Bonjour/Bonsoir à toi chère lecteur/lectrice! Une nouvelle histoire ? Exactement, en espérant que vous l'aimerez mes petits chats !


Enslaved


Prologue :

Le biome

Éblouie, par une lueur que je ne connaissais guère, j'essayai tant bien que mal de me relever du sol malgré la douleur infernale que me procurer ma hanche. Ma respiration est saccadée, ma vision, flou, mon crâne me fait subir un mal phénoménal. Je me retrouvais impuissante face au danger potentiel des alentours. Au bout de quelques minutes qui me paraissaient des heures, ma vue était redevenue stable. Je puis entrevoir la végétation abondante qui m'entourait. Des bouleaux, des chênes, des sapins ainsi que d'innombrables autres arbres, arbustes et fleurs. La chaleur devenait insupportable…

Le retour de ma vue, me donnait le tournis. Je m'accoude à un arbre, subitement faible, j'étais prise de vertige. J'essayais de me faire violence pour trouver un potentiel chemin praticable afin de retourner à la civilisation. La gorge sèche, je m'aventure vaillamment à travers la végétation en prenant soin d'éviter tous obstacles. J'arrête subitement ma progression, me trouvant nez à nez avec un serpent. De couleur jaune, la bête rampante s'était cabré, vif, au moindre faux pas, il m'attaquerait. Reculant prudemment face à ce dernier, je fuis en courant, utilisant mes dernières forces pour grimper à un arbre.

Au sommet de mon chëne, je retire subitement ma veste noire et mon tee-shirt blanc, les déchirant de part en part afin de les relier. Je m'allonge sur la branche de chêne la plus solide et entoure le cordage que je venais de créer autour de la branche et de moi-même. Je me devais, de ne pas tomber, je dois survivre à cette épreuve.

Mon regard de bronze se perdait dans l'étendue de ce ciel bleu artificiel. Me remémorant péniblement de ce monde terrifiant, où Harry Potter n'avait pas survécu à son bourreau. À ce souvenir douloureux, des larmes commencèrent à inonder mes pupilles.

Chassant mes pensées les plus sombres de mon esprit, j'essayais d'attraper un carnet dans la poche de mon pantalon. En le sortant, mes mains rattrapèrent de justesse un crayon de bois. Je le remis à sa place. Sur la couverture du carnet, il était inscrit « le journal de survie d'Hermione Granger Alias quarante-neuf ». Je l'ouvris en lâchant un long soupir, marquant péniblement de ma main faible, mon le trentième jour de survie au sein du biome.

« Jours trente :aujourd'hui, j'ai étais transféré dans une nouvelle base.

Ma hanche est salement amochée, je présume que c'est dû au choc lorsque l'hélicoptère m'a largué au-dessus de la forêt.

J'ai marché longuement, et j'en ai conclu que ça ne doit pas être la dernière base, je n'ai pas trouvé la civilisation, en conséquence, je n'ai pas encore gagné.

Qui devrais-je encore tuer ? Quel, frère d'armes vais-je devoir anéantir pour ma propre survie ?Est-ce que je suis égoïste ? Égoïste de vouloir m'en sortir. Est-ce que mes meilleurs amis auraient assassiné de sang-froid tous nos frères d'armes comme je l'ai fait ?.

Certainement, car au final la seule guerre qui compte et celle que nous avons commencée, même si Harry est mort, il faut continuer la mission. Il faut que je vive pour libérer le monde des sorciers de Voldemort.

Deux personnes sont mortes aujourd'hui. Nous sommes plus que deux survivants. Fin du jour trente.»

J'aurais pu trouver un profond sommeil cette nuit-là, si des bruits de pas ne m'avaient pas alerté.Un ancien élève deserdaigleme chercher, il était très fort, très puissant. Le numéro cinquante ornait son dos.

C'était donc, le dernier des cinquante née-moldus qui ont pénétré dans le biome de l'enfer. L'individu arpenté les lieux avec une machette, il coupait chaque branche à sa portée, chaque arbuste. Il était sur les traces de mes pas, quand un rugissement bestial se fit entendre proche de notre position.

Du haut ma mon habitat, je puis entrevoie un tigre se ruer sur leSerdaigle. Lui déchirant, arrachant, croquant, chaque passerelle de son corps.Un son strident arriva à mes oreilles, je me les bouchais pour étouffer ce bruit ahurissant, de la fumée commencée à m'entourer, m'affixant par la même occasion. J'étais épuisée, vidée, mon esprit vaciller vers l'obscurité. C'était donc ça la fin d'un calvaire. Ou le début d'une descente aux enfers ?.


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