Harry Potter
Faire preuve de Chasteté
Yuyu'l'Ayu
Chapitre 3 : Élucider ce mystère, ça tombe à l'eau!
Nooooooooooon! Nooooooooooon!
Accablé par le trop de pensée douloureuse, souffrant de toute cette chaleur qui amplifiait sa température et enfin tous ses tremblements incompréhensibles qui s'entrechoquaient à ses gémissements le réveilla, de nouveau. Sa cicatrice renouvelait encore une fois d'une forte migraine pesante, dont Harry aurait crut que son cerveau exploserait, comme autrefois… Certes, il avait ressenti cette douleur dans la pensée, lors de ses cauchemars qui s'étaient révélé prémonitoire. À cette fin, Dumbledore avait demander au Professeur Rogue son entraînement « d'esprit » pour pouvoir fuir les pensées de Voldemort qui s'était reliés à lui. Malencontreusement, le simple fait d'avoir eu de la pitié pour ce répugnant Serpentard, de savoir à quel point James, son propre père torturait ce pauvre garçon…
Mais il n'avait pu comprendre Snape, car celui-ci avait fait abattre toute relation de compréhension sur-le-champ,
Repensant à ces quelques petits accrochages du passé, le Gryffondor sentait sa douleur se dissiper peu à peu et son comportement cesser toutes ces impressions, ces émotions qui se mélangeaient dans une affreuse cacophonie. Le Survivant attrapa ses lunettes de sur sa table de chevet et essaya légèrement de se relever pour s'asseoir à même son lit, mais…
Argh ! Aaaaah! Aaaoooh, aïe!
Allons M. Potter, ne vous lamentez pas de cette façon, vous allez faire fuir les blesser de l'infirmerie. S'écria Pomfresh en accourant aux gémissements « sauvage » du Gryffondor.
Harry ne broncha pas. L'infirmerie ? Il était vraiment à l'infirmerie ? Pomfresh secoua un peu son oreiller et rabattait plusieurs draps contre son interlocuteur qui lui pouvait à peine respirer sous toutes ces couvertures qui l'emmitouflaient. Soudain, sa côte se remis à lui faire lâcher un hurlement, elle semblait se déchirer en lui comme lorsqu'une plais n'est que trop profonde et que l'on y pénètre un couteau afin d'accéder à une certaine jouissance obscène.
Vous êtes sûre que je suis à l'infirmerie ? Demanda Harry totalement endormie et à peine ses yeux voulaient-ils s'ouvrir.
Mon cher enfant, si vous ne vous rendez pas compte que vous vous situez au dernier étage en compagnie de nombreux agonisants, je remercie le ciel que M. Malefoy vous est ramener! Vous ne filez certainement pas bien alors rester tranquille! Répondit-elle d'un ton brusque en secouant le jeune sorcier qui se débattait de son lit.
Je ne suis pas un enfant! Hurla le Gryffondor, comme si ces paroles valaient la peine de hurler et de se faire souffrir de nouveau.
Le Survivant cessa promptement toute bagarre nappée de draps avec Pomfresh, c'était plutôt inutile tandis que lui n'était pas dans sa plus grande forme. Malgré qu'il aimait bien enrager tout les professeurs et le personnel de Poudlard, surtout les élèves. C'était marrant pour lui, Harry se croyait parfaitement la petite ou plutôt, la grande terreur de Poudlard. Aurait-il surpasser les Serpentard? Même Malefoy ? Un sourire se dessina sur ses lèvres, un sourire quelque peu enjôleur et pervers… L'infirmière céda aussitôt et s'éloigna du lit d'Harry, elle prenait la fuite vers de nouveau blesser. Il n'était qu'à sa deuxième journée pour une nouvelle année et il se sentait déjà planer par toute cette bagarre fournis dans cette école!
Regardant de gauche à droite, le Gryffondor remarqua rapidement qu'il était bel et bien dans l'infirmerie de l'école, comme chaque année. Il y avait encore quelques lits vides immaculé de simples draps blancs à peine froisser, de deux Serdaigle qui se tournaient le dos, d'une jeune fille de première totalement empailler de pansement la tête au pied et…
Harry! Tu te retrouves encore à l'infirmerie. S'écria Neville Longdubat avec quelques gloussements qui eu pour trouver cette situation « amusante »
Ça l'air que ca ressemble à sa. Tu sais, on est pas toujours aussi « chanceux » que toi. Répliqua Harry amèrement, même sous les reproches de Pomfresh à faire attention à son langage.
Neville resta perplexe, lui chanceux? Harry délirait vraiment! Le jeune Gryffondor toujours aussi perdu dans sa tête que moralement, évita soigneusement la réponse comme s'il était un simple fils de riche pouvant tout ce permettre d'un air hautain et snobe nimbé d'un sourire.
Tu as grandement besoin d'aide Harry, car je n'ai jamais vraiment été très chanceux, sûre de moi-même. D'ailleurs, je suis ici par cause des Serpentard. Ils m'ont fait un sale coup en me jetant un certain produit mauve et visqueux, sans doute un truc de Rogue et me voilà recouvert de plaque rouge et je ne peux plus bouger.
Vraiment ? Fit le Survivant d'un air narquois. Quel ironie du sort! Je compatie totalement.
Sur ce final sarcastique, Longdubat se permis harmonieusement d'oublié cette remarque qui devait venir d'un Harry tout simplement inconscient… Malgré les dires de Ron et Hermione, Harry n'en était pas du tout coupable.
Et toi ? Pourquoi tu es là ?
hum…
À vrai dire, Harry ne le savait même pas lui-même. Là seule chose qu'il se souvenait, c'était son rêve. Son rêve qui s'était reproduit cette nuit encore une fois, pourtant, tout ce qui s'était passé n'était qu'un rêve. Le Gryffondor ne s'était pas promener dans les couloirs, il n'avait pas attaquer le professeur Rogue et… Draco… Rien ne s'était passé, il ne l'avait pas vue. Mais le sorcier aux cheveux jais resta tout de même soucieux à ce cauchemar. Comment était-il arrivé à l'infirmerie, alors que ce n'était qu'une simple illusion où il s'était évanouie? Pour le moment, il n'espérait que ce n'était pas prémonitoire, histoire de ne pas avoir de problème avec Rogue…
Détournant la tête vers un Neville de plaque rouge qui le démangeait, le Survivant aspira profondément l'air quelque peu sèche de l'infirmerie et ferma les yeux.
Pour une fois que ce n'est pas moi qui manque de mémoire! Gloussa Neville.
Encore des mots stupides et un imbécile infirme! Cria Harry, de nouveau en pleine fureur.
Quoi? Qu'est-ce que tu …
L'Attrapeur de Gryffondor ne lui laissa aucun répit pour répliquer une phrase pitoyable, que Longdubat reçu un oreiller par la tête, des draps pour l'emmitoufler et une lampe qui disposait sur la table de chevet d'Harry et fut fier de l'envoyer s'abattre sur son interlocuteur dont il détestait toute conversation.
Espèce d'innocent! Espèce de connard! Espèce de saleté d'infirme! Pauvre taré! Saleté de…
S'il vous plais! Ne vous moquez pas d'un élève sur ce ton! Si vous ne cessez pas à l'instant je vous fait honneur d'une sublime seringue pour avoir le calme! Répliqua l'infirmière Pomfresh qui était de retour vers le lit de Neville et l'aida à se débarrasser de toutes ces objets qui l'étouffait.
Aaah! J'avais oublié qu'il ne pouvait pas se débattre… Ricana le Gryffondor sous un air agace.
Pomfresh lui jeta un regard noir avant de repartir étendre les draps sur le propre lit du Survivant et elle rapporta quelques instants plus tard une fiole à Neville. S'ouate, un objet qui devrait servir à guérir Longdubat, mais même en guérison le pauvre n'a pas vraiment de chance.
Vous avez dit tout à l'heure, qui est venue me porter ici ?
Malefoy bien sûr.
Quoi? Cette espèce de… Sous l'air réprobateur de l'infirmière, le jeune sorcier se tue. Et pourquoi lui ?
Sans doute qu'il avait bonne foi. Ce ne sont pas tous les Malefoy qui perpétue la mauvaise nouvelle. Sermonna-t-elle en défense du Serpentard qui venait de pénétrer l'infirmerie.
C'est sa, faites moi dont rire!
M. Potter, une infirmière n'as pas le temps de rire. Et pourquoi ne pas lui demander vous-même des explications.
JAMAIS! Pas avec ce…
Je vais tout de même t'en fournir… Potter. Ajouta le grand Serpentard aux cheveux blonds en avançant vers le lit d'Harry, le regard glacé et un visage froid.
À ces mots, Pomfresh délaissa le Survivant sous un radieux sourire, un sourire qui lui parut soit hypocrite ou de bonne fois. Draco approcha de plus près le sorcier aux cheveux jais, toujours dans son pyjama bleu où le Serpentard fut envahi d'un court sentiment de désir… Ses yeux gris rivés sur le brunet, lui qui détourna la tête à la suite de ce geste. Le blondinet s'arrêta au pied de son lit et savoura le silence entre lui et son interlocuteur. Un silence bien doux sans mépris…
Je suis là pour t'expliquer ce qui sait passer et contrairement à ce que tu vas prétendre, je ne vais pas mentir malgré mon statut de Serpentard.
C'est sa, moque toi! Tu as toujours cette partie de Malefoy qui rôde en toi ou peut-être celle des mangemorts qui sait?
M. Potter! Pas de paroles comme ceci dans l'enceinte de Poudlard, vous ne pouvez hurler ce nom et celui-dont-on-ne-doit-pas-prononcer-le-nom ici. S'écria Pomfresh en regardant sévèrement Harry et c'était bien la première fois qu'Harry voyais cette femme aussi sombre…
Celui-ci lui fit une « magnifique » grimace lorsque l'infirmière se retourna de dos, mais ne laissa pas cette ouverture trop longue, le Survivant se souvenait bien de son « rêve » et ci c'était prémonitoire, il ne tenait pas à ce que ce répugnant Serpentard lui avale encore les amidales… Chose que même en pensée pouvait le rendre malade. Soutenant à peine le regard d'Harry qui l'ignorait de nouveau, Draco ferma les quelques rideaux autour du lit du Gryffondor, ne demandant que l'intimité et ce geste fut mauvaise surprise sur le brunet.
Qu'est-ce que tu fais? Tu veux m'attaquer c'est sa!
Potter…
Toi et tes Serpentard êtes tous des maniaques!
Potter… POTTY! Enfin, Malefoy avait l'attention snobinarde de son interlocuteur brun. Je ferme les rideaux puisque Pomfresh ne veux pas être déranger et nous saurons plus intime pour parler.
Toi parler ? Le Gryffondor commença à ricaner, mais fut pris d'une intense douleur aux côtes.
Je te promets, je fais cette promesse de seulement parler et dire la vériter. Grinça le blondinet entre ses dents. Comme si cette promesse était si dure à donner, comme s'il avait du passé sur son égaux ou encore sa propre volonté.
Le Gryffondor n'avait pas encore posé les yeux sur le Serpentard, il n'avait pas cette envie non plus. Le simple fait qu'il soit près de lui, ici, dans son petit espace de cette misérable infirmerie c'était l'horreur. S'il pouvait bouger ses membres sans douleur, il lui aurait bien sauter à la gorge… Simplement la gorge. Harry n'avait qu'à espérer que la discussion serait courte et sans embûche. Le jeune sorcier croisa les bras, plissa les yeux et se redressa sévèrement vers le Serpentard qui lui ne manquait que de glousser devant cet « air »
D'accord, dis-moi ce que tu m'as fait et dégage.
Ce que je t'ai fait? T'es vraiment une espèce de sale hypocrite qui se prends pour la victime! Tu ne changeras jamais d'attitude ? C'est vraiment…
On avait pas convenue que c'était simplement sur le pourquoi que je me trouve à l'infirmerie? Je sens bien cette partie de Malefoy remonter…
D'accord! Ferme-là, j'explique.
Le jeune brunet grommela, comme s'il n'avait pas assez de sa présence il faudrait qu'il se taise en plus de tout sa ? En plus de ses affreuses douleurs… Le Gryffondor regarda gentiment le mur pendant que le blondinet lui expliquer, enfin, une certaine façon de l'ignorer quoi. Draco croisa les bras contre son torse et fit mine d'ignorer ce comportement « snobe »
Pour commencer, tu as envoyer le directeur de ma maison contre le mur, ensuite tu t'es effarouché comme un petit chaton alors que je venais te donner une petite leçon et tu es tombé inconscient… Après que je t'ai em…
STOP! STOP STOP! Je ne veux pas entendre ce passage, OKAY?
Pourtant, il va falloir mettre cette mise au point là-dessus. Répliqua Malefoy parlant devant un « mur » d'acier.
Harry ferma rapidement les yeux et se jeta sur le côté de son lit, rabattant ses mains sur ses oreilles comme un petit enfant avec ses caprices. Il ne voulait plus rien entendre de lui, déjà que tout ce que Malefoy venait de lui radoter était bel et bien le truc de son cauchemar. C'était impossible, cela ne se pouvait pas… Il n'avait pu aller à la fin de son cauchemar, il n'avait put élucider son mystère… Dumbledore serait mort? Harry ne voulait pas y penser, il ne voulait plus y penser. Encore trop de souffrance pour lui, tout ça devait suffire. Malgré les gestes distants du Gryffondor, Draco s'approcha de lui et vint s'asseoir sur le lit de son interlocuteur. Gardant ses mains contre lui, pour lui, le blondinet ne ferait pas la même bêtise que l'autre soir. Déjà que Pansy était furieuse contre lui pour avoir « aider » un « ennemi »
Tu mens. C'est faux, je n'ai pas attaquer Rogue et tu n'es pas venu me voir. Tu dis n'importe quoi. Sanglota le brunet.
Non, c'est un fait.
Encore ces fameuses paroles, cela n'avait pas servie de leçon à cet hypocrite de Serpentard l'autre jour, cela ne lui avait pas été encore assez douloureux? Saleté de fait, il y avait juste sa ici. Resserrant les draps blancs de son lit, la gorge sèche fit répandre sa voix maintenant rauque à travers les rideaux.
Dégage, je n'ai pas envie de te voir et encore moi que tu me parles. À ce que je sache, nous ne sommes pas amis alors éloigne-toi de moi et fou moi la paix. Grogna Harry, admettant à peine la douceur qui se débattait en lui.
Comme tu veux. Mais sache une chose, les cours sont annulés pour aujourd'hui. Par cause que Rogue est à Ste-Mangouste et que quelques élèves sont à l'infirmerie. ET, hum… si tu te sent si mal, c'est que… je t'ai échapper dans les escaliers alors que je t'emmenais ici.
QUOI? QU'EST-CE QUE TU M'AS FAIT?
Hurla le sorcier en se redressant promptement sur lui-même, d'une telle force que Draco se releva sur pied dans un soubresaut. Seulement en voyant le visage pourpre du Gryffondor, la colère venait de céder à toute abstinence. Celui-ci chercha dans les poches de son pyjama, dans le tiroir de sa table de chevet et enfin en-dessous des draps éparpiller pour retrouver une soit disante baguette noire perdu, mais ce ne fut aucune chance. Comment Harry pourrait-il lui faire payé ce que Malefoy lui avait fait?
Tu vas regretter de m'avoir tirer en bas des escaliers! Tu es un vrai salaud de t'en prendre à des inconscients! Cria le brunet, complètement hors de lui après ces aveux.
Je ne t'ai pas tiré, je t'ai échapper! Repris Draco désespérer.
JAMAIS! J'ai appris que peu importe la situation où tu te trouves, un Malefoy profites toujours de sa vengeance!
Malefoy resta muet, le cœur battant et la gorge nouée. Il recula de quelques pas, afin de ne pas être sous la porter des pieds du Survivant.
C'est ce que tu penses de moi?
Hé oh? Le Serpentard, c'est ce que tu es! Fit Harry d'un geste sec et brutale qui devait signifier le départ de son interlocuteur.
Draco ignora le sorcier, mais ce qui était très difficile pour lui après ce choc, c'était bien de ne pas croire des paroles aussi lucide que dit. Il ne voyait aucune autre solution de détourner la tête, accablé par la douleur de son cœur. Mais il était un Malefoy, il resterait fort, il n'aurait aucune faiblesse provenant des émotions et resterait hypocrite sans plus dire un salaud… C'était bien ce qu'il était, selon Harry.
Avant de te laissé dans ta solitude que tu sembles merveilleusement bien apprécier, la baguette que tu as écraser n'était pas la tienne. C'était la mienne et…
Ne compte pas sur moi pour m'excuser! Grinça-t-il entre ses dents.
Ce n'est pas ce que j'attends de toi, puisque têtue et imbécile comme toi, tu ne le ferais pas. D'ailleurs, je n'en veux pas de tes excuses tu es si pitoyable et lamentable sur ton sort, que tu ne fais que pitié à voir. Pour finir et te foutre la paix, je t'ai garder ta baguette, Potter.
Sur ses derniers mots, le Serpentard sortie une baguette noir de sa tenue de sorcier et la tendis légèrement vers le Gryffondor, qui celui-ci hésita longuement avant de faire un premier geste. Bien que sur ses gardes, ce n'est pas Draco qui allait profiter d'une victime effaroucher comme lui, il était bien mieux élevé que sa.
Tu l'as prends ta saleté de baguette?
Je n'ai pas envie. Tu lui as sûrement lancer un sortilège ou encore tu vas t'en servir contre moi pour…
Le blondinet soupira, de retour dans un élan de rage, il jeta la baguette magique de Potter sur son lit et fit demi-tour rapidement. De coup sec, les rideaux revolèrent de gauche à droite, laissant passé la silhouette du Serpentard qui n'avait plus du tout le moral et n'avait qu'une envie, mordre…
Harry releva la tête vers son ennemi qui disparaissait, prenant sa baguette qu'il s'amusait à balancer entre ses doigts, il eu un faible sourire…
Et bien moi, ce n'est pas l'occasion qui va me manquer de le faire à ta place…
Professeur, Professeur McGonagall!
Hermione prenait maintenant de l'avance sur Ron, lui qui s'étalait bien loin derrière elle, à croire qu'il ne faisait rien de ses journées pour n'être que si peu en forme. Pourtant, Weasley un joueur de Quidditch, où trouvait-il l'action si ce n'était pas dans la course? À bout de souffle, la jeune fille parvint enfin à rattraper le professeur McGonagall toujours présente au bout du couloir et s'arrêta d'un coup sec avant de percuter le professeur,
Miss Granger, que vous arrive-t-il pour être ainsi à bout de souffle et hurler dans les couloirs?
Professeur je… je…
Ne parvenant pas à finir sa phrase, son ami vint la bousculer malencontreusement alors qu'il venait de la rattraper, ce qui fit une interception assez brutale et digne d'un garçon. Reprenant peu à peu son souffle, Hermione enchaîna parole après parole…
C'est Harry. Il ne vas vraiment pas très bien, il… il a terriblement changer. Depuis hier il n'arrête pas de…
Je sais, vous m'avez expliquer hier soir, mais j'ai cru bon de vous une simple plaisanterie pour financer votre dernière année ici, mais je m'avoue m'avoir tromper.
Vous lui avez parler alors?
Non, je n'ai pas encore eu ce « loisir » Bien que Harry n'aura pas de très bonne nouvelle de ma part, désoler Miss Granger. Le professeur McGonagall posa un bref regard nappé d'un sourire envers le jeune Weasley. M. Weasley, bonne chance pour le Quidditch de la semaine prochaine.
Éberlué, le rouquin ne savait que trop répondre, c'était bien la première fois que McGonagall lui faisait une telle remarque, surtout lui, un stupide maladroit. Mais il ne put que se réjouir de cette courte marque d'affection, bien qu'Hermione vienne de stopper cette petite gloire.
Professeur? Demanda-t-elle en suivant sa directrice qui continuait sa marche dans le couloir. Je ne comprends pas, des mauvaises nouvelles pour Harry?
La directrice de Gryffondor leva la tête en dessous de son chapeau verdâtre, mais plutôt orienté vers le noir et ce fut ensuite son regard en dessous de ses lunettes qui remarquèrent la préfète en chasse.
- Hé bien, j'aurais cru que vous seriez au courant de ses actes, après tout vous avez fonder une grande amitié tout les trois.
Je… Enfin, nous sommes en froid depuis hier… mais… ses actes? Demanda Hermione toujours aussi incompréhensive des paroles de la directrice. C'était plutôt flou comme explication à vrai dire…
M. Potter à agresser un professeur, bien entendu le professeur Rogue et n'a que trop été vulgaire avec ses supérieurs. Sans parler qu'il rôdait en dehors des heures limites.
Qu… Quoi? Furent les seules mots que Weasley et Hermione sortirent dans un plein duo majestueux, qui n'était plus qu'un affreux cris de surprise.
Je sais, ce problème ne surprends pas seulement le personnel, Miss Granger et M. Weasley. Si vous voulez bien m'excuser, je dois rencontrer professeur Flitwick.
Ron se tourna brusquement vers Hermione, qui elle-même n'avait plus les mots à la bouche, sans parler de ses oreilles qui cillait par ce qu'elle venait d'apprendre. Leur ami était donc aller si loin que sa dans sa colère? Tous d'eux se regardèrent pendant un long moment, sans lever la voix, ils vinrent au fait de rencontrer Dumbledore et de parler de ce problème avec lui. C'était bien le directeur de l'école et le plus grand sorcier, mais il n'y avait pas totalement ce statut pour eux. Comme Hagrid, Dumbledore était une personne digne de confiance et surtout confiante en les gens. Il prenait chaque parole dites mots pour mots et conclure dans l'arrangement de la personne convenue. C'était une sorte de sauver à Poudlard, et c'est bien ce que les deux amis avaient besoin… Retrouver leur ami.
Tu crois que se serais une bonne chose dans parler à Dumbledore? Demanda le rouquin pas totalement rassurer de ce que lui et Hermione feraient contre Harry.
Ron, c'est la seule solution. Il sera comment nous aider, tu sais très bien qu'il est proche d'Harry et que c'est bien le seul qui puisse le comprendre. Dumbledore sera capable de trouver la solution, après tout nous avons plus le choix. Harry est en train de tomber vers le côté obscure et c'est à nous de l'aider.
Sur ce, Hermione, la fameuse sorcière studieuse et droite venait de convaincre son compagnon, mais sans toujours réussir à être rassurer pour de bon.
Nous voudrions parler au professeur Dumbledore. S'écrièrent une seconde fois les deux compagnons, se jetant un regard à chacun avant que McGonagall s'arrête devant eux.
Celle-ci tourna la tête vers ses deux jeunes Gryffondor, ceux-ci semblaient terriblement suppliant.
Je suis Désoler. Vous ne pouvez parler au professeur Dumbledore pour l'instant, il…
C'est important, je vous en pris professeur, c'est urgent.
Bien sûr, je suis certaine que ceci est urgent, mais vous ne pouvez le voir car il ne se trouve pas à Poudlard.
Où est-il alors? Demanda Weasley, pour une fois qu'il élevait la voix seule à seul.
Le professeur McGonagall appuya sa main sur l'épaule du jeune Gryffondor, compatissent avec son désir de voir Dumbledore.
M. Weasley, votre curiosité est-elle toujours aussi amplifiante avec les années ? Ceci ne vous regarde en aucun point, mais je ferai par de votre demande au professeur dès qu'il sera de retour à Poudlard. Maintenant, en tant que préfet, retournez faire la loi. Sermonna-t-elle en haussant un sourcil et d'un signe de main très réprobateur.
Cherchant un moyen de convaincre McGonagall, Hermione sondait les environs du couloir où ils se trouvaient, mais aucune idée lui vint en tête malheureusement. À part un miracle… Le Professeur Dumbledore venait de pénétrer le couloir où tous les trois étaient et s'apprêtait à ouvrir la « porte » de son bureau. Mais, il ne semblait bouger ou arrêter par les événements. Voilà leur chance.
Délaissant le professeur McGonagall sans bonne délicatesse, ce qui eu un effet néfaste à son cœur à grand regret, puis elle empoigna la main de Ron et l'attira avec elle au pas de course. Même si les protestations du professeur de Métamorphose lui venaient à l'esprit, Hermione passa sur son orgueil et continua sa course folle jusqu'au moment où Dumbledore commençait à s'éclipser.
Professeur! Professeur! Attendez…
Par les hurlements fracassant des jeunes Gryffondor, le vieillard vêtu d'une grande robe denteler et magistral se retourner vers les cris affolés de deux pauvres élèves. Là, il leva son regard au-dessus de ses lunettes en demi-lune et haussa un sourcil :
Qui a-t-il les enfants ?
Dumbledore, pardonnez-moi je… Répondit McGonagall arriver à la suite des deux coureurs, la voix rauque.
Dumbledore lui fit un simple sourire en dessous de sa longue barbe blanche, qui maintenant pouvait toucher pratiquement l'extrémité du sol. Celui-ci leva une main, sage, vers sa compagne et demanda aux deux Gryffondor de poursuivre.
C'est Harry… Nous avons besoin de vous, il ne va pas très bien…
Il est peut-être fatiguer, veuillez comprendre que la vie passer chez les Dursdley n'est pas très facile pour lui. Répliqua Dumbledore, comme si cette réponse devait être dite et inévitablement approuver.
Non… il… il n'est plus le même…
Posant un regard vers le professeur McGonagall, Dumbledore semblait attendre une bonne vieille explication de sa part, mais elle ne fit qu'ajouter que tout cela était la stricte vérité, mis à part…
Il est posséder par Voldemort, nous sommes sûr et certain !
À Suivre…
Encore un exploit de finir si vite! Mdr, déjà le troisième chapitre seulement 1 journée après l'apparition de cette fic en ligne… mdr… J'suis rapide comme batman! Heu… Superman!XD
Donc, heum… qu'est-ce que je pourrais dire pour le chap 3 ? Bah que si vous avez des reviews, faites moi par car j'ai trop hâte de voir si vous aimez cette fic Ce que j'espère tout bonnement, car j'essaie bien de vous faire une fic intéressante et que vous apprécierez! Dites-moi que sa marche! Mdr
Donc heu… Pour ceux qui auraient pas catcher, le chap 2 c'était le cauchemar d'Harry, mais il semblerait que se rêve a été réalité… Le chap 3, bas c'est une période sherlock pour Harry, savoir ce qui lui est arrivé! Mdr… toujours aussi sauvage le petit brunet loll
Sur ce… + et hum, je vous aime tous Et merci de me laisser la chance de faire une bonne fic, du moins je l'espère!
Dans le prochain chapitre -->
Chapitre 4 : La vérité sort de la bouche d'un Sorcier
