H : on dit que le chiffre 13 porte malheur, pourtant…

J : ouais , ici, c'est plutôt… euh… le plaisir. (rires)

H : hihi. Bon, voici (enfin) la suite de PPF. Ginny retrouve sa joie de vivre grâce a Harry, ou plutôt son corps…

J :)

H : bon ; laissez des reviews !

J : (ce chapitre est pour toi chris !)

Chapitre 13 :

Malefoy approchait, sa baguette en main. Ginny, terrifiée recula le plus possible dans sa cellule. Soudain, elle se heurta à un mur froid, elle était prise au piège ! D'un sort, il l'immobilisa. Elle ne pouvait plus se défendre et le repousser, elle était condamnée à souffrire en silence. Le Mangemort la débarrassa de tous ses vêtements qui tombèrent au sol dans un bruit mou.

Quelques minutes plus tard, l'ex-serpentard se trouvait dans le même état, affichant une érection qui fit frissonner Ginny de dégoût malgré le sortilège qui l'immobilisait.

Malefoy se rapprochait d'elle, déposant ses mains sur le corps de la jeune fille. Il la pénétra brutalement, se mouvant sauvagement en elle, griffant sa poitrine de ses ongles. Elle gémissait plus de douleur que de raison. À la seconde précise où il allait jouir, le sortilège qui immobilisait Ginny prit fin. La jeune fille le repoussa de toute ses forces en hurlant :

- HAAAARYYY !

Haletante, Ginny se réveilla en hurlant. Elle se redressa dans le lit et constata qu'elle était dans sa chambre, au Terrier, loin de Malefoy et des Mangemorts. Harry grogna mais il dormait encore. Le plus silencieusement possible, Ginny se leva et sortit de la chambre. Elle descendit les escaliers en chancelant légèrement. Elle traversa la cuisine et ouvrit la porte qui menait dehors. Elle sortit. Le froid de novembre était mordant et sa chemise de nuit ne la protégeait pas. Mais elle ne s'en rendait pas compte. Elle voulait juste être seule. Seule avec ses souvenirs, seule avec ses larmes.

Elle évacuait toute l'angoisse et la terreur qu'elle avait ressenti ces derniers jours. Malefoy l'avait traumatisée et malgré tout ce qu'elle pourrait faire pour vivre avec, elle savait qu'elle ne pourrait jamais l'oublier.

Toute à sa détresse, elle n'avait pas sentit que deux mains s'étaient posés sur ses épaules et la forçait à retourner dans la cuisine. Ginny s'assit machinalement sur une chaise, sa tête entre ses mains. Une voix douce la tira de ses sombres pensées :

- Ginny… Qu'est-ce qui se passe, demanda Harry.

Ne se retenant plus, la jeune fille éclata en gros sanglots saccadés en se jetant dans les bras de Harry. Celui-ci, inquiet, la souleva doucement dans ses bras pour remonter dans leur chambre. Ginny s'accrocha à lui comme à une bouée de secours, enfouissant son visage trempé de larmes dans son cou.

- Gin', murmura Harry en la forçant à s'assoire sur le lit. Qu'est-ce qu'il y a ? Dis moi je t'en prie !

- Il m'a détruit Harry… sanglota la jeune fille. C'est comme si je n'avais plus le droit de vivre et d'aimer…

- Qu'est-ce qu'il t'a fait mon amour ?

Elle leva et yeux et l'implora du regard, comme pour qu'il ne la force pas à tout lui raconter.

- Parle Ginny, ça va toujours mieux après.

- Mais tu ne peux pas comprendre Harry. C'est trop dur !

Le jeune homme prit le visage de son amoureuse entre ses mains et lui caressa doucement les joues.

- Ginny, je t'aime. Je veux que tu sois heureuse. Pas que tu passe ta vie à penser à ce que Malefoy t'a fait.

Après un instant de silence, Ginny ouvrit la bouche et commença à parler.

- Il…

Harry ne l'interrompit pas, se contentant de l'encourager du regard.

- Il… Il m'a violée… Je… Je n'ai rien pu faire… termina-t-elle dans un murmure de honte.

Les larmes coulaient abondement sur ses joues, la jeune fille se répugnait elle-même. Mais Harry l'attira dans une étreinte protectrice, apaisante. Ginny se laissa aller contre lui, toute à sa détresse. Le jeune homme la berçait entre ses bras, lui murmurant des paroles réconfortantes.

- Tu sais, tu voir dans cet état, c'était ce qu'il souhaitait. Tu dois lui prouver que tu étais plus forte qu'il ne le pensait. Pour lui montrer qu'il avait tord, que tu ne te laisseras pas abattre par une fouine comme lui. Il faut que tu te relèves, encore plus forte qu'avant ! Je… Je suis désolée. J'aurais du arriver avant !

Ginny sourit entre ses larmes avant de lui murmurer à l'oreille :

- Harry, fais-moi l'amour.

Le jeune homme resta muet devant son audace.

- Harry, je veux l'oublier, je veux tout oublier. Je veux qu'il n'y ait que toi. Je veux prouver qu'il n'y a pas que la violence.

Le jeune homme se leva et se dirigea vers la porte de la chambre qu'il verrouilla d'un sort avant d'insonoriser la pièce. Lorsqu'il se retourna vers elle, elle crut voir une lueur de désir briller au fond de ses yeux. Ses soupçons furent confirmés quand quelque chose de dur vint se frotter contre le bas de son ventre. C'était l'érection d'Harry.

Ginny sourit de plaisir et franchit les derniers millimètres qui séparaient leurs lèvres pour l'embrasser doucement. Il la poussa délicatement sur le lit, et retira lentement son long t-shirt qui, pour le plus grand plaisir de Ginny, laissa voir l'énorme bosse qui déformait son caleçon décidément, très très moulant….

- Humm… commença-t-elle. Je prends ça comme « Je suis très très très content de te revoir », ou « Je suis très très très content de revoir ton corps » ?

- Euh… les deux ! avoua-t-il en lui souriant tendrement.

Ginny sourit à son tour. Elle avait déjà hâte… Elle surpris Harry quand elle s'agenouilla sur le lit et, se baissant au niveau de l'élastique de son caleçon. En le regardant d'un air malicieux, elle joua un moment avec l'élastique en glissant ses doigts sur le bord. Mais Harry prit ses mains dans les siennes pour l'arrêter, et, quand Ginny le questionna du regard, une lueur de désir dans les yeux, il lui répondit :

- Non, je ne veux pas que tu te dépêches. Ca fait trop longtemps, je veux que tu en profites… que tu oublies ce qu'il t'a fait.

Et Harry la repoussa sur le lit. Elle s'assit sur le bord, tandis qu'il se mettait à genoux devant elle. Il l'embrassa à nouveau, quémandant l'entrée de sa bouche en mordillant tendrement ses lèvres. Ginny entrouvrit la bouche, laissant sa langue se mêler à la sienne.

Harry glissa ses mains sur le corps de son amoureuse. Il trouva le bas de sa chemise de nuit, et la remonta doucement. Il quitta les lèvres de la jeune fille pour s'occuper de son bas-ventre. Il embrassa lentement chaque parcelle de son corps, avant de remonter un peu plus la chemise, et de recommencer à l'embrasser. Ceci provoqua un frisson de délice à Ginny, dont la seule envie maintenant, c'était qu'il se dépêche de lui retirer sa chemise de nuit ! Harry sembla comprendre son envie, et arrêtant ses baisers, la retira d'un coup. Elle retomba à terre, à côté de son t-shirt à lui.

Mais il ne remarqua pas cela. Il ne voyait que les seins de Ginny, qui paraissaient être de la taille parfaite pour y poser ses mains. Il les appliqua dessus, et massa doucement les seins de la jeune fille. Ginny rejeta la tête en arrière, pour lâcher un soupir de contentement. Merlin ! Qu'il était doué avec ses mains, ce garçon ! Harry la massa de plus en plus fort, ce qui fit durcir les pointes de ses seins, mais la fit également gémir de douleur. Sa main venait de glisser sur un des bleus que Malefoy lui avait laissé.

Harry retira doucement ses mains et l'interrogea du regard, lui demandant si elle voulait quand même continuer, malgré tous ses souvenirs douloureux. Grimaçant, Ginny hocha la tête. Elle voulait oublier tout ce que Malefoy lui avait fait. Harry reprit ce qu'il avait commencé, mais plus doucement, tentant de lui transmettre toute la tendresse qu'il éprouvait pour elle.

Il approcha sa bouche de la poitrine de Ginny. La jeune fille arqua le dos pour rencontrer la bouche d'Harry plus rapidement. Il sourit et appliqua ses lèvres gourmandes sur le bout d'un de ses seins, et suça, fort. Ginny rejeta la tête en arrière et savoura le plaisir, tout en caressant de ses doigts fins le dos de son bien aimé. Quand il passa à l'autre sein, Ginny ne put s'empêcher de porter ses doigts à sa culotte, et frotter le dessus, manifestant ainsi son désir d'aller plus loin. Harry le remarqua et gémit. Il abandonna la poitrine ronde de Ginny, et passa à sa culotte. Cette fois-ci, c'était finit la lenteur. Les deux amants se retrouvaient après de longs mois de séparation et éprouvaient un désir violent de combler le vide qu'avait creusée cette séparation au plus profond d'eux même. Il lui arracha pratiquement sa culotte, dévoilant l'endroit le plus féminin du corps de son amante. Ginny sourit en voyant la tête émerveillée d'Harry. Il l'avait pourtant vu nue plusieurs fois auparavant ! Harry passa ses mains sur le ventre de Ginny, la faisant frissonner de plaisir, et, traçant des cercles et des arabesques de ses doigts, il arriva à destination.

Au début, il laissa ses doigts se balader sur le bord de ses lèvres, mais, à cause de la chaleur et la moiteur qui en émanait, il eut vite fait de « glisser » à l'intérieur. Ginny retint son souffle pendant que les doigts d'Harry l'exploraient habilement. Il atteignit son clitoris. Ginny haletait. Il releva la tête vers elle, lui demandant encore une fois la permission de continuer. Elle hocha de nouveau la tête, et il reprit. Il massait tendrement son clitoris d'une main, tandis que l'autre glissait, allait et venait autour de l'entrée interdite. Il entra enfin en elle, avec une douceur infinie et deux de ses doigts commencèrent à aller et venir en elle.

Il cessa soudainement de masser son clitoris, qu'il remplaça par sa langue enjôleuse et taquine. Soudain, il sentit d'irrépressibles frissons parcourir le corps en feu de sa dulcinée. Elle se cambra encore plus, incitant Harry à plonger au plus profond d'elle-même. Son corps se tendit puis elle bascula en arrière alors que son esprit s'élevait au septième ciel. Des flots de nectar assaillirent Harry, qu'il aspirait avec délectation pendant que Ginny criait sauvagement.

Il se retira lentement d'elle et la laissa reprendre son souffle en lui déposant de minuscules baisers papillons sur les lèvres, partageant avec elle le goût de sa propre jouissance.

La poitrine de Ginny se soulevait à un rythme effréné. Elle retombait doucement sur Terre, le corps animé d'un désir intense, violent, presque douloureux. Elle enroula ses bras autour du cou de Harry, le forçant à approfondir ses baisers.

- Tu ne trouve pas que tu es un peu trop habillé ? murmura-t-elle en glissant ses mains dans le dos de son amant. On pourrait peut-être faire quelque chose ?

- C'est une idée, répondit-il sans cesser de l'embrasser.

Ginny tenta faiblement de se redresser pour débarrasser son amant de son caleçon. Elle y parvint difficilement alors que le jeune homme souriait en la regardant faire.

Toute souriante de gourmandise, Ginny parvint à reverser la situation et se retrouva au-dessus de Harry. Le jeune homme crut devenir fou quand les seins de Ginny effleurèrent son torse. Elle l'embrassait doucement dans le cou et il ne put résister à la tentation de poser ses mains sur les fesses douces de la jeune fille. Ginny le caressait doucement de ses doigts, allant et venant sur son torse, sentant la pression monter petit à petit. Elle déposa ses lèvres sur les tétons durcis de son amant, les mordilla de ses dents, les chatouillant de sa langue. Ginny descendait lentement mais sûrement le long du corps d'Harry. Comprenant soudainement son envie, il dût se concentrer fortement pour ne pas jouir sur le champ. Il sentit qu'elle prenait son membre turgescent entre ses douces mains, le massant lentement. Ginny se passa la langue sur les lèvres devant cette image de pure luxure. Timidement, elle déposa ses lèvres humide sur le gland brûlant, ne pouvant résister à la tentation de le goûter. Elle arracha un gémissement sauvage à Harry qui la rassura dans ses intentions.

Elle le prit entier dans sa bouche et commença à enrouler sa langue autour en le chatouillant. Harry arqua le dos pour s'enfoncer plus profondément dans ce puits chaud et humide. Ginny l'accepta avec plaisir en fermant les yeux pour mieux savourer l'instant présent. Elle glissa sa langue sur son gland brûlant en prenant ses boules soyeuses entre ses mains. Harry gémit bruyamment et ne supportant plus ces exquises tortures, il se répandit en elle. Ginny avala avec gourmandise sa semence, promesse d'avenir. À son doigt, l'Anneau que son amant lui avait offert l'été dernier brillait de mille feux, d'un rouge éclatant, presque couleur sang.

Harry reprenait lentement sa respiration, alors que Ginny, elle, était impatiente de continuer. Elle caressa le torse de Harry de ses doigts fins, se frottant contre lui. Harry qui reprenait à peine ses esprits se sentit de nouveau dur. Ne supportant plus les exquises caresses de Ginny, il la poussa sur le dos et écarta ses cuisses. Effleurant son clitoris du bout des doigts, il caressa lentement chaque replis de son sexe trempé de ses mains puissantes avant d'approcher son sexe magnifiquement dressé de son bouton de rose. Son gland brûlant à la peau infiniment douce exerçait de légères pressions contre son clitoris, douloureux à présent.

Ginny, les yeux entre-ouverts, gémissait et haletait de désir et d'anticipation. Harry la rendait complètement folle. Il le savait et en était fier. Mais ne supportant plus son jeu incessant, Ginny se retourna brusquement et Harry, surpris par son geste ne pu que su laisser faire. Ginny arborait à présent un sourire carnassier. Elle saisit à pleines mains le membre de son amant qui menaçait d'exploser d'un moment à l'autre. Elle le glissa violemment en elle en fermant les yeux. Elle sentit Harry glisser doucement ses mains dans les siennes pour la rapprocher de lui. Les seins de Ginny lui effleurèrent de nouveau le torse. Il prit entre ses lèvres un mamelon tentateur qu'il téta, faisant frissonner son amante. Au-dessus de lui, Ginny se mouvait d'un rythme effréné. Et les mains désormais baladeuses de Harry ne faisaient que l'encourager. Soudain, le jeune homme sentit le corps de son amante se contracter violemment tout autour de lui.

Glissant ses deux mains autour du cou de Ginny, il la rejoignit au septième ciel alors que tous deux poussaient des cris d'extase à l'unisson. Harry se redressa légèrement pour accueillir le corps de son amante contre le sien. Le sourire béat de la jeune fille lui prouva qu'elle était parvenue –du moins momentanément- à oublier Malefoy. Blottie au creux des bras de son amant, Ginny souriant, se sentant tout légère.

- Je t'aime, chuchota-t-elle à son oreille.

- Moi aussi, comme un fou, répondit-il.

- Et si tu me montrais encore comment tu m'aimes ? suggéra-t-elle. Après tout, on a toute la nuit !

- Mais je n'attendais que votre permission Miss Weasley, murmura-t-il sensuellement près de ses lèvres en glissant ses doigts entre les boules rousses et trempées de son sexe déjà prêt à l'accueillir tout entier. Je ne me rassasierai jamais de toi, affirma-t-il en gémissant fortement car Ginny venait de s'emparer de son membre dressé.

- Mais j'espère bien… haleta-t-elle en sentant une bouche avide lui sucer le cou. J'espère bien…