Titre: prisonnier de l'âme
Base: gundam wing, ça me parait évident
Disclamer: le jour où ils seront à moi j'invite toutes les fanfiqueuses et ma Bêta lectrice pour une grande teuf.
Pas «encore» à moi.
Nota béne: je pense que je vais faire cette fic axée sur le couple Trowa X Quatre, que je dédie à ma bêta lectrice qui a BEAUCOUP de courage pour corriger mes fautes d'orthographe. Avec en arrière plan, Heero X Duo, bien entendu.
Je ne peut pas vous promettre de rester axé sur le couple 03X04, mais je vais essayer, sur ceux…
Dites moi si je dois la continuer ? si elle vous plait ?
Bonne lecture et reviews please,
Chapitre 1:
POV de Quatre
Bonjour je m'appelle Quatre Raberba Winner, j'ai dix-sept ans et je suis l'unique fils de Charles Duncan Raberba Winner et sa femme Nadia Rose Raberba Winner, j'ai aussi vingt-neuf sœurs qui sont toutes dans la vie active. Vingt-neuf sœurs qui m'ont prit pour un poupon jusqu'à ce qu'elles quittent la maisons familial. Aujourd'hui elles sont presque toutes mariées, on un bon travail et certaine ont même des enfants.
Quant à moi une fois que j'aurais atteins ma majorité, je suis sensé reprendre l'entreprise familial, la «Winner entreprise», qui est implantée dans différents endroits du globe terrestre. C'est une très grande entreprise qui a des actions dans presque tout les pays du monde. Elle traite ses affaires avec, le plus souvent, le Japon, l'Amerique, l'Europe et le Royaume de Sank.
C'est une entreprise qui ne serra pas facile à gérer mais j'en ai les capacités d'après mon père: Je suis bon meneur, un grand tacticien, mon QI est supérieure à la moyen et à l'âge de mes douze ans j'avais déjà obtenu le bac avec mention très bien. J'étais donc tout destiné à reprendre l'entreprise, bien que ce ne soit pas ce que je souhaite.
C'est sans doute pour ça que le jour de mes quatorze ans, je n'ai pas trouvé que ce qui m'arrivait était si terrible. Bien sûr j'avais mal, très mal : c'était comme si des milliards d'aiguilles transperçaient mon âme continuellement et je ne pouvais pas y échapper. J'étais prisonnier de mon âme, prisonnier de celles des autres…
La petite dernière (avant moi bien sur), Iria, est infirmière et compte passer un concours d'infirmière psy. Vous vous demandez sans doute pourquoi ?
Et bien c'est assez simple, ma sœur Iria est celle qui m'aime probablement le plus.
Et le jour de mes quatorze ans, ce jour que ma famille trouve si tragique, j'ai fait la crise d'empathie la plus forte que j'ai connue. Je sentais le monde, ou plutôt j'en avais l'impression. Je sentais la peur, l'euphorie, la colère, la sagesse, l'inquiétude, l'indifférence, la tristesse, la joie, la mort, la vie… tout ces sentiments tellement différents et tellement semblables à la fois. Mon coeur cognait de plus en plus vite dans ma poitrine. J'avais peur, je ne comprenais pas ce qui m'arrivait, je voulais que ça s'arrête… et ça c'est arrêté en même temps que mon cœur.
Ma sœur Iria à fait repartire mon cœur puis ils ont appelé un médecin spécialisé dans les problèmes mentaux. Le médecin leur a dit qu'il fallait m'isoler dans un lieux clos, insonorisé, blindé. Un lieux où l'extérieur ne pourrait plus m'atteindre et où je ne pourrais plus atteindre l'extérieur. Un hôpital psychiatrique, dans une chambre d'isolement, comme celles des fous que l'on doit camisoler car trop dangereux pour leur entourage et eux même.
C'est comme ça que depuis trois ans maintenant, je suis enfermé dans cette pièce blanche, aux murs matelassés, isolé du monde, isolé de tout. Je suis enfin seul dans ma tête et j'apprécie ce repos de l'âme qui m'ait offert mais je suis seul tout cours, personne pour me parler, personne pour me réconforter, enfin…
Si Iria veut devenir infirmière psy, c'est pour m'aider, me faire sortir de cet endroit, cet endroit si triste, si vide.
La solitude me pèse mais que puis-je faire contre cela ? Si un médecin, un infirmier ouvre cette porte, je sens le monde et toute sa souffrance, toute sa joie. Je le ressens entièrement et ça me fait peur autant que ça me fait mal. A chaque fois que cette porte s'ouvre il n'y a que trois possibilités de réaction chez moi:
Je me retrouve prostré dans un coin, me balançant d'avant en arrière, suppliant, criant pour que cette douleur s'arrête, pour que les gens arrêtent de me faire souffrire, qu'ils arrêtent de me donner leurs sentiments… je ne sais pas vraiment ce que je dis, je souffre tellement dans ces moments là. Je suis réellement prisonnier, je ne peux pas échapper à la douleur.
Ou alors je regarde la personne en face de moi et… moi je ne sais pas mais j'ai entendu dire que je me prenais pour la personne qui se trouvait en face de moi. Qu'on pouvait m'interroger : j'étais cette personne, son âme était en moi, et moi, je ne sais pas, je suis prisonnier, prisonnier de cette âme étrangère.
Et enfin, le plus simple : je fais une crise cardiaque, ni plus ni moins.
A mes quatorze ans j'étais brun aux yeux bleus. Un peu enveloppé (environ soixante-dix kilos pour un mètre soixante), capricieux et enfant gâté, arrogant même. Je ne jouais pas dans les rues, j'avais des jeux d'adulte: le cours de la bourse, jeux d'échec, golf, soirée mondaine…
Ce n'était pas vraiment des jeux mais pour moi, à l'époque, si. Il n'y avait pas meilleur divertissement.
Je regardais les gens de haut, les jugeais sans même les connaître, leur coller une étiquette.
Voilà ce que j'étais. Un vrai gosse de riche dont on a envie de foutre des claques juste pour son attitude.
Mais aujourd'hui, à cause ou grâce à cette crise d'empathie, j'ai changé… je suis blond, toujours les yeux bleus, mais je suis devenu mince (sans doute cinquante-deux kilos) et un peu plus grand (un mètre soixante-huit, paraitrait-il).
Je suis calme, posé. Je pense être généreux. Mais qu'ai-je à offrir dans cette prison blanche ?
J'aime écouter les gens parler, j'aime apprendre d'eux et leur apprendre ce que je sais, j'aime m'amuser simplement, je ne juge plus les gens au premier regard, j'essaye de les comprendre…
Mais je suis seul. Toujours seul. Enfin…
Fin du POV
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Dans le bureau de direction de l'hôpital psychiatrique de Pierrefeu.
/Un jeune homme brun, une longue mèche lui couvrant la moitié du visage, visage plutôt fermé, distant, de beaux yeux émeraude, un corps plutôt fin (sûrement devait-il peser dans les cinquante-six kilos pour un mètre quatre-vingt-deux) dans les vingt-trois ans, pas plus/
Se dit la secrétaire, qui le regardait, fasciné par la beauté du jeune homme.
- Bonjour, que désirez-vous?
Se reprit-elle.
- Bonjour, je m'appelle Trowa Barton et j'ai un rendez-vous avec messieur Kusherenada, au sujet d'un entretien d'embauche, pour le poste d'infirmier psy.
Dit-il d'un voix neutre, énonçant tout les fait pour ne pas devoir parler une fois de plus.
Effectivement, Trowa Barton, comme le pensait la secrétaire, n'avait que vingt-trois ans, il venait d'achever sa formation deux semaines auparavant et voulait entrer le plus vite possible dans la vie active.
C'est pourquoi il avait prit rendez-vous dans cet établissement. L'un de ses meilleurs amis, Milliardo Peacecraft, connaissait très bien le directeur Treize kusherenada et il lui avait assuré que l'établissement était très bien tenu, que le cadre de travail était respecté, le salaire correcte… et que justement il allait mettre une annonce pour rechercher un nouveau infirmier/infirmière psy.
Il n'aimait pas vraiment cette façon de faire. Il avait l'impression d'être pistonner et c'était quelque chose qu'il n'appréciait pas vraiment. Mais il n'avait jamais travaillé alors, il ne pouvait sans doute pas se montrer difficile pour un premier emplois. Et puis ce n'était pas sûr qu'il soit prit. N'est-ce pas ?
La secrétaire regarda son agenda puis hocha lentement de la tête.
- Effectivement, attendez cinq minute je vous prie.
Elle prit un téléphone, y tapa deux chiffres puis la secrétaire parla une nouvelle fois mais au combiné.
- Monsieur Kusherenada, le jeune Trowa Barton avec qui vous avez rendez-vous viens d'arriver. Dois-je vous l'envoyer ?
-- Oui, faite le entrer. --
Elle reposa le combiné et se leva.
- Suivez moi je vous prie.
La secrétaire toqua à la porte du directeur, annonça le méché puis partit rejoindre son fauteuil.
¤¤¤¤¤
Trowa entra dans la pièce, salua le directeur qui fit de même en lui proposant de s'asseoir, se qu'il fit.
- Je suis ravi de faire enfin votre connaissance Trowa, Zechs (1) me parle souvent de vous. Mais bon, nous ne somme pas là pour ça.
Commença t'il.
- Je suis assez impressionné par votre C.V.. Vous avez eu votre Bac avec mention très bien, avez ensuite suivit la formation d'infirmier, et vous étiez le meilleur de votre promotion (vous aviez une moyenne de plus de dix-neuf, ce qui est très rare dans ce genre de formation). De plus vous avez continué un an de plus pour vous spécialisez psy où là encore vous étiez le meilleur de votre formation. Vous l'avez terminé il y a deux semaines et déjà vous cherchez du travail alors que d'autres en auraient profité pour se reposer un peu.
Trowa rougit un peu sous cette avalanche de compliments. Il n'avait pas vraiment l'habitude d'être complimenté et pour lui son travail était normal, même justifié.
Le directeur reprit.
- J'avais l'intention de faire paraître une annonce dans le journal pour justement chercher quelqu'un mais vu votre C.V., la seule chose que je pourrais vous reprocher c'est votre manque d'expérience. Mais en même temps si vous ne travaillez pas, vous n'en aurez jamais, ne croyez-vous pas ?
Trowa se contenta d'hocher la tête. Il aimait bien la façon de penser de Treize, son ami avait raison, il aimerait sûrement travailler dans cet établissement.
- Dans ce cas là, je vous demanderais de revenir lundi prochain…
Treize et lui continuèrent de parler un peu des modalités concernant le travail puis un CDI fut signé.
Le directeur lui parla des patients qu'il aurait à sa charge. Visiblement chaque infirmier avait «son» patient, sûrement pour le mettre en confiance, avait pensé Trowa.
Deux noms avaient attiré son attention : un empâte, du nom de Quatre Raberba Winner (le directeur avait hésité à lui confier ce patient, avait-il remarqué, mais l'air calme qu'affichait Trowa l'avait convaincu de lui donner ce patient.) et puis un cas de schizophrénie, un dédoublement de la personnalité paraît-il, du nom de Duo Maxwell.
Le directeur lui confia les données sur ces patients et lui souhaita une bonne journée et un "à la semaine prochaine, lundi huit heures sans faute". Ce à quoi Trowa avait répondu qu'il n'y manquerait pas.
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Une fois rentré chez lui, Trowa s'assit dans son fauteuil, heureux d'avoir déjà un travail dans un bon établissement.
Il envoya un rapide texto pour prévenir Zech, qui devait encore être au travail, puis il commença à ouvrir les dossiers.
Il commença par les deux noms qui avait attiré son attention.
- Quatre Raberba Winner
De sexe masculin
Age d'entrée: quatorze ans
Age actuel: dix-sept ans
Age de sortie estimé: …
Est placé en chambre d'isolement.
Atteint d'un «don d'empathie»
Le jeune homme ne supporte aucun contact avec le monde extérieur.
Son empathie lui inflige des grandes crises d'angoisse.
Certain dédoublement de la personnalité, qui sont dût, selon les médecins, à un contact avec une personne de faible résistance mental.
A subit plusieurs crises cardiaques qui on finit par lui provoquer un décoloration irréversible.
Parvenir à lui faire dresser des barrières mentales pourrait être une solution mais aucune personne ne peut l'approcher sans le mettre dans un état de crise. L'isolement semble être le seul remède pour l'instant.
Trowa referma le dossier et réfléchit quelques instants. Treize avait dût penser qu'il était quelqu'un de calme et donc que le jeune héritier ne risquait pas de faire de crise avec lui. Peut-être avait-il raison, mais il verrait lundi et agirait en conséquence. Il essayerait de trouvais une solution : ce pauvre garçon avait vécu trois ans dans une cellule d'isolement, il devait se sentir bien seul et triste.
Trowa ouvra le second dossier.
- Duo Maxwell
De sexe masculin
Age d'entrée: sept ans
Age actuel: seize ans
Age de sortie estimé: …
Placé en chambre individuelle blindée.
Suite à la mort de ses parents et de son frère aîné lors d'un accident de voiture, l'enfant a été dans le coma pendant deux mois. A son réveil, les médecins ont constaté que l'enfant ne se souvenait plus de l'accident jusqu'à ce qu'une seconde personnalité apparaisse. Celle-ci se rappelait dans les moindres détails l'accident et a montré une grande force de destruction. L'enfant a dût être immobiliser pour éviter qu'il ne continue de tuer les personne présents dans la pièce et qu'il ne détruise plus le mobilier.
La personnalité la plus présente est celle de l'enfant joyeux mais aucun progrès n'a été fait : il refuse de se confier et continue d'ignorer la mort de ses proches. L'autre personnalité ne fait son apparition que très rarement et se montre toujours autant meurtrière et destructrice : elle est très dangereuse.
Trowa referma ce dossier aussi et se dit qu'effectivement cet emploi allait lui plaire mais qu'il n'allait pas être de tout repos. Il ne voyait pas vraiment comment forcer le patient à lui parler pour régler son problème, mais peut-être que quand il le verrait, ça serait plus simple.
Il continua de lire les différents dossiers. Une fois terminé, il alla prendre une douche et se coucha. Il avait hâte d'être à lundi.
A suivre...
(1) c'est le surnom de Milliardo, dans ma fic. Pas très original, je sais --°
alors qu'est ce que vous en avez pensés, ne ? je la continue ou pas ?
pareil que pour "Diary's", il parrait qu'il y a des problème pour laisser des reviews, donc si vous vouler m'en laisser une mais que vous n'y arriver pas, écriver moi directement sur ma boite mail : aya-ranhotmail.fr (oublier pas l'arobase) vous voila infomer , kissou à tous
