Titre : Je te retrouverai…

Auteur : Lyes

Anime : FullMetal Alchemist

Disclamer : Les personnages de FullMetal Alchemist ne m'appartiennent pas.

Genre : Romance/Mystère (je ne vous dit pas tous les spoils inventés que j'ai mis dedans)

Couple : Roy x Edward

Rating : Tout public, jamais vu plus soft…

Attention, spoils sur la série.


Résumé de l'épisode précédent (tadadaaam)

Après le massacre de son village, le jeune Roy Mustang est sauvé par une étrange inconnue. Bien que temporairement aveugle, il ne peut s'empêcher de ressentir quelque chose de troublant à l'égard de celle-ci. En attendant sa guérison, il fait la connaissance d'une autre garçon du village où il a été recueilli : un certain Maes Hughes.


Dans un vide oppressant, une flamme bleue vacillante surgit de nulle part, oscillant faiblement, menaçant de s'éteindre, semblable à un candélabre exposé à une brise interrompue par intervalles irréguliers.

Un crépitement inaudible perdurait jusqu'à ce que la flamme tout à coup s'amplifia, comme si le semblant d'air planant dans l'infini l'avait attisée.

La lumière dégagée avec une puissance presque destructrice l'aveugla.Roy tendit lentement la main, fasciné par ce brasier perpétuel.

Celui-ci allait, croissant, atteignait un ciel invisible. Il n'avait pas peur : son excitation et sa fascination faisaient frémir son âme, comme déterminée à sombrer dans cette incandescence jouissive.

Lentement, il s'approcha, ses doigts se tendirent pour attraper les flammèches qui s'envolaient de toute part en décrivant des trajectoires aléatoires.

Encore quelques centimètres et sa main irait caresser cette flamme bleue…

"Aaargh !"

Roy ouvrit les yeux et repoussa violemment les couvertures, se redressant soudainement.

Ses yeux résolument noirs fixaient confusément le vide devant lui et balayaient frénétiquement la pièce sans conviction, une peur indicible se reflétant dans le fond de ses pupilles que personne ne pouvait voir.

Bien que conscientde la perte temporaire de sa vue, un mélange de surprise et de peur le happait à la gorge lorsqu'il se trouvait face aux ténèbres, même les yeux ouverts.

La surprise passée, ses oreilles établissaient en premier lieu le véritable contact avec le monde dit extérieur et le rassuraient comme jamais.

S'il devait mourir à chaque fois qu'il était pris de frayeur, il aurait pu remplir l'allée d'un cimetière communal.

"Mais ça va pas ? Ronchonna une voix au ton douloureux. Qu'est-ce qui te prend d'aller planter tes doigts dans mes yeux ? Ce n'est pas parce que tu es aveugle qu'il faut que tu te venges sur les autres !"

La voix familière qui résonnait à ses tympans remonta jusqu'à son cerveau. Celui-ci l'analysa et la reconnut comme celle d'un singulier individu nommé Hughes (Maes de son prénom, cependant il voulait qu'on l'appelle par son nom de famille, ce qui le rendait soit disant plus classe) et qui était considéré comme un camarade qui venait lui rendre visite de temps à autre depuis plusieurs jours.

Hughes continua de pester contre Roy tandis que celui-ci émergeait lentement de l'étrange fond sous-marin où il s'était glissé.

« Quelle heure est-il ? » demanda-t-il.

Hughes lui répondit aussitôt (stoppant ainsi ses réclamations) :

« Bientôt 18h, mais il n'y a pas d'horloge ici, je n'en suis donc pas sûr…»

«Ah…»

Sa paume alla involontairement se poser sur ses yeux mais ne rencontra qu'un bandage soigneusement serré autour de ses yeux et de son front, mais suffisamment large pour qu'il puisse ouvrir ses paupières.

Sa présence ne servait qu'à l'empêcher de se frotter les yeux et de recevoir une trop grande quantité de lumière qui pourrait nuire à son rétablissement. Le geste qu'il esquissa par désagrément dérangea le pansement, qui se dénoua légèrement.

"Hé ho, tu m'entends ? C'est moi, Hughes, à part le fait que tu as attenté à ma vie non sans scrupules, je viens t'annoncer qu'on t'enlève ton bandage ce soir, au coucher du soleil... Raaah, tu l'as encore tripoté, il s'est un peu enlevé et bien sûr c'est moi qui va me faire engueu..."

"Comment tu sais qu'on me l'enlève ce soir, coupa Roy, qui te l'a dit ?"

Hughes lui répondit, décontenancé : "La vieille, elle est passée..."

"Mme Borgot ?"

Mme Borgot était une veille sexagénaire sans mari ni enfants qui ne vivait que pour respirer l'air d'une vie paisible à l'abri des troubles, surtout ceux qui secouaient le pays depuis ces dernières années.

Sa bonté était doublée d'une naïveté et d'une candeur parfois déroutante.

Décrite comme une vieille chétive au regard empli de patience, c'était la personne qui avait accepté d'héberger Roy et l'inconnue, malgré les refus polis de ceux-ci, en raison de la longue distance séparant le village du plus proche hôpital et surtout du fait que Roy ne souhaitait en aucun cas se séparer de la jeune fille.

Roy prenait une chambre voisine aménagée exceptionnellement (heureusement que Mme Borgot faisait régulièrement le ménage) à l'étage tandis que la jeune fille couchait dans la pièce d'à coté.

Roy s'était demandé comment cela se faisait que Mme Borgot possédait plusieurs chambres alors qu'elle ne possédait aucune famille, on lui répondit simplement qu'ils n'étaient pas les premiers à être hébergés par elle, une réponse qui les laissa silencieux.

"Non, pas elle, l'autre, je ne sais pas comment elle s'appelle, celle qui t'a sauvé..."

Ce dernier mot fit aussitôt vivement réagir Roy :

"Tu veux dire ELLE ?"

Surpris par cette réaction excessive, Hughes ne put que bégayer "Euh...o..oui". Roy se mit à tourner instinctivement la tête comme pour chercher quelqu'un -alors qu'il savait pertinemment que c'était vain voire complètement inutile.

"Pas la peine de la chercher, elle dort dans la pièce d'à coté..."

"Quand est-elle passée ?"

"Quelques minutes avant que tu ne te réveilles, au moment où je suis entré, je l'ai vue de dos, assise au pied de ton lit, à peine avais-je ouvert la porte qu'elle s'est relevée puis m'a dit de veiller sur toi pendant qu'elle se reposait un peu, puis elle est ensuite partie dans la pièce voisine en ajoutant qu'on t'enlèverai le bandage ce soir, sans que je lui ai demandé quoi que ce soit..."

Hughes marqua une pause avant de reprendre d'un ton que Roy sentait mesuré :

"Elle est bizarre..."

Roy acquiesça : il était parfaitement d'accord, mais pas du même point de vue.

Depuis leur rencontre, la liste des questions qu'il lui posera une fois sa guérison complète en plus de ses remerciements en face, comme tout homme digne (car il aurait l'air bien piteux, à la remercier en étant aveugle), ne cessait de s'allonger.

Depuis longtemps, la curiosité à propos de cette étrange voyageuse qui semblait savoir tant de choses, le consumait.

Il était parfaitement conscient de tous les mystères l'entourant, et malgré son éducation, il souhaitait tout savoir d'elle.

Paradoxalement, par respect, il se disait de garder le silence, car chaque personne possède des secrets dont il ne souhaite partager avec personne, en particulier elle.

De même, c'est ce coté si impénétrable qui le rendait tout chose, comme si une magie indéfinissable s'était emparé de son esprit et la seule peur de briser ce charme qui le rendait si heureux, lui suffisait à vouloir se taire et discuter comme si de rien n'était.

Ce point de vue le rendait triste d'une certaine manière, comme s'il était seul à se débattre dans des filets de décisions aux issues parfois imprévisibles.

Seule une chose ne changeait pas depuis sa première rencontre avec elle : le sentiment unique qui résonnait la fois dans son âme et son corps à chaque fois que sa pensée allait vers elle et cette envie de rester à ses cotés, de la protéger, bien que ce soit elle qui le protégeait en ce moment.

Au départ, il croyait que ce sentiment était identique à celui qu'il éprouvait à l'égard de sa mère c'est à dire rester avec elle et de se faire cajoler; pourtant, en plus de cela, une volonté tenace de la protéger, de veiller sur elle, de la rendre heureuse l'assaillaient, malgré son âge, malgré son infériorité, malgré son impuissance.

« Protéger...

- Gné ?

- Non, rien.

- Tu veux une pomme ?

- ...»

Hughes lança la pomme que les doigts de Roy saisirent habilement en plein vol. (1)

« Oh, tu ne la rates plus cette fois-ci, tu apprends décidément trop vite, quel talent ! Et rien qu'avec l'oreille en plus, j'applaudis.

- Garde tes commentaires pour toi.

- La lumière du soleil doit te manquer, non ?

- Sans doute répondit-il sans grande conviction. »

Après tout, il s'était habitué à rester 23h45 sur 24 dans le noir et s'en accommodait sans réel problème sans compter les pénibles moments de réveil.

Son séjour nocturne lui avait permit entre autre de prendre conscience de choses essentielles autour de lui et dont il n'aurait jamais pu profiter s'il avait continué à percevoir de ses yeux le monde.

Un léger bruit sourd l'interrompit.

« Elle se réveille.

- Ah bon ? Ah, j'avais oublié que tu étais plus attentif aux sons...»

Hughes engloutit le reste de sa pomme puis se leva.

Roy l'entendit se diriger vers la porte menant vers l'escalier.

« Mais où vas-tu ?

- Ben, je m'en vais.

- Pourquoi ?

- Pour vous laisser seuls, quelle question ! »

Roy n'eut même pas le temps de répondre (qu'allait-il lui dire, de toute manière) que les pas de Hughes résonnèrent frénétiquement dans l'escalier.

Surpris, il attendit quelques secondes, puis la poignée se tourna, attirant son attention.

Il dirigea son visage en direction du bruit et tenta de ne pas avoir l'air ridicule en fixant le vide. Il avait beau savoir à l'avance où est-ce qu'une pomme allait tomber, lorsqu'il s'agissait de repérer la présence de l'étrangère, l'exercice, qu' il considérait plutôt comme un jeu, se révélait plutôt ardu.

Lorsqu'elle marchait sur le parquet, ses oreilles percevaient à peine le glissement de chacun de ses pas, même dans le silence le plus total, alors que ceux de Hughes étaient comparables à ceux d'un éléphant s'écrasant sur une surface plane -surtout quand il gigotait çà et là- (2).

La seule manière de pouvoir la "repérer" à l'avance était de guetter tous les signes provoqués par elle sur des objets extérieurs, tels la poignée d'une porte, le déplacement d'un vase, l'affaissement du lit.

« Bonjour, ça fait longtemps que tu t'es réveillé ?

- Non, cela fait juste quelques minutes, Hughes était là, mais il vient de s'en aller, vous allez bien ?

- Moyennement, je n'ai pas l'habitude de dormir et ça m'épuise considérablement...marmonna-t-elle, entrecoupée par un bâillement. »

Mustang fronça les sourcils : ce ne devrait pas être plutôt le contraire ?

« Hughes m'a dit qu'on m'enlèvera mon pansement demain, est-ce vrai ?

- Oui, bien sûr »

Il tendit soudainement l'oreille. Elle murmurait.

Certainement pour elle-même tellement les paroles prononcées furent inaudibles :

" Ca arrive. Ca arrive bientôt. Tout sera fini."

Ces mots le firent trembler imperceptiblement.

Que voulait-elle dire ? Parlait-elle de lui ?

De nombreuses idées l'assaillirent de toutes parts et tout à coup, une peur panique

le prit aux entrailles.

Il leva inutilement la tête, en se demandant si elle avait prononcé ces mots exprès ou qu'il les avait entendu par le plus grand des hasards.

Certes, il entendait à présent ce que d'autres ne peuvent entendre tellement leur ouïe est obnubilée par des sons étrangers, mais à ce moment-là, le son de sa voix, à elle, était si étrange, avec un air à la fois si mélancolique et de délivrance que la rougeur qui baignait ses joues disparurent ensuite, laissant place à une pâleur sans précédent.

« Quelque chose ne va pas ? » lui demanda soudainement l'étrangère, inquiète.

Mustang leva de nouveau la tête.

Quelque chose en lui sembla trembler et le glaça jusqu'au sang.

Heureusement, sa voix, à elle, bien que lointaine de ce qu'il s'était imaginé, c'est à dire celle d'un ange entre deux mondes, réchauffa pourtant le cœur de Mustang lui permettant un instant d'oublier son angoisse.

Il secoua fébrilement la tête et lui demanda d'une petite voix timide :

« C'est toi qui m'enlèvera le bandage ? »

Tu partiras ? cela voulait-il dire.

Après tout, cela faisait longtemps qu'il y avait pensé mais jamais cette idée ne lui avait semblé sérieuse.

Il existe des gens qui n'ont plus aucune attache et qui voyagent, avec ou sans but, mais qui marchent sans s'arrêter. Quand elle et lui conversaient ensemble, Roy était persuadé qu'elle faisait partie de ces gens.

Il avait entravé sa route, il l'a obligé à rester ici pour s'occuper de lui.

Par conséquent, il avait l'impression d'avoir commis un sacrilège.

Lorsqu'elle lui enlèvera son bandage, cela voudra dire qu'elle aura terminé le traitement qu'elle lui administrait et que c'était peut être le signe de son départ.

Une sorte de libération.

Voilà certainement pourquoi elle avait dit "Ca arrive. Ca arrive bientôt. Tout sera fini."...

En effet, ce sera bientôt terminé. Une fois guéri, ne reprendra-t-elle pas son chemin ?

Et finalement, il n'aura été qu'une courte page de son existence à elle, pareil à une poussière, son souvenir s'estompera et elle l'oubliera, le petit enfant qu'elle a aidé, sans plus.

Sa conscience admettait cette idée, mais poussé par un égoïsme enfoui, sa volonté, pourtant si fière, hurlait de toute son âme qu'elle reste auprès de lui et qu'elle ne s'en aille jamais.

Qui était-il pour souhaiter autant qu'elle reste auprès de lui ?

Qu'elle abandonne son itinéraire pour veiller sur lui ?

Ses deux volontés se battaient dans son esprit, celle qui ne voulait imposer plus encore sa charge et celle qui souhaitait la garder à jamais.

« Peut-être que le médecin est quelqu'un de beaucoup plus apte à le faire, non ? Répondit-elle. Et les médecins sont plus dignes de confiance qu'une inconnue comme moi, sans expérience, une simple nomade »

Roy grogna mentalement : N'importe quoi, il avait bien senti qu'elle possédait beaucoup plus de connaissances qu'autant de nombreux médecins réunis mais qu'elle les cachait habilement. Une simple nomade ? Peu importe ses origines, son identité ou son apparence, elle était à ses yeux une des personnes à qui il tenait le plus au monde... Elle est celle qui l'a sauvé, celle qui l'a protégé, celle qui lui a permis de garder espoir en ce monde.

Ses mains devenues moites et serrées sur la couverture, Roy luttait pour s'empêcher de lui poser directement la question : Allait-elle partir ? Ou plutôt, allait-elle le laisser seul ?

Son propre égoïsme le dégoûtait mais la simple idée qu'elle puisse partir à jamais déchirait son cœur.

« Tu seras à coté de moi ? »

« N'aie pas peur, il n'y a aucun danger, de plus le médecin de ce village est un très bon médecin, je l'ai remarqué, et tous les villageois lui font confiance »

« Ce n'est pas ça ! » pensa violemment Roy qui se retint à nouveau de glisser son visage entre ses mains, une habitude qu'il haïssait plus que tout, trahissant ses faiblesses.

Mais pourquoi ne répondait-t-elle pas à sa question ? Pourquoi il n'arrivait pas à le lui demander directement ? Est-ce que ça voudrait dire qu'elle allait partir ?

Depuis que Roy était aveugle et portait un bandage autour des yeux, il s'efforçait de ne laisser paraître aucun sentiment, car ne pouvant se voir dans un miroir ou bien d'observer les réactions de ses interlocuteurs, il craignait de paraître ridicule en laissant transparaître toutes ses émotions sur son visage.

Mais là, ceux-ci l'avaient l'emporté. Elle remarquait les différentes mimiques qu'esquissait Roy sans en être conscient, à savoir se mordre la lèvre et garder un air désespéré sur son visage, assez visible malgré le bandage.

Elle entrouvrit les lèvres comme pour dire quelque chose, puis se ravisa.

Juste ces mots prononcés d'une voix plus douce qu'à l'ordinaire :

« Bon, ça va être l'heure, je vais chercher le médecin. »

Elle se leva et s'en alla en ignorant les crispations des doigts de Roy sur la couverture.

Ne pars pas, ne pars pas, ne pars pas !

La porte se ferma doucement laissant place à un silence pesant.

Quelques minutes plus tard, la porte se rouvrit.

Mustang, qui n'avait pas bougé entre-temps, sursauta et tendit l'oreille :

Elle est revenue ? Non, ces bruits de pas...

« Hughes ? »

Hughes eut un léger sourire et alla s'adosser contre le bas du lit.

« Je m'excuse à l'avance, j'ai écouté la conversation, dissimulé derrière la porte... »

Roy s'étonna de ne pas l'avoir entendu remonter les escaliers et rester derrière la porte, Hughes n'était pourtant pas quelqu'un de silencieux.

La conversation l'avait si bouleversé qu'il n'arrivait même plus à se concentrer.

« Elle savait que j'étais là, quand elle est sortie et qu'elle m'a vu à coté de la porte, elle m'a regardé et n'a fait aucun commentaire, puis elle est descendue »

Voyant l'absence de réponse, il continua :

« Tu sais, elle m'intrigue vraiment...

Enfin, je n'ai pas l'habitude d'écouter aux portes mais c'était plus fort que moi...

Et puis j'ai pu comprendre « certaines choses » ajouta-il avec un clin d'œil, bien que Roy ne le vit pas.

Celui-ci restait immobile, le visage enfoui dans ses genoux, puis il au bout d'un certain moment, il releva lentement la tête.

« De temps en temps...Je me dit que j'aurais bien aimé rester aveugle...Que ça dure...Pour toujours...»

« Hé ho, ne dis pas ça, lorsqu'on t'enlèvera ton pansement, tu pourras enfin revoir le monde et surtout tu pourras enfin la voir, n'est-ce pas merveilleux ?

- Qu'est-ce qui te fait dire que j'ai envie de la voir ?

- Trop de raisons pour que je puisse les nommer.»

Roy sembla réfléchir un instant puis on toqua à la porte.

« Bon, je suppose que tu n'as rien à craindre"

Après un silence incertain, Roy lui répondit :

« Non, j'ai confiance »

« Bien sûr, je suis là...et elle aussi ! »

L'esprit agité de Roy s'apaisa soudainement.


(1) Roy et la pomme : Je vous explique, Hughes lance la pomme et Roy à l'oreille, sait où elle va atterrir et l'attrape avant qu'elle tombe...

(2) Hughes et l'éléphant : Ca ne vous rappelle pas quelque chose, si vous savez, l'imagination excessive d'Havoc, comme quoi...

Note : Il ne passe quasiment rien dans ce chapitre (mais qu'ai-je donc écrit ? Oo) , mais l'autre arrivera vite.
En espérant qu'il vous ait quand même plu.

Note 1 : Ah ça va certainement troubler, mais j'ai changé de pseudo, je suis maintenant Lyes, vous pouvez continuer à m'appeler Gabriela, c'est juste que gabriela.gosden (gg) ça faisait trop bizarre -.-, donc ne soyez pas trop surpris. Si c'est le cas, je m'en excuse s'incline

Note 2 : Je vous demande un ptit service, à ceux qui ont le courage de suivre ma fic. Pourriez-vous, si l'envie vous prends, de me soumettre une idée de « Résumé de l'épisode précédent » , on va dire que c'est assez saoulant de devoir résumer mes chapitres précédents et j'ai parfois peur de ne pas citer l'essentiel de manière objective. J'utiliserai le meilleur pour l'afficher dans le prochain chapitre (il s'agit de résumer brièvement les anciens chapitres et de décrire un peu plus l'avant-dernier, tout ça en trois lignes)

Note 3 : On va enfin voir le vrai visage de l' « inconnue », moi-même, je m'excite rien que de l'écrire xD, Au prochain, chapitre, l'intro sera terminée, on attaquera les choses sérieuses hé hé

Note 4 , aucun rapport mais Akino Arai passe en France, mais les places du concert sont chères, snif ;; (60€ à 40€)

Note spécial Tanks : J'érigerai un autel en l'honneur d'Emaya, bêta-lectrice bénie, j'espère que tes bacs blancs se sont bien passés

Lyes / Gabriela