Chapitre 22 :

Tout Doucement...

Alors je suis arrivée à Poudlard. Dans le train, j'avais fait la connaissance de certains élèves de mon âge, comme Neville Londubat, mais aussi Lavande Brown et Parvati Patil avec lesquelles j'ai partagé mon dortoir pendant sept ans et j'ai croisé Ron Weasley et Harry Potter. Le grand Harry Potter. Je connaissais tout de lui. J'avais lu tous les livres de magie qui m'étaient passés sous la main et Harry Potter n'a échappé à aucun d'eux.

Hermione releva la tête devant l'ombre qui s'était postée devant elle et posa sa plume. Elle avait fait apparaître une mini piscine dans son jardin où Andrew barbotait en éclaboussant tout autour de lui. Il y avait presque autant d'eau autour de la piscine que dedans. Hermione s'était installée sur la table de jardin pour pouvoir continuer librement l'écriture de son prochain livre et profiter du soleil.

- J'ai sonné plusieurs fois avant d'entendre le rire de ton fils, alors j'ai décidé de faire le tour.

C'était Ginny qui était venue leur faire une petite visite. Elle était rayonnante et Hermione remarqua que derrière sa petite robe d'été, son ventre commençait à s'arrondir doucement.

- Qu'est-ce qui t'amène ici ? Sourit Hermione.

- Parce qu'il me faut une excuse pour venir voir ma meilleure amie et mon neveu ? Rétorqua Ginny avec amusement.

- Non, bien sûr, mais je pensais que tu travaillais.

- Et non ! Je suis en vacances.

Ginny s'assit alors qu'Andrew lui faisait de grand signe en éclaboussant encore partout.

- Je vois que tu t'amuses bien, constata Ginny.

- Oui. Regarde ce que Maman a fait.

- Je vois ça.

- Il tourne en rond, expliqua Hermione. Ce n'est pas évident de jouer tout seul à son âge.

Ginny ne dit rien, mais lança à Hermione un regard qui montrait qu'elle n'avait jamais connu ça avec tous les frères qu'elle avait. En revanche au visage d'Hermione, Ginny se rendit compte qu'elle, elle avait connu cette solitude enfantine, étant fille unique. Si au fond d'elle, elle pensa que la seule chose pour y remédier serait de donner un petit frère ou petite sœur à ce bout de chou adorable, elle ne dit pas, ne voulant déclencher une quelconque dispute avec celle qu'elle voyait déjà comme sa belle-sœur.

- Et tu nous écris quoi ? Demanda Ginny.

- J'essaie de m'avancer dans mon prochain livre, mais ce n'est pas gagné. John va finir par s'impatienter si je n'avance pas.

- Je peux lire ?

- Non, Ginny. Et ce ne sont que des ébauches.

- Oh ! S'il te plait ?

- J'ai dit non.

- Très bien, alors pour que je puisse le lire plus vite, je vais t'emprunter ton fils.

- Pardon ?

- Je vais aller faire un tour avec Andrew. J'ai entendu dire qu'il y avait une fête lorraine du côté moldu.

Hermione se mit à rire. Une fête lorraine !

- C'est une fête foraine, Ginny.

- Oui, c'est ça, je ne savais plus exactement. Papa m'a dit qu'il y avait des… na… des manèges. Alors si tu veux, j'y emmène ton fils et toi tu peux écrire tranquillement.

- Dis oui, Maman.

Evidemment, Andrew n'avait pas perdu une miette de la conversation et il connaissait bien les manèges et les fêtes foraines. Il adorait ça et Hermione ne put que capituler. En plus, Ginny avait raison, au moins elle pourrait avancer dans l'écriture de son livre car Andrew la ralentissait plus qu'autre chose.

- Allez viens t'habiller.

Andrew sortit de la piscine et sa mère l'enveloppa dans un grand drap de bain et il fila à l'étage.

- Rafraîchis-toi pendant ce temps-là. Il y a du jus de citrouille au frais, si tu veux.

Hermione laissa Ginny dans la cuisine et monta à la recherche de son fils qui devait déjà dévaliser son armoire pour trouver ce que sa mère allait lui mettre.

- Attend Andrew. Sèches-toi et laisse-moi chercher tes habits.

Elle ne mit pas longtemps à l'habiller pour une fois, Andrew était excité mais docile. Elle lui avait mis un polo blanc et pantacourt bleu, il était tout bonnement adorable avec ses tâches de rousseur qui ressortait avec le soleil et ses cheveux plus roux que jamais.

- Tu es bien sage avec Ginny, d'accord. Tu lui donnes bien la main et tu ne cours pas partout, si elle dit non, c'est non. D'accord ?

- Oui, Maman.

Andrew savait qu'il devait écouter sa tante et être sage sinon sa mère le gronderait. Ils redescendirent dans le hall où Ginny les attendait.

- Tu n'auras qu'à venir le récupérer à l'appartement ce soir, quand tu auras juger que tu as assez travaillé.

- Très bien, sourit Hermione devant le ton ironique de Ginny. Amusez-vous bien. Et pas de bêtises, Andrew.

- Ne t'en fais pas, il est avec moi.

- Justement, parfois je me demande qui, d'Andrew ou de toi, fait le plus de bêtises.

Ginny lui tira la langue et Andrew lui fit un signe de la main avant de transplaner avec Ginny. Hermione soupira doucement, savourant la récente solitude qu'il l'entourait et ressortit dans le jardin pour essayer d'avancer dans l'écriture de son livre.

En effet, j'avais lu énormément de livres sur la magie et son monde. J'avais peur d'être perdue ou d'être nulle. J'étais habituée à être la meilleure de ma classe, je ne pouvais pas imaginer me retrouver dernière, ça aurait été horrible.

Elle ratura le tout. ça ne lui plaisait pas.

En effet, j'avais lu énormément de livres sur la magie et son monde. J'avais peur d'être perdue, d'être nulle. Quand vous êtes habitué à avoir des bonnes notes et à être la meilleure de votre classe, vous ne pouvez pas imaginer vous retrouver en seconde position, en tout cas, pour moi, c'était alors impensable.

Tout le parchemin continuait comme cela, entre des ratures et des paragraphes indépendants. Elle aimait que tout soit parfait et voulait que son livre fasse sensation.

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- Allez Ron ! Fais pas le timide !

- Harry ! Tu commences vraiment à m'énerver et si je m'énerve, ça va pas être beau à voir et tu le sais.

- Oh ! Ce que tu peux être susceptible !

Harry et Ron étaient tous les deux dans le bureau des Aurors, chacun dans leur box qui se trouvaient face à face. Ron devait faire un rapport sur sa mission d'observation d'hier soir sur le manoir Macnair mais Harry qui se tournait les pouces, essayait depuis une heure de lui soutirer des informations sur l'avancement de sa relation avec Hermione.

- Ne me dis pas que vous êtes toujours au même point, je ne te croirais pas.

- Potter ! C'est le dernier avertissement, si tu ne te tais pas, je te lance un sort.

- Tu ne fais pas le poids !

- Tu paries ?

Leur petit jeu recommençait et il finissait toujours de la même manière…

Ron sortit sa baguette en un temps record et jeta un sort sans gravité à Harry qui tomba à la renverse de sa chaise.

- Attention à toi Weasley !

Et entre deux éclats de rires, ils se lancèrent des sorts comme deux gamins. A présent, ils couraient à travers les boxes, montaient sur les bureaux, sautaient. Pendant ce temps, ils oubliaient la guerre et leur soucis quotidiens. Rien ne comptait que de ridiculiser son ami le plus possible, c'est d'ailleurs pour cela que Ron se vit affubler de cheveux verts à la place de sa tignasse rousse et que Harry se retrouva en jupette en plein milieu de bureau.

- Tu vas me le payer ça, Weasley ! le menaça faussement Harry.

Cependant, il fut stopper en plein dans son élan.

- Allez ! Les gamins, la récréation est terminée.

Kingsley Shaklebot, le chef des Aurors venait d'entrer dans le bureau, sa taille imposante instaurait directement le silence. Ici, ce fut un silence gêné.

- Jolis vos nouveaux styles. Je ne sais pas si votre petite amie apprécierait votre nouveau genre Potter. Et le vert est définitivement trop tape-à-l'œil, Weasley, plus que le roux en tout car, ça va être dur pour les missions d'infiltration.

- Désolé, chef, dirent-ils en chœur.

- C'est rien, il faut bien se détendre parfois dans ce monde de brutes. Mais j'aimerais que vous repreniez vos aspects originaux pour ce que j'ai é vous dire.

Shaklebot était sérieux, presque las. La nouvelle qu'il allait leur dire n'annonçait rien de bon pour les deux compères. Il échangèrent un regard grave et d'un coup de baguette, il retrouvèrent leur aspect naturel. Ils vinrent s'appuyer contre un bureau en face de leur chef, attendant de voir ce qu'il voulait.

- On a trouvé son refuge.

Cette simple phrase leur glaça le sang. Il ne fallait pas plus pour comprendre de qui et de quoi il parlait. Voldemort.

- On n'a pas tous les éléments, même si on en est quasiment sûr.

- Mais on n'a pas tous les horcruxes, ça ne servirait à rien de…

- Je sais. Mais je voulais vous mettre au courant. On va le surveiller en attendant d'avoir les armes de notre côté. Voir ce qu'il fait. Comment il se prépare et d'autres petits détails.

Le silence se fit pesant et Shaklebot le brisa à nouveau.

- J'ai jugé bon de vous mettre au courant car vous êtes tous les deux très concernés par cette guerre, mais j'aimerais que tout cela reste confidentiel. Les autres ne le sauront pas tout de suite pour leur propre sécurité. On n'est qu'une poignée à le savoir je vous tiendrais au courant de la suite des événements. Maintenant vous pouvez retourner à vos activités, ajouta-t-il avec un léger sourire en quittant la pièce.

Harry et Ron n'avaient plus le cœur à la fête cependant. Cette nouvelle leur avait jeté un froid. Ils avaient trouvé le refuge de Voldemort.

- C'est maintenant qu'on entre vraiment dans la grande guerre, mon vieux.

- Ne t'en fais pas, on est tous avec toi.

- Ouai.

Harry savait que Ron ne le laisserait pas tomber, ni les autres. Mais aujourd'hui, il avait une famille et lui allait bientôt avoir la sienne.

- Tu n'avais pas des résultat à aller chercher, toi, dit Harry pour essayer de changer de sujet.

- Si. Je vais y aller.

- Allez ! Te tracasses pas, on n'y est pas encore dans la phase finale et puis on sera bien préparé.

- J'espère.

- Je te le promet.

Cette promesse n'était pas une parole en l'air. Ron le savait. Ils allaient s'en sortir. Ils gagneraient cette guerre, au fond de lui il le savait. Mais quel serait le prix à payer pour la victoire ?

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- Bonjour, je viens pour chercher des résultats.

Ron était finalement allé à Ste-Mangouste. Il n'avait pas fini son rapport mais il fallait qu'il sorte du bureau des Aurors. Harry aussi.

- Votre nom, Monsieur, s'il vous plait ?

- Weasley. Ron Weasley. Et il y a aussi des résultats au nom d'Andrew Weas… Granger. Andrew Granger.

- Ah oui. Le petit bonhomme avec des cheveux roux. Votre fils.

Apparemment son fils n'était pas passé inaperçu. Il faisait déjà des ravages dans la gente féminine. Tel père, tel fils, pensa modestement Ron avec un grand sourire.

- Tenez.

La réceptionniste de l'hôpital lui tendit deux grandes enveloppes avec un sourire que lui rendit Ron. Il quitta l'hôpital, ne sachant pas vraiment où aller. Il hésita à se rendre chez Hermione, bien qu'il en meurt d'envie. Il n'avait plus rien à faire au Ministère car il venait d'en sortir, il ne voulait pas aller au Terrier au risque de croiser ses frères ou sa sœur qui le bombarderaient de questions sur Hermione. Il en avait marre que tout le monde essaye de s'immiscer dans leur couple et c'était une des raisons pour lesquelles il n'était pas prêt à officialiser sa nouvelle relation avec le mère de son fils.

Inconsciemment, il avait transplané devant chez elle. Il sonna une fois. Pas de réponse. Il sonna une deuxième fois et attendit. Ron n'avait pas remarqué qu'Hermione au lieu de lui ouvrir la porte avait fait le tour du jardin et le regardait s'impatienter devant la porte close. C'est le rire cristallin d'Hermione qui lui fit tourner la tête.

- Tu comptais me faire attendre longtemps à ce que je vois, dit-il, amusé malgré tout.

- Non, mais tu es mignon quand tu t'impatientes.

Il se rapprocha d'elle et la prit dans ses bras pour l'embrasser. Il n'était toujours pas habitué à la sensation qui apparaissait dans son ventre à chaque fois qu'il la touchait mais ce n'était en rien pour lui déplaire.

- Je ne te dérange pas au moins ?

- Non. Viens.

Elle l'emmena dans le jardin et ramassa ses parchemins et ses plumes.

- Si, je te dérange, constata-t-il.

- Mais non, tu me permets de m'arrêter. J'ai déjà bien avancé.

Et c'est là que Ron vit qu'il manquait quelque chose. Tout était calme. Trop calme. En fait, il manquait plutôt quelqu'un.

- Où est Andrew ?

- Avec ta sœur, elle l'a emmené à la fête foraine.

- A la quoi ?

- Elle l'a emmené faire un tour et s'amuser.

Hermione n'avait pas envie de lui expliquer en quoi consistait la fête foraine, les manèges, ce qu'était la barbe à papa, etc.

Elle fit apparaître de quoi se désaltérer et c'est en voulant venir d'asseoir sur les genoux de Ron qu'elle remarqua les deux enveloppes dans sa main.

Dans une interrogation muette, il lui répondit qu'il s'agissait des résultats de Ste-Mangouste.

- Ouvre-les.

Ron posa l'enveloppe au nom de son fils sur la table et regarda la sienne. Hermione vit son hésitation flagrante et le rassura en posant la main sur son bras. Il la décacheta sans trembler et sortit délicatement le parchemin qu'il lut silencieusement, le visage impassible. Hermione n'était pas inquiète.

- Ca va mieux ? Demanda-t-elle quand les yeux de Ron eurent finis de parcourir la lettre.

Il ne lui répondit pas mais se leva et l'embrassa brusquement mais langoureusement. Il la souleva à quelques centimètres au-dessus du sol et l'embrasser plus facilement, elle était tellement petite qu'il était obligé de se pencher à chaque fois.

Elle rompit leur baiser, à bout de souffle, ne touchant toujours pas le sol. Ils se regardèrent un moment dans les yeux, se disant tout ce qui ne se disait pas avec des mots. Ron la reposa doucement en desserrant par la même occasion son étreinte mais sans la lâcher complètement. Hermione ressentait une sensation familière en elle, sensation longtemps délaissée que seul Ron pouvait lui faire ressentir.

Ron savait qu'il voulait plus. Il ne voulait plus se contenter de simples baisers, il avait besoin de passer à vitesse supérieure. Il avait besoin d'elle tout simplement. Il lui fit comprendre par un regard.

Hermione se mordit la lèvre inférieure, elle n'allait pas résister longtemps non plus. Elle savait qu'ils étaient seuls pendant encore plusieurs heures. Elle en avait envie. Elle se mit sur la pointe des pieds et l'embrassa lui faisant comprendre qu'elle aussi avait envie de lui.

Comme une adolescente qui profite de l'absence de ses parents pour amener son petit ami chez elle, Hermione prit Ron par la main et sans un mot, ils rentrèrent dans la maison et montèrent à l'étage. Ron sourit intérieurement, en pensant qu'Hermione n'avait jamais été vraiment à l'aise ailleurs que dans une chambre pour ce genre d'activités, même si à son souvenir, leur fils avait dû être conçu dans un endroit beaucoup plus… officiel… comme dans un certain bureau du Ministère de la Magie…

Elle fit claquer la porte dans un bruit sec et Ron prit ceci comme le signal, il la plaqua gentiment contre ladite porte et l'embrassa fiévreusement. Ne s'attendant pas à tant de ferveur, Hermione laissa un gémissement franchir ses lèvres. Elle était passive sous les mains de Ron qui commençaient un travail sensuel contre sa peau. Ron délaissa sa bouche et s'autorisa un sourire, il avait toujours aimé lui faire perdre le contrôle d'elle même et il n'y avait que dans cette situation là qu'il y arrivait. Dans un éclair de lumière, Hermione retrouva une partie de lucidité et repoussa Ron pour l'allonger sur le lit derrière qui n'attendait qu'eux. Elle monta à califourchon sur lui et la ballet commença. Lentement avec plein de douceur, ils redécouvrirent le corps de l'autre.

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Fermement enlacés, vêtus en tout et pour tout d'une drap bordeaux, ils ne disaient rien et contemplaient le plafond. Ils restèrent un moment dans cette position, redescendant lentement sur terre.

- Il va falloir que j'aille chercher Andrew chez Harry, murmura Hermione.

- Il va aussi falloir lui parler maintenant. Je n'ai plus très envie de m'endormir seul, si tu vois ce que je veux dire.

Hermione sourit.

- Tu ne penses qu'à ça.

- Non. Je ne pense qu'à toi et à mon fils.

Elle l'embrassa et se redressa.

- Je vais aller prendre une douche rapide et m'habiller.

Ron la regarda, confortablement allongé dans les oreilles, les mains croisés derrière la tête. Il poussa une exclamation quand elle se leva en emportant le drap enroulé autour d'elle.

- Ne fais pas la pudique, Chérie. Je t'ai déjà vu tout nue.

Elle l'ignora et pénétra dans la salle de bain adjuvante à la chambre. Elle lui relança le drap à la figure juste avant de refermer la porte.

Au bout d'un moment, Ron entendit l'eau couler, il pensa la rejoindre mais il était bien là où il se trouvait. Il était paisible et savourait ce nouveau départ.

Quand Hermione ressortit de la salle de bain, coiffée et vêtue comme il le faut, elle s'étonna de voir Ron endormi avec un sourire aux lèvres. Il était beau. Elle l'aimait. Merlin ! Ce qu'elle pouvait l'aimer. Elle l'embrassa doucement et remit correctement le drap sur lui avant de descendre et de se rendre chez Ginny pour aller chercher son fils, elle saura lui expliquer la raison de la présence de son père. De toute façon, elle était presque certaine qu'Andrew ne s'en formaliserait pas, trop contente de le voir.


Merci à

chaton weasley, Lizoune, elie du Chicaneur, LiLy Jolie, dreamy's, Elliania, GinnyPotter02, milly, emmi la beletinette, Anacofleb, wiwi love ron-hermy, Lil'Ashura, Paddy, Emmy, Lucile, 'Clochett'

pour leur reviews.

Je ne sais pas si je pourrais faire une mise à jour la semaine prochaine, à moins d'un grand élan d'inspiration et de courage vendredi et samedi puisqu'à défaut de partir en vacances, je vais faire une petite escapade in London with my friends, pendant 3 jours. Rien de bien méchant, juste de quoi changer d'air et de jouer les touristes dans la magnifique capital anglaise. Je vais tout même essayer de vous pondre un petit truc, peut-être un OS en rapport avec la fic, mais je ne m'avance pas trop, avec moi il faut savoir être imprévisible! lol

Gros bisous