Titre : Reporter Mokona

Auteur : lunny

Disclamer : Les personnages ne m'appartiennent pas et sont la propriété de Clamp. La salle où séjournent mes spectateurs est à moi et est fermé à double tour pour pas que l'on me les volent(plutôt pour pas qu'ils s'enfuient !)

Résumé : Vous ne vous êtes jamais posé de question sur les non dessinés de Tsubasa Reservoir Chronicle ? Reporter Mokona est là pour vous répondre !

Genre : Humour et un peu de yaoi.

Avertissement : Du sous entendu yaoi et beaucoup de Mokona !

Note : Je déteste laisser une fic abandonné, ça me donne mauvaise conscience, c'est pourquoi j'ai décidé de boucler cette fic. Plus un petit délire que pour mettre le mot fin.

Bonne lecture !

On voit une main se lever, au bout de cette main, il y a un bras, au bout de ce bras une épaule, au bout de cette épau… Enfin, bref vous l'aurez compris ! Quelqu'un avait levé la main. Un adolescent, à peine un petit n'enfant, qui attaquait sa période de découverte. Mokona pointa sa petite patte sur le jeune n'enfant et hurla de sa voie suraiguë qui fit dresser les cheveux de l'assemblée qui se demandaient quand ce cauchemar prendrait fin.

- Le grand Mokona vous écoute ! Quelle est votre question !

L'enfant se leva, dépoussiéra ses habits qui étaient sale à cause de la presque abandon de sa personne et plus en générale, de la fic, remit son nœud papillon correctement, adressa un clin d'œil séducteur à une assemblée de gens bavant devant sa classe à l'autre bout de la salle. Il se tourna vers la boule de poils et d'un ton hautain, il commença :

- Voyez-vous, je suis aujourd'hui dans un âge très dur, je sors de l'âge tendre et il me reste bien du temps avant…

- Stop ! hurla l'auteur apparaissant.

Il agitait un drapeau blanc d'une drôle de forme, effectivement, on aurait dit un caleçon (?) Le cameraman pervers plaqua l'auteur sur le sol et récupéra le drapeau blanc de fortune en lui lançant un regard noir. L'homme fit un sourire sympathique à l'assistance et repartit dans les loges en maudissant les auteurs complètement siphonnés. L'auteur se releva avec difficulté, il jeta un œil craintif aux coulisses. Il se tourna finalement vers les spectateurs. Mokona le regarda un instant puis l'ignorant complètement, il regarda le jeune garçon.

- Je disais donc que…

Boum !

L'auteur venait de faire un plaquage spectaculaire sur le spectateur, il se tourna vers Mokona et hurla :

- Vite vas chercher la seringue !

Mokona partit en vitesse dans les coulisses et revînt une seringue à la main. Il fit une passe spectaculaire à l'auteur qui rattrapa l'aiguille après un ralenti magnifique. Il planta la piqûre dans le cou du pauvre homme. L'auteur vérifia que le garçon était bien endormi, il revînt sur scène le plus naturellement du monde. Il s'adressa à Mokona avec une voix affreusement surjouée :

- Mokona ! Quel malheur ! Le spectateur ne peut plus te répondre ! Mais alors, qui va te poser une question !

- Moi ! cria une voix du fond de la salle.

Tous se tournèrent vers la personne qui avait hurlé. Il eut un bide pendant que chacun se demandait mentalement ce qu'il avait fait pour mériter ça. L'auteur regarda la personne un brin crispé puis essayant d'ignorer que son complice : le cameraman pervers, portait ce qu'on appelait couramment un robe, il reprit :

- Oh mais ! Tu vois Mokona quelqu'un d'autre a une question !

Mokona regarda la supposé personne et se tournant vers l'auteur, il lui dit :

- Mais, c'est juste le cameraman…

L'auteur emmena Mokona vers le fond de la scène tandis que les spectateurs s'entre regardaient, donc, ce n'était pas la sœur du cameraman, c'était juste le cameraman… Certains émirent un soupir de soulagement. Soudain, on entendit la voix chuchotée de l'auteur :

-Tu vois, Mokona, c'est bien le cameraman, mais c'est un secret, parce que le budget de l'émission a été dépassé, donc on est obligé de clôturer. Il faut le faire avec classe tu comprends ?

-Ton micro, imbécile ! hurla le cameraman, mais qui n'était pas le cameraman parce que c'était un secret.

L'auteur rougit soudainement et souriant imbécilement, il se tourna vers la salle :

-Moi qui voulait vous faire une surprise, c'est râpé ! Donc oui, je suis dans le malheur de vous annoncer que, oui cette fic va bientôt être terminé…

La réaction du public fut des plus bruyantes, certains levaient les mains au ciel hurlant de joie, d'autres pleuraient en se jetant dans les bras de son voisin, voisin qui chialait de bonheur.

Le cameraman réussit à se créer un passage entre les différents émois des spectateurs et rejoignit la scène. Il regarda l'auteur pleurer un grand sourire aux lèvres. Devant l'air inquiet du cameraman, il eut lui expliqua :

- Tu te rends compte ! Ils ont l'air si malheureux…

- Heu, là, t'es en train de regarder le rideau, expliqua le cameraman.

L'auteur eut un sourire des plus débiles et sortant un magasine de sa poche, il dit :

- Pas grave, regarde ce que j'ai piqué au spectateur que j'ai endormi.

L'auteur et le cameraman semblaient comme absorbé par la lecture. Derrière eux, la salle se vida rapidement. Il ne restait plus que Mokona. Il regarda d'un air triste la salle se vider. Même l'endormi se rua vers la sortie. Bientôt, il ne resta que des sièges vides. Il se laissa tomber sur le sol et murmura :

- Mokona est triste…

L'auteur accompagné du cameraman pervers le regardèrent. Ils hésitèrent un moment entre consoler la boule de poils ou continuer à lire le magasine. Deux heures plus tard, ils choisirent la première option. L'auteur tapota le dos de Mokona essayant de ne pas l'en voyer sur orbite, il dit :

- Mais sois pas triste ! Maintenant, tu peux aller embêter Kurogané !

Mokona retrouva soudain tout son éclat et fonça vers les coulisses. Les deux autres protagonistes se regardèrent. Le cameraman pervers fixa l'écran géant puis tournant vers l'auteur, il demanda :

- Tu crois que on peut utiliser des Dvds là dessus ?

- Je crois… Pourquoi ? demanda l'auteur.

- J'ai un truc intéressant dans ma loge, fit le garçon d'une manière évasive.

L'auteur eut un sourire équivoque, le cameraman fila dans sa loge pour profiter de son truc intéressant sur grand écran dans les plus brefs délais. L'auteur regarda la salle vide. Il regarda le clavier non rangé. Il tapa trois lettres et appuya sur la touche entrée. Il regarda les lettres noires s'afficher. C'était écrit :

Fin

L'auteur (regardant un film sur grand écran) :

- Mh, c'est pas trop mal en fin de compte, c'est dans l'esprit de la fic, je pense non ?

le cameraman pervers (à côté de l'auteur regardant la même chose) :

- Ouaip, puis comme ça on a le grand écran pour nous tous seuls…

L'auteur (penchant sa tête sur le côté) :

- Bof, c'est pas terribles comme prise de vue comme même…

Le cameraman pervers (hochant la tête) :

- T'as raison.

L'auteur (penchant un peu plus la tête) :

-J'aurai des reviews à ton avis ?

Le cameraman pervers (haussant les épaules) :

-Si tu le dis…

Mokona (arrivant ne courant) :

-Reviews !