H : Alors Jonz, ça fait quoi d'aller en cour alors que moi, bah j'y vais pas ? J : Grrrr ! Arrête! Tu me la fait depuis hier soir celle la! H : Hééé ok ! Mords pas ! C'est pas de ma faute si… J : Bon, ça va ! Tu vas pas commencer à raconter ta vie ! H : (dans sa barbe) Rabat-joie ! J : Quoi ? Qu'est ce que tu dis? Pour ton information, à savoir que ton école a eu une vitre cassée ne changera pas la moindre chose à PPF (Passé, Présent, Futur) H : Heu… (petit sourire) bon euh, oki, je dirai rien Jonzy… Rien du tout… J : C'est ça, c'est ça… ARRETE DE M'APPELER JONZY! H : Bon, d'ac. Tu le trouve comment ce chapitre Jonzy ? J : Sinistre ! Et je trouve qu'il y a trop de suspense à la fin ! Pas vous ? (argh ! pfff, je t'ai dit d'arrêter) H : Mais encore ? Développe un peu plus tes réponses ! (et n'interpelle pas les lecteurs/reviewers comme ca!) J : Mais j'vai quand-même pas le raconter ! Si non plus personne va descendre le lire ! ( et je fais ce que je veux ! na !). H : Hé ! Je voulais juste te demander ton avis ! J : bah maintenant, tu l'as ! Et ne raconte pas le chapitre quand même... H : Non non… J : En parlant de lecteurs, merci à tous nos reviewers. On aurait aussi une question a vous poser... H : après jonz, après! J : Heu… bonne lecture !

Chapitre 5 : Mauvaises nouvelles :

EVASION MASSIVE DE LA PRISON D'AZKABAN C'est tard dans la nuit que le Ministère de la Magie a appris cette terrifiante nouvelle. Tous les Mangemorts détenus dans la prison depuis juin dernier (chute de Vous-Savez-Qui), ont parvenus à s'échapper de la prison, apparemment avec la complicité des Détraqueurs, gardiens du pénitencier. Pourtant, Azkaban a été durant ces derniers mois, l'objet de renforcements de sécurité. En effet, depuis l'arrivée au fort des partisans de Vous-Savez-Qui, le Ministère a jugé prudent de renforcer singulièrement ses mesures de sécurité.

- « A jugé prudent » ! s'exclama Harry Potter.

- « A jugé prudent » ! s'exclama Ginny Weasley.

- Keskya ? demanda un Ron mal réveillé à Harry.

- Keskya ? demanda une Luna qui trempait une tartine dans son café à Ginny.

- Lis ! ordonna Harry à Ron.

- Lis ! répondit Ginny à Luna.

Ginny chérie,

Est-ce que tu as lu la Gazette ce matin ? Tous ces Mangemorts qui se sont échappées ! Comme il y a trois ans ! S'ils se sont enfuis, c'est qu'ils ont un but bien précis. Ils veulent me retrouver, m'atteindre, me détruire. J'ai peur pour toi Gin'. Ils savent que nous sommes très proches, ils voudront s'en prendre à toi, j'en suis certain. Je t'en prie, sois prudente ! Je t'envoie la Carte de Maraudeur. Tu sais comment elle fonctionne, je te fais confiance pour en faire un bon usage ! Après tout, elle a appartenu un temps à Fred et George. Soit digne d'eux !

Puisque je t'écris, ta mère m'a chargé de t'annoncer quelques nouvelles. Fred et George ont lancé sur le marché leur Anneau de Sentiments et, d'après ce qu'ils m'ont dit, cela marche très bien. En tout cas, le tien était au point, il est resté rose fuchsia tout l'été ! Et je ne pense pas que tu aies été triste ! Sauf à la gare, mais là, les vacances étaient terminées.

Charlie reviendra quelques jours pour Noël. D'après ce que j'ai cru comprendre, il aura quelqu'un à nous présenter…

Ron et Hermione n'ont pas changé, ils se chamaillent toujours autant. J'avoue qu'avoir à les supporter, c'est un peu dur de temps en temps… Mais ils doivent bien avouer qu'ils ne peuvent pas se passer l'un de l'autre. Et puis au Ministère… Ton frère sait qu'il peut compter sur elle pour l'aider.

Ta mère m'a donné la chambre des jumeaux et Hermione dort dans celle « des filles ». Je me retrouve donc tout seul, comme un pauvre célibataire. Il est inutile du préciser qu'Hermione ne passe pas beaucoup de temps dans ta chambre ; une fois que tes parents sont couchés, elle file rejoindre Ron.

Et à Poudlard, comment ça va ? Et la Coupe de Quidditch, vous en êtes où ? Dans ta dernière lettre, tu me disais que vous aviez gagné le premier match.

Tu me manque Gin', toi seule sais me rendre heureux, je t'aime de tout mon cœur,

Harry

Quasi-simultanément, Ginny remontait dans la tour de Gryffondor. Elle attrapa une plume et un parchemin vierge, puis s'assit à une table pour écrire.

Harry,

Tu as vu les gros titres de la Gazette ce matin ? Comment cela se fait-il que les Détraqueurs aient laissé fuir les Mangemorts ? Ils étaient pourtant sous bonne garde ! Où alors, c'est… toi qu'ils veulent retrouver. Ils veulent retrouver pour se venger ! Harry, c'est sûrement ça ! Je t'en prie, sois prudent ! Je ne supporterais pas qu'il t'arrive quelque chose.

McGonagall m'a chargée de vous féliciter, toi, Ron et Hermione pour votre entrée au bureau des Aurors. C'est vrai qu'après tout ce qui s'est passé durant toute l'année dernière, ils ne pouvaient faire que ça...

Les profs nous surchargent toujours autant de travail. À croire qu'on peut toujours travailler plus. Mais bon, ne t'inquiète pas, je survis !

Ginny qui t'aime et qui, j'espère, te manque !

- Harry ? demanda Ron.

- Oui ?

- Qu'est-ce que tu faisais ?

- J'écrivais à ta sœur.

- Ginny ?

- Tu as combien de sœur ?

- Ouais, bon, ça va !

- J'ai peur pour elle, reprit Harry.

- Pourquoi ?

- Tu sais, les Mangemorts, moi, tout ça quoi !

- †a te dérangerais de parler clairement ?

- Je pense que les Mangemorts vont essayer de s'en prendre à elle pour se venger de moi !

- Mais… Comment ?

- Je sorts avec elle au cas où tu n'aurais pas remarqué.

- Si, si…

- Miss Weasley ? demanda le professeur McGonagall.

- Oui professeur ?

- J'ai à vous parler, venez dans mon bureau.

Ginny suivit la directrice à travers le château jusqu'aux gargouilles qui gardaient ce qui avait été des années durant le bureau de Dumbledore. La directrice prononça le mot de passe (qui était chamallo au chocolat, visiblement, McGonagall avait gardé la tradition des mots de passe « friandises », en hommage à Dumbledore) puis monta l'escalier, Ginny à sa suite. Les deux femmes entrèrent dans le bureau. McGonagall fit assoire Ginny puis prit place à son tour derrière le bureau.

- Miss Weasley, je pense que vous êtes consciente que vous êtes en grand danger…

- Mais…

- Je crois savoir que vous entretenez avec Mr Potter une relation plus qu'amicale.

Ginny rougit violemment mais elle aurait juré que le professeur McGonagall avait sourit. Sans prêter attention à la couleur plutôt soutenue des joues de la jeune fille, elle poursuivit :

- Je me trompe ?

- Non… non ! répondit Ginny.

- Vous connaissez les méthodes de Vous-Savez-Qui pour anéantir ceux qu'il veut voir détruits ?

- Oui… oui. Mais en quoi…

- Vous savez parfaitement comme moi que Vous-Savez-Qui en voulait particulièrement à Harry.

- Oui.

- Donc vous comprenez que vous êtes désormais la cible principale des Mangemorts.

Dans la tête de Ginny, des rouages se mettaient en place. Elle tentait de comprendre. Comment se débrouillait-elle pour être toujours dans les ennuis jusqu'au cou ?

- Miss Weasley ?

- Ou… oui ?

- Vous comprenez donc que jusqu'à la capture des Mangemorts, vous devrez éviter de vous promener seule !

- Mais Poudlard est le lieu où je suis le plus en sécurité !

- Oui, bien sûr, mais on ne sait jamais. Des Mangemorts ont déjà réussit à s'infiltrer dans l'enceinte même de château. Un meurtre y a été commis…

- Je comprends Professeur, je comprends. Mais est-il vraiment nécessaire de…

- Ginny, il semblerait que Harry déteint sur vous !

- RONALD WEASLEY ! hurla la voix douce et mélodieuse d'Hermione Granger. OU EST-CE QUE TU AS MIS LE DOSSIER SUR…

- Pfff… Qu' est-ce qu'il y a Mione ? demanda le concerné en passant la tête par l'embrasure de la porte entrouverte du bureau de la jeune femme.

- Ron, je l'avais posé là… et qu'est-ce que c'est que ce soupir ? dit-elle d'un air suppliant en montrant une chaise envahit par une montagne de dossiers aux couleurs diverses. Je l'avais posé là, le dossier sur Malefoy, mais il a disparu.

- Mais je n'ai rien touché Mione, je te le promets. Ecoute, je vais t'aider à chercher. Où était-il la dernière fois que tu l'as vu ?

- Euh… Sur la chaise je crois… Mais…

Il se dirigea vers une bibliothèque bancale et pleine à craquer en lui demandant doucement :

- Il est de quelle couleur ce dossier ?

- Euh… jaune je crois.

- Tu crois ?

- Je… Je ne suis pas sûre, dit-elle d'une voix tremblante. Oh Ron ! ajouta-t-elle en se jetant dans ses bras.

Il la serra contre lui alors qu'elle pleurait à chaudes larmes sur son épaule.

- Tu es surmenée Mione, ma chérie. Tu ferais bien de te reposer un peu à la maison. Maman s'occupera de toi. Tu en as besoin.

Il la berçait tendrement contre lui pour tenter de la calmer quand Harry entra en trombe dans le bureau, tenant un bout de parchemin dans la main.

- Ginny vient de m'envoyer ça.

Voyant sa tête, Ron et Hermione comprirent qu'il s'était passé quelque chose de grave. Hermione attrapa la lettre et Ron se pencha par-dessus son épaule pour la lire. Elle avait été écrite à la hâte.

Harry,

Des Mangemorts se sont introduits à Poudlard ! McGonagall est de plus en plus certaine que c'est à moi qu'ils en veulent. Elle va -où a déjà- écrire au Ministère pour qu'ils envoient des Aurors pour protéger l'école. Mais cela ne servirait à rien. Depuis que Dumbledore est mort, avec une menace pareille, on ne peut être en sécurité. Mais les vacances sont dans trois semaines, j'ai hâte de rentrer à la maison, de retrouver Papa, Maman, Hermy, et toute la bande d'énergumènes qui me servent de frères. Et évidemment toi Harry. Tu me manques plus que tous les autres réunis. J'ai hâte que tu me prennes dans tes bras, que tu…

Arrivée à ce stade de sa lecture, Hermione ne put s'empêcher de sourire et de rougir quelque peu avant de replier rapidement la lettre sans la finir et de la rendre à son destinataire avec un clin d'œil complice. Ron avait au contraire un air difficile à déchiffrer : comme un mélange entre l'envie de frapper Harry et l'embarras, mais il s'abstint de tout commentaire de nature douteuse. Mais ils se reprirent très vite en comprenant à quel point Harry s'inquiétait pour Ginny.

Lorsque Harry, Ron et Hermione rentrèrent au Terrier ce soir là, se fut pour y trouver une Mrs Weasley anéantie. Quand elle les vit arriver, elle brandit sous leur nez la Gazette du sorcier du matin même.

ATTAQUE À POUDLARD

L'école de sorcellerie Poudlard a été, hier dans la journée, le théâtre de sombres évènements. En effet, juste après la reprise des cours de l'après-midi, un élève se rendant à l'infirmerie qui a donné l'alerte. Il a dit avoir aperçut dans le parc des silhouettes sombres vêtues de capes et de capuchons pointus. L'infirmière a d'urgence prévenu Minerva McGonagall, la directrice. Elle nous a indirectement confié que cette attaque confirmait des doutes personnelles relatifs à une étudiante de l'école, G. Weasley (7°année). Quand nous avons voulu interroger plus précisément la directrice, elle nous a ordonné de sortir rapidement de l'école sous peine de subire ses foudres.

- Alors ? demanda Mrs Weasley après qu'elle eut récupéré son journal.

- Ginny à écrit à Harry, Maman, répondit Ron.

- Et ?

- Elle a écrit qu'on ne peut être en sécurité nulle part. Que se soit ici ou à Poudlard. Tout ça, c'est… c'est de ma faute, acheva Harry, tentant de contenir sa rage.

- Mais non Harry ! s'exclama Mrs Weasley en le serrant affectueusement contre elle. Ne pense pas une chose pareille ! Je vous ai bien vu cet été, Ginny n'avait jamais été aussi heureuse ! Et c'est toi qui lui a apporté ça ! Jamais nous ne l'oublieront !

- Elle a raison Harry, intervint Hermione, ce n'est pas de ta faute Harry, il faut que tu te sorte cette idée de la tête. Et je suis certaine que Ginny ne t'en veut absolument pas !

- Mais oui Harry ! ajouta Ron. Ecoute, on ne va pas rester plantés là comme des poireaux. Tout le monde s'inquiète ! Alors que l'on soit dehors ou dedans ne changera rien, il fait froid, et j'ai faim !

Il avait dit cela en appuyant particulièrement sur le dernier mot mais cela eut pour effet de détendre considérablement l'atmosphère. Mrs Weasley sembla reprendre soudainement ses esprits et remarqua la mine affreuse d'Hermione, une fois qu'ils se furent tous assis autour de la grande table de la cuisine.

- Mais ma petite Hermione, tu as vu ta tête, tu es affreusement pâle ma chérie !

- Je… je suis un peu fatiguée, admit-elle à contre cœur. C'est dur en ce moment !

Comme elle ne semblait pas satisfaite de la réponse de la jeune femme, elle interrogea Ron du regard. N'obtenant aucune réponse de la part de son fils, elle leur servit un bon ragoût, mais ils n'y firent pas honneur, le cœur n'y était pas.

Après avoir finit, Hermione se leva rapidement, aida Mrs Weasley à débarrasser les quelques assiettes et monta se coucher. Ron regarda soucieusement dans la direction où venait de disparaître la jeune femme.

- Va la rejoindre, murmura Harry.

- Mais…

- Vas-y, insista-t-il.

Ron gratifia son ami d'un pâle sourire et monta retrouver Hermione dans sa chambre. Elle finissait de se changer quand il entra dans la pièce. Dès qu'elle le vit, elle essuya à la hâte quelques larmes qui coulaient sur ses joues. Inquiet, Ron demanda :

- Hermione, ça va ?

- Oui… oui, répondit-elle d'un voix hésitante.

Le jeune homme s'approcha d'elle et la prit dans ses bras avant de dire :

- S'il te plait Mione, dis-moi.

En l'entendant murmurer son surnom au creux de son oreille, la jeune femme fondit en larmes. Ron tenta de la consoler en la berçant, mais ses larmes ne se tarissaient pas.

- Mione, qu'est-ce qui se passe ? Dis-moi.

- C'est…

J : Bon alors ? Vous aimez toujours autant ? Moi je l'adore alors que c'est moi qui l'écrit ! À propos de la question, la voici : « Combien d'entre vous pensent que Harry et Ginny ont pu ne pas faire l'amour? (dans NOTRE fic) » Attention : réponse argumentée attendue !

H : Houla ! T'y vas direct là !

J : Oui, bah, j'aillais pas tourner autour du pot en disant genre : L'ont-il déjà FAIT ? etc... ça fait nul et timide, moi je suis ni l'un, ni l'autre. Et surtout pour ces choses la… Tu devrais le savoir!

H : Oh que oui ! Perverse... Moi je dit que… je ne sais pas trop. Ils ont pu le faire, mais pour les besoins du contenu d'un chapitre à venir, je dirais non ! Mais jonz, elle, dit oui. Elle dit qu'elle n'a pas envie de faire dire à G/H « t'es sûr(e) » trente millions de fois et que ça ne changera rien à ce qu'on va dire dans ce chapitre… (J : comme promis pichou26) Et vous? Vous en dites quoi ? Dites nous dans vos reviews!