Bonjour à tous !Une bonne année 2021 à vous !Me voici de retour avec la suite de Enslaved !


Enslaved


Chapitre 03 - Le bal 02.

Drago Malefoy en posant sa main sur la hanche de la jeune femme, la retourna afin de l'enlacer dans ses bras. Doucement il posa une énième fois ses lèvres contre les siennes, il était redevenu tendre, la bête en lui était parti. Le serpent lui rendit sa voix. Hermione le toisait du regard, il attrapa de nouveau sa mâchoire avec deux doigts pour la lui bloquer.

« Ne me regarde pas comme ça.» lui dit il avant de l'embrasser.

Hermione avait envie de pleurer, il l'avait souillé, et son corps lui laisser faire et il aimait cela. Les lèvres de Drago étaient ce qu'il y avait de plus doux chez lui. Hermione se demandait pourquoi elle cherche des excuses au fond d'elle-même pour dédramatiser la situation. Le regard de Drago était pénétrant. Elle replaça automatiquement une mèche des cheveux blonds de son mari derrière son oreille.

«Et comment veux-tu que je te regarde? Je ne suis que ton esclave pour toi. C'est plus que normal que je ressente uniquement de la haine à ton égard.» dit Hermione en remettant sa robe en place afin de se détacher de son bourreau.

Drago la regarda un instant, au fond de lui il s'en fichait royalement que son esclave le déteste, cependant sa femme non. Il avait des principes et des valeurs intransigeantes.

« Je m'en fous que tu me détestes temps que je suis satisfait de ton comportement en société et en privé. Je peux te dire que ce que je te fais subir n'est rien, face à ce que j'ai fait subir à ma précédente épouse. » lui répondait il en lâchant sa prise sur elle.

Hermione le poussait presque pour voir les dégâts de sa coiffure dans le miroir.

« Je présume que tu la aussi prise contre un lavabo pour la punir d'avoir voulu parler a une ami d'enfance qu'elle n'a pas vu depuis cinq ans?» Lui lançait Hermione.

« Te fou pas de moi, Granger, je sais ce que tu avais prévu, tu es trop prévisible.» lui dit il en passant un doigt le long du dos nu d'Hermione.

« Recoiffe toi, on retourne au banquet.». Termina il en claquant les fesses d'Hermione qui se mit à rougir subitement.

Hermione agrippa le bras de Drago avant qu'il ne pu faire un pas de plus.

« Tu n'as pas répondu à ma question.» lui dit elle.

« Et tu n'aura pas la réponse, sauf si tu continue à m'enmerder comme tu le fais depuis notre première année à l'école.» lui répondit Drago en la forçant à lui lâcher sa manche.

Hermione en profita pour à nouveau pour lui attraper le bras. Elle avait une idée derrière la tête. Cette fois-ci, Drago se retourna vers Hermione et la fusilla du regard.

« Quoi, encore? » S'écriait-il, agacé par sa compagne.

« Tu t'en vas sans m'embrasser? » Lui dit Hermione en lui faisant des yeux doux.

Drago leva les yeux au ciel, pris Hermione par la taille afin de la coller contre lui et de l'embrasser passionnément.

« Arrête de faire des conneries, sinon, tu seras puni» lui susurra il avant de se détacher d'elle et de revenir au festivités dans la salle de bal.

Hermione se recoiffait à présent devant le miroir, essayant temps bien que mal, de canaliser, sa chevelure endiablée. Le regard de la lionne S'arrêta subitement sur le mouchoir en tissu que lui avait prêté Ginny il y a quelques minutes. La jeune femme s'empressa de l'ouvrit, et y découvrit un mot. Ginny et Hermione s'amuser à Poudlard à s'envoyer toutes sortes de mots sur n'importe quel objet. Finalement, les années Poudlard passé ensemble leurs avaient bien servie.

« Hermione,

Je suis désolé, désolé que tu sois tombé sur Malefoy comme mari. Nous allons nous croiser souvent, comme je croiser souvent son ancienne épouse, Astoria. Il faut que tu fasses attention à lui, évite de le provoquer, évite de te refuser à lui. Astoria en est morte. Pour te raconter un peu, il a gardé son ancienne femme dans un cachot pendant six mois car elle avait voulu s'enfuir. Suite à cela, un médecin lui a informé qu'elle ne pouvait plus avoir d'enfant. Et elle est morte subitement….

Hermione, je suis enceinte, je ne peux rien faire pour toi, Juste te tenir informé par petit message ce que pense Drago de toi. Je le sais par Blaise. J'ai un bon mari, il me dit tout.Fait moi un clin d'œil quand tu me voies afin de m'indiquer que tu as réceptionné le message.

Je t'aime, n'oublie jamais que tu es ma dernière famille.

Ginny Zabini.».

Hermione se regardait une dernière fois devant le grand miroir afin de se donner du courage pour la suite de sa soirée. La jeune femme avait une idée derrière la tête, une idée très précise. Son intelligence lui avait permis de gagner le Tournoi des Sangs de bourbes. Alors, pourquoi pas le cœur de Drago Malefoy ? Il fallait qu'elle gagne du pouvoir sur lui… Sinon, c'est lui qui l'anéantira.

ortant des toilettes des dames, le sourire aux lèvres, Hermione fit un clin d'œil à sa meilleure amie avant de rejoindre son époux. Arrivant derrière Drago, elle hésite un instant entre lui prendre la baguette qui dépasse légèrement de son pantalon et lui prendre la main ? ..

Hermione le rejoint en prenant sa main dans la sienne. Ce dernier se retourna légèrement vers elle, il voyait à présent Hermione lui sourire de toutes ses dents.

«D'abord le baiser quémandé, ensuite ce regard langoureux, elle joue à quoi encore?» Se demandait-il en s'approchant pour lui capturer ses lèvres.

« Je ne sais pas à quoi tu joues Granger, cependant, moi j'ai une baguette et je peux entrer dans ton esprit quand je le souhaite, a force de jouer tu vas te brûler.» lui susurra Drago dans à l'oreille.

« Père, je vous présente mon épouse, Hermione.» dit Drago aux deux personnes qui les fixaient depuis maintenant cinq minutes. Hermione se tourna vers eux, un peu honteuse et rouge de honte.

«Monsieur, Malefoy » dit Hermione en inclinant sa tête. Elle se tourna ensuite vers sa belle-mère qu'elle avait rencontrée plus tôt et lui dit un signe de tête par courtoisie.

« Vous êtes vraiment maigre.» lui dit Lucius en la détaillant. « Au moins, vous êtes plus jolie que dans mes souvenirset vous avez de moins grandes dents! » Termina le père en rigolant.

Narcissia lui tapa dans l'estomac pour qu'il arrête de se moquer d'Hermione. Drago regardait simplement la scène en finissant sa 3ème pina colada avant de prendre sa nouvelle femme par la taille.

« Au moins père, je peux la trimbaler de partout » lui dit-il dans un clin d'œil avant de partir avec sa lionne accueillir leurs invités.

Drago caressait doucement le dos nu d'Hermione en parlant à des personnes importantes au ministère de la magie. Le jeune homme l'exhibe comme un trophée auprès de de ses invités. Leurs indiquant les mérites de la jeune femme et son incroyable intelligence. La lionne était un peu perdue du comportement de ce dernier à lui porter un intérêt plus que platonique. Par moments, elle se retrouvait à rougir devant ses éloges, ce qui surprenait leurs interlocuteurs.

«Et voilà, comment ma charmante femme m'a affligé son poing dans la figure parce que j'avais clairement dépassé les bornes.» racontait-il en riant en cœur avec des membres du ministère.

Le cœur d'Hermione faillit sortir de sa bouche quand elle aperçut Voldemort descendre les escaliers du hall du manoir. Elle agrippait fortement l'avant-bras de Drago avant que son cerveau cogite à trouver une solution pour ne pas croisé ce dernier.

« Mon Amour» S'exclama la lionne en serrant ses dents pour sourire « Je suis extrêmement fatigué, est-ce-que tu pourrais me raccompagner à ma chambre?»

Drago émit un petit sourire pour toute réponse et se congédie auprès de ses invités avant de prendre le bras de la lionne et de l'amener dans leurs appartements. Lorsqu'ils rentrèrent dans la suite, Drago pressa doucement ses lèvres contre celle d'Hermione, un baiser presque doux, presque humain de sa part.

« Tu m'utilise, Granger» dit-il en la ramenant part les hanches vers lui en fermant la porte.

« Pardon? » S'étonnait Hermione. « Ce n'est pas toi qui vas devoir te satisfaire chaque instant et un beau jour! mettre au monde un enfant qui je l'espère ne sera pas aussi….. fermé d'esprit que son père. Et tu oses me dise que je t'utilise Malefoy? »

Pendant que la lionne avait braillé comme un âne, l'héritier de la famille Malefoy avait détaché la robe de soirée de la jeune femme. Il était subjugué par le corps de sa femme ainsi que la tenue en dentelle verte émeraude plutôt en très fine dentelle que ses yeux lui permettaient de voir.

« Tu m'as utilisé pour ne pas être confrontée à tu-sais-qui, Granger. Ne me prend pas pour un débutant» dit-il en détachant le soutien-gorge d'Hermione avec une seule main.

« Oh… ça… oui… je… euhhh» bégaya la lionne.

« Granger, je ne crois pas que tu vas réussir à me faire jouir en bégayant de la sorte. Mets ta bouche entre mes jambes pour te faire pardonner.» dit le blond en s'asseyant sur le canapé en enlevant sa ceinture de pantalon.

Hermione n'avait pas d'autre choix de s'exécuter à la demande de son mari. Elle se sentait sale d'être contrainte à ce genre de pratique qu'elle ne souhaitait pas faire. Sa bouche vient capturer le membre ferme de son mari, c'est ainsi que des gémissements de plaisir se fit entendre dans la pièce, jusqu'à l'extase. Il força Hermione à lui nettoyer son sexe avec la langue, quand le serpent fut satisfait. Chose qui le fit frissonner.

« Monsieur, est satisfait?» Demanda Hermione en se redressant allant se laver la bouche dans la salle de bain.

Drago ne répondait pas, quand elle eut fini de mettre le dentifrice sur sa brosse à dents, la lionne passa sa tête dans l'encadrement de la porte avec sa brosse à dents en bouche, pour apercevoir ce que faisait son bourreau. À sa grande surprise, il n'était plus là.

« Par Merlin, qu'est-ce-qu'il m'énerve! IL EST SERIEUX A ME LAISSER SEULE COMME ÇA! APRES CE GENRE DE CHOSE!». S'énerva l'ancienne Gryffondor en crachant le dentifrice dans le lavabo avant de se rincer la bouche.

Elle se déshabillant par la suite, ouvrant l'armoire de la pièce. La lionne ne remarqua aucune affaire lui appartenant et uniquement des tenus d'homme. Dans un soupire, elle prit une chemise blanche, l'enfila avant de se jeter sur le lit moelleux. Hermione s'emmitoufla dans les couvertures afin de rejoindre d'épuisement bras de Morphée se posant toujours la question d'où était passé son Mari.


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