Partie 4 : La nouvelle vie et un nouveau départ pour Buffy dans la ville tranquille de Sunnydale :
Buffy venait à peine de quitter la maison de repos, sa chambre et son coin de la pièce qui était devenus comme si elle ne se sentirait jamais chez elle, mais cela ne voulait pas dire qu'elle devait détester cet endroit. Certes le meilleur moment de la journée avait été son isolement dans sa chambre, ne supportant plus de ne plus être à la maison avec ses parents et surtout sa petite sœur... Elle était dans la voiture de ses parents qui étaient plongés dans ses pensées, ne prêtant aucune attention à ce que chacun pouvait dire et parler. Elle était totalement dans son univers de sorcellerie et dans la littérature, elle n'entendit plus rien que le battement de son cœur puis son train de pensées. Des grippements de grattement viennent qui se détachaient en étant prolongés et étant apparus alors que cela avait été enfouis en elle, dans son esprit, mélangés, qui devient beaucoup plus clair, plus visible, moins sombre dans le brouillard. C'était des pensées soudaines de passage bref dus au souvenir de ce que son père lui avait dit -leur avait toute dit- qui était censé être une insulte mais qui n'était rien de plus qu'un signe d'une ignorance complète, l'a fait arrêter soudainement, ouvrant ses yeux, alors qu'elle regardait la vitre et vit que la voiture était également arrêtée. Il y eut des brefs petits morceaux de phrases lui reprochant de toujours tout anéantir, détruire et gâcher qu'ils étaient tous sans arrêt restés une famille parfaite dans toute son apparence, le constatant, le voyant de l'intérieur vers l'extérieur en toute situation. Ils étaient un modèle de réussite sans problème. Mais c'était impossible, car elle ne faisait attention à rien ou éviter de rester une petite fille modèle comme Frances ; et ainsi Joyce avait pris la parole avec des mots si pointus, si durs et avec des airs de déception. Ils ne pouvaient plus ne pas continuer à vivre comme cela. Une adolescente qui a toujours des problèmes pour avoir sauté l'école, qui défie sans arrêt, tout le temps, ses parents, qui reste dehors toute la nuit en sortant en cachette et c'était vrai ils l'avaient remarqué, et qui fréquente avec des hommes plus âgés et des voyous... Cela avait mis Buffy Summers à l'arrêt dans sa promenade d'avoir quitté la voiture qui était dans l'aller et l'avait contournée. Sa tête s'était arrachée, son esprit s'était libéré de la stupeur déprimée dans laquelle elle se trouvait, elle ne pouvait pas croire ce qui avait pu se passer chez ses parents, qu'elle avait tant aimés et adorés et pris en exemple, l'avaient trahis ,lui faisant croire qu'ils prendraient tous l'avions pour se reposer, se détendre et vider son esprit et à remettre leur fille ainée dans le droit chemin en l'a faisant croire, en lui donnant de faux espoir, qu'il l'enchaineraient sur une ile de l'Océan Pacifique, que Frances avait prénommée, surnommée l'ile des cocotiers, manipulée pour l'aider à comprendre toutes ces inepties et des dires qui ressemblaient à des mensonges...
Le vert terne de son regard s'aiguisa, sa respiration devint déchiquetée, comme une fureur, comme rien qu'elle n'avait jamais senti auparavant, surgit à l'intérieur. N'étant personne n'y était jamais venue pour elle. Dans cet hôpital, sa main, qui avait été lâche à ses côtés lors de sa promenade en voiture, tremblait légèrement, puis violemment avant que ses doigts ne se courbent dans un poing qui tremblait. Dès que la porte fut ouverte, la jeune fille se précipita dans sa chambre sans un regard pour son père ni pour sa mère s'ils avaient vu son regard, il auraient été ternes, tremblant, glacés par la froideur de l'hiver précoce de son visage et noir de colère, de douleur et de méchanceté, de haine qui n'a jamais été adressé à Frances.
Buffy ignora comment ses ongles creusaient dans sa paume, ignora comment ils coupaient dans sa chair et le sang commençait à couler à travers ses doigts.
Elle se concentra sur ces mots, respirant difficilement, car personne n'avait jamais compris ce qu'elle a dû endurer et à présent ce serait un sujet interdit sous peine de revenir là où ils l'avaient abandonnée, laissant rien d'autre qu'un baiser chacun sur son front et il l'a regardait indulgents, la plupart du temps avec cet air indulgent, celui qu'un adulte, une personne que l'on prend quand l'on essaie de ne pas perdre patience envers un petit, un enfant de quatre ans qui était turbulent. Buffy leva la main, regardant le sang qui était accumulé dans sa paume, toujours silencieusement, bouillonnant, alors qu'elle fut allongée sur son lit. Combien de plus de son sang avait-elle besoin de verser avant qu'ils cessent de la laisser affronter les choses seule ? Même ces maux avec lesquels ils l'avaient aidée, Merrick, Pike, Lise et parfois, par moment, par instant pour la guider, l'encourager mais tout fut effriter, se blessant, se coupant. Elle pleura de frustration, son visage pressé contre son oreiller pour que personne n'entende quoi que ce soit. Elle était déçue de sa mère. Attendaient-ils vraiment qu'elle meure en sauvant le monde comme ceci ils auraient la preuve qu'elle n'avait rien raconté de sornettes... Elle ne laissa pas rentrer sa petite sœur, elle voulut être seule. En entendant la voiture de son père démarrer et l'essence poussant la voiture, la jeune fille devina que son père partait rejoindre sa nouvelle femme...
Eh bien, peut-être qu'elle avait fini de se battre pour eux. Peut-être qu'il était temps qu'elle se batte pour elle-même. Pour ce qu'elle voulait. En ne protégeant plus sa famille du mal... c'était des pensées, des réponses à ses questions extrêmes, noires, sombres et lugubres, allant dans l'extrême de la personne malveillante, rien que dans penser Buffy frissonna de peur...
Buffy avait probablement dû s'endormir car quand elle ouvrit les yeux, à l'extérieur de sa fenêtre, derrière, les rideaux, le soleil était plein par l'ouest, et en se réveillant, elle reconnut la douceur, l'odeur et la fraicheur des draps grâce au parfum de la marque de lessive de sa mère et puis elle entendit de petits cognements sui frappèrent à sa porte. Au travers du mur, Buffy reconnut la voix de Frances qui lui demandait si elle pouvait rentrer. Pour la jeune fille tout avait changé également, on était plus beaucoup en avance sur le calendrier, voilà qui s'était écoulé plus de la mi-Mai et que donc la classe de Frances était partie pour les vacances d'été et elle avait reçu en cadeau, un livre, « De la terre à la lune » de Victor Hugo, que la fillette ne tarda pas à lire et à parcourir en le dévorant. Frances commença à éprouver des sentiments pour l'auteur qu'elle commença à admirer et voulut lire d'autres œuvres de l'auteur et donc pour faire plaisir à sa fille chérie, Hank acheta toute une collection de romans de Jules Verne... Francs entra dans la chambre de sa sœur, mais s'arrêta presque en ayant aperçu, voulu voir ses mains, ses paumes en sang de sa sœur ainée. Sans plus attendre, Frances alla chercher des pansements, des bandages et du désinfectant dans la salle de bains. D'une petite voix, Frances lui demanda pourquoi avait-elle fait cela ? Et comment s'y était-elle prise ?
Buffy répondit de manière et de façon très certaine que c'était à cause des réflexions et des analyses de leurs parents et qu'avec sa force elle n'avait pas fait attention, mais elle s'en moquait et puis elle haussa ses épaules... Et puis qu'elle avait passé une très mauvaise journée, tandis que son seul point positif pour lesquels il fallait se préoccuper étaient sa sortie de l'hôpital et de son hospitalisation... Elle ne voudra plus jamais y retourner...
Les deux sœurs, au travers de leurs discutions, décidèrent de laisser leur passé derrière elles et d'affronter le monde, le futur et l'avenir pour ne plus se préoccuper des désirs, des changements et des opinions et leurs problèmes à résoudre, ceux qui étaient des adultes et ne plus se préoccuper des chamailleries et l'espoir que tout finira par s'arranger et ce en quoi c'était une espérance pour l'avenir de voir Buffy saine d'esprit.
Frances se confia à Buffy du jour où leur mère a appris que Hank Summers trompait son épouse, Joyce, et combien cela l'avait bouleversé après si peu de temps que Buffy s'était faite hospitalisée. Cela avait été un soir commun pour Joyce et Hank, alors qu'ils avaient décidé de prendre plus de temps pour eux-mêmes, loin de la famille et des enfants, leur père avait réservé une table un soir dans un restaurant à cinq étoiles. Mais en début de soirée, Joyce reçu un bouquet d'une dizaine de roses qui ne lui était pas destinée. Le fait est que Joyce aurait dû recevoir en signe d'un grand amour éternel, des dizaines de fleurs roses et blanches en artificiel pour que cela ne se fane jamais, mais Hank s'était trompé, cela avait été fatal et une lourde erreur qu'il devra assumer avec des conséquences….
Leurs parents avaient tout fait pour, qu'au début, tout devait passer inaperçu et que Frances ne se douterait jamais de cette crise familiale, mais ils se trompaient. Quand elle apprit la nouvelle, la petite fille en fut anéantie et sa souffrance était telle qu'il y eu un traumatisme, pleurant toutes les larmes de son corps, la douleur fut terrible presque aussi cruelle moralement que physiquement, que quand bien même le cacher à Buffy, la jeune fille ressentit les douleurs de sa petite sœur.
Sans Buffy à ses cotées tous les jours et chaque nuit, sans une grande sœur qui était toujours la pour la consoler de tout, comme le ferait une maman, Frances avait tout aussi vécu des traumatismes psychologiques. Elle était déchirée entre le fait de vivre avec sa mère ou son père. Hank voulait absolument la garde totale de Frances et Joyce celle de Buffy. Pour connaitre, pour vérifier si son état mental était bon et la surveiller quand elle risquerait d'avoir des visions, des hallucinations… Mais Addie n'aimait pas les enfants.
Après cette histoire, passage très vif qui était brulant contre la peau, la chaire à nue et bouleversante, terrible et tragique dans l'univers d'une nuit de la vie entière, totalement sous une journée complète, si dramatique et déchirante, empoignante et que le soleil réapparut dans des belles journées, le printemps de notre esprit faisait place, après l'hiver froid, gelé. Elle frémit sous les étangs gelés. C'est la vie. Tous près d'ici et qui dors, si bien cachée, c'est la vie qui continua, qui va. Aussi froid que soit l'hiver, le printemps viendra, après tous les chagrins, la joie renaîtra, invisible et fragile. Elle est devant soi, c'est la vie. Après la pluie, le soleil brillera.
Après la nuit, le jour se lèvera, car c'est après la peine et que l'on peut vraiment aimer et c'est dans le silence que l'on apprend à chanter et juste à la fin des pages. Enfin, tous nos rêves vont devenir vrais. La vie sourit à nouveau et Buffy, qui regardait derrière elle, alors qu'il n'y avait que laideur, froid glacial, noir et sombre de nuages, de tempêtes, attisera la haine avec de la foudre et aux nuages noirs comme l'enfer, comme de l'encre noir. Buffy recommençait à vivre, surtout quand elle pouvait jouer avec sa jeune sœur. Il y faisait tellement chaud, l'air, le soleil de fin Mai, qu'elles profitèrent du beau temps à s'amuser dans le jardin. Elles furent habillées d'un simple short fleuri et d'un débardeur. Leur chapeau était dans l'ombre, près des chaises allongées. Elles firent bons nombres de jeux d'eau avec leur tapis de jeux d'eau et leur arrosoir et le tuyau, avec une pompe, elles s'arrosèrent, inondant la terre du jardin et sans vergogne et pitié pour l'adversaire qu'elles étaient l'une pour l'autre...
En courant sous les nombreux jouets, en passant, en courant pour y éviter le plus possible l'eau, elles rirent de bon cœur toute la journée et elles bronzèrent, s'allongèrent sur des serviettes de bain, prenant le soleil pour que leur peau devint dorée, crème de lune de miel... Joyce avait fait découvrir le plaisir des jeux d'eau aux les tous petits. Dès leur plus jeune âge, les enfants peuvent s'amuser avec ces tables de jeux d'eau composées, de petites figurines, de seaux et autres labyrinthes d'eau. Certaines sont même destinées à recevoir une partie d'eau et une partie de sable pour combiner le plaisir bac à sable et du jeu d'eau. En plastique, ces tables sont pratiques, elles sont très solides et demandèrent peu d'entretien.
Parfait pour l'été, les jeux d'eau s'utilisent dans le jardin ou sur la terrasse et permettent d'amuser les enfants tout en luttant contre la chaleur, parfois écrasante. On trouve principalement des tables de jeux d'eau. Ces tables d'activités s'utilisent avec des seaux, des boules, des petits personnages et permettent à l'enfant de transvaser, de s'arroser ou de faire fonctionner des labyrinthes d'eau. Ces tables de jeux d'eau s'adressent aux enfants dès leur plus jeune âge. Certaines de ces tables sont parfaitement adaptées...
Pourquoi faire des jeux d'eau ? Ils aiment généralement la sensation douce de l'eau qui coule sur leur peau. En plus de rafraîchir votre tout-petit, les jeux d'eau l'aident à développer sa motricité et son langage. Ils sont aussi l'occasion de partager de beaux moments de plaisir.
Plus tard dans l'après-midi, Buffy et Frances mangèrent leur gouter assis sur des chaises devant la table de jardin avec du lait ou de l'eau nature ou fruitée, que Joyce avait préparé sur un plateau, les servant et leur demandant à quoi elles jouèrent et si elles s'amusaient parfaitement bien ensemble. Entre deux bouchées, Frances répondit que tout allait pour le mieux et aimait jouer avec de l'eau, tandis que Buffy hocha la tête en accord avec sa sœur et puis en réponse à leur mère...
Le soleil passe la tête par la lucarne. C'est définitivement, complètement, totalement l'heure de la sieste. Tout le monde dort, même leur père, Hank, avec un chapeau de paille posé sur le visage. L'on n'entend plus qu'un seul bruit de temps en temps, deux jeune filles parlèrent à vox très base, en gloussant, elles lisent des livres qui avaient appartenus à leur mère et puis le soleil était si chaud, qu'elles n'avaient plus le courage de jouer dehors, ni même s'asperger avec leur tuyau d'arrosage...
Depuis quelque temps déjà ou il y a fort peu de temps de cela, dès à présent et maintenant, à l'heure d'aujourd'hui, peut-être qu'il y avait toujours été depuis plusieurs semaines où dans quel cas des mois, Frances y avait prêté attention lorsque, quand leurs parents abordèrent des sujets extrêmement sérieux, le visage silencieux serein et gardé ferme, sans expression, ils discutèrent à voix très basse ou attendaient que les filles sortent et partent de la pièce pour continuer leur conversation en les obligeant, parfois, en de très rares cas, les poussaient à quitter les lieux, et en de rares cas, ils arrêtèrent toute conversation en ranger tous secrets, mais quotidiennement, les parents de la famille Summers si disputèrent continuellement. Une soirée, alors qu'elle était encore habillée mais nullement couchée, alors qu'il se faisait tard, Frances était coiffée de deux tresses longues, en se tenant sur la rampe d'escalier et descendit. Elle entendit plusieurs brides d'informations ou connaissances et choix dans leur accord. Frances voudrait rester avec lui, avait chuchoté Hank à Joyce, mais la mère de famille, qui était très protectrice et réconfortante, en abandonnant jamais ses enfants, elle crut bon qu'il y faudrait d'un nouveau départ, une nouvelle vie serait très profitable et bénéfique aux deux filles. En l'entendant descendre, Hank lui dit de se taire et de ne plus parler, c'était tout le temps comme cela. Frances leva les yeux au ciel pour leur demander qu'est-ce que Hank et Joyce leur cachèrent et ne voudraient pas qu'elle le découvre d'une manière ou d'une autre... Mais il n'y avait rien, c'était selon eux, des choses graves de leur travail, des dossiers compliqués ou que cela ne la regardait pas et il n'y a rien de dangereux ou rien à craindre et de s'inquiéter... C'est les mêmes histoires et la même façon de reproduire les choses….
On lui cachait des choses, des affaires, des discutions vitales, importantes et elle détestait cela, elle détestait qu'on ne la mette pas dans le secret comme sa sœur.
Mais quand bien même, tout ceci à règles des problèmes, c'était plus vraiment sans importance, Frances et Buffy adoraient leur père, il y a et avait toujours une excellente bonne entente avec Hank, s'il s'était transformé en un véritable monstre et méchant qui ne faisait plus attention, qu'il était monté dans la chaine du chemin de l'indifférence, tout ceci était la cause de Addie. Il y avait eu beaucoup de week-end, de fins de semaine incroyables inoubliables et sacrés, magiquement vrai, bien et bon avec leur père, les emmenant au musée, à la plage, au cinéma, il les accompagnait voir des lacs, ils mangèrent au restaurant gastronomique ou dans des restaurants chinois, indiens et dans des crêperies, rien que pour eux trois, sans Joyce et il y eut la plage, la mer et l'océan montés du monde inimaginable, les côtés et les plages étaient nombreuses pour se baigner dans cet Océan du Pacifique. Il voulut -Hank- s'accorder un après-midi totalement en famille avec sa femme et ses enfants. Ils apporteraient de nombreuses serviettes de bain, un parasole et des vêtements de rechange ainsi que leur maillot de bain... Du début du mois de Juin, le tout premier jour en réalité.
A côté d'eux, pas loin, une serviette les séparait, un jeune couple très amoureux, frivole, inconscient, insouciant du monde qui existait, comme s'ils étaient les seuls à s'aimer aussi sincèrement comme il n'y avait qu'eux au monde et un bruit de gouttelette de tout l'Océan Pacifique. L'homme s'avérait être le dentiste familial des Summers et un ami à eux, Albert Dussel. Il se mettait de la crème solaire et en frôlant le dos de sa petite amie Charlotte et massant amoureusement son dos. Il lui dit d'ouvrir la bouche dans l'espoir de lui chuchoter le plus beau des secrets en faisant "ah ah..." il le lui vola un baiser. Charlotte faisant semblant d'être choquée et scandalisée, outrée en faisant semblant d'être une jeune fille timide qui voulut respecter les convenances, mais gloussa, c'est ce qui la trahis...
Joyce regardait ce couple amoureux avec nostalgie et une certaine tristesse et angoisse de ne plus être comme cette jeune femme. Elle était toujours aussi prude et une dame dans l'élégance, Buffy et Frances, on leur a toujours répété comme ceci : « Vous avez été élevée par l'une des femmes les plus gracieuses et les mieux élevées qui n'ait jamais marché sur la surface de cette terre ».
En ce 1er Juin de l'année d'été de 1996, Buffy et Frances, avec leur mère et leur père, sur une photographie sur la plage et qui sera l'une des dernières occasions de gouter aux joies de la mer en famille. Buffy, à gauche, se tenant fièrement en maillot de bain, tandis qu'à droite, Frances était enveloppée d'une serviette de bain. Elles étaient parties se baigner, mais au bout d'un peu plus de temps qui dépassa les trente minutes, Joyce appela ses filles qui n'avaient pas obéies à l'ordre de leur mère. La mère de famille se tourna vers Hank pour qu'il intervienne et cette fois-ci, en revenant, Frances avait pris une serviette que Joyce lui tendit et la rabroua calmement, lui disant qu'elle devait obéir et surtout, surtout, ne pas franchir les lignes qui dépassaient les autorisations de nager. Frances était allée trop loin de ce que ses parents l'autorisaient à aller...
En jalousant sa sœur, Frances regardait avec envie et désir de ressembler comme elle était, devrait tant être si profonde que personne n'avait jamais marché sur terre et ne cesse de chercher un moyen de devenir comme elle aimerait tant être et comme elle pourrait l'être, si personne d'autre ne vivait sur terre. En regardant une photo à elle, Frances avait écrit au dos de la photographie qu'elle aimerait rester comme ceci, belle comme cela, elle aurait la chance au cinéma et à Hollywood, comme une vraie star, laissant place à la merveilleuse, délicate, célèbre actrice avec, pour ce faire, trente films à son actif et avait quatre gardes du corps et était protégée, car elle fut la plus belle et la plus grande étoile du cinéma...
Buffy faisait élégamment essuyer son corps avec douceur, tact et délicatesse, souplesse, laissant libre cours aux hommes et garçon d'admirer sa beauté. Elle en était tellement ignorante et fragile, frêle et innocente, insouciante que des hommes auraient des désirs pour ce petit corps chaud, ressemblant à une femme. Frances, tout en regardant la poitrine de sa sœur ainée, espérait que ses seins poussent et se développent bientôt et elle avait le rêve et l'espoir de ressembler physiquement à Buffy. Elle n'était pas encore habituée à voir des garçons de son âge s'intéresser à elle, Buffy faisait en sorte d'être remarquée par des garçons beaucoup plus âgées qu'elle et elle en était inconsciente, naïve ou vivant dans un autre monde. Qui ne se préoccupe pas de quelque chose, ne s'en inquiète pas : insouciant du danger. Qui manifeste un esprit qui ne se soucie de rien : Mener une vie insouciante.
Et ainsi donc les deux sœurs burent du thé glacé et accompagné d'une glace en cornet au chocolat et à la fraise, avant de rentrer à la maison, finissant ainsi leur journée Papa et filles.
Buffy avait, d'abord au commencement depuis un peu plus d'à peu près toujours, commencé à faire des collections, garder et sauver bons nombres d'objets dans sa coiffeuse depuis dès à présent, depuis longtemps, d'abord une grande accumulation, un bon nombre d'objets précieux, aimant le maquillage, elle s'en était procurée au commencement d'abord dès le tout début de son adolescence, aimant les couleurs très claire, en pastelle et des couleurs lumineuses et joyeuse, qui avaient pour prendre le gouts du printemps et de l'été, elle voulut conserver cette image des beaux jours et des beaux temps. Avec un rouge à lèvres portant bien son nom rouge et d'autres roses ou du baume couleur pèche. Elle aimait beaucoup la cire, cela ne l'obligeait pas à se servir d'un rasoir, alors elle s'en était procurée. L'odeur était si agréable, une fois chauffée, elle avait des palettes d'ombres pour les yeux à paupières. Pour ouvrir le regard, il est préférable d'opter pour des fards clairs dans les tons beiges-rosés sur la paupière mobile. On peut ensuite étirer l'œil, grâce à un fard plus foncé, toujours dans les tons clairs rendue joyeuse, heureuse et innocente, qu'on applique sur la paupière mobile en dégradé. Eye liner ou du feutre, mais par-dessus tout, elle adorait les vernis à ongles de couleurs claires, comme le rouge, le bleu marine et des couleurs corailles pastelles roses claires et un peu plus foncé, l'orange le jaune foncée - Buffy essayait toujours de paraitre mature et adulte et détestait les couleurs qui pourraient lui faire ressembler à une petite file, et du vert corail qu'elle choisit de se mettre en ce jour, testant des nouvelles couleurs offertes récemment par Joyce.
Sans avertissement et avec grand fraqua, en rentrant à une vitesse effrayante, Frances apparut. La jeune fille entre dans la chambre de Buffy en trombe, au cas où Buffy aurait quelque chose à cacher :
"Désolée d'interrompre tes expériences, je voulais juste te prévenir qu'il y a une visite, une inspection sérieuse et méthodique de fouille et que maman arrivera bientôt et elle veut nous voir. On aura un plan de secours".
Buffy hocha la tête avec remerciement et murmura à sa sœur un grand merci pour l'avoir prévenu, en prévention de la visite de Joyce dans chacune de leur chambre. Elle eut le temps de ranger quelques affaires et puis réussie à cacher un livre sous son oreiller. Le vernis était sec, l'odeur du désinfectant de l'alcool à retirer pour les ongles, les cacha en les positionnant bien sur sa coiffeuse avec du coton...
Dès les presque premiers instants où Joyce pénétra dans la chambre de sa fille ainée, elle ressentit et fut imprégnée, engorgée par l'odeur de l'alcool et du produit désinfectant pour les ongles. Joyce, qui a remarqué les affaires posées devant la coiffeuse de Buffy, demanda à l'une ou l'autre de ses filles. La réponse était sans importance du moment que c'était la vérité et qu'elles ne se sauvaient pas la mise et que la réponse était honnête et rapide : « Vous avez quelque chose à désinfecter ? » Buffy ne sait vraiment pas ou donner de son énergie et voulut du temps pour elle-même, même si on ne lui en accordait pas vraiment beaucoup ces derniers jours et de sa vie normale de jeune fille, en ne sachant plus répondre, en perdant ses mots, et est mal à l'aise. Frances qui comprit tout de suite ce qui n'allait pas, intervient rapidement voulant partir et donner et courut après Buffy, au secours de sa sœur et prend le désinfectant qui elle répondit : « C'est moi qui l'aie. Une expérience de vernis à ongles qui a avorté avant même de commencer... » Dit-elle en souriant. Joyce lui rendit son regard et son sourire. Joyce partit avec de l'affection plein le regard pour ses enfants et referma la porte derrière elle, avant de leur dire qu'elle aurait bientôt à leur parler de quelque chose de sérieux et de triste, grave...
Frances voulut s'assurer que leur mère était bien partie et que la porte fut fermement fermée et se retourna pour regarder Buffy, heureuse en ayant été utile devant l'interrogatoire : « Si j'ai bien compris, je viens de t'éviter de passer à la moulinette. Tu peux le dire, qui c'est la meilleure ? » Buffy sourit en prenant Frances sur ses genoux et lui répéta les mots déjà employés et dit : « Tu es la meilleure... »
Frances savait que Buffy lui cachait quelque chose. Elle eut la réponse quand sa grande sœur sortit de sous son oreiller, un livre qui ressemblait à une encyclopédie et d'ailleurs c'est ce qu'il était, elle demanda qu'est-ce que c'était et avouant à Buffy qu'elle avait peur de ce que leur mère aurait à leur annoncer. Mais elle voulut connaitre ce qui avait tant de mystérieux et de secret dans le livre que tenait Buffy entre ses mains… Elle le pressa contre sa poitrine pour empêcher Frances de lire le titre ou d'apercevoir la quatrième page de couverture et le lire.
C'était un ouvrage traitant de la femme, d'un point de vue purement féministe et sociale, construit comme pour des textes qui étaient conçus et écrits pour que des jeunes fille ou des femmes à partir de quinze ans et beaucoup plus, puissent comprendre sans que ce soit un simple livre de littérature.
Cet ouvrage aborda bons nombres de sujets sur les jeunes filles. Un guide d'encyclopédie sur l'adolescence, un classique de références pour les adolescentes d'aujourd'hui ! L'Encyclopédie des Filles, c'est une véritable bible pour comprendre le féminisme : un guide qui donne des clés pour répondre aux questions de l'adolescente et des pistes de réflexion pour penser toujours plus, apprendre à veiller sur ses achats, sur son argent de poche, sur les vêtements et les différentes modes, sur l'affranchissement des adolescents et ne plus être classée comme une personne de seconde zone qui ne mériterait pas d'avoir ses opinions et pourtant d'encourager et le souhait. Le principe majeur de l'adolescence est en effet l'autonomie. C'est son sens premier. C'est pourquoi, l'adolescent doit faire des expériences, dont certaines peuvent effectivement passer par la prise de risques (qui n'est pas toujours une mise en danger). Il a besoin de s'éprouver pour prouver sa valeur.
Les adolescents se questionnent sur leur identité et ressentent un besoin grandissant d'indépendance. Il s'agit également d'une période de confusion où le jeune oscille entre son désir d'autonomie et celui d'être encore dépendant de ses parents. Les amitiés prennent également une plus grande importance.
Les points communs entre les filles et les garçons : c'est quoi une fille ? C'est quoi un garçon ? Qui sont arrivés les premiers ?... C'est l'occasion d'aborder l'anatomie, mais aussi de lutter au plus tôt contre les clichés.
Ce guide aborde sans tabou, et de façon illustrée, les sujets autour du sexe féminin : la vulve, le vagin, l'utérus, le clitoris et les règles. Sont ainsi détaillés les différents organes, mais aussi, par exemple, le syndrome prémenstruel. L'objectif : faire connaissance en douceur avec son corps de fille et de femme.
Est-ce que l'amour, cela dure toujours ? Homosexuel, qu'est-ce que cela veut dire ? Pourquoi les amoureux s'embrassent sur la bouche ? A chaque âge, un texte, des illustrations et une maquette adaptée. Pour les plus petits, c'est une fiction familiale qui permet d'aborder les questions de l'amour, de la conception, de la grossesse, de la naissance, de l'enfance et de la puberté...
Malgré tous les efforts de Buffy pour garder ce livre qu'elle aimait et affectionnait tant depuis peu qu'elle se l'était procuré, Frances réussit à lire la quatrième page de couverture, le résumée. Frances était folle de joie et désirait lire ce livre également, mais qu'est-ce qu'elle pourra et aura le droit que l'on le lui prête ?
S'il en venait et tenait à leur mère, la réponse ne serait jamais accompagnée d'un regard horrifié et Buffy lui répondit quand elle en aura l'âge, d'ici trois ans ou quatre ans…
Malgré qu'elle soit déçue, plus que triste, elle accepta ses conditions avec bonne humeur et franchise…
Nous avons eu un livre de la bibliothèque, au titre provoquant : « Que pensez-vous de la jeune fille moderne ? ». Aujourd'hui, Buffy aimerait parler de ce sujet.
L'auteur (une femme), critique « la jeunesse d'aujourd'hui » des pieds à la tête, sans vraiment complètement reléguer tous les jeunes au rang de bons à rien. Au contraire, elle pense que si la jeunesse s'en donnait la peine, elle pourrait construire un vaste monde, un monde plus beau et meilleur, que la jeunesse en possède les moyens, mais qu'elle s'occupe de choses superficielles sans accorder un regard à ce qui est réellement beau.
Dans certains passages, elle avait la forte impression que l'auteur lui adressait directement ses reproches et c'est pourquoi elle veut enfin se mettre complètement à nu devant elle et la défendre de ces attaques. Elle a un trait de caractère particulièrement marqué, qui doit frapper tous ceux qui la connaissent depuis un certain temps : sa connaissance d'elle-même. Buffy peut étudier tous ses actes comme s'il s'agissait d'une étrangère. Sans aucun préjugé et sans une foule d'excuses toutes prêtes, elle se place en face de la Buffy de tous les jours et observe ce qu'elle fait de bien et de mal. Cette conscience d'elle-même ne la quitte pas et à chaque mot qu'elle prononce, elle sait au moment précis où elle le dit : « Il aurait fallu lui exprimer autrement » ou alors : « C'est très bien comme cela ! » Son père la juge sévèrement sur une quantité de choses et il s'aperçoit de plus en plus à quel point ses paroles étaient justes : « Chaque enfant doit s'éduquer par lui-même ». Les parents ne peuvent que donner des conseils ou de bonnes indications, le développement ultime de la personnalité d'un individu repose entre ses propres mains. A part cela, elle a un courage de vivre exceptionnel, elle se sent toujours si forte et capable d'endurance, si libre et si jeune ! Quand elle en a pris conscience, elle était heureuse, car elle ne croyait pas qu'elle courberait vite la tête sous les coups que chacun doit subir.
Un jour, un samedi matin vers l'arrivée revenir avant le commencement proche de l'aube et ensuite après un petit déjeuner copieux avec des tartines de cerise et un bol de céréales avec du lait, les deux sœurs s'étaient parfaitement régalées en dégustant pour apporter la forme, la vivacité rapide et vive, éveillées de leur organisme pour qu'il avait profité pour garder un corps en parfaite santé et sain, apportant le calcium, l'eau, le lait pour éviter toute déshydratation et des aliments en céréales et en pain... Tout le corps en avait besoin pour se nourrir et garder le corps en élimination, en apportant l'air et l'oxygène dans le sang... Buffy et Frances s'étaient rejointes dans la chambre de Buffy pour se lancer des défis de l'amusement et ce qui importait, était de participer, rire et passer des bons moments.
Avec des jeux de construction en bois pour créer n'importe quel monument. Le jeu de construction est constitué d'éléments préfabriqués que l'enfant assemble à son gré ou en suivant les directives d'un cahier de modèles. Il réalise ainsi de ses mains un jouet original qu'il devra en général démonter pour en construire un autre. Le jeu de construction consiste à organiser, réunir ou assembler différents éléments afin de réaliser un nouvel ensemble à plat ou en volume. Elles voulurent construire et monter des créations de nombreux animaux. Elles firent une girafe et puis un crocodile, malgré les mains moites et fragiles en tremblant légèrement mais ne purent laisser la place en gardant l'équilibre des morceaux de bois. Frances lui demanda si tout allait bien et si elle voulait qu'elles recommencent. La jeune fille répondit que non, qu'elle s'amusait trop et que le but était de s'amuser, de passer de bons moments joyeux, rire et laisser faire des erreurs. Au bout de plusieurs minutes, la jeune fille n'eut plus de stress, mais elle ressentait un grand plaisir à plaire, s'amuser et c'était tellement, réellement beau de réaliser et faire des jeux sans se mettre de pression ou de s'énerver, le ventre noué et laisse si peu tranquille et voulut laisser les moments continuer à s'écouler et laisser tomber, s'écouler la lassitude et son ancienne colère violente de la haine de ne pas réussir mais tout avait changé. Dès à présent, Buffy voulut passer de nombreux grands moments avec Frances et n'avait plus peur, ne craignant plus les moqueries d'être aider par sa petite sœur. Mais peu importe. Qui étaient-ils pour la juger, en étant méchant avec elle, pour demander de l'aide. Le plus important était de faire participer sa plus jeune sœur et n'ayant nullement honte, car sa sœur était assez grande et mure pour l'aider à commettre, à continuer de jouer avec Buffy et puis faisant tout ce qu'elle voulut et elles repartirent, continuant de s'amuser, faire d'autres animaux dangereux, comme un mammouth ou un tigre à dents de sabre…
Continuant ainsi toute une journée entière, sans jamais quitter la chambre de Buffy et sans se rendre compte du temps qui passait, qu'elles finirent de jouer que lorsque la lumière le soleil commença à baisser…
Les yeux, le regard de Frances rempli des émotions émouvantes, touchantes, brillantes de lueurs, éprouvantes tant elle était émue en brillant des yeux ressortant de son visage rempli de plaisir, alors que Frances était assise à l'extérieur du perron, son ordinateur sous les yeux, regardant, observant le blog d'une passionnée de la nature, des animaux de la forêt, de la campagne, de la mer proche des plages et des animaux en général et également l'océan, la mer et les grandes barrières de coraux. Elle observait les moineaux et les mésanges bleues. Il y avait de nombreux articles de tous les quatre coins du monde. Cette femme qui était aventurière, exploratrice, une scientifique et était l'océanologue, est un scientifique spécialisé dans l'étude des mers et des océans, que ce soit au niveau des ressources, des sols ou des espèces animales et végétales qui les composent. Elle lisait et faisait de nombreuses vidéos d'exploration et l'observation de lieux abandonnés, une passion hors du commun. Frances était arrachée de ses pensées par son père et sa mère lui disant qu'elle pouvait observée la nature et les oiseaux dans leur jardin à la place d'être collée et hypnotisée, coincée au regard de son ordinateur portable et, sinon, elle serait punie et confisquée et interdit d'ordinateur et de télé pendant une semaine complète... Mais Frances répondit, disant, suppliant ses parents de la laisser sortir dans les bois de la forêt proche de la ville et y observer les animaux quand bon lui semble et à rechercher plusieurs cachettes d'animaux de n'importe quelles espèces et surtout les oiseaux... Elle continua d'insister, mais peine perdue et sans résultat positif, ses parents lui dire non, car c'était beaucoup trop dangereux pour une petite fille.
Frances soupira lourdement, déçue, le regard baissé et brisé, blessé mais fut apporté d'un soutien, la prenant dans ses bras, la soutenant lui faisant garder pied et non d'effondrement aux jambes... Buffy expliqua qu'elle pourrait garder en sécurité, sereinement sa petite sœur sans la blesser et la protégeant en la surveillant de loin... Hank hocha la tête, vaincu mais accepta les conditions de Buffy.
Buffy accompagna sa petite sœur dans les bois près jouant avec les arbres dans l'escalade. Les joueurs se divisent en paires et un des deux a les yeux bandés. Les joueurs aux yeux bandés sont ensuite amenés vers un arbre spécifique par leur partenaire. Les joueurs aux yeux bandés doivent alors sentir et toucher l'arbre et se rappeler de sa forme, de sa texture et de son odeur. Mais ce n'était pas ce qui intéressa, refusant d'y jouer, elle voulut observée les animaux et c'était ce qu'elle obtiendrait et ce qu'elle voulut, elle le fera -ce serait pour un autre jour le jeu des accrobranches, des jeux dans les arbres avec Frances qui adoraient ses jeux-. Buffy avait très bien compris et fut sous un large sourire, conspiration et secret pour rendre sa sœur au service et voulut l'aider, la rendre heureuse, observant les mésanges bleues, elle lui dit d'aller d'une manière encourageante, voulut voir ce qu'elle cherchait, rassemblement ce pourquoi elle serait là en réalité, il s'agissait en fait de Jane, une fille de sa classe, qui avait créé un blog comme un hommage à cette scientifique ou plutôt Frances regardait, observait le site de cette femme... dans l'univers scientifique passionné des animaux de la forêt et de ses alentours, dans les prairies...
Frances, aidée par sa sœur, réussit à discuter à voix basse avec cette amie de sa classe, Jane, une jeune fille qui était née en Amérique, mais était d'origine Africaine, en provenance avec en réalité avec précision, venant du pays du Kenya... Les deux jeunes filles observaient dans un trou de nid, une femelle mésange nourrissant ses petits, des oisillons en train de partager ce moment unique et émouvant de faire de la nourriture en provenant du bec de leur maman, avec des minuscules morceaux pour chacun de ses bébés -quatre bébés oiseaux- ; et ainsi que deux autres sur la terre ferme proche de la verdure. Buffy observa avec sa sœur le sentiment de flirt entre ses deux oiseaux. Et un jour, Frances sera invitée à sortir avec Jane au jardin des plantes ou dans des serres remplies d'animaux, de différents oiseaux de toutes les espèces...
La matinée, c'était peu à peu dans sa longue lignée du temps passant calmement, le plus longuement possible afin que le matin puisse se terminer aussi complètement longue, longuement sans que l'on ne puisse sens rendre compte et s'apercevant personne, avant que Buffy ne se rendre compte que midi était en train de s'installer, mais elle devait se presser pour rentrer à la maison à l'heure pour le déjeuner et surtout ramenant Frances près de sa mère avant que l'on ne l'accuse de ne pas savoir s'occuper d'une enfant et que l'on ne puisse lui faire confiance si peu en elle-même. Elles partirent rapidement en courant, se dépêchant de rentrer à table en moins de quinze minutes. Après s'être laver les mains, elle foncèrent à leur place habituelle autour de la table à manger. C'était la nourriture la plus savoureuse de leurs légumes verts, des choux fleurs, accompagnés avec des brocoli remplis l'assiette à ras bord. Les deux sœurs Summers se régalèrent en mangeant rapidement et goulument. Joyce leur demanda si c'était bon les légumes qui les faisaient manger si rapidement. Frances hocha la tête avant de dire que Frances avait une rédaction à faire sur les avions au travers des âges, aux satellites et bons nombres de sujets astrologiques et que l'on peut trouver des objets volants non identifiés, si elle pouvait croire qu'il existait d'autres vies possibles et des planètes habitées ou vivantes avec de l'oxygène, sans parler des extra-terrestres et elle voudrait obtenir de l'aide pour des sujets aussi variés, son titre serait et s'écrirait "l'aviation, l'histoire du ciel et des aviations et de satellites spatiaux" que les astronautes envoyèrent dans l'espace autour de la terre...
Buffy répéta encore et toujours à sa petite sœur une fois rentrée dans leur chambre ou devront dire la chambre de Frances, assise à son bureau, qu'elle devrait être toujours beaucoup plus curieuse que certaines personnes. Avant de commencer cette rédaction, la jeune fille voulut aller au muséum d'histoire naturelle et de tous autres sujets, l'exposition principale en ce jour de fin de semaine était l'exposition sur les avions, les maquettes de vol quand lorsque l'homme essayait de trouver le secret de voler et ils prétendirent le contraire. Cela fascina Frances et accepta d'accompagner Buffy et puis l'histoire de l'aventure spatiale grâce aux satellites qui permettaient d'avoir internet, la télévision et un bon nombre de chaines surtout les câbles de chaines gratuites...
Cela amusa beaucoup Frances d'être en compagnie et gardée, sortir et guidée par sa grande sœur. Cela passionnant encore plus Frances, d'autant plus qu'un cas de nombreuses vidéos et films documentaires placés sur des vidéos camera au mur et les gens venant voir l'exposition, ils s'assirent sur des chaises ou un banc. Frances prit plusieurs notes pour sa rédaction à rendre pour la rentrée des classes en fin Aout début Septembre à leur maîtresse, en y ressortant, Frances qu'elle avait hâte de rentrer à la maison pour écrire et faire part de ses découvertes, de son intelligence et sa culture en générale et ses nombreuses connaissances qu'elle connaissait depuis un long moment. Mais avec joie, Frances déclara alors, on y retourne, en ce quoi, elle répondit avec grand plaisir avant de repartir en courant visiter toute l'histoire qui baignait dans le muséum...
En rentrant, Frances ne voulait plus jouer mais mettre, faire part de son savoir en écrivant plus qu'il n'était nécessaire à l'origine, cela aurait fait deux pages mais elle en écrivit quatre pages et les fit lire à Buffy et Joyce qui la félicitaient de cet excellent travail... Méritant selon Joyce, la note B + ou la note A...
Et bien alors qu'il s'avérait encore totalement inconnu sans se préoccuper ni ne prit la peine une simple minute ou un simple regard sur son horloge, personne, elle ne savait pas qu'il serait aussi tôt et pourtant c'était ce que la jeune fille avait décidé avec sa petite sœur, Frances, la veille au soir pour commencer et débuter en faisant en cachette une surprise simplement pour prouver et donner tout leur amour à leur mère que la journée débuta, commencera bien avant l'aube pour Buffy qui restait allongée sur le dos que quelques instants, observant ainsi le plafond, elle se leva pour venir dans la chambre de Frances qui venait de se réveiller. Il faisait encore sombre et noir dans le ciel au dehors, à l'extérieur. Les deux sœurs s'habillèrent en se préparant pour la journée. Après avoir été aux toilettes et manger quelque chose de solide, les sœurs Summers préparèrent le petit déjeuner de leur mère qu'elle posera sur un plateau, préparant une dizaine de pancakes au chocolat et beaucoup plus de crêpes. Un jour, l'on avait dit à Buffy qu'il n'y avait rien de mieux, rien de tel pour rassembler les gens que de préparer un simple petit déjeuner ou un gouter avec tous leurs voisins. Buffy a toujours aimé, depuis sa plus petite enfance, le bruit, les rires, rencontrer de nouvelles personnes ou d'autres visages connus car, le fait est que Joyce et Hank profitaient toujours des week-ends pour réunir chaque personne aimant les faire se rencontrer et animer le quartier avec toutes sortes de célébrations, de discutions ou des réceptions tard le soir.
Buffy dicta à Frances de ne toucher à rien, car elle craignait qu'elle brise, qu'elle casse ou qu'elle fasse rater, qu'elle fasse gâcher la surprise des deux sœurs à leur mère. Il fallait que Frances aille cueillir des roses blanches dans le jardin en les posant contre son nez, sentant son parfum avant de les mettre dans un long vase avec de l'eau à l'intérieur ; Les deux sœurs avaient beaucoup discuté ses derniers temps de leur inquiétude envers leur mère qui ne faisait que s'agrandir. Buffy sentait qu'il y avait quelque chose qui n'allait plus dans leur vie de famille chez les Summers. « Maman est malade et on lui préparait, on lui faisait un vrai petit déjeuner pour une fois… »
Buffy range la nourriture ou les ingrédients pour lesquels elle n'en avait plus besoin ou l'usage au frigo. La pièce fut imprégnée de l'odeur de la cuisson des crêpes qui finissaient d'être posées sur une assiette, des fruits, du jus d'orange ou une tasse accompagnée d'une tisane oranger et citronné avec de la racine de gingembre, avec une cuillère à café et du miel. Leur père rentra dans la cuisine au même moment. Il était habillé d'un vêtement trois pièces, laissant supposer et sans aucun doute que ce serait un signe pour qu'il s'en aille pour la journée encore du travail pour sa société d'architecture.
"Alors les filles, on cuisine déjà alors que l'aube vient à peine de toucher l'horizon ». Il s'assit à table et pris Frances sur ses genoux, en riant plaçant sa main dans les cheveux de sa fille cadette, sa petite dernière, il demanda est-ce que c'était pour lui tous ces honneurs. Frances intervient en disant que c'était pour maman et en plaisantant sur un ton à demi-sérieux et franc que c'était elle qui avait tout préparé "Buffy m'a aidé". Buffy est énervée par sa sœur.
"Non, je n'ai pas aidé, on a fait ce petit déjeuner complet ensemble et on s'est secondées l'une et l'autre comme une vraie famille le devrait." Ce dernier point fut tellement si significatif pour Hank et pour lesquelles Buffy ignora combien cela faisait mal comme sous-entendu. Leur père s'éclaircit la gorge en se levant, prenant une crêpe et leur dit de bien être sage car leur mère avait mal dormi et qu'elle était en train de se reposer... Frances voulut ajouter un verre de jus de multifruit à l'eau froide, en plus de tous les fruits que leur mère aura à déguster et leurs petites notes spéciales et ingrédient secret, touche personnalisée, les deux sœurs avaient confectionné des cartes pour faire connaitre et entendre tout leur amour pour Joyce. En plus de tout cela, Frances lui offrit un grand cadeau d'un parfum venant directement de Paris et Buffy un simple dessin représentant leur mère sur une chaise à bascule devant un bon feu de cheminée...
Frances lécha ce qui restait de la pâtes à crêpes et des ustensiles, le chocolat et tout autre ingrédient restant collé aux ustensiles de cuisine avant de les laver. La jeune fille encouragea sa sœur à faire de même, car il y avait de cela quelques années en arrière, Buffy et Frances participaient toujours à la cuisine de Joyce qui léchèrent ensemble les fonds de plat. Elle avait réussi à attendrir Buffy et ensemble elles riaient comme autrefois, il fut un temps ou les choses demeurèrent faciles, ce qui rendit Buffy tellement nostalgique, ce qui se voyait dans ses yeux. Frances, en voyant cela, prit Buffy dans ses bras dans une étreinte féroce et dure. Elle tenta de la consoler du mieux du monde et du mieux possible. Il ne fallait pas que Buffy se présente ainsi avec des yeux comme bouleversés et traumatisés, son regard devant maman et elle devait sourire en s'ouvrant et rire en étant gaie... Les deux sœurs soulevèrent leur plateau et montèrent à l'étage en pénétrant doucement, tranquillement avec la plus grande vigilance, les volets étaient fermés, les rideaux tirés ainsi que les draps complètement en désordre et froissés. En allumant une petite lampe, les filles s'exclamèrent dans la bonne humeur en disant, toutes les deux en cœur un immense : « Surprise ! »
Ce qui eut pour effet sur Joyce de se redresser et de s'appuyer sur le dos pressé contre ses oreillers placés derrière elle. Elle leur dit au combien cela était agréable, gentil et rempli de bonnes intentions : "Bonjour les filles ! Oh, c'est quoi le plateau : "maman malade" ou celui de plaire et faire plaisir à leur maman ? C'est vous qui l'avez fait ?" les deux filles choisissent la dernière interrogation et elles dirent enfin que c'était elles deux qui l'avaient préparé, décoré avec une si bonne intention et beaucoup d'amour dedans et à l'intérieur. Frances retira ses chaussures et monta dans le lit aux côtés de sa mère qui, celle-ci, posa son menton contre l'épaule de sa fille... Buffy continua de discuter et elle dira : « On savait et on en était consciente que tu ne te sentais pas très bien alors en ce moment... » Mais en continuant de bégayer et balbutiant ses mots et morceaux de phrases, elle finit par dire que c'était dans un seul et unique but pour faire plaisir à leur maman, en prenant soin d'elle, en se préoccupant d'elle, en l'écoutant et voulut que ce jour ne ressemble pas à un tout autre pour que la journée débute avec un repas servi au lit comme un jour extrêmement spécial...
« Combien je suis fière et heureuse d'avoir eu la chance de posséder des enfants aussi parfaites, aussi dévouées, généreuse, et serviables, totalement autonome et qui savent si bien avoir un don de la cuisine. » Joyce parlait sans aucun doute de Frances qui avait un vrai don et un talent de mini-chef… Joyce serra dans ses bras, contre sa poitrine, sa plus jeune fille…
C'était dans ce cocon de normalité de vie quotidienne aussi normale, ordinaire ne laissant jamais la place, pas une seule fois, mentionner la sorcellerie, la magie et des personnes anormales dans un monde de fantastique et de surnaturel.
Joyce demanda une faveur à Buffy. C'était qu'elle aille faire des courses à l'épicerie pour le repas du diner de ce soir même.
Joyce et Frances sont allongées, tandis que Buffy est assise au bord du lit de ses parents. Joyce commença à déguster son petit déjeuner spécialement « maman malade » Frances mange de la gelée verte avec ses doigts. Joyce était fatiguée et voulut remettre les choses encore une fois dans l'ordre et ne voulant pas que chacun des rôles de chacune les échappe et les laisse en suspension, oubliant qui était l'adulte et la mère dans cette chambre. « Ecoutez les filles. Je sais que vous vous êtes données beaucoup de mal pour me préparer tout ceci et je ne veux pas vous vexer si je ne finis pas tout. Il y en a vraiment une grande quantité pour tout une armée ou des sans-abris qui mériteraient d'avoir tout un vrai délice, un véritable festin et petit déjeuner, ne vivant plus comme nous. »
« Ne te moque pas de nous, ni te fiche pas, ne te moque de nous. Ça, c'est la belle vie. Rester au lit et se faire apporter à manger sur un plateau. Je suis certaine que tu es au septième ciel. » Frances interrompit la conversation tout en se léchant les doigts : « J'adore la gelée à la fraise que l'on n'a préparé pour cet après-midi comme gouter pour toi... »
Joyce pouffa et ne put s'empêcher d'éclater de rire devant les plaisanteries ou farces, pitreries de sa plus jeune fille : « Ne te prive surtout pas. Je ne sais pas pourquoi. La nourriture qui bouge toute seule, me retourne l'estomac », et elle fit une grimace. La petite Frances, parlait la bouche pleine, ne se rendant nullement compte du malaise et du dégout de ce qu'elle racontât : « C'est bon et ça frétille. Une fille à l'école m'a raconté que la gélatine est faite avec de la poudre de sabot de vache et que si on en mange, il y a de pauvres vaches qui sont toutes boiteuses… »
Joyce et Buffy font la grimace, encore plus dégoutées que plus tôt dans la matinée.
« ... Mais je lui ai dit qu'il fallait les tuer avant de leur prendre leurs sabots. » Elle devient soudainement très nerveuse et angoissante quand elle s'aperçut que personne ne lui répondit ou l'écouta. « Non ? »
Buffy soupira et levant les yeux au ciel en parlant à Joyce comme dans ses souvenirs, elle déclara : « C'est bien toi et papa qui ont insisté pour lui apprendre à parler ».
Joyce discuta avec ses filles de combien le temps, les journées passèrent vite et que l'on n'avait jamais vraiment le temps, ni le courage de faire tout ce qu'on désire du plus profond de son cœur et de son corps en une vie. « Seulement, après demain que votre père rentre-il. Il vous la dit n'est-ce pas ? -Non-. Je ne crois pas que je pourrais attendre encore deux jours sans rien faire. » Avec ses deux filles, Joyce ne saurait pas quoi faire sans paraitre imposante, autoritaire, suspicieuse, soupçonneuse, vis-à-vis de Buffy, dont la fragilité était encore très présente dans la mémoire et vive dans la chair.
« J'espère que tu plaisantes et tu veux nous faire une plaisanterie, une blague. On a des tonnes de choses à faire ensemble. »
Frances encouragea Joyce en se blottissant toujours un peu plus dans l'étreinte de sa mère : « On doit regarder des feuilletons à la télévision et lire des magazines à scandales… » Et puis corriger mes exercices de calculs. Oui. Et jouer dans les draps, se faisant faire des cabanes du lit. On n'a de quoi s'occuper pour au moins quatre heures et/ou plusieurs heures ensemble... Et puis un jour, papa reviendra... »
Le journal de Frances commençait dès le début des premières pages par ces quelques mots, son journal commençait ainsi : Personne ne sait qui je suis. Qui est la vraie Frances ? Cela ne les intéresse pas. Est-ce que quelqu'un m'a déjà demandé ce que je voulais faire dans la vie ou ce que je pensais de ceci ou de cela ou quel restaurant je préférais ?
Frances était assise les jambes croisées. A ses pieds, se trouvèrent de grosses chaussettes grises et elle était en pyjama rose fleurit avec une veste de robe de chambre bleue. Ses cheveux étaient tirés en arrière et elle était totalement absorbée dans son monde plongé dans les profondeurs de son imagination de ses pensées, elle avait la bouche fermée et ses lèvres sellées en grande contemplation, elle y inscrivit sa vie, Frances, assise sur son lit, en pyjama, écrivant son journal intime. Il y a une immense pile de peluches sur le lit près d'elle. Frances a dix ans et vit à Los Angeles en Californie. Elle tient son journal, un journal de petite fille où, avec ses mots elle raconte sa vie quotidienne. Frances pleure son enfance volée. Mais elle continue d'écrire et de témoigner. Comme Anne Frank à qui elle pense souvent. Anne Frank, dont elle redoute la fin tragique...
Notes journalières sur des événements personnels, des émotions, des sentiments et des réflexions intimes. Genre autobiographique, le journal intime exerce une prise directe sur l'instant : les notations s'effectuent au jour le jour – c'est pourquoi leurs auteurs sont appelés diaristes.
Un journal intime est un ensemble de notes datées, présentant le plus souvent les actions, les réflexions ou les sentiments de l'auteur, appelé diariste, qui s'exprime principalement à la première personne. Le journal intime est un type d'écrit autobiographique.
Après tout ceci, Frances se prépara pour la journée. Le temps était frais alors elle se mit un tee-shirt à manche longue, elle serait seule à la maison avec Joyce, car Buffy était sortie rejoindre Lise après avoir obtenue l'autorisation de son père qui était parti au travail... Frances s'installa sur le canapé pour regarder quelques dessins animées du matin comme Tom et Jerry, Lucky Luke et des dessins animés inspirés de bandes dessinées Japonaises ou encore d'autres dessins animées pour les tous petits comme, par exemple donné, "oui-oui, et Maya l'abeille. Elle y resta collée pendant plus d'une heure avant que Joyce n'intervienne et débranche la prise de courant de la télévision... Pour lui donner le petit déjeuner. Dans la cuisine, il y avait le paquet de céréales sorties et sur, le dos de la boite, était inscrit le cadeau du paquet, un insigne de Sherif de policier...
Pendant que Joyce discutait avec Frances tout en cuisinant, la mère de famille s'arrêta de cuisiner et de parler, pour se retourner vers sa plus jeune fille et lui demanda : « Frances, combien de bols de céréales comptes-tu avaler ? Tu es affamée à ce point, ne les gaspille pas. Tu sais, c'est grâce à nous si tu as si souvent à manger. L'argent rentre pour que l'on vive aussi sereinement. »
Frances expliqua qu'elle essayait d'attraper : « J'essaie juste de retirer le cadeau du paquet et puis je ne veux pas de céréales pour ce matin, peut-être plus tard... » Frances haussa les épaules. Elle mit la main dans le paquet et en retira le jouet. Elle cria de joie et de plaisir en s'exclamant le voilà. Elle sourit et s'assied.
« Tu veux le cadeau des céréales, mais pas les céréales. Tu grandis, c'est normal », dit Joyce, en s'appuyant contre l'ilot de la cuisine. Elle demanda : "Alors que voudrais-tu manger aujourd'hui si ce n'est pas des céréales... » Elle répondit qu'elle veut des œufs faits en une omelette de fromage de chèvre et avec un tout petit peu de ketchup... L'atmosphère, l'ensemble de l'arôme du fromage cuit et des œufs cuits et moelleux fit que Joyce et Frances eurent très faim.
En souriant, se retournant vers sa gazinière, elle déclara avec entrain et courage : « Allons-y, et une omelette pour la demoiselle ». Elle met les œufs dans les assiettes. Joyce se retourna, les deux assiettes à la main. Soudain, elle s'arrêta ne sachant plus vraiment quoi faire, plongée dans ses pensées et semblait mal. Frances regarde le cadeau qu'elle a trouvé... Joyce secoua la tête, confuse, comme l'était sa fille. Frances demanda si elle allait bien. Joyce lui répondit qu'elle allait bien et qu'elle était tout simplement fatiguée...
Après son retour des courses à l'épicerie avec Hank qui lui avait offert une figurine de dinosaure et d'autres d'un univers fantastique, comme un dragon, son tyrannosaure et ainsi que d'autres espèces pour faire de la place et jouer pour en faire une collection sur une étagère avec un brachiosaure. En rentrant et puis on lui offre pour consolider, lui faire apprendre à canaliser son énergie et aller à l'encontre de son hyperactivité, sa mallette de palette de bois avec une fermeture qui, à l'intérieur, possédait toutes les couleurs de peinture d'une centaine de couleurs et ainsi apprendre à peindre dans des dessins. La peinture magique par numérotation consiste à peindre un schéma, une photo ou un croquis pré-dessiné pièce par pièce, nombre par nombre et couleur par couleur. Que toutes ces figurines pour y jouer en les changeant de couleur si elle le voulait et que cela pourrait s'user de la couleur qui s'efface à force d'y jouer et de s'amuser.
Tyrannosaures rex (ce qui signifie en latin « roi des lézards tyrans »), connu sous le nom de T-rex ou T. rex (en anglais, on prononce « tirex »), est une espèce de dinosaures théropodes, carnivores de la famille des tyrannosauroïdes. Il est le plus célèbre des tyrannosaures. Le Brachiosaure (nom scientifique Brachiosaures) est un genre éteint de dinosaures appartenant au groupe des saurischiens sauropodes, plus précisément à la famille des brachiosaures. Ces animaux ont vécu au Jurassique supérieur (Kimméridgien et Tithonien).
Frances y vu les nouveaux cadeaux que leur père leur a offert et voulut suivre sa sœur pour regarder, observer, en étant si heureuse et excitée, que Buffy ait eu des cadeaux, car le fait est qu'à chaque fois que l'une ou l'autre recevait une surprise, l'autre sœur profitait de s'amuser avec grand plaisir et excitation. Mais cette fois-ci, ce ne serait pas le cas, car Buffy avait grandi et nouvelle prête avec personne ce que son père qui, pour la première fois depuis son hospitalisation, eurent une grande conversation, un autre amour et nouvelle complicité d'un papa généreux adoré et aimé.
Buffy refusa qu'elle s'amuse avec les différents paysages à peindre. Frances sautille partout dans la chambre avant d'être attrapée par le bras et lui étant répondit, discutée avec hostilité en poussant sa sœur loin de sa chambre et lui claquant la porte au visage et que Buffy cria en l'insultant de microbe. Pendant plusieurs heures, pendant même des jours entiers, Frances tenta d'ouvrir la porte de sa grande sœur et puis un jour où Buffy baissa sa garde, Frances réussit à se faufiler alors assise avec ses parents, elle monta en catimini dans la chambre de sa sœur ainée pour observer les œuvres d'art et les parties que Buffy réussit à si bien contrôler. Elle s'écriât d'admiration, de beauté plein les yeux en murmurant combien c'était beau, magnifique et exceptionnel, mais dans son excitation, elle ne fit pas attention et elle pressa sa main contre un tube de penture verte et aspergea les dessins de Buffy…
Pratiquement horrifiée de la réaction de sa sœur, elle était attristée par les bêtises qu'elle avait déclenchées comme apocalypse. Buffy fut derrière elle et lui dit avec colère et panique et énervement, en grande tragédie, combien du temps, de l'énergie de la patiente et de l'amour il lui a fallu pour créer ses peintures. Elle en devient hystérique et l'attrapa par les bras en lui déclarant qu'elle allait arracher tous les bras de ses poupées et comme ceci elle se rendra compte de la gravité de la situation et combien cela faisait mal que l'on lui abimait des objets et des affaires à elle... Frances en eut les larmes aux yeux et se mit à pleurer. Joyce intervenait en déclarant que Frances voulait tellement prendre exemple sur sa sœur ainée et admirer ses chef-d'œuvre et Frances fut désolée et regretta tout ce qui a été dit mais les blessures étaient encore très crues... Mais quand bien même Buffy essaya de se racheter et ne plus harceler et punir Frances, tout commençait à s'arranger un jour...
Buffy continuait depuis presque deux jours à mendier, à supplier, à adjurer et enfin à implorer Frances de la laisser lui prêter, de la laisser prendre dans ses affaires un livre, un roman sur la série, de saga sur les dragon que sa petite sœur possède et été rangé sur sa bibliothèque dans sa chambre. Mais Frances refusait toujours car, à chaque fois, tout ce que la plus petite des Summers prêtait à sa grande sœur, revenait abimé ou, sur les couvertures, était collé de la groseille toute collante. Un jour, Buffy avait déchiré des pages et il avait fallu le remplacer. Avec un ton hautain, Frances prouva ainsi sa théorie qu'il n'y avait pas qu'elle ou des bébés pour habiller les objets d'une maison et qu'elle n'était pas la seule à réaliser ce genre de bêtise ou à être accusée de n'importe quoi. Frances était la plus petite et la plus jeune, mais elle prenait toujours grand soin de ses propres affaires. Certes, elle n'était pas un modèle ou étant parfaite et blanchit de ses bêtises, néanmoins elle ne faisait pas confiance à sa sœur et refusait toujours de lui prêter quoi que ce soit. Ce sera quand un jour elle apprendra à prendre soin de ses affaires et faisant ainsi amende honorable et voulut garder des choses intactes, que Frances pourra céder aux supplications de sa grande sœur et puis d'ailleurs, la jeune fille avait déjà des CD qui étaient en fait la propriété de Frances et donc jamais rendus... La petite sœur apprit à son ainée à pas lire ou bon lui semblait, il fallait qu'elle reste dans sa chambre...
Il ne fallait jamais montrer en tombant dans les apparences, ce n'était pas parce que Buffy et Frances s'entendirent bien, est-ce traitée comme des amies, des sœurs en âmes sœurs et coup de cœur et qu'elles vivaient en toute parfaite harmonie, étant assez très mature sur les bords de leurs relations, en entente parfaite, sans atome crochu et de blessures de sœurs en hostilité, se faisant la guerre, mais il y avait, pouvait avoir, des exceptions, car nulle relation est parfaitement réglée. Buffy était ainsi assise sur le rebord de son lit, dans son lit et elle discutait au téléphone, en secret, avec Pike. Sa mère était sa complice, en souhaitant pour l'embrasser, être avec lui tout simplement discuter comme des gens qui étaient sur la même longueur de fils, comme des amis connaissant tout l'un et l'autre et en étant amoureuse, voulut l'être dans tous les cas et cas de figure. Elle fut interrompue par un toussotement, elle fut obligée de raccrocher en embrassant le téléphone et y déposa son cœur. Frances était à l'entrée de la chambre, dans l'embrassure. Buffy fut gênée d'être ainsi découverte et probablement certainement Pike au bout de fils, l'était aussi, car Buffy le prévient ou se trouvait sa petite sœur.
C'était dégoutant de s'embrasser et surtout ainsi si fougueusement en passionnément, si tendrement. En plus de tout ceci, c'était des baisers réservés aux adultes ou aux films d'adolescentes interdits au moins de seize ans, avec la langue pour Frances, qui avait déjà entendue cela, fit un énorme -"Beurk..." - En connaissance, étant, voulant montrer et prouver à tout le monde sa théorie en faisant semblant de tout savoir, connaissant une fille qui est morte d'avoir avalé la langue de son copain, prétendît Frances...
Buffy qui fut très gênée et blessée par les propos de sa petite sœur, en essayant de se rassembler, de connaitre et d'interrompre ses fantaisies, en étant en colère et en aucune manière essaya de paraitre nullement affectée et en étant autoritaire, elle déclara en souriant et hochant la tête fermement d'accord : « C'est très bien, mais tu peux me laisser et partir d'ici, Frances. »
Espiègle Frances et montrant son ton plus fort et ressemblant à une petite sœur très ennuyeuse et qui était passée outre mal polie, maladroite et irrespectueuse : « Je suis dans le couloir, pas dans ta chambre. Le couloir n'est pas à toi. » Joyce sortit d'une autre pièce de la maison...
Se levant brusquement, Buffy, en allant vers la porte, en déclarant les dents serrées et le visage ferme en sa mâchoire serrée, murmura menaçante : « Tu t'en va tout de suite. »
En voyant passer sa mère, Frances se précipita, l'emmenant au lieu où elle figurait et lui dit : « Maman, j'ai le droit d'être dans le couloir non ? » Joyce soupira en déclarant qu'elle ne pouvait pas gérer toutes leurs petites gamineries, leurs chamailleries ou leurs bêtises et ni leurs caprices ou leurs prises de tête pour un tout ou pour un rien...
Buffy supplia sa mère qu'elle n'en pouvait plus et profita que Joyce se tenait aux cotées de Frances pour déclarer de manière pitoyable, gênée, en montrant clairement son état de fatigue : « Elle passe son temps à m'espionner ! »
Joyce, aussi également, n'en pouvait plus, en étant lasse et soupire, met sa main sur son front : « Mais quel plaisir vraiment », de façon sarcastique, « de retrouver mes deux petites filles ensemble, c'est la migraine assurée. Voilà des années de cela ».
Buffy, furieuse, en plissant les yeux jusqu'à ne ressembler comme des fentes de manière, de façon d'adulte et de punir et déclarant : "Je te félicite, Frances, tu lui as donné la migraine. »
En défaillant, outrée et blesser de croire que tout le monde croit que tout était de sa faute et qu'elle était responsable des pires choses : « Ce n'est pas vrai ! Maman, je t'ai donné la migraine maman ? » C'est en partie la faute de Buffy et en partie la faute de Frances, bien sûr.
Joyce sourit, pour échapper à un tel débat leur dit sans se retourner, passant par les escaliers : « C'est bon de vous voir vous entendre. Débrouillez-vous. » Avec amusement et grande fête de victoire, Frances se retournant le dos bien droit en souriant à sa sœur : « Elle n'a pas dit que je devais m'en aller. »
Buffy ferme la porte au nez de Frances, qui celle-ci protesta…
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Dans leur toute dernière journée et soirée pour laquelle ils resteraient passant toute une fin de journée et un début de commencement de la nuit et Buffy rentrerait dans les bras de Pike et lui dans les siens une dernière fois assis l'un à côté de l'autre sur le lit de la jeune fille qui était laissée seule avec sa sœur pour que ses parents puissent avoir l'occasion de sortir que tous les deux. Mais ce serait impossible dans les jours, les mois à venir de se revoir, ils devaient rompre, car aucun avenir sans l'autre pour cause, l'interdiction, l'empêchement des parents de Buffy de voir Pike et surtout son père soutenu en arrière par sa mère... Leurs chuchotements, les bruits se déplaçant dans la maison avaient eu pour effet de réveiller Frances, ils s'allongèrent ensuite sur le lit et s'embrassèrent de nouveau. Mais peu de temps, car, entendant quelqu'un dans le couloir, ils s'étaient redressés quand Buffy avait entendu une porte s'ouvrir, puis se refermer et découvrirent Frances dans l'embrasure de la porte. Buffy se releva et s'approcha de la jeune fille, puis demanda, en prenant un ton autoritaire, Qu'est-ce que tu fais ici ?
Frances allait descendre à la cuisine pour boire un verre de lait, car il y a des bruits qui l'ont réveillé. Il fallait qu'elle retourne se coucher, en acceptant, tout à contrecœur, mais elle avait faim et voulut se désaltérer en une seule fois, alors qu'est-ce que c'était un bon lait de vache ? Frances déclara qu'elle dira, tout à l'heure, à sa mère -si tu es encore avec Pike, elle irait le dire à maman et aux parents- pour les prévenir et Buffy implosa : Très bien. Va, va lui dire, allez va le dire à qui tu vaudras. Allez ! Va-t'en ! Elle voudrait maintenir la paix et que Frances n'ait pas à se soucier des garçons pour lesquels elle fréquente. Buffy soupira, puis regarda Pike dans les yeux, puis eut un faible sourire qu'elle lui tendit...
Qui aurait cru que cela aurait été possible en un sens que l'on prenne en compte l'opinion d'une enfant ennuyeuse, pas même Buffy. Il avait été possible que l'on change ce que l'on pensait d'un niveau à l'autre de quelques divergences d'opinions dans un sens puis dans l'autre de totalement l'inverse de ce que l'on croyait et de ce qu'il y était. Frances avait voulu participer à un concours de dessins et elle ne sait toujours pas croire en constations qu'elle pensa que ce serait un échec car elle n'aurait jamais eu d'idée mais, bien au contraire, elle en avait eu un bon nombre plus de cinq feuilles composantes qui venaient tout droit de l'esprit de Frances. Elle avait demandé de l'aide à Buffy pour lesquelles elle devait choisir mais elle ne put choisir et c'était le peu d'espoir qu'elle avait placé en Buffy se détruit encore un peu plus perdant des marches et des étages. Ils étaient tous en tout coloré, un au crayon de couleur un autre en pastel, un autre à la peinture, et un autre qu'au crayon de papier et un autre au feutre...
Buffy eut l'idée de créer une immense fresque de sa naissance à celle de Frances jusqu'à aujourd'hui résumant leur vie... C'est ce qu'elle présentera à la dernière minute au jury et puis ses autres dessins et c'était à l'encontre du règlement, ce qu'il l'a fit perdre à un point près mais reçue une mention spéciale pour ses efforts, son imagination, sa créativité et son sens de prendre des initiatives et puis de l'originalité...
Qui aurait cru qu'il pouvait exister, y avoir des journées ressemblant à la terreur, à l'enfer du mal, que tout ce que l'on pouvait ressentir, faisait si mal comme si on n'était plus à la maison et que cela blessait, bouleversait, comme arracher quelque chose. En que de la douleur. Les yeux verts, larges et autrefois émouvants de Buffy étaient fixés. Cela devait être l'enfer. Seul l'enfer pouvait faire autant de mal. Même la vraie vie n'a pas fait autant de mal. Cela fait mal. Tout fait mal. Si c'est la maison, pourquoi cela fait mal ? Buffy fut appelée par ses parents dans le salon ainsi que Frances…
Frances était assise sur son lit avec, pour appuyer son dos, pour le maintenir droit, elle était en train d'écrire et prendre des notes sur son journal. Elle était tellement plongée dans ses pensées que, littéralement parlant, elle n'entendit rien de l'appel de leur mère. Ce fut Buffy qui rentra dans l'embrassure de la porte. Elle cogna, frappant très légèrement à la porte de la chambre de sa sœur et lui déclara qu'elles devaient descendre ensemble, que leurs parents les appelaient toutes les deux, que c'était extrêmement important, sérieux et grave et qu'elles devaient entendre. Mais elle ne pouvait pas l'éviter maintenant. Ses parents avaient demandé à parler avec elles deux et même si Frances avait voulu échapper à cette réunion familiale, avait essayé de s'en sortir, mais ils avaient insisté sur le fait que c'était important. Cela l'inquiétait. Et s'ils savaient que Frances s'intéressait au monde paranormal ? Buffy était-elle au courant de la séparation imminente de leurs parents et du divorce ? Et s'ils avaient enfin commencé à remarquer la façon dont elle regardait Buffy, comme s'ils craignaient que leur fille ainée connaisse la même douleur que Frances avait commencé à endurer, à entrevoir ? Prenant une profonde inspiration, elle entra dans le salon, accompagnée de Buffy où ils étaient tous assis, l'attendant clairement.
Hank se leva, se donnant de l'importance au même exemple que Joyce et ils essayaient d'expliquer à Buffy ce qu'elle ignora de la tension qu'avait connue ses parents, de la dure vérité ne pouvant plus vivre ensemble et se disputèrent continuellement jusqu'au quotidien. Ils n'avaient rien voulu leur dire auparavant car la jeune fille était hospitalisée et ils ne voulurent pas la traumatiser et voulurent la préserver, lui cacher des choses, en la ménageant, se disant qu'elle était encore très fragile…
Buffy se braqua complètement, se refermant, pleurant. On peut s'autoriser à être vrai, dire à son enfant que cette séparation est difficile et que l'on a du chagrin. Mais il faut surtout bien préciser que ce n'est pas à cause de lui que l'on est triste. Des larmes lui brulent les yeux… Et le pire était encore à venir pour déclarer que le divorce venait d'être prononcé et que les filles n'eurent jamais suivi tout le cheminement, le chemin de cette immense contrée, sans jamais voulu croire que toutes les procédures venaient d'être accomplies et réglées, les mettant devant le fait accompli…
Hank déclara ensuite une nouvelle stupéfiante que les deux sœurs crurent qu'elles ne l'auraient jamais entendue, qu'ils voulurent -Joyce et leur père- de les laisser choisir et sans aucun droit de les obliger à qui que ce soit. Buffy choisit bien vite qu'elle souhaitait rester avec leur mère, mais pour Frances se fut un tout autre choix…
Elle était en pleurs, terrifiée et seule, elle voulut choisir tous ses parents. Au final, elle demanda à vivre avec son père…
La loi ne détermine pas un âge précis à partir duquel on peut considérer qu'un enfant est capable d'analyse et de discernement. Le juge écoute le/les enfant(s), mais lui seul interprétera, appréciera et déterminera l'intérêt du/des enfant(s) dans les cas de divorce. Quand un enfant veut vivre chez l'autre parent ? L'enfant peut donner son avis, mais les parents décident et Hank avait bien décidé de vivre sans sa fille ainée, L'enfant peut préférer habiter chez l'un des deux ou ne va vouloir se rendre chez l'autre parent. Toutefois, la décision revient aux parents, qui conjointement, établissent les conditions de la garde. Pour ce qui était de Frances, elle ne put vivre avec son père tout aussi définitivement peut être, elle ira vivre chez sa mère dans quelque mois...
- Joyce avait découvert l'infame terrible secret de l'adultère, la tromperie et le mensonge de son mari, Hank.
- Hank fut mis à la porte de sa maison par Joyce.
-Hank partit vivre chez Addie pendant une semaine entière et complète mais qui semblerait être le temps beaucoup trop lentement pour protéger Frances et la préserver. Il lui racontât qu'il partirait en voyage d'affaires et aussi profitant de son absence pour aller voir ses futures et nouveaux chantiers en construction.
-Hank et Joyce étaient officiellement séparés, mais à l'intérieur de la maison, ils faisaient en sorte de conserver leur image et entretenir leur couple et la famille dans leur foyer gardée heureuse et saine...
-Le divorce fut très rapidement réglé en un éclair, mais Hank continua de vivre à la résidence, super violent et malsain, de grosses disputes apparaissent au sein du couple.
-Hank refusait la garde totale, complètement de ses enfants, en déclarant lui-même qu'il ne pouvait assumer son rôle de père et Addie détestait les enfants, elles seraient beaucoup mieux chez leur mère.
-Hank avait sa préférée parmi le duo Buffy/Frances, il aurait voulu la garder.
-Joyce crut comprendre que Buffy ne pourrait plus vivre sereinement et en toute sécurité pour toujours à Los Angeles. Selon elle et Hank, elle sociabilisait avec un gang de rue des mauvais quartiers, et était rentrée dans une secte.
-Hank pensa que Buffy devait restée en sécurité près de sa mère.
-Joyce voulut reprendre le sens de sa vie en main, repartir de nouveau, fuir, recommencer à partir de rien, totalement, depuis le début tout en restant dans l'Etat de Californie et selon le juge, elle pourrait refaire sa vie et ne voyant aucun jugement ou raison à sa connaissance, qu'elle quitte Los Angeles dans une petite ville paisible et heureuse dans une autre vie
-Joyce avait la garde totale de Buffy et Frances et pourtant les parents voulurent qu'elles choisissent en manipulant, en les obligeant à choisir avec qui vivre.
-Buffy voulut très rapidement vivre auprès de sa mère, Joyce.
-Tandis que Frances ne savait plus vraiment avec qui vivre, elle adorait chacun de ses parents, elle fut heureuse que Joyce ait sa garde, mais elle voulut vivre avec son père et cet malgré que la nouvelle compagne n'aimât pas, détestait les enfants.
-Hank et Joyce se firent un marché et voulant équilibrer les choses, les égalisant sans plus pour éviter un total traumatisme à Frances. Joyce, en partant vivre en dehors de la ville avec Buffy et que si tout se passait bien, s'habituera et serait heureuse de son nouveau logement, au bout d'une année, Frances sera envoyée vivre chez sa mère et sa sœur...
-Joyce attendra des réponses de nouveaux travails en galerie d'art avant de penser même à démissionner et changer de vie et partir sous un coup violent de tête.
Elle devra essayer de toutes ses forces et en mieux, arranger ce qui avait été détruit et mélanger, soulevant et férocement de trier, classer ce qui avait été perdu et elle voulut que tout redevienne comme avant. Même si cela leur était impossible, Joyce avait décidé de parler à ses filles calmement, évitant de toute façon, sans matière de catalyseur apocalyptique, car le fait est que leur conversation avait tenue contre en dévient vers tout autre direction en avant, finissant de cours en étant bref, catastrophique, brutale et si soudaine, surtout pour ses deux filles qui étaient si sensibles silencieuses et qui ne portaient aucun problème à la maison ou autre. Tourner court décrit l'action d'abréger, de mettre fin à quelque chose de manière inattendue. Et qui avait donné cette impression, ces conséquences que Hank avait déjà tout organiser et que l'on voulait pour lui, le seul à décider, commander et mettre fin à ces décisions. Prise de décision : processus et pièges à éviter. La prise de décision correspond au fait d'effectuer un choix entre plusieurs modalités d'actions possibles lors de la confrontation à un problème, le but étant de le résoudre, en traduisant le choix fait en un comportement (en une séquence d'action) et pour ceci, il n'a jamais voulu mélanger sa vie privée à celle de sa vie avec Joyce, son ex-femme et ses filles, il ne voulait pas, ne souhaitant pas s'en débarrasser et ne souhaitait pas tenir compte, s'accommoder ou les comparant comme une gêne, un fardeau de s'en occuper...
Joyce poussa un long soupire silencieux et très faible dans sa lassitude de comment les évènements se déroulèrent et devant ne pouvant en aucun cas changer ou modifier les évènements de ce soir, de la conversation ou plutôt le discourt de Hank qui ne voulait pas s'expliquer sur ses actions en admettant ses torts et ne créant pas de dialogues ou de conversations, c'était comme s'il interagissait avec des choses, des objets qui n'avaient pas de conscience ni même d'une ou des choses et plus de créatures pour changer et discuter, parler en se défendant contre les propos de son époux, et Joyce voulait rattraper les évènements, les conditions dans lesquels Buffy et Frances s'étaient mises contre leur volonté et voulurent parler, rassurer, serrer ses bras contre ses filles. Elle ouvrit la porte de Frances -en devinant et se doutant, sachant comme une intrusion que Buffy se trouvait également dans la chambre de sa petite fille- en rentrant doucement alors que Frances avait des larmes qui avaient séchées sur ses joues, Buffy était assise sur le lit aux côtés de sa sœur. Elles furent toutes deux d'accord pour la conversation qui les préoccupait et souhaitait mettre en œuvre leur mère. Il faut qu'elle leur parle, disait Joyce, que cela était très important, urgent et complexe comme conversation et paroles et leur dit que leur père avait omis beaucoup de choses, de sujets à aborder...
La mère de famille prit les mains de chacune de ses filles, leur murmurant qu'il y avait des choses qu'elles devront promettre, rester cachées et promettre avec tout ce qu'elles ont de leur cœur, de leur corps et étant capables d'obéir et qu'elles devront faire pour leur mère en restant unie et continuant pour Buffy à raconter des histoires surnaturelles, des passages de chacune des histoires qu'elle-même avait contées à Joyce, ne la croyant pas et surtout sur le père Noel qui existe, Frances en avait tant besoin et elle aussi, cela leur fera oublier l'horreur du milieu des enfants déchirés par leur parents lors d'un divorce. Buffy et Frances ne voulurent rien promettre, la plus petite des Summers voulait rester avec son papa et quant à Buffy, elle fut bouleversée, car elle sera séparée de sa sœur et elle comptait toujours à aider sa mère du mieux possible et comme ceci, elles n'auront pas à partir, elle deviendrait la grande et l'adulte tout d'un seul coup, immédiatement elle se souvient que son papa lui a dit qu'elle devrait prendre soin de sa maman et de Frances toujours sous le même toit. Elle ne devait pas abandonner et était contre ce divorce et c'était là que résidait le problème, tout avait été décidé sans leur accord, sans consulter les enfants et faisant voler le divorce en un éclair, car il était déjà accordé avec la signature et le tampon du juge et de leurs parents...
Il y avait tellement de choses pour lesquelles en réponse et en honnêteté, il fallait y vivre et de sujets à aborder car elles ne furent pas seules… Et Joyce compta et était sure en se penchant et connu en seul à résider l'expérience, connaissance, épreuve, essai, expérimentation de discuter silencieusement avec Buffy et Frances en comptant, en voulant qu'elles comprennent et qu'elles deviennent des alliées contre Hank…
Non... Non, Frances ne veut rien promettre. Elle avait déclaré et dit la gorge nouée par l'effroi, l'angoisse et les larmes non versées…
Le premier coup de la conversation pour la commencer et en la plaçant exprès entrevoir une ouverture pour parler en disant que tout commença par Buffy comme prologue, première page de l'histoire. Hank avait totalement changé de comportement, d'attitude et de caractère aimable, respectueux d'amour pour ses joies de vivre qu'étaient ses deux filles, mais le secret qu'il avait enfermé, voulant tous deux oublier avec Joyce, le symbole du savoir d'apprendre l'existence du Conseil des Observateurs, des monstres et des vampires ainsi que des légendes et tout ceci se matérialisa subitement devant lui, devant eux, sans crier gare, sans subitement sous l'emprise, emprisonnement de prisons, qu'il s'était jugé qu'il n'y aurait plus de fait étrange et tout se fracassa. Sa vie ne serait pas remplie d'êtres anormaux, il était sur le point de détester sa fille de la haïr d'avoir fait revivre, renaitre et le fait d'apercevoir dans sa vie jamais elle n'aurait dû faire cela et les laisser entrant, elle lui voulut une vie normale et elle aurait dû s'enfuir, refuser tout ceci sans savoir qu'elle n'aurait jamais le droit à la parole et de refuser un destin imposé. Hank ne voudrait pas d'une fille qui était en perpétuel danger, prenant des risques sur sa vie tous les soirs, et aux résultats de ce gâchis, il avait peur que tout recommence et c'était ainsi qu'il ne voulut plus la garde de sa fille, il ne voulait être responsable de rien et il ne put vivre ainsi sans savoir, sans connaitre en étant totalement dans le noir, aveugle, sourd et il les garderait fermés, si cela ne tenait qu'à lui, il aurait fait resté Buffy jusqu'à la fin de sa vie dans une maison de repos et que jamais elle ne s'en sortirait pas et plus, quand il a remarqué qu'elle était distante et déconnectée. Cela lui a donné des visions d'être une patiente dans un asile psychiatrique, dans lequel ses dernières années en tant que tueuse Sunnydale -la ville où Joyce s'installerait avec ses filles, mais tout ceci serait une autre histoire dans le futur- faisaient partie de son illusion. Dans ce monde, Hank et Joyce étaient ensemble et prenaient profondément soin de leur fille unique avec Frances, c'était tout ce qu'il voulut mais jamais il n'aurait accepté Frances dans certaines situations et il voudrait qu'il n'y ait plus jamais de problèmes, d'événements étranges et ne voulant plus d'elle ni de ses histoires affreuses, étranges et inexplicables, de plus en plus farfelues à la moindre incartade, de plus en plus idiot. Il ne voulait plus du tout ceci et préféra en finir en perdant contact avec sa fille ainée... Et il savait que Joyce s'occuperait mieux de Buffy, car il craignait des rechutes, de se tromper dans ses médicaments anti-dépresseurs et non hallucinogène qu'il ne fallait surtout pas oublier…
Mais, en fin de compte, pour un résultat positif, en parlant, en gardant sa bonne humeur, sa chance que sa fille garde un contact rien qu'un fils avec son père, Hank, et un semblant d'espoir, il lui promit qu'il l'obligerait, à savoir, voulut les obliger en manipulant chacune d'entre elle avec qui vivre, sa mère ou son père. Le résultat de Buffy ne se fit pas attendre en se plongeant, se pressant dans les bras écartés de sa mère prête à la serrer dans ses bras car Buffy voulut vivre avec Joyce et c'était sans appel, rien de mensonger et sans crainte.
Hank avait toujours su qu'elle était sa préférée de ses deux enfants et ce ne fut une surprise pour personne, mis à part pour Buffy, c'était Frances sa préférée. Tout comme une honte de soi car elle avait très souvent dit à ses filles qu'elles les aimaient toutes les deux de la même façon et de la même manière, sans crainte, sans doute et sans la moindre méchanceté. Ce sont les enfants qui sont naturellement et universellement jaloux les uns des autres. Il y a pléthore d'albums de jeunesse sur ces jalousies, qui s'emploient à apaiser les doutes des enfants. « Vous êtes tous mes préférés », lit-on. Buffy avait été la préférée de Joyce bien qu'à un moment vital et tournant, décisif de sa vie alors que tout partit en éclats et que Buffy devenait dépressive ou sans rien changer, sa préférée fut Frances. Leur seconde fille a toujours été un trésor, une vie, un enfant modèle et aimante sans qu'elle apportât d'histoire avec elle. Mais Buffy ne devait rien savoir de tout ceci, cela la détruirait et la blesserait, bien sûr, qu'elle était aimée comme dans une véritable famille...
La bonne nouvelle dont Joyce avait parlée et discutée était la voilà qui arrivait, était le fait est que Hank bien sûr comme à son habitude et ses oubliés importants qui purent faire renouveler la voix, la joie et le bonheur était que le divorce fut prononcé et indiqua, jugeant par un véritable juge spécialisé dans les divorces ou autres crimes et affaires pour enfants que Joyce réussi et obtenir la garde totale, sans contestation et fausseté de mascarade sur papier le jugement divorce. Hank fut destitué de ses droits parentaux selon un jugement et non par les liens spirituels communicatifs et encourageant se fut Hank qui désira tout ceci sans aucun droit sur ses enfants et qui refuseront de vivre chez un père qui était absent et introuvable sans excuse, sans qu'il croie que c'était une punition et le terrible résultat de son rôle de père. Le juge civil peut vous retirer totalement votre autorité parentale si vous mettez en danger la sécurité, la santé ou les valeurs de votre enfant : mauvais traitements (maltraitance psychologique, pressions morales), consommation habituelle et excessive d'alcools ou de drogues. Mais tout ceci ne concernait pas Hank et n'étant pas son profil...
Frances fut atteinte des épreuves et étapes du deuil, du déni de la colère et de la peur refusant de croire que son père qui était le plus chou des papas qui puisse exister dans le monde entier et même au-delà qui entourait, enserrait la planète dans les cieux et au-delà de l'univers tout entière qu'elle adorait, puisse vouloir l'abandonner et refuser sa garde sous prétexte qu'il ne voulait plus s'occuper de Buffy et alors c'était sa punition, le dernier clou de son cercueil et bien cela aurait été du bon travail, un grand merci pour Buffy qui, elle l'avoua, gâchait tout, gâchait son monde, sa vie. Est-ce qu'il arrivait de penser à autre chose qu'à elle-même, qu'à elle et Buffy devra s'excuser de lui avoir arraché la chance de rester près de son papa, elle voulut en se voyant pleurant, criant, suppliant son père de la garder pour lui avec lui et qu'ils formeraient un jour une nouvelle famille à construire, à soigner à cause des fissures, des pièges et de fragilité pour la petite fille. Elle ne savait plus avec qui vivre. Tout la tiraillait, la blessant, lui arrachait des membres et les tendons de ses muscles, en l'écartelant bien que ce ne fut plus nécessaire mais pour dire la vérité pour lesquelles Frances pensait et réfléchissait en voulant vivre avec son père et ce, malgré qu'elle soit très heureuse que Joyce ait obtenu la garde de ses deux filles. Elle les aimait tous deux de même pas la même manière, mais aimait et adorait au même niveau du milieu. Les deux sœurs étaient écartelées, séparées entre deux eaux d'océans...
Frances pleura en déclarant la voix nouée, les joues rosies et rouges, les larmes coulent libre cours sur ses joues en s'exclamant qu'elle voulait rester avec papa et ne pas être séparée de Buffy ni de sa maman et cette peur se confirma quand Joyce leur dit vouloir reprendre le sens de sa vie en main, repartir de nouveau, fuir, recommencer à partir de rien, totalement, depuis le début, tout en restant dans l'Etat de Californie, dans une petite ville paisible et heureuse, dans une autre vie…
Elles partirent, mais où ? En cela, Joyce n'y songeait pas et ne put en dire plus, car elle devra faire très attention à ce qu'elle a à lui dire. Pendant ce temps, Frances ne put rester en place et retrouva son immobilité après que sa mère lui ait pris les mains dans les siennes en s'assaillant qu'elle avait pris des disponibilités pour quitter cette maison avec leur père mais elle a dû changer. Frances coupa sa mère mais... c'est… C'est où à la campagne ? Elle ne put lui en dire plus, car elle n'avait pas d'autre chose à dire qu'elle chercherait une maison, son nouveau travail féerique dans son monde d'univers. Elles continuèrent à parler.
Joyce continua à parler avec Buffy, qui était la plus âgée, la plus mature à comprendre, car Frances était trop jeune qu'elle s'était mise d'accord avec son père, Hank pour que Buffy et Joyce changent de vie dans un autre cadre, un tout autre environnement d'espace pour que Buffy continue son traitement de soin, de cure en thérapie, procédé de transformation, médication et sa vie loin de Los Angeles et si tout se passa bien, qu'elle n'eut plus besoin de soins, de traitements et vive sa vie loin d'ici, sans problème, sans gravité ou tragédie, Hank conduira au bout d'un an et un jour, rapportant Frances à sa mère et sa sœur pour récompense et surtout protéger la plus petite des Summers. Ils voulurent continuer à s'entendre pour le bien des enfants, et voulant équilibrer les choses, les égalisant sans plus pour éviter un total traumatisme trop lourd à porter...
Tout ceci répondra aux multiples raisons, les échecs, les secrets et les non-dits qui n'avaient pas été déroulés sans l'intervention de communication de Joyce. L'analyse conversationnelle est l'étude des différents processus qui régissent les interactions sociales. La théorie postule que la conversation est un processus minutieusement organisé, possédant des règles implicites qui s'appliquent dans toute interaction, indépendamment du contexte. et puis tout avait été dit et fait sans cris, sans énervement et crises de colère n'en finissant plus….
Un sens figuré dans le sens imaginative, littéraire d'une aventure des livres, Frances était terrifiée, craignait que la guerre de ses parents finnisèrent par la blesser ou faire du mal physiquement à Buffy à cause de tous ces changements, de ces tournures, des évènements auquel cas, qui n'avait existé dans aucune dimension ou univers alternatif et des travaux, des biens qui furent partagés entre ses parents, elle avait prévu de garder certaines de ses affaires dans la nouvelle maison de son père et puis l'autre partie visible divisée en deux chez sa mère. Elle voulut s'en éloigner, elle dut s'enfuir. Généralement, la "crise de la famille" évoque les difficultés nées de l'apparition de nouvelles formes familiales – nouvelles conjugalités, familles dites recomposées, homoparentalité – lesquelles ne correspondent pas à la conception légale de la famille fondée sur le lien, l'alliance ou le lien de filiation. Et être pour un jour, un soir et une nuit ne plus être témoin de la guerre froide qui animait ses parents, lui faisant peur, un jour avec Jane, cette dernière, l'invita pour manger et qu'elle considéra comme son amie et une fête sans rien en dire à ses parents mais alors que tandis que Frances préparait ses affaires de camping idéal pour être avec son amie, mais fut interpellée par Buffy.
"Ou vas-tu ? Maman ne t'a pas donné l'autorisation de sortir." En soupirant de lassitude de voir Buffy si protectrice, tendue, stressée et en considérablement augmenter et s'appuyer de son autoprotection protectrice et excessivement derrière Frances pour lui tenir la main, et la plus jeune des sœurs Summers lui avoua que leur mère était au courant. Alors que tandis que sa décision était prête, Buffy voulut profiter du moment de calme pour rester et s'occuper de Frances. Au loin, le son d'une voiture se garant près de la résidence, le son d'une voiture qui arrive, Frances prend sa veste et va vers la porte. Elle va dormir chez Jane et Buffy répliqua :
"Et tu me le dis maintenant, à cause de… ?" Frances pensait que tout le monde pensait et croyait que tout leur était égal, elle pensait que Buffy s'en fichait. Elle reste toujours du côté de ses parents à les aider, elle n'est jamais à la maison, alors... Et tout le monde l'ignore, mais Buffy était à ses côtés, pourquoi n'annulerait-elle pas son invitation chez Jane ? la jeune fille insista pour mieux la protéger étant de lui interdire de sortir et de refuser d'aller accompagner ses amies.
Mais ce n'est pas comme si Frances savait qu'elle serait là, présente. Buffy lui fait une surprise et voulut continuer à lire ensemble une histoire ensemble d'une saga très en vogue et célèbre que même les adultes aimaient et que c'était pour les enfants la Saga Angelica Bouton. C'est une élève d'une école de sorcellerie de neuf à dix tomes et en se précipitant à la maison pour lire son histoire, Joyce intervient et appris à Buffy que la mère de Jane faisait de la meilleure nourriture et Joyce était jalouse, étrangère qu'elle, sa mère et sa belle-mère Frieda, qui appris à se connaitre feront de la cuisine mexicaine. Elle va lui apprendre à faire de vrais tortillas et des recettes de cuisine pour mieux apprendre dans son apprentissage de la cuisine mexicaine. Il y aura, proche de la mer, que Frieda avait grandi, des décorations de coquillage. Frances était tellement impatiente ce soir-là de faire partie d'une famille qui ne se déchirait pas et unie pour cuisiner, rire en partageant le véritable amour de tendresse, de complicité...
La base traditionnelle de cette cuisine est le maïs, ainsi que d'autres aliments d'origine autochtone comme le haricot, l'avocat, la tomate, la dinde, les cacahuètes, la vanille et le piment, accompagnés de riz, transportés par les Espagnols.
La cuisine mexicaine est considérée comme très variée de par son héritage préhispanique et européen, conséquence de la conquête espagnole de l'empire Aztèque au cours du XVIᵉ siècle. Elle a aussi connu l'influence des cuisines africaines, caraïbéennes, asiatiques et moyen-orientales.
Cependant, Buffy a fait une paix tendue avec sa sœur et a pris le manteau d'être la protectrice de Frances, Buffy est devenue extrêmement surprotectrice envers Frances et a refusé de ne presque jamais la laisser hors de sa vue. Frances était très ennuyée par cela et ne pouvait pas comprendre pourquoi Buffy était devenue si extrême.
Arrêtant sa sœur en la tenant par le bras, interloquée et inquiète et légèrement terrifiée, elle lui dit : Wow ! Wow, wow, wow, wow ! Où tu crois que tu vas ? Frances soupira d'un air de tragédienne, théâtralement, roulant des yeux. La plus petite des Summers répondit en répétant qu'elle lui avait déjà dit où elle irait en allant chez Jane et puis le lendemain matin, au coin de la rue, juste en face, habitait Mélinda qui invitait ses amies à passer la journée ensemble, ce qui était au gout de Buffy et nullement de sa mère trop longtemps en la laissant si fréquemment hors de leur surveillance. Et cela avait été décidé depuis combien de temps ? Frances répondit : juste à l'instant, depuis maintenant, et prévenue par Joyce, Buffy prit le rôle de tutrice et de responsabilité sur sa petite sœur. Elle ne peut pas, ce n'était pas sûr pour elle de marcher là-bas si loin pourtant si proche.
Frances parut scandalisée, les yeux écarquillés que c'était juste en faces qu'est-ce qu'il y avait de mal à aller juste voir Mélinda. Puis en la coupant, la jeune fille lui dit fermement de façon ferme qui ne pouvait pas être contredite et d'un point ferme : non. Non. Ce soir, c'est la soirée famille. Et d'ailleurs, Mélinda a une mauvaise influence. Je n'aime pas que tu fréquentes quelqu'un d'aussi… petit et mal élevé en ayant un si petit air, un esprit si petit, superficiel. Ce qui eut pour effet de bouleverser, en énervant qu'elle était tellement contente que Buffy vive si proche l'une de l'autre et continuant à être si protectrice et exaspérante trop si extrême, c'était une source de joie...
Voilà plusieurs, de nombreuses décennies, que les gens, les personnes de la classe ouvrière ou celles des familles riches et de bourgeoisies avaient de plus en plus de mal et de difficultés et bons nombres de chômeurs dans tous les quarts de personnes sans abri ou vivant pauvrement dans de tous petits espaces, d'appartements et ceux furent le cas de Joyce Summers, qui avait de très grandes difficultés à trouver du travail dans le monde de la responsabilité d'une galerie d'art. Elle avait pourtant tout essayé dans de nombreuses villes de la Californie elle s'apprêtait à renoncer, à perdre espoir, quand lorsqu'un miracle véritable auquel cas la matriarche féminine maternelle des Summers, mais est-ce que cela était un espoir, quelque chose que l'on pouvait imaginer comme miraculeux que des personnes auraient pu aider, ce n'était pas un hasard. Qui priait pour trouver du travail ?
Toi qui es le patron des travailleurs, fais que le chômage disparaisse de notre société, que tous ceux qui ont la capacité de travailler puissent utiliser leurs forces et leurs talents au service de leurs frères pour un salaire digne de leurs efforts. Pour trouver un emploi la journée, quand on travaille de nuit : « Les gens sortent de leur maison pour aller au travail et se fatiguer jusqu'au soir. » Et finalement, Joyce trouva et accepta son nouveau travail à responsabilité, dans la petite ville tranquille de Sunnydale à seulement deux heures de route de trajet... Il ne restait plus qu'à trouver un logement en se renseignant dans les agences immobilières. Joyce rêva de partager, de retrouver, Joyce voulut reprendre le sens de sa vie en main, repartir de nouveau, fuir, recommencer à partir de rien, totalement, depuis le début, tout en restant dans l'Etat de Californie en souhaitant devenir propriétaire en totalité en ne partageant sa propriété partagée ensemble avec Hank comme autrefois...
Elle se mit à chercher un logement, plus précisément, une maison en se déplaçant très régulièrement pour trouver une propriété dans un quartier assez tranquille, en visitant une cinquantaine de maisons dans plusieurs et nombreuses, différentes agences immobilières. Quand Joyce cherche un logement, elle visite la péniche du capitaine McCallister et à, ce moment, un requin surgit de l'eau, une image qui n'est pas sans rappeler le requin qui surgit à côté du bateau. Ce type de logement est dangereux. Joyce visita la maison d'une veuve qu'une vieille femme venant de visiter et donc elle ne put changer la maison comme elle le souhaite car de nombreux chats y vivaient et donc Joyce Summers et ses filles seraient leurs locataires… Dans un quartier résidentiel ou résidaient des familles riches, heureuses, ou les voitures ne passaient que très rarement, c'était d'ailleurs seulement le fait est qu'il ressemblait au quartier ou autrefois elle avait vécu, où ses filles sont née et ont grandi, quand un jour, elle trouva la maison parfaite et idéale au 1630 Revello Drive, pour qui elle avait eu un coup de cœur et un amour famille se sentant chez elle en sécurité. Comme autrefois dans une maison protégée par la déesse Grec du foyer..
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Et il y eut une tout autre victoire de chance miraculeuse qui était quand lorsque Joyce cherchait, étant à la recherche d'un nouveau lycée public pour sa fille. Elle eut du mal à trouver un nouveau lycée à cause du dossier scolaire et du passé de sa fille, Buffy. Tous les lycées la rejeta. Mais Joyce finit par trouver, comme c'était selon les dire, le meilleur établissement de tout Sunnydale. Cela la réconfortera dans son choix et qui d'ailleurs accepta sans aucune réserve, attaque ou méfiance, en lisant le dossier d'une élève de dixième année, âgée de quinze ans, qui croyaient-ils, tout le cru qu'elle était en décalage, en décrochage sur elle à l'école, mais personne ne semblât offusqué par son dossier au lycée de Sunnydale en croyant que tout ceci était des erreurs de jeunesse et voulut lui accorder une seconde, deuxième chance avait déclaré le principal Flutie. Bienvenue à Sunnydale ! C'était à elle de jouer, de montrer tout ce qu'elle voulut. Buffy, la balle est dans son camp. Le passé est le passé. Ce qu'il voit d'écrit sur cette feuille, ne l'intéresse absolument pas. Même s'il y est dit que n'est pas… très flatteur…et sans espoir, tout fut totalement réglée quand Joyce avait reçu un second rendez-vous pour que le proviseur discutait de tout ce qui intéressait Buffy dans sa vie et si elle resterait motivée pour obtenir des diplômes ? le principal Flutie voulut se faire une première impression, allant vers Buffy pour mieux la connaitre et l'aider dans son parcourt scolaire et elle sera la bienvenue à la prochaine rentrée scolaire, juste après les vacances d'été...
Le premier jour de Buffy, le directeur Flutie a déchiré sa transcription pour lui permettre de commencer l'année sur un état propre. Cependant, quand il a commencé à regarder ses morceaux déchirés, il a découvert qu'elle avait brûlé le gymnase de son école précédente, du collège/lycée Hemery, ce qui était la raison pour laquelle elle a été transférée dans une nouvelle école. Alors qu'il enregistrait la transcription, Buffy a caché le fait qu'elle était la Tueuse et a affirmé qu'elle l'avait fait à cause de l'amiante. Flutie a plutôt rejeté Buffy avec hésitation et l'a laissée revenir sur son chemin.
Flutie se consacrait à aider les élèves. Il cherchait à « mieux comprendre ses élèves » et croyait en une éducation centrée sur l'élève, en leur estime de soi et en leur socialisation. Snyder a plus tard plaisanté : « C'est ce genre de pensée libérale à la tête floue qui conduit à être mangé. »
Le grand jour du déménagement approchait très rapidement, alors que Joyce possédait les clés de leur nouvelle maison, elles attendirent le jour, l'aube, le moment où les premières lueurs du jour où elle pourra prendre pleinement possession des lieux tout aussi légalement avant de signer tout formulaire restant. Buffy et Frances n'avaient encore jamais vu la maison, alors un jour, Joyce eut l'idée de passer une journée ensoleillée pour retrouver la maison avec l'aide de l'agent conseillère immobilière pour montrer la maison à ses filles. Alors qu'il n'y avait encore aucun meuble et que la maison était extrêmement vide avec les nouveaux meubles que Joyce avait voulu s'acheter, mis à part quelques cartons que Joyce s'était permise d'apporter pour commencer à trier, à ranger dès le début, déballant les affaires et tout ce qu'elles possèderont. Joyce préparait cette journée tout spécialement bien entretenue, parfaite et très exactement bien réglée, organisée point par point, en ouvrant une parenthèse sur Joyce, la mère de famille, apprit qu'elle commencera à travailler dès son installation définitive à Sunnydale. Elle aura donc tout l'été, jusqu'à l'ouverture de le rentrée des classés de l'école élémentaire jusqu'au secondaire. En arrivant, Joyce fut illuminée par un immense sourire éclatant et beau de sociabilisation, heureuse et très contente de revenir dans cette maison. Elle était charmante, les gens voulaient toujours lui parler, devenir des connaissances ou des amies dans le cycle, le cercle, elle était communicative, heureuse de la voir discuter avec elle. Joyce donnait, apportait cette impression que tout s'arrangerait dans le meilleur éclat. On avait l'impression que tout s'arrangerait et dont le soleil apparaitrait toujours plongé de ses rayons au travers des branches, des feuilles d'arbres. Une personne magnétique possède un pouvoir d'attraction ou d'influence extraordinaire. Dans la vie de tous les jours, nous avons tendance à attirer des personnes qui nous ressemblent.
En organisant soigneusement, avec des détails, attentivement avec soin, consciencieusement, avec délicatesse, mélanger curiosité et exactitude, leur journée, toute première, pour Buffy et Frances à Sunnydale, la description de la maison se faisait ainsi à la maison, était une maison de deux étages, de style american craftsman, avec un sous-sol complet. Un large trottoir en béton menait du trottoir au milieu de la cour avant, en passant devant des palmiers et d'autres arbres et à travers un espace, dans une haie basse qui faisait face au porche, à une courte volée de marches qui menaient à la porte d'entrée, de chaque côté desquelles se trouvaient des baies vitrées flanquées de hautes fenêtres plus étroites. Le porche, couvrant la largeur de la maison, était surplombé par une partie du toit de la résidence, qui était soutenu par quatre piliers, les deux à côté des marches ayant des socles en brique. Face à la maison, il y avait une allée à droite qui menait le long de la maison. La cour arrière s'étendait jusqu'à une clôture qui s'ouvrait sur une ruelle. La maison contenait un sous-sol complet, avec une buanderie et le réservoir d'eau chaude situé le long du mur du fond et un escalier dans le mur à droite menant à l'extérieur. Les escaliers, menant au sous-sol, étaient entrés par la cuisine. L'étage inférieur, ou rez-de-chaussée, était occupé par un foyer qui menait à un couloir dont, face à la rue, la salle à manger s'ouvrait à droite et le salon s'ouvrait à gauche. Un salon était situé au bout du couloir. La cuisine se trouvait au-delà de la salle à manger, offrant un accès à la fois au salon à sa droite et au porche arrière. Une courte volée de marches menait du porche arrière à la cour arrière. Un escalier menait du foyer à l'étage supérieur de la résidence.
L'étage supérieur contenait quatre chambres et une salle de bains. La chambre principale, face à l'arrière de la maison, était initialement occupée par Joyce. La chambre avant était initialement occupée par Buffy. Entre ceux-ci, il y avait une troisième pièce et quatrième pièce qui était une salle de stockage / couture et le bureau à domicile de Joyce jusqu'à ce que celle d'à côté, la quatrième chambre, devienne la chambre de Frances. La salle de bains était en face de la chambre de Buffy avec un accès depuis la chambre principale. Deux pignons projetés depuis le toit, un sur chacune des baies vitrées. L'un de ces pignons contenait la fenêtre avant de la chambre de Buffy, par laquelle elle allait et venait parfois patrouiller dans les rues et les cimetières de Sunnydale avant de dire à sa mère qu'elle était la Tueuse...
Durant le trajet qui durera très exactement des heures avec exactitude et de bonnes pratiques, précisions sans s'être arrêté sur une aire d'autoroute pour faire une pause pipi en toute hâte, avec l'agente immobilière qui les attendait proche de la résidence avec un grand sourire. En sortant de la voiture, Joyce embrassa sur la joue la conseillère et puis présenta Buffy et Frances à cette charmante dame, femme et puis ainsi elle connut et put voir des visages sous ces prénoms. En rentrant, Joyce fut subjuguée, ne se rappelant plus avec précision, combien cette maison était grande et elle faisait une bonne affaire tout en sachant dans son corps et son cœur, que c'était la maison idéale et parfaite pour éduquer les enfants…
C'est très joli oui, et je suis certaine que vous et vos enfants seront très heureuses ici.
Joyce interpella ses filles qui restaient sur le perron en les appelant « Buffy, Frances venez voir ça ». Une à une, les filles rentrèrent, pausant leur regard sur les différents objets, les murs et les futurs objets qui pourraient leur appartenir et possédant ainsi une si grande vie…
Joyce, en souriant, demanda à sa fille ainée « C'est quelque chose hein ? Buffy. » Elle chuchota une petite réponse donnant raison à sa mère, confirmant ce qu'elle disait, un mot « ça c'est vrai. »
En montant les escaliers et visitant certaines pièces, Buffy découvrit et fut émerveillée et subjuguée. Elle en était certaine dans sa voix de sa petite musique intérieure d'enfant, elle choisit la chambre qui se trouverait près d'un arbre. Pour elle, elle le savait, dès à présent, s'enfuir, se cacher pour échapper à son appel, à son devoir et même si elle voulut fuir toute sa vie, on la retrouverait toujours et surtout elle devra se conduire en adulte. Elle était presque dans une échelle de pyramide, elle arriverait au sommet que ce ne serait pas par le plus grand hasard que sa mère ait trouvé un travail aussi rapidement. Elle a dû être cachée par le Conseil, en mémoire de Merrick. Malgré sa lassitude, devoir être appelée et pour qu'il soit fier d'elle, il fallait à Buffy une indépendance et penser, commander par elle-même.
Malgré ce que Joyce avait d'une part, que chacune, dès le déménagement, pourront avoir la liberté et la hâte d'avoir à précipiter les choses dans un rayon où Buffy parlait d'avoir déjà choisi sa chambre. Joyce en fut lassée, car il faudra que Buffy fasse plus attention à sa petite sœur qui voudra tout arranger et peut-être aura-t-elle voulut la chambre que Buffy avait choisi. En allant voir la pièce, Frances ne fut pas en colère ou déçu, triste ou mal à l'aise et félicita Buffy, lui rappelant qu'elle avait très bon gout, car la chambre était splendide et belle, donc tout fut réglé.
Frances, quant à elle, observai les moindres recoins de la maison et y trouva des grains de poussière en se penchant tout près du sol. Elle fut interrompue par l'agente immobilière, par pure politesse, lui demanda si tout ceci serait assez vaste pour elle. Frances haussa les épaules puis dit que, peut-être bien, tout ceci irait, avant de se détourner, ne faisant plus attention à rien d'autre.
Buffy et Frances étaient très certaines que la maison que leur mère avait choisie, seront à la maison enfin rentrée d'une maison, une chambre, une pièce rien que pour elles. Cette journée avait été créée pour Joyce et ses filles, afin de se familiariser, de se connecter, s'appuyant dessus en découvrant petit à petit, avec lenteur pour que Buffy et Frances commenceraient à apprécier et peut-être même à l'aimer, ce qui bien sûr fonctionnât. Les trois dames Summers repartirent sur la route pour rentrer à Los Angeles, mais peut-être pas assez déçues d'être dans une si longue, grande ville après s'être habituées au calme et à la tranquillité d'une petite ville pour Los Angeles...
On pouvait dire que tout était infiniment dans l'infini qui durera pour toujours, sans jamais s'arrêter. Tout avait un commencement, mais nullement une fin. Les bagages étaient tous très longs à emballer et, de plus, Frances devait faire un immense tri de ses affaires qu'elle comptait garder quand elle vivra avec Hank et d'autres, une somme d'affaires beaucoup plus grandes et beaucoup de choses, qu'elle souhaiterait plus que tout garder chez sa mère, car elle vivrait bientôt avec elle et préférait d'ailleurs encore plus obtenir ses affaires car elle se sentait si bien avec sa mère, qu'elle était certaine qu'elle se plairait bien plus, bien d'avantage, avec sa maman Joyce. Le déménageur ne se contente pas seulement de faire jouer ses muscles pour transporter des objets lourds. Selon le contrat passé avec son client, il peut être amené à gérer l'ensemble des opérations de son déménagement, de l'emballage au démontage des meubles dans l'ancien logement de Joyce à Los Angeles et remontage des meubles dans le nouveau logement de Joyce à Sunnydale. Quand commencer ses cartons de déménagement ? Bien avant de faire appel à un déménageur et, aussi, bien avant le jour du déménagement et La recommandation la plus répandue encourage Joyce, Buffy et Frances à commencer les cartons de déménagement un mois et demi en avance. Ce temps alloué à l'emballage de leurs biens est en effet un bon compromis, encore faut-il savoir en profiter correctement et savoir l'adapter à leurs besoins. Emballer, charger, transporter et réinstaller sans casse : tel est le rôle du déménageur. Dans ce métier accessible à tous et à toutes, la force physique n'est plus un critère sélectif. Le professionnel d'aujourd'hui gère les formalités administratives et a de réelles perspectives d'évolution. Le déménageur assure des opérations d'emballage, de déballage, de montage, de démontage, de chargement, de déchargement de mobilier. Il peut, en outre, conduire le véhicule de déménagement, s'il y est habilité. Il est alors conducteur-déménageur.
Le déménageur est la personne qui effectue un déménagement. Il est chargé d'emballer, de déballer et de transporter des meubles et des objets plus ou moins fragiles et plus ou moins volumineux, préalablement mis dans des boîtes en carton par les clients, c'est-à-dire, et cela voulu expliquer, par Joyce, Buffy et Frances. À ce titre, il est un professionnel de la protection et de la manutention de mobilier.
Le jour venu, tout était allé si vite en y réfléchissant en un sens, tout était pour le mieux et, d'un autre côté, c'était assez bien certainement que tout ne sortait pas en un long chemin tranquille ou sa demande de mutation, les demandes d'inscription dans un lycée, trouver la maison idéale pour pouvoir y vivre sereinement, mais en même temps, quand bien même les faits étaient là, tout allait trop vite, les journées passaient sans que personne ne pouvait y faire, sans remplacer les jours perdus et recommencer à partir d'une échelle à zéro, tout reprendre, reprendre la vie, les journées pour les reconstruire et éviter tout. Il y avait eu tellement de choses à faire, à revoir mais tout fut construit en sorte pour que le déménagement se fasse dans les meilleures conditions possibles et d'autres où il faudra attendre à organiser, tout revoir pour que les papiers importants ne se perdent pas, mettre à jour les assurances et bons nombres d'autres programmes d'une bonne longueur... Les journées des semaines de début Juillet furent vite envolées dans le vent...
Hank proposa et voulut venir en aide pour le déménagement, pour y participer et aider son ex-femme ainsi que ses filles à tout reprendre, emballer portant des cartons. Alors donc Hank fit partie du voyage ce qui n'enchantait pas Addie et voulut lui en discuter, prétextant qu'il n'avait plus le droit de veiller et de s'intéresser à de l'aide à Joyce et il devrait davantage la presser de quitter les lieux de la maison d'Hank, mais cette femme ne gagna pas au jeu du dernier mot, d'une conversation et ce qui fit qu'elle bouda et devient méprisante en cachette et quand elle fut devant Frances, qui la terrifiait, la détestait et se haïssant mutuellement, quant à Frances, elle ne tentait pas, ne voulait en aucun cas devenir une soumise ou se laisser faire en l'écrasant. La jeune fille lui promis qu'elle passerait sa vie de regretter d'avoir rencontré la route, le chemin de Frances Summers et jamais elle n'obéirait à cette femme monstrueuse et détestable…
Hank transportant beaucoup plus de charge que Joyce -c'était lui qui insistait pour l'aider à des charges trop lourdes, mais qui étaient transportables dans une voiture. Pendant ce temps, Joyce transportera le reste des affaires pour quitter Los Angeles, certainement pour toujours avec ses deux filles à l'arrière, Buffy et Frances… C'était plus qu'une certitude, car, en effet, le fait est que, quand bien même Joyce aurait eu des contact, professionnel, Joyce n'aimerait pas, avait appris à se lasser, à déprimer devant à l'intérieur même en son sein dépérir et détester cette ville devenue beaucoup trop bourgeoise pour son bien et l'éducation de ses filles, leur avenir, pensant que rien ne serait trop beau ou important pour ses filles. Il suffira de plonger dans l'atmosphère, le privilège et la joie de vivre dans un lotissement presque campagnard et ce serait parfait pour une vie paisible, tranquille dans des beaux quartiers avec le sens d'une belle famille unie et prospère…
Le trajet se déroulera sans encombre…
Joyce prit véritablement au sens littéral du terme, sans encombre, sans mot croisé, cherchant une énigme, qu'elle prit tout son temps durant le trajet, le voyage jusqu'à Sunnydale. Hank, lui, avait prévenu et précisé qu'il n'était nullement stressé, paniqué ou voulut rentrer dans la précipitation. Il lui expliqua de prendre tout son temps si elle voulait s'arrêter n'importe quand, la jeune mère ferait ce qu'elle voudrait et déciderait de son indépendance. Ce serait un ennui ou un handicap, car Hank connaissait parfaitement le trajet surtout l'adresse où Joyce et ses filles vivraient... En partant tôt un matin, elles arriveraient en plein milieu de la matinée…
Peu de temps après être parties, qui conduira, accompagnera étant laissée guidée par la mémoire de Joyce de connaitre la route et les rues à emprunter, et voilà qu'à compter d'une demi-heure après leur départ, Joyce s'arrêta sur une aire de repos qui faisait restauration, le plein d'essence, les toilettes pour se soulager. Mais ce que voulait Joyce, c'était prendre un véritable petit déjeuner avec ses filles. Elles commandaient du bacon, des œufs sur le plat, et que Joyce trouva incroyablement délicieux, accompagnés de saucisses. C'était tout simplement divin et comme si l'on tombait du ciel, car elle adorait tout ceci comme Buffy et Frances, ou des flocons d'avoine pour Frances, qui ne supportait pas d'avoir le ventre trop plein et chargé en nourriture qui lui faisait sentir son estomac se retourner, car elle était prise de nausées en mangeant de trop lors d'un voyage mais elle se commanda néanmoins un chocolat chaud à la vanille, tandis que Buffy fit de même, la même chose que sa mère avec, comme supplément, des pancakes. Joyce adorait le jus d'orange et, en plus, avec plaisir et délectation. Se rappelant, se remémorant sa jeunesse et sa vie d'adulte, de jeune femme, car à une certaine époque de temps, Joyce buvait continuellement du jus d'orange pressés ou acheté directement en bouteille ou en soda.
Joyce fit promettre à Frances qu'elle lui promette de manger des aliments, de la nourriture verte au repas du soir d'aujourd'hui. En riant, Frances lui répondit qu'elle lui promet... mais pour une commande à emporter pour Frances, elle se commanda un énorme Milk-shake au chocolat à boire pendant le reste du voyage. Un milk-shake ou milkshake, ou lait frappé au Canada ou frappé en Suisse romande et en Nouvelle-Angleterre, est une recette traditionnelle de boisson glacée, frappée de la cuisine des États-Unis, à base de lait, crème glacée, sirops, arômes divers, et fruits, mélangés au shaker ou au mixeur.
En arrivant, comme elles l'avaient prévue avec une demi-heure de retard, car après pris leur petit déjeuner, Joyce s'était assurée que tout le monde était parti aux toilettes ainsi, comme ceci, elle n'aurait pas à s'arrêter une seconde fois. Elles arrivèrent et virent Hank appuyer contre sa voiture, regardant, observant l'horizon pour surveiller l'arrivée de son ex-femme et de ses filles, tandis que les déménageurs venaient d'arriver eux aussi et prêts à travailler. Frances, en sortant de la voiture, partit enlacer de toutes ses forces son père et promit d'apporter son aide comme le ferait Buffy tout à l'heure...
A peu près de la minute prêt, plusieurs minutes avant le départ de la famille Summers, pour être tout à fait précis et délicat de trouver le courage de venir, la volonté et être prêt à garder, à regarder dans le blanc de ses yeux et la chance, la force de dire c'est le courage de dire au revoir, un quart d'heure avant de partir, quinze minutes exactement dans les temps, Margaux et sa petite sœur de cinq ans avec elles -qui étaient les sœurs de Jacqueline- il y eu Lise avec sa petite sœur Gabi qui eut le même âge que Solange et enfin Pike tout à chacun eurent des souhaits pour que Buffy ait une meilleure vie qu'ici, une vie qui lui ressemblerait et deviendrait tout aussi bien que ce en concurrence de ses amies d'ici sa ville natale, sa ville de naissance, Los Angeles et qu'elle commencera à se faire de nouvelles amies à Sunnydale et qu'elle devienne l'héroïne de ce monde de monstres n'ayant jamais sévi sur cette terre, en refusant de compter les Nazis de l'Allemagne du troisième Reich d'Hitler, qu'ils furent capables de se montrer tout aussi mauvais que les monstres que Buffy tuait chaque soir, soir après soir, nuit après nuit. Comment elle pouvait dormir dans son lit, au chaud et en sécurité devant qui était entre leur griffe à la merci des monstres, des hommes n'ayant jamais sévi sur terre dans les guerres les plus féroces du monde libre de mortels humains...
Tout le rez-de-chaussée, le séjour et le salon de la salle à manger en partant de la cuisine et également certains paquets qui seront déplacés au sous-sol pour que tout revienne soit, qui était propre en nettoyant les toiles d'araignée et la poussière qui pouvait si être accrochée et dans des lieux tranquilles, sécurisés et jouables, et rangés dans l'entretien pour que même le sous-sol, le garage soient des pièces qui pourraient être habitables. Leur salle de séjour et les autres pièces jusque dans la cuisine et les autres pièces étaient pleines, d'un fouillis indescriptible, tous les cartons que Joyce avait fait envoyés par le délégateur en échange d'un pourboire et qui fut autorisée par le contracté signé. Elle avait empilé par terre et sur les lits que les déménageurs avaient commencés à restituer à construire et assembler les lits et dont Joyce avait bien précisé les pièces que l'on montait, reconstruisait et création et que tout ressemblera le plus rapidement, vite fait, à ce qu'il ressemblait dans l'ancienne maison de Los Angeles. La petite salle de débarra, une salle de stockage / couture du bureau de Joyce, l'ancienne était bourrée de literies jusqu'au plafond. Si Buffy, sa mère et sa sœur voulurent dormir dans des lits à peu près bien faits, il fallait s'y mettre tout de suite, dès l'instant, et ranger tout le fourbi. Frances était encore incapable du moindre effort, elles s'étaient allongées sur le lit de poing dans un sac de couchage, installé encore dans le couloir car la jeune fille n'avait pas encore pris la décision de ce qui serait sa chambre entre les deux pièces de débarra à même le sommier, étaient fatigués, exténuées psychologiquement, physiquement et terrible mentalement rebus et inquiétée de toutes ces émotions, et ne sachant quoi encore, mais Joyce et Buffy accompagné de Hank, les trois rangeurs de la famille volèrent, commençaient sans plus attendre.
Ils avaient passé toute la journée à déballer les cartons, à remplir les placards, à être aider par les déménageurs, à planter des clous et à ranger jusqu'au soir et après avoir fait les lits de Joyce et Buffy, en avait fait les lits dans des draps frais et propres et qui avait survécu à la poussière et où elles se sont toutes deux écroulées dans des lits bien propres, tandis que Hank décida de repartir pour Los Angeles, promettant que dans plusieurs jours d'ici là, il récupérera Frances venant la chercher. Cela durera plusieurs jours, mais Frances finit par choisir une des deux pièces, celle qui était passée en second, jusqu'aux côtés de Buffy, sa sœur. Tout ceci dura de longs jours en se débrouillant, emménageant seules, sans déménageur qui avaient fini de monter chaque meuble... Et ce seront à Joyce et Buffy de les déplacer, en choisissant les bons emplacements et se fient à ce que Joyce s'était mis à imaginer comment tout ceci serait...
Joyce et Buffy mirent en place chacune des rideaux de la maison. Buffy se chargea de regarder comment l'électricité et les ampoules éclairent divinement bien… Elles n'avaient rien mangé de chaud et puis Buffy et sa mère avait beaucoup trop de travail…
Joyce fut si heureuse que Frances sa chère petite fille se considèrent comme à la maison, comme chez elle et comme si la petite fille avait trouvé sa place dans cette famille, une place à part entière, tout comme Buffy qu'elle imita et voulut se prendre comme elle…
Joyce se mit à la hauteur de Frances, combien c'était bien qu'elle faisait des efforts et des applications concrètes, lui disant, lui promettant qu'elle sera heureuse ici et que cette pièce était l'idéal et le lieu parfait de vie de sa seconde fille cadette comme si elle était à la maison trouvant la chambre idéale et qu'elle a trouvé, qu'elle cherchait et qui lui convienne. Dans sa chambre, les murs sont roses, -Ma chambre est grande, elle est belle. Le lit est à côté de l'armoire. La table de chevet est entre le bureau et le lit. Les bleus intenses (bleu outremer) ou les verts bleutés (vert émeraude, bleu canard) ont toujours la côte. Ils sont à la fois puissants et apaisants, parfaits dans une chambre. Les teintes plus claires de vert sauge ou vert grisé sont aussi agréables et apaisantes dans une chambre.
Les deux sœurs, dans les journées à venir, décorèrent chacune leur chambre. Frances, avec ses nombreuses peluches auxquels cas elle les avait décidées, de les diviser en ayant choisie bien avant le déménagement de sa mère pour lesquelles elle aimerait apporter chez sa mère et puis d'autres affaires qui allèrent directement chez son père. Joyce a rapporté des livres de ses filles et voulut bien qu'elles rapportent leurs jeux de société, des poupées Barbie et ainsi des photos de stars de cinéma. Buffy avait toujours su quoi accrocher, quoi mettre dans sa chambre dans un des tiroirs de sa coiffeuse et celui de son bureau furent cachés plusieurs pieux, de l'eau bénite et surtout, surtout des croix... Et un poster de la célèbre patineuse artistique, Dorothy Wheeler et Frances, des danseuses artistiques et puis ce fut tout, car la jeune fille ne savait pas encore quoi exactement elle afficherait de son côté... C'était très difficile pour Joyce, elle le savait, de connaitre l'attraction en étant déchirée, elle ne devait pas baisser les bras et ne pas se laisser aller, petite Frances, et elle avait la chance de connaitre la joie, le soulagement de la délivrance d'être toujours ensemble, c'était une consolation.
Frances partit faire son lit et laisser libre cours à son imagination avec les nouvelles décorations de sa chambre ressemblant à celle d'une petite fille, d'une enfant qui cherchait à trouver sa voie, ses véritables gouts et que c'était pour cette raison qu'on la prénommait la plus petite des Summers…
Et puis un après-midi, Frances demanda la permission de jouer dehors avec sa sœur, voulant trouver les nombreuses cachettes, les terrains de jeux et quartiers paisibles ou d'autres enfants qui se réunissaient comme des bandes d'amies, en se disant la chance qu'elles auront. C'est vraiment extraordinaire, super de commencer à se faire des amies…
C'était un jour, quelque part durant cette semaine-ci, après l'écoulement des jours précèdent, un après-midi spécial ou commun à l'été, alors que le soleil envoyait ses rayons sur la ville qui était comme dans un rêve bleu, le soleil frappait fréquemment. Il y avait un commencement d'une future vague de chaleur. Buffy avait repéré à côté près proche de Rivelo, à côté d'Hadley, un terrain de jeux avec du sable partout et des jeux à côté. Il y avait une balançoire et la jeune fille voulut faire plaisir tout en faisant une découverte des nombreux lieux qu'habitaient Sunnydale en prévenant Joyce, leur mère, leur donna l'autorisation d'aller se balader et découvrir les alentours à condition de ne pas rentrer trop tard. Qu'elle ne fût pas sa surprise à Frances quand Buffy la conduisit dans un terrain sablé avec une balançoire. Elle secoua la tête, remerciant Buffy avec un éclat de sourire, regardant dans les yeux de sa sœur, elle pressa ses mains, en lui faisant un câlin, une étreinte pour la remercier et elle lui demanda soudain inquiète si Buffy pourrait venir jouer aussi avec elle en la poussant à chaque tour. On tomba dans un lieu immense mais minuscule en se retrouvant en plein soleil, le sol tiède. On s'aperçut que l'on était sur un terrain vague de jeux presque désert. Une immense cheminée d'une usine solitaire dominant l'horizon. Buffy accepta de faire des tours, de se balancer en cœur et mécaniquement en totem unisson. Deux jeunes filles se balançaient, le lecteur se concentra sur la plus jeune des deux -dont Buffy s'était arrêtée- l'on regardait la plus jeune des fillettes se balançant de plus en plus haut, beaucoup plus haut que sa sœur. En criant terrifiée par ce que faisait sa sœur qui n'était pas la première fois, Joyce lui avait également interdit de jouer ainsi. L'ainée s'écriât : Frances ! Arrêt toi !
Mais l'autre petite fille avait lâché la balançoire au moment où elle atteignait son point le plus haut, le plus élevé et s'étaient envolée, littéralement envolée, s'élançant dans le ciel dans un grand rire. Cependant au lieu de retomber en s'écrasant sur l'asphalte, elle poursuivit sa course, telle une trapéziste et resta dans les airs beaucoup trop longtemps avant d'atterrir avec beaucoup trop de légèreté pour que ce soit commun et non lié à la magie, pour que cela paraisse naturel.
En criant après sa petite sœur dont Buffy fut terrifiée, elle s'exclama en arrêtant sa balançoire, tandis que Frances riait de bonheur, en raclant le sol avec les talons de ses sandales qui crissaient par terre, puis se leva d'un bond, les mains sur les hanches.
« Maman t'avait interdit et t'avait dit de ne pas faire ça !... Et maman a dit que tu n'avais pas le droit, Frances ! Que t'arrive-t-il ? " Ce n'était pas de la magie, sa sœur, une sorcière en se secouant la tête de manière, de façon de déni et inquiétude réelle et pourtant il n'y aurait pas eu d'autre explication logique dans un sens comme dans l'autre et elle n'aurait pas eu le temps de faire des recherches pour Frances, elle devait la protéger de l'ignominie de Addie et de la colère de leur père.
Frances essaya de canaliser la peur de Buffy, de l'apaiser, de la calmer et lui faire oublier ces incidents, en suppliant sa sœur de la pousser par elle-même avec Buffy derrière Frances la poussant, riant ensemble, le reste de leur après-midi aux jeux suffit à l'apaiser et en lui faisant oublier toute peur et toute crainte d'anormalité. Elles furent toutes deux seules jusqu'à six heures de l'après-midi avant de décider qu'elles avaient besoin de rentrer pour gouter et manger du nutella ou chocolat Milka, tartiné sur des tranches de pain... Buffy ne parlera pas de cet incident à leur mère, Joyce... Et voulut la préserver.
Hank avait décidé en parlant au tout début au préalable de ne voulant aucune façon mettre son ex-femme devant le fait accompli, en y réfléchissant concisément et en discuter avant la toute dernière décision avec Frances et Buffy qui furent tellement heureuses, joyeuses et bénéfique pour que cette ville devienne également la sienne et les égalisant au même niveau, au même piédestal avec Joyce, qu'il pensait que ce serait profitable à Frances de passer encore plusieurs semaines écoulées dans les vacances d'été avec elle et Buffy. Toutes trois passeraient de très bonnes vacances, rien que toutes les trois et pendant ce bref moment de vacances d'été, Frances voulut apprendre à se faire des amies dans le quartier. Durant un été particulièrement chaud après avoir si bien ranger et organiser la maison de sa future demeure, en partant prendre l'air aussi régulièrement, en s'amusant dans des jeux d'eau, un beau jour, Frances et Buffy furent rejointe par une enfant rien qu'une seule malgré la chaleur étouffante, aux cheveux châtains très noirs avec de magnifiques yeux bleus et s'emblait dans les âges de Frances. Pouvait-elle venir jouer avec elles ? Avait un jour demandé à Buffy et à sa petite sœur n'ayant pas d'amis pour les vacances, elles seraient si heureuses d'enfin faire leur rencontre et la fillette avait un excellent motif d'observation, de sens, elle avait toujours été en alerte maximale à force de se retrouver pour jouer alors qu'une journée, l'enfant appris à connaitre Buffy et Frances Summers. L'enfant leur donna son prénom et son âge : elle se prénommait Dawn, Dawn Rosenberg et elle a grandi dans cette ville, dans ce quartier. Elle connaissait beaucoup d'enfants, d'adolescents et de jeunes, pré-adolescentes, elle pourra un jour les présenter à d'autres enfants de leur âge... Dawn n'avait qu'à peine huit ans, seulement deux ans de moins que Frances. A partir de ce jour, les trois amies/copines ne se quittèrent plus le moins du monde... Et donc :
Buffy de quinze ans, Frances de dix ans et Dawn de huit ans, les filles étaient souvent, trop souvent, aux yeux du point de vue des adultes, elles étaient toujours ensemble...
Dawn était une petite fille si vive, si vivante, ayant soif sans arrêt de liberté, d'espace et voulant constamment faire ses preuves pour ne plus qu'aucun jamais d'adultes ne la traiteraient comme une enfant. Etant curieuse, Dawn avait vu de loin pendant de longs jours, observé la routine de ses deux filles qui n'étaient, qu'à ses yeux, des enfants tout comme elle, comme était Willow et Alex, il n'y avait absolument rien de malsain ou de pervers à les regarder jouer. Dawn aimait plus que tout voir des sœurs interagir, communiquer en s'entendant bien, une relation saine et équilibrée comme elle pourrait l'être avec ses deux sœurs et ce qui ressemblerait absolument à cela elle en fut heureuse et voulu apprendre à les connaitre toutes les deux à chacune sa balance. Frances lui ressemblait beaucoup et était pareille, aussi douce et espiègle. Il était vrai quand on les observait bien, que Dawn était toujours très agitée, espiègle, remuant beaucoup, alors qu'au contraire de Frances, elle était patiente, reposée, calme, douce et plus mature, ayant de nombreux points communs, en particulier sur leur âge qui était très proche l'une et l'autre. Elles se ressemblaient, aimant discuter de l'ennui d'être sœurs, en étant des ennemies parfois, mais ce n'était pas sur cette raison qu'elle voulut employer et adorer quand leur ainée prenant soin d'elles veillait sur elles, s'occupent comme une seconde mère un troisième parent...
Personnes ne pouvait comprendre. Ils ne savent pas ce que c'est que d'être derrière, quelque chose qui bloque la vue, l'empêche d'avancer la trouvant froide, incapable d'aimer la beauté de la vie comme tout un chacun et n'ayant pas le même regard sur un arc en ciel ou un rayon venant frapper sur des cerisiers en fleurs. A en croire Dawn, Buffy était une insensible, une jeune fille bizarre, étrange, discrète sur ce qu'elle faisait comme activité et pourtant quand Dawn apprit qu'elle avait été pom-pom Girl, cela ouvrit un chemin, une autre excuse pour la détester de ne pas l'aimer. En ouvrant grand les yeux, elle vit des choses qu'elle ne put voir dans une pièce sombre, comme si tout à coup, subitement, il y eut un décalage d'être une amie Buffy -Dawn était si dure dans les critiques, les jugements analytiques qu'elle réalisait avec dureté ou ignorance, ne comprenant rien et resta une petite peste, un démon de petite sœur. Peut-être que si quelqu'un vivait avec elle, tout le monde, jusque dans sa famille, ils seraient moins indulgents, vivant tous les jours avec elle. Tout le monde s'intéresse à ce qu'elle pense parce qu'elle sait faire des galipettes arrière et des sauts périeux en gymnastique rythmique, la passion de Buffy. Frances expliqua ou tenta de désamorcer une future bombe que Dawn se trompait et qu'il y avait de nombreuses raisons de comprendre, d'aider, de soulager des mesures et traits de caractère très attrayants et que Buffy était Buffy et elle lui faisait confiance sur sa vie même et pourquoi tout ceci ? Parce qu'elle l'aimait et était, devait vivre en solitude et que ce n'était pas pour autant qu'elle ferait du mal ou n'étant pas sociable bien au contraire... Mais malgré tous les efforts que Frances apportait à l'une ou à l'autre -Buffy et Dawn- rien n'y faisait et restait constamment sur ses positions, d'une simple gamine, enfant, enfantillage de Dawn avait murmuré avec colère et désespoir Buffy…
En toute réalité dans cet univers-là, alors que Frances soupçonnait que tout avait changé en un changement de lieu, de pensées, canalisation et plus lente et profonde, Frances sentit que Dawn ne les détestera jamais l'une et l'autre et que le fait est les faits, la réalité ou la fiction, image en imagerie insouciante dans un monde fantastique et beau baigner, remplie de nouvelles chansons, chantant de son cœur une musique intérieure, Dawn idolâtrait Buffy et voulut faire comme elle, lui ressembler, l'imiter devenant l'image, de l'image d'une toute autre personne...
Quant à du point de vue de Buffy et de ce qu'elle ressentait, ce qu'elle pensait de Dawn, la jeune fille restera très claire sans condition san aménagement qu'elle l'a trouvait très étrange comme quelqu'un de simple et étant un peu, très peu, voir pas assez simplète, elle resterait comme tant d'autres une petite fille d'à côté comme les autres ayant besoin de protection. Elle a un côté tellement paumé, perdue, seule... Mais selon Buffy qui fut très dure avec elle, que la jeune fille pensa qu'elle est surtout égoïste, avec une certaine tension supplémentaire. Elles entretenaient constamment une relation presque hostile et elle était ennuyée de voir comment les gens se préoccupaient d'elle, la considérait comme étant patiente et calme, alors qu'au contraire, à travers les yeux de Buffy, elle en avait marre que chacun la considère comme un bébé, une enfant immature de ce qu'elle était, alors qu'en réalité, lorsque Frances avait eu l'âge de Dawn, Frances avait été plus mature que Dawn ne le sera jamais. L'agacement et l'envie de Buffy envers Dawn grandissaient encore plus, fatiguée, alors que Dawn s'en sortait constamment facilement. Surtout lorsque Dawn avait fait la connaissance de Joyce, elle était traitée comme une poupée délicate comme une invitée d'honneur lui rappelant combien elle était parfaite, innocente, ayant besoin de protection, la protéger de la vie et du monde, parfois toujours aussi cruel, en la mettant dans une bulle pour que personne ne la voie, devenant de plus en plus proche et Frances invitait Dawn chez elle. Joyce considérait l'enfant comme une troisième -quatrième- fille. En observant, en voyant en constatation de la fermeté et le visage dure, refermée sur elle-même, Joyce a dit à Buffy qu'elle aimait toujours Dawn, comme sa fille et a demandé à Buffy de la protéger et de l'aimer de la même manière et en égalité d'avec Frances…
Pour l'instant, dans cette partie de l'histoire, seule Dawn aurait été mise au courant de l'existence de Frances la petite sœur de Buffy….
Joyce, pour se rapprocher de ses voisins environnants, était devenue amie avec les grands-parents paternels de Dawn et elle leur proposait un bon nombre de petits plats cuisinés, créés et confectionnés par Joyce elle-même en totalité. Elle leur proposa des crêpes, des sucreries ou des pots de confitures à la fraise, à la banane, aux mûres, à la cerise…. Et c'était des parfaites occasions venant de Joyce de se lier d'amitié avec eux et, en même temps, quand bien même pour faire sortir Buffy, la sociabiliser et lui redonner gout au contact d'humains autre que le corps médical et les psychiatres en restant à l'intérieur toute la journée non-stop et qui se chargea d'apporter tout ce que Joyce voulut préparer, la jeune mère de famille voulut lui donner des exercices à faire, en apportant tout ce que sa mère voulait. Buffy partait avec des quantités de nourriture dans un panier en osier. Elle préparait des tourtes au poisson et dans ces moments-là, Buffy côtoyait d'avantage Dawn et c'est dans ces occasions-ci pour entretenir de nouveaux liens avec des nouvelles personnes et réparer ce qui avait été cassé l'une et l'autre par Buffy et Dawn. La grand-mère de Willow donne des vêtements à Buffy ayant appartenu à Willow et d'autres vêtements ayant appartenu à Dawn pour Frances. En venant sonner au portillon, la petite fille se précipitait pour ouvrir en restant stoïque, le visage ferme et fermé pour ne montrer aucun de ses sentiments. Elles discutèrent ou jouèrent ensemble très régulièrement. La toute première fois que Buffy avait livré des plats de sa mère qui les avaient préparés avec amour par Joyce, elles s'étaient longuement longtemps tenu les yeux fixés sur les uns sur les autres, ne disant rien, acceptant que l'autre soi là et qu'il n'y est pas de divergence….
Pour ce qui concernait Frances, le jour du grand départ pour retourner vivre avec son père qui viendrait la chercher, il y eu beaucoup de larmes coulées en entendant le klaxonne de voiture de son père et qui apportait le bruit était de Hank. Elle promit de rendre visite presque chaque week-end, soit son père la conduisit et préparait des sorties créant des organisations de choses à voir, à visiter -une fin de semaine du club Papa et ses filles- ou la mettant dans un train dont les billets feraient l'aller et le retour ou encore une autre possibilité de trajet : le bus -le car-. En abandonnant cette ville qui était Sunnydale, elle abandonna une partie des jeux et de l'amour complexe d'avec Buffy. Frances avait tant aimé les jours passés ensemble avec sa mère qui étaient inoubliables et la fillette n'avait plus de désir que de partir. Elle voulut souhaiter, rester avec sa sœur et sa mère, mais promit que la fin des vacances s'achèverait dans un autre tournant et restera en contact par téléphone vocal... Elle affichait un immense sourire dont la lumière passa sur son visage si beau surnaturel, elle regarda durant un long moment, assise à l'arrière, regardant disparaitre de sa vision le 1630 Revello Drive, loin de Joyce et de Buffy.
En un sens précis, on pourrait dire alors que le destin c'est le caractère et la destinée, la personne. Le destin exprime ce qui est accompli, ce sur quoi l'on ne peut revenir. Le destin ne s'oppose pas au libre arbitre, car le destin concerne l'avenir de l'homme et le libre arbitre, son présent. Ce destin est le fruit des choix faits dans le présent. Chaque personne a toujours la possibilité de modifier son destin grâce au libre arbitre. Le destin désigne une puissance supérieure à la volonté humaine qui régirait le cours des événements. L'existence du destin présuppose que l'histoire à venir d'un individu, d'une société, de l'humanité tout entière ou encore de l'univers serait déjà écrite et ne pourrait être modifiée par les humains. Ensemble, des évènements qui composent la vie d'un être humain (souvent considérés comme résultant de causes distinctes de sa volonté). D'une Puissance qui, selon certaines croyances, fixerait de façon irrévocable le cours des évènements.
Buffy avait enfin compris le sens d'être une Tueuse, de sauver le monde, d'avoir à combattre comme une vraie guerrière, à connaitre le sens d'être une élue, en assumant pleinement sa responsabilité, malgré le fait qu'elle soit effrayée et qu'elle ait peur et à d'autres instants, fuir, courir, partir se cacher de ce destin, des prophéties disant qu'elle serait battue, qu'elle perdrait et peut-être un jour, mourir. Mais cela, elle le comprit qu'à un quart de sa lutte et des batailles terminées, en sauvant sa famille, son destin, elle devrait l'accomplir et continuer à faire en sorte et croyant, espérant que son destin ne se termine pas aussi vite alors qu'elle fut si jeune. Sa destinée l'attend malgré qu'elle soit si jeune et qu'elle n'ait plus d'observateur. Elle devra faire en sorte de continuer, continuer jusqu'à devenir la plus vieille Tueuse qui n'ait jamais encore vécu, ni était inscrite dans les archives du Conseil des Observateurs. Elle devait le voir, le constater par elle-même, voir son pouvoir... Elle devrait avoir un nouvel observateur qui l'entrainerait, l'observerait et veillerait sur elle comme l'avait fait Merrick. Cette nouvelle vie à Sunnydale et dont Buffy avait appris constater les erreurs, les mauvais racontars, les histoires les plus effrayante et que cette ville était loin d'être tranquille et désespérée et comprit qu'il se passe de nombreux crimes, de nombreux démons et que la mutation de sa mère n'était le fait du hasard... Et qu'elle serait ici dans un seul but, devenant la tueuse officielle des vampires de cette ville et protéger les innocents et Buffy, ainsi, sachant qu'elle rencontrerait son futur observateur…. Buffy continuera d'elle-même, même en défiant sa mère de sortir en pleine nuit, de patrouiller tard dans l'obscurité, allant à l'encontre de sa promesse de ne plus fréquenter de mauvaises personnes.
Au commencement du début de comment vers la dernière des courses de fin des vacances scolaires d'été, il fallait attendre d'aller faire les courses de Joyce en compagnie de Buffy pour lui acheter les nombreuses fournitures de l'année, des cahiers, des crayons, des stylos, son stylo à plume, des feuilles ainsi qu'un trieur et des trousses et un dossier à rabat. Alors que Buffy partira au lycée de Sunnydale pour aller chercher, acheter ses nombreux manuels à la bibliothèque de l'école et elle était pour une fois dans toute sa vie, elle fut la toute première à acheter ses livres, alors qu'auparavant, Buffy était toujours dans son univers et était souvent en retard. Elle rencontra le bibliothécaire, un nouveau documentaliste qui se prénommait Rupert Giles. Il lui demanda s'il pouvait l'aider en répondant timidement alors que tandis que le principal Flutie l'avait surveillée en lui souriant pour l'encourager dans son monde de la sociabilisation... Buffy, elle, venait chercher des livres, parce qu'elle était nouvelle. Un journal était posé sur le comptoir et un article était entouré en rouge. Elle lit le titre, quand soudain le bibliothécaire, Rupert Giles, apparaît derrière elle. Il se signale à la jeune fille en lui donnant une petite tape sur l'épaule.
En la regardant de manière froide, suspicieux et intriguée avec espoir, il lui demanda en interrogation qui elle était en sachant qu'elle serait présentée et étant au courant qu'elle aurait un guide à cause de cette mort tragique qui était son collègue et ami, Merrick. Mlle Summers ? et il poursuivit : Je suis M. Giles, le bibliothécaire. On m'a prévenu de votre arrivée.
En croyant qu'elle était connue pour son renvoi d'Hemery et l'arrivée d'une jeune fille des personnes changeant d'établissement : Oh ! Bien. Alors, euh, j'aurais besoin de perspectives pour les notes de classes et pour rattraper son retard dans les cours de mathématiques, elle aurait besoin de révisions et de cours particuliers…
En l'interrompant, il déclara, sûr de lui, d'une voix basse, conspiration en discutant tranquillement. Une théorie du complot est un type de discours qui décrit un événement comme résultant pour l'essentiel de l'action planifiée et dissimulée d'un petit groupe, différent des acteurs apparents, projet concerté secrètement. La double vie, au contraire, s'apparente plus à un engagement réel. Les personnes qui vivent une double vie s'investissent pleinement dans chacun de leurs foyers. Cela peut impliquer des vacances, une participation financière et même parfois un mariage et des enfants. Je sais ce que vous voulez ! Et il sort alors un énorme bouquin intitulé Vampyr, livre qu'elle a déjà vu dans son cauchemar de la nuit passée.
Comment savez-vous qui je suis ? Qui vous a parlé de moi ? Comment m'avez-vous retrouvée ? Buffy était très méfiante, ne cherchant jamais à aggraver les choses, gardant sa vie, ses connaissances pour que personne ne soit au courant du monde de la nuit qui les enveloppait. Giles regarda autour de lui fermant les doubles portes de l'entrée de la bibliothèque en plaçant son index sur sa bouche, lui faisant signe de ne pas crier ou parler trop fort. C'était quelque chose de secret et l'entraina dans les rayons obscures de la pièce et il lui dit qu'elle est bien une tueuse de vampires et qu'elle était bien Buffy Summers, la dernière jeune fille que Merrick avait entrainée, formée avant que lui-même ne se suicide, ne meure plusieurs mois auparavant... Buffy fut bouleversée que cet homme qu'elle ne connaissait nullement et avant tout surtout depuis quelques minutes à présent lui rappelant Merrick, elle lui dit quelque chose de très clair qu'elle vivait dans cette ville avec sa mère et que surtout jamais elle voudra évoquer ses mois passés à fuir. Elle était une tueuse et elle l'acceptait et c'est ce qu'elle voulait, ce qu'elle désirait.
"Tu en est sûre ?"
Oui, elle en est sûre : J'en suis certaine !
Être une Tueuse est un honneur, tout le monde, tout un chacun savait et connaissait cette prophétie. Dans chaque génération, il y a une élue. Une fille dans le monde entier. Elle seule exercera la force et l'habileté nécessaires pour résister aux vampires, aux démons et aux forces des ténèbres pour arrêter la propagation de leur mal et la houle de leur nombre. Elle est la Tueuse... Et être une tueuse était loin des simples sucrés et roses comme dans des clairières où vivaient des licornes et des petits poneys dans un pays imaginaire de poupées, de rose, d'oursons à la vanille et à la fraise, mais c'était loin de la vérité, une tueuse était le titre donné à une femme humaine choisie par le destin dans la lignée de la Tueuse, dotée de pouvoirs mystiques d'un ancien démon.
Bien que connu principalement sous le nom de Tueuse de Vampires, la Tueuse n'agissait pas seulement contre les vampires, mais était une chasseuse des forces mystiques, maléfiques en général. Les horaires atypiques correspondent aux aménagements du temps de travail qui ne sont pas déroulés ou formés dans des horaires impossibles, irrégulières finissant des missions chaque nuit très tard la nuit, presque au petit matin.
Le travail, en horaires atypiques, engendre des risques pour la santé. Les mécanismes sont différents selon les horaires pratiqués. Par exemple, pour le travail de nuit, les effets sont liés à une désynchronisation de l'horloge biologique, associés à une dette de sommeil. Bien que moins étudiés, les autres horaires atypiques semblent avoir des effets liés à la dette de sommeil et à des problématiques de surcharge horaire et à des décalages des rythmes de vie. Mais cela était égal à Buffy, étant déjà habituée aux injustices et étant une hors-la-loi, ne respectant aucune heure de travail. Le travail flexible, selon des amplitudes de journée variables : à temps partiel, moins de six heures par jour, en horaires longs (plus de quarante heures par semaine), les journées fragmentées par des coupures de plusieurs heures, le travail sur appel ou astreintes... Cinq jours réguliers par semaine du lundi au vendredi, horaires compris entre plusieurs heures, avec deux jours de repos consécutifs hebdomadaires, qui s'effectuent dans l'intervalle d'une semaine.
Aucun salaire et Buffy ne parlerait pas de prendre des vacances, ce serait contre son destin et sa vie et ne pouvant se le permettre, cela était impossible car il y avait été possible sans incident ou des catastrophes pourraient survenir. Et une jeune femme comme Buffy, l'on devait sauver le monde encore et encore sans aucun remerciement et gratitude d la part d'autrui...
Et c'est ainsi que Buffy rencontra et devient l'apprentie de Rupert Giles et celui-ci est devenu son observateur. Lors de son déménagement et de son installation dans une maison à Sunnydale, il lui répéta que personne ne devait être au courant, gardant une identité secrète, une double vie, se faisant passer pour le bibliothécaire du lycée de l'école et avait essayé de convaincre de travailler main dans la main, en harmonie. Ensemble des principes qui règlent l'emploi et la combinaison des sons simultanés ; science des accords et des simultanéités des sons dans l'organisation en tandem l'un et l'autre. Ensemble, en commun, en accord, une Buffy réticente d'être et de devoir travailler avec un autre alors qu'elle était si attachée à Merrick, mais toujours aussi motivée, active, ambitieuse et une puissante guerrière et était si heureuse de pouvoir être redevenue à nouveau la Tueuse. Finalement, Buffy a cédé et a continué à tuer et à être entraînée par Giles. Et pourtant... Au tout début dans les premières semaines de travail et de collaboration avec lui, Giles avait à l'origine une opinion négative sur elle au début. Giles a d'abord eu une mauvaise impression générale de Buffy, en raison de sa réticence initiale à accepter et écouter les conseils et n'éprouvait pas le moindre remord de désobéissance, elle qui pensait par elle-même de soi-même en s'auto-évaluant, analytique, en faisant son auto-critique, son appel et à agir comme une adolescente apparemment vagabonde. Il l'a d'abord remarquée comme « volontaire et insolente » dans ses premières notes du journal d'observateur.
Vivre à l'étranger peut offrir de nouvelles opportunités, de nouveaux styles de vie, de nouvelles carrières et une nouvelle résolution. Cela vous donne la possibilité de laisser votre passé derrière vous et de vous réinventer. Pourquoi tu veux travailler à l'étranger ?
Le fait de découvrir une nouvelle culture, de nouveaux milieux professionnels, de nouvelles façons de voir les choses, est également très bénéfique car cela, vous permet d'être plus ouvert, plus compréhensif, et augmente vos capacités d'adaptation de très belle façon. En un an, vous maitriserez la langue parfaitement ! Quand l'on déménage à l'étranger, tout est différent. Avec un passeport, une carte visa et une carte de travail fournies par le Conseil des Observateurs après avoir quitté l'Angleterre, on lui avait trouvé, incombé, attribué un poste de bibliothécaire. À la demande du Conseil des Observateurs, Giles se rendit à Sunnydale, en Californie, et prit le poste de bibliothécaire à l'école secondaire locale. Là, il a rencontré la Tueuse, Buffy Summers, qu'il a commencé à instruire et à entraîner...
« Vous étiez un jeune imbécile qui se sentait immortel, faisait des choses remarquablement mal avisées, et cela coûtait la vie aux gens, hein ? Idiot sanglant. Cela ne vous disqualifie pas d'être un observateur. Cela vous rend parfaitement adapté pour encadrer un Slayer. Ce sont des jeunes filles à qui l'on donne un pouvoir énorme. Qui peut mieux s'identifier à eux ? Un homme comme votre père, qui a fait la bonne chose toute sa vie ? Ou est-ce que vous ? ... »
La leçon absolue qui se révéla extrêmement primordiale quand cela se réserve de l'importance importante qui avait pour but ultime de reconnaitre la présence d'un vampire avec des signatures, des picotements de grattage qui appartenaient à des vampires. Car chacun était différent, en particulier les maîtres vampires. Il ne faut pas qu'elle oublie cette important exercice, cette importante leçon mise en pratique un soir de pleine lune dans un des cimetières et se souvenir de ces détails chaque jour, chaque année qui passait, son entrainement, sa pratique et les sons des picotements seront à leur maximum et de plus en plus lourds, importants, vitaux et forts comme l'acier et le fer et il lui rappela les bases du commencement, le même sens que le rudiment, la base observée était la plus importante question de son examen. Giles lui dit d'apprendre à perfectionner ses compétences pour détecter les vampires n'importe où. Buffy utilise son sens de la mode pour choisir un vampire dans le club, évitant la lumière en toute circonstance, solitaire, chercher à attirer une potentielle victime innocente en dehors d'une foule. Son apparence et sa tenue vestimentaire inhabituelles surprennent, indisposent, ne laissent personne indifférent. Sa voix dérange souvent : trop aiguë, curieusement placée. Il possède l'art de couper le souffle, de bloquer toute contestation. Il sait s'imposer. Le vampire déteste l'ail, et on peut s'en servir pour l'empêcher d'approcher. L'eau bénite brûle les vampires comme de l'acide. Si l'on parvient à tuer un vampire, il peut ressusciter (c'est un mort-vivant). Pour éviter cela, il faut lui planter un pieu dans le cœur.
Cette nuit-là, en route vers sa première visite au Bronze, le lieu de rencontre amusant pour des adolescents et jeunes adultes, comme une boite de nuit à Sunnydale, Buffy est suivie par un homme mystérieux. Se sentant menacée, elle le renverse. Cependant, le bel étranger lui assure qu'il ne mord pas et elle le libère. Il l'avertit qu'elle vit sur une bouche de l'enfer qui est sur le point de s'ouvrir et que la moisson arrive. Il lui offre également un collier en croix d'argent dans une boîte. Il ne sera révélé que le lendemain que le nom de l'étranger est Angel. Lorsqu'il la retrouvera, en lui expliquant qu'il a été choisi pour guider Buffy et qu'il était en communication avec les oracles comme un messager qui l'aide à aider les innocents ; Whistler (un démon qui travaillait pour les pouvoirs en place) l'a sorti de la rue et a affirmé qu'il avait un plus grand destin pour lui-même. D'abord réticent et désintéressé, il lui permet bientôt de l'accompagner mais ne fait aucune promesse d'être un champion. Angel était motivé à commencer son chemin en tant que champion et à l'aider dans sa lutte contre le mal. Un an plus tard, il déménage à Sunnydale... Buffy, Elle, le décrit comme un homme sombre, magnifique, d'une manière ennuyeuse, mystérieuse... Il lui dit qu'elle avait des pouvoirs et un potentiel infini. Elle avait juste à tracer sa propre route de destin tout comme Angel avait commencé à le réaliser. Pour lui dire toute la vérité, Angel apprend à Buffy qu'il reçoit des informations des puissances supérieures pour arrêter à temps les problèmes et pour apporter la sérénité et le bien dans le monde. Ainsi, par ces informations, il l'aidait à affronter tous ces dangers plus facilement, en la prévenant, en l'écoutant, en l'informant pour qu'elle puisse agir de son côté seule ou presque. En effet, elle avait un allié juste à temps pour l'apprivoiser et qu'elle accepte ces informations qui lui seraient apprises, donner ses problèmes. Angel a été immédiatement captivé et émerveillé par Buffy, augmentant d'autant plus quand il a vu ses difficultés à faire ses devoirs ainsi que souffrir de la tension émotionnelle supplémentaire de la détérioration du mariage de ses parents. Ressentant une affection et une sympathie écrasantes pour elle -ceci il ne le révèlera pas à l'instant même, pour ne pas point l'effrayer, il le révélera quand leur relation deviendra plus intense et d'un côté plus romantique, après sa révélation qu'il fut un vampire-.
Merrick et Rupert Giles se ressemblaient en tout point avec beaucoup de points communs sous plusieurs aspects de règles et de similitude, de rareté. Se dit de plusieurs éléments ou personnes différentes présentant de nombreuses similitudes, qui se ressemblent en plusieurs points. Exemple : partageant les mêmes goûts pour la musique et la littérature, ces deux amis avaient de nombreux points communs. Et l'enseignement du combat de Kung-fu, arts martiaux chinois. Quel est le but du Kung Fu ? Quels sont les bienfaits du Kung Fu ? Ce sport a pour but de favoriser le développement physique et psychologique de l'enfant. Il développe et entretient la souplesse du pratiquant. Plus on commence tôt l'étude de cet art, plus on est sûr de conserver l'élasticité que l'adulte perd, par manque d'exercices. Pour en devenir une puissante Tueuse, une bonne guerrière de la ville et se protéger mais aussi protéger les innocents, les êtres humains faibles et fragiles et en partant en allant dans une autre directions un autre chemin qui ne suivait plus, avait cessé de défendre d'autres personnes, d'autres démons inoffensifs. Son but : défier dans un combat à mort le descendant d'une ancienne et voler disparaissant avec tout ce qu'elle put trouver, ne voulant plus faire partie de ces sectes ou parlant en son honneur. Le vainqueur sera gagné comme le Combattant Ultime. Celle-ci aurait été la grand-mère de Buffy, Lucina, la cheffe, dirigeante, cheffe porte-parole (d'un parti, d'un mouvement politique). Les leaders de l'opposition. Concurrent(e) qui est en tête (course, compétition). Le leadership, un terme emprunté à l'anglais, définit la capacité d'un individu à mener ou conduire d'autres individus ou organisations dans le but d'atteindre certains objectifs. On dira alors qu'un leader est quelqu'un qui est capable de guider, d'influencer et d'inspirer. Le vainqueur sera désigné comme le Combattant Ultime, c'est ce qui arriva, apporta comme un grand danger, un grand méchant aux guerrières dans une légende...
Et bons nombres d'aspects qui différaient comme Buffy qui a aimé, adoré son père de substitution et qui n'avait rien à voir avec Giles, pourtant dans le futur et des longs jours lointains, mais a développé un lien étroit et paternel avec Buffy. Giles est devenu le père que Buffy a toujours voulu (puisque le sien n'a jamais existé) et Buffy est devenue la fille qu'il n'a jamais eue. Cependant, Giles est devenu dans l'immensité très près a aimé de toutes ses forces Buffy d'elle et a pris le rôle de la figure paternelle dans sa vie, car son propre père Hank Summers n'était jamais là et fréquemment, Buffy faisait face à des situations de vie ou de mort avec lui. Leur lien étroit est devenu tel qu'il était même prêt à affronter le Maître ou d'autres vampires extrêmement dangereux, sachant qu'il mourrait probablement, juste pour s'assurer que Buffy n'avait pas à le faire, tout comme l'aurait fait et aurait agi Merrick, tout ceci arrivera dans un proche prochainement avenir...
Contrairement à son ancien observateur, Giles voulut que Buffy garde une autonomie de solitude, de discrétion en patrouillant seule comme une automate et faire des patrouilles, surveillant chaque cimetière, chaque recoin de pénombre dans l'obscurité, seule et à chaque retour et de fin de patrouille, en faisant des vérifications que Buffy apportait. Giles l'attendait à son appartement ou parfois à la bibliothèque de l'école, à la table de la cuisine devant une tasse de thé, comme à son habitude. Malgré toutes ces années qu'elle a été âgée de treize ans à être la Tueuse potentielle et enfin un titre d'élue, en ne la connaissant que depuis très peu de temps, mais il la laisserait, il continuerait jusqu'à la fin des temps à être son observateur, il exigeait toujours que Buffy lui fasse un compte-rendu de ses patrouilles chaque nuit. Certaines personnes pourraient trouver le procédé étouffant, mais Buffy savait que tout ceci n'est dicté que par l'inquiétude et les sentiments paternels qu'il a à son égard...
La plupart des formes de kung-fu sont aussi généralement plus complexes et plus longues que la plupart des formes de karaté. Pour la plupart des artistes martiaux, une forme de kung-fu aura un aspect beaucoup plus exotique, tandis qu'une forme de karaté sera plus directe en termes de techniques d'arts martiaux. En suivant ces cours d'arts martiaux, elle apprenait la sérénité, la gentillesse, la bonté pour le fait de partager avec les uns et les autres, apprenant la compassion de faire passer les autres avants soi, cela lui apporta la paix intérieure. Les arts martiaux devaient faire partie d'elle, pour que des jeunes filles deviennent de parfaites tueuses le moment venu et partaient au secours des plus faibles et des plus démunis qui n'avaient pas la chance d'avoir des abris pour se protéger des vampires.
Pour autant, l'objet des deux disciplines n'est pas le même : le Qi Gong est un art de santé (préservation et thérapie) alors que le TAI CHI est un art martial, donc susceptible d'être utilisé pour attaquer et se défendre. La plupart des formes de kung-fu sont aussi généralement plus complexes et plus longues que la plupart des formes de karaté. Pour la plupart des artistes martiaux, une forme de kung-fu aura un aspect beaucoup plus exotique, tandis qu'une forme de karaté sera plus directe en termes de techniques d'arts martiaux.
Depuis leur arrivée nouvellement venue et vivre à Sunnydale, Joyce était extrêmement heureuse. Ses formes d'insomnie, de crainte, d'inquiétude chronique avec de l'angoisse et un énervement à fleur de peau très vif à nu, étant constamment sur la défensive ou la crainte et dans la méfiance. Mais depuis ces jours sombres, Joyce s'était à nouveau développée, elle était comblée et bien plus heureuse, comblée, bienheureuse, contente de gaité, tout en étant radieuse, car elle sentit l'atmosphère des tensions qui avaient si longtemps, si graves et dures de la réalité fragile, fort et électrique au point d'être d'en mourir si l'on touchait un seul grand fils qui sorte de leur boitée de fils électriques et elle était fière de sa petite fille qui se transforma bien vite en devenant beaucoup plus mature, en étant enfermée l'on se développait et grandissait plus vite que l'on ne le pensait, surtout avec l'avis d'un point de vue d'adulte qui était aveugle. Un jour, Joyce appela sa fille qui était à l'étage en train d'écrire dans son journal ou jouer avec ses poupées Barbie qu'elle cachait minutieusement dans une boite en carton de chaussures au fond sous le lit. Elle entendit sa mère l'appeler en sortant de sa chambre pour se retrouver en marchant sur le seuil de l'escalier et demanda :
"Quoi ? Qu'est-ce qui se passe ? Il se passe quelque chose ? Il y a un problème ?" Buffy avait posé ses trois questions indiscrètes et qui, en réalité, étaient des questions pour garder le contrôle et permette de gagner du temps car en réalité Buffy craignait toujours que sa mère découvre ses secrets. Mais en la regardant bien, sa mère était toujours d'une grande élégance, accompagnée de son sourire enchanteur, brillant, heureux et éclatant d'un pur bonheur et simple... Joyce lui demanda de descendre car elle avait des choses à lui dire.
En s'asseyant sur le canapé, Joyce caressait les longs cheveux de Buffy avec ses doigts. Elle lui dit combien elle était heureuse et fière d'avoir une fille comme la sienne, en étant fière d'être sa mère car malgré tout ce qui s'était passé, les crises, les terribles erreurs à son encontre, elle a toujours gardé la tête hors de l'eau, de ne plus se noyer en restant stoïque, ferme malgré les calomnies. Elle sut garder son sang-froid. Elle lui dit qu'elle avait bien commencé et elle était certaine que Buffy se sociabilisait très bien, rencontrant de nouvelles personnes aux idées différentes, tous autant qu'ils sont et qu'elle s'était vite adaptée à la vie à Sunnydale sans la moindre trace de la prétendue maladie de sa fille. Elle ne reçut aucune vision maladive ou recommencerait à parler de monstres et qu'elle faisait d'immenses progrès pour déceler tout ce qui se passe dans sa tête. Buffy la rassura en lui disant qu'elle n'était plus malade selon elle et, bien entendu avec l'appui d'un médecin, qu'elle allait beaucoup mieux et étant sur le chemin de la guérison...
Buffy se confia à sa mère qu'il faut laisser tout ceci derrière elle. Toutes deux ne voulant plus chasser le passé et le laisser au bon endroit, sans fouiller et souhaiteraient une vie normale. Joyce était d'accord en regardant l'esprit de sa fille renfermé ses traits serrés, le visage blême et sans pensées à l'intérieur, préoccupée mais douce comme à chaque fois que l'une de ses files rencontrèrent le malheur, elle passa ses mains dans les cheveux de Buffy qui, il y a tout récemment, décida de changer de coiffure et de les coupa juste aux épaules mais les pointes dépassaient les épaules. Aux yeux de Joyce, cela, cette coiffure -tout en même temps- tout lui allait bien, chaque coiffure, chaque vêtement et chaussures lui allaient parfaitement... En changeant de sujet, Joyce dit à sa fille qu'elle comptait aller au marché le lendemain matin de très bonne heure pour acheter beaucoup de fruits car elle en avait besoin toutes les deux en n'importent quel fruit de toute sorte... Pour en faire une surprise à Buffy...
Le matin même de la veille ou Buffy et Joyce avait vraiment recommencé à parler de nouveau avec elles, qui avait-il de changer ? C'est la première fois que l'on parle véritablement sans ligne, sans jugement ni tabou ou secret. Joyce n'en savait pas, c'était la première fois. Elle partit au marché très tôt, car voulant éviter de très nombreuses fréquentations de foule de gens, de personnes, laissant ainsi Buffy à la maison voulant contacter sa petite sœur Frances, qui n'était pas très heureuse, en profitant, devant tout faire, car Addie était trop strict et elle ne voyait pas tout ce qu'elle voyait. C'était une petite qui ne savait rien faire, qui ne prenait pas d'initiatives et profitait, au lieu de travailler pour gagner sa nourriture et faisait exprès de casser, d'abimer ses propres affaires pour blâmer Frances, ensuite. Elle n'était jamais, jamais, jamais satisfaite de rien alors que Frances se donnait à maintes reprises pour se faire aimer, pour satisfaire l'une à l'autre, pour être aimée et acceptée par sa belle-mère et Hank... Joyce avait été mise au courant en appelant en cachette sa mère et dont elle était très dure, n'étant pas très heureuse, elle lui avait déjà donné de nombreuses gifles et des fessées, mais elle ne pouvait rien faire car Joyce Summers était à blâmer, à juger en lui faisant croire que tout était de sa faute et étant néfaste pour ses filles... Et elle appelait Joyce pour se plaindre de la méchante Addie qui lui fait tant de mal et elle la punissait, connaissant déjà la réponse.
En rentrant, alors que Buffy était encore sous le choc des révélations de sa petite sœur et elle était d'autant plus bouleversée que sa mère ne l'ait pas prévenue, mais tout ceci fut bien vite rapidement éloigné de ses souvenirs pour ne pas que ce soit si dur à sa mère de continuer à la blâmer en rajoutant de la méchanceté.
Joyce fut si heureuse en rentrant du marché, que Buffy ne voulut pas l'accabler, abattue, écrasée, affligée, atterrée ni la mettre devant le fait accompli. Sa mère avait réussi à s'approvisionner en fruits et en légumes en lui montrant les huit cageots de fraises en vente par un fermier d'agriculture de fruits et légumes. Joyce fit un petit sourire complice à Buffy avant de se mettre au travail en les lavant, les épluchant pour en faire de la confiture, mais bons nombres de ses fruits finissaient en règle, générale, dans la bouche...
Joyce et Buffy riaient ensemble de leurs propres blagues et de leur petit jardin secret, en discutant de la galerie d'art que Joyce venait d'ouvrir et bons nombres de personnes y étaient présentes un bon nombre ou très peu, selon le jour de la semaine et quant à Buffy, Joyce lui fit ces dernières recommandations pour la rentrée des classes, à veiller à ce qu'elle ait de bons résultats…
Croyez-vous en l'existence du soleil ? Même lorsqu'il ne brille pas... Croyez-vous en l'amour même lorsque vous n'éprouvez pas l'amour... Pour ma part, je crois en Dieu même lorsqu'il est silencieux...
Depuis plusieurs semaines, pour commencer de cela il y avait plusieurs semaines de l'aube de la rentrée au lycée de Sunnydale, Angel était venu au secours de Buffy plus d'une fois qu'il au pour compter devant ainsi son allié et son ami le plus dur, le plus fort et courageux dans son côté l'humble, en devenant ainsi des amis, Angel lui avait donné un rendez-vous vers presque plus de minuit dans un parc ou personne ne les verrait en se cachant dans la clairière, les troncs d'arbres. Les feuilles longues les protégeaient de l 'ombre et des gens qui pourraient les surprendre. Ils discutèrent beaucoup durant les nuits et ne révélant rien à personne de leurs conversations et en restant de leur connaissance d'amitié. Il voulut lui parlait en privé et seule à seule, car il a fait le vœu de la protéger alors qu'elle n'était même pas consciente d'être la Tueuse... Ils se revoient ensuite régulièrement et deviennent rapidement amis. Mais une question du quotidien les séparait. Buffy lui demanda pourquoi voulait-il en s'obstinant à la protéger et à la garder en sécurité. Bien sûr, elle lui en était très reconnaissante et fidèle aux paroles d'Angel il lui répéta encore qu'il craignait qu'elle ne meure si jeune, elle avait tant de choses à vivre avant de se sacrifier, comme une vie normale d'une adolescente et d'une future jeune femme. Ainsi, il lui révéla ensuite qu'il fut témoin de son appel à être devenir transformée en devenant une tueuse et ses pouvoirs naissant et qu'il avait déçu de s'en sortir lui-même, lui aussi, car, avant toute chose, en remontant dans ses origines, Angel était un vagabond sans abri ou vivre, ayant besoin en la voyant de commencer une nouvelle ère, un nouveau chemin, d'une nouvelle vie et il n'avait jamais été un homme bon, gentil et généreux et attentionné comme elle aimait lui fournir des caractérisations et des adjectifs pour le qualifier. Mais il avait changé à présent. Buffy semblait avoir une aversion pour lui au tout début quand ils avaient commencé à travaille en se donnant des informations bien nécessaires. Elle fut méfiante au début tandis qu'Angel était franc et mystérieux, mais était indéniablement attiré l'un par l'autre en même-temps.
Dans l'esprit de toute adolescente des beaux quartiers, alors qu'elle était une belle jeune fille populaire à l'école, innocente, naïve, une fille belle, douce, innocente, intelligente ; celle qui est tombée amoureuse du mauvais homme. La meilleure façon d'avoir l'air inaccessible est d'être en fait inaccessible. Vous êtes extraordinaire et vous méritez de rencontrer quelqu'un de spécial. Donnez de l'espace à la personne qui vous plait en passant du temps loin de votre téléphone et laissez-la prendre les décisions majeures. C'était un homme gentil aux yeux noirs et à ses cheveux noirs brillant d'ébène de l'écorce d'un arbre noir et sombre, avec un large front qui était si intelligeant. Malgré tout, Angel fait tout pour essayer de paraître humain comme tous les autres. Mais parfois la situation s'avère plus compliquée qu'il ne le croit. Angel est généralement décrit comme broyant du noir et têtu, mais aussi très gentil et compatissant. Buffy le décrit également comme étant charmant, poli, et déterminé. Il éblouit facilement les humaines avec sa beauté, son parfum et son corps. Avant toute autre chose, il met toujours l'humanité et le bien-être de Buffy en sécurité si ses tâches de tueuse devenaient trop pesantes et trop lourdes à porter et garder le secret pour elle, et fait tout ce qu'il peut pour la protéger de ce qu'il considère comme un danger. Edward est aussi un peu romantique dans l'âme...
Buffy ne se doutait jamais et véritable soupçonneuse de son existence de vampires. Ils étaient amis et Buffy commença à éprouver ses sentiments fort d'amitié, de passion, de gentillesse mystérieuse en disparaissant toujours dans l'ombre, dans l'obscurité noire de la nuit, le ciel bleu marine. Que pouvait-elle lui donner, lui apporter qu'il puisse se souvenir d'elle en le remerciant, lui donnant un don, n'importe quel cadeau sans paquet, sans rien vide elle lui apportait tout son cœur et amitié en d'autres termes aussi quelque chose de précieux, elle lui offrit son âme, cela ne serait jamais trop...
A partir des semaines ou rien de dangereux, de secrets et des menaces alors que tandis que de la bouche de l'enfer n'émanait aucune menace, aucune vibrations ou changement de recharger en se tenant tranquille, les plus dangereux, les plus puissants démons que le monde ne connaitra jamais étant en train de blesser les moyenne, le nombre de cent en restant aux aguets et se cachèrent, faisant beaucoup moins de victimes et de colère vengeresse. Buffy prit des vacances dans différentes soirées en compagnie d'Angel qu'il lui avait fournis des dates de rendez-vous, marchant au clair de lune dans un parc ou dans des quartiers peu festifs ou beaucoup, beaucoup moins animés, plusieurs démons inoffensifs partirent se cacher en prenant dans leurs bras, plusieurs de leurs enfants et claquant la porte et les verrous des immeubles. D'autres s'écriant que la Tueuse était arrivée et allait les tuer tous sans remord, sans se poser de questions si oui ou non le démon qu'elle tua était dangereux et inoffensif. Tout ceci paru si tellement étrange, malgré qu'elle eût appris au contact de Merrick à les distinguer et elle devait apprendre à tous les connaitre dans les moindres détails, leur vie, leur quotidien, leurs habitudes, leur caractère et leurs races... Buffy se tourna vers Angel d'un rapide coup d'œil en posant ses yeux sur sa silhouette ne comprenant pas pourquoi ils prenaient tous la fuite. Mais la réponse à ces questions était simple, elle était née pour détruire, anéantir toute vie démoniaque sur cette terre et eux, étaient des démons, ils n'avaient pas ou ne vivaient pas dans le même monde. Un fossé creusé un peu plus chaque jour qui passa…
Angel voulut que Buffy se repose, prenne soin d'elle et n'ait pas l'esprit dérangé ou torturé, bouleversée par ce qu'elle a vue, et donc à cause de ceux-ci et d'un manque de tact de permission, elle y déversa plusieurs larmes qui coulent sur ses joues en la prenant délicatement dans ses bras, les enroulant gentiment autour de son petit corps de cadre son visage pressée contre son torse dur, chaud et athlétique et bien sculpté. Il lui caressa doucement les cheveux lui murmure des non-sens et des petits riens à son oreille. Angel avait son visage collé contre ses cheveux et embrassa ses mèches blondes... Ils restèrent comme ceci de longs moments restants immobiles avant de lâcher prise. Il la conduisit vers un stand de marchand de glace, il lui pris et il la connaissait en cachette depuis longtemps en voulant rendre le sourire à la jeune fille, lui prenant ses parfums préférés, un cornet de glace au chocolat avec un peu de vanille à l'intérieur et il y eu ce qu'il voulait et désirait avec émotion et espoir, voir le sourire magnifique et éclatant de Buffy qui fut étonnée mais immensément heureuse qu'un homme, une jeune homme qu'elle connait à peine, retenait ce qu'elle lui disait et s'accrochait, prenant en compte ses besoins et les guérissant, lui mettant de la pommade, considérer, prendre en considération, tenir compte de, examiner un point, un aspect particulier dans l'évaluation d'une situation ou d'une question plus générale. Considérer tout ce qu'elle put aimer et être dans son cœur sa fragilité et sa jeunesse voulant la protéger du monde sombre qui les entoure…
Un autre jour où Angel l'avait invitée à manger au restaurant, la jeune fille qui avait pris un maximum de commandes qui étaient autorisées à prendre et dont fut nombreux les calories qu'il faudra qu'elle les brule durant des combats avec des vampires. Buffy leva les yeux vers Angel en lui demandant, étonnée, qu'il ne prenne rien, il trouvait toujours de bonnes excuses acceptables pour ne rien paraitre d'étrange ou de bizarre en cohérence. Par exemple, un jour, il lui dit qu'il avait était malade et donc pas réactif, ne recevant pour lui faire plaisir des tranches de pains grillés et dont elles n'étaient pas vraiment sa nourriture, mangeant très peu. Un autre jour, il lui dit que les moments les plus réactifs de la journée, c'était la nuit. Il détestait cela, la lumière lui brulait sa peau sensible et d'autre fois il l'aimait, la regardait quand elle mangeait ou grignotait quelque chose de particulièrement savoureux. Ou il était malade et pas apte à manger des portions de nourriture épaisses et grosses... En sortant du restaurant, Buffy prit la main d'Angel dans ses propres mains pour encercler, mélanger, croisant les doigts des autres et elle lui fit remarquer qu'il avait les mains glacées…
C'était un homme avec qui on discutait de très peu de choses. Il était silencieux et inventait toujours des excuses alors que la véritable raison était qu'Angel détestait la nourriture humaine, pas comme un vampire ou comme Spike, qui s'abaisserait à manger, à adorer en aimant de tout son cœur et de tout son être la nourriture humaine. Angel a toujours voulu être normal à nouveau, être un demi-vampire et l'autre moitié un humain, un homme même s'il se débattait avec son démon. Par moment, il reconnaissait à peine Buffy... Cette jeune fille qu'il avait connu à Los Angeles, avait bien grandit, s'était développée et il la prenait pour une jeune femme proche de l'âge adulte ; grandissant un peu ou à peine. Elle était grande et magnifique, alors qu'elle regardait autour de son bureau avec dérision. Habillée pour tuer dans une robe à motifs fleuris. Il pouvait apprécier une belle femme, même si Buffy fut la première femme qu'il aimât et désirait en l'adorant avait quinze ans alors qu'il prenait sa poitrine bien dotée et ses courbes galbées. Le démon en lui ronronnait à l'idée de l'avoir, alors même que l'âme le réprimandait pour cette pensée. À contrecœur….
Tout ceci sembla normal pour Buffy et dont son regard s'illumina, virevoltant, bougeant, s'extasia en parcourant le visage d'Angel. Buffy était en sécurité. Buffy se sentit devenir plus forte, plus mature. En devenant une femme, elle se sentit désirée, aimée et pensa comme une adulte.
Au fils du temps où Buffy avait appris à connaitre en Angel, et lui-même à la connaitre en se posant mutuellement des questions, Buffy répondait toujours avec beaucoup et pas mal de détails d'une réponses analytique caractérisation et profonde, philosophique en se plongeant dans sa vie de tout ce qu'elle a connu ou connaitrait maintenant alors que tandis que quant n'était-il d'Angel, il répond avec des phrases vaguement, confusément, douteusement, obscurément, sans donner beaucoup ou peu de d'informations ou connaissant qu'il avait vécu en répliquant, s'expliquant que c'était des souvenirs douloureux, trop lointains ou il n'en savait rien, alors que l'on pouvait dire qu'il n'avait rien, strictement rien en commun, c'était tout le contraire de ce que Buffy espérait allant au-delà car tout ceci connaissait et avez vécu des choses atroces, pas facile et traumatisantes qu'il souhaitait garder secrètes et surtout n'en parler même pas à sa meilleure amie. Buffy fera tout pour qu'il se livre à elle et se confi et deviendrait plus que cela... Elle lui dit qu'il était quelqu'un d'extraordinaire, de bon et de gentil. En lui, rien n'est sale ou sombre dans la vie et la vie était merveilleuse et non noire comme le penserait certaines personnes...
Angel l'aidait souvent en lui faisant des petits rien de la vie. Les petits riens qui changent tout, tout le bonheur des deux, en lui apportant un blouson en cuir pour la réchauffer, l'aidant à tuer des vampires nouveau-nés. Ces petits rien qui disent le grand amour, un petit rien, c'est de s'émouvoir d'un petit rien pour embellir le quotidien. Comme Angel qui offre à Buffy une jonquille et une tulipe, les fleurs préférées de Buffy, une tartelette au chocolat et en commandant la pizza préférée. Avec un tout petit rien, tout devient beau et grand. Un rien, seulement un petit rien, peut faire chaud au cœur. Vibrer d'un tout petit rien, fait parfois fleurir un désir sans faim. Un petit rien capable de répandre la joie autour de chacun est toujours grand. Un petit rien est un bonheur, l'aidant dans la vie des tâches quotidiennes de son destin de Tueuse.
Rupert Giles était un homme que l'on pouvait qualifier d'érudit, Giles avait une immense connaissance de la démonologie et du combat de Tueuse (y compris au moins une connaissance théorique du Jujitsu et de l'Aïkido, mais excellant dans l'art de l'escrime), principalement en raison de sa formation d'observateur. En tant qu'observateur, gardien et conseiller, bibliothécaire et figure générale de l'autorité / être un mentor/du père - le père sera classé dans une classification beaucoup plus tard tardivement au cours de cette nouvelle année scolaire. Giles a souvent donné des exposés, des discours de longs cours. Giles a souvent été dépeint comme un « homme de faire-valoir » et sa sensibilité « étouffante » d'Oxford a servi de contrepoint aux personnages et au cadre stéréotypés de la Californie du Sud. Selon Willow, il a fait un « bruit bizarre de cluck-cluck avec sa langue » quand il était en colère mais était « trop anglais pour dire quoi que ce soit ». Giles était bien connu pour porter des vêtements en tweed, à tel point que les membres du Scoobies-gang plaisantaient en disant que même ses couches étaient fabriquées à partir de ce matériau et il était en général connu pour plonger dans ses vieux livres comme si cela était vitale pour lui comme une source d'eau de vie, importante et primordiale, cela sans aller avec sans les quitter comme d'un vécu et de survie, qu'il était curieux en aimant faire constamment des recherches dans le but de changer le monde, dans un sens dans le monde faire évoluer les mentalités, en lisant avec avidité et d'un grand sérieux lui le livre sur le fléau d'Europe et en parcourant les images, il reconnut l'homme que Buffy lui avait présenté comme étant Angélus. Son porté, son regard et même lut-il une malédiction, un sortilège très puissant de magie noire pour le maudire d'une âme et la brutalisé avant de la violer et de la tuer. Pour venger sa mort, les Kalderash l'ont maudit avec le Rituel de restauration, qui a restauré son âme humaine, l'affliger ainsi d'une conscience et le condamnant à une éternité de remords pour les crimes et les atrocités qu'il avait commis alors qu'il était sans âme...
Horrifié par cette lecture, Giles composa le numéro téléphonique de Buffy pour exiger qu'elle vienne le voir et surtout lui parler avec urgence en ne se trompant pas et lui fit comprendre que c'était grave et que c'était primordial, une vie en dépendait dans d'autres corps...
Buffy arriva rapidement à l'appartement de son observateur et lui fit comprendre la gravité de la situation, tout en restant stoïque, il lui fit comprendre tout le sérieux de la situation, la mettant en garde. Buffy, par l'attitude de Giles, fut convaincue qu'il disait la vérité. Elle était très en colère contre Angel qui ne lui avait rien dit. Elle était méfiante et aussi furieuse, mélangée en fin de compte entre la peur, l'attachement et la crainte qu'il lui arrive maintenant. En plus de tout ceci, Angel n'a jamais pris la peine de lui révéler son existence, sa vraie nature... Elle était bouleversée par cette vérité et au bord des larmes, ne croyant absolument aucun de mot de ce que Giles lui avait révélé, elle était totalement dans le déni et l'abnégation. Et cela était un signe de faire attention, de rester sur ses gardes et sur sa défensive. Le nouveau semestre de la rentrée de fin août a commencé par une conférence passionnante de son observateur sur la façon dont nous devions mettre fin à la menace de Spike et Drusilla une fois pour toute. Il a ronronné encore et encore sur le devoir sacré ceci et l'Élu cela. Et il ne devait lui faire confiance sinon Angel risquerait de ne plus retenir ses pulsions ou son sang-froid et il la tuera et la détruira. Pourquoi Giles, et même Merrick, voulurent qu'elle connaisse toutes ces connaissances du clan Aurelius et du fléau de l'Europe et de l'humanité ? Buffy encore sous le choc de ses révélations qui lui valurent et voulaient lui faire faire quelque chose d'invraisemblable, d'inimaginable, ils voulurent l'effrayer en lui faisant comprendre par la peur et du rôle qu'Angel avait joué dans ses crimes que Giles voulut qu'elle les lise intensément avec d'énormes efforts, comme un travail en classe et sache qu'ils sont très dangereux. Elle pourrait ainsi ensuite rester de glace, de marbre et d'une guérison sans précédent et une vaillante et courageuse féroce guerrière. Mais d'une toute petite voix, bien déterminée à avoir le dernier mot depuis le commencement du début qu'il changeait pour elle, il n'était plus le même homme, il n'était plus celui qu'on décrivait dans les journaux d'observateurs et de livres d'historiens du Conseil...
En quittant l'appartement de Giles en claquant le plus fort qu'elle le pouvait la porte pour essayer dans la nuit de découvrir qu'il était un véritable vampire, un monstre sans cœur sans fois ni loi. Mais en vérité, Angel était un homme brisé, effondré, n'arrivant plus à se relever et réellement rompu et Buffy pouvait faire confiance à cet homme qui lui avait menti. Mais Angel lui répondra qu'il ne voulut pas l'effrayer, lui cachant ainsi son identité pour ne pas que l'on croit que l'on ne puisse pas lui faire confiance car tout ce qu'il lui aurait appris, n'aurait pas de valeur à leurs yeux. Bouleversée, Buffy demanda la permission de toucher le visage d'Angel et voulant voir dans ses yeux de son ami les traits démoniaques. Touchant les traits démoniaques passant ses doigts, les effleurant de l'ambre. Il est toujours vampirisé par sa colère, sa peine d'avoir était démasqué dans son malheur de malchance et fuite, mais étrangement dans ses sentiments, Buffy n'eut pas peur de le voir ainsi d'abord effrayée, quand son rythme cardiaque s'accéléra, mais ses gestes n'avaient rien d'innocent. Elle voulait tellement être son âme sœur et une petite amie, voulant lui montrer sa maturité, son corps sous chaque couche de vêtements, l'on pouvait voir ses formes précoces.
Elle devait rester elle-même avec ses convictions, ses principes de comment elle voyait le monde qu'elle avait appris à connaitre, appris à détester, à adorer, puis à aimer la vie. Elle semblait par moment toujours quelque fois le meilleur d'elle avec des valeurs qui lui choquaient qu'un homme pouvait être différent a appris à se repentir en reprenant sa vie en main et de s'en sortir d'une manière ou d'une autre de la plus belle des manières d'avoir une âme et chercher la rédemption, Angel a emménagé dans un appartement à Sunnydale, où il s'est mis sur un régime strict de sang de porc. Mais le malheur, la tristesse et le regret d'Angel fut quand Buffy n'était pas consciente de la nature vampirique d'Angel jusqu'à plusieurs semaines après leur première rencontre. Buffy a été choquée et dégoûtée de découvrir qu'il était, en fait, un vampire. Elle a cherché à le détruire malgré son désir pour lui, mais a découvert qu'il était unique en son genre pour posséder une âme. Elle s'est rendue compte qu'Angel était venu dans sa vie pour l'aider et a pu regarder au-delà de sa nature vampirique pour la plupart. Augmentant d'autant plus quand il a vu ses difficultés à faire ses devoirs ainsi que souffrir de la tension émotionnelle supplémentaire de la détérioration du mariage de ses parents. Ressentant une affection et une sympathie écrasantes pour elle, Angel était motivé à commencer son chemin en tant que champion et à l'aider dans sa lutte contre le mal. Lui qu'il l'avertissait le plus souvent d'un danger imminent, puis disparaissait, à son grand désarroi. Il avait trouvé un nouveau but dans sa vie. Buffy et Angel discuteraient durant des longs moments parfois même toute une nuit pour en connaitre davantage sur lui, elle essaya de nier qu'elle avait des sentiments romantiques pour lui...
Tout en marchant jusqu'à la porte de sa maison dans Revello Drive juste avant d'ouvrir la porte et de disparaitre, un moment de pure hésitation de confiance de faiblesse et belle, en murmurant qu'il pouvait lui aussi rentrer dans sa maison, tout en faisant cela, Buffy lui parla de sa petite sœur Frances, ignorant qu'il la connaissait depuis plusieurs années déjà... Il y faisait noir, elle fut interpellée par sa mère qui eut un choc profond quand elle vit le jeune homme derrière sa fille qui s'empresse de lui dire que c'était un jeune homme prénommé Angel qui était à l'université de Sunnydale et, pour gagner sa vie, il donnait des cours particuliers en histoire, rappelant à sa mère qu'elle adorait les différentes périodes historiques et étudiait la préhistoire. Joyce fut tout d'abord surprise par cette révélation qui n'était rien d'autre qu'une tromperie ou une manipulation, mais la jeune mère qu'elle était heureuse que sa fille reçoive du soutien dans ses études et surtout, surtout qu'elle est prise une initiative pour continuer ses études, ses devoirs dans chaque matière. Elle n'était pas totalement, complétement rassurée car il y avait dans cet homme quelque chose de dangereux, mystérieux et sombre qui ne la rassure guère. Elle se secoua la tête en se répétant qu'elle était trop protectrice et trop sur le dos de sa fille et elle s'imagine être jalousée... Joyce les laissa dans le salon, une fois qu'elle fut sûre que sa mère n'était plus à portée de voix et non cachée derrière une porte pour entendre leur conversation. Buffy put respirer et se retourna vers Angel en souriant et le remerciât de n'avoir rien révélé ou dit une chose maladroite et irréparable...
A l'approche de la fin de l'été, Frances Summers, la plus petite des sœurs et de la famille Summers, arriva à Sunnydale par le train pour passer les deux dernières semaines des vacances auprès de Joyce et de Buffy, ce qui était, ne vous en déplaise, une bonne nouvelle, une pause des crises de nerfs de Addie et de sa négative et ses reproches et loin de ses gifles et fessées lorsque son père l'avait accompagnée à la gare puis l'aidant à rentrer dans le train et trouver une bonne place. Frances fut anéantie et bien triste et inconsolable, perdue, perturbée que sa famille qu'elle avait connue pendant toute sa vie, soit si éloignée, soit si éparpillée dans tous les sens du terme et séparée et déchirée. Elle aurait tant voulu que ce soit arrangé ou réalisé autrement dans sa tête et son esprit d'enfant. Elle n'imaginait pas qu'il y avait des choses qui s'arrêtaient et se séparaient pour éviter qu'un catalyseur de bombe n'explose si l'on ne faisait pas si bien attention dans la mentalité d'une enfant et dont celle de Frances, y compris, cru voir des améliorations mais c'était un leurre. Mais, quoi qu'il en soit, Frances méritait du repos et de vraies vacances ainsi se plonger, s'enfoncer dans la vie est belle de Joyce et de Buffy. Elle arriva à Sunnydale en début d'après-midi. Joyce était venue récupérer sa fille à la gare qui ne fut pas très loin de la gare routière des bus parcourant l'Etat de la Californie... Mais Frances ne sera pas seule très longtemps et pouvait, avec Buffy qui était juste un peu trop grande, et sa mère ne pouvant pas jouer avec elle tous les jours, pendant son séjour. Juste avant de partir, Frances avait téléphoné, contacté Dawn Rosenberg, lui confirmant qu'elle serait ici et pourrait passer la fin de l'été ensemble... Le 1630 Revello Drive était resté comme il était et n'avait pas bougé. Joyce conduisit Frances jusqu'à leur résidence. En sortant de la voiture, ses yeux regardèrent partout autour d'elle, Buffy était sortie pour les accueillir au même instant qui se produisit en observant sa sœur, courant vers elle, était du bonheur, elles s'enlacèrent. Buffy passa ses mains dans les cheveux de sa petite sœur alors que Frances s'était pressée contre le corps tout entier pour ressentir à nouveau que tout ceci était bien réel et qu'elle était rentrée à la maison de Buffy, posant ses mains contre ses omoplates.
Frances pris ses bagages en étant aidée par Joyce et Buffy qui les posèrent devant l'entrée de la porte du vestibule. Elle pausa sa valise. En relevant la tête, sa mère remarqua des larmes qui brillaient dans les yeux de sa plus jeune fille. Elle se précipita dans les bras de sa mère qui ouvrit ses bras avec une Frances tremblotante et secouée de larmes et de chagrin, racontant tout ce qui s'était passée avec sa belle-mère et dont Hank ne connaissait pas la vérité sur derrière les portes devant les yeux charmeuses, son air d'innocente, de gaité, de bonté et de belle, faisant semblant d'être une victime et surtout se mélangeant, se plaignant que c'était une enfant difficile à vivre et à élever et Frances était très insolente, braquée, qui harcelait les autres, égoïste et méchante, haïssant, étant hautaine avec Addie…
« Oh, maman si tu savais combien c'était horrible que j'aie hâte que la rentrée ne commence, je n'aurais plus à la supporter tous les jours en journée. » chuchota Frances alors Buffy avait entrainée et aidée sa mère à s'assoir dans le canapée et les fauteuils…
Frances passa ensuite, ne voulant clairement pas parler de tout ce qui s'était passé, au contraire de Joyce et de Buffy qui voulaient connaitre plus de ce qui se passait pour lui venir en aide et peut-être que Hank la ferait venir plus tôt ici à Sunnydale, mais l'enfant ne voulait plus en entendre parler et demanda à la place si tout allait bien et si Buffy n'avait plus le mal du pays ou de la ville en faisant référence à ce qu'il y a peu de temps, Buffy n'avait pas été à son aise ici. Mais d'après les dires de Buffy, en remarquant sa gaité, sa joie, sa confiance en elle-même retrouvée, être bien dans son corps et surtout épanouie avant même d'avoir connu d'autres adolescents ou adolescentes de son âge, sauf certains camarades, de la petite Dawn Rosenberg. Frances y vit une lueur d'espoir.
Hank et Joyce avait formé une alliance, un compromis car étant tellement attachée à sa fille cadette, Hank ne voulut plus laisser partir Frances et voulut la garder auprès de lui et loin de toutes ces bizarreries, magie, derrière lui, comme un passé douloureux, froid et amer, se firent un marché et voulant équilibrer les choses, les égalisant sans plus, pour éviter un total traumatisme à Frances. Joyce, en partant vivre en dehors de la ville avec Buffy et que si tout se passait bien, s'habituerait et serait heureuse de son nouveau logement, quand tout irait bien au bout d'une année ou même presque avant que l'année complète ne soit écoulée, si Buffy était sage, obéissante, disciplinée et réagissant comme une adulte responsable et soit autonome et responsable de ses actes ne comptant plus sur leur aide pour lui venir au secours, alors là, dès à présent, Frances sera envoyée vivre chez sa mère et sa sœur... Et elle pourra revenir et son père la laisserait s''envoler vers le ciel. Mais c'était impossible, tout arrivait trop rapidement, à une vitesse hors norme, trop vite, rapidement hélas, la réponse de Joyce Summers fut négative. C'était beaucoup trop tôt pour vraiment faire un bilan de santé pour Buffy et de son comportement et ainsi surtout Joyce avait déjà inscrite Buffy dans un lycée local de Sunnydale et que Frances ne devrait pas quitter son école en plein cursus scolaire élémentaire et n'avait pas envie qu'elle soit déstabilisée ou en abandonnant ses petits camarades très rapidement en pleine école qu'elle connaissait depuis le cours élémentaire -cours préparatoire- donc toute l'histoire en résumée, cela lui était impossible et si Joyce tentait quoi que ce soit, elle pourrait perdre la garde de sa fille ainée, Buffy, mais pourtant les portes pourraient se réouvrir très bientôt. Il ne fallait pas qu'elle perde espoir pour l'instant, il n'y avait qu'une seule solution et briser, bruler mais encore néanmoins impossible, il y aurait trop de changements, plus aucun repère, chamboulement, ébranlement, écart, échange. Frances devra se contenter de visite régulière et des week-end, fin de semaines entre leur club de Papa et filles entre Hank, Buffy et Frances comme autrefois…
A la plus grande crainte d'une blessure par couteau, bouleversante de Frances, la jeune fille commençait à craindre, à croire et comprendre que peut-être dans le plus grand final, sa mère et sa sœur ne l'aimaient réellement pas. Frances et sa mère étaient très proches, tout comme Buffy. Cependant, Frances considérait Buffy comme la préférée de sa mère... Frances a exclu sa mère et sa sœur, convaincue qu'elles ne l'aimaient pas vraiment. Cependant, cela s'est finalement dissipé lorsque sa famille lui a dit le contraire. Frances a souffert de problèmes d'abandon modérés. En commençant à croire, à craindre que sa famille ne l'aimât plus et était un fardeau, bien que Buffy, qui avait initialement considéré Frances comme un fardeau posé sur ses épaules contre sa volonté, ait réussi à lui assurer que, peu importe comment elle est née, comment elle était plus importante l'une que l'autre, elles étaient de vraies sœurs.
Frances pourra passer des vacances tranquilles sans s'auto-détruire et paisiblement apaisant ainsi les nombreuses tensions avant la rentrée des classes...
Joyce avait convenue autorisée en encourageant que lorsque Dawn se sentait seule avait besoin de parler, de s'évader du reste du monde, certes, le soleil dans différents terrains de jeux ne risquait rien, ce qui inquiétait le plus Joyce, est encore la Joyce avait remarqué et remit en lumière qu'elle s'inquiétait et aimait cette enfant comme si c'était la sienne, la chérissant, l'aimant beaucoup plus que ce que sa mère n'avait jamais faite toujours en voyage d'affaires aux quatre coins des Etats-Unis, dans un but de travail et Sheila Rosenberg, d'un ton extrêmement dur, hautain, méprisant et d'un accent particulièrement bourgeois, qu'elle s'occupaient de ses enfants de la meilleure façon qui soit, et s'était très ennuyée toute seule, toujours dans son coin, en train de vivre dans l'imaginaire, se construire un jardin secret et même tout un univers, ce qui indiquait que c'était très dangereux, car la petite fille voudrait sans arrêt être proche du monde de ses rêves et ne plus vouloir y en sortir... C'était ainsi que pour cette raison, Joyce était très ferme en encourageant de lui rendre visite à elle et sa fille Buffy et bien entendu son amie, Frances Summers...
Et tout ceci se fit naturellement et en pouvant voir en cachette que Dawn s'ouvrait peu à peu à son monde et examinait, évaluant la progression de Dawn dans le social et ses conséquences furent les bienvenues et remarquablement beau et des félicitations s'imposaient en y insistant. Dawn venait régulièrement au grand dam de Buffy qui, elle le savait, aimait observer, fouillant sans vergogne dans les affaires de la jeune fille qui lui répéta un maximum de fois qu'elle n'avait pas le droit ni l'autorisation de ne pas rentrer dans sa chambre et lui répéta qu'elle n'était pas sa sœur et que sa place n'était pas dans sa chambre et l'encouragea plutôt à vivre avec Joyce...
Un beau jour, alors que Dawn avait été prévenue de l'arrivée de Frances pour qu'elle puisse passer les derniers moments des vacances d'été à Sunnydale, elle le sut, elle l'apprit grâce à Joyce qui lui avait téléphoné... En claquant la porte de sa maison qui eut pour résultat qu'Ira lui criât fermement de ne plus arrêter de claquer les portes, la voix de Willow qui la réprimanda gentiment, pendant que Sheila la menace d'être punie si elle continuait -qui selon Willow, Dawn avait un côté tellement paumée, étrange, ne se sent pas qualifiée pour répondre à cela, mais ce qu'elle sait, c'est que Dawn, ce n'est pas seulement la plus jeune du trio, c'est un bébé et c'est peut-être de cela dont la mère de Buffy a besoin en ce moment.
En arrivant, en courant près du perron, frappant pour annoncer son arrivée, Dawn dit poliment un simple bonjour à Madame Summers et pour ensuite lui demander si Frances était là... Elle obtenus une réponse positive. Elle courut entre deux marches jusqu'à l'étage et Frances reçut la surprise de revoir Dawn. Frances fit une confidence à son amie, lui disant qu'elle aimait fouiller dans les affaires de sa grande sœur, car tout chez elle était beau et voulut imiter le plus possible la grâce de Buffy et elle se défendit en répétant à sa sœur qui lui dit qu'elle n'a aucun droit ni ne veut, ne peut que Buffy, aussi, empreinte chacune de ses affaires et la pauvre plus petite des Summers ne voulait pas l'admettre...
Durant la visite de Dawn, Buffy fut en droit et ayant la responsabilité de surveiller les filles, qui lui évitait d'avoir des problèmes, de se blesser ou se faire kidnapper et surtout réglant un conflit entre les deux filles... Tout ceci lui était incombée parce qu'elle adorait veiller, surveiller les plus petits...
Un peu plus tard, Buffy, à sa plus grande colère, vit sa propre sœur et Dawn dans sa chambre et voit une fille brune en train de fouiller ses affaires. Avec une expression de mécontentement et d'ennui, elle leur demanda :
"Qu'est-ce que vous faites encore ici, encore là ? Qu'est-ce que tu *fais* là ?" dit-elle en posant ses yeux sur sa sœur plus âgée du duo et donc responsable. La jeune fille aux cheveux blonds et la plus petite fille aux cheveux bruns se retournèrent l'air surpris. Buffy ne semble pas être contente de les voir là. Après être montée dans sa chambre pour un vernissage, le premier depuis son arrivée dans cette ville, elle devait être parfaite, élégante, souriante et aimant les gens et surtout l'étendue du talent d'artiste qu'elle avait découvert plusieurs peintures ou dessins, il y avait tellement en décidant de les honorer et leur accorder la chance d'être connue dans cette galerie. Buffy ? Puisque tu sors, emmènes dont ta sœur et Dawn. Les deux filles regardent vers la porte, ennuyées, effrayées, scandalisées toute en criant à l'unisson "Maman !... Mme Summers."
« Allons les filles ! Pas de protestations » dit Joyce. Finalement, Buffy qui était aussi contre cette idée, emmena sa sœur et son amie Dawn se promener tout en les surveillant à son plus grand désarroi ne supportant plus de d'être la plus grande la plus âgée. En surveillant gardant deux enfants cela l'ennuyer.
Au final, dans les prochains jours, les deux jeunes filles restèrent sous surveillance du téléphone, ne l'utilisant qu'en cas d'extrême danger ou au moindre problème...
Les deux enfants jouèrent ensemble tous les jours, que ce soit le matin ou l'après-midi, elles étaient ennuyées de faire une différence, plus la même tension jusqu'au départ de la petite sœur Summers...
la toute dernière fois où Buffy pourra sortir tard le soir environ deux jours après la rentrée, car sa mère l'avait grondée et punie en lui rappelant les règles de la maison. Etudier, relire ses cours, faire ses devoirs d'exercices, ensuite se détendre et s'amuser à sortir, danser comme tout jeunes gens et jeunes adultes et l'avait menacée de mettre en vigueur ses options d'étudiant en réglant, ayant conscience de ses obligations et ses priorités. Buffy promit à sa mère de faire comme elle l'a toujours dit et apprit à obéir, dans la chambre de Buffy, celle-ci s'apprête à sortir, mais hésite sur les habits qu'elle va porter. Elle prend donc deux robes sur son lit et se regarde dans le miroir. Entre ses mains, son vêtement contre son corps. Avec une robe noire, façon cuir, elle essaya d'improviser, d'imaginer une rencontre avec des garçon sympas et jolis garçons, "Salut, tu m'invites à boire un verre ?" en échangeant de vêtement. Avec une robe bleue, façon vieille fille : "Bonsoir, tu veux que je te prête « Citizen Kane » ?", en marmonnant totalement à cours d'idées de sortie, Buffy renonça aux rencontres romantiques ou amoureuses "Je savais si bien jouer à ce jeu !"
Joyce entre dans la pièce pour surtout dire à Buffy de faire attention à elle, surtout en présence de garçons adolescents et il était favorable à une robe ou des vêtements de tous les jours pour essayer de ne pas attirer l'attention sur elle. Elle opta pour une tenue beaucoup plus simple, plus soft, douce et discrète, en jean et en t-shirt et elle devait rejoindre Giles à l'écart des autres au bronze pour discuter et faire le point du travail de la Tueuse et surtout faire un nouveau point des nouvelles exigences et obligations à remettre dans l'ordre à cause de l'école et ils devront s'entrainer beaucoup plus longtemps à chaque rendez-vous, chaque séance et exercice, rigueur et entrainement pour devenir plus forte, plus affirmée, plus expérimentée en mettant ses compétences en valeur et en avant...
Buffy apprit à connaitre une nouvelle camarade de classe, Willow Rosenberg, qui s'avérait, après l'avoir découvert, et appris qu'elle était la sœur ainée de Dawn. Dans ses premières années au lycée, Willow était une fille nerveuse et angoissée et dont le corps était mal dans sa peau et tiraillée, timide et naïve, avec un sens de l'humour léger et risqué. Membre des clubs de mathématiques, de sciences et d'informatique, elle était la personne de référence pour l'aide au tutorat... Après avoir vu Willow être insultée par Cordélia, Buffy s'est rapidement approchée de Willow en tant qu'amie, malgré le fait que Willow ait répondu avec peur en la voyant avec Cordélia. Les deux se sont rencontrées au Bronze et Buffy a encouragé Willow à saisir sa journée, alors elle est sortie avec un garçon qu'elle venait de rencontrer, Thomas, qui était en fait un vampire... Buffy a sauvé Willow de l'Ordre d'Aurelius, amenant Willow et Alex à découvrir l'identité secrète de Buffy en tant que Tueuse, mais leur ami Jesse McNally n'a pas survécu. Willow est rapidement devenue la meilleure amie de Buffy et la révélation du surnaturel a conduit Willow à se consacrer, à aider son amie dans la bataille contre le mal… Ainsi que Alex...
Tu es la Tueuse et nous sommes tes Tueurs-en-herbe ! Ainsi que nous trois avons été ensemble depuis le début. Nous partions toujours en patrouilles et faisions les recherches de démons avec elle.
Peut-être avec un semblant de doute, de crainte, de déception, d'hésitation, d'incertitude et enfin de perplexité, de minuscule, taches de nourriture, d'encres minuscule, ou des taches assez grandes visibles qui fut la toute première fois qui était sans aucun doute ou peut être peu importe des incertitudes, Buffy fut très aimante avec Dawn et n'était pas fâchée ou furieuse contre la petite fille et fut heureuse de la voir, de la retrouver. Elle n'attendait pas avec impatience que Dawn se dénonce ou fut en attente de son procès et l'accusant sans cesse de tous les maux de la punition ou le sort qu'elle mérite. Pour une seule fois, les deux filles s'entendirent à ravir… Et ce fut pour Buffy un choc terrible et une colère, une déception bien grande le fait d'être déçue. Ce qui déçoit. Ce fut une amère, une cruelle déception de désappointement alors qu'elle aurait pu se faire des désillusions pour imaginer que Dawn et Willow ne furent pas de la même famille et pourtant en le souhaitant, suppliant intérieurement des longues prières fortes à Dieu craignant qu'elles lui en déplaisent. Mais, Alors que Buffy faisait sa tête de boudin, elle ne put s'empêcher de sourire à Dawn. Quand elle la vit sourire, Dawn rebondit de haut en bas autour de Buffy, qui était pour elle une héroïne et une grande sœur formidable et sérieuse, convenable et la meilleure de toute. Dawn ramenait Buffy chez ses grands-parents, comme si elle était son animal de compagnie, faisant qu'elle voulut la garder auprès d'elle et ne souhaitait pas que Buffy s'en aille ou alors à ses conditions. Elle viendrait vivre chez Joyce et Buffy Summers, elle voudrait sa petite sœur.
Elles apprirent à se connaitre bien d'avantage et sérieusement….
Buffy était si heureuse et sereine que Dawn ne crée pas de problème, ne cherche pas à en savoir plus ou moins et ne se doutant de rien sur la vie légendaire des Tueuses, ne cherchant aucunement à savoir ce qui se passait dans la vie de Willow et de sa meilleure amie, juste qu'elle était énervée d'être exclue de certaines des conversations de Buffy avec Alex et Willow. Elle ne faisait plus de crises de colère ou voulant être le centre du monde. Elle est surtout égoïste et maintenant que ses grands-parents avaient tout le loisir, l'énergie et un travail à temps plein de s'occuper de leurs trois petites filles, elle est tout le temps avec sa grand-mère ou Willow et il faut que parfois, par moment, Willow devait se plier aux arguments et faire absolument toutes les corvées en plus des siennes et celles de Dawn. Elles rigolent comme des gamines, les deux sœurs. La personnalité, son temps, ses forces et le fait de vivre partiellement avec Willow, ses nerfs en compatissaient et voulait être, mais ne savait pas pourquoi elle n'a pas le droit d'être la petite chipie ou la petite citrouille ou Melle petite muffins elle aussi ?
Mais un jour, en signe de démonstration de force et du pouvoir, en voulant montrer qu'elle était la plus intelligente, la mieux armée d'être protégée de manière invisible comme une barrière coupant l'arrivée non désirée et fracassantes des vampires. Mais un jour, pourtant, alors qu'Alex et Willow lui dire non, la suppliaient de ne pas faire cela devant un vampire, maitre-vampires depuis plusieurs siècles, l'une des membres du fléau de l'Europe et la sire d'Angel : "Dawn ne fait pas ça non !" après que Dawn lui eut suggéré de rentrer, et elle peut entrer quand elle veut dans la maison. Plus tard, Willow fit la confession qu'elle a eu une invitation officielle à rentrer dans sa maison à cause de Dawn. En sachant cela, Buffy fut furieuse et en colère en forçant les sourcils, tandis que Giles retira ses lunettes pour les polir dans l'air de colère en cherchant à vouloir voir cette enfant qui a eu l'impudence de commettre quelque chose d'aussi grave, sérieux et imprudent... C'était un accident. Elle ne l'a pas fait exprès.
" Eh bien, elle n'avait qu'à faire exprès de se taire !" s'écria Buffy, maintenant sa meilleure amie était en danger par la faute d'une enfant de huit ans. Alex, et surtout Willow, lui dit, lui apportant la preuve : Tu peux me croire Buffy, elle le regrette de tout son cœur. C'est une enfant, mais Buffy répliqua, en lui coupant la parole, qu'elle en avait marre que l'on lui répète cela sans arrêt. Non, c'est juste une question de bon sens, mais même cela, ce serait trop demandé à Dawn, bien sûr. Non il faut l'épargner, la protéger, qu'elle n'affronte surtout pas le monde réel et vous savez quoi ? On ne lui rend pas service. On en fait une charmante petite idiote totalement inconsciente, alors qu'à son âge, certains enfants étaient plus matures. Il va falloir qu'elle apprenne à être plus méfiante. Buffy ne peut pas être là pour la protéger vingt-quatre heures sur vingt-quatre, même si elle le voulait, il faudra être uni et apprendre rapidement les bases d'une vie où il y a un monde mystique. Elle vit dans une ville qui n'était plus, en ces moments même, dans la partie historique de la ville où il y avait un bon nombre de massacres, de meurtres, et de tueries par des vampires et Dawn vit dans cette maison depuis huit années consécutive. C'était soit son ignorance, soit sa naïveté et son innocence qui rentraient, comblaient le vide et ne répondaient pas au danger. Et Buffy sera là pour lui enseigner, ainsi que Giles, les choses graves de la vie. Dawn était encore trop jeune pour faire partit de la bande.
Dawn était bouleversée, tristement secouée par les propos et la dure réalité découverte de Buffy. Elle se permet d'intervenir dans son éducation, alors que Buffy ne la connait qu'à peine. Elle sortit sur le Péron du porche en s'asseyant sur la première marche. Elle observa l'horizon et le quartier tout entier beigner de lumière, éclairé des lampadaires de la lumière superficielle, artificielle reçue directement d'une centrale nucléaire. Tout était si beau. Un monde de liberté, un monde qui était le sien par-delà les barrières les maisons et les maitres des animaux. Le monde est à elle, tandis que le reste de l'univers n'avait plus rien à apporter à Dawn voulant s'enfuir... Elle pressa ses mains, la paume de ses mains contre ses yeux si bouleversés, si tendus, un tel moment est indescriptible, sans mots, il n'y avait plus d'explication à fournir, aucun mot ne pourrait être dit qui qualifierait et mettre en voyage, en mot d'explication et qui pourrait être entendu. Elle y resta comme cela, l'esprit, les yeux voyageant au loin quand une voix l'appela. Il s'agissait de cette magnifique femme au long cheveux blonds, d'une femme fatale. Darla attirait toujours ses victimes en prétendant être une jeune femme timide et innocente, ajoutant même un uniforme d'écolière à son acte. Pendant des semaines, Darla s'est couchée tandis que plusieurs membres de l'Ordre – dont Zachary – sont tombés aux mains de Buffy. Elle a proposé de tuer la Tueuse en offrande. Comprenant que la force brute ne suffirait pas à tuer Buffy, Darla a conçu un plan pour la retourner contre Angel, et forcer l'un à tuer l'autre, bien qu'elle espérât qu'Angel tuerait Buffy en légitime défense et, après avoir commis le meurtre, une fois de plus, retournerait à ses côtés. Darla faisant semblant d'être une camarade d'école de Buffy et aussi son amie comme ruse pour attirer Dawn et anéantir, blessant, réduisant en cendre la confiance de l'enfant. Ainsi enlevée, comme un kidnapping pour la conduire dans un lieu secret avec ses minions, et voulant l'offrir à son sire et Angel, Dawn ne put crier car tout est allé si extrêmement vite...
Angel sortit de l'ombre où il était, ne pouvant venir en aide à cette petite fille, pour ce faire connaitre en laissant aider à laisser agir Buffy, il l'avertissait le plus souvent d'un danger imminent, puis disparaissait, à son grand désarroi, lui promettant qu'il serait là pour l'aider à vaincre les vampires qui étaient responsables de l'enlèvement de Dawn, la sœur de Willow.
Dawn fut retenue par des chaines de fer rouillées en étant humiliée par cette femme qui lui voulait tant de mal. En règle générale les kidnappeurs, dans ces cas, le ravisseur désire exercer un pouvoir ou une domination sur un enfant, souvent pour se venger, suite à un tort qui lui aurait été causé, lui expliquant, sans s'arrêter, ses plaintes. Et cela, ce n'est pas juste parce que, si ce groupe existe, c'est grâce à moi et ils me traitent comme si je n'avais aucune importance. Est-ce que tu te rends compte de l'effet que ça fait ? Dawn tremblait, en pleurs, suppliant d'être délivrée. Alors qu'elle était terrifiée, elle lui dit qu'elle a compris et croit connaitre tout ce que cela faisait…
Mes minons ne se rendent pas compte du prix de mes responsabilités. C'est moi qui prends toutes les décisions difficiles et c'est difficile... Enfin, d'une voix calme, dangereuse et prédatrice, Darla continua. Comment savoir si c'est un kidnappeur ? Si tu voies une voiture rouler lentement dans la rue et s'arrêter à côté d'un enfant, sache qu'il s'agit d'un signe d'avertissement. Et si un conducteur demande son chemin à un enfant ou l'invite à monter dans la voiture, il s'agit certainement d'un ravisseur. En guise de pénitence, les trois ont offert leur vie au Maître, et il a permis à Darla de les dépoussiérer. Une tâche qu'elle a volontiers accomplie pour ne plus s'encombrer de serviteurs, d'esclaves et de minions... Et puis, il y eu du bruit, des grands fraquas, des témoins qui furent tués, de la poussière sur le sol, des bruits de portes fracassées, détruites. Pendant le combat, Angel a révélé involontairement son visage de vampire. Bien plus tard, alors qu'elle était énervée, furieuse, fulminent de colère, bien auparavant, Buffy, bien qu'il se soit enfui, était au courant de son secret et a cherché à le tuer après qu'elle ait cru à tort qu'il avait attaqué Dawn. Angel s'est battu avec Darla et a réussi à la tuer lorsque Buffy s'est impliquée dans le combat. Par la suite, il a révélé qu'il était unique en son genre pour posséder une âme. A la suite de la malédiction placée sur lui comme punition, pour avoir assassiné la fille préférée d'une tribu du clan Kalderash, en essayant de se faire accepter par Buffy et Giles... Tout ceci pour protéger Buffy...
Darla avait tenté de le tordre pour qu'il abandonne la rédemption et embrasse son côté obscur, montrant son dégoût de ses sentiments pour un tueur et le narguant en disant que Buffy ne serait jamais capable de l'accepter pleinement. En fin de compte, Angel s'était forcé à jalonner son père afin de protéger Buffy, bien qu'il ait été indiqué plus tard qu'il avait porté un certain degré de culpabilité à ce sujet. Il a jalonné Darla pour la protéger et a révélé qu'il était unique parmi les vampires, parce qu'il avait été maudit avec son âme. Il éprouvait des remords pour tous les péchés qu'il avait commis et voulait l'aider dans sa cause.
Buffy délivra Dawn qui murmurait qu'elle avait été attaquée, enlevée, poussée dans un monde de bêtes et de monstres et qu'elle croit qu'il se passait des choses extrêmement inquiétantes, durant le combat, Buffy conseilla à Dawn de fermer les yeux mais la petite fille et Buffy priaient le ciel qu'elle n'a pas fait ce qu'elle disait et lui ait désobéi pour une fois et certainement pas la dernière. Elle la raccompagna jusqu'à chez elle, dans la cuisine de ses grands-parents, Buffy et Dawn rentrèrent doucement mais furent découvertent par Willow en partant se jeter dans les bras de sa sœur. Buffy ferme juste la porte quand Willow, Heidrun arrive par l'autre côté.
Heidrun sourit et en parlant doucement à sa petite fille qu'elle croit connaitre quelqu'un," Mais je crois que j'en connais une qui ferait bien d'aller dormir maintenant." Buffy apprend à Willow qu'Angel est un vampire, mais il ne fallait pas le dire tout de suite, d'emblée, automatiquement, d'un seul coup à Alex, car il possédait, était toujours en deuil de Jesse et il possédait une grande immense haine pour les vampires et son comportement fut sa réaction comme une trahison dans l'image de la jeune fille...
En profitant de l'absence de sa mère qui était partir pour un voyage d'affaires qui ressemblerait à des vacances si elle n'était pas accompagnée de son assistante pour découvrir d'autres galeries d'art avec les passe qu'on a offert à Joyce comme en tant qu'invitée d'honneur à ces expositions... le seul et unique but de Buffy était d'apporter son aide de se sentir utile désirée du soutien qu'elle apporta, du support, de l'appui pour aider Angel qui, elle le savait, toujours un risque qu'il perde autant de sang seul a voulu dire qu'il deviendra, se transformera en poussière, mais cet idée mauvaise et gênante de bouleversement ne risquerait pas d'arriver, car c'était des blessures mineures et non une agression comme on le voyait et le constatait. Elle s'est rendu compte qu'Angel était venu dans sa vie pour l'aider, et a pu regarder au-delà de sa nature vampirique pour la plupart. Comme un jeune homme fragile, triste, mystérieux, cassant, délicat, faible qui avait un sombre passé d'humain traumatisant et détestant sa condition de vie et haïssant, dénonçant, voulant faire partie avec la classe ouvrière de la lutte contre la haute société et dénonçant une vie triste de solitude dans les châteaux et voulait tout faire pour s'en sortir et gagner une vie meilleure de non méchancetés, de non frivolités qu'il détestait par-dessus tout... Après qu'Angel ait été blessé dans un combat contre Darla et ses minions et ce, malgré qu'il ait gagné, Buffy l'a ramené chez elle pour soigner ses blessures. Il est resté dans sa chambre toute la nuit et le lendemain.
Ce fut une nuit très intense, de leur intensité mutuelle, désirs et dont le cœur ne pourrait jamais lâcher, ne pouvant jamais les séparer ou les laisser vivre en paix ou mourir. Elle s'est rendue compte qu'Angel était venu dans sa vie pour l'aider, et a pu regarder au-delà de sa nature vampirique pour la plupart. Bien qu'ils aient tous deux convenus qu'une relation entre eux ne pourrait jamais fonctionner, les deux ont été incapables de rester loin l'un de l'autre et ont officiellement commencé à sortir ensemble malgré leur meilleur jugement….
Dawn Rosenberg ne pouvait pas ne pas l'être comme une enfant comme les autres car elle n'était bien sûr pas comme les autres. Elle était différente de toutes les autres enfants de son âge. Elle devient plutôt une enfant étrange, mais extrêmement intelligente en pensant toujours intellectuellement au-dessus de la moyenne et non pas comme d'autres personnes dont l'intellectuel était beaucoup moins élevé et n'arriveraient jamais à vaincre, à arriver au niveau de Dawn. Elle réfléchit de cette manière étrange qu'était la sienne de cette façon unique, qu'elle réfléchit à ce qui lui était arrivée deux nuits plutôt en réalisant l'étrange signification qu'elle réussit à admettre ce que son cerveau lui dictait, les démons, les vampires, la sorcellerie et le monde de la magie existaient. C'était comme dans les livres que sa sœur ou Buffy lisait... Dawn n'a que huit ans et pourtant elle pense qu'elle sait mieux que Buffy ou tout autre adulte l'était. On lui expliqua que ce qu'elle crut avoir vu sans le dire était effondré, n'était qu'un aspect de son imagination, une hallucination ou quelque chose qui lui retournait la tête et croyait avoir vu des choses. Mais Dawn savait mieux... Elle était entourée dans l'intérieur de la bibliothèque du lycée de Sunnydale avec Giles, Buffy, Alex et Willow et Angel dans l'ombre de l'endroit le plus noire de la pièce, qui voilure tous lui parlait de ce qu'elle avait vue.
Elle ne comprenait plus rien, elle était confuse, étourdie par tout ceci. Alex devait penser la même chose et deviner ce qu'elle voulut dire en parole. Dawn en fut reconnaissante pensant que c'était le plus, Alex est le plus mignon de la bande... et le plus intelligent. Il savait la défendre et prenant soin d'elle comme un grand frère et il lui dit qu'en réalité, tout ceci était un club, une bande d'étudiant, voulant résoudre des énigmes, dans l'exploration des lieux hantés et la résolution d'énigmes paranormales, et qu'elle ne pouvait pas y être. Dawn fronçait toujours les sourcils devant le groupe, la bande qui s'était prénommée, donnant son nom au Scooby-gang... Elle confia qu'Angel, bien qu'il lui ait sauvé la vie, trouvait Angel effrayant et pas du tout un être de confiance et qu'il cachait forcément un côté obscur et dangereux. Mais pourtant, Dawn pense et trouve en déclaration que toute la chose, que tout ce qui concernait le titre de la Tueuse et la résolution d'énigmes paranormales et les êtres féeriques en sorcellerie géniale et voulut se documenter beaucoup plus souvent dès que sa curiosité fut en alertée et qui lui grattait l'oreille alors là, ce fut merveilleux pour la petite fille. Alors comment peut-elle avoir peur d'Angel quand il fait partie du concert de la Tueuse et de chasser, de défendre contre des cours de défense contre les forces du mal ?
Buffy voulut lui répliquer, terriblement en colère, Giles évitait tout visage en retirant ses lunettes pour les essuyer, très clairement gêné dans une impasse et ne voulant plus rien dire, voulant dire, comment un visage aussi rêveur, peut-il être quelque chose de mauvais ?
Dawn savait qu'on lui cachait des choses et voulut savoir à tout prix, à n'importe quelles circonstances, tout connaitre dans les circonstances actuelles qui étaient retranscris à la télé du journal régionale du comté de Sunnydale et voulut qu'on lui dise la vérité, car à la télé les journalistes ne disaient pas tout en détails. Elle dit qu'elle ferait tout pour découvrir ses détails. Elle déclara alors que toutes trois étaient seulement réunies à la maison familiale résidentielle des Rosenberg : "Vous me prenez pour une enfant, mais je ne le suis pas, je sais que vous détenez la vérité et ne voulez pas m'en faire part et que personne ne voudra me dire qu'est-ce qui se passe..." Buffy ne voulut rien entendre et continuera à lui cacher la vérité. Elle dit tout bas à Willow de l'empêcher de regarder les actualités à la télé, d'écouter la radio et lui cacher les journaux. S'il y avait toute forme d'idée et prétendue, de faits étranges, alors si cela était respecter tout irait bien. Buffy ne veut pas qu'elle ne mêle de leurs activités qui étaient trop dangereuses pour une petite fille de huit ans.
Buffy intervient alors avant, n'ayant pas eu le temps pour Willow de dire à Buffy de ne pas rester énervée ou méchante, injuste et trop dure, trop difficile, trop compliqué à laisser dire sur Dawn que quand elle disait tout ce qu'elle pensait sans pudeur et avait l'esprit clair, bienheureux et beaucoup plus lucide et intelligente de degré plus important que la moyenne pour son âge. Il vaut mieux se disputer avec quelqu'un d'intelligent que parler à un imbécile. Le crétin prétentieux est celui qui se croit plus intelligent que ceux qui sont aussi bêtes que lui. Celui qui aime la gloire met son propre bonheur dans les émotions d'un autre. Celui qui aime le plaisir met son bonheur dans ses propres penchants. Mais l'homme intelligent le place dans sa propre conduite. C'est lorsque l'on commence à se dire intelligent que l'on devient idiot.
Buffy lui dit qu'elle était trop jeune, beaucoup trop sensible pour affronter le monde qui l'entoure. Si elle croit que les moustiques, les singes, les lions et les araignes Acromentules, L'Acromentule est une monstrueuse araignée dotée de huit yeux et a la faculté de parler comme les humains, Elle est originaire du Bornéo où elle vit en pleine jungle. Elle se distingue par les épais poils noirs qui recouvrent son corps, un écartement des pattes qui peut atteindre quatre mètres cinquante, des pinces qui produisent des cliquetis caractéristiques. Lorsque la créature est excitée ou en colère et le venin qu'elle sécrète, les serpents ou autres insectes, ce n'est que le début qu'elle avait vécu et vue des choses qu'elle ne pouvait même pas voir, des choses qu'elle n'a vu que dans les cauchemars ou autres démons. Buffy lui dit que ce ne serait que de l'imagination et si elle continuait, Dawn sera envoyée très loin de chez elle. Les services sociaux interviendraient et se chargeraient de très près de son dossier pour qu'elle puisse avoir une éducation bien meilleure en règles et stricte qu'elle n'a jamais été aussi simple et pourtant si compliquée chez ses grands-parents. Mais Dawn fut horrifiée et terrifiée par cette simple idée. Elle voulut rester en sécurité près de Willow. Elle était tellement en colère qu'elle claqua la porte de sa chambre, tandis que Buffy lui cria dessus en lui répliquant de monter dans sa chambre.
En rouvrant à la volée, Dawn lui donna la fin en déclarant qu'elle était déjà dans sa chambre... Mais finira par découvrir ce que Willow, Buffy cachaient, ainsi que Alex et Mr Giles. Elle fut tellement dessus par le jeune homme qui voulut lui cacher des secrets tellement lourds à garder...
Mais elle fera partie du groupe, du moins, en observant, en témoignant de ce qu'elle vit et vécu en étant contre son gré, obligée d'attendre de rentrée à la maison en compagnie de Willow.
Dawn pensera tout au long de cette année scolaire qu'on lui cachait des choses importantes.
Buffy avait très bien commencé son année scolaire qui s'annonçait merveilleusement bien, avec brillance, en commençant à reprendre des études sous l'œil bienveillant et rempli d'amour de sa mère. Elle ne pensait plus qu'à cela et avait certaines facultés d'adaptation et de bons résultats scolaires avec des matières qui lui plaisaient plus que d'autres, surtout celui d'informatique enseigné par Mlle Calendar et dont Buffy aimait beaucoup sa personnalité et voir Willow s'épanouir et prendre confiance en elle et une certaine assurance qu'elle faisait énormément ressortir chez Willow. Par moments, les deux jeunes filles restèrent à la fin du cours ou parfois en solitaire, en compagnie de Jenny Calendar, à discuter, bavarder pendant plus nombreuses minutes. Ne pouvant discuter avec personne d'autre, en dehors de son amitié particulièrement forte et en jugeant qu'elle ne pouvait pas tout dire et pourtant, quand bien même, cela était possible de tout garder en soi, le besoin de parler était devenu un poids et un exercice terrible, c'était devenu écrasant et depuis devenir si important pour Buffy qu'elle choisit de parler avec Jenny Calendar qu'elle a choisi pour devenir sa confidente... La relation de Buffy avec Jenny Calendar était de type enseignante/élève. Buffy tenait Jenny avec respect et semblait l'aimer, soutenant la relation de Giles avec elle, réalisant à quel point elle le rendrait heureux plus tard dans l'avenir, car Buffy avait remarqué une tension extrêmement positive à en croire les regards tendres, impressionnants comme dans leurs yeux, il y eut du désir sexuel non consommé...
Elle représente le premier mariage entre la magie et la technologie dans le lycée. Par ailleurs, son apparence, ses manières et son style vestimentaire jeune, en font un modèle pour les jeunes filles qu'elle côtoie, féminins de la série, qui ne la voient pas comme une figure parentale qui s'oppose à elles. L'influence de Jenny Calendar sur Willow, en apparence, mais ce fut bien plus pour Buffy, sans que l'on n'y croie, est notable à travers ses points de vue féministes et la confiance en elle qu'elle acquiert par la suite. En tant que professeur d'informatique au lycée de Sunnydale, Jenny était une experte en technologie et était un modèle, au grand plaisir de Buffy et fierté de pouvoir avoir des connaissances sociales grâce à Jenny, d'apporter de la lumière, de la connaissance, permettant à son personnage de s'instruire et de se développer en dehors du gang. Elle était notamment capable d'écrire un programme, capable de traduire une langue perdue, ce que personne n'avait pu faire depuis longtemps, pas même son propre peuple.
La photo de classe avait eu lieu au commencement du début de l'année qui était toujours présente car cela ne faisait que plusieurs semaines que le début de l'année scolaire de 1996-1997. Buffy s'était faite belle pour la circonstance, si belle, s'habillant comme une adulte, un jean avec un pull t-shirt noir qui dégageait les épaules d'aérer ou l'air circule, et portant des bottes à un fin talon, ses cheveux relevés en un chignon avec des pinces aux cheveux indisciplinées ou dépassaient des mèches de cheveux qui encadraient son visage. Quand sa mère la vit, elle était toute retournée par ce miracle, en faisant, réalisant une double prise. Buffy se situait au milieu, debout, devant les plus petits de sa classe. Willow, qui était tout juste à côté de la jeune fille. Durant la pause déjeuner de l'air du midi, elle avait croisé son observateur étant venu le voir avec ses amis à la bibliothèque en sachant que Giles était l'un des premiers de l'école à se faire photographier. Elle le conseilla de parler, de construire un lien bien plus fort que ce qu'il n'était moins hostile et plus amitié de l'entente qui lui permettrait de créer un lien social en dehors du Scooby-gang, car Buffy les avait observés de loin, de près, en restant à l'écart, loin, mais pas si loin, voyant les contradictions qui survenaient, qui coexistaient entre le feu de l'enfer, de l'eau, l'air, et de la terre. Giles l'a d'abord vue comme un symbole de l'empiètement, de la technologie stérile dans le monde organique des livres et ils deviendront amis. Giles et Jenny ont commencé à sortir ensemble, et tout ceci grâce au soutien, elle était une très bonne, fantastique expéditrice de cette relation du futur couple de Giles et Jenny tout aussi encourageante en un lien fort comme Willow...
Alors qu'elle avait réussi à se trouver un temps de repos, de tranquillité, sans qu'elle ait eu à mendier ou faire des compromis à son observateur, Giles, qui lui permit des jours de repos et, en ce samedi matin, Buffy décorait sa chambre, en particulier, pour qu'elle trouve de l'espace dans un cadre doux et confortable pour accrocher avec des punaises de nombreuses photos dont l'une d'elle, la plus récente, était celle où Buffy posait avec Alex et Willow et dont d'autres beaucoup mieux qui lui rappelaient dans des souvenirs sans arrêt, lointains avec son amie Lise et d'autres fillettes en un anniversaire de Buffy plus petite et d'autres avec des camarades de connaissance du quartier, se tenant toute par les bras, enlaçant leurs mains contre les bras de chacune. La fille Summers refaisait leur vie auprès de leurs filles jusqu'à ce que tout bascula et que Buffy ne soit désignée officiellement comme une potentielle tueuse de Vampires… D'autres plus précieuses où Buffy posait avec Lise Goslar ainsi que d'autres avec Jacqueline, et dont une autre avec Pike...
Buffy n'en finit pas à ce moment où il y dégageait de nombreuses photos plus intimes et personnelles dont deux avec sa mère et Frances, tandis qu'elles venaient toutes trois emménager ici, à Sunnydale. Une photographie où Buffy avait six ans, assise dans l'herbe proche de l'ombre dans un après-midi d'été où il faisait grand chaud dans le jardin, le terrain de ses grands-parents. Buffy n'hésitait pas à écrire des petits commentaires, des notations toutes particulières, inscrites à son attention. Il y avait de nombreuses photos où Buffy était avec Frances. Buffy et Frances à Los Angeles accompagnées de leur mère, alors qu'elles n'étaient que des enfants de huit ans et de trois ans. Elles vécurent un petit moment chez leur grands-parents, car Hank fit faire des travaux dans les chambres de ses filles et pour l'occasion en profitant pour les gâter et leur faire des petites surprises.
Hank Summers et ses deux filles, "Papa et ses petits trésors" notera Buffy en guise de légende de cette photo qui date de 1988. Les filles avaient respectivement à peine sept ans et la plus jeune deux ans. Buffy et Frances adorent leur père, qu'elles ont surnommé Pim ou papounet, petit papa. Le soir à l'heure du coucher, Hank racontait des histoires de contes de fée de son imagination, d'invention, qu'il a lui-même inventé et dont les héroïnes vivaient plusieurs épisodes d'aventures sans jamais se rencontrer dans une ville d'Allemagne à Francfort-sur-le-Main, les héroïnes sont deux petites filles nommées toutes deux, Paula. La gentille Paula obéit à ses parents et alors que la vilaine Paula fit des bêtises...
Joyce Summers avec ses deux filles, qui était la meilleure d'entre toute, notera Buffy en guise de légende sur ces photos datant de l'été 1996. Les filles avaient à présent respectivement, Buffy âgée de quinze ans et Frances de dix ans. Tout comme leur père, les filles adoraient leur mère, mais il y avait de grandes limites à cette amour où Frances adorait beaucoup plus son père et Buffy adorait, aimait de tout son cœur sa mère, malgré le fait qu'elle avait des préférences et cela toucha à dire beaucoup plus de choses que Frances aimait ses deux parents de la même façon, de la même manière. La toute première photo fut à leur arrivée, le jour même toutes trois assises dans l'herbe de l'arrière-cour du jardin, chacune assise en tailleur prises pendant dedans à l'extérieur avec le regard fixe sur l'objectif... Puis la seconde fut dans la chambre de leur mère, Buffy enlaçant sa mère, contre elle se pressant contre ses bras à la droite de Joyce puis Frances allongée, souriant avec un éclat de sa lumière, un beau sourire...
Tout le mur du cadre près de sa coiffeuse fut au complet, bien rempli de photographies après avoir réussi à faire du bon travail... La vie à l'intérieur de dedans son existence à mesure que les mois ou les années passeront, Buffy se fit la promesse d'écrire, d'accrocher chaque nouvelle photographie d'elle et de sa famille et ses amis qui contèrent le plus pour elle dans sa vie…
Depuis que Hank était revenue à Sunnydale pour ramener Frances à leur maison de Los Angeles, depuis ses jours d'été qui comme était arrivés ne pouvant croire que tout ceci était arrivé, qui semblait être si éloigné depuis la fin de l'été, le début de l'automne de la rentrée des classes et vivant séparément l'un des autres. Buffy revit son père un vendredi soir après les cours. Hank Summers attendait avec sa fille cadette dans la voiture, ouvrant les portes du bâtiment du lycée, Buffy Summers en sortit avec son sac à mains et ses livres sous ses bras, en relevant la tête, Buffy se stoppa très soudainement devant le regard interrogatoire de Willow et Alex. Elle leur chuchota que son père était venu à l'attendre, l'emmenant avec lui pour pouvoir avoir un week-end et que leur lien, cette coutume, cette habitude, ce rituel de leur journée et fin de semaine spécial du club "Papa et ses filles", elle dit très vite un « Au revoir » à ses amis, leur demandant de passer un bon week-end et leur répéta un « A Lundi... »
Buffy courut vers la nouvelle belle voiture et qui était très certainement neuve et remplaçait par une plus vieille, elle cria un "Bonjour papa", elle courut dans ses bras et l'enlaça le plus fort qu'elle désirait et pouvait sans briser d'os. Frances était ici elle aussi en sortant par les portes arrière, en sortant toute sourire, elle lui dit un simple de l'excellente humeur et son visage orna un beau sourire "Bonjour Buffy." Buffy avait prévu d'apporter avec elle quelques vêtements de rechange, ses articles de toilettes pour son week-end à l'hôtel avec son père. Elle partit chercher son sac chez Joyce...
La garde partagée avec droit de visite et d'hébergement a longtemps été la norme en cas de séparation. On pensait qu'il s'agissait de la meilleure solution pour l'enfant, en lui offrant plus de stabilité. Depuis, les spécialistes de l'enfance ont montré que ce n'est pas toujours le cas. Un enfant a besoin de passer du temps avec ses deux parents pour se construire... C'est souvent la maman qui a la garde, avec un droit de visite et d'hébergement pour le papa. Pour un jeune enfant, passer toute la semaine sans voir l'un de ses parents est parfois difficile à vivre. Si l'entente entre eux le permet, on conseille donc de prévoir une visite le week-end fin de semaine. Hank, non gardien, peut, par exemple, emmener les filles au parc. Cette visite a deux avantages. Tout d'abord, elle renforce le lien entre l'enfant et avec leur père qui n'a pas la résidence habituelle. Mais elle permet également au parent qui a la garde de faire une pause. C'est l'occasion d'aller à un rendez-vous, ou tout simplement de se reposer...
Hank avait prévu un bon nombre d'activités, comme ils avaient fait autrefois, à l'époque dans le temps où ils étaient tous réunis comme une véritable famille. Frances avait été très triste que tout soit séparé, soit relevé en tiraillant pour briser, décoller toute relation qu'ils avaient construit en l'amour des parents puis les enfants, les sœurs. Frances ne savait plus pourquoi avec sa sœur elles étaient pourtant inséparables. Ils étaient trois entre Joyce, Buffy et Frances, ou soit Hank, Buffy et Frances. Elles avaient été trois, mais pourtant Frances craignait qu'un jour elles perdraient leurs parents, et ne soit que seules et séparées en devenant des orphelines et qu'il ne resterait que deux jeunes filles qui pourtant Buffy n'était qu'une enfant alors qu'elle était proche de l'âge adulte et cela voulait dire que la garde irait à Buffy et qu'elle devra prendre soin de Frances... Et rester seules et oubliées.
Buffy et Frances passèrent d'excellents moments avec leur père, mangeant une glace en observant le flot des vagues. Buffy et Frances profitèrent de la piscine municipale avec Hank. Ils prirent bons nombres de photographies pour les souvenirs de famille de l'album photos de Hank. Elles mangèrent dans une crêperie le soir accompagnement de boisson avec du cidre. Elles purent se coucher plus tard en jouant à des jeux de sociétés...
Buffy eu bon nombre de larmes qui piquèrent ses paupières et qui coulèrent à flot sur ses joues quand Hank la ramena au 1630 Revello Drive, signe que la fin de semaine était terminée et avait pris fin...
Buffy pleurait et était en un brin de dépression mélancolique à chaque fois que son papa s'en allait. La jeune fille lui disait toujours de rester un peu plus longtemps : « Ne t'en vas pas. » Lui avait dit un jour Buffy, s'il l'aimait comme il le prétendait avec Frances, il ne les quitterait pas et reviendrait vers Joyce à ses côtés comme c'était toujours le cas. Elle craignait toujours en ayant toujours le même cauchemar, elle essayait de se dire, de se le chuchoter tout au fond de son esprit quand elle rêvait, elle devait se le dire, se le répéter pour se convaincre à elle-même et à Frances quand lorsqu'elle était malheureuse que son pire cauchemar de la réalité de la vie que c'était à cause d'elle et de ses moments du passage à vide en se comportant différemment et ce qui provoqua la rupture entre ses parents. Immédiatement après le divorce de ses parents, Buffy a souvent eu des week-ends père/fille avec Hank, bien qu'au fil du temps, cet événement soit devenu moins important jusqu'à ce qu'il disparaisse complètement. Il a été révélé plus tôt que l'un de ses pires cauchemars -dont l'autre était qu'elle soit transformée donnant la nature d'un vampire- de Buffy était que son père avait divorcé de Joyce à cause d'elle. Au cours de la première année après la séparation, Hank a encore rendu visite à Buffy et Frances certains week-ends.
Elle rajouta à sa collection de photographies, une photo de son père près des côtes de la mer qu'elle a été enregistrées, et l'une où l'on voyait Buffy et Frances côte à côte, l'une d'elle où Frances posait avec Hank et une autre identique, excepté que ce ne fut pas le visage de sa petite sœur mais du sien…
Buffy n'avait jamais, au grand jamais, et ce qui gardait bien que c'était sérieux aux yeux de la jeune fille, qu'il n'y avait pas d'exception et aucune envie en l'occasion de devoirs faire partie des élèves qui préparent beaucoup de choses, s'investissant en rendant hommage à ceux qui travaillaient bien qui étaient de brillants élèves et aussi préparant les banderoles, les apéritifs, les gâteaux, les boissons et la nourriture aux parents, en préparant les classes qui se verraient d'entrer les parents dans la vie même sociale scolaire de chacun de leurs enfants. Buffy n'avait jamais souhaité être connue dans la liste des élèves qui se dévouent en faisant fonctionner les systèmes de l'éducation et de l'instruction comme des enfants modèles, d'être dans les préférées, faisant mettre du beurre pour que les enseignants les trouvent aussi très intelligents, honnêtes et travailleurs pour l'avenir de la nation. Favorite, préférée en détestant se faire passer pour élève brillante, dévouée et travailleuse comme une adolescente parfaite alors que tout le monde savait tout le contraire d'elle. Mais cette année fut bien différente grâce aux encouragements, à l'accompagnement, au suivi, à l'appui et au soutien en incitation avec sa camarade de classe Willow Rosenberg. Buffy se donna totalement corps et âme pour la réussite et le partage pour plaire et que Joyce soit fière d'elle. La jeune mère viendra et ne manquera nullement de voir chaque enseignant qui lui donnerait des opinons toutes différentes, quelles soient bonnes ou mauvaises, positives ou négatives et elle ne viendra pas seule, car Frances serait présente à cette réunion pour voir tout spécialement Buffy. Pour ce qui était du point de vue du principal Flutie, il n'y aurait rien de mal ni de négatif sur son élève, bien au contraire, celui-ci était très heureux, satisfait des progrès de Buffy Summers et il serait ravi de redonner le sourire à Joyce Summers et à la fierté que pourrait avoir sa famille….
Joyce en ressortirait du bureau du principal satisfaite, heureuse et remplie de bonnes nouvelles, compter dans l'espoir que Buffy pourra continuer d'étudier pour rentrer un jour à l'université après avoir obtenu son diplôme d'études secondaires. Voilà ce qu'était le rêve de Joyce. Elle voulut croire enfin et d'après tout ce que le principal Flutie lui avait évoqué, parlé, il s'agissait tout juste d'une adolescente normale, ordinaire, très gentille, serviable avec un certain caractère qui lui disait d'être forte comme une force un poids qu'elle pourrait soulever et qui voulut dire qu'elle avait une incroyable source d'énergie et un caractère vif d'esprit et une forte personnalité qui était extraordinaire, incroyable, mais pour cela, elle devait faire très attention...
Alors que l'un et l'autre avaient demandé simultanément une rencontre de rendez-vous pour la soirée parents/professeurs, c'était Joyce qui avait eu l'idée en tête dans son esprit et ne l'ayant pas quitté une seule seconde depuis la rentrée des classes de sa fille. Elle fut heureuse de bien s'entendre avec le principal du lycée qui lui avait eu cette idée également pour qu'ils constatent tous deux les résultats scolaires, les notations à chaque devoir fourni en classe et ceux à faire à la maison et des progrès sociaux de Buffy dans son domaine de prédilection. Il lui avait dit en main propre que lui aussi voulait constater tout ceci grâce à un rendez-vous d'un jour où ils seront tous deux d'accord pour discuter de Buffy et quoi de mieux que la réunion du soir des parents/enseignants. Après avoir rencontré Rupert Giles à la bibliothèque, mais hélas n'avait pu entretenir une discussion approfondie avec cet homme, alors que Flutie faisait irruption dans la bibliothèque. Il entraina Joyce avec sa plus jeune fille, Frances, dans son bureau…
Le bureau du principal de l'école était des plus accueillant, lumineux. Un bureau de style est une société d'étude spécialisée dans l'anticipation, la détection et l'analyse des tendances liées à la mode. Le bureau de style peut également être le service interne d'une société évoluant dans le secteur de la mode ou du luxe et ayant les mêmes missions. Agréable à regarder, alors que tandis qu'il était différent de tout autre bureau de directeur, directrice ou principal, ne donnant pas ce côté rassurant, motivation, sombre et ni accueillant et qui faisait peur et donnait l'envie de s'enfuir, ne donnant plus aucun gout pour les études... Et grâce à Flutie, tous les élèves purent et ne furent plus la politique de veiller sur les élèves et les protégeant, en donnant, offrant de la discipline en décrochage scolaire...
Dans un coin en dehors du bureau, dans une salle d'attente, alors que sa secrétaire était partie pour une soirée après une journée de travail, il avait fait aménager un lieu où les enfants des parents d'élèves qui avaient rendez-vous avec le principal pouvaient y déposer leurs plus jeunes enfants. Les parents emmenaient donc leurs plus jeunes enfants où ils pourraient jouer dans la salle à côté du bureau du principal. Frances attendit que sa mère ressorte de son entrevue avec le principal, qui lui avait demandé, devant son avance dans ses études, qu'elle âge Frances avait-elle. Elle répondit qu'elle avait dix ans et huit mois. Elle représentait l'avenir car il avait tout de suite remarqué, grâce à des jeux éducatifs, le niveau intellectuel élevé de cette enfant en représentant l'avenir, en s'imaginant où elle irait si on l'encourageait, lui permettant de cultiver ses dons, elle qui faisait déjà de la danse classique et jouait de la harpe. Frances avait écouté tout ce qui avait été dit sur elle après avoir été présentée comme la petite sœur de Buffy Summers et ce qui fut dit à sa grande sœur. Elle dit qu'elle était ici ce soir car c'était le week-end où elle devait vivre comme une fin de semaines tous les quinze jours et que maintenant c'était son heure...
Le directeur adjoint Snyder -choisit, élu pour devenir dans l'attente de devenir principal après l'assassinat de Flutie- avait une haine naturelle envers les adolescents, mais c'était Buffy qu'il n'aimait pas particulièrement. Il l'avait constamment considérée comme une délinquante rebelle et, plus que souvent, s'attendait à ce qu'elle soit expulsée du lycée de Sunnydale.
Tout ce qui ressortira de la bouche de chaque professeur et surtout en mathématiques et en sciences physiques et un peu pas toujours dans le cours de chimie, Buffy était punie pour ne rien entendre et discuter toujours à l'autre bout de la salle de classe. Autrement, personne, aucun enseignant n'avait à se plaindre d'elle et Joyce réussit également à rencontrer et discuter longuement de Buffy et son attitude vis-à-vis de Buffy dans une bibliothèque. Joyce et Giles ont fait connaissance après que Buffy ait déménagé à Sunnydale et il est devenu son nouveau Watcher, bien que son identité fût initialement un secret pour elle. Cela a attiré l'attention de Joyce sur le fait qu'un bibliothécaire du lycée était si souvent autour de Buffy...
Joyce était extrêmement satisfaite et fière de chacune de ses filles et ce qui en ressortait, ce qui fut mis en avant, était des avis de jugement, d'opinion et de point de vue de tout ce qu'il y avait de plus beau chez Buffy ainsi que tous ses professeurs partageaient tous le même avis de l'assemblée des personnes qui permettent d'échanger des informations ou de débattre. En ce mettait tout le monde d'accord en arrivant aux mêmes conclusions qu'avait été le principal Flutie, les enseignants s'étaient rangés du bon côté, et en cela, Joyce fut si heureuse qu'elle en eut les larmes aux yeux. Arrivées à la maison, elles se prirent toutes trois dans les bras pleurant de bonheur. Pour fêter cet événement, Joyce acheta trois grandes pizzas pour chacune d'entre elles, une Buitoni fraich'up pour Joyce, une aux anchois pour Frances et une autre végétale avec du thon pour Buffy...
C'était toujours la même situation, la même chose du même bruit de larmes, angoisse, toujours des deux côtés lorsque Frances revenait avec son père, quand Frances passait des moments privilégiés avec sa mère, et enfin quand Buffy quittait sa mère pour tout un week-end de fin de semaine pour rejoindre son père, partageant à tous trois des promesses, des choses de découvertes belles et quand Buffy quittait son père pour rejoindre la maison de Joyce. Puis il y eut Buffy et Frances qui étaient constamment à chaque tournant des visites de Buffy. Elles étaient continuellement promenées en voyage sur la route pour se voir et se retrouver. Il y avait toute sorte de pair de duo. Buffy et Frances, Buffy et Hank, Buffy et Joyce et après il y eu Frances avec Buffy, Frances vivant avec Hank, et puis Frances en compagnie de Joyce. Mais à chaque situation, c'était le même schéma, le même scénario de la vie qui le voulait ainsi, qui était des larmes de verser et le monde qui s'écroule à chaque séparation. Ce fut toujours ainsi pour Frances qui était encore très jeune et petite. Frances courut vers sa mère, se jetant, s'encerclant comme des bras de fer, une étreinte étroite, forte et dure. En souriant, Frances murmura assez fort pour que tout le monde sache :
"Oh maman comme je suis contente et heureuse de te revoir. Cela faisait si longtemps et tu m'as manquée..." Et tout ceci fut une terrible, heureuse, saine et réalité pour Frances qui s'ennuyait et souffrait d'être rabrouer en permanence par leur belle-mère, Addie. Joyce, en tant que femme et mère de fer et d'acier, ne se laissait pas impressionner ni n'avait ne craignant rien de ce qui effrayait ses enfants et n'a jamais eu peur de dire tout ce qu'elle avait à dire avec des mots courtois de gente dame, une femme de la bourgeoise. Elle utilisait les meilleurs mots de la littérature du courant pour mettre au fer à l'acier et des mots couteux et en couteau qui se fait mal comme un fil pour couper le beurre du petit déjeuner et ne manqua jamais, en étant sarcastique, des menaces de justice à cette femme horrible par qui Hank l'avait remplacée...
Les filles rêvèrent d'avoir une plus grande maison que Joyce avait hérité d'un immense terrain. Dans leur rêve et leur imagination, construire une maison selon leur envie, leur volonté et désir d'imagination avec un architecte compétant, sérieux et reconnu pour son talent en plus d'un an. Frances souhaitait avoir posséder une piscine au font du terrain ou la végétation, une terre riche et indispensable pour la nature et un bout, un morceau de campagne. Et Frances pourrait s'y baigner le jour de son anniversaire, ainsi que celui de Buffy qui mourrait d'envie et de désir de se baigner et prendre le soleil brillant, chauffant sur la peau en plein hiver à l'abri, en Californie pour la saison. Avec Joyce, il n'y avait absolument rien à craindre, leurs petits moments en famille si particuliers. Joyce Summers avait décidé d'emmener ses filles se promener à l'intérieur de la nature, en jouant à des jeux de rôle, en passant devant des maisons, elles se mirent toutes à rêver, à s'imaginer, à vivre ce qu'elles voulurent vivre, comme c'était le cas d'un jeu : "partout mais ailleurs" ou « n'importe où sauf ici". Buffy avait répliqué à sa sœur et devant leur mère pour qu'elle insiste de prendre au sérieux ce qu'elle disait, qu'il fait toujours froid, les températures peuvent baisser, alors c'était impossible d'une voix dure, d'acier, mais après que Joyce lui ait fait la leçon de ne pas reconnaitre que ces rêves étaient beaux, alors ce n'était pas facile. Buffy se tut et se résolut à ne pas détruire les rêves de sa petite sœur, ni de sa propre mère. Dans le jeu, elles se dirent toutes que seule leur voiture était leur lieu d'habitation, même si elles étaient surnommées princesses en étant sans abri, étant différentes.
Mais Joyce leur rappela que jamais, jamais plus elle ne ferait ce genre de vécu, de réalité, car cela l'avait beaucoup épuisé ainsi que Frances qui était devenue silencieuse, triste et mélancolique à l'arrière et elle était pressée de rentrer, elles ne quitteront jamais leur véritable maison riche et remplie de sécurité de liens familiaux et de sécurité de paix, de bonté, de bonheur et d'aisance... Elle sourit à Buffy qui était à ses côtés et puis en se retournant pour regarder sa plus petite fille des Summers que tout allait bien, qu'elle était en sécurité. Elle fit un demi-tour pour rentrer, car elles étaient loin de leur quartier et enfin arrivèrent à leur quartier chic résidentiel...
Giles ne savait vraiment, pour être tout à fait honnête et franc, ce qu'il devait dire ou discuter d'un problème que peut être Buffy voulut lui en parler et se confier, se dire les choses que l'on n'a envie de dire. Buffy lui murmura qu'elle avait voulu être franche et que cela semblait primordial, important et extrêmement difficile de protéger sa famille au loin que Giles ne puise l'aider. Elle voulut lui dire que certaines fois, certains moments sa petite sœur, Frances, vivait dans sa maison à Revello Drive. Il leur fallait beaucoup d'énergie, d'importance, de ruse et de pouvoirs de force en une vie normale pour protéger Frances et la sauver. La famille vient avant les amis ou les amoureux romance dans le temps et l'espace. Frances doit venir dans ses préoccupations avant son devoir, son appel et Buffy pense qu'elle fera toujours confiance à Giles pour protéger sa petite sœur et sa famille.
A l'intérieur de la maison de la famille Summers, alors qu'il faisait nuit noire et que la nuit fut bien avancée, Giles et Buffy sont assis dans le salon. Giles sur la table basse devant Buffy dans le canapé. Ils parlent tout doucement pour ne point réveiller sa mère ni sa petite sœur, tard un samedi soir et presque dimanche. Giles fut si confus que la réalité, que le fait d'être en face d'un fait accompli que lui proposa, en le mettant devant son observateur, en cherchant particulièrement bien ses mots, Giles lui a dit : "Euh, je ne sais pas quoi dire."
Buffy fut terriblement gênée, mal à l'aise et confuse pour dire la vérité. Quelle était sa raison de cacher des secrets de famille et d'éloigner Frances de ses nouveaux amis, de son observateur ? Il était comme fut jadis Merrick, qu'elle avait une foi totale envers lui, mais la jeune fille fut encore méfiante et elle ne présentera pas Frances avant d'être sûre de rester vivante dans cette si belle maison et que sa sœur viendra y habiter officiellement et pour toujours, elle non plus ne savait quoi dire... Elle regarde les escaliers, pour être sûre que personne ne les écoute.
Giles lui demanda d'emblée avec une certaine autorité, l'air ennuyé et sur la défensive, avec dureté, qu'il devra s'organiser mieux encore pour que l'identité secrète de Buffy reste cachée, ainsi que sa vie, son monde secret "Elle ignore qui tu es ? Elle ne connait pas l'existence... de ? Elle ne sait pas du tout… ?"
Buffy répondit, mais ce ne fut pas la réponse la plus bien vue de Giles qu'elle soit au courant que Merrick aurait dû prendre d'avantage de protections. Elle lui fit un récapitulatif de tout ce qui s'était passé depuis sa rencontre officielle avec Merrick. Elle évoqua de nombreuses anecdotes. Frances était sérieuse, secrète, ne révélant jamais rien à personne, elle était très en avance et mature pour son âge, une enfant étrange, mais intelligente de dix ans qui pense que Merrick puis Giles était la meilleure chose depuis le pain tranché et les crêpes salés. Frances continuera à vivre, à voir qu'elle était la sœur de quelqu'un à la destinée incroyable, dangereuse, mais remplie d'aventures pour Buffy. Elle était son alliée préférée : "Elle pense qu'elle est sa petite sœur."
Alors que Giles montrait un visage impassible, dur, froid, en manquant de respect à tout ce qu'elle a connu, elle vit des éclairs de dangerosité et de menace. Il demanda tout bas "Est-ce qu'elle va dévoiler leur secret ?" « Bien sûr que non, c'était évident, comme Buffy lui dit expressément sera-t-elle une gêne dans son devoir de tueuse et d'élue et qu'elle continuera à voir des horreurs ? » Pour Buffy se serait trop dur, trop direct et mal de savoir que l'on vivait sur une bouche de l'enfer. Il faut la protéger du savoir de la nuit noire d'Angel et d'autres enfants qui pourraient lui vouloir du mal. "Elle serait effrayée et c'est la dernière chose dont nous avons besoin."
Elle faisait toujours tout de son mieux pour organiser, évaluer les dangers, les risques. Elle n'était plus une débutante ou une jeune fille naïve, une potentielle tueuse qui croit que leur appel les rendra invisibles et faisant d'elles des super-héroïnes. Buffy lui prouvera le contraire. En observant, en réalisant qu'il avait blessé cette jeune fille, il y eut des regrets, des larmes silencieuses, des bras s'accrochant désespérément autour de son petit corps cadre... Il la soutiendra quoi qu'il advienne et aura sa bénédiction et un profond respect...
Frances tomba subitement malade durant une fin d'après-midi au soir où son père aurait dû venir la chercher constatant que son rhume qu'elle avait dû subir ces derniers jours devenait de plus en plus ressemblant en une mauvaise nouvelle. Lorsque Hank vit l'état de santé de sa fille quand il fut au pied de son lit, Il décida de la laisser entre les mains de son ex-femme pour la faire soigner et garder un repos forcé. D'après leur nouveau médecin, c'était une grippe bien avancée et qui sera assez violente compte tenu des circonstances et des symptômes. Elle avait terriblement froid et avait une température qui frôlait les quarante degrés, en grelotant en tremblant et elle s'était emmaillotée sous ses draps, la tête contre son matelas. Buffy et Joyce pouvait prouver qu'il y avait bien quelqu'un dans son lit car il y dégageait, il y formait une petit boule d'enfant. Elle ne but qu'un lait chaud fumant préparé dans une casserole au gaz et avec une grande cuillère à soupe de miel. Pour se nourrir, la petite fille ne but que du bouillon au vermicelle et non la soupe que Joyce avait préparé en tenant compte du début, du milieu et de la fin de cette savoureuse recette de poulet aux légumes. C'était terrible et très grave d'une terrible effrayante gravité. Buffy lui faisait lire des histoires en en inventant d'autres, la faisant rire. Frances toussait très violement dans un grand mouchoir en tissu et elle y resta comme ceci jusqu'au dimanche suivant. De jour en jour, tout s'apaisa. Vers un jeudi après-midi où Buffy n'eut pas cours ou sautant des classes pour découvrir des signes de démons qui se promenaient dans la ville, volant, détruisant tout sur leur passage, arrachant la peau et la chaire et prirent de nombreux organes vitaux chaque nuit. C'était un massacre de cinq personnes. Buffy répéta sans s'arrêter, toujours et encore, que l'on devait rester chez soi à l'abri de ce démon venant d'une autre dimension d'enfer infernale et mortelle de fer, de sang et de viandes sanglantes... C'était cette bouche de l'enfer qui l'avait convoqué...
Frances pu rester allonger sur son canapé. Emmitouflée d'une couverture, sa sœur était dans le salon avec Giles qui avait décidé exceptionnellement de prendre un congé et non sans se sentir coupable, il avait encouragé et laissé aller pour que Buffy saute des classes en cette fin de semaine. Frances trouva la force de les aider...
Ce démon avait besoin d'être tué avec un coup portant à l'estomac ou le décapiter, le sang était si foncé qu'il y eut des fibres, tant c'était collant, sombre et noir. Pour l'anéantir, il faut broyer et détruire ses organes vitaux….
Quand lorsque Buffy ne fut pas dans la même pièce et qu'elle quitta le salon, Giles entreprit d'ouvrir une conversation entre lui qui pouvait être un père pour elle et Frances. Ils discutèrent avec beaucoup d'animation, d'intérêt commun et se découvrirent des passions communes. Frances évoqua quelque chose qui ressemblait à des questions simples et devenaient erronées et difficiles, complexes et dans un cerveau, un esprit comme le sien, c'était brillant et par moment ce fut des réponses de petite fille. Giles enleva ses lunettes de son nez et entreprit de les nettoyer sous le regard amusé de Frances qui se souvient qu'elle avait entendu plusieurs fois Buffy en parlant de Giles d'avoir l'air particulièrement innocent, mignon et adorable son geste devenait des mimiques. Parfois, elle était encore trop jeune pour comprendre véritablement ce qui se passait mais elle voulut aider sa sœur et pour ce faire elle entreprit d'instaurer, d'entreprendre, de faire fonctionner un plan et de faire avancer des pions dans une stratégie pour tuer et vaincre le démon...
Giles fut impressionné pour toujours cela le marquera qu'une enfant de dix ans soit aussi brillante, intelligente, cultivée, passionnée et ayant des passions différentes. Comme Willow, elle fut une intellectuelle... Et il ne l'oubliera jamais et sera un plaisir de revoir cette charmante, adorable et attendrissante enfant, petite fille...
Buffy voulut discuter avec sa petite sœur Frances, cela faisait des années qu'elles parlèrent passant la majeure partie de leur temps libre ensemble, se confiant l'une à l'autre, vivant ce que l'autre avait vécu. Elles étaient des confidentes bien plus profonde qu'avec leurs amies, et Buffy parla de son tendre, doux et important primordial secret qu'elle avait fait la connaissance d'un homme, et plus précisément, d'un vampire doté d'une âme. Il devait avoir au moins cent trente-deux ans qu'il fut tourné, transformé et engendré en vampire. Frances n'arrivait pas à y croire et en conclu que ce devait être une plaisanterie de Buffy et n'allait pas plus loin dans la conversation, continuant de croire et de penser à des plaisanteries de sa sœur ainée...
En allant rendre visite un soir de vendredi, alors qu'elle était arrivée à Sunnydale depuis quelques heures à présent, Buffy et Joyce auraient pensé qu'elle serait fatiguée. Eh bien, le résultat, c'est que Frances ne l'était pas et voulut continuer à travailler ses exercices sur toutes matières confondues pour être tranquille le reste de la majeure partie de leur temps ensemble, le week-end. Buffy rentra dans sa chambre en frappant de faibles coups au cadre, et puis rentra, étonnée que Frances soit toujours à son bureau, la lumière allumée en train d'étudier et c'est ce qu'elle lui demanda avant de demander que faisait-elle ? Elle lui dit qu'elle travaillait sa géométrie et ses cours d'histoire de l'art. "Tu n'arrêtes jamais de travailler et d'étudier ?"
Frances redressa sa tête et rencontra le regard de Buffy et lui dit : "Tu n'as toujours pas compris ?" Buffy, confuse, demanda de quoi elle parlait et Frances répondit : "...Que ma survie ne tenait qu'à ça..." Après un lourd silence, Frances détourna le regard et se remis à apprendre et réaliser ses exercices de cours de mise en pratique et puis Buffy s'assis en silence sur le lit de sa sœur, alors qu'elle était en pyjama. Elle voulut parler de garçons comme autrefois, lorsque Frances parlait et évoquait les amoureux et amoureuses des autres enfants de sa classe et quand elle était au jardin d'enfants. Frances, elle-même, avait suivi un petit garçon prénommé Pierre aux cheveux blonds et aux yeux bleus. Pour la petite Frances, il était beau et magnifique et déclara qu'elle était l'amoureuse de Pierre et défendait quiconque voulut l'approcher qui avait un petit frère prénommé Charles...
A la fin des exercices que Frances s'était mise à étudier, en relisant ses cours, elle fit une pause pour discuter avec sa grande sœur, mais Buffy n'a pas changé. Bien sûr, c'était l'évidence même, elle ne changera jamais. Elle parla uniquement d'elle et de son futur petit-ami et de comment il faudrait se battre, trouvant un moyen de déplacer l'amour et qu'un jour, même s'ils ne finissaient pas ensemble, ils se retrouveraient un beau jour. Ils se retrouverait et tout fonctionnerait comme c'était le cas dans de très nombreux films et livres qui évoquaient l'amour et voulut y croire en lisant des romans à l'eau de rose de Barbara Cartland. Frances lui dit ce qu'elle ressentait, qu'à chaque fois cela devait être toujours la même chose, que Buffy recevait tous les honneurs, les prestiges et les compliments, tout le monde l'adorant en étant spécial, tout le monde disait que c'était la préférée, mais pour Buffy ce n'était pas aussi simple, aussi beau et il était difficile de maintenir un peu de paix et que, si quelqu'un doit si coller, c'est forcément Buffy et qu'elle était forcée à cause de sa sœur. Mais Frances n'était que sa petite sœur, c'est tout, c'était si simple et elle devait être protégée...
Buffy promit à Frances qu'elle rencontrera Angel un soir dans la nuit pour le lui présenter et elle devra y jouer un rôle car elle voulut être parfaite et spéciale pour lui... Frances gloussa timidement en déclarant que Buffy resterait toujours Buffy...
Tout ce que Buffy avait toujours pu espérer et toujours voulu et désirer était que dans ses rêves, son fantasme rêve chimère, divagation, extravagance dans son illusion, image de verte prairie imaginaire d'un rêve qui tous les rêves devenaient réalité comme un vœux que l'on avait dans l'espoir qu'il se réalise mais se brise, ne se réalisera pas, car la jeune fille aux cheveux blonds l'avait dévoilé, découvert à l'affut de toutes qu'Angel vienne jusqu'à elle pour un rendez-vous des plus simples, ne sachant où aller. Il lui proposa de se balader au parc d'un jardin des plantes, il le lui proposa, confus et peu sûr de lui-même, d'une certaine crainte mais ayant été encouragé sans parole, sans rien de véridique, seulement des signaux à double sens qui voulut révéler, dévoiler, vue et compris en les déchiffrant comme un homme amoureux qui aimait cette personne, cette toute jeune femme, il compris puis se décida à frapper à la porte de la maison de Buffy Summers. Il lui parla de ses gouts à elle pour ensuite s'entrecroiser, se mélanger dans une tout autre direction en lui proposant de sortir le soir en pleine nuit en se baladant. Buffy fut heureuse et enthousiaste Angel en fut heureux et soulagé en l'embrassant sur la joue, il lui dit, lui souhaita une bonne soirée et au lendemain de la nuit...
Frances qui fut chargée de mettre la table en réunissant les ustensiles et les assiettes pour trois personnes, après avoir entendu la porte se refermer et verrouiller en apercevant sa sœur rentrant dans la cuisine, Frances lui demanda "Et vous irez où ?"
En apercevant, faisant battre son cœur avec tout naturellement d'une envie de sourire portant en elle ce secret si tendre d'être une femme alors qu'elle était indisposée, avec bonheur, heureuse et complètement en divagation, répondit à sa sœur "Se balader, je pense que ça sortira de l'ordinaire."
Buffy pensera ainsi car depuis son arrivée à Sunnydale, elle ne voyait que ses amis, sa mère, sa sœur et surtout vivant une vie de solitude, de vagabondage, de surveillance constante du moindre danger et de l'éliminer, de le vaincre, le combattre et ne montrant jamais sa peur. Dans la nuit, il y avait toujours Angel pour la protéger. Quand Buffy l'avait rencontré, il était sombre, mystérieux, le rêve de toute adolescente. Elle croyait avoir rencontré mon prince charmant et c'est alors que la jeune fille, la toute jeune adolescente, devenant une adulte, comprit qu'il était un vampire. Buffy a toujours recherché des relations profondes et engagées plutôt que des liens occasionnels. Malheureusement, elle était le plus souvent attirée par des hommes dangereux ou inaccessibles. Tout au long de sa vie, Buffy a fait plusieurs tentatives de relations normales avec des lycéens, comme Owen et Scott, Hello, Peter Nicolas -dite Niki-, et Pike, mais son statut de Tueuse l'a toujours gêné. Au lieu de cela, elle s'est retrouvée attirée par le mystérieux Angel, un homme plus âgé qui l'a avertie d'un danger imminent dans les premiers jours de leur relation comme elle l'avait toujours désiré et c'était toujours ses proches qui l'encourageaient ou la forçaient à comprendre et à manier toujours des points de vue différents qui firent voir à Buffy le sens à chacun de leur normalité et ce qu'ils attendaient d'elle. Buffy finira toujours par être confuse... Tout ceci dans un proche avenir…
Buffy fut devant sa coiffeuse à se coiffait légèrement, arrangeant certaines mèches et boucles de sa chevelure, en coiffant à l'arrière puis plusieurs boucles en avant, les attachant avec des barrettes en forme de cœur qu'elle piqua à Frances. La jeune fille porta une robe verte fleurie de roses rose foncé pastelles. En entendant la sonnette du Péron, Buffy supplia Frances d'aller ouvrir la porte d'entrée. Tout fut coincé au fond de sa gorge en réussissant à articuler : "... Moi ?"
Buffy s'empressa de lui répondre : "oui... s'il te plait ; pour que j'ai l'air de n'être en ne ressemble pas à une jeune fille nerveuse ou trop pressante, que là à l'attendre pour être naturelle."
Elle s'assit sur un des fauteuils du salon, alors que Frances partit ouvrir la porte. Il y eu une conversation. Angel avait dû se présenter à la petite sœur de la jeune femme dont il était secrètement caché amoureux... Mais ce qui n'empêcha pas d'avoir un regard, une vision ou un point de vue parfaitement stable et perspicace, car Frances avait tout vu, même les gestes, l'expression non verbale de ces deux êtres. Pour le bien de Buffy, Frances se tient à l'écart, alors qu'il lui offrit une simple rose, car c'était le cas pour n'importe quelle femme, il fallait y aller doucement, secrètement et pas aussi pressent, il était parfait, mais Frances avait des divergences d'opinions qui évolueront avec le temps, de la patience et de l'espoir. Frances avait un secret. Angel aime Buffy, il fut amoureux de sa sœur, et c'était aussi le secret de Frances...
En liant leurs doigts ensemble, souriant secrètement avec éclat, elle baissa la tête sur le côté pour analyser, pour ce qui se passait dans sa tête, elle le regarda avec un regard doux et indulgent, ce fut Angel qui baissa son regard pour observer sous ses cils Buffy. Ils avaient marché deux longues heures sans jamais cesser de se parler, enfin oui, il y avait des moments calmes et paisibles de silence qui n'étaient pas maladroits, mais nécessaire pour eux deux qui fit du bien. Comme un gentleman, Angel reconduisit la jeune fille jusqu'à sa porte et attendit qu'elle ait refermé la porte à clé et verrouillé pour pouvoir partir...
La famille Summers devrait en étant méritant recevoir des cadeaux spéciaux, alors qu'elles vivaient tous deux et trois dans une grande maison spécialement conçue dans un quartier neuf ou les travaux de chantier du quartier avaient finis de construire il y a bien longtemps. Les travaux et se serait la famille de Buffy Summers qui avait acheté et réussi dans un cas spécial et d'une grande maison pour y emménager dans une maison toute neuve à l'américaine. Ce serait la toute première fois depuis le divorce de Hank et Joyce Summers de fêter les fêtes de fin d'années séparément et Frances avait extrêmement envie de passer Noël un jour familial auprès de sa mère et de sa grande sœur... Il y avait une sorte de pièce de mélancolie passagère, de tristesse nostalgique de ne plus vivre comme avant, comme autrefois, soyons heureux d'être quatre quand la famille se réunissait pour fêter, chanter Noël. Dans une famille sur l'autre et séparée, c'était les vacances de fêtes qui furent meilleures avec Joyce qui le voulait inoubliable comme fin d'année civile pour rentrer dans l'année de 1997. Joyce avait voulu décider qu'elle et ses filles allait passer Noël à la maison de la plage de l'été à Los Angeles, en souhaitant réserver elle apprit que Hank ne voulant plus entendre parler en mot l'histoire de cette maison qui appartenait au passé désormais et voulut tout détruire, casser, effacer, anéantir la vie, l'amour et le quotidien qui leur avait apporté, tout était finit. Frances pleura beaucoup après avoir entendu les paroles de son père, après avoir entendu les paroles sèches, épuisantes, en colère, sans émotion et vides, sans remord, sans sécurité ou trace d'émotion. Joyce dut abandonner cette idée et voulut de toute façon en tournant, retournant son progrès des fêtes de fin d'année les passer au traditionnel, sans invité, au calme dans leur maison paisible. Frances voulut inviter Dawn pour son tout premier véritable Noël sans barrière d'être juive et c'est en acceptant qu'elle découvrit une autre culture ou religion. Frances invita Dawn et les êtres, comme il ne peut pas dire non à sa nouvelle meilleure amie, il accepte de l'accompagner, de venir à la toute dernière seconde...
Noël est une fête très familiale en France. On y associe les bons repas, les bougies et les feux de cheminée. Il est bien agréable, le soir quand il fait noir, de se retrouver autour du feu et de se raconter des histoires. Une histoire de Noël bien connue est celle de Casse-Noisette. Les secrets d'un Noël en famille réussi, leur maison décorée même à l'extérieur. Une couronne de Noël avec de l'herbe, des feuilles et des fruits en plastique devant la porte souhaitant la bienvenue aux invités, des décorations absolument partout dans chacune des pièces, sur la rampe de l'escalier et sur la table, un menu de festin à la française, à l'anglaise et en Irlande d'une très bonne cuisine qui était extrêmement bourrative, un plan de table bien étudié alors que chacune sera quatre avec leur invitée d'honneur. Des paquets cadeaux personnalisés, un jeu de société pour prolonger la soirée.
Joyce met une buche dans le feu de cheminée et, fermant le foyer, veilla à ce qu'il soit un très bon feu en abondance, solide, qui ne s'éteignait pas aussi facilement. En se relevant, Joyce déclara qu'il prenait bien, en plaisantant avec sa mère et sa sœur, C'est une très bonne idée de faire du feu par cette chaleur surtout que l'on est en Californie. Mais tout ceci fut extrêmement positif et très joli magnifiquement dans les autres pièces. Joyce mit la climatisation et voulut garder de la fraicheur rare. Buffy décora son sapin de Noël, un grand majestueux arbre très joli en parfaite santé et surtout de bonne qualité qui couta cinq-cents dollars, symbole du renouveau de la vie, il est un thème traditionnel païen que l'on retrouve dans de nombreuses religions archaïques. Il rappelle également l'arbre de vie de la Genèse. Le sapin et l'épicéa étant des conifères à feuilles persistantes, ils sont des symboles de renaissance lors du solstice d'hiver. Avec des cierges que Joyce avait elle-même hérité de sa grand-mère. Roi des forêts, le sapin, qu'il soit naturel ou artificiel, gouverne l'ambiance de notre salon à l'heure des fêtes. Alors pas question de rater sa mise en beauté. Trois guirlandes scintillantes de couleur en harmonie, environ quarante boules de Noël et que chaque couleur restait ensemble et il y en avait des couleurs sombres et brillantes, claires et des idées très originales et spéciales y étaient accrochées, dont Buffy était sûre et certaine qu'il n'allait pas y manquer dans ce grand sapin, des nœuds, des étoiles, des décorations de chevaux brillants, des pointes de flèches en formes de gâteaux, des bougies à pile dans une grande simplicité jusqu'à ce que Joyce proposât, Ange ou étoile ?
En ne pouvant s'empêcher de rougir très clairement, profondément à en y voir à peine ses joues rouges, rosées et chaude, en se contrôlant et restant calme, Buffy dit, en rougissant, Buffy déclara en essayant de ne pas aller trop vite ou en précipitation : "l'ange... l'ange."
Ce sera donc l'Ange qui sera fixé cette année au sommet du sapin. Joyce sortit des cadeaux, elle offrit trois grands paquets pour Dawn qui fut autorisée à les ouvrir tout de suite et, ceux qui furent déposés au pied de l'arbre, étaient rangés deux grosses piles de cadeaux tous deux pour Buffy et Frances. Il y en eut beaucoup plus, car Hank avait fait amener les cadeaux spéciaux en plein et plus pour ses filles qui furent très heureuses…
Pour le soir de Noël, Buffy s'était habillée d'un débardeur bleu nuit noir comme la nuit le serait avec des millions et des millions d'étoiles feront leur apparition durant la nuit si particulière et spéciale que Buffy s'y enveloppa et pour ce qui en était du vêtement inférieur serait une longue jupe moulante noire. En se coiffant, elle se fit un magnifique chignon invisible avec des pinces à crocodiles, avec, dans ses cheveux, un papillon brillant en argent...
Et pour ce qui était de Frances, elle fut vêtue d'une robe à bretelles sans manche rouge et rose sous forme de petits carreaux. Ses cheveux étaient coiffés dans un brushing que Joyce avait fait pour elle-même et à cause de sa proposition, à essayer dans ses cheveux la même coiffure en plus des boucles qu'elle avait confectionnées dans ses cheveux mis en avant contre sa poitrine et retenue par un serre tête.
Quant à Dawn, elle était habillée élégamment avec un pantalon de soirée classique et un pull bleu à col roulé très léger qui allait à toute saison, avec des manches s'arrêtant aux coudes... Pour ce qui était de sa coiffure, elle fut coiffée d'une longue tresse qui commença à la racine des cheveux collée au crâne et qui allait parfaitement sur l'épaule et des mèches encadrant son fin visage.
Pour l'entrée du repas, l'apéritif, il y avait des chaussons épiceries et salés, du saumon fumé, des hors-d'œuvre. Ce fut comme un buffet à la nourriture tiède ou froide, du crabe, un homard, des crevettes et des gambas et des tartines. En entrée, il y eut des huitres, une bonne douzaine.
Il y avait en boisson de l'eau dans un pichet, il y avait des cocktails sans alcool fruités, du rhum pour parfumer le tout ou des boissons zéro alcool à l'intérieur…
Il y eut une délicieuse dinde farcie au jus à la sauce pour empêcher que cela sèche et des pommes de terre cuites au four et puis un jambon fumé au grand choix de chacun…
En dessert, il y eut des glaces et la buche entièrement chocolatée.
Dawn reçut comme cadeaux un livre expliquant la bible pour les enfants du commencement, c'est-à-dire l'ancien testament et la continuité dans le nouveau testament, en images. Le second fut un second livre sur l'histoire, la géographie, la mer et la nature aquatique et la biologie « comment faire un enfant et suivre la grossesse » et la météorologique. Le troisième cadeau fut des articles de maquillage et comment se coiffer avec un livret d'explication pour enfants. Dawn en eut les larmes aux yeux et enlaça Joyce étant dans ses bras un long moment comme le ferait une mère pour une enfant calme, douce et paisible… Comme le tableau fut si beau que l'on se doutait bien on aurait dit un instant une mère et sa fille, son enfant….
Buffy fut particulièrement gâtée, mais cela ne comptait pas, car il y avait plus beau, plus émotif, plus fragile et magnifiquement beau dans ce qui se serait passé avec Joyce et Dawn. Mais son plus beau cadeau fut de courtes vacances, ne serait-ce qu'un soir, une nuit et une journée complète sans se soucier du danger qui n'arriverait pas car c'était Noël, comme un remerciement des démons pour se protéger et fêter dignement ce jour particulier des humains.
19 Janvier, 1997
Très extrêmement tôt le matin, alors que le soleil commençait à apparaitre vers l'est à un point d'appuis de lumière lumineuse du soleil commençait à rentrer par les fenêtres du rez-de-chaussée dans le salon, ce matin-là, le 19 Janvier, Buffy se réveilla à l'aube peut-être même avant l'aurore de l'aube, dès six heures du matin. Cela se comprend et était excusable en venant la peine, car c'était un grand jour en cette journée-là. C'était son anniversaire. Buffy fête ses seize ans. Elle était allongée sur son ventre, la tête de son cou d'un côté était à moitié encore, elle se redressa pour regarder l'heure. Joyce lui avait dit la veille d'attendre le soir pour déballer, obtenir ses cadeaux. Elle devra attendre toute la journée durant suivant ses cours, ses camarades de classes jusqu'à l'entrainement de Giles, et non seulement cela, mais le seizième anniversaire de Buffy était en ce jour mémorable de fêter sa venue au monde, faisant d'elle la cinquième tueuse enregistrée sans que d'autres dossiers, d'autres journaux soient détruits brulés ou disparus de l'immense bibliothèque du quartier général du Conseil des Observateur. La plus âgée de l'histoire connue, il ne pouvait s'empêcher de sentir que pour une fois dans sa vie, que tout allait bien et pour le mieux... Il lui avait offert un livre d'encyclopédie, le plus rare au monde, des tueuses, les plus grandes, les plus fortes et dont celles que personne ne voulut se rappeler ou les voir se détruire que ces parties de l'histoire n'eurent jamais eu au commencement de l'antiquité jusqu'à nos jours avec des informations bien que trop précieuses. C'était un livre des plus rarissimes, l'on pouvait voir la connaissance et tous les secrets seront dévoilés, un livre révolutionnaire qui fit que l'on apprit que certains sujets, certaines choses interdisaient au Conseil, coutant une fortune due à sa rareté et totalement complet... Willow et Alex aussi lui offrir de splendides, magnifiques cadeaux comme celui de Willow lui offrant un attrape rêve conçu comme autrefois les amérindiens s'en servaient...
Buffy organisa pour sa fête d'anniversaire un lendemain, soit un samedi ou un encore mieux qui cela arrangeait, préférait le dimanche … Avec Willow, Dawn, Alex et Cordélia, Frances serait des leurs, un cours moment, avant que Hank vienne la chercher pour préparer le cadeau du spectacle de patinage artistique…
Le soir venu, alors qu'il faisait nuit noire, tandis qu'alors Joyce ne put profiter pleinement de la fête d'anniversaire et partager ce moment avec ses filles, car elle ne put se désister pour une soirée de vernissage concurrente, elle était rentrée précipitamment pour changer sa toilette en une robe de soirée après avoir pris une longue douche et se prépara pour une coiffure en brushing et du léger maquillage. Frances lui dit qu'elle était vraiment très belle. Elle s'était habillée et puis elle donna les instructions et les règles à Buffy pour s'occuper d'elle-même et de sa sœur, il y avait bons nombres de restes des repas préférant et puis sortit...
La nuit venue en sentant la présence d'un maître-vampire dans la maison, grâce aux picotements, à l'arrivée de son cou et ils étaient familiers, ne présentent nullement une menace, un danger mais beaucoup plus en sécurité, rien à craindre ou menace, aucune dans la maison. Buffy monta les escaliers jusqu'à sa chambre où Angel s'y était réfugié le soir, chez Buffy. La jeune fille rentre dans sa chambre et cherche son hôte caché dans les ombres.
Elle murmura son nom comme un réflexe pour être sur ses gardes. Il lui dit bonsoir... Et puis se disputèrent silencieusement en de bons termes.
Elle allume sa petite lampe de bureau en lui expliquant qu'elle lui avait apporté à manger, une grande poche de sang. Et cette journée, comment s'était-elle déroulée, Angel ? Il tourne rapidement la tête vers le bureau et lui expliqua qu'il avait lu un peu… Et puis Ensuite, il avait réfléchi à des tas de choses. "Buffy, je…" sur le point du rebord à dire, à révéler un secret. Buffy suivit son regard, elle voit un petit livre sur la table. Son journal. Il avait osé lire son journal intime reconnaissant le cahier rose, blanc et rouge à carreaux avec d'autres cahiers de comptes ou un peu de papier. Elle lui déclara, furieuse, qu'il n'a pas le droit sans lui demander la permission et quand même ce fut le cas et, bien entendu, elle lui aurait interdit et qu'elle n'est pas d'accord ! Puis Elle le range dans un tiroir. Un journal c'est très intime ! Et puis Buffy tourna en rond en bégayant et parlant sans queue ni tête. "... Et je ne sais même pas de qui je voulais parler ! Un canon ça peut être très péjoratif. Et quand je dis que tu as les yeux très pénétrants, je… je veux dire que tu les as marrons !
Angel essaya de l'interrompre, de la supplier de l'écouter en lui expliquant, mais en vain...
En continuant sans rendre compte que l'on était tenté de l'interrompre, elle poursuivit "... Et le « A » c'est pas du tout pour Angel, non pas du tout. Ça remplace Achmed, un charmant étudiant étranger. Et tous ces rêves que je décris, ça n'a rien à voir avec toi, je t'assure."
Et puis enfin un miracle se produisit, Angel réussit à la calmer, en lui expliquant que sa mère a déplacé le journal quand elle est venue ranger. Il l'avait vu faire de sa cachette dans l'ombre d'un placard. Je n'aurais pas osé l'ouvrir ainsi, pénétrer dans sa vie intime de son corps de ses tristesses et pleurent son adolescence l'ouvrir. Buffy hocha la tête en murmurant un "oh...oh"
Angel reprit calmement ce qu'il avait commencé à dire. La conclusion de ses réflexions, c'est qu'il vaut mieux en rester là. Quand on est ensemble… Elle ne semble pas avoir entendu ou n'eut pas conscience qu'elle continua, qu'il disait et continue son discours sur un ton d'excuses : "Ça va, laisse tomber. Ça ne fait rien, on ne va pas en faire tout un pot…"
Angel parla d'elle comme s'il était en elle et ressentant tout sur elle, ses émotions, son corps, ses muscles, ses os, sa chaire en devant sa personne : "que je n'ai qu'une idée, qu'une obsession, t'embrasser, te prendre dans mes bras."
Buffy réagit avec douceur, tendresse enfin aux paroles du jeune homme, lui murmurant d'entrer dans ses bras. Ils se rapprochent de plus en plus et finissent par s'embrasser tendrement, mais il se recule de son étreinte soudainement et lui tourne le dos. Ce fut du pur bonheur. Subitement pendant un bref moment Angel trembla et lui dit au combien il était désolé avant de lui montrer son visage et qu'elle hurla de terreur avant qu'il ne disparaisse de sa fenêtre...
Alerter par les cris de Buffy, Frances rentra en trombe, se précipitant, elle lui demanda si elle avait vu une bête sauvage ou rien, un voleur, un tueur de multiples personnes. Mais Frances savait mieux et il demanda si c'était son petit-ami secret et qu'elle en avait bien un et que c'était inutile de mentir, n'est-ce pas ? Elle va tout raconter à leur mère, ce qui s'était passé car elle fut une mauvaise gardienne d'enfants et que jamais leur mère, Joyce, aurait dû faire confiance à Buffy. Alors qu'elle s'apprêtait à quitter la chambre de sa sœur, Buffy s'exclama : "Frances... Attend. Je vais tout t'expliquer, je te le jure, ne dit rien aux parents et à maman."
Il s'agissait d'Angel et de son premier baiser d'amour... Le plus beau cadeau d'anniversaire, mais ne put résister à elle, il était si faible concernant les sentiments profondément humains de l'amour, la douceur, les cœurs, l'amitié et le romantisme. Elle devrait en discuter avec Angel. Il était son petit ami après tout, ayant sauvé sa vie et celle de sa sœur plusieurs fois au moins...
-Spike et Drusilla avaient fuis la Pologne pour se rendre en Tchécoslovaquie, en passant des moments de paix et de calme, se calment sans réaliser que leur vie devint un côté paisible, heureux au quotidien en se faisant une routine.
-Drusilla aimait, adorait les enfants avec de nombreux de bébés, tandis que Spike aimait les filles, les femmes dans de belle, robe. Il aimait les offrir à sa princesse sombre des ténèbres.
-Ils provoquèrent la guerre, la destruction, le carnage, dangereuse destruction, mort dans l'histoire de l'humanité ses trois mots iraient ensemble
-Spike et Dru sont attaqués par une foule en colère à Prague et rentrant par la même occasion en Tchécoslovaquie. Drusilla a été enlevée et sévèrement torturée comme un signe d'avertissement pour que d'autres vampires restent à l'écart de la ville. Spike a tué son ravisseur et a sauvé Drusilla dans un état affaibli.
-Spike fut retenu prisonnier, torturé, exécuté, ne pouvant mourir avec la corde au cou et en étant captif, blessé grièvement.
-Spike fut captif, dérobé, dévalisé puis enlevé par un chasseur de primes et puis Drusilla fut appropriée et chapardée par des chasseurs de démons.
-Spike fut envoyé, déporté vers des bâtisses solides dans un quartier en ruine et Drusilla fut transférée en déportation vers un lieu inconnu que personne ne connait, même pas les démons ou chasseurs de primes et chasseurs de démons. Celui-ci fut simplement que ce que presque personne ne connaisse, sauf quelques personnes dignes de confiance.
- Les chasseurs de démons furent tous accusés d'être du côté des humains. Qu'ils assénèrent de graves blessures et que l'on cachait des choses et feront gouter un avant-gout en laissant un avant-gout des plus amères qu'a connu l'humanité. Une nouvelle promesse qu'ils se vengeront, mettant pour appuis de tout le fléau de l'Europe tout ce qu'ils ont fait et pris de plus graves répercutions que ce que ce peuple de démons n'aura jamais connu, anéantissant tout sur leur passage, brulant, enflammant leur cachette, leur fuite pour détruire ces deux membres du clan Aurelius.
La prochaine chose dont Drusilla était consciente était une sensation bizarre, nageuse, dans le creux de son estomac et la sensation de tomber. Elle s'assoie debout dans son lit, seulement elle devait rêver car, ne se souvenant que de très peu de choses dans un manoir où ils y vécurent après avoir mangé, dévoré dans du sang jusqu'à la dernière goute, les propriétaires et toute la famille furent assassinés sans remord parce qu'elle était dans son lit, dans des draps moelleux, doux comme son matelas dans son vrai lit et même dans sa chambre qu'elle s'était appropriée en venant vivre dans cette maison, ce foyer. Elle tendit la main pour la passer sur les draps en dessous, ne sentant rien d'autre que sa peau fraiche, soyeuse, mais - oh, Dieu - c'était sa main qui se toucha. Les doigts étaient longs, gracieux et blancs comme un os.
C'était un rêve très lucide, véridique et merveilleux, chaque détail minutieux dans une mise au point et une technologie nouvelle, austère, pratique faisant appel à l'électricité ou les fils étaient très minutieux, fragiles et souples, petits en rouge, noir, bleu et blanc. Elle leva les deux mains devant son visage, les tournant de telle ou telle façon. Elle remua ses doigts comme une princesse piétiste, les faisant danser sur des touches de piano, elle ressemblait à une princesse, une princesse Barbie comme elle aurait prénommé les petites filles, la jeune femme vampire était élancée, féminine, dont ses courbes étaient superbes, magnifiques, ressemblant à une jeune fille ou jeune femme non mariée comme à l'époque de la belle époque ou l'époque Edwardienne, émerveillée par les jointures minces et les ongles soigneusement manucurés. Le vernis noir était impeccable, quelque chose qui restait fantastique, beau, merveilleux, admirable et avec de la chance, sinon il y aurait des morceaux de vernis qui s'effriteraient comme lorsque l'on passait beaucoup de temps à frapper des choses. L'étrangeté de la situation a été émoussée par le fait qu'elle avait tellement, terriblement faim. Son milieu semblait creux. Et c'était très compliqué, complexe et étrange, car elle avait dévoré plusieurs êtres humains en quatre jours et habituellement cela lui suffirait à tenir, et donc il ne resterait plus qu'une solution. Drusilla et Spike partiraient à la chasse à la nuit tombée...
Un rire chaud de l'autre côté de la pièce fit claquer ses yeux vers la porte. À sa plus grande affection de bonheur de joie et de protection, Spike se tenait là, les poings sur les hanches, se moquant apparemment. Le fait est qu'il la câlinait et la taquinait. Drusilla appuya, pressa sa tête et ses cheveux longs étaient soyeux contre ses seins nus, sabordé contre la tête de lit, puis sur le côté du lit le plus éloigné de lui. Quelque chose de magnétique, d'électrique comme telle une force centrifuge, Drusilla se trouva inexorablement attirée par son prince noir... L'amusement s'enfuit du visage de Spike et il s'assit lourdement sur le bord du lit. Il a pris une de ses mains dans la sienne, et ses doigts n'étaient ni chauds, ni froids, juste un peu plus rugueux que les siennes. La peur d'être découvert par des humains menaçait de l'étouffer et était écrasante. Elle était touchée par un vampire maléfique et sans âme, faisant l'amour plusieurs fois par jour, sans jamais être épuisée, sans respirer pour ne pas manquer d'air pur dans les poumons. Il y avait des instants seuls où Drusilla se mettait toute nue dans son lit. Elle faisait courir ses mains, ses doigts contre sa poitrine, son ventre et plaçant un doigt à son entrée, s'allongeant au milieu des draps et faisant appel, venir son plaisir d'orgasme...
Spike la regardait toujours sens cesse avec inquiétude, alertant à tous ses désirs en voulant faire d'elle la plus belle, en la protégeant dans les yeux, ce qui provoquait des sentiments plus agités. Elle flottait sa main libre, effleurant les doigts forts de Spike, effleurant légèrement ou passant un voile contre sa paume, les nerfs la rendant agitée. Elle respirait en faisant bouger sa poitrine comme une humaine, une mortelle ordinaire contre sa poitrine pour garder la maudite chose immobile.
L'absence de ce que Spike considérerait comme « quelque chose de savoureux » la soudainement rendu heureuse. En présence de sang, elle savait ce qui fallait, connaissant leur nature naturelle de démons suceurs de sang vu plus d'un vampire perdre son sang-froid et devenir rien de plus que son désir de se nourrir. Comment le corps de Drusilla réagirait lorsqu'on lui présenterait un repas avec faim, calme de lenteur, prenant son temps pour avaler goulument ? Elle croit dans un point de vue humaine avec une âme de pureté, que Drusilla pourrait vivre avec soi-même si d'autres humains se détruisaient, se battraent pour obtenir du sang directement à sa source originale, mangeait quelqu'un. Il lui est venu à l'esprit que Spike ne serait pas très loin à attendre pour cela, avait probablement l'intention de lui ramener, des proies potentielles comme de belles jeunes femmes terrorisées mais fort belles. Alors maintenant, elle souffrait de douleurs de faim parce que Spike était à la recherche de nourriture.
Spike se tourna pour lui faire face, inconfortablement proche. Drusilla pouvait le sentir. Pas comme s'il s'enfonçait, juste un parfum très clair qui lui appartenait. Doit être le corps de vampire dans lequel elle était, pouvant sentir et ressentait le corps fort, puissant pour Drusilla et qu'il la protégeait, car elle pouvait sentir beaucoup d'autres choses aussi. La poussière, le vieux vernis à bois, quelque chose d'épicé mais faible, les autres vampires dans la pièce, ainsi que des cigarettes et du cuir. Les deux derniers faisaient partie de Spike, mais étaient séparés de tout ce qui le rendait unique.
Drusilla étendit les bras au-dessus de sa tête pour pouvoir ainsi étirer chaque parcelle de son corps, les muscle, la chaire, cambrant son dos et appréciant la façon dont les draps se déplaçaient sur sa peau, toute sa peau. Drusilla dormait toujours nue ou après s'être endormie, satisfaite et comblée que son corps ait reçu du plaisir, du bonheur heureux ;
Il y avait un ronronnement à côté d'elle, et elle tourna la tête pour voir Spike allongé sur le côté, la tête appuyée sur une main, la regardant. Le drap rouge était entouré autour de sa taille et de sa poitrine qui, celle-ci, était nue. Ses yeux descendirent en quelque sorte de son sourire narquois à son nombril, et Drusilla se demanda s'il était entièrement nu comme elle mais il avait mis son pantalon noir en jean, ses yeux s'écarquillèrent de confusion parfois, en se demandant jamais ce qui pourrait l'étonner et revinrent vers son visage. C'était un jour où Drusilla ne pensait pas à Spike nu. Pas du tout. Le vampire en question souriait plus largement maintenant, et il a fait une chose avec sa langue, derrière ses dents, qui a relancé les flottements, qui lui promit d'être, de créer des yeux ensemble expérimentant diverses positions...
Drusilla s'est rapidement détournée et elle s'est assisse sur le bord du lit, en se levant pour se tenir debout, et en fouillant divers vêtements pour elle dans sa garde-robe, elle pouvait entendre Spike se lever et les bruissements qu'elle supposait être qu'il s'habillait. Il s'est promené devant son amour, et étrangement elle se retrouva à être pudique, instinctivement elle mit ses bras sur sa poitrine et elle s'était assurée que ses genoux étaient serrés ensemble. La logique voulait qu'il ait tout vu auparavant, probablement beaucoup, beaucoup de fois, Il avait une robe à la main, une belle noire. Elle enleva une main de sa poitrine et l'a mise dans la sienne. Il était doux alors qu'il la tirait vers le haut et s'assurait qu'elle pouvait rester debout avant de porter la robe au-dessus de sa tête. Derrière elle, il l'a aidé à guider le tissu en place, tirant ses cheveux hors de l'encolure et attachant l'arc. Pour un vampire maléfique, il aurait fait une excellente femme de chambre.
Prenant son coude, il l'a conduit à une vanité et l'a assise sur le tabouret. Il y avait un miroir qui pouvait être décrit sans n'y avait pas de miroir, bien sûr. Le vide à l'intérieur d'elle était douloureux et elle l'a mis ses mains sur son ventre alors qu'une secousse de misère traversait son milieu. Il a pris le coude et l'a aidé à se relever, bien qu'elle fût moins, qu'elle était souvent et toujours stable cette fois, et l'a conduit à l'endroit où de nombreuses poupées à l'ancienne étaient disposées sur une commode. Il l'a assise sur une chaise et a ouvert l'un des tiroirs, pour révéler de nombreuses tenues, des rubans et une version plus petite de la brosse à cheveux qu'il avait utilisée sur elle. Agenouillé devant elle, Spike posa une main sur chacun de ses genoux et la regarda dans les yeux, « Tu prends soin de tes poupées, pendant que je vais faire des courses, tu verras, tu ne pourras pas voir le temps passer...
Un battement d'ailes qui tentèrent de voler du coin a attiré son attention. Il y avait un perroquet, dans une cage. Façon d'augmenter le facteur impair. Faisant attention à ne pas tomber et glisser sur l'ourlet de sa robe bien trop longue pour elle, elle s'est frayé un chemin jusqu'à lui. Il ne semblait pas y avoir de nourriture ou d'eau, même s'il y avait des endroits pour les mettre. Trouvant un sac de graines d'oiseaux dans une boîte à côté de la cage, Drusilla nourrit l'oiseau, qui a crié de gratitude. L'eau était un peu plus difficile à trouver. Elle pouvait le sentir cependant, et elle a trouvé un bassin sur un support derrière la porte. L'eau semblait propre et elle en mit rapidement ramasser et l'ai ramené à l'oiseau. Se demandant qu'était son nom, elle choisit de le prénommé Lorenzo En se concentrant, elle pouvait entendre son petit battement de cœur rapide, ce qui était beau et magique à entendre...
Ennuyée à nouveau, Drusilla se promenait dans la pièce. Sous quelques chemises sales de Spike, elle y trouvait dans une male toute une collection, une pile de livres appartenant à Spike -William-. Ils semblaient tous être le genre de choses que l'on pouvait étudier à l'école et ce qui lisait à l'école. Il y avait un exemplaire de « Orgueil et Préjugés », alors en haussant les épaules et elle s'est recroquevillée sur le lit pour continuer à travailler sa littérature.
Il voulait évidemment que Drusilla le câline. Au lieu de cela, elle s'était allongée sur le dos, fixant le plafond. Il a attendu une minute, jusqu'à ce qu'il soit clair qu'elle ne bougeait pas, puis il a commencé à lire en haut de la page qu'elle avait laissée. Sa voix était riche et chaude, et son accent sonnait différemment - plus doux, plus semblable à un Britannique. Comme elle n'avait rien d'autre à faire et nulle part où aller, elle a laissé les mots et la voix de Spike la submerger.
Au bout d'un moment, Drusilla réalisait que sa poitrine vibrait légèrement. C'était un grondement bas qui a culminé au fond de sa gorge, elle ronronnait. Ses yeux qui avaient été en berne se sont rouverts. Elle a levé les yeux vers le vampire qui lisait, seulement pour trouver ses yeux qui scintillaient vers elle.
"C'était agréable de la voir si heureuse, amour."
Il passa un doigt sur sa joue, brossant une mèche de cheveux derrière son oreille. C'était un geste si familier et intime de sa part qu'elle se sentait gênée d'en être le centre d'intérêt. De toute évidence, il avait des sentiments très profonds pour Drusilla et elle s'est une nouvelle fois allongée, elle démissionnait qu'il n'y avait rien qu'elle pouvait faire pour le moment. Se déplaçant dans le lit, Spike s'allongea à côté de Drusilla. Il a continué à lui caresser les cheveux, des touches légères qui se voulaient apaisantes. Ce qui a vraiment incité la perruque, c'est qu'elle trouva réconfortant. Son corps s'est détendu. Elle n'osait tout simplement pas tourner la tête et rencontrer ses yeux. Le plafond était beaucoup, beaucoup plus sûr.
Le seul problème était que peu importe à quel point les robes étaient jolies, ce n'était pas Drusilla malgré le fait qu'elle continuait à avoir envie de rêves de porter certains vêtements qui ressemblaient à la mode lycéenne des années mille-neuf-cent quatre-vingt-dix. Elle aimait plus que tout se vêtir en rebelle, tout comme Spike, le look rétro. Était-ce encore rétro ? l'avait-elle déjà remarqué ? Eh bien, que Drusilla l'ait fait ou non, elle ne l'avait pas fait et elle a toujours eu ce souhait de s'habiller, son corps emprunté avec des vêtements qui semblaient démodés depuis un siècle. Drusilla trouvait toujours un côté rassurant de prendre l'indice mais le comprendrait-elle ?
Faute d'une meilleure idée, trouvant ce jeu de s'habiller comme ses parents ou ses grandes sœurs, Drusilla attrapait l'un des t-shirts noirs de Spike et l'enfilait. L'ourlet est tombé à mi-chemin de ses genoux et Drusilla se sentait un peu mieux en fouillant dans le désordre. Au fond du dos, sous une autre robe noire, elle a trouvé ce qu'elle cherchait : un jean ! Ils étaient bien ajustés et un noir en détresse avec un trou dans un genou qui semblait être là exprès, mais ils fonctionneraient à merveille. Les sous-vêtements n'existaient pas dans le vocabulaire de Spike ou de Drusilla, alors elle était allée de l'avant et elle commença à les enfiler. Elle les avait jusqu'aux genoux, quand Drusilla entendit la voix paniquée, à peu près sûr, de Spike.
« Drusilla ! » Il soufflait « Dru, où as-tu ?! Dru ! » Le dernier sonnait presque comme un sanglot, ses cris, ses plaintes de mendicité, de pleurs et de cris quand Spike retrouva Drusilla, avec une certaine émotion, comme s'il respirait après une longue course, après une pleine crise de panique en la regardant, il l'enlaça rapidement dans ses bras, la serrant fort dans ses bras, comme s'il craignait qu'elle ne disparaisse…
Son visage s'adoucit. "Reste avec moi, s'il te plaît. » Sa voix plaidait. C'était pathétique. C'était le vampire effrayant qui l'inquiétait tant ? Il allait en morceaux parce qu'il pensait que sa petite amie était lucide, assez longtemps pour donner son dîner à un oiseau. C'était triste, et aussi un peu doux. Drusilla pensait qu'elle pouvait travailler cela en sa faveur.
Ses pensées tombaient encore et encore comme du linge dans la sécheuse, et comme un quart ennuyeux avec les chaussettes qui frappaient à chaque rotation, son esprit continuait à vouloir évoquer le baiser de Spike. Elle s'était dit que c'était juste parce que c'était une telle surprise. Toute la situation était si mauvaise à tant de niveaux. Il était méchant et il se montra encore plus humain que n'importe quel être vivant quand il embrassait sa petite amie. Donc, les orteils de curling mis à part, elle dû ignorer que cela s'était déjà produit, ce qui était tellement plus facile à dire qu'à faire. Surtout quand il était assis juste à côté d'elle, volant des regards quand il pensait qu'elle ne regardait pas. Spike s'affaissa de soulagement, la tête tombant vers l'avant. Dru commençait à se faufiler sous son bras, se sentant mal à l'aise. S'il y avait des ennemis parmi leurs serviteurs et autres minions, un pieu parce qu'il ne le verrait donc pas venir en ce moment. Elle le ferait totalement aussi, sans hésiter juste parce que cela laisserait Drusilla sans protecteur. Elle ne le ferait totalement, pas volontairement, elle s'est rassurée.
Drusilla a à peine fait un mouvement, que les mains de Spike sont tombées sur ses épaules. Puis ses lèvres étaient sur les siennes, affamées et exigeantes. Elle ne se sentait pas chaude, elle se sentait heureuse, ni même flottante, non - c'était de la lave fondue qui l'inondait. Elle s'est figée, ce n'était donc pas avec le bon. Il s'est rendu compte que Drusilla ne l'embrassait pas en retour, alors Spike s'est arrêté et s'est éloigné, la regardant à travers des yeux cagoulés.
Elle était toujours assise devant une vanité, et pendant un moment, Drusilla, confuse, mais, sans un pas de miroir. Elle était au bon endroit. Les odeurs normales du manoir se sont précipitées dans son nez alors qu'elle se souvenait de respirer. C'était presque accueillant.
« Penchez la tête en arrière, Pet. » Les mains guidaient sa tête pour qu'elle s'incline jusqu'à ce qu'elle regarde presque droit vers le haut. Spike se pencha et lui sourit, les lignes et les angles de son visage maintenant familiers. Son sourire s'est transformé en un sourire total, avec des fossettes, ce qui devrait vraiment être illégal. Il n'avait pas le droit d'avoir l'air aussi bien, c'était injuste. Elle ferma les yeux, se souvenant, se rappelant de qui elle était amoureuse, sinon son cher Angel, Spike viendrait au second plan, mais elle n'a pas pu effacer complètement son propre sourire loufoque. Les papillons qui volèrent dans son estomac habituel sont revenus, cette fois avec des renforts.
Spike s'agenouilla à côté d'elle alors qu'elle s'asseyait sur le banc de la vanité. Il a pris une de ses mains, caressant le dos avec son pouce. Son visage a changé, et cela lui a fait du bien, comme gratter une démangeaison. Le couloir avait l'air beaucoup plus léger maintenant, et la brute devant elle beaucoup moins effrayante. Elle n'était toujours pas à pleine puissance, mais elle n'était plus non plus une flaque d'eau sur le sol. Elle amenait son poing dans un crochet gauche, attrapant le jerk par surprise. Elle s'est éloignée de lui, sifflant. Drusilla passait sa langue sur ses crocs, émerveillée de voir à quel point il était normal qu'ils soient là. Elle a ri. L'autre vampire lui a fait une fente, mais elle a dansé hors de son chemin. Elle a facilement esquivé un jab gauche et lui ai fracassé le coude dans le nez avant de lui déplacer à nouveau hors de portée. Elle avait besoin d'un pieu - pourquoi diable n'y avait-il pas de bois dans tout cet endroit ?
Spike rugit alors qu'il se déplaçait dans son visage de démon et elle n'a pas pu s'empêcher de rire à nouveau, il est si beau. Elle voulut le toucher, le goûter. Toute cette puissance et cette grâce étaient les siennes. Son intérieur s'est à nouveau fondu alors qu'elle regardait avancer dans le couloir. Le vampire stupide qui a osé le défier était tellement stupéfaite que l'imbécile ne savait même pas qu'il devait courir. Dans un mouvement lisse, Spike a arraché un tuyau lâche du mur et l'a filé, le croquant dans la tête du crétin. La grosse vamp est tombée et avec deux coups plus puissants du tuyau, sa tête a été suffisamment coupée pour que l'idiot inutile puisse dépoussiérer.
Laissant tomber le tuyau, le jeune homme s'est dirigé vers son côté. Il l'a ramassé, le tourbillonnant. Elle laissait sa tête retomber, son rire lui résonnant depuis le couloir vide.
S'arrêtant, il pencha la tête vers le bas pour frotter son nez contre sa joue. Elle voulait – avait besoin – de plus, et avec un grognement, elle pose ses mains sur ses épaules et réclame sa bouche. C'est féroce, leurs langues s'emmêlent les unes autour des autres.
Le lit à côté d'elle a plongé alors qu'un poids en forme de spike s'y installait. Sa proximité a fait faire le point, et elle a été si surprise de constater qu'elle avait quelque chose qui la couvrait en plus des draps. C'était comme le t-shirt que Drusilla portait l'autre jour, et elle était absurdement reconnaissante pour la couche supplémentaire de protection. C'était trop. Tout était trop. Drusilla voulait faire cesser cette comédie, ce jeu de rôle d'être une femme amoureuse de son cher Spike -William- voulait sortir du manège en ce moment. Elle se sentait horrible, et pas seulement physiquement. Elle a causé l'inquiétude qu'elle avait vue sur le visage de Spike, et elle se souciait d'en être la raison. Ce n'était pas juste. Elle devrait se soucier, devrait se soucier d'un vampire, sauf si le vampire était encore de la poussière. Mais elle l'a fait. Dieu, ou qui que ce soit, l'aide, parce qu'elle l'a fait.
Drusilla avait tout simplement cessé et de révéler certains mots qu'elle l'aimait aussi, Spike. Elle était amoureuse de lui, et elle ne supporterait pas de le perdre à cause d'une chasse sans jamais s'arrêter de tuer, briser la tueuse devant un duel à l'épée avec des Tueuses. Elle aurait pu rester là à l'embrasser jusqu'à la fin des temps. Ses bras la tiraient si fort contre lui qu'elle pensait que ses côtes pourraient craquer. Après la ruée initiale, ses lèvres se sont adoucies et leurs langues ont dansé lentement ensemble. Ses mains étaient dans ses cheveux, perturbant son style sévère et gardant sa bouche fermement contre la sienne.
La colère des Polonais et du pays tout entier menaçaient de gronder au plus profond d'eux-mêmes en étant déjà furieux, terrifiés, les habitants s'étaient emportés de fureur et de rage, de l'amertume et d'une telle soif de vengeance. Ils voulurent retrouver ses deux vampires qui régnaient en maîtres dans ce pays et qui s'étaient cachés. Avant qu'une catastrophe ou un drame arrive pour eux deux, Drusilla et Spike réussirent à s'enfuir à cheval. Drusilla avait enroulé ses bras autour de la taille et du buste de Spike et était assise en amazone, les deux jambes du même côté.
Ne voyageant que de nuit, pour échapper à la lumière du soleil qui pourraient les tuer, ils se déplacèrent pendant cinq nuits consécutives avant d'arriver à Prague. Cette ville a toujours été dans leur projet de visite. Prague était en effet leur prochaine destination. Dans quelques semaines, cette ville brûlera. « Un joli feu » chantonna Drusilla avec exaltation, bonheur, joie et elle était si heureuse par cette perspective.
Spike et Drusilla se promenaient tranquillement avec désinvolture dans les rues carrelées de Prague, les mains entrelacées alors que le clair de lune jetait une douce lueur sur le couple aimant. Spike s'arrêta et se tourna vers Dru, essuyant amoureusement une tache de sang sur le côté de sa bouche légèrement ouverte. Il sourit, se souvenant comment ils se jetèrent sur une femme terrifiée il y a quelques instants, ce qui rendait toujours le dîner beaucoup plus délicieux. Plus elle criait fort, plus les dents de Dru s'enfonçaient profondément dans sa peau, causant à la fille une immense douleur, la conduisant jusqu'à la mort.
Dru attrapa sa main et la nicha dans la sienne. Spike regarda sa créatrice avec adoration. Dru l'avait sauvé de la misère de sa vie humaine où il s'était moqué de la société de la classe supérieure de Londres, après que la société se fut moquée de lui quand il était humain, et l'avait amené dans l'ombre avec elle. Maintenant, il était connu dans le monde entier comme l'un des vampires les plus cruels et vicieux jamais enregistrés. Il avait fait quelque chose de lui-même, quelque chose dont il pouvait être fier. Il n'était plus William Pratt, poète affreux et sanglant. Il était Spike, William le Sanglant, tueur des Tueuses. Et tout cela grâce à sa sombre princesse, Drusilla. Elle était là où il appartenait. Son salut. Sa déesse noire. Son amour.
Attrapant sa main, ils continuèrent dans la rue abandonnée. Il n'y avait aucun signe de vie nulle part, ce qui était inhabituel pour Prague. Pas de voitures bruyantes ou de gens bruyants qui conversent. Spike regarda autour de lui, sentant que quelque chose n'allait pas. Prague ne devrait pas être aussi calme un samedi soir chaud.
Spike a crié en tombant au sol, une flèche l'a pénétré dans son dos, près de son cœur. Il s'est retourné et a regardé une foule en colère de gens tenant des torches, des arbalètes, même des fusils. Atteignant une de ses mains derrière son dos, il tira la flèche avec un sifflement douloureux et se dirigea vers la foule, prêt à déchaîner sa fureur. Avant qu'il ne puisse faire un autre pas, des balles ont commencé à lui tirer dessus, le frappant aux jambes et à la poitrine.
Spike regarda les yeux se tourner vers Dru, comme s'il venait de remarquer qu'elle était là. Poussant à travers la douleur, il se leva plus haut et la poussa derrière lui pour la protéger de toute balle ou de toute flèche venant en sens inverse. Dans un rugissement, son visage s'est changé en celui d'un vampire et il a chargé la foule. La moitié d'entre eux se sont enfuis une fois qu'ils ont vu son visage se transformer en sa vraie forme. Les hommes loyaux, qui sont restés, ont livré un bon combat mais n'étaient pas à la hauteur de la force de Spike. Celui-ci a cassé les vertèbres de leur cou et les a tués avec leurs armes en quelques minutes. Juste au moment où il était sur le point de tuer le dernier, il s'arrêta tout net, entendant Dru crier son nom, effrayée.
« Spike ! »
Il se retourna et regarda cinq hommes comme des chasseurs des démons qui traînaient sa sombre princesse dans la rue. Sa robe blanche était recouverte par endroits avec du sang et des déchirures du tissus, laissant entrevoir sa poitrine ses seins ayant sans doute attrapé de multiples blessures pendant le combat. Juste au moment où il était sur le point de courir vers elle, un autre pistolet a explosé derrière lui, lui tirant dans les deux jambes à plusieurs reprises. Il s'est effondré au sol dans une immense douleur, essayant de ramper vers Dru, sans succès, alors que les blessures qu'il avait reçues commençaient à l'affaiblir gravement. La dernière chose qu'il a vue, c'est Dru qui lui criait dessus avant que le monde ne s'assombrisse et qu'il ne s'évanouisse.
Pendant les deux semaines suivantes, Spike a déchiré Prague dans ses efforts pour trouver Drusilla avec peu de succès. C'était un bain de sang que la ville n'oublierait jamais. Grâce à son lien d'amour, leur lien de la famille et de revendication ne les lient pas car jamais ils avaient terminé le rituel, en essayant toujours de faire sienne Dru. De son côté, elle n'a jamais désiré partager leur vie grâce au sang peut-être que certainement cela aurait fonctionné avec Angel mais pour Spike il n'en était pas question dans l'impossibilité d'être liée à jamais avec Spike. Ce jeune homme avait son propre destin, Cela dans une maison où ils vivaient aujourd'hui, au chemin institué et différent de ce qu'il vivait aujourd'hui, à présent et maintenant, il pouvait sentir qu'elle était encore en vie. Mais toute trace d'elle qui aurait dû être dans cette rue avait disparu. Il a suivi le chemin que son odeur avait emprunté au début – où la foule l'a traînée – pour s'arrêter en arrivant dans une ruelle abandonnée. Tout signe d'elle au-delà de ce point avait disparu. Comme si elle s'était envolée dans les airs. Ses ravisseurs étant capables de cacher son odeur de son nez sensible d'une manière ou d'une autre. Une fois qu'il s'est rendu compte qu'il n'allait nulle part en suivant son odeur, il a essayé une autre façon de trouver sa femme, sa déesse noire.
Mais dans les ruines d'une ville saccagée détruite dont de nombreux immeubles qui s'étaient effondrés à cause de la destruction, la guerre, la bataille qui s'effondre en ruine et complètement, totalement détruites. Dans l'espoir de retrouver Drusilla, il devait se méfier des chasseurs de démons ou des chasseurs de primes qui finirent dans une attaque, se préparant une chasse aux hors-la-loi des vampires surveillant, guettant les rues en encerclant un périmètre bien dans tous les angles, les points divers et que William avait appris lorsqu'il étant du temps où il était un enfant, apprenant les mathématiques, l'arithmétique et la géométrie. Il se fit prendre dans une course poursuite attachée, combattant jusqu'à l'épuisement, ne se laissant pas faire, une bataille, un combat des plus sanglant aux coups de points, mais malheureusement il perdit le combat...
A son réveil, sans s'en rendre compte tout de suite, il sentit qu'il portait à ses mains, ses bras et ses chevilles des fers, en essayant de bouger. C'est quand il a essayé de se lever qu'il a remarqué le détail le plus troublant jusqu'à présent. Ses bras étaient tendus de chaque côté et retenus par des chaînes, s'enroulant autour - peu importe ce contre quoi il était appuyé. Il leva le cou pour regarder autour de lui et voir. C'était un radiateur métallique à l'ancienne - qui heureusement était éteint en ce moment, pensa-t-il avec le premier sentiment de peur qu'il avait eu depuis son réveil. Bien que l'appareil de chauffage ait été éteint, il a essayé de tirer son corps loin de lui, mais a constaté que la position dans laquelle il se trouvait l'empêchait d'obtenir un effet de levier décent. Ses épaules et ses bras sont restés en contact avec le métal heureusement froid.
Leurs intentions ne pourraient pas être bonnes s'il était enchaîné comme ça - le pourraient-ils ? À moins que ce ne soit quelqu'un qui savait qu'il était un vampire, les chasseurs de démons et de primes travaillant en groupe et qui avait peur de lui... Mais dans ce cas, pourquoi n'était-il pas devenu de la poussière ? Ils voulurent le garder vivant pour le punir, pour voir le démon responsable de la tuerie du massacre des femmes et des enfants, en se faisait justice eux-mêmes, ils voulurent qu'il paie pour ce qu'il avait fait et commis.
Tout acte par lequel une douleur ou des souffrances aiguës, physiques ou mentales sont intentionnellement infligées à une personne : des aveux arrachés sous la torture. Souffrance physique ou morale extrême : un prisonnier, aussi appelé détenu, est une personne privée de liberté. Elle peut être retenue dans une prison, un pénitencier, un camp de prisonniers ou bien être en résidence surveillée, le mettant à mort. Une personne soutient la victime sous les bras et la soulève pour relâcher la tension de la corde. Une autre personne desserre la corde ou la coupe. La victime est allongée au sol en essayant de maintenir la tête dans l'axe du dos, par exemple, la personne qui a desserré la corde maintient la tête durant la manœuvre.
Le lacet étrangleur, aussi appelé garrot, ou garrotte, est une arme utilisée depuis l'Antiquité pour tuer par strangulation un adversaire. Les versions modernes de ce supplice judiciaire se faisaient avec un collier métallique, appelé garrotte, actionné par une vis, à travers un poteau auquel est attaché le condamné qui est assis sur une chaise ou un tabouret. Il y a écrasement du larynx et les exécuteurs savent doser leur vitesse pour faire mourir plus ou moins lentement ou rapidement le condamné, mais ne mourra pas, il fit semblant d'être en train de mourir en restant immobile pour qu'ils croient qu'ils avaient gagné.
Malgré sa captivité, Spike et Drusilla purent se retrouver et se parlèrent une dernière fois, avant qu'ils soient séparés comme une déportation dans des ruines des quartiers, autrefois si riches ou la haute société et vivaient, comme une grande place ou se située comme des champs Elysée de la Tchécoslovaquie. Spike fut envoyé, déporté vers des bâtisses solides dans un quartier en ruine et Drusilla fut transférée en déportation vers un lieu inconnu dont personne ne sait où il se trouve, même pas les démons ou chasseurs de primes et chasseurs de démons. Celui-ci fut simplement que ce que presque personne ne connait, sauf quelques personnes dignes de confiance. Elle aussi fut détruite psychologiquement, mentalement et physiquement. Les interrogatoires pour Drusilla, selon son désir, seraient agréables ou désagréables, comme torture c'était à elle de choisir et elle préféra que tout fut agréable... Elle était remarquable, digne devant la cours de nombreuses femmes de famille, qui avait perdu leur enfant en deuil, elle fit semblant de ne rien savoir, déclarant en répondant vaguement ou au-dessus de chaque question, son interrogateur lui dit qu'elle méprise les êtres humains, les lois de démons et politiques des créatures magiques de la nuit. Elle fut très rapidement torturée pour les organisateurs, le chef des chasseurs ne plaisantant jamais et voulut lui faire avouer des secrets des quartiers de démons et où était le Maître, les autres membres du clan Aurelius, Le Maître, Angel -Angélus et Darla. Elle refusa de leur dire qu'ils étaient tous aux Etats-Unis, plus précisément en Californie...
Un jour de miracle, alors que la nuit était tombée, ils l'emmenaient dans un chariot, une cargaison que Daniel Holtz réservait aux démons qui ne voulaient pas encore tuer, il réservait une intervention chirurgicale sur le cerveau, comme cela elle serait rendue docile, compréhensible et elle leur fera, elle leur dira tout ce qu'ils ont besoin de savoir, sauf si elle n'était pas devenue comme un légume ou si elle n'était pas morte, mais en cela, Daniel Holtz déclara que Drusilla ne serait plus un problème et il pourra la tuer...
Spike réussira à la délivrer, à la sauver du sort qu'il lui était réservée. Celui-ci fut simplement ce que presque personne ne connait, sauf quelques personnes dignes de confiance. Après avoir attaqué le leadeur des chasseurs de primes ou des chasseurs de démons.
A l'âge de treize ans, Buffy apprit, découvrit l'existence d'un autre monde parallèle à celui des humains, le monde du surnaturel, paranormal et le monde de la nuit, ainsi que la sorcellerie, la magie et les Tueuses de vampires.
-A l'âge de quatorze ans, Buffy apprit d'une manière brutale et de telle façon à ce qu'on lui brise, lui prenne son don d'autonomie, de libre arbitre et l'empêchant de faire un choix, elle deviendra une tueuse dès son prochain anniversaire.
-A l'âge de quinze ans, Buffy devient une tueuse de vampires officielle.
-Merrick s'est suicidé pour sauver Buffy et son amour pour elle la protégera. Après le décès de son protecteur, elle continua son destin, son appel, l'attirant comme un papillon de nuit à une bougie chaude, elle brula le gymnase de son école Hemery.
-Elle fut envoyée dans un institut de l'hôpital psychiatrique pour tout jeune de moins de dix-huit ans ou vingt-et-un ans en y restant trois mois.
-Après le divorce de ses parents, Buffy partit vivre chez sa mère et construisit un nouveau départ, une nouvelle histoire de famille et partit vivre dans la petite ville de Sunnydale et se fit de nouveaux amis, comme Willow et Alex.
-Frances se lia d'amitié avec la petite sœur de Willow, Dawn.
-Buffy fit la connaissance, la rencontre de son nouvel observateur, Rupert Giles.
-A l'âge de son seizième anniversaire, Buffy vécut son premier véritable baiser d'amour, ce qui changea sa vie pour toujours en devenant une petite adulte de jeune femme...
Frances Summers allait fêter son onzième anniversaire de cette année-là, à peine deux jours des seize ans de sa grande sœur Buffy pendant la période du temps ou la fillette était chez sa mère et sa sœur ainée. Elles avaient bons nombres de rituels toutes les deux d'on loin venait chercher à chaque anniversaire, en préparant une soirée du samedi soir avec Hank Summers, leur père, pour faire perdurer la tradition. Hank était venu rendre visite à ses filles en rapportant une surprise, qui était donc trois tickets, billets, pour une soirée de spectacle sur glace d'un conte, une histoire évoquant casse-noisette, comme histoire de conte de fée parmi des danseurs et danseuses extraordinaires et parfaitement parfait qui interpréteraient les personnages en hiver comme pour se rappeler, se souvenir que l'on était, malgré le mois de Janvier, proche encore de Noël et de sa neige.
Tandis qu'alors les deux sœurs de la famille Summers étaient un signal pour toute la famille et la maison que Hank Summers était revenu de Los Angeles à Sunnydale pour passer exprès de très bons moments d'un spécial fin de semaine, un week-end magnifique, magique pour les anniversaires spéciaux de ses deux filles. Frances était arrivée au tout début de l'après-midi, car tous ses cours ont été annulés pour cause d'une grande réunion pédagogique à l'école élémentaire primaire. Elles étaient oh combien heureuses d'entendre l'arrivée de la voiture de leur père. En ouvrant la porte, Frances se jeta dans les bras de son père en riant et pour lui apporter beaucoup d'énormes baisers partout sur le visage. Alors qu'il l'avait soulevée dans ses bras, Buffy vient se loger contre l'épaule de son père qui l'entourait pour une étreinte à trois. Buffy invita son père à rentrer en disant, en déclarant sur un ton curieux, mystérieux et avec beaucoup de tendresse, de s'assoir sur le canapé. Il sortit de sa poche intérieure de sa veste en tweed, très exactement trois billets pour chacun -un pour Hank, un pour Frances et l'autre pour Buffy- il avait pris pour trois spectacles différents mais qui n'avaient pas tous lieux le même jour en l'ayant fait exprès alors qu'en vérité chacun de ces spectacles sur glace jouèrent tous les jours, mais il voulut faire plaisir à ses princesses pour l'occasion de passer beaucoup plus de temps en famille.
Le spectacle numéro un était une représentation de patinage artistique du lac des signes, le second spectacle était une interprétation casse-noisette et enfin pour la troisième histoire, ce fut un spectacle réalisé par des enfants dans un monde magique, féerique du monde de Charlotte avec des amies qui aimaient les jus de fruit, une autre petite fille aimant réaliser des gâteaux, un jeune garçon qui aimait le sport et, en particulier, le skate board et pour finir l'héroïne avec dans sa maison en forme de fraises vivant avec sa petite sœur, son chien et son chat et qu'elle adorait les fraises et aimant se faire de nouvelles amies ainsi qu'un poney…
C'était tellement difficile pour chacune de choisir parmi les trois représentations, étant donné qu'elles décidèrent d'aller les voir jusqu'à la fin février -c'était à ce moment précis qu'ils resserrèrent de l'affiche les spectacles actuels et comme ceci ce sera une nouvelle histoire de famille.
Pour leur cadeau spécial anniversaire, les deux sœurs se mirent toutes d'accord à l'unanimité pour le spectacle de danse sur glace de casse-noisette. Le spectacle aura lieu le samedi, autrement dit le lendemain. En attendant, Hank dormira à l'hôtel et repartira à Los Angeles après la représentation et après les avoir ramenées chez Joyce…
Le lendemain au soir, Hank sonna au 1630 Revello Drive, avec, entre ses mains, un grand bouquet de Tulipe et de jonquille jaune de tous les couleurs qui était en sa possession cela ressemblait à comme si c'était le cas à une composition florale avec une carte de vœux et une citation pour son anniversaire spécialement inventé par Hank pour sa fille chérie de seize ans : « Tu n'es pas unique parce que c'est ton anniversaire aujourd'hui… Tu es unique tous les jours ! Vis aujourd'hui la vie dont tu veux te rappeler dans une dizaine d'années ! Les anniversaires sont bons pour la santé… Plus tu en as, plus longtemps tu vivras ! » La carte était en or et d'argent en forme de cœur…
Ce qui fut dans une ombre tristesse et de peine de déni était qu'ils devront se quitter à tout jamais, pourquoi faut-il se quitter alors que l'on s'est aimé et, dans leur cœur, il reste à tout jamais les souvenirs d'une famille heureuse, unie et d'un père qu'elles adorait et qu'il les adorait à son tour. Hank, bien qu'au fil du temps, cet événement soit devenu moins important jusqu'à ce qu'il disparaisse complètement. Bien qu'ils soient leur père, ni Buffy, ni Frances ne pouvaient compter sur ses promesses et ne joueraient pas le rôle de leur père, ce qui avait amené Buffy à considérer Merrick comme une figure paternelle, et ce serait la même chose de changement en empruntant le même chemin cheminement lentement arrivant dans le noir et la brume qui a amené à considérer comme lui aussi, Giles, comme figure paternelle…
Elles s'habillerait toujours dans ces occasions comme celles-ci comme un événement pur doux et heureux comme pour sortir joliment. Elles s'amusèrent toujours quand Hank les emmenait à s'amuser, à regarder depuis le haut de l'estrade, Buffy et Frances, simultanément posées sa main contre son menton et se laissant appuyée contre la rambarde. Elles purent manger beaucoup plus de friandises, de glaces et sucreries avec Hank qui leur autorisait tout ce qu'elles ne devraient pas faire pour finir une crème glacée. Buffy et Frances se souviendront longtemps des week-ends de fin de semaine consécutive, à rire, profitant de la danse des danseurs, Frances admirait comment pouvaient-ils danser un ballet sur des chaussures à glaces ? Et puis enfin leur père leur accorda une immense surprise pour le troisième spectacle sur glace entre l'entracte il leur fit visiter les coulisses où se trouvèrent les jeunes enfants jouant leurs rôles, leurs personnages en dansant, glissant et c'était des enfants dotés d'un nom prodigieux.
Hank demanda plus tard, un jour pendant son anniversaire, pourquoi elle avait donc arrêté ses cours de danse de patinage artistique ? La jeune fille semblait avoir les traits dessinant l'amertume, ce chagrin-là, de la défaite et d'un ton neutre et rempli d'amertume et de tristesse, de chagrin, la laissant seule avec ses regrets et son abandon sur d'elle. C'était si évident, elle ne pourra plus jamais jouer ou bien en amatrice rien qu'une fois à cause de sa mission, de son appel, de son devoir d'élue du paradis…
Parce que Hank lui disait que si elle était restée petite et en âge innocent ils auraient pu souhaiter que ce soit Buffy sur la glace à la place de chacune de ses jeunes filles...
Buffy hocha la tête de négation et de regret….
L'histoire de deux amies qui se réunirent un beau jour de samedi après-midi, le soir de cette journée-là était dans la nuit du 20 au 21 Janvier 1997.
Ce fut Hank Summers qui l'avait emmenée et conduite avec l'accord de ses parents, Lise, pour pouvoir ainsi fêter l'anniversaire de sa seizième année… Quelle était sans pareil cette surprise ! Buffy ne s'attendait absolument pas à ce que Lise puisse quitter leur ville d'enfance pour trouver une petite ville tranquille et paisible si peu connue. Buffy pleura de joie. Elle était si pleines d'émotions fortes et si bouleversée qu'elle pleura de bonheur et de tristesse, avant de marcher très lentement sans quitter des yeux cette personne qui se voulait être Lise, pour marquer son anniversaire d'une telle cruauté si on jouait avec elle, avec ce qu'il y avait de plus cher en ce monde. Lise non plus ne quitta plus des yeux son amie Buffy quand elles furent à la hauteur l'une de l'autre, Buffy tendit ses bras et les enroula tout autour du petit corps de Lise qui avait beaucoup grandit ces derniers mois, car, en effet, Lise était plus âgée que Buffy, de six mois sa cadette. Elles s'enlacèrent, se rendant vraiment à l'évidence et à l'idée de voir, de constater de leurs propres yeux et de leur esprit qu'elles furent séparées aussi longtemps sans se rendre compte du lointain de la durée des jours. Frances, également, se précipita dans les bras de Lise...
Il est important que l'adolescent puisse développer des amitiés, des activités en dehors du cercle familial. Leur développement et le sens de leur identité dépendront, dans une certaine mesure, de leur capacité à nouer de nouvelles relations au-delà de leur monde familial, sans cependant perdre contact avec la base que représente la maison. Pleins d'émotions, de doutes d'aspirations et de sentiments contradictoires, les adolescents ont un grand besoin de communiquer et de partager des choses avec des jeunes de leur âge. A cet âge, les adolescentes nouent souvent une amitié intense avec quelqu'un qu'elles ressentent comme très semblable à elles. Avec cette amie particulière, elles peuvent partager toutes leurs peines, leurs blessures, leurs souffrances, leurs soucis et leurs premiers amours. Il est possible que cette amitié ait existé avant, mais, à cet âge, elles peuvent investir un ami intime avec une intensité particulière. Avec cet ami, les adolescents ont le sentiment qu'ils peuvent partager absolument tout et qu'ils seront implicitement compris. C'est l'époque des longues conversations téléphoniques où ils se racontent et partagent chaque petit incident de la vie affective. Souvent, cette proximité avec un ami semble remplacer l'intimité passée avec un de ses parents.
Lorsque Lise avait appris que Buffy quittait Los Angeles et changerait donc de ville, elle l'avait vécu comme un drame, une tragédie. Elles qui étaient si proches depuis aussi loin que remontent leurs souvenirs, Lise et Buffy avaient été amies comme personne d'autre ne l'avait été jusqu'à présent, comme elles en furent certaines et croyantes en ce domaine... Buffy avait toujours eu une meilleure amie, Lise. A l'école élémentaire, elles avaient été inséparables l'une de l'autre et elles se voyaient régulièrement à chaque minute après l'école ou même en dehors, pendant les week-ends et les vacances scolaires A leur adolescence, elles devinrent beaucoup plus intimes.
Il fallait que Buffy et Lise eurent une conversation profonde, importante et sérieuse, elles en arrivèrent à la conclusion, après plusieurs minutes de conversations et de conclusion de débats et en se décidant, elles choisiraient ce soir même pour communiquer juste après le spectacle du patinage artistique que Buffy avait prévu avec son père et sa sœur. Quelques heures plus tard, alors qu'elle était physiquement épuisée, elle rentra dans la salle de bains pour se doucher rapidement et, après s'être séchée, elle remit sa chemise de nuit. Lise était installée dans la chambre de son amie avec un lit double d'adulte. Lise put ainsi se glisser sous les draps sans gêner ou importuner Buffy. Les deux jeunes filles avaient énormément spectaculairement changé depuis tous ces mois passés. Buffy apprit de Lise qu'elle était amoureuse de Hello et sortait régulièrement ensemble et Pike, de son côté, allait exactement merveilleusement bien, sans plainte, ni de questions de ce qu'il était advenu de Buffy Summers ou alors connaissant parfaitement le caractère de Pike et qu'il n'avait eu le désir de partir à demander constamment de ses nouvelles, car cela lui ressemblerait plus, étant si timide, il était rentré dans un gang de rue pour combattre les vampires... Quant à tout ceux qui l'avait connu, chacun préférait oublier que Buffy avait véritablement existée et ne voulant plus entendre parler d'elle comme une ombre ou une tache forte qui ne voulait pas partir.
Buffy apprit de manière très sincère, quant à elle, la jeune fille avait fait de nombreux changements dans sa vie étant toujours la Tueuse, sa rencontre avec Giles et surtout sans jamais mentir à Lise, elle avait rencontré deux autres meilleurs amis, une fille et un garçon. C'était surtout à Willow dont elle lui parlait le plus. Son amitié était si forte qu'elle en oublia son amitié actuel, Lise… Mais Buffy avait changé, évolué, muri, grandi et sa personnalité s'était renforcée. Lise serait toujours la meilleure amie de son enfance ou bien de tout Los Angeles et des meilleures amies à Sunnydale. Tout en discutant, Buffy ne voyait pas que, de plus en plus qu'elle parlait, cela faisait terriblement souffrir cette chère Lise. Elle ne le vit, ne s'apercevant seulement quand elle découvrit les premières larmes glisser sur ses joues tel un torrent, une fine rivière. Lise ne comprit pas ce changement d'attitude. Dès à présent, en raison des dernières nouveautés de Buffy Summers, elle classa Lise dans des amies simples… Avec le déménagement de Buffy à Sunnydale, elles furent séparées, l'éloignement les a séparées. Elle souffre de cette séparation car, en quittant Los Angeles et en rencontrant certaines personnes dans une autre ville qu'était Sunnydale, Il n'y avait pas la même mentalité dans les deux villes. Les mentalités étaient différentes avec des gens différents et des mentalités qui eurent à Los Angeles et qui n'existaient dans une autre ville dont Sunnydale Lise perdit un peu de l'affection de Buffy. Le départ de Buffy avait éloigné leur amitié et les deux jeunes filles. Leur amitié s'était refroidie comme une pierre de lune ou le soleil n'y était plus et donc les rayons de lumière ne purent frappés. En se retrouvant, elles n'eurent plus les mêmes sentiments d'amitié que lorsqu'elles se voyaient tous les jours de l'année, du jour ou de la nuit à Los Angeles.
Lise ne peut plus le supporter et cria à Buffy qu'elle resterait toujours sa meilleure amie, toujours et elle ne put croire qu'elle tirait un trait sur son passé, découvrant, s'apercevant des dégâts causés après la catastrophe d'éboulement et de séparation de la terre. Lise serait toujours dans son cœur et elle ne voulut pas que Lise pense que tout avait changé. Elle était sa meilleure amie. Pourquoi ne lui avait-on pas dit qu'elle partirait ? Qu'il y avait des changements, des évolutions faites et entretenues ? Pourquoi lui avait-on rien dit ? Pourquoi elle ne lui avait pas parlé de cela ? Elle était tellement bouleversée et angoissée qu'elle refusa de connaitre l'adresse de Buffy à Sunnydale et pouvant pourtant Buffy parler très régulièrement de Lise à sa mère. Et elle voulut que Lise les connaisse à son tour en étant rassurée que tout fut intact, elle accepta les changements, mais restera jalouse de Willow Rosenberg…
Après leur conversation tumultueuse, changeant de direction, du calme à la tempête ou au naufrage dans une mer agitée et donc certains bateaux naviguaient sur d'autres océans beaucoup plus cléments et d'une rareté ou l'eau était comme un véritable lac sans vague, sans bruit et rien de tumultueux, tout calme confondu, les deux adolescente partirent se coucher après s'être embrasser sur les deux joues et en dormant paisiblement, sans rêve d'une nuit, pour une fois, ce qui restait très rare ; elles furent réveillée par Frances rentrant dans la chambre tôt le matin avant l'aube pour étreindre sa sœur lui faisant se souvenir qu'aujourd'hui était également son anniversaire et qu'elle avait à présent onze ans et elles devront toutes se préparer à la journée commémorative de fête de cadeaux dans un salon très calme et simple d'une simplicité remarquable. Buffy entendit quelqu'un sonner à la porte d'aussi bon matin en dévalant les escaliers, suivit de près par sa petite sœur. Buffy ouvrit la porte et pour découvrir surprenante Willow à sa porte pour l'aider selon ce qu'elle disait à la préparer à l'aider à se coiffer et mettre ses plus beaux vêtements. Mais Buffy lui apprit que Lise, une ancienne amie à l'origine de sa ville natale de Los Angeles, est là et elle voulait que ce soit avec elle qu'elle fera les préparatifs. Willow posa sur son visage une grande et grave déception et voulut se rattraper plus tard. Regardant par-dessus l'épaule de son amie, elle aperçut une autre jeune fille aux cheveux châtains presque sombres et noirs et qui ne pouvait être que Lise Goslar, l'amie de Buffy. Elle essaya encore de lui faire changer d'avis et d'idée en passant par les sentiments, ce que Buffy ne manqua pas de remarquer et fronça les sourcils.
Ce qui fit tout basculer comme une destruction de la terre qui l'enfonçait dans le sol et s'y noyant, l'étouffant, que Buffy révéla qu'elle aussi avait été sa meilleure amie. Pourquoi Buffy ne lui en avait-elle pas parlé ? Elle lui dit d'une voix brisée qu'elle croyait que c'était elle, Willow Rosenberg, sa meilleure amie. Buffy la fit assoir sur le divan en tentant de la calmer, de l'apaiser et lui demanda dans un grand calme et solution de respirer doucement et en profondeur pour lui éviter une crise de panique et elle ne voulut plus en parler alors qu'elle avait eu la même conversation avec Lise quelques heures plus tôt et en prenant dans ses mains et ses paumes ceux de Willow et la regarda dans les yeux que c'était elle, Willow Rosenberg, sa meilleure amie, mais cela ne l'empêcha pas avec Lise que ce soit son amie d'enfance qui l'aida à choisir une tenue qui convenait. En apercevant Frances, la jeune fille fronça les sourcils et demanda à Buffy qui était cette petite fille. Ainsi la sœur ainée des Summers expliqua tout et surtout présenta ensuite Frances à son amie qu'elle n'avait encore jamais ni vue et ni rencontrer et prenant s'y présenter à cette nouvelle amie... En laissant Willow et Frances pour faire connaissance et apprendre à mieux se connaitre, Buffy remonta dans sa chambre en compagnie de Lise...
Dawn arriva un peu plus tard que sa sœur ainée, Willow, qui était conviée à la fête d'anniversaire en réussissant à faire tout le même chemin seule et elle apprit à Willow qu'elle connaissait déjà Frances. Willow fut gênée par Dawn qui avait refusée pendant longtemps de le dire à quelqu'un. Dawn voulut aider Joyce à la cuisine. Habillée fièrement d'une nouvelle robe achetée grâce à ses passages réguliers devant les magasins de vêtements et eut un coup de cœur pour une robe bleu clair et ciel...
Joyce pénétra dans le salon pour accueillir les amies de ses filles en souriant avec éclat, elle prit Dawn dans ses bras la pressant contre sa poitrine et en déposant un baiser au sommet de sa tête et dans sa chevelure, et elle prit Willow contre elle en l'embrassant sur ses deux joues. Elle était heureuse que tout le monde participe à une fête surprise pour Buffy et mis au courant en avance Willow, Dawn et Frances. Elle regarda discrètement le sommet des escaliers en recherche de quelqu'un qui écouterait, mais Lise réussira à la garder en place dans sa chambre pour l'habiller, la maquiller et la coiffer pour qu'elle soit raffinée, belle, jolie, ravissante et d'une grande élégance. Joyce contera sur ses rares et si peu d'invitées pour faire une surprise à sa fille ainée en installant une grande banderole à l'entrée du salon qui inscrivait Bon Anniversaire, Buffy.
Plusieurs minutes plus tard, Cordélia arriva avec un cadeau sous ses bras et fut rentrée dans la confidence et surtout après Alex qui avait apporté un bouquet de Jonquilles jaunes pour Buffy.
Frances avait fait la connaissance de tout le monde même en saluant et disant qu'elle était la bienvenue avec Cordélia. Buffy lui avait si souvent parlé d'elle, de Cordélia et de sa superficialité et ce qui l'intéressait toujours, sans se laver les mains, tout en se doutant qu'elle ferait partie du combat du Scooby-gang. Elle était intérimaire ou n'apparaissait que très rarement dans les aventures, tout ce qui l'intéressait, était d'apprendre à conduire afin de pouvoir se déplacer dans toute la ville sans encombre et sans problème dans les boutiques et acheter de nouveaux vêtements. Les soins de manucure et le vernis à ongles changeaient régulièrement, toutes les deux semaines et enfin les coiffures et les bijoux, le maquillage, elle avait toujours rêvé d'être une jeune fille ou une jeune femme parfaite, moderne et tous les modèles du corps…
Elle lui dit, tout en ouvrant la porte, en réalisant un simple bonjour, et lui dit qu'elle était Frances. Cordélia en fut étonnée d'apprendre que Buffy Summers avait une petite sœur. C'était une excellente nouvelle, c'était tout nouveau, ne regardant pas la différence et sourit qu'elle devina qu'il y avait beaucoup d'imitation et un regard semblable à Joyce Summers et qui se trouvait chez Buffy. Pour ne pas perdre la face ni ne voulant être la dernière au courant de tout ce qui se passait et gardant son titre de mademoiselle-qui-c 'est-tout dans la vie des gens et en faisant "oh" oui bien sûr je connais ta grande sœur... C'est son amie. Mais Frances savait mieux et elle s'exclama d'un ton tout autre qui ressemblait à une question et plus à une infirmation, elle était son amie ?
Le fait est que non, il y aurait de simples petites complications entre elles-deux mais aurait pu être dans un autre monde en d'autres circonstances l'amie de Buffy. C'était bien pour Frances et Dawn qui avaient pris la place d'autres amitiés et qu'elles, Frances et Dawn, se considèrent, malgré le même sang, la même famille, comme des amies. « Tu sais, je pensais que vous étiez trop sereines, trop superficielles et n'ayant pas le même caractère et les mêmes valeurs l'une et l'autre, pour être amies avec ma sœur qui ne marchait en ce moment qu'avec difficultés, c'était avec des images figurées, boiteuses de toute façon. »
Alors elles firent un deal, un compromis et un marché et que Cordélia pourrait devenir une personne bonne, gentille et sensible, ne faisant plus partie des groupes de pom-pom girls et elle serait capable d'avoir un cœur qui bat et non de pierre ou de glace et qu'elle aiderait Buffy dans son travail de la Tueuse qui, bien sûr, Cordélia était au courant depuis bien longtemps qu'elle et ses amis faisaient, récoltèrent des mauvaises nouvelles et un comportement étrange et inquiétant…
Il y avait tout un ravin, un fossé de mauvaises chutes et d'une grande immensité à l'infini de différences, de largeur entre Cordélia et Willow qui fut beaucoup plus réservée, la trouvant exceptionnellement intelligente en étant une surdouée, la meilleure élève de la classe avec un taux d'intelligente exceptionnellement, rarement élevé…
Frances ne fut pas intéressée, en étant très timide, des garçons plus âgés que sa sœur. Elle refusa d'apprendre à connaitre le meilleur ami de Buffy, Alex, et plus tard en le disant qu'elle ne le trouverait pas très honnête, un garçon dans lequel il faudrait compter. Mais ce n'était que le début d'une impression. Mais elles rirent avec Dawn quand il les prenait avec force dans ses bras, les faisant tourner au sommet de sa tête. Frances en fut si heureuse, oubliant brièvement sa mauvaise impression, alors que pendant ce temps à l'étage, dans la chambre de Buffy….
Frances partit décidée mais voulant demander la permission à Joyce si elle pouvait monter visiter la chambre de sa sœur et de Lise, pour connaitre ce qui s'était passé pendant les minutes passées pour Buffy et prête à descendre tout le monde, n'attendait plus que Buffy Summers et Lise Goslar…
Frances reçut la permission de monter au premier étage pour voir ce qui était en train de se passer, de se dérouler dans la chambre de Buffy. La plus petites des Summers dévala les escaliers pour atteindre le premier étage. Frances ne venait que rarement au second pour aller fouiller dans le grenier qui avait une fenêtre ronde, arrondie. Frances frappa à la porte de la chambre de sa sœur et attendit le signal, la prévenant qu'elle pouvait entrer. En entrouvrant la porte, Frances aperçut les deux amies. La petite sœur de Buffy demanda si elles étaient prêtes à descendre pour rejoindre les autres. On lui répondit : bientôt…
En soupirant, Frances se déplaça et de toute évidence, Frances voulut rester à aider dans la chambre, ne voulant pas revenir en bas. Tout au fond de la chambre, pour pouvoir aider au derniers préparatifs, sa grande sœur était vraiment ravissante, avec une robe blanche, avec, accompagnés de petits dessins bleus avec un large col de tissu, cou en collerette. En lissant bien ses cheveux après les avoir brossés, les cheveux de Buffy étaient doux et soyeux et en parfaite santé, elle les fixa avec des épingles derrière ses oreilles ou sur les tempes. Frances, quant à elle, était revêtue d'une robe orange, couleur pêche. En se plaçant devant le miroir, elle se regarda, s'observa en se retournant, Frances demanda à Buffy si un jour elle serait aussi belle qu'elle. En arrêtant ce qu'elle faisait, la sœur ainée regarda, observa un long instant sa petite sœur et se déplaçant derrière elle en enroulant ses bras autour de la taille de Frances et posant son menton contre l'épaule de sa petite sœur qu'elle adorait, lui dit qu'elle était déjà belle magnifique, et radieuse….
Buffy demanda à Lise si elle savait quel garçon serait présent à son anniversaire. Elle répondit, en regardant au travers des rideaux, que seul Alexander Harris serait là. Buffy fit une mine, un regard où ses traits qui exprimaient la déception. Frances intervient en la taquinant : ne t'inquiète pas, ton Angel sera là bientôt… En travaillant sur des fleurs artificielles pour préparer sa couronne, Lise l'aida à la fixer sur sa chevelure et ainsi elle répondit qu'elle était prête pour descendre, tout en demandant quelle serait leur avenir à toutes les deux ? Lise répondit qu'elle serait infirmière dans des pays pauvres ou des états et pour finir en Palestine où elle s'y installera et deviendra grand-mère de beaucoup de petits-enfants et Lise lui demanda :
Et toi ?
Buffy répondit sans attendre, d'apprendre l'histoire de la préhistoire à nos jours et en passant vivre un an à Paris et une autre ville à Londres, mais voudra, il faudra qu'elle respecte son destin, son travail de Tueuse…
Buffy avait très soigneusement et avec facilité, facilement choisit sa robe pour son anniversaire. Elle se répéta pour dire à son amie et à sa sœur qu'elle était maintenant facilement prête dans ces conditions. Frances choisit de partir la première de la chambre, en descendant rapidement et silencieusement les escaliers pour alerter tout le monde que Buffy et Lise arrivèrent.
Frances descendit d'un pas pressant, rapidement, pour ne faire aucun bruit, le doigts pressé contre ses lèvres en parlant précipitamment, rapidement elle dit :
Chut, chut, chut... la voilà… Elle arrive. Elle arrive !
Comme dans une invitation à s'ouvrir à rentrer, prête pour sortir de sa chambre et qu'elle comptait aller faire des pas le dos si droit comme une règle bien conçue et fixe que l'on lui avait appris à rester droite, elle s'avança en descendant les escaliers avec grâce, beauté et élégance, comme une jeune femme connue à des Garden Party dans un monde où les métiers étaient extrêmement compliqués, complexes et difficiles, dans un monde de travail de fonctionnaires ou politique du ministère des gens de la classe importante de la haute société d'aristocratie, en posant ses mains contre son cœur, elle fit une entrée pour que tout le monde voie sa grâce, sa beauté et puis tout le monde se mit à applaudir.
Alex vient vers elle en lui offrant ses fleurs préférées : dans une douzaine de fleurs de Jonquille, sa fleurs préférées, en même temps que des tulipes. Buffy le remercia avec des larmes dans les yeux de bonheur. Elle prit chacune de ses amies dans ses bras, même Cordélia et Dawn ainsi que sa sœur, Lise, restée à l'écart, attendant que Buffy la présente à ses amies. Pour en finir Buffy, l'avait trouvée, la mettant sur une marche d'un piédestal comme reconnue comme sa meilleure amie d'enfance et même encore comme la meilleure amie de Buffy de Los Angeles ...
En regardant du côté de la table des multiples cadeaux attendaient sur la table de la salle de séjour. Elle les remercia tous et surtout sa mère qui la prise si fort dans ses bras, d'une longue étreinte, elle lui chuchota un bon anniversaire. Tout était si beau pour Buffy. La famille, les amies de Buffy, si peu de personnes d'une fête discrète et simple même pour Frances, pour la cérémonie des cadeaux. Ce jours-là, Buffy en recevra plusieurs : des livres, un puzzle, une broche en argent, des bonbons, une tablette de chocolat, un album photo pour y décorer avec ses photos qui, au cours de sa vie, il y avait qu'elle qui en préférait certaines, un cahier de dessins pour le coloriage, des crayons de couleurs, tout un paquet de feuilles blanches vierges, des feutres de différentes couleurs -chaque dérivée et ressemblante, dérivation qui était à peine quelques couleurs simples et différentes, touche de clair ou foncé-, et pour finir comme son plus beau cadeau d'anniversaire, une cassette vidéo où il était enregistré douze heures de films filmé dans différents endroits avec pas la même caméra. Lise avait, en effet, demandé de l'aide à Hank et son père Mr Goslar de toute leur enfance, les voyant jouer durant des heures et des heures, elle reçut de nombreux cahiers de brouillon et d'autres feuilles de couleur rose, bleu et Jaune... Et ainsi d'autres menus présents... Willow et Dawn avaient offert deux livres à Buffy : Contes et légendes des Pays-Bas, et un autre livre de : conte et légendes Nordiques Vikings. Il y avait deux tomes à chaque livre et reçut un marquepage cousu au crochet et une broderie de fleurs rectangles comme marquepage. Et pour finir des chaussures de ballerines rouges au cirage.
Et pour la fin, Dawn avec construit un cadre en argile avec des décorations en patte-à-sel, avec une photographie où Buffy, Frances et Dawn passeraient un bon moment dans le salon des Summers, toutes trois le regard fixé sur le projecteur de la caméra avec des sourires éblouissants…
Lise offrit à Buffy un porte-plume pour ranger son si beau stylo-à-plume offert quand Buffy avait neuf ans, fait de bois très clair, parfaitement entretenu et dont les côtés horizontaux peints en vert clair olive.
Buffy plaça tous les beaux papiers, qui étaient encore utilisables, sur la table basse et gardait ses cadeaux tout près d'elle pour les observer, les regardant avec beaucoup d'intérêt, d'envie et d'observation heureuse.
C'est merveilleux et incroyable, c'est absolument ce que je voulais, quel bonne surprise… je n'ai pas d'autre mot. Qu'est-ce que c'est très beau et jolie… En se tournant vers sa sœur, Buffy lui montra son porte-plume : Tu as vu ? Regarde Frances qu'en penses-tu ?
Frances regarda de plus près le nouveau cadeau de Lise et dit : je vois, je regarde, c'est beau. Murmura en souriant à sa sœur ainée.
Buffy ne trouvant plus ses mots, dit qu'il n'y avait plus rien à dire ou à redire qu'elle en avait assez exprimé par les mots, elle devait le montrer dans les gestes. Elle prit Lise contre elle et la serra très forte contre elle, lui montrant tout son amour « Je te remercie, vraiment beaucoup… »
Quelle élégance, étaient splendidement uniques, que les chaussures de ballerines rouges qu'allait porter Buffy, tout le monde les regardait avec beaucoup d'admiration et pourtant si pressée de les porter et avant de les porter, les essayer. Lise lui dit combien elle était jalouse et lui dit qu'elles étaient très belles et voudrait en posséder, être capable de s'en acheter et en posséder soi-même. Pendant les nombreuses conversations entre filles, adolescentes, ne faisant plus attention au seul garçon invité et pourtant Dawn en étant très intelligente qui pensait qu'Alex était la meilleure chose qui puisse arriver à elle, à sa sœur ainée, à Willow et le monde comme étant son héros, qui pense que son coup de cœur et béguin d'enfant, de fillette est la meilleure chose depuis le pain tranché, parla très bas en lui demandant pourquoi ignorait-elle Alex alors qu'il lui avait fait plaisir en lui offrant son bouquet de fleurs préférées ? Buffy était très nerveuse autour de ce garçon qu'elle avait pressenti, senti qu'il avait des intentions et des sentiments bien plus qu'amicaux à ses yeux et ne voulut pas lui donner de faux espoirs et qu'il ne l'intéressera absolument pas...
Pendant ce temps, Frances faisait le service et apportait une première tournée de biscuits, de cookies au miel et au chocolat, que leur mère avait confectionnée, et en tournant le regard, Buffy, Willow, Lise et Cordélia ainsi que Dawn observèrent la scène que sa jeune sœur l'invitait à prendre des gâteaux de boulangerie, desserts, confiseries et lui dit que c'était fait maison. Frances lui donna et il se servit trois gâteaux pour plaire à la petite sœur de Buffy Summers… Au même instant, la sonnette retentit de plusieurs coups à la porte. Willow devina qui s'était car elle avait-elle-même encouragé le héros mystérieux, sombre et rempli de secrets à la jeune fille rousse qui l'encouragea à prendre le chemin des égouts jusqu'à la demeure de la famille Summers. Buffy et les autres jeunes filles entendirent et virent Joyce ouvrir la porte à ce nouvel invité. Alex était furieux, amère, rempli de rancœur et de haine en l'entendant sombrer furieusement le nom d l'homme qui avait volé le cœur de Buffy : Angel.
Buffy se leva du sofa et alla rejoindre sa mère qui regardait en ne reconnaissant pas l'homme qui était censé, dans une version officielle, être un jeune homme des études de l'université de la ville et qu'il l'aidait en cours privés, particuliers en histoire. En entendant sa plus âgée de ses filles qui était derrière elle et comment elle remarqua le sourire heureux de bonheur qu'il soit là, en soufflant le prénom de celui qu'il l'aidait, Joyce comprit qu'elle le connaissait et le fit entrer et elle laissa Buffy le conduire au salon. Il lui avait offert et cueillit lui-même les fleurs sauvages des champs en prenant le bouquet entre ses mains, lui souriant d'une façon, d'une manière qui était la sienne des plus timides et lui fit comprendre qu'elle était comme sa mère, observant, regardant, voyageant des fleurs lointaines, dans des prairies et champs que c'était des fleurs favorites, préférées en dehors de la jonquille et de la tulipe, sauvage et joyeuse de vivre dans la liberté d'être en liberté et vivre. Elle chuchota à sa sœur Frances qu'elle les préférait beaucoup plus énormément que celle d'Alex et de leur père car cela était offert du fond du cœur.
Angel voulut pour une seule et unique fois de sa vie de vampires, avec une âme, faire partie d'une célébration qu'il appréciait et était heureux d'y être convié et accueillit pour célébrer la naissance de celle qu'il aimait à laquelle il sut, pour fêter sa venue au monde.
Et quand bien même il aurait reçu l'hostilité, lançant comme un pestiféré loin de la ville, des cailloux des pierres, des grosses roches de lapidation par menant dans le groupe du chef d'Alex, il resterait pour Buffy sa douce tendresse et heureuse, sous sa protection Buffy, ainsi soit-il.
Buffy découvrit un tout autre personnage qu'était Angel, son sauveur, son allié le plus précieux, sévère et un peu effrayant de l'autre monde. Chez lui, il était ouvert et chaleureux, même s'il rigolait peu et ironisait beaucoup. On aurait dit un citron qui tentait de se radoucir mais n'y arrivait pas totalement.
La table du salon était méthodiquement, parfaitement conçue pour l'occasion d'une façon rare décorée avec des couleurs de confettis et des serviettes de table violet clair et foncé. Joyce avait déjà tout prévu, il ne lui manquait plus de demander à chacun ce qu'ils aimeraient manger et commander comme dans un véritable restaurant des crêpes, galettes Bretonne. La crêpe bretonne est un plat traditionnel consommé couramment en Basse-Bretagne. Devenue particulièrement renommée en France et ailleurs, elle est également servie dans des crêperies, nature ou garnie d'ingrédients divers, salés ou sucrés suivant la recette de base. Et l'on commençait par des crêpes salées, elle demanda à ses invités, les deux seuls hommes dans la maison à être invités : Alors qu'est-ce qu'elle met dans leur crêpe, lard, œuf, champignons, tomates, jambon, charcuterie diverse, on a pas mal de choses ?
Pendant toute la soirée, ils mangèrent des crêpes. Severus leur prépara deux crêpes salées chacun, puis il fit des crêpes sucrées avec de la confiture, de la marmelade, du beurre-sucre, du chocolat et du caramel. Lui-même mangeait en dernier, le plus souvent sur le pouce, mais il continuait de faire la conversation. Buffy avait insisté pour s'assoir aux côtés de Willow et Alex pour ne pas qu'il se sente exclus ou ignorés par leur nouvelle meilleure amie...
Pour faire plaisir à Frances, à la fin du repas copieux, Joyce alluma la télé et insèrera une cassette vidéo de leur collection Disney : La belle et la bête, le dessin animé de Frances et celui de Dawn. Frances s'assit au bord, près de l'accoudoir. Buffy alla s'assoir à ses côtés. quant à Angel, il souhaitait s'assoir à ses côtés et suivi de Lise, Dawn s'appuya contre les jambes de son amie, assise par terre, sur le sol. Quant à Cordélia, Alex et Willow étaient assis sur des chaises. Buffy chuchota qu'elle était pour la toute première fois, depuis des mois, heureuse, comblée et sereine. Frances glissa ses mains dans celle de Buffy. Angel avait posé sa main à ses cotées, près de ses genoux. Buffy, émue, glissa sa main près de celle de son petit-ami et ainsi, elle se sentait très bien... La journée ne pouvait être plus aussi parfaite comme anniversaire, souhaitant sa venue au monde chaque année...
"Tu es un garçon fouettant. Élevé par des bâtards et posé sur une pierre sacrificielle."
Alex était attiré par Buffy depuis qu'il l'avait vue pour la première fois, mais cela a été mis en parallèle lorsqu'un professeur de biologie remplaçant est arrivé. Alex a ignoré les soupçons de Buffy sur Miss Français, jusqu'à ce qu'il soit capturé par la mente religieuse, une She-Mantis, un insecte géant qui s'est déguisé en une belle femme pour séduire, s'accoupler et manger des vierges mâles. Buffy a sauvé Alex et son attirance pour elle est revenue. Xander a montré des accès de jalousie envers tout homme auquel Buffy s'intéressait, comme sa brève relation avec le solitaire Pike ou encore ses relations passées, Hello, Peter et Nicolas et son attirance pour le bel étranger Angel. Son hostilité envers Angel s'est aggravée quand il a appris qu'Angel était un vampire, bien qu'il ait une âme. Il a encouragé Buffy à le tuer puisqu'elle était la Tueuse...
Les sentiments d'Alex ont pris une tournure dangereuse, lorsque lui et une bande d'intimidateurs ont été possédés par les esprits des hyènes à travers un rituel primal. Influencé par l'esprit animal, Alex a agressé sexuellement Buffy, intimidé des étudiants, insulté Willow et mangé un cochon vivant. Buffy et Giles ont trouvé un moyen d'enlever les esprits de hyènes sur lui et des autres étudiants. Honteux, Alex fit semblant de ne garder aucun souvenir de ses exploits sous l'influence de l'esprit hyène, voulant protéger son crime, le cacher l'enterrer à tout jamais, préférant le garder secret et de ne pas s'excuser, alors qu'il savait comment pouvait-on être aussi mauvais. Seul Giles était au courant de la vérité pour le protéger du coureau et de la vengeance de Buffy ou ainsi protéger ce garçon ne connaissant rien de la vie en elle-même et ce qu'un homme violent, une agression de ce qui pourrait faire...
Mais il ne montra aucun remord et l'idée qu'elle aurait pu se donner à lui, lui montrant qu'il était quelque chose comme un faible adolescent et il pouvait être dominateur en essayant d'être ce qu'il voulait. Xander regardait le plafond à travers un regard embrumé. Il se sentait un peu nauséeux, mais enfin, il était un peu plus lucide et en raison des médicaments qui coulaient dans son système, la douleur était supportable.
Il a commencé à jouer dans sa tête ce qui s'est passé sur la tour. Dans sa tête, cela jouait un peu différemment. Il a sauvé le monde avec elle, découvrant son côté animal et féroce, dangereux et Buffy était pleinement reconnaissante d'avoir été épargnée par la tâche de le faire elle-même. Elle était si reconnaissante qu'elle est même tombée dans son lit. Il a commodément oublié chacune des filles qui, les rares qu'il voulait et désirait, sortirent avec lui. Peut-être pas Willow, mais elle ferait partie de son désir. Mais il ne peut pas penser à d'autres filles ou jeunes femmes pour le moment, elle va venir. Un service là-bas et elle rampera à ses pieds. Elle l'a toujours fait.
Qu'est-ce qui ne va pas avec Buffy ? Je l'ai aidée, n'est-ce pas ? Mais m'a-t-elle remercié ? Non, elle n'a pas baisé ! Elle m'a cassé la mâchoire, m'a assommé et mis en cage pour que je ne dévore plus personne, Il aurait voulu, souhaiter, désirer que Buffy ait voulu dévorer quiconque se dresserait sur son chemin et laisserait le démon l'envahir, totalement, pleinement, ainsi que son esprit soit dans son lit. Damner. Ça fait toujours mal comme l'enfer. Mieux vaut ne pas serrer ces blancs nacrés. Putain, j'ai oublié ça, elle m'a cassé les dents. Dix dents. Dix ! Ne sait-elle pas à quel point les dentistes sont chers ? Combien cela coûte-t-il d'en remettre de nouvelles ? Bien sûr que non. Elle m'a frappé. Moi. Qu'est-ce qui ne va pas chez elle ? Elle aurait dû lécher mes bottes pour ce que j'ai fait pour elle. Et pendant qu'elle y est, suce ma bite. Je parie que c'est un bon petit coq. Génial, maintenant je suis dur. Donc pas besoin de ça. Aucune fille n'est là, pas même Cordélia pour apaiser son désir pour Buffy n'est pas là pour s'en occuper.
Il s'est endormi quand les médicaments ont fait leur effet, avec une grimace de sourire sur sa mâchoire cassée et câblée, rêvant que cette ravissante jeune fille prénommée Buffy Summers le suçait.
Ces violeurs se caractérisent par une grande instabilité affective et une dominance de la colère, dans leur répertoire de réactions émotionnelles. Leurs viols sont habituellement non prémédités et comportent un niveau de violence physique élevé.
Comment reconnaitre quelque chose que l'on avait vécu en étant la victime entre les cauchemars ou à l'endroit dont on ne pouvait être atteint ou blessé et ce qui se serait passé dans une terrible réalité de vérité. Il fallait savoir regarder au plus profond du regard des yeux et leur couleur, observant dans son âme la vérité qu'il disait vraiment ou mentait, cela les éloignera en tentant de vivre une vie normale dans une amitié longtemps disparue et brisée et enchainée. La jeune fille ne pouvait rien faire d'autre que de pleurer, supplier comme avait fait Buffy à Alex. Cela s'était terminé en assommant le jeune homme pour l'arrêter, sinon il aurait fini par arracher, déchirer ses sous-vêtements avec violence et puis rentrer en elle et trouvant son chemin avec violence. Mais cela ne s'était pas concrétiser. Elle pleura durant de nombreuses années, sachant qu'Alex avait menti immédiatement, ne croyant pas qu'il lui ait menti. Quelque chose dans la poitrine de Buffy a fondu, juste un peu. Xander essayait au moins. Il se souciait de ce qu'elle ressentait – il essayait de la comprendre. « Je sais que je ne vous ai jamais dit cela, mais ... tu as essayé de me violer une fois. Ce truc de hyènes ? Je ne voulais pas te faire flipper, puisque tu ne t'en souvenais pas, mais... »
Elle s'attendait à un choc sur son visage, ce regard d'horreur surpris qu'elle avait vu auparavant.
Mais il n'y a pas eu de choc. Pas de surprise. Au lieu de cela, il... grinça des dents. Et avait l'air coupable. Elle trembla dit lui rapidement qu'il s'emblerait confus. Mais non jamais, jamais car son excuse était qu'il était en proie, en train de se faire déchirer, blesser les souvenirs qu'il n'avait plus dans son corps, une hyène, mais non il s'en souviendrait. Buffy voit immédiatement à travers leurs mensonges et leur verse des larmes pour avoir essayé de leur mentir à ce sujet, il lui mentirait bien plus à son âge et la sorcellerie, l'âme était excusable, mais Buffy continuera à pleurer de longues heures dans les bras de Willow qui regardait à présent son meilleur ami avec méfiance et horreur, crainte. Elle était déçue de lui, qu'il ne présente aucun mensonge ou faux souvenirs, fausse mémoire ne sera effacée mais elle voulut protéger Buffy et Alex... Il lui mentira pendant de nombreuses années, ne faisant face à son crime le pire qu'il commentera et voulu être normal, différent, beaucoup plus sûr de lui pour chasser les démons de minuit. Il sera trop tard pour les excuses et les éloignera, ne pouvait faire confiance qu'en dernier ressors mais avec une pointe de doute et méfiance.
Plus que le temps passait, s'écoulait tel dans une rivière faite de glace qui fondit au printemps, à chaque courant tous les petits riens des habitants dans l'eau changeaient. Ainsi va les saisons, mais au fils des semaines, Buffy réussit à passer outre, à rejeter cette forme de trahison de l'agression dans une salle de cours du lycée et Alex n'évoqua ni ne chercha le pardon de son crime, ni ne l'admit. Et elle continuait à garder espoir qu'un beau jour Alex reconnaisse, assumera l'erreur de son crime et de l'avouer au monde qu'il n'était pas des plus intelligents et était, ressemblait ne mériter rien d'autre que d'être regardé, ignoré. On parlait de lui comme une larve. Les Harris parlaient extrêmement parfaitement jusqu'à presque quotidiennement d'Alex, de cette façon, comme s'il n'était pas là -ou plutôt comme s'il était un être dégoutant, une sorte de limace incapable de comprendre ce qu'ils disaient...
Dans tous les cas, elle ne lui faisait plus confiance, lors des patrouilles, car il y avait toujours un risque de perdre Alex, qu'il se blesserait ou dans des moindres dangers toujours inconnus, car nul ne pouvait lire ce qui était écrit et destiné par avance. Le danger, quand Buffy patrouillait, était toujours élevé ou risqué avec un taux faible ou élevé. Il n'a pas de puissance ou de cours d'entrainement au combat. Le trait de caractère le plus remarquable d'Alex était son attitude sarcastique et désinvolte et sa vision sardonique de la vie. Il plaisantait souvent dans des situations graves ou lorsque quelqu'un faisait ce qui était censé être une déclaration dramatique qui était généralement inutile. Il plaisantait souvent sur l'école, sa famille et sa vie romantique. Dans le cas des deux premiers, cela semblait être une couverture de son aversion pour les deux.
Le sentiment d'Alex d'être un échec aux yeux de ses proches et de ne jamais pouvoir les aider suffisamment a augmenté au fil des ans. Et il avait raison sur ce point, car c'était la crainte de Buffy, son insécurité à ne pas pouvoir être capable à l'incapacité de sauver ses amis. Bien qu'Alex soit souvent décontracté et facile à vivre, il pouvait réagir de manière excessive dans certaines situations et perdre son sang-froid. Il avait également tendance à plaisanter contre ses ennemis - comme par exemple Angel- avec le choix de mots les plus ridicules.
Alex n'a jamais développé de super-pouvoirs permanents, mais a acquis beaucoup d'expérience en combattant aux côtés de Buffy. Comme Buffy l'a expliqué à Giles et qu'il l'a écrit pour le Conseil des Observateurs sache son rôle héroïque, Alex avait « enregistré plus de temps sur le terrain » que tous les autres observateurs réunis. Il disait ce qu'il pensait des questions impliquant ses amis et était toujours prêt à rester les bras croisés et à se battre pour eux si nécessaire. Alex n'a jamais eu peur d'avertir ses amis s'il considérait quelque chose qu'ils faisaient mal, ce qui l'a amené à se heurter et à se disputer avec ses amis à plusieurs reprises, en particulier Buffy, en ce qui concernais les hommes de mort-vivant à Angel et plus tard avec Spike.
Cordélia pourrait se moquer de lui comme elle l'avait toujours fait et était encore aigrit, s'agrippant, soufflant comme autrefois du temps de leur enfance pour être et rester inutile pour aider en comparaison par rapport à ses amis ….
Depuis le tout début de l'année scolaire, pendant le repas du midi, en commençant à discuter plutôt dans la journée, en débutant un moment de convivialité dès les premiers jours ou peut-être même dès le premier jour après avoir discuté pendant plusieurs heures en y allant étape par étape, en y allant pas à pas et de but en but pour que l'inquiétude qui ornaient ses traits en le montrant au monde, Willow, croyant que la jeune nouvelle, Buffy Summers était devenue l'amie de Cordélia Chase et en rentrant, pénétrant dans leur groupe de filles à partir de ces moments où Buffy trouva le courage de remettre à sa juste place Cordélia et défendant sa nouvelle amie, ainsi Willow Rosenberg et Buffy Summers envièrent les meilleures amies de tous les temps et encouragea à perdurer. Après avoir vu Willow être insultée par Cordélia, Buffy s'est rapidement approchée de Willow en tant qu'amie, malgré le fait que Willow ait répondu avec peur en la voyant avec Cordélia. Willow est rapidement devenue la meilleure amie de Buffy. Willow rencontre sa future meilleure amie, Buffy Summers, pour la première fois dans sa première année de lycée. Willow était toujours une personne douce, confiante, intelligente et attentionnée. C'était une nerveuse et elle était enfermée comme dans un ballon de foot et ressemblant à une image de boule de nerfs un peu naïve, douloureusement timide qui était coincée avec un béguin désespéré pour son meilleur ami Alex. Elle était socialement maladroite à plus d'une occasion, mais avait un bon cœur.
Willow était également incroyablement loyale et solidaire envers ses amis, en particulier Buffy et Alex, car elle ne critiquait presque jamais ouvertement leurs décisions avec hostilité, même lorsqu'elle n'était pas d'accord, un facteur dans sa nature compréhensive. Normalement, elle n'affichait pas de crises de colère envers ceux qui lui faisaient du mal, même s'ils étaient ses amis proches, conservant un comportement calme et réceptif. Elle parlait aussi souvent dans des discours et des phrases étranges. Quelque chose qu'elle partageait avec sa meilleure amie Buffy, ce qui pouvait souvent dérouter ceux qui l'entouraient et qui n'y étaient pas habitués. Elle était également très émotive et encline à babiller lorsqu'elle était nerveuse (ce qui était une autre similitude avec Buffy).
L'apparence de Willow a radicalement changé au fil des années, ce qui reflétait son niveau croissant de confiance et de puissance. Au cours de sa première année de lycée, ses cheveux roux raides étaient longs jusqu'à sa poitrine. Au début, elle s'habillait comme une petite fille et sa mère choisissait toujours ses vêtements pour elle. Après que Buffy ait encouragé Willow à « saisir l'occasion », son sens de la mode a commencé à refléter la confiance croissante que son amitié avec Buffy lui accordait. Elle portait souvent des robes ou parfois un chapeau...
Dès les premiers temps de leur rencontre, Buffy avait insisté et souhaité demander de rentrer tous les soirs après les cours ensemble et très rapidement après, Willow avait été invitée à faire ses devoirs scolaires avec Buffy à la maison de Joyce Summers. De nombreuses fois, Buffy partait rejoindre Willow chez elle pour écrire des dissertations analytiques et des dossiers avec des problématiques, des projets, expériences scientifiques et exposés et elle aimait avoir l'avis de Willow qui était beaucoup plus brillante que Buffy et cultivée. Ce n'était pas une question d'intelligence, c'était une question de savoir vivre et d'une montagne de livres qui apportaient richesse en culture générale…
Dans les soirs où Buffy restaient chez Willow, c'est dans ces moment-là, occasionnels, dans l'intention de profiter de rencontrer Dawn et Gaëlle… Ce qui faisait le bonheur de Willow quand tout le monde s'entendait aussi bien…
Mlle Jenny Calendar était connue parmi les élèves et étudiants pour être une jeune femme qui sait écouter, compatir, partager, participer. Nous partageons ta tristesse et nous sommes terriblement touchés par la perte de cet être formidable. Sache que nous sommes à tes côtés pour t'aider à traverser cette épreuve. Ton amie dévouée. Ce texte peut être adapté pour tout proche qui vient de perdre un parent ou un membre de sa famille proche, emphatique et plein d'emphase. Jenny était quelqu'un de très proche parmi tous ses élèves et il y en avait deux qui étaient ses préférées, qui lui donnerait beaucoup plus de soutien, d'amour, d'amitié et d'affection. Elle seule méritait qu'elle eût choisi d'aider. Buffy Summers et Willow Rosenberg ne faisaient pas exception à la règle, les aidant secrètement pour les éviter d'aller voir Béatrice Rousseau, la conseillère d'éducation et la conseillère d'orientation. Buffy se sentit en solitaire, mal comprise par le monde qui l'entoure et ce qui avait autour et elle ne pouvait se confier qu'à Jenny qui lui apportait paix et réconfort. Elle se sentait incapable de réfléchir, de se rappeler ou de comprendre, comme si son esprit était vide. Un mot mal compris peut aussi qu'on lui donnait l'impression d'être lessivée (sentiment d'être épuisé, très fatigué, et de n'avoir aucune force ou énergie). Elle était capable de bien communiquer avec une professeure. C'était la première fois depuis qu'elle avait commencé à aller à l'école, qu'elle put se confier à personne comme enseignante. Autrefois, il y a fort longtemps, avant que Merrick ne lui parlât de sa création du contexte même de la tueuse potentielle, autrefois tout le monde était si heureux dans leur maison, fêtant l'anniversaire de Buffy. Elle avait un bon nombre d'amies et était connue par tout le monde avec une cours d'admirateurs qui ne la quittait pas des yeux. Non, à première vue, elle ne manquait de rien, si ce n'est d'une véritable meilleure amie comme l'avaient été Lise et Willow...
Buffy s'était rapidement attachée à Jenny, la prenant comme une confidente, laquelle que tous les jours, Buffy venait dans la classe de sa professeure préférée après les cours et elles discutèrent de longues heures, à se confier, à devenir aussi proche de Jenny Calendar, que Willow qui lui fit confiance aveuglement. L'amitié est une affection réciproque, un attachement mutuel entre deux personnes n'appartenant pas à la même famille. La relation amicale est proche de la relation amoureuse, sauf qu'il n'y a pas d'exclusivité ni d'attirance sexuelle. Elles devenaient de plus en plus proches à mesure que le temps passait, s'écoulait lentement, plus que comme une élève devrait l'être avec son professeur. Buffy tenait Jenny avec respect et semblait l'aimer énormément, infiniment. Mais, hélas, Buffy ne put continuer les cours d'informatique, ayant pris énormément de retard dans ses études et au fils du temps les cours deviendrait beaucoup trop difficiles, compliqués et complexes, mais elle pourrait l'accepter à la rentrée prochaine après les vacances d'été de 1997.
Être ami avec ses élèves, c'est la porte ouverte au faire attention. Les enseignants doivent prendre et garder une certaine distance avec leurs élèves. Tout simplement, parce que la différence d'âge, de savoir et d'expériences rend cette amitié quasi-impossible. On peut exprimer une grande sympathie pour son élève, mais tout doit rester dans le cadre strict d'une relation professionnelle prof-élève. Par contre, rien ne nous empêche de recevoir des courriels de nos élèves ou de discuter avec eux, dans la mesure où chacun respecte ses limites.
Un jour de fin de semaine, Buffy était bouleversée, le regard perdu au loin, alors qu'elle pensait à l'assassinat du proviseur Flutie. Buffy a été très choquée par sa mort, détruite et encore d'avantage après ce qu'Alex l'avait agressé physiquement. En entendant ces mots, Jenny aurait pu être extrêmement furieuse, surtout qu'elle avait eu beaucoup de sympathie pour Alex. Que sont l'exploitation, les abus et le harcèlement sexuel, elle le condamnerait ou voudrait faire payer ce crime. Buffy lui expliqua que c'était une terrible erreur, que ce n'est pas réel et qu'Alex était différent à cause des démons. Qu'est-ce qui est considéré comme une agression ?
Pour but ? de blesser ou d'humilier la victime (coups et blessures par exemple), des violences et la victime (le choc émotif). Mais, malgré tout, Jenny voulut lui faire payer le prix de son crime, mais ainsi malgré sa tristesse, le choc post-traumatique, Buffy ne voulut jamais que Jenny n'en évoquerait ce qui s'était passé. Elle ignora que Giles était au courant, croyant qu'il la défendrait et si c'était quelque chose de terrible, de grave et saurait s'il disait la vérité ou des fausses paroles...
Jenny secoua la tête en s'inclinant devant la décision ferme de Buffy, elle passa tendrement sa main et ses doigts au travers des mèches de cheveux blond. Elle continuera à la soutenir en gardant son amitié malgré tout, Buffy se blottit contre la jeune femme...
Le principal Flutie est mort dans la même semaine et cet établissement fit appel à l'inspecteur d'école pour élire le nouveau principal, le Principal Snyder qui détestait les élèves et en particulier Buffy Summers où il avait une inversion profonde secrètement, sans rien savoir et la raison la surveillant de près, c'était comme s'il savait, qu'il avait deviné et compris qui elle était réellement. Lors de son début de règne à Sunnydale, en pleine crise informatique, en changeant radicalement nos trois héros, Buffy et Giles font face à un esprit démoniaque qui a été piégé depuis l'âge des ténèbres et qui est déchaîné dans le cyberespace. Pendant ce temps, Willow est tombée amoureuse d'un garçon rencontré en ligne et Alex et Buffy se méfient de qui pourrait être ce blogueur anonyme. Buffy ne savait connaissait en informatique. Il aurait fallu une aide de l'un des membres de la bande, mais Willow ne pouvait rien faire, car elle était en conflit avec elle-même et heureuse dans la sécurité de sa chambre. Buffy fera confidence avec toute sa vie entière lui remettant entre ses mains sa vie et c'était ce que la jeune fille essaya d'expliquer à Giles que Jenny, leur secret, d'une très grande aide, elle seule saurait comment faire. Buffy avait appris que, de plus, Jenny Calendar était une informaticienne hors pair et brillante, excellente, elle était une techno païenne...
Soyons logique, aucun de nous n'aura de relations tout à fait normales dans sa vie. L'on est maudit. Buffy comprit que ce que ceci voulut dire, elle serait toujours attirée par la noirceur d'un homme vampire avec son âme et leur amour trouverait toujours un moyen pour gagner... Comment pourrait-elle le dire, expliquer, approfondir en tentant de mettre en mots la tristesse, le chagrin, elle savait que cet amour ne serait qu'un rêve, une illusion. Elle était si bien avec lui, il y avait deux Buffy en elle : une voulant vivre une vie normale et l'autre voulant partager et vivre dans son monde pour toujours, sans rien réaliser et s'enfuir malgré que ses amis aient décidé qu'elle ne pouvait être aussi égoïste... Angel était si bon, un bon cœur d'une grande bonté. Jamais Buffy n'avait vu cela chez un autre homme. Il l'écoutait, se confiait à cet homme et surtout il avait le cœur pur, comme réchauffé au soleil dans une étreinte douce pour ne pas l'écraser ou la blesser.
J'ai à peine seize ans, c'est trop jeune. Je tiens à vivre encore.
Elle avait immédiatement essayé d'être amie avec elle, mais elle s'est ensuite rendu compte qu'elle ne pouvait pas passer du temps avec elle et Cordélia. Elle lui a donné des conseils sur les rencontres et lui a sauvé la vie des vampires, c'est à ce moment-là qu'ils ont commencé à se lier. Buffy et Willow sont devenues meilleures amies, même fraternelles, liant leur amitié. Elles avaient fait beaucoup de bien l'une et l'autre dans leur relation qui permit à Frances et Dawn d'être encore plus proche qu'autrefois. C'était comme un lien, un signe, grâce à leurs amitiés aux mêmes fréquentations les sœurs de Buffy Summers ou Willow Rosenberg. Au fil des années, elles développent un lien extrêmement étroit et ont risqué leur vie l'une pour l'autre à de nombreuses reprises. Lors de son premier jour au lycée de Sunnydale, Buffy a exprimé sa sympathie pour Willow en tant que solitaire et paria de l'école, surtout après avoir été cruellement intimidée par Cordélia. Elle avait immédiatement essayé d'être amie avec elle, lui donnant même des conseils sur les rencontres, ce qui a surpris Willow, car elle était très impopulaire à l'époque...
Les deux jeunes filles rentrèrent chez elles à la résidence de la famille de Buffy Summers. Elles allèrent faire leurs devoirs sur la table de la salle à manger, en dehors du salon, au calme, tout en discutant, racontant des histoires drôles, des jeux amusants comme "n'importe où mais ailleurs". Elles rigolèrent, perdant la notion du temps et également aussi pour éviter d'être gênées et cajolées, pour changer rapidement de discussion ou de route, car à chaque fois qu'elles y jouaient encore, qu'elle réessayaient, les désirs et les envies de Buffy étaient tournés vers le beau Angel, et Willow refusait de se moquer d'elle en respectant sa vie privée et des moments où elle voulut être seule. En rangeant leurs affaires dans le sac de Willow et celle de Buffy, dans sa chambre sur son bureau, Buffy sortit toutes sortes de jeux de société : les dominos, le Trimions, le jeu de dames, les échecs, les petits chevaux ou jeux de cartes des sept familles... Et enfin le Monopoly, les petits chevaux, et un plateau avec plusieurs pions et des jeux de stratégies. Elles y jouèrent durant des heures à divers jeux et c'était ainsi que Joyce, en rentrant à la maison, retrouvèrent les filles et les grondèrent pour n'avoir fait que la moitié de leurs devoirs, il faudra qu'elles continuent après le souper...
En effet, pour le souper, Buffy y invitait Willow ou la faisait restée très régulièrement le soir après les cours et la jeune fille aux cheveux roux y avait totalement sa place car Joyce était une mère pour Willow et sa sœur Dawn. En effet Willow et Buffy étaient comme des sœurs, des sœurs jumelles que Buffy n'aura jamais…
Comme à chaque jour où Willow avait décidé, en compagnie de Buffy, de dormir chez la jeune fille aux cheveux dorés blond comme les blés, chaque jour coché et voulut, comme chaque soir avant qu'elle n'arrive, Buffy aménageait sa chambre en créant un espace à côté de son lit ou même à l'intérieur, après avoir rendu la pièce propre sans tare ou défaut de ce genre et attendit Willow. Les jeunes filles se mettaient en pyjama en discutant toujours des mêmes sujets normaux, comme par exemple le maquillage et le vernis à ongles et les garçons. Willow était secrètement amourachée de son meilleur ami Alex. Buffy collectionnait des magazines de modes et de stars de cinéma, lui montrant sa collection de cartes de ses actrices préférées dans des films qu'elle avait adorés ou aimés ou même détestés, mais en ayant des appréciations positives des jeux d'acteurs, des jeux de rôle. Buffy coiffait Willow en lui mettant des bigoudis tout autour de sa couronne de cheveux et attacha avec un chouchou ou un élastique le reste. Buffy aimait rendre les gens beaux grâce à son maquillage ou son don de coiffeuse...
Plus tard, elles jouèrent à des rôles de ses livres de collections de romans à plusieurs tomes de saga préférés de Joop ter Heul de Cissy Van Marxveldt et leur partie préférée était leur passion commune à passer des heures à se lire des passages à haute voix. Pour celui de la demande en mariage, dans le deuxième volume, elles s'étaient imaginées un jeu de rôle. Chacune à leur tour était Joop -mais le plus souvent c'était Buffy qui s'appropriait, comme une grande romantique, le rôle de Joop- ou Léo tente d'obtenir un baiser de Joop qui le repousse en lui offrant une cerise enrobée de chocolat ou un marron glacé...
Toutes deux pouffèrent de rire en éclats. Leurs rires s'instillant la pleine lune et le cristal tel venait faire briller les étoiles en entrant à travers la vitre du verre de la fenêtre...
Elles s'embrassèrent et s'étreignirent en gloussant, alors que Willow fut allongée, Buffy lui demanda de garder, de conserver un secret qu'elle avait fait étant enfant en empruntant le soutiens gorge de sa mère et l'avait remplie de pleins de peluches, de coton et puis à l'une de ses amies de l'époque, Jacqueline, lui avait demandée si elles pouvaient se toucher les seins en gage de leur amitié. Mais la jeune fille timide, devenue sûre d'elle grâce à Buffy, refusa… Et ce fut la même scène, le même passage pour Willow et Buffy qui rougit, honteuse, mais resta ferme.
Depuis sa plus tendre enfance qui remontait au jardin d'enfant puis aux premières années de l'école élémentaire, ce qui ressemblerait depuis toujours, Buffy aimait tant parler, discuter, pendant les leçons, et les cours, qu'elle fut souvent en retenue ou punie avec des devoirs en plus. A présent qu'elle était âgée de seize ans, elle ne fit pas exception à la règle. Buffy Summers n'a jamais changé de son état passionné de paroles, de savoir et d'apprentissage de l'école de la vie. Soit en cours ou à l'étude pendant la journée alors qu'elle n'avait pas cours ? Buffy n'hésitait pas à se retourner, tandis qu'elle était assise aux côtés de Cordélia et son couple d'amis, Willow et Alex derrière elle, elle chuchotait, gloussait et en se racontant toute de la vie et de fils à coudre et autres potins ou commérages ou des nuits de patrouille de ce que Giles et elle découvraient pour des prochaines recherches qui avaient lieu toujours le soir à la bibliothèque aux côtés de l'observateur de Buffy. Mais c'était avec Willow pour lesquelles il fallait évoquer des choses, des livres aussi sérieux et compliqués. Grâce à cette jeune fille qui était reconnue pour son tempérament à adorer les livres, aimant l'étude, les sciences et le surnaturel, le paranormal, elle adorait, aimait l'école si bien si autant qu'elle serait prête à y vivre toute sa vie même par-delà leur diplôme d'étude secondaire...
Et puis un jour, tout son monde, son univers bascula ainsi que le poids de sa mission de son appel en tant qu'élue du ciel, du Paradis, choisie parmi des milliers d'autres filles. Tout devient trop, beaucoup trop dur et pas facile à chercher. Son monde de normalité, son cocon éclata ainsi qui était si faible, mais lui avait apporté un peu de lumière, du réconfort et pourtant bien là, si bien fragilement construit l'avait fait vivre dans la normalité en si peu de temps. Buffy veut démissionner de sa vie de tueuse lorsque Giles découvre une ancienne prophétie qui explique son destin mortel, alors que l'ascension du Maître de la Bouche de l'Enfer est à portée de main. Alors que la terre commence à s'ouvrir, Alex, Willow et Cordélia font face à une armée de démons et à la fin prophétique du monde. Pendant ce temps, Alex demande finalement à Buffy d'aller au bal de fin d'année au Bronze avec des conséquences tout aussi désastreuses.
Pour Buffy, c'est très simple ! Elle laisse tomber ! Elle raccroche et demande, forçant les forces occultes à démissionner. Trouvez une remplaçante pour empêcher que le Maître triomphe. L'opposition ne peut venir que de toi seule. Les signes indiquent... Les signes ? En prenant sur un bureau, trouvant ses doigts contre le cuire dès qu'elle le toucha, elle le lança en direction de Giles, mais toucha le mur. Déchiffrer à elle les signes lançant un autre livre, me dire à elle la bonne aventure, elle croit sarcastiquement et de noirceur sombre, à elle la bonne aventure, il est très utile toujours assis le nez dans ses bouquins, ses livres, ses parchemins, oui vous êtes d'une grande utilité, s'écriât Buffy en larmes...
Les larmes coulent sur son visage. Angel essaie de la prendre dans ses bras, mais elle l'en empêche et recule. Arrachant la chaîne avec la croix autour de son cou. Qu'est-ce que ça change ? Elle réussit à prendre le contrôle de sa voix, de son ton et se calma. Non, ça lui est égal. En disant qu'elle n'avait qu'à peine seize ans, c'est trop jeune. Elle tient à vivre encore
C'était un beau jour alors que le temps printanier éclatait dans toute sa gloire de la nature, les bourgeons des arbres donneront bientôt des fruits, la nature, l'appel avec impatience, les éclosions des fleurs par milliers de leurs plantes, chacune différente qui se nourrissent de la terre qui se réchauffe, et c'était un si bel après-midi ou la chaleur se faisait dense, que Joyce conduisit ses filles en ville pur se racheter de nouveaux vêtements et tout particulièrement pour Frances. Sur leur chemin, Buffy s'arrêta alors que Joyce remarquait qu'elle n'était plus à ses côtés, elle se retourna et l'appela, mais la jeune fille leur dit de continuer sans elle, de l'autre côté de la vitrine se trouvait la plus belle robe de bal qu'elle n'avait jamais vue, blanche et longue, descendant très certainement à ses pieds, s'arrêtant au bas de ses chevilles et elle la regarda des heures durant. Joyce réfléchit et se dit que sa fille méritait un cadeau en dehors de son anniversaire ou des fêtes tellement elle avait été sage. Un jour elle décida de lui offrir ce présent.
Dans la chambre de Buffy, alors qu'elle était assise avec sa sœur, Frances qui était venue bien plus tôt que prévu, car la fin de l'année de sa classe avait pris fin, elle est assise sur son lit et regarde un album de photos, celui qu'elle avait rempli pour son anniversaire, regardant son innocence, cette époque lui manquait beaucoup trop comme elle fut nostalgique. Jonatha Brookes, "Inconsolable" joue à la radio. Leur mère entre dans la chambre.
I never knew what enough was
Until I'd had more than my share
I let the darkness in
And it was then I lost the dare
Joyce demanda à ses filles si tout allait pour le mieux. Mais avec la tristesse qui brillait dans ses yeux, dissuada Joyce de garder un ton trop enjoué, pleine de merveille et d'insouciance. Buffy eut soudainement une lumière dans son esprit en souriant, la jeune fille demanda à Joyce si elles partaient toutes les trois pour des vacances bien méritées et n'y volait à personne car toutes le méritaient et en avait besoin. Quelques jours ou-ou un week-end fin de semaine seulement. Oh, si seulement on y était déjà, ce serait bon comme autrefois dans des vacances, dans les pleines à côté d'un lac ! Joyce, Frances et puis enfin Buffy, ainsi qu'entre mère et filles. Et même on pourra parler des sujets qui lui font plaisir.
Terrifiée et inquiète de la supplication de sa fille ainée à partir pour lui faire entendre raison, Joyce lui rappela que la galerie était ouverte le week-end, toute la journée, le samedi et le dimanche après-midi ou des jours seulement le matin. Il fallait rester intensivement et attentionnèrent, elle devina et dit à sa fille qu'elle n'avait pas été invitée pour le bon garçon, jeune homme.
Tu vois, parfois je sais ce qui te donne du souci. Elle se dirige vers le placard de Buffy : Bon heu, j'ai bien peur que l'instant ne soit pas très bien choisi mais... Elle ouvre le placard pour lui montrer une magnifique robe blanche. Joyce avait remarqué que tu ne la quittait pas des yeux dans la vitrine.
Elle se dirigea vers sa salle de bains. Retirant ses vêtements, elle essaya la robe. Cela lui allait parfaitement bien comme si elle avait été conçue, tissée pour elle seule. Elle s'attacha les cheveux en queue de cheval détachée avec de vieux bijoux à placer dans ses cheveux.
Quand Buffy revient dans sa chambre, Frances lui dit qu'elle était vraiment très belle, ravissante et radieuse. Buffy se regarda un long moment, se tournant vers la gauche ou vers la droite. Oui elle était parfaite comme une poupée de porcelaine ou une princesse, se faisant vêtir par sa marraine la fée...
Buffy a suivi le jeune garçon à travers les tunnels menant à l'antre du Maître. Elle les avait déjà parcourus une fois auparavant... quand elle avait essayé de sauver Jesse. Quel échec cela avait été ! Si elle avait fait son devoir de tueuse, elle aurait pu le sauver. Au lieu de cela, elle avait laissé mourir un ami potentiel à cause de son insouciance.
Buffy savait qu'elle se dirigeait vers un piège mortel, mais elle devait essayer d'empêcher le Maître de s'échapper. Même si cela signifiait risquer sa propre vie dans le processus, si elle devait mourir, peut-être qu'elle pourrait tuer le Maître en même temps.
Le garçon s'arrêta et désigna le repaire, invitant Buffy à entrer, puis se retourna et quitta comme ils venaient. Buffy prit une profonde inspiration et entra dans la grotte.
Un enfant, un jeune petit garçon dont la vie fut arrachée par le Maitre en le condamnant à l'immortalité et la force d'un vampire dont on avait brisé les liens, la règle la plus fondamentale de ne pas tuer des enfants et les transformer. C'était interdit de faire cela. Buffy se demanda, se posa la question si elle serait un jour capable de tuer, mettant fin au démon qui contrôlait le corps d'un petit enfant sans le tuer lui-même.
Elle tournait lentement, absorbant, apprenant à connaitre son environnement. En l'absence de soleil et d'électricité, des bougies et des torches éclairaient la pièce rocheuse, illuminant un bassin d'eau à sa droite. Son nez se froissait, elle fit une grimace, alors que l'odeur pourrie de l'eau qui remplissait ses narines.
Quoi qu'elle ait pensé que la Bouche de l'Enfer pouvait ressembler, ce n'était pas cela. Elle s'attendait à voir une multitude de cadavres jonchés le sol et des créatures viles, qu'elle n'avait jamais rencontrées, errant, pas une grotte humide et désagréablement malodorante. Mais l'endroit lui-même ne lui a pas donné les égouts comme la présence oppressante du démon qui l'occupait.
« Bienvenue. » La voix du Maître résonna sur les murs.
« Merci de m'avoir accueillie », répondit-elle en regardant partout autour d'elle, essayant de trouver d'où venait la voix.
Elle aurait vraiment dû accepter l'offre de Giles de travailler sur ses capacités à détecter les vampires... au lieu de sauter pour aller au Bronze avec Willow et Alex.
Un silence gênant a suivi, s'étirant jusqu'à ce que Buffy décide de combler le vide avec une plaisanterie. « Vous savez, vous devriez vraiment parler à votre entrepreneur. On dirait que vous avez eu un dégât des eaux.
Le Maître apparût derrière elle. Alors qu'elle se retournait, le Maître lui pris l'arbalète des mains, l'a jeté au loin et l'a attrapée par le cou. Elle a rapidement balancé son bras, l'a assommé et a couru vers l'entrée. Et soudain, elle ne se souvenait plus des deux dernières années de son entraînement. Elles avaient disparu de son esprit. Où était la Tueuse ? pendant que la fille courait pour sa sauver sa vie. Sachant qu'elle l'avait sous-estimé, et que l'évasion était son seul espoir, elle s'est mentalement accrochée aux pailles. Il ne pouvait pas encore quitter le repaire. Elle pouvait se rendre à l'entrée avant qu'il ne l'attrape.
Soudain, elle se figea. Tenue par les pouvoirs hypnotiques du Maître, elle a essayé de bouger mais n'a pas pu. Elle essaya de tourner la tête pour le regarder en arrière, essayant désespérément d'évaluer son prochain mouvement.
Il s'approcha d'elle, faisant des mouvements de torsion lents avec sa main pour la garder immobilisée. Il est venu derrière elle et a doucement enlevé sa veste en cuir. Il est tombé au sol à côté de ses chaussures.
Elle haletait fort de peur. C'était cela. Elle pensait qu'elle allait mourir et elle ne pouvait pas l'emmener avec elle. Elle avait échoué. Elle sentit comme un écrasement de tout son corps. Sa poitrine se resserra à mesure qu'il devenait plus difficile de respirer. Une crise de panique a commencé à s'installer. Il allait marcher librement. Et c'était de sa faute. Et c'était de sa faute. Il a bu quelques gorgées puis l'a laissée partir.
« Oh, mon Dieu ! Le pouvoir ! » Buffy l'entendit crier alors qu'elle tombait à genoux.
« Et au fait... »
Elle est tombée face contre terre dans une mare d'eau.
"... J'aime votre robe. »
C'était la dernière chose qu'elle entendit avant que ses poumons ne commencent à se remplir d'eau. Elle a essayé de bouger, mais le pouvoir hypnotique du Maître l'a maintenue fermement. Ses yeux se fermaient alors que son rythme cardiaque devenait de plus en plus lent... Elle lutta pour sa vie essayant désespérément de lutter pour rester en vie, vivante, attirée par la lumière blanche, faisant défiler tous ses souvenirs de sa vie défilait devant tout autour d'elle. Elle rêvait, constamment. Pas de rêves de Tueuse, pas d'appels à l'action. Juste des scènes de sa vie, toutes enfilées ensemble comme des perles. Au début, ils avaient été doux : des souvenirs de cours de patinage et de voyages au glacier. Elle avec sa mère, son père et sa sœur. Bébé Frances assise dans sa chaise haute, essayant d'apprendre son nom - Brufy, Brufy, Brufy ! De doux petits yeux s'illuminaient tous et souriaient avec un sourire qui avait juste les deux dents supérieures.
Et puis ces images heureuses ont disparu, et les perles sont devenues noires. Merrick mourant, Buffy mourant sous l'emprise du Maître,
Pour envoyer de la lumière à un défunt vous pouvez visualisez la personne défunte, souriante, heureuse et entourée d'une belle lumière protectrice. Dites-lui que vous l'aimez. Dites-lui comme vous souhaitez qu'il aille bien, qu'elle soit heureuse, mais elle devait rester forte et courageuse, ne se laissant pas faire, voulant lutter contre la lumière qui lui chuchotait : viens vers la lumière, Buffy, viens vers moi, c'est la fin, viens rejoindre le ciel Dieu et les anges comme telle, ou les archanges et les anges gardiens...
Buffy vit défiler des messages des passages de sa vie future, et un homme qui l'aimera, toujours le même, revenant encore et encore. Alex, Willow et Giles l'encourageraient, parlant d'elle comme d'une femme forte et courageuse. Fronçant les sourcils, Buffy regarda l'homme blond qui se tenait devant elle. Il portait un jean noir, une chemise, des bottes et un long manteau en cuir. Sérieusement, qu'est-ce qu'il y avait avec tout le noir ? Il a crié Billy Idol. Ce fut lui qu'elle entendit les notes de sa voix. Quand je dis : « Je t'aime », ce n'est pas parce que je te veux ou parce que je ne peux pas t'avoir.
J'aime ce que tu es, ce que tu fais, comment tu essaies. J'ai vu ta gentillesse et ta force. J'ai vu le meilleur et le pire de toi..."
Tu es une femme extraordinaire. Tu es l'élue Buffy, ne te laisse pas avoir par la mort, pense aux amies que tu ne connais pas encore, pense aux belles rencontres... des voix des tueuses de personnes qui la connaissait de là-haut savait, connaissant son futur. Buffy ouvrit les yeux et prit une profonde inspiration. Frénétiquement, elle regarda d'avant en arrière entre les deux visages qui se profilaient au-dessus d'elle. Il lui a fallu quelques secondes pour les reconnaître. C'étaient comme ils ressemblèrent, les mêmes formes de corps, sous forme d'Alex et d'Angel.
Le gris de son esprit s'éclaircit lentement alors que des images floues surgissaient devant elle. Le Maître l'avait tuée ? Non, il avait tenté, mais jamais elle n'avait touché le ciel et restait dans la vie. Puis, dans son au-delà, elle avait rencontré un homme qui avait professé son amour pour elle. Mais elle n'était plus dans cette pièce avec son mystérieux étranger. Elle était dans une grotte sombre. La même grotte dans laquelle elle était morte quelques instants plus tôt. Et elle était vivante. Buffy tourna la tête sur le côté et toussa l'eau de ses poumons. Alors qu'elle éclaboussait, elle pouvait sentir Alex caresser doucement sa main dans ses cheveux pour l'apaiser, la calmer.
Elle n'était pas morte. Il ne lui a pas fallu longtemps pour reconstituer ce qui s'était passé. Le Maître n'avait pas bu tout son sang. Elle est morte à cause de sa noyade dans une mare d'eau, ce qui signifiait qu'Alex devait avoir pratiqué les gestes de premiers secours, respirant, lui insufflant l'air dans ses poumons et lui faisant pratiquer un massage cardiaque sur elle.
Elle se sent forte, elle se sent différente plus sûre d'elle, confiante, forte et indépendante. Elle connaissait le jeune homme qu'elle avait vue, professant son aide, son amour et sa vie pour la garder en vie, alors qu'elle partageait des rêves avec cet homme qu'elle connaissait depuis plusieurs années. Elle sourit en rejouant les mots que son mystérieux étranger lui avait dits. Que ce soit un rêve ou l'au-delà, elle ne savait pas. La seule chose dont elle était sûre, c'était qu'elle se sentait plus forte, plus puissante. Elle se retourna vers Alex et Angel. ; "en route, allons-y.."
Alors qu'au commencement de son devoir sacré, Buffy avait réussi pour la seconde fois consécutive à résister, à subir en survivant à deux apocalypses de fin du monde et elle en ressortait toujours vaincue, sans blessure grave ou peut-être même mortelle mais son moral dans son esprit, Buffy était déchirée entre sa vraie vie d'autrefois et celle qui elle était réellement une tueuse très talentueuse et voici que cette nuit, elle ressortit mal dans ses membres et la souffrance qui l'en dégageait, mais ne le montra pas. Elle réussit à s'en sortir malgré les malheurs qui se sont propagés, qui se sont étendus dans le monde. Les malheurs des malheureux innocents et victimes signés en étant tous d'accord d'être surnommés les malheurs des misérables, Buffy avait combattu aux côtés d'Angel et ils s'étaient aidés mutuellement et intervenant tel un héros sur son cheval, fier destrier blanc, qui était Angel -Angélus- leur lien qui les unissaient, trouvèrent l'amour, semble dans notre univers culturel porté l'information que tout être se prétendant en amour avec un autre se changerait en véritable tortionnaire, en démon où il n'y avait plus de place pour l'amitié, l'amour, la joie et le bonheur des arc en ciel se battant pour garder ses jolies couleurs et non la noirceur sombre de magie noire de poison. L'amour trouve toujours un moyen. En effet, l'amour rassure l'individu, le valorise, le rend plus créatif. Ce sentiment permet de développer la tendresse, la générosité, le goût de la découverte et le désir d'apprendre. Nous devenons ainsi de meilleures personnes, capables de mieux vivre en société. L'amour était plus fort que tout et Angel et Buffy le savaient. C'est quoi le vrai amour ? L'amour désigne un sentiment intense d'affection et d'attachement envers un être vivant ou une chose qui pousse ceux qui le ressentent à rechercher une proximité physique, intellectuelle ou même imaginaire avec l'objet de cet amour.
Et puis, quel était l'amour le plus fort ? Se demandait toujours Buffy dans son petit cœur d'adolescente de seize ans. Serait-il un homme mystérieux, courageux et fort, protecteur qui demandait beaucoup de soutien ?
L'amour le plus fort est celui qui n'est pas partagé. Aimer quelqu'un qui vous aime aussi, c'est du narcissisme. Aimer quelqu'un qui ne vous aime pas, ça, c'est de l'amour. Quand l'amour est-il intense ? L'amour passionnel est en général de courte durée, mais particulièrement intense, rythmé, et sans ennui. Ce type d'amour, présent au début de la relation, fait du partenaire un objet amoureux et une projection de son fantasme d'amour idéal, venant combler ses propres manques affectifs.
L'amour le plus fort est celui qui n'est pas partagé.
Il était sombre, magnifique d'une manière ennuyeuse. Elle s'est rendue compte qu'Angel était venu dans sa vie pour l'aider, et a pu regarder au-delà de sa nature vampirique pour la plupart. Bien qu'ils aient tous deux convenu qu'une relation entre eux ne pourrait jamais fonctionner, les deux ont été incapables de rester loin l'un de l'autre et ont officiellement commencé à sortir ensemble malgré leur meilleur jugement. Avant la fin de l'année scolaire pour Buffy.
Et puis soudainement, en ayant reçu de la lumière et une vie choquante de sens, alors qu'Alex l'accompagnait pour un slow, elle se rendit compte que son admirateur secret n'était pas son meilleur ami même malgré, ne vous en déplaise, sûr et certain, voulu lui faire croire, comprendre que c'était lui en échange pour la leçon et lui apprendre les bonnes manières en lui faisant apprendre que son personnage, car il incarne beaucoup de choses qu'elle déteste : ignorance, sectarisme, réticence à apprendre, hypocrisie, malhonnêteté, etc. Et il n'a jamais été appelé à ce sujet. Elle eut envie de le gifler. Toutes ses notes poétiques de nature secrètes les indices où Buffy allait, elle était toujours aux côtés de quelqu'un qui l'amuse, la fasse sourire et rendre heureuse, la protégeant de tout danger et malheureux accident. Angel la surprotégeait et en lui donnant des rendez-vous signés anonymement, les petits mots ou lettres dans son casier pour le lendemain matin, avaient une grande, une profonde affection pour elle. La sortie au cinéma de plein air, les cimetières, celui de Le Mausolée Hawley, était un monument du cimetière de Restfield. Il était très fréquenté, les glaces, la bibliothèque, le restaurant, toutes ces petites choses, ces petites attentions envers elle de la part d'Angel. Buffy alla le trouver et lui demanda pardon d'être aussi distante, mais elle aussi, également, avait des sentiments et une attirance pour lui-même, sa personnalité, le fond de lui, elle l'aimait et l'embrassa sur la joue quand ils furent à la même hauteur...
En dansant, on se débarrasse de tout. C'était le sentiment qu'avait Buffy en cet instant. Toute peur s'efface et son courage renait, se débarrassant de tout ce qu'il fallait ou voulu être. En effet, le corps est relié au cerveau, le mouvement fait partie de la vie, et danser, c'est connecter les pensées aux gestes. Et parce que le corps renferme nos peurs, nos doutes, nos blessures, quand on danse, ce sont toutes les émotions qu'on laisse s'exprimer. Si des émotions émergent, faîtes-en une danse. Dansez avec elles comme avec un partenaire. Dansez avec vos peurs, vos colères, vos peines, vos joies, votre amour. Portez toute l'attention sur votre corps, aux sensations physiques, même désagréables, et laissez-les vous danser librement l'un contre l'autre. Leurs corps vibraient de nouvelles sensations perdues et retrouvées comme autrefois dans une autre vie, un monde qu'Angel avait connu et pu faire des choses que même maintenant, jusqu'à présent, une âme ne voudrait y voir ou le croire, des choses dérangeantes, cruelles et obscènes comme d'horribles bêtes qu'il ne voudrait pas faire et sa conscience lui dictait que tout ceci ne fut pas correct. Dans le cas d'effet de Buffy, elle rougissait alors qu'elle était pressée contre un corps musclé et doux, fort et dur, elle sentait les parties génitales de son compagnon, son cavalier, qui durcissaient à travers son pantalon contre son sexe à elle à travers sa robe. Elle se sentit coupable de le ressentir comme si elle craignait très certainement qu'il lui évoquait cette situation et lui demandait la permission de la pénétrer rentrant en elle comme du velours, de la soie... Non, se dit Buffy. Angel n'évoquerait rien en rapport avec des corps différents entre une femme et un homme. Certains ont les attributs génitaux des femelles : les ovaires, l'utérus, le clitoris, les seins pouvant allaiter. D'autres ont les attributs génitaux des mâles : les testicules, le pénis, la prostate. C'est la différenciation des ces attributs génitaux mâles et femelles qui définit le sexe d'un individu. Le sourire de Buffy s'élargit et elle se rapproche de lui. Elle met sa main dans son dos et il prend son autre main. Ils commencèrent à balancer leurs bassins doucement, lentement de droite à gauche et gauche à droite. Buffy a la tête appuyée sur le torse d'Angel, celui-ci a la tête sur celle de Buffy et tient sa main sur son cœur. Elle lève les yeux, ils se regardent un peu, puis elle baisse la tête. Elle la relève encore et ils se regardent intensément. Et elle repose sa tête sur son torse et ferme les yeux, ainsi qu'Angel. Qu'il y avait quelque chose de parfaitement innocent ... Dansant comme ceci jusqu'à la fin des temps et de leur vie, contrôlant, bloquant dans une bulle, le temps s'arrêtant pour faire perdurer le moment où ils ne s'arrêteront pas, car maintenant, en voulant protéger du peu de temps qui leur restait de la fin du bal au Bronze et des semaines avant la fin des classes... Enroulée, enrobée dans le corps de chacun... Buffy ne sait pas tout de suite ce qui se passe, mais elle le saura qu'au dernier moment ou à son retour tardif de nuit à Los Angeles, qu'Angel restera aux cotés de Buffy et passeront les vacances d'été ensemble. Mais avant tout ceci, Buffy devra avoir une profonde conversation avec Giles de ce qui s'était passé dans les égouts et sous terre...
