Partie 5 : Les vacances d'été de Buffy :
Quelques jours plus tôt, quelque temps avant, auparavant
Après avoir passé à l'infinie, gardant tout son temps si précieux comme si elle s'imaginait et vivait, comprenant la situation d'un être humain ayant le courage, l'intelligence même de réfléchir et avoir le sentiment qu'elle contenait, contrôlait son émotion, sa vie, son esprit et les sens philosophique de pensées, qu'elle détenait une sorte de boussole morale qui indiquait toujours la bonne direction -qui était celle vivante qui contrôlait, en indiquant la même moralité et que Dieu lui donnait la loi et celle à elle de respecter la liberté et avoir la possibilité de choisir le bien du mal- être bon, mais choisir tout ce qui était beau ou pur, la bonté innée de l'homme, la gentillesse du bien et la bonté et entre choisir la facilité du mal. Elle voulut défaire de son corps la robe blanche qui deviendra par la suite son habit de fête et de réception et puis se revêtue en un chemisier à manche courte aux motifs floraux ainsi qu'une veste en laine mais qui n'apportait pas de chaleur ou de transpiration et une jupe assortie, l'ourlet descendant jusqu'à ses genoux. Quelques minutes plus tard alors que Buffy rangeait sa chambre en triant ses affaires avec l'aide de Frances, toutes deux entendirent le téléphone du salon sonner. Quelques minutes plus tard, Joyce rentra dans la chambre de sa fille en lui expliquant que c'était Lise qui lui téléphonait. En descendant au salon et prenant le combiner du téléphone dans ses mains et le pressant contre son oreille :
Buffy commença à parler en lui disant : Allo ? Lise c'est bien toi ? Elle avait la voix enrouée par le chagrin, presque perte de sa voix en ayant les larmes prêtes à couler, formant un voile sur ses yeux mais elle ne laissa rien paraitre, faisant semblant de ne rien savoir ou avoir comme si c'était une journée profondément comme les autres en ne laissant rien négliger comme si c'était sa dernière discussion avec sa meilleure amie Buffy, elle voulut que tout soit parfait, sans déchirure ou blessure ou maladresse, elle devait cacher la vérité à son amie...
Enfin, Lise ne remarqua rien, faisant plutôt des projets de sorties, rien que toutes les deux durant son été à Los Angeles avec son père et lui proposa de réviser les cours perdus ou oubliés ou qui n'étaient pas rentés dans son esprit et qui n'avait rien d'intéressant, recevant des notes de D à F... Elle lui proposa d'aller manger une glace à leur parc préféré de leur ancien quartier. Mais à un bref moment, Lise, d'une manière ou d'une autre, savait ce qui se passerait car elle lui dit d'être très prudente car elle était inquiète ayant lue dans un livre ce qui arrivait au jeunes filles Tueuses qui perdaient des combats à cause d'une simple apocalypse mineure, ni dangereuse comme des pièges qui la trouvera, la troubla et ce qui faisait que par leur manque d'attention, leur désir, le don de mort s'était faite beaucoup plus dense et lourd à porter et les avait il s'suffisait d'une parcelle d'un millième de seconde avant de perdre la vie, fauchée par un couteau, une arme contre son coups qui brisa les nerfs et la tête à moitié coupée...
Et puis Lise parla tout bas, d'une voix tellement basse, pressante, intime et qui avait des intonations d'urgence qu'elle savait ce qui allait se passer. Ce n'était plus la peine, ni la nécessité qu'elle garde cela secret. Lise ne voulut pas qu'elle meurt aussi jeune, il y avait tant de choses à rattraper à comprendre, à connaitre et savoir surtout qu'elles avaient de nombreux projets pour les deux moitiés de mois et il y aura son anniversaire, celui où elle aura dix-sept ans. Elle devra faire très attention, elle ne veut pas que sa meilleure amie perde, se mettant en danger et elle ne voulut pas qu'elle meurt ou se laisse mourir car elle n'aurait plus d'espoir, il y aura toujours des gens, des personnes qui seraient toujours là pour s'y appuyer, Lise, Frances sa petite sœur, Joyce sa mère et le Scooby-gang Alex, Willow et Cordélia, ainsi que Giles...
Ses larmes glissèrent silencieusement sur ses joues et ne voulant rien révéler à sa mère, Buffy continua de dire que rien n'est arrivé de grave, ne serait arrivée ou des conversations cachées apportant des preuves des indices que la conversation ne s'emblait pas cacher ; Buffy mit fin à la conversation comme si rien du tout ne s'était passé ou arrivé ou qu'il n'y eu rien d'intéressant qui en fut ressortie, d'une conversation totalement normale de deux amies et Buffy faisant des promesses qu'elle ne pourras peut-être jamais tenir ne voyant rien que son avenir pourrait ressortir, s'arrêter brusquement, subitement et sourit comme autrefois devant sa mère et sa petite sœur qui ignoraient tout du destin de Buffy, la fille ainée de Joyce Summers et la sœur cadette de Frances Summers.
Il y a quelque temps déjà, dès à présent de la façon dont la vie s'était déroulée, quelque temps après avoir failli perdre la vie, après avoir traversé ce long couloir de la mort où Buffy n'oubliera jamais cette petite lumière blanche et jaune, comme le soleil, qui l'attirerait définitivement après que les portes se refermèrent indéfiniment, à jamais ouvert pour elle. Et elle était ici dans cette bibliothèque de son lycée, après avoir tué le Maitre, en laissant ses ossements et qui troublera son sommeil de longs mois. Elle avait eu une longue conversation profondément sérieuse, spirituelle, rassurante comme un amour paternel, mais il a développé un lien étroit et paternel avec Buffy. Giles est devenu le père que Buffy a toujours voulu, puisque aucun lien aussi profond et dur étaient déclarés en profondeur sur Hank, le sien n'a jamais existé et Buffy est devenue la fille qu'il n'a jamais eue. Et ils se parlèrent comme un père écoutant sa fille, lui donnant de nombreux conseils pour reprendre et s'accrocher à sa vie et que les prochains mois risquent d'être difficile et l'envie d'arrêter ou de se faire tuer, se laissant perdre la vie, risque d'être de plus en plus entrainant, rassurant et facilement attirante, vulnérable et seule mais il fallait lutter et combattre. Tout ceci était écrasant. Elle lui parla qu'elle vivra des choses assez intenses et plus graves et mortelles, un jour ou l'autre. Il ne savait pas comment répondre à tout ceci, il n'était pas préparé ou n'a jamais été enclin à avoir comme apprentissage sur les tueuses qui s'en sortent, alors qu'elle était sur le point de mourir, Giles essaya donc d'apprendre, de comprendre, de savoir, chercher la vie réelle et s'y laisser plonger étroitement et s'adapta très utilement et beaucoup de lignes droites. Giles comprit enfin le vrai du vrai pour comprendre des jeunes tueuses qui n'étaient qu'en réalité des jeunes filles fabriquées d'autant avec des pouvoirs, mais elles étaient humaines et faite de chair et de sang, d'une personnalité et chacun répond de ce qu'il fait de la conscience et ne vivait pleinement pas comme d'autres filles, mais vivre une vie normale...
Giles lui enseigna plus tard comment réaliser les gestes de premiers secours, la réanimation, réanimer pour sauver sa vie et celle d'autres hommes, femmes ou enfants. Buffy avait été profondément à l'écoute de tout ce cours qui relevait du titre d'être humain, il n'était plus dans ses livres et réussit à vivre par-delà l'ombre de sa bibliothèque...
Le début des vacances d'été avait enfin commencé et débuté et comme n'importe quelles vacances et en particulier les détentes et les repos qui dureront jusqu'à la dernière quinzaine d'Aout, selon les accords, les points particuliers des visites des parents. Hank avait obtenu le droit d'avoir ses filles durant l'été -quand bien même il n'était pas compté et voulut se débarrasser de la charge, il ne le ferait pas souvent- Buffy emballa ses affaires qu'elle apporterait pour venir chez son père et revoir sa petite soeur à Los Angeles. La jeune fille prit beaucoup de vêtements et bijoux qu'elle souhaiterait porter et ainsi que son maillot de bain et emportant ses produits de toilette à elle seule. A la fin, la jeune fille remarqua qu'elle avait pris vraiment beaucoup de choses : un sac de voyage et ainsi que trois valises que Joyce n'était pas particulièrement contente de son style et ses méthodes de rangement, en rentrant dans la chambre de sa fille ainée, elle lui fit remarquer de ne pas prendre autant. Ce n'était qu'une visite de quelques semaines, c'était tout. Mais à la fin, elle céda en lui disant de se débrouiller avec ses affaires et la laissa agir à sa guise. Au final, elle réussit à transporter ses bagages dans le coffre arrière de la voiture SUV de sa mère pour la conduire à Los Angeles dans la nouvelle maison de Hank, d'Addie et Frances. Son ex-mari lui avait donné l'adresse sur un morceau de papier, la toute dernière fois qu'ils s'étaient vus...
Avant de partir, elle alla prévenir Giles, son observateur, qu'elle partait de Sunnydale pour passer du temps, comme autrefois, comme quand elle était petite et enfant avec sa sœur et avec leur père Hank à Los Angeles et répéta la même chose tous réunis dans le salon de son observateur, comme ceci elle le répéta à Willow et Alex et furent au courant en même temps sous le regard en colère d'Alex car il était déçu qu'elle ne resta pas et son devoir de tueuse, son destin, la protection qu'elle leur apportait et surtout la jalousie que Buffy reviendrait dans une ville où les garçons de son âge seraient prêts à flirter, discuter et allant à la fête foraine ensemble. Il était en totale contradiction. Quand elle parla d'Angel et l'évoqua alors toute sa patience très mince éclata et se brisa. Elle ne devrait pas rester ainsi avec un mort-vivant, un vampire qu'elle devrait détester et haïr jusqu'à la mort et qu'elle devrait éviter et son devoir de tuer. Ce n'était pas naturel et c'était nuisible et dangereux de le laisser en liberté et qu'elle avait de mauvaises fréquentations. Pourquoi était-elle avec Angel ? Qu'est-ce qu'il lui voulait ? que faisaient-ils ensemble ? De la haine pure et simple d'Alex qui ne le quittera jamais... Sa haine d'Angel commencera bien avant que ses amies filles le haïront...
En le rencontrant, en allant rendre visite à Angel dans son appartement, elle lui disait qu'elle partirait bientôt avant qu'elle se blottisse dans ses bras et lui dit qu'il allait tant lui manquer. Tout était si dur quand ils furent séparés. Il lui offrit une promesse sacrée qu'il continuera à surveiller ses arrières en la surveillant, en la suivant et lui rendra souvent visite, car là où elle serait, Angel serait ici, en toute sécurité et veillerait sur elle pendant son été à Los Angeles et viendrait la retrouver à la maison de son père et la recherchera et, il en était certain, trouvera la fenêtre de sa chambre, il lui sourit avec un regard tendre rempli d'amour, de sécurité et au bien-être et si beau, comme il savait qu'elle succomberait à cette vie pourtant si simple…
Un jour, extrêmement tôt un matin très calme, alors que tandis que le soleil était encore loin de se lever, il n'était pas encore moins d'avant de six heures, pour prendre son temps à se préparer, Joyce rentra dans la chambre en douceur et calme, lentement pour ne réaliser, faire un moindre bruit, elle s'assit près de Buffy qui était encore dans un profond sommeil. Joyce caressa son front et ses cheveux. Elle plaça sa main contre le ventre de Buffy, écoutant le battement de son cœur et caressa doucement son estomac. Avec ses caresses sur ses joues, elle la réveilla en douceur et lui chuchota de faibles morts rassurants, lui demandant de se réveiller lentement et calmement et qu'il faudra qu'elle se prépare à partir.
Buffy se leva donc très difficilement, alors qu'elle avait des choses du sommeil à évacuer, à oublier et sortir et refermer derrière elle, la jeune fille s'étira de tous ses muscles et frotta le sommeil de ses yeux. Elle prit son temps à se relever, chassant la lumière du soleil qui commençait à pointer. Quinze minutes plus tard, le soleil rentera à travers les rideaux de sa chambre. Toujours en pyjama, Buffy descendit pour prendre un bon petit-déjeuner important pour rester debout toute une journée et ne pas être malade quand elle arrivera chez son père. Buffy, en se levant, sentit qu'elle avait l'estomac creux pour son petit déjeuner. Elle avala trois bols de cacao, mangez cinq tranches de jambon et une demi-baguette de pain. Et elle termina avec une orange pressée en jus d'orange et mangea les pulpes et des croissant et des pains au chocolat. Joyce la regarda avec consternation, étonnement, sa cuillère était levée à quelques centimètres de sa bouche et de ses lèvres. Elle lui demanda depuis combien de temps elle n'avait rien mangé ? Tu es gourmande et affamée, ce matin-là. Buffy hocha les épaules, ne comprenant pas sa faim si soudaine. Peut-être voulait-elle être forte et tenir tête à sa belle-mère et l'émotion de revoir chez son père et surtout sa petite soeur, Frances, qui devait l'attendre avec empressement et difficulté. Le petit-déjeuner était l'un des nutriments grandioses de tout ce qu'on pourrait avaler et le corps à besoin pour se renouveler et rester en bonne santé et être en capacité de se défendre en tant qu'élue d'être une Tueuse.
Et quand la vérité éclatera véritablement, au commencement sera ainsi que Buffy brulera des centaines de calories pendant ses patrouilles et nombreux combats qu'elle mènera…
Ainsi donc, après avoir pris un copieux repas nourrissant et enrichissant de toute la chaine alimentaire, Buffy se permis de sortir de table pour monter les escaliers, se dirigeant dans sa chambre pour prendre des affaires qu'elle apporta dans la salle de bain, pour prendre une longue douche chaude car en se réveillant et se levant si tôt, Buffy avait un peu froid en étant toute étourdie et toute essoufflée, grelotant. L'eau chaude sur son corps perla sur sa peau dans ses cheveux et moussa son gant de bain et profitant de se relaxer avec des huiles et de la crème de lait de corps à mettre en friction dans l'eau pour dorer sa peau…
Buffy s'habilla de manière très élégante, et pourtant si simplement, d'un jean couleur bleu marine et un haut comme une chemise blanc crème à fleurs rouges, dotée d'un nœud au-dessus de son nombril et fut prête à partir… Malgré le peu de confiance qu'elle avait en elle pour affronter le monde moderne de la réalité, elle fut très timide et peu sûre d'elle, surtout en retrouvant son père et Joyce le savait ou s'en doutait à peine. Joyce Summers et Buffy eurent une longue conversation dans la voiture qui les conduira jusqu'à Los Angeles pour les vacances et retourner vivre chez son père, Hank.
Depuis qu'elle commencé à réaliser son destin, à le comprendre et l'accepter depuis toutes ces années, Buffy s'était éloignée Lorsque Buffy a été appelée comme la nouvelle Tueuse, elle avait pris l'habitude de mentir à sa mère et de se cacher de la tuer pendant longtemps les démons et les vampires. Joyce était assez bouleversée par le fait que sa fille garde des secrets et s'inquiétait souvent de sa nature rebelle, croyant d'abord que Buffy était une délinquante. Joyce était extrêmement inquiète et mécontente du comportement de plus en plus inquiétant, dangereux et d'une désobéissance sans nom, faisant face au principal Snyder presque à plusieurs reprises de son étrangeté et la façon dont des choses étranges, bizarres et plus que surprenantes, faisant appel au fantastique de contes de fée et Joyce espéra de tout son cœur, son corps et son âme qu'elle s'assagira et contrôlera son énergie, sa puissances et ces prétendus pouvoirs racontés par sa fille cadette, qui était tombée follement amoureuse et intéressante de cette histoire littéraire qui semble avoir été inventée par Buffy. Chacun est exceptionnel, mais en réponse à Buffy, selon Joyce, personne ne l'est, ni le sera. Elle était une championne et un être pas comme les autres jeunes filles comme on ne sera jamais comme les autres, car elle ne peut pas être comme les autres, elle était à part...
Buffy passa tout le voyage comme une longue promenade, assise sur une place de voiture à l'avant, son coude appuyé contre la portière et sa joue pressée contre la vitre, en observant le paysage, la paume de sa main pressée contre son menton. Le paysage changeait toujours de l'observation en avant comme telle une toile de peinture, les personnages restaient en fond et en avant, il y avait des collines, des arbres, de l'herbe et au loin, des lacs…
En entendant le moteur la voiture qui faisait du bruit, la petite fille reconnue la manière de conduire de sa mère et le son du moteur. Frances fut si heureuse de revoir sa mère et sa sœur ainée réunies, en courant hors de la maison, alors que, pendant ce même temps, Joyce sortit du siège du conducteur et elle entendit une voix qu'elle reconnaitra toujours…
Maman !
Elle courut dans ses bras pour être portée. En riant, Joyce la rassura : tu as encore grandi, ma grande, fait attention à toi. Viens par ici, ma grande fille. Qu'elle était à présent…
Joyce discuta du comportement de chacune de leurs filles et pour ne rien rajouter, Addie se mêla de l'éducation des sœurs Summers. Ce n'était pas ses affaires, ni son souci et encore moins qu'elle remplacerait Joyce et ce ne sera jamais, jamais plus il y arrivera et puis, bien sûr, les deux femmes, face à face, montraient des signes d'hostilité, de rancœur, mais surtout Addie s'imaginait avoir tout ce qui pourrait y avoir en ce monde : un homme, en qui elle était amoureuse, des belles-filles rebelles, odieuses et désagréables. Mais un jour, elle les tiendra sous sa coupe, la richesse, une maison et tout ce qui il y avait de confortable dans ce foyer. Non vraiment, il n'y avait rien à redire, mis à part son côté cruel, égoïste, snobinarde et qu'elle obligea tout le monde de la voir comme elle souhaiterait être, vue et admirée en mentant constamment aux gens et à tout le monde quand elle décida que quelque chose lui appartenait, dont elle voulait prendre possession ou rêver d'avoir et surtout une ambition sans borne de narcissisme, de haine et rien de bon en elle n'en ressortait que la haine envers le passé de Hank Summers avec son ancienne famille. Elle avait le cœur rempli de poison, de venin et sec comme jamais il n'aurait pu l'être d'une autre personne sur cette Terre, du moins Joyce aimerait en être certaine et comme une vraie dame de la bonne société comme une femme, une dame voulut recevoir des gens, Joyce restait calme, le dos droit et le regard sévère et déterminé à rester la tête haute, gracieuse et droite sans le moindre poids sur les épaules…
Et puis Joyce repartit en laissant donner des recommandations à ses enfants, ses filles -mais pas avant de leur dire la manière dont il faut se comporter et rester sage- laissant ses filles au bon soin de leur père si adoré, si bon qu'était Hank Summers…
Addie Chandler-Summers, alcoolique, vit entourée de tous les enfants du quartier qui ont fait de sa maison leur terrain de jeu. Mère de trois enfants qu'elle détestait et refusait de s'en occuper en prenant soin d'eux, elle renonça à son droit parental et ses fils vécurent chez leur père, trois beaux garçons dont le plus vieux était âgé de quatorze ans. Lettre écrite à Addie de Buffy à la fin des vacances d'été : Que dirons-nous à une personne qui, elle, a littéralement enlevé toute leur vie d'enfance en ce qui concernait Frances et volèrent la jeune adolescente pendant des vacances d'été ? Que penserions-nous d'une personne ? Quoi dire en asseyant et réussissant à mettre des mots sur du papier et écrire ses pensées sur cette feuille blanche ou il n'y aura que vengeance, rancœur, malédiction et haine pour une personne ? Cette Addie qui méritait que de la haine, aversion et répulsion, qui, non seulement elle a enlevé toute leur vie, l'innocence des vacances parties, perdues par des larmes de l'océan qui coulaient et tombaient dans l'eau, ce qui fit donner cette impression que les larmes furent toutes petites, mais elles les harcelaient sans fin pendant des mois, de Juin, Juillet et Aout, elle aurait pu les conduire jusqu'à leur mort et surtout Buffy qui était tellement plus belle que sa petite sœur. Que dirons-nous, alors que cette personne était censée prendre soin des enfants de son nouveau mari, ce qui est de plus puissant que l'amour d'un père. Cette personne était quelqu'un à qui vous êtes venu après avoir perdu leurs familles, la destruction totale de sa famille, la détruisant, la brisant et lui faisant mal alors que leur famille, il n'y avait plus la muraille de leurs parents qui les protégeaient. Alors que Buffy et sa sœur, maintenant perdues, blessées et vulnérables, sans de protection, une enfance malheureuse, comme Cosette face aux Thénardier. Vous étiez dans une période de besoin urgent et c'était censé être une deuxième chance pour que Frances soit en sécurité jusqu'à ce que leur mère vienne la chercher pour vivre à Sunnydale dans une maison saine, heureuse et prospère, sans être bancale d'avoir peut-être, juste peut-être, une vie un peu normale après avoir tout perdu ? Eh bien, presque tout. Cette personne a ensuite pris le peu qu'il vous restait aussi.
Pour une raison quelconque, il avait été convenu, avant la séparation totale de ville et avant que le divorce ne soit prononcé, que Frances et Buffy devront traiter cette femme comme leur mère et l'accepter comme leur belle-mère, seraient placées sous ses soins si quelque chose devait leur arriver. « Techniquement, par imagination comme dans l'histoire québécoise d'Aurore Gagnon, c'est une cousine éloignée », on leur a dit : « Mais vous pouvez simplement l'appeler maman ou Addie ou tantine. » Bon, d'accord. Frances avait emballé ses quelques affaires en plus de ce que Buffy voudrait rester chez leur père pour des visites ou des vacances, les fêtes de Noël et fait le voyage jusqu'à Sunnydale et d'autres sans jamais quitter Los Angeles, mais quitta la demeure où elle vivait avec Hank. C'était un quartier assez agréable – beaucoup d'enfants autour. Frances a vite appris à se faire des repères, à comprendre, à se sociabiliser et se faire de nouvelles amies. Belle maison et cour. Quand elles furent arrivées, Addie avait essayé de paraître chaleureuse et accueillante, mais il y avait quelque chose que Buffy avait détecté dans sa voix, qui contredisait cela. Elle a fini par comprendre, se rendre compte maintenant, qu'elle s'est peut-être sentie un peu menacée.
Menacée, parce que Buffy Summers, une jeune fille de seize ans, devenait lentement une véritable femme et que Frances était encore loin de cela, car elle n'était plus qu'une petite fille de plus et Addie n'était pas la seule femme dans la maison. Elle avait peu l'impression que Buffy était peut-être sa concurrente, une menace et des rivales pour les jeunes garçons ou jeunes hommes du quartier. Bien sûr, Buffy, dans son regard innocent, en dehors d'un esprit aussi difficile, aussi compliqué et tordu, malade, Buffy ne le voyait pas de cette façon et ni le regardait de son point de vue, elle avait juste hâte d'avoir un endroit où vivre à nouveau avec son père et en sécurité, sans vivre avec une belle-mère. Mais celle-ci voilà, d'âge moyen, divorcée, mère de trois enfants et elle, seize ans, vierge (même si Addie allait bientôt voir à ce que c'était le cas et l'accusant à tort de coucher avec tout le monde, l'insultant et l'appelant des coucherie), pleine de vie et d'espoir.
La torture, le harcèlement, l'intimidation et la transformation en esclave, ne supportant pas les jeux pervers dans lesquels Addie aimait l'initier et voulut lui faire comprendre qu'elle n'était rien d'autre qu'une victime, une proie facile pour une jeune fille qu'était Buffy, donnant quelque chose, comme son innocence, n'a pas commencé tout de suite, bien sûr, la traitant de nullité, simplette totale sans cerveau et manquant de discipline. Tout d'abord, Addie venait de faire des petits commentaires. Addie était une oppression pour la nourriture de grosses portions, ni des gâteaux. Elle prenait qu'un quart de la portion de nourriture sucré, ne voulait pas que Buffy ne grossisse, alors elle a limité l'alimentation. Quand Buffy pouvait manger, elle était en compagnie de son père et elle en était à souhaiter que son père soit toujours à la maison – ou même boire de l'eau. « Vous m'avez averti de ne pas être une salope, sinon il y aurait une punition terrible ». Et elle ne pouvait jamais rien faire de bien -corvée après corvée- elle était réprimandée pour avoir gâché quelque chose.
Frances avait vécu bien pire, La violence psychologique – ou violence morale, violence mentale, violence émotionnelle – est une forme de maltraitance répandue envers les enfants. C'est une forme de violence envers autrui sans qu'une violence physique soit mise en œuvre directement. La maltraitance est un mauvais traitement infligé à une personne que l'on traite avec violence, mépris ou indignité. La maltraitance implique un rapport de pouvoir ou de domination entre le bourreau et la victime, qui est ainsi souvent dépendante et sans défense. Sont qualifiées de maltraitances « émotionnelles » l'ensemble des violences psychologiques et verbales qui viennent induire inutilement une émotion de peur ou de honte chez l'enfant. Addie la traitât de bonne à rien, vivant sous le courroux de sa belle-mère. Son père n'était au courant de rien du tout et elle craignait d'en faire part à son père, croyant que tout ceci serait des enfantillages. Elle s'est réveillée en sursaut au son du martèlement sur la porte de sa chambre. Frances Summers, poussa un soupir et sortit du lit. La plupart des enfants ont été réveillés par un réveil, mais pas elle. Elle a dû faire face au dérangement de sa belle-mère odieuse. C'est quelque chose qui marquerait certainement un enfant pour la vie. Le monstre était assez énervé d'être interrompu, tandis que Hank essayait de la calmer. Elle l'a fait pour lui, mais a vraiment pleuré, crié sur Frances quand il n'était pas là. Son père ne réaliserait jamais le genre de personne qu'il a épousé. Elle était horrible et traitait Frances comme rien, mais il en était complètement inconscient. La femme était douce et gentille quand il était là, mais elle retournait sa veste à la seconde où il n'était plus là.
Elles revinrent à la réalité lors que Frances eut terminé le récit de cette femme odieuse, horrible, blessante, sans cœur et manipulatrice, faisant de la vie de l'enfant un enfer…
Frances réussit à se procurer de l'argent tant bien que mal tellement c'était gris à l'intérieur, sombre et malveillant ou régnait une dictature dont personne n'était au courant, malgré Buffy et Frances qui furent dans le savoir où on avait aucune envie de sortir, malgré la morosité et le fait qu'il n'y avait jamais de guetter d'arc-en-ciel de couleurs, les fleurs écloses, le jardin bien entretenu, de la lumière rentrant par les fenêtres de la maison. C'était grâce à la bonne entente entre Frances et Buffy, qu'elles s'entendaient si bien avec leur père, recevant chaque semaine un peu d'argent, toutes les semaines jusqu'à un salaire, en calculant le tout et il en donna à Buffy également sans demander. Pour partir dans le parc près du lac sauvage, en allant s'acheter à manger car Buffy mourrait de faim et voulut manger un hot-dog qu'elle engloutit, affamée, expliquant la situation à Frances, qu'Addie était désagréable toute la journée du matin au soir, rien n'était trop parfait ou assez bien pour elle et maintenant tout se mélangeait dans sa tête. Addie était concentré sur Buffy qui recevait les punitions les plus lourdes pour protéger sa sœur en lui donnant de nombreuses fessées et d'autres humiliations devant d'autres enfants. Frances croyait que ce n'était qu'un jeu et pourtant, pourtant c'était loin d'être au ciel le paradis en restant dans le monde réel. C'était oh combien dur d'échapper aux punitions, aux humiliations et aux moqueries des autres enfants. Chaque punition destinée à Frances, toutes sont reçues par Buffy qui se sacrifiait pour sa petite sœur, voulant la protéger de tout. Un jour, elle dira que ce serait sa faute si l'on fait du mal à Buffy. Frances encouragea Buffy à peindre de nouveau, et en réalisant du patinage artistique.
La jeune fille avait un incroyable don important de dessin, de peinture et aquarelle et c'est ainsi que depuis qu'elle était chez Addie, elle arrêta, car elle fut blessée très gravement psychologiquement dans son estime de soi et fut empêchée, elle était coincée dans son inspiration peut-être si elle lui flairait une peinture de toile, tout s'arrangerait un jour et c'était alors que le drame, l'inconfort, l'injustice, l'humiliation, l'abaissement, l'affront agenouillement devant plusieurs petits garçons de l'âge de Frances ou plus jeunes des classes élémentaires. Frances regarda sa toile et lui dit :
"Buffy, c'est vraiment très beau et très jolie..."
En inventant un nouveau jeu, Buffy et Frances reçurent une leçon sur le fait de plaire à un garçon, à le séduire et lui donna ce qu'il attendit d'elle, Buffy devrait ouvrir ses cuisses pour qu'un homme puisse entrer en elle par un autre membre, une queue, une partie génitale gonflée d'un pénis. Mais, bien sûr, les deux jeunes filles furent horrifiées en sentant que ce serait condamnable et cela ne ressemblerait pas au tempérament et à la personnalité de Buffy de penser à une telle chose et si Addie en apprenait souvent d'autres comportements, elle aura à faire face à des explications, les fournir en étant punie et voulant qu'elle sache qu'une catin, une prostituée n'avait rien à faire et conçue dans la maison qui est à elle et son père...
Buffy réussit par le plus grand des hasards, avec beaucoup de chance, d'auspice et dans un grand moment heureux, d'obtenir une autorisation spécialement pour un après-midi avec Frances au parc pour aller manger des sucettes et de nombreuses friandises, par l'approbation et l'assentiment d'Addie. Les deux jeunes filles allèrent s'acheter tout ce qu'elles désiraient. Elles avaient pris de l'argent de leur père pour s'offrir ce moment unique et chanceux et ainsi de renouveler l'espoir qu'une jeune femme et sa sœur ont failli perdre pendant les vacances. Chose délicate et agréable à manger, en particulier petits gâteaux, confiseries... Une confiserie est un produit à base de sucre qui est vendu dans un magasin du même nom et fabriqué par un confiseur. Il existe une très grande variété de confiseries - aussi appelées sucreries - en passant par les fruits confits, la barbe à papa, le sucre d'orge, les anis de Flavigny et les loukoums. Et ainsi, elles savourèrent leur sucette commune. Frances, une sucette à la fraise et pour Buffy, celle à la menthe... Elles auraient aimé avoir d'avantage d'argent qui leur avait prêté, mais un bel étranger les avait aidées, les hommes qui réalisaient des choses sans rien attendre en retour était extrêmement rares...
Addie gloussa et s'amusa d'un regard dur et rempli de haine et de jalousie, du désespoir et de la tristesse, déçue de ses belles-filles, en leur disant qu'elles auraient aimé en avoir plus. Eh bien, c'était tempi pour elles deux... A la grande haine et colère de Buffy, la plus âgée du duo…
La vie en elle-même et le quotidien de son existence de la vie devenait insupportable et le mal de vivre lui donnait la nausée, la honte et le découragement, non sans rien de positif qui était encourageant par la terrible faute d'Addie qui demandait des taches difficiles aux filles peut-être certainement dégradantes, lavant la maison de fond en comble et encore elle ne fut néanmoins froissée et en colère, perdant patience, tout ceci dans le dos de Frances et qu'elle n'arrivait pas point à ouvrir de simples boites de conserve ou des flacons de compote de pommes et d'autres aux fruits qui étaient stockés au sous-sol. En apprenant à cuisiner, Frances devenait un véritable et mignon magnifique cordon-bleu et elle aimait cuisinée, mais elle perdit tout son don, sa créativité et le manque de confiance qu'elle avait en elle lorsqu'elle était surveillée dans le moindre détail comme un moucheron collant ses arrières pour préparer une véritable pizza à l'origine comme artisan faite exactement comme des pizzas savoureuses de l'Italie de la pâte à la garniture et en la cuisant à la tomate, aux olives noires sans noyau, des morceaux de bœuf et de porc ainsi que des légumes. En préparant consciencieusement, avec la plus petite fine de dentelle pour faire reposer la pâte avec délicatesse, allant en boule pour la pétrir avec délicatesse et la modela avec un rouleau à pâtisserie, installer dans le moule, Frances voulut faire à sa manière, comme elle l'avait appris de sa mère et son institutrice en atelier cuisine. En se faisant confiance, elle suivit la recette. Au début tout se passa bien, mais après des minutes, la pâte s'acidifiât en le pensant pour rendre la pâte la mesurant et installa tout ingrédient et se dit que c'était parfait, craquant à l'extérieur et moelleux à l'intérieur.
Mais Addie revient dans la cuisine. Sa patience était très limitée, voyant le travail merveilleux, parfait et impeccable sans le moindre défaut, Addie rit, lui disant qu'elle n'a jamais suivit la recette qu'Addie avait découverte et donnée à la jeune fille, lui répétant sans arrêt : Arrête-ça, arrête-ça le plus vite possible, rapidement. Tu fais des erreurs, tu te moques de moi, espèce de salle gamine pourrie gâtée, tu ne fais jamais rien comme il faut, comme il le faudrait... Laissant tout tomber et envoyée dans sa chambre, Frances, en larmes, vit sa pizza et son travail anéantis, mais sans la bravoure de Buffy qui était intervenue, traitant sans complexe et sans peur sa belle-mère en défendant sa sœur, déclarant, s'exclamant avec gravité que Frances ne ferait jamais exprès de gâcher, de détruire ou de mal préparer des plats en cuisine.
En rentrant de son bureau, extrêmement joyeux, heureux de retrouver de très bonne heure sa famille, Frances et Buffy avaient pleuré sur son épaule jusqu'à ce que Addie ne s'en mêle et lui disant que cette fille ne savait rien faire de ses mains ni de ses doigts et comme à son habitude, à la constatation aux fausses preuves, Frances reçut une leçon de moralité et d'éducation pour qu'elle progresse et fasse des erreurs et les accepte et prenant sa vie en main et pouvoir grandir sans qu'elle agisse comme un enfant un bas âge... Malgré les supplications, les discours, les paroles, rien ne fit entendre Hank au grand désespoir de ses filles...
Un beau jour de beau matin, alors que tandis que Buffy s'était réveillée extrêmement tôt pour aller profiter des premiers temps de la journée en participant au regard d'assister au levée du soleil, 'assise sur un banc, elle regardait toute seule, plongée dans les profondeurs de ses pensées à la rosée du matin qui s'accrochait aux différentes plantes, fleurs et feuilles des branches d'arbres, Frances s'était aussi réveillée tôt, en descendant les escaliers, sans faire le moindre bruit possible dans l'espoir de ne pas réveiller Addie, en retrouvant sa sœur, elle s'installait à ses côtés et posa sa tête contre son épaule en expliquant qu'elles devraient appeler leur mère. Bien entendu, ce n'était pas possible. Elle vivait si loin de Los Angeles. Il ne lui restait plus qu'à composer le numéro de leur grand-père, Abraham, mais il y avait toujours un piège ou une fissure dans chaque projet que les deux sœurs faisaient et réalisaient. Elles ne purent utiliser le téléphone de leur maison, car Addie, qui était maladivement maniaque et que tout soit parfait, vérifié chaque heure, chaque jour, chaque semaine et dans les différents mois, les appels entrant et sortant. Donc Buffy pris la décision d'amener dans un carton de tout ce qu'elle pouvait ramasser de plastique et de verre et des bouteilles d'alcool vides, en verre pour récupérer l'argent des consignes et un jour, elles réussirent à avoir assez d'argent pour utiliser un téléphone dans une cabine téléphonique. Buffy lui dit bien à Frances qu'elle parlerait en première et il était resté en très bon contact avec Joyce. Il les aidera, les comprendra, les protégeant, elles entendirent la voix d'un homme...
Frances commença à parler dans une voix au bord du bouleversement, de l'émotion accrue et trop forte et bouleversée et sous le choc d'une jeune fille émotive en lui expliquant qu'Addie était très dure avec elles et que Buffy, ainsi que Frances, n'était pas très heureuse, qu'elle les punissait et devenait hystérique, méchante, violente, qui fait délibérément du mal ou cherche à en faire, le plus souvent de façon ouverte et agressive, malveillante et mauvaise, qui fait intentionnellement du mal à autrui, qui cherche à nuire : un méchant homme. Il est méchant avec les animaux, qui manifeste la volonté de nuire, la malveillance : une remarque méchante. Et qu'il leur était interdit de communiquer à qui que ce soit, elles restèrent souvent à la maison sans le droit de sortir au parc et même au zoo.
Abraham prenait très extrêmement au sérieux les dires de ses deux petites filles, même si au début un être qui n'avait jamais connu le moindre problème, la moindre brimade, sans une menace extérieure ou malveillante, tout un chacun croit que l'homme est profondément bon et que jamais une femme saine d'esprit ne ferait la moindre horreur, des choses aussi affreuses et abominables. Mais à un moment, alors qu'elles utilisaient le téléphone depuis une très bonne demi-heure, presque une heure, Buffy se précipita pour chuchoter qu'elles devaient le laisser, car des petits voisins du voisinage qui allaient très souvent chez cette chère Addie Chandler-Summers, une femme frêle, mince, squelettique, ne pouvait faire du mal à personne. Quand les deux sœurs rentrèrent à la maison, elle prit les deux jeunes filles par chacun de leurs bras, en les faisant monter dans leurs chambres chacune et les placerait sous haute surveillance et commença à battre Frances jusqu'à ce que Buffy avoue qu'elle avait utilisé le téléphone pour rester en contact avec leur grand-père qui est âgé et jamais elle n'aurait voulu se plaindre de la méchante Addie, comme elle osait s'appeler elle-même. Pour Hank, qui voulut que ses deux filles passent une semaine complète avec leurs grands-parents, c'était une occasion unique... Avant tout ce qui importait, était qu'elles soient sévèrement punies et renforça les mesures d'interdiction... Quand-bien même Joyce appelait régulièrement pour avoir des nouvelles de Buffy et Frances...
La simple semaine qu'elles eurent passées avait été si court et pourtant si longue, mais ce n'était pas le cas des points de vue du regard de Buffy et Frances qui pensaient déjà qu'elles allèrent abandonner leur grand-père qui était si court à peine arrivées, installées, choyées dorlotées, aimées, étreintes, mangeant à leur faim, les semaines les plus courtes semblaient être les plus belles et merveilleuses aussi incroyable qu'elles puissent être et voulurent prolonger encore et encore de quelques jours encore plus tard. Elles devaient rentrer à la maison.
Cette simple semaine, la journée qui passait et l'autre suivait, n'étaient tout simplement pas vraiment vraie, c'était loin d'être simple, elle avait été la plus merveilleuse de toutes les courtes vacances qu'elles ont eu et qu'on leur a données et offertes. Quand Frances eut six ans, c'était dans ce même jardin, Buffy étant l'ainée, devait protéger et surveiller sa petite sœur qui voulut jouer à cache-cache, bien que ce jeu ne soit pas très palpitant à deux. Mais elles ont imaginé de nouvelles règles : celui, celle qui cherche, doit attendre un certain temps avant de commencer. S'il ou elle ne trouve pas la cachette de l'autre, il ou elle a perdu et doit un gage - comme par exemple céder son dessert. Elles traversèrent le jardin à toute vitesse, en direction de la forêt, car elles étaient en vacances à la campagne avec leur parents et grands-parents "c'est ton tour dit Frances. Hier c'était moi qui cherchais. Buffy acquiesça. Elle se tapit sous un arbre et cache la tête entre les bras.
Frances ne court pas loin, elle sait déjà où elle veut se cacher. La veille, elle a découvert une galerie dans un talus, peut-être un terrier de renard abandonné. Elle casse quelques branches, se faufile dans l'ouverture et l'a recouvert avec le feuillage. Elle ne tarda pas à entendre Buffy l'appeler. Elle passa plusieurs fois devant elle, sans la voir, bien entendu. Frances savait que c'était une cachette de premier ordre. Elle espère qu'il s'agisse bien vraiment d'une tanière abandonnée, qu'un renard rentrant chez lui ne va pas venir lui mordre les fesses. A moins que ce ne soit pas du tout le terrier d'un renard, mais celui d'un lapin ? Elle réprime un éclat de rire en se rappelant les mots de leur grand-mère, les lapins ne mordent pas, en tous les cas, elle n'a encore jamais entendu dire que quelqu'un ait été mordu par un animal de ce genre. Mais les renards, eux, ont le museau pointu et les dents acérées.
Buffy est déjà passablement nerveuse. Elle ne trouve pas Frances, comme d'habitude. Elle a le don de dénicher des cachettes. Mais elle pourrait tout de même se décider à sortir. "J'abandonne !" lance-t-elle d'une voix forte. "Allez, Frances sort de là !" Elle ne bouge pas, elle crie de plus en plus fort, cours de plus en plus vite. Et si elle s'était perdue ? Si un ou une inconnue l'avait enlevée ? Comment pourra-t-elle expliquer à sa mère, à sa grand-mère à son grand-père et aux tantes Darlène, Arlène, Dolly et Lolly et à son père qu'elle n'y est pour rien ? Elle entend déjà sa mère lui dire "Mais enfin, Buffy, tu es beaucoup plus âgée qu'elle, tu devrais tout de même aussi être plus responsable."
Elle sent des larmes de désespoir lui monter aux yeux lorsqu'elle surgit tout d'un coup derrière sa sœur ainée. "Je veux ton dessert le jour où il y aura de la crème glacée." claironne-t-elle. Buffy lui mettrait volontiers une raclée. Ou bien elle l'embrasserait ou l'étreignait, tant elle était soulagée. Mais elle se contente de dire : "Regardes toi ! tu es toute sale..." Et c'était exacte, la robe d'été de Frances, avec son tissu clair est maculée de terre humide et elle a beau l'épousseter, ses gestes de petite fille ne font qu'étaler les salissures...
Cela avait été un moment de souvenirs très marquant pour les deux petites filles qu'elles étaient jadis, d'autrefois.
Avec en compagnie de Frances, Buffy passa la semaine à jouer sur leur très ancienne balançoire, à jouer à l'extérieur, à s'amuser avec des peluches, des poupées. Souvent c'était, pour sûr, Frances qui choisissait quoi faire dans leur planning des jours passés chez papi et un jour, en dévalant la colline du terrain de leur grands-parents, Buffy retrouva sa sœur sur sa balançoire en train de s'amuser et de rire. On voyait sur son visage à quel point elle était heureuse, rouge de bonheur, heureuse. Avec le cœur brisé, Buffy dut lui dire que leur père était venu les chercher. En se serrant dans l'étreinte de leur grand-père, Frances eut le courage dont Buffy n'avait pas, pour employer les mots qu'elle s'interdisait de dire : « Ça ne nous plait pas de partir"... En se redressant et attrapant Frances dans ses longs bras muscles par le travail de travailleurs, il lui dit que les enfants appartiennent à leurs parents et en s'adressant, chuchotant à l'oreille de Buffy qu'elle devra bien s'occuper de sa petite sœur, veillant l'une sur l'autre et prendre soin de tout le monde...
Buffy s'installa dans le fauteuil à côté du conducteur et Frances, étant derrière, ne quittant jamais des yeux, étant à la recherche de la si belle maison heureuse de bonheur, en revenant vers l'enfer qui les assaille et les étreint...
En regardant tout en écoutant pour ce qui se passait à l'extérieur du bruit d'un moteur d'une auto qui était en train de franchir les grilles du portail et se garant dans la cours hors du garage, Addie vit Hank faisant sortir ses filles et leurs bagages en prenant chacune une valise leur appartenant. En descendant les escaliers, elle arbora à son mari et aux filles un faux sourire enjôleur pour garder une apparence et une fausse image de l'épouse parfaite en faisant semblant de mettre en évidence, de rester proche et faisant semblant de tenir en haute estime Hank Summers et ses filles. Comme elle était belle cette simple petite famille, dit-elle avec plaisir et bonheur et fausseté d'être heureuse, merveilleuse famille, alors que tout ce qu'elle désirait était de se débarrasser de ces filles et avoir leur père pour elle toute seule. Ces sales enfants allaient ruiner tous ses plans. Elles leur dit combien elles étaient si belles comme leur mère, dit-elle avec amertume et jalousie grandissante. Depuis le tout début, Addie faisait régner la zizanie avec Hank et ses enfants disant du mal de chacune d'elle et jusqu'à ce qu'elle pense qu'elles étaient des fardeaux ou de simples employées de maison, réalisant toutes les tâches ménagères et rendant leur vie impossible en voulant blesser physiquement Buffy pour qu'elle fasse croire à des automutilations. Elle a ensuite souffert d'une crise d'identité, s'est automutilée et s'est enfuie de chez elle pour faire croire que tout était de la faute de Joyce Summers et elles toutes trois vivant en exil hors du monde, de l'univers de Hank disparaitront mystérieusement sans comprendre le pourquoi du comment et se faisant passer pour un homme qui abandonne sa famille et ne voulant plus rien à dire pour l'éducation de ses chères trésors et de la vie de Joyce, ce serait pour le mieux, préférant sortir, oublier de sa vie, se faisant passer pour un moins que rien, un homme, qui de bonne société, soit dans la honte des autres femmes et de son travail qui faisait sa fierté… Comme un père immobile et distant…
Lui faisant croire que ses problèmes étaient à l'origine de leurs désaccords….
Quelque jours plus tard, alors que Buffy était dans le jardin, Addie eut une nouvelle attaque de panique, une bonne crise d'identité et la schizophrénie est une pathologie psychiatrique chronique complexe qui se traduit schématiquement par une perception perturbée de la réalité, des manifestations productives, comme des idées délirantes ou des hallucinations, et des manifestations passives, comme un isolement social et elle voulut se faire passer pour une autre, une bête une abomination en allant voir Buffy, pour que la jeune fille fasse une corvée en s'approchant des arbres est retirant les toiles d'araignées et des rideaux de vers à soie. Elle était tellement répulsée, gênée par les propos qui lui étaient attribués et rentrant en plein cœur de l'intérieur elle dedans son organisme. Elle avait cette forte impression qu'elle ne parlait qu'à elle en l'entendant dire combien c'était sale, collant, visqueux et dégoutant aux trois garçons du quartier qui étaient à la maison. Ensuite, Addie se tourna vers sa belle-fille à elle seule pouvait commencer car ne dit-on pas bien comme dictons : les dames et les enfants d'abord ? Alors qu'elle secouait la tête de négation, Addie rentra dans une terrible colère, croyant qu'elle refusait de lui obéir.
Buffy se recula de quelques pas en murmurant qu'elle n'avait pas envie de réaliser cette simple corvée, alors Addie s'adressa au groupe en disant, en déclarant un discourt qu'elle avait si bien en tête : voilà un très bonne exemple, les garçon sur la féminité car les filles étaient si sensibles, si douces, si craintive et refusaient parfaitement toutes de se donner à des hommes. Et Buffy avait tout d'une fille n'est-ce pas, n'est-t-il pas ? Vraiment, car au nom du ciel, sous-entendre que cela faisait-il d'elle ? Qu'elle n'était pas une vraie femme ? Qu'elle n'avait pas de compétence pour ressembler à une dame de la société, mais Buffy réussit à protester en déclarant qu'elle était très belle et elle espérait qu'elle le savait. Elle posa ses doigts et frotta la joue de la jeune fille en lui disant qu'elle n'avait aucun ordre ou leçon à recevoir d'une enfant qui ne sait même pas se nettoyer le visage... En mettant volontairement de la poussière sur elle, ainsi Addie la congédia en lui disant d'aller aider sa sœur au sous-sol, au garage ou à la cave...
En compagnie d'Addie et sous la plus grande vigilance et le regard, la surveillance de la belle-mère, Frances suspendait le linge humide et l'accrochait avec des pinces à linge d'après la lessive toute faite, tout en retirant le linge, serviettes et draps du linge de chambre des draps à mettre dans un panier de propreté, mais la jeune fille fit tomber maladroitement une serviette sur le sol rempli d'herbe qui devait être humide. Elle tache ainsi d'autres vêtements mouillés qui glissèrent de ses bras. Addie en perdit patience en lui criant de se débrouiller et aller plus vite que cela, la traitant abordée et examinée en essayant d'aller plus vite. Frances, quant à elle, répondit qu'elle était désolée en employant le nom d'Addie, mais la femme intervient, lui coupant la parole en lui répliquant de l'appeler maman
Addie répliqua très méchamment, avec haine, répulsion et dégout qu'elle avait deux mains gauches et que Frances faisait toujours tout de travers, ne faisant que gémir et se plaindre, ne prenant jamais ses responsabilités, fuyant la colère de leur très vilaine méchante marâtre. Elle dit qu'elle était désolée et put réparer, soigner, sauver, améliorer sa faute. Frances fit une autre lessive dans l'espoir qu'Addie ne punira ni la plus petite des Summers, ni Buffy, la fille ainée. Buffy avait tout entendu et souhaitait plus que tout se libérer, se révolter, faire quelque chose pour ne plus être traiter de la sorte par Addie. Si c'est la guerre qu'elle voulait alors, elle aura la guerre, la révolte, la révolution dans la maison de la seconde femme de leur père... Elle ne s'aura plus comment y faire face...
Buffy réussira en se soulevant, à vaincre cette horrible femme, petit à petit, peu à peu, un peu plus chaque jour. Buffy reprit de l'assurance et du courage pour sauver sa petite soeur des griffes du monstre qu'était Addie et d'elle-même. Se soulever avec violence contre l'autorité, le pouvoir et chercher à s'en libérer. Refuser d'obéir à quelqu'un, contester son autorité : Être révolté contre ses parents, et elle se battra toujours contre les dictateurs de la haine, des mauvais qui refusaient de vivre en paix, semant le trouble partout, la discorde et de la méchanceté vile, se battre pour les opprimés et les innocents. Alors qu'un jour, quand elle découvrit des grandes, immenses marques contre le dos de Frances et un bleu sur son bras gauche et un 'autre sur sa cuisse droite pour les simples raisons que pour Addie disant que comme c'était ainsi que cette enfant devra apprendre et pour toutes les désobéissances de sa soeur ainée, Buffy dut intervenir qu'elle ne voulait pas que sa soeur paye pour son travail mal fait, mal rangé et ses, oh combien, erreurs qui furent nombreuses. Elle cria comme c'était terrifiant, horrible, grave et injuste qu'elle ne touche pas à sa soeur par pitié, de grâce, l'empêcher de faire du mal à Frances, prenant la correction à sa place, mais pour toute erreur et c'était beaucoup moins agréable que sa chère soeur doit en payer le prix, qu'elle irait en parler, dénoncer ainsi ces injustices, ces tortures et blessures physiques et psychologiques et elle avait quelque chose qu'Addie n'avait pas : de la confiance en elle-même, le courage, la loyauté, l'amour du travail acharné, mais de la bonté, de l'innocence au fond du cœur, l'amour était une arme puissante, forte pour vaincre tout ce qui avait de magique, maléfique, de magie noire et la plus sûre, c'était qu'elle avait des amies et des gens qui l'aimait : sa famille et sa petite sœur. Elle n'obéira plus à aucun ordre de cette femme. Buffy en fit le serment après avoir découvert les sévices que Frances subissait et elle l'aida à monter les marches des escaliers...
Une fois dans la chambre de Frances où elles furent toutes deux en sécurité, la petite fille lui dit : tu ne devrais pas faire cela pour moi, c'est ma faute. Addie n'est jamais satisfait et elle devait combler le vide et surtout faisant mieux que la dernière fois. Les larmes coulèrent de ses joues en révélant à Buffy combien Joyce lui manquait et voulait venir habiter dès maintenant, à présent, à Sunnydale... Mais ce n'était pas pour tout de suite, Buffy devra convaincre leur père d'écourter les vacances chez lui et que pour cette raison, Frances voudrait se familiariser à la ville avant que la rentrée ne commence... Mais le calvaire ne sera pas terminé, elles devront montrer la face du mal à leur père qui réussit à quitter cette maudite, monstrueuse femme. Frances et Buffy avaient le devoir de protéger leur père, Hank Summers...
Addie était furieusement envouté, ensorcelée, brillante en magie noire. La noirceur de son âme était comme les mains d'un ramoneur : noires comme la suie, voulant à tout prix vaincre cette petite peste d'un bout de femme qu'était Buffy Summers et n'ayant plus la force de se battre, de combattre la guerre avec des centaines de milliers de batailles, étant aussi docile, gentille, adorable comme une bonne fille et très gentille fille aussi belle qu'une poupée de porcelaine, ressemblant à Frances. Mais non, car Buffy était très différente avec une forte personnalité, un courage immense, sans prétention, une réelle et solide guerrière et Addie aura du soucis à se faire et de la crainte car, commençait à sonner la fin de son règne et la descente du sommet en se faisant écraser par les filles, les enfants Summers….
Il s'était encore passé plusieurs jours où Addie avait réussi, sans honte, sans prétention, sans avec emphase, d'un style déclamatoire, abusif ou déplacé où elle ne reçut aucune honte ni crainte et regret, sans punitive, sans gêne ni d'aucune sorte, elle n'eut de regret, d'amertume, de tristesse, de chagrin et de contrariété, de contrition, de déception, de déplaisir après avoir blessé Buffy, en écrasant sous son pied un cadre photo de verre où se trouvait une magnifique photographie de sa mère, Joyce, voulant la blesser, lui faire du tort en la menaçant et en asseyant de l'envoyer dans l'abime souterraine d'un océan en l'humiliant, à s'accroupir près des morceaux de verre qu'elle dut ramasser après avoir reçu l'ordre de nettoyer tous ces dégâts, sans pelle, ni balai, elle dut ramasser à mains nues, ainsi elle se blessa en se coupant... Buffy regardait avec haine et pourtant la tristesse, le chagrin arrivèrent bien vite et elle ne put le cacher plus longtemps..
Pour ce qui en était de Frances, elle lui brula le bras avec un fer à repasser où une immense tache rouge apparut. Les accidents avec le feu ou des objets brûlants tels qu'un fer à repasser sont, quant à eux, considérés comme des brûlures. En cas de brûlure ou d'ébouillantage léger, seule la couche cutanée supérieure (épiderme) est atteinte. La peau est rougie, légèrement enflée et douloureuse. Ne montrant aucun regret ni compassion, ce qui mit Buffy dans un état de folie, la soignant plus tard grâce à l'aide d'un cataplasme de jaune d'œuf en s'agissant comme une métaphore où le contenu d'un réservoir presque plein déborde à cause d'une goutte d'eau de trop. On comprend l'allusion faite à la parole de trop qui pourrait engendrer une explosion de colère... Et puis, la faisant s'écrouler sous une montagne de vêtements à repasser, Addie avait fait en sorte qu'elle ne réussisse jamais, tel un piège dans l'impossibilité que son plan échoue d'une façon ou d'une autre. Le panier allait tomber et personne ne pouvait y échapper. Elle ramasse tout ce qui a été repassé, sentant le frais et la souplesse des tissus qui n'étaient pas gâchée sans un repassage. Tout tomba sur la tête de Frances qui se retrouva sous une montagne de vêtements. Elle prit peur, cria, hurla, se roulant en une petite boule contre le sol, effrayée. Addie était furieuse de la maladresse, de l'erreur et de la bêtise de Frances, alors qu'au fond de son être elle était extrêmement joyeuse et le cœur en fête, en joie et de plein de bonheur. Tout était à refaire. Buffy aida sa petite sœur car elle n'arrivait pas à remonter à la surface, lorsque la jeune fille découvrit sa petite sœur qui commençait à pleurer, répétant inlassablement : ce n'est pas ma faute, ce n'est pas ma faute, ce n'est pas ma faute...
Le soir, alors que Frances regardait ses blessures qui suintaient encore, plongée dans le fait qu'elle guérirait rapidement comme sa sœur ainée, elle prit le plus grand soin de les soigner. En entendant rentrer Buffy, Frances lui dit : c'est ma faute tout ceci. Tu ne devrais pas me pardonner tout est de ma faute, tu devrais me détester ou me haïr, je ne suis plus ta petite sœur. Je suis inutile et une rien du tout...
Tout ce discours, qui était assez sombre pour une enfant de onze ans, était au-delà de la pâleur et Buffy en eut le cœur brisé, horrifié et rempli de tristesse. La jeune fille lui dit que rien de tout cela n'était sa faute. Et qu'elle ne la détestait pas, au contraire même, elle l'adorait en l'aimant de tout son cœur et en ayant beaucoup d'amour pour elle depuis sa naissance...
C'est bien du sang ? demanda-t-elle, angoissée, en ayant peur et en étant énervée. Je ne peux pas être un objet ni une adoptante personne ne m'a jamais abandonnée, quelqu'un qui s'occupe de moi, Ça ne peut pas être moi. Je ne suis pas une chose. C'était le résultat de tout ce qu'Addie avait commis pour l'atteindre et lui faire du mal.
Je t'aime, je t'aimerais toujours. Tu es ma soeur.
Non, je ne le suis pas ou ne le serai plus. Je veux mourir ou faire disparaitre Addie. Elle est trop méchante. Je veux rentrer à la maison avec maman, ma vraie mère.
Si tu l'es en posant sa main droite près de son cœur et bougeant ses doigts pour prendre la main de Frances et pressa fort qu'elles avaient toutes deux le même sang, c'est le sang des Summers, c'est comme le mien et cela ne sera jamais et changera pas.
Le lendemain matin, Addie avait décidé que les deux sœurs devaient affronter leur père et le convaincre que dans le cas de Buffy, la renvoyant dans un institut psychiatrique et quant à Frances, un pensionnat en Suisse pour jeunes filles de bonne famille.
Et là, c'était la première fois qu'elle se dévoila et montra qu'elle était mature et sûre d'elle, protesta et dira : jamais nous ne ferions cela…
Alors face à ses paroles, Addie n'eut plus le choix. Elle attrapa son bras et son poignet pour la battre jusqu'à ce qu'elle perde connaissance et obéisse. Mais quelques minutes à peine qu'elle eut commencé ce traitement, une voix froide, familiale et si chaleureuse, aimante, familiale et paternelle, si sécurisante et en confort profond :
"Retire tes mains de mes filles !"
Addie s'éloigna instantanément pour regarder sous le choc, horrifiée et honteuse, remplie de peur d'avoir été découverte à commettre ses crimes et qu'on l'avait surprise en pleine scène de punition charnelle et physique. Un châtiment corporel est une forme de punition dont l'objectif est d'infliger une douleur physique, afin d'amener une personne reconnue coupable d'une faute ou d'un délit à se repentir et à éviter la récidive. Le retrait pour éliminer un comportement inapproprié. Comme il implique la perte de contacts avec les autres pendant une brève période de temps, le retrait constitue une forme de punition négative. L'apparition de son mari, ne l'attendant pas si tôt. En employant, blessant les deux jeunes petites filles. Plus fortes que les femmes. En valeur relative, c'est-à-dire par rapport au poids du corps, cette différence n'est plus et est encore réduite lorsqu'on l'exprime en pourcentage de masse maigre. Hank repoussa extrêmement fort, blessant presque Addie en la poussant de toute son poids, il prit Frances dans ses bras et attrapa Buffy contre lui qui se blottit instantanément contre son père et qui enroula un bras sur ses frêles épaules.
Avant l'arrivée de Hank, Addie était en train de griffer fortement avec ses ongles les deux bras de Frances et souhaita étrangler la gorge, la trachée si facilement de Buffy.
Elle se déplaça immédiatement vers le côté de son père, d'autres larmes tombant de ses yeux quand il enveloppa un bras autour d'elle :« Je suis désolée de ne jamais vous avoir cru » a-t-il murmuré à ses filles.
Buffy hocha la tête et resta silencieuse, sachant que c'était quelque chose qu'il devait faire.
Hank s'est retourné vers Addie, l'amour qu'il ressentait autrefois pour elle, a maintenant disparu. « Je ne peux pas croire que je t'ai laissé me tromper. Tout ce que tu as dit à propos de moi, en envoyant Buffy loin pour son propre bien, n'était rien d'autre qu'un mensonge, n'est-ce pas ? J'aimerais juste que ça ne me prenne pas autant de temps à comprendre. Je ne peux pas croire que je t'ai fait confiance. Ce mariage est fini, Addie. Je me fiche où tu vas, mais je veux que tu quittes cette maison. Je veux divorcer et je ne veux plus jamais te revoir avec ma fille. Je pense que tu as causé suffisamment de problèmes. »
Addie ne pouvait pas croire qu'il avait le choix, le choc et l'audace de la mettre à la porte. « Tu ne sais pas ce que tu dis. Ces petites salopes essayent de te retourner contre moi ! » cracha-t-elle.
Il cria de la laisse en dehors de cela. Tout est fini avec Addie. Hank lui dit qu'il a abandonné une gentille femme pour elle : j'ai tout abandonné, mais ça n'en valait plus la peine. Je serai damné si je renonce aussi à mes filles.
Elle lui donna une expression tonitruante, puis l'alluma sur Buffy. Addie marcha près d'eux et se dirigea vers la porte d'entrée, les regardant encore une fois. Elle dit à Hank : Tu vas le regretter, Hank. Je vais m'en occuper, a-t-elle affirmé. Et elle est sortie de la maison en claquant la porte derrière elle.
Buffy a finalement éclaté en larmes une fois qu'elle était partie, serrant son père dans le processus.
Il l'entourait de ses bras et la laissait pleurer contre sa poitrine. Son père lui dit que : tout va bien maintenant, ma chérie. Mon Dieu, je suis désolé pour tout. Je n'ai jamais réalisé à quel point elle était mauvaise. J'aurais dû vous écouter. Ne pouvez-vous jamais me pardonner ?
Buffy s'est éloignée assez longtemps pour le regarder et lui dit : je peux essayer. Tu ne sais pas à quel point c'était difficile de vivre avec elle, papa. Addie l'a fait se sentir horrible. Buffy voulait me suicider à nouveau pour s'enfuir. Sans sa vie avec sa maman, son soutien, ses nouvelles meilleures amies, sa vie à Sunnydale et Angel, elle l'aurait probablement fait.
Hank la tenait plus serrée, au-delà d'être soulagée de ne pas l'avoir fait : je trouverai un moyen de me racheter. Malgré toute la douleur que je vous ai causée, à vous et à Joyce, je suis vraiment désolé.
Buffy pouvait voir à quel point il était sincère et hocha la tête, lui faisant un petit sourire : C'est un début. Il se mit à sangloter, s'asseyant sur les marches des escaliers, il pleura, en n'arrêtant pas de murmurer : c'est ma faute, tout est de ma faute. Frances s'avança vers son père lui disant d'arrêter de pleurer : Allons ne pleure plus papa. Elle aussi, presque au bord des larmes, ils se bercèrent ensemble dans les bras de chacun, tout était et sera finit en quelques jours il se le promettait...
Hank n'a pas réussi à faire signer les papiers du divorce à Addie. Il ne la trouvait pas à l'hôtel et avait le sentiment qu'elle l'évitait, mais il n'allait pas abandonner. Il savait qu'elle n'avait pas quitté la ville, pas avec la menace qu'elle avait faite. Épouser Addie a été la plus grosse erreur de sa vie. Il a juste souhaité que cela ne lui prenne pas si longtemps pour le comprendre. Il la soupçonnait, depuis un moment, de comportements inappropriés. Elle semblait un peu trop pressée d'envoyer Frances en Suisse et Buffy dans un institut psychiatrique loin de leur mère. Hank a essayé de se convaincre que tout était dans sa tête parce qu'il l'aimait, mais ce n'était pas réel. Dès qu'il vit Addie poser ses mains sur Buffy, c'était fini. Les choses qu'elle disait et faisait à sa fille et son autre fille ne pouvaient être pardonnées. Cela ne lui a fait que ressentir des remords pour tout ce qu'il lui a fait subir. Les choses allaient changer, et cela commencerait par faire signer les papiers du divorce à Addie. Elle ne pouvait pas l'éviter pour toujours.
Angel... Angel avait été en contact et présent dans la vie de Buffy depuis qu'elle s'était installée chez son père, sa belle-mère et Frances, depuis le tout début des vacances d'été, ils sont restés très proches, se voyant chaque nuit, dans le noir, loin de la maison, ce qui avait été un exploit, un vrai miracle qu'Addie n'ait jamais remarqué la présence d'un homme dans la vie de sa belle-fille. Il était très inquiet, protecteur envers Buffy, la protégeant sous ses bras, sous ses ails invisibles, quand on les voit comme quelque chose d'imaginaire, au sens figuré. Il comprit, au tout début, bien avant Buffy, ce qui se passait dans sa propre maison. Les malheurs qui en découlaient et voulut l'aider de toutes ses forces, de tout ce qu'il avait de son âme et voulut secourir les sœurs Summers. Mais il n'intervint jamais contre Addie, car il ne voulait pas que sa relation avec Buffy en pâtisse, il ne voulait pas brisé l'amitié avec les parents de Buffy et l'amour avec Buffy, vu que les parents de Buffy avaient l'air de l'apprécier beaucoup. Il les aidera donc nuit et jour, avec des conseils qu'il donna à Buffy quand ils se voyaient en cachette. Il lui disait comment agir devant Addie. Il surveillait les sœurs Summers dans l'ombre, dans le noir, apparaissant et disparaissant comme quelqu'un de mystérieux. Angel et Buffy se voyaient malgré les interdictions d'Addie et pourtant un jour, Angel fit la connaissance du père de Buffy et de Frances, le trouvant parfaitement bien, sans la moindre égratignure ou faille qui vaille la peine qu'il l'interdise de voir Angel. Pour Hank et Joyce Summers, il apparaissait comme le futur mari rêvé. Il était séduisant, avait du charme et une bonne éducation, était promis à un avenir stable. Sa famille possédait un nom considéré et une certaine aisance financière que le père de Buffy voyait d'un œil satisfait. Leur différence d'âge était plutôt un attrait pour les amies de Buffy, qui considéraient Angel comme un homme d'expérience, à l'allure un peu mystérieuse et très protecteur. Il avait répliqué à la femme mince, Joyce, que c'était un honneur, un grand plaisir et une belle rencontre d'être avec elle, de la connaitre et savoir que Buffy l'acceptait dans sa vie et lui dans la sienne.
Un soir, alors qu'elle eut une très grave dispute avec Addie qui continuait à la menacer, la jeune fille s'était ensuite, sans attendre, sauvée hors de la maison pour rejoindre, en courant, le petit appartement ou vivait et se trouvait Angel. Elle gémit et, d'un seul geste rapide, tira ses lèvres vers les siennes. Angel avait l'impression de brûler des étincelles qu'il ressentait, mais approfondit néanmoins le baiser. Sa langue mena la sienne dans une danse sensuelle. Ses doigts emmêlés dans ses cheveux, ses bras autour de son cou, ils se sont détachés à contrecœur, laissant Buffy à bout de souffle. Les bras de Buffy toujours autour de lui, elle posa sa tête sur son épaule. Elle lui chuchota de danser avec elle. Angel haussa les épaules avant de mener Buffy dans une danse intime. Ses mains lui caressaient le dos, plongeant de temps en temps pour frôler le bas de son dos où sa chemise se soulevait pour exposer la peau. Buffy se balança sur place, ses yeux ne quittant jamais ceux d'Angel. Ses sens étaient presque surchargés par les nouvelles sensations qu'elle ressentait soudainement. Elle ne s'était jamais sentie aussi vivante avant tout ceci. Le vampire qui la tenait, avait réussi à faire quelque chose que personne d'autre n'avait jamais eu – il l'avait mise à l'aise. Elle ne savait pas quand - ni pourquoi - cela s'était produit, mais il était clair que c'était le cas. Alors qu'ils continuaient à bouger ensemble, Buffy se pencha et captura à nouveau ses lèvres. Angel gémit dans sa bouche alors que ses hanches se pliaient légèrement contre son érection croissante.
"Buffy », a-t-il averti, gémissant contre elle son front et sa joue si proche de l'autre, c'était tout simplement un moment unique " Ne commence pas quelque chose que tu ne vas pas finir. "
Buffy recula légèrement et le regarda dans les yeux. « Je ne t'embêterai ni ne te taquinerai jamais, Angel." Son front contre celui de son petit-ami.
Buffy se réveille dans le lit d'Angel dans l'immeuble où se trouve le minuscule appartement, comme tel une ressemblance d'un studio après que les deux se soient endormis après la patrouille chaque nuit, mais jamais Buffy ne s'endormait chez lui. C'était la toute première fois, les sentiments, leur relation amoureuse qui atteindra des nuances de profondeur, tension sexuelle, sensuel et romantique, charnelle. Après avoir discuté d'Addie qui s'était totalement évaporée comme si cette horrible femme n'avait jamais vécu ou étant vivante, elle s'était enfuie pour devenir introuvable. Buffy se réveilla, Buffy est endormie pendant que Angel la regarde avec un sourire. Elle remue un peu, se réveille et voit Angel, parle d'apporter certaines de ses affaires en plaisantant car elle passait d'incomparables et d'inoubliables moments qui étaient nombreux, passer en réalité bien plus que prévu une moitié de ses journées chez Angel. L'émotion était impressionnante, palpable et, ni d'incomparables fois mais ni gênantes, tout semblait si naturel entre eux, comme si c'était l'évidence même de vivre toutes ces expériences dont Buffy avait besoin pour grandir et commencer à apercevoir, entrevivre une relation sérieuse. Angel fut son premier amour sérieux, Elle pouvait sentir les larmes coulées sur ses joues. Elle avait eu quelques romances immatures au lycée avant d'être appelée la Tueuse, mais elle n'avait jamais ressenti ce genre de dévotion de la part d'un garçon qu'elle avait fréquenté dans le passé. Ce n'était pas un garçon. Elle regardait dans les yeux un homme qui l'aimait vraiment et jamais elle n'avait éprouvé ce sentiment auparavant. Angel, son premier véritable amour. Le souffle de Buffy capta alors qu'il la regardait directement dans les yeux, Buffy détourna les yeux, submergée par l'amour évident de cet homme qu'était Angel pour elle.
Angel soupira heureux que Buffy, pour la première fois, sera épargnée, heureuse, développée dans leur relation. Elle devait vivre une vie normale d'une jeune fille d'une adolescente de son âge et ne sera plus soumisse par une femme comme elle et vivra heureuse, d'un épanouissement, dans un été normal, reposant pour la jeune fille et elle sera gardée en sécurité et heureuse de bonheur avec sa petite soeur, Frances et son père, Hank…
Le soleil avait été maintenant, dès à présent, très extrêmement haut dans le ciel, alors que la matinée avançait d'heure en heure, après que, même au-delà, Buffy était restée dans les bras d'Angel, se regardant, s'observant sans parole. Il n'y en avait nul besoin pour eux, ils se comprenaient dans le silence, rassemblant leurs pensées comme tels des âmes sœurs ou un être qui ne faisait plus qu'un. Au bout de quelques minutes supplémentaires, Buffy se leva alors qu'Angel lui préparait un bol de céréales, de crème au chocolat aux pépites de cacao et un jus d'orange. Bien plus tard dans leur routine ensemble, Angel gardera l'habitude de conserves de la nourriture humaine dans son frigo et congélateur, tout particulièrement comme Buffy voulant lui montrer qu'ils pourraient être parfaits ensembles, dans l'avenir du futur. Buffy se blottit dans ses bras, ne supportant pas de le voir la quitter et être séparés, ils n'en pouvaient plus de devoir se cacher, sans blesser leurs proches. Même assemblés, ils ne seront plus démunis ou réunis... Elle devra rentrer chez elle pour ainsi éviter tout risque d'inquiétude chez son père et sa soeur.
Hank devait réparer les erreurs qu'il avait commis dans son passé, représentation inexacte d'un fait matériel ou ignorance... Une faute, tromper, faillir, duper, abuser, manquer à sa promesse, est un manquement à une règle ou à une norme, alors qu'une erreur qui signifie « action d'errer, détour, est une méprise, une action inconsidérée, voire regrettable, un défaut de jugement ou d'appréciation. Se faire pardonner quelque chose, faire accepter quelque chose des autres sans qu'ils en aient du dépit, de la jalousie. Le pardon est le résultat de l'acte de pardonner, la rémission d'une faute. C'est tenir une offense, une faute pour nulle et renoncer soit – au plan personnel – à en tirer vengeance, soit – au plan institutionnel – à poursuivre et à punir les responsables. Un passé lourd de conséquence qui ne pouvait être réparé dans le temps du passé qui était dur de faire amende honorable et essayait de réparer les conséquences de l'acte en lui-même qui avait pour but usagé d'avoir une seconde chance et se faire pardonner. Un conséquent est la seconde moitié d'une proposition hypothétique. Dans la forme standard d'une telle proposition, il est la partie qui suit "alors". Dans une implication, est appelé l'antécédent et est appelé le conséquent. Il voudra rattraper tout le temps perdu, passer avec Addie, remplacera son temps libre avec ses filles...
Comment résoudre et resserrer les liens familiaux ? Manger ensemble : Même si l'on ne cuisine pas ensemble, manger ensemble peut resserrer les liens familiaux. Selon une étude scientifique, les enfants des familles qui partagent les repas régulièrement sont moins susceptibles de présenter des problèmes de comportement. Comment gérer les conflits dans la famille ? Rester calme tout au long de la séance et en maîtrise de ses émotions. Écouter le point de vue de l'autre sans l'interrompre. S'en tenir au sujet présent (un conflit à la fois) et ne pas revenir sur le passé. Suggérer autre chose lorsqu'on est en désaccord (il ne faut pas seulement refuser ce qui est proposé).
Hank connaissait un très bon et excellent restaurant familial à l'autre bout, de l'autre côté de la ville, ce qui ferait sûrement plaisir aux filles, en réfléchissant à la sortie que Hank suggérait. Soudainement cela ne plus pas à la cadette de la famille qui analysa que, comme ils iraient dans un restaurant autre qu'un MacDonald, il faudra qu'elle mange des légumes verts et en ressortant la phrase préférée de Joyce, Hank étant d'accord avec elle, que bien sûr que c'était bon pour l'organisme, excellent pour la santé et que c'était bon. Buffy dit qu'elle adorait le fast-food, mais que cela s'arrangerait et qu'elle était plutôt ravie en rentrant. Hank indiqua son nom de famille à la réservation d'une table pour trois personnes. Malgré l'accident que la jeune fille avait eu en reconnaissant l'un de ses anciens camarades de classe, elle faillit s'étouffer en devenant toute rouge. La boisson ressortit en vague de son nez et de sa bouche. Elle fut en larmes et resta le dos tourné avec, pour objectif, certitude et motivation, inspiration, motif et détermination, à ne rien n'avoir à faire avec ce jeune homme travaillant à temps partiel dans le restaurant de ses parents...
Quand elle fut certaine qu'il était parti, après la présentation de Hank comme son père et Frances comme sa petite soeur, elle se retourna complètement vers lui, lui demandant ensuite des explications et des comptes à rendre. C'est vrai que Hank voulait plus que tout qu'elle se rappelle qu'il y avait eu une ville qui la vit naitre, qui la vue évoluer et grandir, se développer, la voir avec sa famille plus du tout et complètement incassable, plus brisée et que ce serait toujours sa maison, quoi qu'il arrive et qu'il advienne qui pourra... Et il voulut qu'elle reprenne contact avec ses camarades de collège/lycée... Mais Buffy fut toujours en colère...
Hank les amena voir un concert de musique du groupe préféré de Frances, un soir qui finit extrêmement tard, à l'approche de minuit, et il devait aider sa fille ensuite à faire ses devoirs de vacances de mathématiques. Il avait été toujours fort, un don, un excellent mathématicien, mais dans son état presque dépressif, selon son médecin de famille, il perdit toute confiance en lui et il ne savait plus ce que signifiait les cours et les exercices de mathématiques de sa fille. Pourquoi, au diable, ils avaient changé les maths ? C'était tellement plus facile quand il fut petit... Au milieu de presque l'aube, Hank alla réveiller sa fille pour lui expliquer tous les exercices qu'elle devait rendre à la rentrée et chacun but pour Hank un fort café et pour Frances un jus d'orange... fière de leur collaboration...
Hank avait prévu dans ses projets et eut l'idée de faire voir un film à ses filles au cinéma qui avait pour titre « Marie-Antoinette », dans une salle de cinéma comme à l'ancienne, où il n'y eut pas de publicité, mais plusieurs multiples courts métrages et des extraits de la dictature Hitlérienne en Allemagne, les opposants politiques, la chasse aux juifs... Les deux jeunes furent horrifiées, mais cela ne les empêcha pas de savourer le film avec leur père sur la vie entière de la dernière reine de France, de sa venue à Versailles jusqu'à sa mort, en comptant la dernière lettre de Marie-Antoinette à la sœur de son défunt mari, madame Elisabeth... A la sortie de la salle de cinéma, les filles ne cessaient de parler du film, l'analysant, émettant des critiques en discutant des tenues des dames de la cour en compagnie de leur père...
Pour Frances, il eut l'idée de faire passer des chansons des années soixante, les chansons préférées de sa jeune petite fille. Il l'emmena à une manifestation contre la maltraitance des animaux qui teste les produits des laboratoires, le musée du crime et de la violence et une autre exposition de la tristesse et de l'oppression et lui achetant son gâteau préféré et lui prit des gâteaux aux cookies au sucre... Il emmena, pour une journée, sa fille Frances au mini-golf... Buffy n'était pas présente parce qu'elle se trouvait trop grande pour ce jeu, même si elle adorait y venir.
Un jour d'un dimanche, Hank les emmena dans un immense parc où se trouvait plusieurs animaux de ferme. Tout ceci était très divertissant et amusant alors qu'ensuite, elles mangèrent le pique-nique que Hank avait confectionner pour cette journée...
Il les emmena jouer au bowling et à la pétanque... Il leur acheta des glaces, passèrent des moments tendres sur la plage et dans l'eau, au bord de la mer et puis leur fit visiter le jardin des plantes...
Buffy Summers était à la fin de sa journée alors que le soleil s'étalait dans son horizon d'un magnifique coucher de soleil ou les lumières étaient jaunes, roses floue de violette, Buffy marchait sur la côte rocheuse faisant attention à ne pas se blesser. La jeune fille voulut assister au coucher du soleil. C'était très nouveau que Buffy soit si sensible à l'appel de la nature, préférant vivre une vie simple, profitant des plus belles choses de la vie, des plus simples de la vie de la terre et la nature. La côte était humide et glissante avec les fruits de la mer, elle regarda et observa droit devant elle. L'horizon était très haut dans le ciel, le flot des vagues frappant ses pieds restant ainsi dans cette position jusqu'au levée de la nuit et de la lune montante ; - une imagination de grande image de la nature. Image de vagues qui s'écrasent sur une plage. Buffy est là, au soleil- deux bras d'homme la prennent par la taille, il s'agit d'Angel. Blottie contre lui, elle lui effleure tendrement la joue. Comment savait-il qu'elle était ici ? En réalité, la jeune fille ne se souvenait plus de leur rendez-vous au bord de l'océan pacifique. Angel voulant pique-niquer avec elle. Restera-t-il ? Avait-elle pour toujours ? C'était des plus naturel qu'il répondit toujours. Même aveugle, il la retrouvera. Assis dans le sable sec, Buffy discuta avec tout ceci. Tout était si beau, même à Sunnydale, elle ne pouvait faire la comparaison, elle a toujours aimée la mer et l'océan la nuit, cette façon, cette manière dont le clair de lune frappe l'eau au bon endroit, les étoiles magnifiques brillent au-dessus.
Elle se sentait tellement insignifiante à s'emporter par des phrases si simples et faciles à magner, mais la jeune fille se trouvait insignifiante et quelconque. Angel lui sourit et la rassura en lui disant que jamais il ne prendrait cela d'elle. Buffy valait trop extrêmement beaucoup à son regard et son âme qu'il avait choisi cette jeune femme et sa personnalité En bougeant très lentement, Buffy rougit, le regarda de nouveau. Cette fois-ci, elle ne pouvait pas lire l'expression sur son visage, sentant sa respiration se retenir quand il s'approcha d'elle. Buffy haletait quand il touchait ses lèvres aux siennes. Après que le choc se soit dissipé, elle s'est retrouvée à l'embrasser en retour.
Angel ferma les yeux, glissa lentement sa langue dans sa bouche. Les baisers qu'il partageaient dans le passé n'ont jamais été aussi bons.
Buffy est revenue à la réalité, quelques secondes plus tard et s'est éloignée « Nous devons arrêter."
Il lui murmura qu'il était désolé, Buffy tourna brusquement sa tête vers l'homme en qui elle était amoureuse. Non, je te suis tellement reconnaissante d'être venu me soutenir, si tu n'avais pas été là, je ne sais pas comment j'aurais fait, reste avec moi à Los Angeles...
Un soir d'été, alors que tandis que la famille Summers mangea copieusement une soupe de poulet faite maison avec son bouillon de viande et de légumes, pour le plat de résistance une tourte au pâté de pomme de terre et de rillette, Hank remarqua le comportement, l'attitude et la fatigue lasse de sa fille ainée et lui dit d'aller se reposer tellement elle était fatiguée, tandis qu'il discuta avec Frances en lui disant avec encouragement, Frances Tu m'aides ? Et c'est ce qu'elle fit en hochant la tête en signe d'accord.
Buffy était dans un état d'incertitude et de questionnement en pensant qu'à une chose, malgré tout ce qui se passait, les transformations visibles et invisibles du changement et également son corps de jeune fille continuait de changer, mais Buffy était encore loin de penser à des relations sexuelles, charnelles, d'amour et de tendresse et être dans les bras d'un homme qui la comprendrait et voudrait donner pour la première fois en offrande, le dévoilant à un homme en qui qu'elle ferait totalement confiance. A cette dernière phrase, la jeune fille secoua la tête tellement tout ceci était absurde et simple en même temps. Elle pensa uniquement au rendez-vous qu'Angel lui avait prédit de la rejoindre dans son garage pour être seule quelques instants de plus que la nuit précédente.
Assise dans un des fauteuils du salon, Buffy interpella son père pour lui demander de lui accorder une faveur… Pourrait-il l'autoriser à sortir un peu dans le jardin et les rues pour respirer un peu d'air frais ?
Bien sûr, il fut d'accord, surpris quand elle sortit sans prendre une lampe torche avec elle au moins simplement pour le jardin. La jeune fille se retourna en lui disant que ce n'était pas la peine et qu'elle était hors d'usage… En sortant, elle enroulera ses bras autour d'elle-même de son petit cadre de corps et inspira et expira tout simple de grande bouffées d'oxygène. Ensuite, elle partit ouvrir les portes du garage qui étaient déverrouillées et dans un simple regard tendre, attentionné et rempli d'amour et de tendresse. Il la regardait d'une manière qu'elle croyait autrefois, croyait, savait que c'était la réalité, avoir signifié qu'il se souciait d'elle et l'aimait.
Pour l'apaiser et lui redonner gout à la vie et la rassurer, il était reparti à Sunnydale deux jours de suite en rentrant seulement maintenant pour la rassurer, lui dire que la bouche de l'enfer était toujours endormie et, tel un volcan, ne réveillera pas et il lui donna des nouvelles de sa mère, Joyce, de ses amies, ainsi que de Rupert Giles. Tout le monde allait bien et profitait pleinement des vacances, de la chaleur de l'été et du soleil…
Ainsi, ils restèrent ensemble de longues minutes dans les bras l'un de l'autre. Buffy ne faisait que murmurer encore et encore le remerciant de prendre si bien soin d'elle en tournant son regard vers lui. Ils s'embrassèrent pendant de longues minutes de passion, de tendresse, en faisant attention à elle car pour elle, Angel la mise sur un piédestal depuis qu'il la connaissait il y a des années… Il refuse de comprendre que Buffy puisse aimer faire son travail, que tuer des démons la comble. Pour lui, elle est l'incarnation de la pureté et ne devrait pas prendre plaisir dans la bataille comme le ferait un démon. Il ne voit pas que son pouvoir vient des ténèbres… Et même si elle essaye, elle ne pourrait jamais égaler l'image qu'il a d'elle : son ange de lumière et de bonté. Sa Buffy, son amour tendre et sans défense qu'était Buffy. Il la protègera jusqu'à ce qu'il devienne de la poussière dans le vent.
Et un beau jour, alors que Buffy patrouillait seule jusqu'au point de rendez-vous où ils s'était fixé avec Angel, les instincts de protection face à Angel, en provenance de ses instincts de survie de chasseur et de prédateur, le jeune homme sentit le danger qui les guettait et aussi reconnaissant très rapidement la venue d'un nouveau membre de la réaction de sa famille datant de la fin des années cinquante, une jeune fille qui fut transférée à cause d'une grave maladie et avait été une jeune cousine ou sœur -Angel ne se rappelait plus exactement des détails- il s'agissait de Louisa une jeune femme d'origine Allemande. La dernière demande d'une fille mourante amène Spike à faire la seule chose qu'il a promis de ne plus jamais faire, mais il ne peut s'empêcher de se sentir attiré par elle. Buffy la rencontra enfant un autre membre du clan Aurelius s'éveille à un nouveau monde plein de nombreuses possibilités, mais est-ce plus que ce qu'elle avait négocié ? Sans attendre et pour lui épargner une autre souffrance, il la réduisit en cendre et en poussière alors qu'elle avait à l'origine souhaité rencontrer de nouvelles personnes, des amies qu'elle ne connaissait pas encore. Cela deviendra un conflit familial dans le futur et une guerre sanglante et sans nom détruisant Spike et Druzilla deviendront encore plus faibles. Spike avait aimé Louisa comme une sœur adoptive et apparentant au passé d'un lourd secret où il avait connu Elizabeth et l'avait supplié de prendre soin de sa sœur….
Et Spike avait tout vu, la surveillant et la regarda de loin sous la promesse de son sieur et impuissant, il promit de se venger de se couple et surtout de la Tueuse.
Un soir tard dans la semaine, où Hank avait bouclé plusieurs contrats de construction architecturale, il laissa ses filles toutes deux seules à la maison et prévient Buffy de ne pas l'attendre et de manger et se coucher à une heure raisonnable pour spéciales des vacances. Il laissa en charge la surveillance de Frances par Buffy -mais pour éviter toute dispute dans l'ombre invisible et un accord non passé, les deux jeunes filles se surveillaient elles-mêmes, ensemble pour toujours. Il y avait des moments où elle devait grandir subitement d'un seul coup. Elles décidaient de boire un chocolat chaud de la spécialité de leur mère, mais tout de même excellent, très bon, tout en regardant des émissions dangereuses de crimes célèbres, dans les Etats-Unis, marquant l'histoire des décennies précédentes, mais elles changèrent rapidement, précipitamment de chaine en quelques minutes heureuses seulement, pour regarder les dessins animés de « bonsoir les enfants »... Buffy avait invité Angel à passer la soirée avec elles-deux, ce qu'il accepta, en arrivant par une fenêtre relevée, ouverte il passa en entrant dans le salon. Frances fut surprise en le voyant entrer et sursauta assise sur le canapé : Mais qu'est-ce que tu fais ? Pourquoi tu entres par la fenêtre ? Tu n'aurais pas pu sonner à la porte comme tout le monde ? Frances eut une discussion avec le vampire à l'âme, alors que Buffy partit chercher à manger et à grignoter dans la cuisine ce que leur père leur avait préparé. Bonsoir Frances, dit Angel. Justement je ne suis pas tout le monde. C'est un code que l'on a convenu avec Buffy. Quand elle m'invite, je rentre par la fenêtre de la pièce où elle se trouve.
Il ne voulait pas les déranger et paraitre invisible en faisant, en réalisant une visite surprise à Buffy. Il s'excusa et demanda à Frances où était Buffy... Sa réponse était : dans la cuisine. Il ne sait pas ce qu'elle a planifié mais... Frances le coupa en riant : sérieusement Angel, tu crois que je vais te croire. On ne se connait pas vraiment, mais étant la sœur de Buffy, j'ai entendu tout ce qu'elle avait à dire sur toi. Et connaissant bien ses réactions, craignant de lui faire peur et ne voulant effrayer personne.
C'est la première fois à l'exception excepté Buffy, qu'elle vit quelqu'un rentrer par une fenêtre, voulant évidement croire, ne pas être venu et il est le bienvenu... Tout en discutant de tout et de rien, Angel demanda silencieusement à Frances s'il y avait une solution pour que son amour, leur amour, puisse triompher des préjugés, l'amour trouve toujours un moyen de passer les frontières et les murs de bêton... Frances lui dit peut-être avant de se reprendre et de prononcer le mot non. "Je veux dire, pas d'offense, mais tu es comme le pire vampire de tous les temps."
En hochant le épaules, Frances dit que peut-être un jour, tout le monde sera si heureux, mais avant tout chose il fallait profiter du moment présent pour danser, écouter de la musique, manger et jouer à des jeux de société ou de cartes tous les trois jusqu'à l'heure de se coucher, presque à minuit...
Il le fait une fois par mois, la surveiller intensément dans l'ombre, près d'un arbre, regardant au travers la fenêtre fermée, regardant Buffy se dévêtir puis s'habiller avec sa chemise de nuit. Il était conscient que cela parait étrange, très étrange, malsain et que cela pouvait vite prendre la route du harcèlement, mais Angel ne put s'en empêcher
Il retourne et se tient dans l'ombre comme avant. Il pense que parfois elle le sent, parce qu'elle peut voir ses épaules se redresser et elle incline la tête d'un côté. Si elle voulait le voir, elle le ferait, mais elle n'a jamais l'air assez prêt, mais n'étant pas loin non plus et c'était bien.
Depuis plus de trois ans, c'était la même chose. Une fois, tous les trente jours, Angel faisait le court trajet en voiture jusqu'à l'autoroute et il la regardait pour la nuit. Parfois, si elle avait l'air triste, il restait une nuit, très souvent des nuits complètes. De plus et il ne partait pas tant que Angel n'eût pas entendu son doux rire.
Lui seul peut apporter ce son. Ce jeune homme qu'était Peter Nicolas, son premier véritable coup de cœur, amour d'une enfant, une fillette d'un garçon qui avait sept ans de plus qu'elle, mais Angel était lui-même encore plus vieux, plus de deux cent ans pour comprendre et faire réaliser à comprendre en comparaison.
La première fois que Angel vu Peter Nicolas, qui venait en sortant en même temps de leur travail commun, et venir boire un apéritif à la maison, Buffy fut sous le choc timide et retrouvant son cœur semblait, à sa vue, cela faisait si longtemps, il était enveloppé dans ses bras et elle le serrait contre sa poitrine dans le parc. Il l'entendait lui parler, lui dire qu'il ne serait jamais sans son amour et elle lui a promis qu'il ne connaîtrait jamais la vérité sur le monde. Angel lui semblait étrange qu'elle fasse cette promesse. Comment pourrait-elle le protéger si elle ne lui disait pas ce que la nuit lui avait vraiment réservé ?
Un beau jour, dans la nuit noire qui était bien avancée dans leur routine, alors que la Lune était déjà très haute dans le ciel, un soir de patrouille, Angel invita Buffy à aller s'amuser dans le bar Karaoké chantant de la ville, tout près, connu pour les démons inoffensifs, appelé Caritas. Caritas était un bar karaoké sans violence, un terrain neutre pour toutes les créatures de Los Angeles, qu'elles soient humaines, vampires ou démons, dirigé par Lorne. Lorne est un gentil démon vert. Lorsqu'il est arrivé sur Terre en provenance de Pylea en 1996, en traversant un vortex pour échapper à son monde démoniaque, Lorne a installé Caritas à l'endroit même où il a émergé, car c'était un « point chaud » mystique. Apparemment, Lorne avait son studio privé ou son loft à l'intérieur. Comme Lorne pouvait voir les auras et l'avenir des gens quand ils chantaient, les gens ont commencé à venir à Caritas pour chanter pour Lorne afin qu'il leur dise leur avenir. La politique de « pas de violence » de Lorne a été renforcée par un sort de sanctuaire lancé par les Furies Transuding, rendant littéralement ses clients incapables de tout acte de violence.
Croyant que n'importe qui, qu'il soit bon, mauvais ou « moralement ambigu », pourrait changer sa vie s'il recevait des conseils suffisants, Lorne a ouvert son entreprise comme un sanctuaire pour les humains et les non-humains. La seule fois où il a banni quelqu'un du club était un incident impliquant un groupe de trafiquants de drogue qui vendaient Orphée.
Lorne était un être paisible et préférait simplement se détendre et profiter de la vie plutôt que de se battre. Par-dessus tout, il croyait en la bonté inhérente de tous les êtres et croyait que n'importe qui pouvait changer sa vie s'il recevait suffisamment de conseils, comme le montre sa volonté de laisser même les démons mangeurs de bébés venir à Caritas. Sa boisson préférée était Seabreeze, un mélange de jus de canneberge et de pamplemousse avec de la vodka. Il a insisté pour que ceux vendus à Caritas soient toujours fabriqués avec du jus de pamplemousse fraîchement pressé plutôt que des conserves.
Quand Lorne vit Angel en compagnie d'une toute jeune femme, Lorne les accueillit avec un grand sourire prénommant ainsi Angel « cookie », Angel-gâteaux- Angelinounet. Tentant de lire leur aura mais ni arrivant pas, il leur proposa de monter sur scène et de chanter une chanson pour Lorne. Ils voulurent en savoir plus sur leur relation et savait que quelque chose d'incroyable dans chacun des destins se cachait une personne ou un choix d'ancien veillait, serait heureux et satisfait pour toujours. Il y voyait beaucoup d'harmonie entre eux, des couleurs qui se ressemblaient, une douce et calme chaleur ressentie entre eux était puissante et destinée à être ensemble. Chacun des sentiments qu'ils éprouvèrent l'un pour l'autre étaient puissant doux et destructeur. Ils seront parfaits ensemble, l'amour triomphera du mal et serait toujours intact et finira par être ensemble pour l'éternité. Pourtant, deux êtres qui tomberont amoureux l'un de l'autre, les séparera et des relations plus adultes naitront et vivront, continueront au fils du temps -Cordélia et Spike-
Même s'il aurait aimé profiter de l'occasion pour lui chanter une chanson d'amour classique, même le désir de son démon de remuer les choses savait que ce serait trop. Au moment où Angel s'est rendu compte de ce qu'il faisait, le bar serait transformé en arène pour une bataille entre deux maîtres vampires. Il était à peu près sûr que Buffy ne voulait pas voir ça, peu importe à quel point elle aurait pu aimer la chanson. Ce qui suit arriva dans le futur, se passant dans le futur, à l'avenir :
Au lieu de cela, il s'est contenté d'être prévisible, Spike, et a choisi une chanson des Clash. Il a démarré la machine à musique et a commencé à chanter les paroles dans un baryton très passable. Quand il est arrivé à "Girl, you got to let me know, Should I stay or should I go ?" il chantait clairement directement à Buffy et elle rougit de reconnaissance, alors même qu'elle essayait de l'avertir de ses yeux de ne pas pousser Angel trop loin.
Heureusement, Angel n'a pas prêté beaucoup d'attention à tout ce qui n'a pas été écrit par Barry Manilow, et il n'avait aucune idée des paroles que Spike criait avec tant d'enthousiasme. Lorne, d'autre part, avait un regard très réfléchi sur son visage alors qu'il regardait le vampire sur sa scène. Les sentiments de Spike pour Buffy étaient si évidents que dans le présent, écoutant, voyant la lumière d'Angel et Buffy, que Lorne était sûr qu'il aurait pu les voir même sans son talent particulier pour lire les auras.
Buffy riait et applaudissait avec la chanson jusqu'à ce que Spike atteigne la scène et lui attrape la main. Elle poussa un petit cri, mais lui permit de la tirer sur la scène avec lui où elle se joignit à lui pour crier le refrain. Quand le démon vert vit à quoi ressemblaient leurs auras combinées, il gémit et secoua la tête. Il n'y aurait aucun moyen que ce soit bon pour l'intérieur de son établissement s'il disait à Angel ce qu'il voyait.
Le couple rieur a fini de chanter sous les applaudissements des autres clients et Spike s'est incliné profondément avant de sauter de la scène et de soulever une Buffy rougissante, mais toujours en riant, sur le sol. Ses mains s'attardèrent juste une seconde sur sa taille avant qu'il ne lâche prise et retire sa chaise pour elle.
Inconscient du bon moment que tout le monde avait passé, sauf lui,
Lorne refusa de répondre à Angel bien qu'il savait que le jeune homme et la jeune fille resteront encore ensemble, mais les auras du futur de Cordélia et Spike étaient beaucoup plus impressionnants, vifs et qui ne trompent jamais, beaucoup plus puissants que ce doux couple…
C'était un arc en ciel de mille et une couleurs avec des coloris et de nombreuses nuances qui étaient rouge, orange, jaune, vert, bleu, indigo et violet, visible dans la direction opposée au soleil quand il brille pendant la pluie. C'est un arc de cercle coloré, d'un dégradé de couleurs continus du rouge, à l'extérieur, au jaune, au vert et au bleu, jusqu'au violet à l'intérieur. Leur amour était ainsi décrit et résumé, en conclusion jusqu'à la fin des temps et ce qui se terminera par la fin où tout était bien qui finit bien, parfait. Et tout était bien ou bon. Leur temps ensemble était tout ce qui avait été normal et ainsi fait, comme une évidence même et se finira jusqu'à la fin des vacances d'été et bien avant cela, le retour d'Angel à Sunnydale où il avait sa place légitime aux côtés du bien et de la lumière...
Tout avait commencé, débuté dès les premiers jours d'été et lors des premiers jours passés en vacances à Los Angeles où Buffy Summers revit ses amies d'autrefois, d'antan : Hello, qu'elle ne vit qu'en allant prendre un chocolat chaud et une boisson fraiche dans leur café-restaurant favori, parlant de ce qui avait semblé des millénaires, les vies passés hors de cette ville pour vivre dans une ville si tranquille et beaucoup plus calme et petite comme Sunnydale. Elle revit également Lise Goslar, âgée à présent de presque dix-sept ans. Lise avait appris le retour de Buffy et elle était venue la chercher pour aller au cimetière pendant un après-midi de grande chaleur, où elle et Pike se retrouvèrent tout autour des tombes de Merrick et Jacqueline où étaient inscris :
Ici repose en paix
Jacqueline Ménard
1981-1996
Depuis le décès, l'assassinat de Jacqueline, c'était devenu comme un sanctuaire, un refuge et une tradition d'aller au cimetière où elle reposait dès à présent, dorénavant, restant de longues heures à lui parler, à prendre soin de sa tombe où la verdure commençait à apparaitre et se matérialisait. Les mauvaises herbes grandissaient, croissaient et poussaient. Pour leur part, les parents de Jacqueline fleurissaient régulièrement la tombe de leur fille. Ils voulurent contribuer à garder et restaurer le lieu de repos de la jeune fille… Ils prirent la main de Buffy dans la leur en lui disant qu'alors qu'elle n'était plus vivante et Buffy vivant en dehors de Los Angeles, ils y allèrent chaque week-end et fin de soirée sur la pierre tombale. Lise et Pike furent très heureux que Buffy soit revenue pour simplement, un simple été, participer à la commémoration et les heureux de repos, de silence, en hommage, une minute de silence pour leur amie partie, disparue.
Ils repartirent après plusieurs heureux se promettant de se retrouver pour faire des cours pour de nouveaux vêtements et acheter ensemble leurs fournitures scolaires et celles de Frances tout en même temps vers le milieu des vacances…
Depuis toujours, depuis qu'elle était capable de comprendre le sens du style de la mode et s'intéressait aux coquetteries, Buffy et Frances adoreraient réaliser des sorties d'achats de vêtements, de bijoux et d'accessoire de mode et de style vestimentaire, s'intéressant aux couleurs qui entouraient, embellissaient la vie. Frances était la préférée de ses parents elle en était certaine et plus particulièrement Joyce, sa mère, son amour inconditionnel pour Frances. Buffy se souvient d'un souvenir très douloureux et vif datant de plusieurs années, à l'époque où toute sa famille réunie en étant si heureux et que ses parents ne furent pas divorcés et vivant dans leur maison résidentielle de la famille Summers, Hank et Joyce réunis. Cela peut paraitre ridicule, mais il y a une chose que Buffy n'avait jamais pardonnée à sa mère. Un jour, elle devait aller chez le dentiste, avec maman et Frances qui l'accompagnèrent. Joyce lui avait permis de prendre son vélo. En sortant de chez le dentiste, Frances et Joyce lui ont dit, d'un air d'état tout enjoué, qu'elles allaient en ville pour pouvoir voir ou acheter quelque chose. Buffy ne savait plus exactement ce que c'était. Evidemment, la jeune fille avait envie de les accompagner, surtout que c'était très rare que Frances veuille aller seule, sans sa grande sœur, devenant une parfaite gentille fille, aimant accorder ses vêtements à ceux de Buffy comme exemple absolue. Frances voulait s'acheter deux robes, une bleu ciel et une autre orange-pêche. Mais Joyce et Frances ne voulaient pas parce que Buffy avait son vélo. De colère, elle eut les larmes aux yeux et Joyce et Frances ont éclaté de rire. Buffy était tellement vexée et furieuse qu'elle leur a tiré la langue en pleine rue, juste au moment où une petite dame passait qui la regardait jeter un regard horrifié. Buffy sait rentrer en vélo à la maison et elle a sans doute pleuré encore longtemps. Il est curieux que parmi les innombrables blessures que maman lui avait infligées, ce soit justement celle-ci qui la brulait lorsqu'elle repensait à cette colère du moment.
Dans dedans par le passé à l'intérieur de par l'ancienneté du confins de la mémoire, alors que Buffy avait des souvenirs agréables avec sa mère, Joyce, dans les grands magasins et leurs galeries, dedans les petits commences tels que Carrefour ou Leclerc et c'est leurs galeries en train de seulement observer les vitrines des magasins trop chers pour Buffy, les bijouteries. Un bijoutier est une personne qui fabrique ou commercialise des bijoux, petits objets luxueux, la plupart du temps constitués de pierres et matériaux précieux, destinés à être portés sur les vêtements ou à même le corps, en guise de parure en discutant avec sa mère lui montrant d'autres magasins où Buffy garderait son argent de poche qu'elle gagnait et économisait pour s'acheter chaque vêtement qu'elle rêvait de porter...
Quant à Frances, Buffy parcourut les rues gorgées de bons nombres de dizaines de boutiques où la jeune fille était allée et voulait s'acheter des choses qu'elle rêvait d'avoir, mais pour Buffy aussi ce n'était qu'un rêve et elle ne pouvait l'aider, des bijoux, des boutiques de maquillage, de beauté, d'esthétique et de parfums, ainsi que les endroits où l'on pouvait se faire retirer les poils aux jambes ou à d'autres parties du corps avec de la cire. Elle rêvait d'avoir un manteau en cuir. La plus petite des Summers montrait du doigt bons nombres de magasins où elle avait été forcée d'aller en compagnie d'Addie durant l'année écoulée... Avec l'argent que leur père leur avait donné et fournit à chacune d'elles, elles purent s'acheter avec excès, surtout pour ce qui était de Buffy. Buffy a passé des vacances d'été avec lui à Los Angeles, quand il -Hank- a remarqué qu'elle était distante et déconnectée en raison de son échec et de sa quasi presque mort des mains du Maitre. Alors il a surcompensé, « gâtant, surconsommation de son amour pour Buffy et ensuite avec Frances, avec des achats, car « au moins quand elle brûlait des choses et il savait quoi dire. ».
Des robes, des pantalons et des jeans de toute part, ainsi que des jupes, des accessoires pour ses cheveux, de nouvelles chaussures et une ou deux robes qui seront parfaites pour ses soirs au Bronze, une rouge, rouge mélangée dans du rose et l'autre en bleue nuit. Et des vêtements de journée ainsi que des nouveaux bijoux et bien d'autres choses encore en comparaison avec Frances qui avait réclamée à son père de lui acheter de nouvelles chaussures ouvertes, des ballerines et des sandales…
Elles étaient souvent, en rentrant le soir, remplies de paquets de courses, mais le record et la lutte pour lesquels la jeune fille fit face, était trois après-midi de suite où elle avait dépensé beaucoup trop en un seul après-midi de courses.
Un an auparavant, Lise Goslar avait vécu en survivant à une année terrible de solitude et de dépression atroces très intenses et vivant dans le déni d'un déni total, ne croyant pas que sa meilleure amie était partie. Elles s'étaient à peine serrées dans les bras depuis son point de vue, alors qu'en réalité, en vérité, elles s'étaient enlacées, dit aurevoir, se promettant de se revoir et de revenir chacune l'une vers l'autre... Elle se commémorait, se souvenant de leurs enfants et des jeunes du temps de l'enfance. Elle attendait toujours, au tout début, i peine un an, durant les vacances d'été, en s'imaginant, en réalisant, étant témoin d'un miracle de voir, de l'apercevoir, Buffy surgir au coin de la rue. A la maison, Mme Goslar préparait de nombreuses confitures de fraises. Sa mère mit les fruits à cuire y ajouta le sucre et la pectine. Les paysans vendaient toujours leurs fraises au mois dans les semaines de l'été. Tous les ans, à cette époque de l'année, Lise et Buffy recouvraient leurs tartines d'épaisses couches de confitures. Lise avait des larmes se formant sous ses paupières en pensant à ses souvenirs. Elle avait toujours en mémoire, en espoir, en l'avenir que l'on aurait dit que Buffy allait débarquée, surgir, riant, courant, s'asseoir autour de la table de la cuisine et faire une plaisanterie sur la maladresse chronique de Lise. Pour la faire rire malgré sa souplesse et ses combats avec les démons, Buffy avait découvert un don pour la faire rire. Buffy se serait peut-être amusée à se déboiter l'épaule -ce qui était devenue un jeu et non réalisé depuis qu'elles avaient sept ans- lorsque Buffy faisait cela, les gens en restaient le souffle coupé avant de s'esclaffer bruyamment. En tout cas, elles ne seraient pas gênées pour gouter les fruits sucrés qui bouillonnaient sur le fourneau. Buffy se serait sans doute mise à bavarder à tort et à travers sur ses innombrables petits amis garçons du collège/lycée et Mme Goslar aurait hoché la tête en haussant les sourcilles.
L'été passé de l'année précédente s'écoula. Fin août début septembre, pour sa dixième année au lycée Hemery, les cours reprirent, sans Buffy. Ce n'était plus pareil, ce n'était plus la même chose, la même atmosphère et le soufflée de la vie. Lise allait à l'école avec d'autres amies ou camarades d'études et tout le monde avait les nefs à fleur de peau, car en réalité, tout le monde savait que Buffy avait été exclue et ne ferait plus partie du lycée et jamais plus la revoir, était comme une catastrophe ou un blâme, une piqure, comme une amputation. C'était très étrange de faire le chemin sans Buffy. Personne n'avait la verve de Buffy. Personne ne savait la taquiner, la faire rougir comme elle, et elle -Lise-, elle n'avait plus personne à qui faire des plaisanteries amusantes et rigolotes. Lise pensait souvent à la dernière fois où elles avaient fait le chemin ensemble alors qu'elle venait de terminer son séjour à l'institut. C'était un vendredi, de début juin mi- mois, une journée très importante. Elles avaient quitté la maison un peu plus tôt que d'ordinaire, que d'habitude parce que ce jour-là, on affichait les résultats des examens du brevet des collèges de leurs examens. C'était la veille des vacances d'été. Et elles l'avaient eu brillamment toutes deux ensembles.
Il fallait un jour revenir dans le passé pour comprendre ce qui nous a fait grandir et évoluer et partir dans les temps de jadis. Buffy et Lise avaient connu les moments de chaque année en automne lors de premiers trimestres, alors qu'elles étaient toutes deux au jardin d'enfants et plus tard à leur première année à l'école élémentaires au cours préparatoires pour des sorties de cours de natation et apprendre à nager comme les autres enfants. Elles étaient impatientes et inquiètes, quand fut inscrit dans leurs carnets de devoirs ou de mots de messages importants aux parents. les filles le montrèrent à leur mère respective dans des maisons différentes. Elle se souvient : Buffy était arrivée en courant jusqu'à chez elle pour montrer le mot collé dans son cahier à ses parents, que ce serait bientôt le grand jour de leur première activité aquatique. Joyce préparera donc un second sac où il y était inscrit un sac bleu clair avec des poissons dessus et y mit sa serviette de bain ainsi que son nouveau maillot de bain et des vêtements de rechange, au cas où, en cas d'accident et de problème. Pendant ce temps, chez les Goslar, il s'y passait, il s'y déroulait la même chose...
Buffy fut très impatiente et un peu effrayée de leurs cours de natation. Elle en fit part à son amie Lise au téléphone. Elles rigolèrent toutes les deux ou avaient des moments de silence, de solitude, de crainte et de peur et de sérieuses inquiétudes. Buffy fit part à son amie de son nouveau maillot de bain, couleur unie avec des poids blancs. En entendant cela, Lise s'écriât heureuse qu'elle avait le même, de quelle couleur son amie avait-t-elle ? Jaune et Lise, bleu marine avec des pois. Elles craignaient le petit bassin, mais ce que Buffy ne dit pas à Lise, pour éviter de ne pas lui faire de peine ou l'effrayer, mais Buffy adorait l'eau depuis toujours et encore mieux lors de ses cours du club au bébés nageurs.
Le jour venu, Lise était pétrifiée et en pleurs devant toute la classe, tandis que Buffy, qui avait souhaitée et avait fait le vœu que son père oublie son sac de piscine, mais le fait est que non, à son grand dam. Buffy s'assit profondément sur sa chaise le dos collé au dossier de la chaise et enfonçant ses fesses, répétant que si Lise ne venait pas, qu'elle refuserait de nager sans sa meilleure amie, car elle appréhendait, craignait les activités... Mais rien ne se passe comme elle l'avait espérée. Tous les mercredis, elles iront à la piscine avec la classe... En bus ou en marchant en groupe, se tenant la main avec les parents chargés, étant d'accord pour la sortie de dames et de messieurs, ce fut le grand-père de Buffy qui faisait partie des accompagnateurs...
En arrivant, les enfants rentraient dans une pièce qui était restée réservée aux enfants des classes d'écoles. Une pièce pour que chacune des filles se change et une autre pour les garçons. Quand tous furent en maillot de bain, chacun passait sous les douches et passèrent un coin d'eau pour se mouiller les pieds. Avant d'entrer dans l'eau, le maître-nageur leur fit plusieurs recommandations et pour certains, cela allait viser ceux qui n'étaient jamais allés à la piscine. Certaines règles à suivre étaient qu'ils n'étaient et ne seront jamais des poissons, donc il fallait garder la tête en dehors de l'eau et ne pas imiter les personnes qui restaient longtemps sous les eaux, ne pas courir près des bassins et il demanda qui savait déjà nager. Personne ne leva la main.
Les enfants s'amusaient à traverser un bateau sans le toucher à leur tête. Certain nageaient avec des frites, nageaient en longueur et puis s'amusait au tobogan. Il y avait des exercices cherchant sous les eaux des cerceaux...
Après l'heure de la piscine, qui avait duré plus d'une heure trente, les enfants prirent une douche et se lavaient les cheveux en ce qui concernait les filles. Buffy n'oublia pas d'être aidée pour mettre son produit anti-poux. Toutes firent attention à ne pas mouiller leurs vêtements en se séchant…
En ces jours de journées d'été, Lise avait contacté sa meilleure amie Buffy pour lui proposer une date à laquelle elles pourront partir se baigner dans la toute nouvelle piscine fraichement finit de la fin de construction qui avait duré un peu plus de deux ans où ils y avait un spa, un sonna, des détentes de massages, de relaxation et un jacuzzis et de détentes. Pour ce qui concernait l'aquatique, il y avait une piscine pour les très jeunes enfants, des piscines où ils avaient pied. Après six ans, de nombreux toboggans pour jeunes adolescents et jeunes adultes à sensations fortes et il y avait un bassin plus tranquille pour faire des nombreuses longueurs. Buffy accepta et elles se donnèrent rendez-vous pour tout l'après-midi à la piscine, en y allant ensemble le lendemain après-midi...
En faisant son sac, en rangeant sa serviette de bain et son maillot de bain, elle rassemblait ses affaires de toilette, un chouchou, un shampoing pour les douches et sa brosse à cheveux ... La jeune fille passa devant la chambre de sa soeur en frappant à sa porte. Buffy n'entendit rien, juste le silence. Elle se décida à rentrer. Frances était assise sur son lit. En se rapprochant, Buffy lui demanda : ça ne va pas, ma chérie ?"
Frances secoua la tête en réfléchissant et finit par dire ce qui n'allait pas. Elle demanda à sa grande soeur pourquoi n'a-t-elle pas pensé à elle-même ? Pourquoi Lise ne lui avait pas proposé de venir avec sa soeur ? Etonnée, Buffy lui dit : Et tu voudrais venir avec nous ?
Le fait est, que c'est-à-dire, j'aurais dit oui, mais maintenant, c'est non, mais aujourd'hui pour leur donner une leçon, la plus petite fille des Summers resta ferme... Elle s'allongea contre ses oreillers, regardant le plafond. Buffy bougea et lui caressa les cheveux, mettant une longue mèche de ses cheveux en arrière coincée derrière son oreille et lui proposa gentiment de venir, mais Frances resta encline en restant ferme, directe et stricte et elle répondit que non...
En partant se baigner avec la très forte chaleur qu'était survenue dans la ville de Los Angeles, les deux jeunes filles étaient habillées en robe très courte à bretelle avec des couleurs de saisons, un chapeau et des sandalettes avec leur sac à brettelle. Buffy avait apporté ses vêtements de rechange et c'est ainsi que, lorsqu'elles furent dans l'eau, elles jouèrent comme deux petites filles qu'elles étaient autrefois au tobogan, Lise monta en premier, suivit de Buffy qui s'assit entre les jambes de son amie qui la tenait bien fort à la taille. Il y eu bons nombres de tournants, d'espace et des endroits magiques, fabuleux, incroyables dans la descente qu'elles retinrent leur respiration avant de plonger dans de l'eau. Ce fut un après-midi très heureux en oubliant les tracas, les choses de la vie désagréables, gênantes et incompréhensibles de la vie et des rochers et obstacles, mais elles les surmonteront….
Les relations que pouvaient entretenir qui entretiendra les frères et les sœurs, ou les frères à frères, et de celles des sœurs à sœurs, les relations montantes qui étaient entretenues soigneusement et très délicatement entretenue et fragiles de faire, de comprendre et apprendre à l'exploiter n'a jamais pu être parfaite. C'était évident et de toute évidence, une évidence et un sens logique, car ce style de genre de relation, Buffy et Frances ne firent pas exception à la règle et aux lois de la nature, car c'était des ennemies naturelles. La petite soeur embêtait et rendait la vie infernale à sa grande sœur. Alors que Buffy jouait avec sa copine, Lise, aux cartes, simplement discutaient des photos de stars de cinéma et Buffy évoquait souvent Angel dans leurs jeux préférés, surtout avec Willow, "partout mais ailleurs" et Buffy évoquait ses rêves : Angel, en rougissant, mais Frances voulut la taquiner un peu plus, mais voyant l'esprit si rêveur, si doux et sérieux, brillant dans ses yeux profonds où elle pensa que c'était si sérieux et évident qu'elle soit amoureuse de cet homme et, comme par respect pour son amie, elle vit des moments de silence, solution et encouragement d'aide. Au bout d'un moment, les deux jeunes reviennent sur des sujets beaucoup plus sérieux comme le maquillage et le vernis complet, avec des accessoires, de vrais styles come de véritables esthéticiennes, en bavardant avec animation, elles choisirent des couleurs pales violettes très claires, grises et Lise, du rose fuchsia...
En sentant les différentes fortes odeurs d'alcool du vernis, Frances fut en alerte, croyant qu'elles faisaient des tours de magie avec, à la base, du vinaigre blanc. Elle partit frapper à la porte de sa soeur ainée : Buffy, Buffy, Buffy ! Qu'est-ce que tu fais ?
En levant les yeux au ciel, en reconnaissance de sa petite soeur très ennuyeuse ces derniers jours et pourtant si mature, la majorité de son temps d'école, à la maison, son temps libre ou les moments de silence. On ne fait rien qui puisse t'intéresser. Maintenant, vas-t-en...
Toujours aussi heureuse, énergique, énervée et existée, elle lui dit : Quelle menteuse tu fais, je sens l'odeur de l'alcool à plein nez ! Ne me dit pas que tu en bois, sinon j'irai le dire à papa et maman quand elle nous téléphonera... Et que tu fais de la magie avec le jeu que maman m'a offert.
Enervée, Buffy se leva d'un bon en disant : Non, je ne fais pas de la magie. Très bien. Va, vas lui dire ! allez, va lui dire à qui tu vaudras. Allez ! Vas-t-en !
Frances tenta d'ouvrir la porte. En l'entrebâillement, elle vit que Buffy était en compagnie de Lise et c'est tout ce qu'elle dut voir avant que Buffy intervienne et lui fermant la porte au nez devant elle sans remord. Frances voulut faire partie du jeux de bien-être, se coiffer, se maquiller, se changer en une belle jeune femme avec des vêtements de Buffy et des chaussures de sa mère si elle en avait. Elle pleura et Buffy fut aussitôt submergée de culpabilité et de remords, sa souffrance était comme la sienne. Si elle était malheureuse, Buffy l'était également. Pour la fin de la journée, Frances fut autorisée à être dans tous les jeux que sa grande soeur proposa et elle fut heureuse, joyeuse et heureuse en éclatant de rire et formant un immense sourire de victoire et de la tâche accomplie...
C'était à l'heure de la même journée qui s'annonce des jours d'aujourd'hui, que Buffy dut amener et réaliser l'obligation de s'acheter des fournitures scolaires et se procurer les livres et différents manuels pour commencer sa onzième année, l'année Junior. Elle était accompagnée de son amie Lise qui devait, elle aussi, s'acheter de nouvelles affaires. Mais Buffy dut amener sa petite soeur, Frances, avec elle pour l'aider à choisir et, surtout, acheter les nouvelles fournitures scolaires pour son entrée en sixième année au collège de Sunnydale. Frances était vraiment très déçue que ce n'était pas avec son père qui, cette année, ne pourrait pas l'accompagner et l'emmener avec lui. Un ensemble des instruments, cahiers, manuels, crayons et plus encore, d'avantage d'autres exemples... dont une étudiante écolière a besoin afin de suivre une formation... Buffy passa par la librairie et les deux sœurs se séparèrent pour trouver les livres dont elles avaient chacune besoin, en s'achetant, en plus, du papier, des feuilles blanches... En plus de la libraire et la bibliothèque, elles allèrent dans une papèterie. Une papeterie est un magasin vendant des fournitures de bureau ou des fournitures scolaires. Ce type de commerce est souvent couplé avec celui d'une librairie ou une maison de la presse. Ainsi que des crayons des stylos, Buffy qui continuait à se servir de son stylo à plumes donné par sa grand-mère, se procurera une dizaine de cartouches d'encre bleues marine...
Frances se fatigua très vite et voulut rentrer à la maison. Elle en avait marre et que c'était trop, beaucoup trop exagéré et se moquant d'elle que même après avoir tout acheté, les deux adolescentes partirent regarder, observer les différentes vitrines de magasins de vêtements et Lise et Buffy parlèrent, évoquèrent déjà la tenue vestimentaire, les vêtements ou couleurs choisies pour la toute première journée de classe de la rentrée. Elles sourirent, gloussèrent en se contant des histoires drôles, des anecdotes et leurs petits secrets
En les regardant faire, Frances eut beaucoup de mal à accepter que l'on abusât de sa fonction, de sa gentillesse et de sa patience que pour des autres. La gentillesse qui mène à l'autodestruction et c'est ce que Frances ressentit. D'autres sont gentilles en permanence car elles ne supportent pas l'idée-même d'un conflit. Il est certain que nous nous sentons bien lorsque d'autres sont gentilles en permanence, car elles ne supportent pas l'idée-même d'un conflit. Il est certain que nous nous sentons bien lorsque nous sommes aimables avec les autres, mais nous pouvons parfois aller à l'encontre de nos propres intérêts, pour ne pas froisser les autres. Et elle se mit à crier et leurre devant tout le monde disant enfin la vérité à sa soeur ainée qui était sous le choc et énervée, honteuse que l'on la fasse passer pour une méchante. Elle devait s'excuser et donner en public des excuses plates devant des inconnus, et elle se fera disputer le soir venu et tout sera focalisé sur Frances, car cela n'apporterait rien, car leur père aurait grondé et puni Buffy plus que Frances. Il est parfaitement logique que la plupart des gens se sentent plus sereins lorsqu'ils interagissent avec des personnes dont la gentillesse transparaît au premier abord, plutôt que lorsqu'ils discutent avec des individus amers ou pédants.
Je veux rentrer à la maison, tout de suite. Papa ne t'as pas demandé de t'occuper de moi au lieu de glousser comme une gamine insolente. D'accord, maintenant à présent, alors on y va maintenant ?!
Et tout fut pardonné à Frances alors que Buffy fut lourdement punie…
Cela faisait maintenant, dès à présent, en ce jour depuis qu'elle a commencé à compter sur ses doigts et à l'aide de son calendrier, accroché au mur, à côté de son bureau, que Buffy constata que cela faisait sept jours complets qu'elle était punie, en respirant et expirant au fur et à mesure que le temps passait, Buffy était extrêmement triste et fatiguée par l'injustice d'être détenue dans sa chambre et la maison au complet, tout ceci pour ne pas avoir pris soin et fait attention tendrement au bien être de sa petite sœur. Elle voulut parler à son père, lui demander pardon et insister pour lever la punition, la correction et voulut se faire pardonner. En descendant les escaliers, puis, arrivant au bureau de Hank, elle frappa en douceur, sous signe de timidité et de faiblesse, elle y rentra en demandant à son père si elle pouvait sortir ne serait-ce que quelques heures avec son amie Lise et qu'elle ferait plus attention au bien être émotionnelle de sa sœur. Sous plaidoirie de sa fille ainée, Hank ne put que résister, se décollant de sa personnalité et son caractère sec, sévère et punitif, impressionnant. Il ne put que céder. Buffy, heureuse, alla embrasser son père, lui faisant ainsi un exceptionnel câlin et étreinte comme une fille faisait à son père dans l'intimité et touchante attention et affection tendre.
Il lui souhaita un bon après-midi et rendez-vous au diner. Elle déclara par-dessus son épaule un « d'accord à tout à l'heure, très bien ».
Elle retourna dans sa chambre. Buffy va dans sa chambre et voit une petite jeune fille aux cheveux blonds, en train de fouiller dans ses affaires, sur son bureau, dans son armoire et sur sa coiffeuse.
"Mais ! Qu'est-ce que tu fais là, toi ? Je croyais qu'on ne devait plus se voler nos affaires."
Frances se retourna, l'air surprise par la venue aussi rapide de sa soeur dans sa chambre, pensant que l'entretien avec leur père serait beaucoup plus long et difficile. Buffy ne semble pas être contente de la voir là, à juste titre, car ayant de la rancœur de l'amertume d'avoir été punie et sanctionnée à cause Frances
Hank appela sa fille ainée, en l'appelant par son prénom et en lui demandant si elle entendait ce qu'il lui disait, que si elle sortait, elle pourrait garder et emmener sa soeur avec elle dans une sortie familiale. Les deux filles regardent vers la porte, ennuyées. Surprises et inattendues de la part de leur père... Criant d'une seule et unique voix :
Papa !
Alors que l'été touchait à quelques semaines de la fin, Lise, Buffy et Frances s'étaient réunies près des côtes rocheuses et de la plage, regardant le soleil se coucher en faisant mille et une nuits des vœux pour la nouvelle année qui s'imposera à elles trois. Le coucher du soleil est le moment où le soleil disparaît derrière l'horizon, dans la direction de l'ouest sur Terre. Le jour laisse alors place au crépuscule, phénomène quotidien sur les planètes du système solaire disposant d'une atmosphère. Coucher du soleil : moment de la journée où le soleil disparaît derrière l'horizon. Pourquoi le coucher du soleil est beau ? C'est parce que la lumière est dispersée par la poussière qui se trouve dans la haute atmosphère. Plus il y a de poussière dans l'air, plus la lumière dispersée occupe une large bande au-dessus de l'horizon, au coucher ou au lever du soleil. Lorsque le ciel est sans nuage, les lueurs crépusculaires sont très pures. Les couchers de soleil sont toujours des paysages qui apportent apaisement, douceur et quiétude… Le soleil se couche pour tout le monde, un moment fédérateur aux quatre coins de la planète. Pour les romantiques, c'est un moment à partager à deux, instant fait de silence et de complicité face à cette belle nature.
Frances croisait les bras sur les barrières, regardant directement le soleil de ses yeux Véron, tandis que Buffy et Frances discutèrent en rentrant et, s'immisçant dans la conversation, la plus petite des Summers leur déclara qu'il ne fallait pas dévoiler les vœux car sinon tout ce qu'elles souhaitaient ne se réaliserait pas et pourtant, en répliquant Buffy que Frances avait fait la même chose et tout le contraire de ce qu'elle a dit, la petite dernière rougit jusqu'à la racine blonde de ses cheveux...
Quelques jours s'étaient à nouveau une fois de plus écoulés et s'étaient encore plus rapprochés de la rentrée des classes. Il ne restait encore plus qu'une semaine avant le grand jour et pour cela, pour être dans les meilleures conditions possibles pour, au mieux, continuer à profiter de ces quelques derniers jours de vacances, Hank avait décidé de ramener, de reconduire ses filles à Sunnydale chez leur mère en approuvant sa décision en ce qui en était pour Joyce. Et c'est ainsi que les jeunes filles durent déménager toutes leurs affaires en trouvant des moyens différents et utiles pour ramener tout ce qui leur sera nécessaire dans leur chambre à la maison de Revello Drive. Étiquetez clairement les boîtes avec leur contenu sur le dessus et sur les quatre côtés. Hank leur dit de ne pas trop remplir les boîtes car elles seront plus difficiles à transporter si elles sont trop lourdes et risquent de casser sous le poids. Il leur dit aussi de faire un peu de ce travail chaque jour, pour maximiser leur déménagement. Frances était attristée et complètement, totalement désorientée et affligée de ne plus pouvoir vivre avec son papa et se dire que tout est fini dorénavant, Buffy était, elle aussi, triste et perdue, car elle devra faire face à son destin une fois de plus. La jeune fille, pendant le déménagement, a réussi à rentrer en contact avec son observateur sur son numéro fixe de domicile, pour lui apprendre qu'elle revenait à Sunnydale... Elle ne prit que le strict minimum et tout ce dont elle avait besoin et ce qui lui fit plaisir pour rajouter des touches encore plus personnelles dans sa chambre de la maison de sa mère... Trois jours de plus leur avaient été accordés. Et Hank rangeait les cartons dans le coffret et la petite roulotte qui faisait mobil home pour y rajouter d'avantage d'affaires.
Il tenait à faire la route lui-même, refusant que Joyce se déplace ou se fatigue pour un simple voyage qui devrait faire commettre l'allée et le retour. Personne ne dit quoi que ce soit. L'atmosphère était lourde et remplie d'émotions contradictoires, mettant en marche l'électricité statique dans l'air, l'atmosphère. Les filles regardèrent le paysage. Pour Frances, tout était si nouveau, mais pas pour Buffy qui avait déjà été témoins de tous les paysages, maisons, fermes et champs. Elle les redécouvrit une fois de plus en expliquant et faisant remarquer à Frances certains petits détails et tout ceci, cela se transforma en véritable conversation. Au tout début timide, mais rapidement très animée, faisait que le trajet se faisait plus agréable et vite fait rapidement comme un tour de magie. Ils arrivèrent plusieurs heures plus tard, car les filles trainaient et voulaient toujours s'arrêter dans le but, le moyen final, de rester plus longtemps avec leur père... Joyce les attendait avec hâte, s'inquiétant de ne voir personne arriver. En aidant Joyce pour déplacer les valises de leurs filles, ils montèrent de nombreuses fois les escaliers jusqu'au hale de l'entrée de voitures. Sur le chemin, une valise s'ouvre. Elle est remplie de vêtements. On voit que c'est Joyce Summers qui l'ouvre. Hank Summers apporte une autre valise. Hank souffla un bon souffle heureux et joyeux d'avoir enfin finit il déclara triomphalement ; Et voilà, c'est la dernière. Joyce s'exclama abasourdit et ne croyant pas ce qu'elle y voyait. Encore des vêtements ! Hank demandant dans le déni et ne sachant pas vraiment du tout ce qu'il était ignorant dans ce côté des filles et leur secret pur allait mieux. Les chaussures, cela compte comme des vêtements ? Et Il pose la valise sur le lit. Joyce, inquiète, demanda : Combien de magasins elle a dévalisé si ce n'est pour elle-même ?
Hank déclara qu'il, grâce à l'autonomie et sa grande responsabilité et voulant vivre en adulte, répondit : Je t'ai évité le cauchemar, des achats de la rentrée et de la ruée des magasins. Joyce parla plus fort car elle était sortie de la chambre de sa fille ainée : Si je n'avais que le souci des achats en ce qui concerne la rentrée de Buffy ! Elle range les habits dans l'armoire de Buffy. Joyce curieuse du comportement de ses filles et comment s'étaient passés les vacances, car la jeune mère ne savait pas quoi en dire, car elle n'a pas reçu de lettre ou de carte postale ou alors très peu. Comment elle était là-bas ? Sans problème ?
Hank répondit en toute honnêteté : Elle était…oui, elle était… Euh…disons. Bien. Elle rejoint le lit de Buffy et si s'assis. Mais un peu… comment… distante, pas boudeuse ou renfrognée, non. Assez… indifférente. Plus je passais de temps avec elle, plus j'avais l'impression d'une sorte d'absence… Hank lui passe des chaussures jaune fluo avec de grands talons hauts de plusieurs centimètres. Hank poursuivit : J'ai peut-être un peu trop compensé quand même. Tu vas trouver ça étrange, mais je préférais son époque pyromane. Au moins, je savais quoi lui dire. Joyce acquiesça elle aussi, inquiète et en totale harmonie, en accord et sur la même longueur d'onde : et j'ai un peu la même sensation. J'ai beaucoup de mal à communiquer avec elle. Si, au moins, elle pouvait réussir son année scolaire !
Joyce fut si heureuse de revoir ses filles, en particulier, sa plus jeune fille, Frances, l'accueillant avec une immense infinité et gratitude honnête avec un sourire éclatant, prenant sa petite fille contre elle qui aura toujours sa place dans son cœur et surtout sera la bienvenue dans cette maison et à l'intérieur du foyer, un soulagement toutes deux de ne plus souffrir de cette séparation, ayant le droit de recevoir une affection innocente et remplie de bonheur, de joie et protégée dans du coton, comme surprotégée et ainsi désinfectée comme stérilisée de tout mal et espérant qu'elle sera toujours aussi douce, câline et ne suivra pas l'exemple de sa sœur. En la prenant sur ses genoux, assise dans l'ile table de la cuisine, elle pressa son menton contre l'épaule de sa fille et lui dit qu'elle était l'enfant qu'elle avait toujours rêvé d'avoir, qu'elle était sa petite chérie, son cœur, son amour et qu'elle était heureuse de l'accueillir et qu'elle était l'enfant parfaite et idéale, que toute petite, elle ne posait pas de problème. Elle était son bébé pour toujours, son enfant qu'elle gardera au temps de l'enfance et de l'insoucieuse... Maman, je ne suis plus un bébé ! Et alors je n'ai plus le droit aux câlins ? En se retournant, Frances chuchota à Joyce qu'elle était heureuse d'avoir des câlins et refusait d'être mise au-dessus de sa soeur elle était un exemple, un modèle et qu'elle méritait mieux.
En entendant les paroles de sa mère, celles-ci énervèrent plus que jamais Buffy et elle regardera dorénavant sa soeur comme sa rivale, sa jalousie et une soeur ennemie... En se cachant derrière une porte, les larmes coulant à flot sur son visage, avant de s'enfuir dans sa chambre...
