Note de L'auteur :
Je n'avais pas décidé de mettre une suite, mais en relisant, et en découvrant les reviews je me suis dis, pourquoi pas ?
Je vous laisse alors avec le dernier chapitre de Pas assez de toi, qui est un POV de Draco cette fois.
Pour toutes celles sui suivent mes autres fics, je m'excuse du retard que j'ai pris, c'est juste que le site n'arrete pas de buger chez moi, et je n'arive pas à poster mes chapitres, mais j'ai bon espoir que la suite de In my head arrive bientot, quand à Tout simplement serpentard, il faudra attendre un peu, par contre j'ai déjà écrit le petit bonus pour Juste ton corps contre le mien reste à le taper...
j'arrete de blablater et je vous laisse!
Bonne lecture à tous !
Pas assez de toi :
Pansy, ma jolie petite Pansy…pourquoi me fuis-tu ? Que crains-tu ?
Depuis quelques temps tu n'es plus la même, tu semble avoir un secret qui te pèses, qui te fait souffrir et qui t'enchantes.
Est-ce un homme ma princesse ? Est-ce lui ton secret ?
Ma petite Pansy, tu es à moi, ton cœur ne doit pas être à un autre. Donnes lui ton corps si tu veux mais rien d'autre en plus.
Je sens ton regard brûlant sur moi pendant que je tiens cette fille dans mes bras. Cette fille qui n'est pas toi. Je te sais derrière nous, en train d'étudier apparemment. Je devine tes yeux noirs, qui doivent être remplis de douleurs, de reproches, de colère…toutes ces choses que ta fierté t'empêche de dire quand je suis avec une autre.
J'aime te brûler Pansy, j'aime te glacer aussi…au fait, j'aime te faire ressentir toute sorte de choses. Je me réjouie quand je lis dans tes yeux la colère, la peur, l'envie, le désir, et parfois même, cette étrange lueur que tu as quand tu m'observe.
L'amour.
Car oui, tu m'aimes ma Pansy, tu ne le sais peut-être pas encore, mais à quel point ?
Dis moi ?
A quel point m'aimes-tu ?
Aimes-tu mon corps, mon nom, ou ce que je suis réellement ?
Moi je ne t'aime pas.
Les sentiments souillent la beauté des choses. Et tu es si belle ma Pansy. Je ne veux pas te salir plus que tu ne l'es.
Alors, pour ne pas te souillée davantage, je fais plus que t'aimer. J'ignore le mot pour dire cela. Je te veux à un point qui me fait peur, je ne me lasse jamais de ton corps. Jamais.
Je ne me lasse aussi jamais de ce que tu es. Je ne me lasse jamais de toi, de ton âme, de ta voix, de toi.
Non, je ne t'aime pas, ce que je ressens est bien plus beau que cela, au-delà de tout ça.
Mon regard sur toi est caressant en cet instant, car je sais que tu ne me vois pas, tu semble captivée par ce que tu écris.
Qu'écrit-tu ma princesse ?
Sentant mon regard sur toi tu lèves la tête et nos yeux s'accrochent.
Tes yeux s'écarquillent un peu, de la surprise passe sur tes traits…tu as l'air de te rendre compte d'une chose importante, une révélation peut-être ?
A quoi pensait-tu ?
A quoi penses-tu ?
Tes yeux me caressent et se pose sur cette fille dans mes bras. La lueur s'éteint.
Et là, je me rend compte.
Et là, je sais.
J'ai découvert ton secret ma Pansy. J'ai découvert ton homme.
Tu n'as pas changé Pansy, tu as seulement arrêté de te mentir à toi-même.
Vois la vérité en face, ma princesse : tu me désires, tu me veux. Corps et âme. Je suis ton rêve.
Depuis toujours.
Depuis, l'été de nos 14 ans tu m'appartiens, toi, ma jolie petite chose.
Je suis aussi à toi Pansy, le sais-tu seulement ? Différemment c'est tout.
Une boucha avide s'empare de la mienne, m'arrachant à ton image. Irrité, je repousse l'impertinente, et me dirige vers toi.
Je suis ton rêve et tu es le mien.
Mais ça, tu l'ignores.
Tu ignores tant de chose ma jolie Pansy.
Toutes ces choses que je te murmure la nuit, quand tu dors après l'amour. Tous ces secrets que tu gardes inconsciemment. Toutes mes craintes, mes envies, mes peurs et mes désirs…tous ce que je te confis à mi-voix quand tu dors entre mes bras, nue. Pendant que je caresse ton visage, et que je t'avoue tout ce qui se passe en moi, et que je t'avoue pourquoi, je te fais tout cela.
Pourquoi je baise toutes ces filles.
Pourquoi je ne t'accorde aucun regard quand tu es avec un autre homme. Un homme qui n'est pas moi.
J'ai bien trop peur que tu ne découvres tout, que tu lises au fond de mes yeux ce qui se passe vraiment en moi. Que tu saches toutes les choses que je m'évertue à te dire dans ton sommeil.
Tous ce que je n'ai pas le courage de te le dire en face, alors je te provoque, pour que toi, tu l'aies ce courage.
Pour que tu me viennes me dire les mots que tu attends de moi.
Mais tu ne dis jamais rien.
Tu me laisse te détruire à petit feu, sans te douter une moindre seconde, que moi aussi je souffre, que derrière mon masque de glace, je me consume.
Tu m'aimes Pansy, j'en suis certain.
Ta manière de me regarder, tes caresses, le son de mon prénom de ta bouche, tes lèvres quand tu embrasses ma peau...tout cela ne trompe pas.
Mais tu ne dis rien, tu ne réagis pas, tu me laisses te baiser. Et en ces nuits je te hais, de me laisser te faire ça. Et je me déteste de continuer. Car en ces nuits, je sens que quelque chose au fond de toi, crie, crie, crie vers moi, et déchire ton rêve (1).
Et il ne faut pas briser un rêve. Il ne faut jamais le briser. Pourtant Dieu seul sait, combien de fois je l'ai fait.
Je me laisse tomber à tes cotés.
- Bonjour Draco.
Ta voix est douce, enveloppée d'ironie.
- Tiens.
Tu me jettes un parchemin sur les genoux et te redresses :
- Lis le, brûle le, fais-en ce que tu veux…je ne comptais pas te le donner, mais qu'importe après tout…ce n'est pas comme si tu l'ignorais…n'est ce pas , mon ange…
Puis, sans autres explications tu retournes au château.
Je déplie la lettre et commence à la lire.
Tout ce que j'avais voulu que tu me dises, se retrouve écrit.
Toute ta haine, ta colère, ton dégoût de toi, ton amour pour moi, tout ce qui fait que tu es toi se retrouve ici.
Dans cette lettre à personne comme tu l'a écrit.
Est-ce la vérité Pansy ?
T'ai-je réellement fait ressentir tout cela ?
Un sourire de prédateur étire mes lèvres. Si tout ce qui es écrit là est vrai, ma Pansy, sache que je ne te lâcherai plus jamais.
Tu te demandes ce que je t'ai fait ?
C'est simple ma jolie, tu ne ressens que le miroir de ce qui est en moi.
Je me lève, et marche sur tes pas, en glissant furtivement le parchemin dans ma poche.
Le brûler as-tu dis ?
Jamais mon ange.
Je vois ta silhouette se découpée contre un mur, attendant quelqu'un.
Moi sans doute.
Il n'y a pas besoin de déclaration pour nous.
Le sourire s'agrandit sur mes lèvres.
Tu t'en aperçois, et tes yeux brillent.
Je m'approche encore, jusqu'à coller nos deux corps, mes mains de parts et d'autres de toi. Nos souffles se mélangent, nos corps se font brûlant.
La suite ne concerne que nous.
Fin
Lisianne Black : Hello miss ! je suis positivement ravie par ta review, c'est exactement ce que je voulais faire passer ! c super que t'ai aimé j'espère que la suite t'as plu et a était a la hauteur du début ! biz !
Lilli-PuceVoila la suite que tu demandais, alors verdict ?
Ezilda : Coucou, ravie de savoir que tu as apprécié, j'espère que la suite t'a plu !
Miss Hell Black : merci pour tes encouragements ma puce, ça me fait chaud au cœur !
Staphyla : Waouh t enthousiaste toi ! Non, vraiment c gentil de ta part, kiss
Lotis et Lola : ok, ok, suite à votre review j'ai mis la suite, alors contente(s) à vous de dire ce que vous en pensez…euh….est ce que vous étés deux par hasard ? Ou c juste un pseudo…lol. Bizous !
Mog :salut! merci d'aimer, mais je n'arrive pas a acceder au site ou blog dont tu m'as laisser le lien, pourrais tu me le mettre en entier, cette fois ci? Je suis curieuse de voir se que tu as fait de mon texte!
(1) : Petite phrase de Rainer Marie Rilke, que j'ai un peu modifié.
Et voilà la fin de cette fic, merci à tous ceux qui l'ont suivi, n'hésitez pas à laissez vos avis, et plein de review, ça fait toujours plaisir, j'espère vous revoir bientôt sur un autre de mes fictions !
A la prochaine !
Bizou !
