Bonjour à tous =D
comme promis et indiquer dans mes précédents commentaires, j'ai finis mon premier crossover de Narnia et donc, je peux à présent corriger certaines choses et points de ce crossover pour concorder avec le précédent ;)
la plupart seront des détails minimes et d'autres seront plus important aux files que l'histoire avancera :)
ayant déjà remis à jour mes premiers chapitres, pour aujourd'hui, vous aurez droit au remise à jour jusqu'au chapitre 4 :) après, ca sera pour tous les dimanches si je peux ;)
pour vous prévenir des mises à jour, laissez moi un com pour que je vous avertisses, sinon je mettrais le terme "MJ" à la fin de chaque chapitre pour indiquer la mise à jour :)
et v'là je vous laisse donc redécouvrir ces 1er chapitres =D
REBONNE LECTURE XD
on se retrouve en bas ;)
Sabrinabella
MISE A JOUR
Chapitre 1 : L'Accident
Les Ténèbres.
L'Obscurité.
La noirceur l'entourait. L'enfermant dans une cage de malveillance et d'ombre.
S'il ne voyait rien, ce n'était pas le cas de ses autres sens qu'il pouvait toujours utiliser et qui étaient toujours en activité.
D'abord l'ouïe.
Ces oreilles pouvaient pleinement entendre le bruit, qu'il parvenait facilement à reconnaitre, comme étant celui d'un combat autour de lui. D'un combat qui sonnait plus comme une bataille, au nombre incessant de bruit qu'il percevait. Des épées s'entrechoquant, des boucliers briser, les cris des soldats résonnant avec le bruit des sabots de nombreux chevaux qui galopaient, ainsi que les cris aigus, qui ne pouvaient qu'appartenir à des créatures. De quelle sorte ? Il n'en savait rien ? Mais cela lui rappelait les goules et les gobelins de Narnia ? Ou bien plus les cris des gobelins de la Terre du Milieu ?
Ensuite l'odorat.
Son nez sentait les odeurs de morts. Des cadavres décomposés. Du sang. De la sueur qui émanait du champ de bataille autour de lui, lui retournant l'estomac de dégout et remontant la bile dans sa gorge, qui était à deux doigt de le faire vomir, aux vus de l'odeur plus qu'asphyxiante qui se dégageait des environs. Comme s'il se faisait écraser par l'odeur plus qu'étouffante.
Puis le gout.
Il pouvait gouter le sang dans sa bouche, le gout du métal ainsi qu'un gout d'eau salé, finissant par comprendre qu'il s'agissait de larme. Ces propres larmes.
Et enfin le toucher.
Il sentait le cuir et le métal refermant ces mains - portant sans conteste son gantelet en métal et son gant en cuire ? - comme du reste de son armure qu'il pouvait sentir sur lui, portant le poids qu'il identifiait sans conteste. Reconnaissant sans difficulté la garde de son épée qu'il tenait dans sa main droite, aussi bien que les poignets de son bouclier dans sa main gauche.
Il était armé.
En armure.
Et se trouvait sur un champ de bataille.
Qu'il ne voyait pas.
Il était fichtrement bien avancer !
Essayant de trouver une sortie ou un repère - qui pourrait l'indiquer sur l'endroit où il se trouvait ? - il ne trouva rien de tel qui saurait lui sauver la mise et le sortir de cet enfer. Sauf qu'au moment où il allait perdre l'espoir, de se sentir totalement piéger, il perçut un cri à travers le brouhaha du combat.
Un cri lugubre et à vous glacez le sang, le figea sur place alors qu'il pouvait pleinement sentir, que quelque chose était en train de lui foncer dessus. Mais figer sur place dans le noir complet, il ignorait complètement d'où viendrait l'attaque ? Sauf qu'avant même qu'il n'est pu paniquer, avant même que cette chose ne l'atteigne, il entendit un autre cri.
Seulement, ce cri ne l'effraya point.
Au contraire, il se sentit réchauffer, en paix et protéger.
Le rugissement d'un lion qu'il reconnut sans peine.
Aslan.
.xXx.
_ Peter ? Allez debout Peter ! On va chez Eustache aujourd'hui. Il faut le préparer pour la prochaine fois qu'il ira à Narnia. Allez réveille-toi !
Se redressant dans son lit à cet ordre, Peter eut du mal à ouvrir les yeux quand la lumière du jour vint à pénétrer dans sa chambre, après qu'on est ouvert les rideaux en grand pour laisser entrer les rayons du soleil.
Se tournant vers les deux fautifs qui avaient pénétrés dans sa chambre, Peter reconnut facilement sa petite sœur, la plus jeune de la famille, Lucy assis au pied de son lit - après l'avoir secouer comme un prunier - tandis que son frère cadet, Edmund, était celui qui avait ouvert en grand les rideaux à sa fenêtre, laissant entrer le ciel clair et le soleil matinal de ce 21 décembre 1944.
Etant âgé, respectivement de 16 et 14 ans, Edmund et Lucy avaient, les cheveux noirs et yeux noisette pour le premier, et des longs cheveux acajou et yeux bleu pour la deuxième. Le garçon avait revêtu une chemise blanche avec un pull bleu marine, son pantalon noir assortis à ces chaussures noires. Alors que la fille avait enfilé un chemisier blanc avec un pull rouge, assortis à sa jupe en laine au carreau rouge et blanc, comme du serre tête blanc et rouge, avec ces collants blanc et ces petites chaussures noires.
Ils étaient les deux derniers de la famille à avoir été à Narnia avec leur cousin Eustache, pour aller aider Caspian et les autres Narniens, il y a quelques mois durant leur vie commune chez leur oncle et tante de Cambridge. Mais aussi, cela était la dernière fois qu'ils se rendaient tous les deux à Narnia, maintenant, trop âgés comme l'avait été Peter et Susan, pour y retourner. Sauf que leur âge ne leur avait point empêché de partir dans cet autre monde, ou Aslan les avait envoyés après leur soutien pour mettre Caspian sur le trône de Narnia, allant aider ceux qui avaient eu besoin de leur aide.
Depuis qu'ils étaient rentrés des Amériques et depuis que la guerre entre les Alliées et les Allemands était finie, les 4 Pevensie s'étaient retrouvés avec leurs parent, en ayant repris le cours de leur vie en main et, appliquer les moralités et la sagesse qu'ils avaient tous gagnés à Narnia, tout autant que leur passage en Terre du Milieu. Sauf qu'avant de se replonger dans ces aventures, Peter s'empressa de se lever avant qu'Edmund et Lucy ne le jettent du lit. Et ils en étaient, tous les deux, capables.
_ Allez Peter. Dépêches-toi ! On va aller rejoindre Eustache, alors grouilles-toi prévena Edmund avant d'attraper sa sœur et de quitter la chambre, pour le laisser se lever et s'habiller.
Ne se le faisant pas dire deux fois, Peter retira ces draps pour se lever et de se diriger vers ces armoires à vêtement pour s'habiller. Enfilant une chemise blanche, un pantalon sombre et un pull belge, Peter attrapa ces chaussettes qu'il enfila avant de prendre ces chaussures noires, sa veste, son chapeau et son carnet, pour ensuite rejoindre le reste de la famille en bas. Sans oublier de passé par la salle de bain, pour dompter sa tignasse blonde.
Se faisant face au miroir, Peter se regarda, détaillant le jeune homme qu'il était devenu.
Agé à présent de 19 ans, bientôt 20, Peter était assez muscler et athlétique pour son âge, les cheveux blonds et les yeux clair, paraissant bien plus fort et plus vigoureux que son père qui avait survécus à la guerre.
Seulement, les horreurs de son père n'étaient rien aux horreurs que lui, son frère et ses sœurs, avaient vus à Narnia, ainsi qu'en Terre du Milieu surtout. Les monstres qui s'y trouvaient, étaient d'avantage horrible que les Narniens.
Secouant la tête une nouvelle fois, Peter quitta la salle de bain et s'empressa de rejoindre le reste de sa famille en bas, en cuisine, tandis que son père avait déjà quitté la maison pour son travail. Sa mère, Hélène Pevensie, était entrain de préparer le petit déjeuner avec l'aide de Susan alors qu'Edmund et Lucy étaient entrain d'installer la table, avec les pichets de jus et de lait.
_ Bonjour tout le monde.
_ Bonjour Peter salua Susan.
Cette dernière, maintenant âgé de 18 ans, avait attaché ces longs cheveux brun foncer en queue de cheval alors que quelques mèches tombaient en avant, encadrant son visage et faisant ressortir ces yeux clair. Tout en portant un chemisier rose assortis à la jupe plissé rouge et au pull blanc, ainsi que des bas blancs avec ces chaussures noires à léger talon.
_ Bonjour mon chéri. Tu as bien dormis ? Lui demanda sa mère en se laissant embrasser sur la joue par son fils, salutation qu'il avait pris l'habitude de lui donner depuis leur retour de chez le Professeur Karl.
Sa mère, malgré qu'elle approche bientôt de la cinquantaine, restait pour Peter, une belle femme. Avec ces longs cheveux noirs bouclé et ces yeux clairs, portant son ensemble bleu nuit avec sa chemise blanche et ces chaussures noires à talon.
_ Ça a été lui souria Peter, tout en allant embrasser Susan et Lucy, et effectuer un shampoing dans les cheveux d'Edmund, comme il avait pris l'habitude de les saluer chaque matin eux aussi, sachant d'avance que ces paroles allaient les alerter tous les trois.
Depuis leur retour de la quête d'Erebor et jusqu'à maintenant, les plus jeunes de la famille Pevensie avaient très vite découvert que leur ainé était souvent sujet à de violent cauchemard durant son sommeil. S'il ne venait jamais à s'en rappeler avec précision, la terreur et l'horreur étaient les émotions qui l'habitaient lorsqu'il se réveillait le matin même ou lorsque l'un de ces cadets venaient le réveiller, en l'ayant entendus crier dans son sommeil, accompagner d'une terrible migraine lui prenant les tempes. Ces parents s'étaient aussi inquiétés pour lui et l'avaient fait suivre par un spécialiste du sommeil, craignant qu'il vienne à repasser par sa mauvaise période d'il y a plusieurs mois.
Mais hormis ces sensations négatives à son réveil, Peter se portait comme un charme et rassurait sans peine sa famille que tout allait bien, à l'exception de cette migraine persistance, rassurant ces benjamins que ces terreurs nocturnes devaient être lié à ce dont ils avaient tous vécus en Terre du Milieu. Les rassurant quelque peu mais ayant fait promettre à leur frère que s'il venait à se rappeler de quoi que ce soit, il viendrait à le leur dire et ne leur cacherait rien, exactement comme les propres terreurs nocturnes d'Edmund, qui, par un instant, revivait la bataille d'Erebor et la chute de son ainé face à Azog. Forçant Peter à demeurer avec lui le reste de la nuit pour le rassurer ou, lorsque lui et Lucy étaient à Cambridge, s'était la benjamine qui était forcer de rester avec le plus jeune des frères Pevensie.
Seulement, cette fois-ci, alors qu'il était en train de se frotter inconsciemment sa tempe droite, essayant d'effacer la migraine persistante légèrement, Peter s'était souvenu de quelques images et son instinct lui disait que ce que lui et le reste de sa fratrie attendait depuis près d'un an, n'était plus très loin d'arriver.
_ Allez les enfants les appela leur Mère, ignorant complètement les échanges visuels se passant entre ces enfants. Tous à table. Mangez votre petit-déjeuner, sinon nous serons en retard chez votre tante vint-elle à les avertir en invitant ces enfants à s'installer à table.
Le petit déjeuner restait toujours l'un des moments les plus conviviales de la famille Pevensie, partageant ainsi ce qu'ils allaient faire de leur journée alors que Peter observa les siens, tout en se replongeant dans ces pensées.
Des pensées qui le tournèrent vers Narnia et vers la Terre du Milieu.
Se rappelant de ces derniers souvenirs de Narnia, il savait que le pays était entre de bonnes mains dans celle de Caspian. Surtout aux vus du rapport qu'Edmund et Lucy lui avaient fais sur leur passage à Narnia avec le Passeur d'Aurore, tout comme le fait qu'Aslan continuait de veiller sur son pays. Ou que si jamais ils avaient encore besoin d'aide, Eustache serait rappelé, raison pour laquelle ils allaient, tous les quatre, entrainer leur cousin pour le préparer à toute éventualité qu'il rencontrerait de nouveau dans le pays du lion.
Avant que ces pensées ne viennent à se tourner vers les jours passés dans la Terre du Milieu.
Cet autre monde accessible pour Aslan - bien que personne, aucun être vivant ne glorifiait le lion comme les Narniens le faisaient - disons plutôt que pour ce monde, le grand lion était considéré comme une vieille légende. Une vieille histoire de grand-mère. Un être qui était apparus dans le Premier Age de la Terre du Milieu et qui avait disparus par la suite.
Les habitants de la Terre du Milieu n'avaient jamais entendus parler de Narnia, même pour les plus anciennes comme les quelques elfes qu'il avait rencontré, lui et sa famille, pendant l'année ou il se trouvait dans leur monde. Bien qu'il n'avait jamais demandé leur âge exacte, Peter savait qu'Elrond de Foncombe ou encore Dame Galadriel de la Lothorien, tout comme Thranduil de la Forêt Noire, n'avaient jamais par le passé rencontré des Narniens. Peter et sa famille avaient été les premiers Narniens qu'ils rencontraient, bien qu'à présent, ils fussent plus des Londoniens.
Bien évidemment, découvrir ce monde avait été plus difficile pour eux que lorsqu'ils avaient appris à connaitre Narnia. Car la Terre du Milieu semblait être un univers plus sauvage que tout ce qu'ils avaient connus avec les Narniens, en particulier en ce qui concernait les monstres et autres créatures ignobles qu'elle possédait.
Spécifiquement, en ce qui concernait les nombreux peuples, constituer en plusieurs royaumes ou chacune d'entre elle se querellait et se bataillait. En particulier les elfes et les nains qui étaient aux antipodes. Alors que les hommes se croyaient être les plus grands dans ce monde. Quant aux hobbits, ces semi-hommes qui vivaient reclus dans leur terre, ignorant les problèmes des autres en ne se mêlant que de leur propre problème, faisant d'eux le peuple le plus reclus de la Terre du Milieu.
Bien que tous les « bons » puissent souvent s'unir contre l'unique ennemi de leur monde, les monstres du Mordor ou de Gundabad qui était composer de nombreuses créatures, les plus laides les unes que les autres. Des orcs, des huruks, des gobelins, des wargs, il y avait une ribambelle de choix pour ce qui était des ennemis. Et Peter, comme les siens, avaient été confrontés à aux tous, pendant la quête de la Compagnie des nains mener par Thorin Ecu-de-Chêne le Roi Nain, Gandalf le Gris le magicien, Bilbon Sacquet le Hobbit, ainsi que les 12 autres nains du groupe.
Ils venaient tout juste de quitter Narnia après avoir traversé le portail d'Aslan et après avoir rendus leur pays aux Narniens sous le Roi Caspian, qu'au lieu de retourner chez eux, de réapparaitre à Londres dans le métro, là où ils étaient partis, ils réapparurent dans une forêt, au milieu de nulle part, sous une pluie diluvienne. Tandis que les vêtements princiers qu'ils portaient, les tuniques et les robes avaient disparus pour relaisser place aux vêtements qu'ils avaient revêtus après avoir quitté les ruines de Cair Paravel, recouverts de capes avec leurs armes respectives et leurs sacs, contenant des provisions et leurs armures.
Au début, ils avaient tous les quatre crus être revenus en arrière et qu'ils allaient devoir recommencer tout ce qu'ils avaient entrepris, comme si cela avait été un rêve. Mais ils avaient finis par découvrir que ce n'était pas le cas, quand ils avaient croisés la route d'un vieil homme à la barbe aussi grise que son long manteau et de son chapeau, tenant un long bâton dans ces mains.
S'étant présenté comme Gandalf le Gris, il leur avait demandé qui ils étaient ? Après ça, la discussion avait tourné aux présentations et d'où ils se trouvaient exactement ? Gandalf les avait alors conduits à l'abri de la pluie à Bree, là où il devait retrouver quelqu'un qui se trouvait être nul autre que la personne vers laquelle Aslan les avait envoyé pour le soutenir dans la folle quête qu'il allait entreprendre pour récupérer un royaume d'un dragon. Si les débuts avaient été des plus houleux lors de leur rencontre avec Thorin Ecu-de-Chêne, puis du reste des nains de la Compagnie à Cul-de-Sac, chez Bilbon le futur « cambrioleur » de leur bande que Gandalf leur avait choisis, ils avaient finis tous les quatre par s'attacher à cette Compagnie et avaient décidés de les soutenir pour récupérer leur domaine du dragon.
Bien évidemment, ils avaient tous les quatre dus signer un contrat, même s'ils n'en avaient pas besoin, ils étaient en quelques sortes, prévenus des risques qu'ils risquaient d'avoir. Mais les quatre Pevensie avaient tout de même finis par comprendre une chose essentiel, c'est qu'Aslan ne les aurait pas envoyé ici s'il n'avait pas une bonne raison. Et il fallait croire, que le Grand Lion s'attendait à ce qu'ils les aident dans leur quête de reprendre leur terre et leur richesse, bien que celle-ci se révélait être d'empêcher l'Ennemi de s'emparer de l'Est par le biais de la Montagne Solitaire, et d'éviter à tout prix une invasion.
_ Peter. Tu as finis mon chérie ?
Sortant de ces pensées, Peter tourna son regard vers sa mère pour finir par remarquer par la même occasion que le reste de sa famille avait déjà finie de prendre leur petit déjeuner, et qu'ils l'attendaient dans le hall à l'exception d'Edmund qui se tenait juste à côté de lui, ayant posé sa main sur son épaule, comme pour le ramener à la réalité si besoin était. Tandis qu'Hélène, Susan et Lucy étaient prêtes à enfiler leurs manteaux, écharpes et bonnets pour sortir pour la journée.
_ Oui maman, j'ai finis.
Engloutissant la dernière part de croissant et finissant de boire son café, déposant sa tasse vide dans l'évier, Peter nota dans peine qu'Edmund l'avait suivis alors que Susan et Lucy étaient en train de parler avec leur mère, comme pour la détourner de la conversation qu'ils allaient tous les deux avoir.
_ Qu'est-ce qu'il y a exactement Peter ? Tu me sembles plus pensif que d'habitude ?
_ Ce n'est rien Edmund, c'est seulement que…
_ Que quoi Peter ?
Terminant sa petite vaisselle, Peter jeta un coup d'œil vers sa mère et leurs sœurs, constatant qu'elles étaient plongées dans leur propre échange, ne prêtant nullement attention à leur discussion, se retournant ainsi vers Edmund pour l'avertir de l'impression qui ne cessait de croitre au fond de lui.
_ Je crois bien que nous n'allons plus tarder à être rappeler, Edmund.
_ Tu veux dire… En Terre du Milieu ? Lui demanda son cadet, tout en le regardant s'essuyer les mains sur la serviette prévu à cette usage, terminant par hocher de la tête avant d'aller rejoindre les autres dans le hall.
Peter n'eut pas besoin d'en rajouter d'avantage qu'Edmund avait parfaitement saisis ces paroles et faisant un signe à leurs sœurs qui leur rapporteraient plus tard les paroles de son ainé, il dépêcha à son tour de les rejoindre. Attrapant sa veste et son écharpe, tout en posant sa casquette sur la tête, Peter se dépêcha de rejoindre les siens dehors avec Edmund tandis que leur mère fermait la porte de leur maison après qu'ils soient tous les deux sortis.
Montant dans la voiture de sa mère, à l'avant côté passager, pendant que Susan, Edmund et Lucy s'installaient à l'arrière et que leur mère s'assit derrière le volant. Peter écouta son cadet leur rapporter dans un murmure ces paroles, ces deux sœurs ne venant nullement parlementer ou contredire ces paroles, ayant tous les trois finies par prendre l'habitude à la légère des pressentiments de leur ainé. Sachant déjà tous qu'ils allaient revenir en Terre du Milieu à un moment donner depuis qu'ils étaient revenus de la quête d'Erebor, continuant de s'entrainer ensemble et à l'abri des regards, attendant tous le moindre signe qui pourrait les alerter de l'imminence de leur prochain voyage.
Alors quand Peter, dans une lettre adresser à Edmund et à Lucy après leur retour de Narnia avec Eustache, leur prévenant depuis l'Amérique que les choses étaient en mouvement, n'étant plus une question de temps avant leur prochain rappel, les quatre Pevensie avaient alors patiemment attendus le prochain signe avant-coureur. Et l'intuition de Peter venait à rajouter d'avantage la pression qu'ils se donnaient, sachant qu'ils devaient réellement profiter de cette occasion, de leur visite chez leur cousin pour lui apprendre tout ce dont il aurait besoin de savoir quand il devra retourner à Narnia. Raison pour laquelle Susan vint à leur raconter ce qu'elle avait prévus de faire pour la journée, tandis que les deux autres l'écoutaient sagement, ce qui permit à Peter de replonger dans ces pensées.
Ces pensées le menant une nouvelle fois dans ces autres mondes que personne, à part lui, son frère et ses sœurs n'avaient visité et connus. Le premier merveilleux, tandis que le deuxième plus grandiose mais aussi plus dangereux. Récoltant plus de blessure en une année en Terre du Milieu que pendant toutes celles qu'il avait vécus à Narnia, autant que des nombreuses fois où il avait faillis bien y passer.
C'est ce qui l'avait poussé à s'intéresser aux plantes médicinales, puis aux meilleures façons de soigner des blessures ? Ce qui l'avait tourné vers des études de médecines, qu'il avait commencé à étudier aux Etats-Unis, pendant le voyage, puis avait continué les études, ici, à Londres, souhaitant devenir Médecin. Tout en conservant toujours sur lui un petit cahier de notes avec des listes de noms de plantes et des croquis, ainsi que leur qualité médicinale et tout ce qu'il apprenait au cours de ces leçons.
Métier que ces parents, comme le reste de sa famille, l'encourageait grandement à prendre cette voix. Tandis que son avenir était tout tracer et que cela aussi, obligeait le reste de ses frères et sœurs, à se poser les bonnes questions sur leur futur ?
Susan s'était lancée dans la compétition sportive, autant que l'équitation, que le tir à l'arc que l'escrime. Faisant d'elle, l'une des meilleures anglaises dans ces trois activités sportives, qui émerveillaient autant ces entraineurs que ces supporteurs. La rendant aussi célèbre dans la famille qu'elle le désirait, sans trop en faire.
Edmund avait l'intention de faire des études de droit et de devenir avocat. Le côté juridique de sa personne qui ressortait le plus depuis ces aventures à Narnia et en Terre du Milieu. Métier aussi très prometteur que ces parents l'encourageaient fortement, autant que les autres.
Alors que Lucy avait l'intention de se lancer dans la littérature. Devenir un professeur, voulant enseigner et aider les jeunes pour leur avenir. Tandis qu'elle conservait, comme Peter, un journal, retraçant toutes leurs aventures à Narnia, aussi bien que celle vécus en Terre du Milieu. Ayant l'idée en tête d'en faire un récit fantastique qu'elle proposerait à une édition, tout en veillant à changer certains points, en particulier en ce qui concerne les noms des personnages principaux. Pour éviter tout problème, juste au cas où ?
Et il savait que cela pourrait intéresser de nombreux enfants de se plonger dans les récits de Narnia et du Grand Lion Aslan.
Revenant à la réalité, Peter ne put s'empêcher de sourire quand il entendit Edmund et Susan entrain de se disputer de nouveau. Pas une dispute qui vous énervait mais plutôt une dispute de frère et sœur, de gamin. Et cela faisait bien rire Lucy, autant que lever les yeux de leur mère devant leur enfantillage pendant que Peter ne put s'empêcher de jeter un œil derrière lui, pour les voir se quereller.
_ Mais puisque je te dis qu'il faut…
_ Et moi je te dis qu'Eustache n'a pas besoin de connaitre ce genre d'enfantillage, Susan. Il ne va pas aller là-bas pour se mettre à séduire toute les dulcinées qu'il rencontrera.
_ Les enfants, voulez-vous donc cesser de vous chamailler ? J'ai l'impression de voir deux enfants et non pas deux jeunes adolescents ? Demanda Hélène à ces enfants en les observant dans son rétroviseur.
_ Mais maman, c'est…
Et détournant son regard de sa famille, le sourire amuser aux lèvres, Peter la reposa un bref instant sur la route, voyant quelque chose que sa mère ne vit pas. Bien trop concentrer sur les autres que sur le chemin.
_ Vous…
_ MAMAN !
Le cri de Peter ne put rien changer.
Même le fait qu'il est attrapé le volant pour tenter de faire tourner la voiture sur le côté, pour éviter le camion qui était entrain de leur foncer dessus depuis la gauche. Et la seconde avant même le choc de la collision entre les deux véhicules, Peter eut l'impression de tout voir et entendre, se produire au ralentit.
Ces yeux fixer sur le pare-choc du camion qui fonçait sur lui de son côté, pouvant pleinement voir sa plaque d'immatriculation, Peter pouvait tout à fait entendre les cris de sa mère, ainsi que celui de son frère et ses sœurs résonner dans son dos. Alors qu'au travers de tout ça, l'aîné des Pevensie put pleinement percevoir un son distinct, résonné à ces oreilles comme un doux appel et un ordre. Tandis qu'il put ressentir autant qu'entendre le choc lorsque le camion vint à percuter la voiture de sa mère de plein fouet.
Le cri d'un lion rugissant.
Aslan.
V'là pour le chapitre 1 :)
hâte de reconnaitre votre opinion ;)
je vous dis a tte pour le 2ème chapitre ;)
Sabrinabella
