J : Hello tt le monde : dsl de poster si tard. J'étais malade et ma voisine avait aumonery.

H : c'est pas comme ça que sa s'écrit… pas douée ! Alors ? Ça avance comment avec le mec « trop sympa » que tu connais ?

J : je préfère ne pas en parler en public. Pas que sa soit humiliant ou interdit au moins de 18 ans (gniark gniark !) mais, devant nos lecteurs croissants… d'ailleurs, merci a nos nouveau reviewers : minyfanny, loonyfreak (dsl si les reviews d'elle sont en anglais, mais je suis bilingue donc…) , et Konkonchan. Merci a tous, je sais ! je suis magnifique ! adorez moi ! i am the best !

H : euh… annabel—jonz ? sa va pas?

J : euh, si si, juste un accès de folie. En tout cas : bon chapitre !

Chapitre 7 : Ginny

Je me réveillais en sueur. La crasse collait à mes vêtements, qui eux-mêmes me collaient à la peau. La crasse ? Mes vêtements ? Ou était mon pyjama propre ? Et mon… mon lit ? Tout a coup, tout me revint en mémoire. Le réveil en sursaut, les cris, la course, la peur, et… et puis le noir.

Encore assise, je regardais autour de moi. Une odeur fétide montait d'un trou qui allait devoir me servir de toilettes. Des gouttes d'humidité glissaient sur le mur gris de saleté et de poussière, pour finir sur la terre battue, couverte de choses suspectes, dont ce qui ressemblait étrangement a des ossements… humains ! Je frissonnai et me releva… pour retomber lourdement sur la paillasse sale. Mes jambes étaient ankylosées par le froid, aussi elles n'avaient pas bougé et visiblement, on m'avait jeté dans l'espèce de cachot ou j'étais. Je re-essayai au moins trois fois avant d'arriver à me hisser sur mes deux jambes flageolantes. Vu que je répugnais de toucher le mur, je dus me fier à mon sens de l'équilibre pour rester debout au milieu de la pièce.

Doucement, l'idée que j'étais prisonnière me vint à l'esprit. Désespérée, je me pris la tête entre les bras. Qu'est que Harry ferait dans cette situation ? Harry… ou est-ce qu'il était maintenant ? Est-ce qu'il pensait à moi ? Allait-il venir me sauver ? Tout se bousculait dans ma tête. Je me rappelais nos nuits enflammées au Terrier, ses baisers doux et pleins de passions, sa manière de me regarder avec amour et désir, ses mains tendres et caressantes, son membre dur en mo… oups ! Je n'avais pas le temps de penser a des choses futiles dans ce genre. Même si, pour moi, ces choses avaient une grande importance : J'aimais Harry de tout mon cœur. Et c'était pour cette raison que j'allais me battre pour sortir de cet endroit. Pour lui. Pour ma vie. Pour mon amour. Pour Harry…

Je regardais la porte en face de moi, me secouant la tête comme pour me débarrasser de ces pensés. Je devais sortir ! la porte était grande et paraissait très lourde. Aucune serrure. Une fenêtre se levait derrière moi, mais des barreaux en barrait le trou. Presque automatiquement, ma main droite fouilla dans ma poche pour prendre ma baguette. MA BAGUETTE ! Ils me l'avaient prise ! Une série de jurons se bousculaient dans ma bouche. Mais je me restreins, au cas ou quel qu'un m'écoutait. Je me mis à réfléchir sérieusement. J'avais la volonté, j'avait l'intelligence, et j'avais le corps. Il me manquait juste la technique pour m'en sortir. Tout a coup, la réponse me vint comme une évidence. Je savais dire des sorts sans ma baguette, même s'ils étaient considérablement moins forts, ils marchaient. Je murmurais d'abord un « alohomora ! » Sans effet. Alors, je vins au choses moins élégantes. Je fis carrément exploser la porte. Le garde était visiblement surpris. Il ne s'attendait pas a ce que je puisse sortir sans ma baguette… le garde en question était un mangemort cagoulé! D'abord surprise d'en voir un la, je réagis vite. Il allait donner l'alerte ! Je criai un sort au hasard."irracilum caluptorum". Il se mit à flotter en l'air avec un bâillon et des cordes autour de ses mains et pieds. Le sort du livre de potions d'Harry était finalement très utile... Ses yeux tournaient en cherchant une échappatoire. Je lui en laissait pas le temps. D'un coup de poing, je le mis K.O. Pourquoi était il ici ? Ou plutôt, c'était ou, ou il était ? Soit j'étais à Azcaban, soit dans un repère. Je décidais d'y repenser plus tard. Je m'emparai de sa baguette, au cas ou, et m'éclipsait dans l'ombre. J'allais sortir d'ici, et par tous les moyens !

J : alors ? sa vous a plu ? dsl, il est super court mais bon… voius nous pardonnez ? rpd moi avec une review !