Titre : Reporter Mokona

Auteur : lunny

Disclamer : Les personnages ne m'appartiennent pas et sont la propriété de Clamp. Le public, Godzilla (vous comprendrez dans le chap) et le caméraman pervers, ils sont à moi. (Public : Noooon ! caméraman pervers : on dit : oh oui plutôt, non ? Public : pervers !)

Résumé : Vous ne vous êtes jamais posé de question sur les non dessinés de Tsubasa Reservoir Chronicle ? Reporter Mokona est là pour vous répondre !

Genre : Humour et un peu de yaoi.

Avertissement : Du sous entendu yaoi et beaucoup de Mokona !

Note : Allez, je vais attaquer la question que tous vous vous posez ! (Comment ça non ?) Que font Yukito et Toya dans leur cuisine ! Gros délire en perspective ! Dans le principe, c'est un peu comme dans le chap précédent, mais en un peu plus louche.

Bonne lecture !

La jeune fille aux cheveux blonds et encore plus ébouriffés, sûrement du au fait que elle faisait partie de la partie, de la partie, de la partie…

Caméraman pervers : ça y est on a rayé le disque, on fait quoi ?

L'auteur : Si Mokona dansait pas dessus aussi…

Mokona : Mokona sait faire le moon-walk !

Caméraman pervers : Dégage ou je t'en fous une !

Mokona : Où ça ?

L'auteur : Je crois que je vais arrêter ce délire, sinon on va traiter mon caméraman pervers de Mokonaphile !

Caméraman pervers : T'es vachement possessif !

L'auteur : T'es vachement pervers ! Reprenons :

De la partie du public qui s'était imaginé des trucs pas très net, se leva encore une fois, et croisant les bras, elle dit :

-Je ne suis pas satisfaite de la réponse !

Mokona regarde la spectatrice hoche la tête et d'un air peiné dit :

-Toutes mes condoléances.

L'auteur qui arrive derrière Mokona avec un livre sur lequel est écrit : « Les mille et une façons de dresser son caméraman » (pourquoi j'ai l'impression que c'est pervers ?) se mettant à son niveau lui explique :

-Mokona, on dit ça quand quelqu'un est mort…

-Ah ! Il faut tuer quelqu'un ? demande la boule de poils.

L'auteur réfléchissant à la question :

-Ben, en fait…

-Non, il doit juste répondre désolé à l'autre pouf.

Le public moins une personne, remercie le caméraman pervers qui vient de sauver l'un des leur des griffes de l'auteur fou et du Mokona con, plusieurs lui souhaitèrent atteindre le paradis auquel répondit-il en demandant si les anges volaient vraiment nus, un pervers reste un pervers même si il vous a sauvé la vie. Enfin, une spectatrice lui souhaita l'enfer, celle qui avait été traité de pouf, elle n'avait pas apprécié, mais c'est bien un pouf ! Quand on s'assoit dessus, ben ça fait pouf d'où le nom et en plus c'est confortable, un peu gros mais confortable, oui, un pouf c'est bien ! Les gens n'ont plus aucune éducation de nos jours ! (j'ai l'impression de parler comme ma prof là…). Après une slave d'applaudissements, enfin Mokona répondit à la dite pouf :

-Je suis désolé.

La pouf au bord de l'hystérie :

-Mais j'en ai rien à cirer de ton désolé !

Auquel Mokona répondit galamment :

-Mais Mokona non plus, Mokona en a rien à faire de votre insatisfaction ! (il parle bien Mokona quand il veut.)

-Si ! Il faut que je sois satisfaite ! répliqua la pouf-je-t'emmerde-et-j'en-ai-rien-à-foutre.

L'auteur qui essaye de lire son manuel à l'envers (?) répond sans quitter des yeux la page qu'il regarde depuis deux minutes comme hypnotiser :

-C'est pas marqué Party le contrat de confiance ici ! On fait pas dans la charité, y a pas de remboursement, d'ailleurs vous avez pas payé !

La pouf pousse un cri de rage qui fait lâcher de surprise le manuel des mains de l'auteur. Manuel qui tombe et dévoile en plein milieu, ce que regardait l'auteur. Oh, un magasine sur le yaoï version 2 avec des images, ultra rare ! Le caméraman le prend jette un coup d'œil et lançant un regard pervers euh, non plutôt : sévère à l'auteur, il soupire :

-C'est pour ça que tu tenais ton manuel à l'envers…Je me disais aussi…

L'auteur reprend son bien et lance :

-Pas grave, je te le prêterais après.

Un nouveau cri de rage pour recentrer l'attention des spectateurs se fait entendre. Agacé, l'auteur lui lance un regard made in auteur en manque de yaoï et qu'on vient d'interrompre pendant son ressourcement, regard de la mort qui tue encore plus en bref. Exaspéré, il hurle presque :

-Bon, o.k du calme Godzilla ! Si tu tiens tellement à voir ce qui se passe, tu vas voir ! Mais c'est la dernière fois, on est des pros nous !(Et là bas ! Arrêtez de rire !) On a pas de temps à perdre pour une centenaire en manque ! (C'est méchant…)

Godzilla ne fait aucun commentaire, personne dans la salle ne fait un commentaire, enfin sauf le caméraman pervers qui demande :

-En manque de quoi ?

L'auteur répond avec un regard lubrique un air de toxico en manque, on ne dirait pas qu'il y a trois secondes il gueulait, le caméraman comprend, hoche la tête et se tournant vers Godzilla, il demande :

-ça fait combien de temps ? Un an, deux, peut-être dix ?

Godzilla ne répond pas, le caméraman s'exclame alors :

-Quoi ? Vingt ans, ça doit être horrible ! Moi, je tiens même pas une heure ! (Ce mec est un lapin, pas possible autrement !)

L'auteur plaint silencieusement les toilettes visités toutes les heures par la même personne…Puis, il se dirige vers Mokona et lui demande quelque chose à l'oreille, Mokona hoche la tête lentement quand il a finit. Il semble se concentrer pendant que le caméraman se vante de ses performances dans un lit, accessoirement dans une voiture, un pré, une moissonneuse batteuse, un mur, un bois, un bateau… Oui, un caméraman pervers est toujours tout terrain pour tout et pour… ben tout.

Mokona chuchote quelque chose à l'auteur, l'auteur hoche la tête, se lève et se dirige vers l'avant scène tandis que son caméraman pervers continue de raconter :

-On a faillit se faire chopper, en plus, on était à moitié mort, surtout grâce à mes capacités, bien sûr, ses capacités ne laissaient pas à désirer mais pas assez d'expérience, moi par contre je me suis tapé aux mo …

- Bon, coupe l'auteur qui sent que si son caméraman pervers continue on peut classer la fic M tout de suite. J'ai une annonce à vous annoncer (logique) nous avons trouvé après maintes et maintes recherches découvert un autre Yukito et Toya dans une autre dimension, je vais pas vous expliquer le système des dimensions, vous devez le connaître. Dans cette dimensions, nos deux spécimens (on dirait qu'on parle d'animaux…) sont cuisiniers. Mokona, le caméraman perv… le caméraman et moi allons nous rendre dans cette dimension. C'est tout.

Mokona qui entre temps avait tapé quelque chose sur le clavier appuie sur la touche entrée. Sur l'écran s'affiche :

Question du jour : Que font Yukito et Toya dans une pièce ensemble (bis)

Mokona crée un tourbillon, l'auteur et le caméraman et sa caméra y entre, Mokona les suit. Soudain, juste quand le portail inter dimensionnel va se fermer, une femme s'y jette. On l'appelait Godzilla… (j'ai mis du suspens dans ma fic ! yes !). Les spectateurs reportent leurs yeux sur leurs écrans qui s'allument, le grand s'éteint, laissant les spectateurs inquiets dans le noir.

On voit Mokona courir à travers les nombreux couloirs, on entend l'auteur :

-Ce resto est un vrai labyrinthe !

On entend le caméraman :

-Cours Forest ! Cours !

On entend le bruit d'un coup, soudain, Mokona s'arrêt devant une porte. Il reste silencieux. Puis il regarde la caméra et demande :

-Mokona se demande si c'est là.

La caméra bouge la tête, ou plutôt le caméraman avec la caméra, pour affirmer. Les spectateurs commencent à avoir le mal de mer. Enfin la caméra s'est arrêtée. Tout le mode regarde impatient. Mokona colle son oreille contre le panneau de bois. Il ne bouge plus et tout le monde retient son souffle. La caméra est posé par terre, enfin on entend :

-Hé tu connaissais cette position ?

-Non, je vais l'essayer la prochaine fois.

Mokona shoote soudainement la caméra. Elle pivote, on voit l'auteur et le caméraman accroupis, l'auteur tient le magasine sur le yaoï version 2 tandis que le caméraman regarde par dessus son épaule. L'auteur lève les yeux, tombe des yeux sur la caméra, fait un sourire un brin crispé et le caméraman se précipite vers la caméra qui retourne sur un Mokona fâché. Mokona se remet en position (arrêtez de vous imaginez des choses, voyons !) Son oreille plaqué contre la porte, on entend enfin une voix grave qui murmure :

-Arrête Yukito ! Si quelqu'un nous voyais ?

-Mais y a personne Toya ! Allez, s'il te plaît ! Supplie une autre voix un peu moins grave.

-Mais, t'imagines si on en trouve en train de faire ça ? Rétorque le premier.

-Maiiiis, pleurniche le second, j'ai envie !

-Y a pas de mais qui tiennes ! coupe l'autre.

-C'est pas juste ! Je te demande jamais ce genre de choses ! Et quand toi tu demandes je dis toujours oui ! chouine la victime d'une voix à faire pleurer une pierre, d'ailleurs dans la salle on sort des mouchoirs.

-Bon o.k, cède l'autre. Mais c'est la dernière fois qu'on fait ça au restaurant ! Qu'est-ce que je dois faire ?

-Enfile ça ! Ordonne l'ex pleurnichard.

On entend le bruissement de vêtements. Dans la salle, les gens se posent des questions, voici un rapide résumé :

Est-ce que cette fois, ça serait vrai, ils pourraient avoir des images en direct live ! Avec un aussi bon caméraman, il aurait du acheter des cassettes, mais qu'est ce qu'ils attendent pour ouvrir c'tte putain de porte, et puis, elle est passé où Godzilla ? Mais on en a rien à faire ! On va voir deux mecs en pleines actions, deux beaux spécimens en pleine reproduction, de pas grand chose, mais en reproduction ! On en a rien à foutre de cette centenaire en manque, veut la vidéo, veut la vidéo.

Bizarrement les glandes salivaires se mirent en marche dans la plupart des bouches grandes ouvertes devant leurs futures extases.

-Aïe ! Crie soudain une voix venant de l'écran.

-Je t'ai fait mal ? Interroge la voix la moins grave, celle de Yukito, on présume.

-Tu l'as enfoncé trop profondément. Explique l'autre.

Plus aucun doute ne persiste dans la tête des spectateurs. Oui, ils étaient en pleine action ! Et tous en chœur, ils pensaient : Mais ouvrez cette porte !

Mais, la caméra ne bougeait pas, Mokona ne bougeait pas. On entendit Mokona demander :

-On ouvre ?

Le caméraman pervers mais c'était plus un secret demanda, sûrement à l'auteur :

-Alors ?

On entendit la voix de l'auteur hésitante :

-Je sais pas… Pas envie de augmenter le rating… Puis faudrait pas choquer les spectateurs...

Spectateurs qui le maudissait jusqu'au plus profond de leur âme. Soudain, devant la caméra passe des cheveux blonds. Leur propriétaire se nommant Godzilla ( plutôt était nommé) ne tenant plus, avait surgit du coin noir où elle se cachait et ouvre la porte, laissant au spectateurs, caméraman, Mokona, auteur et elle même, le spectacle étrange.(Attention, ça devient grave là)

Debout sur un tabouret, Toya est dans une robe parfaitement rose bonbon. A ses pieds, avec une aiguille et un nécessaire de couture, Yukito parachève (je sais pas si ça dit mais je me rappelle plus du terme particulier) la robe. L'air très concentré, il coud des volants à la robe. Toya semble très mécontent mais se laissait faire. Finalement, il rouspète :

-Pourquoi moi ?

-Parce que tu fais la même taille que Primera-chan et qu'elle m'a demandé de fignoler sa robe de concert ! répond Yukito toujours concentré.

-Porter une horreur pareille… en public… Rouspète de nouveau le brun.

-Elle en a absolument besoin ! Précise l'autre en levant ses yeux vers le brun.

Fatale erreur car déconcentré, il ne vise plus très bien, ce qui fait que Toya s'exclame :

-Aïe ! Tu m'as encore piqué !

-Désolé, s'excuse l'autre.

Il se concentre sur le bas de la robe, tandis que l'autre jure. Soudain tout le monde entend :

-Quoi ! Si il a crié c'est à cause de l'aiguille ! Moi qui croyait que…

C'est Miss Godzilla, elle a gaffé, parce que de un, maintenant l'auteur, Mokona et le caméraman peuvent plus se barrer discrètement. Et que de deux, parce qu'elle vient de sous entendre qu'elle espérait autre chose. Mauvaise pioche pour elle en définitive. Toya et Yukito qui sont restés jusqu'ici interdits ose enfin parler, enfin, c'est Yukito qui parle, parce que même quand on est bien coordonnés, on comprend pas grand chose quand on dit quelque chose à deux, parler, on le fait pas à deux, on peut faire bien d'autres choses à deux, mais pas ça. Il dit :

-Mais que faîtes vous…

Il s'arrête en voyant Godzilla. Il la pointe du doigt un moment stupéfait, puis il murmure :

-Non, c'est pas possible !

Des étoiles s'éclairent soudainement dans ses yeux et il s'exclame :

-Vous faîtes exactement la même taille que Priméra ! Venez vous allez être mon mannequin, Toya est légèrement trop grand ! Mais vous c'est parfait !

Sans que personne n'est pu vraiment comprendre, Godzilla se retrouvait en robe rose, dans un position ridicule, vous êtes trop large d'épaule faut que vous vous teniez comme ça avait dit Yukito. Elle ne l'avait pas contredit en voyant le regard que lui lançait Toya promettant mille souffrances si elle osait. Yukito à ses pieds, cousait, Toya à ses côtes observe, une lueur de haine dans le regard quand il regarde la femme blonde. Si une idée saugrenue lui vient en tête, elle devra être prête à en assumer les conséquences, c'est à dire une bataille contre Toya (Toya est jaloux !). L'auteur, le caméraman et Mokona assis à une table goûtait à différentes pâtisseries offertes par Yukito pour leurs « coopérations » Quand ils eurent finit, Ils se lèvent et souhaite bonne chance à Godzilla en partant.

Tous les écrans s'éteignent, le grand s'allume. On voit Mokona suivit de l'auteur et du caméraman arriver. Mokona se met devant la scène et hurle :

-Mokona a réussit !

Puis il se tourne et se dirige vers le clavier, tape dessus. Pendant ce temps, l'auteur a ressortit son bouquin et le regarde avec le caméraman qui fait quelques commentaires. Enfin Mokona appuie sur la touche entrée. L'auteur planque son magasine vire fait. Sur l'écran, on peut lire :

Question : Que font Yukito et Toya dans une pièce ensemble (bis)

Réponse : Ils travaillent à la robe de Primera avec Godzilla.

Mokona fait un grand sourire et demande :

-Vous avez des questions ?

À suivre

L'auteur s'étirant :

-Ouais, j'ai finit ce chapitre, j'ai eut du mal à démarrer mais après c'est allé tout seul.

Le caméraman pervers étonné :

-Pourquoi ?

L'auteur air très fatigué :

-Tu peux pas savoir à quel point c'est dur : se lever de son canapé où t'étais tranquille, monter les escaliers, chaque marche… puis ouvrir la porte, se diriger vers ton ordi et le démarrer… c'est si dur…

Le caméraman murmure air désespéré :

-Mais t'as vraiment la flemme !

L'auteur enflammé :

-Et alors, vous pouvez pas savoir, vous gens normaux à quel point c'est dur pour moi, être venu de l'espace sibérien de me lever !

Le caméraman pervers pique le magasine yaoï et se taille avec pendant que l'auteur parle :

-Et puis taper sur les touches, et puis… Hé, il est où mon magasine ?

L'auteur voit le caméraman s'nefuir, le poursuit en courrant :

-Le temps que je le rattrape, laissez une review. Je sais pas je vais faire quoi au prochain chap, mais ça mettra plus de temps que d'habitude, désolé mais les fêtes de fin d'année arrivent, alors je vous souhaite un joyeux Noël et pleins de bishonens !