un être de deux personnalités différentes, elle aimait par-dessus tout donner cette impression de sentiment sensation dans l'action dans l'offre d'appréciation, il lui fallait qu'elle apprenne à revendiquer à saisir l'opportunisme d'être toujours une fillette parfaitement girly en mettant par instant de côté dans l'ombre son espièglerie, sa turbulence fougueuse bien qu'elle ne pouvait s'empêcher de l'offrir au monde.

Il y eu toujours des rituels dans la vie de quotidien matinale d'un enfant, chacun était réalisé avec un automatisme vraiment incroyablement fantastique dans l'impeccabilité dans la capacité de chacun de niveau d'autonomie qui fut du développement de l'âge des petits enfants. Des choses réalisées, faites par instinct en habitude, chaque petit tout petit habitude des petits riens en mimique étaient tous radieux émouvant qui furent apporter au cœur, soulevé au fin fond de cet organe qui insufflait la vie ; le matin alors que les yeux d'une petite fille étaient encore empreints gonfler de sommeil adoré débordé son énergie mettre en avant, le dépenser, dans le lit de son papa ou sa Jenny. Même si elle était encore endormie rien ne pouvait l'arrêter, l'en empêcher, et le vivre en étant une géante énorme boule d'énergie mystique, qui ne ratait jamais une de ces occasions.

C'est ainsi que Beverly riaient de sa voix cristalline purement enfantine rempli en plongeant de gaité, elle courut et sautait sur le lit avec énergie toujours à l'accoutumer, s'allongeant dans les bras de Jenny. Son doudou dans une main, tous les matins, voilà son tout-petit qui se glisse entre soi pour finir sa nuit. Mais qu'est-ce qu'il a dans la tête ? Un petit réveille-matin ? Craquant, une scène touchante et adorable. C'est craquant de voir son enfant à moitié endormi se faire une petite place dans le lit et de l'y retrouver à son réveil, chaque matin de fin de semaine, c'est une tradition, une coutume. Il a besoin d'une présence. Les enfants qui poursuivent leur nuit dans le lit de leurs parents pensent avoir besoin d'eux pour retrouver le sommeil. En fait, ils ont envie de leur présence rassurante. Ils confondent besoin et envie. Entretenir cette confusion les maintient dans un sentiment de toute-puissance : ils croient pouvoir obtenir tout ce qu'ils convoitent. Comment faire une cabane sur le lit ? commence par découper un tasseau de la longueur du lit, qui constituera l'arête du toit, tout en haut. Puis quatre autres en biseau pour former un triangle sur chaque petit côté de la structure déjà construite : une extrémité vient se poser sur un coin du rectangle, l'autre soutient l'arête du toit. Habituellement dans la coutume, lorsque son papa ou dans d'autre circonstances, situation, quand il quittait leur lit ainsi que le monde du sommeil du lit et de la nuit, Quentin et Jenny aimèrent accepter à chaque fois autorisé Beverly à ce qu'elle reste emmitoufler dans les draps et sous les couvertures ; avec cela, elle adorait et aimait jouer avec son doudou et ses nombreuses peluches qu'elle affectionnait et adorait aimer ne jamais s'en séparer en les apportant en les déménageant dans la chambre de son père ou celle de sa tante.

Et voilà c'était ainsi, elle aimait tout simplement par moment de temps en temps quand cela semblait nécessaire, elle aimait dans un calme profond sécuriser authentique se prélasser contre Jenny, racontant des histoires drôles, des secrets en chuchotant dans le noir de la chambre les rideaux et les volets soigneusement fermement fermer empêchant les rayons du soleil de pénétrer avant que le début de la journée ne commence officiellement réellement.

Il y avait véritablement dans une grande profonde sincérité un lien qui était ici, réel, d'une relation authentique créer sur les bases les vestiges du lien du sang, de la famille, et surtout celle du temps qui avait été conçu.

Dans cette situation, ces liens provenant d'évènements qui étaient établis dans la vie domestique familiale qui se répétait, se reproduisait sans s'arrêter en tournant toujours dans la même direction. Qui se remémorait dans le temps passé qui n'était pas les mêmes personnes, les mêmes gens, qui se souvenaient à chaque instant des souvenirs de l'enfance qui reperpétuait dans chaque génération et se transmette dans le futur. Tout se ressemblait se répétait. Comme si par exemple excellente, il y avait en chaque être humain une voix qui devait être suivie, se chercher et le chemin devait être toujours suivit pour être meilleur, pour continuer le travail qui avait commencé comme s'il fallait, on avait besoin de tout reproduire pour se sentir en sécurité et dans le confort ; pour que des liens émotionnels se construisent répétant encore et encore des joies mimétisme sans se rendre compte des gestes faits inconsciemment dans l'automatisme dans l'instinct instinctivement des petits riens, dans les jeux de l'imitation qui étaient le fondement du développement des gênes, en quelques sortes familiaux comme si une infime partie de ce que l'on était vivait dans les enfants de notre propre sang.

Lorsque l'on était des tous petits, des jeunes enfants, personne n'aurait pu s'imaginer combien certains instants chaque souvenir qu'on était en train de créer sans le savoir malgré tout il y avait une petite étincelle de croyance que l'on s'en doutait car le passé était si vite apparu et les souvenirs de quelques secondes et minutes plus tard s'étaient créés. Des passages de notre vie que l'on n'oublierait jamais et qui resterait dans notre cœur au plus profond de nous-même et garderait en les regardant à chaque fois par émotion émue Jenny les retrouvait quand des occasions se présentaient.

Comment oublier un bonheur qui avait semblé si anodin à l'époque où on le vivait pouvait se montrer si vif de chaleur précieux, qui devait être gravé dans une roche solide et dure qui se de ce fait perdurerait, durerait dans le temps en ne s'effaçant à jamais. Dans les mémoires de ce qui l'on a vécu. Jenny souriait souvent intérieurement et à l'extérieur par instant, des souvenirs qui reparurent dans des images colorées qui ne furent pas floues ni décrite peinte en gris, qui lui revenait en transmission dès qu'elle fut aux côtés de sa nièce, Beverly ; elle était si émue par des souvenirs de son innocence d'enfant en voyant cette enfant s'exprimer de la même manière, dans ses gestes, sa parole, les façons toutes différentes d'agir quand elle avait eu le même âge que Jenny et Nolwenn.

Quand elles furent toutes petites aimaient désiraient en toute honnêteté alors que le soleil intérieur de leur vie était plus lumineux que jamais, qui reflétait, mettait toujours comme un symbole de la vie simple, sans problème et nuage de l'innocence qui se voulait être préservée par tous les moyens avant que les véritables problèmes le fléau de la destinée et le poids du destin d'élue ne soit déposé comme tel un fardeau sur de si frêles épaules. Jenny et sa sœur ainée aimaient par-dessus tout rejoindre leurs parents dans leur lit se blottissant et se câliner, profitant de ces précieux moments privilégiés, privée que d'être seules avec leur maman et leur papa.

Il y eu toujours quelque chose qui ne fut jamais écrit, jamais évoqué ni n'avait été compté comme un tabou une chose à cacher qui s'avèrerait sans importance pour d'autres alors que celle évoquée dans une partie de l'enfance de Jenny, les personnes concernées, tout ferait une différence et n'était pas mal vu ; il y eu toujours un lien très fort, très étroit relié par un amour fort puissant et indélébile qui ne pouvait être forcé d'abandonner, d'être rompu par des tierces-personnes, en essayant de les éloigner l'une de l'autre, de les séparer violement en les poussant à se détester, se haïr ; mais Nolwenn n'était pas comme cela avec Jenny et Jenny n'était encore moins tombant dans ces décombres avec sa sœur, elle ne l'était pas car ses traits de caractère n'étaient pas sur cette pente. Nolwenn a aimé inconditionnellement Jenny dès qu'elle l'a vu lors de sa venue au monde. Elles furent protectrices l'une de l'autre lorsqu'elles furent en âge de commencer à comprendre, quand Jenny commençait à marcher et à parler. Elles jouèrent souvent régulièrement en perpétuelle fréquemment de manière continuelle, leur grand-mère Maria ne pouvait jamais les séparer, les voyait toujours du lever du soleil au crépuscule ensemble.

Dans ces souvenirs, Jenny pouvait se rappeler avec émotion dans un grand émoi lorsqu'elle voyait sa nièce, la chaire de la chaire de Nolwenn, dans un de ces moments similaires de tradition du matin... Elle revoyait sa sœur qui l'accompagnait jusque dans la chambre de leurs parents, se blottissant ainsi de cette façon dans les draps contre les corps de son père et de sa mère ; elle se souvenait de tout, de chaque moment, chaque rituel différent des nombreux infinis matins, Dieu du ciel tout revient, les odeurs, les mots chuchotés, chaque minuscule détail caché semblait-il des souvenirs enfouis, qui semblaient oubliés mais réapparurent aux moments douloureux de ce qui s'est passé comme tragédie. Jenny les récupéra à chaque fois, un peu plus à chaque fois, il y avait même des minuscules détails, des petites choses d'éléments minutieux qu'une personne n'ayant pas le sens du détail ou une mémoire hors du commun, quelqu'un qui avait une grande intelligence, il y eu des circonstances, des moments où Jenny se souvient en développement pour toujours et à jamais ; Jenny est capable de se souvenir de tout ce qu'elle a vécu et en détail. A vrai dire, elle se souvient même des rêves qu'elle a pu faire au cours de sa vie. Avec le temps, on n'oublie pas. Il ne nous reste que des souvenirs qu'ils soient bons ou mauvais. On a comme cette sensation de manque et on espère que certaines personnes reviendront. L'espoir fait vivre mais c'est tellement dur d'oublier des personnes que l'on a aimées. On n'oublie rien, on se souvient. Le temps passe, les souvenirs restent, les sentiments n'ont plus de place pour les gens qui se détestent. On s'enlace, on se lasse, Il n'y a plus de divine céleste, mais de l'errance impasse de la tristesse, le bonheur est éphémère, retenons la liesse et la douce allégresse, ouvrons grand nos cœurs pour accueillir la tendresse, n'est-ce pas là, la quête d'une vie pour toujours, Que reste-t-il de nos amours ? Il faut arroser les souvenirs comme des fleurs en pot et cet arrosage exige un contact régulier avec des témoins du passé, c'est à dire avec des amis. Ils sont notre miroir ; notre mémoire ; on n'exige rien d'eux, si ce n'est qu'ils astiquent de temps en temps ce miroir pour que l'on puisse s'y regarder. Le temps embellit l'esprit, abîme le corps et sauvegarde les souvenirs.

Dans ces souvenirs, plonger à l'intérieur, au plus profond de soi, étant toujours émue aux larmes alors que la gorge la tiraillait les larmes aux yeux, en ne voulant pas mettre dans la lumière aux yeux des autres son chagrin apparent, Jenny pressa son visage dans la chevelure de Beverly. La berçant, l'enlaçant contre elle en quête de confort, de soutien et d'affection, elle ne voulait rien montrer, essayant de refouler tout, l'oubliant pour un cours instant et profiter des mots de chaque instant de chaque jour du matin avec sa petite nièce.

L'angoisse était si intense, tellement pénible et prenante dans le fin fond de son âme, ce qui semblait être si paisible, se cache les plus épouvantables -dans sa conscience- qui soient. Aussitôt frappé par une malédiction de mauvais souvenirs qui effaçaient les bons, en craignant de la tuer dans un sentiment d'indicible rage, Jenny se retrouve brutalement confrontée à l'horreur de la réalité que sa sœur n'était plus là. Pour elle, il n'est désormais plus temps d'ignorer ou de fuir mais y faire face, il faut comprendre pour avoir une chance de vivre en passant au-delà du deuil...

Jenny rêvait de chez elle.

C'était l'un de ces rêves qui venaient de se produire, l'un de ses rêves où on souhaiterait ne jamais pouvoir se réveiller dans l'impossible, qui brûlait en brillant de l'innocence de douceur tendre dans de l'affection. C'était quelque chose qui avait un lien avec son passé, sa tendre enfance ne voulant jamais s'en détacher ne voulant pas oublier rester ainsi pour toujours ou tout simplement un temps infini, un temps précis limité qui ne se brisera, se rompra que lorsque la personne sortira de son état somnolant en ouvrant les yeux, mais Jenny n'a jamais voulu souhaiter cela. Il lui était impossible de revenir dans sa réalité que sa chère sœur était morte et enterrée, elle voulait vivre dans un monde ou Nolwenn était encore en vie et était toujours enfant. Se créant ainsi dans le processus une nouvelle réalité, s'imaginant en rêve un monde où Nolwenn était ici la conseillant, la soutenant en s'opposant à la mission de Janna Kalderash se prénomme maintenant ainsi de façon officielle Jenny Calendar. Nolwenn rencontrant toutes les personnes que Jenny aimait aujourd'hui, nouveaux visages, nouvelle relation avec des faux souvenirs un autre passé qui s'intégrait avec l'essence l'art et l'âme de Nolwenn... Mais tout cela n'existait pas, ne se réalisant jamais dans aucune réalité. Jenny était totalement seule, mais Jenny ne se laissera jamais dominer par la peur, la solitude en laissant son oncle faire d'elle-même une femme dépendante d'un homme, elle est une personne indépendante et fera ce qu'elle voudra, une femme forte, belle et intelligente. Aucun guide utile pour lui dire comment cela a été fait, aucun plan laissé derrière. Elle était juste là. Debout dans un Sunnydale du centre-ville qui était son Sunnydale, et tout allait bien à nouveau. Tout allait bien, tout irait pour le mieux, la vie va toujours éternellement.

Il y avait des gens à trouver, à s'occuper, à prendre soin et à protéger. Quentin et Beverly. Des gens qu'elle avait perdus d'une manière ou d'une autre qu'elle voulait embrasser et aimer, à cause de son devoir, d'être la seule de sa famille à protéger, à honorer son peuple. Elle leur disait qu'elle était désolée aussi, même si elle ne savait pas pourquoi. La sensation de regret était réelle et profonde, comme une démangeaison persistante qui nécessitait une attention constante, et elle ne pouvait pas attendre, à avoir une vie des plus normales sans le poids d'un lourd secret et grave et dangereux, elle réussirait à mettre à profit cette situation, à gérer, concilier une vie de femme ordinaire et sa mission de vengeance. Elle devait les trouver, réussir, le faire, et maintenant elle le pouvait. Et il y avait Rupert, Willow et Buffy. Ainsi que les autres enfants qu'elle aimait tant. Et ne voulait pas leur mentir aussi longtemps, au mieux en étant une meilleure comédienne les trahir d'une si mauvaise dégradante ingrate, elle devait les protéger. Elle allait mal finir dans les ténèbres, le noir et l'ombre du crépuscule...

Elle avait été chaleureuse, en sécurité et aimée, et c'était agréable. Pas la sienne, pas comme elle devrait être une menteuse prétendre être quelqu'un d'autre en étant une autre jeune femme qui avait grandi autrement, mais sympa.

Le fait est que c'était extrêmement dur, douloureux, sombre d'être, de subir les moments les plus tragique, difficulté, lorsque son état de santé mentale était au plus bas, quand la tristesse du chagrin d'avoir perdu sa sœur, de revivre sans s'arrêter dès moment, instant précieux pour apercevoir la réalité faisant place au rêve de la nuit ; allonger sur le dos en ouvrant les yeux incapable de se détacher des rêves quand bien même ils étaient violents et dures son esprit y demeurait toujours, Jenny eu du mal à s'en défaire, à les abandonner et à croire que les douleurs imprimées ne venaient pas du monde des vivants, du monde réel, elle prit de profondes et tremblantes respirations pour tenter de se calmer, en fermant les yeux et empêcha les larmes de se répandre. Chaque matin, Jenny sortait de son état semi conscient d'une brume lui voilant les paupières, l'écrasement du chagrin venant s'emparer de sa poitrine avec rage et force. Un relâchement qui avertissait du danger à l'essuyage. Tout s'effondrant pour elle. Comme chaque nuit le sommeil les rêves les plus agréables, mais il était tout de même comme très douloureux lui rappelant que ces vies n'avaient jamais existé, s'infiltrer dans son cerveau malgré son état de dépression, mais essayait d'économiser des forces pour les réels cauchemars, ceux brutaux, noirs sombres où il n'y avait aucune nouvelle et elle était punie pour tout ce qu'elle avait fait et entreprit.

Faire semblant, apparemment, était quelque chose qu'elle ne pouvait pas faire, mais le faisait d'une manière très peu commune, dont elle faisait mécaniquement, machinale comme programmer pour le faire, c'était un piège. Les figements et les flashs du rêve, qui ne faisaient pas la chose décente et qui s'estompaient de la mémoire, dansaient dans son esprit en Technicolor vif, et ils faisaient écho aux dures vérités de sa réalité. Elle était bloquée, peut-être pour toujours, dans sa culpabilité.

Elle ne se laissait pas penser, ne pouvait pas. Elle devait agir, et c'est ce qu'elle a fait, ne pas se laisser conduire flotter dans la dépression jusqu'à la mort.

La force de caractère s'exploitait en se renforçant, se consolidait toujours par le courage en l'entrainant dans la vie c'était un véritable cheminement, une route longue comme un fleuve. Le chemin de la destinée en qui lui murmurait en chuchotant beaucoup de ces petits-riens, non-sens, c'est beau la vie, du courage, et la force de ses convictions de ce en quoi elle a toujours cru, toujours voulu en suivant son chemin de libre arbitre, de croire en quoi elle croit, ses principes qui n'étaient pas vus dans les bons jours d'Enyos, les chemins de son cœur qui lui dictaient, la guidant toujours de cette manière vers le plus profond de son désir de suivre, chercher l'amour… Le commencement du renouveau. Enfin nous entrons dans l'air du temps que tout change.

L'ombre des ténèbres, du mal absolu de toute créature de la nuit qui peuplaient, regorgeaient de sombres dangers dans ce qui paraissait être des simples nuits sans danger apparent, qui étaient sans démon d'horreur qui conduisaient souvent dans de terribles endroits terrifiants qui se retrouvent sans aucun doute, qui étaient d'inévitables confrontations à l'horreur de la réalité ; vivre dans les ténèbres comme si la nuit faisait partie de soi, et ne la quittait pas. Dans cet endroit se cache l'un des fléaux les plus épouvantables qui soient. Quiconque franchit cette barrière, quiconque y goute et désire vivre en enfer est aussitôt frappé par la malédiction de démons et du danger qui ne tardera pas à le tuer dans un sentiment d'indicible rage.

Mais il y avait des personnes, des démons comme n'importe quel humain ne méritaient pas de faire partie n'appartenaient pas à la noirceur de l'ombre. Chacun connaissait le bien et le mal, leurs différences de ce que cela voulait dire, leur signification, il n'y avait aucun être vivant qui ne faisait pas le bien. Personne ne devait être différencié, distingué comme selon des idées reçues des étiquettes, convenance, inscription en changer des formulations changeant sans cesse de route selon ce qu'on voudrait savoir ; la vie n'était pas comme cela ; la vie était beaucoup plus sensible, fragile qui ne paraissait et ce que l'on pouvait supposer en conclure. C'était un grand brouillard paysage de gris.

L'une de ces personnes, son histoire, sa vie était l'une d'entre elles, qu'il fallait compter dans cette histoire imagée, fable, dans le texte du conte était Jenny dans son évolution qui permit à cette femme dont les évènements prouvèrent qu'elle n'appartenait pas et ne voudrait jamais ni pris en considération à la lumière du jour au soleil. La journée n'appartenait qu'à Jenny, Quand elle marche dans la lumière, elle peut vivre une vie libre et bonne, et avoir toujours une conscience bonne et tranquille. Mais comment est-ce qu'elle marchait dans la lumière ? La lumière est la vérité. Elle lui montre là où il y a encore du péché dans sa chair. Une mission est alors d'aimer la vérité : de reconnaître qu'il y a du péché qui a besoin d'être purifié dans sa vie. La lumière lui montre la vérité ; si par exemple, Jenny apprenait que quelqu'un a parlé en mal d'elle contre derrière son dos, sa première réaction est alors de se sentir blessée, irritée et offensée. Mais la lumière vient, et lui montre que c'est son propre orgueil. Aimer la lumière – marcher dans la lumière. Il est intéressant de voir que la lumière chasse les ténèbres et que face à la lumière, celles-ci n'ont pas d'autre choix que de disparaître. Si donc tout son corps est éclairé, n'ayant aucune partie dans les ténèbres, il sera entièrement éclairé, comme lorsque la lampe t'éclaire de sa lumière.

Et ce fut comme ça que quand des instants, de ces moments de faiblesse, d'écroulement dépressif, de problème de santé mentale pensant au pire moment de son existence incapable de voir la lumière et ce qu'il y avait de plus beau, quand elle était au plus bas au plus mal, que tout se décomposait ce mélangeait de mal-être de Jenny n'avait jamais semble-t-il -comme une impression, un soupçon- qu'il n'y ait que les ténèbres. Malgré tout en restant forte, se battant, démêlant luttant contre sa propre noirceur, elle réussissait toujours chaque matin. Dès les moments où elle sortit de sa couverture en la retirant lentement pour se redresser et balançant ses jambes sur le côté pour poser ses pieds délicats sur le sol que sa détermination, son courage, sa force d'esprit en luttant contre ses rêves et son passé, lourds secrets, qu'elle put avoir assez d'énergie pour commencer sa journée en ce qui incombait, ce qui devait passer de prendre soin de sa nièce, Beverly ; désirant de lui faire plaisir de lui trouver des activités en évitant par tous les moyens qu'elle ne s'ennuie pas.

La relation qui reliait et unissait Jenny et Beverly était un sentiment de couleurs, de réconfort qui ne pouvait être que sécurisé unique comme toute autre relation, elles étaient différentes ce qui était parfaitement naturel et sain, car comment vivre une vie normale alors que si tout le monde se ressemblait se serai tellement sinistre et ennuyeux chaque personne différente, quand bien même si c'était des relations entre la sœur et le frère d'une femme était liée par le sang aux enfants ; la jeune femme prenait très au sérieux l'éducation de Beverly en s'impliquant toujours un peu plus, remplaçant -en essayant de s'efforcer à expliquer à la petite fille qu'elle ne remplacerait jamais complètement et entièrement Nolwenn ne voulant jamais usurpée et s'approprier une mère qu'elle n'était définitivement pas ainsi le rôle d'une véritable mère. Tante et nièce : la relation unique.

Devenir tante est complètement hors de contrôle. Lorsqu'une sœur ou belle-sœur devient maman, on devenait tante. Il n'y a pas de planification de vie ou de grande pensée pour cette occasion : en gros, cela arrive ! Et cela modifie notre vie. Dans le même ordre d'idées, on ne choisit pas de devenir nièce. Être simplement l'une d'elle. Parce que vous êtes né dans une certaine famille, une nièce est la fille d'une sœur ou d'un frère, un nom et un terme technique. C'est une femme liée par le sang. Ce n'est pas une relation parentale, où les rôles sont clairement définis. Ce n'est pas non plus un étranger, où aucun rôle n'est nécessaire. C'est néanmoins une relation spéciale.

Dans cette analyse profonde, familiale, on se pencherait sur le lien unique qui existe entre tantes et nièces : deux femmes réunies par le sang, mais maintenues ensemble par l'amour.

La relation unique

Il y a quelque chose de spécial dans la relation entre tantes et nièces qui ne ressemble à aucune autre.

La tante joue un rôle unique dans la vie d'une petite fille, différent du rôle d'une mère ou d'un rôle de grand-mère. La tante est généralement un pair de la mère et égale dans la hiérarchie familiale. Contrairement à la grand-mère, qui a une génération au-dessus. La tante est l'égale de la maman.

La tante a d'abord connu la maman, et la nièce est née dans cette relation féminine, quelle qu'elle soit. Si le parent était proche de la tante au préalable, la nièce bénéficierait de cette relation.

Si cette relation est tendue, celle avec les nièces peut être aussi un peu distante, à moins que les deux ne fassent un effort pour la détendre, la réconforter pour qu'elle soit en sécurité. La tante est une femme dans la vie de l'enfant, qui sera toujours là : à travers les mouvements et les changements, les hauts et les bas. Contrairement aux amitiés qui peuvent se créer et se défaire -se dénouer et se briser quand le pire pouvait arriver-, aux amis qui peuvent aller et venir, les tantes seront toujours des tantes : une présence permanente dans la vie d'une nièce. La tante connaît l'enfant depuis aussi longtemps que maman et papa. Elle connaît l'histoire de la famille, mais sous un angle différent. La tante connaît également l'histoire de la famille. Et peut donner un sens du point de vue différent à une nièce qui veut en savoir plus sur la vie passée de l'intérieur d'enfant de la maman et du papa.

Seulement une tante …

Peut donner des câlins

Comme une mère,

Peut garder des secrets

Comme une sœur,

Et partager l'amour

Comme un ami.

Les tantes sont drôles, réjouissantes et divertissantes !

Contrairement aux images souvent troublées de tantes représentées dans la littérature, les tantes dans la vie réelle sont souvent considérées comme amusantes. Certaines tantes sont l'ombre amusante de la mère : elles ne sont pas gênées par les tâches quotidiennes pour l'enfant : nettoyage, bain et de discipline et capables d'ajouter de la couleur et de l'excitation à la vie d'un enfant.

Jenny tenait toujours à continuer de compenser l'absence maternelle d'une vraie mère en contribuant, en s'impliquant, à veiller sur Beverly, lui apprenant toujours de nouveaux sujets, de nouvelles choses par des créations d'activités.

Dans chaque famille qu'il y avait sur cette terre, que ce soit d'un continent à un autre, l'amour, le respect, l'empathie, l'honnêteté, l'autonomie et le pardon sont les valeurs fondamentales dont toute famille a besoin pour connaître le bonheur. Les valeurs d'une famille heureuse sont les accords ou les normes qui guident la coexistence, la paix et l'union des membres d'une famille. Ce sont elles qui nous montrent le chemin du bonheur et de l'épanouissement, tant personnel que familial. L'éducation aux valeurs ne s'est pas démodée. Chaque être-humain et famille qui vient d'un milieu social différent était construit en se fortifiant, se façonnant comme de solides pierres poussant comme des plantes sur un arbre par des principes, des lois et principes de l'alliance et de la famille. Jenny était de celles qui appris au mot prenant en savoir être de cœur, que la famille et l'amour étaient l'une de ses bases pour ne pas s'effondrer.

Jenny se souciait très fortement d'une manière quotidienne de Beverly, se souciant constamment de son bien-être et son développement psychomoteur et psychologique. C'était bien plus qu'un rôle de liens familiaux qui existaient entre tous, une façade ou une comédie dont chacun devait vivre sa vie selon des tâches bien précises dont la vie était toute inventée, comme quelque chose d'irréelle, de faire semblant dans le quotidien chaque semaine, chaque jour et des mois de tous les ans. Jenny n'était pas dans cette pronostique la -cette place-, cette première catégorie, elle était au-dessus de tout, elle était bien mieux que de la joie, un rôle, elle était humaine et non comme un pantin dont on déploie les fils. Elle se préoccupe d'une manière totalement protectrice allant jusqu'à l'extrême de possessivité ; elle prenait très personnellement en compte l'extrême moitié de l'éducation de Beverly pour l'amener à s'armer et à lui apprendre pour la préparer le plus possible à la vie d'adulte parfois si injuste, difficile mais qui s'avérait être belle quand on est heureux, belle et précieuse ce qui demandait d'être prudent et d'être soigné. Il fallait réussir à envisager l'avenir du monde de l'enfant qu'il faut bien le dire n'a jamais été totalement pris en considération lorsqu'il s'agissait d'être innocent voir la vie dans les yeux d'enfant.

Le fait est réel sans voile sur les yeux et le visage tout a toujours été comme cela quand on devenait la gardienne d'un enfant à sa garde. Dans le monde entier, dans chacun d'entre nous chaque adulte ayant une bonne âme, un bon cœur, quelque chose en plus qui faisait qu'il y avait beaucoup de personnes aimant des enfants dont on n'était pas les personnes les détestant ; le grand secret lorsque l'on était entouré d'enfants était de retomber, d'être à nouveau dans un esprit d'enfant, faire comme eux une âme d'enfant ; garder son âme d'enfant, c'est laisser de côté les sentiments propres à l'adulte que sont le cynisme, la méfiance, la critique... Garder un lien avec son enfant intérieur c'est nourrir les sentiments de contentement, de joie, de curiosité, d'étonnement, de simplicité. De belles qualités à développer au quotidien.

Jenny possédait elle aussi le chemin de la connaissance des yeux de l'âme des enfants. Grace pour cause elle en avait une grande connaissance depuis plusieurs années en se mélangeant et en fréquenter en expérience et elle avait la grandeur dans son essence étant appelée, amenée à devenir une bonne maman protectrice. Et c'est justement un point à révéler essentiel d'explication d'un bon état d'esprit pour faire face au génie créatif de plan, dans un bon fonctionnement. Comment être sûr que son enfant est heureux ? Pour rendre son enfant heureux sa petite Beverly heureuse et comblée, ne lui donnant pas tout ce qu'elle veut, ce qu'elle désire ou souhaite, apprendre en lui enseignant à choisir ses priorités, à tolérer la frustration, à limiter ses désirs. Lui expliquer qu'il y a des choses qu'on peut avoir et d'autres pas, c'est la vie.

Les activités créatives, les activités qui suivent permettront aux enfants de travailler leur imagination et leur créativité tout en restant (normalement, un peu plus calme) calmes. Et Jenny ne manquait jamais d'idées en matière de créativité et s'amuser avec Beverly ; toute sorte d'activités différentes, des jeux tous différents et non les mêmes -légèrement modifiés- jouer au billes, des jeux de plein air, des quilles, des promenades bien plus encore tous réalisables et merveilleux parfait pour aider une enfant créative, pleine de vie et d'énergie qu'était Beverly ; si avec de la peinture et des pinceaux, alors Jenny pouvait proposer à Beverly de peindre sur des feuilles blanches, de prendre des coloriages pour les peindre ou de trouver des idées tout droit sorties de leur imagination.

Dessiner et colorier, il faudra juste du papier afin de laisser l'imagination de Beverly travailler. Proposer des coloriages, des mandalas ou encore des pixels art afin qu'elle puisse utiliser ses beaux crayons de couleur.

Faire de la pâte à modeler, pouvoir lui proposer de créer des choses grâce à de la pâte à modeler afin de travailler sa motricité fine et sa créativité.

Faire de la Pâte à sel

Dans le même genre que la pâte à modeler, Jenny a de la pâte à sel que Beverly adore. Pouvoir ensuite faire un atelier peinture et les créations pourront servir à décorer la maison.

Faire du papier mâché, Jenny avait aussi préparé la recette du papier mâché afin de pouvoir proposer à Beverly de faire, par exemple, des hiboux en papier mâché.

Faire des perles. Que Jenny voulût faire des libellules pour le printemps, des marionnettes en perles ou un mobile en perles à repasser, Beverly adore se concentrer pour faire la plus belle création possible.

Créer un tableau de peinture propre. Il suffit à Jenny de prendre une feuille et de mettre de la peinture directement dessus avant de la glisser dans une pochette en plastique et de la sceller. Beverly pourra faire des dessins avec ses doigts sans s'en mettre partout.

Créer un Dessin magique. Le dessin magique est une activité très drôle pour Jenny ! Il faudra d'abord créer un dessin, puis une lampe magique pour pouvoir enfin assembler les deux et découvrir tous les secrets !

Faire de l'origami. Il existe plein de niveaux différents de difficulté qui permettront à Jenny de créer ses animaux et ses objets en papier afin de travailler sa motricité fine et leur créativité. En plus, il ne faut que du papier pour faire de l'origami !

Lire. Il suffit de prendre un livre et de s'installer confortablement pour entrer dans un tout nouvel univers !

Ecouter de la musique. Rien de tel que d'écouter de la musique (douce) pour calmer un enfant. Jenny peut demander à Jenny si elle arrive à reconnaitre les instruments, à répéter les paroles, ...

Jouer à un jeu de construction. S'il y avait des blocs de construction dont Beverly possédait, c'est une très bonne idée de laisser Beverly construire une ville, une maison ou encore une voiture supersonique. Cela permet de travailler sa motricité fine, sa créativité et sa patience.

Faire un puzzle. Simple, mais efficace, le puzzle est une activité qui fonctionne toujours avec les enfants. Si Jenny n'en avait pas à la maison, elle pouvait juste imprimer une image que Beverly aime bien et la découper en plusieurs morceaux afin qu'elle puisse la reconstituer.

Atelier gommettes. Les enfants adorent les gommettes, ils pourraient en coller partout ! Pourquoi Jenny ne proposerait pas à Beverly de faire un atelier gommettes en lui laissant utiliser les gommettes qu'elle souhaite ?

Faire du collage. Jenny prenait des magazines, des journaux, une paire de ciseaux, de la colle et du papier et c'était parti ! Le but ici est de faire des montages. Beverly prenait le nez d'une personne, les yeux d'une autre, la bouche d'une troisième et elle créait une toute nouvelle personne. Cette activité est très drôle surtout si Jenny laisse la place à l'imagination de Beverly.

Faire un atelier sensoriel. L'atelier sensoriel est une activité enrichissante pour Jenny. Jenny sortait des objets à toucher ayant différentes textures, des aliments et des objets ayant de fortes odeurs, des aliments à goûter et Jenny bandait les yeux de Beverly. Elle devra toucher, goûter et sentir les objets afin de les reconnaitre. Jenny pouvait aussi fabriquer des bouteilles sensorielles pour Beverly.

Apprendre un poème ou une comptine, Il y a tellement de jolis poèmes à réciter, pourquoi ne pas en trouver un à apprendre sur le printemps ? Il est aussi possible d'apprendre de nouvelles comptines adaptées à l'âge de Jenny.

A chaque rencontre, moment partagé et utilisé des idées qui se ressemblaient, quant à d'autres, non, chaque fait établis comblait un vide douloureux qui devenait plus réconfortant moins seul ce qui fut était une crème pour apaiser la douleur de l'absence maternelle, la faisant ainsi progresser tout en entretenant le lien qui les unissait. Beverly aimait jusqu'à presque l'adoration tout ce que Jenny l'encourageait à jouer et s'amuser. Le but de tout ceci c'était de proposer à l'enfant des activités à chaque moment de la journée.

Mais le but à présent dans ce jour, aujourd'hui, était un moment encore plus agréable et dont Beverly ne partageait pas beaucoup moins souvent avec sa tante. La cuisine. Préparer un repas ou des gâteaux et bons nombres de pâtisseries. Jenny faisait participer Jenny dès le choix de la recette. Jenny proposait toujours à Beverly ce qu'elle aimait le plus faire, gouter des recettes qu'elle aimera sûrement ou Jenny demandait à Beverly de choisir la recette qu'elle préfère parmi deux ou trois options d'un livre de recettes avec photos. À l'occasion, Jenny proposait à Beverly aussi un plat qu'elle ne connaissait pas. Participer à la préparation d'un nouveau plat lui permettait de le découvrir, ce qui pouvait l'aider à accepter les aliments moins familiers.

Jenny préparait la cuisine avant de demander à Jenny de se joindre à elle. Par exemple, Jenny nettoyait toutes les surfaces de travail qui seront utilisées, à sortir les ingrédients, le matériel et les ustensiles requis. Jenny choisissait des ustensiles sécuritaires en fonction de l'âge de Beverly et des tâches que Jenny lui confiera.

Jenny sépara les ingrédients, le matériel et les ustensiles en fonction des différentes étapes de la recette.

Jenny lisait la recette en entier à Beverly avant de commencer. Jenny en profitait pour expliquer à Beverly la signification des différents termes utilisés. Beverly est en train d'apprendre à lire, Jenny lui confiait la lecture de quelques mots ou lignes.

Jenny essayait de terminer chaque étape de la recette avant de passer à la suivante.

Elle demandait à Beverly d'accomplir certaines tâches en fonction de ses aptitudes.

Jenny acceptait qu'il y ait de petits dégâts. C'est normal, car Beverly est en train de développer ses habiletés. Jenny aida Beverly à nettoyer, mais sans le faire à sa place. Jenny s'assurait que le nettoyage n'est pas vu comme une punition par Beverly, mais plutôt comme un geste normal à la suite d'un dégât.

Profiter du désir d'imiter les parents.

Beverly voulait souvent « aider » Jenny et poser les mêmes gestes qu'elle. Tout comme pour la cuisine, il n'est jamais trop tard pour faire participer Beverly aux autres tâches de la maison. Le jeu devient alors un allié pour Jenny. Transformer les tâches ménagères en jeu ou en défi à relever ; voilà une façon amusante de motiver Beverly.

Tâches que les enfants peuvent faire en cuisine selon leur âge.

Jenny enseignait à Beverly des règles de sécurité de base dans la cuisine. Elle dit à Beverly où elle peut se brûler ou se couper, sans lui faire peur, mais simplement en lui expliquant les risques. Jenny montra à Beverly comment utiliser un couteau, une râpe, un couteau économe (éplucheur), un ouvre-boîte, etc.

Quand Jenny aura six ou sept ans, Jenny n'hésitera pas à confier à Jenny la préparation de son déjeuner… ou du sein ! (Elle en sera très fière.) Elle la fera aussi participer à la préparation de son repas du midi.

Dans son âge de six ans qui allait vers l'âge de sept ans :

Jenny montrera à Beverly comment casser des œufs (LA tâche que tous les enfants ont hâte d'accomplir !) Jenny battra un œuf, fouettera des ingrédients avec Beverly. Elles utiliseront un couteau à bout rond pour trancher des aliments mous, comme des fruits et des légumes tendres ou cuits (champignons, poivrons, concombres), du fromage et du tofu. Elles tartineront avec un couteau à bout rond ou une spatule.

Elles presseront un citron pour en extraire le jus. Elles couperont des fines herbes à l'aide de ciseaux à bouts arrondis. Elles graisseront les plats à cuisson (moules à gâteau, tôles à biscuits, etc.)

Elles étaleront de la pâte avec un rouleau à pâtisserie Elles prépareront un bol de céréales ou une tartine.

Elles façonneront des boules (biscuits, boulettes de viande, etc.). Attention si Jenny manipule de la viande crue, car elle ne doit pas en manger et elle doit très bien se laver les mains ensuite.

Beverly participera avec jenny au nettoyage de la cuisine, par exemple en lavant ou en essuyant la vaisselle.

Beverly assista Jenny dans ces tâches en participant aux cookies, aux gâteaux et autres de nombreuses pâtisseries. La petite fille inspira à fond. Il faisait chaud dans la pièce, à cause de la chaleur que dégageaient les plaques de cuisson à gaz et le four. Devant le plan de travail, sa tante allait et virevoltait. L'enfant se tenait près d'elle, assez loin cependant pour ne pas gêner ses mouvements. Elle avait le nez à hauteur de la table de cuisine, où elle avait délicatement posé ses dix doigts. Elle observait avidement tous les gestes de Jenny. En attendant que le signal, la parole de Jenny se ferait entendre pour lui demander de l'aide, à quelques mètres derrière, la petite fille était assise sur un tabouret. Avec ses joues cuivrées et ses longues tresses noires, elle était la réplique exacte de sa maman Nolwenn et de Jenny ainsi que bons nombres des membres féminines de sa famille. Elle serrait son nounours contre sa poitrine. La femme se tourna vers la fillette. C'était donc le moment en forme de participer pour l'aider.

C'étaient les instants que Beverly préférait, en hocha vigoureusement la tête. Elle regardait avec admiration les gâteaux et les cookies ainsi que des petits biscuits en pain d'épice en forme d'arbres que sa tante confectionnait. Il y avait aussi les cookies à la vanille, son dessert préféré. Pour le préparer, Jenny commençait par faire chauffer du lait. Elle accompagna en guidant lui faisant apprendre comment tourner les boutons de la cuisinière à gaz au niveau souhaité à Beverly, jaillissaient sous la casserole. C'était beau. Beverly ouvrait de grands yeux émerveillés. Sa Jenny était une magicienne sans pareil, c'était toujours miraculeux et prodigieux que sa tante fasse aussi bien des recettes de dessert et de gouters alors que dans une maison ce n'était pas vraiment son domaine de prédilection, préférées, mais pour Beverly elle ferait tout ce qu'elle désirait et fera autant. Tout ce qu'elle touchait se transformait en friandise délicieuse. Personne n'était aussi fort que sa Jenny en ce moment dans une cuisine, ou peut-être son papa Quentin et sa grand-maman Marjorie. Ses desserts étaient magiques. Ils restaient sur les lèvres des heures durant.

Quand le lait parfumé à la vanille arrivait à ébullition, il fallait ajouter le chocolat et la farine. Beverly regardait sa Jenny prit doucement une louche pour touiller. Dans des pensées d'enfant qui rêvaient que tout soit si fantastique et beau grâce à son imagination débordante, elle était persuadée que sans les gestes de sa tante, jamais le lait et la crème n'accepteraient de se séparer. Ils s'aimaient trop. La cuisine était comme une histoire d'amour, avec plein de "mariages" entre les aliments. C'était ce que disait son père et lui racontait toujours. Du haut de ses six ans, Beverly imaginait des déclarations d'amour dans les saladiers, des soupirs dans les casseroles, des poèmes romantiques dans les moules à tartes.

Quand le lait et la crème étaient enfin séparés pour pouvoir y mettre la vanille, Jenny égouttait la préparation dans une passoire. Elle pétrissait pour former une pâte molle. Ensuite elle ajoutait de la farine. Elle pétrissait encore. La magie n'était plus dans les ustensiles et autres mouvements doux propres et nettes, mais directement dans les doigts de Jenny. Beverly regardait sa tante créer des petites boules blanches de patte. La petite fille salivait déjà.

Ensuite, Maman faisait bouillir l'eau et le sucre dans une autre casserole. Elle ajoutait les boulettes dans le sirop. Trente minutes de cuisson environ selon le degré en hauteur de la chaleur, environ peut-être moins jusqu'à ce qui soit parfaitement bien dorée et chaud et moelleux. Quand c'était terminé, elle ajoutait l'eau de rose. Beverly, Jenny et ainsi que Quentin pouvaient alors manger chaudes leurs préparations qui faisaient en occasion pour les desserts ou en gouters l'heure du thé dans l'intérieur. Il n'y avait rien de meilleur au monde.

Pour Beverly, la cuisine aux épices de sa Jenny était une histoire à l'eau de rose.

Il y avait eu beaucoup de complicité durant ce moment de pâtisserie cuisine. Elles arrivèrent à se connecter encore plus fort et à se relier, comme si c'était encore plus possible de l'être. Il y avait des rires, des moments où Jenny l'aidait dans des gestes en posant ses mains en enroulant ses doigts contre le poignet de Beverly. Il y avait de la joie, du bonheur et du rire de la paix...

En plus de remercier Beverly pour son aide, Jenny l'encourage à goûter ses créations, mais sans la forcer. Jenny lui pose des questions, par exemple : « Est-ce salé ou sucré ? Acidulé, doux, crémeux, granuleux ? » Retrouve-t-elle la saveur de l'oignon, de la fraise ou du basilic ? Est-ce que cela lui rappelle un autre plat ? Jenny l'aide ainsi à éveiller et à cultiver son goût.

En complément à la cuisine, Jenny pouvait éveiller l'intérêt de Beverly à l'égard des aliments en lui lisant des livres d'histoire autour des aliments, en jardinant, en dessinant des aliments, en visitant une ferme ou un producteur, en faisant de l'autocueillette, des dégustations et des repas thématiques, etc. Ainsi, Beverly apprend et développe des compétences au fil des activités, et tout se déroule dans le jeu et le plaisir.

Il s'était passé de nombreux, plusieurs jours depuis l'arrivée de Jenny pour les vacances d'été à Los Angeles chez son beau-frère et sa nièce, mais en réalité pour être précis minutieusement cela faisait trois grands jours depuis son arrivée.

Les liens étroits qui se forgeaient avec des sentiments affectueux et de tendresse s'étaient renforcés en étant plus profonds et plus forts en intensité ; car il s'était passé tellement de choses et d'histoires durant ces premiers jours ! Des jours complètement achevés qui étaient abondants dans tous les sens du terme, imagés, au sens propre et sens figuré, le sens propre est le sens premier du mot, il est concret. Dans les points proprement dit.

Depuis quelques mois, quelques années maintenant, ils développent une jolie complicité pour leur plus grand bonheur, à tous les trois. La complicité familiale est indispensable à la santé physique et psychique de chacun de ses membres. Comment améliorer la complicité familiale ? La complicité entre eux est si agréable à voir. Lorsqu'elle était si douce et tendre, remplie d'amour. L'arrivée de Beverly dans leur vie à tous, Quentin et Nolwenn plus précisément, plus particulièrement. Puis après le drame, il en valait de même pour Jenny à son arrivée et a été peu à peu inclus en présence dans la famille, s'est faite très naturellement, et Jenny l'a tout de suite couvée précieusement. La jeune femme était d'un tempérament très doux et surtout très câlin, elle passait son temps à couvrir sa nièce de bisous et de caresses, allant même jusqu'à souvent oppresser Beverly un peu trop. Ou encore, si souvent, à se câliner tendrement, hors du monde, les yeux fermés et petit râle de bonheur, dans les bras l'une de l'autre. Autant de moments qui font évidemment fondre de bonheur le cœur du jeune papa, et renforcer leur amour les uns pour les autres, faisant battre le cœur de Jenny. Avant tout, clairement, parce que cela rend leurs journées plus simples à réaliser, à penser et surtout pour le bien de tous, évitant ainsi des complications. Il y avait des rires, des histoires de blagues, de jeux de rôle. Il restait essentiellement toujours ensemble.

Le cercle familial repose principalement sur le père, la mère et les enfants. Il s'agit d'une zone de bienveillance, un premier cercle de sociabilité, de solidarité et de réconfort, restreint mais solide, au sein duquel les parents et les enfants savent qu'ils peuvent compter les uns sur les autres. Pour autant, vivre ensemble ne signifie pas que l'on se ressemble. Tous les membres de la famille ne partagent pas nécessairement la même vision du monde. Et l'on s'éloigne du modèle traditionnel de la famille porteuse de valeurs communes et cherchant à les transmettre à une descendance qui les reproduira mécaniquement, immuablement. Davantage que les valeurs partagées, l'équilibre de la famille repose sur les activités quotidiennes. Les centres d'intérêt commun. Dit autrement, nous ne faisons pas partie d'une même famille en pointant le poing vers le ciel pour des raisons identiques, mais en nous entraidant pour tous les actes de la vie, pour la garde des enfants ou l'aide aux parents âgés. Si l'amour est bien le moteur du foyer, celui-ci n'est pas le moteur de l'amour.

Ce qui cimente le foyer, c'est l'amour, on vit sous le même toit avant tout parce que l'on s'aime et l'on se respecte. La recherche de stabilité pour ses enfants constitue aussi un facteur de motivation important pour vivre au sein du même foyer. Manger, se coucher et faire des activités régulières en famille selon une organisation et un planning fixés à l'avance. Les rituels et les routines aident à établir une identité familiale, à réduire le stress et à créer un environnement stable et rassurant.

Une famille, tous unis, une famille, une grande famille, pour la vie.

Dans la vie, au cours du cycle rond de la vie, il faut faire face aux crises de la vie, à la malchance, ou fortement au contraire, le bonheur, la joie et le bonheur heureux dès réchauffer il y a tant de choses que l'on peut voir, du drame au bonheur, que ce soit d'un extrême à l'autre, c'était toujours dans la vie un chemin que l'on doit faire face. Des injustices ou des privilèges. Sans les comprendre, sans savoir pourquoi il y avait du bien ou du mal. Car le temps va son chemin quelques soit nos desseins, nos destins.

Sans nous attendre. Et pourtant on verra chaque membre de la famille marcheront près d'elle, de Jenny, de Beverly et des plus jeunes. Quelques soit les caprices du destin.

Comme les êtres humains, les hommes et le féminisme par millions, par le cœur ne font plus qu'un ; tous ensembles, avec soi. Nous sommes un.

Ceux qui nous ont quitté seront là pour nous guider. Le voyage de toute la famille vient de commencer. Dans la peine ou la joie, rien sur terre ne vaincra la famille. La famille est forte, oh ! Combien elle est une, unie. Nous sommes tous pareils, toutes les membres de la famille sont pareils. Chaque être humain est pareil comme un seul, comme famille modelée à leur cercle familial. Tout comme la terre et le ciel. Une seule famille sous le soleil. Le courage de la famille, son soutien, Nous les trouverons chez soi, chez les nôtres. Car chacun des cœurs de la famille et le nôtre ne font qu'un.

Elle est là quand elle as froid en hiver et quand la brume, le brouillard, le froid de l'hiver, des tempêtes de neige, la froideur chez les membres de la famille, révolution qui les séparent, toujours là pour offrir un abri à chaque membre et à chacun qui est vulnérable. Toujours là lorsque l'on tombe d'une falaise et par conséquent, mordre la poussière. Toujours là pour redresser notre vie, la famille, qui accompagne notre soi, pour nous aider dans nos combats, toujours là pour nous ouvrir grands les bras et parfois sécher les pleurs de notre cœur qui saigne en ayant des plaies ouvertes. Toujours là quand les membres de la famille cherchent leur voie et quand elle nous accompagne dans une voie qui nous est propre : qui nous convienne. La famille... La famille, qu'est-ce que c'est la famille ? Des cœurs débordant d'amour, qui nous offrent chaque jour.

Tout au long de notre vie, leur amour est éternel et ne fléchie jamais, ni ne se brise. Toujours là pour nous accueillir en hiver. Qu'est-ce que c'est la famille ? Toujours là pour nous ouvrir grands les bras. Tout près de soi. Et parfois sécher les pleurs du cœur. Toujours là dans la peine ou la joie, la famille, la famille.

Comblée en étant attirée et poussée dans son don de qualité de sa gentillesse connue avec sa constance gentillesse sans limite avec son cœur si petit mais à la fois si grand pour donner de la bienveillance sur la main en remplissant, pour sa loyauté, Jenny s'était toujours efforcée de donner son temps à sa famille par alliance, tout son amour. En aimant avec douceur les siens, la famille est devenue le lieu d'amour par excellence. Sa signification même est de s'aimer et d'être aimé. Du coup, le sentiment de dette n'est en aucun cas acquis et non visible pour chacun ; il ne devrait jamais exister de concevoir un amour conditionnel, quelque chose que l'on ne peut acheter, personne ne doit être donné pour acquis lorsque l'on aime réellement et sincèrement sans arrêt il faudrait montrer, ne jamais faire disparaitre l'amour ou briser la confiance.

La force de la personnalité de Jenny l'avait emmenée, lui avait montrée et donner du courage dans sa quête de conviction en lui permettant dans des moments rares d'être autoritaire en employant d'une façon forte de fer lourd et parfois brulant quand on n'y touche et que l'on n'ait rien apporter, en osant s'imposer à elle. Elle tenait que sa famille soit heureuse, en ayant l'impression qu'il ne pouvait y avoir de faille, de morsure et de crainte. Jenny a toujours rêvé de la famille idéale, la famille parfaite ou tout était beau, ou... non. C'était étrange parce qu'à la lumière du soleil qui n'était pas seulement lumineux comme si c'était le ciel se sentir comme dans le paradis, on avait l'impression qu'il n'y avait pas de temps qui passait... et pourtant comme s'il y avait du temps à perdre, elle avait chaud, elle se sentait douce et sentait que tout le monde allait bien, que tout irait bien. Se souvenant d'être quelque part, dans un endroit lumineux, mais l'on se réveille, comme retourner en enfer durant des moments difficiles, forts en crise fatidique. Brisant chaque centimètre du corps, assister de voir une femme si puissante, une famille si belle qui est un moment d'effondrement... Une famille où l'on peut se parler, où il n'y a pas de sujets tabous, où l'on est libre de sortir, même si c'est aussi le rôle des parents de cadrer les enfants. Une famille idéale, pour tous les membres et pour elle, c'est aussi un père et une mère. Est-ce que la famille parfaite existe ?

Soyons réaliste, honnête et que l'on soit dans la réalité, plus personne ne croit à la famille parfaite, idéale ! ... « Toutes les familles ont leur propre vision de l'idéal, mais aussi leur propre vision de la norme, différents d'une famille à l'autre, en entendant pouvant voir les estimations, psychiatre et thérapeute familiaux. Et c'est l'écart entre les deux qui fait la spécificité de chacune.

Pendant toutes ces années, après durant de long mois tout ce temps écoulé, il s'en était passé de longues expériences et évènements majeurs dans un monde où tout est arrivé, tout est passé dans un sens comme dans un autre, que ce soit bon ou mauvais. Le temps avait fait son œuvre en réalisant la perspective d'un monde qui ne change de personne qui évolue ainsi que le relationnel. Jenny avait tous les jours de chaque temps porté sur ses épaules et à bout de bras, son courage et sa force de caractère avec une très forte personnalité qui lui a bien servie tout au long de la route en réussissant à garder, sauvegarder un équilibre sain tout en gardant un réalisme de la vie et ses conséquences qui tourne et retourne le temps jusqu'à la fin. Elle ferait tout pour garder la confiance, le respect de chaque membre de la famille, chacun d'eux, elle maintiendrait un équilibre. Pour ne décevoir personne, car même si le sujet n'a jamais été évoqué Beverly Quentin ainsi que la famille de son beau-frère compter sur elle. En voulant lui offrir une part tout entière pour elle dans la famille.

Jenny était le pilier même de sa famille. Autrefois, le père de famille était considéré comme cet homme des cavernes chargé de ramener la nourriture et de protéger sa famille de menaces extérieures. Mais, son rôle a considérablement évolué ces dernières décennies. Tout comme celui de la femme, depuis toujours la femme était celle qui avait à organiser et à s'occuper au quotidien des enfants, elle devait se montrer en exemple sans tache, sans imperfection comme un devoir sacré et jurer obéissance au père de famille, elle devait tout faire pour assouvir, satisfaire chaque souhait, recherche de son mari ; elle n'avait que le droit et le devoir d'être invisible de tous mais en réalité c'était des véritables guerrières, de courageuses et intelligentes personnes ; je vous dirai qu'il n'y a jamais eu d'échecs dans certaines vies trop parfaites, mais chez Jenny il y en eu peut-être quelques-unes très marquantes et ineffaçables. Il n'y a pas eu que des échecs. Il y a eu des leçons épouvantables. À toutes les petites filles : Jenny leur dit de ne douter jamais qu'elles sont précieuses et puissantes. Elles sont dignes de toutes les opportunités dans ce monde, alors elles doivent poursuivre leurs rêves. Si l'on désirait voler, on devait renoncer à la merde, au cracha, aux forces sombres qui nous empêchait d'avancer et de progresser. Tenir, désobéir et ne plus se faire abuser par un homme, ne plus être mit en cage en rompant les chaines invisibles mais pourtant bien présentes. Ce que nous apprenons nous-même, c'est que nous ne devons pas être quelqu'un d'autre en une autre personne ; que nous sommes assez bien ; et que lorsque nous sommes fidèles à nous-même, nous pouvons faire des choses extraordinaires. Nous devons permettre que l'impossible devienne possible. Il n'y a aucun garçon qui est assez beau ou intéressant pour nous empêcher de nous éduquer. Si nous nous étions souciés de qui nous aimait bien ou de qui nous trouvait mignonne quand Jenny avait leur âge, elle ne serait pas où elle en est au jour d'aujourd'hui. Le succès, c'est nous aimer nous-mêmes, c'est aimer ce que nous faisons et c'est aimer comment nous le faisons.

Jenny s'est rendue compte qu'elle avait gardé des gens même quand, au fond, elle savait qu'ils étaient mauvais pour elle. Jenny ne s'était pas écoutée, n'ayant pas eu confiance à son instinct et aux murmures dans sa tête. Il n'est jamais trop tard pour repartir à zéro, jamais trop tard pour être heureux. Nous devons faire que ce que notre cœur nous dit de faire. Le monde nous verra de la même façon que nous nous voyons, et nous traitera de la même façon que nous nous traitons... Une seule personne peut changer le monde.

La femme est le pilier sur lequel repose ce monde, ce qui impose de porter fièrement son fardeau, ne serait-ce que pour le bien de nos enfants. L'importance de la femme dans la famille.

En fait, c'est la femme qui crée et gère la famille. C'est elle et non pas l'homme, qui est l'élément principal de la famille. Une famille peut exister sans homme. Dans les familles où l'homme n'est pas présent ou décédé, la femme, si elle est sage et se soucie de sa famille, peut en assurer la survie. Mais sans femme, l'homme ne peut pas gérer la famille. C'est donc la femme qui est le pilier de la famille. La raison pour laquelle insiste sur le rôle de la femme dans la famille, est qu'une femme qui se soucie de l'éducation de ses enfants, s'occupe d'eux, les allaite, leur montre de l'affection et se soucie de leur bien-être en leur racontant par exemple des histoires instructives et en leur enseignant les règles de tout comme, elle se soucie de leur nourriture, permettra aux nouvelles générations de connaitre la prospérité et le salut.

Il s'agit d'une compétence particulière qui existe chez les femmes et qui n'est pas en contradiction avec les études, l'enseignement, le travail, les activités politiques ou autres. Dans tous les plans sociaux, la famille doit être considérée comme la base. La question d'être mère ou épouse, et la question de la famille et du foyer, sont des questions de base et vitales. Cela signifie qu'une femme même qui jouit d'une spécialité dans un domaine quelconque, si elle n'est pas une bonne épouse, restera incomplète. La femme doit être la maîtresse de la maison. C'est un principe essentiel. Si Jenny peut se permettre une comparaison même imparfaite, elle dirait que la femme est la reine de la ruche.

L'influence naturelle de la femme.

Les femmes ont naturellement une influence particulière et inimaginable sur leur mari, sauf dans des cas particuliers. Bien sûr, cela ne signifie pas qu'elles dominent leur mari, il s'agit d'une capacité que Dieu, les oracles, les anciens ancêtres et ainsi que les pouvoirs en place leur ont donnés, Jenny pense en fin de compte que les femmes sont plus fortes que les hommes. Elle en a la conviction comme on pouvait le constater et comme preuve du pouvoir de la femme à se battre seule. Dans une confrontation durable, c'est la femme qui finira par gagner. Les femmes ont des outils et des pouvoirs que Dieu leur a donnés et sont capables de l'emporter sur les hommes. C'est une des beautés de la nature et un des mystères de la création.

Outre leur présence dans la société qui représente la moitié de la population, les femmes peuvent également exercer une influence sur les hommes. Les hommes préfèrent en général que leur femme et les enfants restent à la maison, et se lancer seul dans les activités. Par exemple, pendant les luttes politiques les hommes n'ont pas pris leurs femmes avec eux. Ils leur ont dit de rester à la maison et de les laisser faire. Mais quand les femmes se sont engagées dans les combats, elles ont entraîné leur mari avec elles et les ont encouragés à aller de l'avant. Les femmes sont influentes et brillantes sur les champs de bataille, et leur combativité doit être préservée.

Le foyer de l'amour.

La nature divine de l'homme et de la femme dans le foyer, veut que leur relation soit fondée sur la bonté et l'amour. Les relations entre l'homme et la femme doivent être fondées sur la bonté, l'amour et l'amitié. Ils doivent s'aimer, manifester leur amour l'un pour l'autre et se comporter avec bienveillance. La famille est le lieu privilégié de la gentillesse et des sentiments. Les enfants doivent y être traités avec affection. Le mari qui est dans certains cas, plus fragile et plus simple que la femme, doit ressentir l'amour de son épouse. Les caresses et la gentillesse d'une femme sont les seules choses qui peuvent calmer un homme, exactement comme le fait une mère pour son petit. Les femmes qui sont fines et intelligentes le savent bien. Sans l'existence de cet élément central dans la famille, qui est la femme, pour la manifestation de ces sentiments et de cet attachement, la famille serait une unité dépourvue de sens.

Son rôle a considérablement évolué ces dernières décennies. Jenny devenait, en quelque sorte, la chef de famille en de rares occasions le temps qu'elle passait chez son beau-frère et sa nièce. Jenny le soutien et le pilier de la famille. Son rôle ne se résume plus seulement au fait de nourrir et de protéger sa nièce comme une protectrice.

Sa fonction première tout comme depuis le début des temps, de protéger sa nièce de tout danger extérieur, des dangers que représentent les difficultés, les dangerosités de la vie en dehors de la maison familiale. Aussi, elle est le soutien moral et psychologique de la famille. Son beau-frère et sa nièce doivent pouvoir compter sur elle à tout moment.

La matriarche, la femme et mère de famille, une figure d'autorité.

C'est le beau-frère qui fera une rupture de relation fusionnelle entre Jenny et Beverly permettant ainsi à l'enfant de s'ouvrir au monde. Il transmet à l'enfant force de caractère, sens de la moralité, pouvoir de contrôle et désir d'affirmation positive de soi.

Une éducatrice.

Sur le plan éducationnel, Jenny apprend tout ce que devrait savoir sa nièce à l'instar que sa mère lui aurait appris les règles de bonnes conduites. Elle lui apprend à maîtriser son agressivité et à gérer le manque de pouvoir. Elle doit lui enseigner également que la vie est faite de haut et de bas. Elle lui enseigne qu'apprendre c'est d'abord « échouer » et que l'échec est formateur. Elle lui apprend également la patience et le pardon. Jenny restera un guide et une référence tout au long de la vie de Beverly.

Un modèle d'identification.

La femme aux qualités protectrice et figure naturelle de construction maternelle féminine contribue à la construction de l'identité sexuelle des enfants. Pour le garçon, le père est le modèle à qui il cherche à ressembler. Il est un genre de photocopie. Pour la fille, le père est le modèle du sexe opposé. Elle cherchera les qualités de son père chez le genre masculin.

Jenny s'était donnée beaucoup de mal pour apporter la paix ainsi que de la maintenir unie pour dans un sens raisonnable qu'elle reste en parfaite équilibre, qui ne souhaitait pas que quiconque souille, salisse, ce qui restait de beau, de bon et de pur. Mais la famille le récit de ce voyage dans les profondeurs humaines devait rester dans le réalisme, car personne ne pouvait affirmer ou démentir que chaque couple finissait mal, se terminait par un divorce, chacun avait une quantité de problèmes ou moins ou pas assez de bonheur... Tout était différent car tout semblait ne pas aller de la même manière. Moments en famille, L'importance des bons moments en famille

Ces heures magiques résultent de l'amour qu'il y a dans une famille. Mais pas seulement, il doit aussi y avoir la volonté de passer ce temps ensemble. Jenny se rendait disponible pour parler à Beverly, l'écouter, évoquer ses émotions, partager un fou rire avec elle, verser des larmes… L'importance de vivre des moments familiaux ; dans sa vie, Jenny et Beverly ont déjà eu l'occasion de vivre un temps privilégié en famille, durant lequel elles s'étaient tout simplement senties apaisées, complices, très proches l'une de l'autre. Des instants magiques qui s'ancrent à jamais dans leurs souvenirs et dont elles se remémoreront facilement. Tout le monde s'accorde à dire qu'il est important de passer de bons moments en famille. Mais encore faut-il savoir les créer. Comment ?

En identifiant et en maîtrisant les facteurs qui feront que le temps passé ensemble soit propice au plaisir, au partage, à l'échange, à l'écoute. Il s'agit avant tout des instants de communion qui peuvent survenir en tout lieu et en tout temps, à condition de se mettre dans les bonnes dispositions.

Les moments exceptionnels ? Ce n'est pas une question de moyens. Le manque de moyens ne constitue pas un réel frein aux moments de qualité. Jenny ne dépense d'argent pour passer des instants agréables avec Beverly. Des personnes peuvent vivre dans l'abondance financière et souffrir de n'avoir aucune vie de famille en même temps.

À chaque famille ses propres recettes. Certaines familles vont planifier des sorties et activités spécifiques : randonnée en montagne, partie de ping-pong, pique-nique, balade à vélo, visite de musée, montagnes russes, séances de karaoké… Tandis que d'autres profiteront d'être réunis autour de la cheminée pour se parler, évoquer des souvenirs, raconter des histoires. Mais Jenny doit aussi garder en tête que Beverly grandit et qu'elle, y compris Jenny, évolue. Les moments en famille se doivent ainsi d'évoluer dans le même sens. Si les parties de cartes en dimanche après-midi j'enchantent plus Beverly, Jenny n'hésite pas à questionner Beverly sur ce qu'elle aimerait faire d'autre.

Dans une famille où un des parents n'est plus là.

Lorsque dans des familles où les orphelins d'existaient pas, il faudrait veiller à la vie de couple. Ce qui fait naître la famille, c'est d'abord l'amour entre un individu et son conjoint. Cette passion se nourrit aussi de bons moments que le couple passe à deux, tous seuls. À l'arrivée des enfants, de nombreux parents n'arrivent plus à profiter des instants en tête à tête et à vivre des instants d'intimité. Pour éviter de se laisser submerger, il faut prendre le temps de bien s'organiser. Évidemment, il faut penser à mettre en place cette organisation à deux. Le couple a aussi besoin de se retrouver et d'entretenir la flamme avec ses propres moments de qualité. La vie de famille : ça commence avant tout avec l'entente des parents. Comme nous l'avons évoqué plus haut, une bonne ambiance dans la famille résulte du fruit de l'amour et de la bonne volonté. Les parents constituent les premiers ambassadeurs de cet état d'esprit. Ils seront les premiers à démontrer ce désir de vouloir vivre ensemble, tout en se réservant des moments d'indépendance. C'est une question d'équilibre, mais l'essentiel, c'est que les enfants puissent évoluer dans un cadre construit ensemble de manière motivée. Cela semble facile à dire, mais pas évident à appliquer au quotidien. Les disputes et les tensions qu'elles entraînent sont inévitables au sein d'un couple. Elles se ressentent au niveau de la vie de famille, même si vous essayez de les masquer. Les enfants sont des êtres sensibles et ils arrivent à percevoir les conflits. Cela ne sert à rien de leur mentir. Jouez la carte de l'honnêteté en admettant bel et bien qu'il y a quelques nuages dans le couple présentement. Bien évidemment, dans le cas de Jenny et son beau-frère qui ne sont pas un couple, ils arrivaient à co-exister et réussissait à fixer des points d'entente pour Beverly.

Les petits n'apprécient pas que leurs parents se disputent, mais ils ne s'alarment pas pour autant tant qu'ils ressentent que chez ces derniers, le désir de vivre ensemble est toujours fort, et que l'amour transcende le reste.

Chez les enfants des couples séparés et veufs, comme dans le cas de Nolwenn et Quentin, Jenny apporte juste un soutien à son beau-frère.

Une bonne vie de famille ne se fonde pas principalement sur l'éducation quotidienne des enfants, elle repose avant tout sur la bonne entente des parents, car la manière dont ceux-ci vivent leur relation influe grandement sur leur comportement.

Depuis les quelques jours déjà passés chez Quentin, tout avait bien changé mais en bon, grâce à a présence de Jenny, et évolué en métamorphose de telle sorte dans un parfait équilibre en phase de moments de positions sur lesquelles tout était symétrique, à la bonne place, comme il se devait de l'être dans un sens imagé d'harmonie. A chaque occasion réelle qu'elle venait rendre visite régulièrement et quotidiennement, Jenny ne manquait jamais une occasion pour préparer des petits plats, recettes de cuisine à chaque fois ; de la mince entrée à l'épaisse hors-d'œuvre, copieux bien grâce et savoureuse, des plats chauds, aux desserts légers provenant en retrouvant sa source d'une grande simplicité.

Jenny en faisait déjà tellement pour eux, pour sa famille, pour l'honneur de leur famille tellement de choses qui avaient été fait et réalisées pour aider. Quentin lui devait tellement pour sa petite fille. En réalisant une très grande partie des tâches ménagères et également souvent seule, ou à deux, Jenny préparait en pleine préparation de la cuisine culinaire ; elle adorait faire plaisir à son beau-frère et à sa petite nièce, en ces instants, ces souvenirs des deux -trois- parfaits ensemble lorsqu'elle pouvait voir de son propre témoignage ayant été émue de bonheur les larmes de joie et heureux avec ces sourires satisfaisant, c'était la façon de le faire, de réaliser de savoir que l'on a touché le but de pouvoir connaitre qu'ils sont heureux de la qualité en plein intérieur de la langue sur les papilles gustatives avec de nombreuses sauces aux gouts délicieux, aux épices... Toutes ces qualités de l'alimentation, beaucoup salées, sucrées, acides, grasses, dans toutes groupes d'aliments, la pyramide alimentaire est un guide visuel qui se propose d'élaborer un régime alimentaire omnivore équilibré. Cette aide graphique est conçue pour conduire le grand public à suivre les conseils diététiques proposés par un organisme ou une société qualifiée en matière de santé. Pour interpréter cette schématisation de la ration alimentaire quotidienne, il est convenu que les aliments placés au sommet ou dans la partie supérieure sont ceux qui doivent être consommés en plus petite quantité et ceux placés vers la base sont ceux que l'on doit consommer avec une plus grande fréquence et en plus grande quantité. Céréales et dérivés, légumes, fruits frais, lait et produits laitiers, viandes, poissons, œufs et légumes secs, sucres et matières grasses et l'eau.

Dans ces circonstances, lors de ces situations, occasions pour penser à tout ce qui s'était passé pour tout. L'idée lui était venue en toute innocence avec joie, naïveté enfantine de Beverly pour faire plaisir à sa tante, voulant lui offrir un cadeau, une surprise pour être encore plus précis de manière qui était tout propre à Beverly en ayant besoin de l'aide de son papa, et donc il avait eu exactement la même idée ; Beverly demande à Quentin de l'aider avec son dîner de soirée spéciale Américain et étranger et est déterminée à empêcher la prophétie de chaque année d'idée de porter malheureux à chaque fois que l'on dispose d'un instant de répit sans stress, émouvante, inconscience et que soudainement le bonheur s'enfuit pour faire place à l'idée d'être l'angoisse même et non sans conséquence.

D'une certaine façon, ce qui était vrai, véritable dans le monde moderne, il ne pouvait se passer du temps sans avoir à craindre quelque chose, dès l'instant où l'on ne pensait plus à rien ou le stress était dévoilé et s'était enfui, la peur revient quand on ne s'y attend le moins pour faire plus de mal et arracher notre bonheur et notre joie de vivre.

Ils avaient souhaité pouvoir avoir réussi à passer beaucoup de temps dans la cuisine, il fallait donc absolument que Quentin ou Beverly éloignât Jenny des fourneaux ; ne voulant en rien gâcher le secret de la surprise faite pour la jeune femme. Cuisiner ensemble favorise la discussion, la relation, le partage et la complicité entre les membres de la famille et tous sont concernés pas seulement papa et maman. La cuisine devient un moment convivial, amusant, culturel et instructif où Beverly peut découvrir le gratin dauphinois de sa Mamie, les sablés de sa tante, le gâteau au chocolat de son papa. Cuisiner en famille, c'est aussi permettre la transmission qui se joue devant les fourneaux. Cuisiner en famille est une valeur à défendre et le vecteur d'une transmission, fragile mais précieuse, entre les générations. Un grand moment de témoignage d'une jeune amie et voisine de Quentin et qui lui a appris à cuisiner. Les personnes vivant autour de la maison de Quentin en témoignent et aimeraient continuer à prendre du temps pour cuisiner et impliquer leurs enfants dans la préparation des repas. Une réappropriation simplifiée et ludique de cette activité nourricière qui a permis à certains membres de la famille de s'initier à la cuisine et à tous de passer un peu plus de temps à table. Préparer le dîner et le partager ensemble a contribué à favoriser des moments de transmission inattendue, dans le plaisir, a grandi dans les effluves de la cuisine de sa grand-mère qu'il regardait préparer des plats de toutes sortes pour de grandes tablées. Devenu père de famille, il aime nourrir les siens au quotidien, définir à l'avance les menus, préparer les recettes.

Les recettes de grands-mères font partie de chacun que nous sommes.

Cuisiner en famille est un moment privilégié, porteur de sens et d'émotions. Beverly peut y être associé du début à la fin, des courses au repas. Au marché ou supermarché, elle apprend à connaître et choisir les aliments bruts, frais, de saison... La mémoire s'imprègne ensuite de la succession des gestes, de l'assemblage des ingrédients. Pour les plus petits, la transmission passe par l'observation, l'identification des odeurs, le son du fouet, du crépitement au fond de la cocotte puis par l'implication physique en mettant la main à la pâte.

Tout le monde aimait cuisiner en famille. Facile et simple à réaliser, Les membres de la famille ne seront pas déçus par ces idées de plats onctueux qui correspondront à soi et à nos proches.

La pièce qui faisait un grand coin cuisine était immense étant une pièce charmante et lumineuse agréable d'y vivre discuter, et de se retrouver en famille à chaque moment de la journée en passant à table avec grand plaisir. Une cuisinette, une kitchenette, une cuisine ouverte ou une cuisine américaine est une cuisine dont l'agencement et l'aménagement lui permettent de s'intégrer à une pièce plus grande, généralement une salle à manger, une salle de séjour ou une chambre à coucher. La cuisine ouverte dite « américaine » se définit en opposition à la cuisine traditionnelle. ... Les cloisons n'existent plus, et la cuisine n'est plus séparée de la salle à manger ou du salon. Parfois, un bar et un comptoir marquent la limite entre les espaces. Une cuisine américaine n'est pas cloisonnée et est ouverte sur la pièce à vivre, le salon ou le séjour. La séparation entre les deux espaces est matérialisée en règle générale par un bar ou plus récemment par un îlot central, c'est-à-dire une table avec des tabourets. Elle s'oppose ainsi à la cuisine classique qui va être fermée par un mur et séparée matériellement du séjour. Une porte peut être installée pour communiquer entre les deux pièces. Faire le choix d'un aménagement à l'américaine présente quelques inconvénients mais aussi des avantages incontestables. La cuisine est totalement ouverte et reliée à d'autres pièces de la maison (salon, salle à manger...). La cuisine est uniquement séparée à l'aide d'une cloison, d'une porte vitrée, d'un bar... mais reste ouverte sur les autres pièces. La cuisine est complètement fermée et installée dans une pièce dédiée.

En ce qui concerne la cuisine américaine, voici quelques éléments de dimensions afin d'aider à visualiser la future cuisine que l'on souhaite aménager. En premier lieu, la cuisine américaine doit être relativement spacieuse. Il faut comptez à minima 7m² pour un espace de travail de taille correcte. Au niveau du bar (ou de l'îlot central), il faut calculer au moins 50 cm de largeur. Le bar étant un élément phare de la cuisine américaine, il doit permettre un certain confort et donc disposer de suffisant de largeur. Dans la construction d'une cuisine moderne et tendance, la cuisine américaine est idéale. Elle est bien souvent longtemps et mûrement réfléchie en termes d'esthétisme et d'ergonomie, ce qui en fait un lieu de vie particulièrement agréable. Ici l'ergonomie de la cuisine a pour effet une certaine dissimulation des appareils électroménagers. Ainsi les meubles de la cuisine sont pensés afin d'accueillir un maximum d'équipement avec par exemple des placards équipés de tourniquets-rangement. Ils deviennent alors des éléments de décoration à part entière. Rangements coulissants, crédence, hotte... une cuisine design.

Ce qui fait de la cuisine américaine une cuisine en vogue est également la présence d'un bar ou d'un îlot central. Cet élément est présent dans toutes les cuisines américaines. Le bar ou l'îlot correspond parfaitement aux besoins actuels des consommateurs. Il faut discuter avec la famille ou parler tout en cuisinant ou manger sur un coin du bar beaucoup plus simplement. En discutant, c'est également l'occasion de se mettre d'accord pour aménager avec soin les éléments de la cuisine comme par exemple des tabourets de bar venant se glisser sous le bar.

Enfin, si la cuisine américaine est si tendance, c'est car elle permet d'assortir toutes les pièces de la maison facilement. On peut aussi ajouter quelques décorations pour rappeler le style de la pièce adjacente et le tour est joué. Des vases, des tableaux, des bibelots, un revêtement pour le sol... tous les moyens sont bons pour harmoniser la maison. C'est à chaque membre de la famille de personnaliser la maison comme bon leur semble.

Un véritable lieu de vie, ouvrir sa cuisine permet d'aménager un espace plus vaste dans la maison. Avec les murs en moins, l'espace est particulièrement optimisé et agréable. On a l'impression que les pièces sont plus grandes. La présence d'un bar ou d'un îlot central à la place d'un mur permet de donner une impression de profondeur à votre cuisine. Un vrai plus si la famille aime les grands espaces ouverts. Ainsi, la cuisine devient un véritable lieu de vie au même titre que votre salon ou salle à manger. En supprimant des murs, la luminosité va augmenter dans la cuisine. La lumière naturelle pénètre beaucoup plus facilement. Ici, la cuisine est donc une pièce de la maison où il fait bon vivre.

La cuisine de la maison de Quentin et de Beverly est de ce style : une cuisine américaine, cuisine ouverte sur le salon.

Lorsque l'on passe la porte d'entrée de la maison, on arrive sur une petite entrée avec un placard à droite. A gauche se trouve l'entrée de la cuisine. Il n'y a pas de porte séparant l'entrée de la maison et la cuisine.

En entrant dans la cuisine, on trouve à gauche, des meubles bas avec des tiroirs et des meubles hauts avec des portes, installés dans l'angle du mur.

Au milieu des meubles bas : l'évier à trois vasques et d'une assez grande longueur pour mettre à égoutter la vaisselle et le robinet. A droite de l'évier, se trouvent les quatre plaques chauffantes de la cuisinière avec un four en dessous. De chaque côté des vasques et de la cuisinière, on trouve des plans de travail, où sont disposés quelques petits appareils électro-ménagers, comme une cafetière et un robot ménager. Au bout du plan de travail à droite, est disposé un lave-vaisselle et à gauche un réfrigérateur américain avec distributeur d'eau. Au-dessus du lave-vaisselle, un four à micro-ondes est situé en hauteur au niveau du buste d'une personne de taille adulte. Dans les placards des meubles bas, sont disposés les accessoires de cuisine, comme les casseroles et les poêles.

Au-dessus, on trouve des meubles hauts, parfois vitrés, où sont rangés de la vaisselle, comme des assiettes et des verres. Au-dessus de la cuisinière, est installée une hotte aspirante, ce qui sert à évacuer la vapeur et les odeurs des aliments pendant la cuisson.

En face de cette cuisine aménagée, on trouve un comptoir qui peut servir aussi de plan de travail, de bar ou de table à manger par exemple pour le petit-déjeuner. Et également il se trouvait une table à manger assortie avec quatre chaises. Afin de vite se préparer pour la journée de travail qui nous attend. Quelques tabourets ont été disposés autour afin de s'assoir pour manger confortablement et convivialement.

Entre la cuisine aménagée et le comptoir, une fenêtre permet d'éclairer la pièce.

Plus loin derrière le comptoir, une table et des chaises sont disposées. Ce qui permet de déjeuner ou diner encore plus confortablement qu'au comptoir, lorsque l'on est en famille. En effet, après une journée de travail, on a plus de temps pour préparer le repas et donc on s'assoie à la table pour le diner au lieu du comptoir. Une grande fenêtre est en face de la table pour jouir de la vue au moment des repas ce qui est reposant.

Quentin et Beverly habitent une maison moderne, la cuisine l'est aussi, c'est une très belle cuisine aménagée, le charme de l'habitable de la cuisine sont des plus modernes.

Depuis plusieurs jours que Jenny était parmi eux maintenant, Quentin et Beverly eurent l'idée de faire une surprise à Jenny pour la remercier de toute l'attention qu'elle a eu pour eux, avec toute son écoute, tout son cœur pour s'occuper d'eux à l'occasion des vacances parmi eux. Beverly voulait préparer un repas avec son père avec tous les aliments que Jenny préférait pour lui faire plaisir et la remercier d'aider à la maison.

Il n'y avait eu aucun effort à façonner en force de solidité, pour éviter l'apparition de Jenny dans la cuisine qui même quand lorsqu'elle avait voulu -souhaité- intervenir dans son accompagnement à l'intérieur de la salle à manger et de la cuisine elle ne s'opposera aucunement à la résistance, à l'hésitation laissant faire son beau-frère et sa nièce. Beverly lui avait glissé à l'oreille que c'était une surprise pour elle ; qu'elle ne devait rien savoir sur leur attention, et ainsi Jenny pourrait se reposer et profiter de ne plus être devant les fourneaux et son plan de travail. Pour être tranquille et prendre des moments pour soi en s'occupant autrement dans la maison ou dans sa chambre d'invitée.

En réalité, c'est Quentin qui a insufflé cette idée à Beverly. Pour rendre la vie de sa très chère adorée belle-sœur plus légère.

Quand vous étiez enfant, qui cuisinait ? Votre papa, votre maman, les deux ?

Chaque parent a ses plats de prédilection, qui peuvent être élaborés ou au contraire très simples, parfois des recettes transmises de mère en fille, (de mère en fils, de père en fille, de père en fils) … Traditions familiales, héritages de nos origines géographiques, culturelles, religieuses, les bons petits plats concoctés par nos parents sont un joyeux mélange hétéroclite… Chaque famille a son petit panthéon culinaire. Alors en parcourant quelques recettes simples à réaliser pour un thème d'idée plat Américain, Quentin y trouvera forcément des souvenirs de son enfance et la mémoire de chaque enfant qui pouvait toujours remonter à la surface, mais découvrirait également des recettes nouvelles, qui deviendront peut-être des madeleines de Proust pour Beverly. Cuisine de père en fille est un esprit de famille et par moment ou dans chaque lien familial et de différentes maisons de famille, avec la maman et la cousine comme aide précieuse.

Dans cette atmosphère alors qui était très détendue et agréable dans l'air qui flottait de façon invisible comme l'essence de bonne humeur, de bonheur et heureux. Mais c'était sans compter grâce au fait de cuisiner dans la vue d'une petite fille que tout a changé ; cuisiner américain dans les yeux d'une petite fille, adorable petite fille aux yeux bleus mangeant du fromage tout en cuisant une omelette avec grand-maman dans la cuisine, un petit enfant qui se sent affamé, en goûtant de la nourriture tout en étant assis à table et en préparant le repas avec la grand-mère à la maison, qui aimait rire, jouer tout en travaillant, faire de minuscules bêtises en prenant des mandarines et les plaçant contre ses yeux alors c'est à ce moment-là que Beverly éclatât de rire, voulant que ses yeux soient de la même couleur que le fruit qui était contre sa main. C'était surtout en sachant qu'elle aimait être espiègle et en même temps adorable devant son père.

Beverly et Quentin préparèrent des hot-dogs et des hamburgers pour le déjeuner. A l'idée de ces préparations, la bonne humeur envahie la cuisine, heureux de cuisiner tous les deux, partager un moment de complicité, heureux de confectionner des recettes qui n'ont pas l'habitude de faire ensemble. Beverly alla chercher les saucisses et les petits pains dans le réfrigérateur tout en chantonnant des comptines que Jenny lui avait apprises. Et Quentin s'occupa d'allumer les appareils pour la cuisson, c'est-à-dire mettre la poêle sur la plaque de cuisson et allumer le feu pour faire cuire les saucisses, mettre les petits pains dans le grille-pain, ce que Beverly ne pouvait pas encore faire car elle était trop petite. Lui aussi se mit à chantonner et ainsi ils partagèrent de vrais moments de complicités rares et attachants.

Le rire, l'amusement qui faisait fondre le cœur de l'amour en se mettant en avant dans un grand éclat de joie.

Pas facile de résumer la cuisine américaine dans un pays aussi immense que cosmopolite… Il y avait les burgers et les spare ribs, le fried chicken et le T-bone steak. Il y a la cuisine amérindienne et la cuisine cajun, les généreuses recettes tex-mex et les recettes healthy de Californie… Pour Quentin et Beverly, il n'y avait pas la possibilité de trancher. Ils ont préféré tout rassembler pour piocher à chaque repas la recette américaine qui leur fera voyager, version pancakes made in New-York le matin, burger vegan de Los Angeles à midi, jambalaya de Louisiane le soir… Sans oublier quelques cookies et cupcakes au goûter, histoire de s'offrir un road trip culinaire exhaustif. Ils vous résument ? D'une côte à l'autre et d'un océan à l'autre, la gastronomie américaine est souvent plus généreuse.

Les hamburgers. Le hamburger a pour origine le steak de Hambourg, spécialité culinaire notamment servie dans du pain brioché comme plat roboratif des ouvriers dans les cantines allemandes. Ce steak de bœuf haché est le principal plat servi. Les hamburgers sont aujourd'hui composés d'ingrédients beaucoup plus divers qu'autrefois. Hormis les hamburgers traditionnels avec un steak, on en trouve avec du fromage (cheeseburger), au poulet, au poisson, végétariens ou végétaliens. De nouveaux hamburgers plus excentriques sont créés.

Hot-dog. Saucisse de Francfort servie chaude dans un petit pain. Un hot-dog, hotdog ou hot dog, est un type de sandwich composé d'un pain allongé fourré d'une saucisse cuite. La saucisse est une saucisse de Francfort ou une saucisse de Vienne. La saucisse à hot-dog industrielle est composée de viande de bœuf, porc, dinde, poulet ou veau, d'eau, et de gras. L'on trouve dans sa composition du sel et des épices, de même que des nitrites. Le type de pain utilisé varie d'un pays à l'autre, tout comme les sauces et condiments (moutarde, ketchup, sauce piquante, etc.) ou les compléments (fromage fondu, oignons, haricots rouges, choucroute, coleslaw, relish, etc.) qui accompagnent le sandwich.

La saucisse peut être grillée ou simplement bouillie, voire frite.

Kebab. Viande coupée en morceaux et rôtie à la broche. Brochettes de kébabs. Sandwich chaud composé de lamelles de viande grillée à la broche servies dans un pain garni de crudités. Le kebab est généralement un sandwich ou une galette composée de viande grillée à la broche et découpée en fines tranches, servi dans du pain avec des crudités, éventuellement des frites et une sauce. Le type de grillade utilisé pour les sandwichs est appelé en turc « döner kebap » ou plus brièvement « döner », terme signifiant littéralement « grillade tournante ». La viande est découpée en tranches de quelques millimètres d'épaisseur et est empilée sur une broche verticale. Un système de résistance électrique ou de brûleurs au gaz situé en arrière de la tour de viande permet de la faire cuire. Une fois cuite, la viande est découpée verticalement en fines tranches. Divers types de viande peuvent être utilisés selon les coutumes de chaque pays : mouton, bœuf, veau, dinde, poulet, porc….

Cheeseburger. Vous adorez les fast-foods et la cuisine populaire américaine ? Pourquoi ne pas la redécouvrir chez-vous en réalisant vous-même votre premier cheeseburger ? Grâce à cette recette accessible à tous, il devient en effet très facile de préparer ce sandwich chaud typique que vous pourrez servir à vos amis lors d'une soirée conviviale ou déguster devant un bon film.

4 pains de hamburger, 4 steaks hachés de bœuf, 4 tranches de fromage fondu spécial hamburger, 1 oignon, 2 cuillères à soupe de ketchup, 1 cuillère à café de moutarde, 4 feuilles de salade.

Pour commencer cette recette facile de cheeseburger, Quentin fait cuire à la poêle les steaks en adaptant le temps de cuisson à ce que lui et Beverly souhaitent obtenir. La viande peut en effet être cuite, bleue, saignante ou à point selon leur goût. Quentin fait également revenir l'oignon qu'il a préalablement pelé et coupé en rondelles. C'est Beverly qui sale et poivre le tout à leur convenance. En effet, Beverly ne touche pas à la poêle et au couteau, c'est trop dangereux pour elle pour le moment, elle est trop petite.

Beverly mélange le ketchup et la moutarde. Quentin coupe les pains et Beverly les ouvre et elle met 1 cuillère à café de sauce sur chaque moitié de pain. Elle utilise également une sauce cocktail que Quentin et elle ont acheté au magasin, de la mayonnaise et autre sauce de leur choix. Quand les steaks sont cuits, ils préparent les hamburgers : pour cela ils empilent un fond de pain, une feuille de salade, un steak, un peu d'oignon, une tranche de fromage et le dessus de pain.

C'est Quentin qui passe au micro-ondes 30 secondes pour les 4 hamburgers, juste pour chauffer les pains et pour que le fromage fonde légèrement.

Pour un cheeseburger plus croustillant, Il faut penser à toaster le pain avant d'y ajouter la sauce et les autres ingrédients. Pour avoir différentes cuissons de cheeseburger, ils font fondre le fromage directement sur le steak en fin de cuisson de celui-ci, ce qui évite le passage au micro-ondes. Pour varier les plaisirs, ils ajoutent à leurs cheeseburgers des tranches de bacon grillé. Ils les mettent de côté le temps de préparer les hamburgers.

Hamburgers maison. Une recette burger, facile et rapide à faire, pour des hamburgers maison très savoureux. Une alternative au « fast-food » à servir avec des frites pour le plus grand bonheur des petits et des grands ! Succès garanti !

Beverly sort du réfrigérateur 20 grammes de margarine, 4 feuilles de laitue, 2 belles tomates, 4 steaks hachés frais, 8 tranches de fromages à hamburger, 4 pains à hamburger, sauces au choix (ketchup, mayonnaise, moutarde, sauce barbecue, …).

Quentin rallume la cuisinière et dans une poêle, il fait fondre la margarine à feu moyen jusqu'à ce qu'elle mousse légèrement. Lorsque la margarine est fondue et mousseuse, il dépose le bœuf haché pour le faire cuire. Il retourne les steaks hachés à mi-cuisson puis Il dépose une tranche de fromage à hamburger. Il laisse cuire quelques minutes supplémentaires, jusqu'à ce que le fromage commence à fondre.

Beverly lave les tomates et Quentin les coupe en fines rondelles, Il coupe les pains à hamburger en deux puis Beverly dispose la deuxième tranche de fromage sur le pain du dessous. Quentin fait cuire 2 minutes au four à micro-ondes.

Beverly disposez ensuite sur chaque moitié inférieure de pain à hamburger la garniture : une feuille de laitue, 2 rondelles de tomates et le steak haché (la tranche de fromage dessous).

Elle badigeonne la moitié supérieure du pain à hamburger avec la sauce de son choix et dépose une tranche de fromage. Elle termine les hamburgers maison en les refermant. Quentin et Beverly les mettent de côté pour les déguster avec Jenny plus tard accompagnés de frites (du fait maison bien sûr !).

Ils avaient acheté viande de bœuf fraîche afin de confectionner des steaks hachés maison et la mélange à un jaune d'œuf et assaisonne avec de la sauce Worcestershire, des herbes (herbes de Provence ou basilic par exemple), du sel et du poivre. Beverly garnit quelques rondelles de cornichon et une tranche de bacon aux hamburgers maison pour encore plus de gourmandises ! Beverly les met de côté avec les cheeseburgers et les hamburgers.

Hot-dog maison aux oignons frits.

Beverly sort du réfrigérateur 2 pains à hot dog, 2 saucisses de Francfort, 2 tranches de cheddar, 1 oignon, 1 cuillère à soupe d'huile d'olive, Ketchup, Moutarde.

Quentin préchauffe le grill du four. Il pelle et émince l'oignon. Il le fait revenir avec l'huile dans une poêle antiadhésive pendant 5 minutes, jusqu'à ce qu'il soit bien doré.

Il poche les saucisses 5 minutes dans une casserole d'eau bouillante.

Il ouvre les pains à hot-dog et Beverly y dépose les tranches de fromage, puis Quentin les fait gratiner 3 minutes sous le grill du four.

Il arrose de moutarde, dépose les saucisses et couvre d'oignons, puis de ketchup. Beverly les met de côté avec les autres préparations.

Pour cette recette de Hot-dog maison aux oignons frits, Quentin et Beverly ont compté 15 minutes de préparation.

Sauce aux canneberges.

Quentin prend dans le placard du haut 100 grammes de canneberges, Beverly prend 65 millilitres d'eau du robinet, Quentin prend le sucre et le maïs dans le placard et Beverly verse 55 grammes dans un verre doseur et 3 grammes de fécule de maïs dans un autre verre doseur.

Dans une casserole, Beverly mélange les canneberges, l'eau et le sucre. Quentin prend la casserole et la met sur la cuisinière afin de porter à ébullition en brassant constamment. Lorsque le sucre est bien dissout, il ajoute la fécule de maïs, en tamisant pour éviter la formation de grumeaux. Il baisser le feu à « doux » et continue à faire cuire jusqu'à l'éclatement des canneberges. Il met la casserole à refroidir au réfrigérateur 1 heure avant de servir.

Pour cette recette de Sauce aux canneberges, ils ont compté cinq minutes de préparation.

Pendant la préparation des cheeseburgers, des hamburgers, des hot-dogs et de la sauce aux canneberges, une bonne odeur s'est répandue dans la cuisine et les arômes qui se dégageaient des plats fraichement chauds ont envahis leurs sens et l'arôme qui s'en dégageait. Ses senteurs se sont répandus comme de la bonne, excellente vapeur dans tout le rez-de-chaussée jusque dans la salle manger où Jenny avait dressé la table et jusqu'à la première marche des escaliers.

Tout est prêt pour passer à table. Quentin et Beverly apporte les préparations qu'il ont déposé sur des plateaux dans la salle à manger et les dépose sur la table ; tout le monde s'assoit autour de la table et en testant ses facultés de service, Beverly glissa un peu de sauce avec un grande cuillère dans l'assiette de Jenny. Avec sa voix d'enfant, elle dit : « Voilà sauce que tu aimes et les plats que tu préfères. Bon appétit Tata »

Il y avait été une fois dans une chambre à coucher d'enfant, une nuit qui était toujours -à chaque temps de tous les temps- ordinaire et des plus normales, une petite fille, une enfant, Beverly jouant, étant en train d'inventer des aventures, des jeux remplis d'imagination qui venaient de son cru. A chaque soirée, c'était la tradition, le rituel d'être en pyjama après la douche -ou le bain- les enfants, selon leur âge, se couchaient plus ou moins tard ou tôt après le repas du soir et la douche.

Ce n'était pas seulement souvent le cas.

Les soirées et les nuits n'étaient pas toujours les mêmes choses, ce n'était pas pareil, les deux mots ne signifiaient pas dans la bonne définition. Même quand le soleil disparaît du ciel, il y a encore beaucoup de plaisir d'être à l'extérieur, mais à l'intérieur il y avait toujours du temps de l'amusement à créer et à jouer. Lorsqu'il faisait trop frais à l'extérieur, c'était beaucoup mieux, meilleur de ne pas sortir, il serait plus prudent de rester là où on en était. Voici quelques idées de jeux de nuit pour s'amuser quand il fait sombre dehors : avant de laisser aller Beverly dans le noir pour faire des jeux de nuit, Quentin et Jenny identifient certains paramètres de sécurité afin qu'elle ne soit pas blessée ou perdue. Des limites claires où Beverly est autorisée à jouer à ces jeux de nuit sont cruciales. Quentin et Jenny vérifient que les jeux de nuit se déroulent loin de la circulation ou des routes fréquentées et font des contrôles réguliers pour s'assurer que Beverly est là. En général les plus jeunes enfants devraient être en duo avec un enfant plus âgé de sorte qu'ils ne se promènent jamais seuls dans le noir. Comme Beverly est seule, c'est Quentin et Jenny à tour de rôle qui l'a surveille. Une fois que les règles de base sont établies et que tout le monde est d'accord, les jeux de nuit et les pitreries peuvent commencer...

C'était l'idéal pour Beverly qui est parfois turbulente, vive jusqu'à l'hyperactivité.

Cette agitation à l'heure du coucher peut s'expliquer par le fait que Beverly a besoin de libérer les tensions accumulées durant la journée. Pour l'aider à retrouver le calme nécessaire pour s'endormir, Quentin ou Jenny peuvent, par exemple, mettre une musique douce et lui faire un petit massage dans le dos. Au moment de se coucher, Beverly est agitée, s'éparpille dans tous les sens et n'a aucune envie de dormir. Tous les parents l'ont déjà vécu, mais que faire lorsque cette excitation revient tous les soirs ? Y a-t-il des petites astuces faciles à mettre en pratique pour aider son enfant à se calmer tout en douceur ?

Quentin et Jenny ne négligent pas les signes de fatigue chez Beverly (elle se frotte les yeux ou le nez, câline son doudou, bâille, ou elle a froid). Elle traduit le début d'un cycle de sommeil. Quentin et Jenny saisissent cette opportunité pour la coucher sinon elle va surmonter sa fatigue en s'excitant et ils n'auront plus qu'à attendre le prochain cycle, environ une heure et demie plus tard.

Un moment de complicité.

Tout cela n'est pas expédié, quelques soir, Quentin et Jenny ont les yeux rivés sur la montre parce que l'heure du film qu'ils avaient prévu de regarder approche ! Ils font de ce petit moment partagé un réel temps de complicité avec Beverly. Un moment rien que pour le plaisir d'être ensemble, mais aussi dans l'optique, ensuite, de pouvoir mieux se séparer. Si Beverly a compris accompli son but, faire perdre les calories et tout laisserez défoule pas assez dans la journée, de présence et de câlins, elle leur laissera d'autant plus facilement passer une soirée tranquille de leur côté. À condition qu'ils sachent aussi fixer des limites : une histoire, une berceuse, un bisou, peut-être un deuxième mais après, c'est fini, on dort.

Ce soir bien particulier, unique dans ce passage alors que Jenny aimait calmer chaque soir à apaiser calmer et jouer en inventant des histoires d'amour enfantine, des princes et princesses et également des légendes dont on n'avait pas réellement de preuves d'existence, des légendes de dieu, des pouvoirs en place et des bohémiennes, passant un enfant qui a besoin de courir, sauter, jouer dehors. On a parfois l'impression que sa réserve d'énergie est inépuisable, qu'il pourrait passer du soir au matin sans s'arrêter. L'enfant agité est unique en son genre. Il a besoin de bouger et demande beaucoup, pour ne pas dire souvent, l'attention des parents. Malgré tout, il est tellement attachant, aimant bien ces petits êtres pleins d'énergie…

Il faut que Quentin et Jenny préservent une routine stable. Elle est bénéfique pour tous les trois, mais Beverly qui va repousser l'heure du dodo en a encore plus besoin. La routine devrait somme toute être d'une durée maximale de 30 minutes. Quentin et jenny prennent le temps de créer une ambiance calme et d'amener Beverly tranquillement vers le repos en posant les mêmes actions chaque jour.

Ils essayent de favoriser les activités calmantes. Elles sont nombreuses et très bénéfiques pour Beverly. Ils optent parfois pour le yoga, parfois pour les massages, les séances de relaxation, les méditations guidées. Au besoin, ils augmentent la durée des activités relaxantes avant la sieste. Beverly s'endort parfois avant la fin de celles-ci. C'est parfait. Quelques fois, elle a besoin de plus de temps pour se calmer, une période d'activités relaxantes plus longue sera grandement favorable pour l'aider à trouver le sommeil.

Demeurer calme. En toute circonstance, garder son calme. Bien que Beverly fasse des pirouettes sur son matelas, Jenny doit prioriser un ton calme, neutre et rassurant. Dans le cas où Jenny serait sur le point de perdre quelques onces de calme, elle respire, elle tenter de se recentrer et se retirer quelques minutes de la chambre au besoin.

Beverly, qui a fini par enfiler elle-même son pyjama, est prête à aller se coucher. Jenny entre dans sa chambre pour l'y aider. Jenny s'assied sur le lit de Beverly le dos adossé à l'oreiller et Beverly vient s'allonger sur ses genoux, car elle voudrait entendre une histoire et une berceuse. Jenny prend un livre de contes de fée, met une main sur la tête de Beverly caressant avec amour lentement avec tendresse et affection dans ses long cheveux brun et lui lit une histoire.

Curieuse de nature, la fillette n'hésitait jamais à arrêter sa tante pour lui poser des questions, lui demandant pourquoi les évènements se déroulaient ainsi pourquoi il n'y avait pas telle ou telle chose. Elle était même d'autant plus prise par les images des contes que de l'histoire pouvant les admirer pendant des heures… Jenny lui lit incommensurablement trois histoires ou plus, ne se lassant jamais.

Comme Beverly n'est pas encore prête à se coucher, Jenny lui chante des berceuses : "Nous n'irons plus au bois" ; « Le soleil se couche » ; « L'empereur, sa femme et le petit prince » ; « Au clair de la lune » ; « La claire fontaine »…

Mais Beverly en demandait, en voulant toujours plus, tout en baillant voulant lutter contre le sommeil et la fatigue. Ce soir bien particulier, Jenny décida de compter une histoire toute particulière à sa nièce qui n'avait jamais été écrite sur du papier, jamais lue dans un livre pour enfant ; un soir, Jenny raconte une histoire à sa nièce, Beverly : un vieux grand-père, un Roi dirigeant des châteaux et ses sujets de population de plusieurs villages moyenâgeux et l'autre Roi, grand protecteur de la nature et de la forêt, ont établi un traité avec la tribu voisine en construisant un barrage sur leur territoire, la Forêt Enchantée. Cependant, une bataille a lieu et le premier roi décède. Le combat enrage les esprits élémentaires de l'Eau, du Feu, de l'Air et de la Terre. Ils disparaissent et une brume enveloppe la Forêt Enchantée. Le second roi y échappe de justesse grâce à l'aide d'un sauveur inconnu.

Beverly en fut fascinée et quelque peu effrayée craignant que cela arrive dans son lit et tout autour de la maison et y pénétra dans la serrure l'enveloppant... Mais la peur la rendait plus courageuse que jamais et ce dit que ce n'était qu'une vieille légende du grand nord de l'Europe bien plus loin que la Roumanie, en vécu entre la Norvège, la Suède et la Finlande. Donc très loin d'ici, loin.

Jenny lui confia une berceuse qu'on lui chantait tout autant que ces vieilles berceuses à la langue Roumaine. Une berceuse qui parlait de la rivière Ahtohallan, une rivière qui détient toutes les réponses sur le passé et qui connait tous les secrets.

Eveillant ainsi encore plus sa curiosité voulant avec émerveillement entendre tout cela. Lui demanda si elle pouvait la lui chanter.

En l'observant pendant un bon moment, un sourire sur ses lèvres et son regard rempli de fierté, d'affection et de tendresse, Jenny ne s'y opposait pas. On se câline. On se blottit. Et Jenny chante une berceuse :

Par cette chanson, Jenny veut expliquer à Beverly que leur vie à toutes les deux ne va pas changer, elle seront toujours proches l'une de l'autre. Beverly pourra toujours compter sur sa tante pour la soutenir dans les difficultés qu'elle pourrait rencontrées.

Quand le vent frais

Vient danser

La rivière chante

Pour ne pas oublier

Ferme les yeux si tu veux voir

Ton reflet dans ce grand miroir

Dans l'air du soir

Tendre et doux

L'eau claire murmure

Un chemin pour nous

Si tu plonges dans le passé

Prends garde de ne pas t'y noyer

Elle chante pour qui sait écouter

Cette chanson

Magie des flots

Il faut, nos peurs, apprivoiser

Pour trouver

Le secret de l'eau

Quand le reflet vient danser

Une maman rêve toute éveillée

Dors mon enfant, n'aie plus peur

Le passé reste au fond des cœurs

L'analyse et la perception de cette berceuse :

Lorsque le malheur, le regret ainsi que la mélancolie qui nous envahie nous enveloppe tel un voile de tristesse et de pression ; chacun des êtres humains étaient tous différents du moins c'est ce qu'ils croyaient, car personne ne sait jamais quand est-ce que notre drame arrive, et dans quelle circonstance ; comme du brouillard, du vent tel une brise qui est douce ou violente, comme une tempête en continuant sa danse.

La rivière de glace chantait inlassablement, on l'entend et on arrive, toi mon ami de toujours, Je sens déjà mes mains trembler. Mais je n'ai pas peur. Tout semble familier. Comme un chant, un poème appris par cœur.

Je sais, tu es là. Toi mon ami de toujours. Et me voilà, je n'ai pas fait de détour. Tu protèges dans ta forteresse. Tes secrets par milliers. Les rêves les plus fous. Mais pourquoi se cacher ? ce chant ne s'oubliera jamais.

Lorsque l'on cherche un objet ou quand on avance les yeux fermés, les yeux bandés ou comme un aveugle, personne ne peut apprendre sans aide. L'on ferme nos yeux si on veut voir, tel est le christ qui a dit cela, croire sans poser des questions et y répondre. Si l'on veut voir, il faut se laisser vivre, apprendre à connaitre dans un autre monde. Et c'est à cet instant que l'on pourra enfin voir le véritable être que l'on est vraiment, notre désir le plus cher, le plus précieux que l'on a au fond de soi.

Si l'on veut sortir de notre peine, il faut écouter notre cœur qui nous guidera sur le chemin qui nous permettra de sortir de notre mélancolie. Il faut faire attention de ne pas s'écrouler si on replonge dans le passé, car celui-ci est douloureux, on risque de replonger dans nos peines. Il ne faut pas se laisser aller dans le mauvais chemin de la noirceur. En regardant vers l'avenir, on suit le chemin qui nous permettra de reprendre confiance en nous. Le chant de la berceuse nous appelle tant que l'on sait écouter, on peut comprendre où l'on va et on va de l'avant.

Pour réussir à s'en libérer. Il faut apprendre à maitriser nos peurs ces mots d'espoir arrivent en vagues comme des flots. Il faut être en harmonie avec la terre pour découvrir le secret de chaque élément - l'Eau, du Feu, de l'Air et de la Terre-. Pour réussir à apprivoiser l'eau, c'est assez simple quand on met nos doigts dans l'eau on sent la douceur et le moment de paix de pouvoir toucher un des éléments de la vie.

Quand le passé douloureux remonte dans nos pensées, l'amour maternelle vient apaiser ce mauvais moment, grâce à la maman, l'amour maternelle, celle-ci vient entourer notre esprit de douceur qui s'apaise, une maman fait que nos rêves sont deviennent réalité, comme un conte de fée vivant, comme s'il n'y avait aucun problème dans la vie, sans malheur, rêvant des plus belles choses que l'on peut s'imaginer comme si elles étaient réelles et, quant aux enfants, il ne faut pas qu'ils aient peur de dormir, car leur maman les aiment. Ils peuvent s'endormirent calmement car ils n'ont pas de raison d'avoir peur, leur maman est là pour les protéger. Le passé douloureux n'est plus qu'un souvenir qui s'est apaisé.

La voix chantante et mélodieuse de Jenny se tut après que petit à petit, peu à peu, sa voix baissa de manière douce calme et posée. Juste au moment où les notes de musique s'étaient mises d'un côté du piano plus petites, plus faibles, chuchotant à l'oreille, et en plaçant un doux baiser au sommet de la tête de Beverly pour ainsi pouvoir caresser légèrement sa frange.

Le sommeil lent léger.

Quand il est l'heure de s'endormir, les yeux se ferment, la respiration se calme : c'est parti pour la première phase du sommeil, la phase d'endormissement qu'on appelle « sommeil lent léger. On peut avoir l'impression de tomber ou d'avoir des soubresauts et un rien nous réveille. Le sommeil lent léger étant la porte d'entrée du sommeil, il est donc important que cette phase se passe dans les meilleures conditions possibles.

Sommeil lent.

Le sommeil devient plus profond mais il est encore facile de se réveiller, un bruit ou une lumière suffisent.

Le sommeil lent profond.

C'est le moment où l'on est profondément endormi, la respiration et le cœur ont un rythme régulier et le corps ne bouge pas. C'est une phase où il est difficile de se réveiller et le cerveau devient de plus en plus insensible aux stimulations extérieures (bruit, lumière…). C'est le moment du cycle où l'on récupère le plus de la fatigue physique accumulée. Tout l'organisme est au repos et récupère. Sommeil total et intervient particulièrement en début de période de sommeil.

Le sommeil paradoxal.

Il s'agit du moment où nous rêvons le plus. Son nom vient du paradoxe entre les signes d'un sommeil profond (corps totalement relâché, immobile) et les signes d'éveil (activité cérébrale intense et mouvements oculaires rapides). Le rythme cardiaque et la respiration peuvent aussi s'accélérer (en fonction de ce dont nous rêvons).

Le sommeil est composé de stades identiques au cours de la vie mais son organisation varie beaucoup selon l'âge (diminution du sommeil profond et augmentation des éveils avec le vieillissement) et selon les individus, personne, au final par analyse résumé, nous ne sommes pas tous égaux face au sommeil.

La respiration de Beverly se fit de plus en plus profonde et régulière, comme si son cerveau continua à travailler sur la journée et les souvenirs récents. Aucun bruit ne viendrait perturber sa respiration ainsi profitant de ces moments pour se ressourcer et récupérer les journées qu'elle a eu la laissant nager dans les rêves les plus beaux, la laisser voler au-dessus des nuages sans jamais la réveiller en perturbant son cycle et ses étapes de sommeil.

Jenny ressentit en remarquant en bonne observatrice que Beverly s'était endormie très rapidement. Le silence se faisait entendre dans le noir par rien d'autre que la nuit et aucun bruit ne venant perturber cet équilibre et ce moment de calme.

La respiration au souffle chaud qui glissa en ce moment contre la peau du bras nue de Jenny, elle ressentit cette essence, ce sentiment, cette sensation de chaud et d'air, au moment où la jeune femme se redressa en portant sa nièce dans un style nuptial pour la mettre au lit et la couvrit. C'est en bougeant que ce même souffle vient se glisser et se faire sentir également sur la joue.

La déposant au milieu de son matelas et de ses draps, Jenny la reposa délicatement, silencieusement pour ne pas la réveiller, elle la recouvrit d'un drap de lit pour enfin délicatement, la laissant se reposer et dormir sans crainte de la réveiller et de ne plus la faire dormir. Le sommeil lent léger étant la porte d'entrée du sommeil, il est donc important que cette phase se passe dans les meilleures conditions possibles autrement cela devient difficile de se préparer à une nouvelle étape de sommeil surtout chez des jeunes enfants. Ensuite Jenny la borda le mieux du monde, sans jamais la réveiller dans un grand confort en tirant sur les draps, ne laissant pas de mou ; et ainsi dans ces conditions, Beverly dormirait beaucoup mieux et dans de meilleures conditions car le fait est que la fillette n'aimait pas dormir ou n'arrivait pas à trouver le sommeil quand elle n'était pas bordée comme elle le désirait, en aimant sa routine du soir pour l'heure d'aller au lit, aimant être bien emmitouflée dans la chaleur chaude de son lit et ses draps ainsi que sa chambre.

C'était tout, il fallait interagir selon ses vœux et ses souhaits, réagir par étape pour en faire gagner le mieux, le meilleur.

Jenny sortit dans le plus grand silence et le plus discrètement possible vers la porte de la chambre d'enfant. Avec ses doigts, elle appuya sur la poignée de la porte, l'ouvrant délicatement sans grincement. En sortant, Jenny repoussa la porte en prenant grand soin de laisser une ouverture pour que si Beverly faisait un cauchemar elle verrait l'entrebâillement et la lumière du couloir et le reste de la maison sans être effrayée et se sentir beaucoup plus en sécurité.

En rentrant dans sa propre chambre, pour être enfin pendant quelques instants d'une soirée, Jenny désirait être seule et non plus entourée de bruit de conversation, de personne et rester seule, elle avait temps besoin de calme et de solitude. Elle ne se donnait pas la peine ou ressentir le besoin d'allumer sa lumière, la grande et celle qui se trouvait sur sa table nuit.

Elle se dirigea vers la fenêtre et regarda dehors dans la nuit. En baissant son regard vers les arbres, les bustiers et le gazon, près d'un arbre, elle y vue une silhouette. En cet instant, Jenny éprouva une assez étrange sensation.

Elle a vu Spike debout près du même arbre où il avait l'habitude de veiller sur sa maison pendant ses jours si tragiques d'il y a plusieurs années. Il parlait à d'autres vampires, des nouveau-nés ou des minions, en aucun cas sa famille, ce qui faisait une très grande différence, il n'avait jamais vu comment c'était et su, c'était différent pourquoi ? le fait de prendre soin des personnes que l'on aime. Cela ne ressemblait pas à une conversation amicale, surtout quand Spike a soudainement épinglé un minion contre l'arbre. Jenny l'entendit élever la voix, pas assez pour distinguer les mots, mais elle entendit l'angoisse qu'il y avait dedans. Et enfin il transforma en poussière chacun de ses minions par une bagarre et des coups de violence. Jenny pressa sa main contre la vitre, voulant l'appeler. Son cœur s'est affaissé quand elle a vu Spike se détourner et se diriger plus loin se tapissant dans l'ombre de la nuit noire. Elle ne savait pas pourquoi, mais elle voulait qu'il reste. Quand il lui a tenu les mains auparavant, toute l'anxiété s'était dissipée. Maintenant, il était de retour avec une vengeance.

Elle se refusa d'admettre que Spike était de retour à Los Angeles, ou différentes villes de la Californie. Comme cela avait été l'un de ses endroits les plus visités et le meilleur Etat de prédilection et préféré, comme s'il avait besoin de ressentir ce désir d'être ici et non ailleurs comme si sa vie -sa non-vie- était en jeux. Comme son destin était là, sa vie, son envie de vivre dans l'enracinement.

Jenny vit un homme dans le noir. Ses cheveux décolorés en blond platine -décoloré à l'eau de javel- et le long manteau de cuir qu'il porte, sont les deux principaux signes distinctifs de Spike, ont donné au couple Spike-Drusilla un look et une attitude caractéristiques de rebelles, proches du mouvement punk, en s'inspirant à d'autres vampires et apprentissage en tant que vampire, et dans le but de créer un contraste avec la religiosité affichée par le Maître et ses fidèles lors de la première saison. La teinte de cheveux adoptée par Spike (alors que sa couleur naturelle est châtain, comme on le voit dans différents flashbacks) ainsi que sa coiffure lui donne un air de Billy Idol, Spike prétendant d'ailleurs, outre son manteau de cuir qu'il a pris comme trophée sur le corps de Nikki Wood en 1977, sa tenue habituelle comprend souvent une chemise rouge, une paire de jeans délavés noire et des bottes. Une personne que personne ne pouvait oublier et qui aimait être crain, que nous dans le monde aimons voir un côté rebelle et pris en soin de ne pas révéler sa vraie nature... Mais Jenny savait mieux, il était William -Spike-. Qui aimait prendre soin dès personnes féminines qu'il aimait et affectionnait. Que faisait-il d'ailleurs en ces nuits d'été dans une ville ou sévie le crime et qui à juste titre était le foyer de Jenny. Était-ce même réellement une coïncidence ?

Il y avait tellement de secrets et de non-dits, un nombre incalculable…

Jenny... Un prénom doux, un prénom noble, tout comme celui qui serait à l'origine dans plusieurs années d'une princesse de noble famille, prophétisant une fille pas encore née... Anastasia. Kalderash. Et si l'Ancienne, les pouvoirs en place, le ciel ainsi que leur ancêtre l'avait prédit comme la seule d'entre tous avait une héritière elle serait nommée ainsi. Placée dès son plus jeune âge sous la garde et comme mentor par son propre oncle, Enyos, elle ne sait pas qui elle est jusqu'au jour où le pouvoir des Ténèbres apprend son existence et veut la récupérer, surtout Angelus, pour continuer à mouvoir sa vengeance et détruire tout être bohémien pour les punir. Pourquoi ? Car elle a été désignée. Boucles brunes et yeux brun -noir- couleur chocolat elle donnera un héritier à sa famille, à son peuple... comme si cet enfant sera en lien avec Jenny et Angel.

Une prophétie est un message donné par un prophète qui prétend que ce message lui a été communiqué par une divinité. Ces messages impliquent généralement l'inspiration, l'interprétation ou la révélation de la volonté divine concernant le monde dans lequel vit le prophète et les événements à venir.

Il était une fois depuis le début des temps, d'il y a quelques nombreuses années de cela, au commencement de l'aube de la naissance de Jenny ; il y avait toujours eu connaissance de la prophétie, les messages secrets qui écrivaient les destins malgré nous ou lorsque l'on avait confiance et avec qui nous acceptions le destin, l'accepter et l'enveloppement de notre vie quotidienne tout notre vécu.

Elle était reliée dans un lien très fort de puissance magique à une prophétie qui était directement adressée, qui La prophétie autoréalisatrice est un concept de sciences sociales et psychologiques utilisé pour traduire une situation dans laquelle quelqu'un qui prédit ou s'attend à un événement, souvent négatif, modifie ses comportements en fonction de ses croyances, ce qui a pour conséquence de faire advenir la prophétie. Le concept (mais pas la terminologie) est aussi vieux que la notion même de prophétie : c'est par exemple parce qu'Œdipe apprend de l'oracle de Delphes son funeste destin qu'en tentant de lui échapper, alors qu'il ignore qui sont ses véritables parents, il fuit jusqu'à l'endroit exact où celui-ci se réalisera. La notion de prophétie autoréalisatrice a été décrite, à partir du « théorème de Thomas » : « Si les hommes considèrent des situations comme réelles, alors elles le deviennent dans leurs conséquences ». Selon Thomas, les actions individuelles se comprennent au regard de la « définition de la situation » que ceux-ci élaborent avant d'agir. Aussi, peu importe que les individus se trompent, que leurs représentations soient justes ou fausses, car les actions consécutives à une croyance sont identiques que celle-ci soit juste ou fausse. Relient par Jenny dans ses mots, envoyer, transmettre, diriger, recommander, administrer. En faisant en sorte que la jeune femme ne pouvait rien faire pour s'en détacher, se rompre, elle devait vivre avec cette voix en obéissant n'ayant pas de contrôle sur sa vie... Enfin le fait est luttant pour reprendre sa vie en main, et ne voulant et souhaitant en aucun cas qu'on la contrôlerait et que c'était à elle de commander, du mieux qu'elle put en restant indépendante, même si sa vie devait sauver le monde.

L'élue est prête à faire des choses terribles, c'est un fait, mais stupéfiante. Terrible dans quelque chose de mauvais, méchant qui pouvait être pendant un temps tout juste un lapse de temps effrayant et terrifiant si elle faisait en sorte de suivre et d'obéir aux règles des anciens, en communiquant le moindre détail à son oncle, elle était prisonnière sans issue ou presque... A ces propres moyens, petits soient-ils, les efforts simples qui s'emblaient sans importance pouvaient tout changer, peut-être qu'un seul homme mais c'était l'espoir de sauver des vies, et de changer même si c'était impossible et qu'elle aimerait faire changer le monde entier.

Une prophétie peut avoir trait au passé, au présent ou à l'avenir. Quand une personne prophétise, elle dit ou écrit ce que la divinité veut qu'elle sache, pour son propre bien ou pour le bien des autres. La prophétie n'est pas l'apanage des prophètes. Une personne peut recevoir une prophétie ou une révélation pour sa vie privée. La parole oraculaire se présente très souvent, mais pas toujours, sous l'aspect d'une prédiction. En ce sens, on peut considérer comme prophétie prédictive, par exemple, les oracles chaldéens et surtout les oracles sibyllins, notamment ceux de la pythie de Delphes : « Dans le monde préhistorique au moment du début, du commencement de la vie, ils étaient généralement rendus en vers épiques. Les oracles chaldéens contiennent des précisions sur l'expérience prophétique. » Dans un endroit où les oracles des pouvoirs supérieurs sont dans un endroit secret et non révélé aux humains, aux mortels ou êtres-inférieurs.

À côté des prophètes de l'Ancien Testament et des autres religions, il y a des personnages qui sont appelées « prophètes » dans le langage courant et dont leurs visions sur l'avenir ne sont pas à proprement parler des prophéties, mais plutôt des prédictions, des supputations, des conjectures, des maximes ou y ressemblant mais qui ne renvoient pas directement à une entité divine. Ils font alors plutôt appel à l'astrologie ou à des sources mystiques particulières ou à tout autre source ésotérique.

Jenny ne pouvait faire face à ce qui l'attendait dans l'avenir proche ou lointain, qui peut savoir, elle avait besoin d'aide et même si dans son peuple chaque membre du clan lui disait très fortement d'une manière forte et ferme sans discussion et argumentation, elle devait garder ce lourd et dangereux secret -même s'ils en avaient conscience même si Jenny ne le savait pas encore. Les choses, le destin allait la précipiter à agir, et trahir les personnes qui lui sont chères à Sunnydale ou sa famille, ou les combler. Elle devait accomplir l'une ou d'autres prophéties des plus capitales et qui sont liées ; ces prophéties, ces textes de métaphores et paraboles n'étaient pas un hasard, c'était la clé de tout. Sans eux, nous sommes aveugles dans le brouillard, incapable de voir et être perdu dans le néant et nous ne pouvons pas agir en laissant le monde de la terre en enfer. Jenny ne devait pas échouer.

Jenny avait le don d'image et en concevoir en considération en analysant d'une manière de finesse et faisant de la minutie d'une façon calme regardant dans tout son ensemble mesurant le pour et le contre et asseyant de pouvoir voir de manière contrôlée, manière plausible et scientifique remettre chaque chose en quelque sorte à sa place du naturel au surnaturel. Dans ses rêves, il y eu parut des moments et instants, elle en était certaine ou presque d'une façon car elle n'a jamais vécu ces scènes, ses moments de la vie qui s'emblaient si réels, authentiques d'un avenir plausible -comme tout futur chaque personne pouvait choisir le sien, des chemins différents selon nos choix- ou cela pouvait être le passé de quelqu'un qui avait vécu avant elle, mais Jenny restait tout de même septique et très clairement moins vrai véritable par cet exemple, et choisissait donc la première option qui lui semblait naturel tel comme des rêves prophétiques et prémonitoires.

Il était une fois lorsque l'amour était plus fort que tout qui réussissait à nous protéger en nous laissant jamais seule, c'était un acte de bonté et de tout ce qui était beau on pouvait voir la beauté en chacun, ne laissant jamais personne seule. Les prophéties, c'étaient comme un conte de fée, une histoire d'or vivante en paraboles.

Dans ces histoires qui vont suivre et être comptées en évoquant les légendes historiquement inventées dans des songes de contes de fées, de sorcelleries à des aventures héroïques qui s'étaient formées en un grand mystère de chaque personne de l'avenir.

Celui qui a le pouvoir de vaincre Angelus approche... il naîtra de ceux qui l'ont par trois fois défié par des bohémiens, il sera né lorsque l'aube du début le septième mois... et les pouvoirs en place qui veulent faire de lui un champion le marquera comme son égal mais il aura un pouvoir que Angelus ignore, mais pas Angel... et l'un devra mourir de la main de l'autre car aucun d'eux ne peut vivre tant que l'autre survit... Celui qui détient le pouvoir de vaincre le fléau de l'Europe sera né lorsque mourra le premier mois...

Il y avait tellement d'inconnues, de passé, de présent et de l'avenir, qu'elle n'avait jamais pu toutes les mettre en œuvre ou les classer dans un lointain coin de son cerveau de personnes qui avaient besoin d'être sauvées. Jenny devait se rendre à l'évidence, tous ses rêves -qui ressemblaient presque à ceux d'une tueuse, en quelque sorte prémonitoire- ses visions, ses paraboles qui ne faisaient qu'une en essaie de métaphore n'était pas une coïncidence, surtout qu'elle rêvait métaphoriquement en langage imagé de personnes vraiment puissantes et connues de Jenny, leur avenir ou seulement des branches, des brides et également le passé... Mais il y en avait tellement qu'elle ne pouvait pas tout analyser si rapidement en une si courte période. Et elle tenait, elle voulait se concentrer sur Angel et Spike.

Angelus est une personne intéressante. Il a torturé tout le monde, mais surtout celle qui lui a fait se sentir humain. Angel aimait Buffy, il ne s'est jamais arrêté et ne le fera jamais, et c'est un fait. Mais Angelus l'aimait-il ou était-il simplement obsédé par elle ? Il l'aimait. Mais cela l'a mis sur écoute. Elle savait à quel point Angel l'aimait, et ce sentiment était toujours en lui. Il a essayé de le combattre, il a essayé de la blesser, mais il n'a pas pu. Ou il ne voulait pas. Il l'aimait tellement que ce sentiment l'a rendu fou. Il était tellement obsédé par la destruction de ce sentiment, et ce sentiment grandissait à l'intérieur de lui chaque fois qu'il la touchait à nouveau. Angel aimait Buffy d'un amour sincère, vrai. Alors qu'avec Darla, cet amour était destructeur, néfaste. En fait, Angelus et Darla aimait la cruauté, la férocité, la méchanceté, le sadisme de l'autre. Ils avaient une relation malsaine.

Un amusement de blague récurrente est qu'Angel semblait avoir une préférence pour les petites femmes blondes, car la majorité de ses intérêts amoureux étaient des blondes à l'exception de Cordélia (qui avait des reflets blonds à un moment donné) et Rebecca Lowell. La vie amoureuse d'Angel n'avait jamais été très active, à l'origine parce qu'il avait une réticence à se rapprocher de quelqu'un et peut-être perdre son âme. Cependant, il a finalement réalisé qu'il pouvait avoir des « relations sexuelles positives » grâce à sa relation avec Darla.

Darla, le vampire qui a transformé Liam en Angelus et Darla ont été amants pendant plus d'un siècle, Darla quittant même le Maître pour vivre avec son « cher garçon ». En tant qu'Angelus, il aimait la cruauté et l'imprévisibilité de Darla, causant la destruction et d'innombrables morts dans leur sillage. Cependant, ni Darla, ni Angelus n'avaient de véritable loyauté l'un envers l'autre, car ils laissaient souvent l'autre mourir à de nombreuses reprises si cela pouvait sauver l'autre. Leur romance tordue et malsaine a continué jusqu'à ce qu'Angelus soit maudit avec une âme par le clan Kalderash. Darla était dégoûtée de lui et a mis fin à leur relation après avoir menacé de le tuer. Perdu et confus, Angel avait à l'origine cherché à regagner ses bonnes grâces puisqu'elle était tout ce qu'il n'avait jamais connu, mais ne pouvait plus trouver en lui le moyen de tuer des innocents. Il n'avait tué que des voleurs et des criminels moralement mauvais, repoussant complètement Darla avec sa sympathie pour l'humanité.

Angel est devenu de plus en plus obsédé par Darla, dessinant plusieurs croquis d'elle dans sa chambre pendant sa couvaison. Comme il l'avait prédit, Darla a commencé à ressentir le fardeau de son âme et n'a pas pu accepter son horrible passé.

Angelus tourmenta l'humaine Drusilla l'éleva et la garda comme compagne par la suite, la considérant comme sa plus grande œuvre. Angelus a continué à être intime avec elle après qu'elle ait engendré Spike comme compagnon afin de jouer avec l'esprit du nouveau vampire. Les deux semblent avoir repris une relation sexuelle après qu'Angel ait été maudit d'une âme en 1898...

Il était une fois un vampire, c'était le plus méchant vampire de tout le pays. Même les autres vampires avaient peur de lui tant il était...brutal, mais il a été damné par des bohémiens. Ils lui ont donné une âme humaine, ce qui fit qu'il se mit à culpabiliser : « Mon Dieu, qu'est-ce que j'ai fait ? », « Ça y est, c'est la panique ». Donc, à ce moment-là, on fait entrer la Fille. Une ravissante petite blonde, ennemie des vampires par tradition. Et là, notre vampire tombe fou amoureux d'elle. Elle n'est pas insensible à son charme non plus et ils se fondent l'un dans l'autre. Mais au moment où... disons où ils atteignent le bonheur parfait et absolu, notre héros sent son instinct se réveiller et il redevient le tueur qu'il était, c'est affreux. Alors quand son âme lui est rendue à nouveau, il se dit qu'il ne peut pas rester avec sa poupée d'amour s'il ne veut pas la mettre en danger, et que fait-il ? Il fuit, il va à Los Angeles pour combattre le mal et s'absoudre de ses crimes.

Angel est un des vampires les plus célèbres de son histoire. Le plus inquiétant, le plus mauvais et dangereux qui soit.

Angel s'appelait à l'origine « Liam ». Il avait une jeune sœur, Kathy, et fut élevé dans la religion chrétienne par son père, un riche marchand de soie et de lin, et sa mère. Avec le temps, Liam est devenu une honte et une déception pour son père, un vaurien qui passait le plus clair de son temps à se saouler, à courir après les prostituées et à se battre dans les tavernes. Il rêvait de connaître une fille qui soit "intéressante" et "passionnante", contrairement aux femmes nobles qu'il trouvait "stupides".

À peine sorti, Liam s'est nourrit du gardien du cimetière, quand ce dernier l'avait pris pour un profanateur de tombes. Alors rempli d'une sensation qu'il n'avait jamais ressentie de son vivant, Liam s'est mis à tuer toute la population de son village avant de finalement retourner chez lui. C'est sa sœur, Kathy, qui lui ouvrit et qui le laissa entrer après avoir cru que son frère était revenu sous l'apparence d'un ange. Une fois passé la porte, Liam tua sa sœur et sa mère. Après cela, il se confronta à son père et le tua après avoir déclaré que sa nouvelle condition de vie lui avait enfin permis de devenir « quelqu'un ».

Alors qu'il pensait avoir pris sa revanche sur son père, Darla lui a alors ouvert les yeux en disant que la déception que son père ressentait pour lui ne cessera jamais de le poursuivre et qu'il n'aurait alors jamais approuvé son acte. Depuis ce jour, Liam prit alors « Angelus » comme nouvelle identité avant de devenir un des plus monstrueux vampires n'ayant jamais existé dans l'Histoire, il sera surnommé « Celui au visage d'ange » ou encore « Le démon avec un visage d'ange ».

Angel était l'un des vampires les plus connus de toute l'histoire vampirique, légendaire à la fois pour sa méchanceté sauvage et son grand héroïsme, prenant le nom d'Angelus, et a été surnommé le Fléau de l'Europe, gagnant la notoriété pour être l'un des vampires les plus sadiques et brutaux de l'histoire.

Angelus est un vieux nom... un nom très détesté... Cela peut surprendre, mais même les vampires ont des normes, même dépourvu d'âme. Et beaucoup d'actes d'Angelus ont dégoûté même son propre genre. La raison. Même les vampires ont des règles. Certains qui ne devraient jamais être brisés. L'un d'entre eux tue et transforme des enfants. Il a laissé cela couler pendant un moment. Angelus, les a toujours aimés jeunes.

Quand il était dehors en train de torturer et de violer ; Mais... la seule autre femme qui était adolescente quand il a commencé à s'en prendre à elle était Dru. Il l'a traquée pendant des mois, peut-être des années, je ne sais pas vraiment mais... après qu'il l'ait finalement rendue folle, il l'a retournée en l'engendrant.

Angelus serait devenu un psychopathe dépourvu d'humanité à la vue de la souffrance des autres, et dont les seules préoccupations seraient de devenir tout-puissant et immortel. Il maltraite et tue d'autres personnages juste pour le plaisir. Il est dépourvu de conscience, ne ressent aucun remord et n'attribue aucune valeur à la vie, hormis à la sienne. Il ne ressent pas le besoin d'être accompagné, ni aimé, et ne peut comprendre ce sentiment éveillé chez un autre.

S'il y a une chose que Angelus est incapable de comprendre, c'est l'amour. Il ne s'est jamais rendu compte qu'un amour aussi fort que celui que ta mère avait pour toi laisse sa marque. Toucher quelqu'un qui a été marqué par quelque chose d'aussi beau ne pouvait susciter en lui que de la souffrance. Angelus se pense supérieur aux autres au point de se référer souvent à lui-même à la troisième personne du singulier, comme "Angel". Si Angelus regardait dans le miroir magique (qui montre le désir le plus profond d'une personne), il s'y verrait lui-même, tout-puissant et éternel et mortellement puissant et immortel.

La conception d'Angel -Liam- (par l'influence du pouvoir des faiblesses mortelles - le pouvoir pervers des hommes qui régnait à l'époque, l'obéissance, l'autorité du pouvoir de l'homme à faire obéir la femme) est liée à son incapacité à comprendre l'amour :

Il s'agit d'une manière symbolique de montrer qu'il est venu d'une union sans amour - mais bien sûr, tout aurait changé si Kathy avait survécu et l'avait aimé. L'enchantement sous lequel Liam a engendré Angelus est important car il montre la coercition, et il ne peut y avoir de nombreuses façons plus préjudiciables à entrer dans le monde que comme le résultat d'une telle union.

La différence fondamentale entre Jenny, Buffy et Angel est que Buffy et Jenny acceptent la mort et deviennent par conséquent plus fortes que leur ennemi. Elles ajoutent avoir volontairement précisé le fait que Jenny avait été formidablement aimée au tout début de sa vie, ce qui lui aurait assuré une protection, dans le sens où son cerveau se serait « développé différemment » de celui d'Angel, qui lui, a été placé dans une espèce de mauvaise condition psychologique dans un milieu social assez pauvre d'Irlande au milieu d'un petit village de la côte de Galway dès sa naissance.

« Avoir été aimé si profondément te donne à jamais une protection contre les autres, même lorsque la personne qui a manifesté cet amour n'est plus là. Cet amour reste présent dans ta chair. » Citation de Dumbledore « Tu crois donc que les morts que nous avons aimés nous quittent vraiment ? Tu crois que nous ne nous souvenons pas d'eux plus clairement que lorsque nous sommes dans la détresse ? »

Notre histoire de conte commença par de la noirceur, du drame et la peur de l'angoisse, du personnage qui avait pour nom, Angélus, un nom qui entraina, créant la naissance de faiblesse, la peur et la terreur de la chose elle-même. Créant la confusion dans les esprits, de frayeur, de crainte, épouvante... Mais il ne fallait pas faire gagner la peur même du maitre, il ne faut pas laisser la peur nous envahir la laisser prendre du pouvoir, envahir notre vie. Nomme toujours les choses par leur nom. La peur d'un nom ne fait qu'accroître la peur de la chose elle-même.

Dans sa jeunesse, sa jeune vie de petit garçon, en plein milieu de l'aube de sa vie, à la fleur de l'âge, Liam était de grande taille, pâle, aux cheveux noirs, beau garçon, avec les joues creuses et des yeux noirs. La création progressive de sa vie d'immortel en vampire de ses victimes de cruauté, de torture a considérablement modifié son comportement extrêmement entre son être de lui humain et celui de l'Angel avec son âme, au point que peu de gens ont été terrifiés faisant dès l'instant où il se leva en tant que vampire et pensant tout de suite à la magie noire de Satan et de surnaturel mettant en avant la fin du monde, la fin des temps, reconnu son identité lorsqu'il est apparu sous le nom de Angélus, un nom de peur. Au fils du temps, son apparence physique changea, de ses cheveux et de ses vêtements vestimentaires au final de chaque changement de mode. Angel avait plutôt tendance à être réservé, mystérieusement timide, d'un beau ténébreux et était souvent considéré comme plus blessé et tendu, par opposition aux autres membres de la bande des amis de Buffy, mais en présence de Buffy, il faisait des efforts pour paraitre moins renfermé et tenait toujours leur relation secrète ; son trait le plus important et le plus moqué était sa tendance à être trop sombre et couvrir, en préservant Buffy pour ne pas qu'elle se blesse. Avant, il passait une grande partie de son temps seul et ne s'ouvrait jamais aux amis ou aux alliés, à l'exception de Buffy dans une certaine mesure, bien qu'il gardât le silence sur son passé devant elle, car il sentait que cela la répugnerait. Les péchés qu'il a commis lorsqu'il était sans âme, étaient constamment au fond de son esprit, à un point tel qu'il sentait pendant très longtemps qu'il ne méritait ni le bonheur, ni la joie, ni la rédemption. Angel était assez autodestructeur et avait souvent de longues périodes de doute, de dépression et de regret. Il sentait toujours qu'il était loin de mériter la félicité, mais travaillait beaucoup pour faire ses preuves auprès de ses pairs et des Pouvoirs en place. Pourtant, pendant longtemps, il a cru qu'il était une cause perdue. Angel était également détaché de la réalité et n'a pas trouvé beaucoup de choses dans sa vie qu'il pouvait attendre avec impatience. Contrairement aux humains, qui grandissent et apprennent en vieillissant, Angel était figé dans le temps.

Il était obsédé pour son destin ; il suivait presque toutes les routes métaphoriques s'il croyait que cela pourrait aider les gens (en particulier Buffy ou lui-même) à réaliser ce à quoi ils étaient destinés. Pour cette raison, il prendrait facilement de dangereuses décisions. Cela a été rendu plus évident quand il s'est laissé manipuler par Twilight pour ce qu'il croyait être le plus grand bien. Angel était quelqu'un de calme et privé. Il avait tendance à garder un visage stoïque, impassible, flegmatique et courageux. Ce trait de personnalité a en partie contribué à sa haine établie pour les partis, préférant soit ne pas en être un, soit rester sur la touche s'il le fallait. Malgré cela, il a lancé des railleries et des insultes à ses ennemis ou simplement à ceux qu'il n'aimait vraiment pas. Angel possédait également un sens de l'humour malgré sa personnalité sérieuse, généralement sous la forme de sombres sarcasmes. Il était aussi très gêné et s'inquiétait très souvent de ce que les autres pouvaient penser de lui.

Il faut beaucoup de bravoure pour faire face à ses ennemis mais il n'en faut pas moins pour affronter ces amis.

Il croyait qu'il avait peu de talent avec les mots, à s'exprimer et n'aimait pas parler en public. En termes simples, Angel avait du mal à faire confiance aux autres, et il lui a fallu beaucoup de temps pour se sentir à l'aise avec ses compagnons. Finalement, Angel est devenu plus à l'aise avec lui-même et l'interaction sociale.

Angel considère le mal comme un art et a créé des « chefs-d'œuvre » à partir de personnes à travers une torture physique et émotionnelle intense, comme l'exemple de Drusilla. Dans une conversation avec Spike sur la nature du bien et du mal, Angel a déclaré : « Je ne pouvais pas quitter les yeux [mes victimes]. Je n'étais là que pour le mal. C'était tout pour moi. C'était de l'art... La destruction d'un être humain. »

Angel était aussi un très bon dessinateur et possédait une mémoire photographique qu'il utilisait à son avantage. L'appréciation d'Angel pour les arts et le théâtre s'est manifestée par un goût pour les ballets même quand il était mauvais. Il admettra aussi un jour un intérêt pour les mystères et le travail de détective... Angel a souvent adopté une attitude qui contrôle les gens, en particulier ceux dont il était le plus proche. Cependant, cela a également fait de lui un leader naturel envers les autres. Il a toujours été l'un des premiers à trouver des idées et a généralement pris des décisions rapides et efficaces.

Il souffre en réalité d'une peur profonde de la mort, qu'il considère comme une faiblesse humaine honteuse et ignominieuse. Selon des termes psychologiques, psychiatriques en spécialité surnaturelle, magique, le démon le verrait en sa plus grande peur serait son propre cadavre.

Ce sont nos choix, pour Angel, Jenny et Buffy, qui montrent ce que nous sommes vraiment, beaucoup plus que nos aptitudes. Les conséquences de nos actions sont toujours si complexes, si diverses, que prévoir l'avenir est une entreprise bien difficile. Citation de Dumbledore.

La licorne est un animal sauvage ressemblant à un cheval et sur son front à l'âge adulte apparaît une corne. Elle est généralement blanche avec le crin et la corne argentés.

La classification du conseil des observateurs comme le monde de la sorcellerie n'est pas liée à une quelconque agressivité mais signifie que les licornes doivent être traitées avec un très grand respect.

Le galop de la licorne est si rapide et si léger qu'il est très difficile de la capturer. C'était une créature, un être vivant d'une grande beauté légendaire dans le monde de la sorcellerie et les plans démoniaques. La licorne est une créature timide qui évite généralement le contact avec les humains mais se laissera plus facilement approcher par une sorcière que par un sorcier. Les sortilèges lancés près d'elle risquent de l'effrayer.

Le petit est plus facile à repérer que l'adulte et est plus confiant. Le poulain a tout d'abord une couleur d'or pur. Vers deux ans, il prend une couleur argentée et vers quatre ans, il lui pousse une corne. La licorne ne devient complètement blanche qu'à l'âge adulte, aux environs de sept ans.

Tuer une licorne est une chose monstrueuse. Pour commettre un tel crime il faut n'avoir rien à perdre et tout à gagner. Le sang de licorne permet de survivre, même si on est sur le point de mourir, mais à un prix terrible. Car il faut tuer un être pur et sans défense pour sauver sa propre vie. Et dès l'instant où les lèvres touchent le sang, ce n'est plus qu'une demi-vie, une vie maudite.

C'est de la mort que Angel avait peur de se faire tuer, d'être détruit et transformé en poussière. L'immortalité était quelque chose dans son âme qui l'obsédait, obsessionnel, et soucieux que son démon s'en délecte… L'Angel sans âme celui cruel, démoniaque et terrifiant qui en parlait dans des moments effrayant ne croyant en rien d'autre que la douleur, les jeux d'esprits, lire dans les pensées, la manipulation -physique et psychologique- ainsi que beaucoup d'autres déviations d'ombre, d'obscurité… Qu'il vivait sans amour.

Spike (né William Pratt) surnommé, prénommé William le sanguinaire, était un vampire célèbre et très redouté devenu célèbre vers la fin du XIXème siècle dès ses premières années en tant que nouveau-né vampire. Il était bien connu des humains et des démons pour avoir affronté et tué deux Tueurs au cours de sa vie -enregistrée dans les archives du conseil des observateurs et dont une qu'on soupçonnait avoir tué durant la seconde guerre mondiale, ainsi que pour son histoire de torture de ses victimes avec des crampons à pointes de chemin de fer. Sa réputation de mal et d'effusion de sang était la deuxième après celle de son grand-père -grand-sieur- Angelus. Dans sa vie humaine, William était un poète romantique infructueux et peu apprécié, connu sous le nom de William le Sanglant, pour sa poésie « qui faisait saigner les oreilles », bien qu'après être devenu un vampire, ce surnom ait été réutilisé pour démontrer qu'il était très violent. Après avoir été engendré par Drusilla, il s'est réinventé et a terrorisé l'Europe aux côtés de Drusilla, Angel et Darla tout au long jusqu'à la division destruction du fléau au complet de fléau d'Europe.

Spike avait un look punk qui ressemble fortement à celui du musicien de rock anglais Billy Idol. Ses cheveux étaient blond platine et peignés en arrière, bien qu'auparavant ils aient été d'un brun moyen naturel (non coiffé) Spike a reçu une cicatrice sur son sourcil de l'épée de la Tueuse qu'il a tuée au début de la première année du XXème siècle. Ses ongles étaient souvent peints en noir. Spike portait généralement un long manteau de cuir, un duster en cuir noir ; son dépoussiéreur en cuir signature était celui qu'il avait pris comme trophée à Nikki Wood, la deuxième Tueuse qu'il a assassinée. Il a porté le long manteau de cuir noir de la tueuse pendant plus de vingt-cinq ans.

L'un des traits les plus notables de Spike était sa soif de violence et sa passion de la bagarre. Peu de temps après son retourné -transformer en vampire-, il est devenu un amateur de sensations fortes, mais contrairement à Angelus, il aimait s'engager dans des batailles de vie ou de mort et est devenu un maniaque du combat contre les Tueurs. Il a noté qu'il trouvait l'acte de violence assez thérapeutique : il a, une fois, répondu à l'incompétence d'un domestique en craquant le cou d'un otage qu'il considérait « trop vieux pour manger » et a exprimé qu'il se sentait mieux par la suite. De même, alors qu'il épinglait Drusilla, il a observé que le fait de montrer son agressivité en jalonnant, en poignardant, en enfonçant un pieu dans le cœur des vampires, « mettait les choses en perspective pour lui. » Comme il n'y a jamais été pour le plaisir d'être mauvais, Spike a montré une quantité considérable de flexibilité contrairement à la plupart des vampires quand il s'agissait des morales opposées. Il éprouvait toujours du plaisir à la destruction et parlait de tuer des gens avec tendresse, avec légèreté ou avec désinvolture.

William Pratt était doux, tendre, affectueux et souvent vulnérable aux brutes et aux hommes qui le harcelaient publiquement, psychologiquement et mentalement d'une façon brutale et presque cruelle. Le monde des humains ne voulant et ne souhaitant pas de vie, le rejetait sans arrêt presque avec acharnement, il était trop bon pour une vie si hypocrite, si frivole, ne respectant pas les règles de bien séance en se contredisant sans arrêt même s'il avait toujours le dernier mot, et qui possédait un cœur rempli d'amour qui n'attendait qu'à le rendre, le donner et recevoir de l'attention et d'un amour réciproque. N'acquis et vivant à Londres, Angleterre d'Anne Pratt. Sa mère lui a souvent chanté la chanson folklorique anglaise "Early One Morning" tout au long de son enfance et de sa jeunesse adolescente. En 1880, William était devenu un gentleman sentimental qui vivait seul avec sa mère malade. C'était un poète qui luttait pour se faire une place dans la société londonienne. William a toujours été un petit garçon attachant et adorable. Et il deviendrait tout le contraire d'Angelus -Liam- Spike avait les cheveux châtain clair presque blond en changeant de coiffure, fin des années soixante et presque au début des années soixante-dix, et que Angel avait les cheveux bruns presque noir aussi ténébreux, mystérieux et cruel. Aussi plus miséricordieux, plus humble, plus humain et sensible et combattu, aimant les défis en ne se montrant pas aussi tueur de masses, aimant les combats d'égal à égal, que ce soit démon ou Tueuse et humains, et qu'Angelus pouvait commettre des génocides, en montrant ces pires manipulations, son propre génie à faire le mal, comme une phrase qui dit « plus d'hommes, plus de problèmes »... Spike n'aimait pas le plaisir de tuer juste pour tuer, il aimait se battre à la loyale comme des duels alors qu'Angelus était tout le contraire ; comme si Angelus était l'étoile polaire de Spike, qu'il était à l'opposé de l'est à l'ouest.

L'étoile polaire, provenant du nord lorsque l'hiver arrive, était mordant, atroce comme température alors que le soleil, à l'opposé était très loin de cette étoile, était vers le sud comme le printemps étreignant en enveloppant la douce température.

Le soleil était lumineux, brillant de mille feux, plus fort que les côtés sombres de la nuit symboliquement plus fort que la mort, quand Dieu fait lever le soleil, c'est pour tout le monde, affection de gendre, soleil d'hiver. La poésie est le soleil qui ruisselle à travers les mailles du matin. Celui se sauve du soleil, aura toujours froid. Bien des choses sont sur pied avant le soleil levé. Si le soleil entre dans la maison, il est un peu dans votre cœur. Dans sa tête quelques semaines, quelques mois avant que Drusilla rencontre et soit emmenée sur son chemin une nuit, elle faisait des rêves de prémonition concernant le potentiel fort de William, un guerrier puissant, avec de l'amour dans le cœur. Il était une fois un beau jeune homme dans la fleur de l'âge, bien portant et fragile avec du soleil dans son cœur. La vie et la lumière qu'il détenait en elles étaient suffisantes pour éradiquer toute trace d'obscurité – et bien qu'il ne le reconnût pas lui-même, il avait la capacité de ramener la lumière dans le monde, grâce à son amour, sa différence des autres vampires n'étant plus le même -faisant face mais refusant de se prouver qu'il n'était qu'un homme et allait à l'encontre de sa nature. Une erreur, faute atrocité pour leur famille et démon.

Oh, bien sûr, elle le voyait son potentiel et tenait à l'avoir comme compagnon le marquant comme son égal comme il le méritait en l'engendrant. Un homme entouré d'imbéciles qui ne peuvent pas voir sa force, sa vision, sa gloire... Sa richesse se trouve ici... Et ici. Dans l'esprit et... imagination. Il marchait dans des mondes que les autres ne peuvent pas commencer à imaginer. On ne parle pas de la cave. Les gens dans la cave sont descendus facilement. On parle de soi-même. Personne n'a jamais rencontré le vrai soi. Les personnes qu'il affectionnait, chérissait, en rencontrant sur des routes de sa non-vie.

William a commencé une nouvelle existence avec Drusilla. Euphorique avec ses nouvelles capacités vampiriques, il a abandonné l'hypocrisie et la morale de la vie victorienne tout en restant émotionnellement sensible. Au début, William idolâtrait Angelus, mais était toujours en désaccord quand il insulta Drusilla en sa présence. Il préférait la considérer comme une enfantine plutôt que comme une folle, et la traitait avec une loyauté éternelle.

Après avoir marché sur Angelus en train d'avoir des relations sexuelles avec elle, il a de nouveau été privé de son désir de sa romance idéalisée. Conscient qu'Angelus n'avait couché avec Drusilla que pour le blesser et le désensibiliser après avoir pris conscience de l'étendue de son engouement pour elle, William déclara à son grand-père que Drusilla était son « destin ». Angelus se moquait ouvertement de la vision romantique de William sur la vie et expliquait que, dans le monde d'un vampire, des choses telles que « mériter » et « appartenir » n'avaient plus d'importance – en tant que vampire, William pouvait prendre tout ce qu'il désirait, mais ne jamais vraiment rien avoir. Cet incident a provoqué le début d'une rivalité qui se poursuivrait à travers les vies de William et Angelus.

Drusilla a toujours pu ressentir des prédilections, les vivre en réussissant à les déjouer ou les canaliser en y voyant l'avenir, elle était dotée de prémonitions, d'instincts intuitifs. Elle savait que le soleil veillait sur son prince sombre, noir des ténèbres. Elle fut reconnue par le vampire Darla pour ses dons prophétiques ; elle n'était pas seulement pure, douce et chaste, mais possédait l'étrange capacité de prévoir l'avenir. Darla présenta Drusilla à son amant, l'impitoyable Angelus, qui devint instantanément obsédé par la jeune femme. Il souhaitait non seulement la détruire physiquement, mais aussi empoisonner son esprit, car lui et Darla étaient tous deux capables de sentir qu'elle avait le potentiel de la sainteté. Le soleil fut toujours sur la route mais dans des manières, des façons très rares et imprévisibles, elle a su qu'avec la gitane, Serena, Drusilla n'avait rien à craindre d'être laissée abandonnée mortellement touchée par la lumière de bonté... Elle lui permit, offrant sa bénédiction, de lui donner une vie presque humaine et normale ; tout ceci avant que Darla et Angélus ne la tuent.

Une prophétie très étrange venue des étoiles et du ciel, quelques mois pendant Prague, elle chuchotât à son beau William sous forme d'énigme, de parabole magnétique : « Mon prince est baigné de soleil, ça va le transformer en cendres. Il n'aura pas mon prince, elle a eu mon papa, il n'aura pas mon prince. »

Dans une totale métaphore qui commença dans notre histoire, il était une fois, il y a longtemps, dans un univers merveilleux fantastiquement magnifique comme tel un conte de fée qui avait dans une vieille histoire de faire comme dans un rêve réaliste du quotidien, tout se mélangeait dans l'esprit de Spike, tout ceci était comme un mélange de la réalité ou d'autres choses qu'on ne pouvait pas prédire ni savoir si c'était dans l'imagination et des choses déjà produites, mais c'était la chose dont on était sûr, c'était comme une image dans son esprit qui n'était pas fausse ; des rêves qui furent comme étant des beaux rêves agréables ou à des rêves transformés en mauvais cauchemars. C'était l'opposé dans chaque opposition longue et grande.

Tout commença en recommence encore et encore, il n'y avait plus aucune place au doute alors c'était un rêve de la réalité, sa réalité, comme un songe des images qui prouvaient que c'était des définitions qui dessinaient en fantasme chimère parlant en parabole en comparaison de récit imagerie image -comparaison symbolique- devenant des histoires des rêves de résurrection réussite ce qui était nouveau car rien ne pouvait être si imagé en symbolique. Réincarnation. Rénovation.

Dans les premières phases de nombreuses analyses, les rêves de certains patients annoncent le cours futur de la cure. Ces rêves contiennent non seulement un récit condensé de la relation transférentielle, mais aussi celui que l'analyse va révéler peu à peu. Bien que l'analyste puisse avoir conscience de l'importance cruciale de tels rêves, ce n'est que rétrospectivement, à un stade ultérieur du traitement, qu'il lui devient possible de mieux les comprendre. De plus, le récit du rêve communique une expérience spécifique que l'analyste ressent dans le contre-transfert mais qu'il ne comprend que lentement avec le développement de l'analyse. Le travail analytique consiste à modifier le développement que ces rêves anticipent et à faire en sorte que quelque chose change dans la " prédiction ". Un rêve lucide est un rêve durant lequel le rêveur a conscience d'être en train de rêver. L'utilisation de l'adjectif « lucide » en tant que synonyme de "conscient". La plupart des rêves lucides ont lieu durant la phase de sommeil paradoxal. Ils peuvent survenir fortuitement ou résulter d'un apprentissage. Se savoir en train de rêver offre au rêveur la possibilité d'exercer un contrôle délibéré non seulement sur ses actions mais sur le contenu du rêve et sur son déroulement.

Au cours du rêve. Lorsque la lucidité apparaît au cours d'un rêve, le rêveur a soudain l'impression de s'éveiller et il peut continuer de rêver tout en sachant qu'il rêve. Celia Green distingue quatre facteurs qui induisent cette reconnaissance de l'état de rêve : les tensions d'une situation cauchemardesque, effrayante, terrifiante, les interrogations suscitées par un élément absurde ou irrationnel dans le contenu du rêve, le rappel d'une technique habituelle d'observation analytique ou encore la reconnaissance spontanée, sans raison apparente, du fait que l'expérience diffère de celles de l'état éveillé. Concernant le premier facteur, Bouchet remarque que, si les émotions violentes sont considérées comme une cause fréquente d'apparition de la lucidité, celle-ci peut tout aussi bien être provoquée par une émotion forte à signification agréable. Il arrive enfin plus rarement que la lucidité imaginaire se manifeste de manière graduelle.

Et ce n'est qu'un avenir après tout, on a entendu parler des autoroutes, et bien le temps est comme l'une de ces autoroutes, sans fin, avec un nombre infini de voies, qui vont toute du passé vers l'avenir, par conséquent si un conducteur décide de changer de voie, il peut changer son avenir si l'on quitte une pièce maintenant on peut être tué accidentellement, et si par hasard on la quitte une minute plus tard, on est épargné. C'est un choix aveugle mais l'on peut changer de voie. Notre vie est comme une autoroute avec différents chemins, c'est la vie notre choix, on peut changer différents avenirs s'il y en a ; il peut être possible d'avoir plusieurs avenirs. Oui. Toute connaissance est un bien, ce n'est que la façon dont on s'en sert qui fait le bien ou le mal.

Première interprétation du rêve d'autoroute :

J'ai rêvé d'une autoroute. Quelle est la symbolique de rêver d'autoroute ? L'autoroute incarne d'abord vos projets, qu'ils soient grands ou petits, ils provoqueront des changements considérables dans votre vie et celle de votre entourage proche. Rêver d'autoroute, rouler sur une autoroute, en rêve, annonce que vous allez évoluer d'une façon positive sur tous les plans, matériels, spirituels... Rêver d'une voiture qui roule bien sur une autoroute, prédit une meilleure fortune et un meilleur travail. Le rêve de conduire une voiture sur une autoroute à grande vitesse, est le signe que vous vivez une vie exagérée. Faire le rêve de ne pas trouver de sortie d'autoroute, peut figurer un mécontentement potentiel à cause d'une vie immuable ou d'une vie occupée et vertigineuse.

Le rêve d'être sur une autoroute, seul et dans le noir, indique que dans l'avenir votre chance sera faible. Rêver de marcher sur une autoroute, signifie qu'il y a de fortes chances que la relation avec l'adversaire soit interrompue.

Des autoroutes qui se croisent dans un échangeur en rêve, signifie que vous êtes maintenant à un tournant de votre vie. Le rêve d'un péage sur une autoroute, apparaît quand vous avez des problèmes d'argent ou quand vous n'avez pas ce que vous voulez.

Avoir un accident est souvent un signal d'alarme pour le rêveur et la rêveuse... L'accident lui-même est de nature à indiquer ce qui est en question. S'il s'agit par exemple d'un rêve de voiture alors que le rêveur ou la rêveuse est au volant, cela montre que l'on veut aller trop vite dans une situation donnée.

Rêver d'une aire d'autoroute ; le rêve d'aire d'autoroute, indique que vous avez besoin de détente, car une aire de service est un endroit où vous pouvez vous reposer sur l'autoroute. Rêver d'être sur une aire d'autoroute est la preuve que vous êtes épuisé à la fois physiquement et moralement, psychologiquement, alors soyez prudent. S'arrêter sur une aire d'autoroute en rêve, semble indiquer que vous avez besoin de réfléchir dans une activité de la vraie vie réelle, la vie réelle.

Comme dans l'intérieur d'un immense trou noir, sans lumière, sans luminosité pour la clarté apaisée, dans du bleu nuit noire très sombre et foncée, il y avait une étrange poudre de brouillard blanc flottant très épais et impossible à suivre qui regroupait tout le rêve ; il y avait également aussi de nombreuses portes difficiles de s'en approcher.

Il était à la croisée des chemins en route, en avant jusqu'au bout du monde ; Spike est un vampire très clairvoyant et émotionnellement intelligent, ce qui contraste fortement avec son attitude tapageuse de « diable-peut-être- care ». En tant que vampire sans âme, sa personnalité de base est restée intacte mais moins refoulée, montrant la capacité de passion et d'affection profonde, de loyauté et d'appréciation esthétique. Plus tard, après avoir retrouvé son âme, sa conscience est revenue sans ses anciennes inhibitions, laissant sa passion d'une « bonne bagarre » intact, sans excuse. De même, la joie de vivre intense de Spike (passion pour l'art, pour l'antiquité et pour la poésie, amour de la vie, dévouement à des personnes particulières) reste constante. Le romantisme classique de Spike se manifeste également dans ses fréquentes références à la poésie, aux chansons et à la littérature ; à l'occasion, il est même poétique sur la nature de l'amour, de la vie comme étant motivés par le sang, pensant que le sang est plus puissant que toute force surnaturelle parce que c'est ce qui sépare les vivants des morts. Souvent, le pouvoir des passions de Spike l'emporte sur ses limites physiques. Sa tolérance à la douleur, en particulier, est exceptionnellement élevée en raison de sa volonté de ne pas tenir compte de l'inconfort physique en faveur de ses objectifs, de ses attachements interpersonnels et de son défi général à toute limitation. En ce qui concerne sa nature provocante, il traite souvent sa vulnérabilité au soleil comme un simple inconvénient gênant. Il conduit en plein jour dans des véhicules aux vitres camouflées (écoutant souvent du Punk Rock sur l'autoradio), et à plusieurs reprises, il se déplace à l'extérieur pendant la journée en utilisant seulement une couverture pour se couvrir afin d'éviter de bruler.

Depuis qu'il est transformé en vampire, le trait de personnalité de spike, à savoir la loyauté, a parfois été en contradiction avec son ressentiment d'être contrôlé. Bien qu'il préfère se présenter comme un rebelle contre toute forme d'autorité, il reconnaît que sa dévotion a permis aux autres de le manipuler et, parfois, de se fixer des limites auto-imposées pour le bien des autres…

Se posant toujours les mêmes questions qui se demandait en démêlant les fils de laine de la pelote et les regrouper. A savoir s'il devait réellement de façon, de manière extrême être un démon dans l'âme, le corps, son esprit… Tout Spike devient beaucoup plus mortel, plus fort que les autres vampires de son âge en raison de son statut de tueur, bien que loin de son niveau de force, Spike devient un vampire redouté à part entière, tout aussi tristement célèbre pour avoir assassiné des tueuses comme pour prouver quelque chose de primordiale à Drusilla après son amour pour une humaine et Kalderash, Serena, et encore plus après sa vie aux côtés d'Elizabeth.

Angel a pu manipuler l'allégeance de Spike en fonction de son attachement à Drusilla ; et tout ceci, tout le contraire d'une personne meurtrière pour avoir causé la mort de beaucoup plus de Tueuses qu'on ne veuille l'admettre dans l'histoire des Vampires ; au fil des siècles, Spike devient une énorme marque noire dans l'histoire du Conseil des Observateurs. Leur meilleure tueuse était inscrite mais qu'il ne tuera pas, depuis Sineya, Elizabeth et Buffy Summers qu'elles l'ont poussé à devenir un vampire légendaire. Légendaire non pas pour être méchant, mais pour être un tueur de chaque tueuse comme des sœurs liées par leur destin et démon de l'ombre. La Tueuse de Tueurs. Conservant son indépendance farouche, mais toujours fidèle à son père-vampire-, Buffy est autorisée à aller et venir à sa guise, sauf dans une rare occasion où le Maître bien plus qu'aux côtés d'Angelus qu'il admira avec réticence, mais fut dégouté par ses manières d'agir, ne respectant aucune loi du monde immortel et l'appelle à ses côtés.

Il ne pouvait ni être un homme ni même méchant, démoniaque, sans cœur, sans conscience ; comme s'il ne faisait pas partie de ce monde dont il devait retrouver sa place, cet équilibre fragile. Drusilla prend le temps d'amadouer progressivement les appétits plus sombres de William, l'encourageant à se venger de ses bourreaux. Elle le séduit lors de leur première rencontre et le transforme en l'engendrant, l'attirant à plusieurs reprises avec des relations sexuelles et le toilettant soigneusement en son compagnon et amant parfait. Une fois qu'il est prêt, William et Drusilla reviennent dans la maison familiale de son passé humain. Bien qu'elle admire son amour continu pour sa mère, elle lui avait dit doucement mais fermement de ne pas la tourner et de lui donner la paix. Elle le réconforte dans la foulée, malheureusement de manière, de façon trop tard, tardivement, le marquant ainsi traumatisée pour le reste de sa non-vie.

C'était l'un des rares comportements de gentillesse, d'affection, tendresse et amour de sentiment humain qu'elle aura pour des familles brisées.

Une parabole est une des variétés de l'allégorie. La parabole est une figure de rhétorique consistant en une courte histoire qui utilise les événements quotidiens pour illustrer un enseignement, une morale ou une doctrine.

Pour utiliser une image, vous avez la tête comme une bouteille que vous remplissez avec un jet d'eau très puissant : la bouteille finit par déborder sous la pression avant même d'être pleine. Notre cerveau gauche, siège de l'analyse, peut traiter au plus de sept éléments d'information à la fois. De solliciter son cerveau droit, siège des émotions et de la créativité, lequel fonctionne de façon globale, permanente et sans limite. Pour utiliser une autre image, imaginez votre cerveau gauche devant un arbre, il l'observe, l'analyse, puis passe à l'autre arbre à côté et recommence son étude et ainsi de suite. Tandis que votre cerveau droit, qui passait lui aussi par-là, s'émerveille dans l'image photographiée dans des fables qui à l'intérieur servent à voir au-delà de ce que l'on voit, au-delà des contes qui racontaient des leçons pour chacun. Vous l'avez compris le langage imagé, par ses symboles, ses analogies, ses métaphores, ses histoires, parle au cerveau droit, et peut ainsi établir une communication plus riche, plus immédiate et à un niveau également plus profond.

La métaphore commença pour notre histoire par un train ; où l'on aurait dit une gare de Londres, la gare King's Cross mais plus lumineux et blanc, mais vide et beaucoup plus propre et aussi sans train d'après lui. Sauf un. Bien sûr, pour ne pas quitter le monde des vivants et dans un monde réel en équilibre ; Bien sûr que cela se passe dans ta tête, Spike -William, mais pourquoi donc faudrait-il en conclure que ce n'est pas réel ? s'il ne voulait pas quitter son imagination, sa réalité, on décide de ne pas y retourner pour connaitre la fin du chemin et de toutes ces énigmes... Il pourrait, disons, monter dans un train, en l'emmenant à quel endroit, plus loin.

Le mythe du bébé comme « être pur » nous rapproche de l'idée d'une source originelle de l'être. Mais si on observe bien les bébés, ils sont à tous égards d'une complexité immense, ne serait-ce qu'à cause de la potentialité de toute une vie humaine qu'ils détiennent d'emblée, sauf mort prématurée. Mais ils auront, même en cas de mort prématurée, une incidence plus ou moins profonde sur leur entourage qui est liée au fait qu'à un moment donné ils ont existé pour quelqu'un avant de mourir. Par ailleurs, le massacre des Innocents tués sur l'ordre de Hérode a frappé nos esprits et associé le statut de bébé à celui de victime innocente. Autour de l'innocence rôdent le sacrifice, la victime, la pureté, l'incapacité du mal.

L'innocence de l'enfant, qui semble évidente, ne va pourtant pas de soi. L'Église y est pour quelque chose et les discussions théologiques autour de l'enfant ont aussi laissé des traces contradictoires importantes dans nos représentations. Déjà l'idée du péché originel amenée qui le disaient corrompu dès le sein de la mère et conçu dans le péché, apporte une conception qui a marqué la pensée. Elle enferme l'homme et donc le bébé naissant dans le fait qu'il est foncièrement mauvais, déchu du paradis originel, et que, sauf grâce divine, il ne peut qu'espérer un pardon après une vie de repentir et de misère… Les enfants sont tous l'innocence même de la pureté, si petit, si innocent, ne sachant pas encore quel sera leur avenir les choix imposés par des adultes ; ce ne sont pas nos capacités qui déterminent ce que nous sommes, ce sont nos choix ! Ce sont nos choix qui montrent ce que nous sommes vraiment, beaucoup plus que nos aptitudes." Ce qui compte, ce n'est pas la naissance, mais ce que l'on devient.

Ce fut ses paroles que Spike entendit dans un tourbillon de murmure, la voix de sa chère mère.

Pour un esprit équilibré, la mort n'est qu'une grande aventure de plus. C'est comme aller se coucher à la fin d'une très, très longue journée. En refusant, n'évoquant pas les créatures de la nuit, en réalité sans une ombre qui menait à être contre nature de revivre après sa mort en étant immortel. Le vrai maître ne cherche pas à fuir la mort. Il accepte le fait qu'il doit mourir et comprend qu'il y ait dans le monde des vivants des choses pires, bien pires, que la mort.

Les paroles sages et combien philosophiques en citation en plus belles répliques jamais évoquées d'un homme avec un accent fortement britannique aux allures, aux manières et façons de gentleman, vêtues entièrement de tweed.

Chaque citation, phrase d'un bon sage qui a vu tant et tant de choses au fil des moments les plus grave restera toujours l'auteur d'Albus Dumbledore ; tout le monde savait que chaque phrase poétique avait un sens caché et devait être prescrite, entendue par Anne Pratt, Drusilla, Angélus et d'autres personnes que William a connu au fil du siècle qui vient de s'écouler au cours du temps des années écoulées ce qui venait d'arriver.

L'indifférence, la négligence, font parfois beaucoup plus de dégâts que l'hostilité déclarée. Il est nécessaire de comprendre la réalité avant de pouvoir l'accepter et seule l'acceptation de la réalité peut permettre la guérison.

Mais vous savez, on peut trouver du bonheur même dans les endroits les plus sombres. Il suffit de se souvenir d'allumer la lumière.

Ce ne sont pas les ressemblances qui comptent à tous Spike et les Tueuses, ce sont leurs différences.

Le problème pour Angélus c'était sa manière, si amer, si dégoutante, perverse et sans aide ; le problème, c'est que les humains ont un don pour désirer ce qui leur fait le plus de mal. Bientôt nous aurons tous à choisir entre le bien… et la facilité.

De William à Spike même au profit de son démon a toujours été fier du talent qu'il possède pour tourner des phrases. Et les mots sont à chacun un avis de les voir différemment, qui n'est pas si humble, que les mots et l'écriture est ainsi un cercle plus inépuisable de source de magie. Ils peuvent à la fois infliger des blessures et y porter remède.

Au bout du tunnel, de la route cheminée par la brousse et les rochers remplis de pièges, d'indices, vois sur le chemin, gamins orphelins oubliés, égarés, donne-leur la main, pour les mener vers d'autres lendemains les plaçant de sorte de s'en sortir malgré les difficultés en bravant l'impossible, la nageant, jouant avec la mort et la défiant à un fil d'être si proche de la fauche... Sens au cœur de la nuit, l'onde d'espoir, ardeur de la vie, sentier de gloire

Et pour finir, au final, après la destination imaginaire qui était dans ses souhaits les plus chers, il descendit pour être mis devant le fait accompli, devant cet évidence de sa personnalité qui est la sienne, en se souvenant d'une certaine façon avec regret, à beaucoup de détails qui a son importance, imaginer tous les désirs tout ce qui aurait pu être sien, mais ayant de la malchance, par peur, par manque de tact par certaines personnes n'hésitant jamais à le harceler, à l'humilier voulant sans arrêt avoir ce qui lui était dû, mais lui retirant à chaque fois ; ce qui faisait qu'il ne possédait rien dans son cœur, son essence... Et donc il y avait plus de facettes de sa personnalité qui semblait de manière troublante ne le reconnaissant pas, mais en lui ne faisait qu'un et lui permettant de dire qu'il était un vampire, un homme particulièrement à pars et intéressant.

Le premier homologue de sa vie qui passait devant et à l'intérieur de son esprit n'était autre que son William intérieur d'une vie passée et oubliée en tant qu'humain ou s'il s'en souvenait ce n'était que pour se forger une carapace en évitant les humiliations, la honte et la disgrâce d'Angelus. Ainsi que son être même moi, de Spike gardant son humanité sa capacité d'aimer.

En 1880, William était un jeune homme très sensible et très instruit dans sa prédilection de la littérature mais personne ne comprenait son amour pour la poésie et les livres romanesques et philosophiques, il était un poète en difficulté, subissant des moqueries et de l'hostilité des autres hommes. Il était abandonné et isolé sans personne pour le comprendre ainsi que sa passion. On l'appelait William le Sanglant derrière son dos parce que sa poésie était si « sanglante, horrible ». Les véritables origines de ce surnom n'ont été révélées que trois ans après sa première mention dans l'histoire, alors qu'on pensait qu'il avait des connotations purement violentes. William a montré une forte capacité de loyauté et d'amour dévoué, qui est resté après sa renaissance, sa résurrection et son engendrement. Après que ses ouvertures romantiques aient été rejetées par l'aristocratique Cécile, William a erré dans les rues avec découragement et est tombé sur Drusilla. Elle le consolait, le vidait de son sang et le fit boire son sang, le transformant ainsi en vampire – le « cimentais en germant », dans le jargon de la série. Le grand-père de Spike, Angelus, est devenu son mentor (ce qui a amené Spike à le décrire vaguement comme son père) : « Drusilla m'a engendré, mais toi, tu as fait de moi un monstre. » Alors que les nouveaux vampires du Buffy the vampire Slayer se plaisent souvent à tuer leurs familles une fois qu'ils deviennent maléfiques, William était une exception notable. Ayant toujours été très proche de sa mère, il la transforma en vampire pour la sauver de la tuberculose. Mais sa mère, en tant que vampire, avait perdu son âme et était devenue mauvaise. Elle narguait William et insinuait qu'il avait toujours eu une fascination sexuelle pour elle. William a choisi de la jalonner parce qu'il trouvait qu'il ne pouvait pas supporter de voir sa mère se comporter comme le vampire sans âme qu'il avait fait d'elle. Comme la plupart des vampires, elle manquait de sa capacité inhabituelle pour certaines des émotions humaines les plus douces, comme l'amour et la compassion.

Après avoir rencontré ses deux soi intérieurs, qui sont un humain et l'autre vampire remplient d'affection, d'humanité et d'amour ; ce qui pour Spike est un affront de ne pas être pris pour un véritable démon, il désirait plus que tout son démon le plus pur, le plus démoniaque, méchant, de voir dans ses yeux proprement inhumains de la haine la plus redoutable et la plus terrible.

Après avoir jalonner sa mère, William a commencé une nouvelle vie avec Drusilla, à qui il était totalement dévoué. Euphorique avec ses nouvelles capacités vampiriques, il a adopté les poses et les pièges d'un rebelle culturel, affectant un accent de la classe ouvrière de l'est de Londres et embrassant l'impulsivité et la violence extrême. Il a adopté le nom de guerre « Spike » basé sur son habitude de torturer les gens avec des crampons de chemin de fer - peut-être motivé par la critique de sa poésie : « Je préfère avoir un pic de chemin de fer dans ma tête que d'écouter ce truc horrible. » Spike mentionne avoir passé « la plus grande partie d'un siècle » dans la délinquance, suggérant des activités criminelles autres que tuer pour le sang. En compagnie de Drusilla, Angelus et Darla, Spike terrorise l'Europe et l'Asie pendant près de deux décennies. Il avait une relation tendue avec le père de Drusilla, Angelus, qui a continué une relation sexuelle avec elle malgré la forte désapprobation de Spike. Bien qu'Angelus ait apprécié la compagnie d'un autre vampire mâle dans leurs voyages, il a trouvé que l'insouciance et la soif de combat de Spike étaient des risques inutiles. Angelus considérait le meurtre comme un art, pas un sport, et tuait pour le pur acte du mal ; Spike l'a fait pour le plaisir et la précipitation.

Spike avait commis beaucoup de méfaits, vols, crimes et était devenu un bandit, un brigand, un assassin et un gangster. Il avait commis toutes ces choses avec les autres membres du Fléau de l'Europe pour devenir célèbre parmi les démons et les vampires comme une icône, un véritable délinquant mais sans pourtant l'être réellement, le but était de montrer cette image pour appartenir à quelqu'un, suggérant des activités criminelles autres que tuer pour le sang.

Le démon se délectait sans remord, sans scrupule, de ses victimes. Il aimait apprendre tout ce que son grand-sieur -son grand-père- avait à lui apprendre, c'est-à-dire comment être un monstre. Après avoir marché sur Angelus en train d'avoir des relations sexuelles avec elle, il a de nouveau été privé de son désir de sa romance idéalisée. Il était conscient qu'Angelus n'avait couché avec Drusilla que pour le blesser et le désensibiliser. Après avoir pris également conscience de l'étendue de son engouement pour elle, Guillaume déclara à son grand-père que Drusilla était son « destin ». Angelus se moquait ouvertement de la vision romantique de William sur la vie et expliquait que, dans le monde d'un vampire, des choses telles que « mériter » et « appartenir », pour les humains, n'avaient plus d'importance en tant que vampire, William pouvait prendre tout ce qu'il désirait, mais ne jamais vraiment rien avoir. Cet incident a provoqué le début d'une rivalité qui se poursuivrait à travers les vies de William et Angelus.

William a été poussé à devenir un rebelle, adoptant un accent de la classe ouvrière du nord de Londres et embrassant l'impulsivité et la violence. Il prit le nom de guerre « Spike », probablement inspiré par un détracteur de son époque humaine qui s'était exclamé qu'il préférait « avoir une pointe de chemin de fer enfoncée dans sa tête » plutôt que d'écouter la poésie de William. Il a même été indiqué qu'il était impliqué dans des activités criminelles, spike ayant fait remarquer plus tard qu'il avait passé « la majeure partie d'un siècle » dans la délinquance. En compagnie de Drusilla, Darla et Angelus, Spike a tyrannisé l'Europe et l'Asie pendant la majeure partie de deux décennies sous la bannière du Tourbillon.

William adopte d'abord le nom de « Spike ».

Au fil du temps, il est resté totalement dévoué à Drusilla, et a grandi en méprisant et à envier Angelus. Bien qu'Angelus ait apprécié la compagnie d'un autre vampire mâle dans leurs voyages, il a trouvé l'ardeur de Spike pour la bataille inutile. Angelus considérait l'homicide comme un art, pas comme un sport, et brutalisé pour le simple fait de commettre le mal. Il se délectait de détruire l'esprit et le corps de ses victimes, tandis que Spike le faisait pour s'amuser et pour ressentir la « précipitation ». Angelus évitait les combats dont il craignait qu'ils n'entraînent sa mort ; Spike pensait que le danger ajoutait au frisson. Malgré leur rivalité enflammée, ils se sont avérés être une équipe qui a battu de nombreux adversaires. Spike décrirait Angel comme son père, comparant Angelus à un mentor ; même si Drusilla en a fait un vampire, Spike a reconnu que c'était l'influence d'Angelus sur lui qui avait fait de lui un monstre.

Mais il y a quelque chose dont jamais Angelus pourrait comprendre c'est l'amour et le fait qu'il lui restera à jamais une place dans son cœur de l'humanité et non un monstre le plus grand de tous, une légende qui laissera à jamais une empreinte sur la terre de la peur du sang et le carnage dans l'histoire de l'humanité.

Contrairement à Angel, Spike avait la capacité de différencier son moi humain, sans âme. En tant qu'humain, c'était un gentleman romantique et inefficace qui était moqué par ses pairs. En tant que vampire, il est devenu un affront direct à sa nature antérieure, c'est-à-dire que quand il est devenu vampire, il est devenu le contraire de ce qu'il était en tant qu'humain et s'est rebellé contre la société européenne avec le tourbillon. Il a refusé d'abandonner les aspects romantiques de sa personnalité, même après qu'Angelus ait tenté de le désensibiliser émotionnellement en couchant avec Drusilla. William a pris un nouveau personnage afin de maintenir les affections de Drusilla et de mettre en colère Angelus, mais est resté un romantique dans l'âme. Plus tard, il a dit à Angel que bien que Drusilla l'ait transformé, c'est l'influence d'Angelus sur lui qui l'a fait devenir un « monstre ». Malgré cela, il ne semblait pas blâmer Angel pour ses péchés passés ; il a simplement observé qu'Angelus essayait constamment de voir ses propres traits « dégoûtants » chez les autres, même s'il devait les réaliser lui-même par la torture émotionnelle et la manipulation.

Alors que Spike a changé au cours de ses années avec et sans Angelus, il est resté aussi fidèle à lui-même qu'il le pouvait sans âme. Il a finalement acquis sa posture fanfaronne, un intérêt pour la musique punk et rock et a continué à vivre selon sa propre boussole morale unique. Après avoir reconquis son âme, il a d'abord été confus et submergé par l'influence du Premier, mais en est finalement venu à examiner la nature du « bien » et du « mal » d'une manière entièrement nouvelle ; alors que William Pratt et Spike étaient deux entités indéniablement différentes, Spike était un mélange des deux : il possédait les capacités humaines de William pour l'amour, la confiance, l'amitié et la loyauté, la maturité et la personnalité extérieure de Spike. Contrairement aux remords et à la rédemption d'Angel qui n'étaient pas les facteurs moteurs pour Spike, alors qu'il ressentait les deux sur les actes qu'il a commis au cours de ses quelques cent vingt années en tant que vampire, son attitude était que le passé était terminé et, même s'il perdait son âme, il resterait toujours « bon » en raison de son dévouement à ceux qu'il aimait.

Et c'était ainsi qu'avec ces quatre symboles que l'on a pu avoir une grande infime très détaillée de la vie de Spike en image vives avec des flashs du passé revenant sans cesse et toujours à la recherche de l'âme de la conscience du souvenir pour toujours qui était écrit par le destin. Il sera un jour, dans pas si longtemps que cela ou dans des années selon comment écrire son futur d'apprendre à connaitre le Spike qui va voir son âme revenir en lui.

Ce fut dès ces premiers instants de nouveau-né de la création vampirique que tout changea dans la vie de William lorsqu'il appris les codes moreaux, la loyauté, le dévouements, leurs normes qui peuvent être amenées à dégouter beaucoup les espèces de démons et vampires, il devait apprendre à vivre avec les lois d'une communauté, les convenances qui étaient autorisées et interdites ; tout ceci, cet équilibre pour éviter d'être connu du monde des mortels humains, les lois étaient ici, là, pour ne pas que le désastre arrive et se produise, ces lois étaient écrites et ont été conçues pour se protéger soi-même. Ces écrits, cette partie de l'histoire des débuts de son début de vie commença réellement et d'une certaine manière et façon, ce qui ne connaissait rien à cet aspect, rien et voyant qu'il était ignoré et connu pour une légende, existant aucune preuve, aucun document prouvant les premières années de sa non-vie, que ce soit verbale, écrite, documentée et témoignage très peu, après le drame, le traumatisme et culpabilité d'avoir tué en seconde fois.

Anne Pratt était la mère de Spike. À l'âge adulte, la mère de William tomba malade et il prit soin d'elle, lui lisant souvent sa poésie. Le fait qu'il se concentre sur elle nuit à sa vie sociale et, malgré les pulsions de sa mère, il n'avait aucun intérêt à trouver une partenaire romantique et la considérait comme la femme de sa vie. Après avoir été engendré par Drusilla, Spike a engendré sa mère avec l'intention de lui sauver la vie et de l'emmener avec eux. Cependant, devenir un vampire a fait ressortir les aspects les plus sombres de la personnalité d'Anne. Elle lui dit qu'elle avait espéré qu'une petite amie enlèverait sa présence étouffante de sa vie et qu'elle n'appréciait pas d'être un public captif de sa présence émouvante et de sa poésie terrible. Elle a ensuite laissé entendre qu'il avait toujours eu une sorte de complexe œdipien avec elle, voulant l'avoir de manière sexuelle. Affligé par ce changement, William a tué sa mère.

Légendaire non pas pour être méchante, mais pour avoir était torturée physiquement en étant plus faible psychologiquement par Angelus, Angelus tourmenta l'humaine Drusilla, l'éleva et la garda comme compagne par la suite, la considérant comme sa plus grande œuvre, ayant un nom très connu qui faisait peur, craignant et horrifiant. Spike allait devenir Le Tueurs des Tueuses. Conservant son indépendance farouche, Drusilla, Darla et Angelus -enfin tout le clan Aurélien ou ayant un lien de sang de quelque manière que se soi-, mais toujours fidèle à son père, tout le monde ait autorisé à aller et venir à sa guise, sauf quelque rare occasion où le Maître l'appelle à ses côtés. Surtout Drusilla pour laquelle il possédait une grande affection, sympathie et un amour pour elle d'une manière ou d'une autre, pour des personnes, les vampires avaient une sorte de loyauté, de normes, étant capable de ressentir des sentiments et sensations comme un humain avec la même affection, tendresse à leur manière et à leur façon.

Drusilla sentit un éclair de glace trancher sa colonne vertébrale, son corps devenant rigide alors qu'elle sentait une présence immense à proximité. C'était un vampire. Une présence particulièrement vieille et puissante, plus puissante que toutes celles qu'elle n'avait jamais ressenties auparavant. Elle était terrifiée qu'Angelus l'ait retrouvé pour la ramener de force dans leur famille et lui interdisant de s'échapper, de ne plus être indépendante, en faisait pour elle-même tout ce qu'elle avait besoin pour survivre, elle chercha quelque chose, un bout de bois, une arme tranchante pour tuer l'un des minions des serviteurs qui était chargé de la surveiller ; ses doigts s'enroulèrent autour de son pieu alors qu'elle se retournait, l'arme levée et prête à se battre.

Le Maitre l'appelait à ses côtés ayant compris et ressentit un nouveau membre de la famille et il voulait le rencontrer, et jugeant pour finir si elle n'avait pas commis d'erreur.

Drusilla a avalé en prenant le vampire devant elle. Il n'avait rien à voir avec ceux qu'elle surprenait en train de traquer les cimetières et les villages tous les soirs. Non, il était différent : plus âgé, plus sage et beaucoup, beaucoup plus puissant. Sa présence était presque étouffante, mais elle pouvait dire qu'il se retenait. Il était grand, vêtu de noir et sa peau était blanche, pâle et démoniaque, avec de longues griffes comme des ongles. Même ses yeux étaient différents, rouges sang, pas jaunes comme le reste de son espèce. Ce n'était pas Angelus, mais le Maitre, le chef, l'alpha de tout le clan Aurelius.

Le Maître. Elle connaissait ce nom, elle avait lu sur lui pendant les études que lui avait imposées son Watcher. Le plus vieux vampire enregistré à ce jour et ils étaient toujours convaincus qu'il était plus âgé que cela. Si vieux qu'il eût dépassé ses traits humains. Son pouvoir était tel qu'il pouvait vous tuer avant même que vous puissiez respirer. Il était le sommet de son espèce

Une fois que vous êtes prêt. Une fois que vous avez appris tout ce que j'ai à vous enseigner, vous pouvez aller et venir à votre guise. Parcourez le monde, voyez tous les endroits que vous voulez. Chassez pour des successeurs, tourmentez les observateurs et faites craindre votre nom au monde ; n'ayant pas peur de se battre contre des Tueuses ce sont nos ennemies héréditaires, mortelles ; cet appel, elles le suivent partout comme... comme un nuage de mort. Peu importe où elles iront chacune d'elle, la mort les accueille. La mort est leur art ; le faire avec mes mains jour après jour... », elle s'est éloignée. C'est comme des chaînes autour des poignets, je ne serai jamais libre. Ce ne serait qu'honneur de mourir au combat, la dernière bataille et cela donnait du pouvoir pour qu'on se souvienne d'elles, d'être vaincues, tuées par un maître vampire d'une grande puissance et dangereux...

La mort le suivit partout aussi. Son compagnon le plus âgé et le plus cher, il accorde la vie, il accorde la douleur... et lui rendre libre mais ne vivant pas seule toujours -avec ses descendants, ses enfants préférées Drusilla et Darla. Le Maître se tourna vers lui ; son regard sombre mais sage tandis que sa bouche à crocs se courbait en sourire. Cette liberté peut être sienne, William, s'il le voulait. » Il s'est approché. « Sauf pour ces moments où appelle à mes côtés. » Il lui tendit la main. « Ce ne sera jamais pour longtemps, et ce ne sera que lorsque j'aurai un besoin absolu de vous. Mais à ces occasions où j'appellerai, vous répondrez. Au-delà de cela, vous pouvez faire ce que vous voulez, Drusilla et toi, mais il fallait se méfier d'Angelus, il était dangereux, le mettre, le détester faisant honte à sa réputation et aux règles ancestrales, discipline Angelus pour son sadisme flagrant parce qu'il met en danger tous les vampires en raison de ses meurtres très étranges dont des journaux, on en entendait parler dans des salons, des rumeurs monstrueuses dans la grande noirceur, une honte nationale, planétaire ; des superstitions commençaient à se former dans les esprits, la peur de la bête. Depuis, quand les vampires se soucient-ils de ce que les humains pensent ? Existons de cette façon depuis des milliers d'années, mon garçon. C'est ce qui nous a maintenu en vie. Nous ne tuons que lorsque nous nous nourrissons ou lorsque nous avons affaire à nos ennemis. Jamais pour la joie.

Il ne fallait en aucune façon, de quelque manière que ce soit qu'ils commettent les mêmes erreurs qu'Angelus et Darla, sur lesquelles il avait perdu ; Darla aurait dû mettre fin, dépoussiérer Angelus depuis longtemps, elle devrait plus le contrôler, le surveiller ; il fallait qu'elle revienne dans les bonnes grâces de son père avant qu'il regrette de l'avoir eu comme sa préférée d'entre tous, comme une enfant favorite malgré que Drusilla était devenue une favorite comme une sœur pour Darla ; et donc des filles préférées du Maitre.

À ses disciples : Je suis leur salut. À toi, cher et bon William : Je suis la réponse et Drusilla l'a sauvé, la réponse à toutes les questions à aider des nouveaux vampires, nouveaux à devenir puissants et plus tard, dans quelques années, des maîtres vampires, qui arrivent à se contrôler, comme si c'était simple et pourtant cela l'était. Quelqu'un qui n'a pas connu la soif de sang d'un vampire ne connaît pas la signification de la soif, même si personne ne connaissait la question, les réponses seront beaucoup moins nombreuses, plus difficiles à obtenir. » Il la regarda, sa bouche à crocs entraînée dans un sourire déformé. Il était de son vivant Heinrich Joseph Nest, mais il préfère maintenant Le Maître.

Lorsque le Maître rencontra Spike, il était impressionné par le choix du compagnon de Drusilla. Il traite Spike comme une sorte de fils, rendant Angelus jaloux d'être considéré comme inférieur à un envol le montrant comme un moins que rien, un criminel, comme tel un subalterne, un subordonné, être traité comme quelqu'un de commun pas si unique qu'il y croyait, comme un domestique. Il ne supporterait jamais d'être en dehors de l'attention et il avait horreur de cela, c'était intolérable, impardonnable. Le vampire Darla, qui a transformé Liam en Angelus, et Angelus ont été amants pendant plus d'un siècle. Darla a même quitté le Maître pour vivre avec son « cher garçon ».

Le Maître, anciennement connu sous le nom de Heinrich Joseph Nest, était un vampire puissant et respecté, plus âgé que tout autre sur disque. Il était le chef de l'Ordre d'Aurèle, un culte de vampires qui adorait les Anciens et voulait obtenir leur retour dans le monde. Le Maître était aussi le père de Darla, conduisant par imprudence à un long héritage de vampires infâmes. Sa relation avec Angélus - il a été démontré que le Maître avait des sentiments mitigés à l'égard d'Angel et de son homologue sans âme. Il a été impressionné par Darla pour lui avoir apporté Angelus, admirant même le nom qu'elle avait choisi pour lui, pensant que c'était merveilleux. Sa bonne humeur a ensuite changé quand Angelus s'est moqué de son apparence et de ses vues de l'Ordre, le battant pour ne pas avoir montré le « respect approprié ».

Lorsque Darla a vu Spike pour la première fois, quand il était humain, elle a suggéré en plaisantant que Drusilla le considérait comme son compagnon et l'a décrit comme « le premier idiot baveur qui arrive ». Darla semblait trouver Spike en grande partie agacé alors que ses singeries rebelles menaient au tourbillon dans les ennuis, les mettant constamment en danger. Spike a encore déçu Darla lorsqu'il a tué la famille de l'Ancien du clan qui a enstigé redonnant, collant, implantant l'âme, son âme, une âme à Angel alors que Darla avait essayé d'offrir leur protection en échange de la défaite, de la malédiction.

Il était une fois dans le commencement débutant de l'histoire, il y a jadis, fort longtemps que des souvenirs les uns aux autres affluaient son esprit et ne le quittera jamais mais survivra aux pires tremblement tragiques et dramatiques en étant apparus dès ses premières années de non-vie ; le traumatisme de la première année dès le début il y eu de véritables catastrophes, étranges et horreur, blessure humiliante de la part d'Angélus durant dix longues années avant que Spike est réussi à se faire respecter à devenir un être à part entière en considération comme l'un des deux hommes de la famille, il y fut épargné quand Spike devient enfin quelqu'un en ne faisant pas brutaliser, en étant respecté ; ne pas se laisser faire, prendre de nombreuses marques et faisant une place, un territoire... Riposter et résister. Maltraiter quelqu'un, le dominer.

Voilà c'était ainsi que dans des moments pareils comme cela qu'Angélus pensait : pourquoi ? c'étaient les questions qu'il se posait dans des instants pareils d'atrocité et terrible ; c'était comme cela sa façon de penser tel qu'un véritable psychopathe, un homme tordu avec le diable en personne quand il parlait, sa manière d'expliquer comment il le voudrait mort et disparaisse partant en poussière de la manière la plus douce et horrible en y allant doucement toujours et toujours plus lentement.

La vie de William fut totalement bouleversée, troublée et remuée par le changement radical, radicalement opposé à sa vie antérieure de son passé humain ; d'où venait sa vie à présent ? Il n'en savait rien. Quel seront ces objectifs ? Le sens ? Surtout qu'il avait tout pour lui tant de nombreuses années à passer en restant jeune, ne vieillissant plus, immortel jamais comme autrefois rencontrant des milliers de gens à travers les siècles. Ces aspects de sa nouvelle vie ne pouvaient venir de Dieu, c'était impossible, il devait le détester pour jouer avec des forces occultes se tournant vers l'ombre, pas du ciel en aucun cas cela devait être empoisonné, il avait fait un pacte avec le diable... Comment allait-il apprendre comme un élève montant vers le haut en apprentissage ? Il devait être encadré, soutenu, encadré d'un maître qu'il était fait comme lui, un maître assistant, un mentor ; il devait être appelé Angel et qu'il assiste en enseignant à Spike, Angel comme un père pour lui, il suffirait simplement, simplement qu'on pense à lui.

Mais Angelus n'était pas comme William pourrait le décrire, comme un idéal de père de substitution, mais il n'en aura jamais ; si seulement on pouvait lui manquer, celui qui avait tant besoin d'attention, d'affection et d'amour.

C'est une balade dans laquelle un homme dans une histoire d'un petit garçon d'un milieu favorable, valorisant, évoque l'absence de son père et à quel point il lui manque. Il exprime qu'il serait heureux si son père avait une relation avec lui.

Lui raconter son enfance de sa vie humaine, de sa petite enfance, sa jeune vie d'enfant, et d'adolescence, William n'a pratiquement pas connu son véritable père, celui qui lui a donné la vie, mais assez pour avoir des souvenirs bien définis en création. Et il avait maintenant un père vampire qui le narguait, le méprisait ouvertement ; son absence était dure, longue et impossible à vivre dans une attente interminable... C'est une balade dans laquelle un homme dans une histoire d'un petit garçon d'un milieu favorable, valorisant, évoque l'absence de son père et à quel point il lui manque. Il exprime qu'il serait heureux si son père avait une relation avec lui. Tous les jours, comment briser le silence, qui l'entoure.

Aussi vrai que de loin il lui parle, apprenant tout seul à faire ses armes, aussi vrai qu'il n'arrête pas d'y penser, si seulement il pouvait lui manquer, est-ce qu'il va lui faire un signe ? Manquer d'amour n'est pas un crime, il n'avait qu'une prière à lui adresser, si seulement il pouvait lui manquer.

William dirait tout simplement, qu'à part cela, il va bien, qu'à part d'un père il ne manque de rien, il vit dans un autre monde, il s'accroche tous les jours à l'espoir qu'un jour Angelus puisse le voir comme il est, il brisera le silence qui l'entoure.

Aussi vrai que de loin il lui parle, il apprend tout seul à faire ses armes, il apprend tout seul à se forger une personnalité, aussi vrai qu'il n'arrête pas d'y penser, si seulement Angelus pouvait se rendre compte de sa présence, avoir de l'attention pour lui, est-ce qu'il va lui faire un signe ? Manquer d'un père n'est pas un crime. William n'a qu'une prière à lui adresser : si seulement il pouvait lui manquer quand il n'est pas en sa présence.

Angélus pense que Spike est indigne d'être un vampire car il n'est pas assez mauvais pour cela, ce genre de nature. Il l'avait tout de suite, immédiatement l'esprits et le cœur en quoi il croyait, craignait, ses plus sombres secrets.

William était triste d'avoir perdu sa mère de l'avoir tuée une première fois avant de se voir obliger de terminer ce qu'il avait entreprit pour défaire ce qu'il a fait avant que son erreur, son désir de bien faire n'empire. Chez les véritables vampires dans l'ombre la plus noire et des natures auxquelles il fallait jouir pour le devenir corps et âme et dans le plus profond de soi, était de détruire, anéantir et tuer tout ce qu'il rappelait ou faisait un rappel de notre humanité ; mais cela ne fut pas le cas avec William, son idée fut différente. Il aimait encore très profondément sa mère et il l'a sauvée de la mortalité, il n'a jamais voulu, ou désirer la détruire.

Il est amoureux de Drusilla, ressentait des sentiments très beaux et très forts pour la jeune femme et Angélus ne croit pas en l'amour et à la tristesse. Il ne comprend pas ce que c'est le vrai amour. Pour lui c'est quelque chose pour les faibles, c'est de la vieille magie. Il était Trop faible, trop vulnérable. Ceux qui ressentent ses sentiments ont l'esprit faible. Et Angélus ne veut pas de la faiblesse, c'est indigne d'un vampire digne de ce nom. Angélus a tout de suite senti que spike est différent des autres vampires.

Angélus se sert toujours des secrets intimes et des faiblesses des autres pour arriver à ses fins, et que Angélus a le pouvoir sur les personnes.

Indigne est quelquefois un titre que l'on se donne par humilité, surtout dans les formules de politesse : serviteur indigne. J'osai, moi indigne, retoucher son ouvrage.

Indigne signifie aussi qui n'est pas séant, convenable, ou même qui est condamnable : une telle conduite est indigne d'un homme d'honneur. Ces paroles sont indignes de vous. Cela est indigne de votre rang. C'est une chose indigne. C'est une conduite indigne. Traitement indigne. Un indigne attachement. Une tenue indigne. C'est un livre indigne. Femme indigne. Homme indigne, et elliptiquement Un indigne. Des indignes. Communion indigne : communion qui n'est pas faite avec les dispositions requises.

N'est pas digne de quelque chose, qui ne le mérite pas : qui ne mérite pas la confiance, l'amitié de quelqu'un d'autre : Ces gens sont indignes de votre confiance.

Qui n'a pas la valeur d'un autre ou d'un groupe, qui est très au-dessous de lui par ses qualités, ses actes : Être indigne de ses ancêtres.

Se dit d'une action, d'un comportement qui n'est pas en rapport avec la valeur de quelqu'un : C'est indigne de vous d'avoir menti.

Il est indigne de votre sollicitude, de retenir votre attention.

Remarque : « Indigne de… » suivi d'un mot de sens négatif ou défavorable, courant naguère, est rare aujourd'hui : il est indigne de ces reproches, de cette punition (= il ne les mérite pas).

William Pratt n'a jamais rien fait comme les autres et Angélus veillerait consciencieusement à ce qu'il n'y parvienne jamais, encore, lui rendant ensuite sa non-vie impossible, car il était et sera en dessous de tout. A la place l'échange de ne pas le tuer.

Il était furieux contre lui-même dans un sens assez large car c'était lui et Darla qui avait autorisé et donner une bénédiction sacrée à Drusilla pour se transformer, avoir un compagnon se le créant pour elle. Et cela a commencé avec Drusilla. Elle avait transformé, engendré Spike parce qu'elle voulait quelqu'un qu'elle pourrait appeler le sien. Angel, voyant cela, affirma immédiatement sa domination sur la soumise Drusilla pour lui rappeler, ainsi qu'à Spike, qu'elle lui appartenait. William, à présent, se demandait dans quelle mesure la pression d'Angel sur Spike dans le Fléau était due au fait que Drusilla et Darla aimaient plus Spike que lui. Buffy n'avait aucun doute que Darla avait également eu des relations sexuelles avec Spike. Une partie d'elle-même se demandait si Spike avait déjà eu Drusilla et Darla en même temps. Mais cette misérable jalousie du côté d'Angel est devenue quelque chose de plus intense. La capacité de Spike à rester humain, le fait qu'il ait été capable de battre au moins deux tueuses célèbres dans sa non-vie. Et le fait que des tueuses de vampires et autres démons aimaient le combattre quand il se présentera pour la première fois à Sunnydale. Sans doute Angel l'avait-il remarqué.

La condition humaine est vaste et multiforme, mais peu de ces aspects sont aussi importants ou aussi intenses que la sexualité. Comme d'autres créatures, le corps humain vit intrinsèquement pour se reproduire, mais c'est la capacité de raisonner et de ressentir une émotion authentique qui sépare l'humanité du règne animal, peu de créations ont fait plus pour rappeler la nature animale brute du sexe et les implications politiques et sociales du genre comme le vampire. Complet avec la pénétration, l'échange de fluides corporels et la maturation, le vampire est l'incarnation physique du sexe : beau, puissant, dangereux. Bien que l'orientation du genre ait changé. Le reflet des points de vue de la société sur le sexe et le genre a toujours été présent. Le vampire est une incarnation en constante évolution de l'accent toujours changeant sur la sexualité, la politique sexuelle, les rôles de genre et leur place dans la société.

Vampires et sexualité(s) : symbole de toutes les transgressions ? Se nourrissant en plantant ses crocs dans la chair de sa victime, le vampire est le monstre le plus sensuel qui soit. Bien plus qu'une simple figure lascive, les vampires sont le symbole d'une certaine transgression. Liberté sexuelle totale, homosexualité, fétichisme, le vampire symbolise celui qui, par sa frénésie sexuelle et la liberté de ses choix.

La torture psychologique visuel, c'était de cette façon, de cette manière que cet art pour blesser la personne qu'on désirerait voir une personne se blesser, lui faire du mal sans même la toucher quand on en avait envie ; le faire souffrir, rendre la chose aussi insupportable que possible, pour Angelus c'était cette arme qu'il utilisait et voulu exécuter, implantait en essai pour William -Spike-. William idolâtra brièvement Angelus, mais en vint rapidement à envier sa relation sexuelle continue avec Drusilla, que Spike croyait ignorant être la sienne. Il a été dévasté quand il a surpris Drusilla pour la première fois en train d'avoir des relations sexuelles avec Angelus. Bien que son attitude ait été durcie en conséquence, il a maintenu une forte affection pour elle. Le plan d'un jeu d'œuvre d'art a parfaitement fonctionné sur ce pauvre William qui croyait si fort avec sensibilité et endormement de croyance et d'espoir en l'amour ; n'importe lesquels de quelque façon.

Les relations intimes de nature sexuelles étaient dures et fortes, comme blesser. Drusilla aimait qu'Angelus lui fasse mal aux endroits de son corps intime ; la sexualité des vampires, se révèle à la fois comme un phénomène terriblement étranger à l'expérience typique et, paradoxalement, comme un miroir déformé du comportement humain. D'une part, le vampire inspire une réponse xénophobe car ses besoins violent les limites normales de l'exogamie : il est physiologiquement dépendant des femmes qui lui sont étrangères. D'autre part, le roman sape l'idée même de « l'étranger » en suggérant que même les aspects les plus bizarres de la vie sexuelle d'un vampire sont étrangement familiers – généralement parce qu'ils parodient ou littéralisent la sexualité humaine. Ils avaient une vie de relations sexuelles très active.

Il a expliqué à Darla qu'il croyait que la mort ne ferait que libérer Drusilla de sa souffrance, puis l'a tourmentée une dernière fois en ayant des relations sexuelles avec Darla devant elle. Maintenant qu'elle considérait comme son chef-d'œuvre, Angelus l'a engendrée, malgré les objections de Darla d'avoir un vampire fou à leurs côtés. Pendant les vingt années suivantes, Drusilla rejoint Angelus et le tourbillon de Darla. La fille pure et timide avait été remplacée par un prédateur hautement sexuel qui aimait s'en prendre aux faibles et aux innocents, comme les enfants, et se délectait également de ses pouvoirs psychiques et de sa vision unique de la réalité.

Angel s'était approché de la femme qui tournait maintenant et essayait de la faire arrêter de danser assez longtemps pour voir ce qu'il offrait. Quand il a utilisé ses propres crocs pour déchirer son poignet et l'a tenu devant son nez, elle s'est arrêtée brusquement et est immédiatement entrée dans le visage de vampire, elle respira en prenant son poignet dans sa main ; elle mit son poignet sur sa bouche et commença à le sucer, fermant les yeux d'extase pendant qu'elle le faisait. Alors qu'elle tirait sur son sang, Buffy a été choquée de voir un renflement se développer dans le pantalon d'Angel et elle a haleté alors qu'il tirait le vampire sur son corps et attachait ses crocs sur son cou. Sans relâcher son emprise sur son poignet, Drusilla enroula une jambe autour de l'autre vampire et pressa son bassin contre le sien, gémissant son nom.

Sentir Spike tendu et Darla pourrait avoir besoin d'intervenir a pour voir si elle allait avoir besoin de l'empêcher de tuer Angel. À sa grande surprise, même si ses poings étaient serrés sur ses côtés et qu'elle n'était pas sûre de ne pas voir les larmes dans ses yeux, il a maintenu son contrôle et a juste continué à regarder la femme qu'il aimait pendant qu'elle rampait partout sur son sieur.

Quand elle a vu Drusilla baisser la braguette, fermeture éclair, du pantalon d'Angel et sortir son sexe pour la glisser sous sa robe, Buffy rougit comme la jeune fille de seize ans dont elle portait le corps et elle essaya de se détourner. Mais Spike lui attrapa les bras et la tira près de sa poitrine alors qu'il la forçait à regarder. Elle pouvait sentir son érection s'enfoncer dans son cul et elle repoussait inconsciemment contre lui, suscitant un gémissement. Il devait voir, il en avait besoin de regarder pour connaitre et apprendre ce qu'est un véritable vampire, dans toute sa sensualité érotique et les besoins les plus bas et les plus chauds en ayant un appétit d'animal carnassier qu'il fallait apprendre à apprivoiser et à dompter.

L'art de la torture était par ces moments reconnu qu'il y avait une possession une prise ferme qui engendra de l'art de l'immortalité ; Angélus éprouve un malin plaisir à martyriser ses proches.

Choisir sa victime, préparer minutieusement son plan, assouvir une vengeance implacable, et puis aller se coucher ... il n'y a rien de plus doux au monde…. La mort résout tous les problèmes. Pas d'hommes, pas de problèmes.

Angélus avait infligé un nombre incalculable de fois dans des milliers et millions de situations ou à certaines personnes choisies, désignées ; torture de souffrances physiques infligées à quelqu'un, notamment pour lui faire avouer ce qu'il refuse de révéler. Parler sous la torture. Souffrance infligée. Celui qui inflige la torture. Synonyme : bourreau, tortionnaire. Faire souffrir cruellement un animal. Causer une souffrance physique ou morale à quelqu'un : cette pensée me torturait.

Elle peut être utilisée comme châtiment, comme moyen de coercition pour obtenir quelque chose, afin d'inspirer la terreur et la domination, ou encore par cruauté.

La personne sadique prend plaisir aux souffrances physiques et psychologiques des êtres vivants, animaux et humains. Il aime tenir les autres sous son emprise et restreindre leur autonomie, cela par la terreur, l'intimidation, l'interdiction.

Quel supplice ? Peine corporelle, entraînant ou non la mort, ordonnée par arrêt de justice. Littéraire : sévices corporels graves : les supplices n'ont pu le faire avouer.

Angelus était ici pour apprendre la science subtile et l'art rigoureux de la préparation des tortures, des meurtres, des mille et une centaines de tourments à mettre en évidence... Angélus s'attend donc à ce qu'on ne comprenne pas grand-chose à la beauté d'un corps suintant la décomposition de la mort qui bouillonne doucement en laissant échapper des volutes scintillantes, ni à la délicatesse d'un liquide qui s'insinue dans les veines d'un homme pour ensorceler peu à peu son esprit et lui emprisonner les sens…

Il pourrait faire en éducation d'apprentissage à mettre la gloire en bouteille, distiller la grandeur, et même à enfermer la mort dans un flacon, être un être honorable et implant ne pas se sentir puissant après le meurtre si nous étions autre chose qu'une de ces bandes de cornichons et d'imbéciles qui ne cherchent pas à comprendre à qui il dispense habituellement ses moments de gloire et privé pour connaitre tous ce qui a à savoir sur cette science subtile qu'est le sang des origines des veines.

C'était un honneur d'apprendre d'un si puissant dangereux vampire qu'était Angelus, il avait une renommée sans nom ; il y avait des choses des spectres que l'on ne pouvait apprendre, connaitre et les réaliser qu'avec lui-même en personne. C'était avec des yeux, atroces, celui dont tout le monde parle ; le démon, le diable même en personne vue avec de la chaire et la parole comme pour prouver et que l'on réalise qu'il est vivant marchant sur cette terre.

Et bien, pourtant cet homme, ce vampire et l'un des plus grands criminels de la société démoniaque des ombres de la nuit ; il a massacré la plupart du temps son propre peuple et les peuples dont il avait été et il avait vécu en devant un humain, avec des brutalités sans limite ; c'est l'histoire la plus atroce, la plus tragique et dramatique d'un petit irlandais dont la famille possédait un terrain près de Galway en Irlande et proche de la mer une histoire incroyable et terrifiante devenue l'un des personnages les plus puissants de la planète de la nuit ; nous allons vous raconter comment cet homme, ce monstre, qui déclarait faire ce qu'il considérait comme juste et des plus glorieux pour le bien et la mauvaise vie des humains pour les anéantir, est devenu, à force de mégalomanie et de fanatisme, l'un des tyrans, l'une des légendes vivantes au cours de deux siècles et peut être plus les plus sanglants que l'humanité ait connu.

Un jour où une jeune femme devait prendre ses ordres -ses vœux- sacrés, Angelus massacra le couvent. Après avoir eu des relations sexuelles avec Darla au-dessus de Drusilla, Angelus l'a finalement poussée au bord de la folie complète. C'est à ce moment-là qu'il l'a transformée en vampire. Drusilla était le « chef-d'œuvre » d'Angelus, un témoignage éternel de sa plus belle cruauté, car son immortalité signifiait que son tourment ne finirait jamais. Drusilla a rejoint Angelus et Darla, alors que le duo est devenu un trio.

Au fil du temps, Angelus s'était fait connaitre et a pris goût, a commencé à copier des signatures, des signes réels et imaginaires pour faire connaitre son démon de l'Angélus de l'époque, sculptant une marque en forme de croix sur le visage de ses victimes afin de faire face à Dieu. Aimant signer d'une signature personnelle.

Le baiser cramoisi de sang humain ferait une belle carte de visite, formée, créée et dessinée sur le front de la victime. Le baiser mortel apporté par un suceur de sang.

L'obsession d'Angelus de tourmenter moralement en psychologie prend une tournure dangereuse quand il commence à se rapprocher de son cœur...

Il était cruel, manipulateur, et ne tuait pas pour le sang, il tuait pour le frisson, la passion de la peur de la terreur. Il ne suffisait pas qu'Angelus tue quelqu'un, il voulait les briser. Les dessins étaient une forme de terreur.

Un croquis est un dessin fait rapidement, à main levée, sans recherche de détails dans le but de dégager à grands traits, l'essentiel du sujet, du motif ; souvent fait d'après nature, il alimente le carnet de voyage dessiné dit "de croquis".

Le dessin est une technique de représentation visuelle sur un support plat. Le terme « dessin » désigne à la fois l'action de dessiner, l'ouvrage graphique qui en résulte, et la forme d'un objet quelconque, d'un visage d'acte abjecte et affreux terrifiant dans la terreur, répugnant, infame d'ignominie -ignoble-.

Pour dessiner son croquis, Angelus se place à deux mètres de son sujet, de la personne qu'il veut dessiner. Il prend deux crayons dans une main et un carnet de croquis dans l'autre. Il dessine en tenant le crayon loin de la pointe. Rien de mieux pour que son dessin ressemble à une signature. Le rendu est intéressant à voir.

Il dessine exactement ce qu'il observe. Il lève souvent des yeux sur son sujet et reproduit ce qu'il voit sur sa feuille. Il trace des traits fins et précis en respectant les proportions. Il n'appuie pas trop appuyer sur le crayon, il laisse des vides s'ils n'existent pas, il crée en voyant des ombres passées derrière les jeunes femmes qu'il a choisi de reproduire comme modèle de torture.

Angelus a toujours eu un art, un certain style maniaque, obsessionnel, strict, rigoureux, minutieux et équilibré pour que son dessin soit bien centré, comme si son démon l'avait choisi pour reconnaitre l'art.

Angelus était un grand, miraculeux et artiste exceptionnel, quand bien même William avait pu le surpasser dans ses nombreux talents du monde de l'art et de la littérature ; il aimait tellement les travaux de dessin. L'art est une activité, le produit de cette activité ou l'idée que l'on s'en fait, qui s'adresse délibérément aux sens, aux émotions, aux intuitions et à l'intellect. On peut affirmer que l'art est le propre de l'humain ou de toute autre conscience, en tant que découlant d'une intention, et que cette activité n'a pas de fonction pratique définie. On considère le terme « art » par opposition à la nature « conçue comme puissance produisant sans réflexion », et à la science « conçue comme pure connaissance indépendante des applications ».

Tout acte par lequel une douleur ou des souffrances aiguës, physiques ou mentales sont intentionnellement infligées à une personne : des aveux arrachés sous la torture. ... Souffrance physique ou morale extrême : cette longue attente était une torture.

L'aliénation permet aux vampires de manipuler la folie, de la concentrer et de la projeter dans l'esprit de leurs ennemis. Bien que ce pouvoir fût autrefois surtout utilisé par le clan Aurélien, les praticiens de cette discipline n'ont pas nécessairement besoin d'être fous pour l'utiliser, même si cela peut aider. De façon très effrayante, l'aliénation ne semble pas faire naître la folie dans l'esprit de la victime, mais plutôt catalyse un état préexistant, brisant les barrières de l'esprit et libérant ce qui s'y cachait. Le clan Aurélien prétend que la folie est l'étape suivante de l'évolution de l'esprit, une progression de ce que les gens appellent conscience vers un nouvel état d'éveil. Évidemment, les autres clans de vampires rient de ce résonnement, et pensent que cela n'est qu'une tentative pour expliquer le chaos qu'apporte l'aliénation. Mais ils ne rient pas trop fort… Le clan Aurélien seraient bien capables d'atteindre l'éveil en premier.

Passion : Le vampire manipule les émotions de sa victime, en les poussant à leur paroxysme ou en les atténuant totalement. Le caïnite ne peut choisir l'émotion affectée et il ne peut qu'amplifier ou atténuer des émotions déjà présentes chez sa cible. De cette manière, un vampire peut transformer une irritation en rage destructrice, ou un véritable amour en intérêt poli.

Système : le personnage doit parler à la victime et effectuer un jet de charisme + empathie (difficulté égale au niveau d'Humanité/Voie de la cible). Le nombre de réussites détermine la durée de l'altération du sentiment. Les effets de ce pouvoir peuvent inclure une modification d'un ou deux points, en plus ou en moins, aux difficultés des jets de frénésie, de vertus, pour résister aux pouvoirs de présence.

Hantise psychique : le vampire peut manipuler les centres de perception du cerveau de sa victime, les submergeant de visions, sons, odeurs ou sentiments qui n'existent pas réellement. Ces images, quel que soit le sens qu'elles affectent, sont très fugitives, à peine perceptibles par la victime. Un vampire utilisant ce pouvoir ne peut contrôler ce que perçoit sa victime, mais il peut choisir le sens qui sera affecté. Les effets de hantise psychique se manifestent surtout quand la victime est seule, et principalement la nuit. Ces visions peuvent prendre la forme de peurs refoulées, de souvenirs coupables, ou tout ce qui semble pertinent au vampire. Ce dernier doit laisser libre cours à son imagination lorsqu'il décrit ces impressions : la victime doit penser qu'elle sombre dans la folie (à moins que ce ne soit le monde autour d'elle qui sombre dans la folie).

Système : le vampire doit parler à sa victime, puis dépenser un point de sang et effectuer un jet de Manipulation plus Subterfuge (difficulté égale à Perception + Maîtrise de soi/Instinct de la victime). Le nombre de réussites indique la durée des visions. Les effets précis sont laissés à l'interprétation du vampire, mais des apparitions particulièrement déplaisantes ou terrifiantes peuvent réduire les groupements de la victime, ou lui infliger des dérangements mineurs, surtout lorsque les visions se manifestent sur de longues périodes.

Animalisme : la Bête se trouve au cœur de toute créature, des plus petits insectes aux plus anciens vampires. La discipline Animalisme permet au clan des vampires de développer un lien étroit et intense avec sa nature primordiale. Il peut non seulement communiquer avec les animaux, mais également projeter sa volonté en eux, prenant ainsi leur contrôle. En acquérant de la puissance, le vampire peut utiliser ses pouvoirs pour contrôler la Bête des mortels et même celle d'autres damnés. Les animaux sont très agités lorsqu'ils sont proches d'un clan de vampires qui n'a ni cette discipline, ni la compétence Animaux, allant parfois jusqu'à s'enfuir ou attaquer. Au contraire, un damné disposant d'Animalisme est rassurant pour les créatures inférieures, qui sont même souvent attirées par lui.

Domination : c'est l'une des disciplines vampiriques les plus craintes, car elle permet aux clans des vampires d'influencer les pensées et les actes d'une victime par la simple force de leur volonté. Utiliser la domination demande au vampire d'établir un contact visuel direct avec sa cible, sa victime), il ne peut donc agir que sur une seule personne à la fois. Les ordres doivent être donnés oralement, mais certaines injonctions simples peuvent être intimées par signes (un index pointé dans une direction et une expression autoritaire pour dire « Pars ! »). Si la cible, la victime, ne comprend pas le damné (elle ne parle pas la même langue, l'ordre n'a aucun sens pour elle, elle ne peut pas l'entendre), elle n'obéira à aucun ordre, quelle que soit la force de volonté du vampire. Les vampires maîtrisant la domination sont souvent issus des clans les plus autoritaires et dominateurs.

Thaumaturgie - La Voie du Sang : quasiment tous les vampires étudient en priorité la Voie du Sang. Elle comprend quelques-uns des principes fondamentaux de la Thaumaturgie, puisqu'elle est basée sur la manipulation de la vie. Si un vampire souhaite prendre une autre voie primaire, il lui faut une bonne raison (quoique cela se soit déjà vu). Chaque fois que le personnage utilise un des pouvoirs d'une voie de Thaumaturgie, le joueur doit dépenser un point de sang et faire un jet de Volonté contre une difficulté égale au niveau du pouvoir. Une seule réussite est nécessaire pour invoquer l'effet (c'est le niveau dans la voie, et non les réussites aux dés, qui indique la puissance de la magie du sang). Un échec à ce jet indique que la magie échoue, un échec critique entraîne la perte d'un point de Volonté (parfois permanent), une combustion spontanée, une « création » échappant au contrôle du thaumaturge ou tout autre effet de ce genre. L'art de la Thaumaturgie ne pardonne pas...

Goût du sang : ce pouvoir a été développé pour connaître la puissance d'un ennemi, une capacité très importante dans les premières nuits tumultueuses du clan des vampires. En touchant simplement le sang d'un sujet, le thaumaturge peut déterminer combien de vies restent dans son organisme. S'il s'agit d'un vampire, il sait aussi depuis combien de temps il s'est nourri, sa génération approximative et, avec au moins trois réussites, s'il a récemment commis un maléfice.

Système : le nombre de réussites sur le jet détermine le nombre et la précision des informations.

Rage sanguinaire : ce pouvoir permet à un vampire d'en forcer un autre à dépenser du sang contre sa volonté. Le thaumaturge doit toucher sa cible pour pouvoir utiliser la rage sanguinaire, mais le contact le plus léger est suffisant. Un vampire victime de ce pouvoir peut ressentir une pulsion physique soudaine et incontrôlable, tandis que le thaumaturge qui augmente ses attributs physiques, peut avoir soudain l'air plus humain, ou peut se retrouver proche de la frénésie tandis que sa réserve de vie disparaît mystérieusement.

Système : chaque réussite force la cible, la victime, à dépenser point de sang immédiatement et de la manière souhaitée par le thaumaturge (cette dépense doit être logique et peut servir à augmenter des attributs physiques ou alimenter des disciplines par exemple).

Puissance du sang : le thaumaturge a un tel contrôle sur son propre sang qu'il peut le « concentrer », le rendant plus puissant pour une courte période. Il peut ainsi abaisser artificiellement sa génération avec ce pouvoir. Une seule utilisation par nuit est possible.

Terreur : peur extrême qui bouleverse, paralyse. Une terreur affreuse. Synonymes : effroi, épouvante, frayeur... de la peur collective que l'on fait régner dans une population, un groupe, pour briser sa résistance ; régime fondé sur l'emploi de l'arbitraire imposé et de la violence. Gouverner par la terreur. Terrorisme : être ou chose qui inspire une grande peur.

Peur violente qui paralyse : un cataclysme qui provoque la terreur de la population. Synonymes : effroi, épouvante, frayeur, horreur, panique... Pratique systématique de violences, de crimes en vue d'imposer un pouvoir : un dictateur qui ne se maintient que par la terreur. Personne ou chose qui inspire une grande peur, qui effraie.

La violence psychique, c'est celle d'être complètement vidé, sans énergie après avoir passé un moment en compagnie d'un proche malveillant et certains autres instants en compagnie d'Angélus, le plus infame vampire dans l'art de la tourmente, c'est lui qui fait déclencher tout cela. C'est son art de faire du mal moralement, tout d'abord en parlant avec sa victime, accentuant les doutes et les peurs de celles-ci, avant d'agir en leur faisant du mal physiquement. Il se peut que votre fatigue soit de son fait (le proche malveillant ou Angélus) et que cette personne soit en réalité ce qu'on appelle "un vampire psychique". Le vampire psychique est une personne qui se nourrit de notre énergie, de notre attention et de nos forces sans rien donner en échange. C'est comme un parasite. On s'en aperçoit par l'effet qu'il produit sur nous. Le fréquenter dans la durée ou même momentanément, induit chez nous un état de fatigue, de lassitude ou de nervosité. Parfois même, il provoque des troubles physiques systématiques. Peu à peu, on se rend compte des conséquences et on fait le lien entre leur présence et notre état. Enfin, on se rend compte que ces personnes dépendent de nous ou nous utilisent à leur profit sans jamais rien donner en échange pour nous ressourcer ou pour compenser notre fatigue, notre travail. Pour les repérer, il faut avoir conscience qu'ils existent et qu'ils peuvent prendre des formes diverses. On a tellement en tête la présence des pervers de dieu grec -au visage d'ange- qui nous veulent du mal, qu'on ne se rend pas compte que des gens en apparence très gentils nous pompent l'air. Ils ont l'air innocents et parfois victimes. Il faut se dire qu'ils ne sont pas méchants mais souvent en demande d'amour. Ils manquent d'amour eux-mêmes donc se comportent sournoisement et s'infiltrent telles de mauvaises herbes en s'immisçant, se glissant dans le noir pour mordre à un moment où l'on s'attend le moins. Ils ne font pas peur donc on ne s'en méfie pas.

Le pervers dont on parle beaucoup est plus rare qu'on ne le croit. Son objectif est de nous faire du mal car il jouit de notre souffrance. Notre mal-être lui fait du bien. A l'inverse, le vampire ne veut pas nous faire de mal. Il peut nous manipuler pour se nourrir de nous mais son objectif n'est pas de nous détruire sinon il perdrait son garde–manger. Le vampire veut notre force de travail et notre énergie car il est incapable de faire les choses par lui-même, du coup, on s'épuise pour lui.

La torture par exposition au soleil est une des pires tortures vampiriques faites sur les vampires qui ont commis un acte de trahison, de révolte, une grosse erreur ou encore qui n'ont pas respecté les lois vampires. Généralement, ce sont les géniteurs de rangs supérieurs qui décident d'utiliser ou non cette atroce punition.

Premièrement, le vampire puni se fait enlever son arme vampirique pour qu'il ne puisse pas se défendre. Ensuite, il se fait crucifier sur une croix en bois, on lui enlève sa ou ses protections, et finalement à cause des rayons du soleil, le corps du vampire libère une enzyme une substance de sang de corps et de sa chaire qui va le faire entrer en combustion instantanément. Le vampire va alors hurler de douleurs mais vu, qu'il est immortel, il va continuer de souffrir jusqu'à ce qu'on le libère. Généralement, cette torture dure plusieurs jours. Pour arrêter cette torture, il faut mettre le vampire dans un endroit sans aucune lumière ou alors refixer la protection du vampire.

Quand cette torture est arrêtée, le vampire qui est à ce moment-là totalement brûlé arrête de souffrir et voit son corps se régénérer automatiquement peu-à-peu.

Pieu : le pieu en bois est l'arme la plus couramment utilisée contre les vampires. Quelle que soit la nature du bois, il est dangereux pour les vampires et quand le pieu est planté dans le cœur, le vampire meurt et son corps vire au gris, se transformant en cendre. Mais en enfonçant des morceaux de bois dans la chaire des humains sous forme de torture pour ses victimes, Angelus était très créatif pour les faire mourir d'une mort lente, de maladie et d'infection ; une septicémie est une infection généralisée provoquée par une bactérie. Elle provoque une inflammation importante. La maladie est connue depuis longtemps. La bactériémie se définit par la présence de bactéries dans la circulation sanguine. Lorsque les bactéries sont en trop grand nombre ou que les défenses immunitaires de la personne sont diminuées (par un traitement, une maladie, une infection contre d'autres infections maladives du sang par exemple ou un déficit immunitaire congénital), ou débordées par leur nombre, l'organisme n'est plus capable de les éliminer ce qui peut aboutir à une septicémie.

Le sepsis est la réaction inflammatoire généralisée excessive en réponse à une infection grave. Le choc septique (pouvant également survenir en cas de septicémie) est lié à la libération dans le sang de toxines sécrétées par certaines bactéries.

Le risque de septicémie est augmenté par la présence d'un « corp étranger, un antidote un objet de poison étranger au corps humain » dans l'organisme, comme une prothèse osseuse ou articulaire, une prothèse valvulaire cardiaque, un cathéter vasculaire, une sonde urinaire ou digestive, une sonde d'intubation trachéale. Les bactéries qui s'accumulent au niveau de ce matériel étranger ou d'un foyer infectieux sont relâchées de façon épisodique dans la circulation sanguine.

Par toutes ces atrocités, Angélus apprend toutes ces ignominies, tout ce qui fait de lui l'auteur de ces horreurs -cruautés- et monstruosités à Spike.

Une des tortures qu'Angélus inflige à ses victimes est de les attacher, allumer une bougie, chauffer des éguilles à coudre et les planter dans le ventre de ses victimes, une à une lentement afin que ce soit le plus douloureux possible. La victime ressent alors des piqures comme des brûlures comme des coupures à l'intérieur de la chaire, qui s'atténuent lorsqu'Angelus arrête de les enfoncer, mais qui reprennent lorsque les victimes essayent de bouger, car les aiguilles remuent à l'intérieur du corps. Cela oblige les victimes à rester immobiles pour ne pas trop souffrir. Ensuite, il prend une plus grosse aiguille, une épingle et grave sur leur vendre un signe significatif venant tout de lui en provenance de son imagination créative de monstre représentant un des plus grands tourments de ses victimes. La douleur ressentie alors par les victimes est comme une grosse brûlure en continue qui agit en profondeur dans la chaire. Gravure à l'épingle chaude, au fer chaud.

L'ébouillantage : on commence par une torture très lente où la victime est plongée petit à petit, les pieds en premier, dans de l'huile, de l'eau ou de la cire portée à ébullition. Bien entendu, la douleur ne rendait pas les victimes inconscientes immédiatement mais la brûlure atroce des couches externes de la peau les faisait agoniser. On peut imaginer que ce genre de supplice était réservé pour les pires meurtriers, mais des documents historiques réfutent cette théorie.

Le supplice du chevalet -chevalier- : voici une méthode utilisée pour obtenir des informations ou des aveux. Pour cela, la victime était attachée par les poignets et les chevilles à l'aide de liens fixés à chaque extrémité du cadre en bois. Constitué de deux rouleaux de chaque côté, les bourreaux les faisaient tourner dans des directions opposées dans l'unique but d'étirer très lentement le corps du torturé. Il existe aussi une variante de cet instrument de torture avec des clous plantés sur la planche, histoire que la victime s'allonge dessus pour assurer davantage de blessures et d'horreur !

L'écartèlement est un supplice utilisé pour donner la mort par la séparation simultanée des quatre membres du tronc du corps humain. Il servait également dans le cadre de la torture judiciaire. la cruauté de ce supplice le réservait à des crimes exceptionnellement graves. Avant que son corps fût rompu par écartèlement, le condamné était dénudé. On liait ses membres aux quatre chevaux de trait ; puis on pratiquait des entailles aux jointures, afin de faciliter la rupture ; parfois la main qui avait tenu l'arme du crime était brûlée au soufre. Le corps devait être attaché à un support au niveau du tronc pour que les quatre membres pussent être arrachés, sinon il en restait un, les autres ayant lâché avant, et le corps partait avec le membre. Si l'écartèlement est principalement un mode d'exécution, il fut aussi utilisé dans le cadre de la torture, principalement judiciaire mais aussi religieuse. On remplaçait les animaux par un chevalet, c'est-à-dire une table en bois avec une roue (des cylindres plus exactement) à chaque extrémité. Les deux cylindres servent à tendre progressivement les cordes qui lient les quatre membres de la victime. En général, cette torture était utilisée seule, sans brûlure ni entaille, mais parfois la table était munie de lames qui coupaient le dos de la victime. L'écartement pouvait atteindre de dix à quinze centimètres. La victime mourait par arrêt cardiaque ou par asphyxie.

Angelus, il y a quelques temps nous lui avons présenté à Spike bon nombres de technique et possibilités de tortures et de supplices, méthodes de torture jamais inventées dans l'histoire de l'Humanité. Spike avait cru tout voir tout connaitre de la monstruosité, cruauté. Il pensait avoir tout vu, mais il se détrompait. Ce n'est rien comparé à ce qui suit ! Âmes sensibles, s'abstenir ... On vous aura prévenu ! Pour vous dire, ces techniques de torture vont faire passer pour un petit joueur, un terrain de jeux et à ce que l'enfer ne soit rien comparé à ce qu'Angélus réservait et ce qu'il était bien capable de faire. Il semblerait connaitre et avoir des présentations qui s'imposaient comme d'autres types de torture et de monstruosité ; l'aigle de sang, le supplice de la cale, le séparateur de genoux, la bougie romaine, le découpage, la poire du pape, le bambou, la scie, le dépeçage.

Tout au long des siècles, les plus veilles familles et clans vampiriques et le clan Aurélien ont établi et appliqué un certain nombre de lois auxquelles tous les vampires sont censés obéir sous peine de mort. Il n'y a pas beaucoup de ces lois, et ils concernent principalement le secret entourant l'existence des vampires. Les lois ne sont pas écrites ; les écrire, serait en soi une infraction. Au lieu de cela, les lois sont votées par le bouche-à-oreille de vampire à vampire.

Comme ils sont incapables de se maîtriser, les enfants immortels ne doivent pas être créés. Cette création est le tabou ultime et punissable par la mort des enfants, du créateur, de ceux qui défendent l'enfant et de ceux qui connaissent son existence.

Traiter avec des Enfants de la Lune – des enfants loup-garou-, sauf à des fins d'extermination, est interdit.

De faux témoignages sont punissables par la mort.

La chasse est interdite à certains endroits du monde, la ville où réside les plus veilles familles et clans vampiriques ; leur nourriture provient de l'extérieur, parfois de très loin.

Les vampires n'ont pas le droit de s'exposer à la lumière du soleil.

Le créateur est responsable du comportement de son nouveau-né et de l'enseignement des lois avant qu'il puisse être relâché. En laissant le nouveau-né chasser clairement, la peine de mort sera à la fois pour le nouveau-né et son créateur. Même si le nouveau-né ignore tous des lois, les actes téméraires sont toujours punissables par la mort.

L'interaction des vampires avec les humains ne doit pas trop attirer l'attention. Si un être humain prend conscience de l'existence de l'un d'entre eux, le vampire en faute sera chargé de faire taire cet humain. Cela conduit la plupart du temps à deux options : l'humain est transformé en vampire ou il garde le silence permanent. Tant que l'attention n'est pas trop grande, les plus veilles familles et clans vampiriques ne sont pas obligés d'intervenir, ou ils peuvent ne jamais le savoir.

Tout au long des siècles, de nombreux vampires sont nés après que les lois furent établies, et tous les vampires ont appris ces lois par leur créateur. Bien qu'ils pensent des lois comme un fait accepté, ils ne savent pas que le véritable régime des plus veilles familles et clans vampiriques et le clan Aurélien, est de maintenir le contrôle dans le monde des vampires. À ce jour, de nombreux vampires continuent d'obéir aux lois. Puisque certaines familles qui ne sont pas célèbres et restent dans l'ombre en minorité pour ne pas se faire remarquer, celles-ci obéissent aux lois, elles sont obligées de se déplacer environ tous le ans pour éviter des soupçons dans le monde humain.

La dernière leçon qu'Angélus ait voulu inculquer, comprenne et lui donne en explication, était la pire chose qui soit, la plus impardonnable, la plus criminelle et indigne d'un vampire condamnant et violent toutes les lois du monde de la nuit des démons et vampires ; les enfants immortels sont des enfants humains qui ont été transformés en vampires à un âge très précoce. La création d'enfants immortels a longtemps été interdite par les plus veilles familles et clans vampiriques en raison de leur incapacité à rester caché dans le monde des humains. Il n'y a pas de limite absolue d'âge fixée sur ce qui constitue un enfant immortel ; il était une définition subjective, basée sur la capacité de l'enfant à se comporter d'une manière compatible avec les lois des vampires. C'était quelque chose contre nature, un viol de violation au cycle de la vie toutes lois naturelles, monstrueuses.

Physiologie : comme tous les vampires, les enfants immortels sont figés à l'âge mental et au physique à laquelle ils ont été transformés. Avant la transformation, ces petits enfants continuent à présenter un comportement enfantin, y compris les actes impulsifs, les crises de colère, les activités irresponsables, et un manque général de circonspection. Il est dit que la colère d'un enfant immortel peut tuer des gens, car la retenue est fondamentalement impossible pour quelqu'un de si jeune. Ces petits anges, ces enfants qui s'approchent et frôlent la mort, devient en quelque sorte des anges déchus.

Un autre aspect était leur appel ; ils étaient à la fois beau et attachant et n'importe quel humain ou vampire sauraient les aimer. Les légendes et les conseils des observateurs les décrivaient comme d'adorables petits enfants avec des sourires et des fossettes qui détruiraient un village pendant l'une de leurs crises.

Étant incontrôlables, les comportements enfantins des enfants immortels ne peuvent respecter les lois des vampires, et ces enfants sont souvent attirés par l'avis des humains.

Comme ils étaient trop jeunes pour être contrôlés, les plus veilles familles et clans vampiriques et le clan Aurélien ont tués tous ceux qu'ils pouvaient trouvés. En vertu de cette loi, toute personne qui connaît ou qui tient à l'enfant est également punie. D'innombrables humains et vampires ont été massacrés à cause de ces créations. Les créateurs d'enfants immortels et ceux qui connaissaient ceux qui étaient totalement dévoués aux enfants et opposés aux plus veilles familles et clans vampiriques et le clan Aurélien, ont tous été détruits en même temps. Tous sauf un, Angelus.

Angelus et Darla tuent la femme et le fils en bas âge du chasseur de vampires Daniel Holtz, et transforment sa jeune fille en vampire, le forçant à la détruire. Holtz se consacra alors à capturer Angelus et Darla, et les poursuivit à travers l'Europe. Il a réussi à tuer près de quatre cents autres vampires dans le processus, engendrés en tant qu'alors qu'ils n'étaient que des enfants et jeunes adolescents et adolescentes. Dès bébés innocents ; Elle l'a confronté à ce sujet lui a donné la chance de faire ses preuves en se nourrissant d'un bébé dont Darla avait tué les parents, le kidnappent pour s'enfuir de la chambre de la maison par une fenêtre ouverte... Juste une petite gorge avec la saveur liquide de sang chaud frôlant l'intérieur ; il ne se lasserait jamais de tuer, de gouter au sang frais et jeune, leur chair ; tue une servante nommée Margaret lors d'une fête de Noël à Londres. La femme avait un jeune fils qu'Angelus tua par la suite. Il avait toujours eu le sentiment l'effroyable certitude que boire du sang jeune dont la pureté était innocente, était sa vocation un sacrement devant le diable et il devait obéir et c'était une destinée son repas préféré et le plus délicieux, Ambroise nectaire qu'il n'ait jamais ressenti et goûté chez un humain.

Angélus avait obligé par l'encadrement et la force de la soumission à encourager même à des moments et lieux le forcer à commettre cette atrocité à sa progéniture qui était de Spike.

Il semblerait que c'était il y a longtemps, dans un passé lointain, de durs souvenirs douloureux au tout début à l'aube de ses premières années de vie vampirique, ses jeunes années, William avait semblé si jeune, si innocent quand bien même il avait trente ans à la fin de sa vie lorsqu'il a été transformé ; innocent, inoffensif, doux et affectueux, il avait eu une si belle personnalité... La gravité de ce qu'il a vécu, les atrocités, les souffrances vécues dès sa première année dans l'atmosphère de sa fréquentation, dans l'entourage d'Angélus était effrayante en étant la cible préférée des plus âgés des vampires de la famille de Drusilla. Pourquoi ce fut William -Spike- qui était le plus attaqué, pris à partie et dont le reste il y eu tout de suite dès le commencement de l'hostilité dans l'atmosphère du poison s'en venait. Dès l'année 1880, soit l'année de mort de William et le renouveau de la naissance du célèbre et modeste Spike, qu'il fut intimidé par Angélus et d'autres hommes vampires qui le suivait. Et cela dura pendant plus d'une quinzaine d'années.

Mais le jeune homme n'hésitait pas à montrer son côté le plus sombre, le plus noir terrifiant et inquiétant ne laissant jamais quiconque le rabaisser comme beaucoup plus hors de la boue et tuer les jeunes vampires qui le terrifiaient, le blessaient avec des mots.

Spike avait, et avait encore jusqu'à présent toujours subi de graves abus de faiblesse physiquement graves tout autant et régulièrement, quotidiennement avec une part équilibrée égale verbalement.

Le pire était encore à venir, il y avait beaucoup de détails de maltraitance, de perversion d'agression sexuelle, tortueuse dramatique, tragique, que ce n'était rien en comparaison à ce qu'il a vécu, d'histoire véridique ; graphique choquante, maladive avec beaucoup trop malsain et très triste comme si c'était trop à entendre mais ce n'était rien en comparaison à la vraie chose. Mais c'était cela qui importait le plus, le plus important et grave, de faire connaitre la vérité, de conter l'histoire touchante et impardonnable de ses blessures du mal, tout ceci en mémoire de William -Spike- pour connaitre en mémoire à ce qu'il a vécu du début à la fin.

Cela a été très indiscipline de façon, de manière irrégulière. Graduellement en réalisant petit à petit des abus d'une manière, d'une façon à ce que c'était doucement et en plusieurs étapes ; à des coups pratiquement imparfaits jusqu'à ce que ce soit des coups violents.

La maltraitance est un mauvais traitement infligé à une personne que l'on traite avec violence, mépris ou indignité. La maltraitance implique un rapport de pouvoir ou domination entre l'auteur et la victime, qui est ainsi souvent dépendante et sans défense. Le bourreau est en situation de force par rapport à sa victime, il en fait ce qu'il voulait physiquement comme moralement pour la dominer.

Pour mesurer la gravité des maltraitances, il est important d'analyser quelles peuvent être leurs conséquences. D'abord au niveau du groupe social ou familial dans lequel elles prennent place, les maltraitances peuvent jouer un rôle perturbateur majeur. Qu'un des membres du groupe en maltraite un autre avec la complicité tacite ou la passivité des autres membres entraîne toujours des sentiments lourds et ambivalents. La culpabilité s'y mêle avec le ressentiment à l'égard de l'agresseur comme de l'agressé à qui l'on peut reprocher de ne pas résister, voire d'avoir une relation spéciale avec son tortionnaire.

Ensuite, au niveau des individus, ces conséquences peuvent être de deux ordres : d'une part, des lésions et des atteintes physiques et, d'autre part, des réactions au niveau du psychisme. Par exemple, on observe souvent, chez les victimes, des sentiments d'impuissance et d'humiliation sans aucun rapport avec l'importance des atteintes corporelles. Mais dans d'autres cas, ces réactions sont ambivalentes et mêlent à la fois plaisir et souffrance. La complexité des modes d'intériorisation des situations de dépendance explique la grande variété des conséquences de la maltraitance.

les violences psychologiques auront des implications complètement différentes selon l'emprise de la personne maltraitante sur la victime : des insultes d'un membre du clan alpha -clan Aurelius- et d'un membre supérieur de la famille ou d'un ascendant pourront s'imprimer durablement dans la conscience de la personne qui aura subi de telles paroles dévalorisantes, alors que le dénigrement et le refus de tendresse d'un conjoint ou d'un parent pourront être considéré dans un autre contexte comme des jeux ou des façons paradoxales de témoigner son intérêt.

Les violences physiques (coups, voire blessures exercées avec des armes) peuvent mettre les victimes dans des situations de prostration complète, mais elles peuvent aussi ne donner aucune suite si les personnes sont engagées dans un projet où elles visent à se dépasser.

D'abord Angélus frappait Spike très régulièrement de manière quotidienne à coup de poing, ce qui provoquait des hématomes et quelques fois, il prenait un couteau pour lui couper la chair, il y avait des plaies ouvertes qui suintaient et Angélus lui criait dessus pour lui faire comprendre les choses.

Il prenait un tisonnier, le mettait dans le feu et lui appliquait sur tout le corps pour le brûler. Spike avait du mal à cicatriser à cause de tous les abus et il lui fallait du sang à boire pour survivre, il avait une blessure intense, grave et profonde au niveau du crâne et qui avait du mal à cicatriser à cause du sang séché dans ses cheveux avec des suintements de pu.

Il n'avait pas le temps de guérir même d'une manière accélérée car les coups étaient trop rapprochés les uns des autres et tout recommençait encore et encore à chaque fois et chaque jour.

Angélus obligeait Spike à torturer des gens. Spike était influencé par Angélus. Il y avait de nombreux abus car Angélus ne supportait pas spike, ce qui fera une division entre les quatre membres du fléau, car Darla et Drusilla ne supportaient pas de voir autant de souffrance et ne supportaient plus qu'Angélus blesse et fasse du mal à spike. Et en un seul coup, de clignement d'œil, elles essayaient de le soigner par elles-mêmes. En faisant cela, c'était devenu comme un mécanisme et un automatisme, elles venaient toujours vers lui pour l'aider à faire face aux abus d'Angélus.

Les violences sexuelles (viol, agression et atteinte sexuelle, inceste), enfin, sont moins ambivalentes et conduisent le plus souvent à des sentiments d'humiliation, d'impuissance et de négation de soi pouvant aller jusqu'à la dépression et au suicide.

Cela faisait deux semaines que Spike était enfermé dans un manoir abandonné à la cave -au sous-sol. Dès qu'il avait aperçu le visage d'Angélus, Spike avait su que tout irait de mal en pis, qu'il serait puni et martyrisé serait difficile, que son grand-père allait lui faire payer d'avoir essayé de s'enfuir en lui faisant ressortir l'obligeant à se sentir coupable avec cet homme immense, mais à ce point-là, il n'aurait jamais deviné.

Angélus l'avait enfermé dans une cave réservée à la torture avec des chaines de différents instruments qu'il avait et possédait en tant que tortionnaire dès son arrivée. Certes, cette année il ne dormirait pas dans un placard mais la pièce ressemblait plus à une cellule de prison qu'à une chambre qu'un couple aussi amoureux et si dévoué à Drusilla avec des barreaux à la fenêtre, un lit avec un vieux matelas troué et une couverture déchirée, une armoire bancale, un pot de chambre et une trappe en bas de la porte pour laisser passer de la nourriture. Il avait été autorisé à garder ses vêtements et son carnet intime mais comme il était enfermé et dans le noir, il n'avait pas assez de lumière, une faible lueur d'une bougie il n'arrivait pas à écrire et ne pouvait pas sortir. Le seul avantage c'est qu'il ne devait plus faire le minions d'Angélus.

Les deux premiers jours se passèrent sans incident. Darla étant absente jusque fin juillet -pour rendre une visite au maître-, Angélus lui passait un maigre repas deux fois par jour et le laissait sortir le matin pour aller à la salle de bain et vider son pot de chambre. C'est le troisième soir que tout bascula.

Angélus était rentré au moment du levée du soleil et sa gloire sa bonne humeur, du moins comme il l'était d'habitude se sentant supérieur, honorer la joie du sang était une bénédiction et immortel et c'est sur Spike qu'était tombée toute sa furie. Il était entré dans la chambre de son petit-enfant vers minuit, le traitant tout d'abord de raté, de bon à rien, puis les coups avaient commencé à pleuvoir : coups de pieds, coups de poings, coups de ceinture... Puis Angélus avait dit que comme il devait le nourrir et le loger, il allait se rembourser en lui faisant faire la seule chose dont il était capable. Il lui avait alors retiré le pyjama et l'avait bâillonné avec son T-shirt avant de libérer son sexe de ses propres vêtements. Il s'était ensuite assit sur le ventre de Spike qui se débattait autant que lui permettaient ses blessures et s'était masturbé avant d'écarter les jambes du jeune garçon et de le pénétrer violemment.

Pour ce pauvre William, cela semblait durer des heures. Il sentait son grand-père bouger en lui et un liquide chaud s'écouler entre ses jambes. Il avait l'impression d'être déchiré en deux. La douleur était telle qu'il finit par tomber dans l'inconscience.

Depuis ce fameux soir, le même rituel se répétait, parfois plusieurs fois dans la même journée. De temps en temps, Drusilla se joignait à son père qui voulait lui apprendre comment traiter les personnes indignes et anormales d'être de tel vampire. Dans ces occasions, il obligeait Spike à le sucer, le tenant par les cheveux pour s'enfoncer plus profondément dans sa bouche, pendant que son sieur le besognait sauvagement avant de recommencer à le battre.

C'est pourquoi, après deux semaines de ce traitement, le corps de Spike était méconnaissable. Il était couvert d'ecchymoses et de sang séché et ne pouvait presque plus bouger. Il ne sentait plus son bras gauche et avait sans aucun doute quelques fractures. Malgré cela, il continuait de résister, bien que de plus en plus faiblement à son aïeul, refusant de lui servir d'objet sexuel à lui et à Drusilla.

Près de son sexe et de l'anus à l'intérieur même l'on pourrait constater plus d'une centaine de blessures, brulures à la cigarette, il saignait des tissus endommagés par des coupures de bouteille ; le plus alarmant était l'état de son anus. Il était déchiré à plusieurs endroits et fortement endommagé, du sang s'écoulant d'ailleurs toujours de l'orifice. La guérison serait sans aucun doute longue et douloureuse.

Dès qu'il fut en lui, Spike commença à pleurer, se rappelant trop bien les atrocités et la douleur que lui avait faites subir son grand-père peu de temps avant. Bougeant des doigts à l'intérieur les sentant sortir et ressortir.

Spike ne s'était jamais réellement remis des viols, agressions sexuelles qu'il a dû subir de la part d'Angélus, mais avec esprit de caractère et sa force il eut le courage de continuer en devenant un survivant de ces abus physiques en luxure, c'était ce qu'imaginait, ce qu'il avait en tête et ce que déduisait Angelus. Il avait occulté un viol que le jeune vampire avait subi qui commençait à remonter à la surface. Son âme s'est mise à nue, quelques soit le fait de l'avoir surmonté lui donnait une force que personne ne peut lui enlever. Il n'est grotte profonde ou repaire secret, obscurité immense ou vallon embrumé, où le meurtre sanglant et le viol abhorré de puissent terrer, craintifs, sans qu'il le découvre, pour leur dire à l'oreille le redoutable nom de l'agresseur ; vengeance, qui fait trembler l'infâme criminel. Un viol auditif, qu'il a vécu était très réel à ses oreilles ses autres sens, son corps tout entier. L'ennemi la pénètre à coups de décibels. Débarqué en pleine nuit comme les Alliés sur Omaha Beach, il a investi son sommeil, son lit, ses oreilles.

Et puis ce que l'on appelle un viol ne cible pas uniquement le corps. Les violences ne prennent pas toujours une forme visible. Les plaies ne font pas toujours couler du sang. Rien n'est pur ou impur en soi. La même salive fait le crachat ou le baiser ; le même désir fait le viol ou l'amour. Ce n'est pas le sexe qui est impur : c'est la force, la contrainte. Se forcer dans le corps d'un autre ; c'était le pouvoir, le fait d'être tout puissant et invincible en voulant prouver au monde qui il était ; c'est dans ses états d'esprits que le sexe, la verge se durcisse, c'était à cause d'esprits tordus, pervers... Le viol n'est pas une recherche de sexe, c'est une recherche de totale domination.

C'est flatteur, un viol. Ça prouve qu'on est capable de se mettre hors-la-loi pour vous. Le simple regard porté sur la douleur, la laideur, la beauté, la tristesse et la joie, constitué un viol permanent de l'intimité autorisé par la loi. Le viol, c'est l'amour par effraction, dans un certain sens. C'était comme des viols collectifs avec des sens lorsqu'il y avait plusieurs personnes qui étaient là, à attendre….

C'était devenu trop, beaucoup trop grave et impossible que cela redevienne comme autrefois à perdre le contrôle de sa vie, il essayait d'être fort pour pouvoir reprendre le contrôle ; cela n'avait que trop insupportable en ayant duré beaucoup du lointain sans revenir en arrière pour tout changer. C'était toujours la phrase qu'il se répétait pour garder sa dignité, le peu qu'il lui restait, et le contrôle et ne jamais se laisser faire en détruisant tout sur son passage ; il voulait être bien meilleur, être fort en changeant comme les paroles qu'il a dites à sa mère ; Elle m'a fait ce que je suis. J'ai quitté le monde des mortels. Je suis devenu une créature de la nuit. Un vampire. Il se sent tellement bien ! C'est comme s'il avait de nouveaux yeux. Il voit tout. Il comprend tout... Spike et le William qui vit et était pour toujours en lui était horrifié et scandalisé, ne se laissant plus jamais soumis et mis à genoux devant Angelus ; il se battrait toujours jusqu'au bout.

Enfin en cette belle année, nouvelle aire de notre instant de grâce, en ces temps de l'année 1880 de notre seigneur Jésus-Christ. William voulait souhaiter changer la face du monde après avoir tué sans remord avec atrocité sanglante sans scrupule avec des pointes de lourds objets de barre provenant des chemins de fer. Il ne fit que penser à son nouveau nom le nom de son côté vampirique de sa non-vie : Spike. Spike. Spike.

Et aussi, ainsi Il a aimé. C'était étrange, différent... et sans prétention. En un gout de liberté chercher et trouver pendant si longtemps ; mais il voulait un titre, un titre que tout le monde gagnerait et surtout les humains qui avaient une certaine expérience, de longues études des espèces de créatures de la nuit, de l'ombre démoniaque ; et ce nom serait le Tueur des Tueuses.

Le Conseil des Observateurs était l'institution dirigeante des Observateurs et également des Tueuses. Le Conseil avait maintenu des agents dans le monde entier dans leur lutte contre les vampires et les démons... Le Conseil des Observateurs descend des Hommes de l'Ombre, les créateurs de la Première Tueuse en Afrique préhistorique. Influence dans le Monde ; À un certain moment, les observateurs ont fait de la Grande-Bretagne leur centre des opérations. D'autres bureaux étaient situés à Munich, en Suisse, à Rome et à Melbourne... Malgré leur métier d'aider la Tueuse, au fil des années, le Conseil était devenu de plus en plus arrogant et égocentrique, se croyant être l'autorité suprême tandis que les tueuses étaient seulement leurs outils. Le Conseil des observateurs a été connu pour utiliser des méthodes éthiquement douteuses pour atteindre ses objectifs. Le Conseil emploie un trio d'agents connus comme l'Équipe Spéciale du Conseil des Observateurs. Cette équipe est responsable de certains des aspects les plus désagréables du travail du Conseil, comme les interrogatoires, la contrebande, et, si nécessaire, les assassinats. Après que bon nombre de Tueuses au fil des siècles et au fil des décennies devenant de ténébreuses ombres, se retiraient dans l'ombre et devenaient des voyous qui tuaient des êtres humains, l'équipe a été envoyée pour récupérer la Tueuse, contournant les autorités locales et internationales.

Observateur était le titre donné à un membre du Conseil des Observateurs, consacré à l'étude, au suivi et à la lutte contre les entités surnaturelles malveillantes, le faisant par l'intermédiaire d'un Observateur chargé d'entraîner et de guider la Tueuse. Les observateurs ont reçu une formation dès leur plus jeune âge et ont dû fréquenter la Watchers Academy.

Les observateurs en formation étaient souvent forcés de participer à des essais sur le terrain, ce qui nécessitait d'affronter et de vaincre un ennemi. Ceux-ci étaient souvent situés dans un cadre contrôlé, où un Observateur en formation était placé dans une situation sans aucune information ou avertissement préalable, où il devait combattre un vampire ou un démon par les moyens nécessaires. Les observateurs ont prêté des serments sacrés qui comprenaient un serment de protéger les innocents. Les associations avec les vampires ont été évitées et considérées comme une perversion.

Les observateurs ont enseigné aux tueuses des compétences de combat au corps à corps principalement sous la forme d'arts martiaux et leur ont appris à utiliser des armes de tueur traditionnelles telles que des arbalètes, des haches, des épées et des quarts-toits. Les tueurs seraient formés régulièrement ; soit pour acquérir de nouvelles compétences, soit pour maintenir leur bien-être physique.

Le plus souvent appelé simplement « Conseil », le titre complet de l'organisation a été écrit dans les documents officiels de plusieurs façons: « Conseil des observateurs, Bien qu'il n'ait jamais semblé écrit dans le monde, il n'y a pas non plus de cohérence entre ceux qui soit riche dans la bourgeoisie comme tel des fonctionnaire restant derrière leur bureau fournissant des ordres qui était bien loin de la réalité du monde ; vivant croyant que tout était facile à supporter des personnes qui naissez avec une cuillère en argent dans la bouche, qu'il était dans un autre monde une autre réalité qui était bien pire pour des observateurs en activité ainsi que la Tueuse...

Le vent fouettait son visage alors qu'elle regardait au-dessus de la falaise, le baume salé des embruns apaisant sa peau. Ses cheveux blonds dansaient et s'emmêlaient avec l'air alors qu'elle regardait l'océan éclairé par la lune. Sauvage, comme elle aurait aimé pouvoir l'être. Mais pendant cinq ans, les filles qui vivaient le plus longtemps, elle avait été soumise à un appel qu'elle n'avait jamais voulu, qu'elle ne pouvait pas avoir à l'instar d'autres filles qui étaient pour elle comme un devoir, un grand honneur d'être choisie parmi des milliers d'autres potentielles. Elle avait été forcée de prendre le bûcher et la croix pour défendre l'humanité. Pendant cinq ans, elle s'était battue et avait lutté.

Et pendant de longue et nombreuses années, elle avait été trahie.

Spike grimaça à la pensée tout en les étudiant que cette exploitation de guerrière était totalement inconfortable et indigne de les isoler pour leur faire voire que la mort était leur délivrance, leur art et soit, vivant seule et avait pour seule compagnie un observateur. Elle était l'Élue. Une Tueuse, et avec elles des potentielles qui attendent de devenir l'Elue au cas où la tueuse active serait éliminée, nait à chaque génération, où elle seule se dresserait contre les vampires, les démons et les forces des ténèbres. Elle était la Tueuse.

La Tueuse qui venait d'apprendre qu'il y a deux ans, son propre Watcher l'avait droguée en préparation d'un test qui était presque certainement une condamnation à mort. Le Cruciamentum, rite de passage d'une Tueuse. Une seule poignée a survécu.

Les ongles de spike creusés dans sa paume ont si profondément laissé des gouges dans sa peau, alors que son sang bouillait juste sous la surface de la cruauté de son destin. Si les démons ne l'obtenaient pas, son propre Watcher le ferait très certainement. Il avait essayé d'expliquer, d'apaiser. Mais il n'avait réussi qu'à la mettre en colère. Elle avait fui sa maison pour éviter de le tuer. Parce qu'elle n'était pas censée tuer des humains.

Pourtant seule, son propre Watcher.

Ils lui avaient tout pris. Sa famille, sa maison, son enfance et maintenant, ils avaient essayé de lui ôter la vie. Son appel était un mensonge, elle était juste leur outil à utiliser et à jeter comme ils l'entendaient. Parce qu'en fin de compte, l'Élue a été choisie par un groupe d'hommes trop effrayés pour mener la guerre eux-mêmes. Alors, ils ont souillé le corps d'une jeune fille, l'ont fait tuer pour eux. Parce qu'ils étaient faibles, ils étaient pathétiques, et ils ne ressentaient évidemment rien pour leurs accusations.

Les observateurs ne voulaient pas que les tueuses soient trop âgées car, avec l'expérience, elles pouvaient finir raisonner, réfléchir par elles-mêmes et donc se rebêler contre les manipulations, le pouvoir de domination qui excite chez les observateurs. Les tueuses pourraient deviner les choses illogiques pratiquées par eux. C'est pour cela que les tueuses mourraient avant d'atteindre l'âge adulte, mais, contre toute attente, il y en avait certaines, très rares, qui vivaient jusqu'à la moitié de la vingtaine. Ils n'ont aucune compassion si les tueuses leur arrivent quelque chose de grave physiquement ou émotionnellement. Leur véritable motivation c'est de faire des tueuses une arme qui leur servent pour détruire le monde démoniaque.

Mais que pouvait-elle faire ? Si ce n'était pas elle, ce serait juste une autre pauvre fille.

Au fil des décennies, des semaines à chaque jour du siècle dernier, Spike devient une énorme marque noire dans l'histoire du Conseil des Observateurs. Tuant ainsi de nombreuses tueuses dignes de l'être, aussi puissantes que Sineya. Grâce à ses combats contre les tueuses, celles-ci l'ont poussé, l'ont encouragé à devenir un vampire légendaire. Légendaire, non pas pour être méchant, mais pour être un tueur digne, honorifique pour être égal à ces anciennes sœurs Tueuses du monde. La Tueuse des Tueuses. Spike, grâce à sa gloire légendaire, conservant son indépendance farouche, devient beaucoup plus mortel avec une plus grande sérénité, rusée et plus puissante que son grand-père - Plus fort que les autres vampires de son âge en raison de son statut de tueur, bien que loin de son niveau de force, Spike devient un vampire redouté à part entière, tout aussi tristement célèbre pour avoir tué des tueuses ; devenant ainsi plus fort beaucoup plus grand et moins dominer par Angélus.

Spike avait toujours eu une possibilité, un don de compétence à savoir de la patience, à attendre, apprendre à quelle occasion qui était la bonne pour intervenir, agir ; l'un des traits les plus notables de Spike était sa soif de violence et son amour de la bagarre. Peu de temps après sa transformation en vampire, avec sa créatrice, il est devenu un amateur de sensations fortes, mais contrairement à Angelus, il aimait s'engager dans des batailles de vie ou de mort et est devenu obsédé par le combat contre les Tueuses. Il a noté qu'il trouvait l'acte de violence assez thérapeutique. Comme il n'y a jamais été pour le plaisir d'être mauvais, Spike a montré une quantité considérable de flexibilité contrairement à la plupart des vampires quand il s'agissait des morales opposées. Il se délectait toujours de la destruction et parlait de tuer des gens avec tendresse ou avec désinvolture, mais avait un manque notable de réserves quand il s'agissait de faire de bons actes en tombant amoureux d'Elizabeth. Spike avait toujours une intention maléfique et douteuse, mais il ignorerait cela si cela signifiait que Buffy l'accepterait et le verrait comme une personne changée. Cela indiquait que Spike ferait soit un mal extrême (Drusilla), soit un bien extrême (Elizabeth et plus tard Buffy) si cela signifiait que la femme qui était l'objet de ses affections le trouverait assez digne pour lui donner une chance romantique.

Bien que l'amour de Spike pour la destruction insensée puisse suggérer le contraire, il était très intelligent et éduqué. Il a fait preuve d'excellentes compétences de perspicacité et d'analyse, en particulier en ce qui concerne les relations, les combattants, les combattantes dont il aimait connaitre toutes les failles, les morceaux de faiblesse de ses ennemies et a fait régulièrement référence à des œuvres littéraires. Il a également démontré une connaissance impressionnante des rituels et des objets magiques.

Il aime observer les moments où il peut se battre à mort avec les tueuses sans risquer de se tuer lui-même. Il essaye de rentrer dans l'entourage de la tueuse et de son observateur et ainsi examiner et noter leur façon, leur style de combat, analyser leur caractère, leur personnalité. Après les avoir observés pendant un certain temps dans une durée qui variait tout le temps, cela dépendait de comment il les avait observés avant. Il finissait par entrer dans leur cercle et tisser un lien au fil du temps où il a appris à les connaitre, Spike est entré dans leur vie et leur quotidien, gagné leur confiance pour qu'elles finissent par ne plus se méfier de lui et une fois tout ceci acquis et accompli, il les combattait jusqu'à ce qu'il arrive à les détruire dans un combat qui fait honneur à la bataille finale qui mettait un terme à leur vie et dans un combat égal, par leur force égale, leur habilité commune et ainsi tuer les tueuses.

La chasse et la traque d'animaux ont été réalisés par de nombreux vampires carnivores ou végétariens, dans le but de les capturer ou de les abattre, les manger ou les détruire. Quand la chasse est soumise à une réglementation, la pratique de la chasse en dehors de son cadre légal est appelée braconnage en dehors des terres qui gouvernait chaque terrain de familles -clan- vampirique. Les opérations de destruction sont soumises au droit de destruction, qui diffère pour partie du droit de chasse… Et c'était ainsi que chaque vampire procédait s'afficher pour tuer ainsi poursuivre (les victimes) en resserrant toujours le cercle qu'il fait autour de lui. Poursuivre, le forcer dans sa retraite.

C'était comme cela que c'était ainsi que tout c'était produit le début du commencement quand lorsque Spike vaincu sa première tueuse éteignant la lumière de la vie dans ses yeux.

Dans le fin-fond du Yorkshire qu'il découvrit l'observatrice Gwenaëlle Geraldine qu'il détruisit en premier pour ainsi ensuite tuer sa protégée -sa charge- Cassandra avec son propre pieu qui fut utilisé comme arme de bois en l'enfonçant dans son cœur. Elle était alors âgée de dix-sept ans

En tissant de solide lien d'amitié un peu plus chaque jour, comment il s'était rendu indispensable intellectuellement dans leur matière s'adonnant à tout sujet de sciences, d'histoire culturelle et bons nombres de sujets, qui il le savait, Spike était au même niveau d'intelligence que Gwenaelle. Bientôt, il s'était assis à côté d'elle, régalant avec des histoires sur les ennemis qu'il avait battus et les élèves qu'il avait formés. Elle haletait à tous les bons moments, chantait ses louanges quand elle en avait besoin et écoutait attentivement chaque mot. Spike se pencha plus près pendant qu'il parlait, lui permettant de parcourir son corps à son contenu, voyant ses yeux s'assombrir chaque fois qu'il jetait un coup d'œil à son sein.

Puis vinrent ces petites touches, sur le bras, sur le poignet et la poitrine. De minuscules coups de plumes de ses doigts sur sa peau attisaient la chaleur croissante dans ses yeux. Gwenaëlle effleurait sa poitrine sur son bras de temps en temps, affirmant silencieusement son « désir » pour lui alors qu'il continuait à parler. Son ton devint bruyant alors que ses yeux erraient encore plus loin quand elle s'étirait ou se penchait en arrière. Elle le regardait sous ses cils, agissant timidement mais toujours attentive.

Mais, alors qu'elle se livrait à son jeu, elle étudia sa carrière. Elle était certainement une observatrice jusqu'à l'os, débordant de connaissances savantes, avec peu d'expérience brute dans les sujets dont Gwénaëlle parlait. Et Spike avait cet ego et ce sens de l'autorité, avec un goût pour les plaisirs charnels. Il avait regardé plusieurs femmes avant de s'installer sur, avant de la connaître elle. Spike était étonné qu'elle n'ait pas remarqué son côté démoniaque et certains signes paranormaux - compte tenu de toutes ses connaissances supposées - mais il avait pris des mesures pour le cacher. Il avait récemment nourri, donné à sa peau une belle chasse d'eau humaine qui cachait sa pâleur de vampire et élevait la température de son corps à la normalité humaine, que la température qui était dans la moyenne et la normalité généralement humaine. Et, bien sûr, c'était la nuit et il n'y aurait rien de mal.

Petit à petit, spike a attiré l'âme malheureuse de Cassandra dans sa toile. Il réussit à se faire inviter à entrer dans le petit cottage isolé du village où vivait l'observatrice et la jeune tueuse.

Il obtempéra à la hâte comme étourdit ce que cela signifiait le changement après plusieurs baisers échangés, dissipant la magie invisible devant sa porte lorsqu'elle lui dit d'entrer, et il glissa à l'intérieur. Il inspira très subtilement, trouvant la pièce qui contenait les traces les plus fortes de son odeur et sut immédiatement qu'il s'agissait d'une odeur prédatrice féminine comme une magnifique femme fatale. La regardant par-dessus son épaule avant qu'il ne passe devant elle et commence à monter les marches de l'escalier, comme une invitation qu'il était certain, sans l'ombre d'un doute, savoir ce qui allait se passer pour terminer la soirée dans l'intimité, bloquant sa langue sur son palais suggérant ainsi une invitation à la débauche. Arrivés dans la chambre, Spike dégrafa le corsage de Gwénaëlle tout en déboutonnant sa robe. Il fit glisser sa robe le long de son corps, révélant l'étendue lisse de chair du haut de son dos et de ses épaules.

Et il lui donna son véritable nom après une nuit de passion où ils couchèrent ensemble pour la première fois et tout basculera très bientôt ou la fin fut proche craint depuis des mois maintenant ; Spike le sanguinaire.

Il sentit le moment exact où ses mots s'enregistraient dans la mémoire de Gwénaëlle, la façon dont tout son corps se figeait et comment le doux arôme de terreur imprégnait l'air. Avant qu'elle ne puisse bouger pour attraper le moindre objet qui puisse servir d'arme pour tuer un vampire, il la frappa, ses crocs perçant sa chair d'un craquement ignoble. Sa main couvrait sa bouche pour étouffer son cri alors qu'il buvait profondément le liquide rouge sang, comme si c'était quelque chose qu'il buvait dans un calice, gémissant de la saveur addictive. Elle a essayé de le repousser, mais il a serré ses cuisses autour de ses jambes et elle était déjà trop faible à cause des longues prises de son sang. Elle se tordit violemment, désespérée qu'il la libère.

Sa main s'enfonça dans ses cheveux et tira. Il gloussa à travers son alimentation, sa main gauche saisissant son poignet et se tordant lentement. Ses doigts relâchèrent ses cheveux, son bras tendu pour résister à sa contorsion calme de son membre. Il y avait un crépitement constant d'os suivi d'une série de claquements bruyants alors qu'il lui cassait le bras à trois endroits. L'observatrice gémissait dans sa paume, ses luttes s'apaisant à chaque tirage féroce de sa gorge.

Alors que ses giclées s'estompaient en secousses, Spike sentit l'approche de sa Tueuse. Elle continua à boire, sa main libérant la bouche de Gwénaëlle Geraldine, un gémissement gargouillant quittant ses lèvres. Elle entendit la porte de la maison s'ouvrir.

« Gwénaëlle ? » la voix de la Tueuse retentit. Si jeune. Elle doit être dans sa dix-septième année. Spike écouta les pas monter les escaliers, se rapprochant de plus en plus de la chambre. Il suça les dernières goutes qui étaient un vestige de son sang, son corps s'arrêtant alors que la Tueuse apparaissait dans l'embrasure de la porte, voyant Gwénaëlle inanimée par terre. « Dieu du ciel ! ».

Cassandra hurla, se jetant furieusement sur Spike. Le vampire glissa autour d'elle, caquetant alors que la Tueuse le taillait et le poignardait avec sa lame, sa rage rendant sa technique imprudente et maladroite. Spike dansait calmement autour d'elle, même lorsque Cassandra sortait son pieu, épuisant lentement la Tueuse désespérée. Alors que sa colère s'estompait, Cassandra commença à réaliser à quel point elle était complètement dépassée et cette colère s'est transformée en peur.

Spike se glissa sous l'épée -l'une des armes de prédilection qui avait été choisie pour détruire et la faire gagner contre les vampires- qu'elle sorti pour la bataille qui faisant rage pour essayer, et peut-être réussir, à vaincre le vampire du mal, se tournant pour faire face à la Tueuse haletante. Cassandra grogna, poussant sauvagement l'épée à la gorge de Spike. Avec ses ongles s'étendant en griffes, Spike attrapa le poignet de Cassandra et lui coupa l'avant-bras intérieur. La lame claqua au sol, Cassandra essayant à nouveau de le frapper avec le pieu. Cette fois, Spike l'a griffée sur le visage avant de passer derrière la jeune femme frénétique. Il a sculpté dans son dos de profondes blessures, et aussi la mâchoire à nouveau quand la Tueuse tourbillonna pour lui faire face. Alors que Cassandra titubait en arrière avec deux hurlements, un de terreur et l'autre de guerrière, Spike filait et lui donnait des coups de pied avec une telle force, Cassandra a brisé le mur avec une telle force et une telle intensité comme un bombardement ou une explosion et dans le couloir, entourée de poussière et de bois.

Spike la traqua, regardant Cassandra rouler sur son front et essayer de ramper pour fuir, en tentant de se procurer une arme quelle qu'elle soit. Spike siffla, saisissant sa cheville et la tirant vers lui. Il la retourna sur le dos, seulement pour trouver un pieu visant son cœur. Spike a attrapé l'attaque prévue, impressionné par la volonté de la Tueuse de continuer à se battre malgré le fait qu'elle ait été clairement battue. Il modifia sa prise, tournant lentement le pieu vers la poitrine Cassandra. Spike appuya sur elle, Cassandra faisant tout son possible pour le combattre, luttant vaillamment contre la position supérieure et la force de Spike.

Mais en vain.

La main libre de Cassandra attrapa celle de Spike pour essayer d'arrêter la descente régulière du pieu vers son cœur. « Non, non ! »

Spike appliqua plus de pression, se penchant pour regarder dans ses yeux. « Chut, c'est fini, » souffle-t-il, « merci d'avoir joué. »

« Non, arrêtez, arrêtez, écoutez, s'il vous plaît ! » Cassandra supplia, les yeux écarquillés et désespérés alors que la pointe du pieu toucha sa tunique, « arrête ! Non, ne le faites pas, ne faites pas, ne faites pas... ». Elle s'éloigna en agonisant, descendant dans des gargouillis étouffants alors que l'arme se planta et était forcé dans sa poitrine. Elle a commencé à trembler violemment alors que le pieu s'enfonçait dans son cœur.

« Chut », cria Spike en poussant le pieu de plus en plus profondément. Une tache ressemblant à un poème romantique quelle que soit la forme qui était prise exposant en identifiant comme un geste sensuel de luxure, tel un être vivant, s'épanouissant dans la tunique de Cassandra et du sang sortant et bouillonnant de sa bouche. « Chut ». Spike inclina la tête, faisant couler le sang sur les lèvres de la Tueuse, sa langue les ouvrant pour goûter davantage de sang. Il se détendit alors que Cassandra devenait immobile, sa tête tombant en arrière et ses yeux grisonnants.

Cela faisait à présent, maintenant un peu plus de trois ans que Cassandra était décédée en luttant durant sa bataille finale.

La légende grandissait avec les faits et bons nombres de crimes et d'assassinats. Combien maintenant ? Combien y en avait-il eu au cours des trois dernières années et demi ? Dizaines ? Dizaines ? Serait-il négligent de dire des centaines ? La durée de vie d'une tueuse élue et activée pour accomplir leur destin ; mais juste aussi des jeunes potentiels durait rarement plus de trois ans. Encore moins si elle en avait vent. Il frissonna à la réalisation ; ils avaient perdu le compte. Elle les a apparemment trouvés, l'un après l'autre. Maintes et maintes fois. Année après année. Parfois, cela ne faisait que quelques mois qu'il avait tué le dernier.

Spike voyagea dans le monde entier pour les traquer en chassant, utilisant pour ce faire tous ses sens démoniaques et vampiriques pour réussir sa mission qui lui était d'accomplir, Le vampire le plus infâme à ce jour, le plus grand Tueur à avoir jamais vécu et l'échec le plus sombre du Conseil des Observateurs. Tout ceci le conduisit en plein milieu du règne de l'empereur François-Joseph, de l'empire Austro-Hongrois ; où vivait en toute tranquillité dans l'harmonie et la paix ou du moins les royaux sujets s'efforçaient de l'être ; la tueuse qui vivait dans cette empire veillait à les garder en sécurité comme un ange gardien, un Dieu de guerre en faisant référence à la mythologie grec et romaine, en faisant bonne usage en qualité représentante de tout don appris durant sa formation écrite et intellectuelle, accompagner de Nathaniel, l'observateur de la jeune Agathe et sa jeune sœur, Laura.

En tant que Tueuse, elle avait embrassé son devoir, car c'était tout ce qu'il lui restait, mais lorsqu'elle avait été tentée, elle l'avait volontairement abandonné pour une chance, une vengeance et une libération de ce qu'elle considérait comme de l'esclavage. Liberté d'embrasser une nouvelle vocation en se rebellant et pensant comme une jeune fille toute jeune femme par elle-même ; elle avait dix-huit ans et avait réussie à survivre au Cruciamentum. Et il ne serait pas exagéré de dire que le Conseil est à blâmer. Après tout, ils avaient tout pris d'elle en premier. Sa famille, son enfance, sa vie. Tout. Et ce, malgré les nouvelles lois du conseil. La séparation d'avec les familles avait été une erreur, une pratique que la famille Giles, Wyndham-Pryce, et la famille de Merrick avait immédiatement abolie en prenant ses fonctions de chef du Conseil des observateurs. Mais depuis la fin du XVII -17ème" et début du XVIII -18ème- jusqu'à aujourd'hui et probablement dans le futur, par la famille des Travers, c'est eux qui possédaient beaucoup plus de pouvoirs d'autorités et influence.

Et puis il y avait les observateurs.

Le nombre d'observateurs qu'elle avait tués. Oh, ils avaient vraiment perdu le compte. Au cours de la décennie qui a suivi sa réapparition en Australie, il avait massacré plusieurs de leurs meilleurs Watchers. Tous plus horribles les uns que les autres. Pourtant, le meurtre d'un membre du conseil ainsi que l'un de ses collègues soit tué de sang-froid et avec horreur la rupture nette et rapide des cervicales avaient été son crime le plus horrible.

Les personnes qui survivaient au massacre n'avaient jamais été les mêmes après qu'ils l'aient trouvé, restant mentalement et physiquement fragile bien avant qu'il ne décède finalement.

Malheureusement, les pacifiques les nombreux d'entre eux et le destin la survie de Nathaniel savait que l'époque où il avait réussi à influencer perte que de bonnes choses n'arrive et que l'on les tolérer en les écoutant débattant avec philosophie humanité de manière de façon pertinent sur les sujets le Conseil touchait à sa fin. les idées radicales avaient été accueillies avec beaucoup d'hostilité par les membres les plus rigides et conservateurs du conseil, malgré l'avantage de permettre aux tueuses de rester en contact avec leurs familles. Ils faisaient déjà pression pour que son remplaçant, un membre de la famille Travers, prenne sa place. Dans le même temps, ils essayaient de gagner de l'influence dans plusieurs cours royales, potentiellement pour obtenir suffisamment d'autorité pour recruter des soldats dans les combats aux côtés de la Tueuse.

le conseil des observateur était censé être une métaphore du gouvernement. Ils sont déconnectés de la guerre réelle entre le bien et le mal et les tueurs et les observateurs au point qu'ils se mettent en travers du chemin de la même manière que les membres du Congrès sont souvent déconnectés des gens qu'ils représentent et se concentrent sur des choses complètement hors de propos au milieu d'une crise pure et simple. Ils avaient et possédaient d'innombrables corruptions, des abus de pouvoirs tout aussi terrible secrète dans des services secrets, des personnes des hommes infiltrer des espions devenant ainsi tout puissant et en partant plus loin qu'un pouvoir ordinaire venant de moins loin.

Les Observateurs, pouvaient être qualifiés, utiliser leur idées, idéaux, façon et manière de pensées en embrouillant leur esprit, leur cerveau, tromper avec l'orgueil. Ils avaient peur de perdre le sens de vies pathétiques sans but nul, non-avenue s'il ne trouvait pas les Tueurs qui sont appelés. Ils savaient que sans eux, ils n'était rien du tout, des faibles. Donc, ils les rendaient impuissants, dépendants et déférents envers l'observateur, parce que cela vous donne le pouvoir. Quand la vérité est remontée à la surface, dévoilée... Ils sont des lâches.

Spike, il tuerait autant qu'il le faudra pour que le Conseil comprenne. Qu'à la fin, alors que ces Tueurs auront la mort du guerrier qu'ils méritent d'un égal, d'un maitre vampire fort et puissant, les Gardiens observateurs survivent comme des hyènes. Se cachant dans leurs meutes pendant que la lionne chasse le gibier, n'émergeant que pour se nourrir des restes ; Et durant d'avec ses années ces meurtres quand il aurait terminé, ils le connaîtront comme le Tueur de Tueuses.

Pourquoi ? Si elle a atteint dix-huit ans, n'est-ce pas bon signe ? Pourquoi vous, les gens qui ont besoin de cette fille, voudriez-vous la tuer ? Combien de fois ont-ils eu un tueur assez fort pour atteindre 18 ans, puis ils tuent leur bon tueur intelligent et habile, et maintenant ils doivent en entraîner complètement un nouveau ? On pourrait penser qu'ils voudraient éviter cela, car pendant qu'un tueur s'entraîne, il n'y a pas beaucoup de meurtre en cours. Je ne vois pas l'utilité du test, à part que les observateurs sans tueur s'ennuient et veulent du drame. Sinon, pourquoi feriez-vous saboter votre propre opération ? Tout pour éviter un coup d'état, une rébellion, qu'elles pensent par elle-même devant leur propre maître utilisant le libre arbitre de tout à chaque relier entre eux comme des fils invisibles... En pensant, réfléchissant, restant comme un nourrisson affamé en total dépendance de sa mère ; choisissant d'être digne honorer de cette mission divine ou le total contraire en opposition devant refusant tout ceci ; elles ne pourront jamais partager ce pouvoir féminin qui leur était pure, dont elle avait parfaitement le droit de l'offrir aux jeunes filles/femmes qui le méritaient.

Au Conseil en général, les membres étaient à peu près sûrs qu'ils ne veulent pas vraiment que les tueuses survivent au test. Une adolescente faible et sans méfiance contre n'importe quel monstre ? On a l'impression de sentir comme si c'était un meurtre sanctionné, déguisé en rite de passage.

Les jeunes filles seraient plus faciles à contrôler, grâce à son inexpérience de la vie et à son innocence, qu'une fille plus âgée, ce qui débarrasserait les membres du Conseil avant qu'elles ne deviennent trop bavardes, médusées, confiantes et sûres d'elles-mêmes. Si elles survivent au test, cela créerait un lien de confiance avec son observateur, ce qui serait une menace pour le Conseil pour contrôler la tueuse.

C'était exactement pour cela durant toute sa vie qu'Agathe suivrait ce chemin étroit et sinueux où la lumière brillait et que les observateurs avaient déjà signé sa condamnation. Et pourtant, ils l'avaient annulé sur la décision concernant le sort de l'actuel Tueuse. Elle avait été capturée par des observateurs qui contrôlaient des voyous payés par le chef du Conseil, en se détournant de leur propre vocation, menant une guerre humaine aux côtés de sa famille créée depuis toujours en Autriche, sa patrie. Et elle était actuellement détenue dans plusieurs endroits à Vienne ou d'autres villes, dans l'attente de son procès pour hérésie et sorcellerie. Les observateurs, en accord avec le chef du Conseil, avaient déclaré qu'ils la libéreraient de sa prison et la réhabiliteraient en tant que Tueuse. Au lieu de cela, Les observateurs l'avaient renversée et avaient voté à l'unanimité pour la laisser à son sort. Parce qu'elle avait choisi de combattre ce qu'elle percevait comme le mal, soi-disant guidé par les Puissances, contre le mal que le Conseil exigeait qu'elle combatte. Son procès, sa tournée se fut déjà déclarée à son propre jugement qui était déjà prononcé, aboutirait presque certainement à son exécution.

C'était de cette manière que Spike rendit honneur à la jeune Agathe lui permettant de gagner, de continuer des pas de danses, comme son corps avait appris tous les gestes de combattante et de guerrière comme une tueuse à laquelle Spike offrit une dernière chance de vivre, le laissant. L'un deux doit mourir pour que l'autre puisse continuer à vivre ; la scène qu'il a rencontrée l'a surpris et l'a en fait réchauffé. Spike abaissait respectueusement Agathe au sol. Tendre et prudent, comme un frère aîné. Elle plaça l'épée de Jeanne sur sa poitrine, bougeant ses mains pour couvrir la poignée. Elle se pencha finalement et appliqua un baiser sur son front, en signe de respect, de réconfort en hommage à la personne qui a gagné une bataille dont l'autre avait perdue et son chemin fut à sens unique, la mort.

Nathaniel ressentit une montée de fierté en voyant du sang qui suintait sur le visage de Spike -William- et la lacération sur son épaule. Agathe n'était pas partie tranquillement, donnant au Tueur des Tueuses un gigantesque combat. Et une fin appropriée pour n'importe quelle tueuse, en particulier celui du calibre de la jeune fille, la jeune Agathe. Il a vu l'absence de marques de crocs sur Joan, ce qui signifie que Spike ne s'était battu qu'avec la lame avec des armes à force égale. Une autre chose et un autre détail à noter pour marquer dans l'historique des souvenirs de vampires pas comme les autres à écrire dans son journal quand il en trouvera le temps…

Quelques plusieurs années plus tard, Agnetha, âgée de vingt-et-un an, était l'une des tueuses qui a bénéficié des longues estimations d'espérance de vie. Agnetha était grande et mince, le teint foncé, des cheveux auburn et les yeux bleu-gris, bleu très particulièrement bleu brillant. Ses contemporains la décrivaient comme une jeune fille élégante et elle était considérée comme la plus belle, un peu plus grande que les autres membres féminins de sa famille, plus délicate et svelte, son visage était long et son apparence était plus aristocrate, ses cheveux étaient plus blonds que ceux de sa sœur aînée, mais son sourire n'était pas aussi radieux.

Depuis son plus jeune âge, elle était connue pour son grand cœur, son désir, sa volonté d'aider les autres, son honnêteté, mais aussi pour son fort tempérament et sa désobéissance, son indiscipline et son indocilité.

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Son corps était si pur et si gracieux, elle était si douce et si délicate, si pure et si svelte, que la terre ne paraissait pas être son élément, ni les êtres grossiers qui la hantent des compagnons dignes d'elle. En présentant une silhouette ou une forme élancée et/ou athlétique.

La jeune femme était née et avait grandi dans son pays d'origine, la Suède.

La sirène, une créature d'une grande beauté innocente et envoutante, qui apparue dans des livres pour enfants, dans les contes de fée ou bons nombres d'œuvres littéraires de paranormal, est une créature à l'apparence humaine capable d'attirer tous les hommes par un puissant charme, un puissant sortilège. Elle prend l'apparence d'une femme à la beauté enivrante, presque surnaturelle mais lorsqu'elle s'énerve, se met en colère, elle devient très laide, hideuse et ressemble à une harpie.

Spike l'avait tout de suite imaginée en constatant comment il trouvait et remarquait oh combien elle était belle même pour se dire la vérité à lui-même en se convaincant qu'elle était magnifique. Les sirènes étaient des femmes... Les plus belles femmes que Spike eût jamais vues... sauf qu'elles n'étaient pas - qu'elles ne pouvaient être - humaines. Cette constatation rendit Spike perplexe et il essaya de déterminer ce qu'elles étaient exactement. Comment se pouvait-il que leur peau scintille ainsi comme des étoiles ou un clair de lune, que leurs cheveux d'or blanc volent derrière elles, alors qu'il n'y avait pas le moindre souffle de vent... Mais à ce moment-là, il ne se soucia plus de rien du tout, il ne pense plus à rien.

C'était la toute première fois depuis qu'il était à la recherche des Tueuses qu'il eût de l'affection pour une tueuse, une certaine préoccupation et un désir de la protéger avant, bien avant, sa rencontre. Mais elle était au Danemark pour une raison spécifique. Elle a entendu parler de rumeurs dans les cercles démoniaques selon lesquels il y avait un guerrier extrêmement puissant au Danemark qui tuait des démons après de terribles combats. Il y avait une jeune fille plus forte que n'importe laquelle de ses camarades. Spike était impatient de retrouver cette femme car tout ce qu'il avait appris indiquait que cette jeune femme était une Tueuse.

Une tueuse suédoise, venant et étant libérée du grand Nord.

Celle qui était passée inaperçue par le Conseil des Observateurs. Il n'était pas rare que les tueuses soient appelées, passaient inaperçues et se faisaient attraper par un démon ou un vampire ayant de la chance. Et donc, une autre tueuse avait été appelée, puis encore une autre jusqu'à ce que le Conseil reprenne le sentier. La plupart de ces Tueuses étaient des cibles faciles pour les vampires car leurs sens non entraînés ne leur donnaient aucun avertissement lorsqu'elles étaient traquées par un vampire prédateur. Spike se demandait combien de Tueuses passèrent inaperçues par le Conseil des imbéciles, mourant seules dans les crocs d'un vampire chanceux.

Spike a été transfiguré, transformé et ébloui par la vue devant elle. Cette femme s'est battue brillamment, bien mieux que les autres tueuses qu'elle avait rencontrées. Tout était gracieux et raffiné et pas un seul de ce geste n'a été dispersé. Spike était un guerrier naturel, parfait pour être le tueur des tueuses.

Spike tira un souffle inutile à la vue de cette tueuse. Cette femme était belle, étonnamment belle. Elle avait des cheveux blonds profonds de nuit et des yeux bleu-gris vifs. Ses traits étaient nets, frappants et magnifiques. Elle était grande, bien bâtie mais féminine, une combinaison souple de courbes et de muscles sous une tunique de combat en cuir décolleté. Le regard de Spike se déplaça vers ses seins gonflés, pleins, fermes et sans doute délicieux.

Spike se lécha à nouveau les lèvres, sentant le souffle chaud d'Agnetha. Spike vida le reste du verre de sa bière et s'assied sur la table. Elle lui fit un sourire sensuel avant de se tourner pour quitter la salle d'hydromel. Il regardait les hanches d'Agnetha à chacun de ses pas ce qui accru son désir pour elle, la jeune fille sentit son lourd regard vers elle alors qu'elle remuait. Elle avait quitté la salle et était sortie dans la nuit, sentant le froid hivernal et elle a commencé à marcher dans la rue. Ses lèvres se recourbèrent avec suffisance quand elle entendit des pas sortir de la salle et s'approcher d'elle rapidement. Pourtant, Il haletait quand il était tourné, trouvant les yeux passionnés d'Agnetha alors qu'elle reculait contre un mur, cachée dans l'ombre d'une grande maison.

Spike s'approcha et soupira quand les lèvres d'Agnetha rencontrèrent passionnément la sienne. Il coupa le visage de la Tueuse, sa langue écarta les lèvres de la jeune fille et s'emmêla avec les siennes. Elle poussa un gémissement haletant lorsque les mains de Spike tâtonnèrent son postérieur arrondi à travers ses collants et jarretière la serrant fermement avec affection de peur qu'elle disparaisse sous ses doigts. Spike s'agrippa alors à la gorge, l'embrassant fort et tournant la tête pour qu'il puisse se pincer le long de sa mâchoire.

Agnetha haleta en serrant la mâchoire pendant que Spike mordillait et l'embrassait jusqu'au niveau de son cou. Cela faisait longtemps qu'il n'avait pas eu une amante mortelle. Avoir des mains surnaturellement puissantes caressant son corps était un changement agréable pour le maigre toucher d'une humaine.

Spike regarda la forme endormie de la Tueuse. La chambre était lourde avec l'odeur du sexe, de la sueur et des dépenses physiques. Ils avaient fait l'amour pendant deux heures avant qu'Agnetha ne s'évanouisse finalement, enroulée autour de Spike alors que les deux amants s'endormaient. Eh bien, Spike ne l'avait pas fait, il avait attendu que la jeune femme soit profondément endormie dans l'étreinte avant de s'extraire de ses bras pour tirer les rideaux.

Spike inclina la tête, rôdant silencieusement sur le lit et posant sa main sur l'épaule d'Agnetha, sa plume de toucher légère pour ne pas la réveiller. Il se pencha, les yeux fixés sur le pouls de sa gorge, montant et descendant avec le flux de son sang. Spike ouvrit la bouche, siffla doucement et plana là.

Ce serait si facile. Spike savait que si elle mordait dans un certain espace, Agnetha ne se réveillerait même pas. Elle flottait simplement dans son sommeil, inconsciente, ignorant que les crocs de son amant étaient dans sa gorge. Spike passa sa langue sur ses dents, hésitant non pas par affection ou par pitié, mais par respect. Agnetha était une guerrière.

Elle méritait une meilleure mort.

Et d'ailleurs, spike n'avait pas encore fini de profiter de leur danse.

Il se pencha et lécha la gorge d'Agnetha dans un profond tour de langue, faisant murmurer et gémir la tueuse dans son sommeil. Il enroula un bras autour d'elle et s'installa, appuyé sur son coude. Il enfonça son nez dans l'arrière du cou d'Agnetha. Le délicieux parfum de la tueuse de puissance, de beauté et de sexe a bercé Spike dans le sommeil.

Sa dernière pensée était pour Drusilla avant qu'il ne dérive dans un rêve où il a été accueilli par son innocente et mystérieuse Drusilla, comme pour lui rester fidèle, en se répétant et étant encouragée par elle pour laquelle elle lui donnait toujours sa bénédiction, en parlant des étoiles qui lui racontaient de douces histoires, mélodies, berceuses se tordant sous elle une fois de plus était une promesse.

Pas encore.

Pendant une terrible journée qui était en train de se dérouler, elle fut bouleversée par l'attaque qui survint pour faire du mal et blesser Agnetha qui fut blessée gravement et grièvement atteinte dans des plaies au couteau et avec des armes en fer.

C'était selon grâce à la chimère de la légende qui voulut, dans l'exigence que sa mort fut éconduit en l'emmenant par un vampire William Pratt le sanguinaire ; mais ces leurres étaient totalement faux, un grand mensonge dans l'histoire de l'humanité de l'homme qui changeait de nom pour que ce soit un tabou, un non-dit pour un célèbres maître vampires pour cacher soigneusement rangeant dans des dossiers d'archive pour le cacher pour que cette histoire soit une propagande et plus encore, qui serait ce que le conseil des observateurs avait des intentions, mais était-elle pure sans condition ou malveillante…

Il y a eu un sifflement strident et c'est arrivé, presque au ralenti. Un boulon est entré dans sa vue alors que l'épée tombait et s'enfonçait dans la poitrine d'Agnetha. Les yeux de Spike s'écarquillèrent alors que la demoiselle reculait, ses cheveux blonds fouettant vers l'arrière. Sa main de hache a été libérée alors qu'Agnetha titubait en arrière, tombant sur un genou... Spike grogna et déclencha un rugissement furieux et faisant écho à leur ingérence. Elle haleta, se tournant pour regarder Agnetha. La jeune femme serrait sa poitrine, où le boulon dépassait de quelques centimètres de son cœur. Spike serra les yeux fermés, donnant des coups de pied au sol. Agnetha leva les yeux, le visage pâle avant de se serrer contre sa lame et de se relever... Ces hommes étaient totalement ignorant des protocoles d'un observateur, qu'ils étaient encore loin d'avoir reçu leur diplôme de l'académie, encore en formation.

Ce qui avait été écrit, n'était rien d'autre qu'une histoire totalement inventée.

Mais la jeune Agnetha avait eu un gardien, un protecteur comme un observateur non applicable et sans titre et badge de travail, celui qui ne faisait plus partie d'un tel conseil, qui était un hors-la-loi ; il l'avait découverte sans que personne ne le sache jamais. Son observateur avait le secret de l'éliminer car il ne partageait pas ses opinions envers Spike et ne supportait pas qu'elle ait sympathisé et soit devenue amie avec un vampire. Il attendait son heure pour mettre fin à ses jours, il préparait une vengeance contre elle pour la punir.

Agnetha avait voulu choisir la vie, vivre pour elle-même pour son soi sensible et véritable âme. Spike continuait de penser à cela alors que, tandis qu'elle était en train de mourir, rendre son dernier souffle, Agnetha avait rencontré Spike, sa douce et tendre affection, qu'elle tombait amoureuse de lui... Et elle ne fut plus jamais la même, décidée à vivre pour elle, son corps, au lieu de mener une guerre sans fin. Elle arrêta avec émotion de se souvenir du léger carquois dans ses épaules donnant son trouble émotionnel. Et pour cela, pour l'erreur qu'elle commit, Arthur, son observateur, celui qu'elle considérait comme un père, la tua.

Agnetha regarda Spike qui haleta quand une larme coula sur sa joue. Le visage de la jeune Tueuse grimaça d'horreur alors qu'elle regardait son gardien avec horreur. Dans son âme, elle se détourna, déterminée à ne pas s'effondrer devant son amant alors qu'elle balayait la larme de sa joue...

C'est comme si elle regardait son propre reflet dans un miroir, se regardait elle-même durant toutes ces années passées. La regardant pendant qu'elle parlait, ses yeux chauds de compréhension, Spike qui la gardait fermement dans ses bras. « J'imagine que c'était l'expression sur mon visage, ce regard de trahison vide et de confiance brisée que n'importe quelle jeune fille, jeune femme, ressentent depuis que tout ce gâchis a commencé. Elle mâcha l'intérieur de sa bouche, les yeux larmoyants. Elle comprenait enfin, vit la clarté dans sa vie ce but, ce pourquoi elle était destinée, comprenait avec une clarté parfaite ce qui lui est arrivé ainsi qu'à plusieurs autres jeunes femmes. Elle se tourna avec difficulté pour regarder Spike, parce que cela lui arrivait à elle aussi. » Il soupira et vint lentement vers elle alors qu'elle reniflait, une seule larme glissant sur sa joue.

Elle voulut et souhaita que ce soit son amant qui lui retirerait le dernier fil de sa vie voulant garder sa trace à la place d'un traitre ; jusqu'au bout elle resta courageuse, digne, loyale, digne d'une guerrière à l'agonie.

La bataille finale n'aura jamais eu lieu. Alors que, à présent, maintenant, Spike devait vivre les souvenirs de leur entrainement et de leur bataille sans réelle intention de la tuer, et encore moins Agnetha.

Le voyage au cours de l'Europe le parcourant se fit toujours tout le temps c'était dans le but de vivre comme des nomades trouvant souvent du sang en abondance. Leurs chemins, le Fléau de l'Europe, virent croiser les conduisit en Roumanie.

Drusilla fit une prédilection à Spike sur le cours de sa vie qui le changera à jamais.

Ils firent le tour de ce beau pays, vivant brillamment dans des villes différentes, semant la mort, le désespoir, le chaos, la détresse sur leur chemin ainsi que la mort et le sang coulant.

A côté dans des bois Angélus décida de vivre un temps dans les bois, comme des nomades qu'il n'avait pas encore pris de force prenant possession d'une maison dans une cité non loin de là…

Spike rencontra son destin.

Serena Kalderash rentra dans celle de Spike ; la vie ne fut plus jamais la même, pour la première fois Spike tomba amoureux d'une mortelle.

La vie d'Angelus a pris un tournant décisif lorsque Darla a enlevé la fille préférée du peuple Kalderash à Borşa, en Roumanie, comme « cadeau d'anniversaire ». Angelus a pris son temps et l'a brutalisée avant de la violer et de la tuer.

Angelus fut maudit en lui forçant, en lui introduisant dans son corps par la magie noire, comme une malédiction, un sort, par une âme pour laquelle il n'en voulait pas. Il ne la souhaitait pas ni ne le désirait.

L'amour durera et sera gardé pour l'éternité en ne s'éteignant pas, ne ressortira jamais des cendres et de la fumée, c'est totalement inconditionnel et sans fin. Il durera pour toujours, à jamais, il est fait pour traverser le temps dans des nombreuses relations et dans le monde ; on ne peut pas vivre sans amour, il est comme l'air, invisible qui ne peut être retenu ou pris et touché. C'était exactement comme dans les légendes ou prophéties métaphoriques.

C'était la légende, l'histoire d'un conte de fée qui comme toujours commençait par l'éternel « il était une fois », c'était une jeune fille qui était en train d'éclore comme une fleur, comme une aurore boréale dont la lumière brillait, s'illuminait le matin au soleil levant qui apparaissait tous les jours ; une jeune fille au longs cheveux bruns tout autour d'elle, il y avait de la pureté comme des pétales de fleurs complètement intactes et blanches comme neige. C'était de la magie très belle comme de la sorcellerie, elle brillait en sauvant le chevalier guerrier légendaire pour être un impitoyable tueur en tuant lors des combats. Elle tentera de lui faire voir la lumière du jour sans qu'il s'immole par le feu qu'était le cercle de lumière, cette boule de feu l'enverrait au plus profond de l'enfer des plus atroces. L'ombre restera son ami ; l'amour continuera à agir dans ses instants et lui faire voir encore et encore le bon chemin, vers une rédemption juste pour être gardé sans se tromper, sans bouger, rester en sécurité. Il aura un jour une âme, sa véritable âme d'humain ; mais pour l'instant la bête restait, elle devait être dans des bouquets de fleurs de roses rouges brillant comme du sang, avant que Spike arrive à son heure d'avancer…

Ce sera, ce fut le début d'une histoire, un amour doux et tendre. L'histoire d'un conte de fée tragique, angoisse et drame d'un vampire poète en mal d'amour et d'une gitane bohémienne.

Plusieurs yeux, des yeux malveillants, prédateurs qui suivaient la perversion et le sang qui coulèrent, il n'y avait que le sang qui soit vraiment important. Le sang c'est la vie. Pourquoi l'on croit que c'est l'énergie vitale de tout vampire, toute créature de la nuit ? Ça permet de tenir. Ça les réchauffe. Ça les endurcit et les rendre plus forts et plus puissants en restant longtemps de longs jours. Leur évite de mourir. Le sang est essentiel, c'est l'évidence même, c'est authentique, c'est la vérité.

William Pratt, alias -jusqu'à présent- Spike, avait toujours pensé que ce serait pour lui que viendrait le maudit de chaque année, la tueuse... ou Angélus. Après tout, il était son plus vieil mais aussi son plus ressent ennemi. Celui qui ne l'a jamais vu fléchir ne l'a jamais brisé, n'a jamais pu le tuer pour une raison ou une autre. Pas par manque d'opportunités ou d'essais d'un côté ou d'un autre. Spike aurait préféré que ce soit Angélus qui l'abatte ou encore l'amour de Drusilla et l'affection de Darla. Cette dernière aimant Angelus à sa manière, mais aussi étant profondément insultée par le fait qu'il continue à coucher avec Drusilla, Darla a décidé qu'il était juste qu'elle soit autorisée à coucher avec Spike pour jouer avec Angelus. Bien qu'elle soit agacée par Spike, Darla le trouve étrangement fascinant en raison de son humanité persistante. En conséquence, leur arrangement devient moins sur le fait de jouer avec Angelus et plus sur le confort, dans une danse finale, mais cela ne s'est pas passé comme ça. Non, ce n'était pas le méchant de cette année ou un humain.

Jamais en un million d'années elle n'aurait pensé que cela se passerait de cette façon.

Pas pour un guerrier de son calibre.

Juste quelques gouttes de sang et de temps.

Quelques minutes.

En un million de fois, à chaque attaque et un flot de gouttes de sang.

C'est tout ce qu'il a fallu pour que des jeunes filles, des enfants, des familles entières cessent d'exister.

Le couteau brilla dans sa main alors qu'il avançait, et une jeune fille, une petite fille suça un souffle alors que la première coupure lui coupait les côtes ainsi que des crocs coupèrent en s'enfonçant dans la chair tendre à la fleur de l'âge son cou encore si jeune. Cela n'a pas vraiment fait mal. Le couteau était tranchant et les coupures étaient si petites et si peu profondes que c'était juste une légère sensation de brûlure qui disparaissait dès qu'elle se produisait ; un éclair de conscience dans la peau, comme se faire couper avec du papier et oublier, puis s'en rendre compte à nouveau lorsque le savon a commencé à piquer sans raison apparente…. Elle avait pensé que cela avait fait mal. Mais ce n'est pas le cas. Les liens sur ses poignets lui faisaient mal, frottant la peau crue, mais les endroits où Darla offrit son aide un présent tout particulier à son petit-enfant Drusilla était en train de trancher, étaient à peine des picotements.

Drusilla avait les pouvoirs standard d'un vampire, étant immortelle, possédant une force surhumaine et capable de se régénérer quand elle subissait des dommages physiques. Compétences de combat : bien que les techniques de combat de Drusilla aient l'air maladroit, elle était toujours capable de tenir le coup dans un combat contre ses ennemies. Comme les ongles d'un vampire étaient beaucoup plus tranchants que ceux des êtres humains, elle avait tendance à utiliser ses ongles au combat comme une sorte d'arme, comme en témoigne la façon dont elle les utilisait pour trancher la gorge d'une potentielle tueuse et pour gratter Spike et Angel. Drusilla était également une adepte de l'escrime – elle a vaincu une jeune sirène, comme un elfe ou une chimère dans un combat à l'épée, bien qu'elle ait admis que ces démons auraient pu être ralentis par la lutte contre ses sbires...

Même avant que Drusilla ne soit transformée en vampire, elle avait le pouvoir d'acquérir des informations par des moyens indépendants de tout sens connu ou de toute expérience antérieure, ce que Darla appelait la vue. Cela lui a non seulement permis de prévoir et de contrecarrer les attaques contre elle et les siens, mais lui a également permis de détecter avec précision les désirs subconscients de ceux qui l'entourent et d'exploiter ses désirs à son meilleur avantage.

Prémonition : Drusilla avait le pouvoir de percevoir les événements futurs avant qu'ils ne se produisent, ce qui se manifestait sous la forme de visions vives. Par exemple, alors qu'elle était encore humaine, elle avait prévu un accident de mine qui entraînerait la mort de deux hommes. Ce pouvoir était également en partie responsable de la mort de Serena et d'autres personnes innocentes, car Drusilla a reçu une vision de la tentative de Darla d'essayer de corrompre Angel, de lui faire cesser la malédiction en lui enlevant de son esprit et l'essence de l'âme grâce à la magie noire. Ce qui échoua malheureuse pour eux car la malédiction était trop puissante pour retirer aussi simplement car il devait souffrir et car les pouvoirs de la malédiction tentaient de repousser quiconque essaierait de la briser. Drusilla avait le pouvoir de l'empathie, ce qui lui permettait de ressentir et de comprendre les émotions des autres, et même d'apprendre des informations cachées de ces émotions. Par exemple, quand elle était encore humaine, elle était capable de sentir les présences d'Angelus et de Darla à distance, et de percevoir leurs intentions néfastes pour elle, ce qui l'a amenée à éloigner sa famille. Juste avant d'engendrer Spike, elle sentit le tueur passionné qui se cachait sous son extérieur timide. Drusilla pouvait aussi sentir la présence d'Angel à partir d'une foule de démons…

Drusilla avait encore le don de prédilection, toujours, l'emmenant, l'entrainant de force dans des chemins de l'avenir, le pouvoir de percevoir les événements futurs avant qu'ils ne se produisent, ce qui se manifestait sous la forme de visions vives. Et douloureusement intenses, réelles comme si elle faisait partie de ces visions comme lorsqu'elle est dans la peau, dans le corps et dans les sensations des gens...

Elle fit une prédilection dans plusieurs visions troublantes chacune d'elle de plus en plus vives et douloureuses et réelles, comme une prophétie qui se réaliserait dans tous les cas quoi que l'on puisse échanger ou faire pour l'empêcher c'était le destin, dans tous les sens et dans tous les cas, dans chaque situation c'était impossible à briser à se bloquer et la faire disparaitre, c'était ici dans son cœur, dans l'âme. Dans son corps même.

Le soleil chaud et presque noir de basse température remplacera le crépuscule à la place de l'aube, sur son prince sombre ; il ne sera jamais perdu car il retrouvera toujours comment les origines d'être un vampire, c'est sa nature. Ce changement fut et sera un bouleversement pour tout un chacun, chaque être vivant et chaque famille qui seront reliés entre eux. Drusilla a reconnu cette fille au marché près du campement bohémien, une fille douce, chaste, prude mais radieuse ; Spike sera amoureux véritablement pour la première fois qu'il a été retourné, seront un impact et seront prisonnier à jamais car cet amour dans le cœur est inscrit dans la chaire. En métamorphosant leur famille à jamais dans le bon mais la mauvaise grâce de cette lueur s'est étincelée ne faisant pas partie du démon d'Angel ; sera brisée et il sera perdu à jamais, le soleil restera son amie, son confident, sa survie et ne le touche pas de trop près ni de loin il ne brulera pas; personne ne put voir de qui elle parlait car à ces instants se fut le brouillard et l'ombre dans la vision.

C'était l'histoire romanesque, romancée du romantique de l'amour qui puisait sa source et son origine, de quel chemin il fallait suivre pour la vivre. Jenny Calendar tenait tant à connaitre ses origines, son héritage d'être dès la naissance une gitane, elle devait connaitre tous les secrets les révélant au monde, pourquoi William le Sanguinaire -Spike- avait autant d'importance dans sa vie dans le besoin d'être proche de chacun des membres proches et liés par le sang de Jenny. Pourquoi lui ? Quel était ce pourquoi ? Pourquoi était-il si gentil avec une enfant prise à elle alors qu'il n'avait pas son âme nul âme essence à perdre ? Pourquoi a-t-il si désespérément cherché son pardon ? Tandis que certain cherchait à l'envoyer dans l'enfer, une dimension de l'enfer, alors qu'il pouvait l'être en étant envoyé dans une dimension infernale parallèle. Elle avait besoin de réponses. Et espérait que demain, elle les obtiendrait ou un jour prochain. Elle ne quitterait jamais cette terre sans le découvrir, elle refusait d'ignorer les secrets, d'emporter un secret dans sa tombe.

Drusilla était largement considérée comme « folle », sa propre grand-mère Darla la décrivant comme « une folle ». Spike a commenté avec amour qu'elle « n'a jamais cessé de le surprendre » et qu'elle « avait encore un peu d'enfant en elle », en contraction avec des déclarations très abaissantes sur sa folie de la part de son père Angel.

Drusilla était exceptionnellement affectueuse pour un vampire et considérait ses camarades du Tourbillon comme sa famille. Bien qu'à cause de son statut sans âme, elle n'avait qu'une obsession tordue qu'ils ne soient que des objets de sa névrose. Elle était particulièrement attachée à Spike, son amant et compagnon de longue date. Des années après qu'elle et Spike se soient séparés, elle a été montrée très amoureuse de lui, alors qu'elle disait avec affection et inquiétude se confiant à Elizabeth que son cœur reposait sur lui. Elle aimait aussi beaucoup Darla, qui agissait comme tutrice de substitution pour elle ; Drusilla a appelé sa « grand-mère » à plusieurs reprises. Tout en voyageant encore avec le Tourbillon, elle a maintenu une relation sexuelle avec Angelus même pendant qu'elle était avec Spike ; Angelus voulait enseigner à Spike ce que signifiait être un vampire et a utilisé Drusilla pour atteindre cet objectif. Drusilla semblait ignorer la rivalité qui la visait, à moins qu'elle ne s'en réjouisse. Après le départ d'Angelus du groupe, Spike a continué à prendre soin d'elle.

Malgré son état d'esprit instable, elle était tout à fait capable de poursuivre des conversations normales avec Spike, mais généralement seulement quand ils étaient seuls ensembles. Avec d'autres, elle parlait dans des énigmes et babillait de manière illogique. Sa folie a fait d'elle une source de grande peur pour les vampires et les démons. Beaucoup la croyait imprévisible, bien que Spike pensât qu'elle était plutôt simple.

Spike était le seul à comprendre ses visions, la soutenant durant ces moments de douleur alors que ces cellules lui montraient diverses chemins et aventures à accomplir, à découvrir et explorer, tandis que d'autres ne la croyait jamais, ne prenant jamais au sérieux ses énigmes qui ils croyaient illogiques ; pour Drusilla, elle se confiait à Spike quand la nature lui confiait des vies importantes à être sauvées, celles qui, dans ces conditions étaient vitales et importantes qui ne pouvaient être ignorées ; capable de changer de voies notre avenir mettant en sécurité de pauvres gens, de changer la destinée.

Drusilla n'a jamais été autant sérieuse, elle était profondément accrochée en réfléchissant à tout ce qu'elle vivait dans l'aura de Spike et de cette jeune fille encore inconnue, dans ses nombreuses visions qui étaient pour la plupart lisibles, compréhensibles plus vivantes que jamais alors que le contraire de tout dans un brouillard de noirceur ténébreux, ne pouvant être interprété c'était impossible. Dans ce trou dans lequel elle n'était pas capable de surmonter ni de déchiffrer dans son angoisse, elle devait en parler en se confiant à Spike et personne d'autre ; Angélus ne devait pas prendre connaissance de quelque chose d'aussi grand et imprévisible qui ne pouvait être que spectaculaire et définitive sur leur vie à toute cette famille heureuse.

Et bien sûr, comme toujours, que quelqu'un, Dieu le bénisse et prenant toujours soin d'elle, il est vraiment devenu le « chevalier courageux, un prince obscure baigné de lumière qu'elle avait imaginé. Il a été dévasté quand il a surpris que Drusilla fût pour la première fois en train d'avoir des relations sexuelles avec Angelus. Bien que son attitude ait été durcie en conséquence, il a maintenu une forte affection pour elle. Les deux sont finalement partis seuls, période pendant laquelle leur relation s'est épanouie...

Spike compris que cette prédilection était réelle et la compris dans tout les sens du terme ; il comprit également dans leur conversation la douleur, la peine de Drusilla son angoisse isolée qu'il ne la comprendrait pas, mais c'était totalement faux et montrerait une puissante injustice.

Drusilla murmura pour les étoiles que cette jeune fille devait prendre grand soin de son prince des ténèbres, ne pas le blesser et rajouter de la douleur et de la peine plus que nécessaire alors qu'il avait déjà souffert des mains de son sieur, lui donnant tout l'amour qu'elle ne saurait donner à Spike malgré qu'elle le comprît, malgré qu'elle ressentît l'amour, mais elle ne pourrait lui offrir un si grand amour, ce serait le rôle de cette bohémienne…

Le jour approchait où Spike devra embrasser, étreindre son destin futur, l'en-dessous, l'intérieur de l'histoire de cette malédiction, il devait vivre à l'intérieur sa propre aventure de vie, les retombées de la vie d'Angélus, Darla et d'autre tueuses... Un jour, au début de la nuit qui était encore jeune et le crépuscule était encore proche, il suivit Drusilla pour se retrouver dans une rue pavée sombre, l'air froid autour d'eux, l'air de la Roumanie.

En cette nuit-là, il avait fallu tout mettre en œuvre d'un côté pour faire basculer, changer la vie, changer et laisser le soin de laisser les choses se produire. Les choses arrivent si on les laisse se produire en continuant. Avant tout, sachant que l'on pouvait survivre à tout si on le décidait, et que l'on est capable malgré la hauteur et les difficultés. Même si cela ne semble pas facile lorsque cela arrive, l'on survie à cette rupture. Si une porte se ferme, c'est parce que ce qui se trouve derrière n'est pas fait pour soi. A la fin, tout se met en place. Entre-temps, on peut rire de la confusion, vivre pour le moment présent et comprendre que tout arrive pour une raison. Les gens changent pour que nous puissions apprendre à lâcher prise. Les choses tournent mal pour que nous puissions les apprécier quand cela se met en place. Nous croyons au mensonge pour finalement apprendre à ne faire confiance qu'à nous-même. Parfois, les bonnes choses s'effondrent pour que de meilleures choses puissent arriver.

Regarder autour de soi, dans la vie on n'est solitaire que si on choisit de l'être. Nul ne doit l'oublier et combien d'autres créatures, êtres humains vivaient dans la solitude car, quand nul ne doit rester tout seul, il y aura toujours une raison pour laquelle nous rencontrerons des gens. Soit nous en avons besoin pour changer notre vie, soit nous sommes celui qui changera la leur. Croyons-nous qu'il n'y ait pas de coïncidences dans la vie ? Tout arrive pour une raison. Chaque personne que nous rencontrons à un rôle dans notre vie, que ce soit d'une grande ou d'une petite importance. Certains vont nous faire du mal, nous trahir et nous faire pleurer. Certains nous apprendront des leçons, non pas pour nous changer, mais pour faire de nous une meilleure personne.

De mauvaises choses arrivent. Notre façon d'agir définit notre caractère et la qualité de notre vie. Nous pouvons choisir de nous asseoir dans une tristesse perpétuelle, immobilisée par la gravité de ce que nous avons perdu. Ou nous pouvons choisir de sortir de la douleur et chérir le cadeau le plus précieux que nous ayons : la vie elle-même.

Ne l'oublions pas, chaque être peut survivre à tout s'il le décide. Même si cela ne semble facile à personne lorsque quelqu'un le vit, survivre à chaque rupture que vivent des personnes dans le monde, n'était peut-être pas sûr de la raison ou de ce qui attend, mais cela pourrait être et peut être formidable. Prendre un peu de recul et réfléchir au message, énigme de la vie vision et prophétie. De bonnes choses attendent tout un chacun.

Spike ne devra pas en aucun cas, d'aucune manière et façon qui soit, tuer cette jeune fille, la jeune gitane -bohémienne- et ne pourra pas, il lui sera impossible de changer de chemin, de revenir en arrière, c'était trop dangereux pour l'avenir et Spike lui-même, interdiction de lui faire du mal d'aucune façon, d'aucune sorte que ce soit…. Par n'importe quelle personne qui aurait des pensées, des subjections, des intentions cruelles et malveillantes à l'égard de Serena.

Pour la blesser, ou encore plus loin dans des pensées cruelles psychologiques, la tuer en lui voulant du mal par vengeance d'écarter par inconscience de naïveté pour aller sur une route de prisonnière pour aider des personnes à sortir de l'ombre -quel que soit son passé et ce qu'il était- mais c'était un vampire qui était à sa croisée des chemins en quittant l'ombre, la sorcière, gargouille de l'enfer et lui faire voir la lumière et la vie qui était si belle.

C'était, elle le savait, le moment, l'instant du jour pour le conduire dans la ville d'un petit village des roumains, Drusilla l'avait pressenti attendant le jour exact qui était le mieux et parfaitement souligné dans ses visions ; le moment où Spike posera ses yeux sur la belle Serena Kalderash. Dans le village, était enveloppé dans le noir la nuit profonde qui dans les ruelles étaient bien pire en terme de lueur, ils croisèrent des veilleurs de nuit qui allumaient chaque réverbère des rues principales, les Falotiers, allumeurs de réverbères ; Drusilla marcha et marcha encore un long moment pour arriver au lieu à l'espace principal de ses rêves et prédilections, sur la place principale les rues du marché voyait arriver dans l'afflue bons nombres encore de commerçants et des villageois paysans qui travaillaient. Ce lieu était engorgé de bons nombres de monde, toutes ces voix, ses personnes qui inspiraient la vie, les corps chauds et vivants ainsi que des centaines de cœurs qui battent, Drusilla y était tentée de tous les massacrer mais il ne fallait pas succomber à la tentation. Elle et Spike étaient venus ici que pour une seule et unique raison, en se retenant Drusilla dans son moment de lucidité et de femme saine d'esprit, elle y arriva et gagna en apprivoisant, contrôlant sa soif de liquide et de sang, de nourriture en abondance...

Comme elle pense à ce qu'elle veut faire, Drusilla mais surtout en particulier Spike, décrit l'odeur de Serena comme étant très florale, un mélange de lavande et de freesia. Tout en chaque vampire a été conçu pour les sembler attirant, la voix, les visages, et même chaque odeur. Une odeur séduisante sensuelle presque sexuelle. Comme s'il avait besoin de tout ça. Comme si chaque être vivant pouvait y échapper, mais qu'en fin de compte il était attiré comme avec de la magie les retenant. Comme si chaque victime pouvait se battre en étant capable mais ne l'était pas contre lui ! Eprouvant un désir charnel, de luxure était conçus pour attirer des innocents dans les griffes de prédateurs, il n'était pas un ange mais un monstre qui avait soif et désirait du sang.

Et c'est ainsi que tout se passa, tout se déroula. L'odorat fait partie, avec le goût, l'ouïe, le toucher et la vue, des cinq sens qui permettent de percevoir les aliments surtout compte tenu de l'image, la représentation d'une image, d'un langage clair et d'après ce que l'on dit d'eux. Les odeurs sont perçues par le nez. Les substances olfactives parviennent au nez par l'air que l'on respire. Une fois ces substances inhalées, des processus chimiques se succèdent rapidement au niveau des muqueuses nasales et nous font percevoir l'odeur. Cela se produit grâce à des récepteurs, c'est-à-dire à des cellules situées dans les muqueuses nasales qui fixent les substances. L'odorat est donc essentiel si l'on veut profiter pleinement d'un repas ou d'un aliment. Car le goût et l'odorat sont intimement liés, et sont mutuellement responsables de l'expérience gustative. L'odorat assure donc également une fonction corporelle protectrice.

Chacun des sens des vampires étaient amplifiés par leurs capacités, leur devenir immortel dans le monde surnaturel : les vampires ont des sens extrêmement développés et peuvent entendre sans difficulté à plusieurs centaines de mètres. Mais ils ne peuvent pas rivaliser avec les loup-garou…

Drusilla ressentit l'aura de l'essence même de l'âme d'une jeune, innocente et douce jeune fille ; elle était la pureté même sans petite trace, la moindre trace du péché originel, ses yeux étaient doux et tendres, d'une noirceur nacrée de noisette et du chocolat. Elle se faisait surnommée « Ange » et ses sœurs la surnommaient leur demi-sœur, car elle était toujours sage... Drusilla l'observa attentivement d'une manière, d'une façon naturelle, d'une attention presque maternelle, meilleure comme pour éviter de se faire repérer et de cette direction elle devait être sûre de ne pas se tromper de personne ; en étant absolument sûre de son choix pour rendre à Spike son côté tendre et humain heureux.

Dans des mouvements des plus privés souplement qui étaient sans aucun doute discrets, aussi discrets qu'un animal si petit minuscule comme une peluche douce, un lapin ou des bébés animaux qui l'un d'entre eux était un poussin comme au sens figuré (d'un mot, d'une expression) qui résulte d'une figure de style, d'un transfert sémantique ; représenté par une figure, un dessin.

Drusilla fit regarder de loin Spike en lui faisant regarder avec ses propres yeux, la jeune fille, Serena, il ressentit quelque chose de nouveau en lui, qu'il n'avait jamais éprouvé en tant que vampire depuis sa transformation et encore moins bien quelque chose qui manquait pour la première fois de sa non-vie il n'avait eu cette passion ce désir de soif du sang. Dans une famille de maitre vampire où il vivait, Spike s'était livré, essayait de maitriser son démon au plus profond de lui-même ainsi que loin de son cœur, on n'est pas comme les autres de notre espèce. On ne chasse que les animaux, on a appris à contrôler notre soif. Mais c'est elle et, son parfum, elle est comme une drogue pour Spike. C'est comme si elle était sa propre marque d'héroïne.

Jamais il n'avait jamais rien ressentit de tel, aucune envie de boire ce liquide chaud. Drusilla espéra ne voulant, ne souhaitant pas s'être trompée bien que dans son cœur son démon lui cria qu'elle avait parcouru le bon chemin et en elle-même son moi profond était plus que jamais heureux et rassuré pour ce qu'elle offrit de son libre arbitre et son avenir, sa liberté d'aller où il veut.

Dans tous les coins, les moindres maisons construites alors que les esprits malveillants étaient tous identiques, ne changeaient pas le moindre ou s'il en était, très peu de bonnes âmes qui croyaient à la modernité du progrès. Il n'y avait pas de progrès, pas de réalisation, de révélation qui étaient des preuves sans modernité. Prêcher l'union quand on s'égorge, c'est crier dans le désert. Il est des temps où les âmes sont si agitées qu'elles sont sourdes à toute exhortation directe. Serena était rejetée avec haine, malveillance et les personnes qui se trouvaient être les villageois n'avaient aucune bonté pour elle ; c'était ce qui frappa le plus Spike avec intensité.

A présent que le bon Dieu la juge ou mieux encore ce qui était le pire, les villageois furent jugés ; elle, elle pardonne à ceux qui la méconnaissent. Avec courage dignité, telle une reine qui fut jugée comme une coupable, comme une femme brisée par les huées de la foule, les cris, les mauvaises gens, elle pardonna accompagnée de la stupeur de Spike qui voulut la défendre.

Si le monde était juste et raisonnable, il ferait plus attention à son bon cœur qu'à sa vilaine figure et mauvais habillements. Mais si on avait été bon et humain envers elle, elle n'aurait pas songé à contenter sa curiosité aux dépens du prochain. Elle aurait renfermé son amusement dans la connaissance des secrets que lui enseigne sa grand- mère pour la guérison du corps humain.

Elle trouve elle-même aux herbes des vertus qu'elle ne leur connaît pas, et elle est bien étonnée quand elle fait des drogues dont elle voit ensuite le bon effet ce qui en réalité n'était pas réellement des drogues qui étaient nuisibles ou des remèdes dont on devenait dépendant par ceux-ci. C'est la viande, et elle sait que les villageois en se sont dites dégoûtés, et qu'ils ne vivent plus que de mauvais herbages. Mais il n'importe, ils se forceront et, quand même il y aurait de la répugnance, ils n'en feront rien paraître. Tout ceci sur son marché isolé de la place du village.

Cette pratique qui était devenue un rituel pour la jeune femme, chaque semaine de chaque vendredi au marché qu'elle devait se comporter, paraitre être digne et fière de présenter, de soigner, guérir les gens, les malheureux villageois ou les riches en leur faisant profiter des savoirs vivre, du savoir être du peuple tzigane ; une habitude de vivre sa vie en étant ici et là pour aider les nécessiteux.

Serena composait des pommades pour les différents saignements d'égratignure des genoux et jambes des enfants. Elle inventait différentes potions, liquides de guérison dont les recettes étaient données, apprises, et donner par le partage du bouche à l'oreille. Elle apprit à être dans l'hygiène le confort et les soins pour chacun de ses patients qui l'accepter, et en avait une totale confiance en ces remèdes et médicaments.

On appelle remède naturel ou remède de grand-mère une préparation élaborée à des fins médicinales à partir de produits naturels. Par définition, les remèdes de grand-mère s'opposent aux produits commercialisés de nos jours par les laboratoires pharmaceutiques tels que les gélules, les comprimés et les granulés.

Pour réaliser et connaitre l'ampleur des potions est une préparation liquide destinée à être bue, variante des philtres, élixir (alchimie), et élixir (pharmacie), aux effets entre autres médicamenteux, stupéfiants, psychotrope, toxique, magique, ou envoûtant... La préparation de potions remonte probablement aux origines de l'humanité et de l'histoire de l'art culinaire, avec la cueillette, la consommation, et l'étude de l'effet des plantes et autres ingrédients par les guérisseurs-chamans de la période des chasseurs-cueilleurs de la Préhistoire (à base entre autres de tisane, infusion, thé, fermentation, décoction, macération...). Avec, entre autres, les simples médecines à base de plantes officinales, plantes médicinales de jardin médicinal, et plante magique), puis par les chimistes et pharmaciens (médicaments) de l'époque moderne et époque contemporaine…

La jeune femme qui était d'une grande beauté, tout le monde, un bon nombre de personnes, au milieu tout autour d'elle, Serena était aimée, désirée, elle fallait savoir qu'elle était une personne chérie, tout le monde, chaque être l'aimait, la connaissait. Une jeune fille, une jeune personne prénommée Serena était la fille la plus aimée de son clan. Tout le monde, un village si petit soit-il, ne pouvait pas ne pas la connaitre ; il était nécessaire toujours d'avoir une personnalité magnétique comme entrainer les personnes même les plus petites, les hommes qui détestaient le monde, les incompris à venir vers elle, rejeter et laisser pour compte loin de la société, Serena avait ce don, avait une beauté et grande bonté dans l'âme et le cœur.

Spike avait eu un secret qu'il partagea avec Drusilla qui lui était dû à elle-même en soi, pour le rendre encore plus puissant, plus dangereux et terrible dans la grandeur pour obtenir, avoir le Saint-Graal pour les vampires ; Drusilla voulut que ce soit lui et non Angel qu'il trouva et l'obtienne ; mais c'était aussi qu'il était jeune mais à la fois vieux, assez noble comme maitre-vampire, avec un bijoux la gem d'Amara, le joyau, la pierre, un anneau magique. Le joyau d'Amara permet au porteur de se régénérer, s'il se faisait poignarder par un pieu — qui tue traditionnellement un vampire — la blessure se refermerait et le vampire ne se transformera pas en poussière. Toutefois, son effet le plus étonnant était de permettre au vampire de sortir en plein soleil, permettant ainsi au vampire de chasser en plein jour. Grâce au joyau, les vampires sont également immunisés face aux croix et au feu.

Ce qui permit à Spike -le jeune William- de sortir en pleine journée, observant la jeune Serena alors qu'elle brillait de lumière du soleil…. Il voulut désespérément de manière forte dans la passion, l'obsession du désir de la connaitre et ainsi de suite, de fils en éguille, de lui parler.

Et c'était ainsi qu'alors de cette manière-là lors de ces circonstances que Spike, qui fut très inquiet à cette épreuve vit de son existence il était très peu sûr de lui qu'il se décida à prendre sa non-vie en mains propres loin des décisions prises pour lui, pour son bien ou contre lui pour son grand malheur ; d'une certaine façon dans un sens comme dans l'autre, il fut fébrile les mains moites ainsi que tout à l'intérieur de son estomac et son corps rassemblant en même temps répondant à l'appel désespéré de l'alarme qui hurlait au plus profond de sa tête l'attention qui était présent. Ses jambes étaient tout aussi faibles et fragiles... Mais il se voulait courageux, maitre ainsi de son destin et de l'avenir tout proche quand le présent pouvait devenir le passé à chaque millième maitre du centième après avoir vécu, ressentit à l'instant, devenant à l'apprendre du passé qui peut être douloureux.

Et dans un moment émouvant ce fut le jour mémorable de la rencontre entre Spike -William Pratt- avec Serena du clan Kalderash. Et c'était alors à ce moment précis dans un grand moment historique d'un vampire et des peuples des clans qui étaient à des moments religieux nomades et qui croient en Dieu, à renoncer à boire du sang humain directement dans la source de la jugulaire, un acte d'histoire pour chaque et chaque être vivant de renoncer au sang et n'avait pas soif ni faim... Pour Spike, c'était la toute première fois qu'il la rencontra...

Il serait avéré, réalisé beaucoup plus tard que Serena était la copie conforme de Jenny Calendar, une ressemblance frappante, bouleversante ; un corps élancé et purement féminin, elle incarne la pureté des sentiments. Mais elle sera le jouet de la fatalité, sa beauté physique causant sa perte. Un long cou gracieux et grand frêle d'un cygne, avec dans un coin un joli et petit minuscule grain de beauté.

Pendant six longs mois, durant chaque minute de la nuit et de la journée qu'ils se rencontrèrent dans des lieux clos, dans des repaires secrets, c'était une des nombreuses raisons de sécurité qui devait continuer à flotter à faire assez de lumière pour déjouer les plans du savoir ténébreux et prédatrice d'Angélus et les soupçons de Darla ; ne voulait pas éveiller de soupçons, de traces d'indices et étant pris sur le fait, il souhaitait rester un monstre, un meurtrier, Tueur des Tueuses. Mais, malgré cela, il savait que quelque chose allait arriver, quelque chose de grand et s'il ne trouvait pas loin pour l'arrêter maintenant, cela se terminerait mal pour tout le monde.

Il fit du mieux qu'il pouvait dans son sang de toute son énergie, sa peine pour lutter contre son démon ainsi que d'autres monstre de la lueur de la lune des ténèbres pour qu'elle ne découvre jamais l'existence de ce qui avait de pire la nuit en refusant de la tenter à devenir comme eux. Il ne lui dira peut-être jamais la vérité à moins qu'il en soit forcé et le monde le veuille et l'avenir.

Serena apprit à ouvrir les yeux sur l'horizon pour montrer au jeune homme tout ce qui avait à savoir, à découvrir et à inventer dans ce monde, elle partagea avec Spike ses connaissances, son savoir et les connaissances, les croyances qu'elle appris, partageant son savoir avec d'autres écoutant tout ce qu'elle ignorait d'autres ancêtres et personnes plus âgées, les anciens, découvrit, montra, expliqua grâce aux événements et voyages ; Serena sentit qu'elle devait partager tout ce qu'elle avait appris, compris, retenu...

Elle apprit l'histoire de toute l'histoire récente et contemporaine des amérindiens et l'histoire de l'Amériques et frontières ; il était une fois les Amériques, c'est l'histoire que je vais vous conter, de la Sibérie au Pacifique, les anciens se sont mis à marcher, ils ont bravé des océans, ils ont franchi des continents, poursuivant leur rêve de liberté.

L'aventure parfois fut dramatique, souvent ce fut la fin des héros, ce n'est pas facile, mais c'est magique, de faire un pays tout neuf, tout beau, d'autres ont repris le flambeau, allant plus loin, allant plus haut, et leur rêve devint réalité. Elles sont maintenant là, les Amériques, comme vous les avez imaginées, à vous d'en faire ce monde fantastique, dont nous avons tous un jour rêvé, que tous marchent main dans la main pour aller au bout du destin, sur cette terre tant espérée. Une terre de fraternité.

Un chaman (homme ou femme) est un expert en religion ou en mysticisme qui occupe la position de guérisseur, prophète et dépositaire des traditions dans les sociétés autochtones, traditionnelles ; le chamanisme est un ensemble de formes de médiation entre les humains et les esprits assurée par des chamans, incarnant cette fonction en interdépendance avec la communauté qui les reconnaît comme tels et pour laquelle ils sont censés intercéder auprès des esprits.

Dès leur première rencontre Serena et Spike se sentirent attirer l'un vers l'autre par un magnétisme amical. Serena senti tout de suite qu'elle devait le protéger, prendre soin de lui.

Elle avait fait des rêves sur lui avant leur rencontre, elle sent i donc que quelque chose allait arriver il y avait un lien entre eux comme le destin qui les reliait l'un avec l'autre, ils étaient obligés d'emprunter la même route pour que les choses se mettent en place et soient ainsi faites, elle n'avait pas encore fait le rêve qu'il était un vampire. Ils avaient des personnalités différentes mais malgré cela et malgré cette différence, il y avait une sorte d'âme, d'essence qui les reliaient ce qui fut ainsi, comme des âmes sœurs amicales et que Spike ressenti un sentiment puissant. Dès le premier contact ils devinrent des amis comme s'ils s'étaient toujours connus.

Serena a à peine réprimé un rire. Son ami toujours aussi austère était un spectacle à voir alors qu'elle se tortillait hors de son vêtement noir habituel. La précision méthodologique habituelle qu'elle utilisait pour se déshabiller ou déshabiller Darla ou Drusilla avec leurs belles robes, il changeait ses propres vêtements plus simple, ressemblant à un paysan, retirant, reposant et reniant quel vampire maître qu'il était en toute redoutable réalité. Ses coudes se sont coincés dans les manches longues de sa robe et elle a presque perdu l'équilibre en se débarrassant de ses bas épais. Alors qu'elle attachait enfin les boutons de la fine robe bleu clair, son chignon était devenu à moitié défait et les boucles avaient perdu la majeure partie de leur courbe. Avec un sourire, Spike retira avec sa main ses doigts longs, fins, masculins et forts, enleva les épingles de son chignon qui s'était affaissé. Serena l'aidant avec les plus emmêlés. Tous deux savaient que ce n'était pas nécessaire, mais ils appréciaient le rituel tacite. Alors que la jeune fille pliait l'épais coton, elle regardait son doux William tresser ses longs cheveux avec fascination. Elle pourrait peut-être plier correctement les vêtements maintenant, les vêtements dans le vrai monde moderne, réel, venant des salons des nobles, mais Serena sentait qu'elle ne maîtriserait jamais les mouvements rapides et agiles avec lesquels sa femme de chambre tressait.

Leurs sorties étaient lentement devenues une habitude après tout ceci. L'incident où il faillit, à sa plus grande horreur, détruire ses filtres et ses boules de cristaux, bien que tous deux savaient que cet incident n'était pas tout à fait le bon mot pour l'appeler. Au début, ils s'étaient évités autant qu'ils le pouvaient, dans la mesure du possible. Pendant un mois, ils ont évité tout contact visuel ou conversation superflue. Jusqu'à ce que Serena ait planifié la première sortie pour sauver ce qui restait de leur relation de travail. Elle avait choisi la forêt pour fournir une base égale à sa femme de chambre et pour s'assurer qu'ils pouvaient parler librement.

Biaiser, des bisous sur le nez, la joue, le front et ses cheveux. Une autre habitude qui s'était glissée depuis « l'incident ». Spike ne s'en était pas soucié. Cela avait commencé par le fait de se tenir la main ; c'était le jour où ils avaient rafistolé leur relation de travail. Alors qu'ils étaient sortis de la forêt, elle lui avait attrapé la main, disant à quel point elle était heureuse qu'ils soient à nouveau amis alors qu'elle la pressait. Elle lui a permis de lier leurs bras, d'embrasser sa joue et de lui caresser les cheveux. Spike ressentait encore occasionnellement de la culpabilité lorsqu'elle fantasmait sur le fait de sentir les lèvres de l'autre femme -Drusilla- toute seule, mais cela ne s'accompagnait pas du sentiment habituel de dégoût et de haine de soi.

L'embarras ne l'avait jamais quittée, de tromper sa chère Drusilla pas plus que le sentiment de culpabilité qu'elle ressentait chaque fois qu'il touchait une autre femme sans méfiance.

Il s'était passé tant de choses, d'événement troublant en paraissant impensable et on devrait presque dire impossible, se l'avouer en observant les faits, les actes d'amitié étrange bouleversant de bonheur à cette vue émotionnel de pureté de bonheur qui avait été conduit à cette amitié, il s'en était écoulé des jours pour dans ce cas ici, une très bonne dizaines de jours, ces journées, cela était avéré, et réalisé comme si elles étaient courtes, petites et dans ces moments rares et précieux à ne jamais les oublier ; ou elles étaient courtes, il était obligé de donner de faire encore plus d'efforts pointilleux pour garder autant de souvenirs les créant, les fabriquant en des journées si peu de temps, tant de choses à faire. Il gardait une liste précieuse toute particulière restant en si peu de temps des moments, des instants incroyables créant, confectionnant pour être heureux le soir, tard, dans son lit. On a l'impression du sentiment de devoir accompli ; temps et vie, si peu de temps à rester en vie.

Un beau jour, Spike posa le panier et étendit la couverture, se sentant un peu coupable. Elle avait délibérément choisi une couverture légèrement plus petite que la dernière fois. Parfois, Serena s'appuyait contre elle pour reposer sa tête. Une fois qu'elle avait même posé sa tête sur ses genoux. En choisissant une couverture plus petite, il espérait augmenter les chances que cela se reproduise ; au contraire, la jeune femme serait au moins assise plus près d'elle. Parfois, ses propres sentiments la dégoûtaient, mais pour l'instant, elle l'a calmé. Accepter cette partie particulière d'elle était quelque chose qu'elle trouvait encore difficile, jamais, au grand jamais, il avait été autant amoureux de quelqu'un auparavant jusqu'à Drusilla... Et maintenant, à présent, Serena. À l'exception de quelques coucheries ivres dans ses jeunes années, elle n'avait pas beaucoup d'expérience dans ce domaine.

Ils ont bavardé amicalement pendant un moment, l'esprit de Serena s'était avéré un adversaire digne de la plaisanterie de Spike et ses pitreries. Serena se moqua de l'expression de jalousie de Spike alors qu'elle abattait les trois quarts d'un gâteau. Comme la plupart des gens, Spike avait d'abord pensé que la jeune fille, à la fleur de sa jeunesse et sa croissance non finie, devrait manger plus.

Maintenant qu'il était devenu clair qu'elle mangeait presque le double de la quantité que Spike mangeait - tout en conservant sa silhouette de danseuse frêle et délicate - Spike avait cessé de lui dire de manger plus et avait commencé à lui donner des yeux de côté quand elle était libre de le faire. Elle avait toujours été plutôt robuste avec de larges épaules et des hanches pleines, ce qui en faisait un peu une mule d'emballage quand elle était encore femme de ménage. Après le déjeuner, un silence confortable s'est infiltré. Spike a jeté un coup d'œil à Serena, mais elle aussi a fini par se perdre en lisant son livre entourée de sons de la forêt, l'avait étudiée depuis longtemps...

Serena n'avait étrangement jamais pris son ami pour être du type studieux, mais le jeune homme semblait lire à chaque instant libre qu'il trouvait. Elle a dit étrangement, car elle savait que son ami était à la fois débrouillard et perspicace, mais dans le passé, elle ne l'avait jamais considérée comme exceptionnellement intelligent, alors quand toute réalité il l'était. Spike n'avait peut-être pas bénéficié d'une éducation aussi formelle qu'elle, ni d'un visage doux et féminin ou d'une élégance raffinée que beaucoup de ses amis ont exposée. Mais ce n'est que maintenant qu'elle a réalisé que William était à la fois intelligent et beau néanmoins.

Sans trop réfléchir, elle a attiré l'autre l'homme dans une étreinte à un bras. Ce qui fit qu'elle a failli laisser tomber son livre au mouvement inattendu. Soudain, elle se reposait contre l'épaule de Spike, le bras de Serena serpentant autour du petit de son dos. Serena lui mordillait les cheveux et le caressait affectueusement. Le contact étroit a fait battre le cœur qui ne battait plus fit une double prise de tambour dans sa poitrine, car il a envoyé des étincelles à travers son corps. C'était à la fois exaltant et terrifiant. La sensation du corps de Serena contre lui. Spike n'osait pas regarder la jeune fille dans les yeux, effrayée par ce qu'elle pourrait y trouver et par ce que Serena pourrait trouver, reflété dans la sienne. Spike était encore pris dans sa pensée quand elle a soudainement réalisé qu'elle regardait droit dans les yeux de Serena. Serena, qui arborait un sourire plutôt que merveilleux, le plus beau du monde, timide et à la fois du même temps brillant.

Elle avait réussi à poser sa tête sur ses genoux dans un mouvement rapide avant d'avoir eu l'occasion de protester. Non pas qu'elle puisse protester, pas avec Spike qui lui caressait les cheveux et rayonnait vers elle. Spike s'est retrouvé transfiguré en levant les yeux dans les yeux marron de la jeune femme, oubliant de s'inquiéter de l'histoire que son visage racontait. Serena s'était trouvée tout aussi enchantée. La jeune femme avait l'air tout à fait captivante. L'expression ouverte sur son visage adoucissait les lignes habituellement présentes. C'était la première fois qu'elle trouvait son William poétique, romantique, presque humain si ouvert et confiant, ce qui la rendait d'autant plus attachant. Dans l'ensemble, Serena voulait simplement le ramasser et l'embrasser à un pouce de sa vie, mais s'est abstenue. Leur amitié actuelle était compliquée et difficile, cette prairie dans les bois étant le seul endroit où ils pouvaient vraiment être amis. Au lieu de cela, elle se pencha en chuchotant :

"Je t'ai déjà vu., avant, autrefois, il y a longtemps dans mes rêves plusieurs mois avant notre rencontre..." Spike voulut en dire plus se demandant avec interrogation pour protester, mais elle le coupa. "Chut... Ne dit rien tu n'as rien à dire, un jour tu comprendras... Peu importe à quel point ces sorties peuvent devenir rares et à quel point notre amitié peut être particulière, sache que je suis très heureux de t'avoir comme mon cher ami - mon ami le plus proche, l'âme de mon âme…"

Et avec cela effleura doucement ses lèvres contre le front de Spike. Ses yeux se fermèrent au toucher. Spike ne pouvait s'empêcher de réaliser à quel point il aimait cette femme, cette femme narquoise, compliquée et tout à fait adorable. Il voulait la tenir près de lui et sentir la chaleur de la peau de Serena contre la sienne, et une petite partie d'elle espérait que c'était ce que son amie voulait aussi. Son amie. Le mot lui rappelait que pour l'instant, maintenir cette amitié déroutante et fragile était un défi suffisant.

Alors qu'elle ouvrait les yeux, Spike semblait s'être retrouvé à court de mots. Au lieu de cela, la jeune bohémienne s'est levée pour embrasser son front à la place, tirant timidement le jeune homme vers le bas pour s'allonger à côté de lui. Serrant leurs mains ensemble pour exprimer ce pour quoi elle ne pouvait pas trouver les mots justes ; aucun ami ne pourrait jamais être aussi précieux et chéri que Serena.

Elle lui révéla alors qu'elle savait qui il était et en toute circonstance savait ce que cela impliquait, des choix douloureux et un amour impossible, dans n'importe quelle souche. Serena a toujours cru qu'il était un maître vampire, elle en avait eu connaissance et savait qu'elle avait pour connaissance ce que d'autres ignoraient, qu'elle savait ce qu'elle faisait, s'impliquant dans un monde des ténèbres...

Le temps s'était écouler de manière de façon paisible, le bonheur durera dans de long mois, chaque être vivant qui désire et souhaite en faisant un souhait de vœux pieu pour que ces instants de bonheur d'aire du temps et les relation du temps d'amour remarquerai que d'une certaine condition s'écouler de manière régulier et totalement normale, en s'aidant ;la vie était comme un long fleuve tranquille d'une dans une relation simple quotidien... Durant six mois complet et rempli de secrets d'amour romantique qui respirai et inspirée la jeunesse d'un premier amour.

Leur histoire était si simple, si belle. Ce qui rendit cet amour encore plus beau était dû au fait qu'il était une sorte de forme de symbole idyllique des préjugés qu'il y eu jusqu'à maintenant, faisant ainsi ressortir toute méchanceté et laisser la place d'entrée de l'ouverture d'un monde plus beau, plus conciliant, la paix sur cette terre des peuples ; c'était gravé sur une étoiles, au creux des lignes des mains comme des traces de lignes de présage, de voyance, qui annonçait bien du changement de vie dans seulement une main il était écrit de cette façon, alors que chaque trait marquait et en voyant beaucoup plus qu'il ne veut bien l'admettre et possible un bonheur des vies entrecroisées.

C'était dessiné sur la plage et en même temps, de temps qu'il le fallait désirer être peint, inscrit fabriquer toujours en ligne, du temps qui existait et perdurerait toujours comme des arbres et des autres arbres de n'importe quelle espèce sur le pommier du jardin l'amour gravé et laissant ses marques dans la chair.

Quand le soleil part en voyage, il fait galoper ses chevaux, en lettre d'or dans les nuages, c'était écrit dans les reflets et refaire dans l'eau la source et puisant l'eau du sol retrouvant des ressources comme c'était la vie, l'existence à redonner le symbole, la source, l'élément de l'eau tous en avait besoin pour vivre comme l'amour ; on est bien sur cette terre, leur amour est plus fort que tout, il le savait et c'était également le cas d'elle aussi, elle le savait, il n'y a rien à faire, leur amour est plus grand qu'eux ; c'était brodé au cœur des roses, cousu au fil blanc dans le vent ; à midi quand tout se repose, c'était écrit dans l'air brulant, c'était promis comme une image, dans tous les cahiers d'écolières de Serena et d'écoliers de William, c'était dans l'écume des vagues quand, lorsque les bateaux vont sur la mer, on est bien sur cette terre, leur amour est plus fort que tout, il sait qu'il n'y a rien à faire, leur amour est plus grand qu'eux ou n'importe quel amour mariage en ce monde sur ces terres d'hommes, c'était caché sous les ailes d'un oiseaux qui venait de loin, d'aussi loin que l'on se le rappelle, c'était écrit et c'est si bien, si bien... si bien.

Serena ne pouvait s'empêcher, à l'intérieur de sa tente, d'écouter de la musique de violon seule dans le noir qui dont les notes de musique traversèrent et refaisaient leur apparition de notation qui brulait, se faisait douce de l'extérieur ; pour rêver une vie et pour garder l'espoir de posséder et de modifier les lois des anciens... Tous deux avaient vécu des matins gris et difficiles, en particulier ce cher William devenant Spike ; il avait eu plusieurs idées plusieurs solutions de se cacher, vivre une autre vie loin de toute civilisation et des familles trop cupides, notes de préjugés et de notes amères qui flottaient beaucoup trop bas autour du couple ; des idées de partir très loin sur une île... Spike, très dépendant affectivement, avait besoin d'amour, de confiance et était tout aussi fort mentalement, physiquement avec une incroyable personnalité à la fois cruelle, douce et calme remplie d'amour, attendant tout d'elle sans le savoir, et c'était ainsi que tout allait pour le mieux, que voilà, que par miracle ou par hasard, c'est la vie de château avec eux réunis Tout simplement rester près l'un de l'autre. Plaisir d'amour dans les bras l'un de l'autre, toujours. Un goût que ni Spike, ni Serena n'avait connu, cette sensation, ce sentiment d'être amoureux qu'ils ne connaissaient pas. Un cœur fait des étincelles.

C'était elle, Serena et non Drusilla pour l'instant, pendant un moment, son amour il ne veut pas qu'elle oublie, elle était sa princesse des mille et une nuit, provenant des contes venus d'Orient et d'autres de bohémien, Serena blottie contre lui, elle n'a plus de tristesse. C'était dans leurs bras le plus beau voyage, il est dans leurs caresses. Tous les détails qui lui semblaient banals avec Serena, ils avaient possédé un parfum d'idéal…

Si Vérone est aujourd'hui connue comme la ville des amoureux, elle le doit à Shakespeare qui y situa les amours tragiques de Roméo et Juliette. Au-delà de la légende, cette ville italienne est célèbre pour ses monuments de l'époque romaine et de la Renaissance. Vérone est aussi l'une des destinations les romantiques du monde pour avoir servi de cadre à l'histoire de Roméo et Juliette. On peut y voir la "Casa di Giulietta", la Maison de Juliette, dont le balcon est visité chaque année par les amoureux du monde entier. Ce balcon s'ouvre sur une petite cour à laquelle on accède par la Via Cappello : c'est dans cette cour que se trouve une statue en bronze de Juliette. A l'intérieur de la maison, on peut admirer des objets d'ameublement du XVIe et du XVIIe siècle, ainsi que des fresques qui racontent l'histoire des amants de Vérone.

Spike la fit regarder au soleil levant alors que les rayons du soleil commençaient à poindre à l'horizon l'éclair de la boule de feu se leva lui montrant à travers les ouvertures le tissu à pas complètement, totalement fermé. Il n'y avait qu'une parcelle du ciel qui pouvait être vue ; Regardant le jour se lever, dans la tendresse, sur le campement des bohémiens et sur le village remplissant les pièces de chaleur et de lumière pour une journée complètement qui restera juste au moment où le crépuscule prendra sa place. Il la faisait vivre tel une princesse de contes et légendes de sorcières et princesses aux cheveux sombres et dorés, comme dans un rêve, tout ce qu'elle aime. Elle n'avait besoin de rien quand il lui demandait toujours ce qu'elle voulait et désirait, elle aimait qu'un homme comme Spike prenne soin d'elle et soit si courageux, besoin de rien, envie de toi. Comme jamais envie de personne avant de tomber amoureux. Elle voit le jour, la journée était si lumineuse, si brillante, resplendissante, d'une telle beauté que c'est à l'amour qu'il ressemble.

Comme le rouge qui s'accrochait aux feuilles d'arbres qui étaient le symbole même d'une saison de chaque année, aimant l'automne ; il faut, il fallait le savoir et le comprendre c'est l'amour, c'est à Vérone qu'il ressemble. Ils s'aimaient. Quand elle était enlacée dans des bras forts qui la sécurisait toujours, pour toujours des bras musclés et forts. Quand il l'embrassait, elle était si bien. Dans les premiers temps, dans un tout nouveau moment d'une relation, de première, du matin caresse, matin tendresse. Elle était si belle...

Ils s'aimaient véritablement.

Les mots qui étaient dit tout bas chuchotés, murmurés à l'oreille, la pluie qui tombe sur le toit. Un homme lui parle d'amour et il lui fait la cour tout comme dans les plus belles histoires. Son émotion, sa croyance de pouvoir regarder un ange d'aussi près quand il la voit. C'est comme toujours la première fois. Le premier rendez-vous c'est fort et puis c'est doux, tout comme dans les plus belles histoires à l'eau de rose romantiquement impossible selon les critères sociaux. Des romans d'amour. Il ne faut rien changer à leur liaison qui, pour certains, ne tiendrait pas ni ne changera et personne ne le découvrirait jamais. C'est pourtant vrai...

Fais-moi encore l'amour tout comme dans notre histoire à eux seuls. Cette façon de s'habiller d'être amoureuse véritable comme un ange une jeune fille douce et innocente comme dans les contes de l'Orient, de bouger et puis de danser, ses yeux quand elle sourit et sa mélancolie qui ressemblait plus à Drusilla. Dru était définitivement l'opposée de la lumière de Serena qui était toujours joyeuse, heureuse et belle, ne cherchant jamais à se détourner et à mentir, une mélancolie sur son visage tiré par une moue des plus adorable. Tout comme dans les plus belles histoires.

C'est pur comme un sourire d'enfant, C'est grand comme un très beau roman intime comme nous et chaud comme le mois d'août ; tout comme dans les plus belles histoires. Fais-moi encore l'amour comme au premier rendez-vous, Comme dans notre histoire à eux. Comme au premier rendez-vous, un rendez-vous d'amour.

Une chanson pour son âme sœur : l'amour, la passion… Lorsque l'amour atteint un niveau donné, c'est difficile de le contrôler. Il absorbe l'être entier et le consume. Ce qui est certain, c'est qu'il y a des évidences qui ne trompent pas. Si on cherchait une chanson d'amour, en voilà une et pas des moindres. Dans ce duo interprété par Julie Piétri et Herbert Léonard, l'amour est exprimé d'une manière forte, extrême. Des paroles qui ne laisseraient aucun amoureux insensible. Du désir à la passion, les sentiments des deux amoureux que sont les chanteurs y sont détaillés avec sensualité, de quoi vous plonger dans les abysses de ce sentiment, ô combien enivrant. Amoureux fous, c'est un classique de chanson d'amour par excellence.

Deviner le jour qui se lève quand est-ce que tout ceci était arrivé, quand est-ce que le soleil fut aussi haut dans le ciel, la lumière s'était levée, nul autre ne le savait pas alors qu'ils étaient dans un vieil appartement dont William réussi à se l'approprier à en faire l'acquisition et de l'échanger contre de la nourriture... Sentant son regard sur elle, toucher son visage, Respirer sa peau en pressant son visage contre la poitrine de Spike, et s'abandonner contre lui.

Déchiffrant ses yeux d'aquarelle de peinture à l'huile, laissant des marques, inscriptions de formes d'écriture ancienne venant d'Asie. Se laissant glisser sous ses satins d'un simple sous-vêtement. Embrasser ses lèvres.

Gémir doucement avec amour dans son cou ; et nous sentir amoureux fous...

Amoureux fous, amoureux à en mourir, A ne plus manger, ne plus dormir, amoureux fous, à ne plus savoir qui on est, ni le jour ni même le temps qu'il fait, amoureux comme nous, amoureux fous.

Se laissant aller à se rafraîchir des douces et fermes caresses masculines. Trouvant ses chemins secrets, entre ses cuisses, sa verge venant s'y loger trouvant enfin le retour comme s'ils étaient rentrés à la maison, dans sa chaleur, d'une verge énorme, forte et dure remplissant de semence froide...

Retenir leur souffle, mêler leurs cheveux dans des doigts l'un en l'autre, et les sentir plus amoureux. Qui n'a pas rêvé la nuit, de n'être au moins une fois dans sa vie, amoureux comme nous amoureux fous.

Mais tout devait un jour basculer, les choses et les faits n'étaient qu'inévitable, chaque histoire devait quelle qu'elle soit achevée se terminer. En devenir une réalité c'était le grand mystère de la vie et un cercle perpétuel qui serait transmis de génération en génération comme c'était un symbole, une métaphore dessinée comme un symbole conçu sur du papier avec divers crayons de couleurs. Une histoire sans fin, ainsi que la vie, personne ne pouvait prédire les fins, quelque soit cette fin de réalité. Quand bien même, même si c'était terrible et qu'on pouvait l'éviter, cela restera toujours dramatiquement tragique. Ils furent tous deux, les jeunes amants découverts.

Angelus avait annoncé d'une voix doucereuse, prédatrice, mortellement dangereuse, funeste "Elle m'a fasciné..."

C'étaient des choses auxquelles des vampires sans âme ne comprendraient jamais, jamais, ô jamais plus. Darla a su ce qui arrivait bien après tout ceci qui eût lieu dans l'esprit sain de Drusilla pour rendre heureux et faire une surprise à sa progéniture, son prince sombre, noir, et c'était également réciproque au regard qu'Angélus posséda et fit rentrer dans son visage, une obsession, un désir de tuer... Pour l'emmener avec Darla afin qu'ils puissent se nourrir ensemble. Mais elle n'était pas là. Et plus il attendait, plus le désir de voir de tuer cette jeune fille, cette fille enfant devenait fort. Il se souvient qu'il ne pouvait pas sortir la pensée de sa tête. La voir une dernière fois se débattre, Angélus se réjouit de la souffrance qu'elle endurera bientôt, comme Angelus se souviendra bientôt et ressentira des remords pour chaque acte ignoble qu'il a commis au cours des cent dernières années... En Roumanie, en 1898, Darla conduit un Angélus aux yeux bandés à son cadeau d'anniversaire : une jeune femme roumaine allongée ligotée et bâillonnée sur le sol du salon. Pendant que Darla regarde, Angelus transforma son visage en vampire et mordit la fille terrifiée sur l'intérieur haute de la cuisse...

La vie d'Angelus a pris un tournant décisif lorsque Darla a enlevé la fille préférée du peuple Kalderash à Borşa, en Roumanie, comme « cadeau d'anniversaire ». Angelus a pris son temps et l'a brutalisée avant de la violer et de la tuer, prenant plaisir dans ces actes. Pour venger sa mort, les Kalderash l'ont maudit avec le Rituel de restauration, qui a restauré son âme humaine, l'affliger ainsi d'une conscience et le condamnant à une éternité de remords pour les crimes et les atrocités qu'il avait commis alors qu'il était sans âme. Déchiqueté et sale, ressemblant à un mendiant, il a attaqué et essayé de se nourrir d'une femme, mais n'a pas pu le faire, gêné par sa conscience restaurée.

Le père de la jeune fille, qui était un ancien de la tribu, les a trouvés juste après qu'Angelus l'ait tuée. Angelus s'échappa, mais les Kalderash firent maudire l'un de leurs membres à travers le Rituel de restauration. Le père de la fille a dit à Angel l'intention de la malédiction de faire souffrir le vampire pour ses actions.

Darla, Drusilla et Spike massacrent alors le campement de Kalderash. Bien que Darla soit venue pour essayer de convaincre l'aîné de faire enlever l'âme d'Angelus, parce que Spike avait déjà tué le reste de la famille, elle s'est retrouvée sans influence et l'a tué aussi. Au final, sans aucune autre explication et solution, Darla brisa le cou de l'ancienne

« Vous ne vous en souvenez pas. Tout ce que vous avez fait. Depuis cent ans. Dans un instant, vous le ferez. Le visage de tous ceux que vous avez tués – le visage de notre fille – ils vous hanteront et vous saurez ce qu'est la vraie souffrance. »

Angelus et Darla furent tous les deux fous de rage et de haine colérique lorsqu'ils apprirent le rôle que Drusilla avait apporté et donné sa bénédiction au plus jeune vampire que de connaitre une jeune mortelle tzigane.

Ils ont fait ce que Spike n'aurait jamais pu y faire, n'aurait jamais pu convaincre avec rationalité, la décision de tuer cette jeune enfant, de se nourrir d'elle et reniant ainsi les derniers sentiments qu'un homme, un être humain possédait et était classé : l'amour.

Spike fut totalement bouleversé, effondré et inconsolable par la mort de Serena qui fut assassinée par Angélus.


Et c'était ainsi que tout se passa dans le moindre petit détail insignifiant ou au contraire extrêmement particulier dans une grande importance de leur vie, une histoire d'amour secrète et intime mais malheureusement impossible dans une longue lignée de vie ensemble ; les secrets étaient dévoilés, mis en avant au fin fond de leur cœur, d'un organe vital pompant le sang dans l'organisme. Spike avait, dans la plus simple intimité des choses dans un lieu privé, dit adieu à ce qu'avait été Serena, sur son corps, sa tombe éloignée de tout, en secret, il lui avait fait la promesse de protéger sa famille et surtout sa jeune sœur Naomie s'il devait lui arriver malheur et il devrait faire la promesse durant de longues décennies et générations...

En revenant vers Jenny dont les pensées étaient toujours aussi bouclées, désespérées en intensité dans les milles et une questions qui la bousculent en accentuation d'ampleurs aggravantes que la jeune femme se posa ; elle se demandait toujours pourquoi Spike était et se retrouvait au même lieu dans différentes situations de la vie, qu'il fallut toujours que son chemin son destin soit relié au maître vampire et s'entrecroisèrent... Tout en se posant les mêmes questions et qui demandait des réponses la même chose en ressortait toujours ; elle prit un châle d'été en tissus fin et léger, Jenny sortit de sa chambre sans faire le moindre bruit qui puisse alerter la maison et ces habitants, sortit dans le jardin pour y retrouver Spike…

La dernière fois qui datait réellement -de manière officielle et réellement vraie pour le clan Kalderash, pour Enyos- pour compter depuis des années, a été dans un lieu publique de l'hôpital central de Los Angeles à la maternité, il y a de cela plus de six longues années ; quand Nolwenn avait poussé son dernier souffle et mourut de manière et de façon tragique à la naissance de la très jeune Beverly.

Que faisait-il encore et toujours après si longtemps passé sa non-vie dans la même ville ; l'avait-il réellement quittée -c'était comme si quelque chose, un but le retenait ici et toujours au même endroit- un jour. Il devait y avoir une raison, une quête des indices et des manières à utiliser qu'il devait obtenir et garder pour un plan, une affaire, une mission qui devait être gardée secrète très hyper secrètement surnaturelle ; ce qui faisait le plus peur à la jeune Jenny était que cela avait un lien avec sa famille et qu'elle allait être menacée ou détruite... Mais le fait est que non, cela ne pouvait être possible pensa Jenny, en secouant la tête doucement de façon, de manière négative Spike ne ferait jamais cela sur elle. Pour la jeune femme intelligente, sans faille et de façon pédagogique d'une enseignante cela n'arriverait pas. Il était, voilà fort longtemps, son ami venu et recherché de son ennemie héréditaire, familiale, naturelle... Il revenait vers son chez soi, sa maison sa vie le ramenait sans s'arrêter tout au-delà en Californie comme si c'était sa destinée ; Jenny pourrait toujours tout faire pour améliorer sa nature, sa vie et son espèce et le protéger de tout mal, elle l'aiderait... c'était tout comme ça, et il ne devrait en être autrement sans ambiguïté, sans rien à redire et c'est définitif.

Mais malheureusement, de façon navrée et avec horreur, Jenny ne put que constater que cette fois-ci, ce chemin, dans cette situation, ne put ne pas croire à la coïncidence... Il devait y avoir quelque chose, quelque chose de grave, de troublant qui changerait les choses de manière complète et drastique qui viendrait entraver son futur, l'avenir de chacun dans les prochains mois et peut-être des années. Pourquoi Jenny était sans arrêt au centre de l'attention d'une manière de façon quelconque sans que l'on s'en aperçoive, et pour finir rechercher. Et devait guérir les blessures de chaque personne de sa vie et de chacun qui croise sa vie, son chemin de route.

Et soudain une autre pensée l'assaillit : rechercherait-il la tueuse de vampires, Buffy Summers ? Non il ne pourrait pas faire cela, il lui avait promis de devenir bon pour elle ; il ne ferait jamais de mal à un autre être humain devant elle ; et la choisir comme un témoin terrorisé pour la torture.

En s'avançant près de la forme de l'ombre d'un jeune homme coiffé de couleur décolorée, Jenny ne put s'empêcher d'être troublée, cela faisait si longtemps qu'ils ne s'étaient vus et cela était dans une totalité d'émotion contradictoire et à l'opposé, elle avait des larmes fraiches restant contre ses paupières, ses cils, émue tellement qu'elle ne put se retenir de sourire d'être heureuse jusqu'en allant au bonheur.

Jenny continua dans la lignée de ses pensées en marchant dans les herbes sèches mais encore fraiches et humides par la nuit, en menant, arrivant à sa hauteur, Jenny croisa ses bras d'une manière et d'une certaine façon de protection et de fierté ; mais souriait malgré tout le reste « Salut à toi, Spike... Bonsoir ».

Il l'avait attendu pendant tout ce temps de chaque jour des vacances d'été où il était certainement sûr qu'il la verrait, il la connaissait si bien ; un beau soir de nuit. Mais quand bien même l'époque de l'été, Spike allait observer, soigner en prenant grand soin des habitants de cette maison ; surveiller au moindre danger qui subviendrait... Spike pensait que la belle-famille de Jenny n'était jamais trop prudente, il fallait un homme de plus, un membre autre adoptif de la famille des muscles supplémentaires. Chaque nuit sans la moindre absence de retard, sans faute. Il se retrouvait devant une maison de banlieue de Los Angeles... Il inspira et expira la fumée de la nicotine de cigarette, il y avait un nombre incalculable de bons nombres de mégots de fin de cigarette, mais qu'il était réussi facilement de compter une bonne vingtaine.

En souriant tous deux de manière et de façon maladroite émouvante, retournant aux sources et à leur amitié d'enfance et de souvenirs en action sans prendre le temps de réellement se connaitre patience et sans peur, sans danger. Jenny avait toujours eu un rêve de construire une relation qui durerait en amitié durant tant d'années ce qui lui restait de sa vie de mortelle, amitié pour toujours. Avec Spike qui commencerait durant ces années qui commença de jeune adulte ; il se prirent dans les bras l'un de l'autre, à leurs retrouvailles….

Spike, c'était depuis longtemps dans un bon nombre d'années après la tragédie de la perte de Serena. Il l'a appris peu-à-peu au cours de sa vie grâce et pour cause d'avoir et ressentir des remords, de la douleur quand il fut aux côtés d'Elizabeth en devenant un paria et un exilé de son propre monde, il le reçu très mal, considéré comme un traître pour avoir chassé sa propre espèce, et il a été attaqué et menacé d'être tué s'il entrait à nouveau. Spike a été choqué par son propre comportement et a essayé de nier qu'il ferait quoi que ce soit, mais on lui a violemment rappelé que la partie démoniaque de son être existait toujours. Qu'il n'aimait pas voir les femmes Kalderash souffrir et qu'il voulait vraiment l'aider, en particulier les membres proches de son amie Jenny et de ses proches... Et surtout s'il s'agissait de familles, des mères avec leurs filles et les sœurs.

Ils s'étaient jurés un une promesse si belle dans des circonstances en ces lieux qui montrèrent une détermination totale dans la bonté d'une si importante promesse qui demanderait beaucoup de courage, de dévouement et abnégation ; Spike tient sa promesse de veiller sur Serena et ses descendants et sa famille de son temps et celles et ceux à venir, les protéger jusqu'à la fin du monde… Spike a fait des efforts extrêmes pour la protéger tout le temps.

La relation de Jenny Calendar avec Spike a toujours été d'une grande simplicité dans une bonne entente, créer il y a des années de cela, transformée depuis l'époque de l'aire de Serena ; c'était donc dans la plus grande cérémonie d'habitude frontière formalité que leur lien relationnel était cordial, amical et mise entente. Buffy tenait Jenny avec respect et semblait l'aimer, tout comme dans le contraire de Jenny aimait Spike, soutenant dans un futur proche la relation de Giles avec elle, réalisant à quel point elle le rendait heureux. Jenny s'est sentie coupable et a cru qu'elle aurait pu l'arrêter ou au moins la retarder son amitié et la cause de la colère mauvaise et destructrice de Enyos. Spike se sentant blessé, humilié par une Kalderash malgré son amour ancien de Serena et le fait qu'il ait protégé des humains, il a essayé de se débarrasser de l'affection qu'il éprouvait avec de l'affection et de l'amour de jenny réciproquement ; jusqu'à ce qu'elle finisse par lui pardonner pour l'amour de Serena, de Maria et Nolwenn. Et pour l'amour que Jenny éprouvait pour Giles. Elle a exprimé une grande sympathie pour l'état d'esprit émotionnel de Spike et avait fait de son mieux pour trouver un moyen de rendre, garder par son ancêtre l'âme d'Angel et d'être une agent-double de Spike et veiller ainsi les uns sur les autres. Il avait tellement manqué sa petite belette et pieuvre, des noms d'animaux de compagnies ou peut-être voir des noms affections qui démontraient son espièglerie, une enfant rebelle.

Jenny fronça les sourcils tout en les rehaussant septique et quelque peu attentive à la réponse de Spike suite à sa question que faisait-t-il ici, à cet endroit de la ville et de l'Etat de Californie ; dans un visage qui symbolisait et retenait la réponse et ce que la vérité apporterait, un autre moment, un signe de douteur, méfiance et incrédulité. Mais en vérité, à la surprise de Jenny et son aventure, il était désintéressé...

L'existence de Spike a pris un tournant décisif des changements dans sa vie. Alors que Spike a changé au cours de ses années avec et sans Angelus, contrairement à Angel, Spike avait la capacité de différencier son moi humain, sans âme. En tant qu'humain, c'était un gentleman romantique et inefficace qui était moqué par ses pairs. En tant que vampire, il est devenu un affront direct à sa nature antérieure, et s'est rebellé contre la société européenne avec le Tourbillon. Il a refusé d'abandonner les aspects romantiques de sa personnalité, même après qu'Angelus ait tenté de le désensibiliser émotionnellement en couchant avec Drusilla... Lorsqu'il a été capturé par le changement, depuis quelques temps, le climat change autour des frontières des vies dans les familles de vampires et autour de la bouche de l'enfer et les contrées environnantes se retrouvent plongées dans l'ignorance.

Un changement dû en poussant avec force et les tortures données infligées par des chasseurs de primes des chasseurs de démons et des tueurs de vampires accompagnés, suivit par des gangs anti-démon/vampires secrets de lutte contre les démons, dont les membres lui ont infligé tant de douleur tant d'atrocités et des blessures infligées physiquement et psychologiquement lui faisaient subir des lavages de cerveau ainsi que de la chirurgie au sens figuré par moment. L'expression « lavage de cerveau » regroupe des procédés qui auraient la faculté de reconditionner les pensées d'un individu par la modification cognitive, peut-être aussi physiologique et neurologique, du cortex cérébral, en lui donnant la possibilité de posséder une boussole morale qui le conduirait à choisir entre le bien et le mal, le bien ou la facilité qui l'a rendu incapable de nuire volontairement ou de tenter de nuire aux humains sans ressentir de la culpabilité Cette boussole de choix est devenue l'âme de substitution de Spike, car elle l'a forcé à considérer les conséquences morales de nuire aux autres, avec la punition littérale de la douleur physique qui se profilait au-dessus de sa tête s'il le faisait un jour. Incapable de chasser le sang humain... Mais il retrouvait toujours un moyen pour choisir le bien qui se traduisait en conclusion dans son code à lui c'était le mal….

Malgré tout, il était toujours avec un côté comme tout un chacun diabolique et cruel…

Le monde change tout autour de nous, depuis quelques temps, le climat change autour des familles de vampires et les contrées environnantes, la magie, il y a fort longtemps, voici des centaines d'années depuis que le premier vampire marchait sur cette terre, il y eu des légendes qui commencèrent à être contées, à naitre, voyant le jour un peu plus chaque jour, se retrouvent plongées dans un épais brouillard ; le monde change et devient flou. Le monde change ; il reste le même malgré tout car il faut tous les attraper.

Spike tenait toujours à veiller de la plus jeune enfant de la famille de Jenny pour en occasion qui veillait sur la nièce de la jeune femme et la fille de Nolwenn, de décider l'accompagner afin de la protéger de toute menace possible. Il désirait comme un but dans la vie en récompense de rédemption de veiller jusqu'à, la fin du monde les générations qui touchèrent Serena ; pourquoi aurait-il dû aller faire une promesse aussi stupide et sanglante bon sang ? Il aurait dû savoir que c'était un piège, une astuce, la façon de verrouiller en permanence un collier sur la vampire pathétique et malade d'amour. Et d'ailleurs, pourquoi mettait-il autant de poids dans les promesses ? C'était un vampire qui pleurait à haute voix, un vampire maléfique, sans âme. Il passe la plupart de ses nuits à camper dans l'allée latérale de la maison de ville de sa belle-famille, à l'affût de tout ennemi de la famille du clan Aurelius qui pourrait espérer lancer un dernier coup de poing après le décès de sa mort à la famille de Jenny et à ses proches. Une nuit, il s'appuie contre la clôture à mailles de chaîne, commençant sa deuxième cigarette lorsqu'il sent une présence familière.

Mettant de côté tous les dilemmes philosophiques pour l'instant, les questions sur quel genre de monstre – quel genre d'homme il deviendra sans geôlier mécanique pour le garder sous contrôle, Spike prend Jenny dans ses bras pour un câlin serré. Elle ne cesse de pleurer. Spike se demande sans rien faire s'il y a une limite physique aux larmes ; il a certainement l'impression d'avoir battu quelques records du monde lors de certaines de ses nuits les plus sombres. Alors qu'elle s'enroule plus profondément en lui, il berce sa tête et passe ses doigts dans ses cheveux, doucement, méthodiquement, comme il le faisait parfois pendant les pannes les plus graves de Drusilla.

Il avait beaucoup aimé Nolwenn la connaissant, alors qu'elle en faisait sa rencontre dans un moment, un instant particulier, inoubliable et unique, grâce à Jenny -Janna du clan Kalderash-. Dans la ville de Los Angeles en plein milieu de l'été alors qu'Angel passa la saison saisonnière, période du solstice -Époque de l'année caractérisée par un certain climat et par l'état de la végétation- il sut grâce aux rumeurs et accompagna faisant mondanité créant des liens sociaux dans les bars à démons alors qu'il surveillait et prenait soin de Buffy de loin et éloigné, il apprit la présence de Spike dans la ville de Californie ; Angel grogne en réponse. La prochaine chose que Spike sait, c'est qu'il a été jeté fort contre le béton ; le sang de ses blessures remonte à travers son nez et à son cerveau avant que la douleur ne le fasse. Un choc d'excitation se précipite à travers lui, un couteau coupant à travers les couches de tout ce qui l'a lentement enterré, l'étouffant, au cours de la dernière année. Il entend un rire et se rend compte que c'était lui-même. Se lançant sur Angel, Spike se perd dans le combat, dans les coups de poing et de pied, la douleur et le frisson. Ensuite, ses pieds sont balayés sous lui et même ce n'est pas grave parce qu'Angel le plaquait contre le sol et quand Spike ferme les yeux, il peut imaginer chaque coup venant de son Elizabeth et autres personnes aimées dans le passé à la place, et il l'embrasse. Il embrasse la douleur, embrasse la punition, embrasse le… L'étreindre. Tout simplement….

Ensuite, après tout ceci, après le feu -l'incendie- et le carnage, Spike continua son dialogue après tout ce monologue de la conversation qu'il était en train de se dérouler avec silence et amitié ; Spike se confiât à Jenny, lui dévoilant un petit secret qui deviendrait par la suite tôt ou tard vers la fin septembre, il se le comprit, il irait dans une ville ou la bouche de l'enfer était d'avantage en flamme et en activité bien meilleur que tout un sol ou une terre pleine de dimension infernale, il sera grand temps d'emménager dans la petite ville de Sunnydale, il la retrouverait un jour…. Spike la reverra quand il sera là-bas.

La présence d'une Tueuse proche de l'intérieur de Sunnydale a fait de la ville petite et paisible comme une retraite, un pèlerinage encore plus attrayant pour Spike. C'était un plan parfait d'un but recherché pour rendre les activités de la bouche de l'enfer, active ; qu'il était sa première préoccupation que l'enfer, le surnaturel et le paranormal démoniaque vivaient sous cette terre sous Sunnydale….

Spike fit remarquer à Jenny combien elle avait changé depuis toutes ces années, elle n'était plus une enfant mais une femme désormais, une femme adulte ; elle ne serait plus jamais la fillette qu'il avait rencontrée depuis ses sept ans, ne serait plus vraiment son globule, son petit animal de compagnie, son Pet... Elle avait changé en quelque sorte depuis toujours à cause de son enfance et son traumatise de la mort de sa sœur ; elle n'était jamais une innocente, elle avait été sacrifiée malgré qu'en réalité sa force de charactère elle était de la plus innocente jeunesse éternelle comme une enfant et douce entretenue dans du coton...

Jenny se souvient de sa rencontre avec le maître vampire, mais malheureuse avait mélangé à cause de son jeune âge ou les brouillons d'enfant qui venaient d'avoir l'âge de raison, quelques détails, comme par exemple le fait qu'il avait déjà obtenu comme trophée le manteau de cuir de la tueuse Nikki Wood... Elle devait changer ce détail et racontait autrement cette anecdote, ce souvenir.

Spike voulut qu'elle rectifie son erreur, pour que sa renommée ses histoires deviennent des histoires remplies de vérité et il tenait à rester célèbre pour ses nombreux combats... tout sera écrit.

C'était une histoire qui n'avait jamais était contée comme oubliée de l'histoire de l'homme, du clan Kalderash et de leur légende ; le fait est que ce n'était pas une histoire des plus recherchées qui était importante, oubliée, ou tabou dans l'interdit…. Car l'enfance de Jenny était, en certain temps, connue, voulue bâtir sur un mensonge et des non-vérités ; car la petite Janna n'avait pas vu connue ou était l'amie de Spike qu'une seule fois ; elle l'avait connue et rendue une visite alors qu'elle n'avait été âgée que de sept ans… c'était un fabuleux et merveilleux secret dont Jenny/Janna était fière et voulu le partager dans l'écriture, le passé de sa vie… Dans de nombreux souvenirs.

Ce n'était pas si simple, ce n'était pas que rien d'autre, rien de plus qu'un tourbillon et un malheur de se souvenir de quelque chose d'aussi précis ; une tornade dans le vent qui demandait tout simplement qu'à se poser, à être calme en s'apaisant pour disparaitre sous le vent, dans la brise. C'était il y a si longtemps à présent, c'était un secret pour tout le monde, les seules personnes qui détenaient ce secret furent Maria, Nolwenn et Jenny elle-même l'auteur de cette épisode de la vie et la création du souvenir, un rare secret qui pourrait si jamais cela venait à être découvert par son peuple, qui pourrait les mettre en colère se braquer et la bannir en reniant sa vie, sa personne ; et qui pourrait s'avérer être dangereux pour le monde, en changeant les lois naturelles des choses, une infamie, un infame lien avec la vérité et le mensonge, qui remettrait en cause la vengeance de la malédiction d'Angel.

Le côté alternatif dans un conte historique d'histoire magique et fabuleuse était venu hors du large de l'histoire de personnages, caractères, dans l'ombre hors d'histoire vraie en dehors, loin du réel d'un autre côté que le canon, la vérité de la vraie histoire ; qu'en était de la véritable relation affective de Jenny et Spike ?

C'était une histoire qui commença il y a fort longtemps dans le temps d'il y a plusieurs années sous les yeux, le regard et un point de vue de l'angle, l'esprit d'une enfant de sept ans et qui cela étant dit et en toute conscience qu'elle était à l'âge jeune de raison. Et les enfants étaient toujours et à jamais dotés d'intelligence, de compréhension, impressionnante, étonnante pour des enfants des petits enfants, tout un chacun procédait à de nombreux sens avec des dons fascinants, ruisselant de secrets ; exprime la totalité d'un élément, en l'occurrence une seule et unique personne, désigne indépendamment cet élément dans un ensemble, donc dans le cas précité, une personne quelconque prise parmi tant d'autres. Être doté d'un talent, talent, disposition, qualité de quelqu'un, que l'on considère comme innés, naturels... Jenny était pourvue d'un talent de gentillesse, d'innocence n'étant jamais égoïste, donner sans rien recevoir en retour n'est pas toujours positif ; être généreuse avec les autres génère en nous du bien-être et se permet de ceux sentir bien avec soi-même... Mais Jenny n'écouterait jamais aux règles de rester à la maison, dans ce contexte et situation, elle préférait désobéir et s'adonner à la liberté.

Janna du clan Kalderash était une petite fille malicieuse toujours sournoise mais aimait jouer et découvrir les aventures de l'action dans un monde où sa vie qui était la sienne et la même chose qui était intelligente et de la faculté de connaître, de comprendre ; qualité de l'esprit qui comprend et s'adapte facilement.; mais elle détenait et gardait soigneusement des secrets, et elle en avait un ; son amitié d'un temps il était une fois pendant l'été, de quelques jours et semaines avec Spike….

De ce fait, les interrogations réalisaient et comblaient les révélations de fait qui étaient soupçonnées en reproches, de l'amitié qui était formée et appréciée entre Spike, en son nom de baptême William Prat, et Jenny Calendar -anciennement Janna Kalderash.

Dans chaque histoire, chaque relation amicale, romantique comme tels des contes de fée bouleversant l'amour ainsi qu'ensuite le résultat faisant place à l'amitié provenant de livres, romans de tout thème et environnement, beaucoup pensent encore de nos jours que l'amitié entre un homme et une femme ne peut pas être libre de toute ambiguïté. Dans ce contexte et dynamique, l'auteure veut montrer au monde que ce n'est pas le cas. Qu'ils se soient rencontrés durant leur enfance, leur adolescence ou plus tard, les personnages devront donc être amis et aucun d'eux ne pourra avoir de sentiments romantiques à l'égard de l'autre. Peu de personnes n'aime véritablement selon la personnalité et le caractère qui était forgé, un grand fantastique de ces deux personnages d'amitié amicale et affectueuse ; et en réfléchissant à toutes les raisons qui jouent en la faveur d'une amitié un amour d'une promesse faite. Partageant un argumentaire, théorie, en thèse et en essai.

Une amitié inattendue naît entre Jenny et Spike, qui, au fil du temps se verra menacée par la nature de chasseur de Spike. L'amitié entre ses deux personnages et être saura-t-elle survivre à la dure réalité de la vie ? La fabuleuse histoire d'amitié entre un être humain et un vampire est improbable et intense. Cette amitié marque les esprits par son innocence et sa simplicité, loin de tout préjugé. Pourtant, ce passage ne représente qu'une infime partie de la vie de Jenny ; l'amitié et l'amour platonique romancée en lecture William Pratt et Jenny Calendar est beaucoup plus rarement utilisé dans la vraie vie dans le canon univers véridique du monde de Buffy ; car cela s'avérait être impossible car ils n'ont jamais eu une entente cordiale, ni de fréquentation, alors que pendant ce temps, l'amour brillait sous les étoiles pour Buffy et Angel. En effet, beaucoup de personnes connaissant la vraie canonique de Buffy la Tueuse de Vampires était beaucoup plus dans l'applicabilité et connu impliquée également beaucoup plus fortement ; voyant l'adolescente comme la Juliette de son Roméo dans un conte romantique et le symbole parallèle d'être dans une vie rose sur un sable chaud d'une plage en été ; comme une sorte de Roméo et Juliette moderne, et préféreriez les servir écrire sur eux d'eux.

Il fallait y penser, que les choses sont bien plus complexes qu'elles n'y paraissent, et que l'amitié réelle dans un total univers alternatif entre Spike et Jenny et était bien plus riche que ce que l'on peut croire au premier abord. Que l'on peut en faire bien plus qu'un cliché, mais quelque chose de vraiment réaliste, tout en tenant compte des éléments de la vie.

Qu'Angelus/Angel haïsse la vie qui lui a été imposée dans un lourd pois du passé se haïssent profondément avec le clan des Kalderash, pour but pour venger sa mort, les Kalderash l'ont maudit avec le Rituel de restauration, qui a restauré son âme humaine, l'affliger ainsi d'une conscience et le condamnant à une éternité de remords pour les crimes et les atrocités qu'il avait commis alors qu'il était sans âme. Déchiqueté et sale, ressemblant à un mendiant, il a attaqué et essayé de se nourrir d'une femme, mais n'a pas pu le faire, gêné par sa conscience restaurée. Et Spike fut amoureux de Serena et son peuple, après sa mort, fut tué. Donc une relation entre Spike et Jenny et n'importe lequel de leurs petits-enfants est déjà problématique en soi. D'autant plus avec ceux des gitans Bohémiens. Cela fait donc partie des éléments dont il faut tenir compte.

Trouvant qu'en conclusion après de longues analyses, approfondissements et étudiés longtemps à l'infini en restant et essayant de combler les vides, étudier, décomposition et raisonnement, cette amitié a beaucoup de potentiel, et que leur histoire peut être très riche et intéressante.

Dans des multiples univers alternatifs, dans n'importe quel monde, il existait des amitiés comme celle-ci parmi tant d'autres, dans des similitudes ou encore au contraire la haine coexistait avec en dehors d'autres ; il y avait en copie d'autres Jenny et d'autres Spike qui n'étaient pas des vrais ; il y existait des vies comme bon nombre d'entre eux qui se ressemblaient dans d'autres mondes et des univers qui se créaient et était toujours les mêmes, Jenny et Spike.


Tout recommença à nouveau comme si c'était une fois de plus pour encourager les enfants Kalderash à connaitre ce qui devait être connu et pris en connaissance de cause pour suivre un chemin cherchant une chose toute particulière que les autres membres ne connaissaient pas et ne voulaient pas le faire connaitre en l'ignorant pour tout recommencer ; suivant en recommença les mêmes chemins qu'avaient suivis Jenny, c'était un destin pas comme les autres bien que similaires mais toujours tragiques pour la protéger des interdits en dehors de la loi ce qui allait à l'encontre des protections qu'avaient irriguées le peuple du clan depuis toujours, des années près d'un siècle d'ici, mais qui furent bafouées par une plus grande personnalité, une jeune femme courageuse et pétillante si plein de vie risquait de faire écrouler tout ce qu'on croyait connaitre, les menaçait. C'était Nolwenn.

Il y eu, il y a fort longtemps, comme si tout paru comme tragédie ressemblait à de nombreuses années qui fut des millénaires. L'histoire avait mis dans le fait accompli qui fit débuter en mettant en œuvre à contre cœur, comme la fin du commencement ; en Mars 1991 Nolwenn fut assassinée en masquant son meurtre à sa mort comme quelque chose de mauvaise fin de la vie de la jeune femme comme naturelle en un terrible accident, en faute de soin en maternité. Elle avait vingt-quatre ans et était une jeune femme comme les autres, mais il y avait des injustices, des injures, vociférations -criant protestation de sa nouvelle vie et c'était à leur yeux des infamies de trahisons impardonnables- et incultes et elle devait donc quitter cette terre alors qu'elle venait de donner un enfant au monde donnant la vie, elle devait le faire à reculons, en marchant en arrière, tous en étant symbolique. Elle n'était plus rien, une traitresse, un être, un animal, insecte gluant comme une larve ou ver de terre qui devait ne pas être le droit que d'être écrasé et décimé. Elle avait été une enfant chérie ressemblant et avec qui on la renvoyait chez elle, que l'on la ramenant au pays, adorée et totalement aimée par ses parents, protégée de la vie extérieure comme dans du coton au même titre que sa jeune sœur, Janna. Mais où étaient ces gens, qui étaient-ils véritablement, pourquoi autant de haine, disparue le temps où elle avait été aimées et désirées parmi les membres tout en partie entièrement une place pour elle dans le clan. C'était exactement placé dans sa situation, dans l'enfer qu'avait apporté à sa vie, lequel on lui avait apporté dans son corps le coup de grâce.

Qui était-elle réellement, qui était cette petite fille qui n'avait jamais été évoquée et voulu dans sa famille comme une personne invisible aux autres, une enfant, une fille comme les autres, plongeant dans un monde typique en étant mélangé parmi des centaines d'enfants ; ce fut Nolwenn. Qui avait été effacée, oubliée des textes officiels des manuscrits des textes de parchemins des anciens du clan. Elle avait été présente, certes et non étonnant en soi, mais jamais personne n'avait fait le rapprochement entre Nolwenn et Jenny, personne ne voulut voir leur lien fraternel aussi fort et puissant, jamais personne ne voulait ou ne souhaitait la voir sur des films d'archive livrés au conseil des observateurs...

Contrairement à sa sœur, Jenny qui était d'une nature rebelle et qui possédait une nature, un caractère d'envie d'apprendre et connaitre l'air moderne de la science, Nolwenn est très pieuse et se dévoue beaucoup pour la communauté moderne qui vivait assez éloignée de leur petit village gitan et sa religion bohème. Elle va souvent aux prières, aux croyances de son peuple avec sa mère et sa grand-mère. De nature plus discrète que Jenny, Nolwenn se démarque par son assiduité et son intelligence. Plus calme que Jenny, elle obéit mieux à ses parents, ce pourquoi Nolwenn est souvent donnée en exemple et ce, malgré tout, qu'elle était l'enfant du miracle. Jenny était tout aussi beaucoup donnée en exemple, donnant ainsi l'impression qu'elle était beaucoup plus âgée et sage que leurs autres frères et sœurs ; Nolwenn avait l'exemple de sa sœur. Nolwenn est une fille très sportive, elle aime aller ramer dans une barque sur les lacs, patiner et jouer au tennis ; beaucoup plus tard que plus tard que Jenny et son peuple décrire et professant ne cessant jamais de le dire malgré le secret que Nolwenn veut être infirmière…

Elle n'était pas l'enfant du miracle, la fille du clan Kalderash la plus aimée de son peuple, elle n'était pas Serena et encore moins ni non plus, sa sœur, Jenny.

Nolwenn était différente d'une manière et certaine façon unique comme si elle était c'était certain unique en son genre, c'était la vie le cycle la ronde du chemin que l'on empreinte et la vie choisit, comme une rebelle qui ne désirait plus et ne voulait croire au chemin croisé et qui la poussait dans une direction faite pour donner à Enyos ce qu'il attendait d'elle derrière et à l'intérieur de l'ombre de Jenny et elle ne voulut plus de cette vie, de ce destin qui lui était imposé et l'incommodé ; elle était différente dans toutes les directions en sens du terme, de tout.

Mais elle avait été choisie comme sa sœur à faire de grandes choses mystérieusement secrètes et fabuleuses mais et non dans l'autre sens opposé à Jenny ; c'était un signe pour elle-même et le chemin et l'histoire de sa vie et de son enfance, qui serait avéré être identique dans des traces les mêmes pas dans le sable du pareil au même de l'identité des maîtres vampires du fléau de l'Europe et le clan de famille Aurelius.

Mais malgré tout au contraire de l'actualité des faits habituel qui furent permis coutumier d'ordinaire à chaque soir quand elle entendait les histoires légendaires du soir à la nuit ; dans des évènements qui furent toujours le cas la vie routinière de ces vampires dans les histoires cela ne se terminait jamais bien, une fin malheureuse pour des familles. Les informations étaient toutes pareilles dans le monde. Mais elle n'avait pas peur, seulement la seule faiblesse était dans ses bras presque aux extrémités des bouts de doigts, en sentant déjà ses mains tremblées.

Les histoires les plus douces et leur chant, des berceuses ainsi que la musique classique était comme un chant, un poème appris par cœur, qui furent classées dans l'intérieur comme pour laisser une trace et sa marque de souvenir.

Tout semblait si extraordinaire, si remarquablement dans une position une extrémité à la fois belle et inexplicable lorsque c'était que tout était étrangement bien sans se plaindre, infiniment semblant familier, quand elle avait pris connaissance des souvenirs ainsi que les plus petits minuscules recherches et secrets de sa sœur Jenny -Janna- l'existence de Spike dans la vie de Janna du clan Kalderash et qu'il était pour le moins le plus gentil et agréable vampire sans âme qui existait ; Spike un vampire sans âme qui était le symbole même d'un monde surnaturel fantastique, d'un monde des ténèbres dans la nuit, était un homme, un vampire qui n'était pas comme les autres, une personnes sachant contrôler son démons est symbolisée en représentation tout le contraire de la nature ; il enseigna que le monde n'était pas une structure de noir ou blanc mais rempli de nuance de gris, et savait que les démons comme les vampires pouvaient aimer ; Spike révèle par inadvertance un secret qui lui est propre, un secret qu'il a travaillé dur pour garder cacher même de lui-même...

Elle savait alors, elle avait su, c'était certain, par d'autres moyens de par la connaissance et le but, savoir qui il était et qu'il n'y avait plus de secrets, sachant qu'il était là, ici avec cette existence, information lumière avertissement ; lui, son ami et sauveur de toujours ; la voilà, Nolwenn n'avait pas fait de détour ; mais enfin au final et avec tristesse, déception, pourquoi se cacher ? protégeant dans son âme sa forteresse, son cœur mort ; des secrets par milliers ; et ainsi par moment à certains instants il y avait les rêves les plus fous.

Depuis la malédiction qui fut injectée pénétrant le corps, l'être maudit, lançant pour Angélus, les membres des générations futures et des membres nombreux de tout un clan Kalderash qui suivit et accrochait, imprégnait dans les cellules, chromosomes de la vie des enfants à venir ; aussitôt frappé par une malédiction qui ne tardera pas à le tuer dans un sentiment d'indicible rage alors que le nombre de victimes augmente et les décennies passèrent, se déroulent au milieu du temps, Nolwenn et Jenny se retrouvent brutalement confrontées à l'horreur de cette réalité. Avec une terrifiante malédiction que plus rien ne retient enfermée ; mais les protégeant du maudit, grâce à la chaire, à l'amour portée par Serena et des sortilèges lancés, la famille et d'autres furent protégés par la menaçant plaçant par un nuage noir au-dessus du village.

Il y avait quelque chose qui menaçait inlassablement presque comme si une malédiction un danger était présent depuis la rencontre d'horreur et de peur de Jenny avec Spike ; elle était ami avec lui et entretenait une relation forte et fusionnel avec affection et tendresse dans l'innocence la plus totale. Mais à présent c'était toute sa famille qui était dans la possibilité de courir un risque en ayant une menace que si Drusilla le découvert elle se vengerai et remettre tout dans l'ordre naturel des choses ; mais elle n'avait pas encore eu de vision d'autres petites filles ou des femmes qui essayerait de corrompre Spike de l'amenée à sa terre promise, au soleil et sa lumière, mais ce serait bientôt une vision de kidnappage et de séquestration pendant plusieurs petit jours d'une semaines, avec une enfants pas n'importe laquelle ; une enfant de neuf ans et qui est la sœur ainée de Jenny. Nolwenn.

Drusilla détestait réellement et de manière de façon vive qui se transformait en réalité bien ce n'était que réel depuis la mort de Serena qui causa la malédiction en se privant de l'Angel qu'elle connaissait si bien, sa véritable nature et le monstre qu'elle adorait, n'était plus qu'un souvenir, une douce et tendre affection, souvenir de son sieur ; elle les détestait tous impunément dans un état dont elle était telle que c'était irréparable, sa rage folle, sa folie, inexorablement et éperdument, D'une manière inévitable, fatale. Elle va inexorablement à la catastrophe. C'était un danger pour elle et son prince des ténèbres sombre de côtoyer en lien avec une quelconque alliance avec le clan des Kalderash, à en un faire des alliés et demander une protection était un scandale, une faiblesse. En voyant cette fillette d'environ sept ans devant eux, cette Janna du clan Kalderash représentait une menace, elle l'avait déjà vue et ressentie dans ses visions qui devinrent plus que douloureuses à force de les regarder et les ressentir dans son corps et un endroit mort dans sa poitrine à la place du cœur.

Drusilla connaissait les étendues de la prophétie sur cette enfant, le pouvoir la puissance d'amour de son cœur et de son corps était effrayant tellement il répandait de pureté et de bonté, de joie d'heureux et de bénédiction ainsi que le bien pouvait-elle apporter les changements dans les âmes d'Angel et de Spike -son doux William- ; elle a alors une vision qu'un vieil ennemi cherche de l'aide pour détruire leur « maison heureuse ». Sentant tout l'avenir, les scènes de la vie durant des années en avance sur son temps qu'elle vit défiler devant ses yeux...

Drusilla avait offert sa bénédiction, son soutien et accepta absolument que son William est une relation intime et amoureuse et qu'il reste loin d'elle, n'ayant aucun ressentie dans l'essence de chacun elle lui donna son affection, c'était avant tout ceci, ce sang et ce carnage ; mais plus maintenant Jenny -Janna- représentait une menace ainsi que sa famille, une menace encore plus grande, un carnage dévastateur comme si une guerre était imminente et que le soleil embellit tout et qu'il n'y ait plus rien de sombre et de mystérieux.

Et si c'était toujours une si grande menace des ennemies qui devait lui faire face la mettant dans le fait accompli pour envers les mauvaises personnes de la génération suivante et la nouvelle ; c'était des rivales les deux sœurs Kalderash, Nolwenn et Jenny des petites filles, devaient être éliminées, tuées -assassinées- retirées du flambeau au paysage paradisiaque féerique et merveilleuse sous le paysage les images et peintures de lac des arbres et cascades comme tel une île déserte des tropiques... c'était des rivales. Et il fallait accomplir, mettre en scène en évidence, en œuvre, un plan cruel et approfondissement en intensité, pointilleux et minutieux pour kidnapper et séquestrer en horreur et torture d'enfants pour venger Angélus apporter aux autres membres de la famille en honneur et les principautés les piliers du clan Aurelius -dont Darla et le Maître- apporter en se nourrissant d'une fillette, Nolwenn... Et la donner en cadeau, en offrande à Spike pour l'honneur. Darla et Drusilla avaient réussies à retrouver Angel qui avait depuis quelques années retrouver un refuge dans les égouts se nourrissant de rats et de nombreux autres animaux de la famille des rongeurs.

Spike sentait le lever du soleil.

Ils cherchaient formellement Drusilla depuis un long moment, peut-être trois heures et il devenait de plus en plus difficile de se persuader qu'elle avait disparu pour une collation rapide. Certes, son père n'était pas le vampire le plus fiable ; elle disparaissait presque chaque semaine, mais jamais pendant leur « temps en famille ». C'était pour cela qu'elle vivait. Elle a passé des heures à communier avec les étoiles, à prévoir le meilleur terrain de chasse et à se mettre généralement sur les nerfs de Darla.

Normalement, c'est ce dernier élément qui rendait le temps de chasse en famille intéressant. Lors de son meilleur jour, Spike ne pouvait pas accepter Darla. Sa manifeste désapprobation de sa princesse sombre et d'avoir choisi Drusilla comme compagne l'ont conduit à des extrêmes inconfortables.

Spike a eu une étrange sensation, une prédilection, un effet, une impression, une perception d'impression sachant qu'il savait et se rendit compte très vite que Drusilla allait mettre tout en œuvre, en mettant ses horribles plans à exécution ; il avait eu cette intuition qu'il connaissait si bien, et dont Drusilla le nourrissait en sachant très bien ce qu'il éprouvait dans ses sentiments et dans son cœur, le lisant en lui et le laissant se désaltérer. La perception de surveillance, réunion de sensations en images mentales, prise de connaissance, sensation, intuition. De reproduction, action de reproduire fidèlement (une chose existante). La reproduction de la nature humaine et de son sang baignant dans l'art de la torture, la reproduction par point à l'identique, la torture et les blessures de dents dans les cous ; par l'art en gravure.

Drusilla était terriblement inspirer quand il s'agissait de châtiment. Une fois, elle avait escroqué Spike dans des chaînes avec lesquelles elle le capturait habituellement pour lui faire l'amour sans raison, et avait accompli des actes malveillants similaires uniquement pour lui infliger de la douleur au lieu du plaisir. Et ce qui est étonnant, c'est que son innovation a porté ses fruits. Il ne savait tout simplement pas si c'était ce qu'elle faisait, ou la façon dont elle le faisait.

La façon dont elle le regardait avec un tel dégoût froid quand elle était en colère contre lui.

Angelus avait une étrange répugnance pour les bouches de l'enfer. Spike a toujours considéré que c'était un signe avant-coureur de son ego. Les bouches de l'enfer étaient des lieux d'accouplement pour les démons. Ils se reproduisaient dedans. Chaque point espiègle dans un rayon de mille milles recherchait inconsciemment la chaleur du sol domestique. Les anciens mystiques soupçonnaient que, puisque les bouches de l'enfer étaient entièrement fabriquées pour fonctionner comme des portes d'entrée vers l'enfer, le sol au-dessus d'eux était la terre la plus malheureuse qu'une chose maléfique puisse jamais vouloir. Un terrain de jeu pour tous les méchants qui se sont littéralement cognés dans la nuit.

Angelus était fier de sa réputation d'être l'un des rares vampires à gagner le respect de la hiérarchie des démons de l'Enfer. Sur la Bouche de l'Enfer elle-même, il devrait rivaliser pour la célébrité. Quand il entrait dans un bar du centre-ville de Los Angeles, tout ce qu'il avait à faire était de prendre sa tête des mauvais jours, de commander un verre, et il avait tout le monde sous sa coupe.

Ce n'est pas tout. L'air pendait avec l'odeur des larmes et vibrait avec le frisson de la terreur. Drusilla avait ramené une collation à la maison. Honnêtement, il ne pouvait même pas être dérangé par cela en ce moment. Connaissant Drusilla, elle voudrait jouer et se baigner dans du sang innocent, puis coucher et faire l'amour jusqu'à ce que le soleil se soit caché à nouveau. Pas cette fois.

Elle ignorait les gémissements de ce qu'il savait maintenant être un petit enfant aussi librement qu'elle pouvait ignorer un chiot gémissant réclamant les bras et des pleurs. La douleur des jeunes ne la dérangeait pas, elle ne l'avait jamais fait. Et c'est vrai, alors qu'il était trop un monstre pour tuer avec quelque chose qui ressemblait à des préjugés, une ombre intérieure de l'homme qu'il avait été autrefois ne s'était jamais bien reposée avec l'enterrement des enfants. Spike ne supportait pas que personne ne respecte les lois des démons et des vampires selon lesquels il ne fallait pas transformer un enfant ou tuer pour le plaisir.

Cette fois, ce serait différent. Il tuait la malheureuse et faisait face en lui épargnant la douleur des tortures qu'il attendait de la part de Drusilla et il voulait éviter que cette enfant ne souffre. Mieux vaut sa colère, la rage de Drusilla, que cette simulation d'une existence qu'il avait été trompé pour vivre pendant la majeure partie d'un siècle.

Plus besoin de se voiler la face et d'ignorer. Il ne pouvait pas le supporter.

Nolwenn restera captive durant cinq jours, entre cinq et huit journées, c'est l'histoire de son enlèvement face à des démons de sa séquestration de Nolwenn.

Le syndrome de Stockholm. Il désigne la propension des otages ayant partagé longtemps la vie de leur geôlier à sympathiser avec eux et à adopter leur point de vue. L'histoire du syndrome remonte à un hold-up dans une banque commis à Stockholm en 1973 par deux évadés de prison qui ont pris en otage quatre employés.

Le rapprochement avec le ravisseur n'est pas une maladie. Se créer un cocon de normalité dans le cadre d'un crime n'est pas un syndrome. Au contraire. C'est une stratégie de survie dans une situation qui n'a pas d'issue, et qui est plus fidèle à la réalité que cette plate catégorisation selon laquelle les criminels sont des bêtes sanguinaires et les victimes des moutons sans défense, et dans laquelle la société se complaît.

Les gens sont désagréablement touchés lorsque leurs catégories du bien et mal vacillent, lorsqu'ils se voient ainsi confrontés au fait que le Mal personnifié a un visage humain. Son côté sombre ne vient pas de nulle part, personne ne naît monstre. Nous devenons ce que nous sommes à travers notre contact au monde, aux autres. Et nous portons ainsi finalement toute la responsabilité de ce qui se passe dans notre famille, dans notre environnement. S'avouer cela n'est pas facile.

Les faibles rayons de lumière de l'aube dont il faisait à peine chaud est venue les voir ; prophétisa en racontant un joli conte et histoire à Spike de Drusilla, à ses prédilections et fables.

Bien sûr, physiquement, Nolwenn n'avait aucune chance contre les membres de la famille Aurélius ; quand elle fut attrapée par les bras avec une telle force physique et douloureusement, mais Nolwenn continua d'être courageuse en frappant la poitrine de Spike à coups de poings serrés ensemble autant que possible à cause de sa taille, le regardant avec un tel courage et une telle détermination de ne pas mourir et d'affronter le monde. Il était plus grand, plus costaud, l'attrapait sans difficulté et le tenait à distance si bien que ses coups de poings et de pieds donnaient généralement dans le vide. Il était malgré tout vital de se rebeller. Nolwenn se prouva à elle-même se prouvait ainsi que cette enfant forte et n'avait pas perdu le respect de sa personne. Et à lui, elle montrait les limites à ne pas franchir. Ce fut un moment décisif de sa relation avec le ravisseur, le seul être humain -un être humain mort-vivant- dans sa vie et le seul qui s'occupât d'elle une enfant de neuf ans. Qui sait de quoi il aurait été capable, si elle ne s'était pas rebellée.

C'est ainsi qu'au bout de quelques jours très rapidement, Nolwenn se retrouva dans une prison, dans une cellule au plus profond du garage des sous-sols à jouer avec Spike, son ravisseur, aux dames et aux petits chevaux. La situation lui paraissait irréelle, Nolwenn avait l'impression d'être dans un film absurde. Personne, dans le monde extérieur, ne croirait que la victime d'un enlèvement ait pu faire des pieds et des mains pour jouer aux petits chevaux avec son kidnappeur. Mais le monde extérieur n'était plus le sien.

Cette reconnaissance envers l'être qui lui prive d'abord d'un repas pour l'accorder ensuite avec une prétendue générosité est certainement l'une des expériences faites par Drusilla lui faire peur dans un monde de monstres, de démons en apocalypse trouver et aider par Darla, les plus marquantes des enlèvements et des prises d'otages. Il est tellement facile de lier à soi un être qu'on laisse mourir de faim.

Nolwenn sentait à l'époque que Drusilla ne pouvait la briser par la violence physique. Lorsqu'elle la traînait dans les escaliers pour rejoindre son cachot, que sa tête cognait contre chacune des marches et que ses côtes fragiles en pleine croissance de son organisme soit si fragile par manque ou faible de calcium en étaient couvertes de contusions, ce n'était pas elle qu'il jetait à terre dans le noir. Lorsqu'il la pressait contre le mur et l'étranglait jusqu'à ce que Nolwenn voie noir, c'est n'était pas Drusilla qui suffoquait et était fragile, blessée comme un être humain réduit en esclavage. Nolwenn très loin, dans un endroit où ses terribles coups de pieds et de poings ne pouvaient l'atteindre.

Rien n'est seulement noir ou blanc. Et personne n'est seulement bon ou mauvais. Cela vaut également pour le ravisseur. Ce sont des phrases que l'on n'aime pas entendre de la part des victimes d'enlèvement, car elles brouillent le schéma précis du bien et du mal que les gens préfèrent adopter pour ne pas se perdre dans un monde qui serait fait de nuances de gris.

Le pire et l'atrocité encore plus inimaginable était la participation malgré lui allant à l'encontre d'Angel qui pris et ne la défendit pas face à la peur de Nolwenn, la fillette subissait également de très irrégulières blessures, des coup et abus mineurs qui n'étaient rien en comparaison de Darla et Drusilla qui étaient extrêmement violentes...

Cette société a besoin de criminels comme des démons sans âme ou vampire sans âme mais qui faisait une différence à l'encontre des humains qui étaient eux-mêmes criminels mauvais avec l'âme choisissant son âme le nord du mal, pour donner un visage au mal qui l'habite et le tenir à distance. Elle a besoin de ces images de caves transformées en cachots pour ne pas avoir à regarder dans toutes ces maisons où la violence montre son visage lisse et bourgeois. Elle a besoin de victimes, de cas spectaculaires comme le sien pour se décharger de la responsabilité des crimes commis sur des victimes anonymes que l'on n'aide pas même si elles réclament de l'aide.

Envers elle-même, envers Nolwenn, dans tous les cas et situations, Spike ne se comporta jamais comme un homme qui s'est préparé pendant des années à enlever une enfant, un être vivant en vengeance pour torturer et tuée sans rien dire sans pensée à revenir vers des personnes qui ont maudit l'un des leurs après une malédiction ; et dont le vœu, longtemps espéré, s'est enfin exaucé. Au contraire : il faisait l'effet de quelqu'un auquel une vague relation aurait confié sans le prévenir un enfant mal aimé, et qui ne saurait plus quoi faire de cette petite créature dont il était incapable de satisfaire les besoins.

Leur maison actuelle était l'un des nombreux bâtiments abandonnés qui avaient longtemps été prévus pour la démolition, mais qui n'ont jamais été démolis. Il manquait tout ce que Spike appellerait le confort, mais Angelus était confiant qu'il pourrait le fixer dans l'un des palais auxquels lui et Darla se référaient constamment avec nostalgie.

Il y avait quelques canapés, trois lits, un ensemble de chaînes et beaucoup de sans-abris à ramasser dans les rues. Cela ferait l'affaire pour l'instant, mais ils ne resteraient pas. Peu importe à quel point ils aimaient les quartiers abandonnant et d'antan les plus beaux quartiers de San Francisco, ils ne resteraient pas. Ils ne l'ont jamais fait. Angel et Darla s'ennuyaient trop facilement. Non pas que Spike était connu pour sa patience ; il se contentait de quelqu'un à chasser, de Drusilla à satisfaire, de sang à boire. L'emplacement n'avait guère d'importance. Avec ses aînés, cependant, l'emplacement était tout.

Drusilla avait apporté un enfant, un cadeau précieux pour une boisson célébrant les repas familiaux dont ils faisaient partie que si rarement. Pour Dru, il avait été si important dans ses visions que quelque chose serait arrivée avec cette petite fille qui était Nolwenn faisant partie de la tribu la plus haï chez les vampires de cette famille, cela apporterait l'innocence et la lumière dans leur maison ; et cela les concernait tous.

"Le feu et le soleil sont nos destructeurs, mais ils peuvent aussi purifier. Le petit arbre brûlera les mauvaises parties de mon garçon mais pas tout de suite dans l'immédiat, cela se produira que dans de nombreuses lunes, rendra mon William entier."

Mieux vaut aller de l'avant avec cela et en finir avec. Spike expira profondément et hocha la tête, se déplaçant intensément autour de Drusilla. Tuez l'enfant, buvez-la, se nourrir d'elle, rendez son père heureux.

Demain, donc. Demain serait le jour où les choses changeraient. Depuis l'arrivée de Nolwenn dans la vie de Spike, contemplant ce pauvre doux William tout se remettait en question des lois de son monde, des coutumes, des habitudes, des règles, d'habitudes et des préjugées qui semblaient si improbables, si incertains ridiculement ; qu'il repensa à son amours ses sentiments et affections de tendresse pour envers Drusilla.

Le doute obscurcit son cœur. Aussi agréable que fût la pensée, son avenir était un modèle de jour comme ceux-ci. Des jours où il ne savait pas si la femme qu'il aimait depuis qu'il rampait hors de sa tombe serait à la maison pour partager son lit. Si elle l'admettait dans son corps, ou se sauverait pour le temps où son papa, son rédempteur, celui qui la sauve, si ce n'était pas le contraire en la tirant toujours et à jamais dans le noir dans les abimes sombres du sous-sol voulait jouer. Si elle partait à la chasse et rencontrait celui qu'elle pensait qu'il était, il y a si longtemps. Rencontrez celui-là et laissez-le derrière lui à la recherche du lever du soleil.

Il détestait à quel point elle le rendait faible.

Il y avait des jours où il détestait à peu près tout chez elle. La détestait si abondamment qu'il était facile d'oublier qu'elle était celle qui l'avait pris d'un monde qu'il avait détesté et lui avait donné la nuit. La détestait au point où il était difficile de se rappeler pourquoi il l'avait aimée si longtemps en premier lieu.

La fille était petite, pas plus d'entre l'âge de huit ou dix ans. Elle était en pyjama, ses cheveux en vague noire tirés en descendant en cascades de mèches assouplies et légères dans son dos. Drusilla lui avait offert pour la fête de la moisson. Chez les vampires, c'était le symbole de la mort et la destruction le mal en personne dans la faiblesse humaine dans l'histoire de l'humanité ces phrases, ces mots se rejoignirent et voulaient dire la même chose, la même signification, le même symbole. Mot susceptible d'accompagner un substantif avec lequel il s'accorde en genre et en nombre, et qui n'est pas un article, une catégorie. Et elle tremblait fort.

Que s'était-il réellement passé ? Elle voulait rentrée à la maison, dans son chez soi, sa maison, son foyer qui était si bon, si chaud, affectueux au milieu de souvenirs heureux avec les personnes qu'elle aimait et chérissait et les gens qui croyaient en elle et dont elle avait confiance, sa famille, retourner auprès de sa maman, sa mère et ses frères et sœurs et en particulier Janna. Personne n'avait eu le droit de l'attraper, la voler aux gens qu'elle aimait et qui contaient le plus pour elle. Mais il était hors de question qu'elle disparaisse de son lieu qui la retenait captive, c'est ce qu'on lui disait ; ses yeux se posèrent et attirèrent son attention vers un jeune homme aux cheveux de couleur platine, décolorés avec de l'eau de javel... Elle ne voulait pas rester ici, elle pleurait mais essayait de rester courageuse et ferme... La petite Nolwenn, âgée de neuf ans comme une fillette terrifiée, terrorisée en bas dans un sous-sol camouflé, creusé dans du béton, enfermé dans des escaliers souterrains... Une impossibilité spéciale à grandeur maximale que personne ne retrouverait jamais les victimes.

Où était sa maison ? Quel était le nom de sa grand-mère, de sa maman et sa sœur ?

La fille haleta à l'intrusion, au même moment où Spike entra, mais ne répondit pas. Au lieu de cela, elle se précipita plus loin dans l'ombre ; un geste inefficace aux yeux d'un vampire, mais elle ne pouvait pas le savoir. Le fait était qu'en réalité dans son monde et son éducation avait été pleine, conquise, construisant pleinement, emménagée et dû à son instruction sur la magie, le monde des démons ainsi que le monde des vampires ; qu'elle savait qu'en réalité dans l'arrêt du réel Nolwenn se cachait mais en vain, ils allaient toujours la retrouver, la chasser, elle ne serait en sécurité nul part dans la maison avec une chaine si on l'enchainait, jusqu'à ce qu'elle sorte de la maison et se mette en sécurité dans une cachette, une maison...

Spike parla d'une voix claire et douce pour réussir et tenter d'accomplir une discussion, il en fermait doucement la porte derrière lui. En s'agenouillant près de Nolwenn ; elle lui avoua qu'elle était la grande sœur de Jenny -Janna- Il ne s'était jamais senti aussi mal à l'aise de dire ce mensonge au cours de sa vie. La culpabilité s'est étendue quand il l'a sentie se détendre.

Spike fronça les sourcils et secoua la pensée, en regardant l'enfant, il y voyait la lumière de sa jeune amie, Jenny. Qu'est-ce qui n'allait pas chez lui ? La fille était une fille et il y en avait des milliers comme elle. Mais il se sentait en train de trahir Jenny, de lui faire du mal par procuration en s'attaquant à sa sœur. Une nouvelle enfant, des enfants auxquels il s'était attaché et une chose, quelque chose dont il était certain de faire se réaliser malgré tout, malgré cette situation d'être dans le côté du pouvoir de la force et domination Spike choisit le côté faible des gentils, de les protéger du mal alors qu'il y avait de la culpabilité de ne rien faire pour aider mais son côté du bien. Il devait protéger celle qui la rencontrait et être gentil pleinement de bonté comme un homme et non comme un monstre alors qu'il en était un ; il n'avait pas une conscience pleine de conscience à propos de ces choses, et il ne cherchait pas à en développer une. L'enfant était de la nourriture, purement et simplement. Mieux vaut le faire maintenant et en finir avec ce qui avait été commencé le début de la fin, fin de la vie.

Pendant tout le temps de la durée de sa séquestration, à chacun des matins en se réveillant suppliant à chaque fois que le jour se lève, Nolwenn demandait toujours lorsque l'on lui demandait ce qu'elle désirait le plus dans ce monde dans le plus de ce qu'elle voulait et désirait le plus des articles de nourriture de ce qu'on lui offrait comme doudous, peluches et jeux, Nolwenn demandait à revoir sa famille ainsi que surtout sa mère et sa sœur. Et à chaque demande cela lui était refusé. Tandis que Spike tentait de la réconforter lui apportant de la force et du courage pour ce qu'il lui attendait et il l'a prenait dans ses bras quand elle lui demandait de la réconforter, avoir de la tendresse de l'affection et de l'amour et c'était ce qu'il lui manquait... Et à elle.

Drusilla ne cessait de l'encourager en lui chuchotant des paroles hypnotiques, manipulant son esprit. En tant que vampire, Drusilla avait le pouvoir inné de vampire d'hypnotiser les gens, ce qui lui permettait d'envouter ses proies et de les rendre impuissantes, désarmées et inoffensives – tout ce qu'elle avait à faire était de capter le regard de ses victimes, de pointer l'index et le majeur vers leurs yeux et de leur chuchoter, les mettant finalement en transe hypnotique dans un autre endroit bien précis, en précision minuscule, en infime partie dans des cellules cachées de son cerveau. C'était l'une des capacités les plus dangereuses de Drusilla. Elle n'a jamais été capable de maîtriser cette capacité, mais elle semblait en être une véritable maîtresse et projeter de fausses images dans le cerveau de ses victimes, à Nolwenn mais surtout, avant toute chose, manipuler et torturer dans la décision, la description et l'incapacité de tuer une enfant. Ce pouvoir lui a également permis de contrôler d'autres personnes comme des esclaves, des humains torturés mentalement, psychiquement. Rentrant dans l'esprit de Spike, lui envoyant des liens de ses pensées et de ses secrets, de son affection pour cette enfant et l'autre fillette, et toutes reliées, liées en dehors de l'ancêtre Serena.

Elle tenait à embrouiller ses sentiments ; ce qu'il ressentait, ses véritables émotions et réussi à détecter le risque des faux catastrophiques de ne pas faire de mal à Nolwenn et tout rater, gâcher, souillant les plans initiaux de tuerie et de massacre de cette famille bohémienne, empêchant le sang de se répandre ainsi que ne pas garder leur symbole et marque après le passage, la sortie du fléau derrière eux….

Prends-la, elle est à toi.

Ton devoir est de la tuer et m'offrir son sang en offrande.

Elle était si jeune. Il n'était pas sur le point de s'attacher à un enfant. Pas maintenant. Son sang de pouvoir et d'innocence.

Et ses yeux... Dieu, ses yeux. Ciel ses yeux ressemblant à la fin à ceux de cette fille gitane, à ceux de cette Janna, à Serena, elles ne repressentent que les ennuis, la fin des temps et la mort de leur famille.

Il n'a pas enregistré à quel point il tremblait jusqu'à ce qu'il sente une main hésitante sur son visage. La fille était proche maintenant. Si proche. L'air autour d'elle était passé, de terrifier à curieux. Elle ne pleurait plus. Elle était simplement là. Une petite fille aux yeux nageant dans l'or, regardant son ravisseur avec inquiétude au-delà de ses années.

Un long souffle contrôlé siffla à travers ses lèvres. Sa victime, le meurtre qu'il devait commettre, le sang qu'il devait répandre pour sa compagne. Drusilla lui avait apporté sa collation pour lui plaire lui donnant, lui apportant les forces de l'innocence et la jeunesse, il devait la tuer par amour pour Drusilla, elle n'attendait que cela pour réussir et mettre à l'épreuve et effaçant ses doutes qui n'étaient plus un vampire légendaire mais c'était pourtant ce qu'il était et ce serait un honneur de faire le mal pour sa famille et gouter du sang, lui apportant de ces lèvres et crocs dans la bouche et leur langue liées en goutant le sang humain. Mais seulement elle était si petite. Si petit. Non pas que le démon s'en souciait ; pas un léchage. Le démon criait et l'applaudissait, exigeant qu'il surmonte toute réserve qu'il avait et attache son compagnon à lui pour toujours.

Nolwenn. Elle n'était qu'une fille. Il n'allait pas faire ça à une fille. Il ne savait même pas comment c'était possible ; comme ils sont incapables de se maîtriser, les enfants immortels ne doivent pas être créés. Cette création est le tabou ultime et Spike refusait d'en parler, de le lever et briser une de leur loi les plus sacrée, importante et punissable par la mort des enfants, du créateur, de ceux qui défendent l'enfant et de ceux qui connaissent son existence. Faire de Nolwenn une enfant immortelle n'était pas possible et inenvisageable, les humains n'étaient pas compatibles avec les partenaires vampiriques ; Darla n'avait jamais vu les yeux d'Angelus briller avant de le tuer – cela avait été une pause chanceuse. L'enfant en face de lui n'était pas un vampire. Elle ne l'était pas.

Qu'est-ce que, allait-elle mourir ? La petite fille reniflant à cause de son nez gonflé et en larmes, les yeux gonflés de larmes, de liquide.

Ils réussissent toujours à lui offrir et donner pleins de raisons aussi absurdes tellement inimaginables et impossibles, impensables pour garder l'enfant dans les sous-sol, et l'effrayer ; ils ne s'occupent pas bien de toi -Nolwenn- ; non elle ne fait pas très attention à toi, te laissant beaucoup trop souvent seule, livrée à toi-même.

Il répétait qu'il avait contacter son père et surtout son oncle Enyos. Drusilla et Darla évoquait sans arrêt, constamment l'oncle de Nolwenn, ses parents, mais que ceux-ci ne tenaient manifestement pas du tout à ce qu'elle soit libérée : "Tes parents ne t'aiment pas", "Ils ne veulent pas te récupérer", "Ils sont heureux de s'être enfin débarrassés de toi".

Ces phrases suintaient comme de l'acide dans les plaies ouvertes d'une enfant qui se sentait mal aimée depuis bien longtemps.

Nolwenn tentait de crier. Mais il ne sortait pas un son de sa gorge. Ses cordes vocales ne fonctionnaient pas. Tout en elle dans ses poumons d'enfant fragile et petit n'était qu'un cri. Un cri muet que personne ne pouvait entendre.

Cette reconnaissance envers l'être qui vous prive d'abord d'un repas pour l'accorder ensuite avec une prétendue générosité est certainement l'une des expériences, les plus marquantes des enlèvements et des prises d'otages. Il est tellement facile de lier à soi un être qu'on laisse mourir de faim.

Après lui avoir posé la question un nombre incalculable de fois, elle s'était totalement finalement résignée ou presque à jamais, ne lui demandait plus de la laisser partir, rentrer chez son oncle, se nourrissant correctement et passées ses journées derrière lui -Spike- à observer ses faits et gestes le moindre de ses gestes les plus futiles parfois, par moment, et à vouloir se rendre utile. Même si elle était soulagée de ne plus être en contact direct sous la merci d'entre les griefs de cette méchante femme et cruelle qu'était Drusilla ; sa famille, et surtout sa mère et sa petite sœur, lui manquaient toujours terriblement et tous les soirs, elle pleurait en pensant à elle avant de s'endormir.

Spike était satisfait de la tournure qu'avait pris les évènements et soulagé, il avait réussi à établir une relation de confiance avec elle et il appréciait, sentant la tendresse et l'affection montées en lui, un brin de gentillesse pour avoir la fillette à ses côtés, même s'il était conscient qu'elle était toujours très peinée d'être séparée de sa mère.

Il s'était rendu dans des magasins d'humains, bien loin de la était son refuge et sa famille vampire du monde des démons, et il vivait, habitait, grâce à son efficacité et sa vitesse, pour acheter des nouveaux vêtements, des chaussures, quelques peluches et quelques jeux vidéo et jeux de sociétés pour enfants, afin qu'elle ne s'ennuie pas longtemps et soit toujours occupée discrète et il avait même entrepris de lui faire la classe, l'instruisant dans toutes les matières qu'elle aurait dues normalement apprendre, instruite à l'école…

Sa seule marge de manœuvre était de lui pardonner ses gestes. Cet acte de pardon lui rendit le pouvoir sur ce qu'elle vivait et le permit de lui accommoder. Si elle n'avait pas instinctivement adopté cette attitude elle aurait peut-être sombré dans la colère ou la haine. Par le pardon, elle repoussait ses actes loin d'elle. Il ne pouvait plus la rabaisser ou la briser, puisqu'elle les lui avait déjà pardonnés…

Grace à son amitié avec Spike, leur proximité, leur contact et les liens créés ensemble dans la continuité, Nolwenn lui était reconnaissante d'apprendre grâce à lui, il était un si pointilleux et merveilleux enseignant, qu'elle était correctement instruite ; Spike lui avait en effet enseigné d'innombrables, diverses, différents sujets, aussi bien la littérature, l'anglais et le français, les mathématiques, les sciences de la vie et de la terre, et l'histoire... Nolwenn développait une connaissance très élargie en l'espace de quelques jours, très étendue.

Spike était profondément soulagé qu'elle ne semble pas lui en vouloir pour ce qui c'était passer la veille avec Angelus et Darla, l'humiliant comme un objet, comme une poupée pédophile juvénile la touchant, la pénétrait, Spike l'avait suppliée de ne pas lui en vouloir qu'il n'eût pas pu la défendre et intervenir sans qu'elle soit encore d'avantage en danger et que toute la rage de Spike ne retombe pour pénitence, punition et crainte de se blesser encore plus sévèrement. Mais Spike se dit également que Nolwenn avait peut-être oublié autre chose ou l'autre, et qu'elle n'avait probablement pas réalisé la portée de ces actes ; Nolwenn était une enfant devenue obsédée par la saleté et désirait tellement que tout soit propre et surtout à son corps qui était rempli de plaies ; Spike avait été également ébranlé en la voyant pleurer qu'il se promit de ne plus jamais être à l'origine de témoin de ses larmes et ces gestes.

Il lui devait se faire pardonner et la sortir d'ici, de cette maison ou appartenait et vivait l'enfer même remontant à la surface de dimension.

Spike était que trop au courant des procédés, des gestes infames, cruels et perverses d'Angelus et Darla. Et il savait ce qu'il réservait à cette petite humaine, il devait empêcher tous les drames qui pourraient arriver dans le futur.

Spike força un sourire et lui brossa les cheveux hors de son visage. « Je vais te ramener à la maison, hein ? Revenons à ta maman et à ton papa. » Il sourit tandis que ses yeux s'adoucissaient, le réchauffant avec l'éclat immérité de sa tendre confiance. Et dans une tendresse infinie et inexplicable, inconscient, et inné fondamental, en lui donnant un petit nom d'animal de compagnie.

La tête de Spike s'éloigna d'elle et il frissonna dans un autre soupir. Les larmes lui piquaient les yeux et les firent rougir. Ce n'était pas juste. Il avait attendu si longtemps, et maintenant elle était là. Beaucoup trop jeune pour prétendre, mais le sien. Entièrement à lui, cette famille qu'il avait, avait promis de protéger Nolwenn en faisait partie, elle était Serena et Jenny réunies. La même odeur, les mêmes parties, elles faisaient partie l'une de l'autre. Il ne pouvait pas l'avoir. Il ne pouvait pas la prendre comme ça.

Le monde s'était effondré autour de lui en quelques secondes. Quelle que soit la cause à laquelle il avait consacré son existence au cours du siècle dernier, elle était nulle et non avenue. Des décennies à adorer Drusilla n'ont rien donné. Il était persuadé que le tissu du temps autour de lui s'était tissé dans une tapisserie de mensonges. Il ne pouvait pas rester avec sa famille vampire. Pas maintenant qu'il l'avait trouvée. Il ne pouvait rien faire d'autre que de veiller sur elle jusqu'à ce qu'il soit temps en s'imaginant qu'il pourra la libérer. La garder à l'abri des prédateurs comme lui, la garder en la protégeant.

Dans la nuit suivante, la lune était haute dans le ciel, un clair de lune ronde. Nolwenn et Spike sortirent du manoir sans autre incident. Spike lui a ordonné de faire le tour du côté du manoir, jusqu'au garage à l'arrière. Une fois qu'ils étaient certains que le garage bloquait toute vue d'eux depuis le manoir, Spike libéra la fillette de ses liens pour la dernière fois...

Et tout à coup dans un seul plan, sans cligner des yeux aussi facilement, elle était libre et en dehors de tout danger. Nolwenn retint son souffle alors que Spike tournait la clé dans le contact jusqu'à ce que la vieille voiture fasse tourner son moteur, la rendant ainsi à la vie. Elle a soufflé l'air alors que Spike lui souriait et tirait sur le moteur. Il a arraché les portes de garage ouvertes, les pneus crissant sur le sol alors qu'ils quittaient le manoir derrière eux. Et dire que c'était plus facile à dire qu'à faire. Dès qu'il entra dans la nuit fraîche, son hésitation à lâcher sa compagne se fit sentir de plus en plus forte. Et soudain, il ne voulait rien de plus que d'allonger son temps avec elle.

Il la conduisit jusqu'à chez elle sans le moindre incident, sans les cruels de lions, de loups et de chasseurs, d'animaux sauvages tels de prédateurs par Drusilla et ses minions, personne ne les poursuivis, ne les attaqua...

Nolwenn n'habitait pas trop loin des portes de la prairie, loin de quelques kilomètres de San Francisco, rendant leurs dernières minutes ensemble malheureusement trop courtes. Le quartier n'était pas tout ce qu'il espérait pour sa petite compagne, mais loin de certains des bidonvilles les plus connus, c'était un village de nomades. Cela n'a pas beaucoup aidé qu'il ait dû se cacher derrière un arbre pour éviter d'être repéré par une voiture de police. Non pas qu'il ait été surpris ; si les cuivres n'avaient pas patrouillé dans la région, il aurait eu encore plus de réserves à l'idée de laisser sa petite compagne avec sa famille.

En l'état, il s'arrêta devant la maison quelques minutes plus tard, le cœur lourd, l'anxiété de la séparation commençait déjà à le submerger.

Il n'y avait rien à la fillette à part le fait qu'elle était destinée à partager son éternité. Il la trouva indiciblement adorable, bien qu'il sache quelque part que ce n'était pas le démon, mais plutôt l'homme qu'il avait déjà été. Le démon voulait son sang. Il voulait tout ce qui trahirait celui qu'il n'était jamais censé blesser.

Le bruit fort du moteur de la voiture alerta les habitants d'une maison simple mais reconnue par Nolwenn. Elle fut autorisée à quitter la voiture. A son plus grand soulagement et bonheur qui se lu dans ses yeux et son sourire aux lèvres, elle remercia silencieusement Spike. Il l'accompagna à la porte d'entrée de la maison de sa grand-mère et appuya sur la sonnette pour signaler leur présence.

Maria était vêtue de sa chemise de nuit tenant dans ses bras, sa plus jeune petite fille, Janna, à moitié endormie lorsqu'elle ouvrit la porte. Quelle ne fut pas sa surprise et sa joie lorsqu'elle vit Nolwenn à l'entrée. Elle posa Janna à terre et Maria et Nolwenn se précipitèrent dans les bras l'une de l'autre pendant quelques secondes, Maria soulevant Nolwenn dans ses bras et la serrant contre elle. Mais son visage s'assombrit quand elle vit Spike juste derrière. Maria posa Nolwenn à terre et se redressa précipitamment. Elle fit passer Nolwenn derrière elle comme pour la protéger pendant que Nolwenn et Janna se prirent dans les bras à leur tour, toutes heureuses de se revoir. La grand-mère fit signe aux fillettes de rentrer plus loin dans la maison. Elles se prirent la main et coururent en direction de leur chambre. Puis Maria se retourna vers Spike. Elle était très fâchée et en colère contre lui et lui demanda de partir immédiatement. Il ne pensait même pas que la femme l'avait remarqué. Il a fallu une bonne dizaine de minutes de supervision tacite, maladroite de Spike pour convaincre la grand-mère que Nolwenn allait bien et lui expliqua qu'il l'avait protégée tout le temps de sa détention contre les mauvais vampires. Maria se calma et crut son histoire. Et c'était ainsi qu'il quitta la maison Kalderash avec les remercîments et redevabilités pour avoir sauvé et ramené la petite fille à sa famille.

Malgré ses nombreuses tentatives de se poser dans une position défensive et froideur de distance, Maria avait toujours su que Spike le sanguinaire n'était pas un maître vampire comme les autres et il était différent ; mais la vieille femme devait toujours se montrer prudente et loin de la familiarité et de la gentillesse envers Spike...

C'était une légendaire histoire d'amitié…. Qui unissait Spike avec Jenny et Nolwenn


C'était davantage beaucoup plus qu'un nombre positif de nombreuses d'une tradition qui est passée très rapidement en général commémoration en souvenir de chaque mois mais plus souvent chaque année d'un nombre strict et fixe, pour aller visiter la tombe de Nolwenn. En important à chaque visite sur la pierre tombale des bouquets de fleurs fraichement achetées dans des magasins de fleuristes.

Doctrine, pratique transmise de siècle en siècle, originellement par la parole ou l'exemple. Ensemble de notions relatives au passé, transmises de génération en génération. A la perte d'un être cher, les proches du défunt avaient pour habitude de porter le deuil afin de respecter les règles imposées la plupart du temps par la religion. Mais qu'est-ce que cette pratique ? Pourquoi y a-t-on recours ? Est-ce toujours d'actualité ? A l'origine le deuil est une marque extérieure de la douleur ressentie à la perte d'un proche, principalement ascendant. Beaucoup de civilisations, qu'importe leur religion, le portent et le démontrent de différentes manières.

L'un des deuils les plus célèbres restent sans conteste le deuil de la veuve. En effet, les femmes ayant perdu leur mari portent le deuil d'un point de vue vestimentaire durant deux ans en suivant plusieurs règles. Bien que le deuil de la veuve soit le plus courant, il existe bel et bien d'autres traditions selon l'être cher disparu.

Tout est une question de temps. Plus les défunts seront éloignés (d'un point de vue généalogique) de la personne souhaitant porter le deuil, moins elle devra le porter longtemps.

Le deuil du grand-père et de la grand-mère dure un an ; le deuil du frère ou de la sœur dure dix mois ; celui d'un oncle ou d'une tante dure six mois ; le deuil d'un cousin germain, d'un parrain, dure trois mois….

Comment décorer une pierre tombale ? Il ne fallait hésiter à ne pas à mélanger les couleurs et les fleurs. Les chrysanthèmes restent les fleurs du souvenir par excellence. C'est la fleur adéquate pour décorer une pierre tombale. Mais vous pouvez aussi choisir une jardinière composée de chrysanthèmes et d'autres fleurs, comme du lys, des roses ou des ficus. Quand fleurir une tombe ? Bien évidemment il n'y a pas de jour spécifique pour penser à nos proches disparus. Le dépôt de fleurs peut ainsi s'effectuer toute l'année. Il est en revanche de tradition d'en apporter à la Toussaint...

La signification des fleurs pour un deuil et un enterrement ; l'on peut ainsi dire qu'elle témoigne à la fois du soutien des proches, mais aussi une grande preuve d'amour à l'encontre des personnes endeuillées. Ainsi, témoigner son respect au moyen d'un bouquet de fleurs va au-delà d'un simple geste.

Pourquoi offre-t-on des fleurs pour un enterrement ? Pourquoi offrir des fleurs lors d'un enterrement ? Les fleurs sont le signe de votre soutien auprès d'une famille. ... En effet, à l'époque romaine, les fleurs servaient à masquer les odeurs de décomposition, sources de maladies contagieuses, car les soins de conservation n'étaient pas encore maîtrisés.

Comme au premier jours d'un enterrement après la poses de la pierre tombale, les invitées ainsi que d'autre personne que la jeune femme et Quentin ont connu, ne cessèrent pendant très longtemps voilà plus de six ans à mettre des fleurs à garnir la tombe, des fleurs fraiches pour entretenir le seule lui ou Nolwenn habita, se reposer ; il voulait garder sa mémoire ainsi que son repos et des herbes de la botanique et l'herbologie appartenue à Nolwenn les fleurs et la nature l'aimait et elle devait l'accompagner avec elle dans l'au-delà et vivre sur la même terre battue….

Une pierre tombale est un monument funéraire en pierre, en marbre ou en granit. Elle comporte typiquement le nom de la personne enterrée, ses dates de naissance et de décès, ainsi parfois qu'un message personnel ou une prière appelé épitaphe. Lorsqu'elle est placée debout à la tête d'une tombe on parlera plus précisément d'une stèle. Que ce soit sur la stèle ou sur le côté du monument, le nom des personnes inhumées ou simplement celui de la famille est inscrit. En général, les prénom, nom, nom de jeune fille, année de naissance et année de décès figurent sur l'inscription.

Quentin et Jenny avait ensemble eu de nombreuses difficultés à choisir la couleur de la stèle et douloureuses taches qui étaient à leurs cœurs et à leurs yeux honorables, mémorial et surtout à choisi l'obligation et un devoir d'hommage et de grande responsabilité à ne pas échouer ; Noir fin : ce granit indien est un granit noir intense, doté d'une structure homogène à grains très fins. Romantica : granit rouge et gris à structure homogène importé d'Inde. Sa couleur puissante donne du caractère au monument funéraire. Viscont White : ce granit aux grains blancs et veinage noir est extrait en Inde ; au finale ils eurent décidée pour belle pierre tombale en marbre blanc avec cœur ; il s'agit d'une pierre tombale de style français avec une structure à double cœur et un grand cœur blanc sur la base de la pierre tombale et c'était d'une grand simplicité.

Repose en Paix

Nolwenn Caledif -née du clan Kalderash

Née en Janvier 1967 -décédée en Mars 1991

(Agée de 24 ans) A ma sœur bien-aimée, épouse fidèle et aimante, mère affectueuse et dévouée Partie bien trop tôt

Je ne t'oublierai jamais. Repose en paix mon ange. Ici repose un ange. Un ange d'un cœur bon et généreux tomber il y a longtemps sur terre tombant du ciel

Une épitaphe est une inscription funéraire, placée sur une pierre tombale ou un monument funéraire. Cela peut être un objet donné à une civilisation comme signe de paix. Dans la Grèce antique, l'épitaphe est un genre littéraire : c'est un éloge funèbre ancien.

Beverly était toujours aussi heureuse ravit en toute innocence se promener jusqu'où était enterrée sa mère, contentement ravie de l'avoir, lui parler et partager des choses peut commune en sens unique ; sans savoir et avoir conscience de la gravité et la peine que cela infligée après chaque émotion aussi forte et éprouvante tristesse que cela inflige, elle était encore si innocente -c'était si dure de voir constater en observation de constatation avec émotion que l'enfant ressemblait de plus en plus à sa mère -telle mère telle fille- elles étaient pareilles, identiques.

Quand est-ce qu'on va rendre visite à maman ? Demandais régulièrement de façon quotidienne à chaque uniquement moment de mois Beverly.

Comment respecter les sépultures ? Il est fondamental de respecter les sépultures. Oui, les fleurs de la tombe d'à côté sont très belles, mais ce n'est pas une raison pour les voler et vous les approprier. Imaginez que tous les efforts que vous faites pour entretenir la tombe de votre proche soient réduits à néant par d'autres visiteurs… C'est un manque de respect total que de dégrader, voler des ornements ou marcher sur les tombes dans un cimetière. Que ce soit pour se recueillir, pour visiter, ou tout simplement pour flâner, il est essentiel de respecter certaines règles lors de vos visites au cimetière. Le cimetière n'est pas un lieu comme les autres : c'est une parenthèse de calme qui doit être préservée par tous. Pour être respectueux des défunts et des visiteurs, voici les règles d'or à ne pas oublier. Il serait préférable d'adopter une conduite respectueuse et calme.

Il est libre de porter les vêtements de son choix, dont Jenny avait revêtu sa longue robe noire, en restant respectueux du lieu et des autres. Choisir une tenue sobre et éviter les accessoires qui pourraient gêner les visiteurs en quête de calme. Une visite au cimetière doit se faire dans le calme. Il peut être mal perçu par les autres visiteurs que l'on y fasse une course poursuite, que l'on parle très fort ou que l'on laisse les enfants courir entre les tombes. Bref, en résumant final tout ce qui peut perturber le calme du lieu.

En ce lieu sacré venant de dehors ou la nature reprend ses droits, son espace, sa verdure et les pierres de roches de cailloux ; elle en reprit sa respiration et l'inspiration voulant éloigner, se détendre en évacuant de se débarrasser en affranchissant et arracher le gaz carbonique, l'air purifiant son corps à nouveau une fois de plus ; sa poitrine bougeant et redressant son buste. Elle tenait en liant ses doigts à ceux de Quentin, pressant sa paume dans celle de son beau-frère.

Mouvements respiratoires de sa cage thoracique, mouvements abdominaux ; distingue la respiration interne et externe. La respiration externe permet l'échange gazeux dans les poumons. En inspirant, nous inhalons l'oxygène ambiant et en expirant, nous rejetons du dioxyde de carbone. Chaque inspiration peut contenir jusqu'à quatre litres d'air. Quels sont les trois types de respiration ? Il existe probablement plusieurs variantes à ce sujet, mais en règle générale, les séances se composent de 3 phases incluant trois différents types de respiration ; La respiration ventrale ou abdominale, la respiration costale ou thoracique et la respiration claviculaire.

En surveillant de loin sa nièce marchant devant eux avec un bouquet de marguerites et fleurs sauvages, elle respectait le silence des lieux dès l'instant où ils avaient franchi les portes en fer du cimetière, se promenant en sachant leur destination jusqu'à la pierre tombale de manière et façon automatique, sur le sol il se trouvait de multitudes de formes de cailloux.

A la vue lointaine mais proche, Beverly courut en reconnaissant l'endroit vers les lieux de repos de sa mère, elle embrassait à chaque visite n'oubliant jamais son rituel qu'elle avait passé en embrassant la stèle et le cœur. En enlaçant comme une étreinte invisible ayant conscience d'un esprit spirituel et de la présence maternelle et réconfortante qui l'enveloppait de bien et de bon, d'amour.

La vie était si profonde avec la haine qui rendait en catastrophe apocalyptique sans impossible de mélange c'était un sentiment, quelque chose de si profond qui était vu ici au pied de la tombe ; des larmes salés inondaient les yeux de Jenny pour ainsi terminer leur course sur son visage, ses joues et une ou deux sur le bout de son nez ; Quentin était tout aussi ému, mais malgré tout, au fils des mois et des années, la douleur s'était atténuée et presque oubliée en apaisant une douleur profonde, s'atténuant tout en n'oubliant jamais ce souvenir de la femme que l'on aimait ; ne jamais oublier Nolwenn dans les souvenirs précieux en ne rien inventant des choses nouvelles à raconter, cela était hors de question, ne bafouant en rien sa mémoire et son image, une personne telle qu'elle a vécu en rien de fiction et de fantaisie….


Les premiers dessous de l'histoire incroyable de chemins qui se croisent en venant se rejoindre, Nolwenn et sa rencontre avec Quentin ; leur coup de foudre.

Elle est née il y a dix-huit ans dans l'un des nombreux états des Etats-Unis dont le climat était toujours en rigueur de sa chaleur du soleil au quotidien, parents d'origine Bohémienne ce qui faisait de Nolwenn une originaire de pure souche une Gitane, avec leurs vies de nomades, leur petite fille les accompagnait avec ses frères et sœurs ; dès son plus jeune âge, Nolwenn était une enfant parfaite et un prodige dans son travail d'écolière. La petite fille avait, dès l'âge de six ans et sept ans, un don extraordinaire pour le chant mais également de l'empathie pour posséder les qualités à s'occuper des autres et de son prochain ; résistance physique et morale à toute épreuve. Sens des responsabilités. Rigueur dans le travail, attention de tous les instants. Relationnel pour rassurer les patients. Empathie, compréhension et diplomatie face à des situations parfois difficiles. Sens du travail en équipe. Pour protéger les enfants, deux grandes orientations sont possibles : les métiers du social ou de la justice. Choisir de travailler dans ces univers, c'est être prêt à accompagner des situations difficiles : abandon, maltraitance, délinquance.

Quelles sont les qualités pour travailler en crèche ? Attentionnée, à l'écoute et méticuleuse, elle aime aider les autres et se montre dynamique et patiente. Toute personne souhaitant travailler en crèche se doit également d'être ouverte d'esprit et de savoir se remettre en question, sans jamais rester sur ses acquis.

Elle possédait aussi une si jolie voix. Elle était si généreuse, si douce dans son travail d'étudiante en étant à l'écoute, dévouée dans sa passion d'aimer, pouvoir soigner et distraire les enfants malades ; connaître le cœur humain, divers petits berceaux et berceaux d'hôpitaux répartis dans la pièce stérile derrière l'enceinte vitrée. De mignons petits bébés allongés, dormant, s'étirant ou pleurant tristement, implorant juste beaucoup d'attention. Ils en recevaient certainement beaucoup, a remarqué Nolwenn. Si une infirmière ne faisait pas l'un des bébés ? Le parent ou le grand-parent d'un autre nouveau-né roucoulait comme des pigeons...

C'était l'autre, isolée et parfaitement sécurisée et désinfectée, la crèche que tous les hôpitaux avaient, mais personne ne prenait généralement la peine de s'arrêter et de visiter. Oh, médecins et infirmières, bien sûr, et un ministre, un rabbin ou un prêtre bien intentionné passerait pour prier, mais...

Il n'y avait pas de rayonnants, submergés d'amour et de nouveaux parents planants dans cette crèche. Pas de grand-père ou de grand-mère fier ; tantes ou oncles ou amis bien intentionnés. Seules rangées après rangées de minuscules incubateurs et d'un ou deux berceaux blancs austères occupaient cet endroit sans espoir.

Une petite porte à l'intérieur de la pépinière s'ouvrait. Dans un moment de respiration, une jeune femme est sortie de la porte et est entrée dans la pièce. Quentin haleta quand il vit la vision de la beauté qui glissait dans la crèche, presque avec empressement, remarqua-t-il.

La femme avait les cheveux bruns qui coulaient autour de ses épaules et brillaient dans les lumières de l'hôpital. Tous pouvaient dire qu'elle était belle, même avec le petit masque facial qu'elle portait sur la bouche. Elle est spéciale ? C'est ce que l'on veut dire. Nolwenn est une femme merveilleuse, de bon cœur et très bien pensée. Par ses collègues et la plupart du personnel de cet hôpital, et par la plupart de San Francisco. Elle a été blessée, par l'amour des autres. Elle se présente, au moins trois fois par semaine, à ce service seulement. Ces bébés Spike, bégayait Tara (ce qu'elle faisait toujours quand elle était nerveuse ou contrariée), comme je l'ai dit, ils sont pour la plupart condamnés ; pour la plupart abandonnés. Nolwenn vient ici et les tient ; chante pour eux et s'attache désespérément, émotionnellement, à chacun d'eux.

Elle nomme même certains des bébés ; les petits que personne d'autre n'a pris la peine de rester pour même nommer correctement. Elle, Nolwenn, a commencé par la lettre « A » de l'alphabet. C'était un garçon qu'elle a nommé, d'abord, son nom était Adam et...

Regarder la déesse dorée, placer une petite fille dans son berceau, puis prendre un autre petit garçon. Il savait que c'était un garçon parce que la couverture dans laquelle l'enfant était enveloppée était bleue. Elle se faisait appeler Nolwenn. L'hôpital le sait, ainsi qu'une de ses collègues et amie, a-t-elle ajouté rapidement. Peu importe l'heure, de jour comme de nuit.

Quand le petit bébé passe en partant, continua doucement, sa main ferme reposant doucement sur le bras de la jeune femme. Quand le bébé passe et ferme les yeux pour la dernière fois ? La dernière chose qu'ils verront dans ce monde est le visage aimant et souriant de Nolwenn Kalderash qui les regarde. Nolwenn croit que chaque humain qui vient au monde devrait le quitter en sachant qu'il a été aimé par quelqu'un. C'est le cadeau de la jeune femme. Aimer ces petits anges perdus, si inconditionnellement.

Pendant que comme mue par un pressentiment très puissant fortement intense et émouvant, comme si elle avait ressentie deviné que cette journée son tour de garde en fin d'après-midi marquerait toute son existence, Nolwenn s'est maquillé longuement devant le miroir de sa chambre d'étudiante le matin même, quand elle s'est regardée dans son miroir, elle s'est observer et regardée avec profondeur, elle s'est trouvée belle, reposée, sûre de son don d'ange gardien des service, et de son charme au homme qui venait rejoindre ses colocataire.

Prête un peu en avance, elle est descendue et partie dans d'autres services dans la salle, le bureau infirmier, pour écouter tout le long avec le maximum de détails les transmissions et en partant dans sa ronde et venant à chaque patient pour les rassurer, les apaiser... ; en passant à côté d'un box recouvert de toile tout en préservant l'intimité et le recueillement de repos en respectant la pudeur. Pour elle, écouter la voix d'un homme qui passait à quelques centimètres séparément les côtés et leur essence, et ce n'était autre que Quentin.

D'abord, elle n'a entendu et écouté que sa voix et elle s'est mise à frissonner, malgré la chaleur ambiante de l'hôpital. Puis elle a écarté le rideau et elle a découvert, un joli bel homme -garçon- aux cheveux bruns, aux yeux noisette très extrêmement noirs.

Les jambes tremblantes, le regard vissé profondément, intensément sur ce bel inconnu, elle a rêvé qu'il la prenait dans ses bras et qu'ils allaient tous les deux danser. Dès cet instant, à ses mains moites, à son cœur qui battait la chamade, elle a sur Nolwenn, qu'elle l'aimait.

Elle était amoureuse du jeune homme blessé et meurtri assez pour qu'elle reste plusieurs heures à l'hôpital pour le soigner, et pourtant elle ne lui avait encore rien dit, pas un seul mot. Aussi lorsqu'il se retourna, retourna son visage meurtri et blessé dans du sang séché, allongé sur le dos et tournant son visage vers une étudiante infirmière, la jeune femme s'est précipitée vers lui, et, tout naturellement elle l'a embrassé, l'a longuement occupé en soignant chaque blessure, le félicitant d'être aussi ainsi courageux. Il lui parla, émue par sa voix si douce et belle ; "Je n'ai jamais rien entendue de si beau", lui a-t-elle murmuré...

Quentin, lui encore sous l'émotion des antibiotiques, ses blessures et sa chute qui lui rendit tout groggy et profondément dans un sommeil artificiel pour calmer certains os cassés... il n'avait pas compris ce qui lui est arrivé quand cette jolie fille -cette femme- si brune, si mignonne, lui est tombée dans les bras. Très intrigué et toujours de façon naturelle, de curiosité, voulu en connaitre encore plus et ne voulait pas qu'il parte, elle n'avait pas d'option. Il s'est alors produit un évènement rare, un évènement exceptionnel, un véritable miracle de l'amour.

En la voyant, en l'entendant, Quentin est tombé follement épris de Nolwenn. Un moment gravé dans son cœur dont il parle encore avec émotion. Quand il a appris à la connaitre davantage en gardant ses petites mains fines et délicatement chaudes dans les siennes, il l'a prise dans ses bras et ils ne se sont plus jamais quittés depuis ce jour. Après son service, Quentin l'attendit.

C'est tout juste si dans son impatience, il lui avait donné, laissé le temps de se changer, de se démaquiller ; il la voulait toute à lui, tout de suite, maintenant, immédiatement et pour toujours ; enfin vivre leur grand amour en toute liberté de cette manière officielle qu'ils connaissaient...


Lorsque les choses deviennent terriblement mauvaises à vivre, quand tout va mal, il faut sauver tous les amours possibles et inimaginables, mais dans ce conte c'était un amour avec un grand A ; alors qu'ils étaient près à rompre, à cause des préjugés de la famille de Nolwenn…

Vous avez décidé de vous unir pour la vie et vous voulez partager ce moment avec votre famille et avec tous vos proches. Le faire-part de mariage va vous permettre d'annoncer la merveilleuse nouvelle et d'inviter les personnes de votre choix pour la cérémonie, le vin d'honneur et le repas. Mais il va également vous servir à donner le ton de votre mariage. Mariage civil ou religieux. Mariage classique ou original. Des envies de romantisme, de voyage, d'ancien ou de nature. Vous comme votre amour êtes uniques et vous voulez qu'il en soit de même pour votre mariage. Ce que vous voulez c'est de l'originalité. Plus que le modèle du faire-part en lui-même, c'est votre annonce et le texte de ce dernier qui fera toute la différence.

Mon premier est une rencontre qui a bouleversé nos vies. Mon second est une suite de joie, de bonheur et de partage. Mon troisième est un ciel bleu sans l'ombre d'un nuage et mon tout est un mariage qui liera nos vies jusqu'à la fin des temps. Au premier regard, ils se sont aimés. Aujourd'hui, ils veulent lier leurs mains, leur cœur et leur destinée pour la vie. Pour que leur âme ne fasse plus qu'une.

Il était une fois, un prince charmant qui se prénommait Quentin. Depuis toujours, il était à la recherche de sa princesse. De celle qui ferait chavirer son cœur d'un seul regard. Il était une fois, une princesse qui se prénommait Nolwenn Depuis sa tendre enfance, elle rêvait de son prince. De celui qui l'emmènerait vers le soleil couchant sur son bel et fier cheval blanc. Au détour d'une rencontre, orchestrée par le hasard, le prince et la princesse se découvrirent.

L'amour tient en un seul et simple mot. Et ce mot c'est : oui. Nolwenn lui a dit un première fois. Et maintenant, ils veulent se le dire pour toujours. À partir de ce jour, ils ont écrit leur conte de fées et cultivé leur amour. Aujourd'hui, ils veulent écrire leur histoire avec les lettres du Mariage.

Ces amoureux en lutte pour leur liberté d'aimer dévoilent leur histoire. Des témoignages qui cherchent à faire reculer les préjugés et avancer la tolérance. Face à des politiques migratoires toujours plus restrictives, à des pratiques administratives discriminatoires, à une constante suspicion de fraude, ces récits recueillis par l'association des Amoureux au ban public font prendre conscience des difficultés à vivre librement son amour et sa vie de famille lorsqu'on est un couple, entre un Américain et d'une jeune femme d'origine tzigane...

Ils étaient en ce moment d'aujourd'hui sûrs, leur amour et plus fort que tout, et il durera très longtemps et si Quentin et Nolwenn en étaient si sûrs, sont aussi résolus d'affirmation, c'est parce que qu'ils viennent de surmonter une épreuve qui leur a prouvée et montrer la force, le courage et leur détermination, ambition, preuve de la solidité de leur passion. Car pour cause la famille de la jeune femme en découvrant l'origine de leur histoire, les preuves d'une liaison et d'un couple vivant comme en tant que familiarité quotidienne, par l'espionnage les enquêtes et la surveillance de Nolwenn ; leur colère avait grondé et devenait sérieusement dangereux et vengerait ; à cause de l'ignominie du poison qui coule dans les veines du déshonneur de la méchanceté pour les séparer en allumant les braises et en attisant la colère, l'isolement de la trahison et comme une traitresse l'abandonnant comme pour symboliquement la renier et ne voulant plus d'elle comme si elle n'avait plus jamais existé. Comme si elle n'était plus rien ainsi que son amour.

Quentin et Nolwenn ont bien cru qu'ils allaient se perdre.

Soudainement, expliquera à sa mère, qu'ils avaient cru que leur vie privée n'en était plus, que leur couple, leur vie privée était en train de les tuer à cause de nombreuses interrogations, que cette famille allait les détruire et les empêcher d'être ensemble leur amour n'en était plus un, n'était plus personnel et que chaque conversation mettait le doute en Quentin, ils avaient essayé de le faire fuir face au chantage à essayer de l'acheter et de les déshonorer mais ils étaient dignes malgré la pauvreté…

Ils étaient plus comme des amoureux, petit à petit ils étaient devenus des étrangers dans leur propre appartement sous leur propre toit, avec ce que cela comporte d'affrontement et d'énervement ; ils en étaient à vivre comme des étrangers, qui n'avaient plus le temps ni la force de se préserver ne serait-ce que quelques minutes d'intimité par jour…

Le chagrin, ils avaient plus le temps de se dire qu'ils s'aimaient et encore beaucoup moins de se le prouver ; Quentin expliqua qu'il ne trouvait pas raisonnable de fonder une famille, avec toutes les responsabilités que cela impliquait et malgré son chagrin, Nolwenn, elle, reconnut qu'il avait raison. C'était alors qu'ils avaient pris la décision de mettre leur amour en repos pour plus tard entre parenthèses, de côté.

Quentin et Nolwenn avaient alors vécu des mois douloureux. Mais un jour, la jeune femme décida de réagir et pris l'initiative de réserver une table dans un restaurant-hôtel pour deux personnes et qu'elle souhaitait lui parler de façon sérieuse et détermination. Quentin avait accepté…

Mais c'était dans une chambre d'hôtel même que Nolwenn avait réservé que le souper leur a était servi ; et une fois de plus c'est Nolwenn qui prit les devants et accompagna la conversation en prenant toujours l'initiative ; et comme quand elle s'était retrouvée comme autrefois, elle lui parla d'amour. De celui que nous éprouvions toujours l'un pour l'autre. ; pourquoi vouloir absolument choisir ; choisir entre leur famille et leur amour de leur bonheur.

Nolwenn lui à fait comprendre que le plus important pour elle-même et lui pour leur santé et dépression, c'était de vivre auprès de lui comme autrefois comme avant leur relation n'était pas officiel ; pour elle pour Nolwenn, Quentin deviendrait un jour son mari et le père de ses enfants. Rien n'a changé dans son cœur et son esprit son essence de l'âme.

En entendant cet aveu, Quentin en fut bouleversé. Il s'est alors levé et est venu prendre Nolwenn tendrement dans ses bras pour la serrer sur son cœur

Je t'aime, avait-il murmuré, la voix brisée par l'émotion, je n'avais jamais aimé que toi.

Fuyons San Francisco, retournons à Los Angeles et préparons notre mariage.

Cette nuit-là, grâce à sa ruse d'une jeune femme amoureuse, une merveilleuse passion à pu renaitre dans leur chambre. Une passion que deux jeunes gens avaient pourtant failli brisée, mais qu'ils gardaient toujours au fond de leur cœur et qui avaient se réaliser totalement à l'automne prochain lorsqu'ils diront en cœur le mot un simple mot et qui était magique et dans une simple personnelle et qui avait son importance, oui.


Los Angeles, Septembre 1989

Le premier mois de mariage. La lune de miel est le mois (lunaire) suivant les noces. Ces quelques jours de semaine, supposés les plus heureux du jeune couple, sont souvent consacrés au voyage de noces, si bien que l'expression « lune de miel » désigne souvent ce voyage exceptionnel. Temps fort de l'existence, la période qui suit immédiatement les cérémonies du mariage, a été et est vécue de manière très diverses ; une suite du mariage en tant que rite de passage pendant lequel on abolit de faon éphémère les contraintes habituelles auxquelles les jeunes mariés sont épuisés et fatigués et dont la tension des derniers mois s'épuise et se relâche ; qu'est-ce que c'était réellement les mots qui formaient les noces et la lune de miel ? définition : cette expression souvent synonyme de "voyage de noces" est en fait une coutume datant de près de 4 millénaires. En effet, à Babylone, pendant le premier mois de mariage, le père de la jeune épouse devait offrir de la bière à son gendre, autant que celui-ci en demandait. Cette bière, le "mead", était fabriquée à base de miel. On appelait alors ce premier mois de mariage le "mois de miel". De plus, le calendrier, à cette époque, était un calendrier lunaire. Par extension, l'expression est devenue "lune de miel".

Bien que leur salaire ne permît pas ce luxe de pouvoir partir si loin de tout pour leur voyage et ne pouvait pas s'offrir, se délecter de voyages en abandonnant, rejetant et accepter que ce mot disparaisse comme une illusion ; ils y voyageraient dans leurs rêves et leurs esprits, la nuit :

Lune de miel ; souhaitant faire de cette lune de miel et de ce voyage de noces des moments romantiques, inoubliables ? Sur les cinq continents, les hôtels de charme Relais & Châteaux offrent un cadre paradisiaque pour ce moment d'exception. Le voyage de noces tant désiré de Nolwenn aura le goût du merveilleux et la saveur de l'inattendu, le parfum des îles tout comme l'arôme d'une ville romantique.

Des Caraïbes aux îles du Pacifique, de l'Océan Indien aux villes européennes, Relais & Châteaux saura parfaire une lune de miel imaginaire en amoureux et lui donner toute la magie qu'elle mérite. Nolwenn et Quentin pouvaient de laisser bercer par les eaux cristallines de la Polynésie. Ils illuminaient leurs regards lors d'un dîner aux chandelles ou ils parcouraient les ruelles de Venise, Paris ou Florence : ce séjour est le leur, et Relais & Châteaux saura les accompagner pour rendre leur lune de miel unique au monde.

Les noces de paillettes, c'étaient une douce, tendre appellation d'à peine le mariage passé, des paillettes pleins les yeux, que l'on fête déjà. Ils utilisaient un stylo pailleté ou des paillettes en plein yeux de différentes couleurs comme si c'était un arc en ciel celui de l'ancienne ou traditionnelle et des nouveaux qui les feraient coller sur leur carte pour être dans le thème de ce premier anniversaire de mariage. C'était une véritable bénédiction et des vœux de chance, la joie de vivre une nouvelle vie en prouvant que chaque noce, chaque personne ayant eu un cadeau aussi beau que le temps qui passe et qui perdure, comme une vie des milles et une nuit qui finira dans sa course à jamais ; lamelle de métal brillant, de nacre, de plastique, servant d'ornement (sur un tissu, un maquillage, parcelle d'or dans des sables aurifères. Ce tout premier mois avait-on toujours des étoiles, des fleurs et des oiseaux qui gazouillent, le bonheur de la vie, personne ne resterait sur cette terre en flottant, mais bien sur le retour à la réalité malgré tout on se souvient du bonheur qui ne fléchit pas, mais bien sûr il faudrait avec conscience que le mariage soit une épreuve d'un long cheminement avec des hauts et des bas ; pour l'instant, en ce tout début, il n'y aurait que du haut...

Il existait chez Quentin et Nolwenn une passion d'un amour profond, doux, romantique avec dans le tout des histoires érotiques, ils possédèrent une vive profondeur d'une relation charnelle très développée régulièrement pour les relations sexuelles ; ils faisaient l'amour tout à chaque jour.

Leur lune de miel avait été synonyme d'une ressemblance à des vacances bien courte, qui avait duré un peu plus d'une semaine, qui se rapprochait de deux semaines un peu plus, -quinzaine de jours-. Ils rentrèrent dans leur foyer d'un modeste appartement de personnes à des bas salaires, dans un petit appartement fait pour deux personnes ressemblantes à des pièces de trois logements ; un logement T3 (ou F3 lorsqu'il s'agit d'une maison) contient trois pièces : un salon (ou séjour) et deux chambres. Un coin cuisine, ou kitchenette, peut être intégré au salon, mais on peut aussi trouver une cuisine fermée, cela ne change rien à l'appellation.

C'était une soirée prolongée chez Quentin, il y faisait nuit de l'extérieur bien avant en allant sur le balcon pour ressentir la température du dehors, la chaleur de la Californie était doux alors que la brise de la nuit de Septembre se faisait ressentir après s'être levée ; malgré que la fin de l'été se faisait ressentir prouvant de l'été indien, les mois de fin d'année ne portaient que sur le calendrier et leur nom ; dans l'Etat de la Californie des Etats-Unis des était ouest proche du pacifique faisait preuve de toujours avoir de hautes températures printanières, été et début d'automne, il n'y avait jamais de neige.

En prenant la main de sa jeune épouse, il montait sur le toit plat et complètement sécurisé, sans danger d'une chute, il se trouvait une porte coupe-feu pour redescendre dans leurs étages différents à tout ce qui recherchait leur hauteur.

Le bras de Quentin s'enroulait autour de la taille fine de Nolwenn, lui montrant son amour sous les étoiles du soir l'amour brillant sous les étoiles. La jeune femme avait enroulé ses bras autour de la nuque de son mari, passant ses doigts dans ses cheveux ; ils se chuchotèrent des mots de tendresse et de promesse.

Quentin lui promit d'être toujours là, ici, pour elle. Il l'aimait jusqu'à la fin des temps et même après ; ne voulant jamais être séparé... Il l'aimait, elle l'aimait, ils s'aimèrent.

Nolwenn ne regretta pas d'avoir laissé sa famille derrière elle, comme si c'était la fin de son monde laissant au loin son enfance et son ancienne vie ; Quentin craignait qu'elle regrette un jour, lui en voulait dans des proches avenirs et des années d'avoir abandonné sa famille, quelle regrette d'avoir fait le choix en coupant les ponts ; s'éloignant de chacun d'eux... La famille était si importante, sacrée et impossible de briser ; c'était eux qui avaient cassé, qui avaient brisé leur confiance envers Nolwenn et l'avaient châtiée et reniée...

Pour Nolwenn et maintenant sa famille était Quentin, elle ne regrettait pas d'être tombée amoureuse d'un homme du monde moderne, et elle partirait s'il le fallait et il était sa famille sa vie, son cœur et son amour complet totalement.

CASSER DES ASSIETTES ; la tradition qui consiste à balayer les morceaux d'une assiette cassée lors d'un mariage est la première tradition organisée par le personnel chargé de la restauration. Au début de la réception, un membre du personnel souhaite beaucoup de bonheur aux jeunes mariés, et un toast est porté. Pendant ce toast, le membre du personnel fait tomber « accidentellement » l'assiette qui est cachée sous le plateau qu'il porte. La tradition veut que les jeunes mariés balayent les morceaux.

Ces morceaux de porcelaine symbolisent le bonheur, et le bruit produit par l'assiette cassée éloigne les mauvais esprits qui souhaitent nuire aux mariés. Balayer ensemble est une tâche symbolique pour les mariés. Cela montre qu'ils doivent travailler ensemble, pas seulement au niveau des problèmes du mariage, mais également dans leur foyer. Le choix de la personne qui prend la pelle et de celle qui prend la brosse est également très important. Dans la tradition, celui qui balaye sera mis de côté et celui qui prend la pelle aura le dernier mot dans le mariage. Les jeunes mariés doivent également conserver un morceau qui leur portera chance.

Comment décorer son salon pour un mariage ? On ne décore pas une salle de mariage comme on décore son salon. Il faut voir grand ! ... Les dix règles d'or pour réussir la décoration de son mariage

Définir un fil rouge, Se concentrer sur l'essentiel. ... Ne pas acheter trop tôt., des banderoles des coquillages de nombreuses fleurs... Travailler la lumière, voir grand, organiser l'espace, toute organisation parfaitement bien dirigée, bien entretenue au centimètre près, tout en restant soi-même : les luminaires, les guirlandes lumineuses, les bougies, les candélabres (sur table ou au sol), les lanternes rustiques, les photophores…

Dans la tradition de son clan des Kalderash, pendant que lorsque les mariages avaient lui dans l'univers du monde de leur ancêtres traditionnalistes et même dans le temps présent, il suffisait de briser une assiette au sol et la casser.

Avec beaucoup de complicité et de partage en moment en famille, Quentin voulut créer un moment de bonheur et de jeux pour tout en respecter les croyances de Nolwenn et ses traditions en cassant d'autre assiettes en tout en lui demandant s'ils en cassent plus sauront-ils plus heureux beaucoup de chance et croyance que leur mariage serait beaucoup plus solide beaucoup plus heureux et le mariage, leur couple se solidifiera.

Dans leur chambre à coucher, il y eu de l'intention intensité dans les profondeurs comme le cœur battant la chimie pour une simple pour une minute de plus, Nolwenn regarda dans le fin fond des yeux de son époux du désir et l'amour ; il avait envie d'elle, de ses mains, de ses lèvres et de son corps. Dieu lui avait donné un corps pour s'en réjouir jusqu'aux extrêmes limites de l'âge : c'est aller contre la nature que de la priver de lui, et de le priver d'elle. Cette nuit, il ne pouvait pas dormir. Il voulait sentir ton corps chaud contre sa peau. Il voulait sentir ses mains jouer avec son corps. Mais n'étant pas là, il lui manquait.

Elle porte une robe noire qui moule parfaitement ses formes. Elle déposait quelques gouttes de parfums sur son cou. En dessous, un ensemble en dentelle rouge attend d'être retiré sauvagement. Il sait ce qu'il lui reste à faire... Il veut déboutonner sa chemise et embrasser sa peau juste à l'endroit de son cœur. Comme une caresse, un voile de soie, de pureté et son comme de l'eau douce et tiède sur sa peau chaude.

Il avait envie de d'elle et elle avait envie de lui faire l'amour... De sentir ses mains se promener sur son corps. Il a envie de l'embrasser, en commençant par sa bouche, en descendant dans son cou... Petit bisou dans le cou, Pour lui dire à mots doux, D'elle, il est fou, il l'adore plus que tout. Il voudrait que qu'elle soit avec lui, il voudrait qu'elle soit en lui. Mais tu n'es pas là. Je vais assouvir cette soif de toi dans mon imaginaire. Fais de beaux rêves. Mes mains servent à la toucher, ses bras à le protéger, ses yeux à le contempler, son corps à la réchauffer et son cœur à l'aimer... Il est en manque d'elle, elle est sa drogue : Il ne peut se passer d'elle, de son odeur, de son dos, de sa bouche, de sa chaleur. Cette nuit va être longue.

Il lui fait un câlin virtuel et lui envoie toutes ses caresses préférées. Il l'embrasse là où elle préfère entre ses jambes entre ses cuisses dans ses chemin secrets... Envie d'un gros câlin, sentir la chaleur de ses mains, avoir ce doux frisson d'une tendre passion...


La première année de mariage est toujours pour autant le peu de monde à se plaindre était un véritable tabou car son mariage était-il réellement catastrophique ? Se reconstruire après un mariage d'une seule année ratée. La première année de mariage était-elle toujours si difficile ; Tout n'est pas rose dans les premiers temps du mariage…

Aujourd'hui, des jeunes femmes qui étaient des petites filles pourries-gâtées, affreuses, ayant toujours tout fait pour que leurs couples soient devenus si catastrophiques et soient ratés et gâchés souvent aidé par la providence. Nolwenn confie le récit de son mariage au narrateur afin qu'il puisse aider si des personnes ont vécu la même situation et si elles ont l'impression que rien ne leur permettra de passer à autre chose. Un mariage où rien ne s'est déroulé comme prévu. Quand on pense à un mariage, j'imagine spontanément des sourires, de la joie, des gens heureux d'être là. Et surtout, j'imagine évidemment que les invités à un mariage sont contents pour les mariés.

Pourtant, parfois cela ne va pas de soi. Malheureusement, personne ne fait de pause le jour de son mariage. Les relations familiales tendues restent tendues. Les gens qui se faisaient la tête n'arrêtent pas juste parce que l'on se marie. Et malheureusement, parfois cela laisse des traces.

La première année de mariage, souvent idéalisée, donne parfois du fil à retordre aux jeunes époux. Comment vivre sereinement cette révolution qui nécessite compromis et ajustements ? « Ils se marièrent et eurent beaucoup d'enfants. » Les épilogues de contes de fées ou de comédies romantiques sont peu loquaces sur la suite des histoires d'amour. Est-ce par manque d'imagination ? Et peut-être que parce que personne voulait réellement afficher une défaite, une vision d'un voyage et que des enfants ne voulaient point voir leurs héroïnes de jeune princesse voler en éclats et nul d'y découvrir un monde beaucoup plus sombre, difficile et inquiétant dans le monde réel.

Après l'effervescence de la préparation au mariage, l'euphorie du jour J, le jour final tant attendu, l'allégresse du voyage de noces, les choses sérieuses commencent. Le quotidien à deux. Et parfois, la douche froide. Il arrive, en effet, que le beau tremplin des fiançailles donne lieu à des réceptions périlleuses. Des propos rassurants pour ceux dont la préparation a été délicate ! Mais l'objectif n'est pas de jouer les prophètes de malheur ou de bonheur. D'autant plus que chaque couple est unique ; leur mariage, chaque personne réfléchirait et se comporterait, agirait en aucun cas de la même manière et de la même façon, il y aurait tant de choses à dire, de personnalités à connaitre, et donc des couples différents. Passé et situation spirituelle, familiale, professionnelle, varient. Pas de prophétie donc, ni de recette magique. Simplement des pistes de réflexion, que chacun pourra décider ou non d'emprunter.

C'est une très belle période, mais il fallait faire suffisamment attention : il n'y a pas d'état de grâce. Tout ne va pas de soi et certains jeunes tombent de haut parce qu'ils n'ont pas été assez prévenus et préparés à cela. Le mariage est une révolution. Il est donc normal de rencontrer des perturbations. Rangement et ménage deviennent des sujets de haute tension. « Cela prenait des proportions démentes. Nolwenn a commencé à angoisser en se disant qu'elle avait fait une grosse erreur. Puis elle culpabilisait d'oser penser cela après seulement quelques semaines de mariage.

Les couples qui marchent à l'électrique en seront réconfortés. Parmi les sujets de conflits, il y a l'argent, la sexualité, le ménage et la belle-famille forment traditionnellement. Chaque fois, le litige part d'une divergence d'intérêt ou de désir. Chacun pourrait alors penser que, pour l'éviter, il suffirait de supprimer la divergence. Or, la solidité d'un couple réside dans sa subtile capacité à ne faire qu'un tout en restant deux. Dès lors, deux pièges sont à éviter.

Prenant toujours du temps pour son couple… Alors qu'ainsi avec accompagnement, discernement et solution dans l'attente et dans l'aide, les ratés ne pouvaient continuer mais ils continuèrent à s'aggraver en se multipliant au lieu de s'atténuer et disparaitre en s'arrêtant peu à peu ; les ratés s'enchainèrent...

Faire un break, une pause dans son mariage, dans sa relation amoureuse sans avoir à discuter de sa situation de couple, c'est prendre une distance, une séparation, pendant quelques jours ou quelques semaines, qui peut s'avérer inutile, et surtout, donner le sentiment à l'autre qu'on fait cela par dépit, non pas par sauvetage, ce qui peut précipiter la chute ; c'est prendre une décision pour sa relation, dans le sens de sa relation, là où rompre revient bien souvent à prendre une décision pour soi, puis pour l'autre. Ce n'est pas mal, ou grave, ou idiot, simplement le break nous propose de faire passer notre couple avant, au moins une fois, au moins un mois, juste pour voir.

Exemple qui avait du mal les crises, en parcourant précipitant des mauvaises passes est provoquer des mariages de certaines connaissances de Nolwenn qui était inévitable mais ces simples expériences de ces connaissances, cela leur appris quelques choses de l'enrichissement d'éviter de créer les mêmes dévastations ; pourquoi le mariage ne dure pas ? Emplois exigeants, travail par poste ou longues journées peuvent épuiser les réserves émotionnelles des couples les plus unis. L'amour et le respect peuvent être minés par des difficultés financières, des problèmes touchant à l'éducation des enfants, un déménagement, un changement de travail ou des ennuis de santé.

C'est quoi une vraie relation de couple ? Définition parfaite d'idéale du couple : "Personnes unies par le mariage, liées par un pacs ou vivant en concubinage : Un couple uni. ... Deux personnes animées d'un même sentiment, d'une même volonté, ou que des intérêts, des affinités, des caractères rapprochent : un couple d'amis.

Qu'est-ce qu'un couple en crise ? En dehors de ces événements extérieurs, la différence entre une simple crise ou une rupture réside dans le niveau de dialogue du couple. "La crise s'accompagne de cris, de querelles, mais au moins, on parle. La rupture s'annonce plutôt par des signes en creux : la raréfaction de la relation, l'indifférence, le silence.

Quels sont les bases d'une relation amoureuse ? Une relation est saine quand on peut dire ce qu'on aime, ce qu'on n'aime pas, ce dont on a envie, ce dont on n'a pas envie. Il faut pouvoir poser ses limites, et il faut que notre partenaire les respecte. Les membres d'un couple peuvent définir ensemble ce qui est sain pour eux.

Il n'y a plus de communication, vous vous disputez constamment, l'autre ne vous manque plus, les projets sont évanouis et laissés dans des tiroirs poussiéreux et vides, remis dans un placard à balai, il n'y a plus d'attirance, la monotonie et le train-train de la marche de voyage habituel quotidien se sont installés, il n'y a plus de bisou pour se dire bonjour ou bonsoir ou pire, il déserte régulièrement le lit conjugal, vous vous ne recevez plus de messages, de lettres d'amours glissées discrètement dans son sac à main, votre conjoint est constamment en déplacement, l'autre ne réagit plus à vos sous-entendus, vous n'avez plus de relation sexuelle ou elles sont devenues épisodiques, l'autre ne s'intéresse plus à votre vie sur tous les plans, vous recherchez vos ex, vous préférez parler avec des amis de sexe opposé, il est devenu égoïste, il refuse de s'engager, il ne veut plus faire d'effort, il parle de se protéger, il dit qu'il est trop pris professionnellement et vous avez le sentiment de passer après, il vous provoque sans relâche pour vous atteindre, il ne vous fait que des reproches, vous doutez de sa fidélité… Autant de signes qui ne trompent pas et qui révèlent l'état de couple en danger.

Pour sauver son couple, il faut être deux. Si l'un des deux refuse de réparer sa relation, ça se complique. Néanmoins, toutes les relations peuvent être sauvées mais les solutions seront différentes en fonction de chaque situation. Faites rejaillir la flamme d'antan tant qu'il est encore temps. La séparation est un échec qui affecte à vie chaque personne psychologiquement. En tout premier lieu, de la communication ensemble est le premier conseil à adopter pour crever l'abcès...


Comment bien s'entendre avec la belle-famille ? Nolwenn traitait ses beaux-frères et belles-sœurs comme elle traiterait ses propres frères et sœurs. Elle était aimable, cordiale et naturelle avec eux. Elle était honnête et communiquait de façon ouverte. Lorsqu'elle était en leur présence, elle se détendait. Dès le début, il est important de fixer des limites à sa belle-famille, selon un bon nombre de médecins, de psychiatres et de psychologues dans les revues médicales et familiales. Il ne faut pas avoir peur de mettre un cadre autour de ces relations qui peuvent rapidement devenir toxiques : elle osait affirmer ses besoins, ne se sacrifiant pas.

Comment dire à sa belle-sœur qu'on l'aime ? Merci d'être restée la même personne, et de l'avoir acceptée et qu'elle l'accueille et l'accepte en retour de manière et de façon réciproque telle qu'elle est, malgré ses si grandes différences. Merci de ses confidences, de ses secrets et des siennes qu'elle sait si bien garder.

L'amitié que Nolwenn porte à sa belle-sœur adorée, Siobhan ; nous avons, nous être humain la chance de rencontrer un grand nombre de personnes dans notre vie, certaines qui ne font que passer, d'autres qui vont durer et parfois des personnes d'exception qui marqueront notre vie. Et ce monde qu'elle a connu, les gens tout ce qui était dit et fait a été en accord c'est réalisé se concrétisant derrière les portes d'une maison de sa famille par alliance.

Parmi celles-ci, si Quentin ou sa douce moitié avaient des frères et des sœurs, ils viennent alors avec ce lot, la belle-sœur. Quelle soit de sang ou par alliance, on doit se l'avouer, une belle-sœur, à priori, c'est à la base une amitié un peu forcée qui en réalité n'était pas comme cela que l'on pourrait le définir.

Il y en a de toutes les sortes en passant par la belle-sœur qui sait tout, qui a une opinion sur tout et qui juge sur tout aux germaines qui ne te permettent que d'occuper le rôle de figurante lors des soupers de famille ; Nolwenn était très gâtée et connaissait et avait conscience de toute relation et elle n'y manquer pas grâce à Siobhan, Ellen, Michaëla, et Elsa. Il y a celle qui adopte une attitude qui t'irrite et te fait bouillir par en dedans. Il y a aussi la belle-sœur un peu fofolle qui lève le coude dès qu'elle en a l'occasion et qui la laisse gérer ses rejetons. Ou encore celle qui, même après quinze ans des années à se côtoyer, sera très peu proche d'elle et ne se sera jamais confiée. Il y a aussi celle avec qui elle développe des intérêts communs et partage même des activités.

Et il y a celle-là, celle vers qui elle est attirée et avec qui elle a envie de s'investir davantage.

Au début, peu importe qui elle est, Nolwenn chaque être humain, chaque personne doit l'apprivoiser se laisser aller à la rencontre de l'amitié et l'amour de la famille. Surtout qu'elle a cru voir dans ses yeux qu'elle se demandait bien quelle sorte de femme avec une personnalité complètement, totalement différente, son frère voulait lui présenter.

Parce que Nolwenn voit arriver avec Ellen dans ses grands sabots, sa grande gueule, ses opinions très tranchées, son franc-parler et le filtre que Nolwenn n'a pas, elle voit bien qu'elle est estomaquée et déstabilisée par sa personnalité. Elle qui vient d'une famille où l'on sourit même si l'on rage, où l'on évite de dire ce qu'on pense pour ne pas blesser les gens, et où l'on se tait pour éviter tous les malaises possibles.

Nolwenn quant à elle, est tout le contraire d'elle.

Ou à l'inverse, elle est la timide qui doit ajuster son tempérament à une belle-sœur dont elle envie la fougue, les folies et le je-m'en-foutisme, mais qu'elle trouve parfois bruyante et essoufflant. Elle devra faire beaucoup d'efforts pour réussir à la gagner.

Les années passent et l'amitié se trouve plus forte d'un bagage commun. Puis un jour, cela la frappe en plein visage, à la suite d'un événement plus difficile pour elle, Nolwenn et ses belles-sœurs réalisent toute l'importance qu'elles ont pour Nolwenn et le reste du clan Caledif.

Et elle retire alors le « belle » de « sœur », parce qu'elle n'a plus besoin de préfixe pour définir ce qu'elle est. Elle devient ses sœurs tout simplement. Et elle a envie de lui dire merci.

Merci d'être l'amie sur qui on peut compter, celle qui nous écoute et sur qui tu peux t'épancher, pleurer, rire des travers de la belle-famille, et surtout t'en faire une alliée. Celle qui s'ajuste à son humeur, qui acquiesce lorsqu'elle est en désaccord avec une situation, mais qui dit le contraire, de concert avec elle, quand la colère est retombée.

Les années passent et l'amitié se trouve plus forte d'un bagage commun ; les mariages, la naissance de vos enfants, les anniversaires et les occasions familiales vous rapprochent. Tu es peut-être même marraine d'un des siens, et elle d'un des tiens pour ce qui concerne Aliéna.

Citation : et puis un jour, un type la demandera en mariage. Il sera plutôt gentil et cela rendra ses parents heureux. La première année, ils feront l'amour tout le temps. La deuxième et la troisième de moins en moins. Et, quand ils commenceront à en avoir marre l'un de l'autre, elle tombera enceinte. S'occuper des enfants, conserver son emploi, payer le crédit de la maison, cela leur permettra de maintenir l'équilibre pendant quelque temps... Et pour finir, au bout d'une dizaine d'années, il aura une aventure parce qu'elle aura été trop occupée et trop fatiguée. Un jour, elle l'apprendrait. Elle menacera de le tuer, de tuer sa maitresse, de la tuer. On tournera la page, et puis quelques années plus tard, il recommencera. Mais cette fois, elle fera semblant de ne rien savoir parce qu'en fin de compte cela ne vaudra pas la peine de faire des histoires. Et elle vivra le restant de ses jours en espérant parfois que ses enfants pourront avoir la vie qu'elle n'a pas eue. Tout en étant rassurée de savoir qu'eux aussi reproduiront le même schéma...

Dans son mariage, celui de Nolwenn, il y eu, comme dans beaucoup de couples normaux dans la classification, classique dans des personnes qui étaient tout le monde, ou chaque couple connaitrait les mêmes pas, les mêmes gestes, avec des étoiles dans les yeux rêvant à un monde parfait regorgeant de découverte, de beauté dans un pays imaginaire de licornes, de tendresse. Mais il n'y eut pas que cela, il y aura beaucoup de bas en conséquence des tragédies, des drames et de la peine du monde réel et tout ce qui se déployait dans la terreur des forêts mystérieuses d'ombres de démons et légendes…. Et ainsi dans le processus, le tourbillon qui ainsi en combattant et contrôlant et vaincu enchainant les crises et les épreuves à surmonter.

Il y aurait eu des crises fortes et d'autres beaucoup utilisées au pluriel, les "crises de la famille", l'expression renvoie davantage aux conflits jalonnant la vie des familles – ruptures, séparations, violence, divorces, revendications d'enfants… ... La raison principale en réside certainement dans la différence d'appréhension du conflit familial entre nos deux sociétés.

Nolwenn est et a toujours été très indépendante dans son esprit elle se dirait qu'elle n'avait et n'aurait pas besoin d'une constance dans sa vie en offrant, en donnant toute sa vie, ses humeurs, en ne devant pas toute sa vie, car le contraire les affaits en serait dangereux et dramatiques. Quand elle s'en va, en prennent un nouveau chemin, Quentin se retrouve abandonné sans rien ni personne à jamais, il n'est suis plus rien ; il ressentit comme un grand frisson.

Quentin pensait à eux, à leur avenir, leur vie ensemble ; avec cette routine, ce chemin bien extraordinairement bien détaillé, il se disait que tout va bien, que tout fut orchestré et montrait, choisit en accompagnement de la vie.

Quand plus rien ne se passe, il ne s'angoisse rien qu'en pensant à ce qu'elle pourrait penser peut-être qu'il se fait des illusions.

Il ne sait plus quoi faire, lorsque la vie les sépare, il suit comme un vieux bateau quelque chose d'Antiquité de personne et non à regarder qui guette la lumière du phare...

Il était comme une boussole qui lui indique quoi faire même détraquée, brulée et cassée de mal, qui a perdu le nord, et le sud, l'est et l'ouest, quand Nolwenn s'en va, part, s'éloigne de sa vue ; il savait lire dans le ciel comme lire des étoiles, Mais il a perdu le nord ; et bientôt l'espoir de se revoir faiblissait mais ressuscitait, grandissait quand il faisait confiance en leur amour leur lien.

Autrefois, leur amour était une évidence, le doute n'avait jamais montré tant de ferveur, il suit là, si Nolwenn veut de son âme, de son corps, de tout ce qu'il avait à offrir, à donner. Quentin est là, pour lui 'offrir le meilleur, pas que de simples fleurs, rien, aucune promesse dans le vide, dans les aires, c'était réel.

C'était Nolwenn sa vraie boussole, à présent, parce que qu'il a perdu le nord, il ne sait plus où il est comme perdu dans le monde nouveau qui s'offrait à eux. Quand elle s'en va, tout devient gris et sombre comme le noir de la suie des cheminées ressemblant à de telles poussières sales, plus rien ne le console.

Est-ce qu'un jour les beaux jours reviendront ? Elle attendra, elle verra, son vrai chemin, c'est avec lui car sans elle, il était perdu dans quelque chose de similaire au nord.

La vie avec lui, la vie avec elle, leur vie ensemble « Ta vie avec moi, ma vie avec toi »


Le temps continuait de s'écouler inlassablement comme chaque année, les mois se déroulèrent comme si c'était naturel. Le temps ne passe pas plus doucement parce que l'on se trouve dans l'espace. Il ralentit parce que l'on s'y déplace vite. Rien de mieux que l'espace pour voyager à de très grandes vitesses ! Avec le temps qui passe, nous voyons comme nos rêves s'éteignent. Comme notre avenir s'affaisse. Tout se réduit. C'est la Loi divine, c'est le lot ultime, pour chacun d'entre nous, le temps est une échéance qui nous rend dingue. Le temps n'est pas qu'une réalité psychique. Il existe aussi un temps du corps, une horloge biologique... Il semble ainsi exister un temps du corps, connecté au temps cosmique, inné et indépendant de la perception du ciel.

Est-ce que le temps s'écoule ? En effet, même sur Terre, le temps ne s'écoule pas uniformément. Ainsi, comme pour le paradoxe des jumeaux, le temps s'écoule plus lentement pour un objet en mouvement que pour un objet immobile... A la différence de la bizarrerie des jumeaux, le décalage temporel observé est minime et se calcule en nanosecondes.

Il était presque la moitié de l'année qui définissait toujours le temps, l'année qui vient de s'écouler, de passer, l'année dernière, l'année présente, l'année qui vient de s'écouler/s'achever ; comment avaient-ils réussi à vivre autrefois l'un sans l'autre alors qu'ils avaient été séparés parfois, par moments du temps où ils ne vivaient pas ensemble ; presque qu'un an déjà comme elle avait fait pour vivre sans lui...

Les prochains projets, voilà ce qui lui a fait réaliser la présence de cette fameuse liaison dont elle parlait plus haut. Penser à deux, réfléchir à deux, cuisiner pour deux, faire les courses selon ses goûts mais aussi les siens. Suivre les dépenses pour deux, estimer les dépenses pour deux… Elle ne pense pas qu'à elle, il faut penser à lui et à elle.

Pendant cette première année de mariage, elle comprit que la communication était un point clef pour la bonne entente. Forcément quand elle vivait et pensait pour elle, elle se parlait à elle-même, ses projets restaient dans son esprit… aujourd'hui plus du tout ; pendant cette première année de mariage, Nolwenn comprit que la communication était un point clef pour la bonne entente.

Son mari lui a énormément fait évoluer sur ce point car avant elle gardait tout pour elle. Pourtant il sentait souvent quand cela n'allait pas, mais elle gardait quand même tout pour elle. Se libérer d'un poids, se confier et avoir confiance en son binôme est un sentiment incroyable et cela aussi ça lui a vraiment fait du bien, elle se sent plus légère, soutenue et écoutée.

Dans leur découverte de la vie commune, ils ont vite compris que garder leurs vies passées identiques étaient très important pour eux. Il n'était pas question qu'ils changeaient leurs comportements, leurs habitudes, leurs sorties, leurs passions, leur manière de vivre, etc… il était question d'adaptation et jamais effectuer de changement.

Ils avaient veillé à respecter leurs habitudes de toujours, de garder tout simplement tout ce qui les rendait heureux avant le mariage. Ils avaient veillé à leur équilibre et Nolwenn croit que le deuxième point le plus important après la communication est donc l'adaptation.

Dans cette conclusion, cette première année est passée très vite, beaucoup de nouveautés, de changements et de découvertes. Il y a des hauts et des bas, ce n'est pas toujours évident mais Quentin et Nolwenn étaient complices et aimaient rire. Alors quand elle est fâchée, il fait le clown et elle sourit.

Attendre le temps parfait pour son couple : quelques années à deux pour profiter et consolider leur relation... Le couple met un point d'honneur à bâtir sa relation tranquillement afin de profiter pleinement l'un de l'autre, en amoureux, avant d'accueillir un bébé. Se marier avant d'avoir des enfants : un choix personnel ; ils souhaitent d'abord s'engager l'un envers l'autre devant le maire (et éventuellement les autorités religieuses) avant d'avoir des enfants. Ils voient le mariage comme une façon de resserrer les liens du couple. Nolwenn avait besoin que ce soit elle qui se préoccupe à cela ; et d'ailleurs elle en profiterait pour se rendre chez son médecin. Hier ils avaient fait l'amour sans se protéger, mais alors qu'ils s'inquiétaient tout à coup de cela au milieu de leur troisième ou quatrième fois - Nolwenn se sentit rougir devant les images qui revenaient maintenant clairement à son esprit - elle l'avait rassuré en lui confiant qu'elle en était à la fin de son cycle, et qu'il n'y avait aucun risque.

Elle était décidée à prendre elle-même les précautions nécessaires, car il fallait reconnaître que le sexe de Quentin sans préservatif avait été une sensation fantastique. Cela n'était pas le seul souvenir fantastique…

La pilule contraceptive est le moyen de contraception le plus utilisé par les femmes. Comme tout médicament, la pilule est liée à un risque d'effets secondaires : prise de poids, augmentation de l'appétit, acné, douleurs, sécheresse vaginale, baisse de libido, risque augmenté de cancer du sein... La jeune femme avait du mal à s'y habituer et souffrait beaucoup durant sa période de règles de menstruation. Ainsi que des effets multiples négatifs.

En discutant avec Quentin très longuement pour tenter de le convaincre de la bonne méthode de se protéger dans le naturel et vivre sans hormone chimique : pilule, stérilet, implant… Alors qu'une dizaine de contraceptifs féminins sont disponibles sur le marché, les hommes qui veulent contrôler leur fertilité ont un choix bien plus limité, la plupart se contentent du préservatif. Encore méconnus, des moyens de contraception dite masculine existent pourtant. Nolwenn se décida à arrêter totalement, complètement, mais peut-être pas aussi définitif que cela sa dernière plaquette de pilule.

Quel est le moyen de contraception le plus naturel ? La méthode des températures de la chaleur dans le vagin et à l'intérieur de l'utérus (la symptothermie): Il s'agit de la méthode la plus naturelle puisqu'elle ne nécessite aucune intervention, ni médicamenteuse, ni au niveau local. La symptothermie se base sur une observation très fine de leur corps par les femmes tout au long du cycle : température, aspect de la glaire cervicale, du col de l'utérus.

Cette méthode de contraception, mise au point dans les années 1970 par un couple de médecins australiens, visait à être en accord avec les préceptes, des croyances de personnes religieuses très croyantes, qui prohibent tout contraceptif chimique. Le principe : l'observance, tout au long du cycle féminin, des modifications de la glaire sécrétée par le col utérin, laquelle augmente et change de consistance (elle devient filante comme du blanc d'œuf) autour de la période de l'ovulation. La date de la période fertile se situerait donc dès que la glaire deviendrait humide et la fin de la période fertile quatre jours après le dernier jour où la glaire fut filante.

Inconvénients : très contraignante. D'abord parce qu'elle limite considérablement les rapports sexuels. Ensuite parce que la température doit être prise tous les matins avant le lever, avec le même thermomètre et selon la même méthode (rectale ou axillaire). Et ce, durant plusieurs cycles de suite, afin de repérer la régularité.

Tout ceci était un moyen très simple de stratégie en évoquant, en parlant peu à peu de créer et fonder une famille ; ils ne seraient plus que deux mais trois ; avec le bébé cela fera trois.


Depuis la nuit des temps, voilà cela un milliard d'années, dans l'ancien temps depuis toujours et à jamais dans notre corps des bâtons relais pour l'éternité, un million d'enfants et plus précisément de l'expressément clairement dans l'univers de chez des petites filles au fils des siècles, rêvant dans des rêves à jouer à la poupée mais secrètement en grandissant en se transformant en jeune fille et peu à peu à des jeunes femmes, tout comme Nolwenn elles voulurent devenir des mères, ce qui n'acquit d'un désir de ressembler à leur mère et reproduire un même chemin, en jouant à la poupée des leur plus jeune âge… Cela jusqu'au temps moderne, les parents continuaient à poursuivre cette chaine de la vie et Nolwenn ainsi que Jenny allait continuer…

Peu à peu comme dans un rêve qui l'accompagnait, la guidait avec son mari, ils décidèrent d'avoir un enfant ; Quentin lui avait avoué un jour qu'il souhaitait magnifiquement et merveilleusement pouvoir avoir un enfant avec Nolwenn. Le jeune couple se posait des nombreuses questions et la majorité était dans l'esprit de cette jeune future mère.

Comment savoir si Nolwenn était vraiment prête à avoir un bébé ? Avoir l'envie d'être maman.

Si en elle il y a un désir que la jeune femme ne pût pas contrôler, contrôlant son désir, son rêve, un désir imparable de former une famille, une pensée qui se répète tout le temps, c'est probablement le bon moment pour être mère. N'ayant pas peur d'échouer ou de ce que les autres peuvent vous dire.

Pourquoi cette envie d'avoir un bébé ? Le désir d'enfant est davantage une envie de donner de l'amour, de donner naissance à un être dont on va prendre soin et aider à grandir. Ce peut être aussi un désir de transmission d'une partie de nous et une envie de fonder sa propre famille.

Quand décider de tomber enceinte ? La possibilité de tomber enceinte ne dure qu'une fois durant un cycle menstruel. Ainsi, pour connaître le bon moment pour concevoir un enfant, Nolwenn connaissait avec une grande précision devait connaître sa période d'ovulation. C'est uniquement durant cette période que leur couple devait connaitre et saisir, tenter la chance de tomber enceinte.

La nature a des lois mal dirigeant dans des injustices et qui mériteraient d'être changées quand la nature devenait par instant cruelle, lorsqu'il s'agit de conception. Certaines tombent enceintes sans le vouloir alors que d'autres, moins chanceuses, mettent des années à le devenir malgré tous leurs efforts.

On ne peut jamais vraiment parler de l'avenir, si vous y pensez sérieusement. On ne peut parler que de ce que l'on imagine, ou de ce que l'on souhaite. Ce n'est pas la même chose.

Quand l'envie d'un bébé devient une obsession ? Quand l'enfant se fait trop attendre, les femmes se sentent coupables, invalides. L'obsession devient une spirale infernale : plus elles ont envie d'un bébé qui ne vient pas, plus elles se sentent mal. Elles ont un besoin urgent de se prouver qu'elles peuvent être enceintes.

Pourquoi cette envie d'avoir un bébé ? le désir d'enfant est un sentiment ambivalent lié à l'histoire de chacun, au passé familial, à l'enfant qu'on a été, au lien à la mère, au contexte professionnel. On peut avoir l'impression de désirer un enfant, mais on ne le fait pas car un autre sentiment prend le pas : veux et souhaite quelque chose, ne veux et ne pas le vouloir.

Faire le deuil de sa grossesse, ce qu'elle imaginait par principe comme idéaliser en un véritable histoire de la vie, avant nous avions des principes à présent maintenant elle a un bébé -un enfant- Passé les quelques nausées de début de grossesse, cela devait être un moment magique et serein, où elle apprécie ce ventre qui s'arrondit, où elle sent la vie grandir en elle, où elle a des beaux cheveux, une belle peau et où tout le monde lui dit qu'elle est rayonnante ! : la grossesse, ce n'est pas aussi bonne que cela peut en avoir l'air et elle peut détester cela ! les choses, les objets qu'on lui a offerts, des vêtements tricotés à mains propres, les supers couches lavables ne lui allant pas, il fallait tout se réorganiser ; sa grossesse idéale : ce que Nolwenn avait imaginé ; elle avait imaginé être suivie de bout en bout par une sage-femme, comme chaque femme le désire. N'étant pas dans la même ville que précédemment, elle avait pris le temps en début de grossesse de « choisir » une sage-femme qui lui convenait, qui la suivrait, qui la préparerait.

Elle avait imaginé passer un été cool, où elle serait certes au troisième trimestre mais encore assez en forme pour envisager des vacances à la fois sereine et un peu active. Elle avait imaginé pouvoir se déplacer à vélo jusqu'au bout, ou presque.

Lorsque Nolwenn tombe enceinte pour la première fois, elle est certaine que les neuf prochains mois seront un véritable conte de fées pour elle et son compagnon. Ils ont tellement désiré ce bébé ; et ce fut un tourbillon de bonheur et de simplicité au début car Nolwenn était tombée enceinte si rapidement.

Comment savoir si on est enceinte avec un test ? Si on effectue un test de grossesse, tout résultat positif, même une ligne pâle, signifie qu'on est enceinte. Un résultat négatif peut signifier qu'on n'est pas enceinte ou que l'on a effectué le test trop tôt pour que l'hormone de grossesse ne soit détectée par le test utilisé... Mais il l'était cette petite ligne bleue qui indiqua le tout début de sa grossesse, c'était arrivé si vite, si rapidement, cette ligne stable et grosse à première apparition ne laissait aucune place au doute, sur le mode d'emploi était écrit de préparer la layette.

Elle le regardait se petit bâtonner ce morceau de plastique qui ressembler à un thermomètre mais en réalité l'objet qui allait faire découvrir et la renvoyer changeait sa vie pour toujours, si elle était enceinte ; entre ses doigts du bout d'eux observant à travers ses yeux une chose incroyable magnifique que lui apportait ce beau cadeau, l'amour de la vie montrant et prouvant une fois pour toute que la vie était si belle ; elle sourit doucement, au travers de ses pupilles et ses cils, il y eu des larmes de sels de bonheur et de soulagement, c'était son premier test fait et réalisé depuis qu'elle et Quentin évoquait et avait décidé de faire, de créer un bébé dans leur vie ; et elle était extrêmement heureuse de bonheur.

Opter pour des gourmandises personnalisées comme des biscuits, des chocolats, des bonbons avec inscrits "tu seras le meilleur papa", "tu vas être papa", "bébé est en route"… Vous pouvez également l'inviter à un brunch en amoureux, le moment parfait pour lui annoncer le bon nouvel autour d'un petit déjeuner. En souriant en rentrant dans la pièce du bureau de Quentin, elle cacha le test derrière son dos, souriant secrètement mais ses yeux brillèrent d'une qualification, d'une beauté qui n'ai jamais apparue sur son visage de jeune femme, d'une femme qui allait devenir mère. Et lui tendit le bâtonnet ; si l'arrivée de cet enfant a été planifiée et désirée à deux, cela lui fera certainement plaisir ; les hommes peuvent franchement faire rire quand ils prennent connaissance de la grossesse de leur compagne. Il y a ceux qui le prennent très bien, qui rient aux larmes et qui prennent tout de suite conscience de leur bonheur ; Quentin prit Nolwenn dans ses bras et la fit tourner rien qu'en pleurant de bonheur. Ils s'embrassèrent tendrement et avec adoration.

Ils s'étaient tout les deux convenue pensée en étant raisonnablement en trouvant la bonne chose à faire, d'attendre pour faire des annonces officielles. Attendre trois mois, soit un trimestre pour être totalement sûr mais aussi plus officiellement. En attendant en gardant ce merveilleux secret et nouvelles pour eux seuls, partageant des moments à deux et presque bientôt trois ; entre parents et leur premier bébé.

Les médecins recommandent en effet aux futurs parents d'attendre les 3 mois de grossesse pour annoncer cet heureux événement simplement parce qu'avant cela, les risques de fausses couches sont encore élevés.

Comment réagir à l'annonce d'une grossesse ? d'une manière triste et peut positive douloureuse ; passé le choc de l'annonce et la tristesse qu'elle a suscitée, si cela est trop dur pour vous, expliquez aux personnes concernées que la situation vous est difficile à vivre en raison de votre parcours et qu'il ne faut pas vous en vouloir d'avoir besoin de prendre de la distance.

Pourquoi on félicite une femme enceinte ? Les félicitations sont à la mesure de l'attente : elles ont un aspect joyeux, puisque l'on accueille un nouvel enfant et traduisent aussi un soulagement après une angoisse, puisque l'accouchement reste un phénomène périlleux.

Il y arrivait dans des familles autre que la nôtre dans d'autres entourages avec le cheminement et l'histoire délicate et non la peine comme la nôtre, qui était tous différents, chaque famille l'était, différentes, et ce n'était jamais la même chose, les mêmes solutions, les mêmes effets que l'entourage avec des annonces comme ceci ; dans ces annonces de grossesses peu délicates ; il y a quelques mois, une des amies de Nolwenn et celle de Quentin a fait une fausse-couche. Depuis, autour d'elle, les annonces de grossesse s'enchaînent et ne sont pas toujours faîtes de manière délicates. Elle incite les futurs parents à faire attention à la manière dont ils informent les couples de leur entourage de l'heureux évènement. Voici son témoignage.

Chaque personne, chaque femme en souffrance était d'avis d'accord que c'est un beau moment à partager avec ceux qu'on aime, mais que dire de ceux qui l'annoncent avec si peu de délicatesse et de tact à un couple qui n'arrive pas à avoir d'enfants et qui en souffre ?

Rien que de penser à ces scènes de pauvreté du manque de tact et de la souffrance des autres femmes qui ne peuvent avoir d'enfants, faisant des souffrances sans la moindre délicatesse que de repenser à ces scènes, les femmes avaient les larmes aux yeux ; au risque de passer pour une égoïste et j'en suis sérieusement désolée mais j'ai réellement besoin de me livrer.

Sachez bien que ces personnes qui ont annoncé leur grossesse étaient très bien au courant de vécu et de mal-être. Souffrance dans la terre. On comprend ces couples qui sont heureux d'être de futurs parents mais n'oublions pas que pour certains c'est douloureux et nous avons besoin de temps pour l'accepter afin de partager ce bonheur.

Son dos presser contre le torse de son mari, Nolwenn était si bien elle était heureuse d'être si détendue si en relâchant chacun de ses muscles, plus autant fatiguer ; ses bras serpentaire sur tout le long du chemin en prenant ses mains leurs mains dans les siennes.

Pour l'instant, du début des quelques semaine de grossesse Nolwenn ne vois pas trop le côté épanouissant de la grossesse.

Mais le secret enfouis en se cachant restant au chaud dans le corps, à l'intérieur du ventre de Nolwenn ne restera pas secret pour tout le monde, les jeunes filles et surtout les sœurs de Quentin étaient extrêmement curieuses. Malgré tout ceci, le jeune couple tenait à protéger ce secret en préservant leur vie privée malgré la joie qu'il ressentait ainsi que la merveilleuse nouvelle, le bonheur et la joie les surplombant dans leur vie. Sa belle-sœur, Siobhan avec laquelle elle s'entend le mieux a vite découvert le pot-aux-roses lors d'une balade en forêt où la jeune femme vomis. Elle lui a avoué avoir scruté mon verre le week-end précédent pendant le repas et malgré les éloges que Nolwenn adressait au rosé pétillant, elle a remarqué qu'elle n'en avait pas bu une goutte ! Elle est ravie et elle lui fit promettre de ne rien dire.

Ah la joie des annonces d'une grossesse ! Cela l'a toujours rendu toute chose ! Elle adore essayer de créer et imaginer une annonce qui va susciter l'émotion, qui va faire tourner l'auditoire autour du pot avec des messages subtils avant que quelqu'un explose de joie… Pour sa Petite Perle, toutes les annonces surtout celle de Siobhan avaient été travaillées des jours auparavant et les pleurs de joie de nos proches étaient au rendez-vous. Elle voulait faire encore plus fort pour cette grossesse qui sera certainement la dernière. En tapant des mains de joie, de pleurs du bonheur d'apprendre la naissance d'un petit-neveu ou une petite nièce….

Dans des moments intimes et remplis de nombreuses complicités, Siobhan eu l'idée de prendre de nombreux clichés photographiques sur les vagues de la plage de l'océan pacifique durant leur week-end, vacances au soleil sur une maison sur la plage.

Dans une tenue légère avec son ventre dévêtue, à chaque fois elle mettait son ventre au centre et à toute l'attention de la photo, elle était si belle de profil, de jeune femme en faisant prenant son corps en image ; Siobhan lui promis de les lui remettre tellement son visage était beau ; tout se forma d'une manière façon visible ; elle était rayonnante.

Mais durant trois mois, Aliéna se montra désagréable. Afin de conserver une maison de famille, il eut beaucoup de complication et de grave problème de financement pour garder la maison de Marjorie et Aliéna en devient obsédée, désagréable et détestable envers sa belle-sœur, une femme fomente une machination contre son frère en lui faisant croire que son épouse veut nuire à ses intérêts. Tout ceci était totalement faux et infondé dans des rumeurs créées de toute pièce inventée par Aliéna et durant trois mois les premiers du trimestre rendirent la vie de Nolwenn un enfer et impossible….


Nolwenn avec en observant son regard au loin du coucher de soleil en se plaçant près d'une fenêtre elle écarta les rideaux avec un sourire secret sur ses lèvres et son visage si luminaire ainsi que ses yeux pétillants d'espoir, la jeune femme plaça la paume de sa main contre son ventre en sentant son bébé bouger en ressentant des chatouillis comme une caresse ressemblant à un rire qui grattait comme un moment de rire. Elle sera la mère de cet enfant qui grandissait en elle, elle ressentait ses émotions et son amour pour le bébé a naitre qu'elle avait déjà conscience et croyait en cela et avait compris consciencieusement d'être maman avant la naissance ; un lien s'était créer comme un don comme si l'enfant communiquait à sa mère. Elle se sentait responsable et en toute honnêteté de manière officielle, un droit de l'étouffer de ses sentiments et son amour de mère.

En ayant reçu sa lettre de croyance et d'annonce officielle dans le milieu familial des Caledif, Jenny avait fondu en larmes à la vue de ses mots couchés sur le papier, à la parole et aux groupes d'êtres humains qui songèrent à la réalité d'un petit enfant en l'aimant comme si c'était le sien.

En effet le couple Caledif, tout le clan familial se souvient encore de ce jour, ou Nolwenn avait annoncé à tout leur entourage qu'elle était enceinte, elle avait cru pendant un bref et long moment de silence qu'elle aurait été envoyée baladée par son beau-frère, Franklin et Aliéna ainsi que de son propre époux. Mais il avait tout simplement juste hoché la tête, et elle avait vu apparaitre le faible fantôme d'un sourire sur leurs lèvres.

Le désir d'enfant remontant à l'enfance ; l'envie de bébé date bien souvent de l'âge tendre. ... Elle s'éloigne de sa maman, dont elle souhaite prendre la place afin d'avoir un bébé de son père. Le désir d'un enfant se calme jusqu'à la puberté. À cette période, l'adolescente est fertile et le souhait d'un bébé peut renaître.

Pourquoi ce désir d'enfant ? La naissance d'un enfant est généralement la concrétisation d'un désir profond et puissant. Elle est aussi, le plus souvent, le fruit d'une histoire d'amour entre un homme et une femme. Mais l'envie d'avoir un bébé peut révéler parfois des motivations très inconscientes, propres à l'histoire de chaque femme.

Comment être heureuse d'être enceinte ? Avoir confiance en soi, c'est avoir confiance en la vie et en ses processus. La confiance, c'est la seule réponse aux tourments des femmes enceintes qui se demandent si elles arriveront à donner naissance à leur bébé. Alors apprenez à respirer la confiance. Répondez à la peur par la confiance.

Comment vivre une grossesse épanouie ? Prendre de soin de soi et prendre du temps pour soi, Manger sainement. ... Bien comme il se devait s'hydrater, s'accorder des moments de repos, rester en mouvement ; rendez-vous dans un magasin de puériculture, le plus proche et préparer ensemble l'arrivée du bébé.

Comment vivre une grossesse saine ? Autre conseil primordial pour vivre une grossesse sereinement : se faire confiance et s'écouter. Sommeil, alimentation, activité physique, méthode d'accouchement, d'éducation : dans votre entourage, tout le monde a un avis sur les choses à faire et à éviter, mais personne n'est d'accord.

Nolwenn devait toujours aimer à chaque jour, ne manquant jamais de chaque jour en seconde en s'intéressant à sa grossesse ; complètement de cette grossesse, sa première grossesse. Nolwenn s'accrochant en voulant envie de lire ce superbe livre sur l'évolution du bébé dans le ventre de sa maman et différentes étapes de la grossesse, et d'autres livres qui expliquaient comme évolue son bébé de la naissance à ses trois ans, et beaucoup d'autres livres. Elle voulait souhaiter toujours être enceinte, ne regrettant au grand jamais pas une simple seconde malgré le négatif qui lui mettait le moral au plus bas dans son cœur...

Nolwenn n'a eu aucun problème à tomber enceinte, la grossesse se passe très bien, alors pourquoi être triste à des moments où elle ne s'attendait jamais, son émotivité la gagnait ; Nolwenn essaie de relativiser en pensant à tous ces couples qui galèrent à avoir un bébé. Mais ce n'était pas évident ni facile pour son mari en lui en voulant de ne pas être aussi triste de rien ressentir comme elle...

L'échographie est une technique d'imagerie employant des ultrasons. Elle est utilisée de manière courante en médecine humaine et vétérinaire, mais peut aussi être employée en recherche et dans l'industrie ; l'échographie est un examen médical indolore qui repose sur l'utilisation d'une sonde émettant des ondes sonores à hautes fréquences (ultrasons) pour visualiser les organes, les vaisseaux ainsi que le fœtus lors d'une grossesse. Cet examen est réalisé par un médecin ou une sage-femme.

La description d'une échographie, une échographie peut être effectuée pour diverses raisons, mais observer un bébé dans l'utérus est la raison la plus fréquente. Si une femme a récemment eu une échographie et qu'elle souhaite savoir comment interpréter les images sur cette dernière, des connaissances fondamentales de l'imagerie par ultrasons vous seront généralement très utiles. Vous souhaiterez certainement savoir comment choisir les caractéristiques spécifiques de votre échographie de grossesse, comme voir la tête, les bras ou le sexe du bébé. Il suffit de garder à l'esprit que les échographies peuvent être difficiles à interpréter, et il est donc préférable de le faire avec l'aide de du médecin.

Nolwenn ressent un regain d'énergie et voilà la première véritable échographie. Son bébé va très bien. Quentin était présent à cette première échographie et ils avaient pu écouter battre son petit cœur. Nolwenn n'a pas pu s'empêcher de verser quelques larmes en serrant très fort la main de son mari. La sage-femme sourit à la jeune femme, lui disant qu'elle pouvait se rhabiller et se changer en retirant le gel de son bas ventre grâce à une serviette en papier ; en attendant et sortant de la pièce de salle d'échographie, la sage-femme lui rassura qu'elle revienne, elle a juste besoin de passer au secrétariat du cabinet pour imprimer les clichés.

Ceci se retrouvera bien rapidement assez vite dans ses mains de ces photos qui en réalité dans l'intérieur de la lumière blanche et noire si minuscule du fœtus ; elle souriait à son regard qui suivit l'ombre qui était invisible aux yeux non aux personnes qui n'étaient pas reliées au paramédical.

Pour cause et effets secondaires qui apparaissent sur notre corps, qui pouvait arriver à toute femme enceinte mais qui n'était pas arrivés sur Nolwenn des seins plus durs, plus volumineux ou plus douloureux au toucher. Des mamelons plus bombés, plus foncés. Les tubercules de Montgomery (petites glandes présentes sur l'aréole) plus nombreux ou plus gros ; des nausées ou des vomissements (apparaissent généralement après quelques semaines de grossesse, une rougeur au cou ; la première réaction de la sage-femme était de la rassurait se posant des questions si c'était à cause d'une chaine en argent, mais c'était juste pour simplement s'assurer que ce n'était pas une véritable allergie mais une réaction de grossesse rien d'autre. Il n'y avait rien à craindre, que tout allait bien...

La femme continuait de rassurer sa jeune patiente, Nolwenn.

Quand commencer à préparer la chambre de bébé ? Une bonne période pour commencer à préparer la chambre du nouveau-né était, aux yeux de Nolwenn, un moment de création importante, sacrée, aidée par Quentin qui voulait et souhaitait faire partie de la réalisation du projet et l'importance, l'impatience de mettre des objets, un berceau et des jouets accompagnés des cadeaux offerts au cours du mois par leur famille ; réaliser le plus tôt possible...

Où mettre la chambre du bébé ? Il est préférable que bébé ait une chambre pour lui tout seul, dans le meilleur des cas. Ce doit être un endroit calme, éloigné des bruits de la maison ou de la route. La pièce doit être bien isolée pour garder une température moyenne de 19/20 degrés.

Où mettre le berceau dans la chambre ? Ne placez pas le berceau juste à côté du radiateur. Installez le berceau soit face au lit, et non pas de façon perpendiculaire. Il sera plus simple pour vous de prendre le nouveau-né dans vos bras la nuit. Il est primordial d'anticiper la croissance du bébé pour déterminer la place de chaque meuble.

Pour la couleur de la peinture, nous vous conseillons des couleurs douces et pastelles, roses et blanches. Ne pas hésiter non plus à décorer les murs avec des stickers ou des dessins que vous pouvez faire vous-même ! Votre enfant passera de longues heures à les regarder ! Il faut aménager tous les coins et recoins de sa chambre. Une chambre de bébé vide n'attira pas autant sa curiosité que si elle regorge de choses à voir ! Mais ne pas surcharger pour autant la pièce de stickers ou d'objets trop lumineux qui empêcheront bébé de s'endormir. Il est essentiel que le nouveau-né ait son propre espace.


Peu importe si tu es un garçon ou une fille puisque tu ne m'apporteras que du bonheur. Peu importe si c'est un garçon ou une fille, peu importe si ses yeux sont clairs ou foncés, si ses cheveux sont frisés comme ceux de maman ou raides comme ceux de papa. Peu importe s'il est têtu et obstiné, comme sa mère, ou s'il est du genre à être distrait par la moindre petite chose... Au final, il n'apportera qu'une seule chose, plus forte que tout : du bonheur.

L'antiphrase est une figure de style par laquelle on dit quelque chose dans le but d'exprimer le contraire de ce que l'on pense réellement, afin de créer un effet d'ironie ou de dénoncer quelque chose.

Mais bien malgré eux alors que tout le contraire de ce qu'a dit Nolwenn durant sa grossesse et malgré ce que les questions interminables que Quentin se posait si ce sera une fille ou un garçon ; leurs gestes, la façon et l'ordre de ce qu'ils pensaient ; c'était tout le contraire et pouvait contrairement à ce qu'ils pensent ; l'antiphrase est une figure de style par laquelle on dit quelque chose dans le but d'exprimer le contraire de ce que l'on pense réellement, afin de créer un effet d'ironie ou de dénoncer quelque chose.

Quentin espérait en réalité un garçon et quant à Nolwenn elle désirait une fille ; tout de suite, elle avait la forte intuition que c'était une fille. Elle commença à chercher des prénoms (elle avait une dizaine de prénoms de fille qui lui plaisaient). Elle ne concevait pas porter un garçon, c'était impossible. Elle en était sûre, elle attendait une fille et Nolwenn faisait confiance à son instinct. Et puis c'était ainsi la première échographie la sage-femme annonça la venue au monde annonçant l'arrivée d'une fille…

Pour Quentin ce fut tout le contraire, quand le sexe de l'enfant n'est pas celui attendu… Il pouvait faiblement dans une honte et une culpabilité qui l'attrapaient, l'assaillant, le bouleversant face à cette force de se sentir coupable ; il voulait un garçon, mais ils ont eu une fille. Il a toujours aimé l'idée d'avoir un fils aîné. L'idée d'un grand frère en début de fratrie lui plaisait, et il était aussi persuadé que c'était le modèle idéal d'une famille. Il pense que malgré lui contre sa volonté et intérieurement dans son subconscient il associait tous les clichés habituels du grand frère : il a un rôle protecteur vis-à-vis des plus jeunes, il est plus facile, il sera l'héritier de la famille, qui perpétuera le nom de l'homme, aura toute la fortune et la gloire.

La culpabilité saine a une vraie utilité : quand on blesse quelqu'un, c'est le sentiment de culpabilité qui nous amène à nous excuser, à réparer et à ne pas recommencer. Si tu penses avoir fait du tort à ton enfant, tu peux (tu dois !) t'excuser, réparer et faire ce qu'il faut pour ne pas recommencer.

En lisant sa lettre plusieurs fois par jour, pleurant de joie, de bonheur et d'extase mais en même temps à la fois de culpabilité, de chagrin de ne pas être encore revenu pour être auprès de sa sœur, qu'elles ne soient pas réunies, personne n'aurait dû les séparer, inséparable comme avant comme autrefois faisant tout ensemble en étant proche l'une de l'autre se protégeant les unes des autres. Leurs mains jointes de chaque extrémité, retrouver leur complicité éternelle mais si cela empiétait le mariage de Nolwenn effaçant mettant un peu à l'écart Quentin ; que l'on ne peut séparer, considérer isolément. Qui est toujours avec l'une ou l'autre, qui sont toujours ensemble.

Nolwenn la première des enfants à donner des petits enfants faisant de Maria une arrière-grand-mère.

Dans la famille de chez les Kalderash, de Maria, elle avait dans les années de bougies soixante-dix ans, au bébé conçu et à naitre en mars 1991, 7 mois, quatre à cinq générations se côtoient. Un cas de situation hors norme, hors du commun.

Son premier arrière-petit-fils soit né dans les années 70. Un véritable bonheur ! Mais à la différence des autres arrière-grands-mères, Maria eu la chance que sa mère, très âgée, connaisse cet enfant-là, et soit encore en vie. Ainsi, à la maternité, le lendemain de sa naissance, le petit Haney a eu la visite de sa grand-mère, de son arrière-grand-mère, de son arrière-arrière-grand-père et de son arrière-arrière-arrière-grand-mère ! quatre à Cinq générations étaient réunies autour de son berceau ! C'était un beau moment.

À la naissance de sa première petite-fille, elle avait déjà du mal à croire qu'elle avait atteint les cinq générations, alors là, elle est ravie d'être six générations sur la photographie. Elle était très jeune à la naissance de son premier enfant, à commencer par les parents de Maria et ceux de la jeune femme, leur fille, leur grand-mère, qui a eu ses fils Riggie et Enyos à a peine vingt ans. Ensuite, tout le monde a suivi et a eu son premier enfant avant vingt-et-un an. Haney et son père biologique, Damien les ont eus jeunes avec sa femme. Pour certains, cela peut paraître tôt, surtout quand la moyenne d'âge auquel on devient mère se situe plutôt vers 29 ans. Mais quand on est installé et qu'on gagne sa vie, pourquoi attendre ?

Elle constate qu'entre la situation de ses amies et la sienne, il y a un décalage d'une génération : elles sont grands-mères de bonne heure alors qu'elle est arrière-grand-mère ! ils sont une famille très unie, et ils se voient très souvent, qu'il y ait une occasion spéciale ou non. Ils habitèrent tous La Californie ou la Roumanie. Ce qui est très pratique, en quelques coups de pédales, je peux être chez ses parents ou sa fille. Tous les dimanches, Maria, la doyenne de la famille, déjeune chez ses parents, et c'est souvent l'occasion de se réunir… Nolwenn avait connu son arrière-grand-mère et alors que sa propre mamie a encore sa grand-mère… Le plus beau cadeau qu'elle apportera à sa famille bien qu'elle soit conscience qu'elle ne serait pas la première et donnera l'une des derniers petits-enfants à Maria.

Maria sera heureuse et bénie de connaitre très prochainement bientôt son arrière-petite-fille.

Maria avait appris la nouvelle d'une future grossesse qui déboucha vers la naissance d'une future enfant pour qu'elle naisse dans une grande famille qui fut le fruit de la certitude d'agrandir les générations à venir, par le biais d'une lettre que Nolwenn lui avait écrite en rajoutant en post Scriptum qu'elle avait déjà, il n'y a pas si longtemps dans une courte donnée de distance que Jenny avait reçu une lettre similaire pour la naissance d'un futur bébé, d'un enfant.

Maria était Maria avec à cœur d'offrir un cadeau de naissance à la hauteur de la place que ce nouveau petit être va prendre dans sa vie. Un petit-fils ou une petite-fille, quel événement ! Il est hors de question de lui offrir un cadeau banal qui partira vite dans le placard ou à l'oubli ; oublions les cadeaux éphémères, tendresse et soutien affectif sans faille, transmission de valeurs familiales, ouverture au monde… Un papi ou une mamie tient une place particulièrement importante dans la vie d'un petit enfant. Il est donc naturel de vouloir faire du cadeau de naissance un symbole de son amour inconditionnel. Comment ? En privilégiant un présent qui tiendra dans la durée.

Un cadeau personnel, réalisé ou pensé avec le cœur, est le plus précieux de tous ; le cadeau de naissance unique, le cadeau fait maison, Soyons assuré qu'une jolie brassière ou d'adorables chaussons tricotés à la main remporteront tous les suffrages… et que de superbes clichés de bébé les portant immortaliseront ce cadeau rempli de tendresse et apporta de plus un niveau de fierté émotionnel de bonheur à Maria qu'elle pourra envoyer à Nolwenn.

Le cadeau tendresse, certaines peluches traversent les années sans perdre une ride dans le cœur des enfants. Et lorsque le bambin sait que son doudou favori a été choisi par papi et mamie, celui-ci prend encore plus d'importance ! Ourson tout doux, lapin coquin ou même poupée chiffon… Le choix est infini.

En outre par défaut et grâce à l'aide et la complicité de Jenny, elles partirent souvent en voyage à Los Angeles pour rendre des visites régulièrement au quotidien à chacun deux semaines -quinze jours- c'était souvent très émouvant et émue par le constat, la constatation en pouvant prouver, en s'accrochant à la différence à la véritable vérité, vrai que Maria pouvait pleinement se rendre compte combien Nolwenn lui manquait, combien autant c'était loin et éloigné du temps où autrefois elle vivait ; Maria se réduisit à en porter des larmes de vieillesse et de tristesse, elle fut toujours consolée par ses deux petites-filles.

Mais le jour où tout à basculé approchait.; découvrant avec stupéfaction la terrible et terrifiante vérité de pouvoir constater en prétendant un secret de famille par Enyos, fou de rare que l'on allait à l'encontre du devoir et ainsi briser, bafouer leur loi, leur tradition et ainsi parler alors que c'était une faute grave de se relier et renouant ainsi avec une traitresse commettant des trahisons.

Comment découvrir un secret de famille ? S'interroger sur l'histoire de son prénom permet parfois de découvrir un secret de famille. En effet, il n'est pas rare que les parents donnent le prénom d'un frère ou d'une sœur conçue avant lui, non né ou décédé. Il peut aussi s'agir du prénom d'un ancêtre tué ou ayant eu une mort précoce ou traumatisante.

Le secret de famille est une expression courante et un concept en psychologie qui désigne une chose traumatisante cachée de manière perpétuée au cours des générations dans une tradition familiale.

Enyos avait appris la terrible vérité, annonce constatation que sa nièce avait véritablement franchit le rubicond et qu'il n'y aurait pas de retour en arrière en commettant l'ignominie d'avoir un enfant qui ne serait pas gitan, bohémien… En trouvant une des lettres que Maria avait conservé avec beaucoup de prestions et caché à la non vue sans que personnes ne s'en aperçoit de tous dans sa chambre et il les a lues, toutes et comprises ; il faudrait mettre en place un plan, le plan le plus diabolique du siècle et vengeresse de leur famille.


La vengeance est l'action de nuire à une autre personne ou à un groupe dans le but de punir ou d'obtenir réparation d'un acte considéré comme offensant. On peut aussi bien parler de vengeance pour des personnes physiques, morales, que pour des groupes sociaux ou des institutions.

Douce est la vengeance - surtout pour les femmes.

La ronce est la vengeance du sentier battu.

Dans la vengeance, comme dans l'amour, la femme est plus barbare que l'homme.

La vengeance ne répare pas un tort, mais elle en prévient cent autres.

La vengeance serre le cœur Autant que la mâchoire.

Celui qui pousse à la vengeance, est le frère de l'homicide. Il n'y a pas de vengeance là où celui qui se venge souffre.

Si tu cherches la vengeance, creuse deux tombes… une pour ta victime et une pour toi. Un pardon sans oubli est une vengeance sournoise. Il n'existe pas de vengeance qui ne soit vengeance d'homme.

Enyos avait toujours réussi à marquer une facette d'indifférence et un monde de manipulation, de menteur, sur son visage on pouvait rien ni déchiffrer ou analyser ses profondeurs de l'instant présent ; il était très sévère et strict leur monde leurs origines Roumaines étaient fortement et profondément importantes pour lui ainsi que les traditions ; c'est ainsi qu'il décida de montrer dans un faux de nouveau visage une satisfaction que tout allait pour le mieux à l'annonce de la future naissance de donner en son sein par Nolwenn..

Il était calculateur, manipulateur et très, très instable mentalement, avec un lourd secret qui le hantait et ne devait être révélé au monde en toute sincérité et constatation, peut-être qu'un jours tout le monde découvrirait qui il est vraiment.

Conservateur féroce dans l'âme, Enyos était un défenseur obsessionnel des traditions du clan Kalderash. Il avait été élevé pour croire lui-même et le reste de son peuple, ceux qui avaient survécu au massacre provoqué par Angelus, Darla, Spike et Drusilla, non pas comme une force de bien mais comme des serviteurs de la vengeance, dont la mission était d'honorer les morts et d'exiger des souffrances sur leur ennemi, Angel, quelles que soient les vies détruites. C'est cette croyance qui finirait par se retourner contre lui et causer sa mort, rejetant avec désinvolture la possibilité de réapparaître Angelus instantanément et donnant au vampire le temps de le tuer.

Nous ne devons pas la laisser s'en tirer en négligeant notre peuple et ses devoirs.

Cette femme ne s'en tirera pas en se rebellant contre notre clan et en ruinant tout ce que nos ancêtres ont fait.

Ecoutez ici, avant de décider ce qui arrive au traître... Nous devons l'amener ici, sinon nous ne la trouverons peut-être jamais pour la punir.

En apprenant un jour lorsqu'elle sera dans l'au-delà, Nolwenn ne pouvait pas parler... Qu'est- ce qu'elle avait fait ? Était-elle vraiment cette horrible personne d'infliger autant de dégâts à sa famille ; en brisant les traditions, en se montrant vivante, côtoyant le monde moderne.

Tout allait pour aller pour le mieux dans le meilleur des mondes quand tout se passait avec perfection et sans ratage. Il déteste le désordre, a besoin que les choses soient très organisées, n'aime pas du tout que l'on change de programme au dernier moment. Et qu'il retrouve une véritable famille parfaite et idéalisée dans la propagande ; avec des jeux d'enfants…

Il voulait en cette grande occasion de faire part aux membres de la famille la naissance probable de cette naissance qui changeait tout et mettait en trouble le chaos dans la tête et l'esprit d'Enyos ; dont les plans, les décisions pour les familles remettant tout en question pour l'ancienne Ileana et Enyos bouleverser tout dans le futur et la vie et la survie du peuple ; il tenta en amadouant sa nièce, ce qui ne fut guère en aucun cas facile et de tout repos…

Il voulut souhaiter revenir, changer le passé mais surtout ce qui resta possible de cette occasion d'un nouveau-né remettrait dans l'ordre en renouant avec ses frères et sœurs ; à tout prix, changer et réparer ce qui a été brisé, cassé...

Il lui offrit des présents, de nombreux cadeaux, il souhaitait, voulait retrouver la complicité d'avant, d'autrefois, d'antan les jeux, l'enfance de Nolwenn et pouvoir revoir et entendre pour toujours qu'ils s'aimaient…

Il voulut qu'elle revienne dans leur tribu.

Enyos proposa que ce soit un médecin de leur peuple qui l'accompagne la suit et la soigne ; car l'homme souhaitait, avait ce désir ultime fou et grand par-dessus tout, que en tant que membre autrefois à part entière, Nolwenn redevienne comme elle était jadis et que son enfant soit soignée par Ralph.

Il voulait ce bébé, mais mort comme Nolwenn, ni Jenny et encore moins Maria que cette enfant en risquant de ne pas vivre longtemps et qu'il tuait pour se venger ; mais dans un autre cas il le voulait pour que l'enfant de Nolwenn le sang qui coulait dans ses veines devienne une Kalderash, une bohémienne, une gitane.

Enyos voulait organiser une fête de jardin -Garden Paty- dans leur village près de San Francisco pour présenter le bébé et célébrer l'évènement qui venait s'abattre sur leur famille, leur clan ; il voulait faire un geste et participer à la naissance et être présent en remplaçant Riggie.

Enyos et Ileana avaient un plan. Ils devaient réussir à convaincre Nolwenn de faire appel à un médecin de leur tribu provenant de Roumanie, quand bien même c'était sous la contrainte ; un jeune homme prénommé Ralph qui était de leur génération, de celle de Nolwenn et de Jenny.

C'est quoi un plan machiavélique ? [Appliqué à un plan, à une action] Qui semble directement inspiré de la doctrine de Machiavel, qui est conçu, réalisé dans un esprit de perfidie, de mauvaise foi et de déloyauté. C'est quoi être machiavélique ? Ils sont arrogants et se considèrent comme étant supérieurs aux autres. Les machiavéliques sont sournois, trompeurs, méfiants et manipulateurs. Ils se caractérisent par leurs croyances cyniques et misanthropes, leur insensibilité, leur quête d'argent, de pouvoir et de positions sociales reconnues.

Comment la figure du monstre interrogé telle la nature de l'homme ? La thématique du monstre permet en définitive de réfléchir le rapport de l'homme au mal. La figure du monstre telle qu'elle est traitée dans la littérature peut être vue comme l'allégorie des rapports que l'homme entretient avec le monde, avec lui-même. Le monstre est un être rare, sortant souvent de la faune commune. ... Le monstre, dans l'imaginaire humain, est un animal hors norme, physiquement, mais aussi dans son potentiel.

Qu'est-ce qu'une personne diabolique ? Inspiré par le diable, qui est le fait du diable ; démoniaque, satanique, infernal : Tentation diabolique. ... Doué d'un pouvoir maléfique et mystérieux qu'on pourrait attribuer à une inspiration du diable : Une ruse diabolique.

Tout ceci pour empoisonner, rendre malade Nolwenn, les raisons étaient-elle qu'il fallait la punir, la punir de trahir son peuple sa famille, de les renier de faire ce qu'elle a fait en portant un enfant, en l'éliminant, se débarrasser d'elle de quelque manière que ce soit.

Acte d'un médecin qui provoque la mort d'un malade incurable pour abréger ses souffrances ou son agonie, illégal dans la plupart des pays. Usage des procédés qui permettent de hâter ou de provoquer la mort de malades incurables qui souffrent et souhaitent mourir. Après, pendant ou avant l'accouchement, la naissance du bébé, cela aurait était machiavéliquement dans l'esprit d'un homme, devenant un monstre de tuer, empêchant la naissance de cette petite fille, empêcher la mère de la mettre au monde.

Mais voilà que cela, ceci soit passé en faisant croire dupant, manipulant avec fourberie dans un acte voilé, transformation dans un sortilège ressemblant à un accident et non à un meurtre. Tout le monde tout autour d'eux jusqu'à l'équipe de puéricultrice d'infirmière et aide-soignante jusqu'au professionnel médicaux de voir en résultats à un terrible accident, une erreur médicale des fautes dont personnes ne pouvait que croire à ce que c'était qu'une vie courte de quelque chose dont personne ne pouvait corriger et rien n'y faire ; alors qu'il n'y avait aucune erreur médicale de diagnostique -personne n'a rien vu, personne ou peut-être que le seule témoin ne voudrait, n'oserait jamais parler et il s'agirait de Maria la grand-mère de Nolwenn… Mais personne ne serait ce terrible secret avait bien longtemps, découvert et rendu sa place de correction, changer l'injustice et mettant en lumière la vérité de ce qui c'était passé grâce au comportement de Maria….


Durant sa grossesse, Nolwenn devient lumineuse, épanouie et heureuse ; en une seule expression un seul adjectif lui convenait : elle était radieuse brillante et les hommes la regardant en avaient la gorge nouée et le souffle court ; la grossesse constitue un moment à part dans la vie d'une femme. Certaines d'entre elles ressentent une véritable plénitude, tandis que d'autres vivent mal le fait que leur corps ne leur appartient plus totalement.

Confier le suivi de sa grossesse à un gynécologue et une sage-femme en qui avoir confiance. Les compétences médicales et techniques de l'équipe qui suivent la grossesse sont évidemment nécessaires, mais elles ne sont pas suffisantes. Se sentir écouté, respecté et il ne faut pas hésiter à en changer si on estime que ce n'est pas le cas.

Pour parler des doutes et trouver les réponses aux questions posées, une sage-femme est l'interlocutrice parfaite. Les visites de contrôle chez le gynécologue sont courtes et le médecin se concentre avant tout sur l'aspect médical de la grossesse. Quand celle-ci se déroule sans difficulté, une sage-femme est d'ailleurs totalement habilitée à assurer le suivi. S'entourer d'une sage-femme libérale avec qui établir une relation de confiance et qui restera à nos côtés durant l'accouchement peut également permettre de vivre cet évènement plus sereinement et plus intensément.

Être enceinte n'est pas une maladie, mais cela représente néanmoins un bouleversement majeur dans la vie d'une femme et il faut quelque peu s'adapter au moment que l'on vit.

Manger sainement

Bien s'hydrater lors d'une grossesse, Une alimentation saine, variée et équilibrée joue un rôle majeur dans le bon déroulé de la grossesse. On connaît les effets dévastateurs de l'alcool sur le développement du fœtus, il est d'ailleurs à bannir durant toute cette période. Mais il convient aussi de se méfier du sucre. L'apparition du diabète gestationnel nécessite en effet une surveillance plus étroite de la grossesse et impose des contraintes quotidiennes qui peuvent être lourdes. Contrôle de la glycémie, régime alimentaire strict, visites plus fréquentes chez le médecin traitant. Le diabète peut par ailleurs avoir des conséquences négatives sur le poids de l'enfant.

Bien s'hydrater, Pour un bon développement de son bébé, buvez au moins tout une bouteille d'eau en moyenne 1,5 litres dans toute une journées d'eau par jour. Une bonne hydratation permet par ailleurs de faire fonctionner les reins correctement (les femmes enceintes sont davantage exposées au risque d'infection urinaire) et d'éviter les désagréments de la constipation. La peau a aussi tendance à s'assécher et si des crèmes hydratantes peuvent aider, l'hydratation profonde apportée par l'eau que Nolwenn buvez est la plus efficace pour prévenir ce phénomène.

S'accorder des moments de repos, Nolwenn n'était plus que jamais à l'écoute de son corps qui devenait sensible en maturité en chaleur et douceur devenant plus profond dans sa quête de bonne santé et son corps en développement constant dans sa vie son humeur était métamorphoser sa peau tendre son esprit changeant ainsi que la manière dont elle prévoyez la vie et comment elle écouter la thérapie de l'esprit comme sa vie se métamorphoser son coté doux et tendre de sa personnalité ce faisait plus intense que jamais. la jeune femme n'hésiter pas à s'allonger quelques minutes si elle en ressentez le besoin, surélevez ses jambes si elles deviennent lourdes. Ne soyez pas trop exigeante avec elle-même et acceptez de lever le pied de temps en temps.

Rester en mouvement, Si sa grossesse se passe bien, rien ne l'empêche de continuer à bouger et de pratiquer une activité sportive. La course à pied et les sports de contact sont bien entendu déconseillés, mais la marche, la natation et le yoga conviennent parfaitement à une femme enceinte.

Pour n'importe quel couple, l'arrivée d'un enfant pose des questions nouvelles. Les futurs parents se projettent sur les principes d'éducation qu'ils veulent mettre en place, ils réfléchissent au sport que leur enfant pratiquera ou à l'instrument de musique vers lequel ils le dirigeront quand il aura 6 ans, mais ils anticipent relativement peu le moment de la naissance. Mettre au point un projet de naissance au sein du couple permet de s'assurer que les deux parents sont sur la même longueur d'onde le jour de l'accouchement.

Si l'un des parents rêve d'un accouchement à la maison, tandis que l'autre est plus rassuré à l'hôpital, -et c'était la naissance à l'hôpital qu'il s'était accordés à moins que si tout allait parfaitement bien ce serait à la maison- il convient de régler ce point en amont afin d'éviter des tensions et des frustrations. Ce projet de naissance peut être très détaillé, mais il faut garder en tête que tout peut basculer très vite et que l'ensemble du projet ne pourra peut-être pas être réalisé.

Pourquoi ne pas aimer la grossesse ? Certaines femmes sont préoccupées par le fait d'avoir le corps déformé par la grossesse et se sentent presque envahies par ce petit être qui grandit en elle. Cela génère alors des angoisses, notamment s'il s'agit de leur première grossesse mais pour Nolwenn rien ne changea son apparence sauf son ventre qui grossit et elle avait confié à Jenny et Quentin qu'elle avait adorée sa grossesse.

Comment se passe les premiers jours avec bébé ? Les premiers jours à la maison, bébé dort comme une petite marmotte, des siestes courtes et qu'en moins de quelques minutes plus tard l'enfant se rendormis dans son couffin, en moyenne 16 heures à 20 heures par jour. Si c'est un gros dormeur, il ne dort que par périodes d heures. Pour le bon développement de votre enfant, il est important de bien respecter son rythme.

Un beau jour, Nolwenn se confia à Quentin concernant une peur ancienne qui remontait jusqu'à la jalousie de sa sœur Jenny ; que ses insécurités avaient pris le dessus en étant toujours dans l'ombre de sa sœur qu'elle adorait et dont tout homme voudrait être avec de par sa beauté qui était beaucoup plus évidente que celle de Nolwenn et en effet Nolwenn avait toujours crain que Quentin tombe amoureux de Jenny et qu'il l'a préfère à elle et, non seulement cela, et qu'il fasse plus attention à la jeune femme et la laisse derrière lui en l'oubliant… Mais tout ceci fut incapable de se prévoir et réalisable car tout ceci fut infondé ; Quentin avait toujours vu en Nolwenn, la femme différente et des qualités bien plus profondes que seules qu'elle possédait et non Jenny.

Le jeune homme n'avait jamais pensé tomber un jour amoureux de Jenny alors qu'il la considérait comme une sœur…

La seule chose à présent qui la souciait le plus et la préoccupait en la mettant activement à sa tâche était de réussir à créer une vie qui serait la chaire de sa chaire et de son sang ; mettant au monde cet enfant-là


Le temps était enfin arrivé à ce que le jour du terme de la grossesse arrivait à sa fin, aujourd'hui, en ce début de matinée, Nolwenn arriva en urgence dès que cela lui a été possible dans le service de la maternité, accompagnée de sa grand-mère et sa sœur, qui la soutenait ; Ralph, qui avait trouvé un travail à temps partiel dans l'hôpital central de Los Angeles, prit la jeune femme sous son aile en l'aidant à s'installer dans sa chambre ; au grand désespoir de Jenny et Maria. Comment savoir si son intuition est bonne ? Signes qui prouvent que votre intuition est bonne. Vous ne trouvez pas d'explication rationnelle aux choses. Vous faites des rêves prémonitoires. Votre corps émet des réflexes involontaires. Les émotions n'ont pas de prise sur vous.

On peut aussi définir l'intuition comme une illumination spontanée, un évènement soudain qui nous aide à faire le bon choix. L'intuition est quelque chose que l'on ne peut pas expliquer, elle vient de l'intérieur de nous et se manifeste sans symptôme précurseur. Pourquoi j'ai un pressentiment ? Comme son nom l'indique, le pressentiment est un sentiment ressenti au préalable de ce qui va se passer. ... Il diffère de la prémonition, qui n'est pas un sentiment mais une vision précise d'un événement qui ne s'est pas encore déroulé ; elle s'exprime à travers un rêve, et est issue de notre inconscient.

Le pressentiment agit comme une voix intérieure, qui nous dirait ce qui va se passer, contre toute raison donnée. C'est un sentiment confus qui met en garde contre un échec, ou qui annonce un déroulement inattendu et souvent négatif d'un événement.

Ces personnes sont narcissiques et arrogantes. Elles ont besoin de vous manipuler et d'avoir le contrôle sur vous. C'est leur seul moyen pour elles de se sentir supérieures aux autres. Ce genre de personnes mènent une double vie car elles utilisent les autres de la même façon qu'elles vous utilisent.

Le battement instable du cœur de la femme touchait lentement à sa fin qu'avec le temps elle reprendra ces forces à chaque contraction ; c'était une femme enceinte dont l'accouchement semblait durer des heures et dont c'était difficile. Personne n'était dans la pièce maintenant, sauf le médecin et la femme qui pourrait mourir s'il lui injectait le poison alors que l'enfant était encore dans son ventre, cela aurait était trop facile et simple de tuer deux personnes en même temps, il ferait plaisir à son peuple ; mais pour Ralph l'enfant devait rester en vie. Il a pu comprendre qu'elle était déshydratée à force de transpirer, il lui procura un peu d'eau. Son visage était tellement beau et fin qu'il était impossible de se tromper en imaginant et soutenant ce qu'elle était, à quoi elle devait ressembler, à Nolwenn.

Le médecin était censé appelé la police et les informer de la Jane Doe. Mais il ne pouvait pas. Il ne voulait pas que cet endroit soit rempli de questions posées, ses supérieurs, un vrai médecin alors cette tâche n'incombait pas à un interne. Il soupira en la regardant de près. Cette femme allait tout gâcher pour lui.

« C'est ma première semaine ici et je ne vais pas te laisser gâcher cela pour moi », a-t-il dit à la femme inconsciente, « Vous n'avez aucune idée à quel point il a été difficile d'obtenir un transfert ici. »

Il s'est dirigé vers un comptoir et a ouvert une mallette. Il tendit la main à l'intérieur et sortit un petit bijou rose.

« Dans mon pays, l'utilisation de la magie comme source de médecine était une pratique assez courante. Les Américains sont si pathétiques que tout usage de la magie dans le milieu hospitalier est illégal. J'allais m'en tenir à ces lois stupides, mais je ne peux pas laisser la police fouiner. S'il y a quelque chose... Je dois faire profil bas jusqu'à ce que je te puisse retrouver dans quelque jours Nolwenn, du clan Kalderash.

Avec la gemme rose dans sa main, il la tenait fermement dans son poing et marmonnait quelques mots sous son souffle. La gemme suintait maintenant du liquide rose des mains des médecins.

« Un Quartz rosée ... petits bijoux utiles. » disait-il en marchant vers la femme et en laissant le liquide coulé sur ses blessures : « La seule façon de garder la police hors d'ici avant longtemps brouillant les pistes, c'est que vous viviez tu pourras avoir ma clémence car je veux désirer à m'amuser avec toi avant de te livrer à ton oncle et à l'ancienne.

Dans son sommeil et ses yeux fatigués il était possible qu'elle délirât, à cause de la douleur elle devait halluciner mais Nolwenn compris mieux ; elle était en danger et menacée de mort par un membre de son peuple, menacée dans le dos et à distance par son oncle ; Victime d'une menace, vous avez le droit de porter plainte avec des preuves palpables, si vous ne souhaitez pas que votre affaire soit classée sans suite au tribunal. Dans tous les cas, l'assistance d'un avocat en droit pénal reste votre meilleur atout. En portant plainte directement auprès du procureur du comté. Il faut envoyer une lettre sur papier libre au tribunal judiciaire du lieu de l'infraction ou du domicile de l'auteur de l'infraction.

Elle avait peur pour sa vie. Craignant pour sa vie, mais il n'y aurait pas assez de temps pour expliquer prouver la menace verbale et en geste, personne ne la croirait et elle n'avait pas assez de temps pas assez d'énergie et manquer de ne pouvoir faire une vidéo avant sa mort pour divulguer la réalité et laissant une preuve, son témoignage pour que sa famille et dont sa grand-mère serait témoin….


En oubliant n'ayant pas le courage de dire la vérité à ses proches, elle désirait profiter profondément, pleinement des jours qui lui resterait à vivre si elle n'agissait pas ; elle était abattue, triste, résignée et prête à prendre son envol vers le ciel, ne trouvant aucun espoir et ne souhaitant pas se battre ni lutter, et son plus beau cadeau qu'elle laissera sur cette terre c'est la vie qui l'entoura et son bébé entre les bras de son époux, Quentin, et de sa chère sœur adorée, Jenny pour veiller, protéger et éduquer leur petite Beverly...

Après l'accouchement, on laisse le bébé dans les bras de sa maman le plus souvent possible afin qu'ils puissent apprendre à faire connaissance. Le « peau à peau » leur permettra aussi de créer un lien à part, car il stimule la sécrétion d'ocytocine, hormone de l'attachement. Comment se comporter avec un bébé dès la naissance ? L'encourager à découvrir le monde. Pour aider le bébé à découvrir le monde, lui donner des objets qui répondent aux normes de sécurité et qu'il peut regarder, comme des mobiles et des images. Lui faire écouter de la musique douce ou entendre un hochet et toucher des tissus ou des jouets mous.


Le jour fatidique arriva alors que Ralph et Enyos étaient tous deux côte-à-côte et mettaient à exécution leur preuve et refusant que la jeune femme les trahisse. Le jeune médecin fit une piqure dans la veine jugulaire et dans le cou un poison à forte dose fut injecté, pour empêcher ses cordes vocales de bouger et de s'exprimer, il y eu un gros Caillaux qui bloqua la respiration.

La convulsion désigne l'apparition involontaire et brutale de spasmes musculaires sur l'ensemble du corps. Dans ce dernier cas, on parle de crise convulsive. Elle traduit une souffrance du système nerveux (cerveau ou moelle épinière) et s'accompagne d'une perte de connaissance.

La mort subite, inattendue et inexpliquée en épilepsie (MSIE) est un phénomène mystérieux qui ne laisse pas de traces, selon les médecins. Heureusement, les décès à la suite d'une crise d'épilepsie, cela demeure rare.

En cas de crise convulsive, il faut laisser se dérouler la crise, ne pouvant avec impuissance sauver la jeune femme pendant la durée des convulsions, ne touchez pas la victime et écartez ce qui pourrait la blesser. Par exemple, éloignez une table basse, éloignez les témoins, protéger avec des coussins ou des couvertures. La cause des convulsions épileptiques est souvent inconnue (épilepsie idiopathique). Cependant, elles peuvent être provoquées par différents troubles cérébraux, comme des anomalies structurelles, un Accident Vasculaire Cérébral (AVC) en apprendre davantage ou des tumeurs. Elle peut être d'origine cérébrale ou avoir envahi...

Si la cause est d'origine neurologique, il est souvent question de convulsions accompagnées de contractions musculaires des membres, de mousse au niveau de la bouche, d'incontinence urinaire et de morsure de la langue. Le médecin vous demandera par ailleurs quels médicaments vous avez pris et quand vous les avez pris.

Jenny n'avait jamais été témoin dans une scène où elle verrait quelqu'un mourir, tout fut arrivé si vite, chaque membre de la famille était désespéré. Pourquoi le désespoir ? Le désespoir est une émotion qui se construit d'après l'impression personnelle d'avoir perdu tout espoir de réussite dans n'importe quel domaine. Il se traduit par un manque de confiance en soi ou dans les autres, un découragement et une impuissance.

Les personnes qui vivent une crise de panique ressentent pendant plusieurs minutes un sentiment de terreur accompagné de symptômes physiques intenses. La fréquence et l'intensité des crises de panique peuvent envahir l'existence de la personne qui les subit.

Après les tremblements, des cris passés, le silence lourd et parsemé de pleurs de tremblement…

Dans la locution assourdissante comme tel des cris d'animaux blessés et de conduite qui compris qu'il y aurait des conséquences et que la vie d'un bébé était des plus importantes les rappelant et les firent revenir dans cette triste réalité du présent, Jenny en fut lassée alors que ses épaules s'affaissèrent ; employée pour qualifier la conduite d'une personne ou d'un groupe de personnes, dont l'absence de toute déclaration étonne ou suscite des interrogations. Silence lourd de lourdeur. Le silence est plus lourd à porter ainsi que la révélation


La plus belle preuve d'amour qu'ait bien pu apporter à ses proches fut son amour inconditionnel pour sa petite fille, son mari et ses proches en quelques de ce qui a été le plus beau de tous les jours ce qui a aidé était d'avoir pu profiter de quelques jours de répits en maternant en étant une maman, une mère pour la toute première fois mais aussi la dernière.


Le retour dans le présent

Depuis sa naissance comme si c'était quelque chose qui avait été dit ou fait déclarer, déclaration qui permit pourquoi comme comment écrit entre les lignes des doigts entre eux ou sur la paume de la main cousus au fils blanc dans le haut dans la rivière et le ciel depuis qu'elle était capable de percevoir le monde qui l'entoure en tournant sa tête regardant avec curiosité dans toutes les directions, tout à gauche ou tout droite et à l'est et à l'ouest des choses rythmées et transformant et métamorphosant en changeant la nature, dans son berceau, sa poussette et dans les bras de sa tante et d'où son père observant les carnavals ou des fêtes de foraines, fête foraine, qui furent fixée avec d'autres nomades d'autres caravanes et camping-cars avec en poursuivant en continuité continue de personnes et leurs familles, des gens familiaux, de familles différentes et tout ceci en suivant rencontrant des aventures faisant d'eux les personnes les plus chanceuses du monde…

Qui furent fixés depuis des mois et les années de jeunes enfants qui se rappellent de ce que tout ceci signifiait et comprendre…. Beverly aimait, adorait les fêtes foraines quand elle y allait avec sa tante Jenny. La musique diffusée dans de gros haut-parleurs par les stands la ravisse. Ainsi que les spots de lumières de couleurs différentes qui clignotaient. Elle était émerveillée par tous ces manèges qui tournaient dans le ciel. Elle se sentait en sécurité à l'intérieur avec le doux bruissement du carrousel qui se lance balancement tournant inlassablement. Descendant avec en bois des chevaux de couleurs peintes différentes… Beverly avait d'innombrables souvenirs de détails de quand de ces voyages et promenades durant l'après-midi, les journées, instants passés à s'en créer d'autres.

La plupart des enfants adorent les fêtes foraines : lumières plein les yeux, manèges à sensation, peluches à gagner, gourmandises à grignoter... Tout est là pour leur plaire ! Mais comment faire pour que toute la famille passe un bon moment ?

Les manèges font généralement l'unanimité auprès des enfants. Mais vers quel âge la sortie à la fête foraine est-elle conseillée ?

Les tout-petits peuvent apprécier et participer à ce type de sorties dès l'âge de dix-huit mois : c'est l'âge où ils commencent à vouloir tout faire comme les grands. Et même si, une fois sur place, ils ne se sentent pas encore prêts à monter à bord d'un manège, ils passeront tout de même un bon moment à observer les différentes activités festives des lieux.

Il n'y a évidemment pas de limite d'âge : les enfants continuent à apprécier les fêtes foraines jusqu'à l'adolescence. Et qui a dit que les manèges n'étaient que pour les enfants ?

Quels manèges faire avec son enfant ? les enfants peuvent se rendre à la fête foraine. Oui, mais quels manèges sont-ils autorisés à faire selon leur âge ?

La plupart des attractions ont un âge ou une taille minimum : si votre enfant est en-dessous, il ne pourra pas monter. S'il correspond aux critères, c'est à vous de juger s'il va apprécier le manège selon ses goûts et sa sensibilité.

Pour les tout-petits, opter généralement sans problème pour un carrousel, des petites voitures, des manèges à bascule... La pêche aux canards est également un incontournable !

Les petits aiment aussi tout particulièrement voir leurs parents gagner des cadeaux pour eux, en particulier Beverly qui aimait voir son père ou sa tante jouant avec elle pour lui offrir des peluches ; elle en criait d'encourageant de plaisir et de joie ; jamais encore aujourd'hui elle ne pleurait que pour des larmes de crocodiles ou en caprices. Alors se lancer sans hésiter sur le chamboule-tout ou le tir à la carabine ! En revanche, il faudra se préparer à ramener une peluche géante à la maison...

Les plus grands ont souvent envie de tester les manèges à sensation : ne pas hésiter à regarder plusieurs tours avant de laisser l'enfant monter, histoire qu'il soit sûr d'être prêt à le faire.

De plus en plus de fêtes foraines proposent des attractions qui utilisent de nouvelles technologies. Garder bien en tête que la réalité virtuelle est généralement déconseillée pour les enfants de moins de huit ans.

Comme chaque été, et depuis de nombreuses années, les forains s'installent, pendant deux mois, sur un immense terrain vague de Los Angeles, livrent leurs anecdotes d'enfants et jeunes adolescentes des quartiers voisins ; aller très souvent à la fête foraine avec les copains. Faire un peu de tout : des machines à sous, des manèges à sensations, manger des chichis. Mais ce dont on se souvient surtout, ce sont les autos tamponneuses... C'était un très bon moyen pour draguer les filles ! Ça ne marchait pas à tous les coups, mais c'était amusant et drôle...

Tous les étés, avec Beverly et Jenny passaient beaucoup de temps à la fête foraine, quand elles n'étaient pas à la plage. Les gens des autos tamponneuses étaient parfois débordés... Sans leur demander, elles avaient commencé à ranger les voitures. Pour les remercier, ils leurs donnaient des jetons. Cela s'est fait naturellement. L'ambiance de la fête foraine est bien différente mais cela reste toujours un plaisir d'y retourner.

En maillot de bain, à manger des langoustes grillées, pieds nus sur le sable brûlant, à barboter avec les enfants dans une eau chaude et limpide, pas de vin chaud mais du rhum arrangé pour nous les adultes …

Beverly a testé un petit manège ridicule avec la tête de la petite souris mexicaine qui court super vite, Speedy Gonzales. Et pendant tout le manège, qui s'adressait à des enfants entre six et neuf ans, Beverly a hurlé pendant que d'autres petites filles de son âge se moquait d'elle... Elle a détesté le manège et voilà, elle n'est plus jamais montée dans un manège à sensations. Mais elle n'hésite pas à retourner à la fête foraine pour manger des pommes d'amour !

La pomme d'amour et pomme sucrée au Québec est une confiserie constituée d'une pomme fraîche entourée de sucre caramélisé, souvent coloré en rouge. Elle est piquée d'un bâtonnet de bois qui permet de la tenir en main et est principalement vendue dans les foires et les fêtes foraines.

La barbe à papa offre un goût semblable à celui de la fraise. Elle est souvent rose et tendre. Elle fond dans la bouche Sur le marché, les producteurs ont pris plaisir à créer un nouvel arôme en ajoutant du caramel, de la vanille, de la grenadine, du chocolat, du chewing-gum, du cola et du fruit de la passion à la liste des ingrédients.

Ils vendaient, dans des stands plus petits, charger en nourritures, des sucreries, de la bière, de la nourriture et des sucettes, et beaucoup de choses encore…

Une fête foraine ou foire ou vogue est un rassemblement en plein air de forains indépendants itinérants revenant à date fixe. Elle regroupe des attractions et manèges, ainsi que divers stands, tels que le jeu de tirs ou la vente de friandises. Parc de loisirs offrant la possibilité de se divertir en participant à tout un tas d'activités pouvant prendre la forme d'une représentation, d'un manège ou de jeux divers et variés. Exemple : ils sont partis en famille passer leurs vacances dans un parc d'attractions.

Un parc d'attractions est un type particulier de parc de loisirs proposant des activités diverses destinées à détendre, amuser, divertir le visiteur. Ces activités, appelées attractions, sont de diverses formes. Il peut s'agir de spectacles, de montagnes russes, de manèges (de type forain ou non), de parcours scéniques (également appelés dark rides) en intérieur, ou simplement de jeux (toboggans, balançoires, piscines). Un parc d'attractions est plus élaboré qu'un simple terrain de jeux ou parc urbain.

Certains parcs d'attractions offrent à leurs visiteurs un cadre thématique et parfois scénique, on parle alors de parc à thèmes.

Une fête foraine est un rassemblement de personnes, que l'on appelle des « forains », qui se déplacent de ville en ville. On y trouve des attractions et des manèges, ainsi que différents stands (jeux de tirs, loteries, vente de friandises…) Peu à peu, les forains se sont regroupés et ont fondé un collectif indépendant des marchés, qu'on appellera ensuite « fêtes foraines ». Les premiers manèges vont être améliorés avec le temps. Les stands sont décorés de sorte à attirer les passants : miroirs, couleurs, effets de lumières rivalisent de beauté. Avec le vent, la musique de la fête foraine peut être entendue jusqu'à 3 kilomètres. Ainsi, la foule est informée de la présence de la fête. Ils sont aussi attirés par les odeurs spécifiques des fêtes, comme la barbe à papa, les chichis, les gaufres, les beignets, les frites… La Fête foraine invite à chaque instant au voyage et propose tous les moyens de partir, même sans être riche : par la terre, par l'eau, par l'air et par le rêve. Le temps d'un tour de manège, tout devient possible : on peut s'aventurer sur les routes à cheval, à vélo, en voiture, en moto et en train ; on peut se lancer à l'eau et devenir matelot, capitaine ou même pirate ; on peut s'envoler en montgolfière et en avion ou découvrir la lune et les étoiles à bord d'une fusée. Grâce à cela, les fêtes foraines vont révolutionner l'idée de voyage. Ainsi, on trouvera plus de vélos ou de voitures sur les manèges que sur les routes.

Avec l'arrivée de la télévision, les informations sur la région ou la culture qui étaient données auparavant par les forains disparaîtront. Pour continuer à attirer les foules, les forains font alors appel à des attractions de plus en plus impressionnantes. Cela est encore valable aujourd'hui, la devise des fêtes foraines étant : « Toujours plus vite, toujours plus fou, toujours plus fort ». Cependant, on trouve encore des attractions traditionnelles (tirs à la carabine, loteries, « chamboule tout », confiseries, manèges d'enfants…), ainsi que des cirques qui vont peu à peu disparaître pour être remplacés par des manèges qui vont « toujours plus vite et toujours plus haut ». De nouvelles attractions à sensations fortes comme, les manèges d'avions, les circuits de karting ainsi que les montagnes russes vont naître à leur tour. Dans les années 60, l'attraction principale reste les montagnes russes ; un nouveau manège à sensations va bientôt la rejoindre. Le Skiliff qui est composé de douze sièges qui se soulèvent grâce à un énorme bras mécanique et tournent à une hauteur spectaculaire pour l'époque. Il y a aussi le grand huit, c'est comme les montagnes russes mais en forme de huit. Quentin avait invité Jenny à s'assoir sur la grande roue avec lui pour regarder ciel d'en haut, Elle voyait tout le tour des maisons environnantes qui paraissent toutes petites. Comme c'était beau de les voir sans nuage, avec le ciel bleu qui baignait la ville de lumière du soleil.

Les marchands de confiseries, avec leurs croustillons hollandais, gaufres bruxelloises et autres douceurs en pain d'épice étaient déjà présents sur les foires du Moyen Âge. Les jolies formes des confiseries et leurs odeurs appétissantes qu'elles dégagent contribuent à l'atmosphère de la Fête. Traditionnellement, les produits sont fabriqués sur place : pralines, pain d'épices, guimauve, pommes d'amour, barbe à papa, crêpes… Ainsi que des spécialités régionales comme les nougats de Montélimar, les berlingots de Carpentras, les bêtises de Cambrai viennent enrichir les stands. Les décors et l'installation des confiseries, regroupés en allées sur le champ de foire, sont tous plus luxueux les uns que les autres. Les façades somptueuses et la multitude de miroirs rappellent les pâtisseries viennoises ou les salons de thé de la bourgeoisie ; les présentoirs, les vitrines étincelantes, les bocaux en porcelaine inspirent la confiance dans la propreté et l'hygiène des stands.


Le tout début de la fin des vacances d'été

Jenny est entrée à la maison avec un soupir satisfait. Exténuée, elle laisse tomber ses sacs dans l'entrée et se dirige directement vers le canapé, où elle s'est effondrée les bras croisés derrière la tête.

Le festival Burning Man avait été incroyable. Black Rock City était, comme toujours, une effervescence d'activité ; d'idées nouvelles et d'individus uniques, tout le monde est là pour la même raison - pour célébrer un mode de vie très bohème, ne serait-ce que pour un petit moment.

L'art exposé avait été magnifique. Si elle avait été payée plus que le maigre salaire d'un enseignant, elle aurait fait une offre enthousiaste sur certaines des pièces. La nuit, il y avait eu des rituels de batterie auxquels elle avait participé avec enthousiasme - elle avait même joué de la batterie elle-même une fois ou deux.

Et aux raves ? L'absinthe avait été la boisson de choix, le haut du verre à shot allumé en feu avant qu'elle ne soit autorisée à le claquer. Ces nuits, bien qu'assez floues, étaient plutôt amusantes, et Jenny a pleinement profité de l'atmosphère détendue, loin de l'école.

L'amortisseur de ses vacances bohèmes, cependant ? Le fait qu'elle ne pouvait s'empêcher de penser à Rupert Giles. Elle avait été touchée par son cadeau, mais pendant tout le voyage en voiture au Nevada, elle avait été en proie à l'inquiétude de ce que cela signifiait, le cas échéant. S'agissait-il simplement d'un cadeau d'excuses qu'il ignorerait si elle le soulevait ? Y avait-il une signification cachée... peut-être une promesse voilée que leur moment contre sa voiture se répéterait à un moment donné dans le futur ? Les baisers échangés qui s'étaient pris en grâce par la passion ; ou si dans d'autres situations ils s'étaient trouvés en envoyant des signes, s'étaient regardé en comprenant et compris essayant de se rassurer comme une promesse ou un laisser passer dans le futur qu'ils se rêverais se retrouverais, comme une règle pour dire laisser comprendre comme un avertissement que ce n'était pas un adieu ou une promesse qu'ils seraient tués mais en ressortir indemne.

Elle ferma les yeux, sa main se dirigeant instinctivement vers son abdomen, où le tire-bouchon de cristal pendait encore de son nombril. Elle ne l'a pas enlevé pendant une grande partie de l'été, une partie d'elle ayant besoin de cette connexion avec lui.

Elle se sentait presque coupable en pensant aux deux appels rapprochés qu'elle avait eus pendant ses vacances, avec d'autres hommes. Proche d'un baiser, proche d'une étreinte intime, mais elle s'éloignait à chaque fois, incapable de le sortir de sa tête.

Quand ils lui avaient demandé ce qui n'allait pas, elle leur avait menti et leur avait dit qu'elle était dans une relation engagée. Par la suite, elle s'est demandée pourquoi. Rupert s'était dit (vaguement) clair, que les deux d'entre eux s'impliquer ne seraient rien de moins qu'une erreur embarrassante. Alors, pourquoi a-t-elle ressenti le besoin de détourner l'attention des autres hommes ? Et pourquoi avait-elle eu l'étrange sensation qu'elle le tromperait si elle ne le faisait pas ?

Lentement, sa tête tourna sur son canapé en cuir, les yeux tombant sur son calendrier mural. Le premier jour d'école n'était qu'à une semaine.

Elle n'avait qu'à passer sept jours et sept nuits de plus jusqu'à ce qu'elle atteigne son objectif : lui parler à nouveau.