Epilogue : le choix d'une vie : rideau !
Titre : le choix d'une vie
Source : GRAVITATION
Auteur(e) : Lysanea (lysaneahotmail.fr)
Genre : yaoi, romance.
Disclamer : aucun des personnages ne m'appartient sauf pour ce chapitre ceux que j'ai inventé comme les journalistes et le frère de Shuichi, Akitoshi.
Résumé : petite fic qui fait suite à ma précédente fic, The Gravity Tour. L'histoire se passe presque un an après l'épilogue, donc en fait Yuki et Shuichi sont ensemble depuis 4 ans et dans un an, Shuichi, Hiroshi et Fujisaki arrêtent leur carrière de chanteur pour se consacrer à leurs vies. Yuki a déjà une idée de son avenir avec Shuichi, et ma fic raconte donc la manière dont il va lui présenter les choses…
Epilogue : Le choix d'une vie : Rideau !
Pairing : Shuichi/Yuki.
Personnages : Shindo Shuichi (chanteur des Bad Luck), Yuki Eiri (écrivain et amant de Shuichi), Hiroshi Nakano, (guitariste des Bad Luck et meilleur ami de Shuichi), K (manager des Bad Luck), Sakano (producteur des Bad Luck), Fujisaki Suguru (pianiste des Bad Luck), Hisae Shindo (sœur de Shuichi), Akitoshi Shindo (Aki-chan, frère de Shuichi) (Tohma (Seguchi Tohma, PDG de NG Productions, ancien pianiste des Nittle Grasper), Sakuma Ryuichi (chanteur des Nittle Grasper et ami de Shuichi).
Epilogue : Le choix d'une vie : Rideau !
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La salle de conférence de NG Productions était pleine. Shuichi, Hiroshi et Fujisaki se regardèrent et s'encouragèrent d'un sourire avant d'entrer et de prendre place sur l'estrade, derrière les tables aménagées pour l'occasion. Tomha, K, Sakano, Sakuma Ryuichi, Ayaka, Hisae et Yuki les regardèrent s'installer depuis une tribune au premier étage.
- Konnishi wa, salua Shuichi d'un voix assurée, en balayant la salle du regard. Merci d'être là pour Bad Luck, encore une fois. Je suis Shindo Shuichi, le chanteur.
Cette présentation s'était révélée très vite inutile, mais elle restait d'usage, aussi s'y pliaient-ils.
- Konnishi wa, reprit Hiro, merci d'avoir répondu présent. Je suis Hiroshi Nakano, le guitariste.
- Konnishi wa, termina Fujisaki, merci pour votre présence. Je suis Fujisaki Suguru, le pianiste.
Shuichi reprit la parole.
- Nous avons convoqué cette conférence de presse pour deux raisons. Nous venons annoncer, dans un premier temps, que les concerts de Bad Luck, qui se répartiront entre Zepp Tokyo, le NHK Hall et le Nihon Budokan, seront au nombre de trois , c'est à dire un par salle.
- Les personnes ayant réservés leurs places pourront, à partir de demain à 14h, choisir leur salle, continua Fujisaki.
Une journaliste demanda la parole.
- Concernant la programmation de ces concerts, peut-on en savoir plus ? Le répertoire concernera-t-il uniquement votre quatrième album ?
- Non, nous souhaitons faire découvrir d'autres morceaux de notre quatrième album pour ceux qui n'en auraient pas eu l'occasion, mais nous reprendrons les succès de nos précédents albums, répondit Shuichi.
- Il y en a beaucoup, le choix ne va pas être facile, intervint un autre journaliste. Sur quels critères allez-vous vous baser ?
- Nous allons mettre à contribution notre public. Vous êtes appelés à nous communiquer vos chansons préférées via notre site internet. Celles qui obtiendront le plus de votes composeront notre répertoire.
Des murmures d'approbation accueillirent cette nouvelle.
- Dans une précédente intervention, Seguchi Tohma, le Président de NG Production, a refusé de nous en dire plus concernant le nombre de concerts annoncés. Pensez-vous réellement pouvoir contenter tous vos fans en trois jours, malgré les capacités non négligeables des structures mises à disposition ?
Shuichi ferma les yeux et inspira profondément. Le moment était enfin venu.
- Votre question nous renvoie à la deuxième raison de notre présence ici, finit-il par répondre en ouvrant de nouveau les yeux. Il y aura un quatrième concert, le dernier des Bad Luck. Etant donné son caractère exceptionnel, il aura lieu au Tokyo Dôme.
Un silence pesant accueillit ses paroles.
- Il l'a fait, murmura K, du haut de la tribune.
- Tu avais gardé l'espoir jusque là, s'étonna Sakano. N'as-tu donc pas aperçut sa détermination quand il a gagné l'estrade ?
- Quel gâchis… Peut-être les journalistes arriveront-ils à le convaincre ?
- Tu te fais du mal, K, intervint Tohma. Ecoute donc leurs questions, elles n'ont aucun pouvoir sur lui.
Une journaliste demanda la parole.
- Shindo-san, venez-vous d'annoncer que les Bad Luck cesseront de donner des concerts, pour se concentrer sur un travail plus régulier en studio ?
- Je viens d'annoncer que Bad Luck se retirait. Après cinq ans d'une carrière plus que satisfaisante, nous considérons tous les trois qu'il est temps de passer à autre chose. Donc nous nous séparons.
Des murmures s'élevèrent.
- Vous êtes au sommet de vos carrières, comment pouvez-vous envisager une telle chose ?
- Nous avons commencé notre carrière très jeune, expliqua Fujisaki. Bien avant ma majorité en ce qui me concerne, je vous rappelle que je viens seulement d'avoir vingt et un ans. J'avais donc à peine seize ans au début de cette aventure, Hiro-chan et Shui-chan dix-neuf ans. Nous avons vécu une belle aventure, mais il n'a jamais été question de vivre ça toute notre vie. Une carrière dans la musique exige beaucoup de sacrifices.
- Que comptez-vous donc faire ?
Shuichi laissa Hiro répondre en premier.
- Personnellement, je suis fiancé à la plus belle fleur qu'ait donné Kyoto au Japon. Notre mariage sera célébré bientôt, et je refuse de laisser cette fleur se faner. Jusqu'à aujourd'hui, je n'ai vécu que par et pour Bad Luck. J'aimerai aujourd'hui construire ma vie hors de cet univers.
- Beaucoup d'artistes ont une vie de famille.
- Grand bien leur fasse, je ne souhaite pas partager ma vie entre Bad Luck et mon épouse. Je l'ai fait pendant cinq ans en étant fiancé, je sais à présent ce que je veux et ce que je ne veux pas.
- Bad Luck exige la première place, intervint Shuichi, il requiert toute notre attention et notre énergie. Si ces conditions ne peuvent être remplies, nous risquons fortement de décevoir nos fans et les espoirs de ceux qui comptent sur nous et notre travail.
- Nous souhaitons laisser le meilleur souvenir, c'est pourquoi que nous arrêtons là notre carrière, compléta Fujisaki.
- Nakano-san nous a donné sa réponse, pouvons-nous avoir la vôtre ? Shindo-san, Suguru-san, que comptez-vous faire ?
Shuichi fit signa à Fujisaki de répondre en premier.
- Je souhaite simplement poursuivre mes études en restant dans le domaine de la musique, et continuer d'être pianiste. J'entre à peine dans l'âge adulte, j'ai le temps de décider de l'orientation de ma vie, et de tirer les enseignements de ma carrière au sein de Bad Luck.
Tous les regards convergèrent vers Shuichi.
- En ce qui me concerne, je suis un peu dans la même situation qu'Hiro-chan. J'ai deux amours dans ma vie, mon compagnon et mon groupe. J'ai partagé ma vie pendant cinq ans entre mes deux passions et j'ai vraiment été très heureux. Mais aujourd'hui, je vous l'ai expliqué un peu plus tôt, ce n'est plus possible. Alors j'ai fait mon choix. J'espère que notre public et nos fans nous comprendront et nous pardonneront d'avoir choisi de construire nos vies plutôt que de remplir la leur de notre musique et de nos rêves. Nous resterons avec eux, tant que notre musique sera écoutée, ils nous garderont auprès d'eux.
- Shindo-san, d'après vos dires, Yuki Eiri est donc responsable de votre décision.
Le regard de Shuichi figea le journaliste sur son siège. Mais ce fut sans colère qu'il répondit.
- Yuki n'est en rien responsable, il ne m'a jamais rien demandé. Ne cherchez pas les responsables et les causes de cette décisions ailleurs, vous les avez tous les trois en face de vous.
- Pourtant, vous avez choisi Yuki Eiri plutôt que votre carrière, mettant ainsi fin à Bad Luck… intervint un autre journaliste.
Le chanteur tourna son regard violet vers lui, le faisant déglutir avec peine.
- Vous venez d'insulter mes deux amis ici présent. Je ne suis pas Bad Luck, nous sommes Bad Luck, et c'est Bad Luck qui a pris cette décision, articula-t-il lentement. Vous avez entendu nos raisons respectives, elles se valent. J'espère pour vous ne jamais trouver le nom de Yuki Eiri utilisé à tort. Vous avez eu l'occasion, durant ces cinq ans, de constater dans quel état cela me mettait et vous en avait peut-être même subit directement ou non les conséquences.
Certains journalistes, se sentant visés, se firent tout petits.
- N'empêche, Yuki-san, tu ferais mieux de ne pas te montrer pendant un moment, certains fans risquent de ne pas apprécier la décision de Shui-chan et chercher le responsable pour passer leurs nerfs dessus, remarqua K depuis la tribune.
- Je les attends, répliqua l'écrivain froidement., alors que les questions continuaient de pleuvoir en bas.
- Il est temps pour nous d'intervenir. Sakano-san, K-san, avec moi, décida Tohma à leurs côtés en prenant l'escalier pour rejoindre la salle. J'ai déjà connu cela avec Nittle Grasper, il est dangereux de les laisser poursuivre.
Le PDG de NG Production laissa Hiroshi terminer de répondre à une dernière question avant de s'avancer.
- Mesdames, Messieurs, je vous remercie d'avoir répondu à cette convocation. Il est temps pour moi de clore cette conférence et de laisser nos artistes se retirer. Leur producteur Sakano-san, leur manager, K-san et moi-même vous accordons quelques instants pour répondre à vos questions. Shindo-san, Nakano-san, Suguru-san, arigato, termina-t-il en se tournant vers les membres du groupe, qui se levèrent.
- Merci encore d'être venus pour Bad Luck, remercia Shuichi au nom du groupe.
Les trois artistes quittèrent la salle sous les multiples flashs et laissèrent la place aux professionnels de NG.
Ils gagnèrent une salle au premier étage où ils retrouvèrent leurs amis.
Un peu plus tard, Tohma, K. et Sakano les rejoignirent.
- Ca aurait aussi pu finir comme ça, remarqua K. en regardant d'un côté Hiro et Shuichi qui parlaient et riaient avec Sakuma Ryuichi, et de l'autre Yuki et Ayaka qui discutaient. On ne serait alors pas en train de parler de l'enterrement de Bad Luck.
Tohma soupira en s'avançant.
- On ne parlerait peut-être pas du tout de Bad Luck, K, alors remets-toi, s'il te plaît. Je retourne dans mon bureau, si quelqu'un souhaite me parler… annonça-t-il plus haut.
Shuichi s'avança et lui tendit la main.
- Merci beaucoup, Tohma, pour tout.
- Je ne sais pas qui doit le plus à l'autre, répliqua-t-il en lui serrant la main, mais le regard appuyé sur Yuki. C'est presque terminé, mais pas encore, nous avons trois concerts à terminer d'organiser, et un quatrième qui doit être inoubliable. Je compte sur vous tous.
Sur ce, il les quitta, accompagnée de Mika-san.
Shuichi se tourna vers Yuki, Ayaka et Hiro.
- Tu as entendu Tohma, on a du boulot, Hiro.
- On va vous laisser, leur dit Ayaka. Est-ce que…
La jeune femme fut interrompu par la sonnerie du portable de Shuichi.
- Gomen, dit-il avant de répondre. Moshi moshi ? Aki-chan ! Haï. C'est pas grave, t'en fait pas ! Il ne s'est rien passé de plus que ce qui a été retransmis à la télé, je suis sûr… Tu es toujours à l'aéroport ? Je peux être là dans vingt minutes… attends, demanda-t-il alors que Yuki lui posait la main sur le bras pour attirer son attention.
- Tu as du travail, ici, je vais passer chercher ton frère.
- Tu es sûr ? je peux m'absenter une heure…
- A quoi bon, je t'ai dit que cela ne me dérangeais pas.
- Je viens aussi ! décida Hisae en surgissant derrière son frère et en lui arrachant son portable. Aki-chan ! On vient te chercher, ne bouge pas ! Bisous bisous ! Tiens, Onii-chan…
Shuichi récupéra son portable, tandis que sa sœur courrait dire au revoir à son petit-ami. Il n'avait même pas eu le temps de protester contre l'attaque furieuse d'Hisae et regardait son portable, interdit. Yuki sourit devant son expression.
- Allons-y. Ayaka-chan, veux-tu que je te dépose au passage ?
- Haï, c'est gentil. Si je reste, mon Hiro-chan ne va pas beaucoup travailler.
- C'est bien vrai, répondit-il en l'embrassant. A ce soir.
Yuki tendit ses clés à Ayaka-chan.
- Je vous rejoins.
- Très bien. Hisae-chan ?
- Je te suis ! dit la jeune fille en abandonnant Fujisaki.
Sakano et K. s'approchèrent alors.
- Allez les artistes, au boulot ! Ryui-chan veut te faire partager son expérience des shows à l'américaine pour t'inspirer le concert au Dôme.
- Sugoï ! J'arrive tout de suite. Arigato, Ryui-chan.
Tout le monde sortit, laissant Yuki et Shuichi enfin seuls. Le chanteur s'assit au piano et joua quelques notes.
- Ca va ? demanda l'écrivain en posant ses mains sur ses épaules.
- Très bien, répondit-il en se laissant aller en arrière contre lui. Je me sens libéré d'un poids. Mais je sais que je me sentirai vraiment libre le lendemain du dernier concert. J'ai hâte d'y être !
- Aucun regret ?
Cette fois, Shuichi se leva pour lui faire face, pour qu'il put lire dans ses yeux la sincérité de sa réponse. Yuki rencontra un regard franc et déterminé qui le rassura.
- Aucun. Bad Luck a fait son temps. Trois albums, un album live, des clips, des émissions hallucinantes, un dvd, des centaines et des centaines de concerts à travers le pays, pas mal à l'étranger, j'ai vraiment tout exploité, je sais que cela ne peut rien m'apporter de plus. Alors qu'une vie à tes côtés ne peut que me rendre heureux de jour en jour. C'est déjà ce qui arrive, alors qu'à chaque fois je me dis que je ne peux pas être plus heureux, que le degré au-dessus n'existe pas.
- Nous n'en sommes qu'au début, Shui-chan, notre vie n'a même pas réellement commencée, même si nous avons déjà tant vécu et partagé.
- C'est ce qui me fait dire avec autant de certitude que j'ai fait le bon choix. J'ai réalisé tous mes rêves de chanteur avec Bad Luck. Ils me reste les nôtres, à tous les deux, se marier, fonder une famille. Je deviens impatient, tu sais. J'ai tellement envie que ce dernier concert arrive et se termine, que le mariage d'Hiro et d'Ayaka ait lieu, qu'on puisse s'envoler pour le Canada et se marier à notre tour, soupira-t-il en se saisissant de sa main droite où un anneau doré faisait écho à l'anneau aux reflets roses de sa propre main droite.
- Tu as tenu toutes tes promesses durant les cinq premières années de notre relation, Shui-chan, tout ce que tu m'as laissé entrevoir et espérer est arrivé. J'attends la suite avec impatience, j'ai vraiment hâte d'y être, assura-t-il avant de l'embrasser.
Un long et langoureux baiser qu'ils eurent encore une fois bien du mal à interrompre.
- Nous sommes attendus, rappela Yuki. Que tu fasses poireauter K. ne me dérange absolument pas, mais ton frère, ça me pose problème…
- Haï. Une dernière chose, Eiri-chan... Tu… Tu crois qu'on arrivera à adopter des enfants ?
Yuki déposa un baiser sur son front.
- Nous allons mettre toutes les chances de notre côté, faire tout ce qu'il faut. Depuis qu'on est ensemble, espérer ne me fait plus peur. On y arrivera, Shui-chan. On l'aura, notre famille bien à nous. Je te le promets.
Shuichi sourit et l'embrassa une dernière fois.
- Arigato, Eiri-chan.
- Sans vouloir voler les mots de Tohma, je ne sais pas qui doit le plus à l'autre. Je t'aime, Shui-chan.
- Je t'aime, Eiri-chan. Aller, je t'accompagne à l'ascenseur, pour embêter encore K. et Sakano. Si on reste encore, ça risque de finir sur la banquette.
- Encore une fois, cela ne me déplairait pas, s'il n'y avait pas mon futur beau-frère à l'aéroport, dit-il en lui volant un dernier baiser.
Shuichi sourit alors que Yuki passait un bras autour de ses épaules. Lui-même entoura sa taille, passant son bras sous sa veste. Ainsi, ils quittèrent la salle et traversèrent le couloir jusqu'à l'ascenseur.
- A ce soir, Shu-chan. Bon courage.
- A ce soir. Fais attention à toi, Eiri-chan.
Un dernier baiser et l'ascenseur se referma. Shuichi rejoignit son équipe, tandis que Yuki gagnait le parking où les commentaires fusèrent autant que dans le studio.
La fin de l'année 2005 vit Shuichi et Eiri Uesugi fêter leur première année de mariage et leur premier Noël au Canada, étant retourné au Japon l'année d'avant pour être en famille.
En cadeau, ils reçurent une réponse favorable à leur demande d'adoption.
Ainsi, la petite Naomi entra dans la vie des deux hommes.
Naomi, un prénom qu'on trouvait en Amérique et en France mais aussi au Japon où il signifiait « ma joie de vivre ».
Avant même de la rencontrer, ils avaient su que ce serait elle.
Et lorsqu'on leur avait présenté la petite fille de cinq ans, si belle avec ses boucles blondes et ses yeux violets, ils avaient compris qu'ils avaient vu juste et acceptèrent les signes du destin…
FIN
Notes de fin :
Voilà, c'est fini, j'espère que ça aura plu au plus grand nombre. N'hésitez pas à me laisser des commentaires, bonnes ou mauvaises critiques, je prends tout si c'est constructif bien sûr (dire a quelqu un c nul sans expliquer ca fait avancer personne, non ?) Merci pour tous ceux deja reçus !
L'histoire de la petite Naomi, blonde aux yeux violets peut sembler un peu tirée par les cheveux, mais je crois aux signes du destin et vu que c'est moi l'auteure, je peux jouer ! c'est pas comme si j avais écris qu'ils avaient été contactés par une secte qui leur avait proposée de prélever leurs gênes pour faire un bébé en labo qui leur ressemblerait…
J'ai essayé d'être la plus précise possible pour le voyage au Canada pour que ca paraisse plus réel, j'ai rien inventé pour le coup, tous les lieux existent. J'espère juste que ca fait pas trop carnet de route !
De même pour la chronologie, j'ai respecté le fait que l'histoire originale se passe en 1999-2000 (cf dans l'animé la date du Tokyo Bay Music Fes.), donc j ai pu arrêter le récit de leur vie à le fin de l'année 2005. J'ai fait attention à ce que ca coïncide avec la réalité, pour les visites par exemple, et aussi pour le mariage et l'adoption pour les couples gay, la loi canadienne.
Comme vous pouvez le constater j'ai fait pas mal de recherches pour cette fic alors svp soyez indulgents ! ca veut pas dire que vous pouvez pas critiquer, mais bon, un peu de délicatesse onegaï…
Arigato !
Lysanea
Notes rajoutée en mai 2007 : je rajoute cette note parce qu'après avoir écrit cette fic, la deuxième, j'en ai écrit d'autres, (dont une qui se passe avant) et on s'y perd vite (ce que j'en ai conclu des mails et reviews recus lol) alors si ça vous intéresse de lire la suite ou des épiosdes de la vie de nos deux amoureux, voici l'ordre :
The Gravity Tour - La menace du Rival, le malentendu - (Le choix d'une vie) - Grandir, c'est dire je t'aime - Et maintenant.
Si vous voulez en savoir plus, je vous invite à aller sur mon profil. Kisu et merci d'avoir lu ! Lysa
