Partie 1 : L'histoire vrai de l'enfance d'une petite princesse au long cheveux dorés :

Il était une fois une belle jeune fille avec du soleil dans son cœur, les cheveux aussi blonds que le blé comme la pièce unique de dorée en or. La vie et la lumière qu'elle détenait en elle étaient suffisantes pour éradiquer toute trace d'obscurité – et bien qu'elle ne l'ait pas reconnue elle-même, elle avait la capacité de ramener la lumière dans le monde.

Car la petite ville dans laquelle vivait la jeune fille était enveloppée d'une obscurité misérable, si omniprésente et puissante que ceux qui s'y trouvaient avaient oublié à quoi ressemblait le soleil. Les gens s'étaient facilement adaptés au clair de lune, à la misère et aux monstres étranges et terribles qui s'attaquaient à ceux qui s'éloignaient trop du village. Ils ont construit des maisons chaleureuses et heureuses, ils sont restés après la tombée de la nuit et ils n'ont rien pensé aux bizarreries qui tourmentaient leur vie endormie.

Mais la jeune fille était différente. Enfant de l'été, elle se souvenait de ce que c'était quand le soleil brillait dans le ciel, et elle n'était pas satisfaite d'un monde de ténèbres et de tromperie. Elle a donc quitté la ville natale de sa naissance endormie et s'est lancée dans une quête pour retrouver le soleil. ; - conte de fée dans le monde de l'univers démoniaque et ceux du conseil des observateurs et leur immense bibliothèque et leurs archives.

Chef de file d'une nouvelle génération d'héroïnes, chargée de super pouvoirs et d'une mission, Buffy Summers est surtout profondément humaine. Objet d'un destin qui la dépasse, héritière de nombreuses responsabilités, elle n'en est pas moins angoissée comme tout le monde par les soucis de l'adolescence. Personnalité... optimiste, têtue et un leader naturel. Buffy est à bien des égards une adolescente normale, mais avec une force fondamentale qui lui permet de résister aux épreuves d'être une Tueuse. Elle a une forte boussole morale et valorise l'honnêteté et la détermination. L'isolement social qu'elle subit en tant que Tueuse lui permet de grandir et de développer de l'empathie envers les autres. À chaque génération, il y a une Élue. Seule, elle devra affronter les vampires, les démons et les forces de l'ombre. Elle s'appelle la Tueuse…

Buffy Summers n'a jamais été normal. Depuis sa naissance, elle est capable de voir le monde à travers les yeux d'une autre personne, des visons des Tueuses qui l'a précédé. Il se trouve que ce sont les yeux du vampire le plus vicieux du monde, Spike - alias, William le Sanguinaire. Pour Spike, Buffy est une adolescente normale avec quelques moments difficiles qui l'ont amenée du mauvais côté des pistes. Pour Buffy, Spike est un homme, un imbécile curieux personnage pas non-sens craint qui était comme les autres, un paria, un rejeté de la mondanité les habitudes et la vie des démons ordinaires ; amoureux d'une vampire folle mais dépressive et affaiblie. Que se passerait-il lorsque la Tueuse nouvellement activée se déplace à Sunnydale, tombe amoureux du pire ennemi de Spike -Angel un homme mystérieux sombre, Ambiguïté, mystérieux et inaccessible, une femme aime qu'un homme soit séduisant, mystérieux et inaccessible car cela créé une ambiguïté dans la relation, une tension sexuelle palpable- et rencontre finalement l'homme derrière les visions, seulement pour découvrir qu'il est un maître vampire à la recherche d'un remède pour son amour vampire, Drusilla, et la tête du Tueur ? En d'autres termes, sa tête. L'histoire d'une tueuse et d'un vampire désespérés de regarder au-delà de qui ils sont individuellement pour quelque chose à quoi ils sont destinés ensemble ?

Les observateurs se consacrent à la traque et à la lutte contre les entités surnaturelles malveillantes (en particulier les vampires), principalement en localisant les individus ayant les talents nécessaires pour combattre de tels êtres et gagner. Plus précisément, les Watchers sont assignés à des Tueuses élues et révélées par moment des jeunes filles envoyées comme des potentielles et dans ces conditions avec ce rythme et la lutte de traquer les enfants de sexe féminin pour qui avait le pouvoir, l'intelligence destinée grâce au droit divin, au choix des pouvoirs en place et êtres supérieurs de lumière, qui savait les choisir par milliers mais une seule à chaque décennie il s'avait comme que l'on élut par les ancêtres une jeune fille qui sera élue des filles qui font partie d'une succession d'individus mystiquement puissants qui sont destinés à affronter ces ennemis. À la mort d'un Tueur, le Prochain Tueur est appelé en service et se voit attribuer un Gardien/Un observateur... Dans d'autres cas de figures, de circonstances, d'autres petites filles ne furent découvertes et non cachées par des êtres supérieurs de l'ombre et de lumière ; et ce fut le cas les circonstances et l'incroyable notation du mystère de cachait certaines potentielles, Buffy fit partie de celles-là de ces filles ; les pouvoirs supérieurs, les ancêtres révèleront l'incroyable pouvoir de Buffy et ne serait pas fait ni régler en servant d'elle pour changer le monde en tout sauf catastrophe en du meilleur et de la beauté du bonheur...

Le caractère grandissant ce forgeant dans ce monde, Les tendances individualistes et rebelles de Buffy ont culminé en développant un dégoût extrême d'être manipulée et de « perdre le contrôle », en particulier lorsque cela tournait autour de sa vie. Cela a été rendu plus évident dans sa demande initiale lorsqu'elle découvrit par Merrick son destin n'y choisit et en contrôlant son existence lorsqu'elle appris bien qu'une seule potentiel les Dieux les pouvoirs en places et les ancêtres mais en toute particularité le conseil qu'elle serait choisi avant même que la tueuse actuel l'élue fut tuée ; et surtout quand elle repris, Buffy a d'abord tenté de rejeter ses devoirs de Tueuse en faveur d'une vie normale, mais elle a été forcée d'arrêter le mal avec son nouveau observateur, Rupert Giles ; mais si cela avait était inversée si rien de tout ceci avait était écrit dans des textes passages de sa vie divergence, cela aurait était... Buffy Summers est un Potentiel en colère et récemment kidnappé. Lorsque Buffy refuse d'obéir aux ordres du Conseil, Merrick aurait était forcé de faire un choix : prendre du recul et permettre l'exécution de la jeune fille... ou la prendre et s'enfuir.

Le type de personnalité Jenny Calendar est celui de tout comme les autres jeunes femmes indépendantes forte espiègles et d'une nature rebelle indépendante et un caractère fort ; Qui a son autonomie, sa liberté d'action et, en particulier, qui subvient lui-même à ses besoins : Il gagne sa vie, il est maintenant indépendant. 3. Qui jouit de l'indépendance politique. Elle restera toujours comme quelqu'un qui est la chef celle qui écoute et aime être entendue qui règles chaque problème, chaque solution ; un leader est une personne ou un groupe dont les projets et l'activité sont liés à celles du groupe ou d'une entité supérieure dans le but de satisfaire des objectifs communs. Le leader ou chef de file est généralement à la tête d'un mouvement, d'un parti politique ou d'une organisation, y occupe la première place qui c'est, ce qui signifie qu'elle a une imagination vive et un amour de l'exploration de nouvelles idées. Buffy et Jenny se retrouvaient sans arrêt, sans le vouloir la jeune femme et la jeune fille avaient toujours eu beaucoup en commun, mais l'ignoraient quelque fois. En ne faisant pas suffisamment attention.

Dans son enfance Buffy était très généreuse, adorable envers les autres, c'était une enfant assez mignonne, extrêmement belle et ce qu'elle adorait par-dessus tout et qui était le plus important à ses yeux était sa famille ; Réussir : accomplir quelque chose avec succès, obtenir un résultat heureux, réaliser ses ambitions. L'honnêteté

Pour Buffy, c'est la qualité le plus important, la plus indispensable pour réussir. Être honnête envers soi-même signifie de ne pas se faire de fausses croyances, d'assumer la réalité et d'être capable d'apprendre de celle-ci. Cela veut aussi dire d'être honnête dans nos décisions, dans nos actions et de vouloir apprendre et dire les vraies affaires, même si cela peut provoquer quelques émotions autour de nous. D'ailleurs, la diplomatie et le savoir-vivre sont des qualités très compatibles avec l'honnêteté. Si l'on applique les trois ensembles, il n'en résultera que du positif. Comme nous enseignaient nos parents : tout peut se dire, il suffit d'avoir la bonne façon de le faire !

L'intelligence : l'intelligence mentale n'est pas plus importante que l'intelligence émotionnelle. Au contraire ! En fait, l'une ne va pas sans l'autre. Être qualifié et futé ne suffit pas. Savoir gérer ses émotions est encore plus difficile. Cela défini davantage une personnalité ! Être intelligent émotionnellement signifie être à l'écoute des autres, mais également de savoir se respecter. S'aimer plus que tout et se choisir comme personne est un signe de grande intelligence.

L'authenticité : nous sommes sur la terre pour plusieurs raisons. Peu importe notre mission, la mission de plusieurs personnes toujours distinctes et qui ne se ressemblent pas, il faut rester soi-même ! Nos valeurs font partie de ce que nous sommes et nous devons nous en inspirer ! Être authentique et s'entourer de gens qui croient en nous est primordial pour mener une bonne et belle vie. Votre couleur, votre senteur et votre énergie est unique ; assumez-là. Une personne lui a enseigné un jour : "tu es un diamant brut ; on peut te polir, te raffiner, mais tu resteras toujours un diamant" ! Si l'on s'accepte comme on est et que l'on reste authentique malgré notre orgueil ou notre égo, on deviendra un leader pour les gens qui nous entourent, mais surtout, pour soi-même.

L'ouverture d'esprit : s'ouvrir mentalement aux autres, résulte d'un non-jugement. L'être humain est un phénomène en soi et il n'y a pas de moule parfait. Être ouvert aux autres est un signe de force mentale. Accepter, écouter et respecter les gens différents de nous nous rend plus fort. Quand nous apprenons et maîtrisons cela, un bien fou nous envahi ! Tout est plus léger autour de nous et les gens positifs nous entourent pour nous accompagner… Pensons à l'effet miroir : traitons les autres de la façon dont nous aimerions être traité.

On n'y demande pourquoi personne ne nous rappelle les raisons pour lesquelles nos enfants sont de bonnes personnes ; et ils le sont. Ils doivent l'être, forcément. Aucune espèce animale ne pourrait survivre si ses membres ne naissaient pas avec la capacité d'acquérir le comportement normal des adultes et la tendance à le faire.

L'enfant est de nature désintéressée : le besoin des enfants de leur mère est indépendant du besoin de nourriture et même probablement plus important. Pourquoi un enfant qui est propre, qui a mangé, qui n'a ni trop chaud ni trop froid, qui n'a pas soif, qui n'a pas sommeil pourrait donc pleurer ? elle les veut, eux, ses parents, son papa et sa maman !

L'enfant pardonne facilement, les enfants sont de nature miséricordieuse ; les parents sont l'objet d'un amour absolu de la part de leur enfant. Ce dernier a un besoin naturel de tendresse et de contact physique. L'enfant sait faire preuve de générosité.

Parmi les raisons qui font le plus souvent pleurer les enfants, on peut citer : être séparé de ses parents, essayer de faire quelque chose et ne pas y arriver, remarquer quelque chose de bizarre et ne pas savoir ce que c'est, avoir besoin de quelque chose et ne pas savoir comment l'obtenir. La différence entre ce qui nous rend tristes/en colère et ce qui rend tristes/en colère un enfant est la répétition de ses événements : les choses qui font pleurer les enfants surviennent plusieurs fois par jour. En dehors de ces événements, les enfants jouent, sourient et s'émerveillent de la vie bien plus que nous le faisons une fois adultes.

L'enfant est de nature sociable, les enfants se parlent sans préjugés, ils ne font pas preuve de racisme (sauf si cette "valeur" est prônée dans le contexte culturel). L'enfant est sincère. La sincérité des enfants nous dérange souvent. Quand on pose une question à un jeune enfant, on doit s'attendre à ce que la réponse ne soit pas forcément celle qu'on avait prévue.

Les enfants ne connaissent pas la dissimulation, la ruse ou la tromperie par nature : ils apprennent ces "compétences" à partir du moment où ils font l'expérience auprès d'adultes que le mensonge leur épargne réprimandes et punitions.

Il demande à ses parents qui se sont mis en colère contre lui de regarder sa tour de lego ; il propose une course à un enfant en colère ; il fait un câlin à un enfant triste ; il propose de partager son goûter.

Au cours de ses premières années en tant que Tueuse, Buffy a fonctionné comme une héroïne réticente. Alors qu'elle exprimait constamment son désir de rien de plus qu'une vie normale pendant ses années de lycée, Buffy avait un fort sens des responsabilités envers les personnes qu'elle pouvait sauver. Au fil du temps, Buffy est devenue plus tolérante à l'égard de ses fonctions de Tueuse. Buffy avait tendance à avoir une grande confiance en ses capacités lorsqu'elle affrontait ses ennemis. Buffy était également très têtue, dure et une leader naturelle, ce qui la rendait parfois trop exigeante et autoritaire. Elle était extrêmement déterminée et farouchement indépendante par nature, détestant abandonner ou perdre des batailles de toute sorte, qu'il s'agisse de problèmes surnaturels ou personnels.

Beaucoup plus tard, dans ses années jeune, Alors que Buffy reconnaissait que les humains pouvaient être aussi mauvais que les démons, sinon pire, elle refusait largement de tuer les humains, insistant sur le fait que la Tueuse n'avait pas de permis de tuer, ce qui la mettait parfois en conflit avec ses coéquipiers moins miséricordieux. Elle avait un grand dégoût et une grande haine des dommages collatéraux car elle avait toujours essayé de sauver autant de personnes qu'elle le pouvait par tous les moyens nécessaires, même si une solution pour sauver le monde était de tuer quelqu'un d'innocent.

Pourquoi le conseil des observateurs ne versent-ils pas un salaire à Buffy ou n'importe quelle autre élue ? c'était loin d'être facile comme forme et moyen de trouver chez Quentin Travers et les autres membres du conseil pour éviter qu'elles deviennent indépendantes, plus matures et adultes, ils tenaient à les garder entre leurs griffes, et resta ils paient l'observateur le gardien, qui à son tour paie pour l'entretien de la Tueuse, et à son tour cela garde le Slayer dépendant du Conseil ; ce qui est en fait logique car beaucoup d'adolescentes naïves et peu formée sur tout ce qui a attrait au paiement et l'argent dans tout ce qui concerne et voilà pour les mathématiques avec beaucoup d'argent ne peuvent pas s'attendre à faire preuve de bon jugement avec lui, surtout s'ils supposent, consciemment ou non, qu'ils vont laisser un cadavre en désordre au moment où ils auront vingt ans avec de nombreux survivants du rituel du dix-huitième anniversaire, ne peut jamais l'épeler en l'utilisant aussi pour aller loin, très loin pour des raisons compréhensibles) ; des horaires qui restèrent irrégulières en un sens cela allait de même dans la définition de logique quant aux moments des périodes rentables où ils y eut des activités anormales et surnaturellement élevées ; aucun bénéfice marginal et il ne fallait en aucun cas surtout pas parler éviter comme un tabou pour ne même pas de prendre de vacances ; on doit sauver le monde chaque jeunes filles, chaque élue encore et encore sans aucun remerciement, aucune carte de noël disant : pour de la compassion et remercîments reconnaissances, apitoiement. Attendrissement. Bonté, cœur, commisération, miséricorde, mouvement. Pitié. Est-ce que c'est trop demander que d'avoir un peu de reconnaissance.

Mais être une tueuse est un honneur un privilège ou une chance de supériorité tout ceci dit sans comprendre que rien de tout ceci était une chance à chaque goutte de sang versée…

Joyce était assez bouleversée par le fait que sa fille garde des secrets et s'inquiétait souvent de sa nature rebelle, croyant d'abord que Buffy était une délinquante. Cependant, lorsque Buffy a tenté d'arrêter Acathla,, sa mère a découvert la nature de la tueuse de Buffy. Dépassée, elle avait d'abord voulu qu'elle arrête de tuer, la reniant et la menaçant d'une voix froide de ne plus qu'elle revienne à la maison, mais elle s'y est habituée au fil du temps.

Le directeur Snyder avait une haine naturelle envers les adolescents, mais c'était Buffy qu'il n'aimait pas particulièrement. Il l'avait constamment considérée comme une délinquante rebelle et, plus que souvent, s'attendait à ce qu'elle soit expulsée de Sunnydale High School. Il ne pouvait pas comprendre la foi de Giles en elle et chevauchait souvent Buffy pour chaque petite chose suspecte qu'elle faisait (ce qui était beaucoup car Buffy a été attrapée par lui plusieurs fois en essayant de sauver des étudiants et en étant la Tueuse). Buffy à son tour lui a trouvé un fléau constant dans sa vie scolaire comme ses amis l'ont fait et s'est souvent moquée de lui. Snyder prit un grand plaisir à l'expulser et à l'empêcher de revenir...

Il y avait toujours des raisons de détester les décisions prises par Buffy qui continuait à sauver le monde ; personne ne choisirait jamais une vie remplie de violence, de sang et de mort. Personne ne choisirait un devoir qui finirait par les tuer ! Personne ne choisirait de porter le fardeau du souhait de mort inné d'un Tueur chaque nuit, il suffit de voir le monde continuer ! Ils l'avaient blâmée pour le fait qu'ils n'avaient pas gagné surtout pour éviter les grands cataclysmes qu'elle n'y arrive pas assez vite. Ils lui ont reproché le fait qu'ils s'attendaient à ce que les grands méchants soient déjà battus. Ils l'avaient blâmée pour le fait que des vies avaient été perdues et que des gens avaient été blessés. Buffy a reconnu qu'elle avait commis une erreur de jugement ; mais elle avait besoin d'aller de l'avant et de gagner, avant de faire son deuil par la suite. Parce que c'était ce qu'ils attendaient d'elle.

Attendre.

Qui étaient-ils pour attendre quelque chose d'elle ?! Ils étaient là ! Ils s'étaient battus ! Ils avaient pris la décision de se battre ! S'ils avaient dit non, Buffy aurait accepté cela et n'aurait pris que Spike. Parce que Spike serait parti malgré tout, il ne l'a jamais laissée affronter seule l'ennemi. Sa seule attente envers elle était qu'elle se batte et vive. Gagner ou perdre ? Il s'en souciait peu, une consolation tant qu'ils étaient en vie.

Buffy avait réussi à s'échapper de la mort et ce à plusieurs reprises, et elle était toujours la même sa personnalité, son dévouement sa loyauté sa gentillesse et sa force, des personnes on vue le meilleur et le pire d'elle-même, elle était une femme extraordinaire. Elle était l'élue.

Les dieux s'en fichent pas mal, ils n'ont pas de morale et quelqu'un sur la Terre perd un être cher toutes les nuits pour cause, pour raison en explicabilité explication des morts ni inexplicables, étranges, pas normales comme un monstre qui aurait fait les crimes.

C'est la loi du plus fort, moi, Buffy s'incline encore, c'est facile à comprendre elle aurait dû apprendre au nom de l'amour, être plus prudente, elle devrait avoir sa première relation amoureuse qui était un don donné et le plus important pour toute jeune fille

Mais lorsqu'il y en avait eu avant elle, Buffy ne put s'empêcher de poser les questions dis-lui si sa peau, brûle autant que la sienne, si contre son corps, son cœur bat plus fort

Elle gardait d'autres garçons dans des relations de flirt immature sans importance et qui ne resterait pas écrit et gravé dans sa mémoire, il n'y avait eu rien de sérieux entre ces jeunes garçons. Ce venin dans ses veines Que pourrais-t-elle y faire ? Les règles étaient claires !

Les dieux tiennent son destin dans le creux de leurs mains. Quand on est spectateur, le désir demeure.

Mais malgré tout, il y avait des personnes qui connaissaient la vérité, la véritable Buffy et son petit jardin secret, qui connaissaient son bon fond, sa véritable personnalité, savaient à quel point elle était généreuse et courageuse, et ces personnes étaient : Willow Rosenberg et Rupert Giles, et Jenny Calendar. Et en toute particularité finement dessiné, brodé personnellement était Spike qui avait véritablement cru en elle. Et en toute particularité durant de longues années son grand amour de jeunesse, son premier amour, et celui de l'adolescence, Angel. Ils feraient tout pour restituer la vérité, et sa véritable histoire et comment elle aurait dû vire sa vie, sa véritable destinée…

Et la vie va des personnes surtout dans un monde irréel n'échappèrent jamais au malheur et à la mort, mais ils purent l'éviter, et c'était ainsi, voici donc son histoire...


Notre histoire commença véritablement avec des personnes qui sortent de l'ordinaire mais à la fois simple et sortant d'extraordinaire petite vie normale dans un vaste quartier résidentiel de Los Angeles, le début du commencement bien avant les faits et la naissance d'un enfant qui allait faire de grandes choses, qui allait changer la facette du monde à jamais ; tout débuta et commença bien avant le commencement ; dans une famille paisible et tranquille qui, tandis que la résidence des Summers était un havre de paix, toujours ouverte à d'autres enfants ou voisins qui se présentaient et se l'avouaient toujours à haute voix, il se dégageait de l'intérieur quelque chose de bon et de pur, une incroyable familiarité, leur maison ouverte, la chaleur des hôtes ainsi que la sociabilisation était au grand jour toujours ouvert et souriant à tout le monde ; la maison est plus vraiment véritablement un lieu. Elle est cet espace à redéfinir, à repartager encore et encore... Ouvrant sa porte, son foyer à beaucoup d'autres voisins, à chacun et tout le monde ; havre de gentillesse, d'amour de l'autre et de son prochain...

Le foyer de la famille Summers, était une grande maison résidentielle autour et dans les environs, on pourrait s'imaginer plongeant dans un conte, une histoire campagnarde ; maison en pierre confortable de 3 chambres, dépendances, beau terrain, prairie et bois plein sud. Avec un grand portail de ressemblance en bois ferré.

Le couple matriarche de la famille Summers était extrêmement prospère dans un monde quel qu'il soit imaginaire, dans un domaine privé ou professionnel ; ils étaient une famille très heureuse, aimante et soudée dans n'importe quel tout dans la famille et leur travail passionnant ; importance d'aimer son travail, aimer son travail pour être productif ; dans les faits oui, aimer son travail participe à notre épanouissement quotidien. Se lever le matin avec l'envie d'aller travailler favorise notre bien-être. Au contraire, se lever le matin la boule au ventre, peut avoir à long terme, des répercussions sur notre santé mentale.

Immeuble, maison individuelle, bâtiment public : l'architecte est chargé des différentes phases de la réalisation d'un ouvrage : de la conception d'un bâtiment jusqu'à la réception des travaux. Il doit tenir compte des contraintes techniques et financières. Hank Summers, quel est le métier d'architecte ? Un architecte dessine, conçoit et supervise la construction d'un bâtiment, qu'il s'agisse d'une maison individuelle, de logements collectifs ou de bâtiments publics. Ce bâtisseur doit être à la fois créatif, à l'écoute des souhaits de ses clients, et respecter les nombreuses normes liées à la construction.

Quant à Joyce Summers, elle était une passionnée et dévouée jeune femme dans le monde de l'art et des objets d'antiquité ; Joyce était prise par son travail à la galerie pour des après-midi, des jours entiers. Le galeriste est un passionné d'art qui vend le travail d'un ou plusieurs artistes peintres, photographes, vidéastes ou encore sculpteurs dans sa galerie.

En effet, il est le lien entre les artistes et les acheteurs. Dans sa galerie d'art, il choisit les œuvres qu'il expose, organise des expositions et des vernissages, invite le public, conseille les visiteurs et bien sûr, met tout en œuvre pour aboutir à une vente. Pourquoi on pratique l'art ? Les neurosciences nous enseignent que l'art stimule des émotions intimes et profondes mais aussi que leur pratique développe les capacités cérébrales des enfants... L'art est aussi créateur de valeurs dans lesquelles, selon ses goûts et sa culture on se reconnaît et on fait groupe.

Le métier d'antiquaire consiste principalement à acquérir, restaurer et revendre des meubles, objets d'art et bibelots anciens de valeur ou de qualité.

En comprenant dans une certaine réflexion avec en entrainant beaucoup de logique et réflexions de pensées au raisonnement de cohérence, les couples et les familles rencontrent de nombreuses difficultés... Un jeune couple prenant le dessert au restaurant lors d'un rendez-vous amoureux... pour ce jeune couple en tant que jeunes mariés il n'y avait pas de différence, c'était toujours la même chose, pas de poil qui était divers, distinct et direct, changeant la perception de comment les autres les percevait et se voyait en reflétant la vérité au fond de leurs âmes, qu'il y avait quelque chose, un indice, qui diffère du type normal ou habituel. Qui est inclassable, hors norme. Derrière ce droit d'être distinct, recherché dans l'opposition, se cache une quête identitaire : celle qui permet de s'assumer face aux autres et d'acquérir son autonomie psychique. Lorsque la démarche est bien faite, elle permet à la personne de s'assumer graduellement, en tant qu'être unique et différent. Et c'était ce qu'était Hank Summers et Joyce.

Dans tout ceci, ils avaient eu une petite fille qui remontait à peine annoncée peu de temps après le mariage, Joyce était tombée enceinte très rapidement, d'une petite fille qu'ils prénommèrent avec amour Angélique, à présent âgée de tout juste à peine trois ans ; Étymologie. D'origine grecque il veut dire semblable aux anges, en particulier dans leur fonction de messager ; Angélique est d'une sincérité désarmante. Elle n'hésite pas à dire ce qu'elle pense mais ne cherche jamais à blesser qui que ce soit. Elle est optimiste, elle a l'esprit ouvert et fait tout pour communiquer sa bonne humeur. Elle reste discrète sur ses petits tracas et déteste aborder les sujets graves ou sombres. Qui ressemblait et portait son prénom avec dignité et honneur...

Angélique Emily Joyce Summers est née à Los Angeles en Novembre 1978. Elle avait été une petite fille très extrêmement belle aux yeux bleus et aux boucles blondes, mais avait malheureusement eu une courte vie en comprenant quel était sa signification ; une vie courte - satire onirique de la vie quotidienne en banlieue. Une trentaine d'enfants des banlieues, encadrés d'acteurs professionnels et amateurs, jouent leur propre rôle à travers une trentaine de séquences alliant le réalisme du documentaire à la fantaisie d'un conte. Quel était le message de la vie, dans un monde qui passe ou le temps passe si vite ; la vie est trop courte pour donner une seule minute à quelque chose qui ne fait pas son bonheur. Il faut vivre tout simplement, prendre la vie comme une chance et non comme un fardeau. La vie est courte, vivez-la pleinement. La vie est trop longue pour le malheureux, bien trop courte pour l'homme heureux. D'un enfant sous la forme d'un ange, Angélique était une petite fille pleine de vie et avait un sourire qui illuminait une pièce. Elle grandissait de jour en jour et devenait de plus en plus intelligente. Elle parlait très bien pour une petite fille de son âge. Elle aimait chanter et danser en regardant les comptines et les chansons/musiques pour enfants ; tout le monde tombe amoureux de son magnifique visage dès sa venue au monde.

Elle est toujours heureuse et souriante et souhaite en voulant toujours être aux côtés de sa mère -Joyce- qui l'aimait profondément ; elle l'aimait tellement lui montrant en lui prouvant de leur adoration voulant remplir cet amour, leur vie en faisant grandir, accroitre leur cœur, un peu plus chaque jour voilà de cela des mois, Hank et Joyce avait pris la décision d'agrandir la famille avec un nouveau bébé…

Cet enfant naîtrait vers la fin Janvier de l'an 1981…

Mais une menace obscurcie le bonheur familiale et sa sérénité dans toute son innocence, son insouciance et la paix de l'amour, d'un voile noir ainsi que les nuages obscurcissant les yeux qui firent ne voyant plus rien, une menace planant telle des sauterelles ou de terribles intempéries s'abattant sur la famille Summers et leur maison et foyer ; cette menace venue du nord n'était nul autre pareil, comme un crime, une horreur, c'était familier et dangereux, se glissant derrière les portes closes venant se percer dans un propre foyer ; une femme instable et dérangée mentalement, elle possédait la face cachée, le visage du méchant comme dans des dessins animés et films pour enfants ne sachant plus distinguer la différence entre le bien et le mal : il s'agissait de Lucina, la propre mère de Joyce Summers... Le filicide, qui vient du latin filius (fils), est le meurtre par un père ou une mère de son propre enfant. Ce mot peut également désigner le meurtrier. Dans certaines cultures, il arrive parfois à un parent d'assassiner sa fille lorsque l'on considère qu'elle a déshonoré sa famille.

Un jour, à l'approche de de Noël et de la fin de l'année, Joyce retrouva sa petite fille morte dans son propre lit à barreau très tôt un matin de décembre ; les violences physiques se traduisent par l'usage de la force ou de la violence contre un enfant, de telle sorte qu'il soit blessé ou risque de l'être : frapper (avec la main, avec le poing, avec le pied, avec un objet…), mordre, brûler, empoisonner, droguer ou inciter à consommer des substances dangereuses (alcool, tabac, stupéfiants…), étouffer, étrangler, secouer, bousculer, noyer… Les violences commises contre les enfants n'ont pas besoin d'être habituelles ou répétées pour tomber sous le coup de la loi.

L'enfant présentait de très nombreux bleus causés par des coups répétés par sa grand-mère, Lucina.

Joyce se souvient que toutes deux, dans un passé proche, elles avaient décoré le sapin de Noël, et elle lui avait mis une robe rouge toute nouvelle qui lui allait parfaitement bien et à ravir ; Angélique s'était endormie dans les bras de sa mère, contre sa poitrine et son cœur, et Joyce se souvient avoir pensé et dit combien elle avait de la chance d'avoir une petite fille aussi parfaite ; l'enfant sera par la suite enterrée dans un minuscule cercueil pour enfants reposant avec sa robe rouge dont les puéricultrices l'avaient revêtue.

Angélique Summers n'aura jamais eu la chance de faire connaissance avec sa nouvelle petite sœur.

Lucina aurait été condamnée à la prison à vie mais pour cause de son état de santé mentale, Lucina fut transférée et emprisonnée en enfermement dans un hôpital psychiatrique, avec pour objectif de ne plus rentrer en contact avec sa propre fille ni ses enfants.

Les psychiatres qui l'examinèrent, diagnostiquèrent chez elle un désordre narcissique. On y retrouve l'insensibilité, la même absence de limite morale, le même sentiment paisible de toute puissance qu'on ne trouve que chez les sociopathes ou les psychopathes et que les enfants cessent normalement très tôt d'éprouver pour devenir des adultes responsables. L'aversion de Lucina vis à vis de sa petite-fille et même de ses propres enfants s'explique psychologiquement de trois manières : d'une part, on peut l'imaginer jalouse de la jeune et jolie Angélique qui a la vie devant elle, tandis que Lucina a tout raté ; on peut aussi admettre que face à la jeunesse de sa famille qui commence sa vie de femme, Lucina se pose vraiment en éducatrice afin de lui épargner ce qu'elle a elle-même vécu, à savoir une histoire d'amour médiocre l'ayant laissée seule avec sept enfants à charge entre autre Joyce. S'en prendre ainsi à la féminité de sa petite-fille qu'elle voit comme une rivale, même si cela apparait délirant, peut constituer une tentative pathologique de corriger le destin de la petite Angélique lui apprenant la dure réalité de la vie. En agissant comme un monstre, il n'est pas certain que Lucina ait conscience d'en être un.

Cette terrible tragédie, cette perte cruelle ne sera jamais décrite ou révélée à la petite Buffy Summers.


Le fœtus associe, dans le ventre de sa mère, les sons et les émotions et les mémorise. Cet apprentissage aura, à la naissance, un impact sur ses réactions. Le futur bébé est capable de percevoir des sons, des vibrations et ressentir des choses et la vie quotidienne extérieure, et en particulier des sons, au moins à la fin de son développement. Les sons perçus peuvent être naturels (comme la voix de la mère), ou artificiels (musique). Et le fœtus fait la différence entre ceux qui lui sont ou non familiers. Cette expérience sensorielle prénatale est naturellement mémorisée.

Capable d'apprentissage par association – en mémorisant le lien entre un stimulus et son ressenti –, le fœtus est donc sensible aux émotions ressenties par sa mère. Les terminaisons nerveuses du sens du toucher du bébé se mettent en place dès le deuxième mois de grossesse, d'abord sur les lèvres, puis sur les mains, les pieds, le visage… Son bébé se déplace dans le liquide amniotique, effleure son visage… Il adore les sensations tactiles qu'il ressent comme des caresses sur sa peau. Très vite aussi, il commence à sucer son pouce et à jouer avec son cordon ombilical. Il est actif et avide de découvertes. Bébé est sensible aux caresses extérieures, celles que Joyce exerçait sur son ventre : il en perçoit les vibrations, la sensation de chaleur, la légère pression… et adore cela ! Angélique posait quelques fois son oreille sur le ventre de Joyce pour écouter le bébé et d'autres fois elle posait ses mains et caressait le ventre. Les caresses sont importantes pour le développement du bébé et son éveil au monde : bien au chaud dans son cocon, il sait que la maman est là, qu'elle l'écoute et qu'elle l'aime. Et quand il en sortira, il reconnaîtra ces sensations familières, en se lovant tout contre sa peau.

Les caresses offrent, entre son bébé et sa maman, de nombreuses possibilités d'échange. À partir du quatrième ou du cinquième mois de grossesse, son bébé peut commencer à donner à la maman des petits coups de pied ou de main. Une manière d'attirer son attention et d'engager le dialogue. Elle peut passer sa main sur son ventre, et le bébé y répondra encore…

Les caresses : créer un lien et une complicité avec son bébé grâce aux caresses exercées sur le ventre de la maman.

Est-ce que le fœtus ressent la douleur ? Le fœtus n'expérimente probablement pas la douleur comme un être conscient qui peut l'exprimer, mais il réagit aux stimulations nociceptives. Celles-ci entraînent une réponse hémodynamique et endocrinienne immédiate et sont susceptibles de retentir sur le développement fœtal avec un risque de conséquences à long terme.

Tout ce qu'elle a toujours vécu et ressentit en sentant, comprenant ce qu'elle pouvait entrer ou voir était toujours sa maman, ce fut la première personne qu'elle connut, reconnaissait et appris à aimer tout doucement dans ce liquide chaud comme en étant enveloppé et couverte emmaillotée ; d'abord il y eu, il y avait maman, les premières pensées conscientes dans l'esprit de Buffy avait été à propos de maman ou des sentiments ; elle n'avait alors aucune pensées pour définir tout ce qu'il y avait, elle n'avait pas de mots pour former des pensées. Buffy avait été là dans l'obscurité, ou plutôt dans la lumière rouge très faible, à peine conscience de sa propre existence. En écoutant tous les sons apaisants, qu'elle ne savait pas encore ce qu'ils étaient ; la voix de maman, le battement de cœur de maman et enfin la respiration de sa maman.

Et puis il y eu Angélique qui avait reconnu sa voix d'enfant par le futur bébé de Buffy, entendre au loin les enfants rires ; quoi de mieux que d'entendre le rire d'enfants, ces petits bébés semblent apprécier la présence de leurs animaux de compagnie. Ils ne peuvent pas s'empêcher de rigoler. Et entendre ton rire s'envoler aussi haut que s'envolent les cris des oiseaux, te raconter enfin qu'il faut aimer la vie et l'aimer même si le temps est assassin et emporte avec lui les rires des enfants et les mistrals gagnants. Le fœtus de cette future petite fille restait au calme lorsqu'elle entendit la voix, les rires, les pleurs et ainsi que le dynamisme d'activité autour de son environnement, sa joie, sa peine et son rire d'enfant avec sa voix petite.

Ce sourire conscient est habituellement une réaction à la vue du visage de ses parents. Par exemple, l'enfant sourit parce qu'il imite ses parents qui lui sourient. Par ailleurs, ses sourires expriment le plaisir de les voir et d'être avec eux. Vers 4 mois, le bébé commence à rire. Les larges sourires se muent en éclats de rire, plus ou moins bruyants ou démonstratifs.


Lucina avait eu un grand secret qu'elle accompagnait tous les temps en le trainant derrière elle, l'accompagnant et puis un jour ses enfants, son mari, et en particulier surtout Joyce le découvrit en une bonne et pieuse femme qui incarnait tous les stéréotypes, Joyce renia les pouvoirs de sa mère et le surnaturel, croyant qu'elle allait les maudire, leur voulant du mal en apportant le diable et elle croyait que la jeune femme serait possédée, influencée ainsi que les enfants pour qui Lucina voulut faire découvrir à Angélique puis plus tard aux autres enfants et petits-enfants qu'elle aura. La Wicca est un mouvement religieux basé sur l'"Ancienne Religion" au sens où l'entend Gerald Gardner. Le Wicca inclut divers éléments de croyances tels que le chamanisme, le druidisme ou bien encore le culte de la nature. Ses adeptes sont des wiccans (appelé en français « sorcières blanches » qui sont pures en magie). Le Wicca, ou wiccanisme, est un mouvement religieux fondé sur l'« ancienne religion païenne » et redéfinie par Gerald Gardner. La wicca comprend des éléments de croyances tels que le chamanisme, le druidisme et les mythologies gréco-romaine, slave, celtique et nordique.

Quels sont les principes de la Wicca ? La philosophie ; les wiccans (sorcières blanches) s'appuient sur le principe de tolérance, de bienveillance, d'acceptation sur le respect de la nature. La Wicca se revendique art de vivre en harmonie avec son environnement, en mettant en avant le respect de l'autre ainsi qu'une démarche de partage avec celui-ci.

Et puis un jour elle découvrit le mal, les horreurs et la puissance qu'apportaient la magie qui pénétrerait dans sa peau, son âme, en libérerait les forces du mal, le culte de Satan et la magie noire ; le satanisme est un groupe de croyances idéologiques et philosophiques basées sur Satan. La pratique religieuse contemporaine du satanisme a commencé avec la fondation de l'Église athée de Satan, bien qu'il existe quelques précédents historiques. Sans plus jamais revenir dans sa folie, Lucina pris de la distance pour ne jamais revenir dans le monde normal et sans démons...

La magie noire réfère traditionnellement à l'utilisation du surnaturel ou de pouvoirs magiques à des fins maléfiques ou égoïstes. Du point de vue de la voie de la main gauche et de la main droite, la magie noire est le côté gauche malveillant, la magie blanche est la main droite, le côté bienveillant. De nos jours, certains trouvent que la définition de la « magie noire » n'est que la compilation des pratiques et rituels que certaines personnes réprouvent, n'ayant donc comme unique point commun, le point de vue de certains utilisateurs.

La magie est une pratique fondée sur la croyance en l'existence d'êtres, de pouvoirs et de forces occultes et surnaturels, permettant d'agir sur le monde matériel par le biais de rituels spécifiques. La magie blanche, elle, concerne une utilisation de la magie à des fins altruistes, ou préventives (« magie bleue » qui, peu de gens en ayant entendue parler de son existence, ou, au contraire, n'en avait jamais eu l'occasion, l'opportunité de le voir), avec des moyens presque toujours positifs, bénéfiques. Elle guérit, protège, exorcise, renforce, réconcilie… Elle invoque les « esprits bons », Dieu… et pas les mauvais démons.

Pour faciliter l'accès à certains désirs de la vie, il y a désormais de nombreuses ouvertures. C'est le cas de la magie blanche qui s'installe de mieux en mieux dans la société. Utile et très inoffensive, celle-ci utilise des méthodes quelque peu mystérieuses. Toutefois, ces méthodes ne manquent pas de combler plus d'un à travers le monde. Le présent contenu vous en dit plus sur la magie blanche, sur son mode de fonctionnement et sur ses différents points d'interventions.

La magie blanche, voici sa définition et son fonctionnement : on entend par magie blanche, un ensemble de procédés ou de rituels qui ont pour but d'interagir sur certains aspects de la vie afin d'en modifier ou d'en améliorer le cours. Il existe trois différentes catégories de magie, à savoir la magie noire, la magie rouge et la magie blanche. Cette dernière est pratiquée dans le but d'activer les forces positives de la vie d'un individu donné. Elle sert aussi à prévenir certaines situations désagréables. Ainsi, la magie blanche met son art à disposition pour résoudre des problèmes de plusieurs ordres. Des problèmes financiers aux problèmes sentimentaux en passant par les problèmes médicaux et professionnels, rien ne lui échappe. De plus, elle est utilisée pour détourner ou pour protéger contre de mauvais sorts. Tout ceci se fait à travers des rituels ou par des sortilèges très bénins. Il faut aussi souligner que la magie rouge prend en compte le plan affectif et sentimental. Quant à la magie noire, elle concerne plus les actes de vengeance. Pour faire échouer un ennemi par exemple, c'est le recours idéal. Elle est contraire à la magie blanche puisqu'elle n'apporte que malheur.

Pour fonctionner, il faut des accessoires élémentaires en magie blanche, il faut diverses plantes et ingrédients acheter dans des boutiques, des druides et magasins réservés au surnaturel que l'on trouvait et il faut aller les chercher dans des quartiers réservés et vivant du peuple de la nuit à des démons inoffensifs. Ceux-ci sont entre autres, les bougies (blanches, rouges, vertes, jaunes, roses, dorées, bleues et noires). Aussi, il faut de l'encens de lavande, de jasmin, d'ambre, d'opium, de rose, de santal, de cèdre et de myrrhe pour ne citer que ceux-là. Certains sorciers utilisent des huiles et des pierres pour certains rituels. Ces rituels ésotériques interviennent dans plusieurs domaines.

La jeune Summers qu'était Angélique fut découverte par le Conseil des Observateurs comme l'une des rares enfants qui par filiation ou par le sang des potentielles dans les liens familiaux sont reliées à la future tueuse et Lucina le sut et en avait informé le Conseil, à un très jeune âge, mais Joyce et Hank sont contre le fait de leur livrer leur fille. Ne voulant pas accepter cela, le Conseil commence à envoyer des démons après la petite fille, essayant de montrer à ses parents qu'elle avait besoin de la formation. Alors que tout n'était que leurre, inventé et imaginé par une masochiste, une mythomane remplie de fierté alors qu'Angélique était une enfant normale mais Lucina continua de croire que sa petite-fille était extraordinaire et spéciale et voulu l'entrainer, la projetant dans la lumière des projecteurs en laissant ses yeux s'ouvrir en y mettant la lumière, la compréhension d'avec que des œillères ; mais malheureusement, au grand désespoir à la plus grande tristesse, angoisse et trahison accidentelle, colère de tous et l'incompréhension de Lucina et meurtre, Lucina pris la vie de sa petite-fille, Angélique….


Lorsque l'on se posait des questions sur le choix du prénom de leur futurs enfants en hésitant énormément, se querellant même parfois entre le traditionalisme du nom et l'originalité comme des noms retournés, améliorés, changés en évoluant, améliorant pour plus de modernité ; bien choisir le prénom de son enfant : ce qu'il faut savoir, son prénom, c'est le premier cadeau qu'on lui fait. Cela s'en vient en choisissant, en remarquant, trouvant que c'était une charge, un long poids de responsabilité à faire et le prononcerait un nombre impossible à décrire, un nombre incalculable de fois… Et votre enfant l'entendra tout au long de sa vie. Alors autant se poser un peu avant de le déclarer à l'état civil ! Si le prénom de son futur bébé interpelle autant les foules, c'est parce que prénommer son bambin est un acte symbolique, fondamental, l'une des décisions les plus importantes que la mère et ainsi que le père prendra pour lui. Prénommer son enfant, c'est lui conférer d'emblée un statut d'individu, lui donner sa place en tant que membre de la société. Soudain, il n'est pas n'importe qui, il est Valentin ou Amélia. Après la vie, c'est le premier cadeau que des jeunes parents allaient faire à leur enfant, alors mieux vaut prendre conscience de l'ampleur de cette décision et faire le bon choix !

Chaque prénom renvoie aux désirs et aux rêves que font les parents par rapport à leur enfant, à ce qu'ils imaginent de lui : « Si c'est un garçon, il s'appellera Victor, il aura tes yeux, si c'est une fille, elle s'appellera Ondine et elle aura ton sourire… » Ces rêveries à deux sont très importantes pour le futur bébé car elles signifient qu'avant la naissance, il a fait rêver ses parents. Rien n'est pire pour un enfant que de porter un prénom pioché sans conviction dans le calendrier, ou attribué par la sage-femme qui l'a fait naître. Autant de signes qui prouvent que l'enfant n'a pas été "porté" par le désir de ses parents. Même si, dans les faits, c'est souvent la maman qui propose et le père qui donne son accord ; car cela témoigne d'une harmonie autour du berceau.

Tenez compte de sa signification. Les prénoms racontent une histoire, évoquent certaines qualités. Quand ils en aimaient un, se renseigner sur son étymologie, son origine, sa signification, pour se guider dans son choix. Même si ce n'est pas important pour les parents, cela pourra l'être pour leur enfant plus tard. Tous ces prénoms de légende donnent à ceux qui les portent un supplément d'âme et de charisme. Les héros de la mythologie grecque sont une mine d'or pour ceux qui recherchent des prénoms à forte personnalité. Même chose pour les personnages de contes et légendes celtiques, de l'épopée des Chevaliers de la Table Ronde, des récits bibliques. Vous pouvez aussi chercher la perle rare dans la littérature, le théâtre, la musique, l'art, l'opéra et le cinéma. Donne libre cours à ses goûts et aux héros qui nous inspirent !

Associez toujours le prénom avec le nom de famille. Si un nom de famille est long, privilégier un prénom court, et à l'inverse si le prénom est long, privilégier un nom de famille court. Si l'on souhaite des initiales dans son prénom, faire attention à ce que ce soit harmonieux. Si aucune idée nous vient à l'esprit, regarder un calendrier avec chaque prénom de fêtes de nombreux saints tous les jours et regarder les fêtes pour laquelle l'enfant vient au monde.

Comment choisir un prénom quand on hésite ? Comment se décider si on hésite entre deux prénoms ? Faire un micro-trottoir et voir comment plusieurs personnes que l 'on ne connaissez pas réagissent au prénom associé au nom de famille de son enfant. Le prénom appartient au moins autant à la société dans laquelle l'enfant va grandir qu'à soi-même.

En ce qui concernait les parents et en particulier Hank dans son esprit comme il l'avait fait pour Angélique, il souhaitait, en étant convaincu dans sa croyance, soutenir les traditionnels et a toujours eu un regard attaché et résolument ferme des prénoms traditionnels choisis et était sous le charme du nom d'Elizabeth.

Tandis qu'à l'opposé, dans tout le contraire de son mari, Joyce avait les mêmes principes que ceux de Hank, mais il y avait une faille que la femme n'était pas tout aussi stricte. Joyce était une présence positive, agissant comme une mère et une amie qui était distante parfois par moment et par instant, distante et dépendante ; Joyce aimait aller à l'encontre au contraire se glissant sous la faille en manipulant, jouant avec les règles et les lois, pour mettre avec elle, savait manipuler les règles à son avantage ; en aimant inventer des nouveaux prénoms se voyant les donner à ses enfants et à ses futurs enfants, en en créant à partir de l'origine et plongeant dans la racines des mots, elle aurait choisi Buffy ; surnom d'"Elizabeth", qui vient de l'Hébreu "Elisheba". On parle aussi d'une définition de "choix de Dieu", ce qui pourrait expliquer pourquoi l'Elue porte ce prénom.

Buffy, son prénom sonnait comme un surnom comme quelque chose une Elizabeth sous forme d'un bébé pour Joyce son futur deuxième enfant a toujours été juste Buffy. Le couple s'était mis en accord, en harmonie sous les mêmes notes les même, intonation, les mêmes significations que ce serait Joyce Summers qui choisirait son premier prénom et ensuite Hank choisit son deuxième second prénom, le prénom de sa chère et tendre bien-aimée mère, Anne. Dans une réelle compromission de la réalité de ce monde sans bonheur parfais comme dans les rêves de Winnie l'ourson et sa forêt des rêves bleus, pour être heureux.


Selon la bibliothèque et les archives du Conseil ce que l'on apprenait, gardait et apportait en ce lieu sur tout le monde savait qu'il y avait beaucoup de prophéties secrètes non révélées qui étaient presque classées dans les rangs du tabou, ou ce qu'il les ignorait par principe, par idiotie et également en apprenant dans des conditions de différentes circonstances, croyances telles qu'il s'agissait d'histoire de contes et paraboles pour enfants.

Première prophétie : Une petite fille une enfant naitra courageuse dans un travail, un devoir, une force acharnée de loyauté et d'exemple, sa force se construira, sera modelée en délicatesse de discernement en imagerie et création par parabole, fable comme un cœur sur la paume de sa main et une lionne au grand cœur ; elle sera née quand le soleil commencera à s'arrêter dans la courte course de lumière de la fin du siècle et ne sera pas seule en se reliant avec d'autres prophéties et personnes qui ont commencées leur vie avec eux même le même destin qui incarnait la route de lumière et de vie choisissant la bonté, ceux qui n'avaient pas pris connaissance de la prophétie seraient en danger, ils doivent la connaitre car n'ayant pas connaissance de leur destiné, de l'espoir, ils seront perdu et ne marcheraient plus, changeraient de route, de chemin et de rue... A chaque génération il y a une Elue, c'était pour cette raison qu'un enfant, un bébé sera l'élue des prophéties, l'élue...

Deuxième prophétie : Il était une fois qui questionnait le monde, l'histoire d'une jeune fille à l'adolescence comme une combattante aux cheveux dorés blonds comme les blés et aux yeux verts, il avait une fois la fille d'un roi qui était si belle qu'il n'y avait rien de si beau au monde ; et à cause qu'elle était si belle on la nommait la Belle aux cheveux d'or car ses cheveux étaient plus fins que de l'or, et longs par merveille, tous frisés, qui lui tombaient jusque sur les pieds. Elle allait toujours couverte de ses cheveux bouclés, avec une couronne de fleurs sur la tête et des habits brodés de diamants et de perles : tant y a qu'on ne pouvait la voir sans l'aimer, cette jeune fille était si bonne, généreuse qu'elle fut choisie par plus divinité et ancestrale du haut des pouvoirs en place bien incapable supérieures aux gardiens du Conseil des Observateurs ; il était une fois une petite fille de cinq ans aux longs cheveux blonds et aux yeux bleus qui s'appelait Buffy ; elle vivait avec son papa et sa maman dans une jolie petite maison située à quelques kilomètres du centre-ville et loin des banlieues... Elle avait reçu des titres des plus étranges et lointains comme des chevaliers, conseils, comme une potentielle et par la fin en emmenant le tout comme une tueuse, l'élue au destin pas comme le reste de ses anciennes du combat….

Troisième prophétie : Les personnes mauvaises, les grands méchants de l'histoire de l'humanité en pouvoir de force furent en mesure dans le pouvoir d'intimidation qu'ils firent peur aux petites filles faisant appel à des lois secrètes inventant, contrôlant chaque geste, pour faire peur à des parents et leurs enfants…. Mais surtout en attaquant une adolescente qui n'avait rien compris, ou à peine, à son destin.

Et c'était ainsi que voici donc des prophéties toutes reliées entre elles et entres les hommes reliés à Jenny Calendar et Buffy Summers et à l'humanité du monde. Ce qu'ils firent rapporter entre d'autres prédilections, fables et parabole, différentes mais pourtant communes au royaume de la mortalité mais ainsi que de la vie ; ils formèrent chaque prédilection chaque conte, chaque mot, chaque histoire dans les places et leur sens ne formerait plus qu'un grand livre d'écriture qui fut écrit, découvert et déchiffré par des personnes d'expériences avec des compétences d'aventuriers, un vrai changement en archéologie, tout un groupe qui unirait leur force en d'amitié solide que naquit un livre, un Larousse, toute une encyclopédie, dictionnaire de prophéties vraies dans des histoires face au paranormal.

Buffy Anne Summers est née en ce tout début d'année civile en ce chemin de la Date du 19 Janvier de l'année 1981 dans l'hôpital central de Los Angeles et plus précisément dans le service de maternité. Elle est la seconde fille ainée d'Hank et Joyce Summers, ainsi que la petite sœur qui avait vue et vécue la mort d'Angélique.


Joyce fut aidé par Hank pour rentrer à la maison, rentrer de la maternité et Joyce apprenant petit à petit la vie avec bébé. Bébé a un mois et il connaît déjà de grands changements. Pendant ce premier mois, bébé passe ses journées à manger et à dormir. Mais Buffy n'oublie pas de regarder ses parents faisant vivre la vie et le quotidien de vivre à la maison autour d'elle et d'apprendre toujours plus du monde qui l'entoure...

L'éveil de bébé à un mois, sa motricité et son sommeil : pendant le premier mois de Buffy son système nerveux se développe progressivement. Elle fait des mouvements de plus en plus ordonnés. Le Bébé a encore une activité dite "réflexe" : il tente de téter ses doigts, sa tête tombe facilement si elle n'est pas retenue, elle est encore très fragile. Elle agite ses bras et ses jambes si ses parents la mettent sur le dos.

Bébé voit encore flou, mais distinguera rapidement les couleurs vives et les contrastes. Sa vue n'étant pas optimale, il compense en écoutant attentivement son entourage et surtout la voix de sa mère. Joyce communique le plus possible avec elle pour lui faire entendre les voix les plus proche de sa famille : ses parents.

Il ne faut pas, il n'y a rien à hésiter à faire attention aux réactions de son petit bébé : il suit des yeux l'objet que l'on déplace devant lui et réagit lorsque Joyce lui parle, en prêtant attention ou en émettant des petits bruits. Et pour cause : bébé est très intrigué, et curieux du monde qui l'entoure. Joyce et surtout Hank jouant déjà avec sa petite fille et qu'ainsi des plaisanteries et déjà jouer avec elle tout en douceur, ou la masser. Elle appréciera ces moments de tendresse.

Ses parents apprennent aussi à différencier ses pleurs et distinguer si elle est fatiguée, si elle a faim, ou si elle a besoin d'être changée. A son premier mois, le bébé a pour seul aliment le lait, qu'il soit, en alternance, allaité ou nourri au biberon. Pendant le premier mois de bébé, il est possible d'appliquer l'alimentation à la demande…

Une fois que bébé est né, il faut voir qu'elle va faire d'incroyables progrès semaines après semaines. Elle développe sa motricité, se tourne, fait des roulades, porte les objets qu'il trouve à sa bouche pour les mâchouiller, observe avec attention ce qui l'entoure : elle a soif de découverte. À ses parents de lui proposer des jouets et accessoires adaptés à son âge, comme un anneau de dentition, par exemple, un hochet dont la sonorité attirera l'attention du bébé.

La petite Buffy a maintenant trois mois, elle s'éveille de plus en plus au monde qui l'entoure et à sa famille… Elle fait, en général, ses nuits. D'ailleurs Joyce et Hank se levaient à tour de rôle la nuit. Lorsque c'était Joyce qui se levait, elle lui donnait le sein et quand c'était Hank, il lui préparait un biberon. Elle apprécie aussi de plus en plus le bain. Lorsque Joyce ou Hank lui prépare sa baignoire, ils mettent du bain moussant en faisant attention à la température de l'eau grâce à un thermomètre. Ils rajoutent quelques jouets en caoutchouc. Pour prendre soin de son bébé comme il se doit, après trois mois passés quasi-exclusivement avec bébé sans oublier les neuf mois à le couver, l'idée de reprendre le travail leur fait un peu peur : comment arriveraient-ils à être séparés de leur petite, plus de huit heures par jour et surtout comment bébé va surmonter cette épreuve ? Tout d'abord, ils tentent de ne pas culpabiliser ni de dramatiser. Ces questions se posent à des milliers de mamans et de papas chaque année...

Joyce et Hank, inquiets, se dirent que leur reprise du travail est un fait, qu'elle approche et qu'elle est bien souvent nécessaire… Il est donc essentiel de s'y préparer ! Joyce commença donc par ouvrir le bébé aux autres ! Il est plus difficile pour un enfant qui ne voit que ses parents de se retrouver du jour au lendemain avec une inconnue ! Pour l'aider et vivre sa journée, commençant donc par confier la petite Buffy à une personne que les jeunes parents connaissaient bien comme un membre de leur famille ou l'une de leurs amies. Laissons-la une demi-journée, pour commencer puis une journée entière de travail et renouveler l'opération. Joyce et Hank en profitaient pour s'occuper d'eux-mêmes.

Buffy a, à présent, quatre mois. Le plus souvent, Joyce avait repris son travail et son bébé de quatre mois l'étonne, ne la voyant que très peu, les jeunes parents étaient subjugués et impressionnés par tout progrès et développement de leur fille ! elle prend conscience de son corps, met ses mains à la bouche et émet ses premiers sons… Pour continuer sur cette belle lancée... Quatre mois est une étape charnière dans l'alimentation de bébé. En effet, c'est l'âge où il peut passer de l'allaitement au biberon et où il peut se diriger tout doucement vers la diversification alimentaire… Pour bien gérer ces étapes importantes. L'allaitement créait un véritable lien entre la maman et le nourrisson. Le sevrage peut donc être mal vécu aussi bien par la maman que par le bébé qui doit s'habituer à la nouvelle sensation du biberon et au goût différent du lait infantile.

Préparer bébé en douceur : il est recommandé d'éviter un sevrage brutal. Joyce ainsi que leur Nanny devaient préparer cette étape plusieurs semaines avant de reprendre le travail en réduisant progressivement le nombre de tétées au sein. Il faut, en général, trois semaines à un mois pour parvenir à un sevrage total. Sa mère devait habituer Buffy à la texture de la tétine en réduisant le nombre de tétées. Ils pouvaient commencer par supprimer la tétée du milieu d'après-midi puis celle de la matinée, avant de supprimer les tétées du midi, puis du soir, et enfin celle du matin. Les premiers jours, conservant deux tétées au minimum par jour afin d'éviter un sevrage trop brutal. Si elle le pouvait, Joyce pouvait, dans ses moments-là, commencer à tirer son lait et à donner du lait maternel au biberon. Ainsi, le bébé pourra s'habituer au biberon sans subir en outre un changement de lait. Elle constatera, en diminuant le nombre de tétées, que sa lactation sera aussi réduite et progressivement, Joyce n'aura plus de montées de lait.

Les jeunes parents devaient commencer, débuter par lui donner des céréales infantiles qui apportent des glucides complexes. C'est un excellent moyen de lui offrir du tonus et de l'habituer à une nourriture plus épaisse. En lui proposant tous les matins, une cuillère à soupe de céréales dans son biberon. Un peu plus tard, Joyce mélange à son lait, un jus de légumes ou de fruit : c'est une excellente manière de découvrir un autre goût. Elle ne lui imposait pas le même jour plusieurs découvertes. Sa nouvelle alimentation doit être progressive pour ne pas la perturber dans ses habitudes. Elle lui proposa des fruits et des légumes épluchés, sans pépins et mixés. Elle commença par une petite quantité : une ou deux cuillères à soupe. Et ensuite, toujours en accord avec le pédiatre, elle augmenta les doses et ainsi de suite tout reposera sur l'évolution de la nourriture des fruits, légumes... Joyce acheta des petits pots pour bébé aux fruits et aux légumes, avec différents sorts de fruits et différentes sortes de légumes afin de l'habituer à tous les goûts. Il y avait des fruits et des légumes que la petite Buffy aimait et d'autres qu'elles aimaient moins. Lorsqu'elle aimait le goût un fruit ou d'un légume, elle ne se faisait pas prier pour finir le pot. Mais quand elle n'aimait pas, elle détournait la tête lorsque Joyce ou Hank essayait de la faire manger avec une petite cuillère. C'est comme cela que ses parents finirent par connaître ses goûts. Et elle devait ressentir à chaque fois les mêmes températures de froid et de chaud respectivement liés aux légumes et aux fruits. Joyce faisait chauffer les pots de légumes avec le chauffe-biberon à la bonne température, les pots de fruits se mangeaient à température ambiante.

Le bébé de Joyce et Hank grandit et ses habitudes alimentaires doivent évoluer pour que sa croissance soit correcte. C'est toujours un moment difficile de changer les habitudes d'un enfant si jeune. Pour l'aider, et Joyce faisait tout en son pouvoir en étant une dame digne afin d'éviter toutes les formes de stress, elle ne stresse pas et elle y allait en douceur…

Enfin, vers ses cinq mois, bébé est dans une phase de découverte ! Plus de motricité, diversification alimentaire, éveil plus prononcé… Il est important de connaître les grandes étapes de la vie de bébé afin de l'y accompagner le mieux possible.


Tout sourire ! dans les yeux d'un nourrisson et celui d'un bébé. Le premier sourire d'un bébé arrive comme un cadeau ! Il marque le début d'une belle complicité entre l'enfant et ses parents. Le premier sourire véritable, véridique, sans pression, apparaît habituellement autour de deux mois. Il survient en réaction au visage, généralement à celui des parents ; Buffy peut, par exemple, sourire parce qu'elle imite ses parents qui sourient devant elle. Vers quatre mois, elle se met aussi à rire. Les premiers sourires sont aussi un merveilleux moyen de créer un lien et d'échanger avec son enfant. Il est possible que les bébés sourient à quatre semaines, mais c'est généralement seulement quand il dort. On parle alors de sourire réflexe. Buffy ne décochera probablement pas de vrais sourires avant l'âge de deux mois ou plus, et seulement quand elle est éveillée.

Le sourire du bébé est une façon de s'exprimer. Par exemple, il peut répondre ; en réponse à un bruit rigolo ou une grimace amusante, pour montrer à ses parents son affection, pour attirer l'attention de Joyce, attention pour interagir avec sa mère, puis son père.

Souvent bien installé dans son couffin ou dans les bras de ses parents, juste après une tétée ou un biberon, ou pendant son sommeil, bébé va esquisser ses premiers sourires. Seule sa mère ou un membre proche féminin et dans des circonstances de lien d'instinct maternelle, le reconnaîtrait à ses yeux fermés et le coin de sa bouche qui remonte légèrement. Un signe qui est bien l'expression d'un sentiment de bien-être physique. Bébé se sent bien et elle le lui fait savoir : on dit alors que bébé sourit « aux anges ». Cette ébauche de sourire n'implique cependant pas encore les muscles du visage nécessaires au véritable sourire.

Des rires aux éclats. Quand le son va s'associer à ses délicieuses mimiques, il n'y a pas de doute que Joyce, elle en était certaine cela parait évident dans tous les sens du terme et les moyens, allait fondre. Ses rires aux éclats sont communicatifs. Rire permet de sécréter des endorphines et vous glisse dans une douce euphorie. Lorsque Buffy était sur son tapis d'éveil allongée, ne sachant pas se trainer sur le sol ou encore mieux marcher sur les mains à quatre pattes, en souriant elle agitait ses bras et ses mains pour attendre que Joyce la prenne dans ses bras en riant, souriant comme une poupée de porcelaine ou un poupon.

Mais peu à peu, le déplacement à quatre pattes est un mouvement alterné des bras et des jambes. C'est le même schéma qui est déjà à la base du ramper et qui ensuite constitue la marche. Ce mouvement alterné est une coordination des deux côtés du corps et s'accompagne d'une coordination entre les deux. La plupart des bébés commencent généralement à ramper. Ne surtout pas, en aucun cas paniquer, ni forcer son enfant s'il n'est pas prêt à franchir des étapes ou pas si le bébé prend un peu plus de temps, car chaque enfant franchit les différents stades du développement à son propre rythme ; Buffy rampait déjà avec beaucoup de force et de motivation, son cerveau lui ordonnant à tous ses petits muscles de travailler en rapidité, en riant, essayant d'échapper à la surveillance de ses parents, mais échoua.

Alors qu'elle n'était qu'âgée que d'à peine six mois, Buffy rencontra sa cousine, Celia, qui avait un bon nombre de mois de plus sur cette terre que Buffy, en ayant un an de plus qu'elle.

Être collant est une étape tout à fait normale du développement de l'enfant surtout celui de Celia qui dès les premières minutes où elle arrivait et pénétrait dans la maison de son oncle Hank et de sa tante Joyce, elle restait toujours à la minute dans les jambes de Joyce et surtout avec sa propre maman à leur jupe. Les enfants traversent cette étape à différents âges et à différents degrés, mais cela est tout à fait normal et ne doit pas poser d'inquiétudes. Ne pas repousser l'enfant, ne pas le gronder et ne pas le punir parce qu'il est collant.

En criant, battant des mains quand le moment d'avoir fait la connaissance de Buffy, Celia cria battant des mains avec joua, tout en lui demandant, en constatation qu'elle avait une jolie poupée comme celle que ses parents lui ont offerte qui en réalité était un très cher cadeau en offrande d'une poupée bébé paraissant en jumeau clone à un véritable nourrisson...

Un autre jour Celia, penchée dans le berceau de sa cousine, lui parlant doucement tout en roucoulant des promesses d'une voix joyeuse et gaité heureuse, elle supplia Buffy de grandir vite de cette façon, de cette manière comme ceci dans ces circonstances pour cela il faut savoir marcher en la suppliant dès le plus tôt possible de marcher.

Buffy regardait sa cousine avec des yeux remplis de bonté et de tendresse alors qu'ils changeront de couleur pour devenir d'un beau vert, répondit toujours Celia en gazouillant ; en passant son petit point de doigts contre la joue de sa meilleure amie et sa cousine.

Elles jouaient ensemble sur le tapis d'éveil avec des jouets de différentes formes, en les secouant ou les portant à la bouche, riant, aimant sentir la découverte des formes glissant sous leurs doigts avec des cubes, le livre en plastique pour enfants spécialement conçu non abimé par la bave de Buffy, les poupées et les dessins des courbes sous ses doigts passant dans des mèches blondes ressemblant, appartenant uniquement aux Barbies…


Dès son plus jeune âge dans lequel elle fut autorisée et eu la permission dans une tranche d'âge précoce, Buffy reçu des leçons ludiques animées avec chacun de ses parents près de la piscine municipale du quartier ; mais qu'était-ce ce club, construit, inventé pour des bébés jusqu'à l'aube des trois ans ou quatre ans de l'enfant ? Les bébés nageurs sont des nourrissons qui contrôlent leur respiration lorsqu'ils sont immergés. Ils coupent instinctivement leur respiration sous l'eau. Par extension, des séances organisées en piscine pour des bébés accompagnés de leurs parents sont appelées « bébés nageurs ». Comment se déroule une séance de bébés nageurs ?

Dans une eau chauffée à 32° degré (pour éviter les déperditions de chaleur), le moniteur propose à chaque parent des enfants différents d'autres familles et celle de Buffy, des séances adaptées en fonction des capacités de bébé et de l'objectif de la séance bébé nageur. Chaque séance se déroule entre trente et quarante minutes selon l'âge de bébé (six mois à quatre ans), dans le petit bassin ou bassin ludique.

La saison commence par une réunion d'information, puis une séance parente sans enfants une semaine après, afin de bien expliquer le fonctionnement. Le but n'est pas du tout d'apprendre à nager, mais bien de passer un moment privilégié avec leur fille en famille. Cette première séance sert à découvrir les bons et les mauvais gestes, pour que le bébé passe un bon moment.

Le cours bébé nageur permet de faire aimer l'eau au bébé, ne pas qu'il ait peur et de conserver l'habitude du contact avec le milieu aquatique qu'il connait de sa vie prénatale. De plus, dans le quotidien, les parents manquent de temps avec leurs enfants. Les "bébés nageurs" leur permet de vivre un moment privilégié avec bébé et renforcer la relation parents/enfants.

La piscine, idéale pour éveiller son bébé, les cours « bébé nageur » contribuent à l'épanouissement des bébés par la découverte du milieu aquatique. Les cours « bébé nageur » aident à l'éveil des sens, améliorer le relation parents/enfants, la socialisation.

L'enfant apprend à connaître son corps et ses limites corporelles. Il acquiert également des repères spatiaux. Sur le plan sensoriel, le bébé part à la découverte de centaines de stimulations nouvelles : goûts, odeurs, couleurs, bruits... Sur le plan du langage, il enrichit son vocabulaire et verbalise les différentes sensations qu'il éprouve. De plus, au cours des jeux, les rires et les contacts stimulent son désir de communiquer avec les autres. Enfin, l'activité permet aux plus jeunes de commencer à accepter la séparation physique d'avec leurs parents.

L'eau de la piscine et de la mer était calme et apaisante contre la peau de Buffy pour laquelle elle s'était vite habituée, comme si l'eau était une seconde peau pour elle en se familiarisant avec le monde aquatique, apaisant, retirant, enlevant tout le stress, cela la détend et l'amuse en découvrant d'autres choses autour d'elle, d'autres enfants, les bruit des plongeons et les jouets autorisés dans l'eau était un amusement, un jeu qui lui plait, flottant autour et grâce à cela, Buffy appris à barbotter avec eux sans jamais quitter les bras de son père ni de sa mère quand ils alternaient entre chaque dimanche matin d'un week-end sur deux. Mais l'eau, pour certains enfants à la peau très extrêmement fragile de la piscine, contient du chlore, ce qui peut dessécher la peau du tout-petit. L'eau salée de la mer et le sable peuvent avoir le même effet irritant et asséchant.

Lors de la première sortie à la piscine avec bébé, Joyce et Hank commençaient par lui faire tremper les pieds dans la pataugeoire. Joyce ou Hank laissaient découvrir l'eau et les éclabousser, Buffy reçut un des petits jouets pour qu'elle s'amuse dans l'eau. Lorsque Joyce sentirait que bébé est en confiance, elle pourra l'immerger un peu.

Dès que Buffy arrive à la piscine, elle trépigne d'impatience. Elle a noué beaucoup d'amitiés dans l'eau. Joyce et Hank se sont fait aussi des amis. Ils jouèrent et riaient avec elle… Joyce, en observatrice pointilleuse et fidèle à elle-même pour s'apercevoir facilement sans qu'on lui cache quelque chose quand bien même c'était un secret ou quelque chose à peine visible, remarquait qu'il y a rarement des pleurs autour des bassins. Ce sont des moments câlins et ludiques très privilégiés et uniques en eux chacun après l'autre.

Il y avait un long tapis en mousse posé sur l'eau, les parents se mettaient à tour de rôle au bout du tapis et leur bébé devaient rejoindre le parent à quatre pattes en suivant le long du tapis. Et pleins d'autres jeux aquatiques encore qui faisaient réaliser Buffy ne voulant jamais quitter la petite piscine...


L'espoir de Noël. Quel est l'esprit de Noël ? L'esprit de Noël, qu'est-ce que c'est ? Depuis sa création et le début de l'histoire de Noël, c'est un sentiment subtil où plane dans l'air de la patience, de la joie et de la magie. Chacun est plus bienveillant, à l'écoute et généreux. Ce qui ramena encore à une question belle de sens de féerique. Pourquoi Noël est magique ? Des fêtes ont toujours célébré ce retour de la lumière : les gens décoraient les maisons et mangeaient ensemble. Pour les chrétiens, Noël célèbre aussi la naissance de Jésus dans une étable. Leur lumière, c'est Dieu. Les enfants attendent que le père Noël ou Saint Nicolas leur apporte des cadeaux s'ils ont été sages.

-À l'approche de Noël, bons nombres d'enfants pauvres, de familles brisées mises à nue par des orphelines ou orphelines ne retrouvant aucun espoir d'avoir des fêtes traditionnelles remplies d'amour, de sombres témoignages mais également qui se termineraient dans l'espoir en conte de fée. Après la mort de leur mère, une jeune fille, dix-huit ans, et sa sœur cadette s'installent dans un appartement de New York, essayant de joindre les deux bouts avec l'argent que leur mère a laissé. Buffy fait du bénévolat dans une librairie dans l'espoir d'être embauchée à temps plein et est employée comme elfe au centre commercial pendant la saison des achats des Fêtes.

-Alors qu'elle travaille dans un petit café pendant la période des fêtes pour aider à payer l'université, une jeune femme découvre rapidement que tout dans sa ville n'est pas comme il semble. Et puis...

Après une visite de description des locaux de l'entreprise de Hank aient fait un petit tour des lieux, qui consistaient en quatre bureaux ainsi qu'une salle de réunions, une alcôve pour l'assistante, le grand hall, ils revinrent dans le bureau de William où il lui expliqua ce que représentaient les modèles réduits. Elle s'extasia notamment devant la salle de spectacle qui avait été aménagée dans l'Ouest de Los Angeles, et qui avait fait couler beaucoup d'encre.

Depuis le moment où l'on était entré dans le building, Joyce avait été impressionnée par la grandeur et la modernité des locaux. L'étude Summers-Los Angeles logée dans cet immeuble avec d'autres compagnies, était constituée d'un ensemble de salles vastes et agréables et le bureau de Hank lui-même était époustouflant : immense, avec une majestueuse table à dessin, et ces grandes baies vitrées qui donnaient à la pièce une belle lumière. La vue était dégagée sur le reste de la City, et on pouvait deviner un ruban de la Tamise, ainsi que les coupoles du toit de l'église voisine qui étincelaient sous un soleil exceptionnel en toute saison.

Un cabinet d'architecture, ou agence d'architecture, va regrouper plusieurs architectes, chacun pouvant avoir sa spécialité. De plus en plus souvent, les agences d'architectures abordent une approche pluridisciplinaire. Elles vont donc compter, en leur sein, des professions complémentaires de l'architecture.

-Un étranger tente de renouveler l'espoir qu'une jeune femme et sa sœur ont failli perdre pendant les vacances.

-L'histoire de conte dramatique tragédie et féerique histoire de contes pour enfants. À l'approche de Noël, Emily, une fillette de neuf ans, perd tragiquement sa mère. Elle est prise en charge par Patricia Addison, qui travaille dans un centre de protection de l'enfance. Malheureusement, la jeune femme ne trouve aucune famille d'accueil et décide d'emmener la fillette chez elle.

Et c'était ainsi partout dans le monde entier alors que tandis que le temps s'écoulait, la famille Summers célébrait les fêtes dans leur doux foyer mais également faisant remettre la joie et l'amitié et l'amour et les retrouvailles des cœurs dans les locaux des travaux respectifs ; et en particulier dans l'étage architecture, des guirlandes et des boules lumineuses à disposer sur le sapin, sur les murs, sur vos plantes de bureaux… des vases lumineux à placer sur les étagères et les bureaux, des photophores à disposer à l'extérieur, sur les balcons et les terrasses, un arbre de Noël lumineux à installer dans le hall d'entrée. Des guirlandes et des boules lumineuses à disposer sur le sapin, sur les murs, sur vos plantes de bureaux… Des vases lumineux à placer sur les étagères et les bureaux, des photophores à disposer à l'extérieur, sur les balcons et les terrasses, un arbre de Noël lumineux à installer dans le hall d'entrée.

Le sapin de Noël en entreprise, de même que la décoration des locaux qui l'accompagne généralement, représentent donc un excellent moyen pour apporter une ambiance chaleureuse et alléger les esprits en période de fin d'année.

Hank Summers reposa le combiné sur son socle avec agacement, et passa une main sur sa nuque. Il venait d'avoir une conversation désagréable avec un avocat, et pour la première fois depuis qu'il exerçait son métier avec une ferveur presque implacable, il ne ressentait pas exactement la même combativité.

Il avait eu le coup de foudre pour cet archipel minuscule, tout près des côtes bretonnes, lors d'un passage de retour d'un séjour en France l'été précédent, et, quand la municipalité de Bréhat avait mis la proposition de construction d' « un ensemble de loisirs » entre les mains de plusieurs cabinets d'architecture, c'était sa société qui avait été la plus convaincante. Ce projet s'annonçait comme une réalisation d'envergure, et, selon les termes du contrat, il avait la liberté de proposer la construction de quelque chose qui rapporterait le plus de renommée à ce site dont la beauté préservée était exceptionnelle.

Il n'y avait que trois hôtels dans l'île, et la vente d'un terrain idéalement situé, face à une crique sablonneuse et rocheuse, avait mis le monde de l'immobilier en émoi.

Summers avait aussitôt songé à un hôtel de luxe, d'un genre nouveau, très original, et qui, il en était persuadé, obtiendrait les faveurs de ceux qui avaient passé la 'commande'. Futuriste. Depuis trois mois, depuis le milieu de l'été - il avait même écourté ses vacances - il travaillait sur les plans d'une réalisation qui serait sans commune mesure avec ses précédentes réussites. Mais voilà que surgissaient des problèmes imprévus : l'avocat représentant la famille qui c'était arrêté il y a soixante-dix ans de cela,- ceux qui avaient cédé le terrain à la municipalité-, venait de le contacter pour annoncer que le jeune héritier prétendu, réclamant ses droits sur des terres immensément magnifique, voulait avant tout que les souhaits de son grand–père, marin pêcheur, soient respectés, et par conséquent, il s'élevait contre la construction d'un hôtel, et cela signifiait une montagne de tracas en perspective. A travers la mention d'un testament, de volontés finales et d'autres particularités, son cabinet d'architecture se trouvait pris dans une tourmente juridique qui interrompait brutalement ses intentions.

Il serait décidément inévitable de faire appel à une équipe d'avocats d'affaires, spécialisés dans ce genre de litiges. Hank se leva, et alla se tenir devant les larges fenêtres de son bureau, d'où il bénéficiait d'une vue étendue sur la City, et au loin sur sa gauche, il avait même la chance d'apercevoir la silhouette romantique de l'église.

Si cet homme au nom inconnu des Trevenolé voulait faire valoir ses droits, il était décidé à lui faire connaître la détermination de celui qui avait fait sa réputation de manière parfois fracassante dans les dernières années : Hank Summers savait faire preuve d'une dureté et d'une inflexibilité déroutantes, quand il cherchait à faire aboutir ses projets. Son talent extraordinaire, son originalité, son audace en matière de conception mobilière, avait fait de l'agence Summers-Los Angeles une des meilleures sociétés de l'état de Californie mais surtout avant cela de toute la ville de Los-Angeles. Il n'était pas question d'échouer sous prétexte qu'un jeune homme au cœur tendre avait décidé d'honorer la mémoire de son ancêtre.

Ce serait la plus grande affaire que son entreprise eu jamais connu, pour faire valoir ses droits et les idées, autorisation de construire, mais aussi les luttes de personnes revendiquant certain droit à garder leur maison, les droits des personnes qui aimait plus que tout certains lieux de nature ou campagne des parcs à rester comme il le resterait toujours ; malheureusement pour certains des combats, des pauvres gens perdirent leur maison ou des immeubles qui y étaient habitués à habiter et à vivre et cela sur plusieurs générations ; Hank gagnait.

Un somptueux étage à deux pas du bureau de leur patron leur employeur, il était en effet rempli de monde. La musique n'était pas assourdissante, et la fête se déroulait dans trois pièces adjacentes, sans doute à l'origine un salon, un séjour et un bureau, mais il y avait vraiment des gens partout, peut-être au moins soixante personnes, pensait Joyce, étourdie. Leur hôte les accueillit à l'entrée, expliquant qu'il avait eu l'astuce de convier ses voisins d'en dessous, un jeune couple de brocanteurs ; ainsi, seuls quelques voisins pourraient se plaindre du bruit ! de tout Noël le bruit, les bavardages, la musique faisaient que les sons sortaient de sous les portes et fenêtres ouvertes qui s'échappaient dans les rues.

En arrivant dans les lieux des locaux de l'agence de son mari, il y avait eu à peine quelques personnes qui étaient restées sur leur lieu de travail pour ne pas à avoir à revenir en faisant des allers et retours entre leur foyer et les locaux de la bâtisse ; ce n'était encore que de jeunes célibataires ; Joyce arriva sur les lieux avec Buffy dans ses bras, âgée d'à peine onze mois. Au cours de la réception, bons nombres des employés de Hank avaient des enfants de différentes tranches d'âge mais le maximum durée d'âge ne dépassait pas les treize, quatorze ans ; Buffy était très curieuse et tournait la tête, son regard dans toutes les directions...

Angélique et ses petits voisins, copains et amis du voisinage et du travail de son papa ; dès qu'Angélique a appris à marcher, elle est de tous les jeux. De son vivant, Angélique aimait tout le monde et adorait se faire photographier par ses parents entourés d'autres enfants ; Certains enfants du quartier sont Catholique, et venant de milieux et classes sociales différentes. D'autres protestants ou juifs, ils sont, bien entendu, très curieux de connaitre les différentes fêtes religieuses. Angélique avait été invitée à la communion de l'une de ses petites amies et même à des baptêmes... Et lorsque la famille Summers fêtait Thanksgiving ou Noël les enfants du quartier et ceux des collègues de ses parents étaient parfois invités.

Buffy bougeait très peu dans les bras de sa mère en babillant formant des monosyllabes ; produit des sons (gazouille) de façon volontaire. Elle aime regarder ses parents dans les yeux, elle s'intéresse à son environnement et elle réagit à la voix de maman et de papa en tournant la tête dans leur direction ou en arrêtant de pleurer. « Bababa », « tatatata », "dada" les enfants babillent souvent à l'unisson dans la crèche ou chez l'assistante maternelle et s'entrainent à produire différents phonèmes. Cette étape est très importante dans le développement du langage puisqu'elle est la phase d'appropriation de la langue maternelle. Les premiers gazouillis ; elle roucoule, glousse… bref, découvre les mille et une possibilités qu'elle a d'émettre des sons. Ces petits gazouillis sont communs à tous les bébés, quelle que soit leur langue maternelle. Ils sont, pour son bébé, une manière de montrer qu'il se sent bien.

Pourquoi bébé soupir ? Ses pleurs, ses mouvements rapides et ses soupirs peuvent tous signifier qu'il éprouve quelque chose de nouveau. Ils peuvent également vous aider à mieux comprendre quand il est affamé ou fatigué. Et c'était ainsi que tout commença, en ayant peur malgré tout le cachant en étant dans les bras à tour de rôle dans ceux de Hank et ceux de Joyce.

Tous ces regards posés sur elle faisaient se sentir Buffy extrêmement mal à l'aise. Chaque son lui semblait amplifié, chaque chuchotement lui semblait être un cri, et elle se mit à trembler comme une feuille en se cachant dans les longues robes de sa mère. Voyant la détresse dans laquelle elle se trouvait, Joyce la repris a prenant prise dans ses bras.

En cas de frayeur, elle ouvre grand les yeux en fixant un point et il lui arrive de rejeter la tête en arrière. Quand il est effrayé ou qu'il souffre, le bébé a tendance en outre à crier fort d'emblée, à l'inverse de la colère qui se manifeste par une agitation et des cris de plus en plus forts, mais Joyce était toujours dans l'instinct en les reconnaissant et elle sut comment, de quelle façon et de quelle manière calmer et apaiser les cris et les frayeurs en la rassurant et la calmant comme une ligne déjà toute tracée et définie rien n'était anodin il y avait toujours une raison et solution, une manière de calme.

Mais au cours de ses pleurs de manière négative en sous les larmes et le désespoir entre attendre et laisser passer les moments désagréables non enviable de craindre si fortement perçu comme un drame, un inconfort et une blessure, il y avait des moments de lumière, de plaisir, partage, souvenirs et instants, moments bénis et rendus heureux grâce à son prochain ; Buffy reçu un cadeau de la part d'un collègue de son père Hank, un cochon en peluche. Le collègue s'approcha de Hank qui tenait Buffy dans ses bras, lui fit un bisou et lui offrit ce cochon en peluche qui deviendra très vite son doudou et le plus préféré de toutes ses peluche et le surnommera, Mr Gordo, le caressant, le trouvant si doux, si réconfortant avec son pelage rose qui restera gravé dans son cœur de petite fille ; c'était une peluche assez grande mais à la fois petite donc de taille moyenne et pouvait donc être installé, placé dans son berceau à barreau. Son jouet préféré.

Certains enfants adoptent un doudou, qui devient un objet précieux qu'ils apportent partout. Il peut s'agir par exemple d'une couverture de bébé, d'un toutou ou d'un bout de tissu que les tout-petits aiment serrer contre eux, suçoter ou cajoler.

Quand un bébé commence-t-il à s'attacher à un doudou ?

L'attachement à une doudou apparaît souvent autour de 8 mois, au moment où se présente l'angoisse de séparation, une étape normale du développement des enfants. À cet âge, le bébé commence à réaliser qu'il est une personne distincte de ses parents.

Ce ne sont toutefois pas tous les enfants qui adoptent un doudou. Cela dépend des tout-petits, mais aussi des pays. Quel est le rôle d'un doudou ? Le doudou peut donc servir de « pont » entre le connu (les parents, la maison) et l'inconnu. Comme elle est une source de réconfort pour le tout-petit, elle facilite les transitions. En la serrant contre lui, l'enfant prolonge le sentiment de sécurité qu'il ressent chez lui et en présence de ses parents.

Des poupées autre peluche en formes de différents animaux appartenaient à une petite fille du nom de Buffy. Elle jouait également avec un clown, Rictus et un poupon, Big Baby, mais son favori était Mr Gordo…


C'était voilà devenu un grand changement dans la vie de chacun des couples qui étaient différenciés et se développaient, évoluaient dans des foyers qui n'avaient pas les mêmes valeurs, la même éducation mais qui restaient quand même primordial et était toujours la même envie, les mêmes choses quand un bébé -son bébé- devient un enfant ; un bébé devenant une petite fille le jour de ses uns ans. Mais où est passé son bébé ? pensa Joyce ; leur vie avait grandement changée pour le meilleur dans la vie de ces quelques mois de vie à trois, comment avait-il put vivre sans elle autrefois, leur foyer devait rester ainsi ne plus être bouleversé et resté mais continuant à grandir, jusqu'à ce que Buffy grandisse et évolue, change au fil des ans pour avoir peut-être sans un doute un autre enfant, deuxième enfant -un bébé- et troisième enfant ; Buffy était devenue une petite fille avec sa forme de bébé magnifique avec ses cheveux blonds attachés par une épingle -barrette- de couleur jaune rose ; Buffy put être habillée une toute première robe et nouvelle en neuf sa robe rose avec ses petites manches courtes quelque peu bouffantes avec de la dentelle blanche cousue dans l'ourlet.

Pour cette célébration, ce jour particulièrement unique à ne jamais oubli é car un enfant, un unique enfant, qui pourra se souvenir de son premier anniversaire, sa première fête, il suffirait de le savourer, appréciant chaque détail, chaque moment ; chaque bébé avait possédé sa première fête, son unique première fois ou on prouvait qu'on est né que l'on a vécu sa première année de vie unique de son existence... Et c'était cela le plus beau cadeau, le plus précieux du temps...

Buffy Summers était devenue, en changeant, évoluant tous les mois, la plus belle des bébés et des petites filles. Buffy était une adorable petite fille. Elle était blonde et élancée, tous ceux qui voyaient la petite fille la trouvait immédiatement charmante, adorable, jolie et superbe.

Comment fêter les un an de son bébé ? demandait souvent chaque parent et plus particulièrement les jeunes mères -jeunes mamans- en faisant de cela un enfant, le sien des plus unique.

Apporter chaque décoration de table, de jolis sets de table personnalisés du prénom de son enfant de Buffy, son âge et une petite phrase de remerciement. Comment nous espérons que vous apprécierez autant que nous de faire sa connaissance. À très bientôt ! Un immense merci à tous pour vos gentilles attentions à l'occasion de ma naissance. Je suis un petit bébé très chanceux ! Joyce pouvait et avait eu l'idée qu'elle accorda et l'évoqua lui faisant part à Hank qui n'avait aucun mal à accepter rien à dire tout pour son enfant ; également prévoir un petit cadeau à offrir à leurs convives. Celui-ci laissera un agréable souvenir de la première fête d'anniversaire de son enfant, sa jeune Buffy. Des dames qui gardaient des enfants aux alentours de leur maison ont été invitées avec les enfants qu'elles gardaient. Certains avaient fait des gâteaux et d'autres avaient apporté des jus de fruits. Cette petite fête se fit dans le jardin des Summers. Hank et Joyce avaient installé une table de jardin avec des chaises. Il faisait très beau ce jour-là.


Le temps de l'enfance

Dans un regard mélancolique à travers le portail qui s'éparait de la résidence Summers et de leur terrain jardin clôturé, l'on pouvait voir des enfants jouer dans la rue et dans un quartier des plus agréables, familiers, cela plait aux enfants des voisins unis pour les enfants jouant sans danger. Avec, dans certains quartiers, on construit beaucoup dans des nouveaux quartiers, cela plait aux enfants qui trouvent à profusion du sable pour jouer. Privée de cette liberté qu'avait d'autres enfants plus âgés, où il n'y avait que très peu de voitures, autos pour qu'il n'y ait pas de risque d'écraser des petits, Buffy joue dans le bac à sable. Elle n'a pas encore le droit de sortir du jardin, contrairement à certains petits cousins, cousines et si Angélique était encore vivante, qui elles -ils- joueraient dans la rue avec ses petites amies. Buffy regarda pendant très longtemps les jeux de nombreux enfants en restant dans son bac à sable, sa balançoire et ses jeux d'extérieur.

Une fillette joue à la corde à sauter ; des filles font du vélo et du roller ; des enfants jouent avec des planches à roulettes ; un petit garçon joue à la station essence avec une petite fille dans sa voiture ; des enfants jouent sur une balançoire ; ces garçons ont eu la bonne idée de s'accrocher à une voiture pour ne pas se fatiguer ; des petites filles jouent aux infirmières et emmènent une poupée en ambulance ; des enfants jouent aux billes ; des enfants accrochent des cordes aux réverbères pour créer des balançoires ; des fillettes font une course à dos de mouton ; une fillette danse pour son ours en peluche dans les rues ; des enfants jouent à saute-mouton dans la rue ; des fillettes font du vélo ; des enfants jouent aux cowboys et aux indiens ; un jeune garçon joue avec un avion dans la rue

Et comment devant oh combien elle rêvait de pouvoir sortir du jardin et jouets dans le terrain de jeux avec d'autres enfants se faisant de nouveaux et nouvelles amies, cela lui apporterait beaucoup d'avantage de sociabilisation et de créer de nouveaux liens avec des enfants de son âge ou plus âgés...

Mais cela viendra plus tard, pour le moment et l'instant, Buffy devait profiter de oh combien elle était petite et profiter d'être toujours considérée comme un bébé, profitant de l'enfance, un jour, pour créer, rencontrer, côtoyer d'autres enfants… Il faut qu'elle grandisse et laisse le temps s'écouler.


1983

Lise Goslar se souvenait de la toute première fois où Buffy et elles s'étaient vues, ainsi que l'autre petite fille avait possédé ce souvenir en mémoire durant l'année du mois de Janvier 1983. Leurs mères -maman- respectives faisaient les courses dans une épicerie du quartier dans le sud de Los-Angeles, comme elles étaient communément de la racine, souche, de l'accent anglais Américain, les deux familles. Elles s'étaient mises d'emblée à parler anglais comme elle le faisait couramment, quotidiennement comme souvent et naturellement, normalement ; la petite Buffy et la petite Lise s'observaient, la blonde au châtain foncé presque brun, aux grands yeux pleins de curiosité et la timide au teint de lys. Aucune des deux n'avaient dit bonjour à l'autre…

Une crèche est un lieu d'accueil collectif destiné aux enfants préscolarisés, dès l'âge de deux mois et demi. La crèche a pour rôle de pallier au mieux l'absence des parents, mais sans s'y substituer. C'est une structure familiale qui a pour objectif principal de proposer un service public de qualité et adapté aux besoins de la population. Notre structure permet à un personnel qualifié d'accueillir et d'accompagner les enfants pendant l'absence des parents. Le jardin d'enfants est un mode d'accueil pendant la journée. Il se situe, dans son fonctionnement, à mi-chemin entre la crèche collective et l'école maternelle. Le jardin d'enfants propose des activités pédagogiques favorisant l'éveil des enfants. Certains jardins d'enfants accueillent des enfants handicapés.

En toute petite section, dès le plus jeune âge, à la garderie du jardin d'enfants, les enfants apprennent à peu près les mêmes choses que ceux qui intègrent la petite section à trois ans : découverte des livres, du graphisme, manipulation de crayons et objets, écoute d'histoires, développement de la motricité, découverte du corps, travail sur le langage...

Buffy avait à peine deux ans…

Buffy allait être dans une structure qui demandait à ouvrir ses portes pour plus d'enfants, dans différents groupes d'une dizaine ou une vingtaine enfants alors que chez sa nounou, il n'y avait que quatre jeunes enfants plus jeunes ou plus grands que Buffy ; ses parents commençaient le jardin d'éveil. Mis en place par la mairie, le jardin accueille les enfants la dernière année avant la maternelle dans un lieu type, crèche en petit comité (une dizaine d'enfants) deux demi-journées par semaine pour faire des activités. Ce système est très intéressant, car il permet aux enfants d'apprendre à vivre en communauté et prépare doucement à l'école du premier Grade.

Elle est passée d'un cadre avec beaucoup d'assistantes maternelles autour d'elle pour répondre à ses besoins individuels à une équipe d'animateurs, puéricultrices, institutrices, avec beaucoup (trop) d'enfants. Cela changeait ses habitudes, elle était effrayée par tous ce monde autour, elle était souvent en pleurs et déconnectée. Elle était encore trop petite pour gérer toutes ses nouvelles émotions ; Joyce avait eu beaucoup de mal à faire face à ce changement. À voir Buffy, sa petite princesse, hurler tous les matins car elle ne voulait pas que sa maman la laisse. À accepter que dans la journée, on ne lui mettrait pas de crème solaire, on ne l'accompagnerait pas aux toilettes, que Joyce ne saurait pas à la fin de la journée si elle avait bien mangé ou bien dormi… À récupérer Buffy le soir qui pleurait en courant dans les bras de sa maman… À la voir si fatiguée et énervée le soir…

Au tout début, ses parents avaient eu le souhait, grâce aux avancées de leur fille en développement, de la laisser au début que trois heures, un quart de matinée. Il y avait des jours où Joyce venait la chercher en fin de matinée, elle mangeait et faisait la sieste à la maison et n'y retournait pas l'après-midi mais parfois par moment quand tout se passait bien et que Buffy fit la demande et était assez en bonne santé elle réalisait ses siestes au jardin d'enfants. D'autres jours, elle n'y allait que l'après-midi après le déjeuner et faisait la sieste à la crèche en prenant ensuite le gouter et d'autre fois, elle faisait la sieste à la maison et allait à la crèche en milieu d'après-midi pour le goûter et les jeux.

Peu à peu ses parents rallongeaient la journée à la crèche en l'amenant le matin et en allant la chercher en milieu d'après-midi après la sieste et le goûter. Mais qu'une journée entière par semaine pour l'habituer petit-à-petit à la vie en crèche avec d'autres petits enfants et plusieurs grandes personnes qui veillent sur tout un groupe d'enfants.

Mais elle ne réussissait pas à s'intégrer au groupe qui était trop grand pour elle. Elle ne demandait qu'à être sociable.

Et c'était en cette fin de Juin 1983 que tout commença pour la fillette âgée à présent de deux ans et six mois…

Le premier jour à l'école Montessori, la mère de Lise, Mme Goslar avait dû trainer sa fille jusqu'à la porte de sa section de groupe d'enfants, étant une des nouvelles enfants inscrites, Lise sanglotait et résistait de toutes ses forces. Elle était agrippée à la robe de sa mère et refusait de lâcher. A travers ses larmes, elle aperçut une petite fille qui jouait avec des grelots. La petite était de dos mais, lorsqu'elle se retourna, Lise reconnut la petite fille de l'épicerie ; son visage rayonna à la connaissance et au savoir qu'elle ne serait pas seule et serait faire avec une enfant qu'elle avait aperçue de loin et dont elles se connaissaient et se reconnues. Lise courut vers elle.

Mais dans une tout autre réalité de ce monde dans les similitudes, cela se faisait faire une autre façon et manière de se rencontrer.

L'école Montessori. Contrairement aux écoles classiques, elles privilégient les activités individuelles plutôt que les activités collectives. Dans une école Montessori, l'enfant va en effet seul vers le matériel qu'il choisit pour apprendre, et matériel après matériel, construit son apprentissage ; la pédagogie Montessori a été établie à partir de deux grands principes : le fait que l'enfant passe par des périodes sensibles dans son développement, pendant lesquelles son cerveau est particulièrement réceptif à certains apprentissages. Il peut donc les apprendre très rapidement et ces exemples d'instruction et d'éducation était parfaites pour un esprit aussi libre que le sien une personnalité vive et stimulant d'activité en aimant bouger et être active en sociabilisation qu'était Buffy...

En se rencontrant tôt le matin, Buffy avait rencontré Lise en la reconnaissant et se souvenant et voulu être encouragée, stimulée en se sentant accueillit avec beaucoup d'attention de patience et de délicatesse face à un nouvelle enfant dans un groupe que l'enfant ne reconnut point, et était devenu intimidé ; Buffy accueillit chaque enfant dans le même contexte et la même façon, la même manière; Buffy s'était avancée avec un grand sourire à la petite fille qui avait six mois de plus qu'elle -âgée de trois ans à peine...

Un matin, ce fut un jour ordinaire comme chaque jour, la journée s'annonçait sans cesse bien ; Hank accompagna sa fille à la garderie. Certains signaux ne trompent pas sur l'intégration d'un enfant dans son école. Regardez les élèves quand ils arrivent le matin. Sont-ils joyeux ? Ont-ils envie d'y aller ? et ce qui ne trompait jamais Buffy était heureuse d'être à l'école un sourire ornant son visage et ses lèvres en ne pleurant jamais plus ; aller à la garderie, cela nous permet d'apprendre beaucoup… Mais au jardin d'enfants, on se fait aussi des amis. La crèche, c'est aussi un lieu amusant pour apprendre : on va au cinéma, on fait des sorties, on part en classe de découverte). A la garderie, il y a des moments de travail et des moments de récréation, de jeux et c'est bien.

Buffy souhaita à son papa une bonne journée avec un baiser sur chaque joues "Au revoir papa..." ou "A ce soir".

En courant dans toute la garderie au niveau d'étage des jeunes enfants, Buffy fit résonner en secouant, en agitant une clochette heureuse, dynamique et pleine de vie en allant chacun vers les autres et Nanny en disant bonjour à chacun. En grande observatrice et en relationnelle humaine compatissant, aimant, analysant et faisant des critiques elle avait toujours des mots et un résumé de chaque personne connue autour d'elle. Dieu sait tout, mais Buffy en sait bien davantage, ou sait mieux que lui ! La fillette aperçue une petite fille en pleurs accrochée aux bras de ses parents qui essayaient tous deux de la calmer et la rassurant, lui promettant de rencontrer des dizaines ainsi que des tonnes d'autres enfants, apprenant à connaitre et se faisant ainsi des amies.

Buffy vient vers eux, elle agita avec sympathie, avec douceur et écouta la clochette en forme de grelot, Lise se tut en observant l'autre petite fille, qui mit entre les mains l'objet qui fit du bruit, en oubliant jusqu'à l'existence de ses parents, la jeune petite Lise se sentit en confiance, entourée et aimée ; la petite fille blonde demanda :

"Comment tu t'appelles ?"

Avec une voix petite, timide qui rappelait les sons d'un lapin, d'un cochon d'inde et d'une souris répondit "Lise Goslar. Et toi ? "

"Buffy Summers."

Lise lia ses doigts et sa main dans ceux de Buffy qui l'entraina dans leur salle de jeux. La petite fille blonde demanda à Lise d'arrêter d'agiter la clochette...

Des jeux d'encastrement, d'empilement, de rangement. Un des grands classiques pour accompagner la motricité fine est la semoule, les petits adorent transvaser, remplir, vider. Grâce à cette activité, ils apprennent à coordonner leurs mains et à utiliser des outils. Grâce à ce grand parcours de motricité les enfants vont devenir de véritables champions des courses d'obstacles. Courir, ramper, sauter et même glisser pour finir par un plongeon dans la piscine à balle, ce parcours du combattant est composé de cinq modules de motricité... Et bien d'autres jeux de lieu et place d'activité pour découvrir tout...

Et c'était ainsi que tout se mit en place en se déroulant, en commençant par l'amour amicalement. Une histoire d'amitié qui se résumait en amour entre deux jeunes enfants, de perte et de croissance pour devenir la personne dont vous avez toujours eu besoin pour devenir, que les deux petites filles devinrent les meilleures amies pendant durant toute la vie et même jusqu'après, elles développèrent et développeront une amitié extrêmement forte et puissante restant inséparables, cette présence commune de l'une de l'autre, d'abord source de réconfort et que dont Buffy ne reverra jamais chez une autre petite fille.


Une meilleure amie, c'est la vie. Elle écoute, elle rigole, elle partage, elle aime, elle console, elle conseille, elle est là et sa présence suffit. C'est quoi une meilleure amie ? Mais surtout, quelles sont les qualités indispensables pour être une vraie bonne amie ? Y a-t-il une seule sorte de meilleure amie ? Il n'y a pas de définition exacte. Ce qui est sûr, c'est que c'est l'une des personnes en qui Buffy et Lise avait le plus confiance et dans laquelle leur amitié était si belle, si rare en différence c'était la partie de pureté et d'innocence car rare sont ceux qui réalisent et croient déjà connaitre une personne inséparable et forte et il n'y avait pas ou très peu de chance de le connaitre chez des adolescentes ; elle avait le plus confiance, à qui elle pouvait tout dire. C'est parfois même la personne à qui en qui Buffy et Lise parlaient le plus, avec qui elles riaient le plus.

Son amie intime, c'est la plus belle fille au monde, elle est charmante avec ses joues rondes, ses yeux verts et son regard, ses lèvres charnues et rouges sont très magnifiques que personne ne peut passer sans les regarder ; c'était les deux petites princesses de beauté. Elle est gracieuse, d'une petite taille, ses cheveux sont châtain foncé presque brun, elle a de beaux yeux bleus-noirs un petit nez et une bouche toujours souriante. A propos de son caractère il faut dire qu'elle est très gentille, serviable et calme, elle a la voix douce comme les murmures d'un ruisseau elle est aimée par tout le monde.

Une meilleure amie est votre alliée dans toutes les épreuves. Elles se connaissaient le mieux entre Buffy et Lise partageaient toujours leurs peurs et elle se conseillaient que n'importe qui, et serait prête à faire n'importe quoi pour elle, et vice versa. Elle est la confidente de Buffy, et Buffy lui dit des choses qu'elle ne révélerait jamais à personne d'autre sauf à Lise.

Lise Goslar et Buffy étaient donc toutes deux les meilleures amies du monde jusqu'à atteindre l'univers en enroulant impossible d'enlacer le monde, les bras de l'homme étaient si petits, une poussière dans ce monde atmosphère de galaxies et autre que le néant ; grâce à l'amitié de leurs enfants, leurs seules filles, les Summers et les Goslar, tous en famille apprirent en constatant, s'aperçut en qui se trouvèrent par le plus grand des hasards habitait à une rue de chez les Summers et vice-versa avec les Goslar au bout de la rue résidentielle.

A la garderie, jardin d'enfants, de leur haut de leur trois ans, elles rencontrèrent une autre enfant qui avait exactement le même âge qu'elles, prénommée en surnommée, Sanne, qui avait une sœur de trois ans de plus son ainée, Barbara. Très bientôt le trio, Buffy, Lise et Sanne devinrent inséparables et à vrai dire elles n'étaient plus qu'existence que dans leur univers et monde imaginaire, ne se mêlant plus, gèrent aux autres fillettes du quartier ou de très rarement leur jardin d'enfants. Le quartier où habitait Sanne et sa famille était encore en construction, était un fabuleux terrain de jeux d'aventures et de jeux, rude concurrence pour le terrain de jeux officiels, situé au cœur du lotissement résidentiel.

Les deux fillettes et leurs nouvelles amies, Sanne, traçaient des lignes à la craie sur le trottoir et jouaient à la marelle, aux billets -très grosses les empêchant de les mettre dans leurs bouches entre leurs lèvres ; à chat, à cache-cache au cerveau. Elles faussèrent de la trottinette et du vélo à quatre roues.

Et ils y eurent beaucoup d'autres nouveaux jeux quand, au fur et à mesure qu'elles grandissaient, se déplaçant en développement de croissance….


Vous ne réalisez jamais à quel point vous aimez quelqu'un comme ses parents bien aimés construisant une vie parfaite et bien illusoire, fausse, s'apercevant, vu que cela ne fut pas le cas pour sa mère jusqu'à ce qu'il ne soit plus là. Ne réalisant jamais que son bonheur ne pouvait tenir qu'à un fils minuscule collante d'araigne ; elle ne comprenait pas que sa maman n'aimait plus son papa comme quand elle était encore trop petite pour s'en souvenir, la mémoire mélangeant en mélimélo à l'envers ; ce qui était une véritable catastrophe, un véritable traumatisme qui restera enfoui au plus profond de son cœur et à l'intérieur, à l'abri de son subconscient de l'insouciance. Buffy avait à peine quatre ans

La première fois qu'elle l'avait vu, elle était une enfant innocente de quatre ans sur le chemin du retour. Joyce et Buffy avaient prévu une matinée de projection de nombreux Disney préférés de la petite fille mais sa mère avait soudainement eu une réunion importante et Buffy avait eu une crise de colère au milieu de l'étrange ami du bureau de galerie de Joyce jusqu'à ce que sa mère ait accepté qu'elles aillent à une soirée pyjama de production de fin de soirée. Elles n'ont passé que trois jours à New York, après tout, et ce que sa mère ne savait pas sur l'heure du coucher de Buffy .ne lui ferait pas de mal et puis ce serait comme des vacances de ce que l'on ne connaitrait pas les règles de la maison et que l'on enfreindrait.

Après le spectacle, Buffy était encore bien éveillée et son estomac grondait, alors Joyce a décidé de l'emmener manger des hamburgers puis finir des desserts de glace, pâtisserie et gâteau au chocolat ainsi quelques verres de champagne pour Joyce. Elle avait dérivé dans le restaurant et quand elle s'est réveillée, alors qu'elle était endormie sur le lit de sa maman, elle était sur le canapé dans un appartement inconnu, vaste comme un loft au lieu de leur chambre de motel pourri, délabré.

« Maman ? » Elle se leva, sans peur, et jeta un coup d'œil dans la pièce voisine, une cuisine très blanche et propre, pas du tout comme la leur à Los Angeles. L'homme, un Gentleman du début de la journée, était là, vêtu d'une longue chemise boutonnée, qui semblait étrangement familière. Il a sauté quand elle a vu Buffy. « Joyce, mon bébé, ton enfant est debout et réveillée ! »

Mais où était sa maman ? Alors qu'elle pensait cela la voix familière douce et profondément aimante et maternelle avant d'être dans ses bras, Joyce accepta de laisser derrière elle en mettant de côté, jetant la prudence au vent en lui expliquant que ce gentil monsieur était un collègue et un partenaire de travail quelqu'un un lien de contrat de partenariat et fournisseur d'œuvres d'art... Mais il y avait tout autre chose, un secret, quelque chose de grave, terrible et mauvais qui ferait pleurer la petite fille.

Joyce avait un secret, une aventure, elle avait un amant ou un autre amoureux que son papa, pensa Buffy ; et Joyce voulut faire promettre à sa fille de garder ce secret, il ne devait pas savoir, personne, cela serait grave pour des circonstances avec la famille et Buffy ne devait pas y être jointe, mêlée...

Et de toute façon, c'était la fin de leur liaison, Joyce refuserait de laisser tomber derrière elle, abandonnant sa véritable famille pour une nuit d'amour...

Et Buffy ne s'en souviendrait pas, de la même manière son cerveau rejettera ce souvenir…. Malgré ses pleurs torrentiels de sous la pluie en avant, laissant couler dans le vent.


Dès années plus tard, comment en vouloir à son père de les quitter en retrouvant l'amour chez à l'intérieur d'une autre femme alors que c'était elle-même, Buffy, qui avait couvert, caché les relations adultérines et si graves de sa mère, alors en voyant son père faire de même plusieurs années après, tout ceci sous le nez de la jeune adolescente, Buffy en fut si lasse, détruite et anéantie que cela ne lui fit plus rien en guérissant les plais et blessures rapidement. Ce n'était plus rien…


1985

Il y a des milliers et des milliards d'années plus tard il y a fort, fort longtemps depuis le commencement de tout humain connu reconnu comme l'homme moderne, la Tueuse potentielle, également connue sous le nom de Tueuse en formation, ou Tueuse en attente, était chaque fille humaine née avec le potentiel de devenir une Tueuse, choisie par des forces mystiques. Par définition, toutes les Tueuses avaient déjà été des tueuses potentielles bien que tous les Potentiels ne deviennent pas nécessairement une Tueuse, que ce soit en raison de leur propre mort ou de la longue survie de la Tueuse actuelle.

À l'origine, une seule Tueuse était appelée à la fois, activée après la mort de la précédente. Cependant, il y avait beaucoup de potentielles partout dans le monde, dont chacune pouvait être choisie. Dans la plupart des cas, ces filles ont été identifiées par le Conseil des Observateurs et affectées à un Observateur pour les guider et les former, afin qu'elles soient préparées si elles étaient appelées à être la Tueuse. Cependant, comme les Observateurs eux-mêmes n'avaient qu'une vague compréhension des forces qui ont choisi la Tueuse, ils étaient incapables d'identifier toutes les Potentielles du monde. Il y a eu de nombreux cas dans lesquels la fille était complètement inconsciente de son appel potentiel, et est restée ainsi à moins qu'elle ne soit activée en tant que nouvelle Élue.

Mais durant le temps de quelques manières et de façon quelconque, le Conseil des Observateurs ou les chaises remplit tout autour d'une table ronde et large d'anciennes chaises dont les membres étaient ici dans des missions de nombreuses années et donc rempli de générations qui ne comprenaient rien, plus rien, dépassée par le changement, ils étaient dirigés par Quentin Travers, un homme qui commençait à entrer dans le troisième âge. Buffy Summers est découverte par le Conseil à un très jeune âge, d'une façon mystérieuse mais également avec force et conviction et doute que ce ne serait pas un bon signe, et malveillant.

C'est elle et personne d'autre dans son foyer aucun autre membre de sa famille. Elle a été activée comme une lumière d'étoile dans un appartement. En l'activant dans les pouvoirs mystiques en tant que potentielle. Buffy fut activée en tant que future potentielle tueuse dès l'âge de quatre ans, conçus et façonner à la lumière du jour du soleil dans des pouvoirs magiques, mystiques et mystérieux, comme dans des lumières d'un foyer, dans une nuit éclairée de lumière étoilée en son sein dans son corps, il y aura des changements indiscutables et francs que personne ne pouvait voir et concevoir, imaginer, c'était et ce serait dans l'esprit sans jamais dire à personne quel était ce don qu'on pouvait lui offrir…. Un secret à rester enfermé et caché sous coffre…

C'était et ce fut une histoire sombre et noire que fut oubliée de tous et cachée pour ne jamais être répandue et perpétuée et remise en question et réfléchissant sur la surface sur quelqu'un d'autre, sur une autre personne dans le temps ainsi que l'époque où tout ceci eut lieu et vécu, marquant une petite fille qui malgré que tout était à quelques mesures pas de fils rouge raccrochant l'enfant ne fut jamais mise au courant dans le droit bien commun des horreurs et des monstres si près après Buffy.

En ce jour-là qui restera dans les mémoires du couple Summers, dans leurs souvenirs qui deviendront des plus lointains ; en ce jour mémorable et historique pour d'après le Conseil des Observateurs qui n'était plus rien pour avoir découvert l'existence dans l'activité d'élue, une potentielle Tueuse de vampires et qui serait l'une des plus en certainement sans regarder les astres, une élue la prochaine dès lors qu'elle aurait atteint son quinzième anniversaire, c'était une supercherie comme un piège.

En ce jour spécialement conçu par eux-mêmes, pendant longtemps, Joyce et Hank espéraient vivre une vraie vie de famille. Elle rêvait de partager les tâches, d'avoir un support moral et de retrouver son couple, son mariage tel qu'il était au tout début de sa relation avec son époux. Ils forçaient fort pendant plusieurs années. Peut-être sans le divulguer à personne et à quelqu'un même allait en thérapie de couple. Leur couple a survécu. Pourquoi est-il important d'accorder du temps à son couple ? Partager des moments agréables en couple constitue la base d'une relation amoureuse saine et durable. Ces moments rappellent aux conjoints qu'avant d'être des parents, ils étaient aussi des amoureux. Et c'était exactement ce qu'ils voulurent le temps d'une journée se retrouvait ensemble loin de Buffy ne serait-ce qu'une journée jusqu'au coucher du soleil -loin du travail de chacun- Hank avait laissé sa fille Buffy chez ses parents ; la journée avait pourtant bien commencé…

Alors que tandis que Joyce vêtue d'une magnifique robe de journée élégante même en restant chez elle, Joyce avait toujours le physique dans un corps en courbes élégantes et sensuelles et voulait toujours mettre en valeur sa beauté et le désir de rester toujours elle-même quand bien même que derrière des portes closes et le portail du jardin sans personne pour la voir ; comment être une femme sophistiquée ? Les femmes sophistiquées ont confiance en elles, sont assurées et calmes. Le glamour conjugue élégance et sensualité. Mais l'élégance n'est possible qu'au travers d'une sophistication mesurée, de raffinement et de finesse. Dévoiler avec finesse, suggérer avec subtilité, voilà les clés pour une allure à la fois élégante et sexy. Comment être une femme soignée ? Une femme élégante est toujours respectueuse du temps des autres. Et par conséquent, elle est toujours ponctuelle. Pour elle, il est très important de faire preuve de respect et de tact afin de donner une bonne image. Mais aussi pour servir d'exemple aux autres afin de leur montrer ce qu'elle attend d'elles ; comment parler avec élégance ?

Exprimez plutôt ses opinions avec assurance et en peu de mots et montrer que l'on est une personne raffinée qui n'a pas besoin de se faire valoir pour donner un avis. Pas besoin de parler à l'aide de phrases trop longues et trop élaborées pour essayer d'impressionner les gens….

Joyce sortit de sa rêverie au même moment, au même instant, durant le même instant alors qu'elle faisait une légère pause, la sonnette, sonnerie, de la porte d'entrée retendit, la jeune femme ouvrit de grands yeux ronds et remplis pleins de curiosité, n'attendant personne et certainement pas de visite entre copines, entre amies et d'autre dames du voisinage pour une tasse de thé et de délicieuses pâtisseries, non. Elle regarda son mari, Hank avec qui elle posait des questions et reçu une réponse rien qu'en observant ses yeux qui furent tout aussi étonnés qu'elle.

Joyce partit ouvrir la porte en se sentant obligée, comme toujours elle le fut, d'être chaleureuse, en voyant deux messieurs vêtus à peu près de la même façon avec des costumes en tweed, en des hommes taillés, battis physiquement de grande taille et imposants montrant une certaine sévérité imposante, leurs traits de caractère étaient définis par leur fermeté et des traits, des lignes droites et sèches...

En ouvrant la porte après s'être difficilement sortie de sa stupeur et légère inquiétude face d'hommes ressemblant à des personnes adultes de loi les questionnant sur ce qui était peut-être sans aucun doute en train de ce qui était de se passer avec sureté et définition du drame ; les hommes devinrent encore plus mystérieux, lui disant qu'ils étaient en doublon un homologue de similitude d'agent secret pour une association, société de résistance secrète et ils ne pouvait pas parler ni en divulguer comme cela devant une porte de porche d'une maison résidentielle.

Comme on le lui avait enseigné depuis son plus jeune âge par les traditions de sa mère et de sa grand-mère en parfaite fée du Logie en tant que dame importante de femme au foyer dans sa maison de riche en véritable hôtesse, Joyce les fit entrer dans sa demeure.

Joyce les fit entrer dans leur grand salon qui était dans la famille Summers en assemblage à leur maison, les prévenant de l'attendre pour commencer la conversation et de patienter un moment avant de revenir avec des tasses d'eau fumante, remplies de thé ou de café ainsi que des petits gâteaux.

Que voulaient-ils ?

On pouvait penser en même temps que le prouvé que Hank pouvait manquer de tact, de discrétion et de diplomatie en abordant le sujet un peu trop sèchement et en méfiance et que cela se rajoutèrent quand les deux hommes vêtus de tweed, leur révéla leur raison et le but de leur venue, Buffy Summers.

Hein ? Tueuse ? Sorcellerie ? Démon ? Surnaturel ? Paranormal ? ... Et bien plus encore de monstrueux et de terrible.

Oui... Le Conseil des Observateurs était l'institution dirigeante des Observateurs et également des Tueuses, Le Conseil avait maintenu des agents dans le monde entier dans leur lutte contre les vampires et les démons. À un certain moment, les observateurs ont fait de la Grande-Bretagne leur centre des opérations. D'autres bureaux étaient situés à Munich, en Suisse, à Rome et à Melbourne. Les observateurs se consacrent à la traque et à la lutte contre les entités surnaturelles, malveillantes (en particulier les vampires), principalement en localisant les individus ayant les talents nécessaires pour combattre de tels êtres et gagner. Plus précisément, les observateurs sont assignés à des Tueuses, des filles qui font partie d'une succession d'individus mystiquement, puissants qui sont destinées à affronter ces ennemis. À la mort d'une Tueuse, la prochaine Tueuse est appelée en service et se voit attribuer un Gardien protecteur.

Hank était abasourdi, ne croyant pas, refusant de croire à tout ce que les deux hommes lui disaient. Ce n'étaient que des fables, des histoires et des romans d'horreurs ; est-ce qui lui et leur prouvèrent que c'était vrai, c'était la vérité, et ce qui n'était pas le cas il devrait en subir les conséquences avant et après lui être passé sur le corps pour ne pas abandonner sa fille et la lui prendre.

Hank était furieux, faisait ressortir et resurgir sa colère et ses pulsions et ne cachant rien, il fit ressortir tout ce qu'il pouvait ressentir et sans doute c'était en tandem avec sa femme Joyce et ces hommes étaient là pour kidnapper leur fille, la séquestrer et le tenir prisonnière tout en pensant à une secte qui ferait rentrer Buffy dans des hallucinations et des drogues qu'ils pourraient lui faire prendre pour ne rien laisser de son subconscient, lui faisant perdre la tête avec un lavage de ses émotions, de son esprit et de son cerveau. .

Joyce, en tant que maman, était comme toutes les mères, très protectrice pour sa fille et elle pensait la même chose que Hank. Il n'était pas question que Buffy suive ces hommes qu'elle ne connaissait pas. Elle ne sait plus du tout où elle est, si elle doit croire les menaces. Par peur, elle préfère ne pas croire, se voiler la face. Tout est mélangé, chamboulé perturber dans sa tête.

Et au final, en fin de compte, elle ne choisit pas d'écouter sa tête, mais écouter son cœur et son mari, ainsi elle se voilât la face.

Buffy est découverte par le Conseil à un très jeune âge, mais Joyce et Hank sont contre le fait de leur livrer leur fille. Ne voulant pas accepter cela, le Conseil commence à envoyer des démons après la petite fille, essayant de terroriser, effrayer et vaincre en gâchant leur vie à tous les trois, en leur montrant que le danger existait toujours, montrer à ses parents qu'elle a en fait besoin de la formation, auquel cas avait droit et peut-être même le devoir -comme si c'était réel car aucun de beaucoup de jeunes filles étaient des potentielles jamais découvertes- de devenir une tueuse potentielle.


Joyce Summers a soigneusement glissé la couette autour des épaules de sa fille, atténuant la lumière sur la table à côté d'elle avant de placer un baiser sur son front, la circulation bruyante alors que les voitures grondaient près de la maison. Se dirigeant vers la fenêtre, elle tira les rideaux fermés, la lueur de la lune brillant dans la cour avant. « Est-ce que tu as été te brosser les dents ? »

La petite fille hocha la tête, ses longs cheveux blonds étalés sur l'oreiller, ses mains serrant une poupée contre sa poitrine. La robe qu'elle portait était légèrement froissée et elle était couverte de fleurs. « Oui, maman. »

Se retournant, Joyce alla s'asseoir sur le côté du lit, croisant les mains sur ses genoux. La jeune femme regarda avec beaucoup d'amour, de tristesse de peine et d'angoisse dans un regard si émouvant éprouvant de fatigue, les yeux embrumés, voilés par les pleurs de larmes qui risqueraient de tomber à nouveau une nouvelle fois, elle avait réussi à les cacher jusqu'à maintenant, jusqu'à présent ; elle passa ses longs doigts dans la chevelure de sa fille.

Buffy avait ses paupières qui étaient presque closes, elle demanda à Joyce « pourquoi tu pleures maman ? Pourquoi tu es si triste ? »

Joyce a toujours été digne, ne se laissant jamais abattre en se laissant tomber à genoux ou ressemblant à une si petite chose qui serait tombée comme un chiffon dans un tas au milieu du sol, elle répondit à sa fille que ce n'était rien...

En lui chuchotant à l'oreille combien elle était désolée de ne pas être toujours une bonne mère, elle l'aime, Buffy devait le savoir, Joyce sait qu'elle n'est pas comme elle devrait l'être, elle était indigne de son rôle de mère et n'agissait pas toujours en conséquence quand lorsqu'elle devait être protégée du monde sombre de l'extérieur ... comme une maman l'était... ...mais elle l'aime pour toujours. Joyce n'avait jamais eu beaucoup de choix quand il s'agissait de ses enfants, il s'y mêlerait regrets et de nombreuses déceptions, chagrins et contrariété à échouer en échec de protéger Buffy comme elle le mériterait ; qu'est-ce que le regret maternel ? Le regret maternel, c'est le fait de regretter d'être devenue mère, avec le poids et les conséquences que cela implique. Les femmes qui s'expriment sur ce sujet nous disent à quel point, si elles avaient su à l'avance ce qu'était le rôle de mère, elles n'auraient jamais sauté le pas.

Mais quand bien même le regret, elle regrettait d'avoir osé penser de rejeter sa maternité, Joyce était allée beaucoup trop loin dans ses pensées et son discourt en devenant offrant toute sa peine de mauvaise mère en se repentant ; elle devait dire toute ces choses avant de dire qu'elle partirait pour un long voyage avec son papa et la laissant chez ses grands-parents, si non Buffy serait kidnappée par ce dit Conseil d'Observateurs imaginaire.

Qui-a-t-il maman ? Buffy voulait rester auprès de sa mère et lui donner n'importe quelle force pour s'en sortir.

En prenant sa fille dans ses bras, alors que Joyce s'y attendait du rejet de la haine et des larmes parfaitement voulues et désirait, mais à la place dans tout le contraire qui exigeait abandonner tout ce qui aurait dû être logique laissant la place à la réalité de l'alternatif, Buffy demanda à être toujours auprès de ses parents.


Durant cette même année bouleversante en crise d'angoisse montant dans des tragédies sombres et noires des ténèbres, Joyce Summers tomba une nouvelle fois enceinte de son deuxième enfant sa troisième grossesse qui était en réalité son troisième enfant, une nouvelle petite fille prénommée Frances Patricia Marie Summers.


Buffy avait cinq ans et deux jours lors de la naissance, venue au monde où naquit sa petite sœur, le 21 Janvier 1986 ; toute à leur joie d'agrandir la famille, une petite inquiétude tourmente toujours une jeune maman et les parents chacun ensemble toutefois : comment leur aînée va-t-elle accueillir ce bébé ? Pour préparer au mieux son enfant à devenir une grande sœur, avec les conseils, soigner l'annonce.

Quand annoncer la grossesse à son enfant ? De fait, il n'y a pas de moment idéal. Tout dépend de son âge, de son caractère. Si au premier trimestre, elle se pose des questions, car elle ne sent pas sa maman comme habitude, Joyce lui dit qu'elle attend un bébé plutôt que de lui cacher la vérité. Si elle venait à l'apprendre d'une tierce personne, elle se sentirait trahie, et ce serait un mauvais départ ; lui expliquer ce qu'est un bébé.

Si elle est encore petite, pour son enfant, un bébé c'est… un enfant comme le bébé surtout que c'est une petite fille ! Mais à la naissance, elle risque d'être très déçue face à ce tout petit bébé qui ne sait rien faire – à part pleurer, dormir et manger – et accapare tout le temps de Joyce. Pourquoi faut-il donner à manger souvent au bébé ? (Parce que son ventre est encore petit). Pourquoi il pleure beaucoup ? (Parce que c'est son unique moyen de communication) Pourquoi il faut le porter (Parce qu'il ne sait pas marcher) … En amont de la naissance, Joyce prend le temps de lui expliquer le quotidien à la maison avec un bébé, en précisant qu'il nécessitera beaucoup de son temps au début et qu'elle ne pourra pas être tout de suite une petite compagne de jeu.

Durant la grossesse, puis à la naissance, il est normal que l'aînée aie l'impression d'être moins aimée avec le temps que Joyce passe à s'occuper du bébé. Avec des mots simples, Elle rassure Buffy en lui expliquant la différence entre le temps et l'amour. Joyce dit à son ainée que le temps se partage, mais que l'amour ne se partage pas. Qu'elle n'a pas moins d'amour pour son aînée parce qu'elle a un autre bébé. Et que le cœur des parents grandit avec le nombre d'enfants pour qu'il y ait de la place pour chacun ; certes son enfant va devenir la grande de la fratrie, et lui donner ce statut, peut la valoriser. Joyce explique à Buffy que ce bébé va avoir beaucoup de chance d'avoir une grande sœur comme elle. Qu'elle pourra lui apprendre pleins de choses.

Quand la nouvelle-née arrive à la maison, elle est un intrus pour Buffy. Le sentiment fraternel fait de complicité et de solidarité tel que tous les parents le rêvent n'est pas donné d'emblée, il se construit. Ce qui existe d'emblée, en revanche, chez l'aînée, c'est un ressenti de perte car elle n'est plus le centre du regard parental et familial, elle perd son exclusivité au profit de la nouvelle venue qui n'a aucun intérêt, qui braille tout le temps et ne sait même pas jouer.

Pour restaurer son estime de soi un peu égratignée, il est essentiel de la valoriser en pointant tout ce qu'elle sait faire et pas le bébé, en lui montrant tous les avantages de sa position de grande...

Hank chante une chanson au bébé qui était dans le ventre de sa femme, Buffy voudrait embrasser, parler avec sa petite sœur, et aimerait bien raconter une histoire elle aussi et que l'on ne la transforme point et soi ne pas garder au second degré, en arrière et ne pas être mise à l'écart et veux être grande sœur. Dans la chambre de Joyce, de retour à la maison, toute la famille vient voir le nouveau bébé. Buffy est triste et extrêmement malheureuse et boude transformant, froissant les traits de son visage dans son coin. Elle est contente d'avoir une petite sœur, mais elle trouve que personne ne s'occupe d'elle !


Les bras d'une mère sont plus réconfortants que n'importe quels autres bras. - Citation Lady Diana

Portant un grand sourire, Buffy s'écriât et se sourire pour elle-même en déclarant à Lise que sa Maman est rentrée.

Elle se lève et court vers sa mère en donnant sa poupée à Lise. Lise est debout à regarder avec attention et attendrissement cette scène touchante de bonheur en étant discrète puis décida de suivre son amie.

Dans l'esprit de Buffy la petite fille ; Elle est rentrée. Elle est rentrée. Joyce et Hank entraient. Joyce porte un bébé dans ses bras. Joyeuse heureuse de revoir sa petite fille si tellement adorée lui disant bonjour.

Hank la pris dans ses bras en lui chuchotant à l'oreille, Comment va sa petite princesse ? Buffy lui sourit.

Joyce se demanda en questionnant avec de l'appréhension et de l'angoisse, du stress lui nouant le ventre, si Buffy est prête à rencontrer sa nouvelle petite sœur. Lise regarde toujours son amie. Buffy est tout subitement sa timide et fronce les sourcils. Hank en riant et la faisant sauter dans les airs la rattrapent ainsi dans ses bras forts et musclés doux, forts et tendre, paternel. Oh ! Voyons Buffy. Tu n'as aucune raison d'avoir peur.

Buffy s'écriât qu'elle n'avait pas peur. Joyce, inquiète mais toujours aussi souriante, affectueuse et vigilante pour ses enfants, déclara en demandant curieuse si elle n'as pas envie d'être la grande sœur ?

Buffy voulut garder sa place d'enfant unique et rester comme autrefois. Non. Je veux être le petit bébé. Hank soupira, l'avertissant de ne pas rester dans ce chemin de certainement de regret, il soufflât ; Buffy…

Buffy étant désespérée et réellement en vérité paniquée « Vous allez vous occuper tout le temps d'elle, et moi, vous allez m'oublier ». Joyce s'agenouille à côté de Buffy. Le bébé est toujours dans ses bras. Il fait de drôle de petits sons. Buffy se tourne vers Lise.

Buffy en grimassent trouvant sa sœur hideuse et moche en fronçant son jolie visage, "Je trouve qu'elle a une drôle de tête. On dirait un vieux grand-père." Buffy se retourne vers sa mère. Joyce met doucement le bébé dans les bras de Buffy. Joyce parlant doucement à ses deux petites filles, prend la dans tes bras. Voilà. Tiens-lui bien la tête. Regarde. Elle te dit bonjour. Je te présente Frances.

Buffy souriante la tête inclinée sur le côté dans ses paroles d'enfant mature et responsable en voulant paraitre importante et fière d'elle-même sûre de ses choix dit "Est-ce que moi aussi des fois, je pourrais m'occuper d'elle ? Tu auras peut-être besoin d'aide." Joyce sourit au bébé Frances, "Maman, dit, je pourrais veiller sur elle."

Joyce Sourit et lui caresse les cheveux "Oh ! Oui. Buffy, tu vas veiller sur ta sœur."


Au retour de la clinique, Hank Summers prend une photo de groupe derrière le porche de la maison. Frances est dans les bras de la puéricultrice alors que Buffy posée à ses côtés avec Lise accompagnée de, bien sûr, Joyce assise sur ses genoux en cajolant, gazouillant des non-sens à son nouveau bébé. Les parents d'Hank de surcroit qui faisaient officiellement, bien entendu, à la suite logique des autres parties de cette photo l'une des premières pour Frances.

Beaucoup plus tard dans la journée des petites voisines et camarades de jeux sont venus admirer le nouveau bébé des Summers en serrant Buffy dans leur bras….


La plus petite fille d'enfants des Summers se retrouverait être le centre de toutes les attentions de nombreux adultes de la famille et même, curieusement, les étrangers pensa étonnement avec égoïstement de pensées de son âge qui n'était qu'autre naturel pour une petite fille comme Buffy, car se demandant pourquoi tant de bruit pour la naissance naturelle d'un nourrisson rendait la vie si spéciale ; mais dans son cœur pour Buffy et Frances le lien était très étroit et vif et extrêmement puissant ; Buffy est devenue extrêmement surprotectrice envers Frances et a refusé de ne presque jamais la laisser hors de sa vue. Buffy a également décrit Dawn comme plus qu'une sœur pour elle, que leur relation était physique et qu'elle avait l'impression de faire partie d'elle. Lorsqu'elles ont finalement recommencé à vivre ensemble, leur relation est devenue plus étroite que jamais, laissant leurs disputes d'il y a quelques années et leurs méfiances passées, respectant et défendant les décisions de l'autre et exprimant son amour plus ouvertement. Buffy a révélé qu'elle ne pouvait pas passer une journée sans Frances.

Frances et sa sœur développent un lien incassable grâce aux efforts continus de Buffy pour la protéger du reste du monde sombre et dangereux ; leur lien était si fort que Buffy se confia alors un jour à Lise et lui dit en se confessant, que Frances était plus qu'une sœur pour elle, que leur relation était physique et qu'elle avait l'impression que sa jeune sœur faisait partie d'elle.

Buffy se considéra comme une seconde maman -mère- de substitution pour sa sœur, agissant et se comportant comme telle était son devoir de sœur ainée pour Frances la trouvant si petite et en même temps fragile en un sens beaucoup plus vulnérable et facilement maître en amour pour le bébé et que cela faisait se réaliser qu'elle était beaucoup plus importante à la protéger….


La vie continua de s'écouler avec ainsi que le temps qui tournait dans une ronde infinie reliée à chaque créature vivante et au monde de l'humanité ainsi que le temps qui longeait sa course indéfiniment et quittait le chemin la finissant, ce n'est pas le temps qui passe, mais plutôt nous qui le traversons ; dans la maison des Summers et c'était en tout particulier pour Frances ces douces paroles.

Parallèlement pendant tout ce temps dont la vie continuait d'être comme mi l'existence la vraie réalité dont Buffy continua d'exister malgré les changements importants et bouleversants qu'avaient suscités l'arrivée d'un nouvel enfant, un nouveau bébé qui n'était encore qu'un simple nourrisson ; la fillette qu'était Buffy, une enfant véritablement petite fille, une girly, comme sa mère qui était des plus élégante, féminine et belle, s'il fallait donner une véritable définition pour Joyce, ce serait d'une grande beauté comme une femme qui possédait tous les vêtements chaque jour malgré sa maternité toute ressente et ce, même si elle continuait à s'occuper de ses enfants, elle continuait à être belle, à prendre soin de son corps et de sa coiffure et beaucoup d'autres choses encore.

La féminité est l'ensemble des caractères morphologiques, psychologiques et comportementaux spécifiques, ou considérés comme spécifiques aux femmes. Ils sont liés au sexe ou au genre, et fortement influencés, voire conditionnés par l'environnement socioculturel

Buffy aimait faire comme sa maman, en essayant les chaussures de sa mère, celles qui étaient, bien entendu, les chaussures à talons ; ses robes et jupes ; depuis qu'elle était toute petite, avec exactitude depuis ses trois ans, quatre ans, elle était une véritable petite fille, aimant le rose par-dessus tout mais malgré que le temps passe, Buffy ne changerait pas ses goûts, elle continua d'aimer sa couleur préférée mais aimait également des couleurs plus claires ; Buffy adorait le maquillage, elle possédait des dizaines de poupées Barbie, et dans une certaine réalité, Buffy jouait à la poupée pendant de longues années. Elle était girly jusqu'au bout des doigts ! Aimant le verni à ongles spécial enfants... Girly est un terme familier et condescendant pour dire, notamment en littérature « avec des filles » ou « fait par une fille ». C'est aussi une tendance ou un mouvement de mode, apparu depuis de longues années, qui désigne une attitude, souvent ingénue que les jeunes filles aimant se donner. C'est la culture du rose et des couleurs vives, des strass, des paillettes, de la fausse fourrure, des jupes… C'est un moyen d'expression et d'appartenance à un groupe social touchant les jeunes filles « trop jeunes pour les garçons, trop vieilles pour les jouets. »

Malgré les changements importants et définitifs qui changèrent sa vie, Buffy continuait de jouer avec sa meilleure amie Lise, en courant après les cerceaux qu'elles faisaient rouler devant elles tout en courant, il leur arrivait de jouer à se tenir sur leur main, la tête en bas, les jambes s'étirant au-dessus d'elles tenant ainsi le plus longtemps possible, elles faisaient souvent la roue. Mais malgré leurs jeux chaotiques, il arrivait aux deux petites filles d'être sages comme des petites filles parfaites et modèles en de véritables petits anges tout en s'occupant du bébé de Joyce Summers, parfois elles la promenèrent tout autour d'un pâté de maisons ; en ces temps-là, Lise aimait beaucoup voilà voici l'occasion les saisissent pour taquiner Buffy lui rappelant sans cesse que Lise et Buffy, malgré qu'elles avaient le même âge, aimant se souvenir, faisant remarquer qu'elle avait toujours six mois de plus que Buffy ; elles la taquinera ainsi encore pendant de longues années comme un rituel de bonnes vieilles habitudes et traditions perpétuées, inventées chaque jour, chaque année, même si elle lui rappelait souvent, Buffy aimait en croire qu'elle l'a rattraperait toujours dans ses âges…


Même durant leurs vacances qui étaient des fêtes de fin d'année, de Pâques -vacances de printemps et surtout celles des vacances d'été communément appelées les grandes vacances, Lise et Buffy étaient rarement séparées, elles baptisèrent un hôtel qui avait pour but comme fonction et spécialité du végétale, "Maison de la tomates" en raison des plats principaux végétariens et ceux malgré quelques plats avec de la viande, Buffy de cinq ans, et Lise à peine six ans en juillet de la même année de l'an 1986, année de naissance de Frances.

Lise reçut une ravissante tirelire en forme d'animaux de fermes, un cochon, pour cette occasion tellement spéciale, la petite fille avait supplié que même qu'elles étaient les meilleures amies du monde, de ce fait Buffy devait recevoir la même tirelire, et ce, du même jour d'anniversaire : un cochon tout rose…

Lise partit en vacances avec la famille Summers accompagnée de Buffy et de bébé Frances ; c'était une petite maison de pension louée pour chaque vacance d'été ou d'hiver, selon que l'on louait, c'était une famille à la fois, pour la location Joyce et Hank s'étaient pris bien en avance ; une petite maison blanche proche des côtes de l'Océan Pacifique avec un toit de chaume noirci. Un jour, Hank et Joyce Summers les avaient emmenées dans un parc d'attraction. Elles s'étaient plantées devant les miroirs déformants qui les métamorphosaient en monstres de foire. Elles avaient beaucoup ri.

Ce même soir-là Mr et Mme Summers étaient sortis se promener et les filles étaient restées seules. Un orage épouvantable, des larmes de terreurs avec une puissante pluie diluvienne avait éclatée ; le tonnerre grondait ; les éclairs zébraient le ciel. Lise avait beaucoup pleuré, elles avaient peur parce que leurs parents étaient loin.

Elles visitèrent un parc d'attraction et adorèrent le palais des miroirs ; avec en plus de tout ces jeux de reflets, de pêches à la ligne, d'auto-tamponneuse ainsi que d'autres stands ; elles essayèrent tous les manèges autorisés pour leur jeune âge, des manèges comme le doux balancement du carrousel aux chevaux de bois…

Buffy ainsi que Lise apprirent à nager, activité qui leur réussissait. A la fin de l'été, Buffy Summers et Lise Goslar savaient parfaitement bien nager et bouger dans l'eau de la piscine et dans la mer.

Fin Aout et jusqu'au début Septembre, Lise ne commencera pas dans l'immédiat sa rencontre ni la vue de l'école en restant au jardin d'enfants avec Buffy….


Joyce et Buffy ont toujours eu une relation très aimante et profonde. Lorsque Joyce commençait à être malade ou un problème santé quelconque même simplement en bêtise se transformant en un petit rien en exagération, Buffy s'en inquiétait immédiatement et ressemblait, se transformant en véritable infirmière ou médecin -docteur-, Buffy était constamment à ses côtés et s'inquiétait beaucoup pour elle, soulagée quand elle semblait aller mieux.

Cependant, elle ressentait de la jalousie à propos du lien de Joyce avec Frances n'aimant pas la façon dont elle était traitée comme le bébé alors que Buffy devait constamment s'inquiéter de questions plus importantes, des questions bien plus importante, de son enfance et quelconque de ces choix d'enfant, de sa petite vie tranquille en laissant le temps s'écouler en jouant seule dans sa chambre...

Joyce se préoccupait toujours de Buffy et voulait souhaiter approfondir les dons et l'intelligence de sa fille les exploitant et en même temps dans le même point et défi les étudient ne voulant plus ignorer son enfant et ne rien briser d'important dans son attention pour son cerveau en représentant l'avenir de son pays, de sa ville et de son contexte d'adulte ; elle voulait que les demandes de Buffy soient les siennes et non en imposant une activité. Ainsi donc tout reposait sur ses petites épaules.

Joyce et Hank discutèrent longtemps avec elle, lui montrant bons nombreux de brochures du sport, du football, de la gymnastique simple et de la gymnastique-rythmique, de la danse et bons nombres d'autres... et d'autres de l'art comme la peinture... Ils discutèrent encore longtemps après ses choix, lui expliquant en quoi cela signifiait, lui montrèrent des extraits de reportages et scènes pour la décider en prouvant que ce ne serait pas un passe-temps qui ne fait que passer et bref, mais Buffy se montrât extrêmement motivée dans l'existence, impatiente, se la réclamant. Notre petite grandit et commence à affirmer ses goûts et c'est beau de la voir grandir, de l'accompagner. Ne regrette pas, on a sauté le pas ...

Buffy choisit de faire de la danse classique ainsi que du patinage artistique... Les deux activités seront un jour combinées l'une à l'autre…

Le patinage artistique est un sport et une discipline artistique exécuté sur la glace, synthétique ou artificielle, qui développent les qualités physiques et la sensibilité artistique. Il se pratique avec des patins à lame.

La danse sur glace est un sport qui consiste à pratiquer la danse sur glace avec des patins à glace. Contrairement au patinage artistique, la danse sur glace ne comporte pas de sauts.

Cela lui demanda beaucoup de temps et de leçons d'entrainement où Buffy n'a jamais arrêté le patinage artistique, Elle est plutôt bonne, moyenne, sans pour autant, sans découvrir de médaille, mais talentueuse et heureuse pratiquer une véritable passion du samedi matin...

Bien qu'au début, la petite Buffy montra de nombreuses difficultés vaincues et effacées par son courage et sa détermination d'apprendre en faisant ses preuves et dépassant ses craintes les plus profondes en étant spirituelle, combative et courageuse en étant courageuse, hardiesse. Force. Bravoure. Détermination. En ambition et travaillant dur et loyale à sa professeure...


"Maman je n'y arriverais jamais. C'est trop dur et compliqué je n'y arriverais jamais maman ; je veux arrêter »

Joyce se mit à la hauteur de Buffy et lui dit pour l'encourager. Expliquer à son enfant que l'échec et les erreurs font partie de l'apprentissage. Elle lui rappelle les petites victoires qu'elle a obtenues dans le passé.

Joyce sent que Buffy se décourage, alors elle lui offre des choix possibles plutôt qu'une seule solution. Par exemple, elle l'aide à diviser ses tâches en étapes lorsque c'est possible. Elle lui rappelle aussi l'objectif final pour qu'elle retrouve sa motivation.

Elle l'incite à reconnaître et à exprimer ses pensées et ses émotions. Cela l'aidera à continuer même si elle est gagnée par le découragement.

Joyce ne compare pas Buffy aux autres et ne se moque pas de ses faiblesses. Elle conserve une approche positive. Elle discute plutôt avec elle pour l'aider à comprendre pourquoi quelque chose ne fonctionne pas et comment s'améliorer.

Joyce refuse de croire que son enfant ne pouvait être si peu sûre d'elle-même, si fragile si émotive et vulnérable en étant cassable et cela la bouleverse d'être tellement si impuissante… Et triste…


Dans l'intérieur de la patinoire locale du quartier nord-ouest de la ville, se trouvait une magnifique belle et sublime dame qui se prénommait Joyce Summers observant depuis les estrades appuyées très légèrement sur une barre en fer pouvant admirer sa fille et Lise en compagnie du grand-père paternel de Buffy, et ils patinèrent tous les trois en glissant doucement alors que les mains fortes de l'homme serreraient avec force et puissance mais avec affection et bravoure les mains respectives de Buffy et Lise ; il leur apprenait comment bouger, glissant doucement sur la glace, faisant corps avec elle, profitant d'une partie simple de la patinoire pour les jeunes enfants..

Joyce trouvait toujours ces moments de complicité qu'avaient Buffy avec ses grands-parents comme une bénédiction, un remerciement devant Dieu comme une bonne chose simple et saine ; Buffy au loin cria à sa mère fièrement.

« Maman, regarde je patine »

Il n'y avait pas de plus bel endroit sur cette terre merveilleuse et spéciale que de chérir ces instants ou son/ses enfants montrèrent des visages éclatants… Comment pouvait-elle ne pas se sentir émotive, remplie dans l'espace de l'émotion.

Soleil de ma vie de leur vie dans les bras l'une de l'autre de Buffy à Joyce et dans ceux de l'amour maternel ; Maman, Maman, Maman, Buffy l'aimait, Joyce avait voulu la garder ainsi dans ses bras de ceux de Buffy.

Malgré tout ce qu'on a pu lui dire sur sa vie, sur l'attention qu'on aurait pu donner à sa fille que l'on gâtait ; elle l'avait tellement désiré. Elle avait su qu'on allait s'en sortir malgré les préjugés malgré les fautes et erreurs du quand dira-t-on d'un jour où tout à basculer ; Et même si n'ai jamais douté. Qu'à deux, on construirait l'avenir. C'est ce que Joyce, une jeune mère avait toujours espéré et qu'un jour elle la verrait grandir.

Certes, il était presque sûr qu'elle fait des erreurs, mais c'est avec Joyce que Buffy apprend (avec elle que Buffy apprend), Joyce lui donnerait toujours le meilleur, car c'est sa fille, sa mère qui passe avant (c'est Buffy qui passe avant) Joyce sera toujours là, serait là pour lui éviter à Joyce les souffrances inutiles de sa petite Buffy et avec rempli de courage et de force dans les bras de Joyce qui rien ne pouvait être traversé ni coupé, elle prendrait les coups à sa place pour lui rendre la vie plus facile.

Car Buffy était le soleil de la vie de Joyce, la seule dont elle était fière aujourd'hui bien plus malgré et à égalité de la naissance de Frances, Joyce était toujours aussi protectrice, affectueuse, fière de son bébé. Joyce était là pour ses premiers pas, Et pour la prendre dans ses bras ; même si son papa était toujours absent, elle les aimait pour deux, ne l'inquiète pas. Heureuse d'être maman même si elle avait évolué, grandit et commencer à vieillir dans sa tête et devenu sage. Elle l'aimait.

Et lorsque Buffy pleure, Joyce était toujours là pour la consoler (pour se consoler) en se dépêchant, courant vers sa fille pour la tenir dans ses bras. Lorsque Buffy a peur, Joyce est là pour la rassurer (pour se rassurer elle-même). Les enfants voulaient tout le temps qu'on joue ensemble. Buffy toujours pendue, accrochée à son cou même si en réalité elle la pousse au bout de ses forces ; un petit bisou et elle oublie tout.


Le temps où Hank et Joyce eurent cru qu'ils étaient traqués par un groupe de ce culte du paranormal et mission surnaturelle en ayant création d'une société secrète, le Conseil des Observateurs était l'institution dirigeante des observateurs, des Tueuses Potentielles, après leur destruction qui, en fait, était l'espérance de Hank en ces croyances, le Conseil des Observateurs descendait des Hommes de l'Ombre, les créateurs de la Première Tueuse en Afrique préhistorique. Tout ceci était révolu et la famille Summers pourrait y vivre paisiblement sans être traquée ou espionnée par un espion venant de chez soi en toute sécurité, tranquillité et bonne d'une vie normale loin de cette prétendue guerre du bien et du mal. Dans les croyances de religion, chaque avait son opinion et Hank était bien décidé à protéger se filles de ce monde ci.

Pour Joyce, rien de ceci n'avait d'importance malgré le fait qu'elle craignait que Hank pouvait avoir raison surtout le bureau d'avocats que son mari avait choisi de saisir et de contacter un bureau d'avocats qui était dans un travail purement professionnel, qui en toute vérité, le serpent se cachant dans le trou à l'intérieur même de l'entreprise des locaux ; ces personnes Hank n'en doutait pas que eux aussi avaient une organisation secrète et payaient, connaissaient et avaient de nombreux contrats avec des démons et la signature du diable. Wolfram & Hart ; personne exceptée Joyce connaissait l'étrange, l'horreur vérité, mais son époux voulu être protégé. La lutte contre le mal n'était pas et n'avait pas sa place ni l'endroit dans la vie pure et insouciante de ses filles, il les protégera jusqu'à sa mort. Pendant pour ainsi protéger les siens.

Tout change la nuit où Joyce rencontre leur dernière tentative, sans même s'en rendre compte en toute simplicité c'était un homme comme les autres dans la vie réelle et cruelle vérité de la vie, sans que la vie ne fût facile, la chose la plus difficile sur cette terre, c'est d'y vivre. Il y avait un homme qui s'était installé près du lieu de travail de Joyce juste en face à face de deux trottoirs séparés, un bibliothécaire/libraire prénommé, en surnom, Merrick.

Derrière les rideaux de sa porte d'entrée de la galerie d'art et d'Antiquité que Joyce, derrière ses rideaux de la rue boulevard près du centre de Los Angeles dans une avenue ou bon nombres de personnes passèrent dans les rues aux heures de pointe où le temps commencerait à s'arrêter dans les fermetures de boutiques dans ces célèbres avenues de la grande ville bien connue après San Francisco, Joyce Summers espionne et adore être ou faire entendre ou étant à l'origine de ces commérages de ses voisins de travail et ceux de chez elle. Ce jour-là, elle se rend compte qu'une connaissance vient d'emménager. Un homme qu'elle ne pensait pas revoir. Merrick mais qui pourtant en essayant d'effacer de sa mémoire cet homme, elle se secoua la tête intérieurement et puis le tout vers l'extérieur comme elle aimerait tant l'être ; mais un jour Joyce grâce à certains moyens n'eurent plus aucun souvenir du concile sur cet homme de Merrick et était devenu un homme ordinaire et comme un autre...

Quand la jeune femme emmenait sa fille unique ou ses deux enfants avec elle au travail, Joyce ne put que constater la curiosité de Buffy et souhaitait en faire un ami ou quelqu'un qu'elle de nouveau communiquer et bavarder comme un ami qui était celui de sa maman et en faire l'un des siens... Et c'est ainsi que Buffy Summers et Merrick firent connaissance ; alors pendant toutes ces années, l'homme âgé d'un peu plus de quelques années que Joyce les surveillèrent, garda un secret très lourd à porter et put ainsi voir d'une tueuse potentielle en enfant normale qu'elles serait la différence ; mais il voulut plus que tout que cette enfant dont Merrick surveillait et appris à connaitre de loin et à aimer, ayant des sentiments de protection et de figure paternelle autre que ceux de Hank…


Buffy et ses parents ainsi qu'avec Lise avaient toujours été très proches. C'est une petite fille qui sait ce qu'elle veut. Elle est spitante comme on le dirait en Belgique, active, toujours de bonne humeur. Et quel grand cœur. Depuis la crèche, Lise et Buffy sont inséparables, ce sont les meilleures amies du monde et l'incarnation de la joie.

Lise et Buffy répètent leur danse prévue pour le spectacle au jardin d'enfant ; un samedi comme un autre, où les enfants avaient l'habitude de jouer dehors, au coin de la rue ou au bout d'une allée de campagne. Une époque où on ne leur demandait jamais de ne pas parler aux inconnus. Quand Buffy et Lise ont voulu aller se promener, même si Joyce Summers aurait préféré que sa fille et sa copine viennent passer l'après-midi à la maison, restent dans le jardin, elle les a autorisées à passer une petite heure sur le pont situé sur l'autoroute qui traverse Los Angeles où elles pourraient faire signe aux voitures qui passèrent sous le pont et juste sur le pont également, c'était en quelque sorte un rituel et un jeu surtout pour Buffy qui aimait rire et se donner au public et aimait avoir l'attention et les regards posés sur elle-même. Elles firent de nombreux signes à tous les véhicule et passant pour aller faire signe aux automobilistes, comme elles le faisaient toujours le soir de week-end.

La joie exprimée sur les visages des deux fillettes a suffi à convaincre la maman. Lise, six ans, voulait tant montrer à sa copine Julie, l'endroit d'où elle faisait régulièrement signe aux voitures qui passaient plus bas à toute vitesse.

Les deux fillettes avaient passé l'après-midi à danser, à jouer, à rire, comme tous les enfants de leur âge. Ce samedi-là allait marquer leur dernière journée d'enfant. Joyce donna une montre à Lise qui serait responsable en étant la plus âgée.

Elles revenaient toujours à chaque fois qu'elles s'aventurèrent hors de la maison comme un rituel, il n'y avait jamais eu le moindre danger et elles étaient heureuses d'être ensemble, la présence de l'autre était comme une bénédiction, un symbole et plus que tout un réchauffement du cœur et de l'esprit, elles garderaient en elles toute leur vie leur amour de l'autre qui était impossible à détruire, incassable, sans faille, indestructible ou cassable et détruisant, destructeur…


Thanksgiving, ou l'Action de grâce, est une fête de la récolte célébrée au Canada, aux États-Unis, Jour d'action de grâce, célébré aux États-Unis le quatrième jeudi du mois de novembre pour remercier Dieu de la récolte et de toutes les bonnes choses qui ont pu arriver dans l'année. L'origine de cette fête fédérale remonte à 1621, alors que les colons récoltaient leur première moisson. Quel est le symbole de Thanksgiving ? La corne d'abondance est également connue comme la « corne de l'abondance." Il représente la richesse et la générosité de la récolte d'automne. Les canneberges étaient un type de baie que les pèlerins pouvaient fourrager. Depuis l'époque des Pères pèlerins évangéliques, Thanksgiving est, pour les Américains, une manière de remercier Dieu de la qualité providentielle du Nouveau Monde et de la bonne entente avec les populations indigènes ; Buffy adorait cette fête qui précédera et faisait place préparant l'arrivée de la fin de l'année et des jours heureux en famille.

Elle a été si adorable pendant cette année écoulée, riche, émotions et en évènements, la petite fille avait beaucoup grandit et faisait preuve de maturité et d'un âge avancé pour elle, pour ses cinq ans, en essayant d'aider sa maman et son papa et surtout passer énormément de temps entre filles avec sa nouvelle petite sœur, et avait développé un lien extraordinaire et fort ; pour cette raison, de ce fait, Buffy devrait être à l'honneur et la reine de petites princesses en ce repas de Thanksgiving et lui offrir des cadeaux et lui présentât comme le plus belles des surprises, Frances assise sur la table au milieu des cadeaux de ce jour.

Frances fut placée sur la table, vêtue d'une robe rouge assortie à la tenue robe de cocktail de sa mère qui fut de la même couleur, sur la table au milieu des cadeaux de fête de fin d'année destinés à son ainée, à titre de cadeau très spécial. Qui a eu pour but de rendre Buffy heureuse et dans la joie se sentant pour son jeune âge très spéciale et unique en son genre….

Cette enfant si fusionnelle qu'était Frances, celle qui, dès que Buffy ou sa maman et son papa entre dans la même pièce, va tout arrêter pour venir le ou les voir et ne plus vouloir lâcher les bras de sa mère, Joyce, et ceux de sa grande sœur, Buffy.


Buffy danse tout en même temps pris la peine de l'occasion de courir autour de la table du salon de rire faisant réalisant des grimaces rigolotes à rire à sa petite sœur, tout en pensant déjà à Noel.

La dernière fête de cette même année, Lise fut invitée à passer le Noël de la famille Summers dans leur maison et à y passer la nuit, ses parents viendraient le lendemain matin pour voir leur fille et célébrer ensuite la fête de fin d'année avec leurs voisins et amies.

Au pied du Sapin se trouvèrent trois piles différentes de cadeaux pour chacun des enfants, une assez grande et remplie de surprise pour Buffy, une moyenne pour Lise et enfin la petite pile pour Frances.

Ce Noel fut tout particulièrement unique et différent des autres années car il devait être tout particulièrement irremplaçable et exceptionnel, uniquement le premier d'entre tous pour bébé Frances ; et il devrait l'être pour la préparation des fêtes de fin d'années tout simplement merveilleuse et touchante.

Comment passer un Noël inoubliable ? Autre alternative : recouvrir le pied du sapin avec un tapis de neige artificielle, pour un résultat vraiment magique ! Et, comme chaque année, le traditionnel sac à sapin doré permet lui aussi de décorer le pied du sapin et de protéger le sol des épines. Cette année, si vous cherchez le père noël dans le ciel, vous aurez peut-être la chance d'apercevoir la dernière pleine lune de l'année aussi appelée « Lune froide » ou « Lune des longues nuits ». Mais pourquoi on voit toujours la même face de la lune à Noel ? Bon, pas de miracle non plus, vous verrez toujours la même face le jour de Noël ! Sa face cachée le restera. Certains d'entre-nous le savent surement mais on va laisser la magie où elle se trouvent en n'en touchant aucun morceau.

Le jour de Noël est considéré aujourd'hui comme une grande fête familiale. Et, à ce titre, elle est célébrée par un grand nombre de gens à travers le monde. Le réveillon de Noël est l'occasion de se réunir en famille autour d'un repas copieux. Selon les traditions familiales, le Père Noël vient déposer les cadeaux le soir du réveillon ou pendant la nuit et les enfants les découvrent le matin de Noël au pied du sapin. D'où viennent les traditions de Noël ?

Les cadeaux ? Le sapin ? Ainsi que le gui, la bûche, les boules du sapin, la neige, les chaussettes accrochées à la cheminée ?

Leur petit cœur qui joue avec son joli cadeau de noël ! Joyce était tombée en amour en ayant le coup de cœur pour une belle maison de poupée pour ses filles et adore cette maison de poupée épurée. Frances et Buffy l'adoraient en l'aimaient tout aussi fort. A l'origine, c'était un cadeau pour le bébé mais après chacune des enfants y jouèrent avec en se la partageant.

Buffy est une jeune fille qui avait pour jouet Rictus, Big Baby et Lotso et d'autres peluches, jouets portant des prénoms -des noms- différents. Ce dernier était son favori et elle ne le quittait jamais. Avec ses parents, bien après les fêtes, Buffy part dans un parc. S'endormant, elle repart avec sa famille en oubliant ses jouets. A son retour chez elle, la fillette était au bord des larmes, pleurant toutes les larmes de son cœur pour oublier des jouets si chers à son cœur, malgré cela son père refusa de retourner dans la campagne pour aller à la recherche des jouets perdus de sa fille qui aurait dû faire plus attention, injustement trompée et mise en accusation et pour faute car l'enfant était trop fatiguée et étant endormie sa peluche n'était pas véritablement sa préoccupation ; ses parents lui ont offert un nouveau Lotso.

Lotso est une peluche, en forme d'ours rose, parfumé à la fraise. Il se tient debout à l'aide d'une petite canne en bois quand Buffy jouait avec. Buffy découvrit sa nouvelle peluche au pied du sapin. Malgré qu'elle aimât absolument tous ses jouets, c'est son ours en peluche parfumé à la fraise qu'elle adorait, chérissait et aimait comme personne d'autre avant ; les deux, Lotso et Buffy passèrent beaucoup de temps ensemble c'était à peine croyable, personne n'a jamais vu cela.

Gabby-Gabby est une vieille poupée vintage des années 1950, mais sa boîte vocale est détériorée depuis sa création mais surtout a été réparée méticuleusement avec soin et précision. Sa boite vocale se retrouva bien vite comme neuve, ce qui l'a rendu amère si la poupée était vivante de ne jamais avoir été adoptée par des enfants. Mais Buffy l'adora, adopter, soigner et aimait affectueusement par un enfant comme certains jouets l'espéraient comme un rêve de tout un monde...

Mis à part cela, sans rien d'autre que des poupées et autres peluches, Buffy reçut un jeu de cartes des sept familles dans un autre univers, en effet la petite adorait comme passe-temps collectionner les divers univers des personnages de ce jeu, celui-ci fut un lot de cartes sur les supers héroïnes des combattantes aventurières... il y eu une nouvelle ardoise magique, un ordinateur pour les enfants avec des nombreux jeux détectés à l'intérieur.

Oui en effet c'était le plus beau Noël que les trois fillettes n'eurent jamais eu et vu ; c'était certainement le début de bien d'autres encore, dans les années à venir et futures...


Depuis le commencement de sa vie, le commencement de son temps, depuis sa venue au monde de sa naissance en rentrant parmi sa famille que l'on avait adopté sur un plan totalement affectueux, rempli d'amour dans le ventre de sa mère, Frances avait raisonnablement, terriblement beaucoup grandit pendant sa toute première année de vie et elle avait changé, évolué et elle était merveilleuse, formidablement intelligente, en avance sur presque tout dans l'éducation d'un bébé entre sa naissance et ses trois ans. Elle aimait évoluer, imiter sa grande sœur pour elle qui était d'un grand modèle, un exemple à suivre pour Frances au travers de Buffy.

Que ce soit psychologiquement, sensorielle, motricité et d'autre, choses de l'évolutive d'un jeune enfant provenant de la petite enfance encore et encore…

Frances avait encore sa forme ronde de bébé, ses joues grosses croisées, cramoisies avec du rouge sur ses joues ; elle avait physiquement dans sa forme, dans sa ressemblance et carricature et de ses traits, tout en elle était encore un bébé ; elle avait à présent beaucoup de cheveux blonds avec des yeux couleurs vairon, en mélangeant les couleurs de la famille du bleu au vert avec des taches marrons, mais ce qui ressortait sur son œil gauche avec une tache marron très foncée presque noire…

Et il y avait eu une dernière fois une dernière chose que l'on pouvait y mettre dans sa production progrès de Frances ou le fait est qu'elle commençait à dire ses premiers mots ; Buffy... Papa... Maman….


Hank Summers était encore absent, s'éloignant de sa famille pour cause et obligation de son travail pour en l'occasion de la signature d'un grand contrat et donc, en s'absentant, il était invité chez les fonctionnaires publicitaires qui l'avaient aidé dans une publication de publicités ; ils seraient en compagnie des deux collègues publicitaires ainsi que leurs épouses.

Pour Joyce ce serait l'occasion, l'opportunité de dormir au cotée de ses enfants qui eut également dormirais au lit dans la même chambre que leur mère, avec au côté de Buffy et de bébé Frances ; qui voulais dormir près d'elle, et Buffy ne regrettera jamais de s'être jetée tout de suite presque immédiatement blottit contre Joyce pour la serrer dans ses bras... Sa mère fut bien différente en l'absence de son mari, Joyce était tendre et toujours disponible quand les enfants en eurent le plus besoin d'elle, de ses soins et de son confort. Bons nombres de personnes savaient et avaient remarqué les différentes attitudes qu'elle arborait en se le donnant et le rendre en faisant paraitre, ressortir et laisser le montrer. Joyce s'allongeait sur leur lit et ses filles grimpèrent sur elle, la chatouillant, l'embrassant, mordillant ses oreilles. Comme telle une lionne avec ses petits, ses lionceaux. Elles ne se lassaient pas d'être ensemble.


Buffy Summers n'a jamais été normale. Depuis sa naissance, elle est capable de voir le monde à travers les yeux d'une autre personne, des prémonitions, des rêves provenant de la vie de personnes ayant vécu de rêves totalement étranges, de guerres, de choses qui n'étaient pas sensées exister dans un monde où les créatures de la nuit n'existent pas et dont des petites filles, des adolescentes combattant comme des héroïnes guerrières. Il se trouve que ce sont les yeux du vampire le plus vicieux du monde, Spike - communément prénommé par son prénom de naissance en fait dans le nom de batême, William le Sanglant.

Tout ceci la faisait trembler de peur comme les adultes les qualifiaient de cauchemars, vilains rêves et cauchemars, de mauvais rêves ; certaines fois à de nombreuses répétitions de troublant il y avait des instants dans la nuit, étoiles au bleu de la nuit noire à la couleur si foncée que Buffy possédait garder caché et en secret des beaux rêves de la vie antérieure ; et de ses deux princes charmants, qui étaient un jeune voyou prénommé Spike aux allures vestimentaires et de sa façon, sa manière de vivre au rock'n'roll et Punk, au long manteau de cuir noir et à la chevelure décolorée à l'eau de javel.

Et l'autre était un homme au regard mystérieux, au yeux noirs dont son visage était compté d'un large front ; Angel avait tendance à être réservé et était souvent considéré comme plus blessé et tendu contrairement aux autres, rivalisant parfois même avec Spike. Son trait le plus important et le plus moqué était sa tendance à être trop sombre et couvant. Angel avait une apparence et un style vestimentaire très distinct, portant traditionnellement des vestes et manteaux en laine noire, pleine longueur, un trench-coat brun clair ou une veste en cuir plus courte, un pantalon noir et des chaussures noires.

Et ainsi va la vie dans un monde de rêves incroyables, de contes de fée pour une petite fille pleine de vie et rêveuse, voulant connaitre l'amour éternelle que l'on ne pouvait voir que dans des livres de romance à l'eau de rose ; et ne pouvait se résoudre à en aimer qu'un seul, un beau prince charmant au regard sombre et gentil qui voulait vivre, lorsqu'il était sans âme, était constamment au fond de son esprit, à un point tel qu'il sentait pendant très longtemps qu'il ne méritait ni le bonheur ni la rédemption et il voulait obtenir le pardon. Il devait continuer à vivre avec sa punition. Angel était assez autodestructeur et était sujet à de longues périodes de doute, de dépression et de regrets. Il sentait toujours qu'il était loin de mériter le contentement, mais travaillait sans relâche pour faire ses preuves auprès de ses pairs et des pouvoirs en place… Et c'était ce dont rêvait la petite Buffy qui croit en cet homme inconnu et dont chaque fille rêvait et c'était ce qui l'attira le plus et dont Buffy aurait eu un amourachèrent ; sa seule chanson d'amour…


L'âme sœur est un concept qui évoque une compatibilité amoureuse qui serait parfaite entre deux individus. L'expression passée dans le langage courant a des définitions variables qui ramènent toutes à l'idée selon laquelle ces individus ont pour destin de constituer un couple. Une âme sœur peut être un partenaire ou même un ami, un parent ou un professeur avec qui l'on entretient un lien profond, puissant et souvent instantané. On peut rencontrer plusieurs âmes sœurs au cours de sa vie. Dans un monde où chaque personne pouvait écrire des messages sur la peau de l'autre, mais ce n'était qu'une légende. Et c'était une belle histoire dont Buffy voulait entendre avant de se mettre au lit comme un conte de fée, conté dans la nuit avec la lumière reposant sur la table de nuit.

Enfant, on croyait qu'existait quelque part dans ce monde, son âme-sœur, qui lui était destinée à Buffy. C'est vrai, Buffy et même, il fut un temps ou Joyce l'était également toujours était très rêveuse et fleur bleue. En croyant vraiment toute cette merveilleuse histoire, ce conte de fée à l'eau de rose. Elle rêvait et était convaincue qu'elle rencontrerait cette personne, unique et formidable. Que celui-ci allait la sauver, comme dans les contes que Buffy aimait beaucoup lire en étant enfant. Donc elle attendait son prince charmant. Pourquoi la sauver ?

Elle avait commencé à prendre conscience de la noirceur du monde, à me faire un nid dans mon lit pour me protéger la nuit qu'une ombre machiavélique et morbide venait hanter. Depuis que Buffy est née, tout ce petit monde d'amour d'une famille remplie de saines relations et de bonnes personnes, l'enfant vivant comme dans du coton aimante lui a appris à aimer, ni l'importance de l'aimer d'abord pleinement avant de commencer à aimer l'autre. Comment peut-on être pleinement épanouie si l'on est en attente de l'autre pour combler son vide intérieur et s'autoriser à être heureux. L'amour ne suffit pas pour être de bons amoureux et c'est pourquoi les rencontres sont là pour ça, pour nous apprendre à aimer…

C'était une belle histoire dont Joyce avait le secret pour ainsi faire sourire et rendre heureuse et romantique ne l'oubliant pas, il ne fallait pas qu'elle perde cette signification d'aimer et être aimé ; il suffisait qu'elle s'en souvienne, qu'elle n'oublie pas. Elle ne doit pas oublier l'amour, elle ne doit pas oublier ce que c'est que d'aimer et ce que cela signifie d'être aimée ou d'être dans ce monde la détruira. S'assurer que chaque personne s'en souvienne, se dit Joyce en regardant sa fille bercer contre elle pendant qu'elle dormait dans un sommeil profond et protéger du monde et des ennemies…


Il était tard. Trop tard pour que Joyce puisse sortir seule de son travail et cela serait, encore plus dangereux et risqué d'entreprendre surtout en compagnie de deux jeunes enfants, rentrant à pied ou dans les transports en commun, dans la nuit déjà si noire qui était déjà avancée et l'heure de deux heureux dont le soleil était parti pour faire place, prendre le relais des journées de nuit.

Mais il n'y avait plus eu le choix de travailler à la Galerie en cette fin de journée restant dans son bureau pour avoir des heures supplémentaires, prenant une lourde responsabilité pour rendre les lieux de la galerie d'art et les pièces d'antiquité sécurisées et pour sécuriser une œuvre tout en prenant en compte sa nature, il est possible de faire appel au cryptage, au contrôle d'accès, à l'embrouillage ou/et d'utiliser une enveloppe électronique avec une clé pour ouvrir cette dernière. Les musées représentent une cible exposée aux risques d'intrusion, de dégradation et de vol, en raison de la diversité des collections qu'ils abritent et du trafic illicite toujours vivace, malgré les dispositions prises pour alourdir les peines infligées aux trafiquants d'objets d'arts volés.

La sûreté des musées repose sur une mise en œuvre attentive et combinée de moyens techniques et humains adaptés au contexte de chaque établissement. Le développement de la sûreté des musées repose également sur une indispensable connaissance des œuvres à protéger et sur des actions de sensibilisation et de formation des personnels à la prévention des vols et des actes de malveillance. Et ainsi avoir les bons réflexes et c'était ce que qualifier apprenait et avait des connaissances pour elle dans son travail ainsi que ses employées…

Buffy ne voulait pas sortir de ces galeries du bureau privé de sa mère, en s'exclamant et en ayant du bon sens de la critique et du savoir et en faisant remarquer à sa maman qu'il ne devrait pas être si tard ; mais la fillette se trompait lourdement, bébé Frances à côté d'elle était éreintée ; Buffy avait eu l'excuse de le dire en s'écriant avec fierté et joie qu'elle travaillait en jouant avec les nombreux courriers du bureau en dessinant sur du papier...

Joyce attrapa en enroulant ses bras autour du corps de son bébé, Frances, en ce début de l'année 1987 en Janvier, elle ferma son bureau à clé et ainsi fit une dernière constatation et vérification de la sécurité des portes fermées et dit bonsoir au vigile de nuit.

Hank était en voyage d'affaires pendant une semaine complète.

Il faisait anormalement, spécialement dans la rareté plus froid et frais que dans les températures qu'ordinaires et spéciales pour une saison d'hiver dans un des états de l'Amérique des plus chauds dont les températures fortement chaudes pour la Californie. Ne pouvant pas dans ces conditions météorologiques du climat dans des conditions hivernales et froides de rentrée à pied n'ayant pas pu prendre sa voiture pour aller de la maison à son lieu de travail avec ses enfants, dont la voiture n'avait plus d'huile ni de freins ; c'était donc totalement exclu et hors de question de prendre son véhicules son automobile…

Buffy était impatiente de monter dans le métro et le découvrir, n'ayant jamais eu d'occasion et l'habitude de l'emprunter. Elle n'avait jamais été dans le métro quand il n'y avait pas beaucoup de monde, et elle s'est donc assise à côté de son père facilement, balançant ses jambes d'avant en arrière alors qu'elle fredonnait ; toute sorte de musique passant dans des films préférés de princesses Disney ; étant tellement si romantique, belle en roses rêvant de belles histoires d'amours et de rêves bleus, d'aventures de jeunes demoiselles en détresse et croyant, ayant la foi de trouver, allant dans des rêves les plus fous, ou la gentillesse, l'amour dans leur regard leur bonté faisaient d'elles des beautés et un cœur de jeunes femmes belles, féminines au cœur sur la main et leurs rêves se réaliseront…

En fermant les yeux, Buffy y croyant de toutes ses forces comme si c'était dans son monde et son esprit à elle de tomber, avoir une relation amoureuse et découvrir son âme sœur au premier regard ; oh cher seigneur, Buffy en rêvait tellement, un minuscule sourire vivant et authentique se forma et tout le monde y cru…

Et regardait avec un vif intérêt les trois hommes marmonnant avec les voix drôles qui partageaient leur voiture de métro.

Ils ont changé de train à presque la moitié de leur route vers la maison familiale, tout comme les autres hommes, et ils ont tous attendu le prochain train en silence. Buffy n'aimait pas beaucoup le calme, n'aimait pas les regards suspects que les hommes et son père se tiraient dessus, alors elle s'est dirigée vers l'homme le plus gentil et a tendu la main. « Bonjour. Je suis Buffy." s'écrit l'enfant.

Joyce se précipita après elle inquiète et extrêmement méfiante face à ces hommes qui lui renvoya lire un instinct négatif, craignant que ce soit des dealers ou des hommes travaillant pour une des nombreuses zones de mafia « Je suis désolée. Elle est juste amicale."

"Un jour mon prince viendra" de Blanche-Neige, "J'en ai rêvé" de la belle au bois dormant, "l'amour est éternel" de Bambi, "tendre rêve" et "c'est ça l'Amour' de Cendrillon...

" Dès que le train arrive ici, il fallait monter immédiatement dans un autre train. Ne regardez pas en arrière, ne vous mêlez pas de ça." Joyce n'a rien vu, rien entendu. Il ouvrit sa veste pour montrer à Joyce quelque chose qui faisait hocher la tête de son père. Buffy plissa les yeux. C'était une sorte de badge. « Affaires gouvernementales pour le FBI ».

« Je vois. » Joyce n'avait pas l'air heureux, nerveuse et sérieuse, craignant pour sa vie à ce sujet, mais elle a hissé Buffy dans ses bras malgré ses protestations, et au moment où le train s'est arrêté dans la gare, elle la portait et s'est assis rapidement. Buffy sortit de sa prise et pressa son nez contre la fenêtre pour voir pourquoi cet homme et les autres ne les avaient pas suivis. « Maman ! Regarde ! » Elle pouvait voir, dans la voiture à côté d'eux, une femme à la peau foncée qui boitait hors de la voiture. Sa mère la prit précipitamment dans ses bras, et Rutherford se tint devant la porte pour l'empêcher de se fermer. L'homme, cependant, est allé jusqu'au bout et Buffy a couru vers la vitre latérale pour voir ce qu'il y avait dans la voiture. Elles n'assisteront pas à un meurtre ou une affaire très extrêmement secrète mêlant sa vie ou au secret de police.

Un homme gisait inconscient sur le sol et Buffy haleta à sa vue se précipitant aux côtés de sa mère, cela restera gardé dans sa mémoire. Il était tout en noir, mais il avait un si joli visage qu'il ressemblait à un prince Disney de conte de fée. Ou peut-être le héros de l'une de ces séries de dessins animés, à la place, puisque ses cheveux étaient d'une drôle de couleur blanche qui n'avait pas l'air réel du tout. Il saignait partout, cependant, belle peau pâle, gâchée par de longues égratignures et des décolorations meurtries.

Joyce s'entreprit avec rapidité à quitter ces lieux, elle ne garderait plus jamais pendant un temps loin de cette soirée passèrent rapidement, dans une station n'importe laquelle, ne regardant plus rien ne faisant pas attention qu'elle s'aventurèrent dans un terrain des lieux de la ville inconnue pour elle et ses filles, dans des quartiers populaires de cité, quartier sensible pour les gens pauvres et souvent des problèmes, des bagarres, des gangs, des voitures, des bus délabrés, cassés dans tes tas d'ordures et inutilisables... Joyce tenait très fermement sa main dans celle de Buffy, son bébé pressé contre sa poitrine ; elles avancèrent très rapidement dans une ruelle sombre et terriblement, forcement grave, noire, où ils y logeaient, vivant dans des tentes des sans-abris ; elles devaient, dans ses conditions, marcher en silence, sans attirer le moindre regard, une attention maladive et perverse. Buffy glissa de sa main son bien le plus chère, sa poupée en chiffon, elle tira alors dans sa main au bras de Joyce ne comprenant pas pourquoi on lui refusait le droit de récupérer son jouet.

"Maman. Ma poupée."

C'est alors qu'un homme aux cheveux blonds décolorés, vêtu d'un long manteau de cuir noir qui ramassa l'objet d'un enfant et il lui rendit, en la prénommant petite princesse ; ensuite tout se passa si rapidement, si vite, que Buffy ne comprit rien ; l'homme voulu beaucoup plus loin dans les pâtés de maisons, être attaqué pour de l'argent et récupérait des bijoux, des vêtements de riche ; et puis, comme dans une histoire de livres ou de films, les trois femmes Summers furent sauvées par un inconnu, un homme irréductible et indestructible, la même personne qui lui avait rapportée et ramassée du sol dur de bêton.

Joyce reçut une toute autre version dans son regard, à travers ses yeux, ne voulant changer les images le souvenir de ce qu'elle a vu et fit ce qu'elle savait le mieux faire pour cause et faire plaisir à Hank, elle renia ce qu'elle vit, choisissant de modifier son esprit, les images encore non classées dans son cerveau et jusqu'à ce qu'elle ne renvoyait en étouffant tout ceci jusqu'à la normale que cet homme n'était bien qu'un homme ; elle ne verrait jamais plus ce visage déformé, ses crocs comme un visage de... vampire.

Joyce était une présence positive, agissant comme une mère et une amie de tous les enfants de leur rue et du quartier. En raison du danger fréquent rencontré par sa fille, Joyce était parfois dans la ligne de mire de menaces surnaturelles, mais était capable de tenir le coup, comme lorsqu'elle voulut frapper et en ressente le courage avec une hache de feu pour défendre Buffy. Elle se souciait souvent plus des autres qu'elle-même, étant plus préoccupée par Hank son mari, et ses enfants et d'autres petites filles amies de Buffy des petites copines que par son état de santé. Elle avait, aura, une relation amicale et maternelle avec Spike dans l'avenir, leur future vie, à Sunnydale qui prétendait qu'elle était la seule qu'il pouvait supporter et dont elle se souciait de tout et de tout le monde et les membres d'êtres vivants et d'êtres humains sur cette belle Terre. Joyce n'aurait jamais eu peur de cet homme, voulant le traiter et se préoccuper de lui comme une véritable mère et attentionnée, elle ne jugeait ni ne disait du mal de personne, Buffy avez été élevée par l'une des femmes les plus gracieuses et les mieux élevées qui n'aient jamais marché sur la surface de cette terre, une rareté de ne pas croire à des monstres dans la vie paranormale, surnaturelle ; elle ne tiendrait pas rigueur de ce à quoi et qui était cet homme, des défauts totalement nuls et non avenus dans cette stupidité de notre société de croire et apprendre les défauts qui faisaient croire que l'on devait comprendre forger et dicter nos préjugés, les décisions en lâchant, ne se préoccupant de rien...

Joyce remercia cet homme en présentant ses deux filles, Buffy l'ainée et son premier enfant ainsi que Frances une toute petite fille et la petite sœur de Buffy le second enfant et la dernière-née. Spike regardait avec une profonde intensité l'enfant et il fut bouleversé d'apprendre le prénom de Buffy, ce qu'il pensa comme un miracle et quelque chose de très perturbant, intense et vif, comme il avait connu une autre femme, qui lui rappelait à travers le regard de cette petite fille, il fut ému par ses cheveux blonds et ses mêmes yeux verts. Buffy. Buffy. Buffy... Comme ce prénom d'Elizabeth, sa Bess… Le fantôme du souvenir, les changements et un rappel constant de cette jeune tueuse des années mille-neuf-cent-cinquante... Et elle faisait apprendre un prénom comme un nom comme Elizabeth quelqu'un dont il est amoureux par sa mémoire. Comme un prénom de petite princesse ; enfer sanglant, cette gamine se prenait comme une princesse l'innocente petite chose.

Spike souhaita raccompagner dans sa voiture et veille/nouvelle Desoto pour les garder en sécurité, pour rendre son côté gentleman. Il oublia son statut de prédateur, de criminel et de folie et blessure d'atrocité, il était un être humain comme un autre, comme William. William Pratt.

Spike comme Buffy l'appela, voulut le faire rentrer dans sa maison, ce qui délectât, souriant dans un sourire de victoire à l'intérieur de lui, de son côté de mauvais et de monstre mais sous la surface, un homme sensible se cacha pour se mettre dans une coquille de sensibilité et gentleman doux de son époque où il avait appris à ne pas froisser ou déchirer, briser cette éducation qu'il le rendit encore plus humain ; il se rappela de son enfance aimant sa mère et il resta doux et ne déshonorant jamais cette partie de sa vie, et l'étreignant, la berçant en la gardant au plus profond de soi comme un humain qui continuait d'exister dans un vampire… Il accepta l'invitation mais se jura de détruire, de révoquer l'invitation dans cette paisible famille...

Il joua avec les enfants avant que Joyce les mette dans leur lit, et reçut de nombreux dessins de Buffy retraçant son soi en crayon et en feutre aux côtés de la petite fille…

Beaucoup plus tard, Buffy refusa en pleurs que William -Spike- ne souhaitait pas qu'il parte pour toujours.

Crois-moi Pet, on se retrouvera plus tôt que tu ne le crois… Un jour, et un jour…


Toutes les Tueuses à travers les âges partagent un lien psychique, qui se manifeste dans les rêves. Une Tueuse rêvait souvent d'elle-même comme une Tueuse dans un autre temps et un autre lieu, avant même d'être appelée, ce qui laissait entendre s'il s'agissait de Tueuses Potentielles. Ils pourraient également faire l'expérience de rêves prophétiques liés aux crises à venir. Le rêve prophétique était la capacité de percevoir un message sous la forme de rêves. C'était l'un des principaux pouvoirs possédés par la Tueuse.

Les tueuses faisaient parfois l'expérience de rêves qui prédisaient des événements futurs, qu'il s'agisse d'une menace imminente ou dans les années à venir, s'il s'agissait d'une situation à long terme ou d'une situation facile à gérer, ou si ce n'était pas une menace de toute façon.

Ces rêves pourraient consister en une situation bizarre faisant référence à des actions qui se dérouleraient dans l'avenir, comme des prémonitions, par le biais d'indices visuels ou parlés ou pourraient simplement montrer l'événement lui-même. Elles n'étaient pas strictement récognitives, car les Tueurs faisaient l'expérimentation des rêves de la vie des Tueuses du passé, ou qui révélaient des faits sur le présent... Mais c'était très différent pour Buffy qui avait appris à connaitre, subir des rêves dans la psychique d'autres personnes.

Elle s'assit dans son lit et en poussant un soupir frustrant. S'agrippant à son cochon, M. Gordo, Buffy est sortie de son tout nouveau lit jumeau et superposé. Sous son lit, il y avait son bureau pour écrire et lire des livres en regardant les images de lectures et dessiner de grandes filles. Elle a ouvert ses rideaux rose clair et regardait le ciel bleu foncé, presque noir et les spécifications blanches scintillantes. Elle leva les yeux vers l'étoile la plus brillante qu'elle pouvait trouver et la pointa du doigt. Elle a commencé à compter la lumière des étoiles qu'elle faisait habituellement chaque fois qu'elle ne pouvait pas dormir. Un, deux, trois, quatre, cinq... Oh ! Elle s'est arrêtée. Elle a crié d'excitation en remarquant que toutes les étoiles se mélangeaient pour former la Tour Eiffel. Elle cligna des yeux, se demandant si elle imaginait peut-être simplement la forme des étoiles changer. Quand ses yeux se réouvrirent à nouveau, la tour devant elle bougea, se dandinant, et tout d'un coup elle se tenait à l'intérieur de la tour, grimpant lentement les escaliers de la tour et regardant les gens et l'herbe avant qu'elle ne devienne de plus en plus petite.

C'était un si joli rêve vivant sans s'être endormie.

Elle aimait ses rêveries. Depuis quelques semaines, elle a le don de voir de jolis emplacements d'où elle n'est jamais allée. La première fois qu'elle a rêvé, elle a vu une belle ville et un immense bâtiment avec beaucoup de belles peintures le long des salles blanches et lumineuses. Buffy ne savait pas ce que c'était, mais elle savait que c'était trop joli pour être quelque chose de proche de chez elle.

Elle ne savait pas qu'elle voyait en réalité Madrid, en Espagne, où se trouvait la vierge Marie des cathédrales aussi fabuleuses et merveilleusement belles sous le regard de vitraux des nombreuses Saintes.

Buffy a porté une attention particulière au voyage jusqu'à la Tour Eiffel. Elle marcha aveuglément dans l'obscurité jusqu'à son lit et s'assit sous ses draps de lit chauds pendant qu'elle regardait sa rêverie la prendre de plus en plus haut dans la tour. Alors qu'elle atteignait le sommet de la tour, Buffy pouvait entendre quelqu'un parler en arrière-plan de sa rêverie. Elle plissa les yeux et essaya de trouver le visage correspondant à la voix. De cet homme blond aux cheveux décolorés.

Elle y vit des combats et astuces sportives en gymnastique en réflexion de relaxation méditation pensives, relaxations et apprendre à faire corps avec sa force de méditation, et les combats de nombreux sports ; le tir à l'arc, l'albâtre, le combat à l'épée et beaucoup d'autres moments et mouvements flexibles d'une combattante expérimentée...


L'on dit toujours face grâce à une explication d'un test pour se rassurer voulant sachant reconnaitre entre la vraie vie ou le rêve, pince l'autre on est en train de rêver. Il peut être important de savoir si on rêvait ou non, surtout en plein milieu d'un rêve intense. La personne qui le fait et le réalise pourrait vouloir le vérifier lorsque l'on essayait de faire des rêves lucides, pas profond et où l'on pourrait vouloir savoir si l'on est éveillé(e) ou endormi(e) après un choc ou un accident. Parfois, les rêves peuvent sembler plus réels que la vie réelle, mais l'on pouvait apprendre à faire la différence entre un rêve et la réalité. La mère de l'enfant au sien lui dirait de toujours avoir la tentation, le besoin de se rassurer en se passant légèrement l'épaule entre ses bras…

Mais avec l'intensité de ces rêves, de passionner et effrayant par leur violence de l'accentuation et l'aggravation, empêchant Buffy de se réveiller malgré sa force à ouvrir les yeux mettant ainsi fin à son sommeil profond. Buffy pensa à sa mère la nuit voulant certaines nuits aller se blottir dans les draps de ses parents et contre Joyce, son amour pour sa maman, qu'elle ressentait la terrifiant pour son si jeune âge par sa profondeur et la façon dont il vous consume.

Petite fille à de nombreuses nuits et il y eut des occasions d'aller raconter ses rêves si vivants si effrayants lui faisant peur, se transformant en traumatisme dans des nuit froides et sombres d'horreur noire et dans un bleu sombre presque noir de la nuit. Elle en parle avec sa mère qui la prenait dans ses bras pour de la recherche, du réconfort que seule une mère pouvait effacer, oh sa maman soleil de sa vie, elle réconforte le cœur abimé ; un gisement d'amour inépuisable, une source de tendresse, qui la rempli de bonheur sans cesse.

Elle illumine ses journées, et elle lui réchauffe son cœur, Par sa douceur et sa chaleur, son soutien l'accompagne toujours, Dans les bons et les mauvais jours ; et cette nuit-là fut dans un cas particulièrement parfait pour une nouvelle fois une fois de plus partie.

Elle faisait toujours les mêmes rêves qui la terrifiaient, murmurait-elle à l'oreille de Joyce en arrivant en pyjama dans le salon toujours éclairé où ses parents buvaient et mangeaient un léger apéritif ; elle ne savait plus quoi faire pour se débarrasser, renvoyant en empêchant d'entrée dans son esprit, son subconscient là où elle ne pouvait pas être protégée dans ses rêves, lutant elle ne pouvait faire de guerre alors éveillée.

Joyce avait toujours eu le don, le tallent, pour réconforter ses enfants, retirant, faisant disparaitre, essuyer les larmes de Buffy ou de Frances, retirant, faisant de toutes ses forces dans ses bras d'étreinte la mélancolie, les peurs terrifiantes en réconfortant de solutions rassurantes pour donner du courage et la ruse de la détermination en lui expliquant de toujours se pincer quand des rêves comme ceux-ci apparaissaient dans son sommeil et comme ceci elle saura distingué le cauchemar de la réalité ne laissant rien l'envahir ni la posséder ou remplir et couvrir... Prenant du courage de conquérant.


Buffy Summers fêta son sixième anniversaire au côté de ses deux parents, ses grands-parents paternels ainsi que des sœurs de Joyce et aux côtés d'autres enfants de son âge, Celia, sa cousine, et Lise sa meilleure amie.

Ce fut un anniversaire des plus ordinaires, oubliant tout complétement de la vie quotidienne des adultes et de leurs problèmes de tout ce qui posèrent des questions, la crainte qu'il y aurait dans leur espace mais de rien d'inhabituel, la routine de leur vie.

Buffy et Lise commencèrent grâce aux nurses, aux Nanny et autre puéricultrice de leur entourage et qui prenaient grand bien soin des enfants au cours de leurs semaines au jardin d'enfants ; ainsi que d'autres enfants, commencèrent à s'habituer à rencontrer des enseignants, institutrices, dans des petites classes pour environ découvrir peu à peu et petit à petit à s'habituer à l'école classique pendant, soit des journées entières, soit des demi-journées… Buffy dans sa classe, elle rentrera dans cette école en fin Aout début Septembre 1987, en même temps que Lise qui sera mise dans la même classe. Elle se rend d'abord pendant cinq ans à la garderie, jardin d'enfant de l'école Montessori, à proximité de chez elle. Lise et Sanne et d'autres petites copines seront dans le même établissement…

En attendant ce temps, Buffy continua de vivre une vie normale de toutes les petites filles qui avaient la chance de vivre dans un pays calme, paisible, sans guerre et ou le pays régnait en maitre. Une vie insouciante et belle comme n'importe quel être vivant avec son amie Lise. Elle lui raconta son sauvetage par une nuit froide, l'attaque de voleur qui sauva sa mère et sa sœur et elle-même par un bel homme courageux ; Buffy se mit à rêver… Laissant son amie perplexe, confuse et quelque peu jalouse ne se rendant pas compte que c'était dangereux et tragique de vivre une telle expérience… Lise bouda pendant que Buffy souriait avec éclat et des étoiles dans les yeux avec toute l'innocence de la vie….


Buffy eu comme présent, comme un don offert par ses parents, une nouvelle peluche et de ce fait qui veut dire un nouveau jouet qui deviendra l'un de ses favoris dans ces nouvelles aventures et d'histoires inventant dans l'esprit, la tête d'une enfant vive ; ce furent des vacances en famille rares, juste avant ou juste après la naissance de Frances d'à peine un an. À l'époque, Buffy avait été particulièrement attachée à un ours en peluche portant une robe dotée d'un tablier de la même couleur qui faisait office d'oursonne maîtresse d'école -institutrice qu'elle avait nommé Câlinou-Fridtzee. Partout où elle allait, Câlinou-Fridtzee allait aussi – à l'école maternelle, aux dates de jeu, au bureau du médecin, et certainement lors de ce voyage, car dormir sans lui s'était avéré impossible. À ce jour, elle ne savait pas comment il se faisait qu'elle n'avait pas remarqué que Câlinou-Fridtzee n'était pas avec elle jusqu'à ce que l'hôtel soit à au moins cinquante kilomètres derrière eux, mais d'une manière ou d'une autre, elle avait fait l'impensable et abandonné son animal en peluche préféré. Et aucune mendicité, pleure ou cri n'avait persuadé son père de faire demi-tour.

Son père lui avait cependant proposé de lui acheter un nouveau Câlinou-Fridtzee. Ce n'était pas non plus une offre vide, car les allées de jouets partout où ils allaient grouillaient de clones de Câlinou-Fridtzee Même fourrure fauve, portant une robe dotée d'un tablier de la même couleur rose orange pale, mêmes yeux en obsidienne, même tablier cousu à sa robe de vêtements pour ours. Sur un plan logique, Buffy savait que les Câlinou-Fridtzee dans les magasins et les Câlinou-Fridtzee qu'elle avait vus pour la dernière fois câlinée à côté d'elle étaient complètement identiques. Elle savait aussi que, malgré la magie du petit enfant dont tous les animaux en peluche étaient imprégnés, il n'y avait pas de conscience derrière ces yeux d'obsidienne. Que le Câlinou-Fridtzee qu'elle avait laissé derrière elle n'attendait pas qu'elle vienne le chercher. Qu'elle pût prendre n'importe lequel de ces ours qui lui ressemblaient et prétendre qu'il n'y avait pas eu d'accident – réécrire la fin de ce qui avait été de bonnes vacances.

Mais l'imagination de Buffy n'avait aucune chance contre la réalité. Câlinou-Fridtzee était parti et ne pouvait pas être remplacé. Celui qu'elle avait aimé, celui avec qui elle avait partagé ses siestes, celui qui l'avait gardée en sécurité pendant les orages et du monstre dans le placard – celui-là était parti. Et il aurait été faux de prétendre que cela n'avait pas d'importance. Aussi inanimé qu'il eût été, il n'avait pas non plus été pour la façon dont elle l'avait regardé. Ce qu'il avait signifié pour elle. Et elle avait emporté cette connaissance avec elle lorsque M. Gordo était entré dans sa vie, le garder avec toute la férocité que l'expérience lui avait enseignée était nécessaire.

Parce que remplacer quelque chose était mauvais, froid et sans conscience, sans remord qui ne possédait aucun intérêt. Substituer signifie mettre à la place d'un jouet, cela voulait dire substituer son animal de compagnie, ses amies, les personnes que l'on a aimées, cela pourrait continuer comme cela jusqu'à la fin des temps... Si tout le monde réagissait, faisait réagir de la même façon encore et encore ; il n'y avait jamais personne d'identique, sauf si on allait véritablement au fond du trou du vortex noir, les personnes, que ce soit un jouet, un animal de compagnie ou une personne, ne seraient jamais véritablement complètement, totalement remplacées, ce serait faux enseigner par des charlatans, des gens qui veulent du mal ; une copie de Frances n'était pas Frances. Une copie de sa mère Joyce, n'était pas Joyce et une copie de sa famille et de sa véritable meilleure amie ne l'était pas non plus sa famille et son amie...

Mettre quelque chose, quelqu'un à la place de quelque chose, quelqu'un d'autre destiné à remplir le même office, à jouer le même rôle. Nul n'est irremplaçable et personne ne peut remplacer autrui ! Tel est un des paradoxes de la vie. Lorsque nous essayons de changer une personne, nous envoyons un signal comme quoi nous ne sommes pas satisfaits d'elle, c'est donc une critique. D'autre part, nous donnons l'impression de mieux savoir qu'elle ce qui est bien et de vouloir la diriger. C'est la meilleure technique pour échouer.


Buffy a toujours recherché des relations profondes et engagées plutôt que des liens occasionnels ; malheureusement, elle était le plus souvent attirée dans le futur de sa vie d'adolescente qu'elle avait si profondément, d'une manière inexplicable et forte, l'en ayant fait grandir très rapidement, la plaçant avec la racine des moments où son adolescence l'obligea, la faisant adopter dans des circonstances d'adultes qui elle était devenue beaucoup plus adulte, mature et mure devant les obligations, les décisions dans la vie des responsabilités ; par des hommes dangereux ou inaccessibles. Buffy Summers a eu diverses relations au fil des ans. Elle avait eu quelques romances immatures au lycée avant d'être appelée la Tueuse, avant de connaitre Angel et cet autre homme, aux cheveux blonds, mais elle n'avait jamais ressenti ce genre de dévotion de la part d'un garçon qu'elle avait fréquenté dans le passé.

Elle a eu d'autres rencontres romantiques tout au long de sa vie. Et bien sûr son premier coup de cœur, raison d'amourette comme une petite fille déclarant qu'elle avait un amoureux dans sa classe ; Buffy avait beaucoup aimé un autre petit garçon qui se prénommait Théo au jardin d'enfants, et dont à l'époque les deux enfants avaient quatre ans. Et Buffy voulut rencontrer, retrouver en racontant dans son passé à l'époque de ses six ans, l'histoire de son grand amour d'enfance.

Lors d'une réception que ses parents avaient organisé en fin d'après-midi et début de soirée, à la maison avec des collègues et bons nombres de beaucoup d'amis de Hank et Joyce Summers tandis que Frances était déjà couchée, Buffy, quant à elle, eu droit de rester debout et encore éveillée pour cette fabuleuse occasion. Quand elle la rencontrait, c'était son ami le cousin de Théo, il n'avait plus son père et vivait avec sa mère chez une de ses tantes, un cousin, Sam-Appy était un beau garçon svelte aux cheveux bruns et qui était, qui fut plus tard, est devenu le type même d'un héros de films et qui éveillait beaucoup plus l'admiration que Théo, ce petit garçonnet, ce petit gros plein d'humeur avec sa peau de encore bébé. Pendant un temps ils étaient souvent ensemble, mais en général, il ne répondait pas à son amour de fillette de moins de cinq ans et-demi et ce fut toujours d'actualité, toujours le cas jusqu'à… jusqu'au moment où Peter-Nicolas, surnommé Nicki, s'est retrouvé sur son chemin et où elle fut, a été frappée de son premier amour d'enfant, de petite fille de six ans…

Son premier amour passionné d'enfant. Il avait sept ans de plus que Buffy, ce qui faisait dans un calcul très rapide, de treize ans. Et il lui plaisait également beaucoup, Buffy en était certaine. Ce qui signala, alerta et qui eut été un indice que dès son plus jeune âge Buffy à toujours été dans l'attirance de personnes beaucoup plus âgées et dans non d'aucune de sa tranche mais d'autres plus vieux…

Joyce était toujours insouciante de ce qui se passait mais Hank ne perdit rien dans les regards tendres de Buffy, son regard timide et ses joues rouges et roses, tenant se tenait aux côtés de ses parents essayant de se cacher, elle qui était toujours vive, curieuse de toute conversation qui interrompt les conversations pour s'y glisser en silence et calmement, sans bruit, cette fois-ci la petite Buffy se montra discrète et timide aux côtés d'un jeune garçon, de Peter-Nicolas -Nicki-. Le repas commença donc en silence. Mais quelque chose n'était pas comme d'habitude, Joyce avait remarqué que quelque chose ne tournait pas rond chez sa Buffy. La petite fille chipotait dans son assiette et, surtout, elle n'arrêtait pas de regarder leur invité. Nicki, Quant à lui, il n'était pas en reste, il regardait la petite fille du père du meilleur ami du sien. Il faut le dire et le souligner, le mettre en avant et l'exposer, dire que la petite Buffy était adorable avec ses longs cheveux blonds et ses grands yeux vert.

Quant à Buffy, elle semblait tout bonnement fascinée par les cheveux blonds presque blancs et les yeux gris acier brillant remplis de vie de Peter-Nicolas, la petite fille ne voyait pas tout cela, elle ne voyait que le sourire qu'il lui avait adressé quand il avait enfin détourné son regard de sa mère et le fait que le sourire n'ait pas atteint ses yeux ne semblait pas la préoccuper. Et étaient chaleureux en comparaison d'autres hommes d'affaires ou de collègues du père de Nicki et de celui de Buffy.

Buffy soupira intérieurement en regardant ses beaux cheveux noir ébène si soyeux et doux, il était tellement beau. Et il lui avait souri…

Leurs sourires ne firent plus qu'un à l'unisson combinés ensemble rien que dans un seul visage, un seul être ; leurs yeux se relient de loin dans leurs yeux comme mentalement connectées ? il y avait tellement de choses à découvrir à comprendre et à voir…

Buffy lui plaisait également beaucoup et le temps de toutes les vacances scolaires de printemps de Pâques entières, ils ont été inséparables. Buffy pense encore à eux, marchant la main dans la main près du parc à ce que Peter-Nicolas la surveille comme un grand frère et sous les ordres et mériter la confiance de Hank Summers de veiller sur Buffy.

Et pendant ce lapse de temps partagé avec Buffy, celle-ci en était certaine de ses sentiments enfouis en elle, elle était irrévocablement et complétement incassable, amoureuse de Peter-Nicolas, lui dans un costume de coton blanc, et Buffy dans une courte robe d'été pour la Californie les températures étaient idéales ; il lui avait dit en chuchotant de ne pas être aussi triste qu'elle était beaucoup plus belle que lorsqu'elle souriait et elle était une merveilleuse petite fille -à l'horreur et grand dame de Buffy qui compris que même les garçons l'appelaient encore une enfant, une petite fille- et belles nattes… Il rajouta pour les adultes que Buffy avait été très sage et avait été assez grande pour se débrouiller ne serait-ce sans cesse et arrêter de faire les choses quand c'était trop dur, elle demandait de l'aider.

Et au contraire, Buffy veillait sur Peter qui lui aussi avait besoin d'une gardienne se dit-il en riant ; tout deux étaient une équipe unie et soudée. Cela fit rougir encore plus vivement la petite fille.


Alors que pendant tout ce temps de la fin de l'année scolaire, la toute première année d'école commença à prendre fin, la fin du commencement, du premier -1er Grade- année de scolarité et à l'école primaire, Buffy et Lise, la fillette âgée de plus de sept ans, en fin d'année, elle sait lire, écrire et compter correctement. Elle envoya une carte écrite à la main à sa cousine Celia. Buffy comme sa famille parlèrent couramment l'anglais, elle signe Dear Celia et à la fin signa Your Buffy. Aussitôt que l'enfant sait correctement sans faute d'orthographe, elle écrit des lettres à ses nombreux cousins et cousines ainsi qu'à ses grands-parents. A l'occasion d'anniversaires ou d'autres événements importants et à l'exception des lettres pour donner des nouvelles sur elle-même, sa vie avec Lise, ses parents et sa petites sœur, tout ceci avec minutie en disséquant chaque mot et phrase, les détaillant ; elle adresse une carte ou une lettre à sa famille ; et elle écrivit à son ancienne Nanny et la femme de ménage de leur foyer...


Ayant réussir à convaincre leurs parents de renter seule de l'école à leur domicile respectif sans le moindre danger alors que l'école était seulement uniquement à deux pâtés de maisons de là, d'ici, les filles, Lise et Buffy avait eu un grand rituel de partage à la fin de la journée sur le chemin du retour, qu'elles marchèrent ensemble à pied, ou selon leurs envies, à vélo mais par moment, en courant jusqu'au travail de l'entreprise d'architecture de Hank.

Visitant le bureau de Mr Summers était l'une des activités favorites de ses jeunes demoiselles. Elles jouèrent à la secrétaire, y passaient d'urgents coups de fil, s'appelaient mutuellement à l'interphone ou tapaient à la machine à écrire ou sur les grands écrans ainsi que les claviers d'ordinateurs, des documents de la plus haute importance ; ainsi elles disaient toujours qu'elles travaillaient au métier du papa de Buffy.

Buffy savait très exactement pourquoi, comment faire et en ayant envie d'attirer l'attention sur elle-même, elle aimait qu'on s'intéresse à elle, qu'elle soit le centre de toutes les attentions ne supportant pas de vivre dans l'obscurité et l'ombre en étant ignorée, et pour se faire, Buffy avait une technique très drôle, elle prenait en cachette des sacs plastiques qu'elle remplissait d'eau et les fermait bien solidement fixés et avec l'aide de son amie Lise, elles les jetèrent du haut des fenêtres venant éclabousser et arroser de pauvres gens passant dont la tristesse était d'être à un endroit au mauvais lieu et au mauvais moment ; ils se retournèrent vivement et regardèrent partout pour savoir d'où venaient les sacs… Pendant ce temps, les deux jeunes filles étaient enfermées dans un bureau avec la fenêtre refermée en se cachant, riant de leurs bonnes farces et histoires drôles de blagues.

Par moment, dans sa solitude et étant par moment, par jour, se retrouvant abandonnée de mauvaise grâce par Lise qui devait rentrer à la maison, Buffy se tenait bien sagement dans la pièce du bureau de travail et était affectueusement surveillée discrètement par Bettie et Miep, les secrétaires assistantes de Hank Summers.

Buffy se rend parfois seule à l'entreprise de son père et le vendredi soir elle se rendait à la galerie d'art de sa mère. Elles discutent beaucoup de dessins animés ou de films et animations de Disney avec les deux assistantes de son père car les films et les vedettes de l'écran, les cassettes vidéo et la télé la passionnent…


Buffy Summers était la fillette de sept ans la plus hyperactive de sa classe de sa deuxième année. Elle était toujours la première à se rendre à l'arrêt de bus le matin et la dernière à quitter l'aire de jeux après la récréation l'après-midi. Elle était également plus rapide que la plupart de ses camarades de classe, battant les coureurs professionnels de la récréation comme Billy Fordham, élève de troisième année. Il n'était pas surprenant que, alors que la plupart de ses amis dormaient rapidement, Buffy était bien éveillée.

Buffy était si belle, si délicate de fragilité dans son corps élancée grâce à sa beauté, tous les yeux se retournèrent vers elle et ne pas passaient sous l'ombre, tous les petits garçons de l'école primaire s'étaient amourachés de la fillette âgée de sept ans, tout comme Billy Ford alias dite Ford comme tous ses camarades le prénommaient, il y eut d'autres garçons de son âge qui lui avaient écrit des cartes de saint-valentin conçues, confectionnées en cours de dessin et d'art spécial pour le mois de février… Mais Buffy, la Buffy délicate qui ne connaissait pas son autre côté, le côté le plus beau et meilleur ; Buffy a peur qu'on se moque d'elle son âme divisée en deux, contradiction extérieure, contradiction intérieure quand lorsqu'elle serait plus âgée.

D'un côté se logent sa gaieté exubérante, son regard moqueur de tout, sa joie de vivre et surtout sa façon de prendre tout à la légère par ceci par-là, elle veut voir par-là qu'elle ne voit rien de mal à flirter à donner un baiser à serrer quelqu'un dans ses bras…

Ce côté est plus souvent à l'affut et refoule l'autre côté qui est bien plus beau, plus pur et plus profond… Il est vrai que le côté plus humain, moins peste, c'est vrai finalement le beau côté de Buffy, personne ne connait et c'est pourquoi si peu de gens peuvent la supporter. Elle est un clown amusant pour un après-midi après quoi tout le monde a eu sa dose pour un mois.

Buffy pour très tard dans un avenir proche que c'était pour cette raison cette question du pourquoi elle a la réputation d'une coureuse de garçons, d'une flirteuse, d'une madame je-sais-tout et d'une lectrice de romans à l'eau de rose. La Buffy immature, puérile et moqueuse, joyeuse s'en moque, rétorque avec insolence, hausse les épaules d'un air indifférent, fait semblant de ne pas s'en soucier, mais pas du tout, la jeune adolescente qu'elle sera, serait émue et d'une grande tristesse de ses souvenirs.

Mais Buffy était encore bien loin de la réalité dans le monde de la cour de récréation, elle était à mille lieux de se douter, tous les regards sur elle-même et n'écoutait pas ni ne s'intéressait à un garçon comme elle avait un coup de cœur, son amour, ses yeux et son cœur avaient la place qui méritait près de Peter-Nicolas…

Alors que dans plusieurs années plus tard, alors qu'elle n'avait que treize ans, dans un rêve et sa vie future potentielle, dans l'autoroute des chemins à leurs croisées -à la croisée des chemins- Ce matin-là, Buffy s'était réveillée vers sept heures moins cinq, et tout de suite, Buffy s'est souvenue très précisément de son rêve. Elle, la jeune fille était assise sur une chaise et en face d'elle se trouvait Peter-Nicolas… Nicki, ils feuilleter un livre avec des dessins, des illustrations magnifiques de Mary Bos et d'autres auteurs et qui pouvait être artistes peintre. Son rêve lui revenait si clairement à l'esprit que Buffy se rappelait encore qu'elle se rappelait et se souvenait encore en partie les reproductions. Mais ce n'était pas tout ; mais ce n'était pas tout, le rêve continuant, soudain le regard de Peter-Nicolas croisait le sien et elle le fixait longuement ses beaux yeux bruns de velours, alors Peter lui dit doucement : « Si j'avais su, je serai depuis longtemps venu te trouver ! » Brusquement, Buffy se détourna car l'émotion devenait plus forte. Ensuite Buffy sentit la douceur d'une joue, oh si fraiche et si bienfaisante, contre la sienne et tout était si bon, si bon…

A ce moment-là, Buffy s'était réveillée, sentant encore sa joue contre la sienne et le regard de ses yeux bruns au plus profond de son cœur, si loin qu'il y avait lu à quel point elle l'avait aimé et combien Buffy l'aimait encore et n'avait pas fait son deuil d'amour d'enfant. Les larmes ont jailli de ses yeux et elle était très chagrinée car elle le perdrait une fois de plus, mais pourtant heureuse car elle était certaine, Buffy, que Peter-Nicolas est toujours l'élu de son cœur de petite fille.

C'était terminé et le temps était révolu de l'époque où Buffy désirait épouser, se marier avec son papa quand elle serait grande. Quand son père, Hank lui avait donné un baiser ce matin avant d'aller à l'école, Buffy avait eu envie de crier et de hurler : Oh si seulement tu étais Peter.

Tout lui fait penser à lui et à chaque instant de la journée, Buffy passe son temps à penser et à se répéter intérieurement oh Peter-Nicolas, cher et cher Nicolas.

En priant si fort pour revoir son cher Nicki en pensant si fort et en espérant de chaque muscule, chaque fibre d'elle et de ses forces pour que Dieu la fasse passer son chemin vers Nicki, que Dieu de mettre Nicki sur son chemin, si elle le revoyait au bureau de son père ; mais un jour par le plus grand miracle du hasard ses prières et ses vœux furent enfin exaucées, un matin pas très loin de son anniversaire de ses sept ans…

Il se souvenait parfaitement d'elle, ce qui eu pour effet dans son être sensible, son côté doux et secret tendre de rougir jusqu'à la racine de ses cheveux blond. Peter-Nicolas n'avait jamais était aussi beau que ce jour-là de ses quatorze ans, il était beau, comme un astre, grand, séduisant, mince, le visage sérieux, calme et intelligent. Il avait les cheveux bruns et de magnifiques yeux marron, des joues rouges-brun et un nez pointu ; il était en réalité le fils d'une des collègues et collaborateurs de Hank Summers.

Buffy en étant très mature pour son jeune âge qu'un jour Peter lui avoua qu'il préférait être à ses côtés, la côtoyant et passer beaucoup plus de temps presque autant sacrifiant son temps avec ses copains et amis et n'être pas avec d'autres filles de son âge qu'il les trouvaient tous trop enfants, tout était trop immature, des incompris qui ne savaient pas ce que Nicki ressentait, les filles étaient trop ennuyeuses et superficielles en comparaison avec la petite Buffy, ce qui faisait d'elle une enfant d'autant plus exceptionnelle, qu'un jour il lui confia que pour lui elle n'avait pas sept ans mais en réalité, dans son esprit, dans sa tête, elle avait une mentalité d'une jeune fille de dix ans.

En partant dans ce sens ci, dans cette direction et partant sur de nouvelles bases, Peter lui dit quand ils se revirent au bureau d'architecture avec leur père respectif, il lui confia qu'il avait souvent pensé à cette petite fille qui était la fille ainée de Hank Summers et aurait tant aimé la recevoir pour en sachant, en voulant découvrir ce qu'elle devenait ; il y eut un rite des habitudes prises par chacun d'eux, des habitudes de routine le soir après l'école…

Il venait la chercher à l'école et inversement, Buffy partait le chercher ; quand c'était elle qui attendait près du collègue, beaucoup de jeunes filles, qui étaient beaucoup plus âgées que cette enfant, la regardèrent avec envie et jalousie ou gloussaient dans un coin chuchotant très bien fort pour que Buffy entende chaque mot, chaque syllabe et chaque lettre qu'elle n'aurait jamais aucune chance avec Peter car elle n'était qu'une gamine et qu'elles n'auraient pas peur d'une rivale qui en faite n'en était pas une ; à ces paroles méchantes, cruelles et mesquines, la fillette se confia à Peter-Nicolas qui s'était empressé de la consoler et depuis ce jour Buffy prenait grand soin de rester cachée et non à l'affut de la vue de tous…

Ce qui lui plaisait le plus chez le jeune homme était surtout son rire qui lui plaisait, il avait l'air si coquin et espiègle.

A l'école de Buffy, les enfants et de nombreuses fillettes de dix ans le regardaient avec envie et jalousaient Buffy et en même temps enviaient et craignaient de la chance qu'elle avait d'être si proche de quelqu'un qui était plus âgée qu'elle….


Frances âgée de seulement deux ans avait une sœur ainée, Buffy. Peu avant la naissance de Frances, Joyce ne travaillait que quelques heures par semaine pour ainsi être extrêmement présente dans les besoins de ses enfants, les satisfaisant et voulant les voir et les regarder grandir, évoluer, se développer. Elle trouve que la petite Buffy âgée de cinq ans était très en avance pour son âge et très hyperactive, elle manquait de concentration, tandis qu'elle évoluait et avait de la vigueur, de la rigueur en manquant terriblement et faisant ainsi plaisir à sa fille et lui accordant un cadeau l'inscrivant à des cours de danse et de patins ; en grandissant, Buffy devient une très bonne danseuse et participait aux fins de spectacles, fin d'année ou au milieu de l'année à tous ces spectacles et participait à des concours de talents...

Frances aimait faire comme sa grande sœur et bientôt l'enfant fut inscrite à des petits niveaux de cours de danses moderne jazz avant d'envisager la danse classique. En remportant des récompenses durant ses cours, très vite le professeur de danse de Buffy repéra sa petite sœur, et Frances commença ses cours de danse classique, sa carrière de théâtre pour enfants tout en dansant, Frances la petite fille était talentueuse et cela l'amusait. A des jeux de princesses, de fée et de conte de chimère ou aux petits animaux dans les bois…


Buffy s'amusant dans la rue en 1988, âgée toujours de sept ans ; Buffy aime rire, écrire et étudier l'histoire. Elle se passionne pour les vedettes, les stars de patineuses artistiques, comme telle exemple, adorant Dorothy Hamill ; le cinéma et la mythologie grecque et romaine ainsi que d'autres civilisations d'Islande et Amérindienne ; les chats, les chiens et les garçons. Elle a beaucoup d'amis mais personne ne remplacera dans son cœur et de meilleure amie, Lise Goslar. Buffy aime aller à des fêtes et chez le glacier du quartier ou sur la place publique et le parc. Elle se rend à l'école à vélo. Très bavarde en classe, Buffy, est souvent punie…


Buffy Summers a tout pour être heureuse issue d'une famille particulièrement riche qui est dans un foyer aisé, vivant dans une belle et immense maison dans un quartier résidentiel aux côtés d'un milieu social de gens, de personnes importantes tout aussi riches dans la bourgeoisie aux côtés de parents aimants et de sa petite sœur. Alors que son âme se préparait inconsciemment à son rôle de future élue de Tueuse de vampires, la personnalité de Buffy parait lisse comme un personnage de roman à l'eau de rose ou de roman historique avec pour font des romances, amours et besoin d'envie romantique... Mais il faut se méfier des apparences...

Ce n'est décidément plus exactement un secret pour personne, Buffy n'est pas particulièrement douée pour les études malgré sa grande intelligence, en étant douée pour les études. Elle se révélait une élève médiocre mais montrait déjà un gout certain pour le sport et des qualités de compassion rares. Ses professeurs louent sa douceur envers les plus petits et son amour pour les animaux. Mais elle est loin d'être brillante en classe. En revanche, elle n'hésite pas à chahuter en classe et à perturber les cours.

Si la jeune fille ne brille guère dans les matières classiques, elle se révèle rapidement une très bonne sportive. Elle adorait les poneys et aimait faire du cheval dans un club de vacances, mais plus tard elle fait une sérieuse chute et en retire une crainte pour l'équitation. Elle découvre le ski qui devient, pendant un temps de son enfance, une véritable passion. Elle pratique régulièrement la natation, mais c'est la danse et le patinage artistique qu'elle réussit vraiment à donner libre cours à son gout pour l'exercice physique et le domaine artistique. Elle aime aller dans des salles de danse privées et répéter à l'aise et le plus souvent en solitaire…

Parmi les défauts de la jeune fille, la gourmandise n'est pas le moindre. Ce n'est que le début de ses désordres alimentaires et la cause de sa gourmandise qui la fit énormément, de manière impressionnante, très mince et fragile à cause de ses dépenses en brisant et éliminant ses calories et la graisse qui pourraient y faire face.

Si côté études, Buffy obtient de ses résultats d'examen moyens, elle découvre à cette époque une autre facette de son caractère qui bouleversa son existence. Elle participe à des activités et des fêtes pour récolter des fonds pour les pauvres, était de causes de volontariats et rend visite à des malades aux côtés de sa grand-mère et le prêtre à des malades dans des hôpitaux. Beaucoup plus tard après être devenue une paria sociale de sa solitude et son isolement Buffy comprit qu'elle peut apporter du réconfort aux plus faibles et elle en ressent une grande satisfaction...

Plutôt bien en chair, les yeux souvent dissimulés à l'école primaire d'une longue et très sage frange. Elle se sent à l'aise en jeans même si elle adore parfois les robes ou jupes aux larges imprimés fleuris…


Celia et Buffy jouaient comme des enfants en prétendant que Buffy était Power Girl en super héros -héroine- Celia et Buffy s'étaient données un nom adorable soutenu et approuvé par Lise qui trouvait que les termes convenaient à la petite Buffy âgée de presque huit ans désormais ; Buffy la force et que Celia avait besoin d'être sauvée. Celia criât à l'aide pour être secourue, piégée dans une catastrophe profonde et féroce d'une immense, impressionnante avalanche -qui faisait office de coussins- retirant les oreillers et les cousins, Celia remercia, émue, et elles s'enlacèrent. Buffy lui chuchota pour toujours qu'elle n'avait plus rien à craindre...

Un beau jour de printemps, Buffy apprit par l'entremise de ses parents que Celia était très grièvement, d'une manière importante, tombée malade, qu'elle fut admise à l'hôpital. Des journées entières et interminables et plusieurs semaines s'écoulèrent inlassablement, terriblement avec lenteur, sans amélioration ; les médecins autorisèrent exceptionnellement des visites à la petite Celia âgée de neuf ans et qui souffrait terriblement mais avait la force de s'occuper l'esprit avec des crayons de couleurs, du papier et bons nombres de peluches et de jouets qui étaient en provenance de la salle de jeux des enfants hospitalisés et malades de longue durée... A l'hôpital, la petite Buffy avance dans un couloir et arrive près du lit de Célia qui dort… Quelques jours plus tard, la petite Buffy entre dans la chambre d'hôpital de sa cousine.

Celia ?

Rien n'était comme avant, comme autrefois, il y avait quelque chose d'étrange qui rodait, qui était à l'origine de la peur qui remplit l'atmosphère et l'air, s'imprégnant de l'air et de l'oxygène ; Célia s'était mise à bouger, à lutter de toutes ses forces mais la seule chose qu'elle put faire était de crier, de pleurer la clémence de la panique des hurlements et ne peut pas bouger quelqu'un ou quelque chose l'en empêchait. Buffy, dans sa jeune vie inexpérimentée, de sa jeune vie et des secours lui donna ce qu'elle put en faisait tout ce qu'elle put et se demanda quoi faire à part paniquer ; que lui arrivait-il ? Qu'est-ce qu'elle pouvait faire pour Célia ? En criant, elle aussi, en suppliant, mendiant et implorant de l'aide. A l'aide ! Que quelqu'un fasse quelque chose et vite rapidement. Quelqu'un ! Au secours ! Arrête Célia de souffrir pourquoi était-elle malade à ce point, en train de convulser dans les bras de sa chère cousine ! Célia continue de crier, luttant contre quelque chose au-dessus d'elle.

Celia est décédée en 1989 à l'âge de neuf ans dans un hôpital. Buffy était avec elle dans la pièce et la regardait impuissante alors qu'elle était tuée.

Buffy en fut anéantie et traumatisée à jamais et à vie…


En dehors d'autres familles ainsi que leurs fêtes, leurs traditions et leurs jours spéciaux qui étaient ornés d'une pierre blanche pour des célébrations pas comme les autres jours, la famille Summers comme tous les ans de tous les étés, ils avaient une tradition familiale de partir dans une même direction près des côtes de l'océan Pacifique, une maison leur a été toujours réservée en réservation annuelle pour la location par le biais d'un ami commun de Hank ; une très jolie et belle Villa au brique bleu avec une immense terrasse en bois vert d'olive, une simple maison de plage.

Buffy l'a surnommait la maison de la plage d'été. Comme tous les ans, ils partirent en vacances dans cette villa que durant quatre semaines ; louer en location automatiquement toujours aux mêmes dates depuis le mariage de Joyce et Hank avant même la naissance de Buffy, la petite Angélique avait, elle aussi pu profiter de ce foyer de vacances d'été dans un cottage coquet.

Il y avait bons nombres de photographies qui liaient Buffy et Frances durant leur vacances d'été dans la villa avec leur mère ou leur père ; ensemble à chaque fois, chaque moment et chaque instant soit que trois ou tout ensemble sur un même appareil photographique. Buffy, Frances et leur mère, un jour d'été de 1986 ou très récemment en 1989 et d'autres dates récemment récentes en ce jour ; l'un des avantages de vivre à Los Angeles ou plus pointu, cornu et complexe que cela de vivre en Californie ; c'est que la -les- villes n'est pas très éloignée de l'Océan Pacifique. Les jours de fête et pendant les vacances, toutes les vacances du premier Janvier jusqu'au trente-et-un Décembre, soit 365 jours, la famille Summers se rend régulièrement près du sable blanc et ensoleillé en la lumière jaune orangé de Los Angeles. Les enfants qui s'entendent parfaitement, correctement avec leur grand-mère se faisaient photographier toutes trois par leur papa.

C'est enfin les vacances ! Que l'on soit plutôt lézard à se dorer le corps entier sur la plage, un cocktail à la main ou alors épris et captivé aux visites et au sport, les vacances sont souvent notre période favorite de l'année, celle que l'on attend avec le plus d'impatience. Pour raconter ses vacances d'été.

La plage est un lieu magnifique. Le sable est blanc et fin, infiniment doux. Aucune ordure ne traîne ici, les gens sont respectueux de cet endroit paradisiaque. L'eau est de couleur turquoise, les vagues forment des écumes blanches. La plage près de la maison qu'ils avaient louée. Elle était presque toujours déserte. Joyce, une passionnée de photographie, prenait des portraits toujours plus beaux de ses enfants, passait beaucoup de temps à faire des photos, ramasser des coquillages, observer les oiseaux, marcher, se baigner. Buffy passait de très bonnes journées, elle et sa famille, pendant les vacances d'été. Mer, montagne, campagne … Ces lieux procurent l'évasion, chacun avec sa magie particulière. Pendant les vacances d'été, ils passaient une journée délicieuse à battre les champs, à entrer jusqu'aux genoux dans la rivière près d'où elle avait pied.

Les plages ont toujours été, sont magnifiques et les gens sont très amicaux. En observant les côtes de l'océan au sable, Buffy a vu quelques enfants commencer à jouer au football de plage sur le sable. Et elle avait donc essayé de jouer avec eux, en demandant au préalable la permission de sortir par la suite courir jusqu'au sable.

Il y eu des jours ou la plage était pleine de monde. Il fait beau et chaud. Des gens se baignent, d'autres font des châteaux de sable et d'autres mangent des glaces. Buffy et sa petite sœur sont assises sur leur serviette bleue et elles attendent le marchand de beignets et celui de glaces.

Ramasser des coquillages, chercher des crabes dans les flaques et les cailloux à marée basse. Les baignades dans l'eau froide et les vagues, l'odeur de l'air marin et la peau salée, le sable entre les orteils. Buffy va à la plage, elle se baigne et elle se bronze, Buffy joue au volley, elle fait des promenades, de longues marches avec Hank, puis se repose et elle lit des romans.

Pour des personnes, des gens et des familles ordinaires si simples sans magie pour profiter du temps et des moments uniques de la vie des vacances qui étaient tout simplement merveilleux et uniques sans d'autres gens pour qui l'on pouvait ressembler mais la famille Summers était uniquement là à l'air d'une plage ordinaire mais pour nous elle est unique ils y retrouvaient leurs nouveaux amis, la tranquillité et surtout la mer et le soleil !


Elle avait de merveilleux clichés de ses vacances dans la villa bleue de sur la plage de l'océan Pacifique, de merveilleux souvenirs avec son père et puis sa mère et toujours tout autant avec sa petite sœur, Frances...


Buffy aurait trouvé un bon excellent titre pour ce passage de chapitre de sa vie que l'on pouvait qualifier que de mémoire au mémorial de ses souvenirs de son cœur qu'elle avait reçu en cadeau ; Ode à mon stylo-plume, In memoriam.

Son stylo-plume a toujours été pour Buffy un objet précieux ; elle lui vouait le plus profond respect, surtout en raison de sa pointe épaisse, car pour son jeune âge et éviter de briser la plume par mesure d'attention, Buffy ne pouvait écrire tout à fait proprement qu'avec des pointes épaisses. Son stylo aura vécu une vie longue et passionnante qu'elle allait leur raconter brièvement.

Un jour, alors qu'elle avait neuf ans, Buffy était déjà d'une grande fierté importante comme un personnage de la plus haute importance à l'école ; elle a toujours su comment vivre une vie de presque à la préadolescence, tout le monde la connaissait et avait entendu des ragots, des faits amusants et des plaisanteries et elle sortait souvent sa sagesse d'après des camarades scolaires.

Buffy était au centre de ses amies parlant avec Lise et Sanne et discutait avec une grande importance et une telle joie et un tel bonheur de ne pas être seule à la maison ce soir-là, ses grands-parents seraient à la maison et elle devait vite rentrer directement après l'école en ne tournant pas en rond chez son père au travail ; en effet sa mère et Frances seraient déjà à la maison pour accueillirent leur grand-mère paternelle… Elle rentra donc d'après les instructions de Joyce ne souhaitant pas la désobéir à vélo…

Quand elle avait neuf ans, son stylo-plume est arrivé dans un petit paquet enveloppé de coton, en qualité d'échantillon sans valeur dans les mains tendres, frêles et avec sa véhémence révérence, venue de loin de New York le lieu de vacances de son papi et de sa mamie, la généreuse donatrice.

Buffy fut coucher avec la grippe alors que le vent de février sifflait autour de la maison. Le glorieux stylo-plume était contenu dans un étui en cuir rouge et fut montré dès le premier jours de guérison et de retour à l'école fraichement guérie, dès le premier jour à toutes ses amies. Elle, Buffy Summers la fière propriétaire d'un stylo-plume.


A l'âge de dix ans, Buffy à pu emmener son stylo à l'école, et là, la maîtresse lui a permis de s'en servir….


En moins de deux ans la relation qu'entretenait Buffy comme une grande d'histoire d'amour pour les enfants ; elle sut que tout changeait chaque mois depuis plusieurs années en en se faisant analyser chaque geste, chaque mention de Peter-Nicolas, chaque parole prononcée ou pensée, la petite fille sut que tout était en train de se détériorer entre la petite fille et Peter-Nicolas, il avait changé d'école pour rentrer dans une autre établissement, celui dont Buffy sera admise plus tard au collège/Lycée Hemery, elle n'allait plus le chercher pour jouer, discuter et parler en se surveillant mutuellement ; Buffy partit un jour en vacances à la campagne en compagnie de Lise ; Nicki n'habitait plus à son ancienne adresse et il avait énormément changé avec ses nouveaux amis de lycée et il habitait désormais en déménageant entre-temps et habitait avec un copain qui était plus âgé ; celui-ci lui avait visiblement fait remarqué que Buffy n'était rien de plus ou de moins qu'une gamine comme une autre et Peter l'a laissé tomber ; il s'intéressa à une nouvelle fille de son âge, Fanny.

Elle l'aimait tant que Buffy ne voulait pas voir la vérité en étant dans le déni le plus total et traumatisant, ne voulant pas voir la vérité en face et s'agrippait à lui jusqu'au jour où elle finit par comprendre que si elle continuait encore longtemps à lui courir après, elle ne serait qualifiée que d'une fille, elle serait classée comme une fille à garçons. Le temps passa ainsi que les années et Peter-Nicolas fréquentait des filles de son âge et ne songeait plus à lui dire bonjour.

En réfléchissant bien avec minutie, regardant avec difficulté sombre, en observant et en comptant sur la critique, elle regarda en arrière ces tout-petits riens que malgré le fait que Buffy eut une relation romantique d'enfant, cela ne pouvait continuer mais était voué à l'échec car Peter-Nicolas était beaucoup plus âgé qu'elle et que Buffy n'aurait pas de chance avec quelqu'un de plus âgé. Buffy pleura toutes les larmes de son corps qu'elle pouvait, alors que sa tristesse n'était pas bien vue par sa mère qui avait mal vu cette relation dès le départ. Tout s'arrêta alors que chacun devait vivre sa vie et c'était encore trop tôt pour que les mœurs se fassent alors que les jeunes filles se marient avec des hommes plus âgés qu'elles et plus importants.

Jusqu'à son entrée en sixième année, tout dura qu'à ce moment-là la tension et les problèmes jusqu'à l'ambiance tendue et fortement mauvaise car le jeune Peter-Nicolas était le fils d'un des employés de Hank Summers et il avait souhaité l'empêcher de rentrer et soit classé pas qualifier pour le travail…


En compagnie de son amie Lise à la sortie de l'école, Buffy, qui était à sa dernière année de l'école primaire, les deux jeunes filles étant âgée d'une dizaine d'années à présent, partirent en direction du Tramway pour rentrer à la maison à la fin des cours de la fin de la journée.

Elles discutèrent avec beaucoup d'entrain, de motivation et avec passion, avec joie et bonheur dans une parfaite gaité sur la langue Italienne ; sur la prononciation de chaque mot, chaque objet et dans différentes listes et catégories, que ce soit dans une maison, un zoo, la savane, les différents métiers… Elles utilisaient tout et ainsi que l'histoire de toute l'Italie et accompagnement en assortiment avec la mythologie et l'histoire Antique de Rome… Et c'était surtout Buffy qui connaissait et avait appris énormément de choses curieuses de nature la petite fille avait décidé d'apprendre cette langue et un jour partir vivre là-bas pendant un an.

Lise tout aussi passionnée qu'elle et ayant l'esprit vif fut bientôt entrainée et sous son influence, elle était partie pour poser des questions sur l'orthographe et la grammaire et ainsi que, bien sûr, le plus important, la prononciation de plusieurs mots choisis au hasard… Cela faisait plusieurs minutes qu'elles jouèrent à ce jeu-là…

Comment dit-on gazelle en italien ? La réponse de Buffy fut Gazella ; il n'y avait pas beaucoup, énormément de différence surtout que la langue Italienne, sa racine était du latin donc pas de surprenante difficulté entre le français et l'Italien… Et comment-dit-on Girafe ? Giraffa.

La dernière question de Lise avant l'arrivée du tramway et d'y monter pendant les heures de pointes où il y eu beaucoup de places prises et un bon nombre de messieurs et de femmes d'affaires ainsi que monsieur et madame tout le monde debout.

Buffy tenta de se faufiler au travers de ces personnes sans en bousculer aucune et ainsi suivit de près par Lise pour ne pas se perdre de vue et chercha aussi pour Lise un siège.

Et puis sans s'en apercevoir, sans se rendre compte de ce qu'elle faisait et ne le prévoyant pas, ne pouvant arrêter ce qui suivit mais qui pourtant était toujours l'œuvre de Buffy ; la jeune fille parla d'une voix forte pour se faire entendre ; Y'aurait-il, pourrait-il y avoir des gens suffisamment gentils pour laisser leur place à deux très vieilles demoiselles ? Finit-elle en ne pouvant cacher son sourire, sa gaité, sa bonheur humeur, sa joie et son rire trouvant tout cela divertissant et d'une très bonne blague sortie d'un film.

Un monsieur -un gentleman-, attendrit par les amusements des deux jeunes filles, se leva pour leur laisser son siège, et ainsi Buffy en profita pour s'assoir en tirant sur ses genoux Lise qui éclata de rire, et elles s'enlacèrent avec force et conviction et avec beaucoup d'amour de leur tendresse commune….


Depuis sa plus tendre enfance, étant une grande sœur à leur âge de grande écart, Buffy âgée de cinq ans, elle a toujours été un modèle pour sa jeune sœur, Frances et elle devait avoir la lourde responsabilité d'être une petite fille exemplaire, de prendre exemple pour que l'enfant ait des points de repère ; elle peut avoir une influence sur leur manière d'agir et à terme, sur leur personnalité en tant qu'adulte. En tant que première enfant, elle est la seule à avoir eu l'expérience de l'unique. De son point de vue, l'arrivée d'un petit frère ou d'une petite sœur peut être bouleversant, car elle doit maintenant apprendre à partager : comme ses jouets par exemple, et surtout l'attention des parents…

Si elle est mise en position de « gardien » de ses frères et sœurs trop tôt, l'aînée peut se couper prématurément de son enfance et peut se croire responsable, notamment si ce n'est plus un toute jeune enfant. Cette circonstance, où l'enfant est placé entre l'adulte et le deuxième enfant, peut la mener à prendre parfois une position de parent. Cela peut induire des traits de caractères spécifiques, comme le sérieux, la serviabilité, ou le fait d'être appliquée dans ce qu'elle fait. Cette position de première née a son avantage. L'aînée est en âge de faire des activités différentes, notamment avec un de ses parents. Elle peut par exemple suivre en vélo son parent qui fait son footing. Ce privilège peut lui apporter confiance en elle, et peut l'aider à s'épanouir dans sa position de première née.

Être la cadette ; du point de vue de l'enfant cadette, elle est à la fois la plus grande, vis-à-vis d'une quelconque petite-dernière, et à la fois le petit vis-à-vis de l'aînée. Cette position de « milieu » peut parfois être inconfortable, car elle peut avoir du mal à trouver sa place. L'enfant cadette peut envier la situation de l'aînée, parfois vue comme meilleure avec tous les privilèges qu'elle peut avoir : se coucher plus tard, sortir avec ses amis…

A l'âge adulte, l'enfant cadette pourrait développer une certaine habileté diplomatique. Cette situation préparerait plus aisément l'enfant à devenir une adulte conciliante qui ne craint pas les compromis. Elle peut ainsi développer une grande capacité d'adaptation. Comme pour l'aînée, la cadette peut vivre elle aussi un moment privilégié et unique avec un de ses parents, en faisant une activité qui correspond à son âge, et différente de celle de son aînée. Cela peut être par exemple de faire de la marche avec son parent, si cette activité lui plaît. Ce moment privilégié peut rassurer l'enfant sur sa position dans la fratrie, car elle donne des avantages que les autres n'ont pas.

C'est probablement d'ailleurs pour elle que l'arrivée d'un puiné est la plus grande source de changements quant à la répartition de l'intérêt et de la disponibilité parentale. La perte imaginaire de la certitude d'être la préférée se double pour elle d'une perte plus concrète. Enfant unique, elle a été un temps la préférée, sans grand risque de s'illusionner. Ce qui stressa au début beaucoup Buffy à l'arrivée d'un bébé à la maison.

Buffy prenait soin d'elle constamment de peur et de crainte qu'il arriverait quelque chose à Frances, une moindre égratignure et blessure physique ; Buffy est devenue extrêmement surprotectrice envers Frances et a refusé de ne presque jamais la laisser hors de sa vue.

Et à présent que Buffy était âgée de dix ans, elle était totalement capable de manière et de façon très responsable et mature, elle semblait toujours être capable de façonner, ne détruisant jamais quoi que ce soit, étant attentive et aimant les enfants de l'âge de Frances, elle façonnait son avenir, les circonstance de sa surveillance faisant attention, ne voulant blesser personne et Buffy avait très envie que ses parents soient fière d'elle et de sa garde d'enfant et lui donne beaucoup plus de capacité et compétence à la maison.

La jeune fille, le soir après l'école, allait chercher Frances au jardin d'enfants ; mais par moment oubliait de le faire et le réalisait, sa mère lui soufflant ce qu'elle devait faire en lui disant qu'elle oubliait une obligation. Et elle partit aussitôt chercher sa sœur en compagnie de Lise.

Par moment et par instant, Buffy trouvait sa sœur beaucoup trop ennuyeuse alors qu'elle posait des centaines de questions à sa sœur ainée et lui montrait tout ce qu'elle apprenait mais dont Buffy n'avait rien à faire et ne voulant souhaiter éviter tout ce que la fillette disait ; il y avait malheureusement des tensions dans leur fratrie...

Buffy criait après sa sœur jusqu'à un point qui était tel qu'il fallait qu'elle présente ses excuses à Frances...

Comment gérer les frères et sœurs ennuyeux ; Même lorsque l'on aimait ses frères et sœurs, ils peuvent les ennuyer surtout pour les ainées plus que quiconque sur terre. Avoir des problèmes avec son frère et/ou sa sœur peut la rendre frustrée et en colère, et cela peut aussi causer des tensions avec le reste de la famille. Comprendre comment avoir une meilleure relation avec son frère ou sa sœur peut prendre du temps, mais avec un peu de patience et de compréhension, on peut commencer à mieux éviter les désaccords.

Demander à son frère ou à sa sœur pourquoi il agit ainsi. L'un des meilleurs moyens de comprendre les actions de son frère ou de sa sœur est simplement de lui demander directement, d'une voix polie, pourquoi il fait tout ce qu'il fait. Bien que leur raison ne soit pas une bonne excuse pour nous ennuyer, cela peut nous aider à trouver un moyen de résoudre le problème. Par exemple, si on essayait de lire et que la petite sœur saute sur votre lit ou dit votre nom encore et encore, on pourrait poser son livre et dire : « Pourquoi fais-tu cela ? »

Dans certains cas, notre frère ou notre sœur peut vous ennuyer pour attirer notre attention. Si on réagissait de manière excessive à ce qu'ils font, on renforcerait l'idée que le passage à l'acte nous amènera à y prêter attention. Au lieu de cela, nous pouvons essayer de les inclure dans tout ce qu'on fait.

Parfois, notre frère ou notre sœur peut être nerveux ou irritable parce qu'il ou elle se sent nerveux ou effrayé par quelque chose. Attendre qu'ils se calment, puis dire quelque chose comme : « Hé, j'ai l'impression que quelque chose te dérange. Veux-tu en parler ? « Le fait de nous parler pourrait les aider à se sentir mieux, donc ils pourraient être plus gentils avec nous à l'avenir.

Dire à son frère ce qu'il nous fait ressentir. Parfois, votre frère ou votre sœur peut ne pas réaliser à quel point son comportement est ennuyeux. Que quelque chose nous blesse ou s'aggrave vraiment, il est important que nous exprimions calmement ce que nous ressentons. Dans certains cas, cela peut suffire à amener son frère à arrêter ce qu'il fait.

Par exemple, si nous sommes ennuyés parce que notre frère ne nous laisse pas jouer avec nous, nous pourrions dire quelque chose comme : « Cela me fait vraiment mal quand tu m'exclues. Comment te sentirais-tu si je te faisais ça ? »

Si notre frère ou notre sœur est très jeune, utilisons un langage simple et clair pour l'aider à comprendre la situation plus facilement. Par exemple, nous pourrions dire : « Cela me met en colère lorsque tu interromps mes devoirs » ou « Je suis triste lorsque tu m'appelles par des noms ».

Garder à l'esprit que ce n'est certainement pas une garantie que notre frère arrêtera tout ce qu'il fait. Parfois, ils peuvent même faire quelque chose exprès simplement parce qu'ils savent que cela nous ennuie, surtout s'ils sont déjà en colère contre nous.

Essayer de trouver une solution qui nous rende tous les deux heureux. Une fois que nous avons tous les deux parlé de ce que nous ressentons, il peut être plus facile de résoudre le problème d'une manière qui nous satisfait tous les deux. Souvent, nous devrons faire des compromis, alors nous devrons peut-être être prêt à céder un peu pour maintenir la paix. Ne pas oublier qu'à long terme, mieux s'entendre rendra tout le monde plus heureux !

Par exemple, si notre frère ou notre sœur nous dérange parce qu'il veut de l'attention, mais que nous avons besoin d'étudier, rencontrons-nous au milieu. Leur dire que s'ils nous laissent seul pendant une heure, nous jouerons au jeu de société de leur choix dès que nous aurons terminé, par exemple. Si l'un de nos frères et ou de nos sœurs emprunte constamment nos affaires sans autorisation, nous pourrions lui signaler quelques articles qu'il est autorisé à emprunter, à condition qu'il le demande en premier.

Parler au frère de ce que les comportements sont et ne sont pas corrects. Notre frère ou notre sœur peut involontairement nous ennuyer parce qu'il ne comprend pas quels comportements ou actions nous dérangent. Pour éviter cela, essayer de leur parler des limites qui nous conviennent. S'ils franchissent cette ligne après votre conversation, aller voir les parents et leur demander d'intervenir.

Comment gérer une grande sœur agaçante ? C'est un fait que les sœurs aînées peuvent être extrêmement ennuyeuses. Elles en font leur mission personnelle de taquiner leurs frères et leurs sœurs plus jeunes. Nous ne sommes pas obligés de jouer leur jeu. Même s'il est tentant de riposter, faire de notre mieux pour résoudre le conflit avec notre grande sœur.

Essayer de résoudre le problème avec la sœur. Même lorsque nous et notre sœur avons défini des limites strictes, nous testerons tous les deux les limites de base de l'autre de temps en temps. Lorsque cela se produit, faire de son mieux pour résoudre le conflit avant que l'un de nous n'atteigne notre point de rupture.

Chercher un compromis. Si nous ne parvenons pas à résoudre le problème, essayer de trouver un compromis. Lui proposer de changer une chose à propos de votre comportement et l'inciter à faire de même. Au fil du temps, ces petites concessions auront un grand impact sur notre relation.

Par exemple, lui proposer de frapper à chaque fois que nous voulons entrer dans sa chambre et elle pourrait nous proposer de nous dire « bonjour » à l'école.


Lise avait eu une merveilleuse, incroyable, touchante minute de bonheur à révéler à sa meilleure amie, Buffy, alors qu'elle avait presque dix ans ; la mère de Lise, Mme Goslar était enceinte et annonçait un heureux évènement, de plus l'enfant dans son ventre était une petite fille ; et bientôt un enfant nous est né, un bébé prénommée Gabrielle, dit Gabi, qui était sans nul doute le plus beau bébé du monde sans argument, sans tord pour contredire comment les contemporains pouvaient la qualifier et la dépeindre, comme un adorable pompon, et poupée de porcelaine avec ses habits tout blanc qui accompagnaient et revêtue dans un ensemble d'une veste très légère à porter tricotée en rose.

Buffy adorait les bébés et ne manquait jamais de jeter des coups d'œil à l'intérieur des landaus qui passaient. Lorsque le bébé fut né, et qui était à présent la petite sœur de Lise, Buffy se portait souvent volontaire pour pousser le landau en promenade.

Lise avait appris à aimer sa sœur au fur et à mesure que le ventre de sa mère se formait et grossissait, elle anticipait l'arrivée du bébé, elle ne serait plus l'enfant unique et donc apprendre à partager tout dans la maison et ce qui lui appartenait et surtout l'adoration de ses parents qui comptaient se multiplier ; les deux sœurs auront dix ans de différence d'âge. Elle voulut et souhaita s'occuper de sa sœur autant que sa mère s'était occupée d'elle quand elle fut autrefois un nourrisson et s'était faite à cette fabuleuse, grande responsabilité d'un nouvel enfant dans leur maison.

Lise pour l'instant, était beaucoup plus aimante beaucoup plus responsable que ne le serait Buffy avec Frances ; c'était sans aucun doute la plus méchante preuve, réflexion d'une énorme critique de la part de Mme Goslar à Joyce sur Buffy.

Tout en poussant le landau, Lise adorait s'arrêter à mi-parcours de leur promenade pour s'arrêter quelques instants pour prendre Gabi dans ses bras et continuer la promenade et la fin de la balade avec le bébé dans ses bras.

Lorsqu'il y avait bons nombres de personnes qui, dans la vraie vie de douleur et de dégout, quand tout devient difficile, on pouvait constater les traitresses de la traitrise dans un cercle de véritables amies, quand on découvrait la cupidité, la maltraitance les personnes qui étaient revenues telles des rapaces, faisant révéler leur véritable nature et leur personnalité antagoniste, concupiscence, convoitise de désir, d'ambition pour être avare à côté de l'amour de besoin d'amitié et de pureté dans son âme qui était plus fort que tout, sans se moquer d'elle.

Lors d'une promenade, Lise, Buffy et les enfants, Frances et Gabi, retrouvèrent une amie qui était dans une maison beaucoup plus belle avec d'avantage d'ambition de la part de son père, un homme ambitieux dans sa société montra enfin sa vraie couleur ; elle était habillée si bellement en ne ressemblant plus, effaçant, détruisant dans un large fossé leur différence ; Alice, comme elle s'appelait, fut prise en déclarant ne plus pouvoir jouer avec des amies pendant ce temps que sa mère l'appela lui rappellent à qui Alice s'adressait...

Les deux filles tristement rentraient de leur promenade plus abattues et déçues que jamais...


Dans leur dernière année d'études à l'école élémentaire pour finir ce cycle et obtenir, posséder un diplôme de fin d'études élémentaires, il y avait eu une évolution de mode et de chemin à parcourir dont les enfants avaient inventé leur propre club, leur endroit caché dans un petit jardin secret et dont les grands carnets comme un album photographique qui se prénommait album de poésies, celui de Buffy lui donnera pour nom au sien qu'elle reçut en début d'année comme son jardin secret de Buffy Summers lettre et album de photo de carnet de poésie ; elle commença donc très lentement en suppliant sa maîtresse de le lui dédicacer avec rien qu'une simple signature et d'autres enfants de classes inferieures qui aimaient Buffy comme une grande sœur et leur protectrice apposé leurs signatures d'enfants sur les premières pages….

Ode à Buffy, ou un conte l'histoire de notre amitié de la merveilleuse bienveillante unique brillante de mon amie Buffy Summers :

Lorsque l'on sait connu ton visage semblait si éblouissant si brillant et rempli de vie qui ne ressortait que de toi de ta personne si espiègle et sociale alors que tandis que quant à moi mon regard semblait si implorant de nos différences un bonheur est né ainsi qu'une incroyable amitié qui dura de longues années et jusqu'à présent sans faille, plus amicale que l'on aurait cru, elle m'a sorti de sa misère pour faire d'elle et éclore une si jolie fleur et feuille d'été.

Signée, ton amie Lise Goslar.

Et c'était ainsi que Buffy remplit son carnet de nombreuses pièces, contributions et signatures de ses nombreux camarades de classe. Buffy écrivit un petit message en l'honneur de sa meilleure amie.

Tu as toujours été importante pour moi, Lise, depuis toujours nous sommes reliées ensemble, vivre ensemble comme deux sœurs réunies, deux âmes sœurs ; à chaque fois, comme si la vie, le futur et le destin nous maintenaient éveiller et ensemble pour toujours peut être que Dieu à un plan pour nous et nous a fait rencontrer ; personne ne pourra jamais nous séparer ; à chaque destination, le destin nous rappelle sans cesse qu'on doit rester ensemble comme une petite musique d'alarme douce parlant à Dieu et nous le faisant systématiquement remarquer ; A ton avis qu'est-ce que cela veut-t-il dire ?

Buffy Summers

Des mots, des lettres qui ressortaient de leur personnalité et les laissaient guider par des vagues de sens d'émotions les plus vifs que les autres par naufrage et eau…


Buffy et Lise aimèrent se croire le contraire de ce qu'elles sont en réalité et ne souhaitant pas ressembler comme à des petites filles, des enfants qui veulent et ne pensent qu'à jouer et s'amuser ; Buffy entendait les cris des enfants qui jouaient dehors sur le square en contrebas. Cela semblait être un endroit parfait pour jouer -aucune route ne traversait la place en triangle avec une portion de gazon à un bout bordé de taillis et d'arbres récemment plantés. Tous les jeunes habitaient dans ces quartiers résidentiels ou près des immeubles à appartements et les rues environnantes s'y trouvaient pour apprendre à se connaitre et jouer ensemble ; mais les enfants avaient formé des clans très fermés qui avaient tendance à laisser dehors les nouveaux venus.

Une petite fille restait dehors debout à attendre que quelqu'un lui parle, désireuse de participer, mais ils ne voulaient pas d'elle. Elle fut heureuse quand certaines de ses camarades de classes vinrent au square et lui demandèrent d'être leur amie. Elle était qu'une nouveauté mais, pas avant longtemps, elle jouait aux billes avec elles, traçait des traits pour jouer à la marelle ou sautait à la corde avec les autres. Son père lui apporta en lui offrant une bicyclette noire d'occasion pour rouler et faire des acrobaties comme les autres et avec eux.

Elle s'était entichée de Sanne. Elle avait des yeux violet lumineux, une peau de pêche et d'épaisses nattes noires qui lui tombaient au milieu du dos ; la jeune fille tournait tout le temps autour d'elle, mais elle voulait et souhaitait être avec deux filles très vives appelées Buffy et Lise.

Cette petite clique très sélecte se déplaçaient regroupée ou seulement à trois. Les autres enfants les surnommèrent Buffy, Lise et Sanne parce qu'elles formaient un trio inséparable, ou duo -Buffy et Lise- toutes plus raffinées que d'autres enfants de leur âge, plus adolescentes. Elles ne voulaient pas participer à leurs jeux enfantins et refusaient de s'assoir pour les regarder, ou dans de rares fois elles s'assirent mais pas non de régularité, et elles pouffaient devant les garçons, ce que la petite voisine trouvait totalement idiot pour un si jeune âge et être précoce comme cela n'était jamais bon signe… Elles feuilletaient toujours des revues de mode ou et des collections de photographies de stars de cinéma. Lise et Sanne admiraient leur amie Buffy Summers parce qu'elle était très chic.

Ce qui était vrai, un jour en allant chez la couturière du quartier pour transformer un manteau et acheter de nouveaux vêtements, l'on pouvait entendre la couturière parler à sa cliente dans la pièce voisine principale. La cliente était très décidée à avoir les choses comme elle l'entendait.

"Ce serait mieux avec des épaulettes plus larges" disait-telle d'une voix assurée ; "Et l'ourlet devrait être un tout petit peu plus haut, vous ne croyez pas ?" La couturière en convient et certaines personnes dans un si jeune âge et que l'on pourrait bien aimer pouvoir choisir exactement ce que l'on pouvait et voulait porter. Des enfants furent sidérés quand on la vit, les rideaux s'écartant et Buffy apparut, toute seule, prenant les décisions pour sa propre robe ; celle-ci était de couleur pêche avec une bordure verte.

Buffy semblait tellement plus adulte que d'autres pré-adolescentes….


La jeune Buffy grandissait si vite, si longtemps, ce qui montra combien le temps avait si vite terminé sa course dans le soleil qui était en constant mouvement dans le ciel, depuis sa naissance, depuis sa venue au monde dans une terre si étrange, totalement inconnue, dans un univers ou les démons, sorciers, gitanes et vampires, toute créature venant dans le monde de l'ombre dans une vie, une terre parallèle mais qui était parfois très connue des êtres vivants de l'humain ou au grand contraire ne connaissait pas l'existence de toutes ces choses ; Buffy avait à présent fêté son onzième anniversaire dans une fête de salon et de danse avec continuellement de la musique de Jazz, de rock n'roller et de variété, de la musique de chanteurs anglais et français, toute sa classe fut invitée à la réception dans la maison Summers...

Buffy se préparait dans sa chambre à l'aide de Lise, l'aidant à mettre une robe blanche avec de minuscules petits pois bleus, la jeune fille demanda combien de garçons étaient arrivés à la maison. Lise lui confirma en chuchotant dans une manière de conspiration et de joie, lui dit que tous les garçons de leur classe étaient déjà présents, ce qui eut pour effet de réjouir Buffy en rougissant, se sentant flattée… Mais ce qui l'attrista le plus fut le manque de Peter-Nicolas dans sa poitrine, elle expira silencieusement pour éviter que Lise s'inquiète et puis devine ce qui la préoccupait et ce qui l'inquiétait en lisant dans ses pensées.

Buffy voulut ressembler à une parfaite jeune fille modèle en espérant qu'un jour elle ressemblerait à une femme. Quand elle se présenta à ses parents, la fête d'anniversaire put commencer.

Des photos furent prises avec tous ses camarades et l'une après l'autre, bons nombres de filles dans sa classe furent autorisées à se prendre en photo exclusivement qu'avec Buffy. Lise avait mis sa plus jolie robe d'été, car ce jour-là, les températures n'étaient pas en cohésion, faisant en synchronisation avec le calendrier de Janvier, la date n'était qu'une date alors que la chaleur était comme si l'on était dans une fête d'anniversaire d'été.

Heureuse, Buffy contemplait la pièce pleine d'amis qui mangeaient, buvaient, bavardaient et s'amusaient, tandis que Mme Summers -Joyce- remplissait les assiettes d'une excellente tarte aux fraises ou bons nombres d'autres gâteaux, spécialités de Joyce et servaient des verres de lait. Une fois, lors de la fête qui continuait, M. Goslar s'était déguisé en Hitler. Il s'était dessiné une petite moustache en brosse sur la lèvre supérieure et il était allé frapper chez les Summers. En voyant Hitler sur leur seuil, ceux-ci pris de panique en croyant s'être trompé de date et d'années, avaient d'abord été saisis de frayeur, puis rirent. Il fut pris en photo avec sa fille et Buffy et une seconde avec tous les autres enfants et le montrant du doigt ; tout ceci était amusant et rigolo ; le plus bel événement durant la journée chez Buffy


S'amusant à la plage un week-end de février, alors qu'il y eut une très forte canicule et voulant amuser les filles et leur faire prendre l'air frais et chaud du pacifique quelques semaines après son anniversaire.

Lise et Frances prenaient un seau, le remplissant de sable alors que Buffy était allongée sur le dos de tout son long voulant rire et jouer avec son amie, puis sa sœur, elle se laissa faire ; avec le sable qu'elles laissèrent glisser du seau contre la peau et le maillot de bain de Buffy ; laissant que sa tête de visible


Buffy aller changer d'établissement scolaire pour rentrer au collège Hemery à la rentrée de l'année 1992, ce qui signifiait et voulait qu'elle dise adieu à sa maîtresse à la fin du dernier jour, Buffy était restée quelques instants, quelques minutes, un peu plus dedans, dans la classe et à ces moments précis, Buffy en eut les larmes aux yeux avant de fondre dans les bras de son enseignante, elles se consolèrent mutuellement entre des sanglots et larmes ; Buffy devait aussi changer de camarades de classes dont certains ne purent et ne voulurent aller à la rentrée mais très peu, pas beaucoup ; avec Lise, elles allèrent ensemble dans un librairie pour acheter leurs nouveaux livres et ainsi qu'autres articles de fournitures scolaires. Lise, sa meilleure amie, sa sœur de six mois de plus qu'elle, était comme une sœur de cœur et non biologique. Que ferait Buffy si elles étaient séparées ? … Mais après mures réflexions, qui restèrent en interrogation pendant si longtemps cachée et mettant dans l'attente du chemin, attendre faisant attention à être obéissantes et après tous ces efforts, s'efforçant tout autant leurs efforts, l'attente et la crainte, elles furent récompensées…

Le jour de la veille de quitter l'école élémentaire -primaire- plus précisément fin juin, malgré tout qu'en réalité et vérification les cours étaient officiellement fermés vers la fin du mois de mai… près d'un mur appartenant au collège, il y avait la liste des classes ou chaque élève fut allant en répartition quelque part dans une classe, Lise et Buffy découvrirent qu'elles seraient ensemble, la rentrée ne pouvait pas venir assez tôt à présent et l'échec, la peur de craindre de ne pas être dans la même classe et dans les mêmes cours était un véritable problème de la force pour les empêcher de se reposer et profitant pleinement des vacances d'été ; mais dès maintenant elles purent se reposer…


C'était il y a de cela très longtemps, à peu près au moment où s'était produit les événements d'il y a de là environ un an dans une soirée de fête foraine alors que Buffy avait environ dix ans.

Les rêves qu'entretenaient Buffy qui lui étaient envoyés peut-être sans nul doute quelque chose ou quelqu'un qui était un être bien supérieur au monde de simple mortel et d'humain s''était intensifié à mesure que Buffy grandissait en la faisant rêver plus régulièrement ; c'était des rêves prophétiques de puissance, de pouvoirs et de déjà vu et présent de ce qui était réellement arrivé dans le monde réel, prémonitoire... Mais cela Buffy l'ignora, à de terribles terrifiantes visions de guerre et de combats et la solitude de ses jeunes filles qui vivaient, où elle ressent et revit la vie et la mort de ces personnes, encore et encore ; elle sera un jour décidée et résolue à connaitre la vérité et que tout soit mis en avant. Elle dormait en faisant des rêves de tueuse mais cela elle l'ignora. Comment une si gentille douce et innocente petite fille pouvait s'en rendre compte, comme cela elle pourrait le comprendre... Et comment pouvait-elle le savoir ?

Il lui arriva d'entendre des voix, des visions même si elle restait éveillée en pleine connaissance de cause, pendant la journée elle apprenait à apprendre et comprendre les visions et suivre le destin d'une vie d'un homme blond et le fléau d'Europe, tout ceci était si flou ; mais fort heureusement dans le souffle des mots, soyons bénie que tout ceci n'arrive pas les violences ne prennent que la nuit dans son sommeil et que les visions de la journée arrivent seulement quand elle fut seule…

Ce soir-là, Buffy fut accompagnée, dans le monde des forains de la fête foraine de carnaval, elle fut accompagnée par ses deux parents, la jeune fille prenait la main de Hank criant, riant sous la musique, elle tirait de toutes ses forces la main de son père, fuyant sa mère et sa sœur à l'arrière ; la jeune fille voulut jouer à tous les jeux et en fut autorisée par son père qui voulut manger toute sorte de nourriture que possible au grand dam et le visage froissé de mécontentement et de désapprobation mais fut d'accord d'acheter des barba papa à ses enfants.

Vers la fin de la soirée pour réaliser et faire plaisir pour seule petite consolation, en pensant à la première partie de leur soirée dans un stand de nourriture ; elle but un mini Milk Shake à la vanille, aimant la vanille comme tel le parfum enrobant, prenant l'air de vanille dans sa chambre de pré-adolescente ; en attendant d'autres friandises, Hank lui recommanda de ne pas s'éloigner ; mais la jeune fille avide d'aventure et de curiosité marcha aux alentours ; avant de voir un éclair de cheveux blancs, ainsi qu'une paire d'yeux bleus électriques, des yeux qui lui semblaient si familiers. Mais sans ce souvenir de la partie de son enfance floue, lointaine de fillette d'il y a cinq ans.

Buffy entendit de nombreux bruits, sifflements et un vent très froid se rempli, l'emprisonna autour d'elle ; histoire d'épouvante ; histoire destinée à susciter chez le spectateur un vif sentiment d'effroi, d'horreur. Les films d'épouvante relèvent presque tous du genre fantastique, le seul qui, échappant aux contraintes du réalisme et du rationalisme, soit susceptible de visualiser le contenu onirique ou fantasmatique de nos angoisses. Ce qui effraya grandement Buffy tout ses bruits la pourchassèrent, elle voulait s'en défaire, le briser, le fuir ; elle courut à l'autre bout, loin de cette fête, loin du bruit ; alors que Joyce et Hank furent horrifiés et plein de questions, de pensées pour retrouver leur fille….

Sans se rendre compte où elle allait, la jeune fille se retrouva dans une ruelle délabrée dans un endroit sombre et noir et des endroits de la ville les plus malfaisants, pauvres mal fréquentés, sensibles de Los Angeles.

Un homme, un vagabond, un sans-abri l'accosta, dans son esprit, sa tête de pervers psychiquement, psychologiquement, atteint, fou de folie d'être à la rue, un homme dépendant ; Buffy vit qu'il portait un couteau de boucherie de terreur, de saignement de porc ; elle était terrifiée, il avait totalement bien compris que cette jeune fille, une petite fille vivant dans une famille riche ; elle était blonde aux yeux vert et donc parfait pour lui. Il voulait abuser d'elle, rentrer dans son petit corps encore vierge et elle était si jeune.

Après cela, tout ce qu'elle pouvait distinguer était un rugissement, un rugissement de sang terrible qui noyait tout pendant un moment. Les poignées sur ses bras et ses jambes ont soudainement disparus et elle s'est recroquevillée en boule du mieux qu'elle pouvait, écoutant des sons au-dessus d'elle pendant qu'elle le faisait. Alors que cela lui semblait une éternité, c'était fini en quelques secondes. Il y avait des cris de douleur, des appels à la miséricorde, des grognements, des grognements et des rugissements qui étaient tous accompagnés par les sons de la chair déchirante, des corps s'écrasant contre les surfaces et des os qui claquaient. Puis, tout à coup, le silence à part la respiration grondante. Elle a entendu les signes révélateurs d'os se déplaçant d'un visage démoniaque, puis les coups de bottes lourdes sur le sol. Puis il y avait une étrange sensation d'être soulevé du sol, doucement, alors qu'elle avait si fort fermer les yeux et demandait la clémence ; elle avait vu, l'espace d'un instant, le visage d'un animal, mais elle n'avait pas peur.

Le vampire qui la sauva n'était qu'autre que Spike, William le sanguinaire. Elle l'avait déjà rencontré, mais c'était encore si flou dans sa tête et son système nerveux. Et il était si tendre avec elle où il y avait de la lenteur dans ses gestes pour ne pas l'effrayer, il se souvenait de cette petite fille, et il fut ébloui de connaitre, reconnaitre et savoir en constatant qu'il n'était rien arrivé à une petite fille qu'il avait sauvé voilà de cela il y a cinq ans avec sa mère.

Il se présenta sous le nom de William ne souhaitant, ni ne voulait l'effrayer ; pour elle, il n'était pas question qu'elle aborde le sujet et ni ne se souvienne de cette bête ; il l'aida à aller à un expresso en forme de café, de restauration rapide et de boisson, pour l'aider à se calmer.

Le poids qui l'étouffait a été soulevé alors qu'il était arraché d'elle, et elle a entendu ce qui ressemblait à une bagarre alors qu'elle se redressait. Traînant précipitamment son jean sur ses jambes et se retirant plus loin dans l'ombre, elle se précipita vers le bâtiment à sa droite, son agresseur volant dans les airs et atterrissant avec un bruit sourd près d'un tas de poubelles débordant d'ordures. Une paire de bottes de combat noires s'avançait sur lui, la silhouette de taille moyenne et vêtue d'un long manteau sombre alors qu'il hissait son ennemi vers lui par le col de sa chemise. Ses mains se déplaçant vers sa tête, il se tordit brusquement, les os du cou de l'homme craquant alors que son corps se froissait et atterrissait dans un tas sur le sol.

Il ne bougeait pas.

Il était juste allongé là, sans cligner des yeux et sans vie, les bras écartés devant lui.

Elle resta aussi silencieuse qu'elle le pouvait, ses yeux d'émeraude baissés mais jetant des regards furtifs alors que ces mêmes bottes noires usées s'approchaient d'elle, s'arrêtant à quelques centimètres de distance. Ses joues encore mouillées de larmes fraîches, elle les essuya avec la manche de sa chemise en lambeaux, surprise quand elle aperçut la boîte dans sa prise.

Il tenait ses chaussures. Ils n'étaient plus dans le sac dans lequel elle les avait achetés, mais ils étaient à elle.

La bile monta dans sa gorge alors qu'elle soulevait lentement sa ligne de vision, son expression d'un choc en voyant son visage, les crêtes rugueuses lui disant qu'il n'était pas humain. Qu'il n'y avait aucun moyen qu'il puisse l'être. Son front dépassait et une paire d'yeux ambrés s'enfonçait dans les siens, l'épinglant si intensément d'un seul regard. Elle pouvait voir les crocs qu'il arborait dans sa bouche, le reste de sa tenue composée d'un t-shirt noir, d'un bouton rouge vers le bas et d'un jean noir délavé. Ses ongles étaient peints en noir de jais et ses cheveux étaient blanchis d'une nuance presque blanche de blond.

En sortant de la ruelle, sa mâchoire s'est resserrée alors qu'il la conduisait à un véhicule garé de l'autre côté de la rue, sa marque et son modèle fabriqués des années avant son premier anniversaire. Il ajoutait simplement, en ouvrant le côté passager. Il a attendu qu'elle glisse avant de la fermer, se frayant un chemin vers la gauche et écrasant sa cigarette sous l'orteil de sa botte avant d'entrer. Plaçant la clé dans le contact et jetant la chemise sur le siège arrière, il fit tourner le moteur, éloignant la voiture du trottoir.

Pour faire un arrêt dans un café-restauration du petit-déjeuner au diner servie toute la journée ainsi que même la nuit.

La jeune fille lui parla se confiant sur ce qui s'est passé et elle accepta de lui serrer la main en respirant son nom doux et tendre moelleux sortant de sa bouche « William » Et qu'elle ne l'oublierait jamais ; reconnaissant pour sa réponse et puisse discuter sans la moindre pudeur en dévoilant son cœur, son âme même le déversant dans un voile comme une vague de l'océan trouvant en lui un confident de ses histoires de monstres. Avec un soupçon de déception, elle ferma la portière de la voiture, se dirigeant vers l'entrée principale de la maison et l'ouvrant en se laissant entrer. Cela lui a réchauffé le cœur qu'il ait attendu, qu'elle soit saine et sauve avant de reprendre sa randonnée le long de la rue déserte, le mystérieux véhicule noir disparaissant de la vue.


En cette fin d'été et en cette fin des longues vacances, Buffy était dans sa chambre assise sur le rebord de son lit près d'une chaise alors que tandis que le soleil arrivait à flot dans la pèce et certainement dans toute la maison, la réchauffant et la faisant vivre de ses rayons et la chaleur invisible ; la jeune fille était tout en train de réfléchir aux vêtements qu'elle devrait porter en ce grand jour de début d'année scolaire ; rentrée en sixième année à ces débuts de sixième Grade au collège, toutes ses cousines lui recommandèrent de porter un jean et non une robe comme elle aurait souhaité porter, cela ferait trop enfantin et petite fille bien sage, d'enfant modèle ; Buffy adorait la mode et s'offrir, comme de nombreux cadeaux, de nouveaux vêtements pour réussir ce qu'elle voulait faire, était dans le seul but de se retrouver, affirmer sa véritable personnalité à travers eux…

Mais pour l'instant, cela n'avait pas eu de grande importance, Buffy avait sa propre personnalité vestimentaire, de look et l'aimait, aimant s'affirmer en devenant peut-être populaire, en devenant la reine du bal vers qui se tourne les yeux éblouis et s'acheter d'autres vêtements qui la rendraient beaucoup plus adolescente, en étant précoce.

Avec perplexité, vers les paroles de ses cousines et le choix et les commandements même de ses amis, Buffy craignait, étant de son esprit, allant vers le mensonge, les propos tenus par l'une d'entre elles et ne souhaitant pas que Buffy fasse de mauvais choix ; et les histoires de la façon de cette manière infinie, écoutant aveuglement mais de façon de telle circonstance du but de leurs conseils de manière dans lesquelles il fallait absolument s'habiller et se préparer au moment, à l'instant de la rentrée les véritables tendances de la mode ; c'était leur manière, leur façon de remerciement pour habiller la petite fille que Buffy était encore, selon certaines personnes qui la connaissaient de loin ou de près, que ce soit sa famille ou les étrangers…

Avec conviction et avec le nombreux choix qui se retrouvait par elle, Buffy finit par choisir un jean bleu marine dans sa commode. Avec un t-shirt chemise avec des motif floraux.

C'était également un très grand jour pour Frances qui avait bien grandit et n'était plus dans les langes, blottit dans les bras de ses parents ou n'était plus un bébé ; elle avait en réalité, en effet, quitté le jardin d'enfants et la garderie, pour sa première rentrée des classes dans la grande école nouvelle qu'est l'école primaire élémentaire, car, comme on pouvait le voir et le constater, Frances avait bien grandit et était âgée de six ans.

La fillette craignait en appréhendant ayant peur d'arriver dans une classe qu'elle ne connaissait pas, ainsi que d'autres enfants inconnus et pour y rajouter le tout la crainte de sa nervosité était surtout l'arrivée d'une institutrice, une nouvelle maîtresse et si elle était sévère et méchante ? Et comment s'habituer à quelque chose de plus grand qu'elle, des nouveaux locaux, des nouvelles classes et ateliers qui étaient totalement différents du jardin d'enfants ? Et les enfants au caractère si différents, y aurait-il des méchants qui faisaient tomber les petites filles contre les racines d'arbres, leur envoyaient des ballons au visage ou à l'estomac, y'aurait-il des pestes déguisées en chipie ? Toutes ces questions étaient toutes de Frances…

Buffy l'avait compris face à l'angoisse et le peu de tristesse faible dans ses yeux, le visage de sa petite sœur, Frances était réellement dans un état grave, cruel mais c'était quelque chose dont elle pouvait faire face, qui était surmontable en regardant dans les yeux le tracas, les difficultés, les ennuis, la peur dans les yeux de ses adversaires ; Frances s'y plairait dans la classe et surtout elle aurait eu la même maîtresse scolaire qu'avait eu Buffy ; la jeune fille devait aider sa petite sœur à devenir une grande fille, en petite fille normale, souriante et sociable, elle avait pour mission de protéger Frances et l'aider à devenir plus grande encore, en voyant, en étant consciente qu'elle devait faire découvrir le monde. Et Buffy veut la voir devenir une adulte. Je veux voir la femme qu'elle deviendra. Parce qu'elle sera magnifique. Il y a tellement de choses que Buffy voudrait lui montrer, lui apprendre… Il était une petite qui devait évoluer et changer en se développant beaucoup à son âge, mais cela allait en allant, tout se réarrangeât, elle le sentait, depuis son plus jeune âge, Frances faisait de nombreuses imitations en faisant sans s'arrêter comme sa sœur ainée.

Frances idolâtrait Buffy et la respectait énormément de cette manière forte qui était si éprouvante et émouvante ; elle prenait toujours la défense de sa grande sœur-Buffy- par exemple, quand elle la regardait jouer, parler et s'exprimer ; l'enfant faisait toujours une apparition, se précipitant vers la chambre de Buffy et de claquer les portes lui faisant régulièrement, quotidiennement, part de ses découvertes, dans le monde qui l'entoure, Frances était très vive, intelligente et en avance pour ses travaux scolaires, elle était mature, curieuse et rieuse. Frances n'était pas en grande partie, en majorité totalement surdouée ou une prodigue ; elle a un niveau assez élevé dans certaines matières scolaires de l'école et du cours préparatoire ; en écriture et lecture...

Buffy, prenant grand soin de sa sœur, fit entrer l'enfant dans sa chambre comme si c'était une soirée de pyjama en avance et imprévue de surprise ; Buffy l'aida à trier ses affaires dans son premier cartable et pour que Frances se retrouve et ne cherche pas en vain des objets ; sa trousse avec les quatre stylos de couleur -bleu, noir, rouge et vert- et un morceau de colle, un cahier pour les informations données aux parents, un cahier de brouillon et un livre de classes dédié à des textes et des histoires de lecture ainsi que la prononciation de certains mots mêlés à des exercices qui se feront en classe.

Buffy conseilla ensuite à sa petite sœur de porter une jupe et un t-shirt avec des sandales, exactement le même style vestimentaire adopté par Buffy des années durant remontant à la garderie et à sa première année d'école.

Puis les deux sœurs se détendirent, laissant Frances à installer de la musique pour danser ensemble, les entrainant toutes les deux ; elles jouèrent en continuant leur après-midi ensemble elles jouèrent aux poupées... Après des heures de plaisir, d'instants entre sœurs, la petite Frances commença à avoir faim et voulait des gâteaux, des meringues aux sucres roses et quant à Buffy, elle souhaita une tarte au citron et voulut des crêpes... Pour éviter les accidents, la tension ou l'hostilité du choix des ingrédients, Buffy eut l'idée de préparer leur gouter ensemble dans le pacifisme, le calme et sans révolte... Tout ce qu'elles préparèrent étaient délicieux, même Hank trouva tout ceci excellent et divin ; mais il donna une leçon claire à ses filles qui devaient nettoyer ensemble la cuisine et le plan de travail... Les deux filles gardèrent un plateau pour leur mère.

Joyce arriva dans la chambre de sa fille ainée, alors qu'elles étaient en train de finaliser les détails du gouter de Joyce, elle avait placé un vase petit dans une longueur avec deux fleurs de roses blanches placées par Buffy qui lui dit de ne rien toucher pour éviter en prévoyance de mauvais dégâts. La jeune maman salua ses filles en s'apercevant, en constatant le travail et l'heure du gouter presque passée et dont Joyce avait raté ; la jeune femme demanda c'est pour qui ce plateau ? Est-ce un plateau spécial maman voulant éviter d'être punie ou une maman douce ?

Buffy la rassura en constatation et confirma, démentit qu'il n'y avait pas d'arrières pensées, ce n'était rien que pour lui faire plaisir ; elle enlaça ses deux filles, les remerciant pour leur dévotion, leur gentillesse et combien elles étaient adorables... Buffy s'inquiétait tellement en ayant conscience et était triste de savoir combien d'efforts sa mère et son père travaillaient dur pour les nourrir avec des heures aussi tardives... Mais Joyce coupa Buffy : "Buffy, je sais que tu es inquiète mais il ne faut pas. C'est moi la maman ce qui veut dire que c'est à moi de m'inquiéter pour vous" dit-elle en finissant par prendre Frances sur ses genoux ; "Tu es l'ainée et tu as donc des responsabilités, des devoirs envers la maison et tes parents". En parlant à Frances, elle lui dit "Et toi tu dois continuer à être ma petite chipie, ma petite sourie et mon bébé, mon enfant, ma fille vive d'esprit, tu dois grandir sans t'inquiéter, si je me confie à vous, je ne serais plus dans mon rôle de mère, mais de meilleure amie et cela je ne le veux pas...Compris ?"

Buffy et Frances sourient ; changeant de sujet brutalement, Joyce demanda si elles étaient enfin prêtes à rentrer en classe pour l'année... la jeune fille s'empressa de rassurer sa mère qu'elles étaient prêtes et elle avait soutenue, rassuré Frances pour chasser toutes ses peurs et ses craintes, elle veillait sur elle…

Joyce fut émue aux larmes en constatant combien c'était un immense amour, une gentillesse et complicité forte, déplaçant les limites entre fratrie et Buffy la protégeait plus que de raison avec force dévotion, d'un amour faisant partie d'elle-même , une part de Buffy et une part de Frances se formèrent à l'intérieur de chacune d'elle et de leur corps ; c'est l'amour inconditionnel, incasable entre ces deux enfants, ces deux filles, Joyce avait tellement d'espérance et de hâte de voir ce que cela va donner quand elles seront plus grandes ; Mais Joyce avait envie de profiter à fond de leur innocence, de leur enfance, c'est beau, c'est doux et si précieux de les voir s'épanouir jour après jour...

Buffy qui voulait être grande sœur ; Buffy du haut d'entre ses cinq ans et onze ans, prend son rôle de grande sœur très au sérieux et primordiale, elle prend soin de Frances et demande à Joyce si elle a besoin d'aide pour s'occuper du petit trésor occupé et Joyce trouva cela bon signe, spécial, trouvant la plus belle chose du monde, se retrouvant aux sept merveilles du monde ! Joyce ne sait pas si cela vient de leur écart d'âge ou de son caractère, mais Joyce les trouve déjà excellentes, très complices et cela lui insufflait du baume au cœur...

Joyce prit dans ses bras sa fille ainée Buffy, la calant en la posant sur ses genoux, elle posa son menton contre l'épaule de sa fille, lui chuchotant à son oreille combien elle était grande et qu'elle était son grand bébé, sa petite lumière, en riant Buffy déclara avec fierté qu'elle n'était plus un bébé…

« Et alors ? Je n'ai plus droit aux câlins et à des moments de complicité avec mes deux filles, chacune leur tour ? »

En entendant cela, Buffy lui dit qu'elle sera toujours sa maman préférée, la meilleure de toutes, de tous les temps, et elle lui donnera autant, bien plus de câlins qu'auparavant…

Frances s'approcha de Joyce et de Buffy, elle se blottit contre une des épaules de sa mère demandant de la tendresse et du bonheur, rejoignant le moment maternel et familial.

La famille qui n'était qu'une famille qui contenait, qui possédait les membres de nombreuses filles ; Buffy et Frances étaient dans une merveilleuse entente et de complicité infinie alors que chaque frère ou sœur étaient des ennemis naturels, mais il y avait des exceptions…


Un cycle d'un entre parenthèse pour montrer à quel point Buffy aimait sa petite sœur et comment ces fêtes de Noël leur étaient précieuses :

Pourquoi faire continuer à croire à des millions d'enfants l'existence d'un personnage de conte pour Noël dans l'imaginaire collectif de l'histoire des fêtes de fin d'année pour continuer de rêver à ce personnage qu'était le Père Noël ? pourquoi mentir comme cela à des enfants qui peuvent demander finir fragile ? Il devait être dans le devoir des adultes de protéger l'imaginaire qui se transforme en impossible entre le rêve et la réalité ; en ne faisant qu'une simple chose : garder des personnages de contes pour chacune des fêtes ou autres personnages d'histoire de roman ou de dessin animé, le principe était de ne pas encourager cette farce, ce mensonge hardant et fort énormité alors qu'une enfant âgée d'autrefois de huit ans apprit l'inexistence de ce cher personnage qui rêvait de chaque enfant qui pourraient le voir dans la nuit ; une petite fille pleurant la perte de ce cher ami de fin des fêtes de fin d'année ; Buffy y a cru et celui avait brisé son enfance en fermant une porte et une fenêtre pour ne pas s'échapper était son père, elle pleura dans les bras et sur les genoux de sa mère pendant fort longtemps ; et Buffy lui a demandé pourquoi les parents avaient créé quelqu'un avec un gros ventre et des joues roses habillé de la tête aux pieds de rouge et blanc avec un immense traineau tiré par six ou huit rennes en volant dans le ciel d'hiver de la nuit noire bleutée de bleu marine pour lui donner à elle et puis à sa petite sœur des cadeaux s'il n'était qu'un fruit de leur imagination. Avec détermination, Buffy continua à y croire car Frances était si petite avec un caractère et des traits de personnalité fragile et timide, Frances âgée de six ans y croyait toujours et Buffy ne voulait pas le ruiner pour elle. Elle serait liée au charbon pour le reste de l'éternité si Frances lui donnait à maman.


« Tu crois qu'on se fera des copains et des amies là-bas ? » Déclara en demandant Lise à Buffy alors que tandis qu'elles marcheraient toutes deux jusqu'au collègue de Hemery « …On tombera peut-être sur des garçons gentils et mignons cette année."

Buffy regardait de côté sa meilleure amie alors qu'elle cherchait quelle réponse à donner et à aborder sur sa première question. "Oui je le crois, il n'y a pas de doute."

Elles pourront faire partie de cette année le cœur en joie et en fête ; Buffy se disait qu'en étant naturelle, gentille, douce et calme, en étant soi-même ne cherchant pas à imiter les autres jeunes filles beaucoup plus âgées qu'elle, les garçons les apprécieraient et elles auraient des rendez-vous amicaux et bienveillants et de la place pour partir jouer... Au football, déjeuner avec d'autres ; et plus encore...

La rentrée scolaire est la période de l'année scolaire où les élèves rentrent de leurs grandes vacances et reprennent les cours à l'école. La période est associée à la reprise de l'activité en général, que ce soit économique ou politique, après la période de ralentissement. La rentrée scolaire est la période où les élèves entament une nouvelle année scolaire et reprennent les cours à l'école. La rentrée scolaire est souvent associée à une grande vente de fournitures scolaires ou de vêtements.

De nombreuses activités ludiques, pour les enfants comme pour les adultes (par exemple les clubs de sports, les abonnements au théâtre...), ont des rythmes annuels basés sur le calendrier scolaire, et non sur le calendrier civil. D'autres domaines n'ayant aucun rapport avec la scolarité sont eux aussi basés sur le calendrier scolaire, mais plutôt en raison de la pause estivale. Par exemple, les chaînes de télévisions changent leurs programmes pendant l'été, puis démarrent de nouvelles grilles de programmation.

Ainsi, même si la rentrée scolaire ne concerne réellement que les élèves et les étudiants, une partie non négligeable des économies des pays est calée sur ces rythmes scolaires.

L'établissement scolaire de l'école élémentaire était bien différent de celui pour lequel Buffy et Lise se tiennent debout en face d'elles ; l'école était beaucoup plus petite chaleureuse dans leur enfantillage, avec leurs jeux dans la cour de l'école et les coloriages, la couleur sur les murs intérieurs était remplie d'un anneau de multitudes de couleurs vives qui donnaient envie d'apprendre et rendre les enfants joyeux ; tandis qu'au collège, il n'y avait aucun jeux dans la cour de récréation, le bâtiment était immense, ce qui impressionnait et effrayait les deux jeunes filles, accueillant dans son nombre des enfants de leur année de sixième à la classe de douzième année de leur classe Senior... Il fallut attendre d'être envoyé classer dans la bonne classe selon les niveaux d'années ; après avoir entendu la cloche sonnée ce qui voulait dire que c'était officiellement la rentrée.

Durant leur première journée de classe ou étaient passés les enfants dans une trentaine d'élèves dans la classe de sixième et donc la salle était immense, Buffy s'était vue retrouvée au fond de la classe, ou au milieu de la matinée elle demanda à son professeur de mathématiques de changer de place et c'est ainsi qu'elle se retrouva devant aux côtés de Lise. Cette dernière, Lise, en était si heureuse.

Les deux jeunes filles firent la connaissance de bons nombres d'élèves plus ou moins intéressants et qui feraient d'excellents collègues d'études ou camarades, des connaissances ou peut-être même des amies dans leur club ; Charlotte, Inès et Catherine.

Toutes trois étaient des jeunes filles extrêmement immatures pensant à leur groupe d'amies virtuel, à la mode et aux garçons et gloussaient la plupart du temps, dans ces moments-là Buffy s'y retrouvait avec peut-être par instant Lise qui était plus méfiante… Et ne s'y attacha pas de trop près….

Elles passeront toutes leurs années ensemble en groupe parlant de lingerie d'épingle et de rien….


Jacqueline réfléchissait aux deux premières semaines de rentrée au collège, elle se sentait triste et perdue sans véritable amies en n'oublions pas de noter et de passer les rares fois ou Jacqueline fut invitée à jouer, à marcher dans toute la cour et de manger à la cafétéria de l'école avec d'autres jeunes filles, et notamment Sanne. Elle se remémora les impressions de sa première journée au collège. De nouveaux professeurs, de nouvelles matières et de surcroit, un enseignement classique, classe à laquelle elle n'était pas habituée contraire à sa scolarité dans une école primaire élémentaire à Montessori…

Ensuite, en cours d'anglais, les élèves et Jacqueline écrivirent des poèmes que l'enseignant dicta. Pour le cours de gymnastique, ils devaient quitter la classe, ce qui était tout simplement, parfaitement normale. Certains jours pour les cours, c'étaient les professeurs qui se déplaçaient ou autrement c'était le contraire les élèves voyageant de classe en classe.

Jacqueline ne connaissait personne, aucun de ses anciens camarades n'était dans le collège Hemery mais avait continué leur scolarité dans une nouvelle école Montessori… Et elle ne connaissait pas les mathématiques aussi complexes et compliqués à un niveau plus élevé que le sien… Buffy avait toujours des opinions très franches peut-être blessantes quand elle était s'en rendre compte, mais elle était comme cela, comme une petite fille…

Buffy avait finalement réussi à se faire une image bien précise de son environnement dans les couloirs et le bâtiment en lui-même ; elle avait pour chacun des élèves des commentaires des remarques répliques pour tous ses camarades de classe qui étaient jugés, avaient une concentration de critiques et en s'auto-évaluant elle-même ; elle connaissait à présent tout le monde et tous les autres élèves et même de nombreux professeurs avaient entendu parler de Buffy Summers ; mais la jeune fille ne connaissait pas encore tout le monde, elle observa en silence cette jeune fille aux cheveux blonds bouclés, aux yeux d'une magnifique couleur noire et profonde avec taches mouchetées de gris clair ce qui la rendait encore plus intéressante, belle, courtoise et gentille avec une timidité presque maladive ; elle devait la rencontrer se disait Buffy comment et pourquoi ne lui avait-elle pas parlé avant, ne l'invitant jamais dans son groupe ou simplement parler seule à seule comme deux petites filles qui commençait à comprendre le monde qui était aussi vaste que cela dans le cœur.

A la sortie de classe, Buffy n'eut qu'une idée en tête en la partageant avec son amie Lise qui compris qu'elle serait de trop… Soudain, Jacqueline entendit appeler son nom encore et encore. Elle s'était retournée ; une fille plutôt frêle et petite qui était extrêmement belle avec ses longs cheveux blonds qui complétaient ses yeux verts, la rejoignant à vélo hors d'haleine.

"Tu vas dans cette direction, toi aussi ?" lui demanda-t-elle en indiquant avec son doigt la route, la marche à suivre. Jacqueline lui fit ou de la tête. Elle lui dit alors d'un ton décidé "Dans ce cas à l'avenir nous pourrions rentrée ensemble, je n'habitais pas très loin d'ici maintenant."

Buffy aller s'excuser de n'avoir pas fait attention à elle ces derniers temps depuis le tout début de la rentrée, la jeune fille lui avait fait l'observer pendants quelque jours avant de pouvoirs l'aborder, et elle avait-elle-même honte de ne rien voir et laisser des camarades en retrait et laisser à l'écart et pourtant elle connaissait très bien son prénom ; et ce fut Buffy qui lui apprit et lui faire comprendre qu'elles étaient toutes deux dans la même classe.

Jacqueline fut gênée de ne pas retrouver le prénom de cette jeune fille et ne pas l'avoir retenue, elle était devenue toute rouge comme un rougissement pour lui demander son nom elle devait le faire.

« Je suis-je m'appelle Buffy » dit-elle « Buffy Summers. » Elle lui raconta qu'elles étaient toutes deux dans la même classe et que sa meilleure amie Lise Goslar était une de leur camarade…

Pour tourner au coin d'une rue, Buffy décida de l'amener chez elle ; mais Buffy avait encore beaucoup de choses à lui raconter et elle entraina Jacqueline chez elle. Elle lui présenta sa mère, Joyce, et sa petite sœur Frances. Jacqueline s'était tout de suite sentit très à l'aise dans sa maison.

Elle l'entraina dans une petite pièce attenante et lui présenta sa grand-mère, qui était installée dans un fauteuil près de la fenêtre. Elle l'embrassa et ajusta la couverture sur ses genoux. Buffy ignorait encore qu'elle souffrait d'une maladie incurable.

Elle lui raconta tout sur ses amies et son école précédente et elle voulait tout savoir sur Jacqueline. Elle n'avait pas grand-chose à dire et se montra beaucoup plus réservée. Elle n'avait pas d'amie dans cette nouvelle école ; et lui confia qu'elle avait une sœur ainée du nom de Margaux âgée de seize ans et une plus jeune prénommée Solange de six ans.

En battant des mains et sans la moindre réserve, Buffy lui raconta qu'elle souhaiterait beaucoup rencontrer sa famille ; Jacqueline ouvrit de grands yeux d'étonnement en se disant qu'elle n'avait pas la langue dans sa bouche et ne manquait pas d'audace…

Buffy avait fréquenté une crèche, une garderie et un jardin d'enfants dont l'éducation Montessori. Jacqueline lui avoua qu'elle aimait bien l'enseignement classique. C'était plus facile car tout était organisé d'avance, l'on n'avait pas les enfants à prendre des initiatives, pour sa part, elle regrettait qu'on ne puisse pas parler pendant les cours. Jacqueline n'en fut pas surprise étant donné sa nature communicative.

Avec Buffy Summers et Jacqueline, il y aurait beaucoup plus d'aventure à partager qu'avec n'importe qui dans ce monde….


Charlotte a toujours eu un faible d'un petit quelque chose dans sa personnalité qui voulait que chaque garçon l'intéressât et qu'eux aussi ; Charlotte réussissait à écrire et concevant dans un cahier en forme de journal de ce qu'elle pensait de chacun des garçons qui en effleuraient son chemin.

Inès était intéressée par tout ce qui touchait à l'esthétisme, le style de porter des vêtements, pour chaque personne, faite pour acheter des vêtements, elle adorait les manucures et les vernis à ongle ainsi que leur couleur claire.

Catherine était une immense intéressante passionnément à tout ce qui touchait à la pâtisserie, aux gâteaux, aux friandises et la boulangerie en aimant sentir l'odeur du pain chaud fraichement sortit du four.

Dès l'instant où la journée, l'école était terminée, le même soir où Buffy avait ramené Jacqueline à la maison, la maison des Summers, la jeune fille crut à ce moment, à cet instant précis que sa vie allait changer du tout au tout et serait bouleversée ; son dynamisme -celui de Buffy- et sa façon de les déclarer amies lui plurent. Sa mère joyeuse était une excellente et très bonne rassurante et élégante jolie hôtesse en posant des questions à Jacqueline, lui proposant de boire un peu ou de manger quelque chose.

Buffy remarqua très rapidement, une fois que Jacqueline lui avait raconté sa vie familiale et ses parents et ses sœurs en l'exposant à sa vie, les personnalités de tous, la différence de tempérament entre Jacqueline et sa sœur ainée, Margaux, qui était déjà rentrée chez elle ; elle était une excellente élève avec un cerveau extrêmement rapide et en étant une bonne excellente élève en étant si intelligente s'intéressant à tout ce qui incombait et était proposé en étant dans les programmes scolaires. Elle était plus réservée, mûre pour son âge, introvertie. Et il y avait des similitudes de caractère et de personnalité chez entre Frances et Solange qui avaient toutes deux le même âge.

Jacqueline lui expliqua qu'elle était au collège/Lycée d'Hemery depuis sa sixième année et que maintenant elle était onzième Graduée en année Junior.

Buffy lui montra sa collection de photos de vedettes de cinéma et de patinage artistique puis de danse et ensuite demanda qu'elles fassent leurs devoirs ensemble. Jacqueline demanda à utiliser alors le téléphone ce qu'elle eut pour autorisation de Joyce. Elle téléphona à la maison pour prévenir de son retard ; "Dis tout de suite que tu restes manger"", lui cria Buffy. Et c'est ainsi que dès le premier jour, Jacqueline fit aussi la connaissance de son père, Hank Summers. Il prit tout son temps pour parler avec elle. Et elle lui raconta qu'elle était dans la même classe que Buffy...

Hank s'était porté volontaire à la place de Joyce pour raccompagner Jacqueline chez elle après le diner et il commençait à se faire tard pour une soirée d'école… En voiture, Jacqueline et Hank discutèrent de tout et de rien, la timidité de la jeune fille s'était rapidement effacée grâce à l'aide de ses nouvelles rencontres et au caractère amusant du père de Buffy. En apprenant à connaitre Jacqueline, il lui parla tout en même de sa fille ainée. Qu'il ne fallait pas craindre avoir peur de son comportement, de sa façon de parler et de rire, elle avait toujours été comme cela et il espère bien qu'elle devienne une nouvelle amie pour Buffy…

Il l'a déposé à l'entrée de la maison et il fut reçu par les parents de Jacqueline, il finit par discuter dans le salon en buvant des tasses de café, l'entente était familiale…

Et au moment de partir de chez les Summers, Buffy lui dit à Jacqueline qu'elle viendrait chez elle le lendemain pour faire connaissance avec ses parents et ses sœurs ; à ces mots et à ces paroles, Jacqueline fut un peu déconcertée par sa proposition… Mais accepta et de plus peut-être par enfantillage, Buffy ne se soucia pas de ses hésitations et le lendemain elle vient chez elle faire ses devoirs avec sa nouvelle amie, Jacqueline…


Le soir même de cette soirée-là, après la visite de la venue de Jacqueline dans la maison de la visite des Summers et de leur rencontre avec Jacqueline une nouvelle petite fille et que dont Buffy fut en joie et heureuse après s'être déclarée l'amie de la jeune fille ; Buffy prit le téléphone du salon et composa le numéro qui était de toute façon enregistré, elle appela sa meilleure amie Lise pour lui communiquer et lui apprendre qu'elle ne serait pas très souvent près d'elle et de leur groupe de copines, mais elle ne serait pas aussi dévouée, aussi présente dans leur groupe qu'à présent pour rester et passer plus de temps avec une jeune fille de leur classe prénommée Jacqueline et elle voulait discuter, lui apprendre comment était ses amies, leurs habitudes pour ne pas qu'elle soit trop inquiète et nerveuse, stressée et, avant de la présenter et de côtoyer autant de personnes ainsi que des filles qui n'ont pas la même mentalité qu'elle.

A ces paroles, Lise en fut crispée à l'idée que Buffy devienne aussi rapidement amie avec quelqu'un qui, de toute évidence, et était flagrant de la portée des paroles de son amie, au son de sa voix aux intonations, il n'y avait pas de place pour le doute, la jeune fille commençait à éprouver des sentiments forts de l'amitié au sentiment ; elle connaissait et en était consciente, car, autrefois, Lise et Buffy étaient dans le même état d'esprit euphorique qu'autrefois dans le temps, les deux meilleures amies étaient inséparables et unies aussi fort, personne ne pourrait les séparer... Et Lise en fut inquiète que Jacqueline soit celle comme telle une rivale les séparer et métrait fin à cette belle amitié….

Depuis lors que c'était ainsi qu'après sa discussion avec Lise les choses avaient changées comme il devrait l'être dans l'évidence à cause des paroles de Buffy, c'était inimaginable comme si Lise s'était retrouvée dans un univers alternatif ; impensable et impensable d'incroyable extraordinaire de ne voir, apercevant son amie à l'autre bout de l'école et ne se parlant que très peu, dorénavant c'était ainsi comme Buffy le voulait, l'acceptait et l'avait demandé.

Dès à présent, depuis la soirée de l'appel téléphonique de Lise et leur conversation, Buffy ne trahit pas sa promesse en restant auprès de Jacqueline et puis dorénavant même en classe la jeune fille avait pris place aux côtés de son amie Jacqueline. Le midi, au moment du déjeuner, en fait, le fait est qu'elles étaient ensemble tout le temps.

A partir de ce jour-là, elles furent inséparables. Elles rentrèrent du collège -de l'école-ensemble, comme Buffy lui avait proposé le premier jour. Elles firent leurs devoirs ensemble. Buffy aux yeux et à l'impression de Jacqueline, Buffy était plus studieuse que Jacqueline, mais elle l'aidait en s'entraidant ensemble pour les différentes matières.

Après quelques jours, quelques jours plus tard, Buffy déclara fermement que Jacqueline et elle-même, elle a déclaré qu'elles étaient les meilleures amies du monde ; déclarant fermement que Jacqueline était sa meilleure amie et réciproquement. Elle acquiesçait sans savoir quelles en seraient les conséquences… Et lui promis de la faire connaitre à sa meilleure amie Lise, c'était et ce sera toujours elle qui acceptait et acceptera Jacqueline dans leur groupe d'amies, ce ne serait pas facile peut-être victime de moqueries ou taquiner par sa timidité, son ton calme, doux et discret et étant, ne voulant pas se créer des ennuis, par les autres filles…


A quoi reconnait-on une véritable amitié ? Où se situe la limite entre copine et meilleure amie ? Qu'est-ce que l'amitié passionnelle ? Comment expliquer la jalousie en amitié ? Si on ne peut pas comparer deux amitiés, on a tout de même tendance à classifier nos amis. En première position se tient la meilleure amie. Celle à qui l'on raconte toutes nos histoires, amourettes, espoirs et déboires, celle qui nous connait par cœur et que l'on connait par cœur, celle que l'on n'a jamais peur de déranger et celle qui ne nous dérange jamais. Cette meilleure amie, on la connait généralement depuis de nombreuses années et on a tendance à prendre ses opinions comme quelque chose de précieux et avoir la foi. Tout ceci, Lise y croyait dur comme la pierre, brillante de joyaux et d'argent en ce qui concernait et était à propos de Buffy et que c'était acquis leur merveilleuse amitié. Et elle s'inquiétait, craignait de devoir passer sans aucun doute au second plan à l'arrière dans les yeux de Buffy...

L'amitié avec écrit en grand. La vraie. Celle qu'on entretient avec des personnes qu'on considère comme notre famille. De la même manière que l'amour nous transporte, l'amitié nous fait nous sentir vivant, nous amuse ou nous rend triste quand les choses se passent mal. L'amitié peut être fusionnelle, explosive et parfois même exclusive. Elle est propre à ceux qui la vivent. Comme il n'existe pas deux histoires d'amour identiques, il n'existe pas deux amitiés similaires. A tel point que dans ce type de relation, il peut nous arriver de faire rimer jalousie et amitié.

Mais tout ceci elle se trompa Lise était toujours au plus profond de son cœur de son être infini dans sa peau et sa chaire l'amitié tant rechercher des deux jeunes filles, elles se connaissaient depuis si longtemps ; et Lise tout comme Buffy espéraient qu'elles réussiraient à aplanir leurs différents, cet agacement mutuel qu'elles avaient du mal à voir et à explorer et de la difficulté du discernement.

En réalité, Jacqueline fut très gentille avec tout le monde en même temps rien ne présageait ou se voilait sur son visage des marques de développement, des signes de fausseté, pas de manque de tromperie ou rouler et duper, feindre de dissimuler et de décevoir Buffy ; tout en elle était beau, propre en de la pureté pas le moindre trace de poussière et réaliser, il n'y avait rien et Lise sentit malgré tout et sans savoir quoi faire, incapable de discerner ce qui allait se passer par instinct et le ressentir ; pourquoi ne s'entendraient-elles plus aussi bien ? Ces derniers temps, Buffy s'était rapprochée de Jacqueline. Bien que réservée, Jacqueline était plus mûre que les autres... Elle devait abandonner cette rancœur et faire de la place dans l'amour amical de leur cœur pour Buffy et la voir heureuse. Lise apprit à connaitre Jacqueline…

Mais malgré tout, Lise resta dans l'ombre pour observer et regarder, voir interagir ses deux amies -en effet, grâce à tous ces efforts des dernières semaines, Jacqueline et Lise étaient devenues des amies -copines- Buffy était détendue, riant avec la jeune fille, jamais Buffy ne s'était rendue compte du poids qu'elle avait laissé et le gouffre s'agrandir et devenir lourd.

Mais un jour, Buffy s'aperçut des blessures émotionnelles qu'avaient pu endurer Lise et tout ceci c'est elle qui la creusait, tout ceci par égoïsme et remplie d'elle-même et elle devait implorer son pardon, jamais elle voudrait faire du mal à Lise ou même à Jacqueline, les autres copines n'avaient rien vu et étaient beaucoup trop à ses yeux en train de glousser devant des garçons plus âgés ; faire le deuil d'une relation amicale, guérir la blessure d'amitié par le pardon ; pardonner à l'amie qui vous a blessée peut aussi vous donner l'opportunité d'exprimer vos ressentis, et permettre à votre amie de présenter ses excuses et de vous libérer de la souffrance qu'elle vous a causée. Pardonner, c'est avant tout vous faire du bien.

Une blessure, une cassure, une usure de l'amitié, est-ce que cela peut être réparées ? Peut-on renouer avec une amie perdue de longue date ? Comment faire pour redevenir amie après une dispute ? L'honnêteté, la clef pour renouer une amitié brisée, toujours rester honnête. Quand on a un problème, on prend sur soi, on met tout sur la table, avec des gâteaux et du thé pour la douceur, et on se parle. On se dit absolument tout, tout. C'est l'avantage de l'amitié sur l'amour. Et cela à toucher des points sensible…

Tout s'arrangerait un jour, les trois jeunes filles s'arrangèrent toujours pour rester assises durant les cours à être assises ensemble, et discutant de tout et de rien à voix basse… Lise participait grandement aux conversations surtout devant Jacqueline ensemble toutes les deux partageaient des secrets ; jusqu'à un jour où, par moment, dans les défauts de leur journée, il leur arrivait d'être surprises en train de discuter au lieu de participer au cours de mathématiques…


Grace à leur amitié, les parents de Jacqueline s'entendaient bien, le mieux du monde avec la famille Summers, surtout avec Joyce et Hank. Leurs parents firent plus ample connaissance. Rapidement, le père de Jacqueline se lia d'amitié avec Hank car ce dernier faisait ensemble tous deux le même travail et leur passion commune était le dessin et les croquis sortis tout droit de leur imagination pour de futures constructions. Aux sœurs de chacune des jeunes filles, tout le monde s'entendirent à merveille, Buffy se lia facilement avec Margot, et quand à Solange, elle trouva une amie en Frances et devinrent inséparables.

Et il n'était pas toujours facile, il était difficile d'être la meilleure amie de Buffy. Elle était exigeante et jalouse, cela venait d'après le premier impact sur son immaturité, le fait est qu'elle avait grandi dans du coton, d'un cocon en ayant la meilleure des vies de sa petite enfance à aujourd'hui comme extraordinaire et idéale, dans une famille riche. De plus, elles avaient des caractères totalement différents et à l'opposé. Cependant, elles étaient comme des âmes sœurs, elles n'avaient pas, en aucun cas, voire très rarement, nul de secret l'une pour l'autre et elles s'efforcèrent d'imiter l'autre en tout. Et Jacqueline, en échange, respectait la très forte amitié de Lise et de Buffy, et en comparaison, ne comparait pas, en double sens toutes deux.

Jacqueline se mit à tenir son stylo comme elle, entre l'index et le majeur, et c'est ce qui permit d'améliorer son écriture. Buffy adopta la même écriture que son amie, en lettre imprimée…


Bonne élève, Buffy s'entendait bien même très bien et louait des liens avec certaines qu'elle appréciait plus que d'autres et qui étaient ses préférées, des professeurs de sa nouvelle école. Mais elle bavardait trop souvent en classe avec ses camarades et puit un jour, agacée et très tendue, presque énervée et en ayant assez de lui donner des avertissements, son professeur de mathématiques lui infligea une punition ; faire une rédaction qui avait pour sujet une bavarde et des coins, coins.

Nullement intimidé et plutôt que de répondre, Buffy, provocatrice, en renvoyant tout au sujet de la femme, Buffy prouva alors que les mots pouvaient jaillir avec faciliter sur le papier en plus de couler à flot de sa bouche et ses lèvres… Elle écrivit que bavarder était un trait féminin et que même en essayant de maitriser, elle n'était pas sûre d'y remédier…

Son professeur de mathématiques, loin d'être choqué, rit à la lecture de la rédaction ; mais c'était peine perdue car Buffy recommença à parler à voix basse et il lui imposa alors de ce fait une seconde rédaction dont le titre portera sur une bavarde incorrigible.

Et c'était ainsi que de nouveau, Buffy parvient en réussissant à griffonner quelques pages pour son enseignant. Mais à la troisième fois, en plus d'être punie et rester en classe, après les cours comme détention, il se montra furieux en réalisant, faisant en écriture une rédaction intitulée : Coin, coin, coin dit Mme Pipelette.

Tous, Buffy y compris, s'esclaffèrent dans la classe de mathématiques, les murmures affluèrent que ce serait une mission impossible pour la jeune fille en l'écrivant pour le lendemain, car il lui avait demandée d'écrire cinq pages grand maximum et c'est ainsi qu'elle écrivait une histoire qui racontait l'histoire de trois cannetons mordus par un cygne, parce qu'ils cancanaient trop.

Le professeur, émerveillé par son don naturel, même pour les punitions, lut à haute voix. D'abord ce fut Buffy qui le lut devant toute sa classe- et en fit aussi profiter les autres classes…

Après cet incident et cette victoire qui fut d'elle une référence, il feignit d'ignorer le bavardage de son élève car il avait compris qu'il ne pourrait jamais la changer.


Elles lisèrent les mêmes livres et n'hésitaient jamais à emprunter à l'une ou l'autre des livres leur appartenant où partaient à la bibliothèque et empruntèrent de nouveaux livres qui étaient toujours sans crainte ni représages scrupuleusement, vérifier et autoriser ou interdit par l'un ou l'autre de leurs parents, comme la saga des livres Anne Of Green Gables et Little Women et bien d'autres livres pour la jeunesse et l'adolescence ; leurs préférés étaient bien entendue Anne Of Green Gables et la série Joop ter Heul de Cissy Van Marxveldt. Non seulement les aventures du groupe d'amies qui y étaient décrites étaient passionnantes, mais elles leur permettaient également de se les identifier à ces jeunes filles qui vivaient dans un monde de liberté et d'insouciance. Elles passaient des heures à se lire des passages à haute voix, pour celui de la demande en mariage, dans le deuxième volume, elles s'étaient imaginées un jeu de rôles et c'était également le cas pour le couple d'amoureux de Anne et Gilbert. Chacune à leur tour, elles étaient Joop ou Anne, l'héroïne, ou Leo Van Dil ou encore Gilbert. Elles pouffèrent de rire chaque fois qu'elles jouèrent la scène dans laquelle Leo tente d'obtenir un baiser de Joop qui le repousse en lui offrant une cerise enrobée de chocolat ou un marron glacé...

Habitante des « Pignons verts », Anne est très sensible et déteste la rousseur de ses cheveux. Son enfance s'est passée dans les orphelinats et les familles d'accueil à s'occuper d'enfants plus jeunes ; elle est donc très heureuse d'avoir enfin une vraie maison aux « Pignons verts » Le roman raconte les joies et les peines d'Anne alors qu'elle apprend à vivre aux « Pignons verts », qui est son premier vrai domicile : elle va à l'école du village et est très vite remarquée pour son intelligence, se lie d'amitié avec Diana Barry, sa voisine, développe son amour pour la littérature.


Le club de bandes d'amies, leur cercle de copines ou bien plus fort dans les sentiments les amies étaient devenues un club que Buffy, Lise et Jacqueline avaient mis en place, inventées et mis sur pied au cours de l'année, s'inspiraient de celui de leurs héros et de leurs héroïnes féministes et féminines -des femmes- ; elles se retrouvèrent régulièrement chez Lise, sa mère ne voyait pas d'inconvénient à ce qu'elles jouèrent dans le salon et se rencontrèrent pour leurs discutions, leurs réunions ; et c'est ainsi que la table de la salle à manger était utilisée comme table de ping-pong jusqu'à ce qu'un jour Inès avait déclaré qu'elle avait reçu comme cadeau, qui a été placé dans le garage, une table pour jouer et déformer toutes les filles s'invitèrent chez l'amie de Buffy ; elles avaient fixé un filet, en réalité elles passèrent plus de temps à bavarder, à rire qu'à jouer au ping-pong, à boire de la limonade et aller chez le glacier du quartier qui fut le lieu sacré et était devenu des habituées...


Et puis il fut un jour alors que les journées étaient de plus en plus belles, la vie était totalement comblée par l'inconscience le désir de vivre, sentir les parfums de tout ce qui étaient à manger et des plantes ; Buffy et Frances étaient totalement épanouies en faisant leurs construisant leurs joies et les moments sociaux ; et un jour, c'était d'un seul coup, si soudain leurs vies fut totalement changées, bouleversées et détruites par les annonces que l'on avait données aux filles, leur grand-maman était extrêmement malade au niveau du cœur, des parasites, des microbes s'étaient accrochés aux artères et aux valves au plus profond du cœur, un abcès et la veille femme était non opérable et impossible de la transporter, pendant des jours, plus personne ne voyait et continuait à s'occuper des enfants comme si elles n'existaient plus malgré le chagrin Frances n'avait pas été autorisée à voir sa grand-mère, sa mamie qu'elle aimait si intensément, les adultes lui avaient dit et expliqué que cela pourrait la bouleverser, la traumatiser et lui faire du mal ; quant à Buffy, elle ne l'a revu que deux dernières fois avant le drame, la tragédie d'une mort soudaine.. Ce qui a anéantie les sœurs Summers.

Comment expliquer la mort à un enfant ? Pour aider votre tout-petit à comprendre la permanence de la mort, dites-lui simplement que quand une personne meurt, c'est pour toujours et qu'elle ne revient pas. Pour le rassurer, mentionnez-lui qu'il est possible de penser aux bons moments passés avec la personne décédée et que cela fait du bien. Comment annoncer à Frances avec des paroles, des mots bien classés que sa grand-mère ne reviendra pas ? Comment lui dire la vérité ? Comment ne pas lui cacher et lui apprendre ? On pense parfois bien faire en leur cachant le décès d'un proche, mais ils ne manqueront pas de le sentir, à notre contact. Il est donc essentiel de leur dire la vérité. Tous les spécialistes de l'enfance s'accordent sur la question. Il n'y a pas d'âge minimum pour annoncer à un enfant la mort d'un proche.

Frances en fut anéantie et très clairement traumatisée par cet évènement en devenant inconsolable et pleurait presque très extrêmement souvent ; et elle serait effrayée, c'était la dernière chose à laquelle ses proches adultes, son institutrice avait besoin et surtout vis-à-vis de Buffy, c'était un cataclysme. Quand lorsque leur grand-mère les a quittées, Buffy se souvient oh combien c'était atroce et tragique dramatiquement, elle se souvient que Frances avait pleuré pendant une semaine. Et la jeune fille se souvient de ce qu'elle a ressenti en observant sa sœur, la rassurant, la calmant et en essayant de l'apaiser, c'était presque physique comme si elle ressentait la douleur de sa sœur, son malheur, son chagrin et ses sentiments en la prenant dans ses bras et presque insurmontable. De l'avoir de l'entre l'observant pleurer. C'était presque aussi douloureux que de le vivre à travers Frances comme si elle était à l'intérieur d'elle et qu'elle ressentait toutes ses émotions comme si son chagrin, le même chagrin qu'elles partageaient, était également le sien. Quelque chose lui avait été envoyé depuis la naissance de sa petite sœur comme une mission de la protéger et Buffy devait s'occuper d'elle comme un véritable proche de famille avec elle... Elle le voulait.


Dans l'espoir, il semblerait que malgré tout, les enfants avaient trouvé un peu de bonheur, même en ces temps de trouble où la vie semblait si lourde et noire de sombre dans les ténèbres et rien de plus pour en revenir à cette triste réalité qu'était la mort, la perte d'un être cher qui s'est envolé et partit vers le ciel. Pour revenir à une vie normale en se revenant à une vie normale de l'inconscience en redevenir, Buffy décida en prenant de l'initiative avec Lise et Jacqueline d'organiser une soirée pyjama pour la veille de l'anniversaire de Frances car celui de Buffy n'avait pas eu lieu et oublié à cause de cette tragédie et le processus du deuil, personne n'avait eu le courage pour célébrer le douzième anniversaire de la jeune fille et ainsi donc ses amies voulurent quand même, dans cette situation, ce contexte, fêter la venue au monde de leur amie ; à cette soirée, Buffy n'invita que Lise et Jacqueline…

Buffy avait donc à présent douze ans.

Les deux jeunes voulurent être les premières à souhaiter l'anniversaire de Buffy, puis de Frances en leur offrant pour la petite sœur des livres pour enfants et des contes de fée et autres histoires de la lecture pour la jeunesse. Et elles lui offrirent des jeux et des cassettes VHS de dessins animés de Disney…

Quant à Buffy, elles n'avaient bien sûr pas de cours cette journée-là, étant un Week-end et étaient rentrées chez elles sans devoir à faire de la part de leurs professeurs, elles jouèrent au Monopoly ou à d'autres jeux de société. Souvent, elles passèrent des heures à admirer la collection de Buffy -des photos de célébrités- et à la compléter par des photos découpées dans des magazines féminins. Ensemble, elles faisaient toutes les trois ou seulement à deux la collection de cartes postales, ce qui leur permettait de faire des échanges. Il leur arrivait aussi, dans un élan de générosité de se faire cadeau d'une carte si l'une d'elles la trouvaient jolie c'est pour cela que Lise ou Buffy se retrouvèrent à posséder une carte d'Elvis Presley, de Claude François ou d'autres chanteuses américaines adressées pour Margaux. Pour la part de Jacqueline, elle ne faisait pas de collection autant de stars de cinéma.

Quant à Buffy, elle aimait les beaux vêtements et lisait des magazines de mode pour toujours avoir de nouvelles affaires à porter tous les jours ou en classe pour devenir la plus belle et elle aimait prendre soin de son corps avec de la crème, du parfum ou huile pour le corps. Son préféré était la lavande ainsi que d'autres nombreuses fleurs ou parfums…

Buffy n'acceptait pas quand elle se retrouvait seule et isolée et ne voulait jamais que Jacqueline s'éloigne d'elle pour d'autres amies de l'école primaire pour lesquelles elle ne les voyait que très rarement et elle ne comprenait pas non plus que contrairement à elle, Jacqueline n'avait pas toujours envie d'être entourée. Buffy avait toujours besoin de quelqu'un alors qu'elle était en mal d'amour, elle avait toujours besoin de quelqu'un à qui parler ou avec qui jouer, sinon elle s'ennuyait. De temps en temps, Buffy accepta l'absence de son amie qui allait voir Sanne ou d'autres fillettes de son âge qui avaient été dans un autre établissement ; Buffy en avait une très mauvaise opinion…


Depuis le décès de la disparition tragiquement en drame de la grand-mère Summers, Anne avait terminé ses jours dans une douleur et une longue, lente agonie vers la fin de son existence, le grand-père, Abraham, était en grave dépression tant son chagrin était immense et ce, malgré le temps qui continuait à grandir et à se poursuivre dans le développement de la vie qui continuait, malgré que les épreuves devaient s'atténuer en souffrance et en chagrin moins lourdes et fortes à porter ; à cause de tout cela, leur grand-papa de Buffy et Frances passerait quelque temps chez la famille de son fils, ne voulant pas utiliser la chambre d'amis qui était déjà trop encombrée. Joyce lui proposa la chambre de Frances comme ceci de cette manière comme cela en cette occasion, ses filles auront l'immense honneur et la joie de partager la chambre de Buffy avec sa petite sœur ; qui était totalement folle de joie et de bonheur, se voyant grandir ne serait-ce par les paroles et la décision de sa mère ; la fillette entreprit de vider en partie sa chambre avec ses jouets, son cartable et tout ce dont Frances aurait besoin dans la quotidienne et ce n'était sans compter qu'elle fit un mélimélo et des bêtises réparables sans qu'elle le sache et inconsciemment énerva sa grande sœur...

"Qu'est-ce que tu fais ici ?" Demanda avec colère en un ton d'ahurissement, ébahissement, abasourdissement en ouvrant des grands yeux ronds en colère devant sa petite sœur complètement scandalisée ne comprenant pas la situation car elle n'avait pas été mise au courant de la situation ne lui demandant pas son avis comme toujours quand il s'agissait de Frances avec fermeté, courage et audace très clairement scandalisée ; et c'est ainsi qu'elle supplia Joyce de revoir, reprendre sa décision de partager sa propre chambre avec sa petite sœur ; mais l'enfant était tellement heureuse de faire comme Buffy qu'il n'y avait plus rien à dire et redire, Joyce lui fit comprendre qu'elle devait prendre soin de sa petite sœur et de savoir comment s'en occuper car sa mère avait besoin d'elle pour être grande et responsable.

Buffy était complètement, totalement encrée dans ses positions, ne changeant, refusant d'être une bienfaitrice en toute bonne jeune fille bien élevée en enfants modèles, elle ne voulut pas offrir l'asile ou en toute générosité accueillir sous son toit Frances. Au ton de sa sœur ainée et les paroles si graves, blessantes comme un couteau dans la chair dans une plaie fit se sentir de trop larges, trop petites comme une intruse, comme une gêne et une envahissante dans toute ses pensées, la fillette pleura...

Ce n'était pas comme ceci qu'elle avait imaginé son séjour dans la même chambre que Buffy, elle qui voulut tellement partager des choses, découvrir ensemble des jeux et lui faire apprendre à découvrir le monde, juste à s'amuser, tout ceci fut une utopie un rêve complètement, totalement brisé, cassé en des milliers de petits morceaux de verres et voulu partager à connaitre la musique rock de Buffy et celle de Frances...

Le grand-père des deux enfants gronda et était énervé et furieux de l'attitude de l'ainée, lui disait que même lui, à son âge, il devait partager sa chambre... Il lui apprit, la faisant réfléchir sur son attitude complexe et difficile de guérir... Et puis Buffy accepta, regrettant les paroles vilaines, vils et complètement, totalement dans son ensemble injustifié.

Les bienfaits du partage de la chambre, avoir une chambre avec son frère ou sa sœur permet en effet d'apprendre à s'adapter et développe le respect de l'autre. Dans certains cas, ce partage favorise même les gestes d'entraide, comme une grande sœur qui accepte que sa petite sœur dorme dans son lit après un cauchemar.


Les moments, les instants passèrent dans des journées spéciales entre sœurs qui passèrent bien trop vite ou rapidement de leur point de vue, qui faisaient leurs forces dans les moments de vérité, dans les crises ou les moments difficiles dans des épreuves éprouvantes, c'était merveilleux d'entreprendre leurs souvenirs de mémoire avec Buffy et Frances. Favoriser de bonnes relations entre frères et sœurs les liens fraternels, des liens indéfectibles pour la force de bravoure des sentiments d'amour de Buffy pour sa jeune sœur.

Elles faisaient d'innombrables activités et de jeux ensemble avec rien d'autre à d'autres titres d'images et qui étaient consolidés par l'amour, l'amitié d'être que des sœurs leur journée de rêves était d'être ensemble avec nul autre que les deux et sans meilleure amie... En ce jour d'aujourd'hui, Frances avait fait d'innombrable, découvertes dans un livre pour adultes et une imagerie pour les enfants dans la spécialité des êtres vivants dans la mer et les océans toute la faune et la flore de plantes à d'importances races de poissons et de créatures marines ; son regard s'était attardé sur des baleines bleues et d'autres à bosses, elle voulut montrer tout ceci à sa sœur qui d'ailleurs avait en effet besoin d'avoir plus d'expérience au lieu d'avoir des lacunes.

Car la jeune fille se trompa quand elle lui demanda de lui montrer des baleines "bossues" et à la place de bosses ce qui fit beaucoup rires et surtout plaisir à Frances de la corriger et c'était ainsi qu'elles passèrent dans leur journée sans jamais se disputer ni de se crier dessus, de se disputer l'une et l'autre...


Plusieurs mois s'étaient écoulés, c'était ce qui fut une nouvelle année scolaire et la fin des vacances d'été pour pouvoir passer dans la classe supérieure qui était la septième année au collège Hemery ; Buffy, Lise et Jacqueline avaient bien grandi de plusieurs centimètres ce qui les connaissaient avant ne les reconnurent pas, Buffy eut l'occasion de connaitre l'expérience de devenir une toute jeune femme avec auprès de ses premières règles menstruations. Les filles discutèrent plus que jamais des expériences amoureuses et de quoi était l'amour ou être aimé par le sexe opposé et commencèrent à faire attention aux garçons ou jeunes, jeunes garçons de leur quartier et de l'école ; Buffy eut la chance de connaitre une nouvelle histoire alors que Peter-Nicolas était encore dans son cœur en elle en ressentant sa présence constante. Ce fut en sport que tout arriva en jouant à la balle aux prisonniers ou au cours de basket-ball. Un garçon, ou plus précisément un jeune homme, qui appartenait à la classe de dixième année, un garçon fort et robuste qui était plus âgé qu'elle de trois ans son ainé qui lui avait envoyé son ballon dans la tête de Buffy.

Il fut effrayé de l'avoir blessé beaucoup trop fort, elle le regarda, n'osant de rien dire, cela briserait le silence entre eux et il l'aida à se lever comme quelque chose de romantique, rose, sans rien d'autre autour d'eux, il lui présenta ses excuses, regarda avec crainte le temps où il l'avait frappée puis tout fut brisé à cause de Lise qui lui dit beaucoup trop rapidement qu'elle allait bien. Il lui donna son prénom, qui se prénomma Hello…

Buffy repensera beaucoup trop tard à cette rencontre, il était un populaire de l'école faisait partie intégrante de l'équipe de Rugby qui pourrait s'intéresser à elle une fillette si jeune et qui n'était même pas dans sa classe ni même de sa tranche d'âge et le plus important comment pourrait-elle le faire s'intéresser à elle alors qu'il possède le pouvoir, le choix d'avoir une petite amie de son âge d'avoir tout ce qu'il veut et désire alors que Billy Ford s'était intéressé il y a plus de deux ans, Buffy a ouvert la porte de la salle de bain des filles et a jeté son sac à dos rayé rose, noir et blanc sur le sol carrelé sous ses pieds. Elle leva les yeux dans le miroir et haleta de colère en regardant le petit morceau de mascara qu'elle avait mis tomber de son visage. Elle ne pouvait pas croire que Billy Fordham avait, non seulement oublié son anniversaire, et comment faire pour que Hello soit celui qu'elle désire en ayant enfin une relation amoureuse, satisfaisante comme une adolescente pas avec des garçons immatures et ressemblant à Peter-Nicolas, mais qu'il avait dit qu'il ne pouvait pas être vu avec une maigre élève de cinquième année comme elle et avait rejeté son invitation à la danse de l'école. Elle était intelligente et drôle. Elle ne portait plus ces bandeaux stupides ou ces bandes de cheveux perlés. Elle vient d'apprendre à utiliser un fer plat ! Elle portait des jeans bleu foncé avec des déchirures aux genoux au lieu des jeans délavés qui n'étaient pas ce que les filles cool pire. Comment Ford pourrait-il ne pas l'aimer ? Comment Hello pourrait-il l'aimer en retour ?

Il se souviendra d'elle et lui offrira son premier baiser lors d'une sortie collective entre leur deux classes respectives…. Et elle crut que c'était de l'amour tout ce qui se passa. Se promenant dans les rues, lui offrant une glace de son parfum préféré, du chocolat vanillé, et il lui offrit même un collier fantaisie et sans valeur comme l'or ou l'argent…


Buffy put découvrir un jour que le père de Hello travaillait pour Hank. Depuis cette vérité, cette révélation, alors donc Buffy allait retrouver Hello qui l'accompagnait à l'école pour ne plus se séparer depuis et dans la journée durant les pauses, elle devient une attraction intéressante pour les jeunes garçons ou les hommes s'intéressaient à elle et la jeune fille devient populaire avec ses amies qui, elles aussi, étaient sous les projecteurs.

Sa maman veut toujours savoir avec qui Buffy aimerait se marier plus tard, mais Buffy croit qu'elle ne devinera jamais que c'était avec Peter-Nicolas, parce qu'elle leur soutiendrait le contraire sans sourciller. Elle aimait Peter comme elle n'avait jamais aimé personne sous ses airs dans l'immaturité de ce que l'on peut penser, ce n'était pas une relation sérieuse ou durable et pas quelque chose qui plonge dans les sentiments dans la profondeur du corps qui c'est cela qui détermine un premier véritable amour ; et elle essaie de se persuader sans cesse que si Peter-Nicolas est toujours avec toutes ces autres filles, c'est uniquement pour cacher ses sentiments ; ils croient tous que Hello et Buffy sont amoureux et que c'était une relation sérieuse d'adultes, mais ce n'est pas vrai, c'était juste un conte de fée pour adolescentes qui ferait un roman dans la lecture littérature pour la jeunesse et il était son chevalier servant.

Un lundi soir, Hello était venu chez la famille Summers pour faire connaissance avec son papa et sa maman ; Buffy avait acheté des gâteaux et des bonbons, il y avait du thé, des biscuits, de tout, mais ni Hello, ni Buffy n'avaient envie de rester tranquillement assis sur leur chaise, alors qu'ils sont partis aller se promener et il la raccompagna chez elle qu'à neuf heures dix. Hank était très fâché, il a trouvé que Buffy exagérait de rentrer si tard, et elle a dû promettre qu'à l'avenir, elle serait à la maison beaucoup plus tôt. Hello l'a invitée chez lui le samedi soir…

Et puis un jour, Charlotte lui a raconté que Hello était venu chez elle un soir et elle lui avait demandé ; qu'est-ce qu'il préférait entre les deux filles, des adolescentes qui font parties de son fan club ou de Fanny ou Buffy ? Et il lui a répondu que cela ne la regardait pas ; mais en partant, ils n'avaient plus bavardé ensemble de la soirée- il lui a dit ; Buffy, bien sûr, au revoir et ne le répète à personne. Et puis il avait disparu.

Tout indique que Hello est amoureux d'elle et pour une fois, cela lui plait bien vraiment, réellement. Jacqueline dirait que c'est un garçon tout à fait acceptable, elle le trouve aussi, pour ne pas dire plus. Joyce le couvre de fleurs, elle aussi un garçon bien -de sa personne- et poli et gentil avec cela ; Buffy est contente que Hello plaise tant à sa famille, sauf qu'il n'était pas du gout de ses amies, en particulier Lise, et il a bien raison, qu'il trouve d'ailleurs trop d'enfantillages et de bêbêtes et il a raison. Jacqueline la taquine sans arrêt au sujet de Hello ; elle n'est pas du tout amoureuse avec un grand immense A, ça non, elle a bien le droit d'avoir des amies, personne n'y trouve à redire.

Lise et Catherine lui confia que Hello la trouvait moderne Jazz en se réveillant le matin.

Un autre jour, il lui est arrivé une chose agréable, incroyable, Buffy passait devant la remise à vélos, quand quelqu'un l'interpella. Buffy s'était donc retournée et elle a vu derrière elle un joli garçon rentrer chez Charlotte et Charlotte qui, au début, avait l'air gentille et l'est aussi, mais elle ne fait que parler des garçons et cela, ce comportement, Buffy n'arrivait pas à le gérer et cela l'agaçait un peu, en parlant des garçons à longueur de journée.

Hello s'était approché d'elle, l'air un peu timide, elle était étonnée par cette déclaration ce mouvement, ce comportement, se demandant ce qu'il voulait, mais elle n'a pas tardé à le savoir. Hello voulut profiter de sa présence et l'accompagner à l'école. Puisque, de toute évidence, de toute façon elle va du même côté, elle voulait toujours bien faire le trajet avec lui et ils sont partis ensemble. Hello avait quinze ans et a toujours des tas de choses intéressantes à raconter, ce matin de tous les matins, il l'attendait encore et il va sans doute continuer à le faire par la suite…


Un jour, que tandis que Buffy et Jacqueline se promenaient dans un quartier animé par des boutiques et des cafés, elles discutèrent de tout et de n'importe quoi, alors que la jeune fille enroulait ses bras en tenant celui de son amie, elle passèrent devant un magasin de papeterie et elles observèrent la vitrine où étaient exposés de nombreux cahiers et l'un en particulier la frappa et ne put se détacher du regard, un livre sous la forme d'un cahier avec une attache et donc qui faisait peut être office de journal intime aux carreaux rouges et blancs ; Buffy se mit à rêver devant sa contemplation, s'imaginant qu'un jour elle voudrait écrire tout ce qu'elle ressentait…

Complètement, totalement subjuguée et encore dans un brouillard de sa contemplation flou de rêves, elle ne vit pas Hello et le bouscula. En reprenant ses esprits, Buffy présenta Jacqueline au jeune homme, elle trouvait cette scène de deux amoureux tranquilles et paisibles semblant être perdue dans l'autre sur une ile où ne se trouvait personne d'autre qu'eux, une île déserte ; elle gloussa et pouffa le plus silencieusement que possible.

Tandis qu'alors Hello lui proposa d'aller boire un chocolat chaud dans un café et qu'il l'invitait à venir avec lui…

Cette après-midi-là fut une discussion sérieuse entre eux deux, parlant de la perte de sa grand-mère, de ses cours qui en ce moment pendant cette période alors qu'elle n'était pas au mieux de sa forme si ennuyeux et des amies en général ; et puis il la raccompagna chez elle, lui proposant de se revoir… Bons nombres de fois ils s'étaient séparer et puis ils revenaient toujours inévitablement l'un vers l'autre…


Le temps continuait de tourner en s'échappant, en s'envolant en disparition dans l'air du vent, du temps pour ne jamais revenir au point qui eut lieu dans cette même vie, cela s'est passé, s'est terminé, on ne peut plus rien y faire les saisons changent, tournent, tourne le temps en coule, coule, soit seul, connait la voie, le chemin à suivre dans son destin à présent le jour de l'anniversaire de Buffy, la jeune fille fêta, célébra son treizième anniversaire, elle se leva à six heures tôt un matin, Buffy se réveillant à l'aube ; tout ceci avait du sens et pouvait se comprendre car c'était en ce jour son anniversaire, encore une année écoulée ; et qu'est-ce que c'était long d'attendre, de recevoir ses cadeaux, elle se dirigea dans le salon où se trouvait une pile de cadeaux, de surprises et comme la plus grande surprise qui fut sans nul doute son plus beau cadeau, un cahier qui se fermait avec une fermeture aux carreaux blancs et rouges...

Mais en attendant, Jacqueline et Lise se contentèrent des fêtes que Buffy organisait ainsi que sa fête d'anniversaire le lendemain, un samedi ; elles louèrent des films et les filles et les garçons qui étaient dans leurs bonnes grâces et que Buffy aimait bien en tant qu'amis, à ce moment-là, étaient invités comme le samedi où elle fêtera son treizième anniversaire ; Jacqueline l'avait aidé pour les préparatifs et elles avaient confectionné des cartes d'invitation. La place de chacun avait été décidée à l'avance après mûres réflexions. Et elles avaient disposé les chaises en rang afin de suggérer une vraie projection du film de Tintin ; elle avait invité Charlotte, Catherine et Inès, Daisy et d'autres jeunes filles timides...

Les yeux brillants, Buffy vit arriver ses nombreuses amies et ses admiratrices ce samedi après-midi, le lendemain de son véritable anniversaire et, pleine de convoitise, elle ouvrit les paquets. Buffy adorait être le point de mire de l'assemblée ; en cette fête si parfaite, Buffy eut un choc de voir son père qui avait invité Peter-Nicolas, cela faisait si longtemps qu'elle ne l'avait pas vu, ne l'avait entendu, sa voix si belle et sentir ses lèvres sur ses joues... Les jours précédents, elle avait déjà annoncé à tout le monde que ce serait bientôt son anniversaire, même aux adultes qu'elle croisait. Les sœurs de Jacqueline lui avaient offert, elles aussi, des cadeaux.

Lise, ainsi que Jacqueline, avaient pris la liberté de prendre soin d'inviter un garçon qui n'était pas du même cercle social ou de la société, Pike. Pike vit à Los Angeles et passait la plupart de son temps à se saouler avec son ami Benny. Une aversion mutuelle s'est formée entre Pike et Buffy, une fille superficielle de la vallée et une étudiant de Hemery collège/Lycée, lorsqu'ils se sont rencontrés dans une salle de cinéma, puis plus tard dans un restaurant, où Buffy a ridiculisé Pike par son comportement ivre et son surnom inhabituel.

Buffy s'assit sur le canapé aux côtés de Jacqueline qui posa sa tête contre son épaule, Hello, invité volontaire pour Buffy, il s'assît à ses côtés, la jeune fille, troublée, posa sa main contre la sienne et Lise était assise sur une chaise derrière son amie...

Lorsque tout le monde fut parti, Buffy savourait encore ce bon moment passé avec ses amis tandis qu'ils rangèrent ses cadeaux...

Elle avait treize ans. Désormais, elle ne serait plus jamais une enfant ou un bébé, ni même une petite fille, elle était une adolescente.

Buffy sortit à l'arrière de sa maison sur le perron, dans le jardin, respirant l'air de la nuit. Elle était plongée dans ses pensées, quand elle sentit une présence derrière elle, elle se retourna pour presser son corps contre son petit-ami, Hello. Il l'embrassa. Leurs lèvres dansant l'une contre l'autre et leurs langues s'entremêlant, bougeant ensemble en tandem et s'avouera sa présence depuis toujours dans ce moment d'un samedi soir…

Elle ne savait pas qu'elle vivait ces derniers moments d'insouciance dans une vie normale. Elle ne savait pas que dans six mois, quelques mois seulement à peine que sa vie sera changée dans une vie de l'ombre, dans les ténèbres de la nuit noire comme sa maison et serait seule et appartiendra au travail des monstres….